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RAPPORT D`ACTIVITÉS 2014

1. d couverte de l agriculture biologique diagnostic de faisabilit tude de projet reconversion optimisation des aides la bio appui PAC accompagnement des agriculteurs en AB Le partenariat entre la Chambre d Agriculture et le GAB 25 90 se poursuit sur la base de la convention qui d finit les champs d action du partenariat AAA Le contexte 13 fermes se sont converties au bio en 2014 repr sentant ainsi 390 ha dont 4 en lait AOP 5 en plantes parfum aromatiques et m dicinales et petits fruits 3 en levages multiples bovin ovin caprin pondeuses 1 en mara chage Au 15 mai 2014 on d nombrait 148 exploitations bio dans le Doubs et 10 dans le Territoire de Belfort ce qui repr sente environ 9 400 ha en bio ou en conversion La production laiti re reste la production dominante avec 57 des exploitations soit 51 en lait AOC et 33 en lait standard Les lt petites cultures gt de type mara chage petits fruits ou plantes parfum aromatiques et m dicinales poursuivent leur d veloppement et repr sentent maintenant pratiquement 20 des exploitations bio des deux d partements La dynamique des conversions dans ce domaine reste forte avec de nombreuses cr ations d exploitations L ann e 2014 a t marqu e par 4 conversions en lait AOC fait assez rare ces derni res ann es notamment en lien avec une conjoncture conomique tr s favorable sur la production de lait AOC L accompagnement
2. conomique Formation pr paratoire au Certiphyto Production d nergie verte Ne pas se faire mal dans son travail Am liorer la flore et la productivit des prairies Cultiver et valoriser la betterave fourrag re Agrilean en collectif d finir ses marges de progr s Phyto aromath rapie Focus mamelle pilier de la production Influence de la lune sur les pratiques agricoles Apprendre mieux conna tre ses prairies du sol la flore Gestion du stress Le travail d animation du dispositif formation r alis par la Chambre d Agriculture est cons quent Depuis d sormais 3 ans l AIF prend en charge une partie de ce travail d animation i w w LE CONSEIL D ENTREPRISE Par rapport d autres chambres d agriculture y compris voisines la Chambre d Agriculture a toujours eu une quipe de conseillers d entreprise tout au moins depuis 20 ans Le conseil d entreprise se d cline au travers de diverses prestations dont certaines ont d j t abord es telles la participation aux entretiens PPP et aux stages Chiffrage de Projet Parmi les autres activit s e Les r f rences L accompagnement technico conomique des JA e Pacteor e Agrilean JA 10 e Agridiff RSA L accompagnement technico conomique de projet en phase d installation Cet accompagnement technico conomique est r alis par les conseillers d entreprise pendant les trois premi res ann es d installa
3. volution concr te des choses en conciliant les volets consulaires et d intervention de ces institutions afin de trouver le bon quilibre entre la proximit et l loignement r gional Depuis 2009 une d marche de renforcement du p le r gional avec y compris mutualisation d un certain nombre d agents des Chambres D partementales a t mise en uvre C est en 2009 galement qu a d but le rapprochement des Chambres d Agriculture du Doubs et du Territoire de Belfort qui s est achev par la cr ation de la Chambre Interd partementale d Agriculture Doubs Territoire de Belfort au 1 janvier 2013 C est en 2009 enfin qu avait t galement imagin e l unification des services des Chambres D partementales finalement abandonn e l poque Plus r cemment la question de la cr ation d un p le r gional des instances agricoles a t pos e La Chambre Interd partementale d Agriculture Doubs Territoire de Belfort avait alors soutenu l id e que notamment dans la perspective d un ventuel rapprochement des r gions Bourgogne et Franche Comt il tait essentiel de structurer un p le r gional franc comtois tr s fort par son importance et sa diversit afin que le p le demeure m me dans la perspective d une seule r gion Bourgogne Franche Comt C est ainsi que la Chambre Interd partementale d Agriculture Doubs Territoire de Belfort avait soutenu en Chambre R gionale l id e qu
4. AGRICULTURES HE LE FA aaa B a I RS a P a l e o a K j Y b T e Td ul E de e PLI T 3 no a L ACTION DE LA CHAMBRE D A Rendre compte d une ann e agricole conomique et sociale en quelques pages est toujours un challenge difficile voire une gageur L exercice permet de mettre la disposition de tous les acteurs de l agriculture et de tous ses partenaires les l ments essentiels qui auront marqu cette ann e 2014 en y inscrivant le r le et les actions de la Chambre Interd partementale d Agriculture Doubs Territoire de Belfort Dans une partie introductive ce rapport d activit s on s emploiera donc s attacher aux grands th mes qui ont marqu 2014 alors qu on rendra plus pr cis ment compte de l activit des services dans le corps du compte rendu d activit s 1 L ACTION DE LA CHAMBRE C est d ailleurs ces grands th mes d actualit qu a t D AGRICULTURE EN 2014 consacr e une bonne part des r unions mensuelles des Bureaux de la Chambre et des cinq sessions pl ni res CONJONCTURE ET PERSPECTIVE PLUTOT FAVORABLES Pour une nouvelle ann e encore c est effectivement impression g n rale qui ressort l issue de cette ann e 2014 et sans doute de mani re sp cifique par rapport la 16 PROGRAMME INNOVATION ET QUALIT situation nationale compte tenu des orientations de l agriculture du Doubs et du Territoire de Belfort 2014 progression pour Le
5. destination des agriculteurs du Territoire de Belfort mais aussi des d partements limitrophes Doubs Haute Sa ne Sur ce m me registre un travail a d but avec la Maison de Environnement pour une exposition dynamique qui durera 3 ans et porte sur l alimentation le terroir et la proximit Y BIENVENUE alaferme AGRITOURISME BIENVENUE LA FERME 8 COMMUNICATION L objectif L objectif 2014 est de favoriser la dynamique r seau en confortant les partenariats avec le comit d partemental du tourisme et le comit de promotion des produits r gionaux is m E Les actions r alis es Le r seau Bienvenue la ferme La sp cificit du r seau a permis d organiser des formations particuli res qui ont regroup une dizaine d adh rents sur le th me de la cuisine lt Gastronomie R gionale Innover et enrichir son savoir faire gt en d cembre 2014 Foires et salons 5 adh rents du Doubs ont particip au Salon International de l Agriculture 2014 et une dizaine la Foire Comtoise Le r seau tait galement pr sent aux c t s de prestataires de l agritourisme suisse aux salons Talent et Saveurs Micropolis les 14 15 et 16 novembre et au SITV Colmar du 7 au 9 novembre dans le cadre du programme Interreg lt Terroirs et Innovations gt Au niveau des concours de produits Des producteurs du Doubs et du Territoire ont pr sent des produits au Concours G n ral Agricole e
6. e tous gards les l ments voqu s au cours de ce s minaire ont mis en vidence combien les fili res laiti res et fromag res traditionnelles organis es dans notre r gion sont gage d efficience et de richesse partag e entre les acteurs et combien l volution des pratiques d un segment croissant de consommateurs offrent aux producteurs une vraie chance de s engager davantage sur le terrain de la valorisation de ces productions Tout ceci en quelque sorte conforte s il en tait besoin les orientations mises en uvre dans nos d partements travers le projet agricole Vers une actualisation du Projet Agricole D partemental ou comment r pondre aux exigences de la triple performance Parmi les v nements agricoles de l ann e 2014 on rel ve bien s r le vote et la publication de la Loi d Avenir Cette loi s agissant du d veloppement de l agriculture institutionnalise en quelque sorte quant aux orientations dans lesquelles doit s inscrire l agriculture la notion de triple performance que doit atteindre l activit agricole aux plans conomique social et environnemental Une session pl ni re de la Chambre d Agriculture a d ailleurs t consacr e cette th matique d avenir s il en est au sein m me d une institution qui personnifie l avenir de l agriculture savoir le lyc e agricole de Dannemarie sur Cr te avec le concours de Monsieur Bertrand Hervieu Vice Pr side
7. s sensibles On pourrait donc l gitimement faire un bilan positif de 20 ans d efforts Mais en 2014 l actualit en a voulu autrement avec les pol miques largement relay es sur la responsabilit sp cifique qu aurait l agriculture dans quelques dysfonctionnements de rivieres comtoises RAPPORT D ACTIVIT S 2014 Certaines manifestations certains slogans certains proc s faits l agriculture durant cette ann e 2014 ont trop souvent d pass les limites du raisonnable Pour autant ce ne sont pas les pol miques qui doivent gouverner et au nom de l agriculture dans son ensemble la Chambre d Agriculture en troite relation avec l administration et le D partement a continu de travailler s rieusement d approfondir les choses pour progresser encore et aller plus loin et plus vite C est ainsi que tout en soulignant l important chemin parcouru la Chambre d Agriculture en accord avec les organisations professionnelles a accru son programme d actions et a accept que soit renforc le r glement sanitaire d partemental et donc exigence de mise aux normes de toutes les exploitations agricoles Tous ces l ments ont fait l objet de nombreuses r unions de travail et de nombreux supports d information et de communication Un temps important des sessions pl ni res a t consacr cette th matique souvent avec d minents intervenants ext rieurs Une pr sentation des actions mises en uvre et des
8. Agriculture a collabor la politique touristique en participant de fa on partenariale divers salons et par le soutien apport au CDT dans la mission de conseil et d appui aux h bergements de types g tes ou chambres d h tes En contrepartie les agents du CDT si gent aux commissions d agr ments et de contr les des adh rents du r seau Bienvenue la Ferme m Avec l Agglom ration du Grand Besan on Cette ann e la 5 dition des Parties de Campagne a permis de visiter les exploitations de Nathalie Vaucher mara ch re et C line Rota responsable de la ferme questre a Besancon dans le quartier de la For t de Chailluz en septembre 2014 Les 3 porteurs de projets de la p pini re mara ch re sont quant eux accueillis sur le site de Chalezeule depuis f vrier 2014 Ils ont eu cette ann e leurs premi res r coltes et ont pu les commercialiser aupr s de leurs clients AMAP et restaurateurs locaux Le b timent agricole devrait tre livr d ici le printemps 2015 m Avec Pays Montb liard Agglom ration Les services de la Chambre d Agriculture ont accompagn l organisation de 20 march s tournants dans le Pays de Montb liard Vingt nouvelles dates sont d ja pr vues de mai a septembre 2015 Avec le Conseil G n ral du Territoire de Belfort l action en direction de l approvisionnement des coll ges s est poursuivie Plusieurs sessions de formation l outil Agrilocal ont eu lieu d but 2014
9. Lait difficult pour La viande et les productions v g tales tr buchent En 2014 en effet la production laiti re dans nos d partements aura t marqu e par une volution favorable Ce fut particuli rement vrai nouveau pour la production laiti re transform e en fromage sous signe de qualit qui b n ficie la fois d une progression des volumes et des prix un niveau certes moindre 2014 aura enregistr un r tablissement favorable dans le domaine de la production de lait standard qui aura b n fici tout la fois de bonnes conditions de production et de bonnes conditions de prix H las il n en a pas t de m me dans le domaine de la viande la plupart des secteurs tant marqu s par un repli des prix Quant aux productions v g tales apr s les sommets atteints en 2012 elles ont connu en 2014 une ann e plut t calamiteuse tenant essentiellement une m t o tr s d favorable la r colte et qui a notoirement alt r la qualit de la production Les orientations du Projet Agricole D partemental a marche Pour r ussir ensemble dans un contexte europ en et mondial exposant de plus en plus les producteurs aux dures lois du march et ses fluctuations erratiques R ussir Telle est notre ambition d agriculteurs r ussir humainement socialement techniquement conomiquement C est l notre projet commun dans un contexte pas toujours simple et partir de situations d
10. ann e 2014 a permis de diffuser plus largement outil cartographique de suivi des pratiques agricoles lt Mes P rcelles gt ainsi 67 dossiers de d clarations PAC ont t r alis s avec cet outil en avril et mai 2014 et en fin d ann e 145 exploitations agricoles enregistraient leurs pratiques directement sur le web sur un serveur bas P ARSOE Dans le cadre de la pr paration de la campagne PAC 2014 et du passage en z ro papier la Chambre d Agriculture a particip la mise en uvre d un accompagnement TELEPAC 351 dossiers r alis s qui aura touch entre mars et mai 2014 pr s de 900 exploitants agricoles Cette op ration a t men e en partenariat avec la FDSEA et CERFRANCE Doubs Les actions r alis es en 2014 dans le Territoire de Belfort L intervention dans le cadre des proc dures d urbanisme l instruction du principe de r ciprocit et la limitation de la consommation du foncier La Chambre Interd partementale d Agriculture poursuit son travail d assistance des communes dans le cadre de la mise en place des documents d urbanisme D s le lancement de la proc dure nous travaillons en partenariat avec les communes pour l tablissement d un diagnostic communal visant pr senter les exploitations productions surfaces b timents lien l environnement projets et participons aux diff rentes tapes en tant que personne publique associ e L objectif est de prendre en compt
11. e qui indique par classe de milieu quelles pratiques sont efficaces et lesquelles ne le sont pas Une fois situ e l exploitation sur cette grille le diagnostic est instantan et le plan de progr s galement compter de 2012 la Chambre d Agriculture a donc pu proposer aux agriculteurs une prestation efficace 85 ont t vendus en 2014 ce qui porte le total quasiment 200 depuis 2012 C est largement moins qu esp r puisque l objectif tait d en vendre 200 en 2014 Cette ambition est report e sur 2015 avec un objectif a 300 et des moyens humains configur s en cons quence En effet cette action tait jusqu a pr sent concentr e de mani re logique pour une prestation innovante sur un nombre restreint de conseillers 2014 a permis d accro tre le nombre de conseillers op rationnels qui seront bient t au nombre de 6 pour la Chambre d Agriculture J P Roumet A Guy M Cassez J M Curtil F Gresset S Clavier Il a t galement demand un effort de vente de la prestation a tous les conseillers du SEE avec mise en place d un plan d action et de formations pour accompagner les conseillers dans cet exercice nouveau pour eux Cet effort a t couronn de succ s puisque 42 prestations Agrilean ont t vendues par un conseiller de la Chambre d Agriculture L outil LEAN et Agrilean transfert de technologie lt Production laiti re rentable gt Suite diff rents changes et notamment
