Home

Le document intégral - format : PDF - 2,51 Mb

Contents

1. 90 9 1 LES CO TS MOYENS PAR FILI RE DE COLLECTE DE TRAITEMENT 90 92 CE TRANSPORT DE D CHETS EE 93 10 R DUCTION DES DECHETS LA SOURCE 94 E LES ENIEUX ee 94 10 2 L ACTION INDIVIDUELLE POUR R DUIRE LES D CHETS LA SOURCE R CLAVIJO CLAPE LR 94 10 3 LE FINANCEMENT DE LA COLLECTE ET DU TRAITEMENT DES D CHETS 95 LOL ENEUDELA COMMUNICATIONS ee eege 96 11 EFFETS SUR LA SANT HUMAINE DU TRAITEMENT DES D CHETS M NAGERS 97 a 97 DES KEE 97 11 2 EFFETS DU TRAITEMENT DES D CHETS SUR LA SANT 98 11 3 EFFETS DU PLAN D PARTEMENTAL SUR LA SANTE geed Eed 100 ERCON TU TON uy eee en Den a ne De te D en 100 ANNEXE 1 ANNEXE 2 ANNEXE 3 ANNEXE 4 ANNEXE 5 ANNEXE 6 ANNEXE 7 ANNEXE 8 ANNEXE 9 ANNEXE 10 ANNEXE 11 ANNEXES D cret du 96 1008 relatif aux plans d partementaux d limination des d chets m nagers et assimil s Analyse ADEME du plan d partemental initial Liste des collectivit s comp tence d chets Synth se des tudes de fili res et de zones PHASE 1 tude GIRUS 11 99 Mode d emploi bases de donn es lt Objectifs gt et lt Bilan gt PHASE
2. D chets Verts et Boues de Station d Epuration 69 la tonne Cette technique de compostage n cessite un proc d industriel en atmosph re confin e pour contr ler au maximum les odeurs d gag es lors de la fermentation gt Compostage des Ordures M nag res diminu es de la part recyclable 38 92 la tonne Les co ts sont tr s variables en fonction des flux et des techniques mises en oeuvre Les nouvelles normes attendues sur le compostage pourraient se traduire par une augmentation des co ts de traitement qui se situeraient alors plut t aux alentours de 76 t Page 91 4 Incin ration gt Pour les installations de taille moyenne 60 120 000 t an 76 92 la tonne gt Pour les installations de grande taille sup rieur 120 000 69 76 la tonne Les installations de petite taille pr sentent des co ts de traitement tr s lev s sup rieurs 122 et ne sont pas viables dans le d partement 5 l enfouissement des d chets en centres de stockage gt Centre de stockage de Classe 198 300 la tonne y compris la stabilisation selon la toxicit des d chets re us Les prix sont conditionn s par le seul CET de Bellegarde qui draine les d chets de tout le Sud de la France Sa r cente autorisation d extension lui assure une bonne p rennit gt Centre de stockage de Classe II 45 69 la tonne Il est tr s difficile d avoir une
3. 19 WO44 81981109 Jed sap G Weg el Is v Z V N lt CIO 2 7 V Or 15 e D CS SECTEUR CENTRE SUD AT D chets inertes et Valorisation mati re e C E T Tri Z N K k es non MATERIAUX RECYCLES Refus sables FILI RES RETOUR EE C t verre papier carton plastiques m taux etc DMS Traitement sp cifique 36 700 t DECHETS M 887001 N ee A N Z N v p A kA ee d EE ec et Toxiques et Valorisation organique FFOM D chets verts Compostage FFOM Ba N Refus VALORISA ORGANIQUE 14 4004 e QUES SM et d puratii Valorisation organique Compostage d chets verts boues ON Refus 22 300 t 25 on et L C ENFOUIS S Z J V MENT 14 400 t gt gt 33 600t MACHEFERS REFIOM VALORISES 11 200 t SECTEUR HAUTS CANTONS 10 300 E f VC Cet d D chets inertes et Valorisation mati re et et Valorisation organique verre papier carton DMS FFOM D chets verts plastiques m taux etc Plate forme Tri Traitement Compostage C ET sp cifique pa di gt NN SC s
4. Conventionn s par l Agence de l eau dans le cadre du soutien financier aux communes pour l limination des D M S e AUDE e ARIEGE DECHETS All e des Maronniers 11230 COLOMBES L HERS e SOCODELI 2 1 L Estagnol 11 Rue Nicolas Cugnot 11000 CARCASSONNE IPODEC SUD OUEST Rue Joachim Estrade ZI L Estagnol 11000 CARCASSONNE e GARD e Soci t A T O Assainissement Travaux Obert 2 1 du Corata 30250 SOMMIERES e NIMES ASSAINISSEMENT ZI Crezan 201 rue E Freyssinet 30000 NIMES e SETAT 26 route de N mes 30300 BEAUCAIRE e HERAULT e SCORI CDEE La 3410 FRONTIGNAN e SEARMIP 168 rue Joliot Curie 34500 BEZIERS e PYRENEES ORIENTALES e SEARMIP Rue E Flachat Fax 66000 PERPIGNAN H PNEUMATIQUES USAGES e AUDE e ESCARBOUTEL 12 rue Th ophile Barrau Fax 11400 CASTELNAUDARY e ARIEGE DECHETS All e des Maronniers 11230 COLOMBES L HERS e Soci t STAN Rue A Becquerel 11100 NARBONNE e GARD e COVED 3218 Avenue Kennedy 30000 NIMES e Soci t A TO Assainissement Travaux Obert 2 1 du Corata 30250 SOMMIERES Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax 04 68 69 20 30 04 68 69 31 40 04 68 72 50 60 04 68 72 67 79 04 68 25 73 83 04 68 72 04 20 04 66 80 99 15 04 66 77 76 75 04 66 26 54 90 04 66 26 54 89 04 66 59 14 75 04 66 59 15 72 04 67 46 66 90 04 67 46 66 92 04 67 35 12
5. N 2 Toxiques et Valorisation organique D chets verts 9 I MH N 5 MUNIC gt N 29 200 t 32001 et ur S e et Compostage ETS KL s ENFO UIS S 13 0001 Valorisation organique ENT 50 pandage 1 600 t EC risables F D chets inertes et Valorisation mati re et verre papier carton plastiques m taux etc Plate forme Tri Traitement C E T D sp cifique MATERIAUX RECYC OUR ERES F 15 600 t 23 Toxiques a a DMS ES S et 5 Valorisation organique FFOM D chets verts Compostage refus et EUR BITERROIS N N So DECHETS 66 200 t N Ka N 34 600t 6 600 7 Valorisation organique 50 Compostage urbain Dee d N N s N x VALORISATION Refus VALORISATION Refus ORGANIQU ORGANIQUE Compostage pandage 3 300 t s qe 5 581 18 WO44 5 500 t 8 TF sz s w 1550 23 EE A ss Z V ENFOUIS S EMENT 29 400 t ot s liuuisse ja siabeuauw souen Sep Gb UIONE ej IS 1 2 onr es D I r Ze ka ca ke r i al XZ 5 K Valo Org R
6. Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 18 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les collectes s lectives Les collectes s lectives se limitent au verre qui est r cup r par une majorit de communes Les tonnages r pertori s sont issus des communes des soci t s de collecte ou ventuellement d tudes plus anciennes La r cup ration s chelonne entre 5 et 54 kg hab an Les faibles taux de r cup ration inf rieurs 15 kg hab an peuvent tre d a une faible densit de r partition de conteneurs moins d un pour 300 habitants un habitat tr s dispers dans certaines communes tr s rurales une communication insuffisante aupr s de la population Certaines communes affichent des taux de r cup ration assez lev s Les encombrants La gestion des encombrants est diff rente suivant les communes soit une collecte r guli re est organis e soit la collecte se fait sur appel uniquement soit les habitants doivent g rer eux m mes leurs encombrants L exutoire principal est la d charge souvent non autoris e sauf pour Ferrals les Montagnes qui poss de une mini d chetterie et Lunas qui poss de une d chetterie La quantit d encombrants a t calcul e sur la base d un ratio de production de 30 kg hab an Les d chets verts L estimation du gisement global est bas e sur le r sultat d une enqu te nationale men e pa
7. de regroupement des d chets du b timent La valorisation des d chets du b timent n cessite d abord un tri pr alable Sur des chantiers d importance des exp riences de d constructions s lectives ont t men es et ont donn des r sultats concluants sur les plans techniques et financiers Mais pour les petits chantiers de d molition et de r habilitation le tri est beaucoup plus difficile effectuer Cependant ce tri doit tre mis en uvre autant que possible si les d chets de chantiers sont dirig s vers une d chetterie d faut des centres de tri devront tre mis en place afin de trier les d chets n ayant pas pu l tre sur chantier L implantation des plates formes de peut se concevoir annexe d une d chetterie ou d un CETS En outre pour valoriser les d chets du BTP dont la production est diffuse il faut les regrouper avant collecte par des entreprises sp cialis es 78 7 3 3 2 Acc s aux d chetteries Les d chetteries constitueront un maillage de proximit sur l ensemble du d partement sont des lieux de regroupement de transferts et de tri des d chets tr s utiles pour les entreprises productrices de d chets du BTP en petites quantit s inertes DIB DTQD Il est recommand aux exploitants de d chetteries d y accepter un volume hebdomadaire de d chets de chantier qu il leur appartiendra de d finir et ce quelque soit son producteur Les conditions et les modalit
8. 2 1 1 OBJECTIFS uu aa sasasasaaanaaaaaqawaqanaqaanqaqawanaqanaaqanaqasawanaqwanqaqaqanaqanwaunawaqa 2 1 2 METHODE eege 2 1 3 TERRAIN D APPLICATION 3 1 4 DESCRIPTION DE L OPERATION uusiiieereeeeceneceeeeeeeeenememenemeneueueses 3 RESULTAT a a a a da co de 5 1 6 ANALUvSE cesse cesse secs cesse se cececees 6 1 7 UTILISATION DES RESULTATS PROPOSITIONS 9 1 7 1 Utilisation des resultat 9 OO OR EEEE EEE EEEE EEEE EEE DEEE EE 9 1 7 3 Application des propositions aux r sultats 10 2 CONCESSION vre 11 Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 1 GIRUS SA CM novembre 1999 1 PRESENTATION DE L ETUDE 1 1 Objectifs L objectif de cet essai est de d terminer la quantit d ordures produites strictement par les m nages Sont donc exclus les d chets professionnels et les d chets de chantier ils suivent souvent les circuits OM lorsqu ils sont produits par des entreprises exer ant en milieu urbain les d chets encombrants des m nages et d chets verts ils sont r cup r s avec les ordures m nag res lorsqu il n existe pas de circuits sp cifiques ou lorsque les modalit s de collecte le permettent En recoupant avec les derni res estimations de population l objectif est de d gager une production l habitant et de rapprocher ces
9. SICTOM du Lod vois SI de Cesse et De plus ce tonnage regroupe les ordures m nag res strictes des habitants s dentaires et de la population touristique et d autres d chets tels que D I B petits encombrants d chets verts D M S La part d ordures m nag res produite par la population touristique et la part de DIB collect s avec les ordures m nag res sont quelques fois estim es En ce qui concerne les autres d chets aucune estimation n est fournie La production de d chets li e la fr quentation touristique n est souvent envisag e que sous un aspect Elle se r sume la plupart du temps la production d ordures m nag res produites par la population touristique en saison Elle est souvent estim e par lissage de la pointe estivale lorsque les tonnages mensuels sont connus Notons qu une estimation de la production d ordures m nag res due un tourisme permanent doit tre r alis e pour les communes littorales Enfin la production de D I B issus de l activit touristique n est pas quantifi e Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude bilbliographique GIRUS SA CP f vrier 2000 4 2 Les d chets faisant l objet d une collecte s lective ou s parative Les quantit s issues des collectes s lectives sont bien connues ou font l objet d estimations pr cises Les quantit s re ues en d chetterie sont soit pes es soit estim es en foncti
10. tude GIRUS 1 00 Quantification des Ordures M nag res strictes PHASE 2 tude GIRUS 11 99 Quantification et caract risation des d chets des populations touristiques PHASE 2 tude GIRUS 11 99 annexes concernant les D chets Industriels Banals annexes concernant la Valorisation Organique Liste des collecteurs recycleurs trieurs et conditionneurs de la r gion source ADEME Production et objectifs de valorisation des emballages m nagers Jon Inscrite dans la continuit du document initial approuv le 1 F vrier 1996 cette premi re r vision du Plan D partemental d Elimination des D chets M nagers et Assimil s de l H rault r pond tant un besoin r glementaire qu une volont d adaptation diverses volutions r centes population collectivit s comp tence d chets r glementation choix de nouvelles fili res nouvelles installations de traitement Les principes de base ayant guid l laboration du plan initial ont t repris dans cette premi re r vision savoir l int gration des choix effectu s par les principaux acteurs de la collecte et du traitement des d chets une forte ambition pour une valorisation maximale des d chets m nagers et assimil s une structuration des collectivit s comp tence d chets quitable et adapt e aux fili res et une mise en uvre locale de la r glementation nationale et europ enne Fruits des r flexions men es par les six groupes de tr
11. 2 of 3 40 75 2 29 S 75 35 45 15 457 s 2 33 Agato 205 5 6 6 0 6 5 2 4 s 20 75 3 5 55 22 22 x 2015 o 6 2 80 of 3 40 2 29 x 220 7 357 6 d 15 485 e 32 CEE 8 2 7 2010 27 L 80 2 0 SL oL 28 30 x 22 S 75 3 6 d 15 457 s 33 Biterois2 205 v 6 6 0 4 2 4 x 2010 s 20 5 7 3 5 55 22 26 x 2 o 6 2 80 3 40 6 2 28 x 220 957 357 65 d s 485 s e 3 Cenreh raut 2005 so so v el 65 2 s 3 6 6 4 2 23 200 n 1 22 2015 90 65 25 40 85 65 28 28 2020 95 75 35 5 45 90 75 28 31 Hauts Cantons 2005 z 4 v l 2 s 5 6 4 23 x 2 0 s 2 75 7 3 gt 35 so 55 2 22 x 25 o 6 2j 3 15 407 65 29 Z 3 2 4 o 5 32 205 4 6 2 s 3 6 4 2 1 s 2 75 75 3 12 35 s 5 2 24 2015 9 65 25 0 j 3 d 40 85 5 6 2j 26 2020 95 a 85 8 45 20 4 90 90 75 28 29 Piscenois 2005 801 5 el 65 25 3j el el 45 28 29 2010 8 60 20 5 s 42 35 80 80 SEI 28 25 201
12. 2 O G O 9 f 2 Pscenois 2010 24 12015 1 L CG 2020 ll ll al l a 26 tab 10 Objectifs minimaux de valorisation organique exprim s en pour chaque secteur et par cat gorie de mat riaux extrait base de donn es lt Objectifs gt Page 53 LES OBJECTIFS MAXIMAUX DE VALORISATION ENERGETIQUE ORDURES MENAGERES AUTRES DECHETS MENAGERS BOUES GLOBAL DECHETS MUNICIPA UX CETTE TETE LE ET eer Cartons incin rables verts Centre Sud 2005 53 90 60 80 gl 5 35 55 10 j 38 2010 a _ 25 50 70 80 88 4 20 25 C 5 j 32 2015 33 f 2 45 65 80 wI 44 35 5 28 200 j z GS a 55 10 25 5 24 PicetEtang 2005 48 85 35 60 75 ol Sol 35 5 of j 36 2010 25 f 88 4 20 45 0 j 31 2015 33 f 2 45 65 80 85 _ 44 15 35 0 28 200 j 23 GS o 55 10 a 24 Montpellier 2005 23 5 18 n 2010 sB 43 B 13 35 50 f 2 30 a 50 j 21 2015 B 38 10 B 33 50 e 2j 25 3 o j 19 2020 a B z 50 85 z 20 2 so 20 tableau n 11 Objectifs maximaux de valorisation nerg tique exprim s en pour chaque secteur et par cat gorie de mat riau extrait base de donn es Objectifs Page 54 SYNTHESE OBJECTIFS DE VALORISATION DES DECHETS MUNCIPAUX SECTEUR An
13. Cette solution permettrait de palier l absence de fili re de traitement de g n rer des conomies d chelle par une utilisation rationnelle des investissements Il faut aussi pr ciser que les volumes stocker devraient tre bien inf rieurs ceux issus de la collecte des ordures m nag res 7 5 D chets du B timent et Travaux Publics Chaque acteur et chaque intervenant de la construction est impliqu dans l limination des d chets Les professionnels mais aussi les ma tres d ouvrages et les industriels car le traitement des d chets du fait partie d une cha ne conomique et technique o chacun doit favoriser dans son champ de comp tence respectif les objectifs de r duction de la production de d chets la source de valorisation des d chets ou de traitement optimal Les pouvoirs publics ont un r le jouer initiant ou favorisant des solutions qui permettront aux fili res de valorisation et de traitement des d chets du BTP de se cr er Un travail important de recherche de fili re d information et de sensibilisation est effectu par les professionnels consulaires et syndicats professionnels Ces efforts doivent tre accompagn s et soutenus 7 3 1 Estimation de la production de d chets du B timent et Travaux Publics D apr s le Sch ma de gestion des d chets du BTP tude CEBTP la production de d chets du b timent et des travaux publics est estim e 822 155 Tonnes par an B
14. Composites Gisement Gisement Gisement Gisement Gisement Gisement Gisement m taux Gisement global Tonnage Tonnage Tonnage Gisement Tonnage Tonnage Tonnage Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 19 GIRUS SA CP Janvier 2000 DETAIL DU GISEMENT DM DM Tout venant Tout venant Gravats D chets Bois Ferrailles Cartons Gisement non incin rable incin rable Gisement verts Gisement Gisement DM global Gisement Gisement Tonnage Gisement Tonnage Tonnage Gisement Tonnage Tonnage Tonnage Tonnage Tonnage GISEMENT BOUES DETAIL DU GISEMENT DIB Boues DIB DIB circuits DIB Gisement Gisement collectivit autres global global Gisement circuits Tonnage Tonnage Tonnage Gisement Tonnage Le d tail du gisement est exprim en tonnes par an Il est obtenu en faisant appel aux diff rents types de population figurant dans la feuille PROJEC et la d composition du gisement figurant dans les feuilles de ratio e pour les ordures m nag res e pour les d chets m nagers e DIB pour les d chets industriels banals trait s par les circuits des collectivit s et par d autres circuits Pour le calcul du gisement de d chets produits par les touristes la d composition utilis e est celle correspondant au type 5 en ce qui concerne
15. Il est dimensionn pour accueillir 21 000 T de recyclables an Du 30 juin 1996 au 31 d cembre 1998 ce centre a galement accueilli les collectes s lectives de la Ville de Nimes exp rimentation destin e la mise en place d un centre de tri similaire sur la ville de N mes le cenire de tri de Villeveyrac Il accueille actuellement les emballages m nagers propres et secs sauf le verre provenant des collectes s lectives effectu es en porte porte sur les communes du SINBT Il est dimensionn pour accueillir 5 000 T de d chets recyclables an capacit largement sup rieure aux besoins du SINBT Il peut recevoir jusqu 10 000 T de d chets si un deuxi me poste est am nag Des possibilit s de partenariat avec les collectivit s voisines ont donc t pr vues Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 30 GIRUS SA CP f vrier 2000 3 2 Destinations actuelles des autres d chets m nagers et assimil s 3 2 1 Les plates formes de compostage des d chets organiques Il existe l heure actuelle 4 plates formes de compostage de d chets organiques B ziers cette plate forme est situ e proximit de l UTOM de la ville et g r e en r gie Elle accueille les d chets verts des services municipaux des particuliers et des d chetteries ainsi que les collectes s lectives effectu es sur le quartier de la Crouzette B ziers
16. SIVOM de S te et de ses environs valuation des co ts de collecte de transport et de traitement TRIVALOR octobre 1997 gt SIVOM de S te et de ses environs Etude locale de gestion des d chets Inventaire et diagnostic des installations existantes TRIVALOR octobre 1997 SIVOM de la Mer et des tangs Etude des sch mas organisationnels de collecte et de traitement TRIVALOR octobre 1998 gt SIVOM de S te et SINBT Rationaliser ses d chets un objectif MODECOM Rapport de stage Yvain REMEUF avril 1998 gt SIVOM de S te et de ses environs Etude locale de gestion des d chets Note de synth se BEFS TEC Ing nierie d cembre 1997 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Le tonnage estim est de 6 200 T pour m moire le Plan indiquait un tonnage de 7 009 T pour ce syndicat soit environ 317 kg hab an Ce ratio semble assez faible tant donn que 2 communes de cette collectivit sont littorales Bouzigues et M ze Ces communes ne pr sentent pas une capacit d accueil importante h tels campings Cependant elles regorgent de petits restaurants sp cialis s dans l hu tre de Bouzigues produit labellis de l tang de Thau Les collectes s lectives La collecte s lective du verre est organis e sur l ensemble des communes du syndicat Au moment de l
17. St Bauzille de Putois Le Triadou Les d charges de Mauguio et de Marsillargues ont certainement arr t d accueillir des ordures m nag res depuis le fonctionnement de l unit d incin ration de Lunel Viel ll en existe une hors d partement Narbonne qui accueille les ordures m nag res du SI Cesse et Brian ainsi que de la commune de Cers Les d charges non autoris es Les d charges communales accueillant les ordures m nag res sont officiellement peu nombreuses et sont situ es sur la Zone Ouest gt certaines d charges accueillent les d chets de l ensemble d un syndicat St Pons St Jean du Minervois la Salvetat sur Ago t d autres accueillent les d chets d une seule commune d charge d Av ne d charges communales du SIVOM d Ens rune CC d Orb Jaur 3 1 2 Les unit s de compostage Il existe trois unit s de compostage toutes situ es dans la zone ouest l usine de tri compostage de Vendres elle est g r e par la CIDEME sous traitance du SIVOM du littoral et traite les ordures m nag res et les collectes s lectives de la partie Sud du Biterrois SITOM du littoral et SICEOM de Puisserguier prochainement SIVOM d Ens rune l Usine de Traitement des Ordures M nag res UTOM de B ziers elle traite les collectes de B ziers et des syndicats du Nord Ouest du Biterrois L usine de compostage de Clermont l H rault elle traite les ordures m nag res du SIRTOM de Clermont l H rault
18. 04 67 32 59 06 Valras Plage C 26 Vendres C 26 Villeneuve les B ziers C 26 27 27 27 Ct de Communes de la Montagne du Haut Languedoc H raultais Cambon et Salvergues adresse SALVETAT SUR AGOUT Fraisse sur Agout 04 67 97 61 47 Salvetat sur Agout La 04 67 97 52 81 Souli Le Angl s 81 Lamont lari 81 29 SIVOM Entre V ne et Mosson Cournonsec adresse BP 43 34570 PIGNAN Cournonterral 04 67 47 72 88 Fabr gues 04 67 47 12 56 Lav rune Murviel les Montpellier Pignan Saint Georges d Orques Saussan 30 Ville de B ziers H tel de Ville Place G P ri adresse 34500 BEZIERS 04 67 36 73 73 04 67 36 73 98 Cmes Cclientes Lespignan Faug res Caussiniojouls Cabrerolles Laurens Murviel les B ziers Th zan les B ziers Syndicats clients 2 SIVOM de la Vall e du Libron 13 SI de Lignan Corneilhan 16 SICOM de Magalas Puissalicon 13 SI Lignan Corneilhan 18 SICTOM des Six Page 8 Collecte Traitement 31 Communaut d agglom ration de Montpellier 275 rue L on Blum 34000 adresse MONTPELLIER 32 SI Cesse et Brian adresse H tel de Ville 34210 SIRAN 04 67 13 60 00 04 67 13 61 01 04 68 91 31 50 04 68 91 23 07 Baillargues Beaulieu Castelnau le Lez Castries Clapiers Cournonsec Cournonterral Fabr gues Grabels Jacou Juvignac La Grande Motte Lattes Lav rune Le Cr s Mauguio Montaud Montferrier sur Lez Montpellier Murvie
19. 1997 gt Caract risation des ordures m nag res produites dans le GIRUS f vrier 1999 gt Projet d tude pour le compostage des mati res organiques ABH Environnement 1996 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Les ordures m nag res collect es sont pes es occasionnellement L estimation pour la partie h raultaise du syndicat est 4 095 T an soit 547 kg hab an Ce tonnage comprend les ordures m nag res produites par les touristes ainsi que les D I B collect s avec les ordures m nag res Les collectes s lectives La collecte s lective du verre est effectu e sur une majorit de communes du syndicat Cependant aucune quantit n appara t Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 9 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les encombrants Aucune estimation n a t fournie en ce qui concerne la quantit d encombranis produite Les d chets verts Aucune estimation n a t fournie en ce qui concerne le gisement global de d chets verts produits sur le SIICTOM Cependant une tude fait tat de 328 T an collectables sur la d chetterie de Ganges Les d chets inertes lls ne font l objet d aucune estimation Les d chets municipaux lls ne font l objet d aucune estimation Les d chets des professionnel
20. 600 F t 184 65 F Triadou de Putois r gion de Ganges compost k _ i O N Page 37 LES INSTALLATIONS DE TRAITEMENT SOUMISES A AUTORISATION PREFECTORALE SUITE N Nom Implantation Maitre Proc d Date Mise en Fin Capacit de Tonnage Population Nature d chets Taux de Nature des Tonnage Prix de refus T T C TU RR j CT DEMETER Montpellier emballages m nagers m nagers DELTA et Etang m nagers m nagers F t RECYCLAGE 19 Centre de tri Villeveyrac SINBT Tri des 1996 1997 5 000 t an 20 000 emballages 500 F OIKOS emballages hab m nagers m nagers Centre de tri DIB Montpellier St NICOLLIN Tri des D I B 1994 1994 5 60 000 r EE 7 400 tab 7 les installations de traitement soumises autorisation Page 38 De mani re plus synth tique les capacit s de traitement pour les d chets m nagers se d clinent de la mani re suivante TYPES D INSTALLATIONS SECTEUR CAPACITE PERENNITE ACTUELLE Plates formes de compostage M 22___ 4 000 t 10 000 t 10 000 t 30 000 t Usines de compostage urbain So 45 000 t 14 000 t 0t Centresdeti S P Usine d incin ration 2 j M Incin rateur de S te 40 000 t 40 000 t Incin rateur de Lunel Viel EST 120 000 t 120 000 t TOTAL TRAITEMENT 2980001 313 000 E Centres de stockage P rennit au del de Juillet 2002 CET de Bessanl _ OUEST non CET de Saint Jea
21. Baillargues Jacou Communaut de communes Vall e de l H rault Communaut de communes du Clermontais SICTOM du Lod vois CC Ceps et Sylves CC de l Orthus CC du Pays de Lunel CC du Pays de l Or SIVOM du Pic Saint Loup SIVOM de Sommi res SIVOM d Aigues Mortes SIVOM des Hautes Garrigues SIVU d Aubais Gallargues SICTOM de Vistre et Vidourle Causses et Veyran Murviel l s B ziers Pailh s Saint Nazaire de Ladarez Th zan les B ziers Cabrerolles Caussiniojouls Faug res Laurens Page 12 COLLECTIVITE 45 SIVOM du Canton de Frontignan 2 rue du Canal 34110 FRONTIGNAN T l 04 67 18 40 30 Fax 04 67 18 40 31 comp tence collecte uniquement 46 Syndicat Mixte Vistre et Vidourle Gard Route de N mes 30470 adresse AIMARGUES 7 1 04 66 51 80 73 47 Communaut Rhony Vistre Vidourle adresse T l Fax 48 SIVOM d Aigues Mortes Gard 13 rue du Port 30220 AIGUES adresse MORTES T 04 66 73 91 20 Fax 04 66 53 81 97 Communes ind pendantes Les Rives Lespignan Marseillan Premian Romigui res Roqueronde Saint F lix de l H ras Remarques Collecte Traitement Balaruc le Vieux Balaruc les Bains Frontignan Vic les Etangs La Gardiole Mireval 45 45 45 45 45 Aimargues 46 Aujargues 46 Cong nies 46 Nages et Solorgues Aubais Boissi res Gallargues le Montueux Aigues Vive
22. Cet achat ne va t il pas surtout susciter de nouveaux besoins Si j ach te ces meubles ravissants il me faudra un logis plus vaste Je devrai d m nager payer un loyer plus lev augmenter mes revenus travailler davantage etc Perdre sa vie gagner Lib rons nous de cet esclavage la multiplication des besoins Prendre ses distances vis vis de l image sociale li e la possession d un objet On gagne moins d estime et de consid ration par du luxe ostentatoire que par son ind pendance d esprit et une forte personnalit Un homme libre ou un mouton Il faut choisir Pr f rer un objet polyvalent une collection d objets tr s sp cialis s Pr f rer ce qui a t fabriqu pr s de chez soi on conomise ainsi nergie et moyens de transport Choisir des biens durables r parables r utilisables plut t que des articles con us pour tre jet s apres une seule utilisation Pr f rer des produits d agriculture biologique ou colabellis s R utiliser des emballages con us pour tre jet s papier cadeau sacs en mati re plastique r cipients divers Refuser les emballages superflus Pr f rer les marchandises vrac Aux sacs de sortie de caisse pr f rer un panier d osier un filet ou un sac en coton Ces r cipients sont r utilisables r parables lavables et en fin de vie biod gradables 10 Quand des emballages sont in vitables exiger des emballages recyclables 11 Pr f rer les emballages
23. Les d lib rations instituant ou modifiant la TEOM auraient d tre prises avant le 1 juillet 1999 aussi l article 16 de la loi du 28 12 1999 dite loi recensement compl t e par l article 33 de la loi de finances rectificative pour 2000 laisse un d lai d adaptation aux communes et leurs groupements dont les d lib rations ant rieures au 12 7 1999 sont maintenues en vigueur pour 2000 2001 et 2002 Le 15 octobre 2002 au plus tard elles devront tre en conformit avec la loi du 12 7 99 Pendant les ann es 2000 2002 les pratiques ant rieures de perception de la TEOM ou de la REOM sont inchang es Les communes ou qui per oivent la ou REOM sans assurer au moins la collecte doivent proc der un reversement de la taxe ou de la redevance au profit de la collectivit qui assure totalement ou partiellement le service La circulaire NOR INT B 00 00025 C du f vrier 2000 du Ministre de l Int rieur explicite ces mesures transitoires Page 23 3 2 Collectivit s intercommunales comp tence collecte des d chets m nagers 7 _ mise jour f vrier 2003 Voir annexe 3 Communaut de Communes de la Montagne du Haut Languedoc H raultais SIVOM du Saint Ponais SIVOM du Marcory Communaut de Communes du Saint Chinianais SICTOM de Rosis SICTOM de Saint Gervais d Estrechoux SICTOM de la Haute Vall e de l Orb SICTOM de Cornus Aveyron Communaut de Communes du Clermontais SICTOM de
24. Les structures de niveau 2 ou SECTEURS dans le Plan r vis Elles regroupent des collectivit s ou des groupement de collectivit s ayant vocation mettre en place e la collecte s lective letri e les valorisations organique et mati re apr s collecte s lective et tri le transfert des d chets m nagers Ce niveau de regroupement a bien souvent t suivi pour la mise au point des tudes de fili res et de zone comme en t moigne le tableau n 4 Certaines collectivit s ont t jusqu cr er une nouvelle entit juridique f t le cas pour le Syndicat Centre H rault qui regroupe la Communaut de Communes du Clermontais le SICTOM du Lod vois et le SICTOM des Cantons de Gignac et Aniane D autres projets de regroupements sont en cours de r flexion e secteur Centre Sud regroupant le SIVOM de la Mer et des Etangs le Syndicat Nord Bassin de Thau et le SIVOM entre V ne et Mosson e le secteur des Hauts Cantons regroupant les 10 structures intercommunales des Hauts Cantons Page Les structures de niveau 3 ou ZONES Elles concernent la phase finale du traitement des d chets c est dire le traitement des d chets r siduels apr s valorisations mati re et organique et l enfouissement des d chets ultimes Les structures de niveau 3 peuvent tre regroup es en 2 grands ensembles e la zone Ouest constitu e en syndicat d tudes le 24 9 97 et transform en syndicat mixte de gestion et de
25. ZA Le Cr s Fax 04 67 70 95 91 7 rue Draye 34920 LE CRES e ONYX MEDITERRANEE 04 67 06 16 16 2 1 du March Gare Fax 04 67 06 16 19 595 Avenue du Mas de Pierre 34000 MONTPELLIER e BNM 04 67 36 28 04 5 rue de Cr s Fax 04 67 36 38 31 34025 BASSAN DELTA Recyclage 04 67 86 71 50 Avenue de la Lib ration Fax 04 67 86 71 12 34130 LANSARGUES e SEGA 04 67 94 40 94 Rue de la M diterran enne 34300 AGDE e LARMANDE Roger 04 67 31 09 99 Lieu dit La Malhaute Fax 04 67 31 59 18 34500 THEZAN LES BEZIERS e LANGUEDOC RECUPERATION 06 08 57 30 03 14 rue Enclos Fermaud Fax 04 67 58 33 85 34000 MONTPELLIER e BARTHES 04 67 53 04 67 HLM Mas Grenier Chemin Croix de Marcenac 34200 SETE e GERALEX 04 67 78 68 68 ZAE Verbi res Basses RN 113 Fax 04 67 78 78 08 34770 GIGEAN e SMN 04 67 27 20 21 351 Rue de la Castelle Fax 04 67 42 67 10 34011 MONTPELLIER cedex e PYRENEES ORIENTALES e SOPER S A 04 68 85 10 81 2670 av Julien Panchot Fax 04 68 85 26 95 66000 PERPIGNAN e ACTI SERVICE 28 rue Eug ne Flacha 66000 PERPIGNAN e Etablissements CIBAUD 129 Chemin du Pas de la Paille 2 1 du Sud 66000 PERPIGNAN St Nelle CATALANE ET OCCITANE DE RECYCLAGE 04 68 61 46 88 04 68 85 01 19 Fax 04 68 85 34 88 1900 av Julien Panchot 04 68 54 92 54 66000 PERPIGNAN Fax 04 68 55 20 03 e STAN 04 68 85 47 14 Chemin de Mailloles Fax 04 68 56 53 84 66000 PERPIGNAN e LLOVERAS Jean Luc 40 ave
26. animale ou v g tale Idem huiles de vidange grasses d origines Vrac Eviter les emballages plastiques gt verre o m talliques idem solvants halog nes Pas d interaction avec de le mat riau conditionnement idem huiles de vidange gt incin ration ou D enfouissement en CET 1 gt R g n ration ou Incin ration sp cifique avec traitement des fum es gt R g n ration ou gt Incin ration gt R cup ration et valorisation Agr ment pour des volumes gt 200 Valorisation en alimentation animale incin ration ou Page 87 NATURE BOMBES ET AEROSOLS Cosm tologie phytosanitaires bricolage PILES USAGEES Thermom tres bris s BATTERIES ET ACCUMULATEURS MEDICAMENTS PERIMES AUTRES DECHETS DE LABORATOIRE AMIANTE PRINCIPAUX CONSTITUANTS ET DANGERS Ne doivent pas tre soumis la flamme Contiennent des gaz propulseurs inflammables ou nocifs CFC et tous les produits ci dessus r f rences Contiennent du mercure m taux lourds et solutions salines Mercure bio accumulation pouvant provoquer la mort Contiennent du plomb m taux lourds et solutions acides et salines Plomb peut provoquer des troubles chimiques et biologiques Dangereux pour l homme lorsqu ils ne sont pas employ s dans le cadre de la posologie et pour l environnement cas de rejet dans le r seau eaux us es On peut trouver les cyanures agent bloqua
27. chets Collecte s lective et d puration r siduels Non 7 WW valorisables D chets Valorisation Toxiques Valorisation Valorisation Epandage Refus Valorisation inertes mati re DMS Organique organique Organique FFOM r siduelle KA D chets verts i Refus MATERIAUX Refus COMPOST Refus COMPOST Refus RECYCLES L URBAIN sch ma 4 fili re de traitement et d chets ultimes en Zone OUEST DECHETS ULTIMES Si par collecte s lective de la FFOM et des recyclables la collectivit atteint 45 valorisation de l ensemble des d chets m nagers et assimil s produits sur son territoire alors les refus de ces collectes s lectives d chets r siduels peuvent tre directement enfouis en centre de stockage de d chets ultimes Page 41 ZONE EST DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES eg D chets D chets Collecte s lective et d puration r siduels Non 3 E V valorisables D chets Valorisation Valorisation Valorisation Epandage Refus inertes mati re DMS Organique organique Incin ration FFOM SY D chets verts Refus MATERIAUX Refus COMPOST Refus MACHEFERS Refus RECYCLES L VALORISES schema 5 fili re de traitement et d chets ultimes en Zone EST DECHETS ULTIMES Page 42 Le choix des fili res r pond l argumentaire suivant ZONE OUEST e La fili re du compostage urbain est d j bien implant e dans la zone 2 usine
28. de synth se BEFS TEC Ing nierie d cembre 1997 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 24 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les ordures m nag res collect es Les ordures m nag res collect es sont pes es leur arriv e sur le site de l usine d incin ration Le tonnage annuel est de 36 629 T soit environ 482 kg hab an Ce ratio est lev car mis part Mireval et Balaruc le Vieux les communes du SIVOM de la Mer et des tangs b n ficient d un tourisme cons quent li la proximit du littoral L activit de thermalisme autour de Balaruc les Bains participe galement un gonflement des tonnages collect s tout au long de l ann e En effet le ratio d ordures m nag res collect es est de 692 kg hab s dentaire an Les collectes s lectives L ensemble du syndicat effectue une collecte s lective du verre et du papier en apport volontaire Les vieux v tements sont galement collect s par des associations caritatives Mais seules les quantit s de verre collect es sont connues Les encombrants lls sont collect s s par ment des ordures m nag res dans certaines communes Il existe une estimation des quantit s collect es pour les communes de Mireval et de S te Cependant aucun renseignement n est fourni sur le mode de quantification
29. gt n est pas envisag une structure intercommunale d partementale gt L ventualit d une p r quation des co ts n est pas mentionn e mais il est indiqu p 66 synth se que la mise en uvre du Plan doit conduire des co ts collecte et traitement des d chets m nagers et assimil s quitables sur l ensemble du territoire d partemental Sigles utilis s Sigle Signification CCI Chambre de Commerce et d Industrie CET Centre d enfouissement technique CSDU Centre de stockage de d chets ultimes DIB D chets industriels banals DICB D chets industriels et commerciaux banals DM D chets m nagers DMA D chets m nagers et assimil s DMS D chets m nagers sp ciaux D chets toxiques quantit s dispers s DV D chets verts FFOM Fraction fermentescible des ordures m nag res IAA Industrie agricole et alimentaire IRE Incin ration avec r cup ration d nergie MS Mati re s che MVAD Mission de valorisation agricole des d chets OM Ordures m nag res PAV Points d apport volontaire PDEDMA Plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s Plan Environnement Entreprise REFIOM R sidus d puration des fum es d incin ration SI Syndicat intercommunal STEP Station d puration Usine d incin ration des ordures m nag res ANNEXE 3 FICHIER DES COLLECTIVITES A COMPETENCE DECHETS MENAGERS Mise jour le 18 10 02 Collec
30. l avis de la commission consultative Art 6 L autorit comp tente pr sente la commission consultative au moins une fois par an un rapport relatif la mise en oeuvre du plan CHAPITRE IV Des modalit s de consultation et d information du public et des collectivit s territoriales Art 7 L autorit comp tente apr s avoir recueilli l avis de la commission consultative soumet le projet de plan pour avis a Au conseil g n ral et aux conseils g n raux des d partements limitrophes b Au conseil d partemental d hygi ne c la commission consultative charg e de l laboration et de l application du ou des plans d limination des d chets industriels sp ciaux cr e conform ment l article 5 du d cret n 96 1009 du 18 d cembre 1996 susvis territorialement comp tente pour la zone du plan A d faut de r ponse dans les trois mois de leur saisine ces conseils et commission sont r put s avoir donn un avis favorable au projet Le projet de plan est en outre port la connaissance des tablissements publics de coop ration intercommunale int ress s Le projet de plan est ventuellement modifi pour tenir compte de ces avis Art 8 Le projet de plan est soumis enqu te publique dans les formes pr vues aux articles R 11 14 2 et suivants du code de l expropriation sous r serve des dispositions suivantes Si le plan rel ve dans un d partement de la comp tence du pr fet
31. langes de d chets et permettant soit leur valorisation soit leur transformation dans des conditions contr l es Les principaux effets sanitaires positifs de la mise en application des orientations du plan d partemental sont e s paration et la collecte sp cifique des substances toxiques solvants hydrocarbures produits base de m taux lourds pesticides en vue de leur r cup ration ou de leur traitement dans les unit s sp cialis es e la suppression des processus polluants de d gradation des mati res organiques par la mise en uvre de proc d s de fermentation contr l s o les effluents liquides sont r cup r s et qui permettent de restituer au sol ces mati res organiques sans m lange avec des substances toxiques suppression des br lages l air libre basse temp rature par la mise en uvre de proc d s contr l s d enfouissement ou d incin ration permettant une diffusion maitris e et limit e des substances toxiques et des gaz susceptibles de porter atteinte aux quilibres atmosph riques e r duction des pollutions et des dangers induits par les transports de d chets longues distances par l incitation la mise en place d installations de traitement suffisantes dans chaque zone du plan 11 4 Conclusion L approbation et la mise en application des dispositions d un plan d limination de d chets ne peuvent contribuer qu une am lioration de la protection de l envi
32. n ral de l H rault a t saisi officiellement par le Pr fet sur l ventualit d un transfert de comp tence Apr s une r ponse n gative la premi re r vision du plan a t conduite l initiative du Pr fet de la zone g ographique couverte l article 4 du d cret n 96 1008 du 18 11 1996 pr voit que l autorit comp tente peut ajuster l emprise g ographique appel e lt zone du plan gt en fonction des disposition prises par les communes et tablissements publics de coop ration intercommunale pour la gestion de d chets m nagers Ainsi la zone g ographique du plan d partemental de l H rault est modifi e comme suit les communes tarnaises de LAMONTELARIE et ANGLES sont rattach es au plan d partemental de l H rault Elles ont adh r la Communaut de Communes de Montagne du haut Languedoc par arr t inter pr fectoral du 28 12 2000 les 21 communes gardoises appartenant au Syndicat Mixte entre Pic et Etang sont galement rattach es au plan d partemental de l H rault les 6 communes membres du SIICTOM de la R gion de GANGES ainsi que les 4 communes h raultaises clientes de cette collectivit sont rattach es au plan d partemental du GARD Elles adh rent toutes au SYMTOMA syndicat intercommunal comp tence traitement des d chets m nagers et assimil s bas SAINT HIPPOLYTE DU FORT 30 de la Commission de Plan la Commission consultative du Plan D partemental est d finie l a
33. ration CA ou urbaine CU La loi entra ne la disparition ou la mise niveau des statuts des syndicats existants qui sont souvent anciens Cette volution se fait suivant deux principes e Une commune ne peut appartenir plus d un EPCI fiscalit propre dont la TEOM L 5210 2 e Une communaut d agglom ration ou urbaine peut transf rer certaines de ses comp tences un syndicat mixte dont le p rim tre inclut en totalit le p rim tre communautaire apr s cr ation du syndicat ou adh sion de la communaut CA L 5216 5 IV CU L 5215 20 II Il y a donc lieu de distinguer le regroupement en communaut de communes de celui en communaut d agglom ration dont le seuil de population est 150 000 habitants avec un centre de 15 000 habitants ou le chef lieu de d partement ou en communaut urbaine dont le seuil est de 500 000 habitants Cr ation de communaut de communes Les communes adh rent un projet de coop ration pr tabli que des d lib rations concordantes de chaque collectivit mettent en uvre Elles sont autoris es se retirer d un syndicat ou lui retirer une comp tence pour adh rer une communaut de communes art L 5212 29 1 ll y a donc bien pr minence de la communaut de communes sur le syndicat Dans la pratique e sil y a identit des p rim tres avec celui de la communaut de communes communaut de communes se substitue de droit au syndicat pour la totalit des comp ten
34. res et de zones relatives la production de d chets m nagers relevant de la comp tence des collectivit s et des tudes sp cifiques r alis es par les chambres consulaires qui permettent d avoir une approche du gisement des d chets professionnels Pour les informations concernant la d mographie les donn es INSEE ont t utilis es ainsi que les recensements interm diaires s ils ont t pris en compte dans les tudes de zone Les valeurs du dernier recensement ont galement t int gr es Les donn es concernant la fr quentation touristique ont t obtenues aupr s de l Office du tourisme L analyse des donn es se base sur la comparaison avec des ratios nationaux MODECOM et s appuie sur notre exp rience en mati re de collecte s lective D coupaqe du Plan D partemental d Elimination des D chets M nagers et Assimil s de l H rault Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 4 GIRUS SA CP f vrier 2000 1 DEMOGRAPHIE 1 1 Population s dentaire actuelle Les r sultats exploit s sont ceux de L INSEE le recensement de 1990 et les chiffres encore provisoires mais disponibles du dernier recensement de la population qui a eu lieu en avril 1999 A l chelle du d partement on remarque une augmentation de la population s dentaire de pr s de 13 entre 1990 et 1999 Le d partement compte aujourd hui 896 252 habitants Cependant il existe
35. riaux ainsi qu il est pr vu l article 2 Art 13 Le d cret n 93 139 du 3 f vrier 1993 relatif aux plans d limination des d chets m nagers et assimil s est abrog Art 14 Le ministre de l int rieur le ministre de l environnement et le ministre de la fonction publique de la r forme de l Etat et de la d centralisation sont charg s chacun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent d cret qui sera publi au Journal officiel de la R publique fran aise Fait Paris 18 novembre 1996 ANNEXE 2 ANALYSE ADEME DU PREMIER PLAN DEPARTEMENTAL D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES DE L HERAULT ANALYSE DES PLANS DEPARTEMENT AUX D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ASSIMILES PROPOSITIONS D AMELIORATION Donn es d identification et de cadrage du Plan e D partement concern 34 HERAULT e Population en 1990 densit 800 000 habitants s dentaires e Contexte particulier ventuel Urbain et rural District de Montpellier 300 000 habitants et forte variation saisonni re e Date de publication 1 F vrier 1996 e Prise de comp tence ventuelle du Conseil Non G n ral Synth se Appr ciation g n rale Concernant le Plan actuel il serait souhaitable que les am liorations et compl ments d informations suivants soient tudi s 2 1 1 Nature des d chets pris en compte La liste des d chets prendre en compte devrait tre largie notamment aux encom
36. rieure son territoire La part des ordures m nag res produite par les touristes est indiqu e lorsqu elle a fait l objet d une estimation Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 8 GIRUS SA CP Janvier 2000 GISEMENT OM Gis OM Gis OM Gis OM Gis OM Gis OM Gis OM Papiers Composites Plastiques Textiles Textiles D chets cartons sanitaires organiques Gis OM Gis OM Gis OM Gis OM Huiles Huiles Bois Autres D chets verts Encombrants Inertes alimentaires min rales palettes Certaines tudes d taillent le gisement des ordures m nag res en r f rence au MODECOM ou au Plan d partemental Certains d chets m nagers d chets verts encombrants inertes font quelquefois l objet d une estimation partir de ratios ADEME ou de retours d exp riences CS DES OM EN PAP CS CS CS CS individuel Emballages Papiers FFOM Global Verre Papiers Plastiques M taux Emballages Global m nagers cartons cartons m nagers CS DES DM Autre CS Autre CS Encombrants D chets verts Les quantit s d ordures m nag res collect es s lectivement sont pr sent es selon le mode de r cup ration et par mat riau Une colonne compostage individuel a t cr e en pr vision de la mise en place de fili res de ce type qui font l objet d une quantification Les collect
37. s d acc s tarifs d chets accept s tant pr cis es par une d lib ration de l assembl e d lib rante comp tente Une convention conclue avec les organisations professionnelles d finira ces modalit s et leur permettra d informer et de sensibiliser clairement les entreprises du b timent 7 3 3 3 Carri res et gestion des d chets du BTP a Liste commune de d chets admissibles en carri res Les carri res parties int grantes de la fili re de construction peuvent participer une gestion optimale des d chets inertes Cela doit se faire dans le strict respect de la r glementation de l environnement notamment ce qui concerne le caract re strictement inerte des d chets g r s au sein des carri res Pour cela les professionnels du b timent membres de ce groupe de travail CNATP FFB et l UNICEM ont tabli avec les conseils la DRIRE et de l ADEME les r gles aff rentes aux contr les des d p ts ainsi que deux listes indicatives de d chets e d une part une liste des d chets pouvant tre accept s au sein des carri res e d autre part une liste non exhaustive de d chets ne pouvant pas tre accept s au sein des carri res Par ailleurs l UNICEM a r alis une enqu te aupr s des exploitants de carri res afin de d terminer les sites int ress s par une gestion des inertes Voir annexe 8 L ensemble de ces l ments est annex au plan b Les carri res comme lieu de valo
38. tablie en juin 1999 la pr sence sur cette liste ne constitue en aucun cas un agr ment ADEME H VIEUX PAPIERS CARTONS e AUDE e St Nelle CATALANE OCCITANE DE RECYCLAGE Lotissement Artisanal 04 68 42 81 89 11440 PEYRIAC de MER Fax 04 68 41 28 30 e Soci t STAN 04 68 41 17 17 Rue A Becquerel Fax 04 68 41 05 25 11100 NARBONNE e IPODEC SUD OUEST 04 68 25 73 83 Rue Joachim Estrade Fax 04 68 72 04 20 ZI L Estagnol 11000 CARCASSONNE e Le Moulin Papier 04 68 26 67 43 11390 BROUSSES ET VILLARET e Association LE PASSAGE 04 68 72 57 33 Z I La Bouriette Fax 04 68 72 67 48 Chemin de Maquens 11000 CARCASSONNE e Association LE MARCHEPIED 04 68 27 41 74 49 Rue Alsace Lorraine Fax 04 68 27 47 17 11200 LEZIGNAN CORBIERES e Association LE PARCHEMIN Z I de Flassian 11300 LIMOUX e GARD e C C A 04 67 81 17 72 13 bld des C vennes 30120 LE VIGAN 04 68 31 49 25 e COVED 04 66 87 48 38 Chemin de la Fontaine Gillienne Fax 04 66 87 77 88 30800 SAINT GILLES e D CHETS SERVICE 04 66 68 90 60 Z l 3192 Av Kennedy Fax 04 66 64 37 65 30000 NIMES e LOMBARD SARL 04 90 25 08 25 Chemin des Falaises Fax 04 90 26 33 07 30131 PUJAUT ROSSI S A 04 66 74 21 97 4038 Route de Montpellier Fax 04 66 74 15 83 30000 NIMES e ONYX MEDITERRANEE 04 66 23 90 00 224 rue Louis Lumi re Fax 04 66 23 98 70 30900 NIMES e RECOVER 04 66 88 42 24 21 Barbet 30600 VAUVERT e HERAULT e SUD RECUPERATION 04 67 70 95 91
39. tel de Ville 34260 LE adresse BOUSQUET D ORB B darieux 04 67 23 76 66 Bousquet d Orb Le 04 67 23 73 03 Brenas Carlencas et Levas Ceilhes et Rocozels Combes Dio et Valqui res Joncels Lunas Poujol sur Orb Le Pradal Le Taussac la Bili re Tour sur Orb La Aires Les H r pian Lamalou les Bains Villemagne l Argenti re Commune Cliente P z nes les Mines 11 Communaut de Communes de l Orthus Claret H tel de Ville 34270 adresse CLARET Ferri res les Verreries 42 04 67 02 93 80 Lauret 42 n ant Sauteyrargues 42 Vacqui res 42 Valflaun s 42 13 SI de Lignan Corneilhan Corneilhan 13 30 H tel de Ville 34490 LIGNAN adresse SUR ORB Lignan sur Orb 13 30 04 67 11 84 90 04 67 11 84 99 Page 3 COLLECTIVITE 14 SICTOM du Lod vois Collecte Traitement 14 41 Bosc Le H tel de Ville BP 62 34702 adresse LODEVE CEDEX 04 67 44 31 18 04 67 44 01 84 15 Communaut de Communes du Pays de Lunel BP 115 34401 LUNEL adresse CEDEX 04 67 83 87 00 04 67 71 88 45 16 SICOM de Magalas Puissalicon H tel de Ville 34480 adresse MAGALAS 04 67 36 20 19 04 67 36 63 60 Caylar Le Cros Le Fozi res Lauroux Lavalette Lod ve Olmet et Villecun P gairolles de l Escalette Plans Les Poujols Puech Le Saint Etienne de Gourgas Saint Jean de la Blaqui re Saint Maurice de Saint Michel Saint Pierre de la Fage Saint Privat Sorbs Soub
40. 15 500 t Refus e r 2 x D MENAGERS 5 1 Le contexte r glementaire La directive europ enne 94 62 du 20 d cembre 1994 constitue le cadre juridique de la valorisation des d chets d emballages sur le territoire de l union europ enne Elle fixe dans son article 6 des objectifs atteindre par les tats membres avant le 30 juin 2001 50 au minimum et 65 au maximum en poids des d chets d emballages seront valoris s dans le cadre de cet objectif global et dans le m me d lai entre 25 au minimum et 45 au maximum en poids de l ensemble des mat riaux d emballages entrant dans les d chets d emballages seront recycl s avec un minimum de 15 en poids pour chaque mat riau d emballages Voir annexe 1 ss SE 2 Ces dispositions ont t transcrites dans le d cret n 96 1008 du 18 11 96 relatif aux plans d limination des d chets m nagers et assimil s Enfin le d cret du 1 avril 1992 portant application pour les d chets r sultant de l abandon des emballages de la loi n 75 633 du 15 07 1975 a pour objectif de rendre les industriels solidairement responsables avec les collectivit s locales d une limination des d chets engendr s par les produits qu ils mettent sur le march Les producteurs et importateurs ont d abord la possibilit de contribuer avec les collectivit s locales la mise place d un syst me collectif de collectes s lectives et de tri des emballages m nager
41. 1992 sur la gestion des d chets le principe de r duction des d chets la source est galement omnipr sent dans la circulaire de Madame VOYNET du 28 Avril 1998 int grer davantage de recyclage mati re et organique La modernisation de la gestion des d chets implique une action volontariste pour r duire la croissance actuelle de la production des d chets dont nombre de composantes d pendent ou n cessitent l implication du niveau local La r duction des d chets la source ne se limite donc pas seulement une question de d cisions nationales voire internationales ou une remise en cause de la production d emballages ou des pratiques de la grande distribution elle doit galement tre d clin e au niveau local donc d partemental Le plan d partemental conclut que la mise en uvre de ce principe passe par e une action individuelle e mode de financement adapt e une communication intense et ad quate 10 2 Lo individuelle pour r duire les d chets la source R CLAVIJO CLAPE LR La quantit de d chets que nous produisons est proportionnelle au niveau de notre consommation R duire notre production de d chets exige donc que soit r duite notre consommation On peut y parvenir sans asc tisme ni privations en adoptant les comportements qui suivent Utiliser son esprit critique envers les innombrables sollicitations de la publicit Ai je vraiment besoin de telle marchandise
