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Ce document - Portail environnement de Wallonie

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1. PAT 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 10 20 0 0 0 0 PAW 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 10 25 0 0 0 0 SEQW 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 10 25 0 0 0 0 SEQF 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 10 20 0 0 0 0 ADE 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 05 0 1 0 0 0 0 AEP 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 05 0 1 0 0 0 0 BET 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 1 0 1 0 0 0 0 BIO 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 03 0 1 0 0 0 0 SEQW 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 02 0 05 0 0 0 0 SEQF 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 05 0 07 0 0 0 0 ADE 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 05 0 5 0 0 0 0 AEP 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 05 0 5 0 0 0 0 BIO 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 1 0 5 0 0 0 0 SEQW 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 05 0 3 0 0 0 0 SEQF 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 05 0 3 0 0 0 0 BIO 2MOX _ Azote Kjeldahl mg l N 0 1 0 1 2 0 0 0 0 ADE 2PHO Phosphore total mg l P205 0 05 0 0 4 5 0 0 0 0 BIO 2PHO Phosphore total mg l P205 0 05 0 0 115 0 46 0 0 0 0 SEQW 2PHO Phosphore total mg l P205 0 05 0 0 115 0 4 0 0 0 0 SEQF 2PHO Phosphore total mg l P205 0 05 0 0 115 0 4 0 0 0 0 ADE 1MIX Fluorures mg l 0 1 0 3 0 5 1 5 0 15 0 0 0 AEP 1MIX Fluorures mg l 0 1 1 1 1 5 1 5 0 7 0 0 0 SEQW 1MIX Fluorures mg l 0 1 0 3 0 5 0 8 0 15 0 0 0 SEQF 1MIX Fluorures mg l 0 1 1 1 1 5 4 5 0 7 0 0 0 BIO 2PHO Ortho Phosphates mg l 0 08 0 0 1 0 5 0 0 0 0 SEQW 2PHO Ortho Phosphates mg l 0 08 0 0 1 0 52 0 0 0 0 SEQF 2PHO Ortho Phos
2. SI S2 S3 S4 SEQEAU 0 001 0 005 0 03 0 3 SEQ ESO 0 03 0 3 Pour le total des pesticides quantifi s nous ne voyons pas pourquoi les seuils SI et S2 devraient rester identiques ceux des substances individualis es SI S2 S3 S4 SEQEAU 0 01 0 05 0 5 5 SEQ ESO 0 10 0 20 0 5 5 Alt ration hydrocarbures aromatiques polycycliques D autres substances de cette famille pyrene ph nantrene non norm es pour la potabilit mais indicateurs de pollutions ponctuelles ou diffuses produits p troliers et du charbon produits de combustion sont pr sents localement Ils devraient tre ajout s facultatifs Alt ration autres micropolluants organiques Seuls le benz ne et trois solvants chlor s font l objet de normes de potabilit sp cifiques Parmi les trihalom thanes seul le chloroforme est un solvant industriel qui peut affecter les eaux brutes Cette alt ration reprend les trois mesures group es classiques que sont l indice ph nol les huiles min rales et les d tergents anioniques Les r sultats des deux premi res familles sont entach s par un manque de pr cision dans le chef des laboratoires Parmi les chlorobenz nes seul l hexa est repris Pourquoi Les limites de d tection PAT S1 du PCE et du TCE ne sont pas accessibles par la plupart des laboratoires nous les relevons de 0 1 1 ug l Le benz ne doit au contraire pouvoir tre d tect 0 25 u
3. Arr t du Gouvernement wallon du 4 mars 1999 modifiant le titre III du R glement g n ral pour la protection du travail en ins rant des mesures applicables l implantation et l exploitation des stations service modifi par AGW du 17 juillet 2003 gt IBGE SPAQuE OVAM VITO 2002 Groupe de travail harmonisation des normes pour le sol Protocole d Accord entre les Ministres de l Environnement Rapport Phase 1 15 octobre 2002 Propositions de normes pour les sols et les eaux souterraines 16 03 2004 SPAQUE s a 2 TABLEAU DE SYNTHESE DES PROPOSITIONS DE NORMES Avant projet d arr t d ex cution relatif aux valeurs de r f rence aux valeurs seuil et aux valeurs I Il mi IV V Type d usage naturel agricole ee r cr atif industriel M taux m tallo des chrome total Hydrocarbures aromatiques non halog n s thylbenz ne Xyl nes somme a d intervention Premiere lecture Sol Eaux souterraines mg kg mati re s che ug L an N lt N o 12 12 1 15 40 10 120 300 30 0 2 0 2 0 25 1 10 5 10 40 20 34 34 2 5 85 125 50 175 520 100 2 5 2 5 y 2 5 4 2 13 50 42 130 90 14 14 15 50 110 100 145 290 200 0 05 0 1 13 1 56 4 24 10 150 20 300 80 25 2 5 280 10 700 40 67 90 230 200 710 400 5 0 25 10 40 2 300 1520 2 700 5850 4 500 a lt lt lt lt SiS amp amp oo wl a ao Ajo N o en N a lt
4. Fer et Mangan se turbidit aluminium silice Eau de qualit moyenne potable Micropolluants min raux m taux lourds bore cyanures Eau de qualit m diocre Pesticides atrazine diuron simazine isoproturon Eau de mauvaise qualit Hydrocarbures aromatiques polycycliques benzopyr ne Simulation avec des seuils adapt s pour la R gion wallonne ND non disponible 30 Annexe Il 31 32 SPAQUE s a 1 INTRODUCTION Ce document pr sente les propositions de normes destin es accompagner le projet de d cret relatif l assainissement des sols pollu s et aux sites d activit s conomiques r habiliter Il s agit de propositions figurant dans l avant projet d arr t d ex cution relatif aux valeurs de r f rence aux valeurs seuil et aux valeurs d intervention Premi re lecture GW VII 2004 19 02 Doc 6932 M F Ces propositions couvrent les familles les plus essentielles de polluants savoir les m taux lourds metalloides les hydrocarbures monoaromatiques non halog n s les hydrocarbures polyaromatiques et les huiles min rales Il s agit des polluants constitutifs du paquet standard d analyses c est dire des polluants pr vus pour faire l objet d une analyse syst matique lors de la r alisation des tudes de sol Etude d orientation Les valeurs propos es sont issues de l application de proc dures de calcul qui sont pr sent e
5. Hydrocarbures et polluants organiques 6HAP Benzo a pyr ne HAP Somme 4 Benzo b fluorantheng Benzo k fluoranth ng Benzo g h i perylend Ind no 1 2 3 cd pyr nd 6SOL Trichlor thyl ne T trachlor thyl ne TriEtPerchlorethylene Benzene Le tableau suivant indique de mani re synth tique les alt rations reprises pour chaque usage afin de permettre la comparaison avec le SEQEAU francais ce sont les alt rations fran aises qui sont utilis es Le d tail est pr sent l annexe 3 en Autres micropolluants organiques Autres micropolluants organiques Corrosion et Formation de depots ATT TT alt ration r alt ration r duite 3 3 Les seuils de qualit Les seuils de qualit S1 bleu vert S2 vert jaune S3 jaune orange et S4 orange rouge de m me que leurs correspondants M1 M2 M3 et M4 lorsque le param tre donne lieu des seuils minimum sont list s par param tre et par usage respectivement en annexe 4a et 4b Les seuils issus de la l gislation existant en Wallonie sont prioritairement appliqu s Usage distribution d eau par r seau ADE adapt d AEP Le seuil ADE S1 correspondant une excellente qualit de l eau potable est tabli comme l AEP 91 sur base de la valeur guide atteindre que pr voyait la directive 80 778 CE p ou d faut une valeur interm diaire entre O et la norme de potabilit rencontr e par la plupart des
6. calcul s selon la m thode a Il en va de m me pour ce qui regarde les tableaux IX et II les conditions op ratoires des essais dont les r sultats sont repris au tableau X correspondent celles des essais mentionn s au tableau IV m me milieu filtrant B calcul des bilans selon la m thode b Les essais repris d une part au tableau XI et d autre part aux tableaux XII et XIII ont t men s dans les m mes conditions op ratoires g n rales que celles utilis es respectivement pour les essais repris aux tableaux V VIet VII Seules les concentrations des divers ions ont t parfois modifi es La comparaison des r sultats obtenus dans des conditions op ratoires similaires mais en traitant 100 ml ou 1 litre de solution conduit des constats variables En ce qui concerne les ions Fe et Mn les r sultats obtenus en traitant 1 litre de solution ont t excellents les concentrations respectives Fe et Mn tant quasi syst matiquement abaiss es moins de 20 ug l et 10 ug l quels que soient le milieu filtrant et la nature de l agent pr cipitant NaOH ou NaCO Pour ce qui concerne le nickel les r sultats obtenus sont assez erratiques Ils sont g n ralement meilleurs si on traite un litre de solution lorsque la filtration est r alis e sur filtre millipore 0 1 um et sur support en verre muni de trous tableaux I II et VII IX Notons cependant que porter la concentration Fe 20 000 ug l n am lior
7. comme le seuil d impact significatif non atteint Dans la d marche la possibilit de mettre en vidence ces aquif res gr ce au SEQ ESO est donc privil gi e quitte d roger la norme si n cessaire L id e de partir de l tat naturel S1 et d utiliser des facteurs multiplicatifs respectivement 5 10 et 50 pour d river les seuils S2 S3 et S4 a donc t abandonn e au profit d une fixation plus rigoureuse du seuil S3 en effet conform ment au projet de directive europ enne sur la protection des eaux souterraines contre la pollution il y a lieu de d finir un seuil dit d action ou de point de d part des inversions de tendances r aliser en vertu de la directive cadre de l eau Ce seuil d action ne peut en aucun cas tre sup rieur 75 de la norme communautaire envisag e par le texte en discussion 50 mg l pour les nitrates et 0 1 ug l pour les pesticides ou la valeur seuil de bonne qualit des eaux souterraines tablir par la Wallonie pour fin 2005 lesquelles sont par d finition SEQW S3 Il est donc propos d tablir dans un premier temps le PAW S3 75 du niveau SEQW S3 Remarquons que le ratio PAT S4 S3 50 10 choisi par les experts fran ais est pratiquement respect 4 0 75 Un tat patrimonial l orange pour une masse d eau sera donc l avenir le signal pour envisager des mesures de correction Dans un premier temps par l examen des r sultats concernant les 33 masses d eau wallonnes
8. manant de certaines quipes universitaires am ricaines DEFINITION DES MOYENS L Observatoire des Eaux souterraines est d j en mesure de produire des cartes de qualit des eaux souterraines en R gion wallonne correspondant aux diff rentes alt rations pour l Atlas des nappes et le Tableau de Bord de l Environnement deux documents mis disposition sur l Internet Une fois adopt par la D G R N E l outil fera l objet d un projet d am nagement de la banque de donn es 10 sous de la Direction des Eaux souterraines dont l analyse et la r alisation sera confi e au G LE l Une fiche de caract risation qualitative selon les usages de l eau et les alt rations avec calcul des indices sera propos e la consultation en compl ment des bulletins d analyse correspondant un ouvrage ou un pi zom tre Cette fiche compr hensible par le grand public fera partie du d veloppement sur Internet d une partie de la banque de donn es Pour ce qui concerne la prise en compte du SEQ Eaux souterraines dans l laboration des r seaux de surveillance de la qualit 26 IV Des compl ments seront apport s par la D G R N E la liste des analyses impos es aux principales prises d eau potabilisable notamment des instructions relatives la pr cision des mesures seuils de d tection et la r vision des hydrocarbures et des pesticides pertinents et obligatoire pour faire fonctionner le SEQ EAU Cette adaptation
9. pour traiter s par ment 3 min raux encore l tude MIX et pour le cas de l aluminium la justification de ces ajouts modications se trouve dans les notes Questions sp ciales en 3 4 Le Comit de suivi du projet a d cid de regrouper les 14 alt rations en 6 groupes d alterations quilibr es en nombre de param tres de la mani re suivante 1 min ralisation et salinite qui reprend l alt ration MIN et exclu provisoirement l alteration MIX tant qu elle est toujours l tude 2 mati res oxydables et substances eutrophisantes qui regroupe les alt rations nitrate mati res azot es mati res phosphor es et mati res organiques et oxydables 3 particules et l ments filtrables en rassemblant les alt rations particules en suspension fer et mangan se et aluminium et silice 4 micropolluants min raux 5 produits phytosanitaires 6 hydrocarbures et autres polluants organiques Tableau 1 Les 17 alterations fran aises du SEQEAU et les 14 alt rations wallonnes du SEQ ESO avec les param tres retenus respectifs Min ralisation et salinit H in situ onductivit in situ uret totale hlorures lagn sium odium ulfates esidu sec 180 C calinit totale alcium indice saturation Fluorures Potassium Mati res organiques et oxydables Oxydabilit au KMnO4 Carbone organique dissous Nitrates Nitrates Mati res azot es
10. t men e sans d pression Dans ces conditions il y a eu effectivement un ralentissement net de la vitesse de filtration bien que l paisseur totale du milieu filtrant ait t r duite Que le pH soit r gl l aide de NaOH ou Na CO les m mes observations peuvent tre mises en vidence sila concentration initiale Fe atteint au moins 2000 ug l il y a syst matiquement blocage du nickel du mangan se et du zinc des niveaux fort bas les filtrats titrent moins de 10 ug l Ni 5 ug l Mn et 70 ug l Fe par contre si la concentration initiale Fe est limit e 500 ug l on retrouve dans le filtrat environ 35 ug l Ni 130 ug l Mn pour 380 ug l Fe Dans ce cas le pr cipit de fer nickel mangan se semble tre rest l tat colloidal Vu la faible concentration Fe de la solution il n est pas impossible en effet que les r actions d hydrolyse du fer n aient pas volu suffisamment vite vers la formation de Fe OH et que la croissance des germes ait t insuffisante pour que les pr cipit s atteignent une taille acceptable pour une filtration sur un filtre 0 5 um d paisseur faible 690 um 97 Pour rappel les stades d hydrolyse du Fe peuvent s crire Fe H O Fe OH H Fe OH OH Fe OH Fe OH OH Fe OH 1 1 4 Conclusions En conclusion des r sultats obtenus lors de la premi re tape de l tude on retiendra tout particuli rement que
11. tr s limit e 10 Directive cadre de l eau L aluminium est un des premiers l ments tre lessiv en cas d acidification des sols et est donc un bon indicateur ce point de vue il est ainsi propos comme standard pour les eaux souterraines avec une valeur param trique de 200 ce qui correspond au SEQ EAU 75 11 Methode analytique L aluminium total est mesur par ICP torche plasma Les chantillons sont acidifi s pH 2 sur le terrain pour viter les d pots sur les flacons 12 Exp rience du contr le des rivi res des nappes et des eaux de distribution publique La direction des eaux de surface est pass e de l aluminium total en 1999 l aluminium soluble en 2000 sur son r seau de mesure physico chimique car l aluminium mesur tait largement imputable la turbidit des eaux les valeurs m dianes observ es sont les suivantes pour la Meuse Li ge pH 7 9 Altot 175 Al 13 pour l Ambl ve Comblain pH 7 5 Al tot 109 Al 31 pour la S re Witry pH 6 9 Al tot 80 Al 11 Les nappes bicarbonat es calciques de m me que les sables et graviers o le pH est neutre ne posent pas de probl mes 95 des valeurs lt 10 ug l Sur le massif schisto gr seux Ardennais les teneurs oscillent fortement dans le temps peuvent exc der les 200 et semblent li es la pluviom trie Dans les Hautes Fagnes socle cambro silurie
12. 104 Tableau IX pH 7 5 8 0 par Na2CO3 conc solution de d part g l ug l ug l Ni Ni Ni Ni Fe Fe Fe filtrat precipit filtrat filtrat precipit filtrat TAL 100 60 35 60 60 1987 3 8 1L 100 18 80 18 97 4960 1 9 9 1L 100 17 83 17 lt 10 2010 lt 0 5 10 11 100 8 94 8 lt 10 4986 lt 0 2 Filtre millipore 0 1u sur support en verre muni de trous Tableau X conc solution de d part ug l pH 7 5 8 0 par NaOH Ni Fe Fe Mn Mn Art 2ne Zn precip precip precip precip precip fritt tritt filtrat filtrat tine tritt fi tritt filtrat 10 22 1L 23 1L Ni Fe 20 1L 100 0 0 21 1L 100 500 0 39 AO E Ser 59 24 1L 25 1L 100 5000 0 100 500 170 100 2000 170 pl A A AAA A EEE NE 26L 100 5000 170 o o 7 99 7 lt 10 4940 lt 0 2 lt 5 166 27 1L 100 2000 170 2000 0 16 78 28 1L 100 5000 170 O 100 13 93 membrane millipore 0 11 avec support en verre fritt millipore 105 conc solution de d part ug l pH 7 5 8 0 par NaOH g l pg l g l pg l Tableau XI tot Mn Mnci2 KM n04 2 Zn Ni filtrat Ni precip fritt Fe filtrat Fe precip fritt tot Mn precip A precip fritt 100 A A T T ae 200
13. 7 03 03 1 V rification des unit s et des seuils Tous les seuils SEQ Eaux souterraines correspondent aux seuils SEQ cours d eau La seule erreur concerne les cyanures libres dont l unit n est pas ug l mais mg l confirm Malgr cela ces cyanures libres sont limin s d office parce que non mesur s dans les eaux souterraines ni dans les cours d eau analyse trop d licate non valuables dans le vert bonne qualit en raison des limites de d tection actuelles 2 Construction des seuils Pour les m taux les seuils S1 bleu vert et S2 vert jaune correspondent des facteurs de s curit 100 et 10 respectivement par rapport au seuil S3 jaune orange qui correspond la plus basse pour l esp ce la plus sensible concentration chronique fiable sans effet NOEC no observed effect concentration Le seuil S4 orange rouge correspond quant lui la plus basse valeur fiable aig e CL50 concentration l tale pour 50 des individus d une population Pour le zinc par exemple les seuils sont fix s par la sensibilit des salmonid s Les seuils SI et S2 sont donc th oriques mais non modifiables m thode toxicologique classique Les S3 correspondent effectivement aux normes pour les eaux class es piscicoles conchilicoles en R gion wallonne 3 Effet de la duret de l eau Elle joue pour Cd Cr Cu Ni PbetZn pas par contre pour As CN libres et Hg Les rivi res wa
14. NRG 8COR Conductivit in situ us cm a 20 0 0 1300 3000 6000 0 0 0 0 20 C SEQW MIN Conductivit in situ us cm 20 400 750 1500 2100 2500 180 120 60 0 20 C SEQF 1MIN Conductivite in situ us cm 20 290 400 1500 2500 4000 180 120 60 0 20 C ADE 1MIN Duret totale fran ais 2 20 32 70 70 100 15 0 0 0 AEP 1MIN Duret totale francais 2 24 40 90 90 125 8 0 0 0 SEQW _ 1MIN Durete totale francais 2 20 32 50 70 100 15 0 0 0 SEQF 1MIN Durete totale fran ais 2 24 40 70 90 125 8 6 4 0 ALI 1MIN R sidu sec 180 C mg l 10 0 140 300 500 1000 0 0 0 0 ALI 1MIN Alcalinite totale fran ais 0 5 0 5 20 40 60 0 0 0 0 ALI 1MIN Bicarbonates mg l HCO3 0 61 244 488 732 0 0 0 0 ADE 1MIN Chlorures mg l 1 0 30 200 200 250 0 0 0 0 AEP 1MIN Chlorures mg l 1 0 25 250 245 250 0 0 0 0 IRR 1MIN Chlorures mg l 1 0 180 360 700 2000 0 0 0 0 37 NRG 8COR Chlorures mg l 1 0 50 150 400 1000 0 0 0 0 PAW 1MIN Chlorures mg l 1 0 30 60 100 400 0 0 0 0 SEQW 1MIN Chlorures mg l 1 0 30 60 150 250 0 0 0 0 SEQF 1MIN Chlorures mg l 1 0 25 100 175 250 0 0 0 0 ADE 1MIN Sulfates mg l 1 0 60 250 250 400 0 0 0 0 AEP 1MIN Sulfates mg l 1 0 25 250 245 250 0 0 0 0 BET 1MIN Sulfates mg l 1 0 250 250 1000 1005 0 0 0 0 PAW 1MIN Sulfates mg l 1 0 60 120 200 800 0 0 0 0 SEQW MIN Sulfates mg l 1 0 60 120 250 400 0 0 0 0 SEQF 1MIN Sulfates mg
15. S3 pourra tre ajust la baisse s il appara t qu il ne remplit pas son r le de signal d alarme la valeur seuil des eaux brutes sera au contraire relev e au del de la norme de potabilit si l on estime que SEQW S3 ne correspond pas un v ritable probl me de qualit d origine anthropique I 9 L utilisation du SEQ ESO est donc mise a profit pour ajuster correctement le bon tat des eaux souterraines avant que celui ci ne devienne de rigueur L outil est donc fondamentalement appel voluer Enfin le seuil PAW S2 interm diaire est ajust pour que l ensemble S1 S2 S3 S4 corresponde le plus possible une suite arithm tique ou g om trique selon le type de variations du polluant NB les fondements des valeurs de r f rence et d intervention sont explicit s dans la note proposition de normes pour l interpr tation des mesures des concentrations en polluants dans les sols et les eaux souterraines tablie par la SPAQUE le 16 mars 2004 et disponible sur demande Fonction qualit g n rale de l eau SEQW adapt de SEQF Le m canisme de combinaison de l aptitude a la distribution d eau et de l tat patrimonial pour en d river la qualit g n rale est d crit ci dessous gt SEQW S1 est gal PAW S1 ou ADE S si l alteration n existe pas en PAW cas de la min ralisation par exemple gt SEQW S2 est gal PAW S2 ou une valeur interm diaire entre ADE S1 et ADE S2 si l alt r
16. Zinc 90 500 Plomb 50 5 Nickel 50 10 Aluminium 50 100 Chrome 50 25 Arsenic 20 8 Antimoine 10 4 5 88 Cadmium 10 4 5 Selenium 10 9 De plus outre l origine g ologique une contribution de certains r actifs de traitement de l eau est signal e pour le plomb conduites en PVC et le chrome mais on peut en faire abstraction dans le cadre pr sent 3 2 Directives relatives la protection des ressources La directive nitrates 91 676 CEE et les directives pesticides et biocides de 1994 consacrent le principe que ces substances ne peuvent globalement menacer notamment Pusage consommation humaine par leur pr sence dans les eaux Le risque d atteindre les normes de potabilit doit tre examin l chelle des masses d eau souterraine L limination possible des substances par traitement n intervient en aucune mani re la restriction de son usage La directive cadre de l eau enjoint aux Etats membres en son article 7 3 de pr venir la d t rioration de la qualit des eaux capt es de mani re r duire le degr de traitement de purification n cessaire la production d eau potable C est galement un objectif l chelle de la masse d eau destin e la consommation humaine probablement 31 masses d eau sur 33 en R gion wallonne m me si les mesures de protection peuvent intervenir au sein de chaque zone de protection de captage
17. au niveau de la distribution d eau Pour la min ralisation si l on limine l effet fluor d l imposition en France d un seuil minimum de 0 7 mg l dans les eaux ce sont les sulfates qui apparaissent comme l g rement limitants b Planche de qualit simplifi e Dans la perspective d utilisation du SEQ ESO comme outil de communication une fiche de qualit simplifi e plus accessible au grand public a t labor e sur base d un mod le fran ais Le Comit de suivi du projet a d cid de ne faire figurer sur cette fiche que les 6 groupes d alt rations Seuls les usages fondamentaux Distribution Etat patrimonial et Biologie des cours d eau sont conserv s en plus de l indice g n ral de qualit Les r sultats fournis par le SEQ ESO pour les usages Agriculture et Industrie apportant peu d information ces deux usages n ont donc pas t repris dans la fiche de synth se Par rapport la version fran aise on conserve le code de couleur sans mention de la valeur de l indice et on essayera d y adjoindre une symbolique pour compl ter l information couleur Les param tres limitants sont indiqu s sauf pour la tr s bonne qualit bleu o ils n apportent que de la confusion L analyse de la qualit est donc grandement facilit e par l examen global au d part puis d taill si n cessaire A titre dexemple l annexe 13 reprend la fiche simplifi e dans deux cas de figure conceptuellement di
18. poll org Trichlorethylene T trachlor thyl ne TriEtPerchlor thyl ne 35 Annexe IV 36 Usage Alter description expression LOQ So S1 S2 S3 S4 M1 M2 M3 M4 ADE 3MES Turbidit NTU 0 5 0 0 4 4 4 1000 0 0 0 0 AEP 3MES Turbidit NTU 0 5 0 0 4 2 2 3750 0 0 0 0 BIO 3MES Turbidit NTU 0 5 0 15 35 70 100 0 0 0 0 SEQW 3MES Turbidite NTU 0 5 0 0 4 2 4 1000 0 0 0 0 SEQF 3MES Turbidit NTU 0 5 0 0 4 1 2 2 3750 0 0 0 0 ADE 3MES Matieres en suspension 0 00 mg l 0 1 0 1 5 5 1500 0 0 0 0 AEP 3MES Matieres en suspension 0 00 mg l 0 1 0 2 5 5 5000 0 0 0 0 BIO 3MES Mati res en suspension 0 00 mg l 0 1 0 25 50 100 150 0 0 0 0 SEQW 3MES Matieres en suspension 0 00 mg l 0 1 0 1 2 5 1500 0 0 0 0 SEQF 3MES Mati res en suspension 0 00 mg l 0 1 0 2 8 5 5 5000 0 0 0 0 ADE 1MIN H in situ unit s pH 2 7 5 8 5 9 2 9 2 9 5 6 5 6 5 4 0 AEP 1MIN H in situ unit s pH 2 7 5 8 5 9 9 9 5 6 5 6 5 5 5 5 5 NRG 8FDP H in situ unit s pH 2 0 5 5 5 5 14 14 0 0 0 0 NRG 8COR H in situ unit s pH 2 14 14 14 14 14 9 8 7 6 9 6 SEQW 1MIN H in situ unit s pH 2 7 5 8 5 8 8 9 2 9 5 6 5 6 5 5 4 SEQF 1MIN T in situ unit s pH 2 7 5 8 5 8 8 9 2 9 5 6 5 6 2 5 8 5 5 ADE 1MIN Conductivite in situ us cm 20 400 750 2100 2100 2500 180 180 0 0 20 C AEP 1MIN Conductivit in situ us cm a 20 290 400 2500 2500 4000 180 180 0 0 20 C
19. 0 0 0 ALI 1MIN Bicarbonates mg l HCO3 0 61 244 488 732 0 0 0 0 ALI 1MIN Calcium mg l 5 0 20 80 160 240 0 0 0 0 ALI 1MIN Magnesium mg l 1 0 12 24 50 75 0 0 0 0 ALI 1MIN Sodium mg l 1 0 20 100 200 500 0 0 0 0 47 ALI 1MIX Potassium mg l 0 3 0 10 20 30 40 0 0 0 0 ALI 4MPM Zinc ug l 20 0 100 500 1000 5000 0 0 0 0 BET 1MIN Sulfates mg l 1 0 250 250 1000 1005 0 0 0 0 BET 1MIN Sodium mg l 1 0 150 150 2000 2000 0 0 0 0 BET 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 1 0 1 30 29 0 0 0 0 BET 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 50 49 9 450 451 0 0 0 0 BET 4MPM Cuivre ug l 2 0 500 500 5000 4950 0 0 0 0 BET 4MPM Zinc ug l 20 0 5000 5000 50000 49000 0 0 0 0 BET 4MPM Arsenic ug l 1 0 50 50 500 490 0 0 0 0 BET 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 5 5 19 9 20 0 0 0 0 BET 4MPM Chrome total ug l 2 0 50 50 1000 1001 0 0 0 0 BET 4MPM Nickel ug l 2 0 50 50 1000 980 0 0 0 0 BET 4MPM Plomb ug l 1 0 50 49 99 100 0 0 0 0 BIO 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 03 0 1 0 5 1 0 0 0 0 BIO 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 1 0 5 2 5 0 0 0 0 BIO 2MOX Azote Kjeldahl mg l N 0 1 0 1 2 4 10 0 0 0 0 BIO 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 3 5 8 10 0 0 0 0 BIO 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 2 10 25 50 0 0 0 0 BIO 2PHO Phosphore total mg l P205 0 05 0 0 115 0 46 1 15 2 3 0 0 0 0 BIO 2PHO Ortho Phosphates mg l 0 08 0 0 1 0 5 1 2 0 0 0 0 BIO 2PHO Phosphates totaux
20. 0 5 50 500 5000 0 0 0 0 BIO 9EUT Chlorophylle A ug l 2 0 10 30 50 100 0 0 0 0 IRR 1MIN Chlorures mg l 1 0 180 360 700 2000 0 0 0 0 IRR 4MPM Cuivre ug l 2 0 200 1000 5000 5000 0 0 0 0 IRR 4MPM Zinc ug l 20 0 5000 5000 50000 50500 0 0 0 0 IRR 4MPM Arsenic ug l 1 0 100 100 2000 2000 0 0 0 0 IRR 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 10 10 1000 900 0 0 0 0 IRR 4MPM Chrome total ug l 2 0 100 100 10000 10100 0 0 0 0 IRR 4MPM Nickel ug l 2 0 200 200 2000 2000 0 0 0 0 IRR 4MPM Plomb ug l 1 0 200 200 2000 2000 0 0 0 0 NRG 8COR pH in situ unit s pH 2 4 14 14 14 14 9 8 7 6 9 6 NRG 8COR Conductivit in situ us cm 20 0 0 1300 3000 6000 0 0 0 0 20 C NRG 8COR Chlorures mg l 1 0 50 150 400 1000 0 0 0 0 NRG 8FDP pH in situ unit s pH 2 0 5 5 5 5 14 14 0 0 0 0 PAT 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 10 20 40 50 0 0 0 0 PAT 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 5 25 50 250 0 0 0 0 PAT 4MPM Plomb ug l 1 0 2 5 10 25 50 0 0 0 0 PAT 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 01 0 05 0 1 0 5 0 0 0 0 PAT 5PES Hexachlorocyclohexane gamma ng l 10 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAT 5PES Atrazine ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAT 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAT 5PES Simazine ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAT 5PES Diuron ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAT 5PES Isoproturon ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAT 5PES Chlortoluron ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAT 5PES Terbutylazine ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAT 6HAP Benzo a pyr ne ng l 2 5 0 1 5 10 50 0 0 0 0 PA
21. 5 10 10 50 0 0 0 0 AEP 4MPM Plomb ug l 1 0 5 10 10 50 0 0 0 0 BET AMPM Plomb ug l 1 0 50 49 99 100 0 0 0 0 BIO 4MPM Plomb ug l 1 0 1 10 100 500 0 0 0 0 BIO 4MLd Plomb ug l 1 0 0 52 5 2 52 250 0 0 0 0 IRR 4MPM Plomb ug l 1 0 200 200 2000 2000 0 0 0 0 41 PAT 4MPM Plomb ug l 1 0 2 5 10 25 50 0 0 0 0 PAW 4MPM Plomb ug l 1 0 2 5 5 7 5 40 0 0 0 0 SEQW 4MPM Plomb ug l 1 0 2 5 5 10 50 0 0 0 0 SEQF 4MPM Plomb ug l 1 0 5 7 5 10 50 0 0 0 0 ADE 4MPM _ Antimoine ug l 1 0 2 5 5 10 0 0 0 0 AEP 4MPM _ Antimoine ug l 1 0 2 5 5 10 0 0 0 0 PAW 4MPM _ Antimoine ug l 1 0 1 01 2 3 75 10 0 0 0 0 SEQW 4MPM Antimoine ug l 1 0 1 01 2 5 10 0 0 0 0 SEQF 4MPM Antimoine ug l 1 0 2 3 5 5 10 0 0 0 0 ADE 4MPM Selenium ug l 1 2 0 5 10 9 9 10 0 0 0 0 AEP 4MPM Selenium ug l 1 2 0 5 10 9 9 10 0 0 0 0 PAW 4MPM Selenium ug l 1 2 0 2 5 7 5 20 0 0 0 0 SEQW 4MPM Selenium ug l 1 2 0 2 5 10 20 0 0 0 0 SEQF 4MPM Selenium ug l 1 2 0 5 6 5 8 5 10 0 0 0 0 ADE 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 1 5 5 10 0 0 0 0 AEP 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 1 5 5 10 0 0 0 0 BIO 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 3 5 8 10 0 0 0 0 SEQW 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 1 3 5 10 0 0 0 0 SEQF 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 1 3 5 10 0 0 0 0 ADE 2MOX Carbone organique total mg l C 0 3 0 3