12. est donc cet axe innovant du d veloppement de l agriculture qu il convient d sormais de parfaitement int grer de mani re g n rale dans toutes les dimensions du d veloppement agricole C est cet effet que le projet agricole d partemental actualis il y a quelques ann es devra l tre nouveau d s 2015 avec le concours de la commission d partementale du projet qui r unit tous les acteurs de l agriculture qui veulent bien y apporter leur contribution AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT PLUS RESPONSABLES ENCORE Voil plus de 20 ans d sormais que notre agriculture s inscrit de mani re dynamique dans le sens d une ma trise dans une r duction de ces impacts d favorables sur l environnement Cela touche autant la ma trise de nouvelles pratiques culturales et agronomiques avec r duction de certains intrants que l adaptation profonde des installations d levage et de stockage de leurs effluents Ce sont donc 20 ans d effort que l agriculture a d j a son actif Ces vingt ann es d effort sont couronn es par certains succ s perceptibles Qu il s agisse de la baisse de certaines consommations qu il s agisse tr s nettement de la diminution des rejets dans le milieu qu il s agisse du d veloppement des nouvelles pratiques d veloppements consid rables sur les zones fragiles du captage d eau par exemple ou qu il s agisse encore de la baisse constat e des teneurs en nitrates de certains cours d eau tr
13. et de l Union Europ enne les Chambres d Agriculture ont particip en 2014 au sein d un groupe de travail l laboration d un plan de communication sur l apprentissage Apr s avoir constat que l apprentissage est souvent mal connu ou mal consid r dans le milieu agricole ila t d cid d orienter le travail vers le public des employeurs entreprises agriculteurs et des prescripteurs Ce plan comporte des outils de communication fiches pratiques pour les entreprises des interventions pr vues lors des assembl es g n rales de professionnels et des fiches techniques d taill es diffuser aupr s des conseillers d entreprises ou comptables Les interventions aupr s des agriculteurs des propri taires fonciers ou des communes en mati re juridique et notamment concernant tous les probl mes de baux et de fermages Ces interventions tr s diverses peuvent aussi bien concerner des valuations de terrains dans le cadre de successions des calculs de fermage la r daction de baux pour les communes mais galement des renseignements donn s soit par t l phone ou lors d un rendez vous au bureau site de Besan on ou de Belfort Les th mes trait s rel vent de tous les aspects juridiques li s au foncier agricole et forestier L appui apport aux coop ratives syndicats pastoraux ou communes dans le cadre de l volution des communaux Dans le d partement du Doubs la gestion collective des
14. il convenait saisissant en cela l opportunit de l installation de Terre Comtoise sur la zone autorouti re de l change d y cr er au c t du si ge de la coop rative un p le r gional rassemblant un maximum d acteurs agricoles Pour favoriser cette volution la Chambre Interd partementale d Agriculture Doubs Territoire de Belfort avait alors propos pour les locaux des Chambres d Agriculture de consentir l essentiel de l effort financier Mais il a finalement t d cid de renforcer le p le r gional de Valparc cole Valentin par le rachat des locaux de la Chambre R gionale de Commerce et d Industrie Cette op ration a t r alis e sous forme d indivision la Chambre Interd partementale d Agriculture Doubs Territoire de Belfort y assumant une part l g rement sup rieure 68 D autres l ments sont intervenus dans l ann e 2014 et tout particuli rement travers la Loi d Avenir qui d finit de nouvelles missions pour les Chambres R gionales d Agriculture Ceci sera r alis conform ment aux dispositions d un d cret dont le contenu n est pas connu alors que nous r digeons ces lignes Mais n anmoins les services ressources des Chambres d Agriculture devraient tre r gionalis s Comptabilit logistique RH Enfin la r forme des territoires et tout particuli rement de la fusion des r gions d sormais act e pr cipite l unification des Chambres R gionales de Bourgogne e
15. la FDGEDA Parmi les activit s de la FDGEDA il convient de noter La journ e interd partementale le 22 novembre avec l intervention de Vincent Chatellier de l INRA de Nantes La collecte de donn es sur les veaux et la mise en ligne sur le site pardessuslahaie Cr ation du journal INNOV GROUPES Continuit du travail sur la manifestation Vide Grange mise au point d une nouvelle formule l occasion du printemps Projet agro cologie inter Ceta Mouthe Ceta et Cetaf de Pontarlier Journ e d partementale de septembre 2014 Relations humaines et r ussite de l entreprise Travail sur la formation des responsables penser au renouvellement des responsables kG Le conseil culture en collectif Cette seconde activit du SEE mobilise pour l essentiel deux conseillers un conseiller herbe et un conseiller c r ales C r ales ce jour le conseiller c r ales intervient de mani re collective la demande des agriculteurs un tour de plaine a t mis en place Cette action est men e pour la cinqui me ann e Apr s une mise en route quelque peu chaotique en 2010 l organisation s est av r e efficace ensuite Sur chacun de ces quatre secteurs une exploitation est d sign e comme point de rendez vous les dates de rendez vous tant d termin es en fonction de l actualit technique Participations variables selon les secteurs et les p riodes e Paroy 5 10 a
16. modalit s de contr le des aides l installation et met en uvre une fiche annuelle d clarative de suivi du Plan de D veloppement de l Exploitation PDE Pour remplir ces formalit s une fiche de suivi doit tre compl t e avec des l ments comptables EBE annuit s LMT professionnelles soci t et associ s des l ments de la structure de l exploitation nombre de chef d exploitation conjoint aide familial et des informations concernant la soci t de parts sociales modification de la nature juridique de la soci t des activit s de l exploitation assolement r alis et nouvelles cultures nombre d animaux effectivement pr sents et nouvel atelier animal des autres engagements des programmes d investissements pr vu au PDE non pr vu au PDE Pour ce faire il faut se baser sur les r sultats de gestion la liste des immobilisations et les tableaux d amortissements des pr ts de l ann e coul e L ODASEA r ceptionne les dossiers en v rifie la compl tude et dans des d lais aussi brefs que possible transmet la DDT qui r alise le contr le En 2014 224 dossiers de suivi annuel de PDE ont t transmis la DDT La pr instruction des contr les en fin de PDE Le principe est le m me que pr c demment l ODASEA pr instruit les dossiers demande au jeune agriculteur une liste de pi ces v rifie la compl tude du dossier et tra
17. r sultats obtenus a r guli rement t expos e dans le cadre des conf rences Loue et Rivi res comtoises plac es sous l autorit du Pr fet et du Pr sident du Conseil G n ral Ce faisant la Chambre d Agriculture au nom de tout le secteur conomique agricole entend d montrer que l agriculture ne peut tre responsable que d une part des ph nom nes de pollution d plor s et que l agriculture s inscrit sans r serve dans une dynamique qui lui fait et fera ma triser l ensemble des effets d favorables que ses activit s peuvent avoir sur le milieu Ainsi l agriculture demeure t elle pleinement sur le positionnement historique qui est le sien de nourrir la population tout en contribuant l entretien voire l am lioration du cadre de vie de tous qu il s agisse des paysages de la qualit de l air et de la qualit de l eau UNE PR SENCE SUR LE TERRAIN QUI SE CONSTRUIT ET SE CONSOLIDE AVEC D AUTRES Quelle que soit l volution institutionnelle et structurelle des Chambres d Agriculture l orientation port e par ses lus et visant pr server une pr sence de proximit r elle sur le terrain a t d actualit encore en 2014 et ceci dans le prolongement des actions engag es ant rieurement travers cette volont il s agit tout la fois de faire en sorte que la Chambre d Agriculture soit pr sente sur le terrain sur tous les sites strat giques mais qu elle le soit auta
18. surveillance phytosanitaire en for t priv e La Chambre d Agriculture assure un r le de r f rent for t au niveau r gional et participe au niveau de l APCA au travail de la commission et du groupe For t et arbres hors for t L existence d une gouvernance foresti re r gionale n cessite de nombreux changes avec les partenaires en application et en anticipation des volutions l gislatives Loi d Avenir Plan Pluriannuel de D veloppement Forestier Valid le 1 ao t 2012 le Plan Pluriannuel R gional de D veloppement Forestier PPRDF est mis en uvre annuellement au sein d un contrat de fili re For t Bois C est principalement au travers du PPRDF que les actions des Chambres sont d clin es Pour 2014 les actions conduites par la Chambre Interd partementale d agriculture dans ce cadre sont Animation du Plan de d veloppement de massif PDM des Rives du Drugeon L HA E al E E LE 1 L l Er K Animation du Plan de d veloppement de massif PDM Morteau et Val du Saugeais Poursuite de l action d analyse des ventes de bois et contribution l observatoire du march des bois fa onn s en partenariat avec l ADIB Promotion de la traction animale Zoom sur l tat d avancement et les premiers r sultats des deux PDM La petite for t priv e constitue un important gisement de bois jusqu pr sent sous exploit en raison des contraintes d acc s de dynamisme d
19. Ce dispositif de pr l vement devant s appliquer partir du montant du fonds de roulement constat au 31 d cembre 2013 d duction faite des besoins de financement sur fonds propres vot s et formellement valid s par la Tutelle avant le 1 juillet 2014 correspondant des investissements Les Chambres sont ainsi fragilis es et leur capacit intervenir r duite n ant Les dispositions impos es par l Etat sont inopportunes et malvenues au moins pour deux motifs elles instillent la culture de lirresponsabilit dans la gestion de nos tablissements publics et elles privent ces derniers de la solidit financi re indispensable toute entreprise confront e un march fut ce de prestations de service De plus elles r duisent n ant les capacit s financi res indispensables a la conduite d op rations d int r t g n ral majeures telles que l organisation des espaces de travail n cessaires au service de l agriculture sur tout le territoire am nagement de bureaux et de salles de r union Besan on Valdahon Maiche Houtaud Velesmes Essarts et la Jonxion et bien videmment telles que les interventions essentielles et d terminantes qui ont t conduites en mati re d organisation conomique abattoir de Besan on reprise de la soci t Belot SA capitalisation franc comtoise dans Monts et Terroirs coop rative fromag re de Montb liard etc Quelle que soit la pertinence av r e
20. Les conseillers polyvalents e Matthieu Cassez e Jean Marie Curtil e Jean Marie Roussel e Antoine Gu don m Les conseillers sp cialis s Agrilean e Jean Paul Roumet e Aurore Guy ces conseillers sp cialis s il faut ajouter 3 conseillers de secteur qui pour une partie de leur temps effectuent des missions de conseil d entreprise e Fabienne Gresset Aline Loberger e Christian Faivre Programme INNOVATION amp QUALIT DIVERSIFICATION ET INNOVATION POUR LE DEPARTEMENT DU DOUBS ET LE TERRITOIRE DE BELFORT i Objectif Les objectifs 2014 du service innovation et qualit rejoignent les objectifs du Projet Agricole D partemental II s agit de favoriser le d veloppement de nouvelles activit s agricoles de productions nouvelles de transformation et de d veloppement de services en milieu rural L alimentation de proximit est un des fils conducteurs de l ann e 2014 Del Le contexte La programmation du Fonds Europ en Agricole de D veloppement Rural FEADER 2014 2020 est en cours La fin de l ann e 2014 a vu la relecture des fiches destin es aux agriculteurs franc comtois dans le cadre du Document R gional de D veloppement Rural lig a Les actions r alis es Des dynamiques collectives m Les march s de producteurs Les actions d j lanc es en 2013 se sont intensifi es en 2014 s agissant des cinq points de vente collectifs et des nombreux march s de producteurs Dans l
21. abitants du Grand Pontarlier d ici le mois de d cembre 2015 Le projet de Drive fermier Valdoie a quant lui t mis en attente En effet le lyc e de Valdoie souhaite concentrer ses activit s sur l ouverture de son magasin physique dans un premier temps avant d ajouter une fonctionnalit de e commerce La Chambre d Agriculture a travaill avec le lyc e pour d marcher des producteurs du d partement et du nord Franche Comt pour compl ter la gamme du futur magasin qui devrait ouvrir au printemps 2015 En parall le les services de la Chambre d Agriculture ont particip une dizaine d actions de formation et d information au sein des tablissements d enseignement agricole afin de promouvoir la diversification et l innovation dans le monde agricole La r flexion se poursuit avec la Communaut de Communes du Vallon de Sancey sur le site de la Baume o un volet production agricole est en train de voir le jour L installation d un mara cher est pr vue d but f vrier 2015 L approche agritourisme est toujours en r flexion d autant qu il est n cessaire d inscrire ces r alisations dans le cadre du projet Leader port par le Pays Doubs Central m Une fromagerie collective Les services de la Chambre d Agriculture ont poursuivi le travail avec le groupe de producteurs du Territoire de Belfort qui r fl chissait la cr ation d une fromagerie collective Apr s plusieurs ann es de trava
22. absence d informations de morcellement qui rendent difficile notamment l entr e des propri taires au march conomique 1 7 ha propri t etc Pour aider les propri taires acc der cette ressource et valoriser leur patrimoine le Plan Pluriannuel R gional de D veloppement Forestier issu de la loi de modernisation agricole de 2010 met leur disposition un accompagnement par des organismes de conseils Chambre d Agriculture CRPF s appuyant sur le Plan de D veloppement de Massif PDM Cet outil permet de concentrer et d intensifier l information aupr s des propri taires forestiers de parcelles situ es dans des p rim tres jug s prioritaires Afin de parer aux principales contraintes d exploitation le PDM propose aux propri taires des solutions individuelles ou collectives adapt es la gestion de leur patrimoine chantiers de coupes et travaux entre voisins am nagement de desserte collectif travers notamment le regroupement de propri taires au sein d associations syndicales autoris es restructuration et bourse fonci re formation des propri taires etc PDM des ASA de Morteau et du Val du Saugeais un PDM exp rimental La cr ation de plus de 70 ASA dans le Doubs a permis de desservir pr s de 10000 ha levant ainsi une des contraintes majeures l exploitation des bois Mais est ce suffisant pour contribuer augmenter de mani re significative la gestion des for ts et la mobilisation des bo