42. 200 kg en semiurbain en semi urbain non broy s ADEME d chetteries 34 98 Direct aupr s 18 kg mati re s che entre 6 et 20 kg 90 000 t 17 des producteurs Agence de l Eau de mati re s che de siccit STEP soit entre 20 chiffre NS d apr s chiffres et 900 kg hab an SATESE 1997 4 production 97 _ Autres Direct aupr s Non quantifiable priori SE des producteurs d assainisse STEP ment Mati res de vidange graisses Les boues peuvent avoir diverses siccit s de moins de 1 plus de 90 tab 14 potentialit s de collecte des d chets fermentescibles gt Les volumes sont non n gligeables et la r glementation impose de les revaloriser par des fili res appropri es 6 2 tn d partemental en mati re de collecte et de traitement de la mati re organique Un questionnaire r alis en t 1999 aupr s des gestionnaires des sites de traitement a permis de renseigner quatre fiches annex es au pr sent document ri s Il est noter qu en mati re de compostage de boues trois sites ne figurent pas dans ces fiches e Site de co compostage boues et plaquettes de la station d puration en concession de la Lyonnaise des Eaux de B ziers en fonctionnement depuis 1997 e Site de co compostage boues et d chets verts plaquettes de la soci t ACTISOL Pignan dont l activit est limit e depuis 1998 e Site de co compostage DEV et terme FFOM du SIVOM de la
43. 67 23 90 00 04 67 23 95 40 38 Communaut du Saint Chinianais H tel de Ville 34360 ST adresse CHINIAN T l 04 67 38 28 28 04 67 38 17 27 Saint Jean Asp res 30 Buzignargues Calvisson 30 Campagne Galargues Garrigues Junas 30 Lecques 30 Saint Cl ment 30 Saint Hilaire de Beauvoir Salinelles 30 Sommi res 30 Souvignargues 30 Villevieille 30 Camplong Graissessac Saint Etienne d Estr choux Saint Gervais sur Mare Babeau Bouldoux Cazerdanes Cebazan Cessenon sur Orb Pierrerue Prades sur Vernazobres Saint Chinian Villespassans Page 11 Collecte Traitement 40 SICTOM des Trois Rivi res adresse JACOU T l 04 67 55 78 47 41 Syndicat Centre H rault 2 bis all es Roger Salengro 34800 CLERMONT adresse L HERAULT T l 04 67 88 18 46 04 67 88 18 47 42 Syndicat Mixte entre et Etang Maison de Charte 32 34270 SAINT MATHIEU DE adresse TREVIERS T 04 67 55 17 00 Fax 04 67 55 17 01 43 Communaut de Communes ORB TAUROU rue 34490 MURVIEL EG BEZIERS T l 04 67 32 67 00 Fax 04 67 32 67 01 comp tence d chetterie uniquement 44 Communaut de Communes du FAUGERES H tel de ville 34600 adresse FAUGERES T 04 67 95 06 09 Fax 04 67 95 33 61 comp tence d chetterie uniquement
44. BILAN 2 1 G n ralit s Ce fichier recense les donn es issues des tudes de fili re et de zone r alis es dans le cadre de l application du plan d partemental pour chaque syndicat d tude sont indiqu es les informations concernant la gestion des d chets notamment en terme quantitatif gisement production quantit s collect es etc L objectif de cette premi re base est de suivre ann e apr s ann e l volution des donn es dans l H rault le Conseil g n ral veut cr er un observatoire des d chets dont cette base sera un l ment 2 2 Description Le fichier est compos d une s rie de feuilles de saisie de calcul et de sortie Feuille de saisie des tonnages de d chets collect s D chetteries Feuille de saisie concernant les d chets r cup r s en d chetterie Feuille de saisie des caract ristiques des centres de tri Feuille de saisie des caract ristiques des unit s de traitement unit de compostage sur brut ou d incin ration Feuille de saisie des caract ristiques des centres de stockage des d chets ultimes SORTIEtonnages Feuille de sortie pr sentant les tonnages collect s connus K SORTIEunit s Feuille de sortie pr sentant les caract ristiques des unit s sectorielles Feuille de saisie d crivant l organisation d partementale Ces feuilles concernent uniquement les d chets g r s actuellement par les collectivit s ou d chets municipaux ordures m nag res autres d
45. DV boues Compostage OM 37 400 t 34 600 t 32 500 t 30 300 t 28 900 t 9 000 t 10 800 t 12 900 t 14 600 t 16 700 t FFOM DV boues Compostage OM 11 600 t 10 400 t 9 600 t 8 600 t 9 1001 Compostage 2 200 t 2 600 t 3 000 t 3 400 t 3 700 t FFOM DV boues Centre Compostage 5 500 t 7 000 t 8 700 t 10 000 t 11 000 t H rault FFOM DV boues FFOM DV boues FFOM DV boues Hauts Compostage 3 700 t 4 400 t 5 000 t 5 700 t 6 700 t Cantons FFOM DV boues tab 20 capacit de traitement des d chets municipaux n cessaires l atteinte des objectifs de valorisation organique 6 7 2 Actions d velopper La r ussite des fili res de valorisation organique comme mode de traitement des d chets m nagers et assimil s d pend encore aujourd hui fortement de la qualit de la collecte en amont Trop de d chets verts et d autres d chets fermentescibles rejoignent directement les centres de stockage ou d incin ration sans que leur potentiel de valorisation soit mis profit C est de la qualit de collecte de la fraction fermentescible que d pend la valeur du taux de valorisation et la qualit des produits composts valorisables Pour les collectivit s ayant recours au compostage individuel il est recommand de mettre l accent sur les m thodes de quantification des d chets ainsi valoris s Il est en effet fortement souhaitable que ce gisement dont la valeur peut tre non n gligeable puisse tre comptabi
46. M nag res habituels La part compl mentaire concerne des encombrants des DIB et d autres d chets assimil s Voir annexe 6 Cette premi re analyse a ensuite t compl t e par une analyse plus fine de la destination des d chets des entreprises affili es la chambre de m tiers de l H rault Les r sultats rejoignent celle de l tude GIRUS On peut globalement consid rer qu l heure actuelle environ 35 du gisement total de DIB hors d chets inertes du BTP rejoignent les circuits de collecte des collectivit s Les autres 65 sont g r s directement par les entreprises productrices Page 51 LES OBJECTIFS MINIMAUX DE VALORISATION MATIERE ORDURES MENAGERES AUTRES MENAGERS GLOBAL ere L gt Tees be om Go L L Cartons municipaux Centre Sud 2005 7 5 5 66 55 8 3j 6 65 d 28 22 2010 8 __ 55 2 j 7 75 301 42 80 eoj 55 28 2 2015 9 6 25 0 j 3 dj 01 85 65 28 28 22 95 75 _ 35 85 _ 8 45 20 4 90 90 75 28 31 Pie et Etang 2005 80 56 el 6 25 sol el 6 45 28 23 C _ 2010 60 7 _ 30 gt 5 0 5 25 26 x 2015 o 6 2 80 of 3 4 s 6 2 28 S 75 3 6 2 45 jj o 2 31 Montpener 205 75 6 2 o 6 G 2 23 G s 20 75 3 5 s 22 x 25 o 6
47. Pignan cette plate forme est g r e par une entreprise priv e Jusqu ces derni res ann es elle accueillait les d chets verts et les boues de station d puration du SIVOM V ne et Mosson Suite des plaintes locales celle ci a t ferm e provisoirement en 1998 en attendant les r sultats d une enqu te publique pour sa mise en conformit Montpellier cette plate forme est g r e en r gie Elle accueille les d chets verts des services municipaux des d chetterie et de quelques entreprises Lunel aucun renseignement ne nous a t fourni sur cette plate forme de compostage 3 2 2 Les d charges d inertes Selon le Conseil G n ral il existe cinq d charges d inertes en fonctionnement sur le d partement de l H rault Grabels Juvignac La Vacquerie Le Triadou et une en arr t et non r habilit e situ e St Jean de V das Les tudes de fili re et de zone indique d autres sites assimil s situ s Vendres Loupian Aspiran et Moules et Baucels soit au total 9 sites accueillant des inertes sur l ensemble du d partement Ce nombre est faible d autant plus que ce type de dispositif est facile mettre en oeuvre puisqu il r sulte d une d cision au niveau communal 3 2 3 Les d chetteries et autres quipements similaires La r partition des d chetteries sur l ensemble de l H rault est assez h t rog ne Le sud est du territoire est bien quip alors qu l Ouest ce type d quipement est
48. Pilotage Charg de coordonner d valuer et d orienter les travaux de r vision il assure le lien entre les groupes de travail et la Commission du Plan Sa composition a t actualis e comme suit Pr fecture Conseil G n ral DDASS ADEME DDAF Chambre des M tiers DRIRE Chambre d Agriculture DIREN Mairie de S te porte parole Mairie de B ziers porte parole Page 13 2 4 2 Groupe de travail Etudes de fili res et de zones Ce groupe de travail a S contribu la e Porte paroles du groupe Mme BALHER lue de S te ns M CAUBET lu de B ziers 8et4 Gem e Animation des r unions D D A F e Nombre moyen de participants 12 15 personnes e R unions organis es ce jour 09 02 99 05 05 99 08 09 99 20 12 00 24 02 99 02 06 99 06 10 99 23 03 99 02 07 99 17 11 99 14 04 99 29 07 99 12 04 00 La liste des sujets trait s se d cline selon les points suivants 1 Synth se des tudes de fili re et de zone r alis es dans le d partement 2 D coupage du d partement en zones D finition de la notion de d chet ultime 3 Echanges de d chets entre zones 4 Stockage des d chets 2 4 3 Groupe de travail D L P D chets toxiques D chets du Ce groupe de d Portes paroles du groupe Chambre de M tiers de l H rault s des e Animation des r unions Chambre de m tiers de l H r
49. W Boues stabilis e 16 Contr l 5 d puration hor 10 lagunes et compost d boues 16 000 TMS quivalentes 90 000 T brutes Mati res de vidange Graisses composts de d chet verts Grammont 6 000 T Composts de d chet verts et FFOM B ziers Crouzette 923 T Compost d OM tri es S rignan UTOM 2 000 T Grammont 2 100 i Compost d OM brutes B ziers 9 500 T tab 16 tat des lieux des fili res de valorisation agricole 7 X Page 65 L gende 4 fili re r glementairement interdite fili re interdite au terme de 2002 pour ces produits tel que pr sent s actuellement X fili re repr sent e sur le d partement chiffres non connus fili re non repr sent e sur le d partement 6 6 Qu est ce qu un compost comment l appr cier 6 6 1 D finition d un compost Mati res organiques seules ou en m lange fumier marc d chets verts boues et d chets verts lisier et paille FFOM FFOM et d chets verts ayant subi une transformation sous l action de bact ries a robies en deux phases fermentation dur e 8 semaines en process rustique 21 jours en process acc l r maturation dur e 4 mois 6 mois Le produit fini doit pr senter une valeur agronomique correcte voir tableau 17 ci apr s qui peut tre appr ci e au travers de ses caract ristiques physiques et analyti
50. a t tabli il figure au 2 5 Page 11 2 2 Circulaire du 28 Avril 1998 Circ De Mme Malgr sa validit juridique faible cette circulaire a eu un cho tr s large en France Elle la Ministre de l Am nagt du appelle certains grands principes de la loi n 75 633 du 15 Juillet 1975 et r oriente de mani re Territoire et significative les plans d partementaux En voici r sum s certains points forts de l Env la circ d finit les flux des d chets a valoriser Le plan la compl te en fixant des obj de valorisation atteindre Arr t du 9 9 97 relatif aux d charges existantes et aux nouvelles installations D ch M n Assimil s L objectif affich est la r organisation des plans d partementaux d limination des d chets m nagers et assimil s Les textes r glementaires en vigueur doivent tre respect s notamment en mati re de r sorption des d charges sauvages et de mise en conformit des installations d incin ration et des Centres d Enfouissement Techniques de classe Il L ch ance de Juillet 2002 date partir de laquelle seuls les d chets ultimes seront admis en d charge reste pertinente une limitation progressive des d chets mis d charge doit donc tre envisag e et planifi e R duction la source et valorisation maximale doivent pr valoir sur l incin ration Une action volontari
51. a mis en place sur un quartier une collecte par apport volontaire des 5 mat riaux Eco Emballages et une collecte en porte porte des d chets fermentescibles Cette derni re collecte repr sente 262 T an soit environ 87 kg hab an De plus durant plus d un an un dispositif de vide ordures s lectif Trivert install dans un immeuble social B ziers a fait l objet d un programme de suivi Les encombrants Ce type de d chet est amen dans les d chetteries de B ziers et de Vendres et sur les d charges communales Certaines communes effectuent galement une collecte en porte porte L estimation du gisement d encombrants est bas e sur un ratio de production d environ 30 kg hab an Les d chets verts Une certaine quantit des d chets verts fait aujourd hui l objet d apports en d chetterie 564 T la d chetterie de B ziers plus de 700 T celle de Vendres Les d chets d espace vert de la Ville de B ziers sont collect s s par ment des OM La collecte s lective effectu e la Crouzette comprend galement des d chets verts L estimation du gisement global est bas e sur le r sultat d une enqu te nationale men e par l ADEME et qui fait tat d un ratio de d chets verts collectables dans le Sud Est incluant tout le Languedoc Roussillon de 32 kg an et par habitant ce qui nous m ne 4 590 T pour l ensemble de la zone Cette valeur moyenne cache cependant des disparit s importantes suivant le lieu de pr
52. assumant la fabrication de produits organiques recycl s de qualit a t envisag dans le cadre de r vision du plan Les axes de cette charte sont les suivants e Qualit des produits entrants e Quelques l ments du processus de transformation et de collecte sont d taill s et requis mais en laissant une marge n cessaire l innovation technologique e D finition d une qualit ou de diff rentes qualit s des produits obtenir en fonction de diff rents usages possibles Le groupe de travail valorisation organique cr l occasion de la r vision du plan d partemental ventuellement compl t par d autres experts semble tre un bon support pour le d veloppement et l laboration de cette charte qui pourra tre r int gr e au plan d partemental par la suite compte tenu de l volution de ce dernier 70 6 7 Synth se 6 7 1 Capacit s de traitement requises par secteur trait en 2000 trait en 2005 trait 2010 trait en 2015 trait en 2020 FFOM DV boues Montpellier Compostage OM 107 300 t 108 900 t 108 000 t 106 00 t 107 8001 Compostage 30 20 t 39 300 t 51 500 t 63 800 t 72 900 t FFOM DV boues Incin ration boues 12 700 t 14 000 t 15 500 t 17 000 t 17 000 t Centre Sud Compostage 13 300 t 17 500 t 22 100 t 26 200 t 28 800 t FFOM DV boues Agathois Compostage OM 14 500 t 13 000 t 12 100 t 10 800 t 11 300 t Compostage 2 400 t 2 800 t 100 t 3 400 t 3 700 t FFOM
53. blais et gravats d chets contamin s d activit s de soins et mati res de vidange e Les valuations des gisements doivent tre actualis es et affin es e Les objectifs et les moyens mettre en oeuvre pour la r duction des d chets la source sont indiquer e Les techniques de valorisation organique doivent tre pr cis es et tendues d autres d chets e Une modification ventuelle de la fili re globale d limination des d chets du Plan doit tre analys e la lumi re des int r ts conomiques et cologiques de l incin ration e Les conditions de stockage d exploitation et de r habilitation doivent tre pr cis es pour tous les centres d enfouissement technique du d partement e Les aspects conomiques et sociaux sont d velopper co ts d investissement et d exploitation des unit s impacts sur l emploi e Une plus grande attention doit tre port e aux aspects saisonniers et aux flux de d chets entre d partements e Les transports doivent tre optimis s pour une meilleure application du principe de proximit e Les comp tences des Collectivit s Territoriales et des entreprises priv es en mati re de gestion des d chets doivent tre clairement diff renci es 2 4 Structuration du Travail de r vision Comme pour la phase laboration le Commission du Plan s est entour e d un comit de pilotage et de divers groupes de travail adapt s aux sujets trait s 2 4 1 Comit de
54. carton DMS FFOM D chets verts plastiques m taux etc D chets inertes 50 Plate forme Tri Traitement Compostage Compostage pandage C E T sp cifique N A 2 000 t SC P N gt lt L es Ba P Ba N NN K L SCH E be Inertes non MATERIAUX RECYCLES Refus Refus VALORISATION Refus valorisables FILI RES RETOUR ORGANIQUE 5 800 t 7 100 t 22 26 Jed sap 19 WO44 81981109 G Weg el Is 2 ENFOUIS S EMENT 14 000 t SECTEUR ETANG IN e 90 600 t k Se N 87 800 t 13 700 t gt k s 32 500 t Incin ration MACHEFERS REFIOM VALORISES 9 700 t et D chets inertes z Plate forme CET d es Cet Valorisation mati re verre papier carton ERIAUX RECYCLES Refus ERES RETOUR H A DMS plastiques m taux etc Tri Traitement sp cifique 2 Inc in ration et Toxiques et Valorisation organique FFOM D chets verts Compostage FFOM Al ND I A d DRGA 22 900 25 Valorisation organique Compostage d chets verts boues 50 pandage 6 800 t t 7 Ba DECHETS ULTIMES ENFOUIS S EMENT
55. chets m nagers boues d puration et DIB collect s par les circuits de collecte habituels des d chets m nagers Pour les DIB les tudes ne donnent que des informations partielles et incompl tes Gr ce aux analyses coordonn es des donn es disponibles la Chambre de M tiers de l H rault et aux trois CCI du D partement une synth se du gisement des DIB autres que les d chets du BTP a pu tre tablie La part des DIB collect s avec les Ordures M nag res a pu tre estim es partir de l analyse de la destination des d chets pour les adh rents la Chambre de M tiers d une part de l enqu te men e dans le cadre de cette tude voire Phase n 2 d autre part Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 7 GIRUS SA CP Janvier 2000 2 3 Fonctionnement Chaque feuille de calcul ou de saisie est format e de la m me mani re Sur la premi re ligne figurent les noms des th mes regroupant plusieurs colonnes sur la deuxi me ligne figurent les noms des champs les lignes suivantes correspondent aux diff rents enregistrements Un jeu de couleur permet de se rep rer plus facilement Il est possible de s lectionner les informations relatives une zone ou un secteur donn en utilisant les menus d roulants au niveau de chaque champ Les cellules qui sont le r sultat d un calcul sont en gris 2 3 1 La feuille COLLECTE Cette feuille f
56. chets sont associ es la lutte contre la pollution de l air et contre les nuisances sonores dans la 4 des cinq comp tences optionnelles dont il faut au moins en retenir trois e est bien pr cis dans le m me paragraphe ou partie de cette comp tence dans les conditions fix es par l article L 2224 13 relatif au fractionnement du service en collecte et traitement e l int r t communautaire de certaines autres comp tences est d termin la majorit des deux tiers par le conseil de la communaut e communaut peut transf rer ult rieurement certaines de ses comp tences dont les d chets un syndicat mixte e enfin une commune peut tre int gr e contre son gr dans une communaut ou CU lors de sa cr ation ou dans les trois ans apr s sa cr ation cette disposition est renouvelable tous les 12 ans pour coh rence spatiale et conomique e importe donc d inciter les maires bien faire pr ciser les futures comp tences d une CA ou d une CU au moment de sa cr ation et notamment celles en mati re de protection de l environnement et du cadre de vie b La seconde difficult provient du fait de la pr minence compl te de la CA ou de la CU sur tous les syndicats o le m canisme de repr sentation substitution ne fonctionne plus automatiquement comme pour les communaut s de communes mais proc de d un choix De r els probl mes risquent de se poser lors du retrait de comp tences dan
57. circuits valor orga valor orga valor orga valor orga Objectifs Objectifs circuits Objectifs Tonnage du gis Tonnes du gis val orga val orga Objectifs val orga du gis val orga du gis Ces objectifs de valorisation sont saisis en pourcentage du gisement et sont convertis ensuite automatiquement en tonnes Les diff rents modes de r cup ration utilis s dans la collecte s lective des ordures m nag res ne sont pas mentionn s Les objectifs de valorisation mati re et organique correspondent e la r cup ration en conteneurs d apport volontaire e la r cup ration en porte porte e la r cup ration en usine chaine de tri ou overband int gr s une unit de compostage A ces objectifs s ajoutent ceux d pendants de l unit de traitement e objectifs de valorisation nerg tique des mat riaux incin rables lorsque l unit de traitement est une usine d incin ration e objectifs de valorisation organique du papier des cartons compris dans les OM de la FFOM et des textiles sanitaires lorsque l unit de traitement est une usine de compostage sur brut Les objectifs de valorisation fix s pour les d chets m nagers correspondent la r cup ration en d chetterie ou tout mode d apport volontaire similaire pour les d chets valorisables La feuille Tout comme feuille GIS cette feuille recense des donn es sectorielles Elle pr s
58. consign s aux emballages jetables Page 94 10 3 L financement de la collecte et du traitement des d chets Le mode de financement des services de collecte et de traitement des d chets m nagers peut activement induire un comportement de r duction des d chets la source Alors que la Taxe Ordures M nage res imp t principalement bas sur le foncier b ti est d connect e de la production directe de d chets m nagers la Redevance M nag res est directement proportionnelle la quantit r elle de d chets produits par chaque m nage Ce dernier mode de financement peut passer par un pesage des d chets collect s ou par une limitation du volume co ts proportionnels la taille des bacs de collecte De toute vidence la redevance agit directement sur la r duction des d chets la source mais sa mise en place induit souvent des probl mes multiples et rel ve avant tout d un choix politique Par exemple la taxe est une forme de solidarit pour les familles nombreuses en difficult De plus bon nombre de budgets communaux ou syndicaux financent le service d limination des d chets par la taxe mais galement par une part du budget g n ral Un passage la redevance impliquerait dans ce cas une hausse significative des co ts par foyer Certains regrettent galement que le co t de l limination soit uniquement pris en charge par le consommateur D autres pays europ ens responsabilise
59. d crivant l organisation d partementale Pour plus de clart les cellules dont le contenu est le r sultat d une op ration sont de couleur gris clair 3 3 Fonctionnement Chaque feuille de calcul ou de saisie est format e de la m me mani re sur la premi re ligne figurent les noms des th mes regroupant plusieurs colonnes sur la deuxi me ligne figurent les noms des champs les lignes suivantes correspondent aux diff rents enregistrements Un jeu de couleur permet de se rep rer plus facilement Il est possible de s lectionner les informations relatives une zone ou un secteur donn en utilisant les menus d roulant au niveau de chaque champ Les feuilles de calcul et ou de saisie peuvent tre class es suivant 5 th mes principaux e la population PROJEC et POP les ratios de productions OM DM BOUES DIB le gisement GIS les objectifs OBJ orga OBJ nerg OBJ unit s les unit s sectorielles U tri U COMPOS FFOM U INC U stock 3 3 1 La population Les feuilles explicit es ci dessous comportent les calculs des projections de population qui servent de base au calcul des donn es figurant dans les autres feuilles de calcul Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 15 GIRUS SA CP Janvier 2000 La feuille PROJEC LOCALISATION Zone Secteur Collectivit Collectivit Collectiv
60. dans la zone du plan CHAPITRE V De la r vision des plans Art 10 Le plan est r vis au plus tard dix ans apr s son approbation l initiative de l autorit l initiative de l autorit comp tente dans les formes pr vues pour son laboration Toutefois si l conomie g n rale du plan n est pas remise en cause l occasion de sa r vision il n y a pas lieu enqu te publique La commission du plan est consult e sur le recours cette proc dure simplifi e Lorsqu un plan est mis en r vision il demeure applicable jusqu la date de publication de l acte approuvant cette r vision CHAPITRE VI Dispositions diverses Art 11 l Le pr sent d cret n est pas applicable aux plans d limination des d chets m nagers et assimil s pour lesquels l enqu te publique a t prescrite avant la date de sa publication Il Toutefois lorsqu un conseil g n ral a demand post rieurement au f vrier 1996 le transfert de comp tence pr vu par l article 10 2 de la loi du 15 juillet 1975 susvis e le plan ne peut tre labor que dans les conditions pr vues par le pr sent d cret Art 12 Dans un d lai de trois ans compter de la publication du pr sent d cret les plans d limination pour lesquels l enqu te publique a t prescrite avant cette publication seront r vis s afin qu ils respectent les objectifs nationaux concernant la valorisation des d chets d emballages et le recyclage des mat
61. de Graissessac CA 20 SICTOM de la r gion de P zenas EI 38 CC du St Chinianais SORBS C 22 SICEOM de Puisserguier 41 Syndicat Centre H rault E 23 SICTOM de Rosis 43 CC de Faug res CH Communes ind pendantes 24 SICEOM de St Martin D 25 SIVOM du St Ponais SAINT MAURICE NAVACELLES D RAS DE L ESCALET dAINT PIERR E LA FAG A VACQUERIE ET SAINT MAR SAINT GUILHE LE DESERT x POUSSARO 5 d D N SR W E d apr s 0 sn GIRUS S gt ZONE EST Collectivit s avant comp tence en mati re de collecte des ordures m nag res sur le d partement de l H rault E D 5 SIVOM de l Etang de l Or EMI 35 CC et Sylves mise jour Janvier 2003 D 9 CC S ranne Pic Saint Loup 36 SIVOM de Sommi res EI 11 CC de I Orthus EZ 40 SICTOM des trois rivi res 15 CC du Pays Lunel C 6 CA du Bassin de Thau EN 19 CC Nord Bassin de Thau EM 46 Synd mixte Vistre et Vidourle CA 21 CC du Pic St Loup 47 CC Rhony Vistre Vidourle EZ 29 SIVOM entre V ne et Mosson P 48 CC Terres de Camargue Gard ZONE OUEST EI 1 CA H rault M diterran e CA 22 SICEOM de Puisserguier LA Communes ind pendantes EI 2 SIVOM de la Vall e du Libron 23 SICTOM de Rosis EZ 3 CC du Clermontais 7 24 SICEOM de Saint Martin 4 SIVOM d
62. de calcul faisant r f rence GISEMENT GLOBAL Zone de calcul faisant aux feuilles de sortie suivantes 100 r f rence aux feuilles de T sortie suivantes total valorisation nerg tique TRI VALORISATION MATIERE total gisements Zone de calcul faisant r f rence aux feuilles de sortie suivantes VALORISATION ENERGETIQUE T incin r es T valoris es T valoris es total valorisation mati re Zone de calcul faisant r f rence aux feuilles de sortie suivantes STOCKAGE T stock es Zone de calcul faisant r f rence aux feuilles de total valorisation organique sortie suivantes total stockage Les d chets sp ciaux qui poss dent d autres fili res d finies dans le plan r gional d limination des d chets ne sont pas comptabilis s dans les tonnages et pourcentages de valorisation lls repr sentent Tonnes soit du gisement ZONE Zones de saisie en italique lorsqu il n existe Secteur pas de valorisation possible techniquement ou OBJECTIFS A L HORIZON Zone de calcul faisant r f rence aux feuilles OBJ orga OBJECTIFS APPLIQUES AUX ORDURES MENAGERES CATEGORIES DE DECHETS VALORISATION VALORISATION VALORISATION STOCHAQE DES TOTAL MENAGERS RELEVANT DU PLAN MATIERE ORGANIQUE ENERGETIQUE ULTIMES GISEMENT DEPARTEMENTAL Tonnes Tonnes Tonnes Tonnes Tonnes Panel ll Cato
63. de ces d chets ni sur le tonnage global qu ils repr sentent Les d chets verts Une estimation a t r alis e dans l tude du SIVOM de S te et de ses environs sur l opportunit d une plate forme de compostage des d chets verts et boues de station d puration Selon ce travail la ville de S te poss derait un gisement de d chets verts de 4 250 T Pour le SIVOM du canton de Frontignan seules les quantit s de d chets verts collectables en d chetteries sont exprim es elles repr sentent un tonnage de 2 230 T Les d chets inertes La seule valuation communiqu e concerne la ville de S te Cependant cette estimation est prendre avec pr caution car le site de remblaiement partir duquel a t faite l estimation est temporaire et vient combler un manque chronique de d bouch pour ce mat riaux d stockage massif de certaines entreprises apports d entreprises ext rieures la ville Les d chets municipaux En ce qui concerne les d chets issus du nettoyage des espaces publics aucune estimation n a t r alis e en l absence de circuits sp cifiques Les d chets des professionnels Une estimation de la production des entreprises de moins de 7 salari s est fournie source ADEME elle est de 60 000 m an Elle recouvre partiellement les D I B des petits commer ants collect s aujourd hui en porte porte et qui pourraient repr senter entre 6 000 et 12 000 m estimation r alis e apr s lissag
64. de la synth se du Plan page 25 r v le cette insuffisance Pour toutes ces raisons gt Certains plus compensant certains il serait illusoire d valuer un gisement prospectif et les gisements de d chets l horizon 5 ans et 10 ans sont consid r s comme quivalents ceux estim s dans le cadre des travaux de l laboration du Plan Cette simplification peut para tre excessive et une valuation des gisements de d chets 5 et 10 ans par cat gorie de d chets nous parait devoir tre tent e malgr la difficult de cet exercice Synoptique des flux de d chets par traitement 5 et 10 ans Synoptique des flux de d chets par traitement 5 et 10 ans Le synoptique 10 ans tabli par le Plan regroupe l ensemble des d chets m nagers et assimil s pris en compte Il peut tre r sum comme suit Gisement 690 000 tonnes 100 Tri Recyclage 412 500 tonnes 60 Recyclage organique 148 000 tonnes 21 Incin ration 129 500 tonnes 19 D chets m nagers 376 000 tonnes DIB 236 000 tonnes R sidus de l assainissement 78 000 tonnes c boues sic 20 Entr e D chets primaires 412 500 tonnes Recycl es 200 000 tonnes Refus incin r s 212 500 tonnes Entr e D chets primaires 148 000 tonnes Recycl es 115 000 tonnes Refus incin r s 33 000 tonnes Entr e D chets primaires 129 500 tonnes Entr e Refus 245 500 tonnes Total Entr e 375 00
65. des d chets sans pr caution comme cela est encore pratiqu dans certaines communes du d partement de l H rault appara t ainsi comme la pratique la plus susceptible d exposer les populations aux risques sanitaires engendr s par les d chets m nagers que ce soit par l absence d isolement par leur exposition aux eaux m t oriques et de ruissellement ou par leur combustion l air libre qui est le mode de production et de diffusion de substances pathog nes acides compos s organiques volatils organo halog n s hydrocarbures poussi res le plus efficace La probabilit d atteintes pathologiques aux organismes v g taux animaux et humains engendr es par la mise en d charge brute des d chets m nagers bien qu elle n ait pas t mesur e est vraisemblablement plus lev e que celle de tout autre proc d de traitement conforme la r glementation 11 2 du traitement des d chets sur la sant Les diff rents proc d s de traitement peuvent tre g n rateurs d missions polluantes sp cifiques e Les op rations de collecte et de tri peuvent contribuer la diffusion de poussi res et de micro organismes susceptibles de porter atteinte aux voies respiratoires ou aux tissus mycoses e Les fermentations a robies des d chets organiques mises en uvre pour la pr paration de composts outre les effets similaires ceux d crits ci dessus mettent l atmosph re des compos s organiques volat
66. des d s quilibres au niveau du territoire et notamment entre l Ouest et l Est du d partement En effet l Est du d partement b n ficie d une croissance d mographique importante par exemple 74 pour la commune de Grabels En revanche l Ouest conna t une croissance plus faible La population de certains secteurs est en stagnation voir en diminution par exemple 22 pour la commune de Camplong 1 2 Population touristique actuelle Il est difficile d avoir une estimation pr cise de l volution de la population touristique sur le d partement de l H rault Cependant le comit d partemental du tourisme de l H rault nous a fourni quelques chiffres Les r sultats pr sent s sont ceux de 1997 et de 1998 car les r sultats pour 1999 ne seront pas disponibles avant d but 2000 Les courbes d volution mensuelle du nombre de nuit es cf page suivante font appara tre une fr quentation fortement marqu e par la saisonnalit et l impact des vacances le mois d ao t demeurant le mois phare de l ann e Les pointes de week ends soulignent les effets du tourisme de proximit Elles sont particuli rement marqu es pour les week ends f ri s prolong s Il est noter que les r sultats pour 1998 sont fauss s par le d roulement de la coupe du Monde de football en France et pour la ville de Montpellier En effet on note une hausse de 11 2 des nuit es pour le mois de juin 1998 par rapport 1997 et un accroissement du taux
67. donn es communiqu es par le 34 La feuille DIB Ratio de SED SEMI URBAIN SED TOURISTIQ production 2 4 DIB Global Global Global Global kg hab an kg hab an kg hab an kg hab an Il s agit des d compositions de la production DIB exprim es en kg hab an et en pourcentage de la production globale La production totale des DIB dans le d partement a t obtenue partir d un recensement pr cis de toutes les donn es disponibles la chambre des m tiers et dans les chambres de commerce d industries du d partement La d composition entre les DIB collect s les collectivit s et ceux g r s directement la source par les entreprises a t estim es partir d une analyse de la destination r elle des d chets pour les entreprises adh rentes la chambre des m tiers d une part de l tude men e sur le SICTOM de la r gion de P z nas voir Phase n d autre part NB les ratios indiqu s en tiennent pas compte des d chets du BTP Ceux ci font l objet d une tude sp cifique La feuille GIS Tout comme la feuille POP cette feuille recense des donn es sectorielles Elle pr sente la m me organisation trois premi res colonnes identiques Cette feuille permet de calculer la production des diff rentes cat gories de d chets pour les ann es de r f rence DETAIL DU GISEMENT OM OM Verre Papiers Cartons OM Plastiques Acier Alu Autres
68. et du SICTOM de Gignac Aniane Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 29 GIRUS SA CP f vrier 2000 3 1 3 Les usines d incin ration Il existe quatre usines d incin ration sur le territoire h raultais l UIOM d Agde elle accueille les ordures m nag res du SIVOM du canton d Agde l usine d incin ration de P zenas elle traite les ordures m nag res du SICTOM de P zenas et du SIVOM des vall es de l Orb et de la Mare Au moment de l tude elle accueillait galement les ordures m nag res du SIVOM du Pic St Loup du SIVOM du canton d Agde et de particuliers Ces deux premi res usines ne sont pas aux normes l usine d incin ration de S te elle accueille les ordures m nag res du SIVOM du canton de Frontignan et de S te l usine d incin ration de Lunel Viel elle traite les ordures m nag res du syndicat mixte pic et tang et depuis peu celles du SIVOM entre V ne et Mosson L usine d incin ration de Ved ne 84 traite les ordures m nag res du SIVOM de la Haute Vall e de l Orb 3 1 4 Les centres de tri des ordures m nag res Il en existe deux actuellement sur l H rault le centre de tri DEMETER Montpellier Il accueille les emballages m nagers propres et secs sauf le verre provenant des collectes s lectives effectu es en porte porte sur les communes membres du District mis part Lattes Palavas les Flots et P rols
69. f rence Les donn es sont sectorielles Seules les informations concernant l volution de la population peuvent tre saisies et calcul es au niveau communal Ces deux bases ne sont pas en liaison afin de ne pas croiser les donn es r elles et les ratios sous peine d obtenir des r sultats incoh rents Ce rapport a pour objet de familiariser l op rateur avec l utilisation de ces deux outils Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 3 GIRUS SA CP Janvier 2000 D coupage de l aire g ographique du plan d partemental ZONE EST secteur Ganges 1 LES BASES DE DONNEES SOUS EXCELL 1 1 Qu est qu une base de donn es Une base de donn es est un ensemble d informations structur es la base est divis e en enregistrements de forme identiques et chaque enregistrement est divis en champs Dans notre cas chaque ligne est un enregistrement et correspond soit une commune soit un secteur soit une zone Chaque cellule correspond un champ c est dire une information relative une commune une zone ou un secteur La premi re et la deuxi me lignes sont particuli res car elle ne contiennent pas de donn es La premi re ligne a t introduite afin de regrouper les diff rents champs par th mes La deuxi me ligne contient les noms des champs Dans Excell la zone de la base de donn es peut s tendre toutes les feuilles de calcul ou
70. fermentescibles peut entra ner une r duction des tonnages r siduels allant jusqu 40 alors qu elle ne concerne qu au maximum 25 dans le premier cas De m me le choix d une fili re de compostage de la fraction fermentescible et des d chets verts entra nera des tonnages valoris s moins importants que dans le cas dun compostage d ordures m nag res m lange En revanche la qualit sera nettement meilleure dans le donc le _ premier cas et les chances de valorisation en seront d autant plus lev es Les tableaux ne EE font appara tre que les tonnages valoris s alors qu il convient aussi de se pr occuper fonction des de la qualit des sous produits besoins e Le type d habitat et le degr d urbanisation Autant l habitat tr s rural qu urbain se pr tent plus difficilement la collecte s lective en porte porte des d chets recyclables et ou organiques Aussi la mise en oeuvre de d chetteries est plus difficile car financi rement lourdes porter dans le premier cas et techniquement difficiles int grer l espace urbain dans le deuxi me Il en r sulte des taux de valorisation plus faibles qu en milieu semi urbain o l habitat pavillonnaire domine Les statistiques nationales de l ADEME viennent conforter cette remarque e La fr quentation touristique du secteur Voir annexes 4 et 7 Les pics de production de d chets m nagers entre le 14 Juillet et le 15 Ao t posent d importants probl me
71. id e pr cise du co t de traitement dans une installation conforme la nouvelle r glementation sachant que tr s peu de projets ont vu le jour depuis la sortie du d cret du 9 septembre 1997 gt Centre de stockage de classe Ill 4 4 60 la tonne Les co ts sont tr s d pendants des moyens en personnel et mat riel mis en oeuvre La gestion de ce type de site peut tre coupl e avec une d chetterie par exemple Les co ts de gardiennage sont alors consid rablement amoindris Des volutions seront possibles en cas de modification de la r glementation 6 Transfert Transport 15 30 la tonne Les co ts du transport par rail ou voie d eau sont plus difficiles donner de mani re g n rale ils sont fortement d pendant des tonnages concern s et des quipements disponibles N anmoins leur prise en compte dans les projets de collecte ou de traitement de d chets m nagers et assimil s doit tre encourag e Les indications de co ts des fili res de traitement retenues dans la base de donn es annex e au Plan sont calcul es partir des co ts moyens indiqu s ci dessus Page 92 9 2 Le transport des d chets Le transport des d chets g n re des co ts importants et la mise en balance des crit res conomiques techniques et environnementaux n est pas vidente De plus les ratios de co ts au kilom tre ou la tonne de d chets transport s ne sont tr s peu repr sentatifs de la r alit s
72. lt 2 J MATERIAUX RECYCLES REE Refus valorisables ERES RETOUR 5 500 t 22 Valorisation organique Compostage N 4 N Z a A s Z m C N LD V N A A V A N VER Z N j lt C SS 1200 t 11 800 l 50 se qe 24981 19 WO44 A1l 99 s 81981109 Jed sa lWisse sap Gb Weg el Is ENFOUIS S EMENT 14 600 t D chets inertes et Valorisation mati re et et Valorisation organique Valorisation organique Refus Plate forme CET SECTEUR MINERVOIS 22 Sek I J N 1500t 2 500 t 1 300 200 N _ K 2 bS N _ Doues CEET _ ollecte s et et d puration et Decrets Kee verre papier carton DMS FFOM D chets verts plastiques m taux etc Tri Traitement Compostage Compostage andage sp cifique A 50 t N Z N Ki ka i N Ba N Ki SCH s lt gt L C Z gt K ECYCLES ALORISATION Refus 50 No Jed sap 19 WO44 81981109 G Weg el Is GANIQUE eent __ 10001 19 28 N gt NOA gx lt
73. p riode hors saison La part de production de d chets li e au tourisme est donc tr s restreinte par rapport ce que l on aurait pu constater en juillet ao t Le secteur ne produisant pas de d chets verts on peut estimer que la production de d chets non m nagers r cup rables en d chetterie actuellement collect s avec les ordures m nag res est de 100 kg an hab Commune de Nizas La semaine de test a t pluvieuse les d chets verts jardinage produits ont donc t tr s limit s voire absents Les quantit s de d chets verts auraient augment le tonnage collect sur Nizas dans d autres circonstances la production de d chets verts est de 50 kg an hab au minimum en zone rurale et peut aller jusqu 100 kg an hab en habitat pavillonnaire p riurbain La part de d chets encombrants Nizas est consid r e n gligeable car gt les bacs sont individuels pas de place pour mettre des gros objets la fr quence de collecte est correcte ce qui n incite pas au d barras constant gt l habitat rural permet le stockage temporaire des d chets encombrants caves greniers etc ce qui limite leur d p t avec les ordures m nag res La faiblesse du tonnage collect peut s expliquer par le fait inverse de P zenas les habitants de Nizas ne travaillent pas sur place et mangent ailleurs le midi pr s de leur lieu de travail Une partie de leurs d chets m nagers est donc produite hors de la commune Qua
74. par Oral On EE 64 5 FILI RES DE VALORISATION ORGANIQUE a 65 5 1 Fili res envisageables et existant d partemental 65 6 QU EST CE QU UN COMPOST COMMENT L APPR CIER na 66 0 06 de Deimona EE EE EE 66 6 6 2 Caract ristiques physiques d un compost ane qe tie AN A nn 66 6 6 3 Caract ristiques analytiques d un COMPOSL AR NN ER ss nu RS 67 6 6 EXIGENCES TECHNICO CONOMIQUE ET ENVIRONNEMENTALE DES FILI RES D UTILISATION DES PRODUITS 70 657 SNA Et et nt en ed nie ads 71 6 7 1 Capacit s de traitement requises par secteur siens 71 2 ACHONS EE 71 7 D CHETS INDUSTRIELS BANALS ET D CHETS DU B T P CONTRIBUTION CHAMBRE DES L HERAULT 73 Z 1 PRODUCTION DE DIB DEER 74 Z T E 74 7 1 2 Estimation de part de DIB compris dans les Ordures M nag res OM 74 142 COELECTE E KC EDES D T E 74 Za 218 L acces E 74 7 22 ha Vdlorisation etilestockaee des DIR 75 ZS D CHETS DU BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS EE 77 7 3 1 Estimation de la production de d chets du B timent et Travaux Publics T7 7 3 2 Sch ma et Plan de gestion des d chets du BTP u a Rene 78 7 3 3 EEN sean tenn
75. partement 1 3 3 Les nouvelles installations de traitement des d chets m nagers et assimil s depuis l approbation du plan INSTALLATIONS ENREGISTREES SOUS LE REGIME DE LA DECLARATION d installation D chetterie SI Lignan Corneilhan Corneilhan 13 01 00 Page 9 Saint Br s 14 05 96 D chetterie Balaruc le Vieux Ganges Saint G ly du Fesc Saint Mathieu de Tr viers Saint Vincent de Barbeyrargues D chetterie SIVOM du Pic Saint Loup Vailhauqu s 21 02 97 Lunel Marsillargues Lod ve Claret S te Alignan du Vent Caux Cers Fontes Montagnac Montblanc Pomerols Roujan Saint Thib ry Vailhan Cazoul les B ziers Nissan lez Ens rune Quarante 13 01 00 _ el d installation D chetterie CC de Faug res Laurens 13 01 00 D chetterie CC du Haut Languedoc La Salvetat sur Agout 2000 D chetterie CC des Pays d Agde i 27 01 00 D chetterie CC des Pays d Agde 27 11 00 D chetterie CC Framps 909 22 09 00 D chetterie Syndicat Cesse et Brian D chetterie CC S ranne Pic Saint Loup INSTALLATIONS ENREGISTREES SOUS LE REGIME DE L AUTORISATION d installation Nord Bassin de Thau Notre Dame de Londres Mudaison Mudaison maturation des Etangs m chefers Taussac la Billi re 27 05 98 de l Orb OCREAL Lunel Viel 18 02 99 Plate forme de ACTISOL Pignan 02 04 99 compostage Centre Ville de B ziers Saint Jean de Libron 30 04 99 d Enfouissement Technique de classe Il D chetterie et CC du Sai
76. pour le secteur est donc estim e 106 500 T an environ Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 17 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les d chets li s l activit littorale Ces d chets ne sont ni pes s ni trait s s par ment des ordures Aucune estimation des quantit s n a t fournie Cependant il est noter que l activit conchylicole n est pas aussi d velopp e que dans d autres zones plus l est les d chets conchylicoles sont majoritairement rejet s en mer et une benne est mise disposition sur la commune de Vendres De plus les d chets de port se r duisent presque strictement aux ordures des plaisanciers lls sont collect s avec le reste des ordures m nag res au m me titre que ceux des autres touristes Les communes littorales proc dent un nettoyage r gulier de leur plage pendant la saison estivale Ces d chets sont achemin s avec les ordures m nag res l usine de Tri Compostage de Vendres Les d chets m nagers sp ciaux En l absence de syst mes de r cup ration l estimation du gisement a t r alis e sur la base d environ 1 kg hab an soit environ 140 Les d chets d assainissement Peu de stations ont r alis des analyses de leurs boues ce qui entra ne des incertitudes quant l valuation des quantit s M me en pr sence de quantit s r elles 738 T MS recens es pour 87 330 quivalent hab la pro
77. pour les textiles usag s les batteries les pneumatiques Recyclage organique Le Plan pr voit un compostage qui porterait uniquement sur les boues et les d chets v g taux Le Plan devrait pr coniser des objectifs de recyclage organique sur la FFOM et d finir les moyens mettre en uvre collecte s parative de la FFOM compostage individuel sous r serve de l existence de d bouch s suffisants pour les composts produire Des tudes d valuation de ces d bouch s quantification des d bouch s et qualification des composts par secteur du d partement devraient donc tre entreprises Recyclage mati re et organique 5 5 1 Constat gt Le synoptique des flux de d chets 10 ans tabli partir du Plan indique que l objectif de 50 d fini par la circulaire du 28 04 98 au niveau national est d pass sur la masse globale des d chets 5 5 2 Conclusion gt partir des observations ci dessus analyse fine par cat gorie de d chets il serait souhaitable de v rifier que cet objectif est atteint pour tous les d chets m nagers et assimil s dont l limination est de la responsabilit des collectivit s locales Incin ration et valorisation nerg tique gt Recours exclusif l incin ration Compte tenu du caract re rural de certains secteurs loign s des concentrations urbaines pr sentes le long du littoral la fili re globale qui retient exclusivement l incin ration pourrait
78. produits phytosanitaires soit les produits phytosanitaires eux m mes non utilis s ou p rim s Ils sont principalement utilis s par les agriculteurs herbicides insecticides fongicides et contiennent les produits suivants arsenic mercure chlorates compos s nitr s chloroph nols e Les d chets des ateliers Ce sont tous les d chets toxiques produits par les artisans et les petites entreprises solvants acides bases peintures et colorants laques et vernis sels m talliques ou non bains photos colles d tachants diluants chiffons et papiers souill s tubes fluo graisses huiles a rosols e Les d chets m nagers sp ciaux DMS Ce sont tous les d chets toxiques d un usage domestique d une activit de bricolage ou de chimiste amateur On y trouve phytosanitaires et emballages souill s pesticides Solvanis d graissants ou dissolvants huiles de vidange acides bases d capanis d tartrant peintures et cro tes de peintures bains photos bombes et a rosols cosm tologie entretien piles et accumulateurs thermom tres cass s m dicaments p rim s colles et adh sifs l ments nutritifs pour v g taux tubes fluo Page 83 8 2 D itficult s sp cifiques au D T Q D 8 2 1 Les risques La difficult principale est d ordre psychologique tr s souvent les d tenteurs de ces d chets n ont pas une conscience exacte d
79. quantit s valoris es et refus Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 10 GIRUS SA CP Janvier 2000 Exemple de la feuille U trait CARACTERISTIQUES DESSERTE QUANTITES Id Type Capacit Ann e Quantit s Quantit s Quantit s Quantit s Quantit s Quantit s code nom T an Habitants de entrantes recycl es valoris es de compost incin r es de refus r f rence sous forme produit de compost 2 3 4 Les feuilles de sortie Deux feuilles de sortie ont t cr es La feuille SORTIEtonnages Elle permet d obtenir pour un territoire donn commune collectivit zone ou secteur les quantit s g r es e des ordures m nag res brutes collect es en porte porte des collectes s lectives des apports en d chetterie des boues d puration L ann e de r f rence est l ann e minimum lorsque le territoire est une zone ou un secteur tant donn que les tudes de fili res et de zones n ont pas toutes t men es en m me temps ll pas t possible de faire un bilan sur le mod le de la pr sentation du plan d partemental car les quantit s r ellement valoris es ne sont pas connues La feuille SORTIEunit s Cette feuille ne permet d afficher que les unit s sectorielles d un secteur ou d une zone Elle reprend les donn es des feuilles descriptives des caract ristiques des
80. qui b n ficient de la comp tence pr vue l article L 2224 13 du limination des d chets des m nages d s lors qu ils assurent au moins la collecte des d chets des m nages Lorsqu une commune assure au moins la collecte et a transf r le reste de la comp tence limination un EPCI fiscalit propre elle peut par d lib ration concordante avec ce dernier tablir un reversement partiel au profit de l EPCI du produit de la taxe ou de la redevance per ue par elle Un EPCI comp tent en mati re d limination des d chets des m nages ensemble de la comp tence collecte et traitement ne peut plus renoncer percevoir la TEOM ou la REOM et laisser ce soin ainsi que le choix de la ressource ou REOM aux communes car elles ne sont plus comp tentes art 85 VII abrogeant l art 1609 nonies La possibilit de modulation de la TEOM par zone de collecte apporte une solution la disparit des TEOM des communes qui transf rent leur comp tence un EPCI 1 4 La dotation d intercommunalit Avant la loi un certain nombre d EPCI fiscalit propre d laissaient la ou REOM au profit dun financement budg taire de ce service Certes Ils abandonnaient ainsi le principe du pollueur payeur Mais les sommes correspondantes taient prises compte dans le calcul de la DGF la faveur des zones d ombre des textes en vigueur La loi du 12 7 99 a modifi les conditions et introdu
81. rencontr es dans les tudes ainsi que les lacunes compl ter pour une meilleure connaissance du gisement de d chets dans l H rault Il est noter que les quantit s indiqu es sont celles existantes au moment des tudes et que les tonnages ont volu depuis Les cartes pages suivantes pr sentent les collectivit s comp tentes en mati re de collecte et de traitement des d chets m nagers 2 1 Zone Est 2 1 1 Syndicat Mixte Pic et Etang et la commune de la Grande Motte Ce syndicat est cheval sur les d partements de l H rault et du Gard L ensemble des r sultats ci dessous concernent uniquement les communes situ es sur le territoire h raultais Les documents pris en compte sont gt Pr sentation de la fili re globale de traitement valorisation des d chets m nagers et assimil s sur le territoire du syndicat Syndicat mixte entre Pic et Etang Juin 1998 Le centre d incin ration et de valorisation des r sidus urbains de Lunel Viel Pr sentation du projet Ocr al juillet 1998 gt SIVOM de Sommi res et de ses Environs Etude des collectes s lectives GIRUS juin 1999 gt SIVOM de Sommi res et de ses Environs Faisabilit d un centre de transfert GIRUS juin 1999 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Les tonnages sont donn s syndicat par syndicat En ce q