22. 50 PAW 10 25 37 5 50 Alt ration mati res azot es 55 Il para t a priori souhaitable de regrouper les formes de l azote interconvertibles par oxydo r duction dans les nappes Toutefois les ph nom nes g n rateurs sont relativement diff rents Aussi les nitrates demeureront dans une alt ration distincte NO et NH sont souvent g n r s par les nitrates et observ s la limite de d tection des laboratoires raisons pour ne pas les reprendre dans l tat patrimonial En analogie avec le r seau de mesure des eaux de surface nous proposons de baptiser cette alt ration substances eutrophisantes avec les phosphates comme param tre facultatif Alt ration particules en suspension Pour les eaux souterraines non affect es c est bien la turbidit qui est pertinente la mesure des mati res en suspension n tant pr cise que pour des eaux particuli rement charg es mal filtr es par le sol et le sous sol L ISSeP a d montr partir de mesures effectu es sur quelques stations du r seau de surveillance des cours d eau que d une part le seuil BIO S4 est pertinent d autre part le ratio entre les diff rents seuils de la turbidit et des mati res en suspension est correct Alt ration fer et mangan se Il s agit en R gion wallonne d une premi re alt ration fondamentale tr s g n ralement naturelle lithogene et fr quemment rencontr e Elle n cessite souvent un traitement d
23. 6 mauvaise qualit 2 1 Dans un deuxi me temps le SEQ a t simul et agr g aquif re par aquifere sur l ensemble de la base de donn es de la DGRNE relative la qualit des eaux souterraines de mani re obtenir un tat chimique global par masse d eau Les 2 tableaux de synth se annex s permettent de comparer les indices calcul s partir des seuils fran ais et partir d une bauche de seuils wallons reprenant notamment les crit res labor s pour les eaux souterraines dans le projet de d cret relatif l assainissement des sols L ensemble des seuils de qualit retenus en France manque tant t manifestement de pouvoir discriminant notamment pour les m taux lourds o pratiquement toutes les nappes sont diagnostiqu es dans le bleu de l excellente qualit mais il est aussi parfois trop restrictif notamment en ce qui concerne la min ralisation pour laquelle les nappes sont trop souvent d class es selon des crit res relatifs la duret et la conductivit pourtant parfaitement naturelles Par ailleurs les seuils atteindre pour qualifier l absence d alt ration vis vis des pesticides et des hydrocarbures aromatiques polycycliques sont inaccessibles pour la plupart des laboratoires wallons Quoiqu il en soit les r sultats de synth se donn s par le SEQEAU sont remarquablement pertinents et correspondent tout fait aux menaces bien connues ou suspect es pour les aquif res d
24. 6 6 12 0 0 0 0 AEP 2MOX Carbone organique total mg l C 0 3 0 3 6 6 12 0 0 0 0 SEQW 2MOX Carbone organique total mg l C 0 3 0 3 4 5 6 12 0 0 0 0 SEQF 2MOX Carbone organique total mg l C 0 3 0 3 4 5 6 12 0 0 0 0 ADE 7SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 5 1 1 10 0 0 0 0 AEP 7SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 5 1 1 10 0 0 0 0 BIO 7SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 5 5 50 5000 0 0 0 0 PAT 7SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 5 2 5 5 25 0 0 0 0 PAW 7SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 26 0 5 0 75 4 0 0 0 0 SEQW 7SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 26 0 5 1 10 0 0 0 0 SEQF 7SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 5 0 75 1 10 0 0 0 0 BIO 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 1 8 18 180 1800 0 0 0 0 PAT 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 1 5 0 0 0 0 PAW 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 1 2 7 5 40 0 0 0 0 SEQW 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 1 2 10 200 0 0 0 0 SEQF 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 10 200 0 0 0 0 BIO 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 5 50 500 5000 0 0 0 0 PAT 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 1 5 0 0 0 0 42 PAW 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 1 2 7 5 40 0 0 0 0 SEQW 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 1 2 10 200 0 0 0 0 SEQF 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 10 200 0 0 0 0 ADE 7SOL TriEtPerchlor thyl ne ug l 1 0 5 10 10 200 0 0 0 0 AEP 7SOL TriEtPerchlor thyl ne ug l 1 0 5 10 10 200 0 0 0 0 PAT 7SOL TriEtPerchl
25. 690um porosit 0 5um d pos sur un support en verre fritt Tableau VI pH 7 5 8 0 par NaOH pg l Fe Mn Mn precipite filtrat filtrat verre fritt 117 lt 5 lt 5 FV Fibre de verre filtration sans trompe eau sur 1 tampon en fibre de verre paisseur 690um porosit 0 5um d pos sur un support en verre fritt 103 pH 7 5 8 0 par Na2C03 Tableau VII conc solution de d part ug l ug l g l Ni Mn Ni Fe Fe Fe Zn Zn Zn Mn precipite pr cipit MnCI2 KMnO4 filtrat verre fritt filtrat filtrat verre fritt filtrat fitrat verre fritte filtrat filtrat 100 380 161 76 71 30 71 144 100 29 2001 1 5 lt 10 90 lt 10 lt 5 100 71 4946 1 4 lt 10 90 lt 10 lt 5 ibre de verre an sans trompe eau sur 1 tampon en fibre de verre paisseur 690um porosit 0 5um sur un support en verre fritt Tableau VIII pH 7 5 8 0 par NaOH conc solution de d part ug l ug l ug l Mni t Ni2 Nie Ni Fe Fe Mnit MnCI24KM n04 filtrat precipit filtrat precipit filtrat filtrat 1 11L 0 65 1995 lt 0 5 2 1L 0 39 4960 0 4 3 1L 170 38 1935 1 5 10 ant 170 14 4986 lt 0 2 lt 5 5nL 20 9980 lt 0 1 6 1L 100 20000 20 19990 lt 0 05 Filtre millipore 0 111 sur support en verre muni de trous
26. ADE 5PES Chloridazon ng l 25 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 ADE 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 5 10 10 200 0 0 0 0 ADE GHAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 1 0 1 1 0 0 0 0 ADE 7SOL Benzene ug l 0 5 0 0 5 1 1 10 0 0 0 0 ADE 7SOL TriEtPerchlor thyl ne ug l 1 0 5 10 10 200 0 0 0 0 AEP 1MIN pH in situ unit s pH 2 7 5 8 5 9 9 9 5 6 5 6 5 5 5 5 5 AEP 1MIN Conductivite in situ us cm a 20 290 400 2500 2500 4000 180 180 0 0 20 C AEP 1MIN Durete totale fran ais 2 24 40 90 90 125 8 0 0 0 AEP 1MIN Chlorures mg l 1 0 25 250 245 250 0 0 0 0 AEP 1MIN Sulfates mg l 1 0 25 250 245 250 0 0 0 0 AEP 1MIN Magnesium mg l 1 0 30 50 50 400 0 0 0 0 AEP 1MIN Sodium mg l 1 0 20 200 195 200 0 0 0 0 AEP 1MIX Potassium mg l 0 3 0 10 12 12 70 0 0 0 0 AEP 1MIX Fluorures mg l 0 1 1 1 1 5 1 5 1 5 10 0 7 0 0 0 AEP 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 05 0 1 0 1 0 7 0 0 0 0 AEP 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 05 0 5 0 49 4 0 0 0 0 AEP 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 1 5 5 10 0 0 0 0 46 AEP 2MOX Carbone organique total mg l C 0 3 0 3 6 6 12 0 0 0 0 AEP 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 25 50 50 100 0 0 0 0 AEP 3FEM Fer sur filtr 0 411 ug l 10 0 50 200 200 10000 0 0 0 0 AEP SFEM Mangan se ug l 5 0 20 50 50 1000 0 0 0 0 AEP 3MES Turbidite NTU 0 5 0 0 4 2 2 3750 0 0 0 0 AEP 3MES Matieres en suspension 0 00 mg l 0 1 0
27. L approche fran aise de restreindre l utilisation d une ressource au del d un seuil de potabilisation n est pas retenue en R gion wallonne pour deux raisons la comp tence r gionale Eau n est pas subordonn e la comp tence Sant publique en Belgique et la tutelle d un Conseil sup rieur de l eau n est pas constitutionnellement envisageable Toute ressource doit pouvoir tre mise en uvre moyennement m lange d eau ou traitement appropri si la situation le requiert et sur base d un Permis d environnement qui statue sur tous les aspects de la demande am lioration de la ressource par des mesures de protection et traitement d eau compris Cette option va d ailleurs dans le sens de la restauration des ressources puisqu elle ne les condamne pas Il y a lieu toutefois d examiner le niveau de traitement des eaux actuellement pratiqu dans l tat des techniques de traitement de mani re situer le niveau de d gradation intol rable de la ressource qui provoquerait non seulement une catastrophe cologique coup s r les normes de protection des esp ces animales et v g tales se situant tr s g n ralement un niveau plus strict que celles de la sant humaine mais galement sur le plan conomique des surco ts non n gligeables Il importe galement d effectuer cette analyse dans l tat actuel des ressources wallonnes et argument que la faisabilit des techniques de tr
28. Namur 9 66 6 87 0 64 5 74 0 84 3 90 6 Calcaires carbonif res du bassin de Dinant 80 3 62 4 80 4 87 0 65 8 88 2 Craies du bassin de Mons 67 0 80 7 74 5 73 2 89 8 Craies de Hesbaye 83 4 70 8 69 7 90 8 Sables Bruxelliens et Land niens du Brabant u 76 8 77 7 57 6 88 5 Calcaires carbonif res du Tournaisis E 66 3 90 0 91 6 Graviers de la Meuse 73 3 74 9 67 0 90 5 Craies captives du Brabant 76 8 74 9 83 9 91 7 Formations jurassiques du Sud Luxembourg _ 88 9 81 8 80 4 79 3 90 6 Massif schisto gr seux de l Ardenne Y 78 7 78 5 84 9 89 2 Massif schisto gr seux du bassin de Dinant 9 a 61 0 84 2 75 7 88 7 Calcaires d voniens du bassin de Dinant 60 1 81 6 85 7 Socle cambro silurien de l Ardenne BS 3 87 8 79 4 87 7 89 2 Aquif res du massif de la Vesdre 9 62 7 73 4 84 4 88 1 Cr tac du Pays de Herve G 72 2 69 2 75 0 90 8 Socle cambro silurien du Brabant en 65 4 75 1 BYTE 77 9 64 0 91 7 Eaux Carbo gazeuses 5 0 86 1 5 0 685 ND ND Conglom rats du Rh tien 83 0 gt 93 0 73 9 92 3 94 0 Contenu minimum des alt rations principales Valeurs et signification de l indice SEQEAU Min ralisation et salinit pH duret chlorures sulfates Entre 80 et 100 Eau de tr s bonne qualit naturell Nutriments nitrates ammonium carbone organique Entre 60 et 80 Eau de bonne qualit
29. Pour ce qui regarde le nickel et le zinc il y a eu galement un abaissement sensible des concentrations mais pour 2 chantillons sur 3 Tout ceci para t confirmer en tous cas que la filtration sur filtre sable permet d arriver de bonnes performances de r tention des collo des ou des pr cipit s d hydroxydes tr s fins form s lors du traitement des eaux Le taux d abattement du nickel recalcule par bilan mat riel valait 62 on peut donc valider un seuil ADE S4 du nickel tabli pour le SEQ ESO 50 ug litre 94 Convention RW eaux souterraines ULg GEOMAC SEQ EAU Objet Traitabilit d eau pollu e par des ions Fe Mn Ni Zn par pr cipitation chimique sous forme d hydroxyde Rapport final Introduction Ce rapport final concerne les r sultats de tests de laboratoire r alis s sur des solutions synth tiques gt RE as 3 2 2 2 diverses form es par addition de l eau d min ralis e de Fe Mn Ni Zn sous forme de chlorure en concentrations variables Comme convenu le proc d d abattement utilis est la pr cipitation chimique sous forme d hydroxyde l aide de NaOH ou NazCO3 Le pH vis a vari entre 7 5 et 8 Les pr cipit s form s ont t filtr s sur divers milieux filtrants car il est apparu tr s rapidement que c est la nature de ces derniers qui conditionne fortement la qualit du filtrat obtenu qu il y ait ou non ajout de floculant au pr cipit avant fil
30. Remarquons que l ISSeP fait g n ralement mieux sur le r seau eau de surface LOQ ESU de m me que la SWDE pour ses captages Qualit Bleu Vert Orange Roug LOQ LOQ Conclusion e ESU ESO Aptitude Sl S2 S3 S4 1 10 100 270 0 2 1 OK 0 1 0 25 TH faible 0 001 0 01 0 10 0 37 Orange d office TH moyen 0 004 0 04 0 37 1 30 Jaune d office TH fort 0 009 0 09 0 85 3 00 Jaune d office 1 2 81 TH faible 0 04 0 4 3 6 70 Jaune d office TH moyen 0 18 1 8 18 0 350 Vert d office TH fort 0 36 3 6 36 0 700 Vert d office Cuivre 1 2 TH faible 0 017 0 17 1 7 2 5 Jaune d office TH moyen 0 100 1 00 10 0 15 0 Vert d office TH fort 0 270 2 70 27 0 40 0 Vert d office 0 007 0 07 0 7 3 0 1 0 2 Jaune d office Nickel 2 2 TH faible 0 25 2 5 25 140 Vert d office TH moyen 0 62 6 2 62 360 Vert d office TH fort 1 20 12 0 120 0 720 OK Plomb 0 5 1 0 TH faible 0 21 2 1 21 100 Vert d office TH moyen 0 52 5 2 52 250 OK TH fort 1 00 10 0 100 500 OK Zinc 25 10 TH faible 0 23 2 3 23 52 Jaune d office TH moyen 0 43 4 3 43 98 Jaune d office TH fort 1 40 14 0 140 330 Vert d office 5 Conclusions Seul l arsenic est compl tement valuable pour la fonction potentialit biologique BIO A l inverse quelque soit la duret
31. S1 S2 S3 S4 ADE 0 5 10 PAW 0 75 4 SEQW 1 10 Remarquons que dans tous les cas de figure la fixation de PAW S3 0 75 SEQW S3 ne provoque pas de distorsion dans l chelle d valuation de l tat patrimonial qui reste coh rente Le calcul des indices de qualit generale sur base des differents seuils est d crit et illustr au point 3 7 Description du logiciel Autres usages e Pour les usages abreuvage et irrigation les seuils du SEQ ESO sont la r plique des seuils du SEQEAU e En ce qui concerne l aptitude la biologie dans les cours d eau il en va de m me mais l extr me rigueur de ces seuils soul ve des r serves On constate que la fonction BIO est en effet celle qui donne presque toujours la plus mauvaise image de la qualit d une eau souterraine La question a t pos e de savoir s il ne conviendrait pas de multiplier les seuils de qualit de BIO par un facteur tenant compte de la contribution des eaux souterraines au d bit d un cours d eau la difficult r sidant dans le fait que cette contribution est variable en fonction du temps En attendant cet usage est fourni titre indicatif Remarques Dans le cas o ils d rogent aux r gles nonc es ci dessus les diff rents seuils propos s par le SEQ ESO sont justifi s en annexe 5 alt ration par alt ration pour les fonctions majeures distribution d eau et tat patrimonial en particulier lorsqu ils ne sont pas iden
32. aux normes souhait es c est la filtration des pr cipit s qui pose des probl mes complexes la membrane millipore 0 1 um ne retenant pas la totalit des pr cipit s En fait ces derniers sont galement arr t s en partie par le support en verre fritt environ 30 40 pour le nickel et 1 a2 pour le fer La filtration sur deux tampons en fibres de verre plac s sur un support en verre fritt tableau V conduit des r sultats moins performants surtout pour le nickel et dans une moindre mesure pour le fer quelles que soient les concentrations Fe initiales de la solution Il y a en effet de 10 30 du nickel total qui n ont pas t arr t s par le filtre pour 5 10 du mangan se et 1 16 du fer Le pr cipit de fer para t d autant mieux bloqu par le milieu filtrant que la concentration Fe initiale de la solution est lev e Les moindres performances observ es ici de mani re assez g n rale sont vraisemblablement li es la porosit plus grossi re des tampons en fibres de verre 0 5 um au lieu de 0 1 um les collo des tant de ce fait moins retenus alors que la filtration devient plus rapide C est afin de mettre en vidence l effet de la vitesse de filtration sur la filtration des pr cipit s sur un filtre en fibres de verre qu on a r alis les essais repris aux tableaux VI NaOH et VII Na CO Pour ces essais un seul tampon de fibres de verre a t utilis et la filtration a
33. correspondant aux eaux ultra douces TH lt 5 peu rencontr es en Wallonie n est plus retenue annexe 9 Une r vision importante des seuils de potabilisation S4 d AEP en ADE qui concerne plusieurs m taux et param tres min raux cette r vision provient de l examen des proc d s courants de traitement des eaux souterraines applicables en R gion wallonne Le cas du nickel a n cessit des investigations compl mentaires en mati re de traitabilit de cet l ment annexe 10 La probl matique du fluor a t examin e avec la France et a fait finalement l objet d un avis du Minist re belge de la Sant publique dont il ressort que la position du Conseil sup rieur d hygi ne de Belgique s carte de la sensibilit fran aise Ce Conseil consid re en effet que les apports en fluor sont d j largement couverts notamment par les dentifrices fluor s que la marge de s curit est tr s r duite pour cet l ment et qu il y a lieu d am liorer la connaissance de l exposition avant d autoriser ou favoriser tout apport compl mentaire La fixation d un seuil de qualit minimal AEP M1 0 7 mg l F est donc incompatible avec la situation belge annexe 11 3 5 Planches de qualit d taill es et simplifi e Les d veloppements suivants ont fait l objet d un consensus au sein du comit a Planches de qualit d taill es Deux planches de qualit d taill es sont g n r es par point d eau A titre d exemple celles r
34. d pendent Sur ce dernier point la collaboration des ressources du programme PIRENE est acquise une prise de position sur la mani re d agr ger les donn es partir des stations de mesure jusqu au niveau global de la masse d eau en utilisant les indices calcul s simulations l appui En ce qui concerne le futur r seau patrimonial il y a peu de modifications apporter au dernier projet d pos par l ISSeP quant au contenu des analyses du fait de l adoption du SEQ Eaux souterraines Toutefois le transfert des donn es manant des r seaux de mesure et leur conversion en rapports de synth se utilisant la typologie du SEQ Eaux souterraines n cessitera 1 4 temps plein niveau 2 IMPACT BUDGETAIRE La prise en compte des alt rations pertinentes et des param tres chimiques vis s par le SEQ Eaux souterraines introduit des modifications marginales la liste des param tres que la R gion wallonne se propose de mesurer sur son r seau patrimonial L adaptation de la banque de donn es 10 sous n cessitera en 2004 un d veloppement informatique que l on peut estimer a 50 000 AVIS DE L INSPECTION DES FINANCES 27 VI VII VIII IX Non requis ACCORD DU MINISTRE DU BUDGET Non requis ACCORD DU MINISTRE DE LA FONCTION PUBLIQUE Pour m moire INCIDENCE EMPLOI Cr ation de 4 poste de travail au sein de la D G R N E PROPOSITION Le Gouvernement wallon approuve l ado
35. d pos s sur un support en verre fritt mill 108 Tableau XVII pH 7 5 8 0 par NaOH conc solution de d part mg l ug l Fe CaCO3 Ni Ni2 Ni Fe Fe precipit precipit filtrat fritt filtrat filtrat fritt precipit FV 28 1L 2000 10 10 10 lt 10 1957 lt 0 5 FV 29 1L 2000 20 9 FV 30 1L 2000 30 15 FV 31 1L 5000 10 22 FV 32 1L 5000 20 13 FV 33 1L 5000 30 6 FV 34 1L 500 20 65 1 tampon en fibre de verre de porosit 0 5um d une paisseur nominale de 690p d pos sur un support en verre fritt millipo 109 Annexe XI 110 Mise au point du SEQ ESO fiche relative un param tre Fluor mg l F 1 La fixation des diff rents seuils de qualit relatifs au fluor a d abord fait l objet de l change de vue suivant avec l Agence de l Eau Rh ne M diterran e Corse qui supervisait le d veloppement du SEQ Eaux souterraines gt De DELLOYE Francis SMTP F Delloye mrw wallonie be gt Date mercredi 4 juin 2003 19 00 gt CADILHAC Laurent gt Cc vanlierde pcim ucl ac be Alain Dassargues ulg ac be gt Objet SEQ Eaux souterraines Fluor gt gt gt Bonjour Mr Cadilhac gt gt L application du SEQ en ce qui concerne les fluorures usage AEP et indice gt g n ral nous pose probl me car elle a pour effet de d classer pas mal gt d eaux poss dant par ailleurs une tr s bonne min ralisation de bleu clair gt bleu fonc
36. de l Ardenne me 91 4 82 5 82 4 Massif schisto greseux du bassin de Dinant 90 4 88 4 74 1 Calcaires d voniens du bassin de Dinant 90 9 84 4 Socle cambro silurien de l Ardenne 87 8 86 2 Aquif res du massif de la Vesdre 89 1 81 3 Cr tac du Pays de Herve 92 4 77 2 Socle cambro silurien du Brabant 86 2 o 84 4 Eaux Carbo gazeuses 24 6 96 6 70 0 Conglom rats du Rh tien ND 70 6 Valeurs et signification de l indice SEQEAU Min ralisation et salinit pH duret chlorures sulfates Entre 80 et 100 Eau de tr s bonne qualit naturelle Nitrates Entre 60 et 80 Eau de bonne qualit Mati res azot es hors nitrates e 6 Eau de qualit moyenne potable Mati res organiques oxydables re 20 et Eau de qualit m diocre Fer et Mangan se f Eau de mauvaise qualit Micropolluants min raux m taux lourds bore cyanures Simulation avec les seuils fran ais Pesticides atrazine diuron simazine isoproturon Hydrocarbures aromatiques polycycliques benzopyr ne ND non disponible 29 b avec des seuils de qualit l g rement adapt s pour la R gion wallonne pour la combinaison des 3 fonctions Alimentation en eau potable Etat patrimonial et Aptitude la biologie des Cours d eau GWB_NAME 1MIN 2NUT 3FEM 4MPM 5PES 6HAP Calcaires du bord Nord du bassin de
37. eau Classes de qualit 20 40 60 80 100 o Min ralisation et salinit acidit conductivit chlorures sulfates duret alcalinit r sidu sec nitrates ammonium azote organique carbone organique oxydabilit phosphates Particules et dl ments filtrables turbidit fer manganese aluminium silice mati res en suspension Micropolluants min raux cuivre zinc plomb nickel chrome cadmium arsenic bore cyanures d sherbants pesticides utilis s pour le mais le froment la betterave Hydrrocarbures et autres polluants organiques benz ne solvants chlor s hydrocarbures polyaromatiques Qualit globale de l eau gt lt 1 La distribution d eau potable par r seau est l usage majeur des eaux souterraines en Wallonie 75 des pr l vements Les autres usages agricoles et industriels sont disponibles mais ne sont pas repr sent s car ils sont moins exigents et sont influenc s par un nombre restreint d alt rations L tat patrimonial mesure la d gradation de l eau par rapport un tat naturel due l activit humaine L aptitude la biologie dans les cours d eau repr sente les effets n fastes de la qualit de l eau sur l abondance et la vari t des esp ces vivant dans les rivi res dans l hypoth se extr me o celles ci sont aliment es exclusivement par les eaux souterraines La signification pr cise des classes de qualit pour ces
38. en Allemagne En additionnant les CMAd relatives au calcium et au magn sium on obtient 67 5 F pour la duret On peut arrondir 70 F mais 50 F g n rent d j pas mal de plaintes et semblent devoir d j n cessiter un traitement correctif entartrement excessif des circuits chauds vieillissement anormal des chaudi res Quant au seuil S4 bien que la duret soit un param tre facilement traitable adoucissement chimique ou par change ionique il n est pas n cessaire qu il exc de 100 vu que 100 des eaux potabilisables respectent cette valeur en Wallonie Les eaux trop douces et agressives sont galement facilement corrigeables Magnos calcite de sorte que les seuils minima ne sont pas n cessaires M4 M3 M2 MI S1 S2 S3 S4 AEP 0 0 0 8 40 90 90 125 ADE 15 32 70 70 100 SEQF 4 6 8 40 70 90 125 SEQW 15 32 50 70 100 Le pH La plage de potabilit eau distribu e par r seau est de 6 5 a 9 2 en R gion wallonne Le pH maximum pour les eaux de surface Directive 75 440 est de 8 5 eaux d sinfect es de 9 eaux subissant un traitement complet Il ressort de l quilibre ClO qu au del de 8 5 la d sinfection au chlore perd de son pouvoir Hors pollution notoire nous ne connaissons pas en R gion wallonne d eaux alcalines pH lev TA gt 0 Nous estimons utile de descendre le seuil minimal M4 orange rouge 4 5 pour tenir compte de certaines excell
39. filtrat precipit filtrat 62 24 62 723 1259 36 2 35 192 4848 3 8 44 626 1402 31 3 20 528 4354 10 6 Filtre millipore 0 11 sur support en verre muni de trous 101 pH 7 5 8 0 par NaOH Tableau Ill conc solution de d part ug l ug l Ni A Ni Ni N j Fe Fe Fe AS A AP filtrat precipit filtrat filtrat precipit filtrat filtrat precipit filtrat 14 100 51 46 LS ee e 15 100 48 50 16 100 52 46 17 100 51 43 18 100 62 36 19 100 2000 36 57 148 1704 membrane millipore 0 1u avec support en verre fritt millipore lavage support avec filtrat conc solution de d part ug l pH 7 5 8 0 par NaOH g l g l Tableau IV g l 2 24 Ni precipit Ni 2 verre fritt filtrat 3 Fe filtrat F e precipit verre fritt Fe filtrat tot Mn filtrat Mn pr cipit verre fritt membrane millipore 0 1u avec support en verre fritt millipore 102 pH 7 5 8 0 par NaOH Tableau V conc solution de d part g l ug l Ni Ni Ni Fe Fe Fe Mn Mn Mn pr cipit pr cipit pr cipit verre fritt filtrat filtrat verre fritt filtrat filtrat verre fritt filtrat 3 2 FV Fibre de verre filtration sur 2 tampons en fibre de verre paisseur
40. filtration sur membrane avec support trou t moignent d un manque de reproductibilit des essais des valeurs sensiblement diff rentes tant obtenues lors de deux essais identiques bien que les bilans soient corrects Les filtrats contiennent de 25 70 du nickel et de 20 40 du mangan se que la solution initiale titre 2000 ou 5000 ug l Fe Les concentrations Fe du filtrat sont galement assez mauvaises puisque les filtrats contiennent de 6 16 du fer pr sent en solution avant pr cipitation En fait il faut porter la concentration initiale Fe de la solution 10 ou 20 mg l pour arriver un excellent abattement du fer Cependant m me dans ce cas les filtrats contiennent toujours environ 30 de nickel Si le pH est r gl l aide de Na CO tableau II les performances obtenues semblent l g rement plus favorables pour le nickel et moins favorables pour le fer On notera toutefois qu elles restent globalement tr s insuffisantes Lorsque la filtration est r alis e sur filtre millipore d pos sur un creuset filtrant tableau III les filtrats analys s comportant la solution de lavage du creuset comme expliqu pr c demment contiennent syst matiquement de 36 50 du nickel et moins de 2 du fer de la solution initiale titrant 50 ou 100 ug l Ni et 5000 ug l Fe La pr sence de 2000 ug l Al dans cette solution essai 19 n am liore pas l limination des m taux lourds 7 de l aluminium mis en jeu
41. influenc s par un nombre restreint d alt rations L tat patrimonial mesure la d gradation de l eau par rapport un tat naturel due l activit humaine L aptitude la biologie dans les cours d eau repr sente les effets n fastes de la qualit de l eau sur l abondance et la vari t des esp ces vivant dans les rivi res dans l hypoth se extr me o celles ci sont aliment es exclusivement par les eaux souterraines La signification pr cise des classes de qualit pour ces usages est donn e dans le tableau annex qui montre galement comment l indice g n ral de qualit est obtenu Aptitude de l eau satisfaire les usages avec indication du param tre le plus p nalisant Distribution Etat Biologie dans d eau potable Patrimonial les cours d eau Sulfates Nitrates Nitrates Nitrates Cuivre DET atrazine DET atrazine Nitrates Nitrates Nitrates SES EEE EREE Y V ansration n influen ant pas l usage Alt ration non qualifi e absence de donn es 119 120 Annexe XIII b 121 Systeme d valuation de la qualit des eaux souterraines SEQ ESO Appliqu ENGIS nappe alluviale P168MM Nombre d analyses effectu es 2 Nombre de param tres valu s 42 Qualit de l eau par alt ration Indice g n ral de qualit Zu mauvais m diocre moyen bon tr s bon ALTERATION param tres entrant en consid ration pour qualifier l alt ration de l
42. l 25 0 25 50 100 1000 0 0 0 0 SEQW 5PES Simazine ng l 25 0 25 50 100 1000 0 0 0 0 51 SEQW 5PES Diuron ng l 25 0 25 50 100 2000 0 0 0 0 SEQW 5PES Isoproturon ng l 25 0 25 50 100 2000 0 0 0 0 SEQW 5PES Chlortoluron ng l 25 0 25 50 100 2000 0 0 0 0 SEQW 5PES Bromacile ng l 25 0 25 50 100 500 0 0 0 0 SEQW 5PES Bentazone ng l 25 0 40 50 100 500 0 0 0 0 SEQW 5PES Chloridazon ng l 25 0 25 50 100 1000 0 0 0 0 SEQW 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 1 5 5 10 200 0 0 0 0 SEQW 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 07 0 1 1 0 0 0 0 SEQW 17SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 26 0 5 1 10 0 0 0 0 SEQW 17SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 1 2 10 200 0 0 0 0 SEQW 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 1 2 10 200 0 0 0 0 SEQF 1MIN pH in situ unit s pH 2 7 5 8 5 8 8 9 2 9 5 6 5 6 2 5 8 5 5 SEQF 1MIN Conductivite in situ us cm 20 290 400 1500 2500 4000 180 120 60 0 20 C SEQF 1MIN Duret totale fran ais 2 24 40 70 90 125 8 6 4 0 SEQF 1MIN Chlorures mg l 1 0 25 100 175 250 0 0 0 0 SEQF 1MIN Sulfates mg l 1 0 25 100 175 250 0 0 0 0 SEQF 1MIN Magnesium mg l 1 0 30 40 50 400 0 0 0 0 SEQF 1MIN Sodium mg l 1 0 20 80 140 200 0 0 0 0 SEQF 1MIX Potassium mg l 0 3 0 10 11 12 70 0 0 0 0 SEQF 1MIX Fluorures mg l 0 1 1 1 1 5 4 5 7 10 0 7 0 0 0 SEQF 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 05 0 07 0 1 0 7 0 0 0 0 SEQF 2AZO Ammoni