23. accueil spontan mis en place dans les locaux de la Chambre d Agriculture il est n cessaire de mener une action volontariste afin de rep rer un maximum de futurs c dants et d anticiper leur d part Les principales missions du Point Info Transmission Les missions du Point Info Transmission sont les suivantes Volet Accompagnement e Accueillir les c dants Aider les c dants dans la recherche de repreneur e Mettre en relation les c dants avec les candidats l installation e R aliser des diagnostics d exploitation afin d estimer la valeur de l exploitation Volet Communication e Informer les c dants des aides PIDIL la transmission lors de l installation hors cadre familial e Informer les c dants des d marches r aliser et les orienter vers les personnes capables de les aider dans la transmission Volet Rep rage e Rep rer les exploitations sans successeur Accompagnement Communication Rep rage Ce Point Info Transmission est un service adoss l action installation d j existante la Chambre Interd partementale d Agriculture Dans le cadre du Point Info Installation Transmission il existe un guichet unique au service du renouvellement des g n rations en lien troit avec les orientations du Projet Agricole D partemental Cette ann e les missions ont t assur es par Maud Geuffrard jusqu 14 novembre Depuis novembre les missions sont assur es par les autres cons
24. actuel en effet la recherche d une plus grande efficience de l exploitation permet d une part d am liorer son revenu et d autre part d tre plus comp titif et dans une perspective de risques de grande fluctuation des prix a devient de plus en plus vital chacun e de s atteler donc la recherche de cet objectif d am lioration de l efficience de son exploitation Ct la diversification des productions et ou des activit s On doit le savoir diversifier les activit s agricoles est un imp ratif incontournable si l on veut produire la valeur ajout e indispensable la cr ation de nombreux emplois exploitants associ s salari s En outre diversifier les sources de profit de l agriculture c est la seule vraie solution pour s curiser d une part l conomie des exploitations orient es vers les productions standard expos es aux fluctuations de prix et d autre part l conomie des fili res dans les exploitations orient es vers les productions AOC pour lesquelles la ma trise de la production est une condition imp rative la pr servation de leurs quilibres Parmi les multiples productions et activit s sources de diversification des produits des exploitations on trouve bien videmment la commercialisation directe ou en circuits courts de produits agricoles bruts ou plus souvent transform s LE 3 Vip Ce faisant il ne s agit pas de concurrencer les fili res
25. age du r seau de l ASA de la Roye Suivi des march s du bois La Chambre d Agriculture a mis en place en partenariat avec l ADIB et les acteurs forestiers un observatoire des march s du bois fa onn La Chambre d Agriculture assure la collecte des informations et leur traitement Une synth se trimestrielle est diffus e sur un site internet d di www observatoiredesmarchesdubois com L quipe foresti re e Sabine Lef vre animation r gionale ASA infrastructures routi res sant des for ts animation du syndicat des propri taires forestiers e Catherine Jacquet PDM conseil aux propri taires forestiers formation cartographie sant des for ts communication e Patrick Michel PDM conseil aux propri taires infrastructures routi res formation appui au syndicat des propri taires forestiers aspects conomiques e Delphine Dupont Assistante quipe foresti re LES B TIMENTS D ELEVAGE Les objectifs Dans nos d partements d levage la modernisation et am lioration des b timents sont des l ments essentiels garantissant la fois la vitalit et la viabilit des exploitations agricoles La Chambre d Agriculture est engag e aux c t s des leveurs depuis plus de 40 ans afin de promouvoir les objectifs suivants e Accompagner les agriculteurs dans la modernisation de leurs outils de production e Permettre aux agriculteurs de r aliser des b timents adapt s et fonction
26. agglom ration du Grand Besan on trois nouvelles communes ont sollicit la Chambre d Agriculture et la Communaut d Agglom ration du Grand Besan on CAGB dans le cadre du projet Sauge pour r fl chir la mise en place d un march de producteurs Il s agit des communes d Avanne Boussi res et Nancray Selon les retours des producteurs ces march s pourraient d marrer au printemps 2015 m Les march s du soir Que ce soit Belvoir Gennes ou dans le Pays de Montb liard les march s du soir rencontrent toujours un franc succ s aupr s des consommateurs Pour l agglom ration montb liarde 20 march s tournants se sont relay s du 9 mai au 26 septembre avec de nouveaux producteurs qui ont rejoint le groupe en volailles et viande bovine par exemple Les trois march s pr vus au mus e des Maisons Comtoises de Nancray ont eu lieu en juin pour la f te de la Musique ao t et octobre avec quelques producteurs du r seau Bienvenue la Ferme qui proposent de la vente de produits consommer sur place m Le e commerce En mati re de e commerce les paniers fermiers de Velotte poursuivent leur activit compl t e par des initiatives d offres individuelles Le travail initi Pontarlier avec UFA Jeanne d Arc a abouti la cr ation d une association de producteurs Cette association souhaite cr er un Drive de produits fermiers La dizaine de producteurs concern e devrait pouvoir vendre ses produits aux h
27. antes mises en place cette ann e la cr ation d une mercuriale de prix deux parutions et un travail sur les co ts de revient en cours Au niveau r gional via le groupe technique les services de la Chambre d Agriculture ont particip plusieurs projets recherche de r f rences dans le groupe grandes cultures veille technique et r glementaire en levage bio et pour application de la Pac participation au r seau des conseillers en levage bio ITAB et APCA poursuite de la mise au point du concept ABS pour animer des Groupes d change et Progr s GEP Prolongement de cette action en projet de CASDAR national OTOVEIL outil de surveillance des d s quilibres en sant animale bio les agents de la Chambre d Agriculture 25 90 se sont aussi investis dans l organisation de la journ e l Agriculture Autrement en partenariat avec le lyc e de Vesoul sur le th me de l agro cologie en grandes cultures et sur la structuration des fili res c r ali res biologiques Rapprochement avec l Alsace et mise en r seau des producteurs bio actuels et potentiels dans le nord Franche Comt pour permettre d s janvier 2015 une nouvelle collecte et valorisation du lait via BIOLAIT La rencontre avec les candidats la conversion s est poursuivie dans le cadre de rendez vous individuels ou du parcours l installation PPP Des tudes de conversion ont d marr sur le Territoire de Belfort sur l
28. ation Fonci re de Remembrement coop ratives pastorales fermages et baux ruraux estimation de la valeur v nale des terrains e Anne Gauthier contrats d apprentissage Centre de Formalit s des Entreprises fermages et baux ruraux permanence juridique dans le Territoire de Belfort e Aur lia Boucrelle assistante quipe juridique LES ACTIONS FORESTI RES Les objectifs Dans un d partement bois plus de 40 les actions de la Chambre d Agriculture en direction de la for t sont importantes et s inscrivent dans un partenariat avec l ensemble des acteurs de la fili re Centre R gional de la Propri t Foresti re CRPF ONF Syndicat Forestiers Priv s de Franche Comt Communes Forestieres e Accompagner les propri taires forestiers dans leurs choix de gestion pour favoriser la contribution de la for t priv e la vie conomique et sociale du milieu rural e Informer et former les propri taires forestiers ou les intervenants en for t e Permettre une meilleure mobilisation de la ressource foresti re en accompagnant les Associations Syndicales Autoris es d am nagements routiers forestiers e Appuyer les structures syndicales foresti res et notamment le Syndicat R gional des Forestiers Priv s de Franche Comt e Assurer les missions repr sentatives et administratives de la Chambre d Agriculture en mati re de for t kGww Les actions r alis es en 2014 Les missions d appuis in
29. bles dans les RAPPORT D ACTIVIT S 2014 exploitations agricoles dans une optique de limitation des missions de gaz effet de serre et d am lioration de l efficacit conomique des exploitations e Participer aux c t s de nos partenaires des actions de pr servation de la ressource en eau ou de gestion de la biodiversit sur des bassins versants et des territoires identifi s NATURA 2000 Contrats de rivi re SAGE Bassins versants e Accompagner le recyclage des boues de station d puration dans le respect des normes AFNOR et du cahier des charges des produits A O C EE Les actions r alis es en 2014 dans le Doubs La ma trise des pollutions d origines agricoles Plusieurs actions en t men es en 2014 en mati re de limitation des risques de pollutions agricoles Des actions de pr servation de la ressource en eau potable sont mises en uvre depuis plusieurs ann es sur les bassins versant des sources d Arcier de la Beaumette et de l Abbaye des Trois Rois en partenariat troit avec les collectivit s gestionnaires des captages Ces approches bassins versants permettent un suivi de l utilisation des intrants phytosanitaires et la sensibilisation des agriculteurs aux techniques alternatives d sherbinage Des mesures agro environnementales ont t propos es la contractualisation limitation des phytosanitaires remise en herbe aux exploitants concern s En mati re de ma trise des pollut
30. bre d Agriculture en a r alis 177 avec les 4 agents habilit s En 2014 seulement 2 contr les Charte des Bonnes Pratiques d levages ont t r alis s en effet les aides aux producteurs pour ce type de contr le ont cess fin 2013 Parall lement les services poursuivent les audits de la fili re Montb liarde Qualit 83 contr les en 2014 contre 106 en 2013 La diminution du nombre de producteurs engag s dans cette d marche s est acc l r e en 2014 pour 2 raisons en premier un besoin de vaches pour produire du lait et donc moins de r forme le second une r vision du cahier des charges conjugu e une non revalorisation des primes Qualit des laits L ann e 2014 qui vient de s achever n a pas t tr s bonne au niveau de la qualit des laits dans le Doubs et le Territoire de Belfort e Au niveau des cellules le niveau est rest lev Dans les deux d partements pr s de 250 producteurs ont re u des courriers de notification d alertes ou de suspension de collecte en raison de r sultats non conformes gt 400 000 cellules sur un ou plusieurs trimestre La Chambre d Agriculture a t mobilis e sur ce dossier pour la r alisation d appuis techniques mammites 20 appuis techniques ont t r alis s en 2014 contre 22 en 2013 La mise en place d un plan de progr s permet aux producteurs concern s de d roger une suspension de collecte et permet de disposer d une p riode de 6 mois pou
31. chang e par rapport 2014 conscients que nous tions que ce faisant nous nous exposions devoir reconsid rer notre budget pour 2015 C est ce qui est advenu avec n anmoins une connaissance pr cise du contenu de la Loi de finances C est donc en connaissance de cause que la session a pu statuer en janvier 2015 L autre grande question cons cutive la Loi de finances est relative au pr l vement sur notre fonds de roulement cet gard le calcul du montant pr lev tel qu il nous a t notifi par l administration prend bien en compte la totalit des investissements que nous avons vot s le 22 novembre 2013 et qui s l ve globalement a 1 895 000 euros cette somme venant en d duction du montant pr lever Mais nous avons t tr s tonn s par le fait que l administration d duise de cette somme un cr dit de 400 000 euros comme tant une recette pr visionnelle de 2014 provenant de la vente de nos locaux de la rue de la R publique Belfort ancien si ge de la Chambre d Agriculture du Territoire de Belfort cette recette estimative fond e sur l valuation du Service des Domaines n ayant au demeurant pas t encaiss e en 2014 la vente des locaux n tant pas intervenue Cette mani re de proc der fait donc passer le pr l vement sur notre fonds de roulement de 593 413 euros 993 413 euros Nous avons contest titre gracieux cette mani re de faire via Monsieur le Pr fet puis directeme
32. de l agriculture bio dans les d partements du Doubs et du Territoire de Belfort consiste toujours suivre les conversions des ann es pr c dentes et accompagner les candidats la bio animer le groupement des Agrobiologistes 25 90 animer des groupes de progr s par secteur ou par th me r aliser des appuis PAC sp cifiques et organiser des formations iX Les actions r alis es L ann e 2014 a t marqu e par la mise en place de nouvelles actions le renforcement de l accompagnement des producteurs l animation du GAB et la r alisation des actions qui en d coulent Portes ouvertes en lait bio profitables a tous En partenariat avec Conseil Elevage la Chambre d Agriculture a mis en place un concept de 7 visites d exploitations laiti res bio r parties sur l ensemble du territoire de la Chambre d Agriculture et repr sentant aussi bien les fili res en AOP bio autres fromages ou encore lait de consommation Ces visites de 2 h apportent de riches informations sur les pratiques les r sultats techniques et conomiques C est une fa on de communiquer sur les r alit s de la production laiti re bio locale pour apporter des r ponses claires aux conventionnels qu ils soient ou non int ress s par une tude de conversion en bio On s aper oit que c est aussi un vecteur de d veloppement et d animation technique pour les producteurs bio qui peuvent se comparer avec leurs confr res et valoriser d
33. des objections la loi est la loi et elle doit s appliquer Pour autant elle n a vocation tre appliqu e que d s lors qu elle existe Or les dispositions relatives l imposition et au RAPPORT D ACTIVIT S 2014 fonds de roulement des Chambres d Agriculture r sultent du vote de la Loi de finances pour 2015 qui n a t promulgu e que le 29 d cembre et publi e au JO du 30 d cembre 2014 Une application tres pr occupante Ce sont ces consid rations juridiques tres formelles qui sont l origine de l tonnement qui a t le n tre quand l administration sur demande expresse r p t e du Minist re de l Agriculture nous annon ait d s la mi novembre que notre budget ne pourrait tre valid s il ne pr voyait pas notamment une baisse de l imposition pour 2015 de 5 35 comme le pr voyait alors le projet de Loi de finances pour 2015 Nous ne pouvions alors mettre en uvre cette exigence qui n avait pas de fondement l gal et alors m me que notre t te de r seau l APCA et nous m mes multipliions les initiatives pour tenter d obtenir du Parlement des am nagements favorables la Loi de finances C est d ailleurs ce qui est advenu puisque pour 2015 au final la baisse de l imposition exig e par la loi est de 2 et non de 5 35 comme initialement envisag e par le Gouvernement Nous avons donc bien fait de ne pas obtemp rer en novembre et d adopter un budget avec une ressource fiscale in
34. dividuels d information et de formation des propri taires forestiers Elles se traduisent par des interventions individuelles aupr s de propri taires forestiers sur des th mes variables fiscalit technique aspects conomiques Plus de 200 propri taires forestiers du Doubs ont b n fici de cet appui L information aux propri taires se fait galement travers l laboration du magazine lt for t priv e comtoise gt 4 num ros par an En mati re de formation la Chambre d Agriculture en partenariat avec le CRPF co anime le Centre d Etude et d Exp rimentation Foresti re CETEF de Franche Comt 2 r unions pr par es et anim es en 2014 suivi des jeunes peuplements issus de r g n ration ou de plantation et gestion d une for t diversifi e et m lang e env 20 participants chaque r union organise des r unions de vulgarisation les outils internet utiles pour les forestiers fiscalit foresti re et certification PEFC Foire foresti re Euroforest et se regrouper pour mieux g rer ses bois soit plus de 150 participants au total De plus la Chambre d Agriculture est en charge de l organisation du module forestier de la formation des gardes particuliers 1 session d une journ e par an Animation du Syndicat R gional des Forestiers Priv s de Franche Comt L quipe for t est galement en charge e du secr tariat suivi des adh sions co