82. s de P C I variables afin de constituer des charges homog nes r pondant un cahier des charges pr cis d fini par l utilisateur est ainsi qualifi de pr traitement 8 3 3 Tableau de synth se Les D T Q D commencent tre bien r pertori s et connus En ce qui concerne leur limination on ne peut d crire les fili res existantes Ce tableau donne pour les diff rentes cat gories de D T Q D r pertori es les principaux constituants et dangers les conditionnements pr conis s les traitements finals existants aujourd hui Nul doute que ces proc d s verront des volutions importantes dans les ann es venir Page 86 NATURE ACIDES BASES acide sulfurique acide chlorhydrique SELS METALLIQUES O NON REVELATEURS BAINS PHOTOGRAPHIQUES DESINFECTANTS PRODUITS PHYTOSANITAIRES herbicides fongicides insecticides PEINTURES VERNIS cro tes et pots PRINCIPAUX CONSTITUANTS ET DANGERS Produits corrosifs attaquent les cellules vivantes lls r agissent fortement entre eux d gagement de chaleur et avec de nombreux autres compos s chimiques Sont g n ralement solubles et polluent le milieu naturel Les m taux lourds ing r s en trop grande quantit sont des poisons Contiennent des acides ou des bases associ s des m taux lourds Alcools Eau oxyg n e peroxyde incompatible avec les sels m talliques acides et mati res organiques Explosif Merc
83. s uniformiseront partir de 2010 en raison de l volution technique des collectes s lectives des mat riaux d emballages nouveaux et du brassage des populations rurales urbaines e La coh rence avec le premier Plan D partemental Les objectifs de valorisation s inscrivent globalement dans la lign e d finie au premier Plan D partemental savoir 45 des d chets m nagers et assimil s valoris s apr s 10 ans d application du Plan La r partition entre valorisation organique et nerg tique a t revue en fonction des observations plus r centes et des caract ristiques locales possibilit s d pandage de composts sur les terres agricoles choix des fili res r sultats de valorisation sur les installations existantes Voir pages La r partition des flux pour les d chets municipaux hors DIB collect s par d autres est suivantes x illustr e ci apr s pour chacun des 10 secteurs du d partement pour l ann e 2005 Page 57 d chets Valo Org R siduelle Compostage urbain ANIQUE EVENTUELLE 22 r siduels SECTEUR AGATHOIS 13 000 t el D chets inertes Valorisation mati re Cet verre papier carton plastiques m taux etc Plate forme Tri C E T lt SH N SCH Ba Se K C RECYCLES Refus gt m A gt C 1 100 DMS Traitement sp cifique
84. siduelle C m Compostage urbain D chets inertes Plate forme C E T SECTEUR BITERROIS 2 IETS MI 24 6001 gt gt Pse lt 22 S 2 700 X A Se V LA Z 10 400 40100 KE N et Valorisation organique Valorisation organique et Valorisation mati re et i D chets verts verre papier carton plastiques m taux etc Toxiques et DMS 50 N Traitement Compostage sp cifique A pandage 1 3001 N A KA A N Z xd V ENFOUIS S EMENT 11 300 t Se non valorisables W x 2 I RA K SD SECTEUR CENTRE HERAULT et Valorisation mati re Cet verre papier carton plastiques m taux etc Tri D chets inertes Traitement sp cifique Plate forme CET Toxiques et Valorisation organique DMS JJ et a Valorisation organique FFOM D chets verts Compostage Compostage AN N Des Ba i 7 2 ALORISA TION Refus ANIQUE 100 t 36 400 t N 35001 148004 50 pandage 1700t E k ENFOUIS S EMENT 20 100 t A SS F d A J J N FSI A z Ze N 2 PA X N lt d N N 5
85. stockage de d chets ultimes r aliser Etablir un sch ma d partemental des centres de stockage de d blais et gravats r partition souhaitable un centre par canton 2 1 11 Points divers compl ter et am liorer gt Aspects saisonniers une plus grande attention devrait leur tre accord e La d finition d objectifs de recyclage mati re et organique et de moyens mettre en uvre durant l t sur tout le littoral m diterran en pour la population estivale peut tre sugg r e Flux de d chets entre d partements il serait souhaitable de pr ciser pour quelles quantit s ces flux interd partementaux sont autoris s suivant la nature des d chets ainsi que leur provenance ou leur destination Il conviendrait galement de lister les communes autoris es exporter leurs d chets avec mention de la p riode concern e Les transports gt Une tude des modes alternatifs de transport m riterait d tre entreprise rail Canal du Rh ne S te Canal du Midi gt serait souhaitable d appliquer le principe de proximit au compostage Cf observations points 2 1 7 2 1 9 Aspects conomiques et sociaux d velopper gt Les co ts d investissement et d exploitation des unit s devraient tre estim s en fonction de leur dimensionnement gt Une valuation des impacts sur l emploi des prescriptions du Plan serait souhaitable D chets primaires consid r s Liste des d chets n
86. t Gisement total de D chets Municipaux t 508 000 t directement par les producteurs t Principales caract ristiques Le Sud du territoire est marqu par une tr s forte augmentation de la population due aux p les d activit s de Nimes et Montpellier Le Nord est plus rural La majorit de l habitat est tendance urbaine et semi urbaine avec une forte dominance de l habitat pavillonnaire hormis les centres villes et en particulier Montpellier Les communes littorales sont tr s marqu es par les variations touristiques Territoire bien desservi par des d chetteries Collecte des emballages recyclables en cours de d veloppement Fili res de traitement centr es autour des incin rateurs de Lunel Viel et de S te Valorisation organique encore trop d velopp e sur le secteur Pic et Etang et Montpellier malgr quelques initiatives int ressantes compostage individuel D veloppement int ressant du compostage sur le secteur Centre Sud Difficult de mise en place d un Centre de Stockage des D chets Ultimes Forte activit industrielles et commer ante dans le sud de la zone tab 3 principales caract ristiques de la zone Est extrait base de donn es objectifs GIRUS 1 00 Page 27 ZONE OUEST donn es 2000 Collectivit s comp tence traitement Syndicat Mixte de Traitement et de Gestion des d chets des d chets membres de la zone mise M nagers de la zone Ouest de l H rault compren
87. tonnage important Les d chets m nagers sp ciaux II n existe pas d estimation du gisement des d chets m nagers sp ciaux Les d chets d assainissement Au moment de l tude les boues des stations d puration et station de lagunage taient provisoirement d pos es en d charge En situation normale elles sont trait es et compost es par une soci t priv e situ e sur la commune de Pignan Les quantit s annuelles trait es s l vent 2 500 T Aucune information n est donn e sur l obtention de ce chiffre 2 3 3 SIVOM de la mer et des tangs Ce SIVOM est compos du SIVOM du canton de Frontignan et de la Ville de S te Les documents pris en compte sont gt Etude locale de gestion des d chets Rapport d tude SIVOM de S te et de ses environs GIRUS SA novembre 1997 gt SIVOM de S te et de ses environs valuation des co ts de collecte de transport et de traitement TRIVALOR octobre 1997 gt SIVOM de S te et de ses environs Etude locale de gestion des d chets Inventaire et diagnostic des installations existantes TRIVALOR octobre 1997 SIVOM de la Mer et des tangs Etude des sch mas organisationnels de collecte de traitement TRIVALOR octobre 1998 SIVOM de S te et SINBT Rationaliser ses d chets un objectif MODECOM Rapport de stage Yvain REMEUF avril 1998 SIVOM de S te et de ses environs Etude locale de gestion des d chets Note
88. travaux le 08 02 00 e la zone Est regroupant les secteurs Centre Sud Montpellier et Pic et Etang 1 3 2 La r habilitation des d charges sauvages strat gie mise en oeuvre but en le travail d inventaire et de diagnostic des charges brutes de l H rau Go D but 1995 le t d t t de d tic des 204 d ch brutes de l H lt de r sorption a abouti fin 1997 la constitution d une base de donn es compl te faisant appara tre les des urgences de r sorption class es par ordre de priorit en fonction d un crit re environnemental d charges d fini cette fin Chaque maire concern par un tel d p t d ordures a t destinataire fin l H rault d cembre 1997 du des dossier s de r sorption le concernant Ce dossier comprend e une fiche r capitulative des impacts r els sur l environnement eaux de surface Conseil souterraines g ologie proximit des habitations incendie G n ral e une fiche d interpr tation illustr e photo synth tisant les r sultats des analyses de GE terrain les pr conisation de r habilitation ainsi que les ventuelles solutions de DDASS remplacement e devis sommaire des travaux de r habilitation et r am nagement Les r sultats imm diats ont souvent eu du mal se mettre en place pour des raisons techniques et financi res Un accord de financement conclu entre l ADEME et le Conseil G n ral de l H rault a toutefois encourag un certain nombre de pro
89. tude de fili re et de zone la collecte s lective des recyclables en porte porte venait juste de se mettre en place Une estimation annuelle est fournie en se basant sur les quantit s collect es sur 7 mois du 25 08 97 au 01 04 98 soit environ 610 T par an Les encombrants II n existe pas d estimation du gisement de d chets encombrants Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 21 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les d chets verts Il n existe pas d estimation du gisement de d chets verts Les d chets inertes Il n existe pas d estimation du gisement de d chets inertes Les d chets municipaux II n existe pas d estimation du gisement de d chets municipaux Les d chets des professionnels Une estimation du gisement des DIR appara t dans le bilan ll s l ve 3 170T an Il semblerait que ce chiffre soit repris du Plan D partemental d limination des d chets m nagers et assimil s de l H rault Les d chets li s l activit littorale II n existe pas d estimation des d chets conchylicoles collect s maintenant avec les ordures m nag res Pourtant l activit principale du bassin de Thau est la conchyliculture l ostr iculture les quantit s ne sont donc pas n gligeables Les plages galets tant moins fr quent es le non estimation des d chets de plage est moins cons quente Les d chets m nagers sp ciaux Une estimation e
90. une d marche volontaire de l exploitant de plate forme de compostage Une norme NF U 44 051 dont la r vision est en cours la hausse notamment pour les exigences m taux lourds Une marque NF Compost urbain ADEME bas e sur les aspects granulom trie et ind sirables gt Sur la rev g talisation d espaces naturels et ou sur l utilisation en for t de boues Page 62 ou composts base de boues L article 17 de l arr t du 08 01 1998 cite ces solutions soumises arr t pr fectoral En compl ment de ces textes il convient de pr ter une attention particuli re aux d chets suivants TE LE Ces pos s pr alable envisageable Sables de filtration Pollution PCB plomb des r seaux hydrocarbures s chage Centre d enfouissement Eaux pluviales de classe Il sauf produits routes autoroutes ne r pondant pas Sous produits de l arr t du 09 09 97 curage de r seaux Siccit minimale requise devant obligatoirement 30 pour les d chets aller en centre liquides circulaire mars d enfouissement de 87 classe Boues Non conformit des conformes teneurs ETM l arr t du 08 01 98 V g taux de bord de Hydrocarbures Classe Il ou route feuilles Incin ration fauche en fonction de la zone compostage tab 15 D chets organiques pouvant poser probl me dans une fili re de valorisation organique Voir 4 4 6 4
91. valeurs de celles que nous poss dons suite des tudes similaires dans d autres d partements La connaissance de la production d ordures m nag res strictes permettra d estimer les quantit s r cup rables par les collectes s lectives organis es aupr s des m nages sur la base des quantit s d ordures m nag res strictes gt la part de d chets m nagers qui ne devrait pas suivre le m me circuit que les ordures m nag res la part de d chets non m nagers collect s avec les ordures m nag res 1 2 M thode La proportion d ordures m nag res strictes dans les d chets collect s est valu e partir d une collecte s parative des d chets dans diff rentes zones gt quartiers exclusivement d habitation commune rurale gt quartier type centre ville drainant une population ext rieure gr ce ses commerces La mise en place d un protocole de collecte particulier sur une semaine avait pour objectif dans ces trois types de zone de pr senter des chiffres diff renciant les ordures m nag res des d chets non m nagers en effectuant une campagne de pes es diff renci es Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 2 GIRUS SA CM novembre 1999 1 3 Terrain d application Cette op ration a t r alis e du 18 au 25 octobre 1999 apr s la fin de la saison touristique sur le SICTOM de P zenas Ce SICTOM t retenu comme terrain d tude pour di
92. 0 T an Il existant galement des encombrants compris dans les 1 150 T an de refus de d chetterie Les d chets verts L tude indique que les quantit s produites sont de 900 T an soit 31 kg hab an Aucune information n est donn e sur les hypoth ses de calcul de ce tonnage Cependant il est bon de remarquer que ce ratio se rapproche de l valuation r alis e par l ADEME lors d une enqu te nationale qui fait tat d un ratio de d chets verts collectables dans le sud est incluant tout le Languedoc Roussillon de 32 kg hab an Ce chiffre constitue un minimum de d chets verts g rer sur le syndicat et ne prend pas en compte les d chets d espaces verts ni le fait que la production est plus lev e en milieu semi rural Les d chets inertes lls sont entrepos s sur les sites de la d charge et repris par un r cup rateur Il n existe pas d estimation du gisement de d chets inertes Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 23 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les d chets municipaux II n existe pas d estimation du gisement des d chets municipaux Les d chets des professionnels lls sont d pos s en d charge et repr senteraient environ 1 400 T an Cette estimation a t r alis e sur la base d un recensement des industriels et des commerciaux implant s sur le SIVOM et susceptibles d apporter leurs d chets en d chetterie ou en d charge en cas de
93. 0 tonnes D truites 260 000 tonnes Refus stocker 115 000 tonnes Stockage Entr e D chets primaires 0 tonnes 0 tonnes Entr e Refus 115 500 tonnes II devrait tre affin et labor 5 et 10 ans d une part pour les d chets m nagers et assimil s limin s collecte et traitement par les collectivit s et d autre part pour les DIB du ressort des industriels ou autres producteurs agriculteurs La synth se d partementale 10 ans fait appara tre des objectifs de recyclage mati re tr s ambitieux 60 de la collecte des d chets primaires 28 apr s tri et de recyclage organique plus faibles 21 17 apr s process N anmoins il faut bien noter que ces objectifs portent sur la totalit des d chets et ne sont pas d clin s pour chaque cat gorie de d chets Ainsi titre d exemple on ne conna t pas la part recyclable mati re des papiers cartons m nagers ou des plastiques De plus le recyclage organique ne porte que sur les d chets v g taux Le compostage de la FFOM est compl tement ignor Conclusions II serait souhaitable de reconstruire diff rents synoptiques 5 et 10 ans des flux de d chets en fonction celui propos par l ADEME et ce par cat gorie de d chets d chets m nagers et assimil s du ressort des collectivit s DIB de la responsabilit des industriels ou autres producteurs agriculteurs emballages m nagers ou non boues Appr ciations relati
94. 00 04 67 76 35 12 04 68 61 49 86 04 68 52 82 50 04 68 23 27 97 04 68 23 32 60 04 68 69 20 30 04 68 69 31 40 04 68 41 17 17 04 68 41 05 25 04 66 62 18 15 04 66 62 17 99 04 66 80 99 15 04 66 77 76 75 Collecteurs R cup rateurs Trieurs Conditionneurs de d chets en Languedoc Roussillon liste non exhaustive ADEME Languedoc Roussillon Juin 1900 P 3 4 e PAPACHRISTOU NIKOPNEUS Route d Aigues Mortes 30800 SAINT GILLES e HERAULT e ABBAL PNEUS La Malhaute 34490 THEZAN LES BEZIERS e SEDIM 3 Avenue des Compagnons 34170 CASTELNAU LE LEZ e LOZERE e ENVIRONNEMENT 48 48000 BALSIEGES e PYRENEES ORIENTALES e CLEMENTZ Pneus 14 impasse de l Aviation ZI Le Boulau 66140 CANET EN ROUSSILLON Fax Fax Fax t l et fax Fax 04 66 87 24 85 04 66 87 40 83 04 67 37 93 43 04 67 37 82 15 04 67 79 77 05 04 67 02 04 82 04 66 49 25 25 04 68 21 68 55 04 58 21 73 75 H COLLECTEURS DE DECHETS MENAGERS e AUDE e ARIEGE DECHETS All e des Maronniers 11230 SAINTE COLOMBE L HERS e STAN Z La Coupe Rue Antoine Becquerel 11100 NARBONNE e IPODEC SUD OUEST Rue Joachim Estrade ZI L Estagnol 11000 CARCASSONNE GARD e ONYX 224 rue Louis Lumi re 30900 NIMES e SMN Chemin Bosquet 30220 AIGUES MORTES e COGEDE Route de Poulx Candelon 30320 MARGUERITTES e Soci t A TO Assainissement Travaux Obert Z I du Corata 30250 SOMMIERES e DECHETS SERVICES 2 1
95. 1 SETE Cedex Balaruc les Bains 45 04 99 57 23 00 Frontignan 45 04 67 46 20 23 S te C Vic les Etangs La Gardiole 45 Mireval 45 7 SIICTOM de la R gion de Ganges Ganges adresse H tel de Ville 34190 GANGES Laroque 04 67 73 00 53 Montoulieu 04 67 73 00 50 Moul s et Baucels Sum ne 30 Brissac Cmes clientes Agones Cazilhac Gornies N O O O O zl N O O Saint Bauzille du Putois 8 Communaut de Communes Vall e de l H rault Aniane 787 Chemin Grande Barque adresse 34150 GIGNAC Arboras 04 67 57 65 63 Argelliers 04 67 57 24 71 Aumelas Belarga Boissi re La Campagnan Gignac Jonqui res Lagamas Montarnaud Montpeyroux Plaissan Popian Pouget Le Pouzols Puechabon Puilacher Saint Andr de Sangonis Sylve Saint Guiraud OO O0 O0 OO O0 OO O0 O0 O0 O0 Saint Guilhem le D sert Saint Jean de Fos Saint Pargoire Saint Paul et Valmalle Saint Saturnin Tressan Vend mian Page 2 Comp tence Comp tence 9 Communaut de Communes S ranne Pic Saint Loup Causse de la Selle PI de la mairie 34380 ST adresse MARTIN DE LONDRES Mas de Londres Notre Dame de 04 67 55 78 06 Londres 04 67 55 12 85 P gairolles de Bu ges Rouet Le Saint Andr de Bu ges Saint Jean de Bu ges Saint Martin de Londres Viols en Laval Viols le Fort 10 SICTOM de la Haute Vall e de l Orb Av ne H
96. 2 1 041 valoris es TAUX DE VALO MATIERE TAUX DE VALO ORGANIQUE TAUX DE VALORISATION GLOBALE tab 6 bilan de la valorisation des d chets depuis l approbation du premier plan 1996 On constate d une part que globalement les taux de valorisation sont encore loign s des objectifs du premier Plan m me si des exp riences locales Usine de Tri Compostage de Vendres les ont atteints D autre part on remarque que tant les secteurs urbains zone de Montpellier que ruraux et touristiques zone Ouest ont le plus de mal atteindre les objectifs C est dans ces secteurs que les efforts les plus importants devront tre fournis pour atteindre les objectifs annonc s 4 3 3 Les capacit s de traitement et de stockage dans le d partement apr s trois ans d application du plan quels r sultats tab 7 et Le tableau suivant indique la liste des installations de tri de traitement et de stockage aujourd hui disponibles Toutes disposent d une autorisation pr fectorale d exploitation mais un certain nombre d entre elles n ont qu une faible esp rance de vie sachant qu elles ne sont plus conformes aux nouveaux textes nationaux ou aux normes europ ennes Page 36 LES INSTALLATIONS DE TRAITEMENT SOUMISES A AUTORISATION PREFECTORALE Nom Implantation Maitre Proc d Date Mise en route Fin Capacit de Tonnage Population Nature d ouvrage Auto d exploitation traitement annuel re u desservie d chets Taux de r
97. 3192 Avenue Kennedy 30000 NIMES e COVED Chemin de la Fontaine Gillienne 30800 SAINT GILLES e GUY JOEL Issards 30340 SAINT PRIVAT DES VIEUX e CEVENNES DECHETS 480 ancien chemin de M jannes 30100 ALES e C C A 13 bld des C vennes 30120 LE VIGAN e HERAULT e SMN 351 Rue de la Castelle 34070 MONTPELLIER cedex e SEDIM 3 avenue des Compagnons 34170 CASTELNAU LE LEZ Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax 04 68 69 20 30 04 68 69 31 40 04 68 41 17 17 04 68 41 05 25 04 68 25 73 83 04 68 72 04 20 04 66 23 90 00 04 66 23 98 70 04 66 53 73 23 04 66 75 38 90 04 66 75 14 83 04 66 80 99 15 04 66 77 7675 04 66 68 90 60 04 66 64 37 65 04 66 87 48 38 04 66 87 77 88 04 66 86 01 40 04 66 30 22 81 04 66 86 46 92 04 66 30 01 42 04 67 81 17 72 04 67 27 20 21 04 67 42 67 10 04 67 79 77 05 04 67 02 04 82 e SOGEA Sud Ouest 381 Avenue du Mas d Areler BP 3529 34966 MONTPELLIER cedex 2 e VALOR Le Tertiel Route de Lav rune 113 Quai Jean P ridier 34070 MONTPELLIER 04 67 69 72 00 Fax 04 67 69 72 99 04 67 69 02 70 Fax 04 67 69 01 21 e LOZERE e SVE 04 66 49 23 75 Le Meylet 48000 MENDE Fax 04 66 49 07 64 e S D E E 04 66 65 35 01 12 Bld Henri Bourillon e PYRENEES ORIENTALES e STAN Chemin de Mailloles 66000 PERPIGNAN Fax 04 66 49 11 19 04 68 85 47 14 Fax 04 68 56 53 84 H FABRICANTS DE CONTEN
98. 5 9 65 25 0 j 3 __ 15 85 5 66 2j 27 22 95 _ 75 _ 3 85 85 45 _ 20 4 90 _ 90 75 2 30 tab 9 Objectifs minimaux de valorisation mati re exprim s en pourcentages pour chaque secteur et par cat gorie de mat riaux extrait base de donn es lt Objectifs gt Page 52 LES OBJECTIFS MINIMAUX DE VALORISATION ORGANIQUE ORDURES MENAGERES AUTRES DECHETS BOUES OBJECTIF GLOBAL MENAGERS SECTEUR Ann e Papers Canons From _ D chesvets f O OO O OO O O O OO 205 O o S 2 r 2 0 sj 6 9 M 22 2 O s 7 j M 25 x 007 2 O 80 9 t 2 PicetEtang 205 O s 2 2 O sj G 9 A 23 2 O s 70 A 244 RETIRE Montpellier 205 20 o Z o 6 24 x 200 2 2 G 24 2 2 7 24 2 2 7 80 5 T 22 0 2 6 M 254 2 O j A 25 2 2 7 0 9 w 264 G j M 26 2 2 7 j M 26 x 22 2 8 j m 2010 20 20 15 80 25 17 26 2015 26 BEE 2005 x i foo 2 O j G 6 22 x ES 2 O 5 O 23 x 097 2 O G GO f 24 Cantons 2005 gt O 4 5 a x CS 2 0 o 1 x os 2 0 5 o 2 x 2097 2 O G O 9 L 2 Minervois 2005 2 O 5 5 V 25 x foo 2 0 o 24 x ES 2 O s O 25
99. 5 4 LES COLLECTIVIT S AYANT CONTRACT AVEC 59 6 1 BILAN DES MATI RES ORGANIQUES VALORISABLES SUR LE D PARTEMENT DE L H RAULT 61 6 2 EXISTANT D PARTEMENTAL EN MATI RE DE COLLECTE ET DE TRAITEMENT DE LA MATI RE ORGANIQUE 61 6 3 SYNTH SE DE LA R GLEMENTATION APPLICABLE EN MATI RE DE TRANSFORMATION ET DE VALORISATION DES EU 62 6 4 TECHNIQUES DE TRAITEMENT DES PRODUITS ORGANIQUES DANS L OPTIQUE D UNE VALORISATION 63 6 4 T Procede par aeration Naturelle u aqa aaa Mi tie 63 Procede par Oral On EE 64 5 FILI RES DE VALORISATION ORGANIQUE a 65 5 1 Fili res envisageables et existant d partemental 65 6 QU EST CE QU UN COMPOST COMMENT L APPR CIER na 66 0 06 de Deimona EE EE EE 66 6 6 2 Caract ristiques physiques d un compost ane qe tie AN A nn 66 6 6 3 Caract ristiques analytiques d un COMPOSL AR NN ER ss nu RS 67 6 6 EXIGENCES TECHNICO CONOMIQUE ET ENVIRONNEMENTALE DES FILI RES D UTILISATION DES PRODUITS 70 657 SNA Et et nt en ed nie ads 71 6 7 1 Capacit s de traitement requises par secteur siens 71 2 ACHONS EE 71 7 D CHETS INDUSTRIELS BANALS ET D CHETS DU B T P CONTRIBUTION CHAMBRE DES L HE
100. 84100 ORANGE e HERAULT ACTISOL 34570 PIGNAN 04 66 75 38 90 Fax 04 66 75 14 83 04 90 34 04 37 Fax 04 90 51 78 22 04 67 47 89 00 Fax 04 67 47 89 89 Collecteurs R cup rateurs Trieurs Conditionneurs de d chets en Languedoc Roussillon liste non exhaustive ADEME Languedoc Roussillon Juin1999 2 4 H AUILES MOTEURS ET INDUSTRIELLES USAGEES Callecteurs agr s par les Pr fectures e AUDE SOCODELI 2 1 L Estagnol 11 Rue Nicolas Cugnot 11000 CARCASSONNE Fax 04 68 72 50 60 04 68 72 67 79 e Soci t de Ramassage pour R g n ration des Huiles Usag es SRRHU 6 Impasse Jean Mermoz ZAC du Terroir 31140 ST ALBAN e Soci t Bitterroise de Ramassage HENRI Avenue Voie Domitienne 34500 BEZIERS e GARD e Soci t CHAUVEAU 16 Rue Alphonse de Seynes 30900 NIMES e Zl des Entreprises de CFR 13200CHATEAUNEUF LES MARTIGUES e SOCODELI Z I L Estagnol 11 Rue Nicolas Cugnot 11000 CARCASSONNE e Soci t CULARD 360 Enclos des Gabians 34280 CARNON e Soci t de Ramassage pour R g n ration des Huiles Usag es SRRHU Fax 05 61 35 80 62 6 Impasse Jean Mermoz ZAC du Terroir 31140 ST ALBAN e HERAULT e Soci t CULARD Enclos des Gabians 34280 CARNON e Soci t Bitterroise de Ramassage HENRI Avenue Voie Domitienne 34500 BEZIERS e Soci t CHAUVEAU 16 Rue Alphonse de Seynes 30900 NIMES e SOCODELI Z I L Estagnol 11 Rue Nicolas Cugnot 11000 CARCA
101. AISE 24 novembre 1996 page 17138 D cret n 96 1008 du 18 novembre 1996 Relatif aux plans d limination des d chets m nagers et assimil s Le Premier ministre Sur le rapport du ministre de l environnement Vu le r glement n 259 93 du Conseil des Communaut s europ ennes du ler f vrier 1993 concernant la surveillance et le contr le des transferts de d chets l entr e et la sortie de la Communaut europ enne Vu la directive n 75 442 du Conseil des Communaut s europ ennes du 15 juillet 1975 relative aux d chets modifi e par la directive n 91 156 du 18 mars 1991 notamment ses articles 5 et 7 Vu la directive n 94 62 du Parlement europ en et du Conseil des Communaut s europ ennes du 20 d cembre 1994 relative aux emballages et aux d chets d emballages notamment son article 14 Vu le code g n ral des collectivit s territoriales notamment ses articles L 2224 13 L 3211 1 L 3221 1 et suivants L 5213 1 L 5213 15 L 5214 1 L 5214 16 L 5214 22 L 5215 L 5216 1 et L 5216 16 Vu le code de l expropriation pour cause d utilit publique Vu la loi n 75 633 du 15 juillet 1975 relative l limination des d chets et la r cup ration des mat riaux modifi e et compl t e notamment par la loi n 92 646 du 13 juillet 1992 et par la loi n 95 101 du 2 f vrier 1995 et sp cialement ses articles 10 2 et 10 3 Vu la loi n 75 663 du 19 juillet 1976 modifi e relative aux instal
102. D chetterie Encombrants Gravats D chets verts Bois Plastiques M taux Pneus Papiers Cartons souples Les quantit s r ellement valoris es valorisations mati re organique nerg tique ne sont pas connues tant donn que chaque d chetterie poss de ses propres fili res de valorisation et d limination Une grille de saisie permet de rentrer les diff rentes donn es Elle appara t en appuyant sur le bouton grille d chetterie la programmation de la macrocommande correspondante se trouve sur la feuille Module 2 2 3 3 Les feuilles descriptives des unit s sectorielles Dans ces feuilles ne sont r pertori es que les caract ristiques des unit s de traitement sectorielles amen es perdurer e centre de tri dans la feuille U tri e unit de traitement incin ration compostage tri compostage dans la feuille U trait e centre de stockage des d chets ultimes CSDU dans la feuille U stock Les d charges brutes et les unit s d incin ration devant fermer ne sont pas r pertori es Tout comme la feuille d chetterie les donn es sont r pertori es au niveau de la commune d implantation Ces unit s sont identifi es par des codes qui sont conserv s dans la base de donn es objectifs Outre la capacit des unit s ces feuilles recensent des informations fournies dans les tudes de zone ou par les ma tres d uvre un moment donn quantit s entrantes
103. DU TRAITEMENT DES D CHETS M NAGERS 97 a 97 DES KEE 97 11 2 EFFETS DU TRAITEMENT DES D CHETS SUR LA SANT 98 11 3 EFFETS DU PLAN D PARTEMENTAL SUR LA SANTE geed Eed 100 ERCON TU TON uy eee en Den a ne De te D en 100 ANNEXE 1 ANNEXE 2 ANNEXE 3 ANNEXE 4 ANNEXE 5 ANNEXE 6 ANNEXE 7 ANNEXE 8 ANNEXE 9 ANNEXE 10 ANNEXE 11 ANNEXES D cret du 96 1008 relatif aux plans d partementaux d limination des d chets m nagers et assimil s Analyse ADEME du plan d partemental initial Liste des collectivit s comp tence d chets Synth se des tudes de fili res et de zones PHASE 1 tude GIRUS 11 99 Mode d emploi bases de donn es lt Objectifs gt et lt Bilan gt PHASE tude GIRUS 1 00 Quantification des Ordures M nag res strictes PHASE 2 tude GIRUS 11 99 Quantification et caract risation des d chets des populations touristiques PHASE 2 tude GIRUS 11 99 annexes concernant les D chets Industriels Banals annexes concernant la Valorisation Organique Liste des collecteurs recycleurs trieurs et conditionneurs de la r gion source ADEME Production et objectifs de valorisation des emballages m nagers ANNEXE 1 DECRET 96 1008 RELATIF AUX PLANS D PARTEMENTAUX D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANC
104. E 11 2 3 ZONE CENTRE SUD ME 21 2 erleben e RE 27 3 DESTINATIONS ACTUELLES DES 29 3 1 DESTINATIONS ACTUELLES DES ORDURES MENAGERES 29 3 2 DESTINATIONS ACTUELLES DES AUTRES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES 31 3 3 BILAN SUR LES EQUIPEMENTS cccccccccceccecaccccaaccenaccenaaceanaccenancnanaccnuancua 33 4 SYNTHESE EE 35 4 1 LES ORDURES MENAGERES COLLECTEES EN PORTE A PORTE 1 35 4 2 LES DECHETS FAISANT L OBJET D UNE COLLECTE SELECTIVE OU SEPARATIVE 36 4 3 LES DECHETS MENAGERS AUTRES QUE LES ORDURES MENAGERES 37 4 4 LES DECHETS DES PROFESSIONNELS 38 CONCLUSION 38 Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 2 GIRUS SA CP f vrier 2000 INTRODUCTION La r vision du Plan le bon dimensionnement et l acceptation des quipements par les populations n cessitent la connaissance des gisements de d chets et de leur volution ainsi que la prise en compte des responsabilit s partag es entre les diff rents types de producteurs Cette tude a pour objet de donner une image synth tique en terme de chiffres du gisement de d chets dans l H rault Elle s appuie sur des donn es bibliographiques Les chiffres ainsi obtenus seront pr sent s sous forme d une base de donn es lors de la troisi me ph
105. EMENT EN MATI RE DE D CHETS EXTRAIT DE GESTION DU SERVICE PUBLIC DES D CHETS CGGREF MISSION D APPUI TECHNIQUE AUX SERVICES D CONCENTRES VERSION 2 DU 0 UE 18 Jok EE 18 E 19 ILS LEJMMinoement EE 19 onn mi ua ee ee 19 3 1 5 Les deux niveaux EE 20 3 1 6 Les cons quences de la cr ation d une nouvelle communaut de communes CC d agglom ration CA EE 21 EE 23 3 2 COLLECTIVIT S INTERCOMMUNALES COMP TENCE COLLECTE DES D CHETS M NAGERS 24 3 3 COLLECTIVIT S INTERCOMMUNALES COMP TENCE TRAITEMENT DES D CHETS M NAGERS 24 3 4 HISTORIQUE DU D COUPAGE EN ZONES E 25 JES E ZONAGE DANS LE PLAN REV EE 26 3 2 FLUX DE D CHETS ENTRE ZONES dee 30 3 3 17 Restes concernant les d chets MUM CIP aux ne 30 LES FLUXINTERD PARTEMENT AUX Z a u uu u L A st ala ass ER 4 LES FILIERES DE TRAITEMENT DES D CHETS M NAGERS ET ASSIMIL S DECOUPAGE EN SECTEURS EE 33 4 1 LES FILI RES DE TRAITEMENT SELON LE PREMIER PLAN DE Idee 33 4 2 BILAN ACTUEL SYNTH SE DES TUDES DE FILI RES ET DE ZONES cocrescssnesoesernessss 34 4 2 1 Etudes de fili res et de zones r alis es depuis l approbation du premier Plan de 1996 34 4 2 2 M thodologie pour l exploitation de ces tudes 35 4 2 3 Gisement actuel de d chets m nagers et assimil s dans le d partement ucccee
106. EURS ET DE MATERIELS CONCERNANT LES DECHETS m LangetcRasllm liste non exhaustive e Fabricants de conteneurs e conteneurs m talliques huiles usag es papier verre 2 1 04 67 73 00 00 34190 04 67 73 50 97 e conteneurs collecte s lective verre plastiques m tal Cap Alpha 04 67 59 30 49 34830 CLAPIERS Fax 04 67 59 30 10 e BRAIN Technologie Parc de la Rosi re n 261 2153 rte de Mende 34090 MONTPELLIER T l Fax 04 67 54 05 90 Portable 06 61 11 05 90 e Fabricants de bennes pour d chetteries e ACIT 04 67 73 00 00 2 1 34190 GANGES Fax 04 67 73 50 97 e CEVENNES PRODUCTIONS 04 66 34 02 09 21 TRESCOL Fax 04 66 54 88 43 30110 LA GRAND COMBE e ENTREPRISE DIAZ Chemin du Plan 30650 ROCHEFORT DU GARD e D chetteries m talliques e INNOVERT Avenue de l Europe 34940 MONTPELLIER CEDEX 9 04 90 26 62 31 Fax 04 90 26 62 39 04 67 59 30 11 Fax 04 67 59 30 10 Contacts la D l gation R gionale de l ADEME ARGUILLAT Marc D chets Industriels Banals DIB R habilitation des sites pollu s CHEYLAN Martine Transports GUILLOT Fr d ric D chets m nagers et assimil s Gard Loz re H rault PSCHERER Hubert Communication Sensibilisation VIGNAUD Pierre D chets m nagers et assimil s Aude Pyr Orientales D chets du b timent R habiltation de d charges Collecteurs R cup rateurs Trieurs Conditionneurs de d chet
107. Ens rune E 25 SIVOM du Saint Ponais nau CA 8 CC Vall e de l H rault 27 CC de la Montagne du Haut 1 10 SICTOM de la Haute Vall e de l Orb Languedoc H raultais EI 13 SI de Ligan Corneilhan 32 SI Cesse et Brian D 14 SICTOM du Lod vois EI 33 CC Orb Jaur EI 16 SICOM de Magalas Puissalicon EM 34 SICTOM de St Gervais St Etienne E 17 SIVOM du Marcory E 38 CC du Saint Chinianais E 18 SICTOM des Six EM 43 CC de Faug res gt Y 20 SICTOM de la R gion de P zenas SICTOM de Cornus Aveyron lt SAINT MAURICE NAVACELLES 1 1 VE 4 AS DE DA LA LONDRES KINT MATHIEU as HERVE CAZ MLARQUES I D vi VIOLS EN LAVAL CAUSSE DE LA SELLE SAINT THIBERY o d apr s ye ms BEZIERS Z O lt lt O O T gt 412 rr lt Z gt U TI O Z gt r U C U PREMIERE REVISION DU PLAN DEPARTEMENTAL D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES DE L HERAULT DOCUMENT PRINCIPAL Mars 2002 SOMMAIRE INTRODUCTION ee 5 1 RAPPEL PREMIER PLAN D PARTEMENTAL DE L HERAULI L 6 TS PRESENTATION CENER Se 6 1 2 QUELQUES POINTS FORTS DUPLAN DE 1996 rire ennemie i u Guys nent on 6 1 3 PRINCIPALES VOLUTIONS OBSERV ES DEPUIS L APPROBATION DU PLAN 7 bork Lastur hon deS Collec HV STOCU sers R
108. Etude globale de gestion et de traitement des d chets m nagers et assimil s synth se de la phase 3 Orientations G O CONSEIL Environnement mars 1999 gt Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Sch ma Directeur de gestion des d chets de la Zone Ouest de l H rault G O CONSEIL Environnement juin 1999 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Les ordures sont pes es leur arriv e l usine d incin ration de P zenas Le tonnage est de 14 455 T an soit 345 kg hab an Ce ratio est assez raisonnable si on consid re qu il contient la part de D I B et d ordures m nag res produites par les touristes Les tonnages par commune sont obtenues partir de donn es ponctuelles Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 14 GIRUS SA CP f vrier 2000 Le centre ville de P zenas affiche un ratio sup rieur la moyenne syndicale et qui s l ve 470 kg hab an Cette augmentation peut tre justifi e par le caract re attractif du centre tourisme Les collectes s lectives La collecte s lective du verre est r alis e sur l ensemble du syndicat Le taux de r cup ration moyen pour l ensemble du syndicat est de 13 6 kg hab an La collecte s l
109. FLUXINTERD PARTEMENT AUX Z a u uu u L A st ala ass ER 4 LES FILIERES DE TRAITEMENT DES D CHETS M NAGERS ET ASSIMIL S DECOUPAGE EN SECTEURS EE 33 4 1 LES FILI RES DE TRAITEMENT SELON LE PREMIER PLAN DE Idee 33 4 2 BILAN ACTUEL SYNTH SE DES TUDES DE FILI RES ET DE ZONES cocrescssnesoesernessss 34 4 2 1 Etudes de fili res et de zones r alis es depuis l approbation du premier Plan de 1996 34 4 2 2 M thodologie pour l exploitation de ces tudes 35 4 2 3 Gisement actuel de d chets m nagers et assimil s dans le d partement uccceeeeaean 35 4 2 3 La valorisation des d chets apr s trois ans d application du plan quels r sultats 36 4 3 3 Les capacit s de traitement et de stockage dans le d partement apr s trois ans d application du plan DOTE A LOUIS 36 4 3 LES NOUVELLES FILI RES DE TRAITEMENT NOUVELLE D FINITION DU D CHET ULTIME 40 4 4 LES NOUVEAUX OBJECTIFS DE VALORISATION DES D CHETS MUNICIPAUX nsc 45 E E e 45 4 4 2 Objectifs de valorisation D chets Municipaux DIB 50 5 EMBALLAGES M NAGERS manne aan 58 D A LE CONTE T E nn ton 58 5 2 LA PRODUCTION DE D CHETS D EMBALLAGES M NAGERS a a 58 ALES OBIEC REENEN LE EE EE 59
110. ITE TITULAIRE DATE DE NBREDE POPULATION SOUS SIGNATURE COMMUNES CONTRAT RECENS 1999 SIVOM DE LA MER ET DES ETANGS 04 12 1998 6 67795hab SITOM DU LITTORAL 20 12 1995 6 17 366 hab SIVOM DU PIC SAINT LOUP 14 09 1998 16 19 703 hab 18 176 hab 28 430 hab 38 992 hab SIVOM DE LA VALLEE DU LIBRON 02 11 1998 4 C du Pays de Lunel C CEPS ET SYLVES 30 09 1999 5 001 hab 37 989 hab 11 109 hab IVOM ENTRE VENE ET MOSSON 26 253 hab ICOM de MAGALAS PUISSALICON 2 759 hab C Montagne du Haut Languedoc 1 390 hab C C Orb Jaur 08 11 1999 3 012 hab C C Seranne Pic Saint Loup 03 11 2000 4 275 hab Ville de MARSEILLAN 06 11 2000 6 199 hab TOTAL JL 1 6 702 193 hab tab 13 contractualisation Eco Emballages tat avril 2001 11 1998 9 11 09 OMMUNAUTE COMMUNES DU FAUGERES 18 02 2000 1 783 hab 071999 8 10 Page 59 6 ALORISATION ORGANIQUE CONTRIBUTION CHAMBRE D AGRICULTURE DE L HERAULT La valorisation organique tient aujourd hui une place importante dans les objectifs nationaux de recyclage la circulaire du 28 4 98 dite circulaire Voynet d finit que la moiti au moins des d chets municipaux relevant de la responsabilit des collectivit s soit collect e en vue d une valorisation mati re et organique Aussi les fili res de valorisation organique sont multiples e Compostage et utilisation agricole ou rev g talisation d espaces naturels et es
111. LANGUEDOC 30310 VERGEZE e Verre R emploi en l tat apr s lavage MIDI RECYCLAGE 04 66 87 62 00 Fax 04 66 35 30 62 04 67 43 72 71 2 1 M ze Fax 04 67 43 72 47 34140 MEZE e Verre Collecteurs trieurs r cup rateurs e AUDE e Association LE PARCHEMIN 2 1 Le Flassian 11300 LIMOUX e Association LE MARCHEPIED 49 Rue Alsace Lorraine 11200 LEZIGNAN CORBIERES 04 68 31 49 25 04 68 27 41 74 Fax 04 68 27 47 17 e GARD e SOLOVER 04 66 73 78 95 ZA Coudourel Fax 04 66 73 78 96 30920 CODOGNAN e VERRERIE DU LANGUEDOC 04 66 87 62 00 30310 VERGEZE Fax 04 66 35 30 62 H METAUX ET BATTERIES Contacts ferrailleurs locaux et ou associations locales concern es En plus METALEUROP batteries 04 74 02 30 78 H ELECTROMENAGER e AUDE e Association LE PARCHEMIN 2 1 de Flassian 11300 LIMOUX e Association LE MARCHEPIED 49 Rue Alsace Lorraine 11200 LEZIGNAN CORBIERES 04 68 31 49 25 04 68 27 41 74 Fax 04 68 27 47 17 GARD e ENVIE GARD 04 66 04 06 91 143 chemin du mas de Cheylon Fax 04 66 04 06 90 30900 NIMES e ASSOCIATION LA CLEDE 04 66 86 52 67 14 rue Montbounoux Fax 04 66 78 60 38 30100 ALES H PLATEFORMES DE de d chets v g taux di ou de boues AUDE e STAN 04 68 41 17 17 Z La Coupe Fax 04 68 41 05 25 Rue Antoine Becquerel 11100 NARBONNE e GARD e COGEDE Route de Poulx Candelon 30320 MARGUERITTES e TRANSIT TRAITEMENT COMPOST Le Coudoulet Ouest
112. Le principal frein la cr ation de tels sites par les professionnels est leur manque de rentabilit frais de gardiennage et de r galage L implication des collectivit s locales et des syndicats intercommunaux est donc n cessaire On devrait trouver un lieu de traitement de d chets inertes moins d une demi heure ou 25 Km de tout point du d partement e Chaque collectivit comp tence d chets doit rechercher sur son p rim tre une fili re d limination publique ou priv e pour les d chets inertes afin de satisfaire aux objectifs de proximit d finis ci dessus e convient d associer autant que possible des des d chetteries afin de r duire les frais de gardiennage et de transports Page 80 7 3 4 2 Aspects techniques Un Centre d Enfouissement Technique de classe 3 ou CET3 est un lieu gardienn et cl tur au sein duquel il est possible de stocker certains d chets issus des activit s du BTP Pour cr er ces quipements un minimum d am nagements est n cessaire foss de d tournement des eaux cl ture p riph rique local de gardiennage aire de d chargement pour d chets douteux bennes pour DIB DIS ferraille Selon l article R442 2 C du code de l urbanisme c est le maire qui est comp tent pour autoriser la cr ation d un CET3 si sa commune est munie d un POS approuv la DDE assurant le contr le de l galit En l absence de POS ce sont les services de l Etat qui donnent l a
113. P Janvier 2000 3 3 5 Description des feuilles de sortie Il existe deux feuilles de sortie La feuille SORTIEob j Les pages suivantes pr sentent les trois pages de sortie qui permettent d obtenir pour une ann e et un secteur ou une zone donn la population s dentaire et saisonni re le gisement par cat gorie de d chets globale ou en d tail les objectifs de valorisation mati re organique et nerg tique par cat gorie de d chets globale ou en d tail les quantit s r siduelles destin es en CSDU par cat gorie de d chets globale ou en d tail La feuille SORTIEunit s Cette feuille permet d obtenir pour un secteur ou une zone donn un recensement des unit s pr sente sur ce territoire ainsi que ses caract ristiques tonnage entrant tonnage valoris tonnage de refus Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 24 GIRUS SA CP Janvier 2000 Zone Secteur Ann e Zone de saisie servant de zone de j crit re pour les calculs suivants Bilan des donn es estim es Zones de calcul faisant r f rence la feuille Population globale quivalent habitants dont habitants s dentaires quivalent habitants saisonniers Gisement pris en compte Ordures m nag res T D chets m nagers T Zones de calcul faisant Boues d puration T r f rence la feuille GIS D chets industriels banals T Zone
114. RAULT 73 Z 1 PRODUCTION DE DIB DEER 74 Z T E 74 7 1 2 Estimation de part de DIB compris dans les Ordures M nag res OM 74 142 COELECTE E KC EDES D T E 74 Za 218 L acces E 74 7 22 ha Vdlorisation etilestockaee des DIR 75 ZS D CHETS DU BATIMENT ET TRAVAUX PUBLICS EE 77 7 3 1 Estimation de la production de d chets du B timent et Travaux Publics T7 7 3 2 Sch ma et Plan de gestion des d chets du BTP u a Rene 78 7 3 3 EEN sean tennis 78 7 3 4 Le d veloppement des Centres d Enfouissement Techniques de classe 3 80 8 D CHETS TOXIQUES CONTRIBUTION CHAMBRE DES M TIERS DE L H RAULT ADEME CATERER EEN 82 V NATURE DE S DO EOD GE 82 o T E 82 ds de D T O E 83 2 DIFFICULT S SP CIFIQUES EE 84 EE 84 EE EE 84 85 3 ELIMINATION DES D TO E E 85 8 amp 3 de PDifeultes EE 85 d 25 uu nm 86 b 86 EXISTANTE ee EE 88 EE EEN 88 4 2 Les m dicaments non utilis s et leurs emballages 89 S 4 3 PEs ebtacc um atents u IR ed 89 8 4 4 Reprise des d chets par le iii 89 9 ANALYSE CONOMIQUIE
115. RHU St Alban Haute Garonne et Baillargues H rault Page 88 8 4 2 Les m dicaments non utilis s et leurs emballages CYCLAMED organisme national agr la Ministre de l Am nagement du Territoire et de l Environnement la charge de la collecte des emballages des m dicaments quel que soit leur nature carton verre plastique des m dicaments non utilis s ou p rim s Cette collecte s effectue par l interm diaire des officines de pharmacie o sont regroup s les d chets de cette origine Apr s tri les m dicaments non p rim s sont utilis s dans le cadre d op rations caritatives les emballages sont valoris s en incin ration avec r cup ration d nergie 8 4 3 Piles et accumulateurs usag s La directive 91 157 CEE introduit en droit national par le d cret du 30 d cembre 1997 impose la collecte s par e et le traitement des piles contenant du mercure et des accumulateurs nickel cadmium et au plomb Afin de respecter la r glementation les producteurs importateurs et les fabricants d appareils lectroportatifs se r unissent en associations pour proposer des fili res de collecte et traitement Ces associations mettront la disposition des commer ants des conteneurs sp cifiques et organiseront la collecte et le traitement de toutes les piles et accumulateurs Le co t de la fili re sera r percut sur le prix de vente des piles 8 4 4 Reprise des d chets par le fourni
116. RIP 14 2 4 4 Groupe de travail Production de d chets statistiques 7 14 2 4 5 Groupe de travail Valorisation organique 15 2 4 6 Groupe de travail Analyse EE 15 2 4 7 Groupe de travail R duction des d chets la source A deg 2 5 LES TAPES ADMINISTRATIVES DE LA R VISION 16 3 STRUCTURATION ADMINISTRATIVE DU DEPARTEMENT D COUPAGE EN ZONES 18 3 1 NOTE PR LIMINAIRE L APPLICATION DE LA LOI CHEV NEMENT EN MATI RE DE D CHETS EXTRAIT DE GESTION DU SERVICE PUBLIC DES D CHETS CGGREF MISSION D APPUI TECHNIQUE AUX SERVICES D CONCENTRES VERSION 2 DU 0 UE 18 Jok EE 18 E 19 ILS LEJMMinoement EE 19 onn mi ua ee ee 19 3 1 5 Les deux niveaux EE 20 3 1 6 Les cons quences de la cr ation d une nouvelle communaut de communes CC d agglom ration CA EE 21 EE 23 3 2 COLLECTIVIT S INTERCOMMUNALES COMP TENCE COLLECTE DES D CHETS M NAGERS 24 3 3 COLLECTIVIT S INTERCOMMUNALES COMP TENCE TRAITEMENT DES D CHETS M NAGERS 24 3 4 HISTORIQUE DU D COUPAGE EN ZONES E 25 JES E ZONAGE DANS LE PLAN REV EE 26 3 2 FLUX DE D CHETS ENTRE ZONES dee 30 3 3 17 Restes concernant les d chets MUM CIP aux ne 30 LES
117. SSONNE e Soci t de Ramassage pour R g n ration des Huiles Usag es SRRHU 6 Impasse Jean Mermoz ZAC du Terroir 31140 ST ALBAN e LOZERE e CABIRON et Fils SARL Avenue du Lot 48500 BANASSAC e PYRENEES ORIENTALES e Soci t Bitterroise de Ramassage HENRI Avenue Voie Domitienne 34500 BEZIERS SOCODELI 2 1 L Estagnol 11 Rue Nicolas Cugnot 11000 CARCASSONNE e Soci t de Ramassage pour R g n ration des Huiles Usag es SRRHU 6 Impasse Jean Mermoz ZAC du Terroir 31140 ST ALBAN Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax Fax 05 61 35 80 56 05 61 35 80 62 04 67 76 13 19 04 67 62 29 72 04 66 64 37 37 04 66 62 95 50 04 42 81 02 02 04 42 81 08 70 04 68 72 50 60 04 68 72 67 79 04 67 68 14 81 04 67 47 06 80 05 61 35 80 56 04 67 68 14 81 04 67 47 06 80 04 67 76 13 19 04 67 62 29 72 04 66 64 37 37 04 66 62 95 50 04 68 72 50 60 04 68 72 67 79 05 61 35 80 56 05 61 35 80 62 04 66 32 83 30 04 66 32 93 67 04 67 76 13 19 04 67 62 29 72 04 68 72 50 60 04 68 72 67 79 05 61 35 80 56 05 61 35 80 62 H DE FRITURE Collecteur conventionn par l ADEME Languedoc Rousillon SUD RECUPERATION 23 avenue des chutes Lavie 13004 MARSEILLE Fax 04 91 08 99 99 04 91 50 38 01 H DECHETS MENAGERS SPECIAUX O MS ET DECHETS INDUSTRIELS SPECIAUX 01 5 Callecteurs
118. St Bauzille de Putois EI Usine de compostage de Clermont CET autoris s ext rieurs au d partement CET de Soumont ES CET de La Fare les Oliviers 13 Incin ration CT CET de Bessi res 31 incn ration Lunel Viel LECQUES L Incin ration S te BRISSAC D charges autoris es non exploit es EC D charge de Rosis Castanet EM D charge de Graissessac Autre D charges non autoris es et_non contr l es Stockage provisoire Agde L D charge du Roc Saint Pons EM D charge de St Jean de Minervois LE DESERT EM D charge de La Valette Av ne EM D charge d Olargues PUECHABON CAMBON ET SALVERGUES LA SALVETAT SUR AGOUT FRAISSE SUR AGOUT Usine d incin ration Centre de stockage 3 Usine de compostage Centre de tri D charge brute i AY BAS PLAGE Collectivit s ayant comp tence en mati re de traitement des ordures m nag res sur le d partement de ZONE EST G a rd DI 6 du Bassin de Thau E 19 CC Nord Bassin de Thau l H rault mise jour Janvier 2003 D 31 de Montpellier EM 42 Syndicat mixte entre pic et tang ZONE OUEST CA H rault M diterran e EM 4 SIVOM d Ens rune EMI 27 CC de la Montagne du Haut Languedoc EZ 10 SICTOM de la Haute vall e de l Orb E 32 _ SI cesse et Brian L 13 SI de Ligan Corneilhan E 33 cc Orb Jaur E 17 SIVOM du Marcory E 37 SI
119. V W Nn ENFOUIS S EMENT 1 8001 V v Z N rs CIO 7 V Stabilisation organique Refus 50 Incin ration 54 400 t HEFERS REFIOM VALORISES 16 300 t MAC nertes vaior isables SECTEUR de MONTPELLIER 233 00 108800177 825001 D chets inertes et Valorisation mati re et Toxiques et Valorisation organique verre papier carton DMS FFOM D chets verts L plastiques m taux etc Plate forme Traitement Compostage C E T A sp cifique FFOM qe Refus MATERIAUX les FILI RES RETOUR 93 300 t 23 15 IETS M 35 500 t TS A s 2 d JA N 01 N Se 28 0001 Valorisation organique Compostage d chets verts boues D 7 nn as F H C e gt ENFO UIS S EMENT TOTAL INCINERATION 68 400 t soit 29 61 200 t incin ration 14 000 t Refus saD vaIorIsS ee SECTEUR PISCENOIS ECHETS MUNICIPAUX 26 900 t ZE H sss 9 aooi 4 0001 9 500 14001 9 CHE HEET UJ K Se FT Z gt J A D nr a pes EN ollecte et sl RE et D chets r siduels ra D chets non volorisoc GE be Valorisation mati re et Toxiques et Valorisation organique Valorisation organique Refus verre papier
120. Z O lt lt O O T gt 412 rr lt Z gt U TI O Z gt r U C U PREMIERE REVISION DU PLAN DEPARTEMENTAL D ELIMINATION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES DE L HERAULT DOCUMENT PRINCIPAL Mars 2002 SOMMAIRE INTRODUCTION ee 5 1 RAPPEL PREMIER PLAN D PARTEMENTAL DE L HERAULI L 6 TS PRESENTATION CENER Se 6 1 2 QUELQUES POINTS FORTS DUPLAN DE 1996 rire ennemie i u Guys nent on 6 1 3 PRINCIPALES VOLUTIONS OBSERV ES DEPUIS L APPROBATION DU PLAN 7 bork Lastur hon deS Collec HV STOCU sers Rene ala kuka 7 1 3 2 La r habilitation des d charges sauvages strat gie mise en oeuvre 8 1 3 3 Les nouvelles installations de traitement des d chets m nagers et assimil s depuis l approbation du Ee 9 kost FIX Ot iela K he unu naa 10 2 CONTEXTE ADMINISTRATIF ET R GLEMENTAIRE DE LA R VISION DU PLAN 11 2 1 D CRET RELATIF AUX PLANS D LIMINATION DES D CHETS M NAGERS ET ASSIMIL S 11 2 27 CIRCULAIRE DU 28 AVRIL E 12 23 ANALYSEAADEME DU PLAN H RAULT E 13 2 4 STRUCTURATION DU TRAVAIL DE R VISION eege 13 Zad EE 13 2 4 2 Groupe de travail Etudes de fili res et de zones 14 2 4 3 Groupe de travail D L B D chets toxiques D chets du
121. a production de d chets m nagers et assimil s y compris pour pr venir la production de d chets d emballages doni les d tenteurs finaux sont les m nages et pour promouvoir le cas ch ant la r utilisation de ces d chets b Un inventaire prospectif tabli sur cinq et dix ans des quantit s de d chets liminer selon leur nature et leur origine c La fixation pour les diverses cat gories de d chets qu ils d finissent des proportions de d chets qui doivent tre terme de cinq ans d une part et terme de dix ans d autre part soit valoris s par r emploi recyclage obtention de mati res r utilisables ou d nergie soit incin r s sans r cup ration d nergie ou d truits par tout autre moyen ne conduisant pas une valorisation soit stock s d L num ration des solutions retenues pour l limination de d chets d emballages et l indication des diverses mesures prendre afin que les objectifs nationaux concernant la valorisation des d chets d emballages et le recyclage des mat riaux d emballages soient respect s au 30 juin 2001 valorisation de 50 p 100 au minimum et 65 p 100 au maximum en poids des d chets d emballages recyclage de 25 p 100 au minimum et 45 p 100 au maximum en poids de l ensemble des mat riaux d emballages entrant dans les d chets d emballages avec un minimum de 15 p 100 en poids pour chaque mat riau d emballages e Le recensement des installations d liminati
122. achant que d autres crit res entrent en ligne de compte notamment e l acc s un type de transport proximit o non d un axe ferroviaire d une voie d eau ou d un axe routier e le conditionnement des d chets et leur utilisation post rieure au transport le compactage n est pas toujours souhaitable surtout lorsqu un tri doit tre effectu en aval la fr quence des exp ditions les tonnages concern s les distances parcourues la r gularit du service attendue les d lais de transports la dur e du contrat convient toutefois de se m fier des a priori un transport par rail ou voie d eau peut concerner des faibles distances ou des tonnages peu importants des r f rences de VNF et ECORAIL en t moignent Compte tenu des enjeux conomiques et environnementaux importants il est fortement recommand que l ensemble des trois modes de transports d clin s ci dessus soient syst matiquement pris en compte sur les plans technique et conomique dans la conception d un transfert de d chets ou l implantation d un site de traitement ou de stockage nouveau Des approches conomiques autour du transport alternatif la route ont t labor es dans le cadre des travaux de r vision du Plan D partemental Les prestataires VNF et ECORAIL filiale SNCF ont t interrog s ce sujet Page 93 1 0 cu DES DECHETS A LA SOURCE 10 1 ES enjeux Inscrit l article premier loi n 92 646 du 13 Juillet