43. mg l 0 1 0 0 1 0 5 1 2 0 0 0 0 BIO 3MES Turbidite NTU 0 5 0 15 35 70 100 0 0 0 0 BIO 3MES Mati res en suspension 0 00 mg l 0 1 0 25 50 100 150 0 0 0 0 BIO 4MLd Cuivre ug l 2 0 0 1 1 10 15 0 0 0 0 BIO 4MLd Zinc ug l 20 0 0 43 4 3 43 98 0 0 0 0 BIO 4MLd Chrome total ug l 2 0 0 18 1 8 18 350 0 0 0 0 BIO 4MLd Nickel ug l 2 0 0 62 6 2 62 360 0 0 0 0 BIO 4MLd Plomb ug l 1 0 0 52 5 2 52 250 0 0 0 0 BIO 4MPM Cuivre ug l 2 0 0 27 2 7 27 40 0 0 0 0 BIO 4MPM Zinc ug l 20 0 1 4 14 140 330 0 0 0 0 BIO 4MPM Arsenic ug l 1 0 1 10 100 270 0 0 0 0 BIO 4MPM Chrome total ug l 2 0 0 36 3 6 36 700 0 0 0 0 BIO 4MPM Nickel ug l 2 0 1 2 12 120 720 0 0 0 0 BIO 4MPM Plomb ug l 1 0 1 10 100 500 0 0 0 0 BIO 5PES Hexachlorocyclohexane gamma ng l 10 0 5 1 10 100 1000 0 0 0 0 BIO 5PES Atrazine ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 BIO 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 48 BIO 5PES Simazine ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 BIO 5PES Diuron ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 BIO 5PES Isoproturon ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 BIO 5PES Chlortoluron ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 BIO 5PES Terbutylazine ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 BIO 7SOL Benzene ug l 0 5 0 0 5 5 50 5000 0 0 0 0 BIO 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 1 8 18 180 1800 0 0 0 0 BIO 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1
44. ou vert ou de masquer d autres alt rations l g res mais non gt naturelles SO4 CI gt gt En effet le seuil minimum de 0 7 mg l F n est que tr s rarement atteint gt en R gion wallonne dans certaines nappes captives ailleurs F ne d passe gt pas 0 1 0 2 mg l gt gt Il fut question il y a 20 ans en Belgique d ajouter du fluor dans l eau de gt distribution mais le Conseil sup rieur de l Eau a jug la chose peu utile gt et dangereuse proc d d adjonction pas compl tement ma tris e Par gt ailleurs je crois savoir que l adjonction de fluor se pratique en Am rique gt du Nord gt gt Par ailleurs le SEQEAU fait apparaitre que les eaux souterraines sont gt potabilisables jusqu a 10 mg l seuil jaune rouge Interrog s sur la gt question nos experts ne voient pas de traitement d eau conomiquement gt applicable de gros volumes d eau souterraine gt gt Auriez vous des pr cisions nous apporter sur l origine des seuils de 0 7 gt et 10 mg l concernant le fluor Disposez vous d tudes toxicologiques gt concluant la n cessit d adjonction d une certaine quantit de fluor gt dans gt l eau de distribution gt gt Vous remerciant d avance de l aide que vous pourrez nous apporter je vous gt pr sente mes plus sinc res salutations 111 R ponse de Laurent CADILHAC Agence de l eau Rh ne M diterran e Corse Service Etudes 2 4 all e de Lodz 69363 LY
45. outil universel de diagnostic et de comparaison La Directive 2000 60 CE du 23 novembre 2000 tablissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l eau a pour objectif la gestion int gr e de l eau par bassin hydrographique Un des objectifs de la directive vise maintenir ou restaurer un bon tat chimique des masses d eau souterraines au plus tard fin 2015 En ce qui concerne les crit res d valuation du bon tat chimique le projet de directive tablissant les strat gies pour la protection des eaux souterraines propos par la Commission europ enne pr voit que pour certains polluants autres que ceux vis s par d autres dispositions l gislatives communautaires pesticides et nitrates les Etats membres doivent tablir des normes de qualit pour les eaux souterraines Conform ment la directive europ enne cadre de l eau le syst me d valuation de la qualit des eaux souterraines utilis par la R gion doit permettre de e v rifier le respect des normes europ ennes existantes nitrates et pesticides ET rifier le respect des normes de potabilit sans traitement excessif de la ressource Veritier les objectifs de qualit des cosyst mes de surface d pendants mesurer les d viations par rapport l tat naturel ou au bruit de fond ambiant En outre il doit permettre de s lectionner l objectif ci dessus le plus strict en vue de mesures de correction ventuelles et de r aliser une syn
46. parfaitement valuables 6 Application au craies de Hesbaye point de validation du r servoir d Ans En ce qui concerne la fonction BIO L alt ration MLf dispara t L alt ration MLH devient MPM avec un indice 65 inchang chrome limitant L alt ration MPM devient MLd avec un indice 59 inchang le chrome remplace le cadmium comme param tre limitant V rification faite en consultant les analyses du r servoir d Ans le chrome est bien mesur 3 fois avec des valeurs significatives situ es entre 2 et 3 ug l tandis que le Cadmium n a jamais t d tect Le chrome est donc bien le param tre limitant pour les micropolluants min raux m taux lourds dans tous les usages en ce point moyen du Cr tac de Hesbaye 83 Annexe X 84 1 1 3 _ Mise au point du SEQ ESO Seuils de traitabilit des micropolluants min raux Cette fiche ne concerne que les seuils S4 de l usage AEP ou ADE 15 SEQ EAU France Dans l usage alimentation en eau potable la France a retenu le principe de fixer au del du seuil de potabilit S2 bleu fonc vert jaune un niveau au del duquel l eau est inapte la production d eau potable Ces seuils hauts S4 jaune orange rouge encore appel s seuils de potabilisation ont l origine suivante en priorit la valeur CMAb concentration maximale admissible pour les eaux brutes souterraines destin es la production d eau potable du nouveau d
47. permet de synth tiser l extr me la notion de qualit de l eau souterraine Le SEQEAU permet galement de calculer pour chaque alt ration d un point d eau un indice g n ral de qualit en combinant les seuils sup rieurs relatifs la production d eau potable et les seuils inf rieurs relatifs a l tat patrimonial Cet indice g n ral varie de mani re continue entre 100 eau de tr s bonne qualit et O q mauvaise qualit quel que soit le param tre envisag Cet indice g n ral de qualit ermet de comparer deux points d eau du point de vue de leur qualit g n rale Le SEQEAU tel que con u par les Agences de l Eau fran aises avec la collaboration du BRGM est d crit dans un rapport de pr sentation de 72 pages publiquement disponible 9 Ne pas confondre indice et indice g n ral de qualit les indices se rapportant aux usages et fonctions constituent un moyen d tablir avec pr cision la classe de qualit de chaque alt ration tandis que seul l indice g n ral de qualit d finit la qualit g n rale d un point d eau par alt ration et permet de r aliser une comparaison entre deux points d eau 13 3 Adaptation la R gion Wallonne Dans la suite nous utilisons le terme usage au sens large pour d signer tant les usages au sens strict que les autres fonctions de l eau souterraine Par ailleurs l appellation SEQ ESO sera r serv e la version du SEQEAU adapt e la R gion wal
48. plus souvent des notions g n rales de vuln rabilit orsqu un pesticide est g n r par une pression locale il alt re la masse d eau peu importe de quelle pression agricole ou non etc et de quelle substance il s agit Les experts participant au projet ont consid r que la premi re m thode devait tre retenue parce qu il est indispensable de conserver le lien avec la situation r elle relative chaque param tre notamment dans l optique des plans de gestion par masse d eau 3 7 Description du logiciel La R gion wallonne dispose d une base de donn es relationnelle appel e Calypso dans laquelle les ouvrages de prise d eau font r f rence des usages les param tres chimiques sont codifi s et les analyses disponibles font r f rence des contextes eaux potabilisables pi zom tres de contr le des C E T En d autres termes l information n cessaire l impl mentation du SEQ avec tout le discernement n cessaire est accessible pour tout r sultat mesur L architecture du SEQEAU s adapte tr s bien la structure Access de Calypso qui contient actuellement 10 500 analyses pour 318 000 valeurs mesur es Le logiciel annonc par les Agences de l eau n tant ce jour pas encore disponible le d veloppement du SEQ ESO a t poursuivi partir d un module de calcul directement implant dans la base de donn e Calypso Une fois le d veloppement du SEQ ESO termin une version convivi
49. se retrouvent dans le filtrat reconstitu Globalement il y a eu lors de ces essais une am lioration sensible du comportement du fer sans modification notable de celui du nickel 96 La solution du lavage du support l acide ayant t ajout e au filtrat il para t vident que les faibles concentrations Fe des filtrats reconstitu s observ es ici r sultent de l am lioration de la filtration des pr cipit s sur la membrane elle m me gr ce au support en verre fritt Par contre ce dispositif ne semble pas avoir am lior la r tention du nickel Ces constats ont justifi les essais 20 26 tableau IV pour lesquels la filtration des pr cipit s a t identique celle des essais 13 19 Par contre on a analys le filtrat seul et la solution du lavage acide du creuset filtrant et de la membrane Ces analyses ont t exprim es par rapport aux concentrations initiales des solutions Les filtrats recueillis ont t cette fois excellents les concentrations Ni Mn tant syst matiquement inf rieures 5ug tandis que les concentrations Fe ne d passent pas 34 ug l m me si la concentration Fe initiale atteint 5000 p g l La comparaison de ces performances celles obtenues lors des essais pr c dents tableau III montre clairement que la pr cipitation des ions Fe Ni et Mn dans les conditions op ratoires pr conis es conduit effectivement un traitement des solutions r pondant
50. se basent exclusivement sur les risques pour la sant humaine Les donn es actuellement disponibles ne permettent pas de tenir compte des risques pour les eaux souterraines et les cosystemes 3 En l absence de donn es pour la R gion wallonne 1 la VR pour le sol est fix e d apr s la teneur bruit de fond de la l gislation canadienne Ontario et 11 la VR pour les eaux souterraines est fix e la VR du chrome total 4 Normes tablies pour le mercure inorganique 5 La VR est fix e la limite de detection 25 de la valeur param trique impos e par l Arr t du Gouvernement wallon du 15 janvier 2004 relatif aux valeurs param triques applicables aux eaux destin es la consommation humaine 6 Le terme huiles min rales regroupe tous les hydrocarbures extractibles aliphatiques ramifi s ou non et cycliques Les normes se r f rent aux teneurs en huiles min rales mesur es par ISO DIS 16703 2001 dans les sols et par EN ISO 9377 2 2000 dans les eaux souterraines indice hydrocarbures 7 Le type d usage sera d termin d apr s les r gles dict es dans l avant projet d arr t d ex cution relatif aux valeurs de reference aux valeurs seuil et aux valeurs d intervention Premi re lecture GW VII 2004 19 02 Doc 6932 M F et reprises ci dessous lt lt Chrysene lt Fluoranth ne lt lt nD Ind no 1 2 3 c d pyr ne Naphtal ne VI VS VI lt lt 55
51. soit la m thode utilis e 1 Calcule des indices relatifs toutes les valeurs mesur es disponibles par transformation des concentrations en indices adimensionnels gr ce un mod le simple d interpolation entre chaque seuil 2 Pour chaque param tre calcul de la moyenne arithm tique des indices pour chaque station de r seau de mesure pendant la p riode de temps consid r e gt IMO indice moyen ouvrage M thode 1 par param tres M thode 2 par alt ration 3 Pour chaque param tre d une alt ration calcul de la moyenne 3 Pour chaque site composant le r seau de surveillance de la masse d eau arithm tique des IMO de tous les sites qui composent le r seau de surveillance de la masse d eau gt IMM indice moyen masse Qualification de chaque alt ration de la masse d eau par s lection de l IMM minimum parmi les IMM des param tres qui constituent cette alt ration s lection de lIMO minimum parmi les IMO des param tres qui constituent l alt ration gt IMA alt ration moyenne ouvrage Qualification de chaque alt ration de la masse d eau par calcul de la moyenne arithm tique des IMA de tous les sites qui composent le r seau de surveillance de la masse d eau Afin d am liorer la compr hension voici un exemple chiffr permettant de mettre en vidence la diff rence entre ces deux m thodes soit 4 sites composant le r seau de mesure et de surveillanc
52. usages est donn e dans le tableau annex qui montre galement comment l indice g n ral de qualit est obtenu Aptitude de l eau satisfaire les usages avec indication du param tre le plus p nalisant Biologie dans les cours d eau Distribution Etat d eau potable Patrimonial Sulfates ES E BEI M e Y Y Alt ration n influencant pas l usage Alt ration non qualifi e absence dd G nn es 123
53. veloppements les plus r cents intervenus l Echelle internationale dans les domaines de l evaluation des risques et de la recherche de normes pour la sant humaine la protection des cosyst mes et la protection des nappes La m thodologie retenue globalement pr sente n anmoins ses sp cificit s et constitue une r elle avanc e Son int r t a t relev par le TCB Technische Commissie Bodembescherming aux Pays Bas dans une r cente revue des syst mes de normes en place dans les diff rents pays L une des sp cificit s du systeme est la coh rence entre les normes sol et les normes eaux souterraines S agissant des normes applicables pour l eau souterraine ces derni res sont issues des travaux de concertation inter R gions entre l OVAM le VITO l IBGE et la SPAQUE initi s en 2001 dans le cadre du projet d harmonisation des normes pr vu par le Protocole d Accord entre les trois Ministres de l Environnement Le d tail concernant les propositions de normes pour 70 polluants peut tre retrouv dans un rapport s par SPAQuE Tauw ERM 2002 Elaboration du Guide pour l Etude d Orientation Rapport Final Halen H E Maes M Moutier 2004 Proc dures de calcul des normes pour le sol valeur de r f rence VR valeur seuil VS et valeur d intervention VI Rapport SPAQuE mars 2004 gt D cret du 22 f vrier 1995 relatif l assainissement du sol et ses modifications
54. 0 100 5000 100 500 100 5000 FV5 L AI 100 2000 Fve 1L Zn 100 5000 filtration sur 2 tampons en fibre de verre paisseur 690um porosit 0 5um d pos sur un support en verre fritt Tableau XI pH 7 5 8 0 par NaOH conc solution de d part ug l ug l g l g l g l g l FV7AL tot Mn MnCI2 KMnO4 2 Zn Nie filtrat Ni precip fritt Fe filtrat 188 Fe precip fritt tot Mn precip precip 2 Zn precip F82 1L are 0 100 500 0 00 2000 0 lt 10 FV9 iL 100 5000 0 71 30 71 49 51 49 2 FV10 1L 100 500 170 FV11 1L 100 2000 170 100 FV12 1L 5000 170 Fv11 1LAl 100 2000 Fv12 1L Zn 100 5000 filtration sans trompe eau sur 1 tampon en fibre de verre amp paisseur 690um porosit 0 5um 106 conc solution de d part ug l Mncl2 KMnO4 precip fritt pH 7 5 8 0 par Na2CO3 g l M plot precip 3 Fe precip fritt fritt vol filtrat Tableau XIII FV13 1L 100 e o Avia 100 2000 1 1 FV15 1L 4 3 Zn A precip precip inte filtrat filtrat fritt 14 13 Ave 100 2000 lt 05 lt 5 169 lt 3 9 90 9 409 0 5 e
55. 0 5 0 1 3 5 10 0 0 0 0 SEQW 2MOX Carbone organique total mg l C 0 3 0 3 4 5 6 12 0 0 0 0 SEQW 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 10 25 50 100 0 0 0 0 SEQW 2PHO Phosphore total mg l P205 0 05 0 0 115 0 4 1 15 5 0 0 0 0 SEQW 2PHO Ortho Phosphates mg l 0 08 0 0 1 0 52 0 9 4 5 0 0 0 0 SEQW 2PHO Phosphates totaux mg l 0 1 0 0 1 0 52 0 9 4 5 0 0 0 0 SEQW I3ARG Silice mg l SiO2 2 0 25 50 100 5000 0 0 0 0 SEQW 3ARG Aluminium ug l 10 0 50 100 200 10000 0 0 0 0 SEQW 3FEM Fer sur filtr 0 41 ug l 10 0 50 125 200 10000 0 0 0 0 SEQW 3FEM Mangan se ug l 5 0 20 30 50 1000 0 0 0 0 SEQW 3MES Turbidit NTU 0 5 0 0 5 2 4 1000 0 0 0 0 SEQW 3MES Matieres en suspension 0 00 mg l 0 1 0 1 2 5 1500 0 0 0 0 SEQW 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 5 10 50 250 0 0 0 0 SEQW 4MPM Cuivre ug l 2 0 15 40 100 1000 0 0 0 0 SEQW 4MPM Zinc ug l 20 0 90 120 200 5000 0 0 0 0 SEQW 4MPM _ Bore ug l 25 0 50 500 1000 4000 0 0 0 0 SEQW 4MPM _ Arsenic ug l 1 0 1 5 10 50 0 0 0 0 SEQW 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 0 25 1 5 20 0 0 0 0 SEQW 4MPM Chrome total ug l 2 0 2 5 25 50 100 0 0 0 0 SEQW 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 1 0 5 1 4 0 0 0 0 SEQW 4MPM Nickel ug l 2 0 10 15 20 80 0 0 0 0 SEQW 4MPM Plomb ug l 1 0 2 5 5 10 50 0 0 0 0 SEQW 4MPM JAntimoine ug l 1 0 1 01 2 5 10 0 0 0 0 SEQW 4MPM Selenium ug l 1 2 0 2 5 10 20 0 0 0 0 SEQW 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 1 0 2 0 5 5 0 0 0 0 SEQW 5PES Atrazine ng l 25 0 25 50 100 1000 0 0 0 0 SEQW ___ 5PES D s thyl Atrazine ng
56. 2 5 5 5000 0 0 0 0 AEP 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 25 50 45 50 0 0 0 0 AEP 4MPM Cuivre ug l 2 0 100 200 200 4000 0 0 0 0 AEP 4MPM Zinc ug l 20 0 100 5000 4500 5000 0 0 0 0 AEP 4MPM Bore ug l 25 0 50 1000 990 1000 0 0 0 0 AEP 4MPM Arsenic ug l 1 0 5 10 10 100 0 0 0 0 AEP 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 1 5 4 9 5 0 0 0 0 AEP 4MPM Chrome total ug l 2 0 25 50 49 50 0 0 0 0 AEP 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 5 1 0 95 1 0 0 0 0 AEP 4MPM Nickel ug l 2 0 10 20 20 40 0 0 0 0 AEP 4MPM Plomb ug l 1 0 5 10 10 50 0 0 0 0 AEP 4MPM Antimoine ug l 1 0 2 5 5 10 0 0 0 0 AEP 4MPM Selenium ug l 1 2 0 5 10 9 9 10 0 0 0 0 AEP 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 1 0 5 0 5 5 0 0 0 0 AEP 5PES Hexachlorocyclohexane gamma ng l 10 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Atrazine ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Simazine ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Diuron ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Isoproturon ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Chlortoluron ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Terbutylazine ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 5 10 10 200 0 0 0 0 AEP GHAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 1 0 1 1 0 0 0 0 AEP 7SOL Benzene ug l 0 5 0 0 5 1 1 10 0 0 0 0 AEP 7SOL TriEtPerchlor thyl ne ug l 1 0 5 10 10 200 0 0 0 0 ALI 1MIN R sidu sec 180 C mg l 10 0 140 300 500 1000 0 0 0 0 ALI 1MIN Alcalinite totale francais 0 5 0 5 20 40 60 0
57. 26 AN ND u PN N u 3 gt D gt D lt lt lt lt lt lt lt lt S 2 lt GAL 5 lt amp o a R R o R lt lt lt n D lt lt lt lt lt AS amp lt GALS Slw NS D S w w yao 9 mo lt N oO a o a lt lt o Do lt 7 a oz wo va oja N On NO ON PIN ajo a oo Oo a oni lt Hs gt N o Hydrocarbures aromatiques polycycliques non halog n s benzo a anthrac ne Benzo b fluoranth ne benzo k fluoranth ne Benzo g h i perylene benzo a pyr ne lt Je lt lt o a e a 5 o Oo So o No lt 14 0 01 1 5 69 0 01 0 8 1 6 lt lt lt lt SaaS lt D lt lt n D lt Propositions de normes pour les sols et les eaux souterraines 16 03 2004 SPAQUE s a Sol Eaux souterraines mg kgmatiere seche ug L I Il Il IV V Type d usage naturel agricole es OU r cr atif industriel 0 01 48 0 01 0 01 0 01 0 01 0 01 3 4 9 4 9 he 24 5 24 5 R 00 0 01 0 01 0 01 0 01 0 01 Pea aa 0 01 0 01 0 01 0 01 0 01 0 01 0 22 2 4 2 6 11 6 Eu 44 0 1 0 1 a E A 0 1 o 1 o 1 0 1 Phenanthrene 5 3 5 5 5 5 5 5 11 Param tres int grateurs VR 50 50 Huiles min rales C10 Cao vs Sn 250 750 2000 2000 5000 1 Les valeurs propos es pour le chrome total se basent sur le chrome trivalent 2 Les valeurs propos es pour le chrome hexavalent
58. 4MPM Cuivre ug l 2 0 100 150 200 4000 0 0 0 0 ADE 4MPM Zinc ug l 20 0 100 200 200 5000 0 0 0 0 AEP 4MPM Zinc ug l 20 0 100 5000 4500 5000 0 0 0 0 ALI 4MPM Zinc ug l 20 0 100 500 1000 5000 0 0 0 0 BET 4MPM Zinc ug l 20 0 5000 5000 50000 49000 0 0 0 0 BIO 4MLd Zinc ug l 20 0 0 43 4 3 43 98 0 0 0 0 BIO 4MPM Zinc ug l 20 0 1 4 14 140 330 0 0 0 0 IRR 4MPM Zinc ug l 20 0 5000 5000 50000 50500 0 0 0 0 PAW 4MPM Zinc ug l 20 0 90 120 150 400 0 0 0 0 SEQW 4MPM _ Zinc ug l 20 0 90 120 200 5000 0 0 0 0 SEQF 4MPM Zinc ug l 20 0 100 1700 3400 5000 0 0 0 0 ADE 4MPM Bore ug l 25 0 100 1000 990 1000 0 0 0 0 AEP 4MPM Bore ug l 25 0 50 1000 990 1000 0 0 0 0 PAW 4MPM Bore ug l 25 0 50 500 750 4000 0 0 0 0 SEQW 4MPM Bore ug l 25 0 50 500 1000 4000 0 0 0 0 SEQF 4MPM Bore ug l 25 0 50 350 700 1000 0 0 0 0 ADE 4MPM Arsenic ug l 1 0 5 10 10 50 0 0 0 0 AEP 4MPM Arsenic ug l 1 0 5 10 10 100 0 0 0 0 BET 4MPM Arsenic ug l 1 0 50 50 500 490 0 0 0 0 BIO 4MPM Arsenic ug l 1 0 1 10 100 270 0 0 0 0 IRR 4MPM Arsenic ug l 1 0 100 100 2000 2000 0 0 0 0 PAW 4MPM Arsenic ug l 1 0 1 5 7 5 30 0 0 0 0 SEQW 4MPM _ Arsenic ug l 1 0 1 5 10 50 0 0 0 0 40 SEQF 4MPM Arsenic ug l 1 0 5 7 5 10 100 0 0 0 0 ADE 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 1 5 4 9 5 0 0 0 0 AEP 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 1 5 4 9 5 0 0 0 0 BET 4MPM Ca
59. 5 pour Ptot Les valeurs guides sont respectivement de 0 13 pour les eaux cyprinicoles et 0 065 pour les eaux salmonicoles L arr t de transposition de la directive sur les eaux de surface potabilisables en R gion wallonne donne les seuils suivants valeurs guides pour les phosphates Al d sinfection A2 physico chimique A3 traitement 68 traitement normal pousse Phosphates P205 0 40 0 7 0 7 Phosphates PO4 0 53 0 9 0 9 Phosphates P 0 17 0 3 0 3 Il est donc estim que 3 7 des phosphates sont abattables par coagulation floculation suivie d une d cantation La valeur guide de potabilit 0 4 est reprise et affect e aux phosphates tandis que la norme de potabilit 5 est de loin sup rieure a la norme de potabilisation ceci r sulte de l emploi autoris de certains sels de phosphate et polyphosphates pour le traitement de l eau agents pr cipitants ou dispersants Cette incoh rence ne permet pas d utiliser les phosphates comme param tre en ADE 3 Directive cadre de l eau Bien que reconnu non pertinent pour l eau potable le phosphore total serait repris comme standard pour les eaux souterraines avec une valeur param trique de 0 5 en raison du lien de cette substance avec le risque d eutrophisation pour les eaux de surface et les zones humides associ es et sensibles C est ce titre qu il faut l inclure dans le SEQ E
60. 5PES Chlortoluron ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 PAT 5PES Chlortoluron ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAW 5PES Chlortoluron ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES Chlortoluron ng l 25 0 25 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Chlortoluron ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Bromacile ng l 25 0 50 100 100 500 0 0 0 0 PAW 5PES Bromacile ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES Bromacile ng l 25 0 25 50 100 500 0 0 0 0 ADE 5PES Bentazone ng l 25 0 50 100 100 500 0 0 0 0 PAW 5PES Bentazone ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES Bentazone ng l 25 0 40 50 100 500 0 0 0 0 ADE 5PES Chloridazon ng l 25 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 PAW 5PES Chloridazon ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES Chloridazon ng l 25 0 25 50 100 1000 0 0 0 0 AEP 5PES Terbutylazine ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 BIO 5PES Terbutylazine ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 PAT 5PES Terbutylazine ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 SEQF 5PES Terbutylazine ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 ADE 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 5 10 10 200 0 0 0 0 AEP 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 5 10 10 200 0 0 0 0 44 PAT 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 1 5 10 50 0 0 0 0 PAW 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 1 5 5 7 5 40 0 0 0 0 SEQW 6GHAP Benzo a pyr ne ng l 2 5 0 1 5 5 10 200 0 0 0 0 SEQF 6HA
61. 7 Antimoine Sb ug l 5 1 25 3608 Selenium Se ug l 10 1 3506 Argent Ag ug l 10 1 3508 Molybd ne Mo ug l 70 5 3613 Etain Sn ug l 5 1 Micropolluants min raux autres 3205 Cyanures totaux CN ug l 50 10 2 3203 Fluorures F mg l 1 5 0 1 0 05 64 3505 Bore B ug l 1000 100 25 3201 Sulfures S mg l 0 04 3202 Bromures Br mg l 0 02 2208 Baryum Ba ug l 700 10 2209 Strontium Sr ug l 750 50 3610 Chromates Cr6 ug l 10 Alt ration Mati res organiques et oxydables 4001 Oxydabilit KMnO4 M O mg l O2 5 0 5 4002 Carbone organique total COT mg l C 6 0 1 Alt ration Hydrocarbures aromatiques polycycliques 4501 Fluoranthene ng l 10 4502 Benzo b fluoranthene ng l 25 5 4503 Benzo k fluoranth ne ng l 25 5 4504 Benzo a pyr ne ng l 10 2 5 4505 Benzo g h i perylene ng l 25 5 4506 Ind no 1 2 3 cd pyr ne ng l 25 5 4507 Pyr ne ng l 10 4508 Chrys ne ng l 10 4509 Ph nanthr ne ng l 10 4510 Fluorene ng l 10 Alt ration Pesticides 4403 Atrazine ng l 100 25 4404 D s thyl Atrazine ng l 100 25 4405 Simazine ng l 100 25 4408 Diuron ng l 100 25 4410 Isoproturon ng l 100 25 4406 Propazine ng l 100 25 4407 M tribuzin ng l 100 25 4411 Chlortoluron ng l 100 30 4412 Linuron ng l 100 25 4413 Monuron ng l 100 25 4414 M toxur
62. Il y a beaucoup de consid rations faire ici sur les seuils pr conis s voir questions sp ciales des seuil de traitabilit 59 Alteration pesticides La liste propos e ici poss de un tronc commun avec les pesticides les plus souvent rencontr s dans les eaux souterraines de Wallonie familles d herbicides des triazines et des ur es La terbutylazine n a pas t d tect e en R gion wallonne Par contre il faut s int resser la bromacile au chlortoluron au chloridazon et la bentazone Mis part le lindane les organochlor s et organophospor s fenthions et drines repris le sont parce qu ils poss dent des normes particuli res eaux de surface potabilisables potabilit 0 03 ug l Toutefois ces substances n ont jamais t d tect es chez nous dans les eaux souterraines Pour les autres pesticides facultatifs il convient de s inspirer de la liste des pesticides jug s pertinents dans les eaux souterraines tablie par le Comit r gional Phyto Le seuil analytique de d tection des herbicides triazines et ur es 0 01 ug l semble inaccessible par bon nombre de laboratoires en R gion wallonne l exigence du contr le de potabilit fix e 0 025 ug l voire 0 040 u g l pour la bentazone nous semble plus en rapport avec les m thodes analytiques utilis es Pour les herbicides organochlor s ou organophosphor s ou carbamates le 0 01 ug l peut s appliquer Pour les insecticides puissants tels les dri
63. Le SEQ ESO 1 Objectifs Traditionnellement en R gion wallonne par suite de la bonne qualit des nappes et de leur mobilisation pour la production d eau potable la qualit de l eau souterraine a souvent t appr ci e quel que soit le contexte la lumi re des normes de potabilit Ce crit re est incomplet et manque de discernement premi rement les param tres chimiques intervenant en mati re de sant publique sont de plus en plus particuliers et lies non pas aux ressources mais d avantage aux infrastructures de production et distribution d eau ensuite les normes de potabilit sont tant t p nalisantes vis vis de concentrations parfaitement naturelles ion hydrog ne fer mangan se potassium tant t largement conservatives par rapport aux impacts environnementaux que l on peut constater en cas de pollution conductivit temp rature cuivre zinc sodium Dans le cas particulier des sites de contamination ponctuelle des nappes il est depuis longtemps apparu n cessaire d utiliser d autres seuils de qualification des eaux et il fut fait r f rence a la l gislation hollandaise avant le d veloppement de la l tion wallonne homologue AGW stations service et D cret pour la protection des Sols Les principales bases r glementaires n cessaires l appr ciation de la qualit d une eau souterraine qu elle soit capt e ou non tant en place il est int ressant de les mettre en uvre dans un