35. e Logimat 3 s est poursuivie pr sent toutes les entreprises utilisent le logiciel de saisie CAS y A a E E RUN Tr sg SB re ta A ra w i Seuls 3 contr leurs ne l utilisent pas directement les saisies sont effectu es au bureau par une secr taire Cet outil informatique permet un meilleur suivi des contr les dans des d lais plus courts L quipe compte 3 agents qui peuvent tre aid s au niveau des audits par une quatri me personne du service 25 90 25 90 Optitraite 1672 MA SEA ME Certitraite 27 0 38 0 Contr le des d poses 2 0 2 0 Diagnostic sanitaire 68 0 62 0 SES hygiene 97 111 Diagnostic hygi ne parc 42 0 53 0 Appuis techniques 20 2 20 2 Mammites Audits de controles 120 177 Internes Super audits AOP 0 8 0 Audits Montb liarde Qualit Li s 5 L quipe Qualit des produits et fili re e Bernard Fontaine qualit des produits et fili res Olivier Magda qualit des produits et fili res e Yohann Grandjean qualit des produits et fili res e Marion Deglaire qualit des produits et fili res e Myriam Duvernay assistante Qualit des Produits Programme ESPACES ET TERRITOIRES LES ASPECTS JURIDIQUES ET FONCIERS Les objectifs Le domaine juridique et foncier constitue une activit importante de la mission de service public des Chambres d Agriculture L quipe juridique informe les exploitants agricoles mais aussi les propri tair
36. e Point Info Installation est proportionnellement encore plus actif du fait notamment d un partenariat avec P le Emploi d un int r t certain compte tenu du caract re particulier de l installation Belfort o c t d installations lt classiques gt on retrouve un nombre lev de cr ations port es par des jeunes souvent non issus du milieu agricole Le nombre de personnes rencontr es atteint les 60 pour un nombre d installations de 5 en 2012 6 en 2013 et 6 encore en 2014 s Un point info installation transmission actif II convient de maintenir cette dynamique en favorisant autant que possible la transmission des exploitations plut t que leur d mant lement Il s agit pour ce faire de mieux cerner les intentions des futurs c dants car ce sont eux qui d tiennent les cl s des installations de demain Or ces exploitants arrivant sur la fin de leur carri re manquent de visibilit sur le devenir de leur exploitation Ils souhaitent tre mieux inform s et de pr f rence par un interlocuteur unique ind pendant et bien identifi dans le paysage des organisations agricoles du d partement L anticipation individuelle et collective de la transmission et donc de l installation passe par la capacit a mobiliser les services autour de l accompagnement des c dants qu il nous faut rep rer sensibiliser et accompagner afin de les aider transmettre dans les meilleurs conditions Au del de l
37. e bassin versant de l Allaine 2 projets en cours L appui PAC sp cialis pour les agriculteurs bio a galement t reconduit avec 2 r unions collectives et des prestations individuelles sur T l pac ar L quipe Agriculture biologique e Christian Faivre agriculture Biologique e Fabienne Gresset agriculture Biologique e Corinne Tournier assistante Tourisme Diversification et Bio QUALIT DES PRODUITS Conjoncture Les fili res AOP ou IGP ont connu une ann e 2014 satisfaisante d un point de vue commercial il est trop t t pour conna tre les chiffres des fili res qui ne seront pas disponibles avant le mois de mars Le Comt affiche toujours des ventes en progression En 2013 52 763 tonnes ont t commercialis es soit 17 en 10 ans C est de loin le fromage AOP le plus commercialis loin devant le Roquefort second avec 18 000 Tonnes Le Mont d Or a r alis une saison 2013 2014 plus que satisfaisante le seuil de 5 000 tonnes de fromage commercialis a t franchi soit une progression de 6 5 par rapport 2012 2013 Le d but de la saison 2014 2015 a enregistr une baisse des volumes importante en raison d un automne trop doux qui n encourage pas les consommateurs consommer ce type de produit Le Morbier n est pas en reste avec 9 824 tonnes produites en 2013 Les progressions ne sont plus aussi importantes que par le pass mais le Morbier b n ficie de la dynamique des AOP Comt e
38. e l agriculture comme une composante essentielle du territoire communal et de d finir un projet de d veloppement urbain qui tienne compte des exploitations et de leur potentiel de d veloppement Durant l ann e 2014 16 PLU et une carte communale ont t suivis L examen syst matique des permis de construire d habitations se rapprochant de b timents agricoles permet de pr server la cohabitation entre activit s agricoles et urbanisation 68 permis de construire ont t examin s par les services de la Chambre d Agriculture La Chambre d Agriculture a t fortement mobilis e dans le cadre de la participation la Commission D partementale de Consommation de l Espace Agricole CDCEA La limitation de la consommation fonci re est au c ur des pr occupations de la Chambre d Agriculture Cette limitation est le support d une production agricole mais galement parce que l urbanisation d un espace est irr versible et a des cons quences fortes sur l environnement naturel eau air biodiversit Dans le cadre de l observatoire du foncier et la r glementation des boisements la Chambre d Agriculture participe aux r unions de travail pour leur mise en place Le d veloppement des territoires ruraux et de l agriculture p riurbaine Les actions en mati re d agriculture p riurbaine portent sur le d veloppement du mara chage dans le cadre d une recherche de terrains disponibles pour des porteurs de pr
39. e ont t r alis es Formation Information En mati re de b timents agricoles et de m canisation il est important d intervenir aupr s des publics en formation initiale ou professionnelle ce titre en 2014 les conseillers b timents de la Chambre d Agriculture sont intervenus dans le cadre de la journ e lt demain je m installe gt destination des futurs jeunes agriculteurs et au cours de la journ e consacr e la gestion des d jections animales organis e Vernierfontaine Les permis de construire et les dossiers de demande de subvention Afin d offrir aux agriculteurs un service complet qui part de la formalisation du projet en passant par la conception du b timent et l ensemble des d marches administratives les conseillers b timents proposent la r alisation des permis de construire 40 dossiers ont t r alis s en 2014 en partenariat avec HDL 25 et la SICA d architecture du Doubs et du Jura Les conseillers accompagnent galement les exploitants dans l appui aux demandes de subvention PMBE et aides du Conseil G n ral 44 dossiers ont t r alis s en 2014 Dans le territoire de Belfort 2 projets b timents ont t suivis en 2014 Une estimation de b timents agricoles a t r alis e AAA L quipe b timents d levage e Alain Baud conseiller b timent permis de construire estimation de b timents e Pierre Emmanuel Javel conseiller b timent permis de construire
40. eillers installation de l ODASEA Laurent Besseyrias Aurore Cheradame Sylvie Clavier Pascal Ravey et Antoine Guedon A compter du 02 02 2015 Emeline Gambart assurera cette mission Op ration de communication et sensibilisation collective Les agriculteurs g s de plus de 55 ans sont encore peu nombreux se diriger vers le Point Info Transmission Diverses actions de sensibilisation sont men es dans le but de progresser sur l affluence des c dants au Point Info Transmission PIT Afin de faire conna tre le PIT l ensemble des acteurs du milieu agricole la communication est faite 2 niveaux e Lors de r unions ou manifestations a destination des RAPPORT D ACTIVIT S 2014 Organismes Professionnels Agricoles OPA des lus et diff rents partenaires e Par la diffusion de documents de sensibilisation plaquettes guides affiches destination des agriculteurs en fin de carri re ou qui souhaite cesser leur activit Les affiches Point Info Transmission sont placard es dans les diff rentes OPA Le calendrier la transmission en format A3 cartonn est d livr aux c dants lors de l entretien avec l animatrice PIT L objectif de ces documents est de faire conna tre le plus largement possible le Point Info Transmission EE E La pr instruction des contr les en cours de PDE Il s agit d une nouvelle mission de service public confi e aux ODASEA La circulaire du 6 novembre 2012 pr cise les
41. elques sceptiques il s agit bien enfin de l outil dont l agriculture avait besoin pour diagnostiquer efficacement le fonctionnement des exploitations agricoles et pour surtout d terminer les trois ou quatre domaines dans lesquels le chef d entreprise doit modifier ses pratiques pour am liorer consid rablement l efficience technico conomique et donc le r sultat des exploitations agricoles Et ceci on ne le r p tera jamais assez est le r sultat d une d marche commune d un produit commun d une prestation r alis e ensemble par les services de la Chambre d Agriculture de CERFRANCE Doubs et de Conseil levage 25 90 Ainsi toutes les dimensions technico conomiques de l exploitation sont prises en compte et les controverses entre les divers intervenants dans les exploitations cart es Que chaque agriculteur que chaque agricultrice soit bien conscient des marges que peut conqu rir son entreprise et n h site pas bien au contraire solliciter ce type d intervention AGRILEAN est un concept gagnant pour tous D ailleurs d autres ne s y trompent pas puisque dans le cadre d un programme INTERREG un transfert de la lt technologie AGRILEAN gt est en cours entre les organisations qui portent ce concept et les organisations de d veloppement agricole du canton Suisse du Jura Enfin il se confirme que les d partements de Haute Sa ne et du Jura s engagent dans la d marche de d veloppement d AGRILEAN s
42. ement Activit s annexes conomie de l entreprise Espaces et Territoires Innovation Repr sentation Qualit Programme Le SEE regroupe 4 quipes l quipe installation l quipe animation d veloppement formation l quipe des conseillers d entreprise et enfin l quipe des conseillers culture L INSTALLATION AVEC L ODASEA L installation est l une des activit s essentielles du SEE avec une quipe ODASEA totalement d di e a ce volet et aussi les conseillers d entreprise fortement impliqu s au travers de diverses prestations PPP Chiffrage accompagnement Une dynamique exceptionnelle en mati re d installation La politique d installation men e dans le d partement a fait ses preuves avec une moyenne annuelle de 77 dossiers installation aid e depuis le d but des ann es 2000 Le nombre d installations hors cadre familial oscille depuis 14 ans autour de 23 installations Nombre AE installations HCF d installations mm 120 Installations aid es 100 80 60 40 5 TIT TE 0 i S AS SO LE amp L lt N D x oe LS SSP SD N O NV lt q DY lt s Graphique montrant le nombre d installations par an et le nombre d installation en Hors Cadre Familial HCF dans le Doubs Cette dynamique installation est aussi r elle dans le Territoire de Belfort o apr s de nombreuses ann es 2 installat
43. er sur 2 ans se r partir entre Suisse et France mais il est clair que la majorit du travail sera r alis c t fran ais Le travail des conseillers de la Chambre d Agriculture serait financ pour une part par les fonds Interreg et pour une autre part la prestation pay e par nos partenaires suisses L int r t pour la Chambre d Agriculture serait des lors de disposer la fois c t fran ais et c t suisse d un outil non seulement op rationnel mais pr t tre utilis par nos conseillers qui ne l utilisent pas encore et des conseillers d autres d partements ou d OPA partenaires coop par exemple De plus la m thodologie et le protocole tres lourds seront maitris s par au moins deux conseillers c t francais ce qui serait l encore un facteur tr s positif divers niveaux Par ailleurs l approche Agrilean int resse galement nos voisins suisses Le travail engager serait l nettement moins lourd Interreg prendra en charge 60 des frais engag s c t fran ais sachant qu une n gociation commerciale serait n cessaire avant de mettre disposition nos outils Agrilean Le bilan ce jour est extr mement positif le travail de mise au point de l outil de diagnostic c t Suisse tant d sormais quasiment termin Le travail sur Agrilean d butera en janvier 2015 L quipe du conseil d entreprise Les conseillers d entreprise sont au nombre de 4 scind s en deux groupes m
44. es fonciers les collectivit s les propri taires forestiers Les principaux objectifs des interventions r alis es sont les suivants e Assurer les missions r glementaires de la Chambre d Agriculture dans le domaine juridique et foncier e Assurer les missions de service public en direction des agriculteurs ou des futurs agriculteurs C F E apprentissage Informer et appuyer les agriculteurs les propri taires fonciers ou les communes en mati re juridique et notamment concernant tous les probl mes de baux et de fermages e Appuyer les coop ratives syndicats pastoraux ou les communes dans le cadre de l volution des communaux Les actions r alis es en 2014 Les missions fonci res r glementaires de la Chambre d Agriculture Dans le cadre de ses missions r glementaires elle intervient dans diff rents dossiers Elle d signe notamment les membres des bureaux d associations fonci res communales Elle participe galement la r daction et l actualisation des diff rents protocoles d indemnisation Les missions de service public en direction des agriculteurs ou des futurs agriculteurs ou salari s du domaine agricole e Le Centre de Formalit s des Entreprises CFE Le CFE de la Chambre d Agriculture est comp tent pour les agriculteurs titre principal ou secondaire qu ils soient install s en individuel ou en soci t Toute exploitation quelle que soit sa taille et son statut juridique doit recou
45. es r sultats souvent sous utilis s Les premi res visites ont eu lieu fin 2014 et se poursuivent en 2015 Diagnostics d levages et sant animale Apr s une ann e de r flexion et d change avec des organismes nationaux comme l ITAB l INRA et le r seau APCA un syst me de diagnostic des levages a t mis en place au niveau r gional En 2014 un groupe d leveurs de Chapelle des Bois a test la m thode baptis e A B S alimentation b timent et suivi de troupeau avec succ s Le groupe a d j pr vu d autres rencontres et le dispositif doit tre tendu aux d partements voisins Nouveau des conversions en lait AOP Comt pour conforter des coops Afin de permettre la valorisation en AOP Comt pour 5 exploitations r parties sur 3 coop un contrat MODLAIT a t sign L accompagnement coop ratif m l un appui technique individuel des producteurs a permis outre l aspect bio d am liorer l organisation coop rative sur un secteur g ographique L animation du GAB et la poursuite du d veloppement L animation du GAB s est poursuivie en 2014 avec certains temps forts l Assembl e G n rale Florimont 90 les conseils d administration avec la rencontre de diff rents partenaires JA lyc es Granvelle SAFER la publication de deux bulletins bio et une porte ouverte dans un levage laitier Le groupe mara chage s est r uni une nouvelle fois en fin d ann e avec deux actions import