123. ailles norme NF U 44 051 cailloux etc tab 17 caract ristiques physiques d un compost 6 6 3 Caract ristiques analytiques d un compost II s agit des caract ristiques chimiques du produit Nt P205 CaO MgO teneurs en l ments majeurs et alcalins des caract ristiques organiques du produit MO mati res organiques de la mati re s che rapport C N acides humiques MS acides fulviques MS de la fr quence des analyses r alis es et des r f rences du laboratoire utilis Page 67 Caract ristiques analyiques Valeurs normales Valeurs seuils attention chimiques et organiques Salinit gr ou Conductivit 1000 2500 mS cm ou R sistivit 0 4 1 mohms cm N total 3 de la MS Environ 0 9 de la MS Environ 0 3 de la MS 0 5 3 de la MS 0 5 3 de la MS 0 5 3 5 10 de la MS s i Environ 10 mg kg produit sec horticulture ornementale pH gt 6 3 6 5 appr ci s pH gt T D valeur d amendement calcaire d montrer Chambre d Agriculture O peut tre int ressant en sols acides gt 50 attention produit satin risque de gt 2500 attention risque de produit satin gt 1 attention produit satin risque de gt 3 valeur engrais organique ne r pond plus la d finition d un amendement organique lt 1 attention produit risquant d entra n
124. ainsi s lectionn s ont t analys s selon les fiches tablies et la connaissance de ces sites des membres du groupe de travail Une pr s lection de 28 sites potentiels a donc t tablie Cette liste accompagn e d une carte se trouve en annexe Elle est un outil mis la disposition des collectivit s locales qui souhaitent cr er un CETS Page 81 8 Dome Toxgues CONTRIBUTION CHAMBRE DES METIERS DE L HERAULT ADEME CLAPE LR Aujourd hui nous pouvons consid rer que pour les importantes productions de d chets industriels toxiques les fili res d limination ad quates existent et son connues des industriels producteurs de d chets D autre part dans le cadre de la r glementation sur les ICPE ces producteurs sont suivis par les administrations est pas de m me pour les d chets toxiques en quantit s dispers es pour lesquels les circuits d limination n existent pas ou s ils existent ne sont pas connus comme des d tenteurs La cons quence in luctable est que ces produits dont la toxicit peut tre importante se retrouvent rapidement dans le milieu naturel D finition de la notion de DTQD production de d chets toxiques inf rieure 100 Kg par mois par producteur La collecte s lective et le traitement des DTQD doivent tre une priorit du plan d partemental r vis une liste des cat gories de DTQD est inscrite en annexe de ce plan En effet e les d chets toxiq
125. aniques volatils et des organo halog n s Ces substances mises en concentrations variables selon les proc d s d incin ration et de traitement de fum es mis en uvre sont diffus es dans l environnement o elles se m langent celles mises par d autres sources les substances sp cifiques l incin ration des d chets susceptibles d avoir un impact sanitaire sur les populations riveraines et qui ont t identifi es dans une tude sur un incin rateur de l agglom ration grenobloise sont le trichlor thane effets syst miques divers le benz ne canc rig ne cadmium effet r nal nickel canc rig ne Pour le trichlor thane et le cadmium les concentrations exposition vie enti re des riverains sont nettement de des seuils d effets toxicologiques Pour le benz ne l exc s de risque vie enti re est n gligeable Seul le nickel peut faire l objet d une attention particuli re l exc s de risque tant de 1 10 qui est toutefois tr s faible Ces r sultats sont en concordance avec ceux d crits dans la litt rature Les cons quences sanitaires long terme sur la population riveraine des polluants mis par l incin rateur semblent faibles voire inexistantes pour les polluants examin s gt Quant aux rejets liquides des unit s d incin ration ils sont susceptibles de contenir des r sidus de m taux lourds parmi lesquels le mercure et le nickel sont d
126. ant jour f vrier 2003 CC de la Montagne du Haut Languedoc H raultais CC du Saint Ponais SIVOM du Marcory CC du Saint Chinianais SICTOM de Rosis SICTOM de St Gervais et St Etienne SICTOM de la Haute Vall e de l Orb Syndicat Centre H rault SICTOM de la r gion de P z nas CA H rault M diterran e SITOM le Littoral SICOM de Magalas Puissalicon SIVOM de la vall e du Libron SICTOM de Saint Martin SIVOM SI de Lignan Corneilhan SICEOM de Puisserguier SI Cesse et Brian Communes ind pendantes Population recensement 99 311 550 hab permanents Gisement d ordures m nag res t 119 000 t Gisement de d chets m nagers autres 56 000 t t Gisement de boues d puration 19 000 t t mati re brute 20 de siccit Gisement de DIB pris en charge par 52 000 t les collectivit s t Gisement total de D chets Municipaux 246 000 t t Gisement de DIB pris en charge 97 000 t directement par les producteurs t Principales caract ristiques e Tr s grandes variabilit s g ographique d mographique et sociologique de la montagne la mer e Territoire tr s tendu qui rend difficiles les transports et transferts de d chets e Forte dominance du caract re rural hormis l agglom ration de B ziers e Frange littorale fortement marqu e par les variations saisonni res provoquant des pics de productions de d chets en t e 2 usines de traitement par compostage sur Ordures M nag res b
127. ante d ordures m nag res et de leur impact fort sur l environnement Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 33 GIRUS SA CP f vrier 2000 La d charge autoris e de Villeveyrac a t mise en conformit pour sa transformation en centre de stockage des d chets ultimes CSDU Cependant cette d charge risque d avoir une capacit insuffisante long terme et ne constituer qu un site transitoire en attendant la mise en place d un centre d finitif l chelle de chaque zone Les unit s d incin ration d Agde et P zenas doivent galement arr ter leur fonctionnement et mettre en place une autre fili re de traitement des ordures m nag res par compostage Les quipements am liorer Le centre de tri de Villeveyrac doit am liorer ses rendements par une am lioration du syst me en amont En effet il pr sente un taux de refus assez important de l ordre de 30 3 3 3 Bilan sur les quipements en projet ou pr vus dans les tudes Notre travail s appuyant uniquement sur des donn es bibliographiques certaines des informations ci dessous peuvent avoir volu En effet certains projets ont peut tre t abandonn s d autres ont t r alis s et de nouveaux sont certainement apparus Le tableau ci dessous donne par zone le nombre de des quipements en projet ou pr vus par les tudes sachant qu au sein d une m me zone la r partition de ces quipem
128. art la population s dentaire soit 93 kg hab an ce qui repr sente un tonnage d environ 3 200 T Le tonnage de DICB collect avec les ordures m nag res semble sous estim En effet il ne prend pas en compte les quantit s de d chets produits par les restaurateurs et autres petits commerces lors de la saison estivale Ces ordures sont comprises dans le calcul du tonnage produit par les touristes Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 11 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les collectes s lectives Le verre le papier les m taux le plastique et les huiles min rales sont collect es par la majorit des communes Cependant certains tonnages sont inconnus Les encombrants Il n existe pas d estimation du gisement d encombrants Les d chets verts La quantit de d chets verts collect s avec les ordures m nag res est estim e 3 50 T an sur la base de 60 kg an quivalent habitant Les d chets inertes Il n existe pas d estimation du gisement des d chets inertes Les d chets municipaux II s agit des d chets de nettoyage de rues et des march s des d chets des espaces verts Leur quantification n est pas facile s ils ne font pas l objet d une collecte et d une pes e s par es ce qui n est pas le cas ici Seuls les d chets de nettoyage sont r pertori s et comptabilis s dans le tonnage d ordures m nag res collect Les d chets des professio
129. ase L H rault est d coup en 4 secteurs de r flexion relativement homog nes d un point de vue sociologique g ographique d mographique et administratif cf carte page suivante e la Zone Est qui regroupe le Syndicat mixte entre Pic et Etangs la commune de la Grande Motte et le SICTOM de Ganges rattach au Gard e la Zone Ouest que constitue le syndicat mixte d tudes pour l limination des d chets m nagers de la Zone Ouest e la Zone Centre Sud qui regroupe le SIVOM de la mer et des tangs le SINBT et le SIVOM entre V ne et Mosson e la Zone de Montpellier qui regroupe les communes membres du District Les cat gories de d chets prises en compte dans notre tude sont e Les d chets m nagers et municipaux les ordures m nag res fractions fermentescibles recyclables et autres les encombrants les d chets verts les d chets inertes les d chets m nagers sp ciaux U U U U les d chets de nettoiement du domaine public les d chets de l assainissement e Les d chets assimil s gt les d chets des professionnels notamment gt les d chets sp cifiques au littoral d chets de port conchylicoles algues Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 3 GIRUS SA CP f vrier 2000 M thode utilis e lors de la premi re phase Une r union de lancement a permis d acqu rir diff rents documents des tudes de fili
130. at gories de d chets collecte et traitement s par s des ordures m nag res Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 39 GIRUS SA CP f vrier 2000 Plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s de l H rault Groupe de travail Production de d chets Statistiques ANNEXE 5 rault Phase 3 Mod lisation les bases de donn es BILAN et OBJECTIFS janvier 2000 Modifi en F vrier 2001 par DESMET DDAF H rault Cap Alpha Clapiers 34940 Montpellier cedex 09 T l 04 67 59 30 25 Fax 04 67 59 30 31 E mail Girus34 wanadoo fr INTRODUCTION 3 1 LES BASES DE DONNEES SOUS 5 1 1 QU EST QU UNE BASE DE DONNEES d 5 1 2 MISE A JOUR DES DONNEES D UNE BASE ccccicicicececacacacacacacacasasusnansnsncnencnenenenenenenenenun 5 1 8 LES FONCTIONS DE BASE DONNEES Lu u A S le 6 2 BASE BLAN uuu ua PR ns ns 7 PL ESS de de a ere a ae eos en et ort c 7 2 2 lt DESCRIPTION ebe 7 2 837 ed EC RE 8 3 BASE OBJECTIFS u lla NC a 14 EE EE eet 14 SA DEOC IPT NE Du A ne Dua tan 14 3 83 LFONCHONNEMENTA uu Lu l LAN mm L S
131. ation table de tri contenants pour les fractions tri es sacs poubelles identifi s etc a t mis en place le premier jour avant l arriv e du premier chargement d ordures Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 4 GIRUS SA CM novembre 1999 2 R alisation L op ration a t r alis e suivant le planning suivant lundi 16 ao t r sidences horizontales mardi 17 ao t r sidences verticales et premier camping mercredi 18 ao t second camping Les chargements des r sidences tant trop importants une homog n isation a t r alis e sur la dalle devant la fosse de l incin rateur Cela a permis de r aliser un chantillonnage repr sentatif sur ces chargements Seuls ces chantillons de moins de 350 kg chacun ont t tri s pour la caract risation Les chargements des campings tant au contraire tr s faibles moins de 150 kg par collecte il a t d cid de trier les chargements de deux collectes successives pour obtenir un chantillon suffisamment important 1 4 R sultats Les r sultats d taill s sont consign s en annexe La production d un touriste exprim e kg touriste jour a t d termin e apr s recherche de la population productrice des chargements d ordures collect s sur les zones test sachant que la semaine du 16 ao t correspondait une fr quentation maximale le nombre de campeurs a t facilement d termin avec la
132. ation de tous les h raultais un plan la fois contraignant et r aliste a de Les objectifs de valorisation mati re 28 l horizon 2006 et organique 17 l horizon 96 1 231 2006 sont encore aujourd hui jug s tr s contraignants R sultant pourtant d une fine analyse des possibilit s techniques et conomiques du moment ils sont encore aujourd hui en ad quation avec la r glementation en vigueur y compris avec les nouvelles orientations voir82 2 nationales circulaire de Mme la Ministre de l Am nagement du Territoire et de Environnement Les efforts d j bien entam s doivent donc tre poursuivis En particulier les choix retenus par les lus par l interm diaire des tudes de fili re et de zone doivent pr sent donner lieu des projets concrets Page 6 un plan ouvert NB l incin ration est pourtant un passage obligatoire selon le plan 1 art 14 l arr t 96 1 231 Les lus qui sont les principaux acteurs en mati re de collecte et traitement des d chets m nagers restent les d cideurs de l application du plan Rien n est impos ni sur l implantation ni sur la d finition des instruments mettre en place pour atteindre les objectifs d finis Les choix peuvent tre multiples et doivent en tout tat de cause tre adapt s aux caract ristiques et la volont locale Alors que les uns ont d but par le recyclage de la fraction s che des ordures m nag res Distric
133. ault CLAPE LR DDE Ce e Nombre moyen de participants 15 16 personnes e R unions organis es ce jour 11 02 99 09 07 99 03 02 00 24 01 01 29 02 99 01 09 99 21 03 00 30 01 01 03 03 99 23 09 99 20 04 00 21 02 01 29 04 99 2210 99 06 12 00 28 05 99 25 11 99 04 01 01 La liste des sujets trait s se d cline selon les points suivants 1 Actualisation du gisement des d chets Industriels Banals D I B 2 Collecte et Traitement des D I B responsabilit s financement du service 3 Stockage et valorisation des D I B Notion de D I B ultime Zonage 4 D chets Toxiques Quantit s Dispers es D T Q D 5 Mise en place d un plan de gestion des d chets du B timent et des Travaux Publics 2 4 4 Groupe de travail Production de d chets statistiques Ce groupe de travail a ERC E Portes paroles du groupe Conseil g n ral Sek pour e Animation des r unions DDAF Conseil G n ral e Nombre participants 6 8 personnes GIRUS et la e R unions organis es ce jour 10 02 99 27 05 99 05 01 00 EE SS 02 03 99 03 06 99 04 02 00 j 24 03 99 30 09 99 30 04 99 25 11 99 Le groupe de travail a t charg de mettre en place une tude de caract risation de la production actuelle et future de d chets m nagers et assimil s de l H rault Cette tude ayant t confi e un bureau d tudes priv
134. avail constitu s cette occasion de nouveaux l ments apparaissent e une meilleure adaptation des fili res et des objectifs de valorisation aux caract ristiques tr s diverses des dix secteurs d finis dans le d partement e une meilleure prise en compte des d chets industriels banale y compris les d chets du B timent et Travaux Publics e une ouverture sur les fili res de valorisation organique e constitution d une base de donn es pour une actualisation et un suivi ult rieur plus facile e une appr ciation conomique des fili res propos es e la prise en compte de la r duction des d chets la source Le premier plan s en trouve donc modifi comme suit e Les parties Il et VI sont maintenues e Les parties IV V sont amend es e Les parties Ill VII et VIII sont remplac es par le pr sent document Page 5 1 ege PREMIER PLAN DEPARTEMENTAL DE L HERAULT LE Pecna g n rale s Approuv par arr t pr fectoral du 1 F vrier 1996 le plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s de l H rault r pond directement aux dispositions de la loi n 92 646 du 13 Juillet 1992 sur les d chets Son laboration a t conduite l initiative du Pr fet de l H rault Une commission consultative appel e commission du plan d partemental fut charg e de proposer les axes de r flexion et de d finir un programme de travail Le document final annex l arr t pr fecto
135. brants DMS DTQD d chets li s l usage des automobiles d blais et gravats d chets non contamin s d activit de soins et mati res de vidange 2 1 2 Gisements Les valuations du Plan actuel qui paraissent trop sommaires devraient tre actualis es et affin es pour chacun des d chets pris en compte par le Plan 2 1 3 Evolution prospective des gisements 5 et 10 ans Elle reste r aliser 2 1 4 Synoptique des flux de d chets par traitement 5 et 10 ans Des synoptiques de r partition des flux de d chets et des refus de tri traitement entre les diff rents modes de gestion des d chets collectes s paratives d chetteries tri compostage seraient r aliser gt cat gorie de responsables de l limination des d chets d chets m nagers et assimil s du ressort des collectivit s DIB du ressort des industriels ou autres producteurs agriculteurs gt par cat gorie de d chets emballages m nagers non m nagers journaux magazines boues OM etc 2 1 5 R duction la source gt Il serait souhaitable de lister et pr ciser les objectifs atteindre et les moyens mettre en uvre au niveau du d partement 2 1 6 Recyclage mati re gt Les objectifs de recyclage mati re devraient tre pr cis s par cat gorie de d chets et non d finis comme actuellement sur la masse globale des d chets gt parait souhaitable que des objectifs de coll
136. centre de tri des d chets m nagers District de l Agglom ration de Montpellier f vrier 1999 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Les tonnages d ordures m nag res collect es et d pos es sur la d charge contr l e du Th t sont pes s lls repr sentent 142 273 T soit environ 430 kg hab an avec des disparit s importantes entre les communes membres Les stations littorales affichent des tonnages lev s dus la part non n gligeable produite par les touristes 1 116 kg hab an pour Palavas les Flots et 706 kg hab an pour P rols Les ratios restent lev s pour les autres communes et marquent bien la pr sence importante de collect s avec les ordures m nag res Les collectes s lectives La collecte des recyclables en porte porte ne concerne que quelques communes membres du District La quantit de recyclables collect e s l ve environ 4 000 T dont 3 000 T sont tri s et repris par des r cup rateurs Le tonnage global de verre et de papier collect s en conteneurs d apport volontaire s l ve 4 707 T an La distinction n est pas faite entre les tonnages de verre et de papiers Les encombrants Seules les quantit s d encombrants collect s s par ment par les services municipaux et ceux r cup r s en d chetterie sont connues Il n existe pas d estimation du gisement global et notamm
137. ces art L 5214 21 e sile syndicat est plus vaste et qu il y a inclusion de la communaut de communes dans ce syndicat la nouvelle communaut de communes repr sente ses communes au sein du syndicat qui devient syndicat mixte EPCI art L 5711 e sil y a inclusion du syndicat dans le p rim tre de la commaunaut de communes ou chevauchement des p rim tres un d cret en Conseil d Etat fixe les conditions dans lesquelles peuvent tre d volues la communaut de commune les comp tences exerc es ant rieurement par le syndicat art L 5214 22 Texte d application R 5214 1 et R 5214 2 Dans les deux derniers cas le principe de repr sentation substitution mis en place par la loi de 1982 subsiste puisque l article L 5214 21 pr cise que Pour l exercice de ses comp tences la communaut de communes est galement substitu e aux communes qui en sont membres lorsque celles ci sont group es avec des communes ext rieures la communaut dans un Syndicat de communes lequel devient syndicat mixte au sens de l article L 5711 1 Ni les attributions du syndicat ni le p rim tre dans lequel s exercent ses comp tences ne sont modifi s Page 21 Cr ation de communaut d agglom ration CA ou de communaut urbaine CU ou de syndicat d agglom ration nouvelle a La premi re difficult proviendra du fait que les communes adh reront un projet de coop ration non encore totalement d fini puisque e les comp tences d
138. ces valeurs pour recomposer les quantit s collect es durant l op ration test de collecte s parative on obtient le d coupage suivant Type de d chet m nager Groupe d immeubles Ordures m nag res strictes 250 250 250 produites par les s dentaires Ordures m nag res non produites par les s dentaires TOTAL collecte s lective du verre r alis e sur le SICTOM on enl ve donc 20 kg an hab de verre hypoth se nationale de r cup ration Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 10 GIRUS SA CM novembre 1999 2 CONCLUSION En consid rant qu un s dentaire produit 270 koian d ordures m nag res strictes la production d partementale s l ve 242 000 tonnes d ordures m nag res strictes par an 896 252 habitants recens s en 1999 Le tourisme apporte donc 8 10 d ordures m nag res strictes en plus par rapport aux ordures m nag res strictes de la population s dentaire du d partement 25 000 tonnes environ L estimation de la production de d chets collect s actuellement par les circuits OM et difficile car les donn es disponibles voir en Phase 1 ne refl tent pas toujours la r alit Les quantit s de d chets collect s par les circuits OM d apr s la Phase 1 peuvent tre estim es environ 400 000 tonnes par an pour l ensemble du d partement Par diff rence on peut donc estimer la part non m nag re collect e actuellement a
139. chets admissibles en CET2 Conform ment la loi seuls les d chets dits ultimes peuvent tre stock s en CET2 Une m thode permettant de cerner la notion de DIB ultime a t tablie D finition du D I B ultime e Les aspects techniques mais aussi conomiques doivent tre int gr s dans la d finition du DIB ultime e Cette notion peut varier selon les zones d finies par le plan possibilit ou non d incin ration notamment D une mani re g n rale le d chet doit avoir suivi un traitement tri s lectif la production centre de tri avant d tre consid r comme ultime a Pour les d chets d emballages Le d cret du 13 juillet 1994 ne s applique qu aux producteurs de plus 1100 litres de d chets d emballages par semaine Pour ces producteurs l objectif doit tre une valorisation maximale dans la limite de conditions conomiques acceptables m me s il n est pas impossible que des d chets ultimes soient produits Tout producteur de d chets d emballages doit les mettre disposition de son collecteur dans des conditions propres favoriser leur valorisation b Crit res d acceptation des DIB en 2 e Le producteur doit clairement d finir l exploitant la qualit de ses apports e Le producteur doit prouver qu il n existe pas de fili re de valorisation conomiquement acceptable pour le d chet produit e Cette v rification est effectu e lors de la proc dure pr alable d adm
140. chets produits par les touristes puisque l op ration de caract risation a permis parall lement de d terminer la quantit de d chets produite par jour et par touriste Ces informations sont obtenues partir de comptages au niveau des axes de transport routes autoroutes a roports gares SNCF etc Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 7 GIRUS SA CM novembre 1999 Les r sultats du tourisme en nombre de nuit es par an pour les derni res ann es sont 33 932 318 33 345 331 34 552 141 36 431 215 L ann e 1998 a t dop e par la Coupe du Monde de football en France notamment sur Montpellier Cette ann e n est donc pas repr sentative du tourisme annuel et l on consid rera une progression du tourisme tr s faible voire quasiment nulle au cours des ann es 1 6 2 Production de d chets des populations touristiques A ne pas confondre avec les d chets issus du tourisme prenant en compte toute l activit saisonni re li e l activit touristique y compris la restauration et le commerce notamment Il s agit des ordures m nag res strictes produites par les touristes d chets m nagers non encombrants produits tous les jours en petites quantit s r guli res Cette production ne prend pas en compte toutes les cat gories de d chets suivantes d chets encombrants d chets de jardinage d chets inertes d chets de bricolage d chets professionnels etc Le tourisme
141. chets verts ou d inertes fait parfois l objet d une estimation utilisation de ratio ADEME ou mode de calcul non communiqu Les d chets municipaux rarement collect s s par ment des ordures m nag res sont difficilement quantifiables Les tonnages concernant la production de boues d puration sont souvent obtenus gr ce la collaboration du et du SATESE Les autres d chets d puration des eaux r siduaires d chets d grillage ne font pas l objet d estimations Notons que les estimations couvrent les tonnages produits par des quipements collectifs Les quantit s issues des assainissements individuels sont plus difficiles quantifier Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 37 GIRUS SA CP f vrier 2000 4 4 Les d chets des professionnels Voir tudes sp cifiques d chets du BTP tude CEBTP D chets Industriels Banals synth se du gisement effectu par la Chambre de M tiers de l H rault et les Chambres de Commerce et d Industrie Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique GIRUS SA CP f vrier 2000 38 CONCLUSION D une mani re g n rale il a t difficile de r aliser la synth se des tudes pour la quantification des d chets m nagers et assimil s Les donn es sont partielles et disparates l chelle de l H rault Certaines cat gories de d che
142. cible des ordures m nag res avec une recherche de solutions particuli rement adapt es au milieu rural ex promotion du compostage individuel la fermeture rapide des d charges brutes le d veloppement du r seau de d chetteries de CET de classe 3 l organisation des transferts et transports au sein de la zone la cr ation de trois nouvelles plates formes de compostage pour le traitement de la fraction fermentescible des ordures m nag res des d chets verts voire des boues d puration la recherche dau moins deux sites d enfouissement de d chets ultimes 3 l am lioration des rendements de collecte s lective et de valorisations mati re organique passera par le d veloppement de la communication ZONE EST e Les tentatives de recherche d un site d enfouissement pour les d chets ultimes men es en 1998 et 1999 n ayant pas abouties la fili re de l incin ration permet de r duire au maximum les tonnages de d chets ultimes enfouir e La valorisation de la Fraction Fermentescible des Ordures M nag res apr s collecte s lective est int ressante dans cette zone o l habitat pavillonnaire semi rural conna t forte progression surtout dans le sud du territoire e La fili re propos e permet d int grer au mieux les installations de traitement existantes incin rateurs de LUNEL VIEL de Page 43 Les efforts devront tout particuli rement porter sur gt le d veloppem
143. collaboration des deux responsables des campings concern s le nombre de touristes dans les deux types de r sidences a t d termin gr ce aux d coupages sectoriels de la commune d Agde r alis s par l INSEE et aux capacit s d accueil des r sidences test Ainsi la production journali re d un touriste varie de 650 850 g avec une moyenne 35 g environ Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 5 GIRUS SA novembre 1999 Par grande cat gorie de d chets les r sultats pour les chantillons tri s sont comparables Composition des d chets produits par les populations touristiques en fonction du mode d h bergement eier es vertc camping _ moyenne _ Fermentescibles 25 6 25 5 27 0 26 0 Papiers 11 6 14 6 9 8 12 0 dont Ce Pub 2 7 6 3 3 6 4 2 1 6 1 3 2 2 1 7 Plastiques dont Flaconnages aid s par EE dont Films plastiques M taux dont Emballages ferreux dont Emballages aluminium Incombustibles non class s 10 3 Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 6 GIRUS SA CM novembre 1999 1 5 Analyse Les r sultats montrent que les d chets produits par les touristes sont comparables en composition quel que soit le mode d h bergement m me si la nature des d chets varie on trouve plus de restes de poissons et coquillages dans les r sidences on trouve plus de barquettes trait
144. collecte s lective Les co ts de collecte sont souvent mal connus car rarement individualis s en particulier dans les fonctionnements en r gie Une connaissance plus exacte peut tre obtenue dans les cas o le service est assur par une entreprise priv e et factur la collectivit l n en demeure pas moins que ces co ts sont fortement d pendant de la g ographie du territoire concern s tendue accessibilit tat des routes de l urbanisation et du type d habitat lt Collecte en Apport Volontaire 30 38 t Globalement les co ts de collecte par apport volontaire sont moins chers que ceux d une collecte traditionnelle des ordures m nag res Des gains financiers par rapport la collecte et au traitement traditionnel peuvent tre faits pour la fili re globale collecte et traitement du verre et du papier De bons r sultats peuvent galement tre attendus sur la collecte s parative des m taux les b n fices sont moins vidents pour la collecte des plastiques gt Collecte en Porte Porte 190 230 t 150 t en habitat collectif Les collectes mono ou multi mat riaux portant sur les emballages recyclables suivies d un tri sont globalement plus ch res que la collecte des ordures m nag res le taux de compaction dans les bennes de collecte doit rester inf rieur celui des ordures m nag res brutes pour faciliter le tri en aval N anmoins les co ts peuvent tre largement abaiss s g
145. d chets de 6000 habitants environ Second niveau de comp tences Des EPCI rassemblant de 100 000 500 000 habitants assurent le traitement lourd des d chets dans des unit s de traitement UTOM telles que grosses unit s de tri d incin ration UIOM et des centres de stockage Ce second niveau de comp tences de service public est assur par d l gation de comp tences des collectivit s du premier niveau en les regroupant par secteurs sous forme de syndicats mixtes SMITOM de communes et de syndicats de base article L 5711 1 qui le d finit comme un EPCI de syndicats mixtes d partementaux y associant le d partement constitu suivant l article L 5721 2 et qui est d finit par l article L 5721 1 comme un simple tablissement public correspond un service souvent consid r comme non valorisant par les maires et dont l quilibre conomique n cessite une forte population Page 20 On constate que le fractionnement des comp tences confirme ces deux niveaux mais se limite aux deux comp tences collecte et traitement Un fractionnement trop pouss peut conduire une dilution des responsabilit s et une confusion des comp tences comme c est par exemple le cas des syndicats assurant uniquement la construction puis l exploitation d une d chetterie qui seront t t ou tard absorb es par un EPCI de comp tence collecte 3 1 6 Les cons quences de la cr ation d une nouvelle communaut de communes CC d agglom
146. d NEE de traitement des produits organiques dans l optique d une valorisation Le premier plan d partemental avait fait un point tr s complet sur la th orie et la technique du compostage de la FFOM mee du compost d Ordures M nag res en m lange du compostage individuel Un compl ment rapide sur les techniques de compostage actuelles s av re n cessaire En fonction des mati res traiter diverses technologies peuvent tre employ es Elles peuvent tre regroup es en deux cat gories 6 4 1 Proc d par a ration naturelle Apr s m lange ventuel des co produits boues p teuses et DEV broy s l a ration des tas ou andains permettant la fermentation a robie est passive Elle est facilit e par le retournement r gulier des andains au chargeur La fr quence de ces retournements varie selon la temp rature au c ur du tas le minimum tant d une fois par semaine pendant 2 mois adapter selon la climatologie locale L essentiel est de maintenir pendant 10 jours au moins la temp rature 70 C pour hygi niser le m lange destruction des pathog nes Le retournement doit tre syst matiquement suivi d un arrosage ventuellement avec les jus s coulant des andains s il existe un dispositif le permettant Une fois la fermentation active achev e 2 4 mois selon les DEV employ s le compost entre en maturation humification l s agit d un repos forc qui stabilise le produit Sa dur e varie selo
147. d occupation h telier Toutefois la coupe du Monde a t ressentie de mani re diff renci e par les professionnels h raultais puisque ses effets positifs se sont ressentis essentiellement sur Montpellier et les communes proches Dans certaines tudes le nombre total de touristes pr sents durant la p riode estivale est galement communiqu pop Tourist Etude en Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique GIRUS SA CP f vrier 2000 La fr quentation touristique dans l H rault GIRUS nuit es Au total 36 455 141 550 000 500 000 re 450 000 15 Ao t 400 000 13 Juillet 350 000 300 000 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000 Fevr Mars Mai Juin Juill Ao t Sept Oct Nov Dec Nuages Au total 36 431 215 nuit es 600 000 500 000 Juillet 400 000 S 300 000 200 000 Toussaint 100 000 Jan Fevr Mars Mai Juin Juill Ao t Sept Oct Nov Dec Source Comit d partemental du tourisme de l H rault Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique GIRUS SA CP f vrier 2000 2 BILAN DE LA PRODUCTION DE DECHETS PAR ZONE Le bilan de la production de d chets est tabli par syndicat d tude de fili re et de zone Il est accompagn de commentaires sur la validit des donn es recueillies les incertitudes et incoh rences
148. de d chets valorisables produits par les populations touristiques Cette donn e est int ressante pour valuer les quantit s qui pourraient tre r cup r es si les populations touristiques taient bien inform es des collectes s lectives et y participaient ce qui n est que rarement le cas actuellement COMPOSITION DES ORDURES PRODUITES PAR LES TOURISTES EN TONNES PAR AN sur la base de 25 000 tonnes an composition tonnes an Fermentescibles 26 6 500 Papiers 12 3 000 dont Journaux Revues Mag Pub 4 2 1 050 Cartons 6 6 1 650 Composites 1 7 425 dont T trapack 0 8 200 Textiles 0 9 225 Textiles sanitaires 3 7 925 Plastiques 13 9 3 475 dont Flaconnages aid s par EE 4 5 1 125 dont Films plastiques 5 3 1 325 Combustibles non class s 28 70 201 _ M taux 4 dont Emballages ferreux 3 dont Emballages aluminium 0 8 Incombustibles non class s 1 975 Les tonnages potentiels de d chets valorisables s l vent gt 10 000 tonnes par an de d chets recyclables gt 6 500 tonnes par an de d chets fermentescibles hors papiers cartons soit au total 16 500 tonnes par an issues des populations touristiques Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 9 GIRUS SA CM novembre 1999 COLLECTEURS R CUP RATEURS T RIEURS CONDITIONNEURS DE D CHETS ET FABRICANTS DE MAT RIELS EN LANGUEDOC ROUSSILLON Liste non exhaustive
149. de plan Bilan du plan de 1996 19 Janvier 1999 D termination de nouveaux objectifs Cr ation de 6 groupes de travail 2 me 3 me et 4 me assembl es pl ni res de la commission de plan 23 Juin 1999 15 Mai 2000 Juillet 2001 validation du projet 15 Juillet 0 Avis Conseil G n ral 34 Enqu te publique Avis Conseils G n raux 30 11 81 12 Avis de la commission de coop ration intercomm Avis de la commission 15 Octobre 01 du plan r gional des d chets ind 15 Juillet 2001 3 mois maxi 15 jours maxi 1 Ao t 2001 15 Ao t 2001 15 jours mini 1 Septembre 2001 Entre 1 et 2 mois 15 Octobre 2001 1 mois maxi 15 Novembre 2001 5 me assembl e pl ni re commission de Plan 1 d cembre 2001 Correcions ventuelles Avis CDH 15 d cembre 2001 Arr t pr fectoral Plan r vis Fin d cembre 2001 sch ma n l les principales tapes de la r vision du plan Page 17 3 a eren ADMINISTRATIVE DU DEPARTEMENT DECOUPAGE EN 3 1 Note pr liminaire l application de la loi Chev nement en mati re de d chets extrait de Gestion du service public des d chets CGGREF Mission d appui technique aux services d concentr s version 2 du 20 09 00 La loi n 99 586 du 12 juillet 1999 dit loi Chev nement relative au renforcement et la simplification de la coop ration intercommunale incite les communes se regrouper au sein d Etablisse
150. des plans les plus ambitieux Par ailleurs il laisse le choix aux collectivit s concern es c est dire d tenant la comp tence traitement des d chets m nagers de mettre en place les fili res adapt es aux caract ristiques du terrain d mographie g ographie type population urbanisation Les choix sont affich s au travers des tudes de fili res et de zone pr conis es l article 14 du Plan N anmoins comme dans bien d autres plans d partementaux fran ais l incin ration avec r cup ration d nergie appara t comme la seule fili re de traitement des d chets r siduels La circulaire de Mme VOYNET reconna t ce sujet la d finition tr s r ductrice du d chet ultime Circulaire du ze x 2 A E S 28 04 98 le d finissant tort comme les seuls r sidus de l incin ration M me si ce mode traitement a encore sa place dans une approche multi fili res et en particulier pour les grands centres urbains des modes de traitement alternatifs doivent tre ouverts notamment en milieu rural Cette remarque conduira red finir la notion de d chets ultimes non plus de mani re Voir 4 3 unique pour tout le d partement mais adapt e chaque zone Page 33 4 2 Bilan actuel synth se des tudes de fili res et de zones 4 2 1 Etudes de fili res et de zones r alis es depuis l approbation du premier Plan de 1996 Voir annexe 4 Les tudes de fili res et de zone traduis
151. duction globale de boues n est qu une approche plus ou moins fiable Pour estimer la production annuelle de boues le ratio de production fourni par le SATESE et le a t utilis 18 kg de MS hab an soit 2 600 T MS an 2 2 5 Hauts Cantons H raultais Les documents pris en compte sont gt Etude de fili re et de zone des Hauts Cantons H raultais GIRUS juillet 1998 gt Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Etude globale de gestion et de traitement des d chets m nagers et assimil s Synth se de la phase 3 Orientations G O CONSEIL Environnement mars 1999 Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Sch ma Directeur de gestion des d chets de la Zone Ouest de l H rault G O CONSEIL Environnement juin 1999 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es L estimation des quantit s communiqu es par les communes ne correspond pas la r alit car peu de syndicats font peser leurs ordures Mis part pour le SICTOM de la Haute vall e de l Orb qui effectue des pes es et pour la CC du St Chinianais qui a effectu une tude locale les quantit s retenues se basent sur la moyenne nationale en zone rurale 287 kg hab an source ADEME 1993
152. e de la pointe saisonni re en comparant le ratio de production moyen fran ais et le ratio de production r elle par les m nages avec le ratio du SIVOM Une estimation de la production des entreprises de plus de 10 salari s est fournie source extrapolation de l enqu te elle est de 2 400 Les prestataires de collecte des D I B ont galement fourni une estimation d environ 40 000 m an pour de 4 500 T collect es Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 25 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les d chets li s l activit littorale Les communes de S te Frontignan Villeneuve les Maguelonnes et Balaruc les Bains ont signal un nettoyage de leur plage Les quantit s sont estim es et exprim es en m Les d chets de port sont collect s s lectivement par une soci t priv e Les d chets de port de commerce repr senteraient 6 320 m an estimation r alis e par extrapolation des donn es communiqu es par cette soci t Une soci t priv e assure un ramassage des d chets conchylicoles sur la zone du Barou situ e S te Lors de l tude ce syst me de collecte venait juste de se mettre en place et les valeurs pr cises n taient pas disponibles Les d chets m nagers sp ciaux Le gisement repr sent par ces d chets est valu sur la base de 2 kg hab an soit environ 164 T an Les d chets d assainissement Il n exist
153. e diff rentes informations comme la distance aux habitations la surface occup e l paisseur les d chets enfouis ou encore le risque global des d charges non autoris es de l H rault Cependani cette tude date de 1995 et certaines informations ont d changer notamment celles concernant les priorit s de r am nagement ou r habilitation Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 32 GIRUS SA CP f vrier 2000 3 3 Bilan sur les quipements Cette partie fait tat de la r glementation en vigueur sur les quipements de traitement des ordures m nag res Un bilan sur les quipements actuels est r alis et signale les quipements amen s dispara tre gt les quipements devant subir des am nagements pour tre conformes gt les quipements devant augmenter leur capacit dans la nouvelle organisation Les quipements pr vus ou en en projet dans les tudes sont galement recens s 3 3 1 R glementation en vigueur La loi du 13 juillet 1992 relative l limination des d chets Elle modifie la loi cadre du 15 juillet 1975 et porte sur un point majeur partir de janvier 2002 seuls les d chets ultimes seront admis en d charge La circulaire du 28 avril 1998 relative la mise en uvre de l volution des plans d partementaux d limination des d chets m nagers et assimil s Elle vient pr ciser la d finition de d chet ultime
154. e la phase 3 Orientations G O CONSEIL Environnement mars 1999 gt Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Sch ma Directeur de gestion des d chets de la Zone Ouest de l H rault G O CONSEIL Environnement juin 1999 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Les ordures m nag res collect es sont pes es l usine d incin ration d Agde Il s agit donc de quantit s r elles Les collectes effectu es sur les campings et les plages sont pes es s par ment Dans l tude de fili re et de zone une d composition des tonnages collect s a t r alis e afin de mettre en vidence la part produite par la population s dentaire l hypoth se prise est le ratio MODECOM rural soit 287 kg hab an ce qui repr sente un tonnage d environ 9000 T an pour le canton la part produite par la population touristique elle prend en compte le tonnage produit par la population touristique estivale 13 000 T an et par la population touristique permanente 2 900 T an auquel il faut ajouter les tonnages d ordures m nag res collect s sur les plages et dans les campings la part que repr sentent les DICB produits par les petits commerces et entreprises ins r es dans le tissu urbain l hypoth se prise est de 20 de la part produite p
155. e la production de onnees Bilan et d chets m nagers et assimil s dans le d partement La base de donn es basebilan tablie annexe 5 par le cabinet GIRUS dans le cadre de la r vision du plan synth tise ces donn es mode d emploi TONNAGES Collecte s lective recyclables 67 500 t fermentescibles D chets M nagers autres que les Ordures 133 500 t 7 M nag res Boues d puration 20 de siccit 18 000 t DB 392 000 t TOTAL 877 500 t tab 5 gisement actuel de d chets m nagers et assimil s Page 35 4 2 3 La valorisation des d chets apr s trois ans d application du plan quels r sultats Ree de Au del des objectifs affich s dans les tudes de fili res et de zone le bilan de la situation Bilan et actuelle a t dress par le Cabinet d tudes GIRUS dans le cadre de sa mission sur le annexe 5 gisement des d chets m nagers et assimil s du d partement La base de donn es base bilan traduit en terme de chiffres les r sultats des premi res fili res de valorisation mises en place CENTRE SUD MONTPELLIER ETANG Ann e de r f min 1997 1999 1995 1998 Ordures 130 360 collect es e jonkghban 45 512 426 431 x d Ordures papiers Van 518 27232 1591 collect es an 262 o Oo o s lectivement ek collect s d chetteries oroduites Boues STEP en t de MS an
156. e la toxicit du produit et rares sont ceux qui accepteraient des efforts importants pour leur limination plus rares encore ceux qui consentiraient d bourser la moindre somme Le rejet la poubelle en m lange avec les d chets m nag res peut entra ner soit des rejets polluants l atmosph re en cas d incin ration soit la pollution des eaux de la nappe phr atique ou de surface en cas d enfouissement Le rejet l vier ou l gout aboutit soit directement dans le milieu nature soit une station d puration o les cons quences peuvent tre directement n fastes des produits toxiques m me en quantit limit e peuvent tuer tout ou partie de la biomasse et perturber grandement le fonctionnement de la station Autre ph nom ne possible des rejets de solutions m talliques vont entrainer une concentration excessive de m taux dans les boues et rendre celles ci impropres une valorisation agricole 8 2 2 N cessit de collectes sp cifiques Il convient donc de mettre en place des collectes sp cifiques de ces produits Apr s identification ils seront regroup s et vacu s vers des centres de traitement Le probl me pos par les d chets en petites quantit s n est pas marginal c est pourquoi les professionnels du d chet et les pouvoirs publics ont t amen s vers les ann es 1980 s interroger sur les proc dures administratives et techniques qu il y avait lieu de mettre en uvre pour collec
157. e n cessaire et prise d chantillons al atoires Tride la fraction gt 100 et pes es pour s parer les fractions fines 8 20 et lt 8 Quartage de la fraction 20 100 puis tri de l chantillon pr lev Comme convenu aucun poids sec n a t d termin l int r t tant de caract riser les d chets collect s et non de donner la composition des d chets en poids sec cette d composition n ayant pas d int r t pour l tude de production des d chets des populations touristiques Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 3 GIRUS SA CM novembre 1999 1 3 Description de l op ration En l absence de sous traitant GIRUS a r alis l ensemble de l op ration pr paration tris des chantillons pes es saisie et analyse des r sultats Le personnel GIRUS ayant l habitude de ce genre d op ration celle ci a t r alis e dans les meilleures conditions La commune d Agde et plus particuli rement le Cap d Agde a t choisie pour cette op ration la commune dispose en effet d un site pour la pes e et le tri des fractions l usine d incin ration et son taux tr s lev de tourisme assure une repr sentativit maximale des comportements touristiques littoraux majoritaires dans l H rault Cette op ration devait se d rouler durant la p riode touristique maximale juillet ao t La semaine du 16 ao t a donc t retenue pour cette premi re op ration d
158. e pas d estimation de la production de boues de Vic la Gardiole et Mireval car ces deux communes traitent leurs eaux us es par lagunage curage tous les 10 ans environ Les quantit s de boues produites ainsi que leur siccit sont fournies pour les stations de Villeneuve et de Frontignan S te Balaruc Cependant aucune source n est mentionn e Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 26 GIRUS SA CP f vrier 2000 2 4 Zone de Montpellier Cette zone est constitu e par les diff rentes communes que regroupe le District Les tonnages trait s par les quipements du District sont connus Cependant aucune tude de fili re et de zone n a t r alis e Il n existe pas d estimation du gisement global de d chets et on ignore si certaines d charges communales sont encore en fonctionnement Les documents pris en compte sont gt Projet DEMETER de valorisation traitement et limination des d chets m nagers Dossier d information tabli par la collectivit District de l Agglom ration de Montpellier f vrier 1999 gt Projet DEMETER de valorisation traitement et limination des d chets m nagers Dossier d information sur le centre d enfouissement technique du Th t District de l Agglom ration de Montpellier f vrier 1999 gt Projet DEMETER de valorisation traitement et limination des d chets m nagers Dossier d information sur le
159. e terrain 1 Pr paration L op ration a t pr par e en collaboration avec les intervenants de terrain gt La Communaut de Communes a apport sa connaissance du terrain d exp rience pour le choix des quartiers et r sidences test r sidences horizontales du quartier de la Pin de et r sidences verticales de L le des P cheurs Les r sidences retenues ont t choisies en fonction de l absence de commerces dans des quartiers strictement r sidentiels La soci t prestataire de collecte a mis disposition un v hicule de collecte avec une quipe sp cialement pour l op ration le premier jour le chef de projet GIRUS a suivi la collecte et donn les consignes pour la collecte du lendemain Deux campings ont t retenus qui ont suivi les consignes quant la s paration des sacs de leurs commerces internes et snacks Ils ont amen leurs d chets normalement les jours demand s Le g rant de l usine d incin ration a mis disposition un hangar abrit des casques et du mat riel utiles pour l op ration Un plan de s curit a par ailleurs t labor pour pr venir les incidents La pr sence d un consultant GIRUS sp cialis dans les caract risations lors des premiers tris a permis de choisir les cat gories trier et de pr ciser le mode op ratoire en fonction des objectifs fix s l avance et de la nature des d chets r ceptionn s Le mat riel sp cifique l op r
160. ecte s lective 5 et 10 ans puissent tre fix s concernant les d chets suivants textiles pneumatiques batteries et huiles ainsi que les moyens correspondants mettre en uvre au sein des collectivit s Idem pour tous les DMS et DTQD 2 1 7 Recyclage organique gt Dans le Plan actuel seuls les boues valu es uniquement en produit brut et les d chets v g taux sont pris en compte Il appara t souhaitable que le Plan puisse tudier de mani re plus approfondie le compostage d autres d chets et en particulier de la fraction fermentescible des ordures m nag res sur certains secteurs lorsque des d bouch s existent pour les amendements ainsi fabriqu s Il faudrait alors d finir les moyens aff rents mettre en uvre collecte s parative compostage individuel engager une d marche de qualit programme QUALORG et pr coniser une gestion de proximit gt Des tudes de d bouch s des composts produire seraient galement engager quantification mais aussi qualification des composts et ce par secteur du d partement 2 1 8 Recyclage global voir observations 2 1 6 et 2 1 7 II serait souhaitable que le Plan d termine le taux de recyclage global au sens de la circulaire du 28 04 98 pour l ensemble des d chets m nagers et assimil s dont l limination est de la responsabilit des collectivit s 2 1 9 Traitement thermique et r cup ration d nergie Le Plan actuel pr conise l incin rat
161. ective du papier ne s effectue que sur 6 communes Les tonnages indiqu s sont estim s en fonction de l quipement de collecte Le plastique est galement collect ponctuellement en borne d apport volontaire Les IIS tonnages r cup r s ne sont pas quantifi s Les encombrants Une estimation du gisement et r alis e en prenant un ratio de production d environ 50 60 kg hab an soit une production totale de 2 000 2 500 T dont 120 T sont r cup r es directement sur le site de l usine d incin ration Les quantit s de petits encombrants collect s avec les ordures m nag res les encombrants collect es en porte porte par les services municipaux et sur les points de regroupement ne sont pas quantifi es Les d chets verts Ces d chets aboutissent en d charge ou bien sont br l s Une estimation du gisement est r alis e 2 500 T an soit un ratio de 60 kg hab an Les d chets inertes sont d pos s dans directement en d charge et repr senteraient un tonnage d environ 2 000 T an Aucun renseignement n est fourni sur la m thode de calcul Les d chets municipaux Il n existe pas d estimation du gisement de d chets municipaux Les d chets des professionnels L tude donne un gisement potentiel de 6 700 T an Cette estimation a t r alis e partir des entreprises pr sentes sur le secteur Selon le SICTOM et les collecteur 2 000 3 000 T seraient collect es par des entreprises priv es C