64. O2d mg l O2 10 Micro organismes 1013 Escherichia Coli E Coli nb par 100ml 0 1022 Ent rocoques Enter nb par 100ml 0 1001 Germes totaux a 22 GT22 nb par ml 100 1002 Germes totaux 37 C GT37 nb par ml 10 1011 Coliformes totaux ColiT nb par 100ml 0 Min ralisation et salinit 2101 pH in situ pH unit s pH gt 6 5 et lt 9 2 gt 5 5 2102 Conductivit in situ K20 us cm 2100 1000 20 C 2103 Duret totale TH fran ais 67 5 40 1 2201 Chlorures Cl mg l 200 50 5 2202 Sulfates SO4 mg l 250 100 5 2104 R sidu sec 180 Res mg l 1500 500 10 2107 Alcalinit totale TAC francais gt 2 5 25 1 2204 Calcium Ca mg l 270 150 5 2205 Magn sium Mg mg l 50 20 1 2206 Sodium Na mg l 150 10 1 2207 Potassium K mg l 12 5 0 3 Particules en suspension Fer et Mangan se 2002 Turbidit NTU NTU 4 0 4 0 2 2006 Mati res en suspension MES mg l 0 1 3501 Fer sur filtr 0 41 Fe ug l 200 10 3502 Mangan se Mn ug l 50 5 2210 Aluminium Al ug l 200 10 2203 Silice SiO2 mg l SiO2 10 2 Substances eutrophisantes 3001 Nitrates NO3 mg l NO3 50 25 1 3003 Ammonium NH4 mg l NH4 0 5 0 5 0 05 3005 Phosphore total P mg l P205 5 0 05 3002 Nitrites NO2 mg l NO2 0 1 0 5 0 05 3204 Ortho Phosphates PO4 mg l 6 7 0 08 M taux 3503 Cuivre Cu ug l 100 2 3504 Zinc Zn ug l 200 10 3601 Arsenic As ug l 10 1 3602 Cadmium Cd ug l 5 0 5 3603 Chrome total Cr ug l 50 2 3604 Mercure Hg ug l 1 0 2 3605 Nickel Ni ug l 20 2 3606 Plomb Pb ug l 10 1 360
65. ON CEDEX 07 T l 04 72 71 26 69 Fax 04 72 71 26 03 Bonjour Monsieur Delloye Pour r pondre vos interrogations j ai effectu quelques recherches Les valeurs seuils qui figurent dans le document de pr sentation du SEQ Eau souterraines pour les fluorures trouvent leur origine 0 7 et 1 5 dans la directive europ enne 80 778 retranscrite dans le d cret fran ais 89 3 la valeur de 0 7 mg l est la concentration maximale autoris e dans l eau pour une temp rature moyenne situ e entre 25 et 30 de l aire g ographique consid r e la valeur de 1 5 mg l est la concentration maximale autoris e dans l eau pour une temp rature moyenne pour une temp rature moyenne comprise entre 8 et 12 C Le d cret fran ais pr cise que pour les temp ratures moyennes comprises entre entre 12 et 25 C la teneur limite en fluor est calcul e par interpolation lin aire plus la temp rature ambiante est lev e plus la consommation de l eau de boisson augmente et plus il y a risque d apports compl mentaires en fluorure trop lev s Sur le choix de retenir le seuil de 0 7 comme seuil d classant pour les eaux en contenant moins 1l appara t que le groupe de travail est effectivement parti du principe qu un apport de fluor via l eau de boisson pouvait tre consid r comme b n fique pour la pr vention de la carie dentaire dans la litt rature les apports compl mentaires via l eau de boisson sont consid r s comme efficace
66. P Benzo a pyrene ng l 2 5 0 1 5 10 200 0 0 0 0 ADE 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 1 0 1 1 0 0 0 0 AEP 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 1 0 1 1 0 0 0 0 PAT 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 25 0 5 2 5 0 0 0 0 PAW 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 07 0 075 0 4 0 0 0 0 SEQW 6GHAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 07 0 1 1 0 0 0 0 SEQF 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 07 0 1 1 0 0 0 0 Usage Alter description expression LOQ So S1 S2 S3 S4 Mi M2 M3 M4 ADE 1MIN pH in situ unit s pH 2 7 5 8 5 9 2 9 2 9 5 6 5 6 5 4 0 ADE 1MIN Conductivite in situ us cm a 20 400 750 2100 2100 2500 180 180 0 0 20 C ADE 1MIN Durete totale francais 2 20 32 70 70 100 15 0 0 0 ADE 1MIN Chlorures mg l 1 0 30 200 200 250 0 0 0 0 ADE 1MIN Sulfates mg l 1 0 60 250 250 400 0 0 0 0 ADE 1MIN Magnesium mg l 1 0 25 50 50 200 0 0 0 0 ADE 1MIN Sodium mg l 1 0 20 150 195 200 0 0 0 0 ADE 1MIX Potassium mg l 0 3 0 10 12 12 24 0 0 0 0 ADE 1MIX Baryum ug l 10 0 100 700 700 1000 0 0 0 0 ADE 1MIX Fluorures mg l 0 1 0 3 0 5 1 5 1 5 1 55 0 15 0 0 0 ADE 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 05 0 1 0 1 0 7 0 0 0 0 ADE 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 05 0 5 0 5 4 0 0 0 0 ADE 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 1 5 5 10 0 0 0 0 ADE 2MOX Carbone organique total mg l C 0 3 0 3 6 6 12 0 0 0 0 ADE 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 25 50 50 100 0 0 0 0 ADE 2PHO Phosphore total mg l P205 0 05 0 0 4 5 4 9 25 0 0 0 0 ADE 3ARG Aluminium ug l 10 0 50 200 200 10000 0 0 0 0 ADE 3FEM Fe
67. Particules en suspension Turbidit Mati res en suspension Fer et Mangan se Fer Mangan se Micopolluants min raux AR Sodium adsorption ratio 1 Min ralisation et salinit 1MIN pH in situ Conductivit in situ Duret totale Chlorures Magn sium Sodium ulfates sidu sec 180 C calinit totale ou bicarbonates alcium 1MIX Fluorures Potassium Baryum 2 Mati res oxydables et substances eutrophisantes 2MOX Oxydabilit KMnO4 Carbone organique total Mati res en suspension SFEM Fer sur filtr 0 411 Chrome total Cuivre Cyanures totaux Pestici Atrazine D s thyl Atrazine Diuron Isoproturon D s thyl simazine Dieldrine Heptachlore Heptachlore poxyde Total Parathion Total Pesticides Autre Pesticides par substance identifi e polyeycliques Benzo a pyrene HAP Somme 4 Benzo b fluoranth ne Benzo k fluoranth ne Benzo g h i p ryl ne Ind no 1 2 3 cd pyr ne Micro polluants organiques autres Trichlor thyl ne T trachlor thyl ne Somme 2 T trachlorure de carbone Chloroforme 1 2 Dichloro thane 1 1 1 Trichlor thane Hexachlorobenz ne Trihalom thanes Hydrocarbures dissous Indice Ph nol D tergents anioniques Gout et odeurs Micro organismes Escherichia Coli Ent rocoques Coliformes totaux Bact ries sulfato r ductrices Eh potentiel d oxydo r duction 5 Produits phytosanitaires Atrazine
68. S Diuron ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 5PES Isoproturon ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 5PES Chlortoluron ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 5PES Bromacile ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 5PES Bentazone ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 5PES Chloridazon ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 1 5 5 7 5 40 0 0 0 0 PAW 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 07 0 075 0 4 0 0 0 0 PAW 7SOL Benzene ug l 0 5 0 0 26 0 5 0 75 4 0 0 0 0 PAW 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 1 2 7 5 40 0 0 0 0 PAW 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 1 2 7 5 40 0 0 0 0 SEQW 11MIN pH in situ unites pH 2 7 5 8 5 8 8 9 2 9 5 6 5 6 5 5 4 SEQW 1MIN Conductivit in situ us cm a 20 400 750 1500 2100 2500 180 120 60 0 20 C SEQW 1MIN Duret totale francais 2 20 32 50 70 100 15 0 0 0 50 SEQW 1MIN Chlorures mg l 1 0 30 60 150 250 0 0 0 0 SEQW 1MIN Sulfates mg l 1 0 60 120 250 400 0 0 0 0 SEQW 1MIN Magnesium mg l 1 0 10 25 50 200 0 0 0 0 SEQW 1MIN Sodium mg l 1 0 20 80 150 200 0 0 0 0 SEQW 1MIX Potassium mg l 0 3 0 5 10 12 24 0 0 0 0 SEQW 1MIX Baryum ug l 10 0 100 400 700 1000 0 0 0 0 SEQW 1MIX Fluorures mg l 0 1 0 3 0 5 0 8 1 1 1 5 0 15 0 0 0 SEQW _ 2AZO Nitrites mg l NO2 0 02 0 0 02 0 05 0 1 0 7 0 0 0 0 SEQW 2AZO Ammonium mg l NH4 0 05 0 0 05 0 3 0 5 4 0 0 0 0 SEQW 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2
69. SO en vue de v rifier que l apport des eaux souterraines est n gligeable 4 M thodes analytiques Les phosphates sont mesur s par photom trie d absorption mol culaire limite de quantification LOQ 0 1 en PO4 ou par chromatographie ionique LOQ 0 05 en PO4 Le phosphore total est mesur par spectrom trie d mission LOQ 0 05 en P205 5 Exp rience du contr le des nappes et des eaux de distribution publique Le phosphore est r guli rement mesur dans l eau potable en vertu de la directive de 1980 AGW de 89 Les valeurs sont toujours proches de la limite de d tection 0 05 mg P205 1 Les ortho phosphates sont recherch s dans l analyse compl te des eaux brutes de surface uniquement solubles et souterraines dans les eaux souterraines les valeurs mesur es n exc dent en g n ral pas 0 1 mg l PO4 sauf localement dans les calcaires du Tournaisis et le Cr tac de Herve En outre certains producteurs mesurent en fait les phosphates totaux par hydrolyse pr alable et il semble que les polyphosphates constituent une part importante du dosage tr s variable cependant vu l impr cision due la proximit de la limite de d tection 69 L examen des analyses P PO4 de captages particulierement affectes dans la Region de Tournai montre qu cet endroit les orthophosphates correspondent la moiti environ du phosphore total mesur 6 Propositions Il est parfaitement poss
70. T 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 25 0 5 2 5 0 0 0 0 PAT 7SOL Benzene ug l 0 5 0 0 5 2 5 5 25 0 0 0 0 49 PAT 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 1 5 0 0 0 0 PAT 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 1 5 0 0 0 0 PAT 7SOL TriEtPerchlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 1 5 0 0 0 0 PAW 1MIN Chlorures mg l 1 0 30 60 100 400 0 0 0 0 PAW 1MIN Sulfates mg l 1 0 60 120 200 800 0 0 0 0 PAW 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 10 25 37 5 50 0 0 0 0 PAW 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 5 10 20 50 0 0 0 0 PAW 4MPM Cuivre ug l 2 0 15 40 75 200 0 0 0 0 PAW 4MPM Zinc ug l 20 0 90 120 150 400 0 0 0 0 PAW 4MPM Bore ug l 25 0 50 500 750 4000 0 0 0 0 PAW 4MPM Arsenic ug l 1 0 1 5 7 5 30 0 0 0 0 PAW 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 0 25 1 3 75 20 0 0 0 0 PAW 4MPM __ Chrome total ug l 2 0 2 5 10 37 5 100 0 0 0 0 PAW 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 1 0 5 0 75 4 0 0 0 0 PAW 4MPM Nickel ug l 2 0 10 12 15 80 0 0 0 0 PAW 4MPM Plomb ug l 1 0 2 5 5 7 5 40 0 0 0 0 PAW 4MPM Antimoine ug l 1 0 1 01 2 3 75 10 0 0 0 0 PAW 4MPM Selenium ug l 1 2 0 2 5 7 5 20 0 0 0 0 PAW 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 1 0 2 0 375 0 5 0 0 0 0 PAW 5PES Atrazine ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 5PES Simazine ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 PAW 5PE
71. a filtration sans trompe eau sur 1 tampon en fibre de verre paisseur 690um porosit 0 5um d pos sur un support en verre fritt pH 7 5 8 0 par NaOH Tableau XIV ug l ug l Ni Fe Fe Fe filtrat filtrat precipite filtrat 31 1L 42 lt 10 1950 32 1L 32 lt 10 1930 33 1L 29 lt 10 1959 34 1L 16 lt 10 4929 lt 0 2 35 1L 12 lt 10 4950 lt 0 2 36 1L 12 lt 10 4984 lt 0 2 37 1L 48 lt 10 505 filtre millipore amp 0 1 um sur support en verre muni de trous 107 pH 7 5 8 0 par NaOH Tableau XV conc solution de d part ng mg l ug l Ni Ni Fe Fe Fe pr cipit pr cipit filtrat fritt filtrat 38 11 100 lt 10 1969 lt 0 5 39 11 100 lt 10 1950 lt 0 5 40 11 100 lt 10 1990 lt 0 5 41 11 100 lt 10 4992 lt 0 2 42 11 100 lt 10 4999 lt 0 2 43 11 100 lt 10 4979 lt 0 2 44 11 100 lt 10 500 lt 2 membrane millipore 0 1 um sur support en verre fritt millipore Tableau XVI pH 7 5 8 0 par NaOH conc solution de d part ng mg l g l i Fe Fe Fe pr cipit filtrat fritt filtrat lt 10 1942 lt 0 5 lt 10 2011 lt 0 5 lt 10 2002 lt 0 5 lt 10 4951 lt 0 2 lt 10 4931 lt 0 2 lt 10 4998 lt 0 2 lt 10 497 lt 2 2 tampons en fibre de verre de porosit 0 5um d une paisseur nominale de 6904
72. ai R cemment les techniques membranaires ont fait leur apparition avec la nanofiltration pour traiter les eaux sulfat es de l exhaure des carri res et les valoriser dans la Transhennuy re Ce traitement n est n cessaire et pratiqu que sur une partie du d bit admis dans la station de Gaurain Ramecroix A l instar de la France on peut consid rer que la nanofiltration et l osmose inverse applicables au traitement d eau l chelle domestique ne sont pas l heure actuelle conomiquement envisageables pour la production d eau potable d origine souterraine 19 Discussion Voici un extrait de la min ralisation caract ristique des principaux aquif res qui indique les teneurs rencontr es dans les captages d eau potabilisable et leur dispersion Valeurs habituelles Teneurs moyennes Teneurs lev es dans la plupart des dans les nappes plus Pc99 observ es S4 propos nappes bruit de riches en cet localement fond l ment 15 100 200 500 1000 Cyanures 1295 FO Mercure 005 OH Les seuils S4 propos s ne peuvent donc provoquer un d classement de l eau en mauvaise qualit que pour le nickel et localement ou tr s localement pour 3 param tres le mangan se le plomb et le s l nium Pour les 2 derniers les valeurs S4 sont imp ratives dans 91 les eaux de surface Il serait malvenu de la relever dans le cas du plomb mais le s l nium n est par contre pas av
73. aitement s am liore sans cesse et finissent par s appliquer des cas de plus en plus difficiles ne saurait tre retenu dans le cadre d une gestion durable Une ressource plus saine et plus disponible est aussi pour l avenir un atout concurrentiel 18 Exp rience du traitement des eaux souterraines en R gion wallonne 89 En R gion wallonne leau souterraine est abondante et de bonne tr s bonne qualit naturelle En ce qui concerne les micropolluants min raux elle n est que tr s localement affect e par des gisements miniers des tablissements polluants CET ou par le passif environnemental de certaines activit s industrielles chancres La mobilit des m taux dans nos nappes est de plus g n ralement tr s faible En raison du premier point il n a jamais t n cessaire de d velopper des traitements complets de potabilisation de type A3 ensemble de la fili re classique pour les eaux de surface ni m me A2 correction de pH coagulation floculation d cantation et filtration pour produire de l eau potable en R gion wallonne partir d eau souterraine Le traitement A2 usuel de r f rence pour les eaux souterraines charg es en m taux fer mangan se m taux lourds en traces consiste en oxydation l air ou dans les cas difficiles l aide d un r actif soluble oxydant KMnO4 NaCIO H202 Eventuellement une l g re correction de pH mais jamais de bascule
74. ale de Calypso pourra tre mise disposition des principaux centres d tude concern s par la qualit des eaux souterraines Un mode d emploi sera tabli par tapes tendre le r seau de surveillance ajouter des analyses calculer certains param tres r aliser le traitement SEQ ESO proprement dit obtenir les planches de qualit Les principales originalit s ne figurant pas dans la version de base francaise sont les suivantes e Pour chaque alt ration le param tre limitant c d donnant la valeur de l indice qualifiant l alt ration est retenu par le programme et mis en vidence e Le programme permet galement de d terminer dans quelle mesure nombre d analyses nombre de param tres les alt rations sont valu es et donc de mesurer la validit de la synth se des r sultats fournie par le SEQ ESO e Enfin le traitement des donn es est con u de mani re permettre d agr ger les donn es en un indicateur cens tre repr sentatif de la masse d eau ce qui est l objectif final recherch En pratique 4 tables suppl mentaires ont t greff es sur Calypso un catalogue des alt rations m taux pesticides e un catalogue des usages au sens large qui permettra d introduire si n cessaire d autres usages sp cifiques la R gion wallonne 16 e la grille de qualit proprement dite qui permet de fixer les diff rents seuils pour tout param tre intervenant dans une combinaison Usage A
75. appelons que le SEQ ESO n est pas fig et doit au contraire tre consid r comme un instrument volutif il est donc vident que les seuils cl s seuil de non risque seuil d action et seuil de bon tat pourront encore tre adapt dans un sens comme dans l autre en fonction des r sultats de l examen initial de la qualit des diff rentes masses d eau pour aboutir aux normes relatives aux eaux souterraines que la R gion wallonne devra adopter pr alablement l laboration de ses plans de gestion par district hydrographique 20 Annexe 21 Objet NOTE AU GOUVERNEMENT WALLON Proposition d adoption des principes et de la structure du SEQ Eaux souterraines syst me d valuation de la qualit des eaux souterraines comme outil de caract risation de la qualit des eaux souterraines RETROACTES La Directive 2000 60 CE du 23 novembre 2000 tablissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l eau a pour objectif la gestion int gr e de l eau par bassin hydrographique la Meuse l Escaut et le Rhin en ce qui concerne la R gion wallonne L article 4 concernant les objectifs environnementaux pr voit que la R gion wallonne mette en uvre les mesures n cessaires pour Pr venir ou limiter le rejet de polluants dans les eaux souterraines et pr venir la d t rioration de l tat de toutes les masses d eau souterraines Prot ger am liorer et restaurer toutes les masses d eau
76. ation n existe pas en PAW cas de la min ralisation par exemple gt SEQW S3 est gal ADE sd la norme de potabilit ventuellement ramen e l eau brute gt SEQW S4 est gal ADE S4 la valeur de r f rence de traitabilit ou pour les param tres r put s intraitables PAW S4 le seuil d intervention Pour les param tres jug s la fois non traitables et ne pouvant faire l objet d un assainissement cas des min raux solubles ADE S4 est maintenu en SEQW S4 et SEQW S3 est r duit une valeur interm diaire En voici quelques exemples NITRATES mg l S1 S2 S3 S4 ADE 25 100 PAW g 37 5 50 SEQW 50 En cons quence un indice inf rieur 40 pr sume d une eau non potable Par contre une eau acceptable la consommation vert peut se r v ler de qualit g n rale moyenne jaune par combinaison avec l tat patrimonial cas des nitrates entre 25 et 50 mg l par exemple I 10 ATRAZINE yg l S1 S2 S3 S4 ADE 50 PAW 75 100 SEQW 25 50 100 1000 TURBIDITE ntu S1 S2 S3 S4 ADE 0 4 4 1000 PAW SEQW 0 4 2 4 1000 CHLORURES S1 S2 S3 S4 mg l ADE 30 250 250 PAW 30 so 100 400 SEQW 30 150 250 CUIVRE g l S1 S2 S3 S4 ADE 50 1000 PAW E 75 200 SEQW 100 1000 CADMIUM ug l S1 S2 S3 S4 ADE 1 5 PAW ve 3 75 28 SEQW 5 BENZENE yg l
77. ausser le diagnostic SEQ ESO 17 e AASEQ2 calcul des indices relatifs tous les r sultats valid s pour toute la grille de qualit c d autant de fois qu un param tre intervient dans un usage en moyenne 2 6 fois dans l tat actuel de d finition des alt rations Le temps de calcul des indices par param tre en Access est tout fait raisonnable 15 secondes pour 100 000 enregistrements avec le Pentium Ill Cette puissance de calcul a permis de conserver l option de calculer d abord les indices relatifs toutes les donn es disponibles et d ensuite effectuer la s lection de l ouvrage ou de la masse d eau auxquels on s int resse Le calcul des indices est d taill plus loin e AASEQ3 premi re agr gation celle des diff rentes analyses concernant un m me ouvrage calcul de l indice moyen par ouvrage IMO dans la p riode de temps consid r e toujours pour chaque param tre chaque alt ration il n est pas exclu qu un param tre intervienne pour plusieurs alt rations dans un m me usage et chaque usage Cette requ te m morise le nombre d analyses effectu es pour chaque param tre Ensuite les requ tes sont diff rentes selon qu on vise l ouvrage ou la masse d eau Pour un ouvrage e AASEQ04 s lection d un ouvrage et criture des expressions IMO CODE ceci signifie que le code de chaque param tre est recopi dans la partie d cimale de l indice qui lui correspond de mani re tre retenu en
78. consid r e de la vuln rabilit ajout e au caract re tr s subjectif des m thodes empiriques le plus souvent utilis es le SEQ ESO permet d appr hender ce risque partir des seules donn es disponibles en appliquant le logigramme suivant Masse d eau risque caract risation approfondie et surveillance Traitement SEQ ESO Soit Ig l indice g n ral de qualit de la masse d eau Programme de mesures n cessaire ou d rogation aux objectifs Etat m diocre constat Absence de polluants Pas de risque significatif fonds g ochimique constat respect bon tat pr visible o par d finition Ig lt 40 signifie que la norme de qualit ou la valeur seuil threshold value est d pass e pour la masse d eau TSDH tendance significative et durable la hausse To lt 50 signifie que le point de d part pour l identification des inversions de tendance en abr g seuil d action est atteint cette valeur est au maximum gale 75 de la concentration donnant Ig 40 elle est en fait donn e plus pr cis ment par un tat patrimonial m diocre x Une simplification importante qui r sulte du sch ma ci dessus consiste a luder l analyse de tendance pour la bonne qualit vert bien que toute tendance la hausse doive tre invers e quel que soit le niveau de qualit o elle se produit les simulations nous apprendrons si ce seuil de non risque est justifi Enfin r
79. cret 2001 1220 pour laquelle il n y a pas d quivalent en RW Cette CMAb est identique la valeur A3 traitement complet de l eau applicable aux eaux de surface potabilisables en vertu de la DIR 75 440 CEE donc appliqu e aussi en RW sauf pour les nitrates 100 mg l NO3 en ESO et 50 mg l NO3 en ESU et le baryum pas de norme ESO sile param tre n est pas vis par cette r glementation un avis d experts en traitement de l eau bas sur les performances des traitements correctifs fixe le seuil S4 Une cons quence importante de cette fa on de voir est que si la CMAb est gale la CMAd norme de potabilit ou concentration maximale admissible de l eau distribu e c est le cas du cadmium par exemple le constat qualit passe directement du vert au rouge Nous ne sommes pas tenus par cette r gle pour les eaux souterraines et pouvons donc envisager autre chose notamment l laboration de nos propres r gles de potabilisation Au niveau des alt rations cette r gle concerne principalement les nitrates avec S4 CMAbESO 100 mg l nous pouvons adopter cette valeur sur base de l exp rience des traitements existants par r sines changeuses d ions sp cifiques NO3 lesquels sont bien adapt s aux eaux souterraines pour des d bits trait s qui atteignent les 60 m3 h les pesticides avec S4 CMAb 2000 ng l OK pour les substances apolaires CMAd 100 soit un rendement d puration de 95
80. dmium ug l 0 25 0 5 5 19 9 20 0 0 0 0 IRR 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 10 10 1000 900 0 0 0 0 PAW 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 0 25 1 3 75 20 0 0 0 0 SEQW 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 0 25 1 5 20 0 0 0 0 SEQF 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 1 2 5 3 5 5 0 0 0 0 ADE 4MPM Chrome total ug l 2 0 25 50 49 50 0 0 0 0 AEP 4MPM Chrome total ug l 2 0 25 50 49 50 0 0 0 0 BET 4MPM Chrome total ug l 2 0 50 50 1000 1001 0 0 0 0 BIO 4MLd Chrome total ug l 2 0 0 18 1 8 18 350 0 0 0 0 BIO 4MPM Chrome total ug l 2 0 0 36 3 6 36 700 0 0 0 0 IRR 4MPM Chrome total ug l 2 0 100 100 10000 10100 0 0 0 0 PAW 4MPM Chrome total ug l 2 0 2 5 10 37 5 100 0 0 0 0 SEQW 4MPM Chrome total ug l 2 0 2 5 25 50 100 0 0 0 0 SEQF 4MPM Chrome total ug l 2 0 25 30 40 50 0 0 0 0 ADE 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 5 1 0 95 1 0 0 0 0 AEP 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 5 1 0 95 1 0 0 0 0 PAW 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 1 0 5 0 75 4 0 0 0 0 SEQW 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 1 0 5 1 4 0 0 0 0 SEQF 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 5 0 65 0 8 1 0 0 0 0 ADE 4MPM Nickel ug l 2 0 10 20 20 50 0 0 0 0 AEP 4MPM Nickel ug l 2 0 10 20 20 40 0 0 0 0 BET 4MPM Nickel ug l 2 0 50 50 1000 980 0 0 0 0 BIO 4MLd Nickel ug l 2 0 0 62 6 2 62 360 0 0 0 0 BIO 4MPM Nickel ug l 2 0 1 2 12 120 720 0 0 0 0 IRR 4MPM Nickel ug l 2 0 200 200 2000 2000 0 0 0 0 PAW 4MPM Nickel ug l 2 0 10 12 15 80 0 0 0 0 SEQW 4MPM Nickel ug l 2 0 10 15 20 80 0 0 0 0 SEQF 4MPM Nickel ug l 2 0 10 15 20 40 0 0 0 0 ADE 4MPM Plomb ug l 1 0
81. e un param tre 8 SEQ EAU France Aluminium ug l total L aluminium fait partie de l alt ration Micropolluants min raux il est repris dans l usage AEP production d eau potable uniquement ce qui donne la grille de qualit suivante Bleu Vert Jaune Orange Rouge AEP lt 50 lt 200 N ant gt 200 n ant Indice g n ral lt 50 lt 125 lt 200 gt 200 n ant Le plus mauvais indice de qualit pour ce param tre est donc 20 pas de rouge Les seuils S1 et S3 correspondent au niveau guide de 1980 50 et la norme de potabilit europ enne 200 9 Particularit s en R gion wallonne r glementaire norme de potabilit plus stricte en valeur moyenne des chantillons pr lev s sur l ann e depuis 1984 100 Cette valeur devrait tre conserv e comme r f rence a la sortie des stations de traitement qui utilisent l alun comme coagulant pas de bauxite semble t il aluminium pr sent uniquement sous forme d alumino silicates dans le sol les argiles et les schistes aluminium est le m tal le plus abondant de l corce terrestre 8 devant le fer 5 Comme le fer et le mangan se il n est videmment pas vis par le projet de d cret sur Passainissement des sols C est galement le cas en Hollande et en Flandre o cette l gislation est d application pas d lectrolyse Al Overpelt et de toute mani re volatilit
82. e X1 X2 X3 et X4 et 3 param tres d finissant une alt ration P1 P2 et P3 Les IMO par param tre et pour chaque ouvrage obtenus apr s les 2 premi res tapes de calcul sont repris dans le tableau qui suit IMO X1 X2 X3 X4 P1 82 85 19 75 P2 76 74 78 69 P3 54 42 55 40 Methode 1 Etape 3 Etape 3 IMM P1 65 IMA X1 54 P3 IMM P2 74 IMA X2 42 P3 IMM P3 48 IMA X3 19 P1 IMA X4 40 P3 Etaped Etape4 IMMmin 48 P3 IMAmoy 39 P1 gt classe moyenne jaune avec gt classe m diocre orange avec P3 comme param tre limitant P1 comme param tre limitant 1 16 L exemple ci dessus illustre clairement la difference qui existe entre les deux m thodes d agr gation Celles ci ne donnent videmment le m me r sultat que dans le cas particulier o l alt ration est bas e sur un seul param tre cas de l alt ration nitrates Dans les autres cas par exemple pour l alt ration pesticides compos e de 8 param tres la seconde m thode est p nalisante elle tient compte de la situation la plus d favorable et donnera toujours un r sultat moins bon indice plus faible que la premi re m thode et ce d autant plus que les mesures varient fortement d un site l autre En d autres termes la seconde m thode sanctionne la masse d eau du point de vue de l alt ration par exemple les pesticides Il s agit d une vision qui se rapproche d autres raisonnements associ s le
83. e potabilisation oxydation filtration Au moins 50 des turbidit s excessives sont due en post a ration au fer et au mangan se On pourrait donc combiner ces alt rations et ajouter en facultatif l aluminium rarement solubilis et la silice responsables galement de d p ts dans l eau distribu e argiles entra nement de terres Alt ration min ralisation et salinit L Param tres g n raux La Conductivit us cm 20 C Seuil MI bleu vert la n cessit de remin raliser l eau 180 us cm ou 8 fran ais pour la duret voir ci dessous n est pas vidente et s oppose des consid rations relatives au go t La norme de potabilit en R gion wallonne est de 2100 et non 2500 us cm en t te de distribution AERW du 20 07 1989 Aucune eau potabilisable ne d passe 1500 uS cm en R gion wallonne 56 M4 M3 M2 MI SI 52 S3 54 SEQF 60 120 180 400 1450 2500 4000 SEQW 60 120 180 750 1500 2100 2500 Vu l absence d intrusion saline en R gion wallonne nous ne voyons pas l opportunit d utiliser des eaux jusqu 4000 us cm ces eaux seraient forc ment suspectes I b Duret fran ais Ici nous disposons d une valeur guide minimale de 15 F pour leur adoucissement m nager id al D autre part les duret s lev es n cessitant une surconsommation de tensio actifs pour laver le linge et la vaisselle commencent traditionnellement 32 F idem
84. e est g n ralement au moins d un ordre de grandeur moins soluble que les hydroxydes d aluminium aux concentrations typiques des eaux naturelles En conclusion l immobilisation de l aluminium est confirm e 14 Conclusion En vertu de la solubilit de l aluminium l indice pH passera l orange si l aluminium soluble produit un indice dans le jaune Le pH se suffit donc lui m me en tant qu indice d acidification 77 Par ailleurs l limination d Al est analogue celle du fer pr cipitation de la forme trivalente Ces consid rations font que Al devrait tre consid r comme un indicateur de limpidit et group avec la turbidit de l eau dans l alt ration particules en suspension avec la silice le fer et le mangan se L indice ADE resterait identique l indice AEP et l indice g n ral comprendrait un seuil S2 100 plut t que 125 Bleu Vert Jaune Orange Rouge ADE lt 50 lt 200 N ant gt 200 n ant Indice g n ral lt 50 lt 100 lt 200 gt 200 N ant en pratique une valeur tr s lev e S4 10000 sera adopt e pour le calcul En conclusion il s agit donc d effectuer une modification du choix de l alt ration concern e 78 Annexe IX 79 Mise au point du SEQ ESO Analyse de la fonction Potentialit s biologiques BIO pour l alteration micropolluants min raux MPM D Wylock F Delloye
