Reliquats azotés Zone Vulnérable Mauguio-Lunel
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1. A AGRICULTURES amp TERRITOIRES CHAMBRE D AGRICULTURE HERAULT Objet Reliquats azot s et 1 apport sur bl dur R f MP ABT CF SS FB Dossier suivi par A Boscher EH C Lafon 04 67 20 88 33 04 67 20 88 23 Aux producteurs de grandes cultures de la zone vuln rable Mauguio Lunel Lattes le 15 d cembre 2011 Madame Monsieur Nous vous faisons parvenir les r sultats des mesures de reliquats d azote dans le sol r alis es entre le 28 novembre et le 5 d cembre 2011 sur la zone de Mauguio Lunel sur un chantillon de 32 parcelles choisies en fonction du type de sol et du pr c dent cultural de fa on couvrir la diversit des situations de ce secteur Dans la plus part des cas les niveaux de reliquats mesur s permettront de couvrir les besoins en azote des bl s En cons quence il n y aura pas de demande de d rogation la directive nitrates cette ann e l apport d azote reste interdit avant le 15 janvier 2012 sur les 19 communes de la zone vuln rable Baillargues Candillargues Castelnau le Lez Lansargues Lattes Le Cr s Lunel Lunel Viel Marsillargues Mauguio Montpellier Mudaison P rols St Aun s St Br s St Just St Nazaire de P zan Valergues Vendargues D une exploitation l autre les situations ne sont cependant pas toujours comparables stade des cultures pluviom trie et m riteront dans certains cas pour la suite une adaptation du plan de fer2. c dentes A Moyenne Bl dur cf graph ci dessous 67 17 152 63 45 82 Ma s semence 60 Moyennes et fourchettes des teneurs en azote mesur es fin novembre derri re bl dur horizon 0 60 cm dans la zone vuln rable Mauguio Lunel de 2005 2011 Kg Nha 200 180 160 140 120 100 80 60 40 20 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 La fourniture d azote nitrique par le sol couvrira les besoins de la majorit des bl s sem s tardivement apr s la p riode pluvieuse de fin octobre d but novembre Les bl s les plus avanc s sem s entre le 15 et le 20 octobre aujourd hui au stade tallage n ont pas subi de carence pr coce et pourront par leur syst me racinaire d velopp aller chercher l azote plus en profondeur Mais d s le 15 janvier sur les parcelles pour lesquelles les valeurs mesur es sont inf rieures 50 kg ha il conviendra d intervenir tr s rapidement Ces situations se retrouvent derri re les pr c dents pour lesquels il n y a pas toujours eu d apports azot s gel pois chiche tournesol bl s dur sous fertilis s et ou ayant d pass leur rendement objectif en 2011 Dans quelques cas de faibles reliquats ont galement t mesur s en sols tr s filtrants ou l inverse sur des parcelles asphyxi es pertes par d nitrification Action propos e dans le cadre du Programme agro environnemental du bassin versant de l tang de l
3. Or Op ration conduite par la Chambre d Agriculture de l H rault l ADVAH et le CEHM financ e par le Conseil P O G n ral de l H rault l Agence de l Eau Rh ne M diterran en et Corse la R gion Languedoc Roussillon et le Syndicat Mixte de Gestion de l Etang de l Or
4. tilisation C est pourquoi nous vous invitons vous reporter l analyse des r sultats et aux conseils fournis dans le document au verso Pour les d tails concernant l ensemble des obligations li es la zone vuln rable la brochure Directive Nitrates Mode d emploi du 47 programme est disponible sur le site internet de la Chambre http Wwww herault chambagri fr agriculture durable eau directive nitrates html ou sur simple demande Pour toute information compl mentaire n h sitez pas contacter nos services Michel Pontier Secr taire G n ral Responsable du Groupe de travail Eau Environnement Bl dur niveau des reliquats azot s l automne 2011 La Chambre d Agriculture et ses partenaires l ADVAH le CEHM et Semenciers du Sud viennent de terminer la campagne de pr l vements sur le r seau de suivi dans la zone vuln rable Mauqguio Lunel L analyse des reliquats mesur s sur un chantillon de 32 parcelles tous pr c dents confondus donnent en moyenne 65 kg ha d azote NO dans l horizon O 60 cm Les niveaux moyens retrouv s cet automne sont l g rement inf rieurs ceux mesur s en 2008 et 2010 Il convient de noter que les pluies certes abondantes n auront pas entra n partout les lessivages que l on aurait pu craindre Cependant une tendance significative sera prendre en compte pour la suite les valeurs faibles lt 40 kg N ha sont plus nombreuses en fr quence que les ann es pr
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