162. eeaean 35 4 2 3 La valorisation des d chets apr s trois ans d application du plan quels r sultats 36 4 3 3 Les capacit s de traitement et de stockage dans le d partement apr s trois ans d application du plan DOTE A LOUIS 36 4 3 LES NOUVELLES FILI RES DE TRAITEMENT NOUVELLE D FINITION DU D CHET ULTIME 40 4 4 LES NOUVEAUX OBJECTIFS DE VALORISATION DES D CHETS MUNICIPAUX nsc 45 E E e 45 4 4 2 Objectifs de valorisation D chets Municipaux DIB 50 5 EMBALLAGES M NAGERS manne aan 58 D A LE CONTE T E nn ton 58 5 2 LA PRODUCTION DE D CHETS D EMBALLAGES M NAGERS a a 58 ALES OBIEC REENEN LE EE EE 59 5 4 LES COLLECTIVIT S AYANT CONTRACT AVEC 59 6 1 BILAN DES MATI RES ORGANIQUES VALORISABLES SUR LE D PARTEMENT DE L H RAULT 61 6 2 EXISTANT D PARTEMENTAL EN MATI RE DE COLLECTE ET DE TRAITEMENT DE LA MATI RE ORGANIQUE 61 6 3 SYNTH SE DE LA R GLEMENTATION APPLICABLE EN MATI RE DE TRANSFORMATION ET DE VALORISATION DES EU 62 6 4 TECHNIQUES DE TRAITEMENT DES PRODUITS ORGANIQUES DANS L OPTIQUE D UNE VALORISATION 63 6 4 T Procede par aeration Naturelle u aqa aaa Mi tie 63 Procede
163. efus Nature des Tonnage Prix N refus annuel la de refus tonne EC m chefers 518 58 F REFIOM m chefers REFIOM n e ET mee sr des Etangs Te Teo pret ama SSES RE et Etang mas T m chefers UTOM de B ziers Ville de B ziers Compostage 1969 1989 120 t jour 39 000 t an 100 000 hab OM 62 Inorganiques 23 338 372 F t B ziers BRS et Tri OM 45 000 t an t an brutes plate forme 1995 4 000 t an 2 000 t an 70 000 hab DV FFOM 10 200 t an 190 F t compostage Compostage FFOM Vendres Compostage points t an BRS d OM propret Usine de Clermont Syndicat Centre Broyage 1973 1973 modifi e en 15 000 t an 16 000 t an 35 000 hab 50 55 Inorganiques O t an 251 57 F Compostage de l H rault H rault Compostage 1987 et 1990 Clermont l H rault compostage d ch verts verts boues boues compostage Montpellier d chets verts verts Bessan d Agde fermeture 244 00 F C E T de Saint Saint Jean Ville de B ziers Enfouissement 1999 1973 2002 10 000 t an 55 000 t an 91 300 hab Refus 0 Jean de Libron de Libron encombrant S DIB D chets municipaux 0 t an 140 F t C E T de Soumont Syndicat Centre Enfouissement 1987 1987 2002 20 000 t an 10 500 t an 50 000 hab Refus de 50 55 Soumont H rault compostag e OM C E T Villeveyrac SINBT Enfouissement 1979 1979 gt 2002 Refus de tri DIB OM r siduelles et Mosson enc D I B E eg ee Tel e oB I Lan Montpellier DIB
164. els Le Plan qui reste tr s g n ral pourrait apporter des pr cisions concernant les points suivants il est trop fait recours aux tudes d application pour la localisation et le dimensionnement des unit s Une optimisation des transports et une meilleure application du principe de proximit devrait tre recherch e il n y a pas eu d tude des possibilit s de transports alternatifs la route ni d finition de l opportunit ou de la localisation de stations de transfert les contraintes li es l activit saisonni re pourraient tre davantage consid r es une organisation des moyens et des objectifs de recyclage mati re et organique sp cifiques pourraient ventuellement tre envisag s durant cette p riode les flux d partementaux devraient tre mieux d finis quantit s autoris es par nature de d chets gt gt La notion de d chets ultimes selon le Plan Elle est bien pr cis e dans le Plan actuel ce seront soit les r sidus de l incin ration soit des d chets qui ne peuvent pas tre trait s par r emploi ou par traitement thermique Economie Le Plan actuel ne comporte gt aucun chiffrage des investissements r aliser renvoy aux tudes d application p 63 synth se gt aucune estimation des co ts d exploitation gt ni aucune valuation des impacts sur l emploi Il ne reprend que des donn es nationales concernant les co ts moyens de traitement Intercommunalit
165. ene ala kuka 7 1 3 2 La r habilitation des d charges sauvages strat gie mise en oeuvre 8 1 3 3 Les nouvelles installations de traitement des d chets m nagers et assimil s depuis l approbation du Ee 9 kost FIX Ot iela K he unu naa 10 2 CONTEXTE ADMINISTRATIF ET R GLEMENTAIRE DE LA R VISION DU PLAN 11 2 1 D CRET RELATIF AUX PLANS D LIMINATION DES D CHETS M NAGERS ET ASSIMIL S 11 2 27 CIRCULAIRE DU 28 AVRIL E 12 23 ANALYSEAADEME DU PLAN H RAULT E 13 2 4 STRUCTURATION DU TRAVAIL DE R VISION eege 13 Zad EE 13 2 4 2 Groupe de travail Etudes de fili res et de zones 14 2 4 3 Groupe de travail D L B D chets toxiques D chets du RIP 14 2 4 4 Groupe de travail Production de d chets statistiques 7 14 2 4 5 Groupe de travail Valorisation organique 15 2 4 6 Groupe de travail Analyse EE 15 2 4 7 Groupe de travail R duction des d chets la source A deg 2 5 LES TAPES ADMINISTRATIVES DE LA R VISION 16 3 STRUCTURATION ADMINISTRATIVE DU DEPARTEMENT D COUPAGE EN ZONES 18 3 1 NOTE PR LIMINAIRE L APPLICATION DE LA LOI CHEV N
166. ent l chelle intercommunale un objectif commun de mise en oeuvre d une fili re compl te de collecte s lective et de traitement des d chets Elles sont donc l initiative de plusieurs collectivit s locales regroup es ou non au sein d une m me structure juridique Ce regroupement s inscrit alors dans un niveau de comp tences tel qu il a t rappel au 1 3 1 Territoire concern Niveaux de Date de fin de Bureau d Etudes regroupement r alisation 40p annexes de Thau 19 95p annexes Mosson 73 annexes Syndicats du Grand Mai 1998 GIRUS Bitterois 100p annexes Etangs 64p annexes Syndicat de la Mer et des 1 2et3 Octobre 1998 GIRUS TRIVALOR BEFS Etangs TEC 235p annexes SIVOM Canton 1et2 Novembre 1998 d AGDE 127p annexes Syndicats des Hauts 1 et 2 Juillet 1999 GIRUS Cantons 70p annexes Syndicat Mixte d Etudes 1 2et3 Juillet 1999 G O Conseil Env de la Zone Ouest 200p annexes tab 4 tudes de fili res et de zones r alis es depuis l approbation du Plan Ces tudes de fili res et de zones constituent une source d informations tr s importante dans le cadre de la r vision du Plan sachant qu elles permettent non seulement d actualiser les chiffres de production de d chets m nagers et assimil s mais galement de faire remonter aux instances pr fectorales les choix effectu s par les lus en mati re de fili res de collecte et ou de traite
167. ent des collectes s lectives d emballages recyclables et de la fraction fermentescible des ordures m nag res Les r sultats sont aujourd hui encore insuffisant en mati re de valorisation organique l organisation des transferts et transports au sein de la zone la recherche dau moins un site d enfouissement de d chets ultimes 3 l am lioration des rendements de collecte s lective de valorisations mati re organique passera par le d veloppement de la communication La fermeture et r habilitation de la d charge du Th t et la mise en place rapide d une fili re alternative de traitement des d chets m nagers et assimil s pour le secteur de Montpellier En conclusion Page 44 4 4 Lee nouveaux objectifs de valorisation des D chets Municipaux Alors que le premier plan d partemental pr voyait un objectif global de valorisation pour l ensemble du d partement un effort a t effectu sur l adaptation des objectifs de traitement la nature d mographique g ographique et sociologique du territoire consid r Cette adaptation ne vaut toutefois que pour les D chets Municipaux comprenant e les Ordures M nag res e les D chets M nagers autres que les Ordures M nag res encombrants d chets verts gravats D chets M nagers Sp ciaux e les D chets Industriels Banals D I B collect s par les circuits de collecte des collectivit s Les D chets Municipaux rel vent de la responsabi
168. ent des petits encombrants collect s avec les ordures m nag res Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 27 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les d chets verts Les tonnages de d chets verts qui sont compost s sur la plate forme de compostage de Grammont sont connus 8 875 T provenant des points de propret gt 1 325 T provenant des services municipaux 1 800 T provenant des entreprises La conversion en tonnes a t calcul e sur la base de 1m 0 250 T Ce ratio suppose que les quantit s converties repr sentent des d chets broy s Les d chets inertes Seules les quantit s de terres et de gravats des professionnels destination CET Ill de Grabels sont pes es et identifi es II n existe pas d estimation du gisement global des d chets inertes Les d chets municipaux Mis part pour les d chets verts aucune quantit n est donn e Les d chets des professionnels Seules les quantit s de d chets professionnels trait es s par ment des ordures m nag res et par les quipements du District sont connues Il ne s agit en aucun cas d une estimation du gisement global de d chets produits par les entreprises et les commerces serait n cessaire d identifier les quantit s collect es avec les ordures m nag res Ces d chets doivent repr senter un tonnage non n gligeable vu l importance des petits commerces au centre ville de M
169. entent la m me organisation trois premi res colonnes identiques Cette feuille permet de saisir les objectifs de quantit s entrantes dans les diff rentes unit s sectorielles de chaque cat gorie de d chets OM DM Boues DIB des collectivit s pour les ann es de r f rence Unit s Centre Centre de Entrant centre Entrant centre Entrant Entrant traitement centre de tri centre de tri code du gis global Tonnes Les trois premi res colonnes unit du secteur permettent d identifier les unit s sectorielles auxquelles les diff rents secteurs sont attach s Pour ce faire il a t attribu un code chaque unit sectorielle Trois types d unit s sont consid r es comme sectorielles e les centres de tri e les unit s de traitement par compostage urbain sur ordures brutes Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 21 GIRUS SA CP Janvier 2000 e les unit s de traitement par compostage de la fraction fermentescible des ordures m nag res des d chets verts et ou des boues d puration e les unit s de traitement par incin ration e les centres de stockage des d chets ultimes CSDU Le principe est que chaque secteur ne peut avoir qu une installation de chaque type Les unit s sont d crites dans les feuilles suivantes Ces codes peuvent tre modifi s directement lorsqu il y a modification des unit s sectorielles affect es aux sec
170. ents peut tre in gale D chetteries D charge Plates formes Centre de tri Centre de d inertes de transfert compostage 5 dont 2 mini 2 une sur le 3 sur l H rault un centre de un centre de SIICTOM de tri capacit transfert 10 000T an Centre Sud Non Non Montpellier communiqu communiqu communiqu communiqu 3 en option Zone Ouest dix huit dix huit 3 nouvelles UIOM Agde et plates formes P zenas transform es Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 34 GIRUS SA CP f vrier 2000 4 SYNTHESE Cette partie pr sente un r capitulatif des quantit s des grandes cat gories de d chets recens es par zone et par syndicat Elle fait appara tre les lacunes compl ter pour une meilleure connaissance du gisement de d chets sur le d partement de l H rault Elle s accompagne galement de commentaires g n raux 4 1 Les ordures m nag res collect es en porte porte La production d ordures m nag res strictes est rarement quantifi e La donn e syst matiquement communiqu e est la quantit d ordures m nag res collect es Cette donn e est soit issue de pes e soit estim e La quantit d ordures m nag res collect e et recens e sur le d partement de l H rault s l ve 385 132 T an Pr cisons que certains syndicats n ont pas r alis d tude ou bien que les r sultats ne nous pas t communiqu
171. er des faims d azote gt 0 3 de la MS risque de produit ayant repris une fermentation active gt 3 attention ne pas cr er un d s quilibre K Mg vigne notamment gt 20 valeur d amendement calcaire int ressant en sol acide bloque la disponibilit des l ments fertilisants en sol calcaire Page 68 Caract ristiques analyiques Valeurs normales Valeurs seuils attention chimiques et organiques MO 30 70 gt 70 s interroger sur la stabilit et la maturit du produit peu repr sentatif souvent produit trop fibreux ou pr sence de plastique Compost Compost de boues de d chets verts 8 10 12 15 20 engrais produits en m lange compost FFOM non compost s acides humiques fulviques composants de l humus stable El ments traces m talliques Conformit arr t 08 01 99 ppm ou mg kg de produit d chets verts boues sec Conformit marque NF Urbain FFOM Cd Cu Ni Pb Hg Zn Conformit arr t 08 01 99 Se Absence autres mati res Et analyse non demand e El ments traces organiques HPA PCB tab 18 caract ristiques analytiques d un compost NF U 44 051 homologation NF Classe A boues Arenic So 30 Cadmium Ir 5 j 8 2 Chrome _ 200 2000 Nickel S l nium S l nium 20 Zn Cu Cr Ni TI Total 7 PCB 08 e Sur p tu
172. es comp tences les conomies d chelles r aliser dans certains quipements les effets de d bordements ph nom ne du trou noir par lequel une unit de traitement en sous charge capte des d chets d autres secteurs la p r quation des charges financi res et surtout la difficult faire accepter des usines d incin ration ou des centres de stockage de d chets ultimes font que le plus souvent les collectivit s se regroupent pour le traitement Dans la situation actuelle on peut distinguer en r gle g n rale et en milieu rural deux niveaux de comp tences correspondant deux types de regroupement en cascade Premier niveau de comp tences Les communes actuellement regroup es dans un syndicat SIVU SICTOM SIVOM ou une communaut de communes assurent la collecte g n rale et s lective des d chets leur transport l exploitation de d chetteries de centres de transfert et ventuellement sans que la limite en soit bien d finie de petites unit s de valorisation mati re telles que des petits centres de tri ou des plates formes de compostage Ce premier niveau de comp tences de service public est galement exerc sans regroupement par les grosses communes et les villes 11 correspond un service proche de la population demandant peu d investissements et dont le point d quilibre conomique est faible en population par exemple une benne un chauffeur et deux rippeurs ramassent les
173. es d chets en g n ral sont trait s hors SICTOM Les d chets m nagers sp ciaux II n existe pas d estimation du gisement de d chets m nagers sp ciaux Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 15 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les d chets d assainissement Ces d chets repr senteraient un gisement annuel d environ 2 650 T dont 1 290 T de boues liquides 1 350 T de boues s ches 2 2 4 Biterrois Les documents pris en compte sont gt Etude de fili re et de zone du secteur Grand Biterrois GIRUS avril 1998 gt Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Etude globale de gestion et de traitement des d chets m nagers et assimil s synth se de la phase 3 Orientations G O CONSEIL Environnement mars 1999 gt Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Sch ma Directeur de gestion des d chets de la Zone Ouest de l H rault G O CONSEIL Environnement juin 1999 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Les quantit s fournies sont g n ralement issues de pes es r alis es sur le site de de B ziers ou l usine de de Vendres Des estimations sont r a
174. es d chets verts Le gisement des d chets verts non collect s en d chetterie est calcul sur la base d un ratio de 100 kg hab an Ce qui am ne un total de 11 783 T an pour la partie h raultaise du syndicat Les d chets inertes lls sont comptabilis s dans le tonnage global des d chets collect s en d chetterie et autres d chets non collect en d chetterie Il n existe donc pas d estimation pr cise de ce gisement et aucune information n est donn e sur le mode de calcul de ces tonnages globaux Les d chets municipaux lls sont comptabilis s dans le tonnage global des d chets collect s en d chetterie et autres d chets non collect en d chetterie Il n existe donc pas d estimation pr cise de ce gisement et aucune information n est donn e sur le mode de calcul de ces tonnages globaux Les d chets des professionnels La quantit repr sent e par ces d chets est donn e pour l ensemble du Syndicat et le mode de calcul utilis n est pas mentionn Le d tail par syndicat n appara t pas Nous avons donc calcul le tonnage se rapportant la partie h raultaise du syndicat au prorata du nombre d habitants Ce tonnage s l ve 31 274 T Les d chets li s l activit littorale Une partie de ce syndicat est situ en bordure littorale et fait l objet d une fr quentation touristique importante Cependant aucun renseignement n est fourni en ce qui concerne les d chets de nettoyage des plages Analy
175. es m nag res collectes d encombrants et autres d chets m nagers d chetteries Par le choix du syst me de financement du service de collecte et de traitement des d chets m nagers la collectivit accepte explicitement ou implicitement de traiter les d chets collect s Elle en prend alors la responsabilit e Les DIB rel vent de la comp tence des entreprises productrices de ces d chets ils sont collect s et trait s selon un circuit propre organis et financ par l entreprise productrice de ces d chets Seules ces entreprises en sont responsables La distinction entre la part D chets Industriels Banals et D chets M nagers dans la globalit des d chets collect s par une collectivit donn e est tr s difficile estimer Aucune tude nationale n a donn de r ponse ce sujet l heure actuelle Page 50 Dans le cadre de son tude g n rale sur les gisements actuels et futurs de d chets m nagers et assimil s le cabinet GIRUS a entrepris une enqu te sur trois circuits de collecte du SICTOM de P z nas gr ce la distribution momentan e de bacs de collecte sp cifique DIB tous les artisans et commer ants des territoires concern s une estimation plus fine de la part DIB dans les ordures m nag res a pu tre approch e Les r sultats sont surprenants puisque sur un quartier commer ant de P z nas les ordures m nag res strictes repr sentent moins de 50 du contenu des bacs de collecte Ordures
176. es s paratives des encombrants et des d chets verts par les collectivit s peuvent galement tre prises en compte BOUES D EPURATION Boues Boues Boues Gisement MS MS valoris es Brutes valoris es SATEBE En ce qui concerne les boues d puration il s agit de donn es entr es sur les lignes des communes de r f rence suivant le fichier du Il serait n cessaire d obtenir des informations plus pr cises notamment lorsque certaines stations desservent des communes appartenant des structures intercommunales comp tence d chet diff rentes part de production de chaque commune Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 9 GIRUS SA CP Janvier 2000 2 3 2 La feuille D chetterie Les premi res colonnes correspondent celles de la feuille Collecte Les donn es sont rentr es au niveau de la commune d implantation de la d chetterie e noms des communes desservies et ou population desservie e quantit s re ues en d chetterie d clin es par cat gorie de mat riaux et exprim es en Tonnes an Ces chiffres sont soit issus de pes es soit issus d estimations volumiques transformation en tonnes partir des densit s ADEME Communes Population QUANTITES RECUES PAR CATEGORIES DE MATERIAUX D chetterie D chetterie D chetterie D chetterie D chetterie D chetterie D chetterie
177. es toxiques sp cifiques La encore les quantit s rejet es ne permettent pas d identifier un effet sanitaire les impacts environnementaux tant li s la salinit de ces rejets e Par ailleurs les op rations de transport des d chets participent aux effets sanitaires et aux dangers produits par la circulation automobile en g n ral ces effets sont examin s dans les tudes recommand es par les plans r gionaux pour la qualit de l air PRQA et dans les plans de protection de l atmosph re D une fa on g n rale la d tection d ventuels effets sanitaires induits par le fonctionnement des installations de traitement de d chets passe en premier lieu par l observation de l tat de sant des travailleurs pr sents au sein de ces installations qui sont a priori les plus expos s C est donc partir des statistiques des services de m decine du travail qu il appara t envisageable d identifier d ventuels effets sanitaires plus long terme sur les populations riveraines DOR F 2000 lt Evaluation des nuisances et impacts li s l incin ration d ordures m nag res assimil es gt ADEME SRIM Page 99 11 3 E trets du plan d partemental sur la sant Le plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s contribue am liorer la protection de la sant des populations par l incitation la mise en uvre de proc d s de collecte et de traitement limitant les m
178. estion de leurs d chets et contribuent trouver des solutions r duction de d chets la source retour aux fabricants sensibilisation recherche de fili res Leurs efforts doivent tre accompagn s et amplifi s par l ensemble des intervenants de la collecte et du traitement des d chets Pour l heure l absence de fili res de traitement un maillage insuffisant de structures accessibles aux d chets des professionnels est durement ressentie par les entreprises car cela est source de d sorganisation et de co ts Enfin la production de d chets des petites entreprises pr sente plusieurs particularit s dont il faut tenir compte ce sont des productions de d chets en petites quantit s par entreprises diffuses et h t roclites difficilement planifiables et difficiles limiter Page 73 7 1 P rodacion de DIB dans le d partement 7 1 1 Estimation de la production de DIB Depuis 1996 plusieurs enqu tes d estimation de la production de D chets Industriels Banals DIB permettent d avoir une vision beaucoup plus pr cise de ce qui est produit dans le d partement En effet l enqu te r alis e en 1996 par la CRCI et l ADEME aupr s des entreprises de plus de 10 salari s a t compl t e par e une enqu te r alis e en 1997 par la Chambre de M tiers de l H rault aupr s des entreprises artisanales compl t e et enrichie par des travaux r alis s par la Chambre R gionale de M tiers du Languedoc Rous
179. eurs chez les campeurs on ne trouve pas de cendres ni de charbon chez les r sidences verticales etc La comparaison avec les r sultats des campagnes de MODECOM nationaux voir en annexe montre avant tout une grande diff rence au niveau du verre qui repr sente 20 des d chets des touristes contre 13 pour les r sultats nationaux bas s sur des s dentaires une plus faible proportion de d chets fermentescibles 26 contre 32 environ de papiers 12 contre 13 5 de cartons 6 6 contre 8 5 de textiles 0 9 contre 2 5 une plus forte proportion de plastiques 2 en poids mais avec une densit tr s faible largement domin s par les bouteilles d eau min rale et les emballages non subventionn s type barquettes viande jambon salades etc Par ailleurs la production journali re d un touriste est comparable celle d un habitant s dentaire 650 850 pour un touriste contre 786 en rural 1230 en urbain pour un s dentaire ce qui confirme l int r t des communes touristiques organiser leurs collectes s lectives aupr s des populations touristiques avec une communication ad quate 1 6 Extrapolation l ensemble du d partement 1 6 1 Donn es d partementales du tourisme Le Comit d partemental du Tourisme de l H rault dispose de donn es repr sentatives sur les nuit es et leur volution au cours de l ann e Cette donn e est la plus int ressante pour extrapoler la production de d
180. excessives soient au niveau de la production m me des d chets gt L absence de d chetterie sur le SICTOM induit la r cup ration des d chets encombrants avec les ordures m nag res gt La fr quence de collecte lev e tous les jours et la conteneurisation en bacs collectifs de grande taille favorisent aussi le d p t de d chets encombrants et de d chets de chantier bricolage r habilitation des logements par les particuliers ou les artisans etc dans les bacs gt Le centre de P zenas commerces monuments et vieilles rues est l objet d une activit constante source de d chets m nagers suppl mentaires li e la pr sence permanente de personnes non comptabilis es comme habitants commer ants touristes et habitants hors du quartier qui consomment et prennent leur repas sur place par exemple gt Malgr la communication en porte porte r alis e aupr s des professionnels Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 6 GIRUS SA CM novembre 1999 des erreurs ont t constat es et des DIB ont t retrouv s dans les bacs ordures m nag res On estime qu au moins 15 des quantit s de la collecte s parative ordures m nag res sont constitu es de d chets non m nagers L op ration s tant d roul e apr s la fin de la saison touristique beaucoup d choppes et de commerces saisonniers taient ferm s Les r sultats sont donc plut t repr sentatifs de la
181. fectu une tude de fili re et de zone Les chiffres annonc s concernent donc uniquement ce syndicat Cette tude est une des premi res r alis es apr s la parution du plan Les tonnages indiqu s et notamment les objectifs de collecte s lective sont prendre avec pr caution d autant plus que les orientations de collecte s lective des recyclables ont t modifi es depuis la parution de ce travail II n existe galement pas d informations sur le mode de calcul ou la source des estimations fournies Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Il n est pas pr cis dans l tude si le tonnage indiqu est issu de pes es ou bien estim Toutefois si on ram ne le tonnage la population du dernier recensement on trouve un ratio de 371 kg hab an Ce ratio englobe les ordures m nag res produites par la population s dentaire et la population touristique ainsi que les d chets industriels et banals collect s avec les ordures m nag res Les collectes s lectives Le verre les papiers et les huiles font l objet d une collecte s lective Cependant les quantit s collect es ne sont pas connues Les tonnages de verre sont englob s dans les tonnages de verre collect s en d chetterie Les encombrants lls sont collect s s par ment des ordures m nag res par le SIC TOM sur des plates formes de collecte de pro
182. ff rentes raisons Les d chets collect s sont syst matiquement pes s leur arriv e l usine d incin ration cela permettait donc d obtenir des chiffres r els sans remettre en cause l organisation du transport des ordures Les collectes d ordures r alis es conjointement par les quipes du SICTOM et de la commune de P zenas taient tr s proches des circuits voulus la r organisation sur la semaine test paraissait donc ais e gt La commune de P zenas est d coup e diff rents secteurs pour les recensements de population ce qui permettait d obtenir facilement des donn es pr cises sur le nombre d habitants concern s par l op ration gt P zenas est le centre d une unit urbaine son centre ville est une zone attractive pour les habitants des communes alentours Les quipes techniques les responsables et les lus se sont port volontaires et ont propos leur aide ce qui constituait un atout important pour la r ussite de l op ration L volution mensuelle des tonnages collect s fait appara tre le caract re touristique du SICTOM et notamment de la ville de P zenas 1 4 Description de l op ration Communication Pr paration La participation des professionnels tait un l ment d terminant de la r ussite de l op ration il a donc t n cessaire de les informer des dispositions prises et de les inciter participer Dans le secteur centre de P zenas une visite a donc
183. ges qui se rapportent ces activit s En g n ral lorsqu il y a p r quation du transport on pourra consid rer qu il est li au traitement Pour la mise en d charge de d chets ultimes il ne s agit pas de traitement proprement dit mais d limination Mais par extension on pourra l assimiler un traitement surtout s il y a puration des lixiviats et du biogaz 3 1 Le financement du service Le financement tant unitaire pour un service susceptible d tre scind la loi a clarifi les conditions dans lesquelles il peut tre financ e soit par la taxe d enl vement des ordures m nag res TEOM institu e par les articles 1520 et 1609 du CGI articles 80 de la loi modifiant le1609 bis pour les CU 83 modifiant le 1609 quinquies CI pour les CC 84 modifiant le 1609 quater pour les Syndicats et syndicats mixtes 89 IV et 84 modifiant le 1609 nonies D pour les CA e soit par la redevance d enl vement des ordures m nag res REOM article 85 qui modifie l article L 2323 76 du instituant la REOM e La loi n 99 1126 du 28 d cembre 1999 modifiant le CGCT dite loi recensement par son article 16 a compl t ces dispositions par des mesures transitoires pour 2000 et 2001 destin es faciliter la mise en place des nouveaux syst mes de financement Depuis la loi du 12 juillet 1999 peuvent instituer TEOM ou une REOM calcul e fonction du service rendu les communes les EPCI dont les syndicats
184. gistrement est modifi le bouton R tablir devient disponible et permet d effacer toutes les modifications apport es l enregistrement La grille permet galement de rechercher un enregistrement en cliquant sur le bouton Crit res Un grille vide s affiche permettant de saisir les informations recherch es 1 2 1 Utilisation de la commande Filtre automatique Dans toutes les feuilles de saisie ou de calcul on peut utiliser cette fonction afin de mettre jour les donn es Il suffit de se placer sur la deuxi me ligne contenant les noms des champs de d rouler le menu Donn es et de s lectionner Filtre Dans le sous menu affich s lectionnez Filtre automatique Des boutons de listes d roulantes sont affich s droite des noms des champs En cliquant sur ces boutons les listes des valeurs disponibles s affichent La s lection Personnalis est associ e l ouverture d une bo te de dialogue permettant d afficher directement le ou les enregistrements voulus Pour afficher de nouveau tous les enregistrements il suffit de s lectionner Filtre dans le menu Donn es puis de cliquer sur Afficher tout dans le sous menu Pour revenir un affichage sans liste d roulante il suffit de cliquer sur Filtre automatique dans le m me sous menu afin de d sactiver cette option 1 3 Les fonctions de base de donn es Dans Excell il existe un certain nombre de fonctions propres aux bases de donn es Ces fonctions permettent d op re
185. i pour renforcer la prise en compte en compte de la probl matique des d chets du BTP dans le d partement de l H rault il convient dans une logique essentiellement volontaire et consensuelle d initier et animer une r flexion locale avec les associations professionnelles les chambres consulaires et le cas ch ant les collectivit s locales Dans le cadre partenarial pr cit et en collaboration avec les autres services d concentr s int ress s les services de l Equipement sont charg s de piloter l laboration d un Plan de gestion des d chets du BTP qui vise l application concr te sur le terrain des objectifs assign s par la circulaire du 15 f vrier 2000 savoir e Assurer le respect de r glementation et appliquer le principe lt pollueur payeur gt Mise en place d un r seau de traitement et organisation de circuits financiers Participer au principe de r duction des d chets la source R duction de la mise en d charge au profit de la valorisation et du recyclage R utilisation des mat riaux recycl s et conomiser les ressources de mat riaux non renouvelables e Impliquer les ma tres d ouvrages publics dans l limination de leurs d chets 7 3 3 Favoriser la valorisation des d chets du BTP Pour cela il est n cessaire que des quipements ad quats soient cr s mais aussi que certaines mesures permettant de favoriser la valorisation de ces d chets soient prises 7 3 3 1 Cr ation de centres de tri
186. i re Pics de production en Juillet et Ao t e Collectes s lectives des recyclables et des fermentescibles encore trop peu d velopp es e Fili re de traitement des d chets ultimes centr e sur l usine de traitement tri compostage urbain de Vendres y compris enfouissement en CET de classe Il SICEOM de Puisserguier SITOM du Littoral Sch ma n 11 d limitation du secteur Biterrois 2 extrait tude GIRUS 11 99 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES OUEST Centre H rault Secteur dominante rurale avec habitat semi urbain en p riph rie des trois chefs lieux de canton e Collectes s lectives du verre et du papier existantes e D veloppement du r seau de d chetteries actuellement en cours et r flexions sur la mise en place de collectes s lectives de la fraction fermentescible des ordures m nag res en porte porte e fili re actuelle de traitement des ordures m nag res r siduelles par compostage d su te usine de Clermont l H rault e Site d enfouissement de Soumont limit dans l tat actuel une utilisation jusqu en Juillet 2002 SORBS LE CAYLAR q l SAINT MAURICE SAINT FELIX NAVACELLES DE L HERA PEGAIROLLES DE L ESCALETT NINT PIERR DE LA FAGE J VACQUERIE ET SAINT MARTI DE CASTRIES NE DH Ve Syndicat Centre H rault SAINT GUILHEM LE DESERT CLERMONT L HERAULT A INT PAUXR VALMALL Sch ma n 12 d limitation du
187. i d urbanisation zones industrielles zones commerciales habitat semi urbain pavillonnaire ou vertical etc serait donc trop al atoire de prendre les quantit s r cup r es pour l extrapolation d partement Par contre il est plus judicieux de consid rer la r partition des quantit s m nag res et non m nag res collect es 1 7 2 Propositions A partir des r sultats obtenus et de leur analyse des propositions quant la composition des quantit s de d chets collect s peuvent tre r alis es Ces propositions sont issues de l analyse des r sultats obtenus lors de l op ration test et de recoupements avec d autres valeurs r sultats obtenus en Allemagne en zone strictement pavillonnaire etc Type de d chet m nager Ratio propos en kg an hab Ordures m nag res strictes 270 kg si aucune collecte s lective n est r alis e produites par les s dentaires Ordures m nag res non 0 100 kg suivant le caract re attractif de la zone produites par les s dentaires consid r e D chets encombrants 0 100 kg suivant la zone et le mode de collecte D chets verts 0 100 kg suivant l habitat et le mode de collecte Ces propositions sont destin es tre valid es ou modifi es pour leur utilisation au niveau d partemental Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 9 GIRUS SA CM novembre 1999 1 7 3 Application des propositions aux r sultats Si l on utilise
188. i est l origine du projet de l incin rateur de Lunel Viel et d autre part par la zone de solidarit lt Bassin de Thau gt constitu e du SIVOM de la Mer et des Etangs du SIVOM entre V ne et Mosson et du Syndicat Intercommunal du Nord Bassin de Thau Les projets de constitution de la zone Ouest ont d finitivement abouti en septembre 1997 avec la cr ation du Syndicat Mixte d tudes pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault D importants efforts ont t consentis de la part des lus pour la mise en place du Syndicat et d une tude de fili re et de zone compl te En Janvier 2001 ce Syndicat se transforme en syndicat de gestion et de travaux Les nouvelles comp tences acquises lui permettent de devenir le principal acteur en mati re de traitement des d chets r siduels sur la plus grande partie du territoire h raultais N anmoins quelques probl mes restent r soudre Le District de Montpellier ne s est pas encore prononc sur une fili re p renne de ses d chets r siduels De ce fait les lus concern s des zones voisines craignent encore une exportation des d chets du secteur urbain Cette crainte tait l origine des r gles d imperm abilit des zones nonc es l article du Plan Les lus n ont pas r ussi se prononcer sur la possibilit offerte par le Plan de 1996 de cr er 2 ou 3 zones Les r gles d changes de d chets entre zones sont j
189. icult s d limination Dans chacune des cat gories de D T Q D nous retrouvons des d chets qui n cessitent des traitements distincts savoir neutralisation pour les acides ou les bases r g n ration pour les solvants Incin ration traitement sp cifique pour les a rosols base C F C Les substances estim es les plus dangereuses sont les m taux lourds et les produits chlor s faut enfin noter que certains lt d chets gt sont recherch s pour les professionnels imprimantes lasers par des r cup rateurs comme les batteries d automobiles que leur richesse en plomb rend int ressantes Les d chets effectivement toxiques En dehors des m dicaments usag s deux autres cat gories retiennent l attention 1 Les d chets de laboratoire ou de fabrication en petites quantit s Leur nature n est pas toujours connue avec pr cision notamment lorsqu ils sont tr s actifs parce que pratiquement purs certains usages industriels par exemple des ateliers d lectronique n cessitent l usage d un acide tr s pur qui est remplac lorsque son taux d impuret d passe 2 3 Ainsi cet acide utilis et faiblement souill doit tre limin alors qu il conserve tout son pouvoir r actionnel d acide Le traitement de ces d chets est le fait d entreprises hautement sp cialis es Il va de la neutralisation la solidification avant d p t en centre d enfouissement technique sp cialis 2 Les pr
190. il n est pas fatalement issu de l incin ration S il n est pas incin r il doit avoir subi le retrait de sa fraction recyclable valorisable organique avec un seuil de diminution des quantit s de 50 La directive europ enne du 26 avril 1999 relative la mise en d charge Ce texte s inscrit dans le cadre de la r solution du conseil de l Union Europ enne du 9 d cembre 1996 selon laquelle seules des activit s de mise en d charge s re et contr l e doivent tre men es dans la communaut c est dire que seuls les d chets d j trait s seront mis en d charge l exception des d chets inertes Les Etats membres ont deux ans pour se conformer cette directive europ enne rentr e en vigueur le 16 juillet 1999 L arr t du 25 janvier 1991 et la circulaire du 30 mai 1997 relatifs aux normes d mission atmosph riques des incin rateurs L arr t du 25 janvier 1991 doit tre respect depuis le 01 12 95 La circulaire du 30 mai 1997 impose aux usines d incin ration existantes une mesure annuelle des missions de dioxines 3 3 2 Bilan sur les quipements existants Les quipements non p rennisables L ensemble des d charges municipales non autoris es doivent tre ferm es et r habilit es La r habilitation de ces sites a d j commenc et plusieurs d charges sont ferm es et r habilit es actuellement Certaines d charges doivent tre r am nag es en priorit du fait de la pr sence import
191. ils et du dioxyde de carbone dans des quantit s qui n ont pas permis ce jour d identifier d ventuels effets sanitaires des charges organiques et des acides humiques peuvent ventuellement tre entra n s par les eaux de ruissellement et perturber les milieux r cepteurs e Des fermentations ana robies se produisent sur les sites de stockage compacti s et g n rent en outre des traces de mercaptans toxiques et des quantit s significatives d hydrog ne sulfur et de m thane gaz effet de serre et explosible certaines concentrations les accidents connus n ont concern que des personnes pr sentes sur le site de stockage ou proximit imm diate Ces missions ne sont totalement capt es et contr l es que dans les proc d s de m thanisation en silos tanches La suppression des effets nuisants et la valorisation de ces manations gazeuses s effectuent par des proc d s de combustion dont les missions sont d crites plus loin Les liquides r siduels de ces fermentations sont susceptibles de contenir des substances m talliques oxyd es ou r duites des compos s organiques halog n s et des traces de solvanis et de pesticides dont les effets toxiques connus ne semblent pouvoir affecter que les organismes aquatiques directement expos s aux rejets Page 98 e La combustion des d chets et des gaz qu ils g n rent met des oxydes de carbone d azote et de soufre des acides des poussi res des compos s org
192. ion pour toutes les communes du d partement Les concentrations urbaines tant sur le littoral il y aurait alors transport des d chets non compostables ou non recyclables de l arri re pays II parait n cessaire d valuer nouveau l int r t conomique et cologique de l incin ration et d envisager l ventualit d une modification de la fili re globale du Plan pour certains secteurs du d partement En outre compte tenu de l absence de d bouch s pour de la vapeur dans l H rault il parait int ressant d tudier diff rentes options comportant une ou plusieurs produisant uniquement de l lectricit Enfin concernant les m chefers la recherche de d bouch s doit tre engag e ainsi que celle de sites pour une ou plusieurs plates formes de maturation 2 1 10 Stockage Les propositions suivantes m riteraient d tre tudi es gt YYY Int grer dans le Plan le diagnostic d partemental de remise en tat des sites de stockage avec hi rarchisation des sites r alis en 1997 et fixer un ch ancier de remise en tat et de fermeture d finitive des sites Envisager un programme de mise aux normes des sites existants de d charges autoris es Fixer par d charge la liste des communes dont les apports sont autoris s avec mention de la p riode concern e Limiter progressivement par voie r glementaire les apports de certains d chets en d charge D finir la localisation des sites de
193. is 78 7 3 4 Le d veloppement des Centres d Enfouissement Techniques de classe 3 80 8 D CHETS TOXIQUES CONTRIBUTION CHAMBRE DES M TIERS DE L H RAULT ADEME CATERER EEN 82 V NATURE DE S DO EOD GE 82 o T E 82 ds de D T O E 83 2 DIFFICULT S SP CIFIQUES EE 84 EE 84 EE EE 84 85 3 ELIMINATION DES D TO E E 85 8 amp 3 de PDifeultes EE 85 d 25 uu nm 86 b 86 EXISTANTE ee EE 88 EE EEN 88 4 2 Les m dicaments non utilis s et leurs emballages 89 S 4 3 PEs ebtacc um atents u IR ed 89 8 4 4 Reprise des d chets par le iii 89 9 ANALYSE CONOMIQUIE 90 9 1 LES CO TS MOYENS PAR FILI RE DE COLLECTE DE TRAITEMENT 90 92 CE TRANSPORT DE D CHETS EE 93 10 R DUCTION DES DECHETS LA SOURCE 94 E LES ENIEUX ee 94 10 2 L ACTION INDIVIDUELLE POUR R DUIRE LES D CHETS LA SOURCE R CLAVIJO CLAPE LR 94 10 3 LE FINANCEMENT DE LA COLLECTE ET DU TRAITEMENT DES D CHETS 95 LOL ENEUDELA COMMUNICATIONS ee eege 96 11 EFFETS SUR LA SANT HUMAINE
194. ission l exploitant du CET2 c Essai de d finition du d chet ultime Compte tenu de la diversit des d chets produits des fili res selon les zones g ographiques et des volutions techniques il n est pas possible de fournir une liste de DIB ultimes ou de DIB non ultimes Par contre nous pouvons rappeler les tapes successives de traitement que tout producteur doit rechercher pour ses d chets dans des conditions conomiques acceptables Ce n est seulement qu en cas de refus au niveau 1 que le producteur recherchera le niveau 2 et ainsi de suite 1 R duction de d chets la source et consigne ou reprise fournisseur en cas de refus 2 Valorisation mati re en cas de refus Incin ration avec r cup ration d nergie si elle existe en cas de refus 4 D chets ultimes Page 76 A titre d illustration les d chets suivants ne sont pas consid r s comme ultimes Palette m taux bois non trait bidons et films poly thyl nes carton lectrom nager TV mat riel informatique vid o t l phonie papier huiles verre bidons et films plastiques d chets verts B Stockage des DIB ultimes Dans un soucis de r alisme et de pragmatisme mais aussi pour satisfaire au principe de proximit qui constitue un des objectifs de la loi de 1992 il est souhait que les DIB ultimes puissent tre stock s au sein des CET2 les plus proches qu ils soient publics ou priv s
195. it code attribu la capacit maximum pr visionnelle de l unit exprim e en Tonnes an le pourcentage de d chets entrants valoris s mati re organique ou nerg tique le pourcentage de refus issus du centre de traitement Celui ci englobe dans le cas des usines d incin ration tout type de refus non r utilisable et non valorisable y compris les m chefers Ces diff rentes donn es sont modifiables directement notamment si les performances des unit s s am liorent Pour les unit s pr visionnelles la commune d implantation et les caract ristiques de l unit ne sont souvent pas connues La mention connue figure alors dans les cellules concern es La feuille U STOCK Cette feuille recense toutes les unit s de traitement existantes ou pr vues dans les tudes de fili re ou de zone UNITE SECTORIELLE STOCKAGE CARACTERISTIQUES Zone Secteur Commune Type Id Capacit du PDED organisation d implantation code T an Nom Les trois premi res colonnes permettent de localiser l unit sectorielle dans un sch ma d organisation d partemental de gestion des d chets Les caract ristiques de l unit sont ensuite d crites e le type de l unit ici CSDU e l identification de l unit code attribu e capacit maximum pr visionnelle de l unit exprim e en Tonnes an Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 23 GIRUS SA C
196. it Commune Commune du PDED organisation Comp tence Comp tence Comp tence Nom Code d chets collecte d chets traitement d chets autre Ces premi res colonnes permettent de localiser chaque commune du d partement par rapport une organisation territoriale qui lui est propre en terme de gestion des d chets Toute modification de secteur ou de zone d une commune doit tre int gr e a partir de ces colonnes POPULATION 99 Population Population INSEE 1999 Type de d composition La premi re colonne correspond l estimation du nombre d habitants s dentaires recens s en 1999 Il s agit des donn es sans doubles comptes Ces chiffres peuvent tre modifi s directement lors de la parution des r sultats d finitifs Chaque commune est affect e d un num ro correspondant un type de d composition par r f rence au MODECOM e 1 pour rural e 2 pour semi urbain e 3 pour urbain e 4 pour les communes touristiques communes b n ficiant d un tourisme saisonnier et de passage important Le type de d composition a t d fini en fonction du nombre d habitants et de la continuit de l habitat TOURISTES Touristes saisonniers eq hab Cette colonne correspond au nombre de touristes saisonniers exprim s en quivalents habitants Pour transformer le nombre r el de touristes en quivalent habitants on utilise la m thode suivante A partir de l inventaire communal toutes les don
197. it la TEOM et la REOM dans le calcul des dotations et notamment dans celui de la dotation d intercommunalit Ainsi chaque EPCI fiscalit propre per oit une dotation d intercommunalit compos e de deux l ments Page 19 e une dotation de base calcul e en fonction de la population totale pond r e le cas ch ant par le coefficient d int gration fiscale de l EPCI e une dotation de p r quation calcul e en fonction de la population du potentiel fiscal de l EPCI et le cas ch ant par le coefficient d int gration fiscal de l EPCI Le coefficient de pond ration fiscale introduit par la loi est le rapport entre a les recettes des quatre taxes classiques 4 vieilles TFPB TFPNB TH TP la TEOM ou la REOM et la redevance d assainissement toutes per ues par l EPCI et b b les recettes des m me taxes et redevances per ues par l ensemble des communes et des autres EPCI sur le territoire de celles ci La redevance d assainissement n est pas incluse dans le coefficient de pond ration fiscal des communaut s de communes On voit bien que les communes ont int r t transf rer les recettes des ou des REOM aux EPCI pour augmenter le coefficient de pond ration fiscale donc la Dotation d Intercommunalit 3 1 5 Les deux niveaux de comp tence d chets Manifestement une commune ne peut assumer seule la totalit des responsabilit s du service Le d veloppement de l intercommunalit pour d autr
198. jets gr ce des taux de subventions lev s atteignant dans la majorit des cas 80 du montant HT des travaux L tat actuel des r habilitations peut tre r sum comme suit COMMUNES AYANT COMMENCE O TERMINE UNE ETUDE PREALABLE A LA REHABILITATION D UNE DECHARGE BRUTE Agde Marseillan Cazouls les B ziers M ze C bazan Nissan les Ens rune Ceilhes et Rocozels P z nas Cessenon sur Orb Saint Chinian Colombi res sur Orb Vias COLLECTIVITES AYANT REALISE OU ETANT EN COURS DE REALISATION DE TRAVAUX DE REHABILITATION D UNE DECHARGE BRUTE Candillargues Les Matelles Moul s et Baucels Page 8 COLLECTIVITES PROJETANT DE REALISER PROCHAINEMENT DES TRAVAUX DE REHABILITATION D UNE DECHARGE BRUTE Assignan Lansargues Pierrerue Babeau Bouldoux Laurens Prades sur Vernazobre Cazedarnes Le Pouget Puisserguier Cers Lespignan Quarante Cruzy Magalas Soumont Creissan Montady Villespassans Lamalou les Bains Montouliers La mobilisation des lus n a pas pour autant t faible sur ce point dans bon nombre de cas la r flexion a conduit la mise en place de moyens de collecte s lective d chetteries mini d chetteries points d apport volontaire et d installations compl tes de traitement par valorisation mati re ou organique ou la d finition d une politique commune l chelle intercommunale ou intersyndicale qui s est traduite par une finalisation des tudes de fili res et de zone sur l ensemble du d
199. l absence d activit professionnelle sur ce quartier gt collecte s par e par le SICTOM mardi jeudi samedi Sur la commune de NIZAS gt collecte s par e des OM strictes par le SICTOM lundi jeudi gt collecte et valuation en poids des d chets non m nagers cole poste bar tabac picerie lors d une autre tourn e Pes e des chargements Pendant toute la dur e de l op ration les camions d ordures ont t syst matiquement pes s en entr e plein et en sortie vide l usine d incin ration pour obtenir des r sultats pr cis sur le chargement d ordures Ce syst me permettait d tre plus pr cis que l utilisation de la tare Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 4 GIRUS SA CM novembre 1999 1 5 R sultats P zenas Centre Tonnades collect s sur la Semaine en tonnes Collecte s parative Collecte s parative ordures m nag res d chets non m nagers total _ Le secteur choisi correspond exactement 2 secteurs du recensement L INSEE nous communiqu les r sultats du recensement 1999 sur ces deux secteurs 1695 habitants Commune de Nizas La quantit d ordures m nag res collect es sur la semaine test est de 2 04 tonnes pour 525 habitants recensement 1999 La quantit de d chets non m nagers a t estim e 75 kg environ pour l ensemble de la semaine par l quipe de collecte Quartie
200. l l s Montpellier Palavas les Flots P rols Pignan Prades le Lez Restincli res Saint Aun s Saint Br s Saint Cl ment de Rivi r Saint Dr z ry Saint G ly du Fesc Saint Geni s des Mourg Saint Georges d Orques Saint Jean de V das Saussan Sussargues Teyran Vendargues Villeneuve l s Maguelo Agel Aigne Aigues Vives Azillanet Beaufort Cassagnoles Caunette La Cesseras F lines Minervois Livini re La Minerve Olonzac Oupia Siran Page 9 33 Communaut de Communes Orb Jaur Berlou Chemin des Pialettes H tel de adresse Ville 34390 OLARGUES Colombi res sur Orb 04 67 97 73 48 Ferri res Poussarou 04 67 97 73 57 Mons la Trivalle Olargues Roquebrun Saint Etienne d Albagnan Comp tence Comp tence 33 33 Saint Martin de l Ar on Saint Vincent d Olargues Vieussan 34 SICTOM de Saint Gervais sur Mare et Saint Etienne Saint Etienne d Estrechoux d Estrechoux H tel de Ville 34610 ST adresse GERVAIS SUR MARE Saint Gervais sur Mare T l 04 67 23 60 65 Fax 04 67 23 68 22 Page 10 Collecte Traitement 35 Communaut de Communes CEPS et SYLVES H tel de Ville 34160 adresse CASTRIES 04 67 70 13 61 04 67 70 36 27 36 Communaut de Communes du Pays de Sommi res Gard 49 rue Taillade 30250 adresse SOMMIERES 7 1 04 66 77 79 15 Fax 04 66 77 71 75 37 Syndicat Intercommunal de Graissessac H tel de Ville 34260 adresse GRAISSESSAC T 04