85. e la R gion wallonne soit une alt ration relative au NITRATE pour les nappes des Sables Bruxelliens du Cr tac de Hesbaye et des formations calcaires et gr seuses du synclinorium de Dinant Sud Namurois pour lesquelles les mesures sont d j prises d signation de zones vuln rables et programme de gestion durable de l azote en agriculture AGW du 10 octobre 2002 une alt ration relative aux pesticides pour les m mes Sables Bruxelliens et les Calcaires d voniens du synclinorium de Dinant Karst si la tendance dans ces nappes devait se confirmer des probl mes de surmin ralisation survenant pour la nappe surexploit e du Calcaire carbonif re du Tournaisis sulfates formation d ammonium et dissolution de fer et mangan se et la nappe des Craies du bassin de Mons S04 NH4 25 Par contre la faible min ralisation bien connue et mise en vidence pour les nappes de l Ardenne et les Eaux carbo gazeuses fer est tout fait naturelle et ne n cessite pas de mesure corrective dans le cadre de la gestion future des masses d eau Le diagnostic SEQEAU qui indique une eau de mauvaise qualit correspond ici l usage de distribution d eau par canalisations et ne signifie nullement que l eau embouteill e min rale de source puisse tre de mauvaise qualit Int r t pour la R gion wallonne d adopter ce syst me Le SEQ Eaux souterraines r pond donc deux contraintes fix es par la Di
86. e pas sensiblement la pr cipitation du nickel par rapport ce qui est observ dans le cas d une solution 5000 ug l Fe tableau VII 98 Par contre les performances sont en g n ral nettement moins bonnes lorsque les pr cipit s sont filtr s sur filtre millipore avec support en verre fritt tableaux IV et X sur deux tampons en fibres de verre tableaux V et XI ou sur un seul tampon en fibres de verre sans d pression tableaux VI VII XII XII Ce comportement du nickel para t difficile expliquer sans tenir compte des conditions particuli res de temp rature 35 C rencontr es au moment de la r alisation des essais repris dans les tableaux X XII Tous ces tests ont en effet t effectu s en juillet au moment o la temp rature du laboratoire tait toujours voisine de 35 C au lieu de 22 C environ Le nickel tant manifestement plus difficile pr cipiter que le fer ou le mangan se il n est pas impossible que l accroissement de la temp rature n ait favoris la solubilit des collo des form s lors de la pr cipitation un pH relativement mod r de 7 5 8 On notera encore qu il est possible d abaisser de 80 90 la concentration initiale Zn 100 ug l des solutions pour autant qu il y ait dans la solution 5000 ug l Fe tableaux XI XII XIII Pour l aluminium les performances sont tr s nettement moins favorables l abattement de l ion n tant pas assur avec des rendements sup rieurs la fourch
87. e processus est actuellement semi automatique Calcul des indices Les fonctions d interpolation et d extrapolation qui donnent sans complexit inutile la courbe des indices la mieux liss e pour l ensemble des param tres sont les suivantes e entre 0 et S1 indice 100 80 lin aire e entre S1 et S2 indice 80 a 60 lin aire 18 e entre S2 et S3 indice 60 40 lin aire e entre S4 et S4 indice 40 20 anti logarithmique tangente la droite S2 S3 en S3 e au del de S4 indice 20 a 0 exponentielle n gative tangente a une droite S3 S4 en S4 En voici deux exemples pour l indice g n ral SEQW o la meilleure pr cision est exig e Indice 0 9 0 8 0 7 0 6 0 5 0 4 0 3 0 2 0 1 0 0 0 50 100 150 Chrome LOQ 2 S1 2 5 2 25 S3 50 S4 100 200 ug l Indice 1 0 0 8 0 6 0 4 0 2 0 0 Chloridazon LOQ 25 S1 25 S2 50 S3 100 S4 1000 500 1000 1500 19 4 Conclusions et perspectives Revenons aux notions fondamentales de la Directive cadre de l eau et du projet de Directive fille pour les eaux souterraines La caract risation initiale doit permettre sur base de l analyse des pressions et de la vuln rabilit d identifier les polluants et les masses d eau courant un risque de ne pas atteindre les objectifs de l article 4 en 2015 En l absence de cette analyse et au vu de la d finition tr s relative et d pendante de l chelle
88. eaux distribu es La norme de potabilit correspond en r gle g n rale au seuil A En effet contrairement l AEP PADE n utilise pas toujours les normes de potabilit au robinet du consommateur pour le seuil S2 mais ventuellement des valeurs d duites en t te des r seaux de distribution pour les param tres g n r s par les traitements de potabilisation et les parametres g n r s significativement par les canalisations de distribution C est une particularit de la l gislation wallonne Le seuil AEP S4 orange rouge repr sente en France les limites de qualit des eaux brutes pour la production d eau destin e la consommation humaine annexe III du d cret n 2001 1220 en effet en France l autorisation de prise d eau en vue de sa potabilisation est d livr e par les Pr fets sur base d une description qualitative de l eau brute vis e par la demande Lorsque le demandeur se propose moyennant un traitement correctif pouss d utiliser une eau brute qu elle soit de surface ou souterraine strictement non potable et d grad e au del des limites de qualit en question l avis conforme du Conseil sup rieur d Hygi ne publique de France est requis Ce seuil ne repr sente rien d officiel pour la Region wallonne qui n a jusqu ici pas ressenti le besoin d adapter la directive Prave unl eaux souterraines A d faut de norme AEP S4 correspond l avis des sp cialistes du traitement de potabilisation de l eau ou au seu
89. elatives aux galeries de Hesbaye plus particuli rement au niveau du r servoir d Ans sont donn es en annexe 12 e La premi re planche reprend sous forme de tableau la valeur des indices et la classe de qualit pour les 8 usages retenus les 3 d doublements permettant de comparer le SEQ ESO et le SEQEAU et les 14 alt rations d finies e La seconde planche reprend le param tre limitant dans chaque cas o la tr s bonne qualit bleu n est pas atteinte le param tre limitant pour les 6 groupes d alt rations agr g es et le param tre globalement limitant toutes alt rations confondues Il faut bien distinguer les cases du tableau pour lesquelles aucune alt ration n est pr vue par le SEQ celles pour lesquelles l alt ration est pr vue mais non calculable faute de seuils tablis et enfin celles qui n ont pas pu tre calcul es faute de r sultats disponibles Dans cette derni re cat gorie rentrent les analyses pour lesquelles le nombre de param tres mesur s est insuffisant pour valider l alt ration Discussion concernant le cas du r servoir d Ans La contamination en nitrate de la galerie de Hesbaye est bien mise en vidence le diagnostic de qualit est bon 62 vert pour la distribution d eau et m diocre 24 orange pour l tat patrimonial avec en cons quence un indice g n ral moyen 42 jaune La l g re contamination en pesticides est galement soulign e elle ne pose aucun probl me
90. elles de traitement pour ce produit Potassium plus retenu 12000 70000 Idem Fluorures 70000 La CMAb Al est la concentration maximale admissible pour une eau brute qui n est trait e que par simple d sinfection elle remplace la CMAd lorsque celle ci tient compte de la corrosion des canalisations de distribution et est donc hors gamme pour l eau souterraine On voit que l avis d experts n intervient que si la CMAb n existe pas ou n est pas imp rative En conclusion le seuil S4 est fix de la mani re suivante e Pour As Cd Cr CN Hg Mn Pb Se et Zn il est gal aux valeurs l gales admissibles pour les eaux brutes de surface l entr e d un traitement complet e Pour B Cu Fe Ni Sb F et K il est gal aux valeurs admises par un coll ge d experts avec des taux d abattement respectifs de 0 95 98 50 50 85 et 73 e Pour Ba il n est pas encore disponible et pour Al il sera discut part insolubilite Dans la premi re cat gorie le seuil S4 est gal la norme de potabilit pour Cd Cr CN Hg et Zn dans la seconde c est le cas pour le Bore 87 17 Directives europ ennes 3 1 Directives relatives la consommation humaine Il est important de constater la post riorit de la directive sur l eau potable 1980 par rapport celle sur les eaux de surface potabilisables 1975 En outre certaines normes de potabilit o
91. elui des autres usages AEP ADE France Wallonie Eau de qualit optimale pour tre consomm e Bleu clair Bleu Eau de qualit acceptable pour tre consomm e Bleu fonc Vert Eau non potable n cessitant un traitement de Jaune Orange potabilisation Eau inapte la production d eau potable Rouge Rouge Par ailleurs il est judicieux d introduire un usage industrie alimentaire pour les eaux embouteill es qui peuvent s carter sensiblement des normes relatives l eau de distribution notamment pour le pH le fer et le mangan se cet usage ne reprendra que les alt rations nitrates avec comme seuil S1 la valeur recommand e pour les nourrissons micropolluants min raux et mineralisation ces 2 derni res r duites quelques param tres cl s permettant la distinction de 5 degr s de min ralisation sans leur porter appr ciation 2 Etat PAtrimonial en Wallonie PAW homologue du PAT fran ais tat PATrimonial usage sp cifiquement tabli pour l tat patrimonial wallon en raison de probl mes li s aux limites de quantification pour certaines analyses de la l gislation Sols qui est d velopp e en R gion wallonne et de l insuffisance du PAT dans la version actuellement disponible absence d alteration pour les micropolluants min raux 1 4 Suite aux travaux du d cret pour la protection des sols il semble toutefois int ressant pour les besoins de la SPAQUE notamm
92. ent d ouvrir un usage suppl mentaire permettant d identifier les sites contamin s et intitul examen des eaux souterraines pour la qualification des sites contamin s les normes relatives certains contaminants organiques et d emploi l chelle des sites sont en effet incompatibles avec l tat patrimonial applicable l chelle de la masse d eau voir normes propos es l annexe 2 3 Syst me d Evaluation de la Qualit de l eau en Wallonie SEQW homologue du SEQF fran ais cette fonction via l indice g n ral est l expression g n rale de la qualit harmonis e dans toute la gamme de concentrations observables qui r sulte des diff rences que peuvent pr senter les deux usages pr c dents Enfin les experts ont mis les observations suivantes sur les autres usages d crits dans le SEQEAU Les usages agricoles abreuvage et irrigation au vu des seuils de qualit propos s seront g n ralement rencontr s avec une bonne qualit De plus ils ne sont jamais plus stricts que VADE Ils sont jug s secondaires dans le diagnostic de la qualit et seront d sormais consid r s comme informations compl mentaires Les usages industrie et nergie sont identiques et peu int ressants en ce sens qu ils apportent finalement peu d information suppl mentaire sur la qualit de l eau Ils sont toujours l tude en Wallonie L id e retenue est de s en servir pour qualifier sans contradicti
93. entes eaux min rales naturelles utilisables moyennant traitement r gion des Hautes Fagnes ou de r seaux de canalisations adapt s PVC PE l agressivit de l eau 57 Certaines interpolations se modifient par la m amp me M4 M3 M2 M1 SI S2 S3 54 SEQEAU 5 5 5 8 6 2 6 5 8 5 8 8 9 2 9 5 SEQ ESO 4 5 5 5 6 0 6 5 8 5 8 8 9 2 9 5 I d R sidus secs La relation proportionnelle avec la conductivit lectrique facteur multiplicatif entre 0 75 et 0 8 est correcte Les seuils hauts 3000 mg l nous paraissent galement excessifs et suspects Les maxima en R gion wallonne sont de l ordre de 1000 mg l pour les eaux potabilisables Ce param tre n cessite un compl ment d tude Le autres param tres L IS indice de Langelier servant l usage industrie et nergie n est pas souvent mesur pour l instant Le SAR obtenu par calcul vise l usage Irrigation II Chlorures et sulfates Chlorures et sulfates doivent chacun tre pris en compte leurs origines sont diff rentes Vu le projet de directive fille pour la protection des eaux souterraines o ils sont tous 2 vis s en vue de l tablissement de valeurs seuils et des analyses de tendance il est n cessaire d introduire un tat patrimonial wallon pour ces 2 param tres Pour la distribution d eau potable si la VG de 25 ug l de la Directive 80 778 nous para t correcte pour les chlorures elle semble trop stricte po
94. es sont utilis es dans le cadre d une correction simultan e de la min ralisation Je retransmet ces questions Monsieur Montiel de la SAGEP qui est un expert national reconnu du traitement de l eau En France il n existe que tr s peu d usines de d fluoration la ou des probl mes d exc s de fluor se posaient la solution retenue a t le plus souvent de changer de ressource ou d assurer une dilution suffisante Je vous remercie de vos observations tr s pertinentes qui devraient logiquement nous amener reconsid rer les seuils fluorure Je vous tiens au courant de la suite donn e et vous informe qu au jour d aujourd hui les travaux sur les syst mes d valuation de la qualit des eaux en France sont suspendus suite aux derni res d cisions prises par le Minist re de l Ecologie et du D veloppement Durable besoin de mise en coh rence avec les dispositions de la directive cadre communautaire sur l eau Veuillez agr er Monsieur l expression de mes meilleures salutations 113 2 Ensuite constatation a t faite que la concentration en fluor des eaux souterraines de Wallonie est naturelle corr l e avec la profondeur et rarement significative vd Le fluor dans les eaux souterraines E M vennne Flusrures ml 0 03 02 05 65 08 08 13 mer arpas m Boers DO mi id CL ra A ae er mio nome de poissit 1 5 mp LE mme A 114 3 En conclusion afin de ne pas d classer des eaux
95. est d j r alis e pour ce qui concerne les campagnes d analyses compl mentaires r alis es par VISSeP Lors de la structuration des r seaux de surveillance par masse d eau pour laquelle une tude d un an avec les services d hydrog ologie de l Universit de Li ge vient de d marrer en d cembre 2002 une partie du travail devra tre consacr e a la compatibilit des diff rentes cat gories d analyses et de l usage des ressources retenues pour la surveillance avec le systeme SEQ EAU Dans ce cadre l intervention de plusieurs experts est sollicit e pour la fixation de certains seuils de qualit qui doivent tre adapt s notamment les bruits de fond et les seuils d intervention en ce qui concerne l tat patrimonial relatif aux m taux lourds et aux micro polluants organiques divers L examen de plusieurs param tres chimiques comme les sulfures les cyanures et les fluorures figure galement au programme des travaux de validation Les autres objectifs assign s concernant le SEQ Eaux souterraines au cours de ce contrat d tude sont l examen des usages agricoles et industriels de l eau souterraine et de leur pertinence en Wallonie la mise au point d un indicateur SEQ g n ral permettant de comparer toutes les eaux souterraines sur une m me base en tenant compte la fois de l usage alimentaire de l tat patrimonial des eaux souterraines et de leur aptitude la vie biologique dans les cours d eau qui en
96. et les mesures faites sur place sont indiqu es dans le sch ma suivant le traitement consiste en une a ration vigoureuse avec passage sur lit de chaux relev de pH et saturation en oxyg ne suivi d une filtration sur 3 lits de sables ferm s dispos s en parall le prises d chantillons Conditions op ratoires et mesures 18 mars 2004 d bit 30 m3 h pH 6 3 O2 dissous 0 5 mg l e chantillons brute1 et brute2 1 2 heure d intervalle A ration spargers soufflante et filtration sur calcaire concass H 1 2m Fe203 MnO2 pH 7 0 saturation en oxyg ne e chantillons a r e1 et a r e2 1 2 heure d intervalle r servoir tampon d bit 30 m3 h 3 filtres volume utile 2m3 capacit 20m3 heure e chantillons filtr e1 filtr e2 et filtr e3 pH 7 35 Les r sultats fournis par le LEM de PUCL joints en annexe montrent que e Apr s a ration et filtration sur calcaire concass les concentrations Fe et Mn sont abaiss es respectivement a 16 24 ug l et 286 333 ug l Lors de cette op ration il y a abattement de l arsenic sous 5 ug l tandis que les concentrations de Ni et Zn sont amen es respectivement 13 16 ug l et 8 11 ug l e Apr s filtration compl mentaire sur le filtre sable la concentration Mn est abaiss e en dessous de 2 ug l Pour le fer le taux d abattement est plus faible puisque la concentration r siduelle varie entre 9 et 14 ug l
97. ette de 60 80 m me si la concentration Al atteint 2000 ug l tableaux X XI XU XID HI Troisi me tape de l tude traitement d un volume plus important de solutions 1 litre en pr sence de 10 30 mg l CaCO3 La troisi me s rie d essais a eu pour objet essentiel de suivre le comportement du nickel lors de la pr cipitation chimique pH 7 5 8 NaOH en pr sence de concentrations variables 10 30 mg l de CaCO de qualit chimique L ajout de CaCO comme support inerte pour la filtration du pr cipit devrait en effet am liorer le pi geage des collo des de nickel dans un g teau de filtration dont la masse sera tr s sensiblement augment e Ces essais ont t r alis s en septembre sur base du recours aux quatre types de milieu filtrant d finis ant rieurement savoir A une membrane millipore de porosit 0 1 um m lange d esters de cellulose la membrane tant plac e sur un support en verre muni de trous de plusieurs mm de diam tre B une membrane de m me type plac e sur un support en verre fritt millipore C deux tampons en fibres de verre de porosit 0 5 um d une paisseur nominale de 690 um d pos s sur le support en verre fritt millipore D un tampon en fibres de verre de m me type que les pr c dents d pos sur le m me support en verre fritt Notons que les essais avec le milieu D ont t r alis s avec filtration sans trompe eau Les r sultats obtenu
98. fferents galerie de Hesbaye et nappe alluviale a Engis ainsi que le feuillet explicatif qui sera annex chaque fiche Le cas d Engis qui dans l tat patrimonial appara t en bleu pour les nitrates montre qu il faudra veiller toujours reprendre un maximum d alterations pour garantir la repr sentativit de la qualit g n rale Par ailleurs l importante contamination de la nappe alluviale cet endroit du point de vue de la min ralisation sulfates et des m taux lourds cadmium zinc ressort parfaitement de la fiche simplifi e Enfin les alt rations non mesur es il s agit d analyses sp cifiques d un site industriel comme les pesticides et les hydrocarbures sont clairement mentionn es 3 6 Agr gation des donn es Le SEQ ESO permet d agr ger les donn es en un indicateur cens tre repr sentatif de la masse d eau ce qui est l objectif final recherch Deux m thodes d agr gation des donn es pour une masse d eau ont t envisag es e Premi re m thode agr gation par param tre L indice g n ral de la masse d eau minimum des moyennes par param tre des indices de chaque ouvrage e Deuxi me m thode agr gation par alt ration L indice g n ral de la masse d eau moyenne des minima par ouvrage des indices de chaque param tre d une alt ration Ces deux m thodes consistent effectuer dans l ordre les op rations suivantes les deux premi res op rations tant identiques quelque
99. g l soit 25 de la valeur param trique au lieu de 0 5 ug l Alt ration micro organismes Les bact ries indicatrices correspondent aux Directives europ ennes sur l eau potable Il y a lieu de faire le choix des nouveaux param tres E Coli et ent rocoques 61 Cette alt ration n est pas toujours mesur e par les producteurs sur les eaux brutes puisque les eaux sont quasi syst matiquement d sinfect es Par ailleurs une fr quence d chantillonnage plus lev e est n cessaire pour quantifier cette alt ration Alt ration go ts et odeurs L eau souterraine n est pas go t e lors du pr l vement tandis que l odeur se r sume une appr ciation qualitative Les alt rations parfois mentionn es sont odeur LL n d hydrocarbures odeur de soufre odeur d gout ou odeur de purin La m thode du seuil de d tection 25 C l eau dilu e plusieurs fois est pr sent e un jury n est jamais pratiqu e Tous les l ments responsables d odeurs et de saveurs particuli res et non acceptables sont repris dans les autres alt rations et donc quantifiables au sein de celles ci Nous proposons de ne pas prendre en compte l alt ration go ts et odeurs Il est toutefois important de signaler toute odeur per ue lors d un pr l vement pour permettre de la confirmer lors de l analyse Alt ration coloration M me observation que pour odeurs et saveurs m me si gr ce l chelle platine cobal
100. hes g ologiques et mini res BRGM un syst me d valuation de la qualit des eaux souterraines SEQ Eaux souterraines qui puisse rendre compte de leur sp cificit tout en restant coh rent avec le syst me mis au point pour les eaux de surface Une version op rationnelle du SEQ Eaux souterraines a t pr sent e par l Agence Rhin Meuse en f vrier 2002 l occasion d un s minaire scientifique organis dans le cadre du projet PIRENE 23 A notre connaissance en dehors d un ensemble de grilles de qualit utilis es par l Agence su doise de l Environnement c est la premi re fois qu un tel outil de synth se et d aide la d cision est propos en Europe pour la qualit des eaux souterraines Le SEQ Eaux souterraines est d j op rationnel en France des modifications mineures intervenant de temps autre L Agence de l Eau Rhin Meuse a donn son accord pour que la R gion wallonne soit ins r e dans le processus de tenue jour r guli re du SEQ Eaux souterraines et de son logiciel Principe du SEO Eaux souterraines Le syst me est bas sur la notion d alt ration Les param tres chimiques sont apparent s du point de vue de leur nature de leurs effets et du traitement de l eau qu ils n cessitent Un ensemble de 17 alt rations les pesticides les m taux lourds les micro polluants min raux a t d fini Pour chacune de ces alt rations un indice de qualit varia
101. i la place de la valeur seuil Alt ration micropolluants min raux La mesure de l argent n est plus consid r e comme pertinente celle du baryum manque l appel par contre Pour ce param tre l ADE S1 est fix 100 ug l par la directive de 1980 et la norme de potabilit imp rative est de 1000 Toutefois nous intercalons la valeur guide de POMS 700 en ADE S2 Le param tre est inclus dans l alt ration MIX min ralisation compl mentaire Ba S1 S2 53 54 ADE 100 700 700 1000 SEQW 100 400 700 1000 L aluminium total peut tre en grande partie naturel Rarement dissout il devrait rejoindre l alt ration Particules Fer et Mn avec la silice SiO2 Il nous para t important d introduire cette alt ration dans l usage patrimonial ce qui fait d faut dans le SEQEAU fran ais Le bruit de fond des m taux dans les eaux souterraines a t valu pour le d cret Sols et les valeurs de r f rence seuils de la classe de qualit bleu sont disponibles De l autre cot de l chelle des valeurs d intervention pour assainissement VInappe soit l quivalent des valeurs C n erlandaises seront galement bient t disponibles Par ailleurs nous proposons de traiter les m taux lourds le bore par suite de m thode d analyse commune standard l ICP par des autres micropolluants min raux c d principalement les cyanures mais aussi les sulfures et le baryum
102. ible d introduire dans le SEQ ESO une alt ration suppl mentaire intitul e mati res phosphor es L analyse du phophore total tant plus fiable ce param tre serait obligatoire En attendant le passage aux phosphates totaux les phosphates seraient facultatifs L alt ration serait calcul e pour la fonction BIO et les seuils de potabilit seraient utilis s pour construire un indice g n ral permettant d appliquer la Directive Cadre Il est n cessaire pour cela que la norme de potabilit glisse de S3 en S4 en QGW Pour le phosphore total cela donne le tableau suivant expression P205 Qualit Bleu Vert Jaune Orange Rouge Seuils S1 S2 S3 S4 Indice ADE 0 40 5 00 n ant A d finir Indice BIO 0 115 046 as 2 3 Indice g n ral 0 115 0 40 1 15 5 0 gt Il n y a donc pas de probl me de seuil de d tection Pour les phosphates cela donne le tableau suivant expression PO4 Qualit Bleu Vert Jaune Orange Rouge Seuils Sl S2 S3 S4 Indice BIO 0 1 0 5 1 2 Indice g n ral 0 1 0 52 0 9 4 5 en premi re approximation 2 3 x 5 x 190 2PO4 142 P205 La simulation de ces grilles de qualit donne les r sultats suivants e Toutes les nappes sont dans le bleu pour BIO QGW indice g n ral et bien entendu ADE sauf les eaux carbo gazeuses vert pour BIO et QGW et les calcaires du Tournaisis jaune pour BIO et QGW e Dans le dernier cas on peu
103. ient d utilisation moyen de la fumure P tait seulement de 3 2 dans notre essai Cela signifie que 97 de la fumure P reste dans le sol Des essais d puisement du sol 100 sols diff rents par culture en pots 11 coupes successives ont galement t suivis dans le cadre d une tude r alis e par ECOP Les sols forestiers ont des r serves faibles En g n ral il y a puisement apr s 4 coupes sans apports de P Viennent ensuite les sols des associations v g tales naturelles Fonds de vall es abandonn s r serves naturelles nardaies qui n ont pas subi l intensification agricoles Les sols des marais sont g n ralement tr s riches probablement suite des apports avec les s diments Ensuite les sols de prairies et de cultures puis les jardins potagers tendance lin aire jusque la 11 me coupe Des bilans des l ments min raux d exploitation agricoles de la r gion de Bastogne 5 exploitations montrent un solde positif de25 kg en moyenne de 9 36 kg de P ha Au niveau des parcelles le solde va de 28 kg 120 kg P ha Ces donn es sont tir es des documents suivants Biblio ECOP Lambert R Lambert J Toussaint B 1992 R sultats d un essai d puisement du sol en phosphore 1984 1990 Communication interne Lambert R Lambert J Toussaint B 1992 Comparaison de 2 m thodes d extraction utilis es pour le dosage du phosphore dans le sol Communication interne Etienne MA Lambert R Lambert J Tou
104. il quivalent pour les eaux de surface potabilisables Directive du Conseil des Communaut s europ ennes du 17 juillet 1980 relative la qualit des eaux destin es la consommation humaine En ADE afin de ne pas cr er de classe de qualit moyenne qui n existe pas le seuil S3 est toujours gal au seuil S2 Cependant dans le tableau S3 appara t parfois l g rement inf rieur S2 Il s agit d un artifice permettant d emp cher des valeurs hors limites de calcul Directive du Conseil des Communaut s europ ennes du 16 juin 1975 concernant la qualit requise des eaux superficielles destin es 4 la production d eau alimentaire 1 8 Le seuil ADE S4 a fait l objet d une discussion approfondie et d essais de traitabilite r alis s par l UCL pour certains m taux ces travaux sont d taill s au point 3 4 Questions sp ciales En conclusion les seuils S4 d AEP et ADE diff rent finalement fort peu Etat patrimonial des eaux souterraines PAW d velopp partir de PAT Ici les diff rences entre SEQEAU et SEQ ESO sont nombreuses elles tiennent la volont d inclure la toute nouvelle l gislation wallonne concernant les sites contamin s Une distinction a donc t op r e entre les polluants diffus ou r p t s dans l espace nitrates et pesticides et les polluants ponctuels hydrocarbures et m taux lourds essentiellement pour les micropolluants min raux la valeur d inter
105. ion vers Li ge qui par d crochages intempestifs peuvent donner une eau avec AI gt 200 la teneur moyenne valant 50 au niveau des r servoirs de Li ge 13 Evaluation L aluminium soluble est quasi inexistant dans les nappes pH neutre bicarbonat es calciques mais peut repr senter une fraction non n gligeable de l aluminium total dans les nappes subissant l acidification Cet l ment semble cependant le plus souvent induit par ruissellement entra nant des particules du sol dans les captages superficiels et les eaux de surface L utilisation d alun comme coagulant augmente certes la fraction soluble mais elle repr cipite en partie apr s correction du pH Discussion solubilit th orique Gibbsite pH 7 et 4 La litt rature mentionne un produit de solubilit Kps Al OH 10 Soit pH 4 pour l aluminium en solution 0 0001M ou encore 2 7 mg l Et pH 7 10 M donc Al non d tectable Par ailleurs les tudes d quilibre plus pouss es indiquent que dans les eaux acides pH lt 5 la solubilit de Al se confond avec celle d Al car les autres esp ces AlOH AI OH 2 sont n gligeables Discussion r duction de solubilit g ochimie des alumino silicates exemple Kaolinite Dans son trait sur l alt ration des roches l hydro g ochimiste am ricain Donald LANGMUIR recalcule l quilibre en pr sence de silice 17 ppm SiO2 et indique que la kaolinit