46. es solutions collectives que la desserte qui seront recens es d ici 2016 dans un catalogue de fiches actions adapt es proc dure de fusion d ASA r glement int rieur plan de gestion int gr etc Une premi re r union publique de pr sentation du PDM s est tenue le 4 d cembre La Chaux de Gilley concernant les propri taires adh rents des ASA du Laizeret et du Paradis Deux autres r unions suivront en d but 2016 pour d une part les ASA des communes de Grand Combe Ch teleu des Gras de Montlebon de Ville du Pont puis d autre part les ASA situ es a Villers le Lac PDM des Rives du Drugeon Le p rim tre d action a t scind en 6 sous massifs par ordre de priorit d animation Un premier bilan a t pr sent lors d une r union publique qui a r uni plus de 80 participants mettant un coup de projecteur sur le sous massif de Roye Bellevue Frasne Courvi res sous massif de 256 propri t s bois es priv es 558 parcelles dont 67 de moins d un ha 553 ha 40 visites conseil 95 parcelles parcourues 90 ha chantiers concert s 25 ha pass s en coupes ou travaux 2100 unit s mobilis s 20 propri taires revenu net moyen pour le propri taire 1 claircie 1700 ha Deux projets de desserte l tude un projet d extension du p rim tre de l ASA de Bellevue avec enqu te publique concernant 18 propri taires 30 ha et 2 kms de pistes cr er et un projet de recalibr
47. estimation de b timents s chage solaire des fourrages e Delphine Dupont assistante quipe b timents LES ACTIONS EN MATI RE D ENVIRONNEMENT ET D ENERGIES RENOUVELABLES Les objectifs Historiquement les deux Chambres d Agriculture du Doubs et du Territoire de Belfort se sont impliqu es dans le dossier agriculture environnement depuis le milieu des ann es 80 Le nombre d actions et de programmes r alis s ou en cours est important et mobilise des moyens humains et financiers cons quents Les actions conduites par la Chambre Interd partementale d Agriculture en mati re d agriculture et d environnement sont nombreuses elles correspondent dans la majorit des cas un processus d accompagnement de programmes r glementaires ou contractuels captages PMBE Ecophyto NATURA 2000 mais la part d actions volontaristes monte en puissance gestion des intrants biodiversit Dans ces diff rents programmes les collectivit s territoriales sont nos partenaires privil gi s et de nombreuses conventions viennent formaliser le r le et les missions que nous assumons dans ces dispositifs Conseil G n ral du Territoire de Belfort et Conseil G n ral du Doubs Les objectifs poursuivis sont les suivants e Accompagner les agriculteurs dans la mise en uvre de d marches de d veloppement durable capables de concilier conomie et environnement e D velopper la place des nergies renouvela
48. fforce d apporter une contribution positive dans toutes ces proc dures et d marches juridiques en ayant pour fil conducteur la protection et la promotion de l activit agricole Les objectifs poursuivis dans le cadre de nos interventions en mati re d am nagement et d urbanisme sont les suivants e Assurer les missions r glementaires de la Chambre d Agriculture dans le cadre des proc dures d am nagement foncier remembrement r organisation fonci re dans la mise en place des proc dures d urbanisme Sch mas de Coh rence Territoriale P L U Cartes communales e Sauvegarder les int r ts agricoles lors de l instruction des permis de construire et veiller la mise en uvre du principe de r ciprocit e Apporter aux autres partenaires l expertise en mati re d activit agricole dans les proc dures r glementaires ou li es des infrastructures e Participer au d veloppement des territoires ruraux ou p riurbains et participer au r seau national Terres en Villes e D velopper un outil cartographique web d enregistrement des pratiques agricoles Mes P rcelles EE 553 Les actions r alis es en 2014 dans Le Doubs L intervention dans le cadre des proc dures d urbanisme et l instruction du principe de r ciprocit La Chambre d Agriculture intervient dans la proc dure de mise en place des PLU et des cartes communales deux niveaux dans le groupe de travail du zonage de ces outils de planification et dan
49. geantes en terme de reconduction des actions tr s attendues sur le terrain Les actions agri environnementales territorialis es et les zones NATURA 2000 Dans le cadre des zones NATURA 2000 des actions d animation et d appui la contractualisation des Mesures Agri Environnementales Territorialis e MATER ont t men es notamment sur les secteurs de la Loue du Lison de la Moyenne vall e du Doubs et du marais de Sa ne 27 agriculteurs ont contract ce type de mesures avec des objectifs de reconversion des cultures en prairies de limitation des intrants ou de retard de la date de fauche Deux zones en cours d laboration de leur document d objectif Mont d Or Risol Malpas Oye et Pallet ont fait l objet d un diagnostic agricole et de participation aux diff rents groupes de travail L Arr t de Protection de Biotope lt crevisses pattes blanches Il pr voit la d limitation d une zone de protection autour des cours d eau abritant l crevisse pattes blanches Les contraintes pesant sur l agriculture sont importantes avec notamment l interdiction d acc s du b tail au lit du cours d eau Un travail a t conduit au niveau d partemental afin de faire b n ficier d un dispositif d aides aux investissements non productifs les agriculteurs concern s En 2014 la Chambre d agriculture a r dig 37 dossiers loi sur l eau pour permettre aux exploitants concern s d entreprendre les travaux en r
50. griculteurs e Mercey le Grand 10 15 agriculteurs e Raynans 10 15 agriculteurs e Pompierre sur Doubs 5 10 agriculteurs Herbe La mission herbe recouvre un grand nombre de domaines d intervention parmi lesquels on peut citer Les actions de formation p turage tournant fertilisation prairies temporaires culture de l herbe et impact conomique entretien r novation pour des prairies de qualit Journ es herbe pour les JA le GAB Doubs les journ es pandage Visites et interventions diverses conduite et entretien des prairies des visites d exploitation les probl mes li s la flore Travail sur les r f rences les essais la ZELAC les journ es AFPF les tests de prairies pour l Institut de l Elevage les mesures de pousse d herbe l herbom tre les journ es prairiales Moudon CH La rubrique lt Atout Herbe gt dans la Terre de Chez Nous 25 parutions L enqu te syst mes fourragers avec diffusion de document Les campagnols et la r g n ration des prairies r unions d information tourn es campagnols communication intervention dans diverses journ es conseil de terrain et t l phonique destination des agriculteurs AAA La formation continue La formation continue est une activit importante la Chambre d Agriculture Cette implication se fait aussi au travers de l AIF o pas moins de trois conseillers sont mis disposition de l AIF pour des m
51. iff rentes Mais la vraie r ussite laquelle nous aspirons c est d y parvenir tout la fois au niveau de nos exploitations individuellement ou en soci t s et collectivement au niveau de nos d partements ll est en effet essentiel de le souligner d en faire notre volont tant certains param tres peuvent s opposer entre enjeux individuels et enjeux collectifs C est particuli rement vrai quand nous affichons la volont de voir s installer et prosp rer le plus grand nombre possible d actifs en agriculture exploitants conjoints salari s C est l sans doute la premi re dimension de notre projet port e par les jeunes agriculteurs avec le soutien de toutes les institutions collectivit s et organisations promouvoir et d velopper un maximum d emplois en agriculture Cette ambition tant pos e nous voulons l tayer la fiabiliser car elle doit aller de paire avec une r ussite professionnelle des conditions de vie et un revenu satisfaisants C est pourquoi nous portons comme ardente n cessit de d gager de produire tous ensemble le plus de valeur ajout e possible donc une forte valeur ajout e ramen e l hectare quelles que soient les modalit s de sa production R ussir ce challenge de la valeur ajout e est vital pour r ussir le challenge de l emploi Il n y a pas il n y aura pas de nouveaux emplois en agriculture exploitants ou salari s si nous ne r pondons pas ce
52. il et d changes le groupe a souhait faire une pause dans la r flexion Le groupe a choisi de ne pas implanter l outil de transformation de la fromagerie sur l une des fermes du groupe Les producteurs ont pr f r se tourner vers un b timent existant plut t que sur une construction neuve Mais leurs recherches sur l ensemble des communes situ es proximit des exploitations n a pas t fructueuse ce jour m Les ranaculteurs Le syndicat des ranaculteurs de Franche Comt continue son travail et compte de plus en plus d adh rents 110 membres sont r partis sur les 4 d partements de la r gion Les travaux r alis s permettent d obtenir des r sultats en termes de structuration et de d veloppement de l activit Plusieurs rencontres avec les autorit s comp tentes ont eu lieu en 2014 Elles visaient en particulier l volution de la r glementation pr l vements rattachement fiscal clarification de la r glementation eaux libres eaux closes m Communication collective Afin de promouvoir les circuits courts et l agriculture de proximit la Chambre d Agriculture a particip au salon Belflorissimo Belfort du 8 au 10 mai m L accompagnement des porteurs de projet 75 porteurs de projets ont t re us et renseign s en 2015 40 d entre eux ont poursuivis jusqu la r alisation d une tude de faisabilit et d une approche de march C est ensuite 30 porteurs de projets qui
53. ions l volution favorable du patrimoine priv des exploitants e ainsi que l volution favorable des droits la retraite des agriculteurs trices Mais il ne faut pas oublier l impact des primes compensatoires PAC dont l avenir est incertain au moins dans leur niveau l faut anticiper un ventuel reflux RAPPORT D ACTIVIT S 2014 A gt gt Pour les exploitations deux orientations Priorit la croissance interne Am liorer son revenu consolider conomiquement son exploitation voila des pr occupations voila des objectifs que partagent la plupart des agriculteurs et des agricultrices Et ces objectifs sont largement fond s et justifi s dans la plupart des exploitations qui ont les chiffres le d montrent des marges de progr s cons quentes D s lors comment les atteindre Trop souvent on pense d abord l agrandissement et donc la disparition d autres exploitations et l accroissement de la production est ce collectivement appropri aux capacit s des march s Trop souvent oui on pense d abord agrandissement et ou accroissement de la production alors qu il convient d abord de s interroger sur l efficience technico conomique de son exploitation Et cette orientation elle est offerte tous elle ne n cessite ni la disparition du voisin ni une capacit accrue du march Par contre elle offre deux perspectives essentielles dans le contexte
54. ions aid es en moyenne les installations sont pass es sur les 3 derni res ann es 5 puis 6 installations aid es par an Au total des deux d partements ce sont donc 94 installations aid es pour l exercice 2014 Au vu de lextraordinaire dynamique du PPP en 2013 le service s attendait plus de 100 installations aid es mais ce ne fut pas le cas beaucoup de ces entr es dans le circuit se concr tisant seulement en 2015 noter qu avec ces chiffres c est dans le Doubs et le Territoire de Belfort que l on trouve le taux de renouvellement des chefs d exploitation le plus lev de France iw Oo oqa Un point info installation tr s actif Le Point Info Installation a pour mission de recevoir tous les porteurs de projet agricole Parmi ceux ci un grand nombre a un projet dont on sait qu il devrait se concr tiser rapidement Is remplissent leur autodiagnostic et apr s r ception de celui ci ils sont orient s vers le centre d laboration des PPP Projet Professionnel Personnalis D autres candidats qui ont un projet moins abouti seront suivis par PODASEA autant que de besoin jusqu ce qu ils soient en position de concr tiser leur installation et de rentrer a leur tour dans le circuit en s adressant au Centre d Elaboration des PPP Porteurs de projet vus au point info Installation Installations Ann es 2010 219 62 2012 A2 92 2014 171 88 Total 1154 466 Dans le Territoire de Belfort l
55. ions des levages la r alisation des plans d pandages individuels s est poursuivie 66 tudes ont t produites pour 8 000 ha Le plan d action d marr en 2010 dans le cadre de la ma trise des pollutions li es aux effluents d levage s est poursuivi sur les diff rents bassins versants sensibles Loue Dessoubre Cusancin avec notamment la r alisation des tudes communales de sensibilit aux pandages 36 communes r alis es et le suivi des sous bassins versant de Plaisir Fontaine Loue et du Bief de Vau Dessoubre Ce dispositif s inscrit dans le cadre du PMBE et fait appel aux financements de l Agence de l Eau du Conseil G n ral et de la Chambre d Agriculture 4 num ros de la lettre des op rations collectives ont t envoy s environ 2 200 exploitations agricoles et une journ e de d monstration en mati re d pandages des d jections animales a t organis e Vernierfontaine INTAINE EPANDAGE ET ENTRETIEN DES PRAIRIES GF LES PA pce rr m e En A A A AT mp roe NP da mirari aras eri e e rim pri ET FR rl DA AAN n rr zum mid F FRERE A A O AT MEAT arta mer Brie de r r Gam VENEZ NOMBREUX A Q os A r E aa mir bam km sms wam sm s E sas e oks nf En TE LE A a Le d veloppement des nergies renouvelables et la r flexion sur l nergie dans les exploitations agricoles Depuis 2007 la mise en place d une charg e de
56. is Telle est la question qui int resse l quipe foresti re de la Chambre Interd partementale d Agriculture Doubs Territoire de Belfort en choisissant de mettre en place titre exp rimental un PDM sur les ASA du secteur de Morteau et du Val du Saugeais Tout d abord pour conna tre les ASA et les massifs un diagnostic a permis de distinguer les probl matiques propres chaque ASA Dans la plupart d entre elles les propri taires sont intervenus dans leurs for ts apr s la cr ation de desserte Pour d autres comme l ASA du Paradis la gestion et l entretien des peuplements doivent tre davantage dynamis s car plus de la moiti des parcelles n cessitent une intervention en coupes et travaux dans les trois ans Plusieurs projets d extension de p rim tres ou d am lioration du r seau sont en cours d tudes au sein des ASA de Dodane Maison Carr e et de Villers le Lac L ASA du Laizeret devra quant elle mettre en conformit ses statuts et lire ses repr sentants avant d entrevoir tout autre projet Quant aux r ponses trouver face au morcellement parcellaire qui reste r current dans toutes les ASA une r flexion avec les diff rents partenaires forestiers et le Conseil G n ral est en cours Dans le m me temps une enqu te a permis de cibler les besoins et les attentes des propri taires L objectif est de mettre a profit l esprit de groupe acquis au sein de ces associations pour proposer d autr