201. lations class es pour la protection de l environnement Vu le d cret n 92 377 du ler avril 1992 portant application pour les d chets r sultant de l abandon des emballages de la loi n 75 633 du 15 juillet 1975 susvis e Vu le d cret n 94 609 du 13 juillet 1994 portant application de la loi n 75 633 du 15 juillet 1975 modifi e susvis e et relatif notamment aux d chets d emballages dont les d tenteurs ne sont pas les m nages Vu le d cret n 96 1009 du 18 novembre 1996 relatif aux plans d limination de d chets industriels sp ciaux notamment son article 5 Le Conseil d Etat section des travaux publics entendu D cr te CHAPITRE ler Des objectifs et du contenu des plans Art 1er Les plans d partementaux ou interd partementaux d limination de d chets pr vus l article 10 2 de la loi du 15 juillet 1975 susvis e ont pour objet de coordonner l ensemble des actions mener tant par les pouvoirs publics que par des organismes priv s en vue d assurer la r alisation des objectifs d finis l article 1er de cette loi et notamment l limination des d chets m nagers ainsi que de tous d chets quel qu en soit le mode de collecte qui par leur nature peuvent tre trait s dans les m mes installations que les d chets m nagers Art 2 Les plans d limination des d chets m nagers et assimil s comprennent a Les mesures qu il est recommand de prendre pour pr venir l augmentation de l
202. lcul des gisements de d chets m nagers de boues et de DIB des tourites saisonniers Il n existe pas de d composition et de ratio de production connus Pour le calcul de ces gisements on applique donc les ratios de production du type d habitant s dentaire correspondant Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 17 GIRUS SA CP Janvier 2000 3 3 2 Les ratios de production La feuille OM Ratio de SED SEMI SED production URBAIN 2 TOURISTIQ 4 OM Global Global Global Global kg hab an kg hab an kg hab an kg hab an kg eq hab an s agit des d compositions de la production d ordures m nag res par mat riau exprim es en kg hab an et en pourcentage de la production globale Les d compositions des types 1 2 et 3 correspondent la celles du MODECOM national r alis par l ADEME en 1993 La d composition des ordures m nag res produites dans les communes touristiques est actuellement inconnue Dans la mesure o les zones touristiques comportent beaucoup de commerces comme les centres urbains les valeurs de l urbain sont prises comme r f rence pour le type 4 Pour le type 5 la d composition correspond celle issue de la campagne de caract risation r alis e sur la commune d Agde lors de la Phase 2 de cette tude Ces donn es peuvent tre modifi s directement si toutefois des MODECOM locaux taient
203. le dossier d enqu te est d pos la pr fecture et dans chaque sous pr fecture du d partement Si le plan rel ve dans un d partement de la comp tence du conseil g n ral le dossier d enqu te est d pos au si ge du conseil g n ral et en tout autre lieu fix par lui Le dossier d enqu te comprend a Une notice explicative pr cisant l objet de l enqu te la port e du projet de plan et les justifications des principales mesures que celui ci comporte b Le projet de plan Pour l application des articles R 11 14 2 et suivants du code de l expropriation et lorsque le conseil g n ral est comp tent pour l laboration du plan le pr sident de ce conseil est substitu au pr fet Art 9 Lorsque le plan est labor dans un d partement par le pr fet il est approuv par arr t de ce dernier Un exemplaire du plan est d pos la pr fecture ainsi que dans chaque sous pr fecture de la zone du plan Un exemplaire en est adress au pr sident du conseil g n ral Lorsque le plan est labor par le conseil g n ral il est approuv par d lib ration de ce conseil Un exemplaire du plan est d pos au si ge du conseil g n ral Un exemplaire en est adress au pr fet L acte d approbation du plan est publi selon le cas au Recueil des actes administratifs de la pr fecture ou au Recueil des d lib rations du conseil g n ral Il fait en outre l objet d une insertion dans deux journaux diffus s
204. le groupe s est d abord pench sur la r daction d un cahier des charges puis sur le suivi de l tude Page 14 2 4 5 Groupe de travail Valorisation organique Ce groupe de Portes paroles du groupe Chambre d Agriculture SATEBE des e Animation des r unions Chambre d Agriculture SATEBE s e Nombre moyen de participants 8 12 personnes e R unions organis es ce jour 17 02 99 28 06 99 09 12 99 01 04 99 12 07 99 12 05 00 07 06 99 10 08 99 23 01 01 La liste des sujets trait s se d cline selon les points suivants 1 Bilan des types de d chets concern s par la valorisation organique 2 Etat de la r glementation en mati re de valorisation organique 3 Mise en oeuvre technique des fili res de valorisation organique 4 D bouch s potentiels des mati res organiques produites 5 Notion de d chets ultimes 2 4 6 Groupe de travail Analyse conomique Ce groupe de d Ee Portes paroles du groupe DDAF du e Animation des r unions DDAF e Nombre moyen de participants 4 6 personnes e R unions organis es ce jour 23 02 99 20 04 99 29 06 99 30 03 99 18 05 99 31 08 99 La liste des sujets trait s se d cline selon les points suivants 1 Bilan actuel des co ts de traitement pratiqu s dans le d partement 2 Co ts moyens par fili re de traitement 3 Recensement des besoins futurs en installations de traitement 4 Impacts co
205. les ordures m nag res Pour les autres d chets DM boues DIB il n existe pas de d composition de r f rence Ces gisements sont obtenus en faisant appel aux diff rents types de touristes figurant dans la feuille PROJEC et la d composition des gisements figurant dans les feuilles de ratios 3 3 3 Les objectifs Les feuilles OBJ mat Tout comme la feuille GIS ces feuilles recensent des donn es sectorielles Elles pr sentent la m me organisation trois premi res colonnes identiques Ces feuilles permettent de saisir les objectifs de valorisation mati re organique et nerg tique des diff rentes cat gories de d chets pour les ann es de r f rence et par secteur Exemple de la feuille OBJ orga OBJECTIFS OM Papiers Papiers Cartons OM Cartons OM FFOM FFOM Textiles Textiles Objectifs Objectifs Objectifs Objectifs Objectifs Objectifs sanitaires sanitaires valor orga valor orga valor orga valor orga valor orga valor orga Objectifs Objectifs du gis Tonnes du 015 Tonnes du gis Tonnes valor orga valor orga du gis Tonnes Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 20 GIRUS SA CP Janvier 2000 OBJECTIFS DM OBJECTIFS DIB OBJ GLOBAL DIB DIB DIB DIB autres Global Objectifs Objectifs Objectifs Objectifs collectivit collectivit autres
206. leurs suivantes e de l Aude pour un traitement dans la Zone Ouest ou de l H rault vers l Aude 50 000 t an e du Tarn pour un traitement dans la zone Ouest ou de l H rault vers le Tarn 10 000 t an e de l Aveyron pour un traitement dans la zone Ouest ou de l H rault vers l Aveyron 2 000 t an e du Gard pour un traitement dans la zone Est ou de l H rault vers le 50 000 t an Page 32 4 Las FILIERES DE TRAITEMENT DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES DECOUPAGE EN perna 4 1 Lies fili res de traitement selon le premier Plan de 1996 La fili re de traitement propos e par le premier Plan 1996 se d cline de fa on unique sur n26 1 23 l ensemble du territoire du d partement Elle se d compose en quatre niveaux de traitement successifs assortis d objectifs de valorisation minimaux ou maximaux selon le cas NIVEAUX DE TRAITEMENT OBJECTIFS DE VALORISATION Niveau 1 tri et recyclage mati re recyclage minimal de 28 Niveau 2 tri et valorisation organique valorisation minimale de 17 Niveau 3 incin ration avec r cup ration d nergie sous destruction maximale de 37 forme de vapeur et ou lectricit Niveau 4 stockage des d chets ultimes enfouissement maximal de 18 tab 3 fili re de traitement selon le plan de 1996 Le premier plan d partemental accorde une large place la valorisation mati re et organique Avec un taux de valorisation mati re et organique global de 45 il fait partie
207. lis dans les tonnages valoris s en fili re organique Page 71 LEXIQUE ET TABLEAUX D EQUIVALENCES DEV D chets d Espaces Verts OM Ordures M nag res FFOM Fraction Fermentescible des Ordures M nag res Poids sec tuvage 105 C Taux de Mati re S che ou siccit x 100 Poids brut y compris l eau ETM El ments Traces M talliques Cuivre Zinc Cadmium Mercure ETO El ments Traces Organiques polyph nols aromatiques et hydrocarbures ICPE Installation Class e pour la Protection de l Environnement STEP Station d Epuration TMS Tonnes de Mati re S che Tableau d quivalences approximatives Liquides 1 tonne brute 1 m moins de 5 de siccit P teuses 1 tonne s che 4 6 tonnes brutes 4 6 m 15 25 de siccit Solides ou s ches 1 tonne s che 2 3 tonnes brutes 1 5 2 m de 50 de siccit Compost 1 m 0 6 tonne brute ordures m nag res ou d chets verts ou d chets verts boues D chets verts 1 m non broy 0 2 tonne brute 1 broy 0 6 0 8 tonne brute Page 72 7 Dean INDUSTRIELS Banas ET Decuers DU B CONTRIBUTION CHAMBRE DES METIERS DE L HERAULT La premi re version du plan d partemental avait occult une partie importante des d chets produits par les professionnels puisqu elle n avait pris en compte ni les d chets des entreprises de moins de 10 salari s ni les d chets inertes des en
208. lis es partir du MODECOM pour les autres communes les estimations du Plan D partemental sont en effet plus loign es des valeurs r elles que les estimations MODECOM Les quantit s collect es varient de 183 kg hab an 541 kg hab an hors pointe estivale pour le SITOM du Littoral Les variations sont dues diff rents param tres ordures m nag res produites par les touristes permanents DIR fr quence de collecte L volution mensuelle des tonnages n est pas marqu e par une influence touristique pendant la p riode estivale mise part pour le SITOM du Littoral Cependant beaucoup d autres d chets sont collect s par les services municipaux et ne sont pas des ordures m nag res au sens strict Les collectes s lectives La r cup ration du verre s effectue sur l ensemble du Biterrois Elle s chelonne entre 7 et 66 5 kg hab an suivant les communes Au del de la collecte du verre le SIVOM du Murviellois et le SITOM du Littoral organisent la collecte des papiers cartons et des plastiques par apport volontaire Les tonnages fournis par ce dernier syndicat regroupent la collecte en apport volontaire ainsi que les tonnages sortis des ordures brutes tri es l usine Le reste de la zone collecte le verre souvent les huiles et plus rarement les papiers Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 16 GIRUS SA CP f vrier 2000 Seule la ville de B ziers
209. lit des collectivit s publiques Les autres D chets Industriels Banals g r s directement par les entreprises priv es productrices de ces d chets sont trait s au S 7 4 4 1 D finition des secteurs Le d partement a t d coup en 10 secteurs dont la d limitation et les principales caract ristiques sont d velopp es ci dessous ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES EST Centre Sud Habitat permanent de type semi urbain e Forte variations saisonni res e Collecte s lective des recyclables d j mise en place sur l ensemble du territoire porte porte et apport volontaire e Secteur bien quip en installations de traitement conformes la r glementation e Coop ration des trois syndicats membres de la zone bien engag e e Projet de valorisation organique en cours de d veloppement avec la cr ation de trois plates formes de compostage court terme mise jour en f vrier 2003 Sch ma n 6 d limitation du secteur Centre Sud extrait tude GIRUS 11 99 Page 45 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES EST Montpellier Forte dominance du caract re urbain petit territoire tr s peupl e Collecte s lective des recyclables d but e en zone pavillonnaire et en cours d extension y compris habitat vertical e Probl me du traitement des d chets r siduels et ultimes non encore r solu moyen et long terme Traitement actuel la d charge du Th t dont la fermeture est programm e en Juille
210. ls ou en habitat collectif sont pr f rables si des commerces sont install s il faudra proc der une collecte diff renci e L valuation du nombre d habitants pendant la p riode de test ne pourra se faire qu en collaboration avec la collectivit concern e 3 Le tourisme de passage la journ e ou en h tel Les d chets sont alors produits en partie par l h tel et le restaurant associ lorsqu il existe L autre partie des d chets produits comme pour les deux points pr c dents est retrouv e dans les poubelles municipales install es sur les lieux fr quent s plages places monuments Cette production issue directement ou indirectement des touristes fait partie des d chets assimil s collect s avec les ordures m nag res OM 4 Les commerces temporaires et l augmentation d activit En particulier les restaurants et commerces de saison qui n exercent pas le reste de l ann e Il n y a gu re de possibilit d valuation quantitative pr cise et d exploitation des donn es pour les points 3 et 4 sauf faire un travail tr s cibl qui rel ve de la volont d une commune ou d une action men e avec les syndicats professionnels du tourisme estimation par enqu te aupr s de chaque professionnel travail individualis campagnes de pes es collectes diff renci es etc Par contre en ce qui concerne la caract risation des d chets produits par les populations touristiques cette caract ri
211. m me lors de l extension de la communaut pour les communes concern es par cette extension qui se retirent du syndicat ou auxquelles la communaut se substitue Page 22 Dans ces deux derniers cas il y a donc risque de d stabiliser des syndicats existants par retraits de communes qui feraient supporter par les communes restantes toutes les charges fixes notamment celles d amortissement des installations de traitement des d chets Ces charges pourraient vite devenir insupportables et entra ner la disparition de certains syndicats de traitement On aurait pu craindre que ce risque de d stabilisation soit amplifi par la volont d augmenter le coefficient d int gration fiscal l ment de calcul de la dotation d intercommunalit voir le paragraphe 3 4 mais l article 33 de la loi de finances rectificative pour 2000 permet aux CA et CU de percevoir en lieu et place du syndicat mixte comp tent Cette disposition limite donc le risque qu une communaut ne retransf re pas sa comp tence d chets puisqu elle peut garder le b n fice des recettes dans le coefficient d int gration fiscal Dans tous les cas la cr ation d une nouvelle communaut entra nera en d but d activit des cons quences sur les structures nouvelles et ant rieures Quelques premi res r ponses ces cons quences sont donn es dans la circulaire du 29 12 99 du Minist re de l Int rieur 3 7 Les mesures transitoires
212. ma 15 Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 2 GIRUS SA CP Janvier 2000 INTRODUCTION Cette troisi me phase concerne la r alisation d outils informatiques permettant de r aliser un bilan d partemental de la gestion des d chets en fonction des fili res choisies de leur avancement et des objectifs fix s Leurs missions premi re est l aide la r vision du Plan D partemental d Elimination des d chets m nagers et assimil s du d partement de l H rault A partir des tudes de fili res et de zones qui ont fait l objet d une synth se bibliographique en Phase 1 le d partement a t partag en secteurs d organisation cf Carte page suivante En s apuyant sur ce d coupage deux bases de donn es ont t cr es sous le logiciel EXCELL pour une mise jour plus ais e par l utilisateur e une base BILAN sous le fichier basbilan xls l objectif de cette premi re base est de donner une image de la situation dans l H rault partir des informations recueillies aupr s des collectivit s locales Les donn es peuvent tre saisies au niveau de la commune du groupement intercommunal du secteur ou de la zone e une base OBJECTIFS sous le fichier basobj xls l objectif de cette deuxi me base est de r aliser des projections en tenant compte des volutions pr visibles population collectes s lectives partir de ratios de r
213. ment Page 34 4 2 2 M thodologie pour Fexploitation de ces tudes En l absence d un guide de proc dure d taill chaque collectivit ou groupement de collectivit s s est donc organis sa mani re pour r aliser son tude Les m thodes d approche ainsi que les types de d chets pris en compte varient donc d une tude l autre L exploitation uniforme de toutes les tudes r alis es ce jour dans le d partement a donc n cessit l laboration d une grille de lecture commune Les lignes directrices et la mise au point finale de cette grille ont t r alis es par le groupe de travail tudes de fili res et de zones en commun par les services de l ADEME et du Conseil g n ral Elle s articule autour des points suivants e D mographie population actuelle et volution future type d habitat variations saisonni res e Situation actuelle gisement total de d chets m nagers et assimil s modes et co ts de collecte des Ordures M nag res modes performances co ts des collectes s lectives installations de traitement existantes Situation pr visionnelle volution attendue des collectes s lectives installations de traitement et ou de stockage tableaux r capitulatifs des flux de d chets par type de traitement 4 2 3 Gisement actuel de d chets m nagers et assimil s dans le d partement tee de La synth se des tudes de fili res et de zones permet de faire le bilan d
214. ments Publics de Coop ration Intercommunale EPCI pour exercer un certain nombre de comp tences obligatoires et optionnelles dont les d chets un niveau pertinent Elle a introduit un certain nombre de pr cisions dans la mise en uvre du service de valorisation et d limination des d chets m nagers et assimil s Elle permet le fractionnement du service elle pr cise les comp tences des divers tablissements publics de coop ration intercommunale EPCI enfin elle introduit la TEOM ou la REOM dans le calcul du coefficient d int gration fiscal base d valuation de la dotation d intercommunalit Cette dotation va inciter un certain nombre de syndicats SICOM SITOM et SICTOM se transformer en communaut de communes ou communaut d agglom ration ce qui posera un certain nombre de probl mes lors du transfert de comp tences 3 1 1 Le transfert de comp tences La loi a r organis le service de valorisation et d limination des d chets des m nages Outre les communes 4 types d EPCI peuvent tre comp tents par transfert de comp tences de la part des communes les Syndicats mixtes les Communaut s de Communes CC les Communaut s d Agglom ration CA les Communaut s Urbaines CU L article L 2224 13 du instaur par la loi article 71 pr voit que Les communes peuvent transf rer un EPCI ou un syndicat mixte soit l ensemble de la comp tence d limination et de valorisation des d chet
215. mer et des tangs commune de S te e Site de compostage de DEV g r par la soci t HUMUDOC Montagnac Page 61 gt l heure actuelle le dispositif d partemental ne permet de Voir base de donn es Objectifs traiter qu environ 12 du gisement de DEV de FFOM et de boues potentielles ce qui est insuffisant au regard de la circulaire Voynet et des objectifs du plan La plupart des tudes de fili re et de zone r alis es par les collectivit s n ayant que peu trait le probl me des boues d puration une approche plus pr cise a t int gr e aux travaux de r vision du Plan D partemental A l aide des l ments disponibles ratios chiffres propositions d objectifs un dispositif d partemental complet int grant les projets existants ou venir des collectivit s et permettant le traitement du gisement organique a t mis au point dans le cadre du plan il s agit de la base de donn es objectifs 6 3 Synth se de la r glementation applicable en mati re de transformation et de valorisation des produits organiques Les principaux textes sont les suivants gt Sur les d chets leur traitement et leur devenir La Loi D chets du 15 juillet 1975 fondatrice modernis e le 13 juillet 1992 gt le fonctionnement des installations ICPE traitant les d chets L article 7 de loi du 15 juillet 1975 sp cifie que les d chets doivent tre trait s dans des installa
216. n e OBJECTIF GLOBAL OBJECTIF GLOBAL OBJECTIF GLOBAL VALORISATION VALORISATION VALORISATION MATIERE ORGANIQUE ENERGETIQUE J 2400 LI Do y 26 j 22 J 215 28 2 p j 23 _ C 200 33 29 19 E Pic et Etang 2005 23 24 29 2015 28 27 22 2010 28 26 17 EE 2020 29 27 16 E a 0 2015 30 29 0 I 2020 3 2 OX _ Biterrois 1 200 284 29 _ 215 j A 30 a C 220 21 1 3 __ 20 j 22 22 O _ _ 215 j 231Xx 3 O a C 220 j C 33 C A P 2100 jJ 66 22 j Ok _ 215 j 29 22 O a C 220 j 22 20m A __ S 2100 j 22 22 j O 215 jJ 33 22 q Ok a 220 j 3k C A P 22 h j O __ 215 Jj 22 22 O a C 220 3 C A Tableau n 12 Synth se des objectifs de valorisation Page 55 Les objectifs de valorisation ont t d finis en fonction des crit res suivants e Les choix effectu s en mati re de fili res de traitement Les choix effectu s par les collectivit s pour favoriser Fun ou l autre type de collecte s lective ou mode de traitement ont des r percussions importantes sur les rendements de valorisation atteints Selon que la priorit est donn e la collecte en porte porte des emballages recyclables ou des fermentescibles les r sultats attendus en terme de valorisation sont diff rents une collecte s lective en porte porte des
217. n es disponibles sur les capacit s d accueil de toutes les communes de l H rault ont t recens es pour chaque type d h bergement touristique En fonction du type d h bergement h tels et r sidences de tourisme campings Maisons de vacances ou gites un taux d occupation moyen exprim en nombre de mois de remplissage total de la capacit d accueil a pu tre estim Il se d cline de la mani re suivante e Sept mois pour les H tels R sidences de tourismes et centres de vacances e Quatre mois pour les campings e Sept mois pour les maisons de vacances et gites ruraux Il n existe pas d estimation sur l volution de la population touristique Elle est suppos e nulle compte tenu des observations des derni res ann es Cependant cette colonne peut tre mise en jour directement lors de nouvelles estimations Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 16 GIRUS SA CP Janvier 2000 TAUX D EVOLUTION MOY DE LA POP SED Evol pop Evol pop Evol pop Evol pop Evol pop de 1999 2000 de 2000 2004 de 2005 2009 de 2010 2014 de 2015 2020 en par an en en en en Ces taux s appliquent uniquement la population s dentaire Le premier taux est annuel 1999 2000 alors que les autres taux sont ceux donn s par l INSEE mais sur des p riodes de 5 ans d volution entre l ann e n et l ann e n 5 Ces colonnes sont en
218. n de Libron OUEST OUI CET de Soumont _ OUEST possible CET de Villeveyrac EST oui x CETduTh t Lattes EST non CET du Triadou Saint Bauzille de Putois EST non CET de Vendres OUEST TOTAL STOCKAGE Z tab 8 capacit s actuelles de traitement et de stockage r On en conclut principalement que tant les capacit s de traitement que de stockage sont rapprocher largement inf rieures au gisement traiter aujourd hui et court terme du tab 5 SES Des grands efforts pour la mise en place de nouvelle capacit s de traitement et de stockage seront n cessaires dans les prochaines ann es Page 39 4 3 l nouvelles fili res de traitement Nouvelle d finition du d chet ultime Voir 8 4 4 Les tudes de fili res et de zones ont permis de d gager des choix en mati re de traitement des d chets m nagers et assimil s Ces nouvelles fili res structurent fondamentalement la gestion des d chets dans chacune des deux zones du d partement et conduit une nouvelle d finition du d chet ultime Cette d finition n est donc plus unique mais se d cline diff remment dans chaque zone comme le montrent les sch mas suivants Les d finitions de d chets ultimes ne sont pas rattach es des objectifs quantitatifs en mati re de valorisation Ces derniers se d clinent par secteurs et suivent une volution temporelle Page 40 ZONE OUEST DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES a D chets D
219. n des donn es communiqu es Type Nom de Secteur Capacit Habitants Ann e Quantit s Quantit s Quantit s Quantit s Quantit s la commune desservis de r f entrantes recycl es valoris es sous incin r es de refus d implantation forme de compost Zone de calcul faisant r f rence aux feuilles U tri U trait ou 4 Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 13 GIRUS SA CP Janvier 2000 3 BASE OBJECTIFS 3 1 G n ralit s L objectif de cette base est de r aliser partir de valeurs ou de ratios des projections correspondant e une ann e rep re 2000 2005 2010 2015 2020 e un secteur ou une zone Ce fichier permet gt d int grer les volutions de population gt de calculer les gisements d ordures m nag res d chets m nagers boues et DIB de sp cifier les objectifs de valorisation organique mati re et nerg tique de synth tiser les informations des unit s sectorielles centre de tri unit de traitement compostage sur brut ou incin ration CSDU 3 2 Description Le fichier est compos d une s rie de feuilles de saisie de calcul et de sortie 00040004 Feuille de calcul et saisie des populations communales Feuille de saisie des ratios de production des ordures m nag res Feuille de saisie des ratios de production des d chets m nager
220. n la neutralit d sir e du produit mais elle est de 6 mois au moins Page 63 Le dimensionnement de la plate forme est bas sur les donn es suivantes pr voir 3 m2 m3 de compost produit le rapport volumique Agent structurant Boues doit se situer entre 3 et 4 pour des boues p teuses 17 20 de siccit Le type de rev tement peut tre e une aire stabilis e si le sol est tr s argileux et compact risques d une aire non stabilis e incorporation de cailloux dans le compost lessivage des jus d gradation du site en cas de fortes pluies usure pr matur e du mat riel e une aire enti rement b tonn e 100 300 F m2 e une aire bicouche et partiellement b tonn e 50 100 F m 2 En ce qui concerne les am nagements la r cup ration des jus est obligatoire vis vis de la r glementation Elle peut tre obtenue gr ce un r seau de collecte ou un syst me de foss s drainant autour de la plate forme avec une pente de 2 5 et une ou plusieurs cuves de r cup ration Une pompe de faible puissance permet la r utilisation des jus lors de l arrosage Enfin une haie d arbres judicieusement plac e permettra une meilleure int gration au paysage Le contr le des param tres peut tre simplifi l extr me en se limitant au suivi de la temp rature et de l humidit de mani re quotidienne Le rendement volumique du compostage est de 30 50 suivant le ratio DEV Boues En poids
221. n occuper que quelques colonnes ou quelques lignes 1 2 Mise jour des donn es d une base 1 2 1 Utilisation d une grille Dans la base de donn es Bilan une grille pr d finie permet de mettre jour les donn es de la base Pour qu Excell puisse afficher la grille il faut que la s lection se trouve dans la zone contenant les donn es L affichage peut ensuite se faire de deux mani res diff rentes e en appuyant sur un bouton l cran cr sp cialement e en d roulant le menu Donn es et en cliquant sur Grille Une bo te de dialogue s affiche c est la grille Elle poss de plusieurs boutons donnant acc s aux principales fonctions disponibles Le bouton Nouvelle permet d ajouter un enregistrement la base de donn es La barre de d filement vertical permet de visualiser la position de l enregistrement dans la base En cliquant sur les fl ches situ es aux extr mit s on obtient l affichage de l enregistrement pr c dent fl che du haut ou suivante fl che du bas Les boutons Pr c dente et Suivante sont un autre moyen de passer d une fiche l autre mais leur utilisation annule les modifications effectu es sur un enregistrement Dans la grille chaque champ est repr sent par une zone de texte Pour modifier un champ il suffit de cliquer dessus pour y placer le point d insertion Si la base contient des champs calcul s ces champs ne peuvent pas tre modifi s l aide la grille D s qu un enre
222. ne installation elle devra s assurer du financement de ce service additionnel par les utilisateurs externes par application de la Redevance Sp ciale par exemple L explosion des co ts doit tre vit e par une recherche pouss e des d bouch s des fili res de recyclage une analyse fine du dimensionnement des installations de traitement notamment l incin ration et une application volontariste du principe de proximit Les plans d partementaux sont des outils volutifs qui doivent sans cesse s adapter aux nouveaux besoins et aux nouvelles exigences r glementaires techniques conomiques ou sociales lls doivent galement refl ter la volont locale des collectivit s qui demeurent les principaux acteurs dans le domaine Un plan d partemental de qualit ne peut donc tre qu un plan port par les collectivit s et non un plan subi par ces derni res Page 12 2 3 ADEME du Plan H raultais E A la demande du Minist re de l Am nagement du Territoire et de l Environnement l ADEME int gra si r alis 1999 une analyse critique de tous les plans d partementaux fran ais l annexe 2 conform ment la Circulaire du 28 Avril 1998 Quelques points soulev s dans le rapport concernant le Plan h raultais sont r sum s dessous e La liste des d chets pris en compte doit tre compl t e par les encombrants DMS DTQD d chets li s l usage des automobiles d
223. nication adapt e Mise en uvre la base par les structures de collecte elle doit tre prioritaire dans tout nouvel engagement ou toute nouvelle d cision prise dans la gestion des d chets Les collectivit s sont invit es e prendre en compte la communication d s la conception d un nouveau projet ou d une nouvelle organisation de collecte de tri de recyclage ou de traitement e d finir clairement les cibles de l information consommateurs citoyens enfants parents entreprises Des relais int ressants peuvent tre assur s par les associations de consommateurs et de protection de la nature e mettre au point le message le faire passer veut on inciter un nouveau comportement exposer des performances en termes de chiffres remercier les consommateurs pour les efforts effectu s e inscrire l action de communication dans le temps la communication au lancement est tr s importante mais l information sur les performances atteintes chiffres et les avantages tir s doit aussi tenir une place importante Sur le plan financier le plan recommande que les collectivit s locales comp tentes op rent un transfert de fonds au niveau du budget des investissements et frais de fonctionnement des installations de traitement de d chets vers des actions de communication A titre d exemple la d finition du d chet ultime en zone Ouest retenu dans le cadre de cette r vision pr voit qu une collectivit ayant attei
224. nnels La production de D I B des entreprises de plus de 10 salari s a t calcul e en appliquant les ratios de l ADEME fond s sur le nombre d entreprises et de salari s informations obtenues aupr s de la CCI de B ziers St Pons Ces d chets constituent la part des D I B non collect s avec les ordures m nag res Cependant ils ne concernent que certaines activit s et par cons quent toutes les cat gories de d chets ne sont pas repr sent es notamment les inertes Les d chets des entreprises de moins de 10 salari s semblent tre int gr s en partie au tissu urbain et sont comptabilis s dans les DIR collect s avec les ordures m nag res Les d chets li s l activit littorale Ces d chets sont plus ou moins bien identifi s et quantifi s gt les d chets conchylicoles l estimation r alis e par le CEPRALMAR sur l tang de Thau est reprise dans l tude de fili re et de zone Les d chets conchylicoles et les D I B issus de cette activit repr sentent un tonnage global de 2 496 T Cependant aucun renseignement n est fourni sur la m thode employ e pour parvenir ce chiffre les d chets de plage seules les quantit s d ordures m nag res collect es sur les plages sont pes es et connues Les d chets de filtration des plages et nettoyage des dunes sont directement amen s en d charge et l estimation de leur tonnage n est pas r alis e les d chets de ports ils sont mal identifi s et s
225. nomiques des fili res de traitement propos es 2 4 7 Groupe de travail R duction des d chets la source Ce groupe de travail re Portes paroles du groupe S P N LR E e Animation des r unions DDAF chap e W CE ADO Nombre moyen de participants 10 12 personnes e R unions organis es ce jour 23 07 99 29 09 99 01 02 01 01 09 99 01 02 00 La liste des sujets trait s se d cline selon les points suivants 1 Qu est ce que la r duction des d chets la source 2 Collectes s lectives choix des collectivit s locales 3 Communication 4 Financement du service de collecte et de traitement des d chets 5 Quelques pistes remplacement des mat riaux constitutifs des emballages la consigne compostage individuel Page 15 2 5 Le tapes administratives de la r vision u Conform ment l article 10 du d cret mentionn au 2 1 ci dessus la proc dure de 1008 r vision suit les m mes tapes que celles de la phase laboration En particulier les aspects 18 11 96 conomiques du Plan n ayant pas t d velopp s en 1996 ils sont int gr s dans le plan r vis par voie de cons quence ce dernier donne lieu une enqu te publique Le planning d taill des op rations se trouve sur la page suivante Page 16 Arr t pr fectoral de composition de la commission du Plan 3 D cembre 1998 1 re assembl e pl ni re de la commission
226. nouveaux arguments militent en faveur de sa pr servation alors que le Plan de 1996 avait d fini une fili re de traitement et des objectifs de valorisation uniques pour tout le d partement une adaptation aux caract ristiques locales s impose aujourd hui Des comportements tr s diff rents ont t constat s dans la production et la gestion des d chets m nagers et assimil s Ceux ci ont t suivis par des choix diff rents en mati re de fili re de traitement En croisant divers crit res comme e la g ographie la d mographie l urbanisme la fr quentation touristique les structures juridiques comp tence traitement des d chets existantes On distingue actuellement 2 zones dans le d partement de l H rault e Zone Est e Zone Ouest Les caract ristiques de ces deux zones sont d taill es dans les pages suivantes Page 26 ZONE EST donn es 2000 Collectivit s comp tence traitement des Syndicat Mixte entre Pic et Etang d chets membres de la zone mise jour Communaut d Agglom ration Montpellier f vrier 2003 Communaut d Agglom ration du Bassin de Thau Communaut de Communes du Nord Bassin de Thau Population recensement 99 628 850 hab permanents Gisement d ordures m nag res t 260 000 t Gisement de d chets m nagers autres t 92 000 t Gisement de boues d puration t mati re 56 000 t brute 20 de siccit Gisement de DIB pris en charge par les 100 000 t collectivit s
227. ns Plastiques Ace j V Hl Aluminium ll ll Autres m taux Composites ll T Fraction fermentescible des ON ILL L Autres fili res d finies dans le plan r gional j extiles V O C j Textiles sanitaires Autres ooo j I O G T TOTAL ll V UV UV y OBJECTIFS APPLIQUES AUX DECHETS MENAGERS CATEGORIES DE DECHETS VALORISATION VALORISATION VALORISATION STOCHAQE DES TOTAL MENAGERS RELEVANT DU PLAN MATIERE ORGANIQUE ENERGETIQUE ULTIMES GISEMENT DEPARTEMENTAL Tonnes Tonnes Tonnes Tonnes Tonnes E V V V L D chets verts ll LV V L Ferrailles V V V V L Etude de l analyse la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation GIRUS SA CP Janvier 2000 ZONE Secteur Zone de calcul faisant r f rence la OBJECTIFS A L HORIZON feuille de sortie courante diff rence GEESS entre gisement et valorisation CATEGORIES DE DECHETS VALORISATION VALORISATION VALORISATION STOCHAQE DES TOTAL MENAGERS RELEVANT DU PLAN MATIERE ORGANIQUE ENERGETIQUE ULTIMES GISEMENT DEPARTEMENTAL Tonnes Tonnes Tonnes de MS Tonnes de MS Tonnes de MS Boues d puration OBJECTIFS APPLIQUES AUX DECHETS INDUSTRIELS BANALS CATEGORIES DE DECHETS VALORISATION VALORISATION VALORISATION STOCHAGE DES TOTAL MENAGERS RELEVANT DU PLAN MATIERE ORGANIQUE ENERGETIQUE ULTIMES GISEMENT DEPARTEMENTAL Tonnes Tonnes Tonnes Tonne
228. ns suivantes 100 D chets non m nagers 322 48 4 0 Tota 672 100 210 70 220 100 Il ressort donc de cette op ration de collecte que les centres urbains sont une source d ordures m nag res plus importante que les secteurs non commer ants ni touristiques y compris si l on exclut les DIB Les commerces install s en centre urbain drainent une population permanente source de d chets m nagers suppl mentaires On retrouve galement ce ph nom ne dans les communes de bord de mer qui jouissent d une fr quentation r guli re m me en dehors des p riodes touristiques Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 GIRUS SA CM novembre 1999 1 7 Utilisation des r sultats Propositions 1 7 1 Utilisation des r sultats L op ration de collecte s parative a t r alis e sur une seule zone et sur une semaine ce qui ne permet pas une utilisation directe des r sultats Le caract re touristique est tr s variable d une commune l autre La saison joue sur la population estivale s dentaire et influe donc sur les quantit s de d chets produits Le centre ville de chaque commune poss de des caract ristiques diff rentes la zone d attraction est diff rente la taille varie le caract re commercial est plus ou moins d velopp etc L op ration a t r alis e sur des quartiers choisis mais ne repr sentant pas tous les types d habitat n
229. nt de la respiration et tous les produits utilis s en chimie arsenic etc Amiante risques d affections pulmonaires 8 4 Fili res existantes CONDITIONNEMENT PRECONISE Verre pour le mercure Plastique ou carton pour les piles usag es Attention aux risques de renversement Emballages poly thyl nes cartons Conditionnnement fonction de leurs principales caract ristiques min rale gt poly thyl ne organique gt verre ou m tal Double emballage plastique tanche TRAITEMENT FINAL gt Centres sp cialis s pour r cup ration des gaz nocifs de du R cup ration l argent et mercure gt gt enfouissement en CET 1 ou en mine de sels gt R cup ration chez les industriels sp cialis s gt Valorisation humanitaire apr s tri et ou incin ration Traitement fonction de principales caract ristiques gt incin ration physico chimique CET 1 leurs CET sp cifiques 8 4 1 Les huiles moteurs usag es Les activit s de ramassage et d limination des huiles min rales ou synth tiques usag es sont r glement es depuis 1979 Ainsi dans chaque d partement des ramasseurs sont agr s par la Pr fecture ce sont les seuls habilit s assurer la collecte gratuitement aupr s des d tenteurs Pour le d partement de l H rault les intervenants sont CHAUVEAU Nimes CULARD et AUGEY Carnon SBR HENRI B ziers SOCODELI Carcassonne SR
230. nt au stade initial ou celui de la r vision par les autorit s respectivement comp tentes de deux ou exceptionnellement plusieurs d partements limitrophes Ce plan est labor ou r vis d un commun accord par chacune de ces autorit s selon les proc dures applicables chaque d partement en cause telles qu elles sont d finies par le pr sent d cret Les m mes autorit s peuvent d cider l occasion de la r vision que chaque d partement disposera l avenir de son propre plan Il L autorit comp tente d finit la zone g ographique couverte par le plan dite ci apr s zone du plan en tenant compte des dispositions arr t es par les communes et par les tablissements publics de coop ration intercommunale du d partement pour satisfaire aux obligations qui leur sont assign es par les articles L 2224 13 et L 2224 14 du code g n ral des collectivit s territoriales CHAPITRE III De la commission du plan Art 5 Il est cr dans chaque d partement une commission consultative compos e a Du pr fet ou de son repr sentant pr sident de la commission lorsque le plan est labor son initiative b Du pr sident du conseil g n ral ou de son repr sentant pr sident de la commission lorsque le plan est labor l initiative du conseil g n ral c De repr sentants du conseil g n ral d sign s par ce dernier d De repr sentants des communes d sign s par les associations d par
231. nt 45 de valorisation des d chets municipaux par la mise en place des collectes s lectives recyclables et fermentescibles peut s affranchir d un traitement suppl mentaire et enfouir directement les d chets r siduels Ces performances ne peuvent tre atteintes que par une communication intense et efficace Page 96 1 1 a SUR LA SANTE HUMAINE DU TRAITEMENT DES DECHETS MENAGERS CONTRIBUTION INSPECTEUR DES INSTALLATIONS CLASSEES DDASS a EE Bien qu un plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s contienne pas formellement d tude d impact ne soit donc pas assujetti la pr sentation d un lt volet sanitaire gt il peut tre int ressant pour les lecteurs de ce plan d y trouver des consid rations d ordre sanitaire Ces consid rations doivent porter en premier lieu sur les effets sanitaires induits par la production m me des d chets m nagers et qui ont vraisemblablement motiv les premi res initiatives de collecte et d limination e de fa on intuitive l tre humain comme les animaux d pose ses d chets l cart de ses lieux de vie pour des raisons diverses parmi lesquelles existent des pr occupations d ordre sanitaire protection contre les odeurs les parasites les atteintes physiques et les infections e en mode d habitat regroup la r duction de l espace vital individuel conduit organiser l vacuation des d chets vers un lieu situ l cart de
232. nt Chinianais Pierrerue 07 12 99 station de transit Station de transit SICTOM R gion de P zenas P zenas 08 02 01 tab 1 les nouvelles installations de traitement depuis l approbation du Plan en 96 INSTALLATIONS AYANT CESSE LEUR ACTIVITE DEPUIS L APPROBATION DU PLAN DE 1996 Type Lieu d implantation d installation SIVOM du Canton d Agde SICTOM R gion de P zenas SIVOM de la Mer et des Etangs tab 2 les installations de traitement ayant cess leur activit depuis l approbation du Plan en 96 1 3 4 Flux actuels de d chets La carte de la page suivante indique la destination actuelle des ordures m nag res dans le d partement Page 10 2 e Con ADMINISTRATIF ET REGLEMENTAIRE DE LA REVISION DU PLAN 2 1 D cret relatif aux plans d limination des d chets m nagers et assimil s Voir annexe 1 Le d cret 96 1008 du 18 Novembre 1996 relatif aux plans d limination des d chets m nagers et assimil s pr cise les conditions administratives et r glementaires dans lesquelles se d roule la r vision du Plan Il traite Chap du d cret i Chap du d cret Arr t n 98 1 3743 Chap IV du d cret voir 2 5 de l autorit comp tente il s agit soit du Pr fet dans la grande majorit des cas soit du Pr sident du Conseil G n ral lorsque celui ci en fait la demande Pr alablement au lancement de la proc dure de r vision le Pr sident du Conseil G
233. nt davantage les distributeurs des biens consommables par exemple en Allemagne le consommateur peut ramener les emballages au supermarch o les produits ont t achet s Le distributeur devient ainsi responsable des emballages qu il met sur le march La question de la mise en place de la redevance est aussi plus facile traiter d s lors que les quipements n cessaire de tri et traitement ont t con us et mis en place avec des dimensionnements suffisants Dans le cas contraire la forte augmentation des co ts cons cutifs aux investissements lourds peut entra ner l effet pervers de la multiplication des d charges sauvages avec un financement par redevance En conclusion il convient dans un premier temps de mettre en place tous les quipements n cessaires pour r pondre aux objectifs de valorisation pr conis s par le Plan d partemental Dans un deuxi me temps laction pourra tre poursuivie par un encouragement l instauration de la redevance Concernant les d chets des entreprises la redevance sp ciale s impose d s lors que les entreprises manifestent des efforts concrets pour la r duction et le recyclage de leurs d chets une entreprise ne faisant pas appel au service public de ramassage des d chets doit tre exon r e de la taxe ordures m nag res Page 95 10 4 de la communication Les actions de r duction la source tant au niveau collectif qu individuel passent avant tout par une commu
234. nt du r seau de d chetteries et de CET classe 3 e Collecte s lective des fermentescibles en cours de r flexion e Fili re actuelle de traitement des ordures m nag res r siduelles 50 par incin ration hors zone Lunel Viel lUTOM de B ziers Une fili re alternative est rechercher court terme e Recherche d un site de stockage des d chets ultimes n cessaire lt GABIA ROUJA me SICTOM de la R gion de P z nas R ALIGNAN Sch ma n 15 d limitation du secteur Piscenois extrait tude GIRUS 11 99 4 4 2 Objectifs de valorisation D chets Municipaux DIB Les objectifs valorisation sont d taill s dans la base de donn es annex e au pr sent onnees e enn 7 Objectifs document IIS sont volutifs dans le temps et sont d taill s pour chacun des 10 secteurs et annexe 5 d crits ci dessus en fonction des diverses cat gories de d chets mode d emploi KEN 2 i _ z Les objectifs de valorisation distinguent les D chets Municipaux et les D chets Industriels Banals e Les D chets Municipaux rel vent de la comp tence des collectivit s ils comprennent l ensemble des d chets m nagers ordures m nag res encombrants d chets verts gravats des particuliers boues d puration d chets d entretien des voiries ainsi que la partie des DIB collect s par les circuits de ramassage organis s par les collectivit s collecte des ordur
235. nth se BEFS TEC Ing nierie d cembre 1997 Pr sentation des r sultats Le tableau page suivante pr sente une synth se des donn es recueillies Les ordures m nag res collect es Au moment de l tude les ordures m nag res sont pes es leur arriv e la d charge des Moli res situ e sur la commune de Pignan Le tonnage collect est de 9 697 T an soit 338 kg hab an Ce ratio inclut les quantit s de D I B produites et collect es avec les ordures m nag res Les tonnages produits par les touristes sont certainement faibles car il n existe pas de commune littorale ou particuli rement attractive sur le syndicat Il est noter que depuis peu les ordures m nag res du SIVOM entre V ne et mosson sont trait es l incin rateur de Lunel Viel Les collectes s lectives Le verre est collect en conteneurs monomat riaux sur l ensemble du syndicat Le taux de r cup ration moyen est de 6 4 kg hab an Ce ratio est faible si on le compare la moyenne nationale Les encombrants Une estimation du gisement d encombrants est r alis e sur la base d une production de 50 60 kg hab an soit 1 400 1 700 T an traiter sur l ensemble du syndicat annuellement Les quantit s collect es avec les ordures m nag res et ainsi que celles collect es en porte porte par certaines collectivit s ne sont pas connues Les encombrants apport s sur la d charge municipale repr sentent un tonnage de 42
236. nue de la Massane 66000 PERPIGNAN e LOZERE e ENVIRONNEMENT 48 48000 BALSIEGES H PLASTIQUES e Unit s de valorisation des mati res plastiques usag es 04 68 56 82 02 Fax 04 68 56 82 02 t l et fax 04 66 49 25 25 e GARD e SEMB 04 66 71 70 00 ZA RN 113 Fax 04 66 71 70 01 30600 VESTRIC ET CANDIAC e MICRONYL WEDCO 21 Sud 30301 BEAUCAIRE Bouteilles alimentaires en PVC et PET e SERP Recyclage 145 av F Bartholdi ZI de Gr zan 30000 NIMES e HERAULT e NEOPOLYMERES Route de P zenas 34230 PAULHAN 04 66 59 05 25 Fax 04 66 59 07 95 04 66 28 28 00 Fax 04 66 28 28 01 04 6749 79 79 Fax 04 67 25 13 63 ADEME Agence de l Environnement et de la Ma trise de l Energie D L GATION R GIONALE LANGUEDOC ROUSSILLON 205 rue de l Acropole Le Parth na Il 34965 Montpellier Cedex 2 T l 04 67 99 89 79 Fax 04 67 64 30 89 e A2 PLAST Industries Avenue de la Gare 34260 LE BOUSQUET D ORB e AVEYRON e SOPAVE Le Crouzet 12110 VIVIEZ 04 67 23 87 78 Fax 04 67 23 79 96 05 65 43 07 76 Fax 05 65 63 50 02 e Collecteurs trieurs r cup rateurs plastiques e AUDE e IPODEC SUD OUEST Rue Joachim Estrade ZI L Estagnol 11000 CARCASSONNE e St Nelle CATALANE OCCITANE DE RECYCLAGE Lotissement Artisanal 04 68 42 81 89 11440 PEYRIAC de MER Fax 04 68 41 28 30 04 68 25 73 83 Fax 04 68 72 04 20 GARD e ROSSI S A 04 66 74 21 97 4038 Route de M
237. oduction type d habitat zone rurale ou urbaine Les d chets inertes Les d chetteries de Vendres et de B ziers accueillent des gravats et des inertes qui sont par la suite enfouis en d charge L estimation a t r alis e en prenant un ratio de 350 kg hab an soit 50 000 T pour l ensemble de la zone Il est suppos que le tiers de cette production est r utilis pour le remblaiement le tonnage restant g rer est de 33 000 T an Les d chets municipaux Les balayures en provenance du nettoyage de voie publique ou les d chets de march s lesquels sont des D I B sont collect s au m me titre que les ordures m nag res En l absence de circuit sp cifique aucune valuation de quantit n a t fournie sauf pour la Ville de B ziers qui estime 781 T la quantit de d chets de march s et de halles Les d chets des professionnels La production des entreprises de plus de 10 salari s a t calcul e au prorata du nombre d entreprises de 10 200 salari s de l H rault soit 91 500 T an environ dont 51 200 T an pour les entreprises de 10 200 salari s et 40 300 T an pour les entreprises de plus de 200 salari s La production des entreprises de moins de 10 salari s assimil aux DICB collect s avec les ordures m nag res est bas e sur la diff rence entre les quantit s collect es B ziers et sur le quartier de la Crouzette soit 15 000 T an sur l ensemble du secteur d tude La production de D I B
238. oduits utilis s par les particuliers et les agriculteurs En particulier les produits phytosanitaires que l on trouve aussi bien dans les champs pour les l gumes que dans les greniers pour les plantes d appartement auquel il faut rajouter les raticides insecticides etc L utilisateur se doit de rincer pr cautionneusement les emballages afin d enlever toute trace de produit actif L limination de ces produits dont certains restent actifs tr s longtemps de leurs emballages pose de r elles difficult s Les recherches actuelles tendant limiter la dur e d efficacit de ces produits Une solution serait d inciter les producteurs s engager reprendre ce qui n a pas t utilis la demande des usagers Il semble que les frais supporter par le producteur ne seraient pas consid rables le client peut rapporter produits et emballages au lieu de vente et que cela apporterait une s curit incontestable vis vis de l environnement Page 85 8 3 2 Les solutions actuelles Elles reposent sur la cr ation de centres de regroupement pr traitement v Installation de transit Installation dont l activit est soit le stockage soit le regroupement de d chets en vue de leur limination dans un Centre de Traitement ou dans un Centre d Enfouissement Technique v Stockage temporaire Immobilisation provisoire de d chets sans m lange entre eux avec ou sans transvasement v Regroupement Immobilisation pro
239. on des d chets d ores et d j en service ou dont la demande d autorisation d exploiter au titre de la loi n 76 663 du 19 juillet 1976 susvis e a d j t d pos e f L num ration compte tenu des priorit s retenues des installations qu il sera n cessaire de cr er pour atteindre les objectifs d finis au c leur localisation pr conis e notamment en ce qui concerne les centres de stockage de d chets ultimes issus du traitement des d chets m nagers et assimil s CHAPITRE II De l autorit comp tente et de la zone g ographique couverte par le plan Art 3 Dans chaque d partement l autorit comp tente charg e de l laboration de l application et de la r vision du plan est le pr fet ou lorsque le conseil g n ral a demand que le plan soit labor son initiative et sous sa responsabilit le pr sident du conseil g n ral En ce cas le pr sident du conseil g n ral en informe le pr fet qui se trouve d s lors dessaisi de sa comp tence Le transfert de comp tence est port la connaissance du public par publication simultan e au Recueil des actes administratifs de la pr fecture et au Recueil des d lib rations du conseil g n ral ainsi le cas ch ant que par toute autre mesure de publicit fix e s ils le jugent utile conjointement par le pr fet et par le pr sident du conseil g n ral Art 4 1 La d cision d laborer un plan interd partemental est prise conjointeme