106. it KMnO4 Carbone organique 3 Part et l m filtrables 3MES Turbidite Matieres en suspension 3FEM Fer sur filtr 0 41 Mangan se 3ARG Aluminium Silice PAW SEGW BO TALLBETAR 1 Min ralisation et Magn sium Sodium R sidu sec 180 C Alcalinit totale ou bicarbonates Calcium 1MIX Potassium 2 MO et subst eutroph Oxydabilit KMnO4 Azote Kjeldahl Phosphore total Ortho Phosphates 3 Part et l m filtrables 3MES Turbidit Mati res en suspension 34 4 Micropolluants 4 Micropolluants 4 Micropolluants Cyanures totaux Cyanures totaux Cyanures totaux 4 Micropolluants 4 Micropolluants mineraux mineraux 4MPM 4MPM Arsenic Arsenic Cadmium Chrome Chrome Cuivre Cuivre Nickel Nickel Plomb Plomb Zinc Zinc 5 Produits phyto D s thyl Atrazine D s thyl Atrazine Desethyl Atrazine Pesticides Totaux 6 Hydrocarb et Benzo a pyr ne HAP Somme 4 Benzo b fluoranth ne Benzo k fluoranth ne Benzo g h i p ryl ne Ind no 1 2 3 cd pyr ne Benzo a pyrene HAP Somme 4 Benzo b fluoranth ne Benzo k fluoranth ne Benzo g h i perylene Indeno 1 2 3 cd pyrene HAP Somme 4 Benzo b fluoranthene Benzo k fluoranthene Benzo g h i p ryl ne Ind no 1 2 3 cd pyr ne D s thyl Atrazine Diuron Isoproturon Simazine Terbuthylazine Hexachlorocyclohexane gamma 6 Hydrocarb et
107. l 1 0 25 100 175 250 0 0 0 0 SEQW I3ARG Silice mg l SiO2 2 0 25 50 100 5000 0 0 0 0 ALI 1MIN Calcium mg l 5 0 20 80 160 240 0 0 0 0 ADE 1MIN Magnesium mg l 1 0 25 50 50 200 0 0 0 0 AEP 1MIN Magnesium mg l 1 0 30 50 50 400 0 0 0 0 ALI 1MIN Magnesium mg l 1 0 12 24 50 75 0 0 0 0 SEQW 1MIN Magnesium mg l 1 0 10 25 50 200 0 0 0 0 SEQF 1MIN Magnesium mg l 1 0 30 40 50 400 0 0 0 0 ADE 1MIN Sodium mg l 1 0 20 150 195 200 0 0 0 0 AEP 1MIN Sodium mg l 1 0 20 200 195 200 0 0 0 0 ALI 1MIN Sodium mg l 1 0 20 100 200 500 0 0 0 0 BET 1MIN Sodium mg l 1 0 150 150 2000 2000 0 0 0 0 SEQW MIN Sodium mg l 1 0 20 80 150 200 0 0 0 0 SEQF 1MIN Sodium mg l 1 0 20 80 140 200 0 0 0 0 ADE 1MIX Potassium mg l 0 3 0 10 12 12 24 0 0 0 0 AEP 1MIX Potassium mg l 0 3 0 10 12 12 70 0 0 0 0 ALI 1MIX Potassium mg l 0 3 0 10 20 30 40 0 0 0 0 SEQW 1MIX Potassium mg l 0 3 0 5 10 12 24 0 0 0 0 SEQF 1MIX Potassium mg l 0 3 0 10 11 12 70 0 0 0 0 ADE 1MIX Baryum ug l 10 0 100 700 700 1000 0 0 0 0 SEQW 1MIX Baryum ug l 10 0 100 400 700 1000 0 0 0 0 ADE 3ARG Aluminium ug l 10 0 50 200 200 10000 0 0 0 0 SEQW 3ARG Aluminium ug l 10 0 50 100 200 10000 0 0 0 0 SEQF 4MPM Aluminium ug l 10 0 50 125 200 10000 0 0 0 0 ADE 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 25 50 50 100 0 0 0 0 AEP 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 25 50 50 100 0 0 0 0 BET 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 50 49 9 450 451 0 0 0 0 BIO 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 2 10 25 50 0 0 0 0 38
108. l que soit le milieu filtrant utilis d s que le milieu filtrant est plus performant il est possible d arriver syst matiquement des concentrations Ni voisines de 5mg l si la solution contient 5000 ug l Fe et 20 30 mg l CaCO dans tous les essais r alis s au cours de la troisi me campagne d essais la concentration r siduelle de Fe des solutions a toujours t ramen e en dessous de 10 ug l quelle que soit la concentration Fe initiale Ces r sultats confirment dans une tr s large mesure l importance du syst me de filtration des pr cipit s sur la qualit chimique de l eau recueillie apr s traitement du moins pour ce qui concerne les ions Ni Conclusions g n rales Les essais r alis s au cours de l tude mettent clairement en vidence que la pr cipitation un pH compris entre 7 5 et 8 du nickel du zinc du mangan se apr s ajout de KMnO et du fer de solutions synth tiques en milieu chlorure peut conduire a des filtrats respectant les normes de traitabilit de l eau pour autant que la filtration des pr cipit s soit tr s efficace et que la temp rature n atteigne pas des niveaux anormaux environ 35 C la pr sence en solution de fer en concentration plus lev e 5000 ug l par exemple et d un inerte tel que du CaCO 20 30 mg l am liore nettement la qualit du filtrat gr ce la formation au cours de la pr cipitation d une masse plus importante de solide fi
109. la pr cipitation un pH compris entre 7 5 et 8 du nickel du zinc du mangan se avec ajout de KMnO et du fer de solutions synth tiques en milieu chlorure peut conduire des filtrats respectant les normes de traitabilit de l eau pour autant que la filtration des pr cipit s form s soit tr s efficace Ja filtration totale des pr cipit s para t un probl me soluble mais difficile r soudre du moins lorsqu on traite de petits volumes de solution et que la concentration Fe ne d passe pas 500 ug l IL Deuxi me tape de l tude traitement d un volume plus important de solutions 1 litre L objectif essentiel de cette deuxi me tape de l tude a t de voir dans quelle mesure les performances atteintes lors des essais pr c dents pouvaient tre am lior es en traitant des volumes plus importants de solutions 1 litre au lieu de 100 ml tout en utilisant les m mes milieux filtrants que pr c demment On pouvait s attendre en effet constater de l g res am liorations par suite de l accroissement de la masse de pr cipit filtrer Les r sultats obtenus sont pr sent s aux tableaux VII XII Pour la bonne compr hension de l interpr tation ult rieure des r sultats il est utile de signaler que dans le tableau VIII les essais 1 1 1 6 1 1 concernent les m mes conditions op ratoires NaOH le m me type de milieu filtrant type A que celles des essais 1 a 6 du tableau I Les bilans ont t
110. le cadmium donnera toujours au minimum du jaune avec la limite de quantification accept e actuellement En attendant de pouvoir diminuer celle ci il faut liminer ce param tre On consid re que si seule l excellente qualit bleu n est pas valuable on peut quant m me calculer l indice relatif un param tre le vert tant suffisant pour les conclusions sur la qualit cette remarque sera faite sur la fiche type SEQ pour BIO Cette attitude est galement adopt e en France En duret faible seuls 2 l ments sont valuables au minimum dans le vert il s agit du nickel et du plomb Or le SEQ exige pour BIO qu au moins 4 param tres dans la liste ci dessus 82 soient mesur s pour qualifier l alt ration micropolluants min raux Dans ces conditions il vaut mieux liminer le MPM duret faible pour les eaux souterraines plut t que de faire accroire que Ni et Pb sont syst matiquement des param tres limitants Restent valuables Pour la duret moyenne 4 param tres Cd et Zn sont limin s Cr Cu Ni sont valuables partir du vert Pb est parfaitement valuable Il est propos d appeler cette alt ration MLd M taux lourds dans les eaux douces une duret lt 20 F tant jug e faible pour les eaux souterraines Pour la duret lev e et donc le MPM g n ral 6 param tres Cd et Hg sont limin s Cr Cu et Zn sont valuables partir du vert As Ni et Pb sont
111. les concentrations naturelles rencontr es en France sont localement tr s lev es et n cessitent la mise en uvre de traitements sp cifiques Or en R gion wallonne ce n est manifestement pas le cas Pour le fluor on peut en revenir l application de la CMAb C est galement le cas pour le cuivre o 1l n est nullement n cessaire de fixer 4000 1000 tant largement suffisant en R gion wallonne Tenant compte d une marge d incertitude on peut fixer S4 10000 pour le fer comme en France et 24000 pour le potassium nettement plus strict qu en France La pr sence de nappes plus riches ne s oppose pas l utilisation de la CMAb 1000 pour le baryum et le bore puisque aucun traitement d eau n est n cessaire En conclusion les seuils S4 de potabilisation sont parfaitement acceptables voire inutilement excessifs d autant que les eaux souterraines potabilisables c d l cart des contamination locales ne pr sentent pas l exception des cas du nickel et du s l nium de concentrations aussi lev es en Wallonie pour ce qui concerne les micro polluants min raux 92 20 Traitements d eau th oriques Le tableau suivant synth tise les donn es pr c dentes en appliquant les anciennes normes existantes principe du stand still concernant les CMAeRW et en d duit les taux d puration qui seraient n cessaires Param tre S
112. llonnes se r partissent bien dans les 3 classes de duret consid r es 0 5 5 20 gt 20 F surtout si on fait la distinction entre les affluents sup rieurs des bassins duret faible et la rivi re principale A titre d exemple 1 Ambl ve et la S re restent ultra douces sur tout leur parcours La Lesse et la Vesdre atteignent la classe moyenne de duret La plupart des cours d eau du Nord de la R gion et les 2 fleuves sont globalement en duret lev e En ce qui concerne les nappes souterraines elles sont toutes en duret lev e l exception des formations de l Ardenne Schisto gr seux y compris Vesdre et Eaux carbo gazeuses duret moyenne faible socle Cambro silurien duret faible En cons quence il est propos de prendre les seuils en duret forte valuables pour tous les m taux voir ci dessous dans l alt ration g n rale MPM micropolluants min raux et non plus la duret moyenne 80 4 Seuils non valuables Le tableau ci dessous permet de comparer les limites de quantification actuelles des analyses de m taux aux aptitudes du SEQ et d en tirer les conclusions quant l Evaluation possible des classes de qualit Toutes les valeurs sont en ug litre Les classes de qualit non accessibles s obtiennent par comparaison des seuils avec la moiti valeur la plus probable de la limite de quantification maximale admissible actuellement pour les eaux souterraines LOQ ESO
113. lonne Enfin les quatre seuils de qualit sont baptis s S1 S2 S3 et S4 dans l ordre des qualit s d croissantes M1 M2 M3 et M4 pour les seuils relatifs des valeurs minimales Fondamentalement le pari est pris que le SEQ ESO moyennant un syst me d agr gation ad quat des donn es permet d valuer correctement l tat chimique d une masse d eau souterraine partir des analyses r alis es sur chacun des sites constituant un r seau de surveillance suffisamment repr sentatif de cette masse d eau La normalisation et la r duction des donn es inh rentes au SEQEAU est donc mise profit pour les agr ger via l utilisation d une simple moyenne arithm tique 3 1 Les usages Trois usages ont t adapt s la Wallonie en termes de seuils et de contenu des alt rations les correspondants fran ais sont cependant galement calcul s par le SEQ ESO des fins de comparaison 1 Aptitude la Distribution de l Eau ADE homologue de l AEP fran ais Alimentation en Eau Potable usage tabli pour le pr l vement d eau destin e la distribution par r seau en raison de certaines sp cificit s des normes pour l eau potable et des traitements de potabilisation des eaux brutes souterraines absence de normes en R gion wallonne Etant donn que le seuil S3 et donc la classe de qualit moyenne n existe pas pour cet usage le code de couleurs des classes de qualit a t revu pour tre harmonis avec c
114. lt lt nD lt 1 En pollution nouvelle 1 1 Le type d usage I s applique aux terrains affect s au plan de secteur ou au plan communal d am nagement e en zone foresti re e en zone naturelle e en zone marqu e de la surimpression p rim tre de liaison cologique Le type d usage I s applique galement aux terrains inclus dans les p rim tres des sites de grand int r t biologique repris dans la base de donn es SGIB de la Direction G n rale des Ressources Naturelles et de 1 Environnement 1 2 Le type d usage II s applique aux terrains affect s au plan de secteur ou au plan communal d am nagement en zone agricole Dans la version du 31 03 2003 il tait propos que le type d usage I s applique galement aux sites Natura 2000 sites vis s par le D cret du 6 d cembre 2001 relatif la conservation des sites Natura 2000 ainsi que de la faune et de la flore sauvage et aux terrains inclus dans les perimetres de pr vention de captage Propositions de normes pour les sols et les eaux souterraines 16 03 2004 Annexe lll 33 pH in situ Conductivit in situ Durete totale 2 MO et subst eutroph Oxydabilit KMnO4 Carbone organique 3 Part et el amp m filtrables 3MES Turbidite Matieres en suspension 3FEM Fer sur filtr 0 41 Mangan se 3ARG Aluminium 1 Min ralisation et salinite 1MIN pH in situ Conductivit in situ Oxydabil
115. lt ration Dans l tat actuel des travaux cette table contient 300 chelles de qualit e Une table permettant de d finir les ouvrages captages ou pi zom tres retenus en tant que Stations de surveillance des masses d eau souterraine c d la d finition du r seau de surveillance Le sch ma relationnel entre les tables n cessaires est le suivant R sultats Alt rations Usages Grille de qualit Cette configuration autorise un traitement unique des donn es pour le SEQ ESO quelle que soit la masse d eau et le r seau de surveillance choisi pour tous les param tres alt rations et usages retenus Les fl ches sont indiqu es dans le sens o chaque donn e de la table de d part comprend ou est d crite par plusieurs donn es de la table d arriv e relations 1 gt La relation entre Ouvrages et Stations a t d velopp e pour ne pas grever la table des ouvrages de leurs caract ristiques rarement connues en tant que points de surveillance La table additionnelle R seaux permet de simuler des r seaux provisoires ou destin s des applications particuli res autres que le r seau principal scientifiquement tabli et baptis SEQ Les tables existant avant le d veloppement du SEQ ESO Ouvrages Analyses Param tres et R sultats sont d crites dans la pr sentation de Calypso faite par la Conf rence Permanente pour le D veloppement Territorial site Web CPDT wallonie be Rappelons que R sulta
116. ltrer quels que soient le type du milieu filtrant utilis et la masse de CaCO ajout e aux solutions 20 mg l ou 30mg l la concentration Ni ne peut tre abaiss e en dessous de 45 65 ug l un pH de 7 5 8 lorsque la concentration Fe est limit e 500 ug l Ce constat n est pas tranger au fait que les ions Ni pr cipitent difficilement sous forme d hydroxydes avec un rendement lev si le pH reste maintenu des valeurs comprises entre 7 5 et 8 De meilleures performances seraient obtenues un pH de 9 les ions Al ne peuvent tre limin s des solutions avec des rendements sup rieurs 60 80 lorsque leur concentration initiale atteint 2000 ug l tout comme celle des ions Fe Louvain la Neuve le 4 d cembre 2003 C WILMUS Dr A VAN LIERDE Analyste chimiste Professeur Annexes 17 tableaux 100 pH 7 5 8 0 par NaOH Tableau conc solution de d part ug l ug l ug l Mni t Ni2 Ni2 Ni Mn Mn MnCI2 KM n04 filtrat precipit filtrat precipit filtrat 0 26 70 26 5 0 75 31 75 0 51 48 51 z 0 43 65 43 s z 170 66 28 66 132 17 7 170 72 26 72 132 21 8 170 72 25 72 88 45 9 170 50 48 50 105 38 2 27 68 27 a 31 70 31 Filtre millipore 0 11 sur support en verre muni de trous Tableau Il pH 7 5 8 0 par Na2C03 conc solution de d part ug l ug l Ni Ni Ni Fe Fe Fe filtrat precipit filtrat
117. lx pourra te donner plus d infos sur ce sujet Dans le cadre d une tude du Laboratoire d Ecologie des Prairies financ e par la RW Observatoire des sols on a fait le point de la situation dans la Province de Luxembourg sur 2211 parcelles R gion Jurassique Ardenne et une partie de la Famenne Sur base des normes de richesse en vigueur 66 des sols sont carenc s en P 23 ont une bonne teneur et 11 sont riches Pour les parcelles en R gion jurassique 70 sont pauvres 69 en Ardenne te 45 en Famenne Les sols de prairies permanentes sont g n ralement plus pauvres 76 sont pauvres que les sols de cultures 46 ou en prairies temporaires 63 Un essai d puisement du sol en P a t suivi de 1984 1990 Michamps sur un sol qui pr sentait une bonne teneur On observe des fluctuations importantes de la teneur en P d une ann e l autre li es vraisemblablement aux conditions climatiques Sur les parcelles sans P la teneur relative teneur des parcelles sans P teneur des parcelles avec P diminue sans application de P pendant les 4 5 premi res ann es puis se stabilise Ce qui semble indiquer un nouvel tat d quilibre entre l absorption par la plante et la lib ration par le sol Min ralisation de la mati re organique On a observ des effets significatifs de la suppression de la fumure P sur les rendements mais de fa on sporadique L effet sur les teneurs en P des plantes est par contre plus marqu Le coeffic
118. m me temps que l indice minimal e AASEQo5 deuxi me agr ation obtention des IMA correspondant aux alt rations par le minimum des IMO e AASEQo 6 requ te crois e destin e g n rer la planche de qualit usage X alt ration relative l ouvrage elle contr le galement le nombre de param tres trait s pour chaque alt ration Pour une masse d eau e AASEQmM4 s lection d une masse d eau et ventuellement d un r seau de surveillance autre que SEQ Deuxi me agr gation obtention des IMM correspondant la masse d eau par la moyenne des IMO Cette requ te contr le le nombre de stations impliqu es dans le traitement e AASEQm5 criture des expressions IMM CODE ceci signifie que le code de chaque param tre est recopi dans la partie d cimale de l indice IMM qui lui correspond de mani re tre retenu en m me temps que l indice minimal e AASEQm6 requ te crois e destin e g n rer la planche de qualit usage X alt ration relative a la masse d eau elle effectue la troisi me agr gation minimum des IMM aboutissant l alteration et contr le galement le nombre de param tres trait s pour chaque alt ration La 6e requ te est dans chaque cas appel e et inject e par lien ODBC dans des fichiers Excel ou s effectue la mise en forme des planches de qualit d taill e et simplifi e dont l ajout des codes couleur et le remplacement des codes param tre par leur libell court L
119. me le montre le tableau ci dessous Aptitude de l eau la Aptitude de l eau Niveaux de d gradation de Production d eau potable pour les autres Etat Patrimonial usages Bleu Eau de qualit optimale Aptitude tr s aude us naturel Pour tre consomm e bonne sub naturelle Eau de composition proche de Vert Eau de qualite acceptable Aptitude bonne l tat naturel mais d tection Pour tre consomm e d une contamination d origine anthropique D gradation significative Jaune Aptitude passable par rapport l tat naturel Eau non potable n cessitant A res oe un traitement de Aptitude mauvaise eae eee dette potabilisation p pp Eau inapte la production ar D gradation tr s importante Rouge d eau potable Inapte l usage par rapport l tat naturel Pour chacune des fonctions et chacun des param tres envisag s la concentration de chacune des valeurs mesur es est transform e en un indice adimensionnel et ce gr ce un mod le simple d interpolation entre chaque seuil Chacun des param tres fait l objet de la m me proc dure de calcul afin de d terminer sa classe de qualit Les diff rentes alt rations sont alors d finies par la classe de qualit du param tre qui donne le moins bon r sultat principe du param tre limitant Globalement l aptitude de l eau satisfaire un usage ou une fonction est donn e par le minimum des diff rentes alt rations retenues ce qui
120. ment basique suivi d une neutralisation en fin de cha ne de traitement Filtration simple g n ralement sur sables en lit ouvert gros d bits ou ferm s Le traitement de l eau des Emprises Tournai injection d air filtres ouverts ram ne ainsi le fer de 2000 maximum 3500 200 u g l pour le mangan se on passe de 100 30 ug l Ce traitement semble sans effet sur les m taux lourds en traces Zn 100 Ni 30 Pb 20 Moyennant une colonne d oxydation et des sables sp ciaux Aquamandix l IECBW r alise les performances suivantes Genval fer IN 1050 OUT 50 mangan se IN 93 OUT 10 Exceptionnellement la pr cipitation d cantation la chaux ou la soude est toutefois utilis e pour adoucissement des eaux distribu es Tournai par la SWDE pour liminer le plomb naturel Sclaigneaux mais il faut dans ce cas que la ressource soit strat gique peu ou pas d alternative Il existe galement des projets de traitement de l aluminium dans les eaux acide des Hautes Fagnes par simple remin ralisation passage sur lits de calcite ou de magn sie D autres parties du traitement A3 sont adapt es aux eaux souterraines pour les d bits ordinaires mais ne visent pas les micropolluants min raux filtres charbon r sines 90 Toutefois les r sines cationiques utilis es pour l adoucissement ont certainement une action sur certains m taux cas du cuivre Tourn
121. min raux exige les r sultats relatifs au moins 4 param tres parmi les suivants As B Cd Cr Cu CN Hg Ni Pb Se et Zn quels qu ils soient Parmi les alt rations propos es par la France les suivantes ne sont pas retenues dans un premier temps pour le d veloppement du SEQ ESO e les alt rations go t et odeur et coloration les param tres organoleptiques sont en g n ral subjectifs et difficilement quantifiables En outre ils sont en g n ral couverts par d autres param tres fer sulfures etc e les micro organismes ils ne sont pas mesur s par les producteurs sur eau brute et n cessitent des fr quences de mesure plus lev es une analyse par mois pour tre correctement valu s de plus l absence de bact ries indicatrices est un v u pieu au niveau des eaux brutes la d sinfection des eaux souterraines tant en cons quence g n ralis e de plus les param tres microbiologiques ne sont pas vis s par la Directive cadre de l eau e les PCB polychlorobiph nyles ne sont traditionnellement mesur s qu en cas de probl me suspect pollution locale e quant aux alt rations corrosion et formation de d p ts priori contradictoires elles seront envisag es dans un second temps en affinant le choix des param tres concern s potentiel r dox sulfures Par contre il a t jug n cessaire d introduire des alt rations nouvelles ou distinctes pour les mati res phosphor es
122. mpons en fibres de verre sur un support en verre fritt les bilans ont t calcul s sur base de l analyse du filtrat et de la solution recueillie lors de l immersion du support filtrant et de la membrane dans une solution acide dissolution du pr cipit Les donn es reprises dans les tableaux donnent la r partition des ions entre le filtrat et la solution acide d attaque de la membrane et du support exprim e par rapport la concentration des ions dans la solution initiale L tude a t men e en trois tapes successives 95 Lors des deux premi res tapes les essais ont t effectu s sur respectivement 100 ml et 1 litre de solutions telles que d finies pr c demment Les objectifs poursuivis taient doubles suivre le taux d limination des ions Ni Fe Mn et ventuellement Zn en fonction du r actif utilis NaOH ou Na CO pour porter le pH entre 7 5 et 8 et des concentrations respectives des divers ions valuer l efficacit des syst mes de filtration mis en jeu et d terminer l influence du volume de la solution trait e sur les performances atteintes La troisi me tape concerne des essais compl mentaires r alis s dans les m mes conditions op ratoires g n rales que celles adopt es pour les essais effectu s au cours de la seconde tape de l tude du CaCO ayant t toutefois ajout aux solutions traiter afin d valuer son influence sur l efficacit de la filtration des p
123. n les teneurs varient entre 10 et 500 et Al est semble t il associ avec des solut s organiques acides humiques A Stavelot Jalhay et Stoumont elles sont syst matiquement gt 50 mais ne semblent pas directement corr l es au pH acide dans cette R gion lequel varie entre 6 et 5 avec un minimum de 4 relev Stoumont Un essai r alis par l ISSeP sur un site contamin a montr que l aluminium tait concomitant avec de fortes turbidit s et donc pr sent sous forme de collo des pH neutre Des mesures d AI dissous filtration 0 45 picrons et total ont t r alis es ensuite sur ce site de m me qu Stoumont Lieu PH K20 uS cm Turbidite Al total Al sur filtre a NTU 0 45u Bierset F1 7 35 740 291 15756 lt 30 La Gleize 4 45 49 0 02 341 377 Targnon 4 59 66 0 01 421 488 Dans les eaux acides des Hautes Fagnes l aluminium est donc solubilis au del de la norme de potabilit 76 Dans ce cas son origine est parfaitement naturelle il provient du sol et de la roche comme le fer et le mangan se dans la plupart des cas Il ne devrait pas tre group avec les autres m taux lourds et les m taux toxiques Cu Cd Cr Enfin d apr s la SWDE l eau des barrages de l Est Eupen Verviers qui subit un traitement de coagulation floculation avec Al2 SO4 3 xH2O et donc le pH est corrig 8 en sortie de station provoque des d pots dans l adduct
124. ne ng l 25 0 25 50 100 1000 0 0 0 0 SEQF 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Simazine ng l 25 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 AEP 5PES Simazine ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 BIO 5PES Simazine ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 PAT 5PES Simazine ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAW 5PES Simazine ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES Simazine ng l 25 0 25 50 100 1000 0 0 0 0 43 SEQF 5PES Simazine ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Diuron ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Diuron ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 BIO 5PES Diuron ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 PAT 5PES Diuron ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAW 5PES Diuron ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES Diuron ng l 25 0 25 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Diuron ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Isoproturon ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Isoproturon ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 BIO 5PES Isoproturon ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 PAT 5PES Isoproturon ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAW 5PES Isoproturon ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES Isoproturon ng l 25 0 25 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Isoproturon ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Chlortoluron ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 AEP 5PES Chlortoluron ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 BIO
125. nes il faut en r f rer a l ISSeP La valeur A3 2 ug l gale 20 fois la norme de potabilit soit un rendement de 95 de traitement correctif para t a priori norme il est peu probable que chaque substance b n ficie de ce taux d puration sur les charbons actifs en grains tels qu ils sont mis en uvre classiquement Nous nous r f rons ici aux tests pilotes et tudes r alis es par la Facult agronomique de Gembloux M C GERARD et J P BARTHELEMY 2003 Bien que peu de substances ont encore t tudi es il ressort de ces tudes que la difficult d adsorption n est pas n cessairement li e la polarit de la substance Les auteurs proposent 3 classes de traitabilit pour une s rie d herbicides dont nous tiendrons compte comme indiqu ci dessous pour le seuil S4 En conclusion on obtient les grilles suivantes toutes valeurs exprim es en ug litre Pour l atrazine et le diuron et la plupart des herbicides Substances S1 S2 S3 S4 SEQEAU 0 01 0 05 0 1 2 SEQ ESO Ur es substitu es 0 025 0 05 0 1 2 SEQ ESO Triazines et chloridazon 0 025 0 05 0 1 1 SEQ ESO Phythormones et uraciles 0 025 0 05 0 1 0 5 Pour le lindane et les organochlor s phosphor s utilis s par l agriculture 60 SI S2 S3 S4 SEQEAU 0 01 0 05 0 1 SEQ ESO 0 01 0 05 0 1 1 Pour l aldrine la dieldrine l heptachlore et l heptachlore poxyde
126. nium et silice Al SiO2 Fer et Mangan se Fe Mn Particules en suspension turbidite M E S M taux lourds dans les eaux douces Cr Cu Ni Pb B 29 Micropolluants min raux Cr Cu Ni Pb As Zn Cd Hg B E 5PES Pesticides atrazine D atrazine diuron simazine isoproturon 1 6HAP Hydrocarbures aromatiques polycycliques 6 param tres 6SOL_Autres Micropolluants Organiques benz ne PCE TCE 8COR Corrosion 8FDP Formation de depots Qualit globale par usage 1 compl ment F lindane terbuthylazine Usages agricoles Usages industriels complement W bromacile chloridazon bentazone BET abreuvage ALI agro alimentaire et embouteillage IRR irrigation NRG autres industries et nergie SEQ F est l indice g n ral de qualit fran ais obtenu par combinaison de AEP Production d eau potable et de l tat patrimonial PAT F SEQ W est l indice adapt a la R gion wallonne obtenu par combinaison de ADE Distribution publique et de l tat patrimonial PAT W ou accessoirement BIO Appr ciations pour l usage industrie alimentaire alt ration non pertinente pour cet usage eaux tr s faiblement min ralis es ou charg es eaux fortement min ralis es alt ration non disponible eaux faiblement min ralis es ou charg es eaux riches en min raux en attente d informations suppl mentaires eaux moyennement min ralis es ou charg es Pour la fonction Potentialit s biologiques dans les c