57. issions diverses e Jean Paul J z quel chef de service Aline Loberger animation du dispositif formation continue et stages SCO chiffrage e Maud Geuffrard animation des stages SCO chiffrage Ces mises disposition sont factur es l AIF au co t r el L AIF 25 90 a trois missions principales L laboration et le suivi des PPP Les Sco chiffrages et plus g n ralement les stages sp cifiques au parcours installation Les stages de formation continue L laboration et le suivi des PPP L AIF 25 90 est le Centre d Elaboration des PPP agr pour les d partements du Doubs et du Territoire de Belfort Les candidats apr s passage au Point Info Installation sont re us pour un entretien avec un conseiller comp tence un formateur de l AIF ou du CFPPA et un conseiller projet un conseiller de la Chambre d Agriculture Fa n hr FL 2 Le PPP est agr les stages peuvent d buter puis quand ceux ci ont tous t r alis s il est valid Sur les 74 candidats qui ont t re us 69 PPP ont t agr s Au total ce sont 114 PPP qui ont t valid s parmi lesquels 48 agr s en 2014 Ces donn es laissent augurer d un essoufflement de l installation en 2015 tout du moins en d but d ann e 2015 Les Sco chiffrages 9 stages chiffrage de projet ont t r alis s en 2014 avec 82 participants 7 SCO ont t organis s avec 76 participants Le SCO a pour ambition d app
58. iversit bulletin de sant du v g tal BSV Doubs Tristan Robert CDD plans d pandages individuels et collectifs milieux naturels APB crevisses pattes blanches e Frank Schnoebelen mission Expertise et Suivi des Epandages MESE Belfort bulletin de sant du v g tal BSV Belfort r seau Dephy phytosanitaires Doubs agronomie et conseils techniques cultures Didier Tourenne agronomie et pandages de d jections animales op rations collectives de ma trise des pollutions plans d pandages individuels SAGE Haut Doubs Haute Loue contrat de rivi re Doubs contrat de rivi re Ognon e Catherine Muller assistante quipe environnement Besan on Lila Lepage assistante quipe environnement Belfort LES ACTIONS LI ES L AM NAGEMENT AU D VELOPPEMENT TERRITORIAL ET LA CARTOGRAPHIE DES PRATIQUES AGRICOLES Les objectifs Le foncier est un des facteurs de production principal de l agriculture qu elle soit lt classique gt ou diversifi e c est souvent le probl me majeur qui va freiner une installation ou une cr ation d activit L organisation du parcellaire agricole est un l ment primordial de la r flexion sur la viabilit conomique des exploitations limitation des charges la vivabilit des syst mes temps de travail et les aspects nerg tiques d placements En s appuyant sur le dispositif l gislatif et r glementaire en vigueur la Chambre d Agriculture s e
59. ivi re n cessaires la mise en conformit avec l APB R seau Dephy et programme Ecophyto Dans le cadre du programme Ecophyto de r duction de l utilisation des produits phytosanitaires la Chambre Interd partementale d Agriculture est intervenue en 2014 Dans la r alisation des observations du Bulletin de Sant du V g tal en suivant 10 parcelles de r f rences bl orge mais colza Dans la r alisation des stages Certiphyto agricoles 10 stages r alis s et 70 exploitations form es e Dans l animation d un r seau de fermes DEPHY s engageant dans des d marches de r duction des phytos sur le d partement du Doubs Le suivi de l pandage des boues de stations d puration en agriculture et le recyclage des d chets Depuis 1984 la Chambre d Agriculture du Doubs suit les op rations de recyclage des boues de station d puration sur les sols agricoles Avec 85 stations sous convention de suivi agronomique et 9 stations suivies hors conventions ce sont pr s de 85 des boues qui sont recycl es en agriculture Les interventions de suivi des parcelles d pandages de v rification de la qualit des boues et d analyses de sols permettent la fiabilisation d une fili re sensible notamment en zone AOC La mise jour des plans d pandages existants et la r alisation pour les nouvelles stations de plans galement fortement mobilis le charg de mission MVAD 5 plans d pandages sont e
60. l re installation e Antoine Guedon conseiller installation et Point info transmision e Maud Geuffrard conseill re Point Info Transmission e Sandrine Back secr tariat ANIMATION ET ACCOMPAGNEMENT COLLECTIF Ce volet regroupe 2 grands volets e L animation collective e La formation continue L animation collective la FDGEDA les CETA Une des missions traditionnelles de la Chambre d Agriculture est l animation des CETAS et de la FDGEDA ceux que l on appelle commun ment les groupes de d veloppement Le tableau qui suit r capitule les CETAS et leur nombre d adh rents actifs ce jour il y a donc 17 CETAS actifs pour un nombre total d adh rents de 225 agriculteurs Nombre Nom du CETA d adh rents Animateur actifs Geda de e ss oE 10 Christian Faivre F minagri 12 Christian Faivre Ceta de Sancey 19 Maud Geuffrard GAD 25 20 Maud Geuffrard Ceta de Mouthe 15 Fabienne Gresset Ceta de Mes le 5 Aline Loberger Geda de Vercel 11 Aline Loberger Cetaf de i e 21 Aline Loberger FDGEDA Aline Loberger 25 Trois CETAS sont r cents Rougemont entre Loue et Lison et Belfort Montb liard L activit des CETAS se partage entre animations diverses et formation continue La Chambre d Agriculture consacre 200 jours l animation des CETAS Au travail des animateurs il faut ajouter le travail de deux secr taires Evelyne Vernerey qui suit les CETAS et Lydia Zottarelli qui suit
61. la visite d une d l gation Suisse le 8 f vrier 2013 compos e de conseillers et de responsables professionnels et plus particuli rement la visite de deux exploitations o avait t r alis un Agrilean Accompagnement la Fondation Rurale Inter Jurassienne a fait part de son vif int r t concernant d une part l outil de diagnostic Lean et d autre part Agrilean et plus pr cis ment Agrilean Accompagnement Diverses rencontres ont eu lieu d s lors qui ont abouti un projet de travail en commun qui s talerait sur deux ans et qui pourrait b n ficier c t fran ais de financements Interreg hauteur de 60 Ce projet porte sur des transferts de technologie et de savoir faire entre la Chambre d Agriculture et la FRIJ et r ciproquement La FRIJ y gagnera un outil de diagnostic et un outil de conseil tr s performant la Chambre d Agriculture y trouve un nouveau terrain d exp rimentation de ses outils avec des itin raires techniques vari s en Suisse ainsi que l absence de quotas depuis 2009 Le travail n est pas compl tement termin en France ce sera aussi l occasion de terminer LEAN et LEANA document m thodologique d taill d une part et mode d emploi labor d autre part afin de les rendre plus accessibles et plus facilement utilisables par les conseillers qui n ont pas particip l laboration Le travail demand est tr s lourd puisque l on a compt 230 jours de conseill
62. mission Energies Renouvelables a permis de structurer nos interventions dans ce domaine En 2014 les principales interventions avaient pour objectifs op rationnels e De sensibiliser les agents de d veloppement et les agriculteurs aux enjeux de la ma trise de l nergie et de mettre en place des quipements ou op rations permettant de r duire la facture nerg tique et l empreinte cologique des exploitations agricoles chauffe eau solaire s chage solaire des fourrages r cup rateurs de calories e D accompagner les agriculteurs dans la mise en place de leur projet de production d nergie renouvelable production de biomasse production d lectricit photovolta que de biogaz pour la production d lectricit verte ou l injection directe dans le r seau Les actions men es rel vent principalement de la ma trise de la consommation d nergie au sein des exploitations agricoles et des coop ratives laiti res et de la sensibilisation aux nergies renouvelables La mission consiste faire prendre conscience des enjeux de la ma trise de la demande nerg tique environnementaux et conomiques par le biais d interventions de formations de bilans nerg tiques des exploitations agricoles dans les groupes de d veloppement et d articles de presse La Chambre d Agriculture accompagne les projets pr conis s par les conclusions des diagnostics nerg tiques Les projets de s chages solaires 21 dossiers
63. mpagnement plus important Cette ann e aucun agriculteur n a demand b n ficier d un tel accompagnement L outil LEAN C est incontestablement l v nement majeur au niveau du conseil d entreprise Les marges de progression sont normes l chelle du d partement tant les carts d Exc dent Brut d Exploitation entre les exploitations du 4 sup rieur et celles du 1 4 inf rieur sont cons quents Mais n anmoins le constat se reproduit d ann es en ann es et c est cette forme d impuissance qui a conduit une remise en cause en mati re de conseil et qui a abouti la cr ation d Agrilean conseil global multicomp tences et coordonn avec au minimum 3 conseillers pr sents avec le ou les agriculteurs sur l exploitation La mise en uvre concr te d Agrilean jusqu en 2012 se heurtait une difficult majeure l absence c t Chambre d Agriculture d un outil de diagnostic avec une corr lation entre les pratiques dans un contexte donn et EBE Aujourd hui LEAN est pleinement op rationnel et la Chambre d Agriculture dispose d un outil de diagnostic rapide et fiable qui a fait ses preuves L analyse pr alable la mise au point de LEAN a tout d abord mis en vidence que peu de variables 6 expliquaient une part essentielle de l Exc dent Brut d Exploitation EBE les 4 premi res concernant les pratiques agricoles et les 2 suivantes concernant le milieu Il en d coule une grille double entr
64. mptabilit etc e de l appui technique aux administrateurs ede l organisation et de l animation des assembl es g n rales et des conseils d administrations r gionaux et d partementaux Les interventions dans le cadre des ASA et des projets routiers forestiers Dans ce domaine indispensable pour am liorer la mobilisation de la production foresti re on rel ve plusieurs interventions et notamment en 2014 suivi des ASA anciennes projets d extensions de p rim tre suivi des travaux de desserte et des demandes de subventions en appui aux ma tres d uvre pr tudes techniques pour prioriser les animations pr voir L intervention aupr s des ASA permet galement de mener des actions techniques aupr s de propri taires forestiers motiv s sylviculture fiscalit vente de bois Le projet plus transversal d am lioration du chemin d acces au parc Polaire Chaux Neuve a galement t suivi par l quipe for t Les services suivent galement les projets individuels d am lioration de la desserte foresti re par un appui au montage des dossiers de demandes de subvention Les missions repr sentatives et administratives de la Chambre d Agriculture Parmi toutes ces missions certaines ont t plus importantes en 2014 Deux conseillers forestiers de la Chambre d Agriculture assurent la mission de correspondant observateur d partemental pour la Sant des for ts dans le cadre du r seau permanent de
65. n cours de r alisation En mati re de d chets un appui est galement r alis pour les pandages de cendres de chaufferie bois Camp du Valdahon et Planoise et pour le compostage des d chets verts avec des d jections animales notamment sur le territoire du SMETOM de Pontarlier Les actions r alis es en 2014 dans le Territoire de Belfort Dans le Territoire de Belfort les interventions en mati re d environnement et de d veloppement local se font dans le cadre d une convention pluri annuelle entre le Conseil G n ral et la Chambre Interd partementale d Agriculture Les actions en zones NATURA 2000 et sur les milieux naturels sensibles En 2014 la Chambre d Agricultre et le le Conseil G n ral du Territoire de Belfort ont co organis le concours g n ral agricole des prairies fleuries sur le site Natura 2000 Etangs et Vall es L objectif de ce concours est de valoriser le r le positif des agriculteurs dans la pr servation de la biodiversit mais galement de d montrer la richesse agricole des prairies naturelles 6 exploitants du Territoire de Belfort y ont particip Leurs prairies ont t valu es par un jury regroupant des experts botanistes agronomes et apicoles La remise des RAPPORT D ACTIVIT S 2014 prix a eu lieu le 3 septembre la Maison D partementale de l Environnement lors de la rencontre annuelle entre le Conseil G n ral et la profession agricole Mise en place des p rim tres de p
66. nels pour le bien tre des animaux dans des conditions conomiques techniques et environnementales optimales e Assurer la veille scientifique et technique en mati re de b timents agricoles et de liens entre l volution des structures et les mat riels mis en uvre e Apporter aux agriculteurs un appui en mati re de d marches administratives et r glementaires permis de construire demandes de subventions b timents et m canisation AAA Les actions r alis es en 2014 tudes de projets individuels et estimations de b timents Un travail individuel est engag avec les exploitants en phase de projet apres d finition des besoins une proposition technique est r alis e elle fait l objet d une esquisse et d une estimation financi re Cet avant projet sert de base la constitution du permis de construire par un architecte et l tude conomique 168 exploitations agricoles ont t suivies en 2014 pour ce type d tudes 18 tudes de s chage solaire du fourrage avec capteur solaire en sous toiture ont t r alis es Le travail de r flexion sur l implantation et le type de b timent s accompagne d une approche de linsertion paysag re des b timents d levage en partenariat avec la SICA d architecture du Doubs et du Jura En mati re d valuations de b timents existants l quipe b timents intervient g n ralement au moment de successions ou de cessions En 2014 52 interventions de ce typ
67. ns du r seau A l initiative de deux productrices du r seau une r flexion a t men e tout au long de l ann e sur la cr ation d un Service de Remplacement Diversification Elles ont ainsi recens les besoins des agriculteurs diversifi s en termes de comp tences et nombre d heures de travail Le r sultat de ce travail sera courronn en janvier 2015 par la cr ation du Service de Remplacement Diversification sera le 17 service de remplacement du d partement du Doubs Dimanche la Ferme Le dimanche la ferme a f t ses 20 ans le 3 ao t Pour cet anniversaire 19 fermes ont ouvert leur porte dont 3 entit s sur le Pays de Montb liard Le constat est globalement positif car on compte jusqu 2 000 entr es dans certaines fermes E L quipe Agritourisme et diversification Pierre Boireau chef du service C cile Eimberk diversification Tourisme P ri Urbain et Circuits Courts Corinne Tournier assistante Tourisme Diversification et Bio RAPPORT D ACTIVIT S 2014 AGRICULTURE BIOLOGIQUE Les objectifs 2014 L objectif en mati re d agriculture biologique est d accompagner les agriculteurs d j en bio mais galement de d velopper ce mode de production aupr s du public conventionnel Afin d am liorer cet accompagnement une offre de service a t sp cifiquement cr e dans le cadre de la d marche Projagri On y trouve cinq offres sp cifiques l agriculture biologique