240. on du volume de la benne Le d tail est en g n ral connu par type de d chets Les tonnages de verre collect s en conteneurs monomat riaux sont en g n ral communiqu s par les prestataires de collecte Les diff rences de r cup rations entre les diff rents syndicats peuvent tre expliqu es par diff rents facteurs fr quentation touristique importante apport de verre par les professionnels caves vinicoles En ce qui concerne les quantit s des autres d chets collect s par apport volontaire il s agit de donn es r elles ou bien estim es Les d chets valorisables collect s en porte porte ne concernent que deux syndicats La mise en place r cente du centre de tri de Villeveyrac ne permet pas d avoir un tonnage r el des quantit s collect es le tonnage pr sent est une extrapolation l ann e Les autres collectes s paratives n apparaissent pas Dans une majorit de communes la collecte des encombrants en porte porte est effectu e Elle fait rarement l objet d une estimation tant donn que ces d chets sont en g n ral directement amen s en d charge Il en est de m me pour les d chets verts 4 3 Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 36 GIRUS SA CP f vrier 2000 4 3 Les d chets m nagers autres que les ordures m nag res Les d chets produits par les m nages hors OM sont mal identifi s Le gisement d encombrants de d
241. on observe g n ralement une perte massique de 40 Ce proc d est d un co t mod r de l ordre 200 F tonne de produit entrant mais pr sente l inconv nient de g n rer des odeurs et doit tre r serv en priorit aux DEV Il faut souligner qu en mati re de compostage des boues et dans une moindre mesure de FFOM des coproduits tels que les d chets verts seront absolument n cessaires Le d veloppement de ces techniques de co compostage sera donc li la mise en place pr alable d une collecte efficace de d chets verts 6 4 2 Proc d par a ration forc e Le proc d consiste a rer les andains par ventilation insufflation d air l int rieur du tas ou par aspiration La dur e de fermentation a robie se trouve alors r duite 3 4 semaines Cette technique permet de mieux contr ler les odeurs de diminuer la teneur en eau du produit et de traiter de gros tonnages Une fois compost le produit sera cribl puis suivra une phase de maturation obligatoire et variable selon les co produits et la m t o La hauteur des tas varie de 1 5 3 m tres Le flux d a ration se compose d une premi re phase d aspiration dans la masse et d une deuxi me d insufflation d air Ce flux n est pas continu mais il ne doit pas exc der 20 min sans a ration Il est possible de combiner cette technique le retournement afin e d homog n iser le compost e d acc l rer le processus Ce proc d pr sente enfin
242. on pris en compte Mentionner en gras et avec les oublis ventuels par rapport la liste de r f rence suivante e OM DMS gt Mati res de vidange gt Encombrants es d chets gt DTQD e Boues de curage m nagers du Plan ne couvrent que les graisses OM e D chets verts gt Huiles usag es gt D blais et gravats non inertes e DIB collect s hors OM e Boues de STEP urbaines et gt D chets li s IAA automobile e D chets de nettoiement gt D chets non contamin s d activit s de soin voirie Qualit du chiffrage des gisements actuels gt Pour les d chets m nagers le Plan a retenu comme analyse de leur composition le r sultat de la campagne nationale d analyse selon la m thodologie MODECOM conduite par l ADEME alors que des variations notables peuvent exister d une r gion l autre Il n a pas t r alis de campagne locale gt Pour les d chets industriels banals une enqu te l g re avait t confi e des tudiants du DESS Un inventaire plus d taill a t r alis depuis la parution du Plan par la CRCI et l ADEME Le chiffrage mentionn par le Plan comportant trop d incertitudes il serait utile de le r actualiser pour chacun des d chets pris en compte Le gisement des boues devrait galement tre valu en mati re s che Evolution des gisements 5 et 10 ans II n existe aucune valuation prospective 5 et 10 ans Le dernier paragraphe ci apr s
243. ondaires ou de d chets toxiques et sp ciaux ainsi que les boues de stations d puration valoris es en agriculture dans le cadre d un plan d pandage peuvent transiter d une zone une autre sans limite de distance Les d chets verts les r sidus de l assainissement et de l puration des eaux us es et la fraction fermentescible des ordures m nag res destin s tre trait s peuvent tre accueillis dans une autre zone dans une limite de 30 kilom tres par rapport aux limites de la zone d origine Sont consid r s comme r sidus d une fili re de traitement les d chets non valorisables en l tat issus des refus des rejets ou des sous produits d une fili re de valorisation mati re organique ou nerg tique Ces d chets ne peuvent d passer 50 du tonnage de d chets bruts entrant dans ladite fili re de valorisation Le sch ma ci dessous illustre les r gles nonc es ci dessus Page 30 LES FLUX DE DECHETS ENTRE ZONES TIR SRE 2 gt Sch ma n 3 les flux de d chets entre zones d apr s l tude GIRUS 11 99 3 7 Les flux interd partementaux SE De e Les dispositions pr conis es au premier Plan d partemental restent applicables savoir arr t pr f N 96 1 231 E plan La coop ration est autoris e avec les secteurs voisins des d partements limitrophes pour des flux de d chets m nagers et assimil s limit s aux va
244. ont comptabilis s dans les quantit s collect es avec les ordures m nag res Les d chets m nagers sp ciaux L estimation du gisement global de D M S n est pas fournie La d chetterie de Marseillan en r cup re 10 T an Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 12 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les d chets d assainissement Seules les quantit s de boues de station d puration sont r pertori es L volution des tonnages pandre et composter pour Agde et Vias est bien connue Ce n est pas le cas pour les communes de Bessan et Marseillan 2 2 2 Syndicat Centre H rault Les documents pris en compte sont gt SIRTOM de Clermont l H rault_ d application du Plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s DDAF de l H rault Service quipements publics ruraux avril 1996 Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Etude globale de gestion et de traitement des d chets m nagers et assimil s synth se de la phase 3 Orientations G O CONSEIL Environnement mars 1999 gt Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Sch ma Directeur de gestion des d chets de la Zone Ouest de l H rault G O CONSEIL Environnement juin 1999 Seul le SIRTOM de Clermont l H rault a ef
245. ontpellier Fax 04 66 74 15 83 30000 NIMES e LOMBARD SARL 04 90 25 08 25 Chemin des Falaises Fax 04 90 26 33 07 30131 PUJAUT e HERAULT e BNM 04 67 36 28 04 5 rue de Cr s Fax 04 67 36 38 31 34000 BASSAN e DELTA Recyclage 04 67 86 71 50 Avenue de la Lib ration Fax 04 67 86 71 12 34130 LANSARGUES e SEGA 04 67 94 40 94 Rue de la M diterran enne 34300 AGDE e LARMANDE Roger 04 67 31 09 99 Lieu dit La Malhaute Fax 04 67 31 59 18 34500 THEZAN LES BEZIERS e LANGUEDOC RECUPERATION 06 08 57 30 03 14 rue Enclos Fermaud Fax 04 67 58 33 85 34000 MONTPELLIER e BARTHES 04 67 53 04 67 HLM Mas Grenier Chemin Croix de Marcenac 34200 SETE e ONYX MEDITERRANEE 04 67 42 53 44 1901 rue du Pont de Lav rune 34070 MONTPELLIER e LOZERE e ENVIRONNEMENT 48 48000 BALSIEGES e PYRENEES ORIENTALES e Etablissements CIBAUD 04 68 85 01 19 129 Chemin du Pas de la Paille Fax 04 68 85 34 88 Z I du Sud 66000 PERPIGNAN t l et fax 04 66 49 25 25 e LLOVERAS Jean Luc 04 68 56 82 02 40 avenue de la Massane Fax 04 68 56 82 02 66000 PERPIGNAN e POINT VERT 04 68 56 50 86 March International St Charles Fax 04 68 56 56 87 66000 PERPIGNAN e St Nile CATALANE ET OCCITANE DE RECYCLAGE 1900 av Julien Panchot 04 68 54 92 54 66000 PERPIGNAN Fax 04 68 55 20 03 H VERRE e Verreries e VERRERIE OUVRIERE D ALBI Rue Fran ois Arago Zl BP 91 81003 ALBI CEDEX 05 63 78 10 10 Fax 05 63 78 10 13 VERRERIE DU
246. ontpellier et dans les zones commerciales des communes districales Les d chets li s l activit littorale Ces d chets ne sont pas identifi s et ne font pas l objet d une collecte ou d un traitement s par Sur Palavas les Flots des quantit s assez faibles d algues sont r cup r es et valoris es Les d chets m nagers sp ciaux Les d chets qui font l objet d une collecte sp cifique sont quantifi s Cependant on ignore s il s agit de quantit s collect es sur Montpellier ou l chelle du District Les d chets d assainissement Le gisement global de boues de station d puration n est pas connu Une quantit de 21 360 T an est destin e la valorisation agricole par pandage Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 28 GIRUS SA CP f vrier 2000 3 DESTINATIONS ACTUELLES DES DECHETS 3 1 Destinations actuelles des ordures m nag res 3 1 1 Les d charges Deux types de d charges sont pr sentes sur le d partement de l H rault Les d charges autoris es Ces d charges ont fait l objet d un arr t pr fectoral d autorisation Il en existe 13 gt Sur la Zone Ouest Graissessac Rosis Castanet Soumont Vendres B ziers et Bessan ces trois derni res accueillent les refus de traitement en ce qui concerne les ordures m nag res Sur la Zone Centre Sud Villeveyrac Sur la Zone de Montpellier Lattes Sur la Zone Est
247. ournit des donn es communales qui peuvent tre issues de donn es syndicales cellules en gris LOCALISATION ANNEE POPULATION Secteur Collectivit Collectivit Collectivit Commune Population Population du PDED organisation Comp tence Comp tence Comp tence Nom de r f rence s dentaire saisonni re d chets d chets d chets nb habitants nb touristes collecte traitement autre Les premi res colonnes permettent de localiser les communes dans l organisation d partementale d finie auparavant zone secteur d organisation Elles peuvent appartenir une ou plusieurs collectivit s comp tence d chet ou bien tre des communes ind pendantes Pour les collectivit s comp tence d chet collecte traitement ou autre on a choisi de ne rentrer que les groupements L ann e de r f rence des donn es est par exemple l ann e de l tude La population s dentaire est celle indiqu e au moment de la communication des tonnages La dur e de s jour des touristes n tant pas souvent d termin e la population saisonni re est exprim e en nombre de touristes et non en quivalent habitants part OM part OM part DICB s dentaires touristiques avec OM La quantit d ordures m nag res collect es porte porte est quelquefois issue de donn es syndicales notamment lorsque c est le groupement intercommunal qui est client d une unit de traitement ext
248. paces verts e Epandage direct des produits organiques en agriculture La r vision du Plan D partemental d Elimination des D chets M nagers et Assimil s offre l occasion e De faire le point sur l existant d partemental gisements unit s de traitement en fonctionnement e De proposer En amont de la collecte et du traitement des gisements de mati re organique l am lioration de qualit des produits propos s en ad quation avec les besoins des utilisateurs potentiels aval de la livraison l utilisation des produits organiques recycler une recherche et un largissement des d bouch s de ces produits ainsi que l identification des contraintes propres aux fili res d utilisation Page 60 6 1 Bilan des mati res organiques valorisables sur le d partement de l H rault Le tableau ci apr s synth tise les potentialit s de collecte des diff rents types de d chets organiques PRODUITS MODE RATIOS OBSERVES QUANTITES ESTIMATION DES DE kg hab an VALORISABLES QUANTITES COLLECTE kg hab an DEPARTEMENTALES POTENTIELLES r f rences r f rences Collecte s lective 100 ADEME 100 5 ans 50 000 habitat pavillonnaire 100 000 t En semi urbain rural 120 10 ans d pendra du niveau de 100 en habitat collecte mis en place B ziers Crouzette ou pavillonnaire pavillonnaire D chetteries 03m aim 40 75 kg hab an 75 kg hb an et apports directs soit 60
249. pour laquelle une solution de remplacement est mettre en place tr s court terme e Collecte s lective des recyclables mise en place avec rendements en cours d volution e Collecte s lective des d chets m nagers autres que les ordures m nag res d velopper d chetteries e Recherche de sites d enfouissement de classe 2 et 3 n cessaire SIVOM du Canton d Agde Sch ma n 9 d limitation du secteur agathois extrait tude GIRUS 11 99 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES OUEST Biterrois 1 e Secteur non f d r en collectivit intercommunale comp tence traitement des d chets m nagers e Zone urbaine avec forte repr sentation de l habitat semi urbain pavillonnaire e Collecte des recyclables en apport volontaire mise en place et collecte s lective des fermentescibles en porte porte sur certains quartiers de B ziers en cours de d veloppement e Traitement des d chets r siduels PUTOM compostage urbain B ziers e Zone bien desservie en quipements de traitement conformes la r glementation FAUGERES lt SICOM de Magalas N Puissalicon SICEOM de Puisserguier 7 SIVOM dela BEZIERS SICEOM de Saint Martin SIVOM de Lignan Corneilhan Sch ma n 10 d limitation du secteur Biterrois 1 extrait tude GIRUS 11 99 Page 47 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES OUEST Biterrois 2 e Zone semi urbaine avec grande influence saisonn
250. presque inexistant Certaines communes ayant une population trop faible pour justifier l existence d une d chetterie conforme se sont quip es de d chetterie simplifi es dites aussi mini d chetterie ou de bennes encombrants offrant ainsi un service de proximit Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 31 GIRUS SA CP f vrier 2000 Le tableaupage suivante donne par zone le nombre de ces quipements sachant qu au sein d une m me zone la r partition de ces quipements peut tre in gale 7 d chetteries 7 mini d chetteries 6 points benne encombrants Zone Centre Sud 10 d chetteries 1 mini d chetterie Zone de Montpellier 9 d chetteries Zone ouest 7 d chetteries 2 mini d chetteries 4 points benne encombrants 3 2 4 Les d charges communales existe l heure actuelle 146 d charges en fonctionnement accueillant des d chets autres que les ordures m nag res Ce chiffre fourni par le Conseil G n ral de l H rault est prendre avec pr caution car il existe souvent un cart entre la situation officielle et la r alit d charges ferm es par les mairies mais qui font toujours l objet de d p ts sauvages par des particuliers Ces d charges accueillent tous types de d chets encombrants inertes d chets verts DIR D M S Une enqu te a t r alis e par le Conseil G n ral l ADEME le BRGM et la DDAF Elle donn
251. ques param tres chimiques organiques et l ments ind sirables une stabilit dans le temps des caract ristiques analytiques et physiques 6 6 2 Caract ristiques physiques d un compost Il s agit l odeur la temp rature granulom trie taille maximum en mm des l ments constituant le compost la charge en l ments ind sirables plastique verre sable cailloux l ments traces m talliques l humidit du compost exprim e en pourcentage de la mati re brute masse eau masse compost Page 66 Caract ristiques Valeurs normales Valeurs seuils attention physiques Humidit 30 50 de la gt 60 revenir charger le mati re brute produit apr s s chage viter d acheter des m d eau au prix des m de compost lt 20 produit sec mais pas forc ment stabilis la phase de fermentation peut reprendre apr s r humectation du produit voir C N Granulom trie Tamis maille 3 Au del de 40 mm risque de 40 mm reprise de fermentation du 3 mm fin produit fin d azote 40 mm grossier Odeur Humus terreau Acide aigre benz ne sous bois attention risque de produit pas m r ni stable Temp rature lt gt 40 C et plus attention risque de produit pas m r ni stable Ind sirables Absence ou Si pr sence demander tol rance de lt 5 en l origine de la mati re verre volume organique plastique ferr
252. r alis s La feuille DM Ratio de SED SEMI URBAIN SED TOURISTIQ production 2 4 DM Global Global Global Global kg hab an kg hab an kg hab an kg hab an Il s agit des d compositions de la production de d chets m nagers hors OM par mat riau exprim es en kg hab an et en pourcentage de la production globale Ces d compositions font r f rence aux donn es ADEME d apport en d chetterie e pour le type 1 d composition correspondant aux apports dans une d chetterie desservant moins de 5000 habitants e pour le type 2 d composition correspondant aux apports dans une d chetterie desservant de 5000 habitants 10 000 habitants e pour le type 3 d composition correspondant aux apports dans une d chetterie desservant de 10 000 25 000 habitants e pour le type 4 m me d composition que pour le type 2 d faut de valeurs plus repr sentatives Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 18 GIRUS SA CP Janvier 2000 La feuille Boues Ratio LAGUNAGE 2 BIOLOGIQUE 4 production boues Ratio de production Ratio de production kg de MS hab an kg de MS hab an kg de MS hab an kg de MS hab an Cette feuille n est pas utilis e dans l tat actuel sachant que les ratios r els de production de boues dans le d partement en 1999 ont t rentr s directement dans la feuille GIS gisement partir des
253. r ce aux subventions des soci t s agr es ECO EMBALLAGES ADELPHE dont les montants d pendent des performances atteintes Page 90 gt Les frais de personnel repr sentent plus de 50 des co ts de collecte 2 Tri lt Tri des emballages m nagers environ 150 par tonne entrante hors subvention et frais d investissement Les co ts r els peuvent tre affin s dans le d partement gr ce aux exp riences r centes des usines OIKOS et DELTA RECYCLAGE Lansargues L usine DEMETER plus ancienne p tit de sa sur capacit Tri des D I B 61 la tonne Ces co ts sont indiqu s pour des centres de tri d une capacit moyenne comprise en 10 et 20 000 t an correspondant aux besoins de 100 200 000 habitants Aujourd hui les co ts du tri sont encore largement p nalis s par les faibles quantit s apport es sachant que les frais fixes sont lev s Une g n ralisation des collectes s lectives permettrait de mieux rentabiliser les installations existantes qui fonctionnent 50 de leurs capacit s nominales gt Les frais de personnel repr sentent 50 60 des co ts bruts de tri 3 fili res de compostage gt Compostage rustique des D chets Verts et Fraction Fermentescible des Ordures M nag res 30 38 la tonne Les proc d s de compostage sont bien connus et faciles mettre en oeuvre De plus cette fili re assure un bon coulement des composts produits gt
254. r cente enqu te de la CAPEB conclut une production annuelle de 72 337 T environ 50 des inertes sont r utilis s il reste donc 39 890 T de d blais et gravats g rer Aucune autre source d information ne permet d estimer la production des autres artisans et commer ants ni la production de d chets Les d chets m nagers sp ciaux lls ne font pas l objet d une estimation pr cise Les d chets d assainissement Les donn es sur les stations d puration et le devenir des boues sur le secteur d tude sont tr s incompl tes Une quantit th orique de boues a t calcul e en se basant sur des hypoth ses de production diff rentes suivant le type traitement des eaux us es donn es fournies par le SATESE et le SATEBE Les boues produites sur l ensemble de la zone repr sentent un tonnage d environ 420 T MS par an 2 2 6 SI Cesse et Brian Aucun document ne nous a t fournis concernant ce syndicat Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 20 GIRUS SA CP f vrier 2000 2 3 Zone Centre Sud 2 3 1 SINBT Les documents pris en compte sont gt Syndicat intercommunal du Nord du bassin de Thau Etude d application du Plan D partemental d limination des d chets m nagers et assimil s SINBT octobre 1996 gt Etude locale de gestion des d chets Rapport d tude SIVOM de S te et de ses environs GIRUS SA novembre 1997 gt
255. r d habitation strict La quantit d ordures m nag res collect es sur la semaine test est de 2 68 tonnes Le nombre d habitants a t estim 633 habitants environ 3 personnes par logement sur 211 logements Le nombre d habitants exact ne nous ayant pas t communiqu par OPAC cette estimation doit tre prise avec pr cautions la marge d erreur est de 30 Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 5 GIRUS SA CM novembre 1999 Bilan Les r sultats sont donn s en kg an habitant s dentaire pour les 3 zones de test P zenas Nizas Groupe d immeubles Centre Collecte s parative 530 202 220 ordures m nag res Collecte s parative 242 non d chets non m nagers HL 29 20 O 1 6 Analyse P zenas Centre Les quantit s importantes de d chets m nagers sur le centre urbain 530 kg an habitant avaient soulev des interrogations quant la validit des r sultats Apr s v rification des pes es des plannings de travail des quipes et des modalit s de collecte les valeurs des tonnages constat s ne semblent pas pouvoir tre mises en doute En effet la comparaison des r sultats de la semaine test avec les r sultats annuels a prouv la coh rence des quantit s collect es gt P zenas Centre Semaine Test environ 772 5 gt P zenas Centre R sultats octobre 850 kg an hab 20 Il semble donc que les raisons de ces quantit s
256. r l ADEME qui fait tat d un ratio de d chets verts collectables dans le Sud Est incluant tout le Languedoc Roussillon de 32 kg an et par habitant ce qui nous m ne 1 172 kg hab an pour l ensemble de la zone Les d chets inertes Les d chets inertes produits par les particuliers ne font pas l objet d une estimation Les d chets municipaux Les balayures en provenance du nettoyage de voie publique ou les d chets de march s lesquels sont des D B sont collect s au m me titre que les ordures m nag res l absence de circuit sp cifique aucune valuation de quantit n a t fournie Les d chets des professionnels Le gisement de D I B ne fait pas l objet d un recensement pr cis Une estimation a t r alis e partir de donn es d partementales et donne une production annuelle d environ 36 000 T an de d chets issus des entreprises de plus de 10 salari s Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 19 GIRUS SA CP f vrier 2000 Cette valeur est probablement une surestimation de la production r elle car l extrapolation est r alis e partir d une production moyenne par entreprise H raultaise quelle que soit sa taille Or le tissu local est surtout constitu de petites entreprises qui produisent moins que la moyenne L estimation de la production des entreprises artisanales du b timent des Hauts Cantons r alis e partir d une
257. r une s lection de leurs arguments dans la base de donn es selon des crit res d finis Ces crit res sont d finis dans une plage de cellules appel e zone de crit res et correspondent une ou plusieurs conditions pos es Dans la premi re ligne de la zone de crit res sont donc indiqu s les noms des champs concern s dans la deuxi me ligne sont consign s les crit res correspondants Dans notre cas nous avons utilis les fonctions suivantes e BDLIRE base de donn es champ crit res cette fonction permet d extraire d une base de donn es l enregistrement qui correspond aux crit res sp cifi s e BDSOMME base de donn es champ crit res cette fonction permet d additionner les nombres se trouvant dans un champ de donn es s ils r pondent un crit re voulu base de donn es tant la plage de cellules qui constitue la base de donn es champ indiquant le champ sur lequel est x cut e la fonction crit res tant la plage de cellules qui contient les crit res de la base de donn es L ensemble des fonctions relatives une base de donn es est disponible en d roulant le menu nsertion et en cliquant sur Fonction Il suffit ensuite de s lectionner Base de donn es dans la zone Cat gorie de fonction et de cliquer sur la fonction d sir e dans la zone Nom de la fonction Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 6 GIRUS SA CP Janvier 2000 2 BASE
258. rages tab 19 quelques valeurs limites issues de la r glementation Page 69 6 6 technico conomique et environnementale des fili res d utilisation des produits Certains blocages sont apparus sur l aval des fili res en mati re de valorisation des d chets m nagers organiques les agriculteurs ainsi que les propri taires forestiers manifestent des craintes s rieuses voire des oppositions quant l utilisation de mati res organiques m me transform es d origine urbaine Les grandes structures de commercialisation ont anticip et en partie orchestr cette crainte en interdisant dans le cadre de leurs cahiers des charges l utilisation de ces mati res Cette crainte se nourrit de deux types d arguments e Un aspect technique ces produits peuvent effectivement contenir des ind sirables ETM ETO pathog nes que les utilisateurs ne veulent pas voir s accumuler dans leurs sols ou sur leurs cultures sous peine de ne pas trouver un d bouch commercial e Un aspect plus irrationnel li aux crises successives subies par l agriculture et l image de marque d favorable des produits r v lant un manque tr s s rieux et profond de communication sur les d chets organiques et la valorisation organique Conscient des enjeux conomiques et techniques forts et des limites de comp tence du plan d partemental en mati re de communication un projet de mise en uvre d une charte d partementale
259. ral se veut tant planificateur p dagogique qu instructif Un document de planification doit toujours int grer au mieux les contraintes r glementaires les choix effectu s par les principaux acteurs comp tents ainsi que les besoins g n r s par notre soci t Une actualisation r guli re est donc n cessaire Voir annexe 1 Selon l article 6 du d cret 96 1008 du 18 11 96 un rapport annuel relatif la mise en uvre du plan est pr sent la Commission de Plan au moins une fois par an Ce rapport indique la mise jour des collectivit s comp tence collecte et ou traitement des d chets les capacit s de traitement ainsi que les tudes annexes tudes de fili res et de zones inventaire des d charges sauvages r alis es au cours de l ann e coul e 1 2 Quelques points forts du Plan de 1996 Avec la pr tention de traduire au niveau d partemental les grands principes de la loi 92 646 du 13 juillet 1992 le plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s de l H rault est avant tout un plan complet et p dagogique Compos de neuf parties dont une synth se il regroupe plus de mille pages en partie en couleur et largement illustr es par des sch mas graphiques et photos Un dixi me document intitul Notice explicative et une plaquette en double format A4 en couleur diffus s en quelques 3000 exemplaires ont largement contribu la communication du message et l inform
260. repr sente pr s de 34 millions de nuit es par an soit 93 150 quivalents habitants en plus chaque ann e Les locations r sidences secondaires et autres types d habitat ind pendants repr sentent 75 de l h bergement Les campings repr sentent 20 8 du parc La production moyenne d un touriste par jour varie peu suivant le type d habitat la moyenne se situant 735 g touriste par jour environ Ainsi la production des populations touristiques peut tre estim e 25 000 tonnes maximum d ordures par an sur l H rault non compris les d chets encombrants et les d chets indirects li s au tourisme restauration commerce d chets d pos s dans les poubelles municipales par les passants etc La part des touristes r sidant en h tels chambres d h tes ou auberges de jeunesse et qui ne produisent pas de d chet de cuisine peut tre estim e partir des capacit s d accueil uniquement les chiffres sur les nuit es ne sont pas complets Ce type d h bergement repr sente 3 du parc marchand et 10 5 du parc total en comptant les r sidences secondaires chiffres 1999 Si l on extrapole cela aux nuit es on a donc un maximum de 10 5 des touristes ne produisant pas de d chets m nagers La production m nag re des populations touristiques est donc de 22 250 tonnes par an minimum Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 8 GIRUS SA CM novembre 1999 1 6 3 Estimation des quantit s
261. risation des d chets du BTP Les carri res en activit peuvent tre des lieux de concassage des d chets du BTP En effet elles sont utilis es par les professionnels elles disposent de place et surtout des moyens techniques qui permettent de contr ler les apports et de valoriser par concassage certains inertes La principale difficult pour la mise en uvre d une telle fili re est le manque de d bouch s pour les granulats recycl s li des contraintes conomiques et techniques qui freinent les ma tres d ouvrages pour l utilisation de ces mat riaux c Les carri res comme lieu de stockage des inertes Comme cela est pr vu dans le sch ma d partemental des carri res certaines carri res en activit peuvent constituer des centres de stockage pour les d chets inertes en veillant au caract re strictement inertes des d chets stock s Cette solution permet l exploitant de la carri re d op rer les r am nagements pr vus dans le cadre des mesures de r habilitation apr s exploitation Par ailleurs des stockages provisoires de mat riaux nobles d velopperaient le r emploi de ceux ci Page 79 7 3 3 4 Meilleure prise en compte de l aspect traitement des d chets dans les appels d offres publics Comme cela est clairement pr cis dans la circulaire environnement transport du 15 f vrier 2000 une implication forte des ma tres d ouvrages publics notamment de l Etat permettrait d avoir un effe
262. ronnement et de la salubrit des milieux dans la mesure o ces actions visent l implantation sur le territoire concern d installations conformes aux normes et r glements en vigueur En effet les mesures effectu es sur les missions des installations de traitement de d chets permettent de conclure qu elles ne sont pas susceptibles d engendrer de risques pour les riverains par exposition directe Une estimation du risque global engendr par chacun des polluants mis ne sera possible qu apr s quantification des apports par les voies d exposition indirectes notamment celles qui int grent les accumulations au long de la cha ne alimentaire La suppression des d p ts non contr l s et la mise en place d installations autoris es peut contribuer l am lioration de cette connaissance notamment par les tudes d impact r alis es avant chaque implantation et pr sent es dans les dossiers de demande d autorisation d exploiter et par le suivi des impacts environnementaux des installations en fonctionnement Page 100 Destination actuelle des ordures m nag res sur le d partement de l H rault DAT an mise jour Janvier 2003 OULES CET autoris s Compostage enfouissement BAUCELS EM CET de Villeveyrac en CET autoris CET du Th t Lattes Usine de tri compostage EM CET de Soumont CET de Vendres CET de Narbonne L Usine de compostage de B ziers L CET Le Triadou
263. rticle 5 du d cret Elle regroupe des repr sentants du Conseil g n ral des repr sentants des communes d sign s par l association d partementale des maires des repr sentants des services d concentr s de l Etat de l ADEME Agence l Environnement et de Ma trise de l Energie des chambres de commerce et d industrie de la chambre d agriculture et de la chambre de m tiers des repr sentants d organisations professionnelles concourant la production l limination des d chets des repr sentants d organismes agr s en application du d cret du 1 04 92 des repr sentants d associations agr es de protection de l environnement La composition de la Commission du Plan a t nouvellement approuv e par arr t pr fectoral en date du 3 d cembre 1998 des modalit s de consultation et d information du public et des collectivit s territoriales Dans les conditions mentionn es l article 10 du d cret la proc dure de r vision est identique la proc dure de r vision Celle ci est d taill e au paragraphe 2 5 ci dessous des d lais de r vision l article 12 du d cret s applique dans le cas pr sent sachant que le Plan a t approuv par arr t pr fectoral du 1 02 96 alors que le d cret date du 18 11 96 Cet article pr cise que ces plans doivent tre r vis s dans un d lai de 3 ans compter de la publication du d cret soit le 24 11 96 Un planning d taill des op rations
264. rtier d habitation strict Dans ce quartier de petits immeubles on ne compte aucun professionnel les d chets produits sont donc strictement m nagers Par ailleurs une benne de 30 m est disposition de la population afin de r cup rer tous les d chets encombrants Ainsi les seuls d chets collect s dans les bacs sont des ordures m nag res strictes Bien s r dans ce type d habitat on ne compte pas de production de d chets verts m nagers les seuls d chets verts produits proviennent de l entretien des espaces verts du quartier La production de d chets m nagers est ici aussi influenc e une partie des ordures est produite hors du quartier par les habitants ne prenant pas leurs repas chez eux mais sur leur lieu de travail Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 7 GIRUS SA novembre 1999 D composition des tonnages En fonction des l ments d analyse pr c dents nous proposons donc la d composition P zenas Nizas Groupe Centre d immeubles suivante en kg hab an Collecte OM strictes 350 202 220 s parative Tourisme permanent non non ordures Attraction OUI non non m nag res Encombrants 100 non bacs 1201 non benne 30m DIB 80 nul non Collecte d chets non 8 s parative m nagers estimation d chets non m nagers Si l on enl ve les d chets m nagers encombrants pour pouvoir comparer les r sultats on obtient les proportio
265. rutes pr tri es fonctionnent aujourd hui Le compost produit de qualit est valoris l heure actuelle en viticulture e environ 58 des d chets de la zone sont trait es ou stock es dans des installations non conformes la r glementation d charges sauvages ou situ es hors d partement tab n 4 principales caract ristiques de la zone Ouest extrait base de donn es objectifs GIRUS 1 00 Page 28 ZONE EST E R vision du Plan D partemental de H rault ZONAGE F vrier 2003 Syndicat mixte entre pic et tang CA de Montpellier CA du Bassin de Thau du Nord Bassin de Thau ZONE OUEST CC de la Montagne du Haut Languedoc CA H rault M diterran e H raultais e SITOM du Littoral SIVOM du St e SIVOM du Marcory SICOM de Magalas Puissalicon e SIVOM de la vall e du Libron sec du St Chinianais SICTOM de St Martin AP MERS SIVOM d Ens rune e SICTOM de St Gervais St Etienne SI de Ligan Corneilhan CELES SICTOM de la Haute vall e de l Orb SICEOM de Puisserguier ROCOZ Syndicat Centre H rault E SI Cesse et Brian SICTOM de la r gion de P zenas CC Orb Jaur SI de Graissessac SAINT MAURICE EL NAVACELLES LE DESERT EX PUECHABO q LA Q AIGOUZE CAMBON LA SALVETAT SUR AGOUT FRAISSE SUR AGOUT D ALBAGNAD A FERRIERE In
266. s Page 6 Comp tence Comp tence 21 SIVOM du Pic Saint Loup Assas H tel de Ville 34270 ST adresse MATHIEU DE TREVIERS Cazevieille 04 67 55 20 28 Combaillaux 04 67 55 17 01 Fontanes Guzargues Matelles Les Murles Prades le Lez Saint Bauzille de Montmel Saint Cl ment de Rivi re Saint G ly du Fesc Saint Jean de Cuculles Saint Mathieu de Tr viers SaintVincent de Barbeyrargues Sainte Croix de Quintillargues Triadou Le Vailhauqu s 22 SICEOM de Puisserguier Creissan H tel de Ville 34620 adresse PUISSERGUIER Cruzy 22 22 04 67 93 74 02 Montouliers 22 22 04 67 93 80 83 Puisserguier 22 22 Quarante 22 22 23 SICTOM de Rosis Castanet le Haut 23 23 H tel de Ville Andabre adresse ROSIS Rosis 23 23 Saint G nies de 04 67 23 60 73 Varensal 23 23 04 67 23 69 44 Saint Julien d Olargues 23 23 24 SICEOM de Saint Martin Cazouls les B ziers 24 24 30 H tel de Ville 34370 adresse CAZOULS LES BEZIERS Maraussan 24 24 30 04 67 93 61 08 04 67 93 58 25 25 SIVOM du Saint Courniou 25 25 H tel de Ville 34220 ST adresse PONS DE THOMIERES Ferrals les Montagnes 25 25 04 67 97 39 39 Pr mian 25 25 04 67 97 39 30 Riols 25 25 Saint Pons de Thomi res 25 25 Verreries de Moussans 25 25 Page 7 Comp tence Comp tence 26 SITOM du Littoral Portiragnes C 26 H tel de Ville 34350 adresse VALRAS Sauvian C 26 04 67 32 13 56 S rignan C 26
267. s Soumont Usclas du Bosc Vacquerie et Saint Martin de Castries La Boisseron Lunel Lunel Viel Marsillargues Saint Christol Saint Just Saint Nazaire de P zan Saint S ries Saturargues Saussines Valergues Verargues Villetelle Fouzilhon Magalas Puissalicon Roquessels Page 4 Comp tence Comp tence 17 SIVOM du Marcory Boisset 17 H tel de Ville 34360 adresse PARDAILHAN Pardailhan 17 04 67 97 10 80 Rieussec 17 Saint Jean de Minervois 17 Velieux 17 18 SICTOM des SIX Autignac 18 H tel de Ville 34480 adresse AUTIGNAC Causses et Veyran 18 04 67 90 28 02 Pailhes 18 04 67 90 14 19 Puimisson 18 Saint Genies de Fontedit Saint Nazaire de Ladarez 19 Communaut de Communes du Nord du Bassin de Thau Bouzigues Maison de la Mer Quai Baptiste Guitard BP 7 34140 adresse MEZE Gigean 04 67 43 87 73 Loupian 04 67 43 87 74 M ze Montbazin Poussan Villeveyrac Page 5 Comp tence Comp tence 20 SICTOM de la R gion de P zenas Abeilhan H tel de Ville 34120 2 Adissan 04 67 98 11 63 Alignan du Vent 04 67 98 35 40 Aumes Bessan Castelnau de Guers Caux Cazouls d H rault Cers Coulobres Florensac Font s Fos Gabian L zignan la C be Margon Montagnac Montblanc Montesquieu Neffies N zignan l Ev que Nizas P zenas Pinet Pomerols Pouzolles Roujan Saint Pons de Mauchiens Saint Thib ry Servian Tourbes Vailhan Valro
268. s Codogan Mus Uchaud Verg ze Vestris et Candillac Aigues Mortes Le Grau du Roi Saint Laurent d Aigouze les num ros des colonnes comp tence collecte et comp tence traitement se r f rent aux num ros des EPCI qui exerce ces comp tences C d isgne une comp tence exerc e par la commune X Y signifie que la commune a confi la comp tence collecte ou traitement la structure X et adh re galement la structure Y Cette annotation met en vidence des probl mes de double comp tence Page 13 Plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s de l H rault Groupe de travail Production de d chets Statistiques ANNEXE 4 rault Phase 1 SYNTHESE DES ETUDES DE FILIERES ET DE ZONES Etude bibliographique novembre 1999 Modifi en Avril 200 B DESMET DDAF 34 Cap Alpha Clapiers 34940 Montpellier cedex 09 T l 04 67 59 30 25 Fax 04 67 59 30 31 E mail Girus34 wanadoo fr Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude bilbliographique GIRUS SA CP f vrier 2000 INTRODUCTION 2 T DEMOGRAPHIE ur 5 1 1 POPULATION SEDENTAIRE ACTUELLE cccccececceccaccenascsaaaccenaacenaaccauuacnuna 5 1 2 POPULATION TOURISTIQUE 5 2 BILAN DE LA PRODUCTION DE DECHETS PAR ZONE 7 2l ZONE EST EE 7 Z LON
269. s Les donn es fournies concernent le bassin d emploi Ganges Le Vigan o se concentrent les seules activit s industrielles hab illement et bois et commerciales supermarch s petits commerces artisanat du SYMTOMA Une enqu te r alis e par la CCI et l ADEME fait tat d une production de 1 300 T de d chets industriels et de 1 800 m de d chets issus des supermarch s En ce qui concerne les d chets agricoles zone d levage du SYMTOMA les valeurs fournies proviennent d un projet d tude r alis pour le compostage des mati res organiques Elles concernent uniquement le tonnage de fientes et de fumiers 1 600 T Cependant il est noter que ces d chets ne sont pas la charge de la collectivit Les d chets m nagers sp ciaux lls ne font l objet d aucune estimation des quantit s Les d chets d assainissement La seule donn e existante concerne la production de boues pour Ganges soit 112 T MS an Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 10 GIRUS SA CP f vrier 2000 2 2 Zone Ouest 2 2 1 SIVOM du Canton d Agde Les documents pris en compte sont gt Etude de fili re et de zone du SIVOM du canton d Agde BCEOM octobre 1998 gt Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault Etude globale de gestion et de traitement des d chets m nagers et assimil s synth se d
270. s Tonnes DIB circuits j j D DIB circuits autres j S G O TOTAL Ed _ Zone de calcul faisant r f rence la feuille GIS Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 27 GIRUS SA CP Janvier 2000 Zone de calcul faisant r f rence ZONE SE la feuille OBJ unit s si le type correspond Zone de calcul faisant r f rence la premi re feuille de sortie _ G une unit de tri ou de traitement O A aux feuilles GIS OBJ mat OBJ orga OBJ nerg si le type correspond une unit UNITES SECTORIELLES de stockage Type Nom de Secteur Capacit Tonnage la commune Valorisation Valorisation Valorisation Tonnage entrant mati re organique nerg tique de refus d implantation T an T an T an Zone de calcul faisant r f rence aux feuilles U TRI U TRAIT ou Zone de calcul faisant r f rence aux feuilles U TRAIT U STOCK U STOCK et au tonnage entrant Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 28 GIRUS SA CP Janvier 2000 ANNEXE 6 ESSAI DE QUANTIFICATION DES ORDURES MENAGERES STRICTES Extrait Etude GIRUS SA CM 11 99 Etude d analyse de production de d chets dans l H rault Phase 2 SOMMAIRE 1 PRESENTATION DE L ETUDE
271. s Feuille de saisie des ratios de production des boues Feuille de saisie des ratios de d chets industriels banals Feuille de calcul des populations sectorielles Feuille de calcul des gisements sectoriels Feuille de saisie des objectifs sectoriels de valorisation mati re Feuille de saisie des objectifs sectoriels de valorisation organique Feuille de saisie des objectifs sectoriels de valorisation nerg tique Feuille de saisie et de calcul des objectifs des quantit s entrantes dans les unit s sectorielles Feuille de saisie des caract ristiques des centre de tri existants ou pr vus Feuille de saisie des caract ristiques des unit s de traitement par unit s de compostage urbain sur ordures brutes existantes ou pr vues U COMPOS FFO euille de saisie des caract ristiques des unit s de compostage sur Fraction Fermentescible des Ordures M nag res D chets Verts et ou boues d puration existantes ou pr vues Feuille de saisie des caract ristiques des unit s de traitement par incin ration existantes ou pr vues Feuille de saisie des caract ristiques des centres de stockage des ultimes CSDU existants ou pr vus SORTIEobj Feuille de sortie pr sentant gisements et objectifs de valorisation SORTIEunit s Feuille de sortie pr sentant les unit s sectorielles EMBALLAGE Feuille de calcul pr sentant la part d emballages dans les ordures m nag res ainsi que leur objectif de valorisation TTL Feuille de saisie
272. s Pour cette solution collective ils contractent avec un organisme agr par les pouvoirs publics comme par exemple Eco Emballages Adelphe Cyclamed Ils peuvent aussi avoir recours des initiatives individuelles comme la consignation des emballages ou l installation d un syst me sp cifique de r cup ration En ce qui concerne la valorisation des d chets d emballages des entreprises le d cret du 13 juillet 1994 impose aux industriels et distributeurs de valoriser les emballages dont les d tenteurs ne sont pas les m nages 5 2 Ka production de d chets d emballages m nagers Selon les tudes men es par l ADEME les d chets d emballages repr sentent aujourd hui environ 39 en poids des ordures m nag res Environ 80 de ces d chets sont aujourd hui repris par les organismes agr s tels que Eco Emballages ou Adelphe er Les ratios de l observatoire ADEME issus de la campagne de mesures effectu e en 1993 annexe 11 permis de fournir les chiffres de production pr sent s dans la base de donn es lt objectifs gt joint au plan d partemental et repris en annexe Page 58 5 3 Lies objectifs de valorisation Les objectifs de valorisation appliqu s aux divers mat riaux constitutifs des emballages m nagers sont ceux retenus de mani re g n rale dans le plan d partemental 115 sont sp cifiques chaque secteur 5 4 Le collectivit s ayant contract avec Eco Emballages Voir Annexe 11 COLLECTIV
273. s Six Saint Etienne Communaut de Communes du Nord Bassin de Thau SIVOM entre V ne et Mosson Communaut de Communes S ranne Pic Saint Loup SIVOM du Pic Saint Loup Communaut de Communes de l Hortus SICTOM des Trois Rivi res 3 3 Collectivit s intercommunales m nagers 7_ mise jour f vrier 2003 Voir annexe 3 Communaut de Communes de la Montagne du Haut Languedoc H raultais SIVOM du Saint Ponais SIVOM du Marcory Communaut de Communes du Saint Chinianais SICTOM de Rosis SICTOM de la Haute Vall e de l Orb Syndicat Centre H rault Syndicat Intercommunal de Graissessac Communaut de Communes du Nord Bassin de Thau Syndicat Mixte entre Pic et Etang SICTOM du Lodevois Communaut de Communes Vall e de l H rault SICTOM de la R gion de P z nas Communaut de Communes Orb Jaur SICOM de Magalas Puissalicon SIVOM de la Vall e du Libron SICTOM de Saint Martin SIVOM Syndicat Intercommunal de Lignan Corneilhan SICEOM de Puisserguier Syndicat Intercommunal Cesse et Brian SIVOM de Sommi res Gard SICTOM Vistre et Vidourle Gard SIVU Aubais Gallargues Gard SIVOM d Aigues Mortes Gard Communaut de Communes Ceps et Sylves Communaut de Communes du Pays de Lunel SIVOM de l Etang de l Or comp tence traitement des d chets SITOM du Littoral SICTOM de la R gion de P z nas Communaut de Communes Orb Jaur SIVOM de la Vall e d
274. s de traitement B ziers et Vendres fonctionnent selon ce principe et offrent l heure actuelle des garanties suffisantes pour la valorisation du compost produit qui est utilis essentiellement en viticulture e Cette fili re s adapte bien la diversit g ographique d mographique conomique et sociologique de cette zone En particulier les unit s de traitement peuvent tre de petite taille et donc bien adapt es au secteur rural elles permettent aussi un traitement des pics de production dans les secteurs touristiques selon la technique pratiqu e aujourd hui l usine de traitement de Vendres e La fili re propos e permet de limiter les transports l o ils sont difficiles zone des Hauts Cantons notamment et offre l opportunit d un traitement d localis e Le territoire de cette zone offrent des potentialit s int ressantes pour l implantation de Centres de Stockage de D chets Ultimes crit res g ologiques proximit aspects forte implication du Syndicat Mixte de Gestion et de Travaux de la Zone Ouest sera toutefois n cessaire la concr tisation rapide des projets sachant que de nombreuses collectivit s membres ne disposent plus de fili res de traitement p rennes incin rateurs ferm s d charges sauvages Les efforts devront tout particuli rement porter sur le d veloppement des collectes s lectives d emballages recyclables et de la fraction fermentes
275. s de gestion aux communes concern es essentiellement les communes du littoral Les afflux de d chets doivent tre trait s rapidement et le contr le des op rations de tri individuel est plus difficile Par ailleurs la sensibilisation des populations saisonni res aux gestes de tri n cessite des techniques de communication plus percutantes renouveler chaque ann e Les taux de valorisation s en trouvent diminu s Remarquons toutefois que l activit industrielle est r duite pendant cette m me p riode et que la composition des d chets m nagers des populations saisonni res comprend une part plus importante de d chets d emballages recyclables en comparaison avec les populations permanentes Les efforts de communication pour la promotion du recyclage doivent donc tre accentu s dans ces secteurs e L volution des moeurs et des techniques ou des fili res D une part l volution des objectifs de valorisation tient compte de la sensibilit croissante de la population la protection de l environnement et la gestion moderne des d chets sous l impulsion des m dias et de la r glementation D autre part elle int gre aussi les volutions attendues en mati re de recherche sur de nouvelles technologies de recyclage plastiques produits toxiques ainsi que de nouvelles mati res recyclables utilis es pour la fabrication des emballages Page 56 Partis des sp cificit s de chaque secteur les objectifs de valorisation
276. s des m nages soit la partie de cette comp tence comprenant le traitement la mise en d charge des d chets ultimes ainsi que les op rations de transport de tri ou de stockage qui s y rapportent Ainsi dor navant la comp tence peut tre double et partag e m me avec le d partement ce qui r pond la critique fondamentale de la loi de 1975 compl t e en 1992 et 1995 qui confiait au maire m me des plus petites communes la responsabilit du service auparavant unique charg de collecter et traiter les ordures m nag res Le transfert de comp tences s accompagne d une convention article 72 et L 1311 circulaire du Minist re de l Int rieur sans mise en concurrence qui doit pr ciser les conditions de transfert de responsabilit de biens et les limites de comp tence notamment pour le transport Page 18 3 1 2 Le fractionnement du service d chets L article 71 L 2224 13 de la loi confirme donc le fractionnement du service d limination des d chets m nagers le mot valorisation a t omis Dor navant on distinguera le service de collecte et le service de traitement Les limites entre les deux services restent floues La collecte comprend le collecte g n rale la collecte s lective les d chetteries et en g n ral le transport et les centres de transfert Le service de traitement regroupe le tri recyclage le compostage ou la m thanisation l incin ration ainsi que tous transports tris stocka
277. s en Languedoc Roussillon liste non exhaustive ADEME Languedoc Roussillon Juin 1990 4 4
278. s les syndicats actuels On peut distinguer les cas suivants e sil y a identit des p rim tres ou inclusion du syndicat dans celui de la communaut la CA ou la CU se substitue de droit au syndicat pour la totalit des comp tences art L 5216 6 et L 5215 21 y a dissolution du syndicat sauf pour les comp tences qui seraient pas exerc es par la communaut ce qui pourrait tre le cas pour le traitement des d chets e si le syndicat est plus vaste et qu il y a inclusion de la ou de la CU dans ce syndicat il y a retrait du syndicat des communes adh rentes la nouvelle communaut art 5216 7 de la CU L 5215 22 Celle ci la possibilit mais pas l obligation la loi incite plut t une gestion directe de retransf rer ult rieurement une partie de ses comp tences au syndicat Dans ce cas elle repr sente ses communes au sein du syndicat qui devient syndicat mixte EPCI art L 5711 ll y a donc un risque de d s quilibrer le syndicat s il n y a pas adh sion de la communaut Le syndicat restant fonctionne comme un syndicat la carte art L 5212 16 pour les communes non adh rentes la communaut et pour les communes adh rentes uniquement pour les comp tences non affect es par la communaut e s il y chevauchement des p rim tres il y a retrait du syndicat des communes adh rentes la nouvelle CA ou CU dans les m mes conditions que pr c demment art 5216 7 Il et L 5215 22 ll en est de
279. s ressortissante de ce territoire Pour les installations de traitement autres que les 2 il y a une libert d change dans le cadre de traitements sp cifiques Il faut toutefois veiller au respect du principe de proximit dans le cadre de traitements identiques et co ts quivalents Certains arr t s pr fectoraux pourront tre modifi s la demande des exploitants d s l approbation du plan r vis pour les points concernant les DIB dont l acceptation est pour l instant limit e la provenance de certaines zones g ographiques 7 2 2 2 La valorisation des DIB Les DIB ont un potentiel de valorisation encore trop peu exploit En effet il y a un manque de fili res de valorisation de certains d chets banals valorisables polystyr ne PVC et le maillage des structures de collecte permettant une valorisation ult rieure des micros gisements qui constituent une part significative des DIB est insuffisant Voir annexe La liste des fili res de valorisation est connue elle se trouve annex e au plan elle sera i r guli rement actualis e Par ailleurs les bourses de d chets lectroniques sont d velopper Pour encourager les entreprises valoriser leurs d chets il convient que les collectivit s locales mettent en place une redevance plus adapt e et incitative L objectif de valorisation des DIB est fix 45 en 2005 Page 75 7 2 2 3 Notion et stockage des DIB ultimes A Nature des d