127. ns la Directive cadre Les seuils de qualit sont bien entendu compatibles avec ceux relatifs aux cours d eau Le systeme SEQEAU est bas sur la notion d alt ration Une alt ration regroupe les param tres chimiques apparent s du point de vue de leur nature de leurs effets et du traitement de l eau qu ils n cessitent La mesure de certains param tres est obligatoire pour pouvoir qualifier une alt ration d autres tant facultatifs Pour chaque param tre diff rents seuils de qualit sont fix s correspondant soit des normes ou des valeurs guides existant dans la l gislation fran aise ou certains codes internationaux soit des jugements d experts reposant sur l tat des techniques la litt rature ou la di p rsion statistique des donn es disponibles Ces seuils d finissent des classes de qualit Le syst me SEQEAU permet de distinguer jusqu 5 classes de qualit chacune mat rialis e par une couleur Ainsi sont d finies Lorsque le param tre donne lieu des valeurs minimales respecter pH duret les seuils correspondants sont introduits Une classe de qualit peut alors comprendre 2 tranches de concentrations une minimale et une maximale e 4 classes de qualit pour la production d eau potable e 5 classes de qualit pour les autres usages l tat patrimonial et l aptitude la biologie des cours d eau Ces classes de qualit ont une d finition pr cise pour chaque fonction com
128. nt volu depuis nouvelle directive 98 83 CE avec la nouvelle valeur param trique au robinet VP CMAb 1975 CMAd 1980 Vprobinet 1998 Arsenic 100 50 10 Cuivre 1000 1000 2000 Nickel 50 20 Plomb 50 50 25 10 pour 2013 Antimoine 10 5 Zinc 5000 5000 Non retenu Il appara t aussi que les CMAd taient dans certains cas proches ou gales aux CMAb tout simplement parce que les m taux concern s abattus par le traitement de l eau sont introduits nouveau en aval par les tuyauteries soudures etc C est clairement le cas de Cu Zn et Pb principalement Ni et As dont la norme est revue la baisse sont galement g n r s dans les r seaux de distribution Par contre en ce qui concerne les l ments peu ou non g n r s dans les r seaux de distribution et les installations int rieures par exemple Hg Se et probablement B l galit CMAb CMA d signifie que ces l ments sont difficilement traitables R cemment le comit de pr paration de la directive mat riaux en contact avec l eau alimentaire CPDW confirmation J Szwarcensztajn a estim la proportion de la norme que l on peut attribuer aux mat riaux m talliques en contact avec l eau distribu e au robinet du consommateur Param tre ayant pour origine les Exigence r sultante en sortie mat riaux m talliques de du traitement d eau ug l distribution Cuivre 90 200
129. nt entre 0 et 100 peut tre calcul et d terminer une classe de qualit suivant les codes de couleur vert bleu jaune orange et rouge Les alt rations sont examin es par rapport trois fonctions essentielles 1 Les usages de l eau La production d eau pour l alimentation en eau potable est reconnue comme l usage majeur ce qui est galement le cas en R gion wallonne Quatre classes de qualit y sont propos es pour 14 alt rations Une classe de qualit inf rieure pour l eau non plus potable mais encore potabilisable est introduite dans la classification D autres usages de l eau tels l industrie l nergie l irrigation et l abreuvage peuvent galement tre valu s 2 L tat patrimonial Celui ci exprime le degr de d gradation d une eau du fait de la pression exerc e par les activit s socio conomiques sur les nappes sans r f rence un usage quelconque Cette fonction intervient g n ralement pour fixer la classe de r f rence ou de tr s bonne qualit bleu lorsqu elle est combin e avec l usage de l eau 3 L aptitude chimique des eaux souterraines la biologie des cours d eau est la troisi me fonction prise en compte pour satisfaire les besoins exprim s dans la Directive Cadre Les seuils de qualit sont bien entendu compatibles avec ceux relatifs aux cours d eau L architecture du SEQ est modulaire ce qui lui conf re une tr s grande souplesse Les crit res de qualit bas
130. ollicit par Ph Guillaume Les principales sources de P en agriculture sous produits de l industrie sid rurgique scories de d phosphoration Elles ont t beaucoup utilis es en Ardenne avant le d clin de l industrie sid rurgique Actuellement on n en trouve plus depuis 4 5 ans abandon du proc d Thomas phosphates naturels superphosphates de chaux concentre triple normal phosphate bicalcique les aliments du b tail Dans les sols acides le P se combine au Fe et Al pour former des phosphates de Fe et d Al peu solubles Peut tre r cup r apr s chaulage Dans les sols basiques formation de phosphates tricalciques Le P est pr sent dans le sol dans les roches m res ou sous forme r trograd e Phosphate tricalcique phosphate de Mg de Fe et d Al sous forme pr cipit e ou combin e dans des formes peu solubles phosphates de Fe et Al et bloqu l int rieur des argiles dans la mati re organique et adsorb sur les argiles et les hydroxydes de Fe et d Al Le P assimilable par les plantes ne repr sente qu une tr s petite partie du P du sol 71 Il y a de nombreuses m thodes de dosage du P assimilable dans les sols mais la concordance entre les r sultats n est pas tr s bonne Il semble y avoir un r le important du type de sol En RW on utilise la m thode de dosage au nitrovanadate d ammonium apr s extraction par une solution d ac tate d ammonium EDTA Jean Laroche G op dologie Gb
131. on ng l 100 25 4415 M tobromuron ng l 100 25 4416 Bromacile ng l 100 4426 Bentazone ng l 100 4427 Chloridazon ng l 100 40 4435 Terbuthylazine ng l 100 25 4436 D isopropyl Atrazine ng l 100 25 4437 Cyanazine ng l 100 25 4401 Lindane C6H6CI6 Ing l 100 10 Alt ration Micro polluants organiques autres 4306 Trichlor thylene C2HCI3 ug l 5 10 1 4307 T trachlor thyl ne C2CI4 ug l 5 10 1 4201 Benzene C6H6 ug l 1 0 25 4301 Tetrachlorure de carbone CCI4 ug l 2 1 4302 Chloroforme CHCI3 ug l 10 1 4303 1 2 Dichlor thane 1 2 ug l 3 0 75 C2H4Cl2 4304 1 1 1 Trichlor thane 1 1 1 ug l 200 1 C2H3CI3 4305 1 1 2 Trichlor thane 1 1 2 ug l 1 C2H3CI3 4308 Chlorobenzenes C6HxCly ug l 1 4202 Tolu ne C7H8 ug l 1 4203 Ethylbenzene C8H10 ug l 1 4204 Xylenes diC8H10 ng l 1 4310 Trihalom thanes THM ug l 100 10 4003 Hydrocarbures dissous huiles min rales HCB ug l 10 10 65 IR apolaires 4004 Phenols Indice ug l 0 5 2 phenol C6H5OH 4005 Agents de surface bleu de m thyle D tergents ug l 200 50 anioniques Alt ration Poly Chloro Biph nyles A d finir la France propose les 7 cong n res 28 52 101 118 138 153 et 180 7 de Ballschmiter 7 ng l 66 Annexe VII 67 Mise au point du SEQ ESO fiche relative un param tre Phosphore mg l total et phosphates D Wylock F Delloye 3 2 2003 1 SEQ EAU France Le param tre phosphore qui appara
132. on une alt ration unique corrosion et formation de d p ts a partir de l oxyg ne dissous des chlorures du fer et du potentiel d oxydo r duction ou vu la d licatesse de la mesure de celui ci d un ou plusieurs couples redox fondamentaux pour les eaux souterraines Le tableau qui suit liste les 8 diff rents usages existants les 3 d doublements Usage code l France Wallonie BET Irrigation des cultures sol moyen IRR Energie pompes chaleur climatisation et autres industries Aptitude la biologie dans les cours d eau _ BIO g n ie EQW Qualit g n rale Wallonie ADE PAW I 5 3 2 Les alterations Les alt rations sont des groupes de param tres de m me nature ou de m me effet permettant de d crire les types de d gradation de la qualit de l eau Le SEQEAU francais d finit 17 alt rations tandis qu en R gion wallonne les param tres sont regroup s en 14 alt rations Le tableau 1 ci dessous compare les alt rations fran aises et wallonnes et pr cise les param tres retenus pour chaque alt ration Certains de ces param tres sont obligatoires pour pouvoir quantifier les alt rations d autres sont facultatifs et participent alors la quantification de l alt ration lorsqu ils sont mesur s contrairement au SEQEAU francais qui ne fait pas toujours une distinction entre param tres obligatoires et facultatifs ainsi par exemple l alt ration micropolluants
133. onnalit s de l eau souterraine gt le regroupement des param tres par familles appel es alt rations sur lesquelles une appr ciation globale est port e gt la d finition de seuils de qualit pour chaque param tre envisag autorisant jusqu 5 classes de qualit distinctes La qualit d une eau brute souterraine est examin e par rapport trois fonctions essentielles 1 les usages de l eau la qualit de l eau est d finie par rapport aux normes ou besoins correspondants diff rents usages L usage majeur est la production d eau pour l alimentation en eau potable mais d autres usages de l eau tels l industrie l nergie l irrigation et l abreuvage sont galement consid r s 2 l tat patrimonial celui ci exprime le degr de d gradation d une eau du fait de la pression exerc e par les activit s socio conomiques sur les nappes sans r f rence un usage quelconque Cette chelle de d gradation de la qualit est bas e sur des param tres indicateurs susceptibles de ne pas tre pr sents l tat naturel dans les eaux souterraines micropolluant organiques et min raux ou clairement identifi s comme indicateurs d alt ration d origine humaine de la qualit de l eau partir de certains seuils de concentration nitrates pesticides 3 l aptitude chimique des eaux souterraines la biologie des cours d eau est la troisi me fonction prise en compte pour satisfaire les besoins exprim s da
134. or thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 1 5 0 0 0 0 SEQF 7SOL TriEtPerchlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 10 200 0 0 0 0 ADE 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 1 0 5 0 5 5 0 0 0 0 AEP 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 1 0 5 0 5 5 0 0 0 0 PAT 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 01 0 05 0 1 0 5 0 0 0 0 PAW 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 1 0 2 0 375 0 5 0 0 0 0 SEQW 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 1 0 2 0 5 5 0 0 0 0 SEQF 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 01 0 05 0 5 5 0 0 0 0 AEP 5PES Hexachlorocyclohexane gamma ng l 10 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 BIO 5PES Hexachlorocyclohexane gamma ng l 10 0 5 1 10 100 1000 0 0 0 0 PAT 5PES Hexachlorocyclohexane gamma ng 10 0 10 50 100 500 0 0 0 0 SEQF 5PES Hexachlorocyclohexane gamma ng 10 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Atrazine ng l 25 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 AEP 5PES Atrazine ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 BIO 5PES Atrazine ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 PAT 5PES Atrazine ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAW 5PES Atrazine ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES Atrazine ng l 25 0 25 50 100 1000 0 0 0 0 SEQF 5PES Atrazine ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 AEP 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 BIO 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 20 200 2000 20000 0 0 0 0 PAT 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 10 50 100 500 0 0 0 0 PAW 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 25 50 75 100 0 0 0 0 SEQW 5PES D s thyl Atrazi
135. ortie traitement Eau brute admissible Epuration n cessaire Fer dissous 200 10000 98 Zinc 200 Entre 1000 et 5000 80 96 Mangan se 50 1200 96 Arsenic 8 100 92 Cuivre 100 1000 90 Plomb 5 50 90 Cyanures 10 50 80 Nickel 10 50 80 Potassium 12000 24000 50 Antimoine 4 5 10 55 Chrome total 25 50 50 Baryum 700 1000 30 Fluorures 1500 1700 12 S l nium 9 20 M lange 55 Cadmium 4 5 5 10 Bore 1000 1000 0 Pour le fer et le mangan se les techniques habituelles devraient permettre de traiter les eaux brutes jusqu au niveau admissible Pour les autres param tres les experts estiment que des traitements sp cifiques ces niveaux de concentration sont illusoires Les concentrations traiter sont g n ralement du m me ordre que celles des effluents trait s obtenues par les proc d s classiques La s lectivit des proc d s d adsorption et d echange d ions est loin d tre garantie ces niveaux de concentration Le seul traitement possible aboutit comme l osmose inverse une d min ralisation compl te parfaitement anti conomique sous nos latitudes vu la disponibilit de la ressource Par ailleurs r duire de quelques pour cents les m taux constitutifs des canalisations n a pas de sens si l agressivit ou la corrosivit de l eau n est pas r duite La seule question qui subsiste concerne la possibilit d optimiser les proc d s de co pr cipitation et adsorption pour les m tau
136. ours d eau BIO et l alt ration 4 le bleu excellente qualit n est pas valuable mais possible 117 Annexe XIII a 118 Systeme d valuation de la qualit des eaux souterraines SEQ ESO Applique RESERVOIR DE ANS Nombre de param tres valu s 52 Nombre d analyses effectu es 2 Qualit g n rale de l eau Classe ALTERATION mauvais m diocre moyen bon tr s bon param tres entrant en consid ration pour qualifier l alt ration de l eau Indice Min ralisation et salinit acidit conductivit chlorures sulfates duret alcalinit r sidu sec Mati res oxydiables et substances eutrophisantes nitrates ammonium azote organique carbone organique oxydabilit phosphates Particules et elements filtrables turbidit fer mangan se aluminium silice mati res en suspension Micropolluants min raux cuivre zinc plomb nickel chrome cadmium arsenic bore cyanures d sherbants pesticides utilis s pour le mais le froment la betterave Hrocarbures et autres polluants organiques benz ne solvants chlor s hydrocarbures polyaromatiques 0 20 40 60 80 100 Qualit globale de l eau gt 1 La distribution d eau potable par r seau est l usage majeur des eaux souterraines en Wallonie 75 des pr l vements Les autres usages agricoles et industriels sont disponibles mais ne sont pas repr sent s car ils sont moins exigents et sont
137. partir de 0 5 mg l Il est int ressant de remarquer que dans la nouvelle r glementation europ enne directive 98 83 et par voie de cons quence le dernier d cret fran ais 2001 1220 ne mentionnent plus que le seuil de 1 5 qui s appuie sur la valeur guide tablie par l OMS Le seuil de 10 mg l a semble t il t propos par le BRGM suite avis d experts sur les performances techniques des traitements usuels de potabilisation de l eau mais je n ai pas trace d archives permettant d appuyer cet avis 112 N tant pas du tout sp cialiste de ces questions apr s consultation de coll gues vers s dans le traitement des eaux et apr s recherche dans la litt rature il appara t effectivement que l limination du fluor pose probl me D apr s la soci t GLS guide m motec n 15 Elimination du fluor dans l eau destin e la consommation humaine Les techniques sp cifiques utilisant l alumine activ e ou le phosphate tricalcique diminuent la concentration en fluor mais dans le cas de l alumine activ e la dur e de vie assez faible du support et les probl mes de r g n ration ne permettent pas son utilisation grande chelle Les techniques de pr cipitation la chaux ou la magn sie ne peuvent tre utilis es que dans le cas d une faible concentration en ions fluorures et dans le cadre d un traitement de la duret de l eau Quant aux techniques membranaires ces m thodes sont comp titives seulement si ell
138. phates mg l 0 08 0 0 1 0 52 0 0 0 0 ADE 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 10 50 0 0 0 0 AEP 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 25 50 0 0 0 0 PAT 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 5 25 0 0 0 0 PAW 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 5 10 0 0 0 0 SEQW 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 5 10 0 0 0 0 SEQF 4MPM _ Cyanures totaux ug l 5 0 5 25 0 0 0 0 BIO 2PHO Phosphates totaux mg l 0 1 0 0 1 0 5 0 0 0 0 SEQW 2PHO Phosphates totaux mg l 0 1 0 0 1 0 52 0 0 0 0 ADE 3FEM Fer sur filtr 0 41 ug l 10 0 50 200 0 0 0 0 AEP 3FEM Fer sur filtr 0 41 ug l 10 0 50 200 0 0 0 0 SEQW 3FEM Fer sur filtr 0 41 ug l 10 0 50 125 200 10000 0 0 0 0 SEQF 3FEM Fer sur filtr 0 411 ug l 10 0 50 125 200 10000 0 0 0 0 ADE 3FEM Mangan se ug l 5 0 20 50 50 1000 0 0 0 0 AEP 3FEM Mangan se ug l 5 0 20 50 50 1000 0 0 0 0 SEQW 3FEM Mangan se ug l 5 0 20 30 50 1000 0 0 0 0 SEQF 3FEM Mangan se ug l 5 0 20 30 50 1000 0 0 0 0 ADE 4MPM Cuivre ug l 2 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 AEP 4MPM Cuivre ug l 2 0 100 200 200 4000 0 0 0 0 BET 4MPM Cuivre ug l 2 0 500 500 5000 4950 0 0 0 0 BIO 4MPM Cuivre ug l 2 0 0 27 2 7 27 40 0 0 0 0 BIO 4MLd Cuivre ug l 2 0 0 1 1 10 15 0 0 0 0 IRR 4MPM Cuivre ug l 2 0 200 1000 5000 5000 0 0 0 0 PAW 4MPM Cuivre ug l 2 0 15 40 75 200 0 0 0 0 SEQW 4MPM Cuivre ug l 2 0 15 40 100 1000 0 0 0 0 SEQF
139. pour les charbons actifs en lits fixes mais la question sera pos e pour les autres substances la FUSAGx qui a tudi le probl me de s lectivit des charbons en grains pour toute une s rie de substances jusqu au stade micro 85 pilote En outre la possibilit de d truire les micropolluants organiques par ozonation destruction sans formation de sous produits toxiques ou l utilisation de charbon en poudre dans un d canteur ne sont pas conomiquement r alistes pour les eaux souterraines contrairement au cas des grosses stations de traitement op rant partir d eaux de surface le m me raisonnement est tenu et acceptable pour les HAP charbon actif et les hydrocarbures volatils stripping l air Les micro polluants min raux avec S4 CMAb ou d faut un avis d experts Nous allons rediscuter ici cette alt ration Il faut y ajouter les m taux de l alt ration fer et mangan se et 2 param tres de l alt ration min ralisation pour lesquels ces avis d experts interviennent mais ne sont pas justifi s Il s agit du potassium et des fluorures 16 L alt ration micro polluants min raux en AEP Le tableau ci dessous reprend pour chaque param tre la norme de potabilit CMAd S2 en AEP qui devient pour rappel S3 pour l indice g n ral de qualit SEQ la CMAb pour laquelle il faut distinguer des valeurs imp ratives I contraignantes et des valeurs guides G non contraignan
140. ption des principes et de la structure du SEQ Eaux souterraines Syst me d valuation de la qualit des eaux souterraines comme outil de caract risation de la qualit des eaux souterraines en R gion wallonne Le Ministre de l Am nagement du Territoire de l Urbanisme et de l Environnement M FORET 28 Annexe Premi res simulations de la caract risation de la qualit chimique des eaux souterraines en R gion wallonne application du SEQ Eaux souterraines l ensemble de la base de donn es CALYPSO de la DGRNE a avec les seuils de qualit actuellement propos s en France et pour la combinaison des 2 fonctions Alimentation en eau potable et Etat patrimonial Masses d eau principales provisoires trations _______ GWB_NAME Global MIN 2a nos 2b AZOT 2c mox srem 4 mem 5PES 6HAP Calcaires du bord Nord du bassin de Namur 63 6 63 6 86 1 88 5 87 3 65 3 83 1 82 3 86 8 Calcaires carbonif res du bassin de Dinant 91 7 90 9 88 9 90 0 65 7 85 0 Craies du bassin de Mons 67 0 85 6 80 7 75 8 72 1 85 8 Craies de Hesbaye 93 9 91 4 88 5 73 9 68 7 87 1 Sables Bruxelliens et Land niens du Brabant 93 5 89 3 86 9 83 9 5 85 0 Calcaires carbonif res du Tournaisis 79 2 o 65 9 87 5 Graviers de la Meuse 88 3 73 5 66 4 Craies captives du Brabant 85 6 86 7 81 7 Formations jurassiques du Sud Luxembourg 93 1 83 2 77 3 Massif schisto gr seux
141. qui ne contiennent pas de fluor et suite aux contacts pris avec le Minist re de la Sant publique qui nous apprend que le fluor fait l objet d une nouvelle valuation les seuils suivants sont propos s titre provisoire Sl S2 S3 S4 MI M2 M3 M4 AEP 1 5 1 5 1 5 10 0 0 7 ADE 0 5 1 5 1 5 1 5 0 15 SEQF 1 5 4 5 7 0 10 0 0 7 SEQW 0 5 0 8 1 1 1 5 0 15 En cons quence pour la Wallonie le fluor n est pas jug traitable par des proc d s conomiquement envisageables pour l eau de distribution les eaux seront jug es d excellente qualit si elles contiennent entre 150 et 500 ug l de fluor en dessous elles seront de bonne qualit g n rale rappelons que la limite de quantification est de 100 ug l au vu des cartes pr c dentes il devrait y avoir d classement au jaune qualit moyenne pour la masse d eau du calcaire du Tournaisis valeur moyenne d passant 800 ug litre cet tat demeurant parfaitement naturel 115 Annexe XII 116 y USAGESDELEAU FONCTIONSDEL EAU Indice g n ral de qualit ref intitul ADE W AEPA BET IRR AL NRG BIO PAT P PAT W SEQ P SEQ w 1MIN Min ralisation et salinit pH TH K20 Cl 504 Res TAC L 1MIX Min ralisation autres ions F K Mg Na Ba 68 ND Azote min ral hors nitrates NO2 NH4 Mati res organiques et oxydables IP COT Nkj Nitrates NO3 Mati res phosphor es Ptot PO4 Alumi
142. r toxique pour l homme oligo l ment On doit en effet consid rer en principe que les CMAb imp ratives des eaux de surface sont le maximum applicables aux eaux souterraines dont le traitement ne peut tre que plus rudimentaire que le traitement A3 des eaux de surface sauf si une technique est appropri e l limination d un l ment par ailleurs r guli rement rencontr un niveau sup rieur dans les eaux brutes wallonnes hors pollutions ponctuelles Par contre pour le s l nium localement rencontr dans les nappes en contact occasionnel avec l aquif re du Houiller ou dans certains captages subissant le passif de l anciennne activit mini re des charbonnages le probl me est couramment r gl par dilution op r au niveau d une batterie de captages Il est donc propos de relever le seuil S4 20 ug l Pour le nickel la valeur d experts de 40 est insuffisante Il faut examiner s il existe des traitements plus performants permettant de traiter au moins partir de 50 Reste l opportunit de donner un peu de marge pour le mangan se S4 augment de 1000 1200 Venons en aux CMAb indicatives imp rative concernant le baryum et aux avis d experts Le cas des fluorures et du potassium sont curieux comment peut on imaginer traiter ces l ments r put s solubles formes base faible et acide faible alors que pour le bore borates c est d j jug impossible Il faut pour cela penser que
143. r cipit s I Premi re tape de l tude traitement de 100 ml de solutions gt ua R i x 2 3 Lors de ces essais on a travaill sur des solutions pr sentant des concentrations diverses de Ni Fe 2 2 3 I Seng oe Mn Zn et Al Les milieux filtrants utilis s ont t le milieu A pour les essais 1 10 Les r sultats obtenus sont donn s aux tableaux I et II le milieu B pour les essais 13 19 NaOH tableau II et 20 26 NaOH tableau IV Notons cependant que dans le cas sp cifique des essais 13 19 effectu s avec la membrane millipore 0 1 um sur support en verre fritt les bilans ont t d termin s selon une m thode diff rente de celle d crite pr c demment En fait ces bilans ont t calcul s par analyse du filtrat et des solutions recueillies respectivement lors du lavage acide du support et de l immersion de la membrane dans une solution acide en vue de dissoudre le pr cipit La solution de lavage du support a t m lang e au filtrat la concentration reprise dans le tableau sous la d nomination filtrat tant rapport e au volume initial de la solution avant pr cipitation le milieu C pour les essais FV1 FV6 NaOH tableau V le milieu D pour les essais FV7 a FV12 NaOH tableau VI et FV13 FV15 Na CO tableau VIT L analyse des divers r sultats met en vidence de nombreuses constatations tr s int ressantes Les r sultats du tableau I
144. r sur filtr 0 411 ug l 10 0 50 200 200 10000 0 0 0 0 ADE 3FEM Mangan se ug l 5 0 20 50 50 1000 0 0 0 0 ADE 3MES Turbidit NTU 0 5 0 0 4 4 4 1000 0 0 0 0 ADE 3MES Matieres en suspension 0 00 mg l 0 1 0 1 5 5 1500 0 0 0 0 ADE 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 10 50 50 250 0 0 0 0 ADE 4MPM Cuivre ug l 2 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 45 ADE 4MPM Zinc ug l 20 0 100 200 200 5000 0 0 0 0 ADE 4MPM Bore ug l 25 0 100 1000 990 1000 0 0 0 0 ADE 4MPM Arsenic ug l 1 0 5 10 10 50 0 0 0 0 ADE 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 1 5 4 9 5 0 0 0 0 ADE 4MPM Chrome total ug l 2 0 25 50 49 50 0 0 0 0 ADE 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 5 1 0 95 1 0 0 0 0 ADE 4MPM Nickel ug l 2 0 10 20 20 50 0 0 0 0 ADE 4MPM Plomb ug l 1 0 5 10 10 50 0 0 0 0 ADE 4MPM Antimoine ug l 1 0 2 5 5 10 0 0 0 0 ADE 4MPM Selenium ug l 1 2 0 5 10 9 9 10 0 0 0 0 ADE 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 1 0 5 0 5 5 0 0 0 0 ADE 5PES Atrazine ng l 25 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 ADE 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 ADE 5PES Simazine ng l 25 0 50 100 100 1000 0 0 0 0 ADE 5PES Diuron ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Isoproturon ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Chlortoluron ng l 25 0 50 100 100 2000 0 0 0 0 ADE 5PES Bromacile ng l 25 0 50 100 100 500 0 0 0 0 ADE 5PES Bentazone ng l 25 0 50 100 100 500 0 0 0 0
145. rective Cadre de l Eau 2000 60 CE concernant l avenir le traitement des donn es chimiques caract risant les masses d eau souterraine tenir compte de tous les usages pertinents de l eau souterraine tablir un tat chimique synth tique et synoptique par masse d eau partir d un r seau de surveillance correctement mis au point HI En outre il est int ressant plus d un titre en R gion wallonne 1 Dans la perspective de la gestion des eaux souterraines dans les districts hydrographiques internationaux il permet d harmoniser l approche de la qualit avec notre voisin fran ais 2 La R gion wallonne gagne un temps pr cieux dans la mise en uvre de la Directive Cadre et b n ficie de l exp rience de la France qui poss de une grande vari t de syst mes aquif res 3 C est un outil volutif qui ne n cessite que de petites adaptations aux sp cificit s wallonnes A l inverse la R gion wallonne pourrait revoir certains l ments de sa l gislation relative aux eaux souterraines sur la base de crit res existants en France fixation de normes pour les eaux souterraines potabilisables par exemple 4 C est un excellent outil de diagnostic et de synth se de la qualit des eaux souterraines il est rationnel complet souple et puissant C est pour la m me raison un bon outil de communication permettant d viter les interpr tations erron es en mati re de qualit des eaux telles celles
146. rocyclohexane gamma ng l 10 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Atrazine ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES D s thyl Atrazine ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Simazine ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Diuron ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Isoproturon ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Chlortoluron ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 5PES Terbutylazine ng l 25 0 10 50 100 2000 0 0 0 0 SEQF 6HAP Benzo a pyrene ng l 2 5 0 1 5 10 200 0 0 0 0 SEQF 6HAP HAP somme 4 ug l 0 08 0 0 05 0 07 0 1 1 0 0 0 0 SEQF 7SOL Benz ne ug l 0 5 0 0 5 0 75 1 10 0 0 0 0 SEQF 7SOL Trichlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 10 200 0 0 0 0 SEQF 7SOL T trachlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 10 200 0 0 0 0 SEQF 7SOL TriEtPerchlor thyl ne ug l 1 0 0 1 0 5 10 200 0 0 0 0 53 Annexe V 54 JUSTIFICATIFS DES OPTIONS DU SEQESO S ECARTANT DU SEQEAU Ce qui suit ne concerne que l usage ADE AEP aptitude la distribution de l eau par r seau et l tat patrimonial PAW PAT Alt ration mati res organiques et oxydables Contrairement aux eaux de surface l usage en R gion wallonne est de mesurer le carbone organique total COT et non le carbone organique dissous COD dans les eaux souterraines C est galement le COT qui fait l objet des objectifs de qualit pour l eau alimentaire Des essais comparatifs MO COT COD DCO devraient tre r alis s sur plusieurs t