68. nsmet la DDT en charge de la r alisation des contr les L ODASEA consacre norm ment de temps ces missions de service public qui ne sont pas subventionn es pr s de 100 j En 2014 94 dossiers de contr le de fin de PDE ont t transmis la DDT Une prestation 3 niveaux pour s curiser les agriculteurs L ODASEA depuis 2014 propose trois prestations aux jeunes agriculteurs e Le classeur post installation e Le classeur de suivi des engagements e Le classeur de pr contr le fin de PDE L ODASEA a en effet labor un classeur de suivi que l on propose tous les jeunes agriculteurs ll s agit chaque fois de prestations l g res 1 2 journ e qui facilitent grandement les d marches administratives que l agriculteur ne ma trise pas forc ment ou auxquelles il a envie de consacrer un temps limit Les pi ces sont class es chaque ann e dans le classeur pr vu cet effet le respect des engagements est bien entendu v rifi chaque visite et le contr le fin de PDE est bien pr par En 2014 les jeunes agriculteurs ont demand 44 classeurs de suivi post installation soit exactement 50 des install s de l ann e e 20 classeurs de suivi des engagements e 7 classeurs contr le fin de PDE NN L quipe Odasea e Sylvie Clavier conseill re installation e Laurent Besseyrias conseiller installation e Pascal Ravey conseiller installation e Aurore Cheradame conseil
69. nt aupr s des services de la DGPAAT arguant du fait que nos d lib rations du 22 novembre 2013 pr voyant le financement de nos investissements sur fonds de roulement avaient bien t valid es ainsi par la Tutelle en janvier 2014 En r ponse cet argument l administration oppose que la Loi consid re globalement la d duction faite des besoins de financement sur fonds propres et que par cons quent il convient non seulement de consid rer les d penses engag es telles qu elles ont t valid es mais aussi les recettes d origine patrimoniale c est dire les recettes provenant d op rations en capital C est ceci qui autorise avec validation du Conseil d Etat l administration int grer la recette provisionnelle de 400 000 euros Nous sommes donc en pleine incertitude sur ce qui se passera dans les mois venir quant au pr l vement sur fonds de roulement et quant la gestion de nos difficult s de tr sorerie en r sultant Propos tenus par le Pr sident Daniel Prieur lors de la Session du 30 janvier 2015 Valdahon 120 000 100 000 80 000 60 000 40 000 20 000 2 500 000 2 000 000 1 500 000 1 000 000 500 000 2011 2012 Repr sentation Innovation Economie de l entreprise 2013 2014 Qualit Activit s Espaces et annexes Territoires Autres Subventions Prestations Imposition Subventions cotisations Personnel Fonctionn
70. nt du CGAAER La loi ayant fix cette ambition pour l agriculture d aujourd hui Conseil G n ral de l Alimentation de l Agriculture et des Espaces Ruraux et de demain il convenait en effet de bien s impr gner de cette r alit de cette exigence Mais il revient la Chambre d Agriculture d aller plus vite et plus loin pour tre aux c t s de tous les agriculteurs afin de traduire ces orientations dans chaque exploitation cet effet un groupe de travail a r fl chi la mani re la plus pertinente avec laquelle l agriculture du Doubs et du Territoire de Belfort pourrait poursuivre sur sa trajectoire favorable en int grant autant que faire se peut ces trois dimensions qui gouverneront d sormais son d veloppement la r ussite conomique la r ussite sociale mais aussi la r ussite environnementale Pour atteindre cet objectif il conviendra bien videmment de satisfaire aux exigences de la soci t en mati re de respect de l environnement mais il conviendra tout autant d inscrire l agriculture dans une dynamique de d veloppement au service du d veloppement durable tel qu nonc notamment dans les plans climat air et nergie territoriale que portent certaines collectivit s En ce sens tout ce que l agriculture pourra apporter en termes d conomie d nergie fossile de r duction de rejets des gaz effet de serre et de production d nergies renouvelables devra tre largement favoris e C
71. nt que faire se peut en partenariat avec d autres acteurs de l agriculture En outre au nom de sa mission d int r t g n ral la Chambre d Agriculture est soucieuse d offrir pr cis ment sur quelques sites strat giques un lieu de rencontre et de travail mis la disposition des acteurs de l agriculture salles de r unions Et apr s diff rents travaux r alis s sur Besan on et Valdahon 2014 aura t marqu e par importante installation de nos services terrifortains dans nos nouveaux locaux achet s la Jonxion Meroux sur le site de d veloppement conomique proche de la gare TGV par le d marrage des travaux d am nagement d un nouveau b timent regroupant plusieurs organisations avec CERFRANCE Doubs en chef de file sur la commune de Houtaud le site de la Jonxion est dot d une salle de r union ouverte de m me que le sera le site de Houtaudl NOUVELLE ORGANISATION REGIONALE DES CHAMBRES Le d bat sur l organisation r gionale de l agriculture est un d bat continu et c est normal Depuis une vingtaine d ann es maintenant diff rentes institutions de l agriculture souvent sous l impulsion de leur r seau national ont opt pour une structuration r gionale D autres au gr d volutions de leur p rim tre d intervention travaillent sur un p rim tre conomique r gional ou quasiment Les Chambres d Agriculture ne peuvent faire l conomie de cette r flexion Reste la question de l
72. ojets RAPPORT D ACTIVIT S 2014 Un travail a galement t conduit l changeur de Sevenans sur les impacts sur les activit s agricoles de l am nagement projet Le d veloppement d un outil web de cartographie des pratiques et l appui la d claration PAC Dans le cadre de la pr paration de la campagne PAC 2014 la Chambre d Agriculture a particip la mise en uvre d un accompagnement TELEPAC 11 dossiers r alis s Cette op ration a t men e en partenariat avec la DDT Deux exploitations agricoles ont t suivies dans le cadre de la mise en place de Mes P rcelles L quipe am nagement urbanisme d veloppement territorial cartographie e Lysiane Moinat urbanisme Belfort et Aire Urbaine programme d actions Conseil G n ral du Territoire de Belfort e Franck Cech Mesp rcelles t l pac et appui PAC e Gilles Schellenberger tudes d am nagement foncier changes parcellaires communaux estimations fonci res e Jean No l Vivot urbanisme et am nagement Doubs Lila Lepage assistante quipe am nagement urbanisme Belfort e Delphine Dupont assistante quipe am nagement urbanisme Besan on AGRICULTURES amp TERRITOIRE uiue aq f utuu InA j 1104189 ap 8101418 sqnog 81n N9116Y p ajejuawayedapaju a1quieyo sanbiyde1Bojoud syp319 18u 97 0IPNJS MMM 9ZOIPNIS GLOZO www franche comte chambagri fr
73. ompagnent l exploitant agricole tout au long de ses d marches d embauche d un apprenti L objectif d un contrat d apprentissage est de permettre a un jeune de suivre une formation sanctionn e par un dipl me en alternant p riodes en centre de formation et p riodes en entreprise Depuis 2006 les Chambres d Agriculture assurent la mission de service public d enregistrement des contrats d apprentissage des apprentis affili s la MSA et quel que soit le CFA d origine Cette mission comprend l information de l employeur la v rification de la conformit du contrat ainsi que son enregistrement La Chambre d Agriculture propose un accompagnement dans ces d marches pour permettre au contrat d tre rapidement valid et la relation employeur apprenti de partir sur de bonnes bases mi APPRENTISSAGE sr pumila de d velonpement a le peche F Leapprentissnce B TH EI m E e ii Er senlr i Dans le Doubs En 2014 253 contrats ont t enregistr s Les apprentis viennent des diff rents CFA de la r gion CFPPA de Ch teaufarine CFA de Belfort ENIL de Mamirolle ENIL de Poligny CFAA de Vesoul CFAA du Jura Universit de Franche Comt Dans le Territoire de Belfort En 2014 24 contrats ont t enregistr s venant du CFA de Valdoie et selon les sp cialit s des CFAA de Vesoul et du CFPPA de Chateaufarine En partenariat avec les Centres de Formation d Apprentis CFA et le soutien du Conseil R gional
74. ont d cid de d buter concr tement leur projet Pour ces agriculteurs les services de la Chambre ont tudi le montage administratif et technique et suivi les dossiers de financement m me si l ann e 2014 s est traduite par une ann e blanche en mati re de nouvelles aides Il faut souligner qu un certain nombre de ces porteurs de projets ont chemin au travers du parcours l installation PPP PDE m La Chambre d Agriculture partenaire des collectivit s locales Les services de la Chambre d Agriculture ont galement travaill accompagnement des collectivit s territoriales et des op rateurs locaux Ainsi ils ont largement contribu la dynamique r gionale s agissant du projet lt REALISAB gt port par la Chambre R gionale d Agriculture au sujet de la restauration collective Ce projet a connu son aboutissement lors d un colloque les 17 et 18 septembre 2014 Lyon Leur investissement a galement port sur les circuits alimentaires de proximit entre autres avec la Maison D partementale de l Environnement du Territoire de Belfort et sur le Programme R gional de l Alimentation de Proximit PRAP Les partenariats m Avec le Conseil G n ral du Doubs Les agents ont travaill d une part avec D veloppement 25 sur des dossiers de nature conomique et d autre part avec le Comit D partemental du Tourisme CDT et le Comit de Promotion des Produits R gionaux CPPR La Chambre d
75. orter une information compl te au candidat l installation le chiffrage a pour ambition d valuer la faisabilit du projet Le candidat pr sente son projet en fin de stage une commission d valuation conseil compos e de professionnels Les conseillers de l ODASEA interviennent dans le SCO et les conseillers d entreprise 2 5 jours dans le stage chiffrage de projet qui dure 4 jours avec en plus une valuation conseil de 3 4 heure pour chaque candidat Les stages de formation continue Le troisi me volet de l activit de l AIF 25 90 est constitu par les stages de formation continue En 2014 l AIF 25 90 a organis 132 sessions pour 277 jours au total ll s agit nouveau d un niveau d activit lev e La formation continue organis e par la Chambre d Agriculture La part de la Chambre d Agriculture est effectivement non n gligeable puisqu elle a r alis 38 sessions pour un total de 72 5 soit presque le quart de l activit de AIF noter un recours massif aux intervenants ext rieurs puisque seulement 28 5 journ es ont t assur es par les conseillers formateurs de la Chambre d Agriculture Or la Chambre d Agriculture b n ficie d un r servoir de comp tences important qui n est l vidence pas suffisamment valoris II conviendra de faire voluer cette situation l avenir Parmi les th mes abord s Am liorer sa strat gie d exploitation pour plus d efficacit
76. r mettre en place des actions correctives Au niveau des germes totaux une vingtaine de producteurs se sont retrouv s en situation de hors normes Les probl mes ont surtout t constat s chez les producteurs de lait AOP Comt dont le lait doit tre refroidi 12 C Cependant 5 producteurs ont re u une suspension de 12 jours car les r sultats sont rest s hors normes durant 5 mois cons cutifs Dans ces cas les actions correctives sont engag es trop tardivement et le temps de retrouver de bons r sultats les producteurs paient pour leur passif _Inhibiteurs les recherches devenant tr s pr cises elles permettent de retrouver des traces tr s faibles de mati res RAPPORT D ACTIVIT S 2014 actives d antibiotiques En 2014 les recherches positives sont rest es lev es Les accidents sont le plus souvent dus des oublis par les producteurs absence d identification de vaches en traitement non enregistrement des dates de tarissement ou non respect des d lais d attentes Les germes pathog nes listeria Monocytogenes salmonelles et staphylocoques Aureus sont uniquement recherch s par les fili res AOP Comt Mont d Or et Morbier En 2014 des probl mes sanitaires ont t constat s tout au long de l ann e Les contaminations en salmonelles ont t les plus nombreuses Toute la zone AOP du Doubs a t concern e alors qu habituellement seule la zone Haut Doubs est touch e La Chambre d Agricult
77. rir au CFE Les CFE ont t institu s pour faciliter les d marches administratives des entreprises l occasion de leur cr ation de leur modification de situation ou de la cessation de leur activit Ces CFE permettent aux exploitants agricoles et aux soci t s agricoles de se d clarer simultan ment gr ce un seul formulaire aupr s de l INSEE pour obtention du num ro SIREN de la MSA des Centres des Imp ts des greffes du Tribunal de commerce et des soci t s et de l EIE si besoin Dans le Doubs en 2014 596 dossiers ont t trait s e 60 d exploitations individuelles et 40 de soci t s 225 cr ations d entreprises dont 48 soci t s 217 modifications d exploitations 116 cessations 49 dossiers de demande d aide ACCRE ont t instruits par le CFE dans le cadre de la cr ation d activit pour des jeunes de moins de 25 ans des b n ficiaires des minima sociaux ou des demandeurs d emploi Dans le Territoire de Belfort en 2014 51 dossiers ont t trait s 80 d exploitations individuelles et 20 de soci t s Aide aux ch meurs cr ant ou reprenant uen entreprise e 31 cr ations d entreprises dont 1 soci t 11 modifications d exploitations 9 cessations Les contrats d apprentissage Le contrat d apprentissage est une d marche qui demande un certain formalisme tant dans la constitution du dossier que dans la r alisation du contrat Les Chambres d Agriculture acc
78. rotection de captages et captages Grenelle La Chambre d Agriculture intervient la fois dans la mise en place des p rim tres de protection sur l ensemble des captages des deux d partements et ceci dans le cadre de programmes d partementaux pilot s par l ARS mais galement dans le cadre de la mise en uvre des programmes d actions agricoles sur les aires d alimentation des captages prioritaires Grenelle avec notamment la sensibilisation l agriculture biologique et aux techniques alternatives la formation au raisonnement des pratiques phytosanitaires et le suivi des exploitations engag es dans les mesures de r duction des phytosanitaires Programme Ecophyto Dans le cadre du programme Ecophyto de r duction de l utilisation des produits phytosanitaires la Chambre Interd partementale d Agriculture est intervenue en 2014 e dans la r alisation des observations du Bulletin de Sant du V g tal en suivant 8 parcelles de r f rences bl orge ma s colza dans la participation des stages Certiphyto agricoles Contrats de Rivi re et SAGE l heure actuelle les d marches accompagn es par la Chambre d Agriculture sont les suivantes e contrat de rivi re Allaine 90 dans lequel des actions agricoles sont conduites notamment sur la gestion des bords de rivi res l rosion et les pratiques agricoles e SAGE ALLAN 90 et 25 qui est en phase de diagnostic et de r daction de ses documents d orien
79. s l approche pr alable et le diagnostic de l agriculture Durant l ann e 2014 91 PLU et 30 cartes communales ont t suivis L examen syst matique des permis de construire d habitations se rapprochant de b timents agricoles permet de pr server la cohabitation entre activit s agricoles et urbanisation Pr s de 700 permis de construire ont t examin s par les services de la Chambre d Agriculture La Chambre d Agriculture a t fortement mobilis e dans le cadre de la participation la Commission D partementale de Consommation de l Espace Agricole CDCEA Le d veloppement des territoires ruraux et de l agriculture p riurbaine Les actions en mati re d agriculture p riurbaine se sont structur es autour des deux grandes agglom rations de Besan on et de Montb liard Les travaux ont port sur la mise en place de march s fermiers du d veloppement du maraichage avec la r flexion autour de la mise en place de la p pini re mara ch re de Thise Chalezeule L intervention sur les espaces de pr bois du massif du Jura Dans le cadre du maintien des paysages patrimoniaux du Haut Doubs 2 dossiers de Plans de gestion Int gr e des espaces pastoraux ont t r alis s Cela concerne une commune et un propri taire priv d alpage Le d veloppement d un outil web de cartographie des pratiques et l appui la d claration PAC Apr s un d marrage en 2007 dans le cadre de la d claration PAC l