280. s secteurs habit s car les risques sanitaires prennent un caract re pid mique e les modalit s de stockage ou de traitement des d chets tant leur tour susceptibles d engendrer des nuisances ou des atteintes la sant des organismes vivants le l gislateur a mis en place une r glementation imposant des pr cautions particuli res chaque mode de traitement 11 1 des d chets sur la sant Les substances comprises dans les d chets m nagers et susceptibles d engendrer des nuisances ou des atteintes la sant sont diverses mati res organiques v g tales et animales servant de support aux organismes qui contribuent leur d gradation et qui sont susceptibles d tre pathog nes par eux m mes ou en tant que vecteurs mati res min rales contondantes coupantes piquantes mati res combustibles susceptibles de d gager des substances corrosives ou toxiques dans l atmosph re r sidus de substances toxiques En outre ces substances ou celles r sultant de l alt ration des mati res qui constituent les d chets peuvent porter atteinte aux organismes vivants consommant des eaux dans lesquelles elles sont entra n es lixiviation Ainsi les effets pathog nes des d chets m nagers peuvent ils tre engendr s par diff rentes voies voies directes contact ou ingestion voies indirectes inhalation ingestion d eau ou d organismes contamin s Page 97 L abandon
281. sation est possible sur un camping une zone r sidentielle touristique une zone d habitat touristique vertical Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 2 GIRUS SA CM novembre 1999 1 1 Objectifs L objectif de cette partie est de connaitre la composition des d chets produits par les populations touristiques pour Evaluer les quantit s de d chets recyclables qui pourraient tre collect s par collecte s lective verre papiers cartons flacons plastiques bo tes de conserve et canettes etc Comparer la composition de ces d chets celle des ordures m nag res campagne nationale MODECOM 1993 Comparer la composition des d chets touristiques en fonction du mode d h bergement et mettre jour d ventuelles diff rences de comportement 1 2 Mat riel et m thode La m thode employ e se rapproche de la m thode MODECOM avec des simplifications li es aux objectifs un seul chantillon est tri par type d h bergement les chantillons peuvent tre inf rieurs 500 kg dans la mesure o la collecte du lieu cibl n atteint pas ce tonnage le nombre de cat gories tri es est de 20 contre 25 pour la m thode MODECOM les mailles de s paration sont rondes et de m mes dimensions que dans le MODECOM 8 2 20 mm et 100 mm La m thode t respect e quant au d roulement du tri Homog n isation du chargement lorsqu
282. se de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 8 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les d chets m nagers sp ciaux lls ne sont pas estim s car ils ne sont pas de la comp tence du Syndicat Mixte entre Pic et Etang Les d chets d assainissement La production de boues est connue pour une majorit de communes interrog es par le biais d un questionnaire Cependant il n existe pas de donn es pour 40 communes du syndicat h raultais et gardois soit 21 de la population Ces communes sont de boues mais n ont aucun moyen pour les quantifier Pour tenir compte de ces tonnages non identifi s le tonnage global a t major d environ 10 dans l tude de fili re et de zone La valeur fournie dans le tableau ci apr s concerne donc la partie h raultaise et gardoise 2 1 2 SIICTOM de la r gion de Ganges Ce syndicat est cheval sur les d partements du Gard et de l H rault Il est rattach au SYMTOMA en C vennes Occidentales pour la gestion de ses d chets m nagers d pend du plan d partemental d limination des d chets m nagers et assimil s du Les r sultats ont donc t calcul s au prorata du nombre d habitants ou sont donn globalement Les documents pris en compte sont gt Etude d application du Plan d partemental des d chets m nagers et assimil s du Gard Zone du en C vennes Occidentales GIRUS f vrier
283. secteur Centre H rault extrait tude GIRUS 11 99 Page 48 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES OUEST Minervois e Secteur forte dominante rurale e Collectes s lectives tr s peu tendues e Traitement actuel des d chets dans l Aude Basculement sur le d partement de l H rault possible Syndicat Intercommunal de Cesse et Brian Sch ma n 13 d limitation du secteur Minervois extrait tude GIRUS 11 99 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES OUEST Hauts Cantons Secteur forte dominante rurale Habitat dispers et difficile d acc s e Collectivit s intercommunales de petite taille et difficult s f d rer une m me structure e Collectes s lectives des recyclables mises en place par quelques collectivit s isol es e Collecte des d chets m nagers autres que les ordures m nag res d chetteries peu tendue l heure actuelle e Traitement actuel des d chets r siduels peu satisfaisant exportations l ext rieur du d partement ou enfouissement en d charges sauvages e Recherches de fili res de traitement et de stockage mener tr s court terme Sch ma n 14 d limitation du secteur des Hauts Cantons extrait tude GIRUS 11 99 Page 49 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES OUEST Piscenois e Secteur rural tendance semi urbaine avec d veloppement de l habitat pavillonnaire e Collecte s lective des recyclables en cours de d veloppement e D veloppement importa
284. sillon e une enqu te r alis e en 1998 par la CCI de B ziers St Pons aupr s des entreprises de moins de 10 salari s Les travaux d un sous groupe de travail ont permis de compiler et synth tiser les donn es afin de d terminer une estimation de la production de l ensemble des DIB dans le d partement Voir annexe 8 La production de DIB estim e est de 393 000 tonnes par an hors DIB du b timent La production de DIB des activit s du b timent et des travaux publics a t estim e par le Sch ma de gestion des d chets du BTP 199 000 tonnes an cf point 3 1 du sch ma 7 1 2 Estimation de part de DIB compris dans les Ordures M nag res OM A partir des donn es ci dessus et de l tude GIRUS il est possible de donner une estimation de la part de DIB inclus dans les OM Voir annexe 6 Cette estimation donn e titre d information n a aucune cons quence r glementaire La m thode de calcul se trouve en annexe La fraction de DIB collect e dans les OM est estim e 138 000 tonnes par an 7 2 Collecte et traitement des D I B 7 2 1 L acc s aux fili res de collecte et de traitement II existe trois cat gories de producteurs de D I B pour lesquels les moyens d acc der aux fili res de traitement sont totalement diff rents e Les gros producteurs de d chets fili res bennes collect es par soci t s priv es e Les petits producteurs de d chets fili res collecte ordures m nag res ju
285. squ 1100 litres hebdomadaire collecte sp cifique pour certains d chets cartons par exemple acc s aux d chetteries suivant modalit s d finies par les exploitants de d chetteries e Les moyens producteurs de d chets gt fili res d chetteries centres de tri plus rarement collecte des ordures m nag res Pour cette derni re cat gorie de producteurs celle pour qui les difficult s de collecte et de Page 74 traitement des d chets sont les plus pr occupantes e les d chetteries existantes ou futures doivent autant que possible tre utilis es comme point de collecte des DIB par d cision de l assembl e d lib rante concern e Une convention avec les professionnels pourra tre conclue elle d terminera les modalit s d acc s des professionnels quantit s co ts e l occasion de cr ation de Zones d Activit ou de Zones d Am nagement Concert es il doit tre pr vu un emplacement de taille adapt e destin assurer et faciliter la gestion des d chets e Par ailleurs des exp riences de reprise de d chets par les fournisseurs doivent tre favoris es 7 2 2 La valorisation et le stockage des DIB 7 2 2 1 Traitement des DIB et zones D une mani re g n rale il est pr conis que les DIB produits puissent tre collect s ou trait s au sein de l quipement le plus proche de son lieu de production co t de traitement quivalent Et ce m me si l entreprise n est pa
286. sseur L ADEME a d velopp la marque RETOUR attribu e aux fournisseurs qui s engagent organiser la reprise des produits usag s de leurs clients tout en respectant des r gles pr cises de protection de l environnement Page 89 9 e Ararvse ECONOMIQUE 9 1 Lee co ts moyens par fili re de collecte et de traitement Les co ts moyens par fili re de collecte et de traitement permettent partir des tonnages concern s d aborder les co ts globaux de traitement et de collecte des d chets m nagers et assimil s Les chiffres annonc s ci dessous sont des chiffres moyens d termin s par l exp rience locale et nationale dans des installations du m me type Ils peuvent varier en fonction des sp cificit s locales et de l volution des techniques sous la pression de la r glementation Les donn es rejoignent galement les r sultats d une tude conduite en 1997 et 1998 par SOFRES Conseil et command e par l ADEME et l Association des Maires de France Remarques e Les d chets concern s par les fili res de traitement nonc es sont les d chets municipaux c est dire collect s par les collectivit s locales e Tous les prix mentionn s ci dessous sont indiqu s hors taxes IIS comprennent l amortissement de l investissement et le fonctionnement normal e Les co ts suivants sont atteints pour des installations conformes la r glementation en r gime optimal de fonctionnement c est dire charge nominale 1
287. st r alis e ces d chets repr senteraient 29 T annuelles dont 24 T seraient produites par les m nages et 5 T comprises dans les D I B D B DIS en m lange Les d chets d assainissement Les quantit s de boues issues du lagunage sont estim es environ 200 T an Ces tonnages sont apparemment totalement pandus 2 3 2 SIVOM entre V ne et Mosson Les documents pris en compte sont gt SIVOM entre V ne et Mosson tude de fili re et de zone sur le traitement des d chets BETURE Environnement d cembre 1997 gt Etude locale de gestion des d chets Rapport d tude SIVOM de S te et de ses environs GIRUS SA novembre 1997 SIVOM de S te et de ses environs valuation des co ts de collecte de transport et de traitement TRIVALOR octobre 1997 gt SIVOM de S te et de ses environs Etude locale de gestion des d chets Inventaire et diagnostic des installations existantes TRIVALOR octobre 1997 SIVOM de la Mer et des tangs Etude des sch mas organisationnels de collecte et de traitement TRIVALOR octobre 1998 gt SIVOM de S te et SINBT Rationaliser ses d chets un objectif MODECOM Rapport de stage Yvain REMEUF avril 1998 Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 22 GIRUS SA CP f vrier 2000 SIVOM de S te et de ses environs Etude locale de gestion des d chets Note de sy
288. stallations Usine d incin ration autoris es au Centre de stockage del de 2002 Y Usine compostage Centre de tri TE sch ma n 2 le zonage du d partement Page 29 3 6 Flux de d chets entre zones 3 6 1 R gles concernant les d chets municipaux SS Sch ma Face au d ficit crucial en capacit s de traitement et de stockage un all gement des n H 3 H contraintes administratives pour le transfert de d chets m nagers d une zone l autre peut apporter des solutions En respectant toutefois le principe de proximit affich l article 1 de la loi de 1975 une d finition de r gles d changes de d chets conditionn es la nature des d chets est apparu comme une solution interm diaire satisfaisante Ces r gles se d clinent de la mani re suivante Les d chets m nagers bruts non tri s et les d chets r siduels apr s collecte s lective ne peuvent tre accueillis dans une autre zone que la zone d origine La r gle de l imperm abilit est pr serv e Les r sidus d une fili re de traitement devant tre retrait s ou stock s peuvent tre accueillis dans une autre zone dans une limite de 30 kilom tres par rapport aux limites de la zone d origine En cas de transfert vers un d partement voisin les r gles d changes nonc es au S 3 7 s appliquent Les produits de collecte s lective compos s de mati res premi res sec
289. ste pour r duire la croissance actuelle de la production de d chets doit tre entreprise au niveau national mais aussi au niveau local En mati re de valorisation un objectif national est fix 50 des d chets collect s par les collectivit s concern es doivent tre orient s vers une fili re de r cup ration recyclage traitement organique ou pandage agricole Cet objectif dont le terme n est pas fix doit tre adapt aux sp cificit s des territoires La circulaire reconna t la d finition tr s r ductrice du d chet ultime le d finissant a tort comme les seuls r sidus l incin ration L incin ration avec r cup ration d nergie et correctement d pollu e est un mode de traitement et de valorisation des d chets qui sa place dans une approche multi fili res d limination Mais le recours cette technique doit tre limit La solution alternative de l enfouissement est acceptable dans la mesure o les Centres d Enfouissement Technique sont conformes aux prescriptions de l arr t du 9 septembre 1997 et o les op rations de valorisations mati re et organique ont t pouss es au maximum pr alablement Les collectivit s n ont pas la responsabilit des D chets Industriels Banals ou D chets du B T P lorsqu ils sont collect s en dehors du cadre du service public Si toutefois une collectivit souhaite prendre en charge les d chets non m nagers exemple dans le dimensionnement d u
290. t r alis e aupr s de chaque professionnel concern avec distribution d une lettre d information Cela a galement t l occasion de conna tre leurs comportements habituels et les probl mes ressentis Sur P zenas Centre Conteneurisation gt mise en place de bacs gris du SICTOM avec affiches de signalisation pour les d chets non m nagers et information par visite aupr s de chaque professionnel y compris les tablissements scolaires et autres producteurs non m nagers des secteurs concern s avec remise d une lettre d information conservation des bacs marrons de la Mairie pour les ordures m nag res 1 se r f rer aux informations contenues dans l tude bibliographique partie 1 Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 3 GIRUS SA CM novembre 1999 Organisation de la collecte gt collecte double sur le secteur retenu la commune de P zenas pour les OM bacs marrons relev s tous les jours le SICTOM pour les d chets non m nagers bacs gris relev s lundi mercredi vendredi gt collecte suppl mentaire par la seconde benne de la commune de P zenas conserv e collecte tous les jours du surplus de d chets sur le secteur test s par ment du reste de la commune gt conservation de la collecte sp cifique du march samedi r alis e par la commune Sur les HLM de la route de Roujan gt aucun changement n a t op r sur les bacs en place en raison de
291. t 2002 e Difficult de mise en place dun Centre de Stockage des D chets Ultimes sur le territoire de la zone compte tenu des param tres hydrog ologiques e Extension prochaine la future communaut d agglom ration Communaut d Agglom ration de Montpellier mise jour en f vrier 2003 Sch ma n 7 d limitation du secteur de Montpellier extrait tude GIRUS 11 99 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES EST Pic et Etang e le Sud du territoire est marqu par une tr s forte augmentation de la population due aux p les d activit s de N mes et Montpellier e Le Nord est plus rural e La majorit de l habitat est tendance semi urbaine avec une forte dominance de l habitat pavillonnaire e Les communes du littoral sont marqu es par de tr s fortes variations touristiques e Territoire bien desservi par des d chetteries e Collecte des emballages recyclables en cours de d veloppement e Fili re de traitement des d chets r siduels centr e autour de lincin rateur de Lunel Viel mise jour en f vrier 2003 Sch ma n 8 d limitation du secteur Pic et Etang extrait tude GIRUS 11 99 Page 46 ZONE SECTEUR PRINCIPALES CARACTERISTIQUES OUEST Agathois e Secteur tr s forte influence saisonni re pics de productions tr s importants en Juillet et Ao t e Fili re de traitement actuelle par incin ration hors zone 30 l incin rateur de Lunel Viel 70 l incin rateur de Ved ne 84
292. t de Montpellier Syndicat Nord Bassin de Thau d autres ont port leurs efforts sur la valorisation organique B ziers Communaut de Communes des Pays de Lunel Les tudes de fili re et de zone pr vues l article 14 du plan sont en r alit les vecteurs de ces choix locaux elles d finissent les installations mettre en uvre pour atteindre les objectifs en tenant compte des installations existantes de l environnement local tous les niveaux et des volont s politiques Ces tudes sont une pr cieuse source de donn es pour les travaux de r vision du Plan 1 3 au i volutions observ es depuis l approbation du Plan 1 3 1 La structuration des collectivit s locales art 5 de l arr t 96 1 231 Synth se du 1 Plan voir aussi 4 4 1 Voir tab 4 Rattach s la notion de zone d finie l article 5 du premier plan trois niveaux de structuration et de regroupement des collectivit s locales comp tence collecte et ou traitement des d chets m nagers taient sugg r s par le plan d partemental Les structures de niveau 1 Elles regroupent toutes les collectivit s exer ant la comp tence collecte des Ordures M nag res 40 structures intercommunales sont ainsi r f renc es l heure actuelle leur taille reste tr s modeste Beaucoup d entre elles sont de taille modeste et ont des difficult s pour mettre en place une fili re compl te de traitement des d chets m nagers
293. t incitatif sur l ensemble des ma tres d ouvrage et ainsi de cr er les conditions d une valorisation optimale des d chets du BTP Cette implication passe deux mesures fortes mettre en uvre e la prise en compte dans les appels d offres publics du traitement des d chets terme de d lais d organisation et de co t Les appels d offre pourraient aussi indiquer aux soumissionnaires le gisement approximatif de d chets g n r s par le chantier pour chaque cat gorie de mat riaux et la ou les fili res de traitement de d chets suivre Les ma tres d ouvrages publics devant s assurer au pr alable aupr s de l exploitant du site de traitement des d chets de son acceptation des d chets La voie de traitement des d chets doit tre un crit re de s lection de l entreprise e la prise en compte par les ma tres d ouvrages publics de la valorisation des d chets dans les appels d offres en instituant un pourcentage minimum de mat riaux recycl s parmi les mat riaux utilis s En effet les fili res de valorisation de d chets du BTP ne se cr eront que si leurs promoteurs ont des assurances sur les d bouch s des mat riaux valoris s produire 7 3 4 Le d veloppement des Centres d Enfouissement Techniques de classe 3 7 3 4 1 Cr ation d un maillage suffisant de CET3 Le nombre de existants ou en projet est nettement insuffisant alors que les contraintes techniques et juridiques ne sont pas importantes
294. te Traitement 1 Communaut de Communes des Pays d Agde ZI le Causse 34630 ST adresse THIBERY 04 99 47 48 49 04 99 47 48 50 2 SIVOM de la Vall e du Libron H tel de Ville 34760 BOUJAN adresse sur LIBRON 04 67 09 26 40 04 67 31 57 57 3 Communaut de Communes du Clermontais 20 Av Raymond Lacombe BP 40 34 800 CLERMONT adresse L HERAULT 04 6 88 95 50 04 67 88 95 57 4 SIVOM d Ens rune H tel de Ville 34310 adresse CAPESTANG 04 67 49 85 95 04 67 93 38 62 5 SIVOM de l tang l Or Centre Administratif 5 Bassan Boujan sur Libron Espondeilhan Lieuran les B ziers Aspiran Brignac Cabri res Canet Celles Ceyras Clermont l H rault Lacoste Liausson Lieuran Cabri res M rifons Mour ze N bian Octon Paulhan P ret Saint F lix de Lodez Salasc Usclas d H rault Valmascle Villeneuvette Capestang Colombiers Maureilhan Montady Montels Nissan lez Ens rune Poilhes Candillargues p C 30 4 4 2 2 2 2 3 O1 O1 O1 OI RICO GO V GO GO GO GO G adresse 34132 MAUGUIO cedex Lansargues 42 04 67 12 35 00 Mauguio 5 04 67 29 51 79 Mudaison 42 Saint Aunes 5 Page 1 Comp tence Comp tence COLLECTIVITE COORDONNES MEMBRES collecte 6 SIVOM de Mer des Etangs Balaruc le Vieux 45 adresse 1 rapide 3420
295. tementales des maires ou d faut par le coll ge des maires de la zone du plan dont deux au moins au titre des tablissements publics cr s en application des articles L 5213 1 L 5214 1 et L 5216 1 du code g n ral des collectivit s territoriales lorsque ces organismes exercent des comp tences en mati re d limination des d chets e Des chefs des services d concentr s de l Etat int ress s et s il y a lieu des chefs des services d partementaux comp tents ou de leurs repr sentants f D un repr sentant de l Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie g De repr sentants des chambres de commerce et d industrie des chambres d agriculture et des chambres des m tiers de la zone du plan h De repr sentants des organisations professionnelles concourant la production l limination des d chets ainsi que de repr sentants des organismes agr s en application du d cret du 1er avril 1992 susvis i De repr sentants d associations agr es de protection de l environnement concern es L autorit comp tente fixe la composition de la commission nomme ceux de ses membres pr vus aux e ide l alin a pr c dent et d signe le service charg de son secr tariat La commission d partementale d finit avec son programme de travail les modalit s de son fonctionnement Le projet de plan labor l initiative de l autorit comp tente ou r vis par celle ci est soumis
296. ter et traiter ces produits dans des conditions satisfaisantes pour l environnement a Collecte aupr s des industriels artisans et laboratoires Elle se fait la fourniture ou la location d emballages adapt s et le ramassage par des camionnettes sp cialement am nag es pour le transport de ces produits b Collecte aupr s des particuliers Deux solutions paraissent pleines de promesses les d chetteries qui se multiplient en France et peuvent concerner plusieurs de ces d chets ou les collectes s lectives de proximit qui consistent en l emploi de conteneurs dans lesquels les particuliers sont invit s mettre des DMS sp cifiques Cette derni re solution a le grand avantage sur le plan psychologique d habituer le public r fl chir sur ses d chets Une autre solution est le lt porte porte gt de camions sillonnant les rues d une ville selon un programme connu de tous Il faut toutefois veiller la s curit certains m langes pouvant se r v ler tr s dangereux c Reprise par le distributeur Pour ces d chets produits en petites quantit s et de mani re dispers e le syst me de collecte classique semble inop rant dans certains cas Une solution adapt e ce probl me pourrait consister en la mise en place d un syst me de reprise obligatoire par les distributeurs de produits neufs application de l article 6 de loi de 1975 Page 84 8 3 des D T Q D 8 3 1 Diff
297. teurs OBJECTIFS GLOBAL Centre de traitement Objectifs OM Objectifs DM Objectifs boues Objectifs DIB col Objectifs Entrant centre Entrant centre de Entrant centre de Entrant centre de Global Entrant de traitement traitement traitement traitement centre de du gis global du gis global du gis global du gis global traitement Tonnes Les objectifs sont exprim s en pourcentage du gisement global Les objectifs r sultent pour la plupart de calcul afin d assurer une coh rence parfaite avec les objectifs de valorisation mati re organique et nerg tique Lorsque le chiffre n est le r sultat d un calcul plusieurs unit s de traitement peuvent participer un objectif global de valorisation par exemple dans le cas ou un secteur est desservi la fois une plate forme de compostage boues d chets verts et 3 3 4 Les unit s sectorielles La feuille U TRI Cette feuille recense toutes les unit s de tri existantes ou pr vues dans les tudes de fili re ou de zone UNITE SECTORIELLE TRI CARACTERISTIQUES Secteur Commune Capacit Valor mat Refus du PDED organisation d implantation T an du tonnage du tonnage Nom entrant entrant Les trois premi res colonnes permettent de localiser l unit sectorielle dans un sch ma d organisation d partemental de gestion des d chets Les caract ristiques de l unit sont ensuite d crites le type de l unit ici cen
298. timent Travaux publics Total BTP Nature des d chets 374 120 t 224 143 t 598 263 t DI ___ Emballages ___ 4017t IL 407 1 24674t 5385t 2483501 8221514 __ Source Sch ma de gestion des d chets du BTP CEBTP 2000 Ne sont comptabilis es ici que les productions de d chets des entreprises artisanales de travaux publics consid rant que sur les chantiers d importance un quilibre est effectu entre d blais et remblais tab 21 Gisement actuel de d chets de B timent et Travaux Publics Page 77 7 3 2 Sch ma et Plan de gestion des d chets du BTP Un sch ma de gestion des d chets du b timent et des travaux publics a t d fini avec l aide d un cabinet sp cialis L ensemble des organismes consulaires et syndicats professionnels concern s ont soutenu cette tude dont la Chambre de M tiers est d ouvrage Le sch ma ainsi qu une Ce sch ma annex au plan d termine les solutions adapt es aux besoins de tous pour syninese e liminer les d chets de chantiers et dimensionner les installations n cessaires il reprend les annexe 8 propositions et les travaux du groupe de travail Cette d marche a permis d impliquer les initiateurs locaux publics ou priv s et a laiss une large place la concertation Ce sch ma constitue un outil permettant chacun de d terminer les quipements cr er ainsi que leurs co ts d investissement et de fonctionnement Aujourd hu
299. tions class es relevant de la loi du 19 Juillet 1976 qui par ses d crets d application instaure des seuils autorisation d claration et pr cise le contenu des tudes d impact produire L arr t minist riel cadre du 2 f vrier 1998 constitue une base r glementaire pour instruire les dossiers relatifs aux unit s de transformation des mati res organiques En terme de nomenclature les rubriques 322 B1 et s appliquent aux unit s de broyage et de compostage des r sidus urbains qui sont soumises autorisation La directive europ enne 1999 31 CE du Conseil du 26 Avril 1999 relative la mise en d charge des d chets fixe des taux limites de d chets municipaux biod gradables pouvant tre enfouis en centre de stockage Ces taux sont d gressifs dans le temps et entrent en vigueur 5 ans apr s la transposition de la directive en droit fran ais gt la valorisation agricole e Les boues et composts base de boues L pandage en terrains agricoles est r glement par le d cret du 8 d cembre 1997 l arr t du 8 janvier 1998 Le compost des boues est assujetti au statut des boues d chets sauf lorsqu il est homologu selon la loi du 13 Juillet 1979 e Les autres produits composts d ordures m nag res de FFOM de DEV de m lange de ces produits Aucune r glementation n existe ce qui concerne leur production et leur utilisation On note cependant l existence de deux r f rences induisant
300. tr es par commune car les secteurs INSEE ne correspondent pas aux groupements intercommunaux comp tence d chet lls devront tre mis jour lorsque l INSEE publiera les nouveaux taux globale 2000 globale 2005 globale 2010 globale 2015 globale 2020 Ces colonnes correspondent aux projections de la population s dentaire Le nombre d habitants de l ann e n 5 est obtenu en appliquant le taux d volution de la population de 5 la population de l ann e n La feuille POP LOCALISATION DE LA POPULATION Secteur Type Type Type Type Type Type Type du PDED organisation de sed semi sed sed touristes dont dont dont r f rence urbain 2 urbain 3 touristiq 5 touristes touristes touristes touristes 4 rural urbain touristiq Cette feuille permet de calculer la population de chaque secteur pour les ann es de r f rence 2000 2005 2010 2015 2020 partir de la feuille PROJEC La distinction entre chaque type de population appara t galement Les 4 derni res colonnes permettent de distinguer e les touristes recens s sur des communes de type rural touristes rural e les touristes recens s sur des communes de type semi urbain touristes semi urbain e les touristes recens s sur des communes de type urbain touristes urbain e les touristes recens s sur des communes de type touristiques touristes touristique e Elles servent au ca
301. tre de tri l identification de l unit code attribu la capacit maximum pr visionnelle de l unit exprim e en Tonnes an le pourcentage de d chets entrants valoris s le pourcentage de refus issus du centre de tri Ces diff rentes donn es sont modifiables directement notament si les performances du centre de tri s am liorent Pour les unit s pr visionnelles la commune d implantation et les caract ristiques de l unit ne sont souvent pas connues La mention connue figure alors dans les cellules Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 22 GIRUS SA CP Janvier 2000 concern es Les feuilles U COMPOS OM U COMPOS FFOM U INC Ces feuilles recensent toutes les unit s de traitement existantes ou pr vues dans les tudes de fili re ou de zone UNITE SECTORIELLE TRAIT CARACTERISTIQUES Secteur Commune Capacit Valor mat Valor orga Valor nerg Refus du PDED organisation d implantation T an du tonnage du du tonnage du tonnage Nom entrant tonnage entrant entrant entrant Les trois premi res colonnes permettent de localiser l unit sectorielle dans un sch ma d organisation d partemental de gestion des d chets Les caract ristiques de l unit sont ensuite d crites e le type de l unit compostage urbain compostage d chets verts FFOM et ou boues incin ration l identification de l un
302. treprises du BTP Les tudes de fili res et de zones effectu es n ont qu imparfaitement pris en compte les productions de DIB pour lesquels il existe un potentiel de valorisation encore trop peu exploit Malgr les efforts r p t s des organismes consulaires Chambre de M tiers et des organisations professionnelles CAPEB la plupart des collectivit s locales communes ou syndicats intercommunaux connaissent encore mal les difficult s rencontr es par les entreprises notamment les plus petites pour l limination des d chets Pourtant m me si la collecte et le traitement des d chets des professionnels ne fait pas partie des comp tences obligatoires des collectivit s locales celles ci ont un grand int r t se pr occuper de la mise en uvre des fili res de traitement de ces d chets dans des conditions conomiques et techniques acceptables Ces collectivit s locales peuvent aussi tre l initiative ou contribuer la cr ation de ces fili res ll y en effet des interactions des synergies et des conomies d chelle qu il faut valoriser doit aussi y avoir le souci de cr er un environnement de travail favorable aux entreprises De fait les services li s la collecte et au traitement de leurs d chets feront partie des crit res de choix pour l implantation de celles ci Les professionnels travers leurs syndicats et chambres consulaires se pr occupent des probl mes li s la g
303. ts sont bien identifi es car elles font l objet d une collecte sp cifique Les estimations concernant les autres d chets sont prendre avec prudence La r alisation de la base de donn e va tre complexifi e par diff rents facteurs une majorit de d chets professionnels non quantifi s aboutissent dans les circuits de collecte et ou de traitement des ordures m nag res L utilisation de ratio va tre n cessaire afin de compl ter les donn es existantes l organisation des collectivit s en mati re de gestion et de traitement de d chets est tr s divis e Les tonnages sont souvent globaux et concernent les syndicats de collecte ou de traitement suivant le type de d chet consid r Par ailleurs les donn es synth tis es ici ne r percutent pas les projections faites par les tudes de fili res et de zones En effet dans de nombreux cas le choix entre les Sc narios propos s n a pas t r alis et il est impossible de conna tre les hypoth ses retenir Cette synth se pourra tre compl t e par les estimations r alis es une fois que les choix et donc les hypoth ses auront t valid es Les donn es pr sent es dans ce rapport n cessiteront une mise jour lors de la mise en place des nouveaux quipements et fili res pr conis s dans les tudes de fili res et de zone En effet la connaissance du gisement des d chets va par la mise en place de circuits sp cifiques suivant les c
304. u Libron SICTOM de Saint Martin SIVOM d Ens rune Syndicat Intercommunal de Lignan Corneilhan SICEOM de Puisserguier Syndicat Intercommunal Cesse et Brian Syndicat Mixte de Gestion et de Traitement pour l limination des D chets M nagers et Assimil s de la Zone Ouest de l H rault Communaut d Agglom ration du Bassin de Thau Communaut d Agglom ration de Montpellier Page 24 3 4 Historique du d coupage en zones Lors de l laboration du Plan en 1995 96 l id e de d couper le d partement en plusieurs secteurs de r flexion relativement homog nes des points de vue sociologique g ographique d mographique et administratif tait devenue une n cessit pour organiser de fa on structur e le travail Cinq secteurs de r flexions avaient alors t propos s par le Secr taire G n ral de la Pr fecture Biterrois Lod vois Est du D partement Syndicats de la R gion de S te et District de Montpellier Deux objectifs principaux avaient alors motiv la Commission pour la cr ation de 2 3 zones Accentuer la coop ration intercommunale Assurer un traitement de proximit et faire merger des projets locaux Les objectifs ont globalement conduit des r sultats satisfaisants La zone Est d j bien avanc e l poque s est encore renforc e autour d une fili re de traitement des d chets m nagers et assimil s Elle est mise en avant d une part par le Syndicat Mixte entre et Etang qu
305. ude GIRUS SA CM 11 99 Etude d analyse de production de d chets dans l H rault Phase 2 SOMMAIRE tels e 3 1 2 MATERIEL ET METHODE da nid de id dia 3 1 3 DESCRIPTION DE L OP RATION 4 HESULTATS 5 ANA EE 7 1 6 EXTRAPOLATION A L ENSEMBLE DU DEPARTEMENT 7 1 6 1 Donn es d partementales du 7 1 6 2 Production de d chets des populations touristiques 8 1 6 3 Estimation des quantit s de d chets valorisables produits par les populations touristiques VV 9 Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 1 GIRUS SA CM novembre 1999 Le tourisme apporte diff rents types de fr quentation induisant des productions de d chets suppl mentaires principalement 1 Les campings Le nombre de touristes dans un camping est facile connaitre L estimation de la masse produite sur une p riode donn e peut tre valu e on peut aussi facilement proc der une campagne de pes es pour d finir la production par touriste En terme de composition une caract risation peut tre faite sur ces d chets 2 Les r sidences secondaires et les locations II faut choisir des zones strictement touristiques comme celles existant bord de mer Les quartiers r sidentie
306. ues sont ind sirables dans les composts ils en d gradent la qualit et les rendent difficiles couler e les d chets toxiques rejet s dans le r seau d gout finissent dans les boues de stations d purations alors que celles ci ont vocation fertiliser les cultures et doivent donc tre saines e les d chets toxiques sont ind sirables dans les incin rateurs e les d chets toxiques sont ind sirables en d charges Les DTQD sont actuellement fort peu collect s et trait s moins de 10 de la production 8 1 Nature des D T Q D 8 1 1 Origine Tr s sch matiquement on peut mentionner comme professions l origine de ces d chets les artisans et industries de petite dimension parmi lesquels on peut citer les imprimeurs les garagistes les teinturiers les traitements de m taux etc les laboratoires m dicaux d enseignement ou de recherche ainsi que les laboratoires des industries les agriculteurs surtout pour les biocides qu ils utilisent les particuliers certaines associations ou certains clubs de photographie de bricolage Page 82 8 1 2 Cat gories de D T Q D e Les d chets de laboratoire lls concernent l enseignement l industrie et le m dical ce sont tous les produits chimiques destin s labandon solvants acides bases sels m talliques ou non r v lateurs d sinfectants e Les produits phytosanitaires Ce sont soit des emballages vides ayant contenu les
307. ug es trop strictes dans le premier Plan d partemental 1996 Conform ment son article 5 l importation et l exportation de d chets sont interdits au sein d une zone sauf d rogation pr fectorale notamment lors des d pannages d installations de traitement ou lors de la gestion des arr ts techniques ou encore dans le cadre de la mise en oeuvre de fili res de traitement sp cifiques Ce dernier point satisfait pleinement le principe de proximit affich dans la loi de 1975 sur les d chets et rappel dans les textes post rieurs loi de juillet 1992 et circulaire d avril 1998 Toutefois cette limitation est en contradiction avec la mise en concurrence aussi large que possible impos e par le Code des March s Publics pour toute proc dure de consultation La confrontation des capacit s de traitement actuellement disponibles dans le d partement et le gisement total de d chets traiter fait aujourd hui appara tre un grand d ficit en moyens de traitement Page 25 3 5 Le zonage dans le Plan r vis Les r flexions men es par les divers groupes de travail aboutissent toutes la m me conclusion le zonage du d partement a son importance et doit tre maintenu sous une forme red finie par le Plan d partemental Les arguments qui avaient conduits sa mise en place sont encore d actualit favoriser la coop ration intercommunale assurer des traitements de proximit faire merger des projets locaux De
308. ui concerne le SIVOM de Sommi res cheval sur les d partements de l H rault et du Gard les tonnages se basent sur l tude r alis e en juin 1999 pour le compte du SIVOM de Sommi res Sur l ensemble du Syndicat Mixte entre Pic et Etang La Grande Motte comprise la quantit d ordures m nag res hors D I B qui sont comptabilis s s par ment sauf pour la Grande Motte o il s agit du tonnage collect s l ve 59 107 T an La plupart des tonnages sont estim s car avant la mise en place de l incin rateur de Lunel Viel seules les quantit s trait es dans une unit de traitement conforme taient pes es Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 7 GIRUS SA CP f vrier 2000 Les ratios s chelonnent de 323 2 368 kg hab s dentaire an pour la Grande Motte Malgr la pr sence d ordures m nag res produites par les touristes cette valeur reste tr s lev e Les collectes s lectives La collecte s lective du verre s effectue sur l ensemble du syndicat tandis que le papier et le plastique sont collect s sur une partie du territoire seulement Les encombrants lls sont comptabilis s dans le tonnage global des d chets collect s en d chetterie et autres d chets non collect en d chetterie Il n existe donc pas d estimation pr cise de ce gisement et aucune information n est donn e sur le mode de calcul de ces tonnages globaux L
309. une tr s bonne adaptabilit aux variations de production et de caract ristiques des boues ainsi qu une faible sensibilit au climat Son co t moyen reste n anmoins plus lev qu un compostage par a ration naturelle il est de l ordre de 300 F tonne de produit entrant au traitement ce jour Page 64 ll existe des variantes du proc d e l a ration de l andain peut se faire en casiers avec ou sans retournements e Elle peut aussi tre pratiqu e dans un silo couloir ex proc d Siloda avec en continu un retournement Ce dernier proc d a ration forc e est adapt aux gros volumes et aux m langes tr s fermentescibles susceptibles de g n rer des odeurs boues B DEV FFOM D EN A 6 5 Fili res de valorisation organique 6 5 1 Fili res envisageables et existant d partemental Plusieurs fili res sont envisageables pour la valorisation organique des d chets Dans l ordre d importance l heure actuelle sur le d partement de l H rault il s agit e Dela valorisation agricole ou foresti re plus de 80 des tonnages tous produits confondus e l utilisation par les particuliers e De la rev g talisation d espaces d grad s d charges carri res e Dela v g talisation d espaces naturels espaces verts routiers ou urbains Etat des lieux 1999 Fili res d limination Autres hors d partement ou inconnus i Incin ration Epandage Vente agricole particuliers s agriculteurs
310. unit s Le terme VALEUR peut appara tre lorsque les donn es sont incompl tes dans la base Etude de l analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 3 Mod lisation 11 GIRUS SA CP Janvier 2000 ZONE Secteur Collectivit Collectivit Collectivit Commune comp tence comp tence comp tence autre collecte traitement Zone de saisie servant de zone de crit res pour les calculs suivants Bilan des donn es communiqu es Population s dentaire habitants _ Zone de calcul faisant r f rence Ann e de r f rence min w la feuille Collecte Quantit s d ordures m nag res collect es T an soit kg an hab s denfaire dont T d ordures m nag res produites par les habitants s dentaires T d ordures m nag res produites par les touristes T de DIB collect s avec les ordures m nag res Quantit s d ordures m nag res collect es s lectivement j dont T collect es par apport volontaire T collect es en porte porte Quantit s d ordures m nag res g r es T an soit kg an hal s dentaire Zone delcalcul faisant r f rence a la feuille D chetterie Quantit s r cup r es en d chetterie T collect es en d chetterie Quantit s de boues d puration produites TMS dont T MS valoris es compostage ou pandage ZONE Secteur Zone de calcul faisant r f rence la feuille de sortie pr c dente Bila
311. urochrome pr sence mercure Arsenic poison gt toxicit aigu Mercure poison gt mati re active Chlorates chloroph nols poison Inflammables ainsi que compos s nitr s organom talliques Contiennent des solvants et des m taux lourds CONDITIONNEMENT PRECONISE F ts poly thyl ne Flacons verre poly thyl ne Flacons bo tiers sacs en poly thyl ne ou verre idem acides bases Verre ou poly thyl ne F ts poly thyl ne Emballages plastique ou carton TRAITEMENT FINAL D toxication Neutralisation gt traitement physico chimiques D toxication gt traitement physico chimiques D toxication Neutralisation gt traitement physico chimiques gt incin ration gt incin ration Emballages m talliques incin ration EMBALLAGES SOUILLES M dicaments phytosanitaires SOLVANTS HALOGENES Chlor thyl ne SOLVANTS NON HALOGENES Ether Alcools Benz ne HUILES DE VIDANGE HUILES DE FRITURE Etant souill s doivent tre d truits en centres autoris s Les solvants chlor s dissolvent les graisses gt danger pour les tres vivants Risques de fum es acides en cas d incin ration non contr l e Ether explosif car tr s volatile Alcools augmentation de la charge en DCO Benz ne canc rig ne Insolubles Huiles min rales Contiennent des hydrocarbures susceptibles d emp cher les changes d oxyg ne air eau Insolubles Mati res
312. utorisation La circulaire du 9 janvier 1997 du minist re de l environnement permet le stockage des d chets fibrociments au sein d un CET3 dans des alv oles sp cifiques Voir annexe 8 Toutes les r gles li es l am nagement l exploitation des CET de classe sont regroup es dans le lt Guide technique relatif aux installations de stockage de d chets inertes gt labor par le Minist re de l Am nagement du Territoire te de l Environnement en avril 2001 Ce document est annex au plan 7 3 4 3 D charges brutes et CET3 En 1997 une tude compl te intitul e r sorption des d charges brutes du d partement a t r alis e par la commission de suivi du plan Nous disposons donc de renseignements pr cis sur ces d charges qui ont t analys es et class es selon plusieurs crit res d impact sur l environnement risques de pollution des eaux risques d incendie impact Certaines de ces d charges peuvent tre transform es en CET3 Un sous groupe de travail s est bas sur cette tude pour d finir quels taient les sites qui pr sentent des caract ristiques favorables une transformation en CET3 Pour ce faire deux types de d charges brutes ont t s lectionn s celles qui pr sentent un impact environnemental faible lt 5 4 Celles qui ont des besoins en terre sup rieurs 1000 m3 tout en n ayant pas d impact environnemental significatif Les sites
313. vec les ordures m nag res 242 000 T an Production OM strictes par la population s dentaire 25 000 T an Production m nag re touristique maximum voir chapitre 1 Phase 2 400 000 Total des d chets collect s par les circuits OM estimation par diff rence Minimum de d chets m nagers et non m nagers collect s avec les 133 000 ordures m nag res et qui ne sont pas des ordures m nag res strictes Les op rations de terrain ont donc apport des l ments utiles en vue de la r vision du Plan d partemental de l H rault gt L op ration sur les d chets des populations touristiques prouve que les collectivit s donc le Plan D partemental doivent prendre en compte ces d chets dans l organisation des collectes s lectives et les objectifs de valorisation gt L op ration de collecte s parative montre que la part d ordures m nag res strictes est limit e et que beaucoup d efforts restent faire pour la r cup ration sp cifique des d chets m nagers encombrants notamment et non m nagers DIB notamment qui ne sont pas des ordures m nag res et pourraient donc suivre des circuits diff rents se r f rer aux conclusions du chapitre 2 se r f rer aux conclusions du chapitre 1 Etude d analyse de la production de d chets dans l H rault Phase 2 11 GIRUS SA CM novembre 1999 ANNEXE 7 QUANTIFICATION ET CARACTERISATION DES DECHETS DES POPULATIONS TOURISTIQUES Extrait Et
314. ventuellement tre reconsid r e pour certains secteurs en envisageant du compostage Le dimensionnement des incin rateurs serait pr ciser et argumenter en fonction des tonnages incin rer 5 et 10 ans Les d bouch s en vapeur tant tr s faibles dans l H rault il serai souhaitable d tudier l int r t conomique d une ne produisant que de l lectricit Devenir des m chefers Cette question n est voqu e par le Plan que de mani re tr s g n rale les d bouch s des le nombre et la localisation des plates formes de maturation ne sont pas pr cis s Stockage gt Un programme de r sorption des d charges brutes et de remise en tat des sites autoris s ferm s a t tudi apr s la parution du Plan diagnostic d partemental suivant m thodologie ADEME r alis qui pourrait tre int gr dans le Plan Un programme de mise aux normes de sites de d charges existants devrait tre tudi Provenance des d chets il serait souhaitable qu une liste des communes dont les apports sont autoris s soit tablie par d charge pourrait y avoir ventuellement limitation progressive par voie r glementaire des apports d charge Le Plan n est pas assez pr cis concernant le stockage des d chets ultimes ou le stockage des d blais et gravats localisation des sites Appr ciations relatives l organisation pr vue par le Plan Choix techniques et r dactionn
315. ves aux actions et objectifs pr conis s par le Plan R duction la source Le Plan se limite des g n ralit s sans pr cision sur les moyens mettre en place les objectifs atteindre ou les obligations impos es ventuellement par arr t pr fectoral Cet aspect reste d velopper Collecte de d chets pr sentant un caract re toxique ou polluant Le Plan pr cise que si la collecte des DMS est bien de son ressort leur traitement rel ve du Plan r gional Il en est de m me pour ce qui concerne les DTQD les pneus et les huiles Aucun objectif n est d fini 5 ou 10 ans II semble n cessaire que le Plan affiche des objectifs pour ces d chets et des moyens mettre en uvre pour les atteindre d chetteries collecte par apport volontaire pour les huiles usag es Recyclage mati re Le Plan affiche un objectif de collecte pour recyclage tr s lev dont on peut se demander s il est r aliste Le Plan actuel effectue une approche trop globale qui devrait tre d clin e e cat gorie de responsables de l limination des d chets D chets m nagers et assimil s de la responsabilit des collectivit s DIB du ressort des industriels ou autres producteurs ex agriculteurs e et par cat gorie de d chets Emballages m nagers Journaux magazines Emballages non m nagers etc Le Plan devrait galement pr coniser la mise en place de collectes s paratives sp cifiques
316. visoire avec m lange de d chets de provenances diff rentes mais de nature comparable ou compatible Le circuit de traitement du m lange reste le m me que celui de chacun des d chets pris isol ment Le but du regroupement est de faciliter la gestion des transports de d chets permettre par exemple l utilisation de gros porteurs pour les transports longue distance il n est surtout pas question de jouer sur les m langes de d chets pour permettre une nouvelle destination et ainsi provoquer un d tournement de fili re Ainsi le m lange de deux lots d huiles solubles est qualifi de regroupement Le regroupement peut conduire des d cantations ou des flottations dans les cuves de stockage chacune des phases pouvant tre limin e selon un circuit diff rent Ces s parations de phases sont alors des effets secondaires du m lange et non leur raison premi re v Pr traitement Op ration qui conduit la modification de la composition chimique ou des caract ristiques physiques du d chet et qui n cessite un traitement compl mentaire ou une mise en d charge contr l e Il aboutit diriger une fraction de d chets vers un circuit de traitement diff rent de celui qu aurait suivi chaque d chet initial Le but principal du pr traitement est de diriger par le jeu de m langes et s paration de phases chaque fraction du d chet vers sa destination conomique optimale Le m lange de liquides incin rables non chlor
317. ximit en m lange Analyse de la production de d chets du d partement de l H rault Phase 1 Etude Bibliographique 13 GIRUS SA CP f vrier 2000 par une collecte en porte porte Ces quantit s ne sont pas estim es Le gisement global est estim 855 T an d encombrants Les d chets verts Il n existe pas d estimation du gisement de d chets verts Les d chets inertes Il n existe pas d estimation du gisement de d chets inertes Les d chets municipaux II n existe pas d estimation du gisement de d chets municipaux Les d chets des professionnels Une estimation du gisement DIR est fournie Cette production s l verait 5 158 T Les d chets m nagers sp ciaux Une estimation est r alis e ces d chets repr senteraient 25 T annuelles dont 22 T seraient produites par les m nages et 3 T comprises dans les D I B Les d chets d assainissement L estimation du gisement de d chets de stations d puration est de 1 421 T 2 2 3 SICTOM de P zenas Les documents pris en compte sont gt SICTOM de P zenas Gestion Globale des d chets Beture Environnement mai 1997 gt SICTOM de la r gion de P zenas Etude pr alable la mise en oeuvre du projet de collecte et de traitement des d chets Note de synth se ENTECH Ing nieurs Conseil octobre 1999 Syndicat mixte d tude pour l limination des d chets m nagers et assimil s de la Zone Ouest de l H rault

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Mode d`emploi  Commentaire des articles - Bibliothèque nationale de Luxembourg  Instruções de Serviço  Sanyo SR-361W User's Manual  Feuille de données techniques  取扱説明書 - 新光電子  eyeLCD-4600/5500-LE-700  Hewlett Packard Enterprise Cat6 STP 10.0m  620 Product Manua  『爽快脱力スイング うれっこリラックス』発売のお知らせ  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file