147. s dans le d tail dans un rapport s par Les r sultats de l application brute des procedures ont t corrig s dans certains cas sur base d un test final d applicabilite Ce dernier est destin assurer chacune des valeurs un caract re r aliste d application Sont prises en compte notamment les teneurs admissibles dans d autres milieux air eau les teneurs naturelles normales les limites de quantification analytique les teneurs les plus courantes sur site pollu les valeurs propos es dans des syst mes de normes trangers La comparaison des normes propos es avec celles en vigueur dans d autres pays r gions cf annexe I doit prendre en compte les l ments suivants 1 La sp cificit de fonctionnement du syst me de normes systeme trois valeurs 2 Les types de risques couverts par la norme 3 L tat de r f rence sol standard 4 L volution des connaissances E y 3 y y y y r Contrairement au syst me flamand systeme a deux valeurs un systeme a trois valeurs jug plus appropri pour le contexte wallon a t retenu Son fonctionnement proche des syst mes adopt s ros 4 ros r dans la l gislation stations service ainsi que dans plusieurs l gislations trang res permet d allier dans une plus large mesure s curit et souplesse dans les d cisions Les m thodes retenues pour le calcul des normes s inspirent des d
148. s sont pr sent s respectivement aux tableaux XIV milieu filtrant A XV milieu filtrant B XVI milieu filtrant C et XVII milieu filtrant D Les bilans des essais ont t effectu s selon les deux proc dures diff rentes d j voqu es la page 2 soit la proc dure a pour le cas des essais repris au tableau XIV filtre millipore 0 1 um d pos sur un support trou la proc dure b pour le cas des essais pr sent s aux tableaux XV XVII En comparant ces r sultats ceux obtenus lors de la seconde campagne d essais 1 litre de solution ou m me lors de la premi re campagne d essais 100 cc de solution quelques constats tr s int ressants peuvent tre mis en vidence pour autant que le milieu filtrant utilis ne soit pas constitu d un filtre millipore 0 1 um d pos sur un support muni de trous il est possible de r duire la concentration nickel du filtrat moins de 12 99 13 ug l et le plus souvent sous 10 ug l si la solution comporte au moins 2000 ug l Fe et 30 mg l CaCO tableaux XV XVI XVID avec un filtre millipore d pos sur un support trou il faut n cessairement travailler avec une concentration Fe de 5000 ug l et une concentration de 20 30 mg l CaCO pour r duire la concentration Ni de la solution 12 ug l tableau XIV le recours 500 ug l Fe et 20 mg l CaCO ne permet pas de r duire la concentration r siduelle Ni en dessous de 45 60 ug l que
149. s sur les normes existantes et sur l exp rience fran aise sont susceptibles d voluer et restent adaptables aux sp cificit s r glementaires applicables en Wallonie Une centaine de param tres chimiques mais aussi microbiologiques sont actuellement pris en consid ration Pour les pesticides les substances pertinentes sont pratiquement similaires celles qui sont g n ralement retenues en R gion wallonne L indice global correspondant un point de mesure de la qualit est l indice minimum des diff rentes alt rations retenues ce qui permet de synth tiser l extr me la notion de qualit de l eau souterraine comme le veut la Directive Cadre de l Eau 24 Premiers tests sur le SEO Eaux souterraines Une premiere valuation du SEQ Eaux souterraines a t r alis e par l Administration et l Observatoire des Eaux souterraines pour l usage production d eau potable en combinaison avec l tat patrimonial et ce pour cinq alt rations importantes mati res organiques et oxydables min ralisation et salinit nitrates m taux lourds et pesticides L outil s adapte particuli rement bien la structure de la banque de donn es de la D G R N E Il ressort de cette premiere analyse que 743 prises d eau destin es la distribution publique en R gion wallonne peuvent tre class es comme suit tr s bonne qualit 2 3 bonne qualit 24 9 qualit moyenne 50 1 qualit m diocre 20
150. souterraines afin d obtenir un bon tat quantitatif et chimique des masses d eau souterraines au plus tard fin 2015 moins qu elles ne soient tellement touch es par l activit humaine ou que leur condition naturelle soit telle que ceci s av re impossible ou d un co t disproportionn Inverser toute tendance la hausse significative et durable de tout polluant r sultant de l impact de l activit humaine afin de r duire progressivement la pollution des eaux souterraines Les crit res d valuation du bon tat chimique d identification des tendances la hausse ainsi que de d finition des points de d part pour les inversions de tendances sont en cours d laboration dans le cadre d une directive fille sur les eaux souterraines en pr paration Dans l tat actuel des travaux de la Commission europ enne il semble que pour certains polluants autres que ceux vis s par d autres dispositions l gislatives communautaires pesticides et nitrates les crit res restent indicatifs et qu il soit fait appel au principe de subsidiarit auquel cas il reviendra la R gion wallonne de fixer elle m me ses normes de qualit pour les eaux souterraines L article 8 de la Directive impose la R gion wallonne l tablissement de programmes de surveillance afin de dresser un bilan complet de l tat des eaux au sein de chaque district hydrographique Dans le cas des eaux souterraines cette surveillance porte sur l tat quan
151. ssaint B Mise au point d une nouvelle m thode pour le dosage du P dans les sols des prairies naturelles Rapport Final Lambert R Lambert J Toussaint B Peeters A Vrancken F 1994 Soil fertility biomass productio and min ral content of some marginal meadows in Ardenne Comparison with the cultivated grasslands Grazing system for semi natural vegetation in marginal area Aberdeen Pochet P LAmbert R Toussaint B 1995 Etude des intrants dans quelques exploitations agricoles du plateau de Bastogne Rapport final de convention Ces documents sont consutables et photocopiables Michamps M moire intitul lib ration du phosphore par quelques sols agricoles de Belgique Relation avec la probl matique de l eutrophisation des eaux Isabelle Charlier Ce m moire a t r alis l unit des sciences du sol UCL Pr Dufey Les sols tudi s provenaient de Michamps Baudecet Arlon et Eeckloo Les sols ont t enrichis en P pour simuler une fertilisation excessive Le relarguage a t suivi dans une exp rience de d sorption en colonne pendant 13 semaines Ces sols ont t enrichis en P 750 kg P ha et incub pendant 1 mois avant l tude Les conclusions g n rales sont que la quantit de P 72 d sorb e est tr s faible par rapport au contenu en P des sols au d part La d sorption est surtout influenc e par la capacit d adsorption plus que par la contenance en P La capacit d adsorption avait
152. t mesur e pr c demment Schadeck 1992 La capacit d adsorption quantit mmole kg de P adsorb sur 1 kg de sol lorsque la cc en P de la solution l quilibre est de Ippm Q1 ou 10 ppm Q10 tait Horizon superficiel 0 30 Michamps Q1 16 et Q10 34 Baudecet Q1 7 6 et Q10 21 6 Arlon Q1 2 7 et Q10 8 1 Eeckloo Q1 0 1 et Q10 4 3 Horizon inf rieur 60 90 Michamps Q1 9 6 et Q10 17 3 Baudecet Q1 5 1 et Q10 12 4 Arlon Q1 8 6 et Q10 15 5 Eeckloo Q1 1 4 et Q10 8 1 Des infos sur les capacit s d adsorption doivent tre disponibles chez le Pr Dufey UCL Voici les teneurs conseill es en P mg P 100 g de sol pour les sols de prairies et culture Ardenne prairies 4 5 7 5 mg cultures 4 7 Famenne prairies 5 8 cultures 4 7 Gaume prairies 5 8 culture 3 5 Ces normes ont t tablies sur base des CEC moyennes Attention car les valeurs cit es n ont qu une valeur relatives Elles d pendent de la m thode d extraction utilis es pour l analyse Les valeurs cit es plus haut concernent la m thode d extraction l ac tate d ammonium EDTA Si on utilise la m thode au lactate d ammonium les valeurs conseill es sont environ 2x plus lev es Attention galement pour les apports d engrais P on parle g n ralement d unit de P205 1 unit 1kg de P205 2 3 kg de P205 apporte kg de P 73 Annexe VIII 74 Mise au point du SEQ ESO fiche relativ
153. t la couleur est plus ais ment quantifiable Alt ration poly chloro biph nyles PCB Cette alt ration n est en g n ral pas mesur e dans les eaux souterraines et de distribution publique On ne les recherche que si un fait permet de les suspecter La mesure des PCB pourrait s envisager dans le futur sur le r seau patrimonial Alt rations corrosion formation de d p t et temp rature Ces alt rations interviennent dans les usages industrie et nergie Les ferro bact ries la salinit et le potentiel redox ne sont jamais mesur s pour les eaux potabilisables et posent donc probl me pour un r seau int gr avec les producteurs L IS ou le CO dissous et l O dissous sans pouvoir tre soumis des seuils sont galement mesurer pour appr cier plusieurs alt rations affectant les eaux potabilisables Nous les consid rons comme des compl ments d analyse L oxygene est un indicateur de terrain indispensable 62 Annexe VI 63 code Description Symbole Expression Norme de Niveau Limite de ESO potabilite guide quantification Parametres indicateurs 500 Niveau relatif si pi zom tre Z 0 00 m 2001 Couleur in situ appr ciation 20 2003 Odeur appr ciation 2005 Temp rature in situ T Celsius 25 10 2106 Oxygene dissous in situ
154. t dans la l gislation sur l eau potable n a pas t pris en compte dans le SEQ Eau souterraines car il n est pas consid r comme probl matique par le traiteur d eau texto Annexe justificative page 10 pour information la valeur guide de la directive 80 778 CEE est de 0 4 mg l P2O5 tandis que la norme de potabilit est de 5 mg l P205 Par contre Mr Wylock nous communique que ce param tre principal responsable de l eutrophisation en tant que param tre limitant est bien pris en compte par le SEQ Cours d eau dans une alt ration mati res phosphor es phosphore total phosphates et devrait donc au minimum figurer dans la fonction BIO Voici les aptitudes Bleu Vert Jaune Orange Rouge Sl S2 S3 S4 Phosphore P lt 0 050 lt 0 200 lt 0 50 lt 1 00 Phosphates PO4 lt 0 100 lt 0 500 lt 1 00 lt 2 00 Phosphates P lt 0 033 lt 0 165 lt 0 33 lt 0 66 Phospore P205 lt 0 110 lt 0 460 lt 1 15 lt 2 30 Les 2 derni res lignes sont des changements d unit destin s la comparaison il est estim que 2 3 de l apport en phosphore provient des phosphates le solde essentiellement du phosphore organique pour le phosphore total les seuils BIO sont compatibles avec les seuils de potabilit en vue de la construction d un indice g n ral 2 Particularit s en R gion wallonne En ce qui concerne les eaux piscicoles la valeur imp rative est bien S3 0
155. t estimer que la nappe est influenc e par les pertes de l Escaut 70 e En ce qui concerne les eaux de surface potabilisables Tailfer Meuse est au vert et Nisramont Ourthe est au jaune e La o les 2 param tres sont mesur s P est g n ralement limitant par rapport PO4 exceptions notoires craies et sables ce qui confirme l insuffisance de la mesure des seuls orthophosphates 7 Questions compl mentaires Les engrais phosphat s superphosphates PO4 2CaH4 phosphates ammoniques ou de potassium engrais organiques 2 5 kg P205 la tonne pour un fumier de bovin constituent une pression agricole importante et diffuse Comment peut on expliquer le peu d impact du P sur les eaux souterraines Par l adsorption pr f rentielle sur les particules du sol argiles mati re organique aluminium OUI Par Pinsolubilit du phosphate tricalcique dans les eaux bicarbonat es calciques OUI Quid alors dans les nappes acides L emploi d engrais phosphat s est il effectivement marginal sur le Massif ardennais prairies et for t essentiellement NON mais les sols demeurent pauvres en P environ 10 fois trop pauvres pour que l quilibre d adsorption sol eau engendre des teneurs significatives dans les eaux d infiltration voir ci dessous Voici les l ments de r ponse apport s par Mr Richard LAMBERT sp cialiste de la question au Laboratoire d cologie des Prairies de UCL Michamps Bastogne s
156. tes et ou l ventuel avis d experts en traitement de l eau et sa justification et le seuil S4 qui en r sulte Au niveau S2 une colonne propre la R gion wallonne not e CMAeRW est indroduite Il existe en effet chez nous des normes l entr e des r seaux de distribution distinctes de celles valables au robinet du consommateur pour plusieurs param tres Toutes les valeurs sont en ug l Param tre CMAd CMAeRW CMAbA3 Experts Justification S4 Aluminium 200 100 co Non justifi mais pas de N ant mauvaise qualit retenue Arsenic 10 100 D 100 Baryum 700 1000 D ND Bore 1000 1000 G 1000 Aucune technique 1000 disponible pour liminer cet l ment Cadmium 5 5 1 5 86 Chrome tot 50 50 D 50 Cuivre 2000 100 1000 G 4000 Rendement de 95 du 4000 1000 traitement pour obtenir 200 qui est la CMAbAI T Cyanures 50 10 50 D 50 Fer dissous 200 1000 G 10000 Eaux couramment trait es 10000 par les proc d s usuels Mangan se 50 1000 G 1000 Eaux couramment trait es 1000 par les proc d s usuels Mercure 1 10 1 Nickel 20 40 Au dela de 40 il faut passer 40 a un traitement sp cial par coagulation basique Plomb 10 50 D 50 S l nium 10 10 10 Zinc 5000 200 5000 D 5000 Antimoine 5 10 Non justifi 10 Fluorures 1500 1700 G 10000 Valeur bas e sur les 10000 performances usu
157. th se de la surveillance des eaux AGW du 4 mars 1999 modifiant le titre III du R glement g n ral pour la protection du travail en ins rant des mesures applicables l implantation et l exploitation des stations services Moniteur belge du 11 06 99 E D cret du 31 mars 2004 relatif l assainissement des sols pollu s et aux sites d activit s conomiques r habiliter para tre au Moniteur belge 9 D apr s l article 7 3 de la directive prevenir la d t rioration de la qualit des masses d eau de mani re r duire le degr de traitement de purification n cessaire la production d eau potable I 1 souterraines sous forme d une conclusion bon tat ou tat m diocre pour chaque masse d eau d finie au sein d un district hydrographique Parce qu il permet notamment de rencontrer tous ces objectifs le Gouvernement wallon a approuv le 22 mai 2003 le SEQ Eaux souterraines Syst me d Evaluation de la Qualit des Eaux souterraines Agences de l Eau 2002 comme outil de r f rence de caract risation de la qualit des eaux souterraines en R gion wallonne sur base de la note justificative reprise l annexe 1 2 Principes du syst me d valuation de la qualit des eaux Fondamentalement le SEQEAU est une grille de lecture et d interpr tation d un protocole d analyse complet relatif un point d eau reposant sur gt l examen parall le des diff rents usages et foncti
158. tiques ceux du SEQEAU Parmi la liste des param tres actuellement retenus pour une analyse compl te de type SEQ ESO annexe 6 des param tres importants comme les hydrocarbures apolaires et les ph nols n ont pas encore t examin s du point de vue des seuils de qualit en raison principalement de l actuel manque de r solution des appareils de mesures d tection insuffisante des m thodes analytiques employ es En attendant ils sont syst matiquement mesur s sur le r seau en cours d laboration 3 4 Questions sp ciales Aux cours des discussions plusieurs probl matiques sont apparues Leur d veloppement est expos dans les annexes 7 11 ll en r sulte gt L introduction d une nouvelle alt ration mati res phosphor es comprenant les ortho phosphates et le phosphore total valu e en ADE BIO et SEQW permettant d appr cier le risque d eutrophisation des eaux de surface associ es annexe 7 Le d placement de l aluminium de lalt ration MPM micropolluants min raux pour former une nouvelle alt ration avec la silice dans le groupe d alt rations particules et l ments filtrables avec le fer et le mangan se notamment annexe 8 L limination d une s rie de m taux lourds de la fonction BIO biologie dans les cours d eau tant donn que les seuils de bonne qualit correspondants ne sont pas accessibles dans l tat actuel des techniques d analyse d eau Par ailleurs l alt ration
159. titatif et l tat chimique 22 IL L article 8 pr cise que ces programmes de surveillance doivent tre op rationnels au plus tard fin 2006 et doivent tre conformes aux exigences de l Annexe V Selon l Annexe V de la Directive Cadre la surveillance de l tat chimique des masses d eau souterraines doit porter sur les param tres fondamentaux que sont la teneur en oxyg ne la valeur des pH la conductivit les nitrates et l ion ammonium ainsi que sur les param tres indicatifs des pressions engendr es par l activit humaine savoir principalement les sources de pollution diffuses et ponctuelles et le captage intensif Issus de ces pressions les polluants suivants sont identifi s l chelle europ enne chlorures pesticides m taux lourds hydrocarbures et solvants chlor s Les masses d eau transfrontali res c est le cas de la plupart de nos nappes doivent en outre tre soumises un contr le portant sur les param tres qui sont pertinents pour la protection de tous les usages possibles des eaux souterraines L impact des eaux souterraines sur la qualit des eaux de surface associ es ou sur les cosyst mes terrestres doit notamment pouvoir tre valu L tat chimique doit pouvoir tre synth tis non seulement en combinant les diff rents param tres pour lesquels la l gislation communautaire pr voit des normes de qualit environnementale mais encore en calculant la valeur moyenne de la masse d ea
160. tration Les milieux filtrants utilis s ont t A une membrane millipore de porosit 0 1 um m lange d esters de cellulose la membrane tant plac e sur un support en verre muni de trous de plusieurs mm de diam tre B une membrane de m me type plac e sur un support en verre fritt millipore C deux tampons en fibres de verre de porosit 0 5 um d une paisseur nominale de 690 um d pos s sur le support en verre fritt millipore D un tampon en fibres de verre de m me type que les pr c dents d pos sur le m me support en verre fritt Les filtrations ont t r alis es sous une d pression cr e par une trompe eau milieux A B C ou sans d pression milieu D Pour l abattement des ions Mn une quantit stoechiom trique de KMnO a t ajout e la solution avant stabilisation du pH la valeur de consigne La r action stoechiom trique de pr cipitation du mangan se s crit 3MnCl 2KMnO 2H 0 gt 5MnO 2KCI 4HCI Les bilans des essais ont t r alis s selon diverses proc dures en fonction des milieux filtrants utilis s a pour les essais r alis s avec la membrane millipore 0 1 um et un support muni de trous les bilans ont t tablis sur base de l analyse du filtrat et de la solution recueillie apr s immersion de la membrane dans une solution acide dissolution du pr cipit b pour les essais effectu s avec une membrane millipore 0 1 um ou des ta
161. ts est la table centrale de Calypso qui contient tous les r sultats des analyses toutes les mesures de param tres effectu es sur les eaux souterraines que la table Param tres contient les unit s les normes et les limites de quantification maximales admissibles pour qu un r sultat permette d appr hender le fond g ochimique naturel et que c est la table Analyses qui rapporte les dates des diff rents pr l vements effectu s et les laboratoires auxquels elles furent confi es Un travail important a consist mettre en relation chaque ouvrage pour lequel des analyses sont disponibles avec les 33 masses d eau souterraine r cemment d finies en Wallonie et non plus simplement avec les aquiferes principaux Par une s rie de 6 requ tes partir de ces tables on obtient les alt rations relatives un ouvrage ou une masse d eau La s quence finalement retenue est la suivante e AASEQ1 gestion des R sultats nuls ou n gatifs dans Calypso donn s pour inf rieurs une limite de quantification les z ros correspondant une non d tection sont remplac s par le quart de la limite de quantification conventionnelle LOQ les valeurs n gatives sup rieures LOQ sont remplac es par LOQ 2 et les valeurs n gatives inf rieures a LOQ sont limin es du traitement Cette premi re requ te donne aussi la possibilit d liminer sciemment du traitement les param tres qui ont donn lieu des artefacts susceptibles de f
162. u sur base des sites de contr le qui en sont repr sentatifs L tat chimique global qui en r sulte devra ensuite tre alors indiqu par un point vert ou rouge selon qu il est bon ou m diocre sur une carte des masses d eau souterraine en R gion wallonne inclure dans le plan de gestion du district hydrographique Il est bien vident que ces exigences n cessitent la mise au point et l utilisation d outils performants d valuation de la qualit des eaux souterraines L annexe II 2 2 relative la caract risation d taill e des eaux souterraines pr voit d ailleurs que les Etats membres peuvent utiliser des typologies pour la caract risation de la composition chimique des eaux souterraines lorsqu ils tablissent des niveaux naturels pour ces masses d eau souterraine EXPOSE DU DOSSIER Dans le domaine des eaux de surface les Agences de l Eau fran aises utilisent un outil performant d valuation de la qualit des cours d eau appel SEQ EAU d velopp depuis les ann es 90 et r cemment am lior pour r pondre au syst me de classification adopt par la Directive Cadre Cet outil a t test dans le cadre du programme PIRENE et vu son grand int r t il est propos au Gouvernement de l adopter pour la R gion wallonne A partir de 1995 les Agences de l Eau et le Minist re de l Am nagement du Territoire et de l Environnement fran ais ont souhait mettre en place pareillement avec l appui du Bureau de Recherc
163. um mg l NH4 0 05 0 0 05 0 3 0 5 4 0 0 0 0 SEQF 2MOX Oxydabilit KMnO4 mg l O2 0 5 0 1 3 5 10 0 0 0 0 SEQF 2MOX Carbone organique total mg l C 0 3 0 3 4 5 6 12 0 0 0 0 SEQF 2NO3 Nitrates mg l NO3 1 0 10 20 50 100 0 0 0 0 SEQF 2PHO Phosphore total mg l P205 0 05 0 0 115 0 4 1 15 5 0 0 0 0 SEQF 2PHO Ortho Phosphates mg l 0 08 0 0 1 0 52 0 9 4 5 0 0 0 0 SEQF 3FEM Fer sur filtr 0 4 ug l 10 0 50 125 200 10000 0 0 0 0 SEQF 3FEM Mangan se ug l 5 0 20 30 50 1000 0 0 0 0 SEQF 3MES Turbidite NTU 0 5 0 0 4 1 2 2 3750 0 0 0 0 SEQF 3MES Mati res en suspension 0 00 mg l 0 1 0 2 3 5 5 5000 0 0 0 0 SEQF 4MPM Aluminium ug l 10 0 50 125 200 10000 0 0 0 0 SEQF 4MPM Cyanures totaux ug l 5 0 5 25 40 50 0 0 0 0 SEQF 4MPM Cuivre ug l 2 0 100 150 200 4000 0 0 0 0 SEQF 4MPM _ Zinc ug l 20 0 100 1700 3400 5000 0 0 0 0 SEQF 4MPM Bore ug l 25 0 50 350 700 1000 0 0 0 0 52 SEQF 4MPM Arsenic ug l 1 0 5 7 5 10 100 0 0 0 0 SEQF 4MPM Cadmium ug l 0 25 0 1 2 5 3 5 5 0 0 0 0 SEQF 4MPM Chrome total ug l 2 0 25 30 40 50 0 0 0 0 SEQF 4MPM Mercure ug l 0 2 0 0 5 0 65 0 8 1 0 0 0 0 SEQF 4MPM Nickel ug l 2 0 10 15 20 40 0 0 0 0 SEQF 4MPM Plomb ug l 1 0 5 7 5 10 50 0 0 0 0 SEQF 4MPM Antimoine ug l 1 0 2 3 5 5 10 0 0 0 0 SEQF 4MPM Selenium ug l 1 2 0 5 6 5 8 5 10 0 0 0 0 SEQF 5PES Pesticides totaux ug l 0 05 0 0 01 0 05 0 5 5 0 0 0 0 SEQF 5PES Hexachlo
164. ur les sulfates Nous pr f rons adopter les valeurs m dianes de toutes les eaux potabilisables confondues soit 30 mg l pour les chlorures et 60 mg l pour les sulfates L ancienne CMAd de 200 et non 250 mg l pour les chlorures nous para t mieux adapt e aux eaux brutes Contrairement aux chlorures les sulfates seront consid r s comme traitables jusqu 400 mg l traitement par nano filtration appliqu sur les eaux d exhaure des carri res En ce qui concerne l tat patrimonial la dispersion des valeurs habituelles pour les eaux potabilisables nous fait pencher pour le seuil S2 vert jaune vers 60 mg l pour les chlorures et 120 mg l pour les sulfates 90 des r sultats respectent ces valeurs Par ailleurs vu leur pr sence fr quente sur certains sites contamin s des seuils PAW S4 sont tablis 4 fois la valeur du PAW S3 En conclusion pour les chlorures Cl SI S2 S3 S4 AEP 25 250 250 250 ADE 30 200 200 250 PAT E 58 PAW 30 60 100 400 SEQF 25 100 175 250 SEQW 30 60 150 250 Vu l absence d intrusion saline en Wallonie la valeur de 150 peut tre test e provisoirement comme valeur seuil En conclusion pour les sulfates SO4 SI S2 S3 S4 AEP 25 250 250 250 ADE 60 250 250 400 PAT PAW 60 120 200 800 SEQF 25 100 175 250 SEQW 60 120 250 400 La norme de potabilit prend bien ic
165. vention pour assainissement Vinappe du d cret SOLS a t introduite en PAW S4 Cette valeur est rappelons le bas e sur des crit res de mobilit des polluants dans la nappe de sant humaine et d co toxicit Pour les hydrocarbures peu mobiles comme les HAP la Vinappe ne pouvait pas s appliquer la masse d eau le rapport de 4 entre la Vinappe et la VSnappe Valeur seuil pour les tudes de risque qui intervient en r gle g n rale a d s lors t utilis pour fixer PAW S4 par rapport SEQW S3 Le seuil PAW S1 est par contre toujours quivalent au PAT S1 soit 10 mg l pour les nitrates et des limites de d tection revues en fonction des performances des laboratoires wallons pour les param tres organiques les travaux r alis s pour tablir le fond g ochimique naturel des micropolluants min raux en R gion wallonne en vue du m me d cret SOLS valeurs de r f rence devenant PAW S1 ont t mis profit pour tablir cette alt ration qui notre connaissance n est pas encore introduite sur le SEQEAU en raison d une grande variabilit du fond g ochimique en France L option a t prise de retenir un fond g ochimique toutes nappes confondues et donc de ne pas introduire de typologie relative aux aquif res sur le SEQ ESO en effet l examen de l ensemble de la base de donn es Calypso indique que les rares aquiferes qui d rogent naturellement au S1 restent statistiquement de bonne qualit seuil S2 consid r
166. x lourds en pr sence de fer et notamment dans le cas du nickel 21 Essais en laboratoire Dans le cadre de la convention le Professeur Van Lierde de l UCL a men des essais de traitabilit d eau contamin e par Ni Zn et Al L effet de la pr sence de mangan se et de fer liminer conjointement a t analyse Le rapport final de ces travaux est annex la pr sente la conclusion principale en est que quels que soient le type du milieu filtrant utilis et la masse de CaCO3 ajout e aux solutions 20 mg l ou 30 mg l la concentration Ni2 ne peut tre abaiss e en dessous de 45 65 ug l un pH de 7 5 8 lorsque la concentration Fe3 est limit e 500 ug l Ce constat n est pas tranger au fait que les ions Ni2 pr cipitent difficilement sous forme d hydroxydes avec un rendement lev si le pH reste maintenu des valeurs comprises entre 7 5 et 8 De meilleures performances seraient obtenues un pH de 9 22 Essais sur installation de traitement existante Avec la collaboration de l IECBW une mesure directe de la traitabilit du nickel a t faite sur la station de SART traitant les eaux capt es localement dans le socle du Brabant Pour l occasion seul le puits Sainte Gertrude 1 dont l eau peut contenir par litre 6000 ug Fe 2500 ug Mn 50ug Ni 5 ug As l et 100 ug Zn tait en service de production et alimentait la station 93 Les conditions op ratoires les chantillons pr lev s
167. ypes d eau pour d terminer les chelles respectives Dans l eau souterraine il ne devrait pas y avoir de grande diff rence entre COT et COD Par ailleurs le rapport COT MO entre le carbone organique total et l oxydabilit au KmnO4 chaud est g n ralement voisin de 4 dans les eaux souterraines Alt ration nitrates NO3 Le seuil PAT S2 vert jaune de 25 mg l niveau guide de la directive 80 778 CEE nous para t pr f rable au seuil de 20 mg l d riv de l tat patrimonial parce qu il a toujours t employ en R gion wallonne et qu il est fondamental dans l application et le reporting de la Directive Nitrates 91 676 Le seuil PAT S3 de 40 mg l seuil d alerte parfois utilis pour les eaux potabilisables devrait tre abandonn pour faire place PAW S3 37 5 mg l conform ment la r gle de la valeur d action au maximum gale 75 de la norme de qualit Le seuil AEP S4 de 100 mg l correspondant au niveau A3 50 mg l pour les eaux de surface potabilisables est bien adapt de petites stations de traitement par change ionique la o aucune alternative n existe Erquelinnes Honnelles Inzemont Nous ne trouverons effectivement pas en R gion wallonne d eau potabilisable dans le rouge par contre on peut en trouver dans les puits domestiques particuliers et fermiers Nous l adoptons en conclusion pour les nitrates SI S2 S3 S4 AEP 10 25 50 100 ADE 10 25 50 100 PAT 10 20 40

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