80. suivis en 2014 ont mobilis fortement le travail de la charg e de mission et disponibles sur le site internet de la Chambre d Agriculture les financements PPE Quatre formations ont t organis es en 2014 ayant pour theme e le s chage solaire du foin la valorisation du tr s bon foin et l autonomie alimentaire le couplage d shumidificateur tout solaire Enfin dans le cadre de la m thanisation programme r gional et de la production d lectricit photovolta que la r alisation des pr tudes de faisabilit permet l agriculteur de disposer des l ments clefs pour prendre sa d cision de r alisation En 2014 40 diagnostics nergie ont t r alis s dans les exploitations ll faut noter a ce niveau que l ann e 2014 tait une ann e transitoire entre les diff rents programmes europ ens Huit projets de m thanisation ont t accompagn s et appuy s par la Chambre d Agriculture L installation du Gaec de l Aurore Reugney a fait l objet encore cette ann e d un suivi approfondi Une session de la Chambre Interd partementale d Agriculture Doubs Territoire de Belfort a consacr ses travaux au sujet des nergies renouvelables en agriculture et a permis la visite de l unit de m thanisation du Gaec de la Suarcine Suarce dans le Territoire de Belfort Le comit de pilotage de fin de programme m thanisation a eu lieu fin 2014 et laisse entrevoir des perspectives encoura
81. t Mont d Or Le Gruy re IGP est fabriqu par 3 fromageries dans le Doubs La fili re ne compte que 6 fromageries Il doit pr sent trouver son positionnement par rapport aux produits identiques en gamme En 2013 les ventes taient de 1 712 tonnes L Emmental Grand Cru Label Rouge a connu en 2014 une l g re augmentation de ses ventes 3 200 tonnes contre 3 056 en 2013 apr s 2 ann es cons cutives d augmentation Le Doubs compte 2 ateliers de fabrication www Audits Depuis 2006 la r forme de l INAO impose toutes les fili res AOP de mettre en place des contr les afin de v rifier le bon respect des cahiers des charges par les acteurs des fili res Les fili res AOP Comt Morbier Mont d Or ont mis en place un dispositif depuis 2008 conjointement avec la Charte des Bonnes Pratiques d levages Le dispositif encadr par l organisme certificateur Bureau V ritas Certification impose que 25 des producteurs soient contr l s par an Entre 2008 et 2012 les 1800 producteurs de lait AOP que compte le Doubs ont t audit s par des auditeurs issus de Contr le Elevage 25 90 les ARC d entreprise et les agents de l quipe lait de la Chambre d Agriculture 25 90 Dans le dispositif le r le de pivot d partemental jou par la Chambre d Agriculture permet une bonne organisation de ces diff rents contr les Depuis 2012 les audits du second tour ont d but En 2014 536 audits ont t r alis s dans le Doubs La Cham
82. t de Franche Comt C est l un dossier ouvert qui devrait tre trait durant l ann e 2015 Dans cette perspective le projet d unifier les services des Chambres D partementales et Interd partementale a t vigoureusement relanc durant l t 2014 En effet l objectif de rationalisation que peut avoir un tel regroupement s ajoute avec une certaine urgence la n cessit de structurer des services d intervention pertinents au niveau franc comtois avant l unification Bourgogne Franche Comt C est donc l issue de l ann e 2014 un objectif fix entre les Chambres d Agriculture de Franche Comt avec l ambition de voir ce service unifi fonctionner au 1 janvier 2016 cet gard la t nacit dans la volont politique sera d terminante dans les mois venir AGRICULTURES amp TERRITOIRES a DES CONTRAINTES BUDG TAIRES IMPOS ES PAR L TAT EXTREMEMENT GRAVES DE CONS QUENCES Les dispositions l gales visant les Chambres consulaires sont s v res et sources de difficult Dans le courant de l t 2014 le gouvernement a d cid d intervenir directement dans les finances des Chambres d Agriculture d une part en r duisant unilat ralement le montant de l imp t que per oivent les Chambres d Agriculture et d autre part en pr levant de son chef la totalit du fonds de roulement des Chambres d Agriculture d passant un montant correspondant 90 jours de fonctionnement
83. t lors de plusieurs concours r gionaux Bletterans pour les fromages de ch vres lors du salon Talents et Saveurs pour les escargots et les produits de l aquaculture et lors de la Foire Comtoise pour le concours des vins de pays Les producteurs de fromages fermiers se sont distingu s dans les concours de fromages AOP Morbier et Tr pot et celui du Mont d Or Doubs Les buffets Derni re action et pas la moindre les producteurs du r seau Bienvenue la Ferme se sont mobilis s plusieurs reprises pour servir des buffets fermiers lors de cinq sessions et deux r unions de bureau de la Chambre Interd partementale d agriculture ainsi qu au buffet de l inauguration des locaux de la Chambre Interd partementale d Agriculture la Jonxion en d cembre dernier Une session de la Chambre R gionale d agriculture Le Congr s de la FNPL Pontarlier en mars La Journ e Mondiale du Don du Sang en Juin Besan on et Belfort L Assembl e g n rale du Service de Remplacement du Doubs Valdahon en juillet La Journ e Nationale du Pastoralisme aux Longevilles Mont d Or en septembre Les v ux interconsulaires en janvier la Jonxion La collation lors de la remise des prix du concours des Prairies fleuries la Maison de l Environnement en septembre Cette reconnaissance vient couronner quelques ann es d efforts et les convives ont pu appr cier le professionnalisme des ge
84. tation et d actions La r alisation du bulletin d information Territoire Agriculture La Chambre Interd partementale d Agriculture r alise gr ce au soutien financier du Conseil G n ral du Territoire de Belfort un bulletin d information bi mensuel envoy tous les agriculteurs du d partement Ce bulletin d informations techniques et conomiques permet de d velopper la fois des informations relatives aux sujets d actualit PAC m t o r unions mais galement de sensibiliser les agriculteurs sur des sujets comme l environnement ou la diversification N L quipe Environnement Isabelle Forgue nergies renouvelables Mission Expertise et Suivi des Epandages MESE Doubs Co compostage des d chets verts e Marie Kerdoncuff cartes communales de sensibilit s lP pandage zones humides zones Natura 2000 Drugeon Malpas Oye et Pallet plans d pandages individuels Isaline Eug ne captages Grenelle p rim tres de protection de captages diagnostic nergie biodiversit milieux naturels SAGE Allan zones Natura 2000 Territoire de Belfort et Dessoubre bulletin de sant du v g tal BSV Belfort e Samir Bouhalba suivi agronomique des pandages de boues de station d puration e Franck Cech bulletin de sant du v g tal BSV Doubs Certiphyto e Nicolas Lecatre plans d pandages individuels et collectifs STEP pastoralisme production fourrag re et biod
85. terrains communaux ou des alpages est encore un mode de gestion r pandu sur les zones des plateaux sup rieurs et de la montagne Dans ce domaine l ann e 2014 aura t marqu e par le travail de mise jour et de qualification des espaces communaux sur cinq communes L appui apport aux Associations Fonci res de Remembrement Avant l ordonnance du 1 juillet 2004 les Associations Fonci res de Remembrement AFR n taient pas dot es de statuts Elles ont d sormais l obligation d adopter des statuts conformes aux dispositions de cette ordonnance Les A F R existantes disposent d un d lai de 5 ans compter de la publication du d cret du 3 mai 2006 soit jusqu au 6 mai 2011 pour se mettre en conformit avec trois possibilit s maintien de l AFR transformation en ASA ou dissolution La Chambre d Agriculture apporte un appui aux AFR pour se mettre en conformit le travail d information pr alable l adoption de nouveaux statuts a t r alis fin d ann e 2011 6 AFR ont fait appel aux services de la Chambre d Agriculture pour les renseigner et les accompagner dans leurs d marches La Chambre d Agriculture intervient galement dans les estimations fonci res dans le cas de successions ou de ventes de terrains 3 dossiers d estimation de la valeur v nale de parcelles agricoles et foresti res ont t r alis es en 2014 EEE L quipe juridique e Delphine Montel aspects juridiques g n raux Associ
86. tion du jeune agriculteur En 2014 163 jeunes agriculteurs ont b n fici de cet accompagnement dont 51 entrants et 22 sortants soit un total de 112 accompagnements factur s sur 2014 Cette prestation est en mutation et l avenir Agrilean Accompagnement sera de plus en plus propos aux jeunes agriculteurs pour un conseil partenarial coordonn et plus efficace avec cependant le maintien des phases collectives Pacteor Pacteor est un produit propos par les conseillers d entreprise depuis tr s longtemps Pacteor a une double vocation Aider les agriculteurs se comparer entre eux Collecter des donn es qui aident les conseillers dans l exercice de leur m tier En 2014 40 agriculteurs ont eu recours cette prestation Cet chantillon est clairement insuffisant pour tablir des r f rences fiables N anmoins certains agriculteurs y tiennent en tant qu outil de comparaison par rapport leurs coll gues sur un nombre lev de crit res une soixantaine Ces comparaisons de crit res sont pr sent es sous forme de tableaux ou de nuages de points o chacun retrouve son exploitation RSA Dans le cadre d une convention avec la MSA et le Conseil RAPPORT D ACTIVIT S 2014 G n ral les conseillers d entreprise r alisent un premier diagnostic de viabilit de l exploitation chez les agriculteurs b n ficiaires du RSA et si celle ci est consid r e viable ils mettent en place un acco
87. traditionnelles bien organis es qui sont vitales conomie agricole mais d exploiter tr s s rieusement un lt gisement gt d activit s et de produits qu offre le vrai regain d int r t pour certains consommateurs en faveur de l authenticit de l identit de la proximit Ne laissons pas passer cette r elle opportunit de retisser les liens entre production et consommation qu un demi si cle de sp cialisation de l agriculture avait fait disparaitre donnant sans cesse davantage aux producteurs un r le de producteurs performants de lt minerai gt dont on sait h las ce qu il advient trop souvent quant la r partition de la valeur ajout e entre les acteurs des fili res Ne laissons pas passer cette opportunit cette occasion de reconqu rir et un positionnement et de la richesse d autres s y emploient avec une forte r activit il suffit de voir la r implantation des grandes enseignes dans des petits magasins de quartier derri re des enseignes appropri es Dans le m me temps des agriculteurs des agricultrices franchissent le pas et a marche AGRILEAN partenariat gagnant pour tous qui s exporte Directement en lien avec une orientation majeure du Projet Agricole D partemental savoir la recherche acharn e d une croissance de la richesse interne des exploitations l int r t et la pertinence de la d marche AGRILEAN n est plus d montrer m me s il reste qu
88. tte ardente n cessit de la valeur ajout e Enfin cette volont en faveur de l emploi agricole et cette ardente n cessit de produire davantage de valeur ajout e doivent se conjuguer avec le respect de divers quilibres les quilibres conomiques facteurs de p rennit et d efficacit de nos fili res que nous souhaitons par ailleurs renforc es et dynamiques et les quilibres environnementaux dont les multiples dimensions sont d sormais incontournables certes pour r pondre aux attentes de la soci t mais surtout d abord pour que notre agriculture soit durable Voil pos es les trois grandes orientations de notre projet collectif orientations que nous devons donc porter individuellement dans nos exploitations et collectivement avec le concours de toutes et de tous avec la contribution de toutes les instances et organisations chacun chacune dans son r le en parfaite intelligence et compl mentarit Ceci rappel si nous nous posons la question s agit il de v ux ou d objectifs r els gt la r ponse est vidente a marche Des progr s des r sultats sont l Il est int ressant de le souligner car c est avant tout une invitation tous monter dans le train du d veloppement de l agriculture du 21 si cle gt Le revenu agricole tient Le coup Et sur une longue p riode il faut y ajouter e l volution positive de la situation nette dans le bilan des exploitat
89. ur leur propre territoire Un s minaire pour lt prendre de La hauteur gt Soucieux d inscrire son action de mani re pertinente et de fa on r pondre aux v ritables enjeux du moment le Bureau de la Chambre d Agriculture nouvellement lu au d but de l ann e 2013 a d cid en avril 2014 de consacrer deux jours de r flexion prospective afin de mieux cerner encore les caract ristiques de l volution agricole et ceci du niveau local au niveau international Ce sont en effet les questions d volution de la demande alimentaire et d volution des r seaux de distribution de ces produits qui ont t au c ur des deux jours de cogitation des responsables Sochaux Ainsi avec divers intervenants ext rieurs chercheurs et universitaires les tendances majeures qui se dessinent au niveau plan taire pour les grandes productions ont t appr hend es avec les limites de l exercice compte tenu de l impossibilit de ma triser le param tre politique des relations internationales Mais c est avec le m me int r t qu ont pu tre d cortiqu es les volutions de la strat gie de la grande distribution qui si Pon y regarde bien d montrent que les producteurs peuvent par leur image et les garanties d authenticit et de proximit qu ils portent en eux m mes reconqu rir un v ritable pouvoir conomique et peuvent donc pr tendre conserver au sein des fili res une part accrue de la valeur ajout
90. ure a g r la demande de l URFAC 62 dossiers 68 en 2013 En 2014 l quipe qualit du lait est intervenue 111 fois pour des probl mes d hygi nes coliformes totaux et germes totaux de butyriques ou de staphylocoques aureus En 2014 une nouvelle prestation a t mise en place avec les AOP afin de faire des visites pr ventives en hygi ne Ainsi les producteurs de 4 fromageries ont t visit s 53 diagnostics hygi ne pr ventive CONTR LES MACHINES TRAIRE Optitraite En 2014 1672 contr les de machines traire ont t r alis s dans le Doubs pour 2170 exploitations soit 77 1 1692 en 2013 et 78 et 47 dans le Territoire de Belfort pour 97 exploitations soit 48 4 47 en 2013 et 48 4 La Chambre d Agriculture a r alis 67 Optitraire en 2014 signaler que plus de 250 demandes de contr les envoy s par la Chambre d Agriculture n ont pas fait l objet d une r alisation par les entreprises Ces derni res peinent r aliser les contr les par manque de technicien ou cause d une surcharge de travail en installations neuves Certitraite En 2014 38 contr les ont t r alis s contre 27 en 2013 Cette prestation fait partie de l offre Projagri En 2014 l quipe a connu le d part d un conseiller fin juillet qui a t remplac partir du 12 novembre par Marion Deglaire Elle sera form e au contr le machine traire en f vrier 2015 En 2014 la mise en place d

RAPPORT D`ACTIVITÉS 2014

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