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Dynamisme 189 xp pour pdf - Union Wallonne des Entreprises

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1. a a 1 Le site www uwe be indicateursdd est un outil d velopp par l UWE pour vous permettre aux entreprises de se situer en mati re de d veloppement v uv yvv r vuvz ov ov y v vuvuv y durable sous forme d une cotation par rapport a l e un tat id al L utilisateur encode lui m me les donn es dans 15 domaines s lectionn s pour leur disponibilit et pertinence et r partis en trois piliers conomique soci t al et environnemental 2 Jacques Crahay page 34 Ceux qui font du d veloppement durable une pr occupation ont plus de chance de s inscrire dans la dur e l o l conomique pur est dans le court terme tout le temps Shepu mc EBENTIFERS Wain barm Sob m paame 30 FOCUS ISO 26000 en 2008 La responsabilite societale en chantier Dynamisme Wallon Novembre 2005 Propos recueillis par Vinciane PINTE Fin septembre 45 d l gations se sont retrouv es a Bangkok Tha lande pour une session de travail sur la responsabilit soci tale Objectif laborer un standard international l ISO 26000 La soci t belge CAP conseil a particip aux travaux D l gu s comme experts par l Institut Belge de Normalisation IBN ses repr sentants Marie d Huart et Serge De Backer synth tisent quelques enjeux Apr s les s ries ISO 9000 pour la qualit ISO 14000 pour l Environnement ISO 26000 sera l appellation
2. gt gt Rapport disponible gratuitement sur www accountability org uk 32 FOCUS Fiscalit et environnement Une combinaison d avenir Par Charles CARLIER et Laura DEWEZ Deloitte Conseils Fiscaux Dynamisme Wallon Novembre 2005 Le l gislateur a tendance utiliser des incitants fiscaux ou sociaux pour influencer le comportement environnemental des entreprises Cette constatation est tay e par l examen de certaines mesures r centes D duction pour investissement Pour rappel la d duction pour investissement consiste pou voir d duire de sa base imposable un certain pourcentage entre 3 5 et 10 5 au titre de pourcentage de base de la valeur d investissement ou de revient d immobilisations cor porelles ou incorporelles neuves affect es en Belgique l exercice de l activit professionnelle Sur base de l article 69 du Code des imp ts sur les revenus CIR le pourcentage de base est major de 10 points est port a 13 596 s agissant d immobilisations qui soit tendent promouvoir la recherche et le d veloppement de produits nouveaux et de technologies avanc es n ayant pas d effets sur l environnement ou visant minimiser les effets n gatifs sur l environnement soit tendent une utilisation plus rationnelle de l nergie la r cup ration d nergie o l am lioration des processus industriels cette fin L Arr t royal d ex cution du Code des imp ts sur les reve nus AR
3. VVallon e a e i E 4 gt gt 04 k gt gt 057 AC FB 2 t gt gt 29 CR h 22 ees P riodique mensuel de l UWE Chemin du Stockoy 1 1300 Wavre Novembre 2005 Num ro 189 Prix 3 Bureau de d p t Namur X Assembl e g n rale de l UWE EL gt il a AN Sil y 1 b R D E d ay e i i d Ka m 1 e Po Fa a Ze Tl f i e i 1 b F L L Manpower Deux entreprises sur trois recourent a l int rim pour recruter f d du personnel fixe gt gt 26 Editorial Veut on vraiment un redressement economique wallon Les r centes gr ves n avaient rien voir avec la situation particuli re des entreprises ce qui pose la question des abus li s Vexercice du droit de gr ve Dynamisme Wallon Novembre 2005 Vincent Reuter Administrateur D l gu de l Union Wallonne des Entreprises Des gr ves r p tition ont paralys l activit de tr s nombreuses entreprises belges et wallonnes ces derniers mois L actualit a braqu les projecteurs sur le contrat de solidarit entre les g n rations mais ne doit pas faire oublier que les entreprises et les services publics ont t perturb s pour les causes les plus diverses manifestation contre le prix du p trole solidarit avec une entreprise s tant vu refuser une licence d exportation ou tout simplemen
4. Balises th oriques et m thodes d analyse par B atrice Van Haeperen avril 2005 disponible sur http observatoire emploi wallonie be RESSOURCES HUMAINES 25 Toute difficult de recrutement n est pas une p nurie Au del du probl me d identification des professions difficiles pourvoir se pose la question des raisons l origine des difficult s rel ve B atrice Van Haeperen de l IWEPS Institut wallon de l valuation de la prospective et de la statistique Sur ce point les m thodologies d velopp es jusqu pr sent restent encore lacunaires Nous avons d s lors tabli un cadre th orique permettant d aborder le march du travail sous l angle des flux d offres et de demandes de travail une grille de lecture de la complexit des ajustements sur le march du travail Quand les entreprises prouvent des difficult s pourvoir certains postes elles les traduisent g n ralement en termes de p nurie de main d uvre Si du point de vue de chaque entreprise le diagnostic est correct les entreprises n ont pas rencontr de candidats ou les candidats ne poss daient pas les comp tences sp cifiques n cessaires pour le poste la prudence est de rigueur lorsqu on tente d apporter un diagnostic sur la situation agr g e estime t elle De fait les probl mes d ajustements sont de plusieurs ordres tensions conjoncturelles tensions frictionnelles li es l imperfection d
5. Dynamisme Wallon Novembre 2005 Par Christophe LO GIUDICE Comme d autres fonds paritaires sectoriels IER le centre de formation de l industrie alimentaire en Belgique r alise chaque ann e une enqu te visant identifier les m tiers en difficult s de recrutement et mettre jour les pr visions pour l ann e en cours LIFP s est associ divers partenaires dans le cadre du projet SIAMT Syst me int gr d anticipation des tendances sur les march s du travail l IWEPS Institut wallon de l valuation de la pros pective et de la statistique travaillant pour l Observatoire wallon de l emploi le Forem Conseil et plusieurs secteurs professionnels L objectif consiste valuer les avantages et inconv nients des m thodologies existantes et d har moniser les m thodes de collecte et de traitement des informations de fa on pouvoir ensuite produire des r sultats int gr s Auparavant lorsque nous rencontrions des difficult s pour recruter nous n tions pas toujours certains que le terme p nurie soit vraiment appropri explique Laurent Gall Coordinateur IFP pour la r gion Wallonie Bruxelles D sormais nous pouvons assurer avec certitude que dans tel et tel cas pour tel ou tel m tier il y a bien p nurie Nous avons par ailleurs travaill sur les appellations de m tiers qui sont d sormais communes aux autres sec teurs repr sent s Comment le centre de formation r pond il alors aux pro blem
6. N exporte pas Dans les 6 prochains mois prevoyez vous que votre investissement va diminuer va rester stable va augmenter Au cours des 6 prochains mois prevoyez vous que votre effectif va E mars 05 El nov 05 diminuer E mars 05 El nov 05 rester stable augmenter Au cours des 6 prochains mois prevoyez vous que le total d heures de formation va March s l exportation durant les 6 prochains mols perspectives toujours mitig es Les r ponses sur les perspectives d exportations confirment celles sur les perspectives g n rales savoir un avenir qui sans tre tout fait sombre ne s claircit pas vraiment Deux l ments pourraient favoriser les exportations dans les prochains mois le redressement du dollar et une reprise du commerce international si on en croit certains indices conjonc turels Investissements durant les 6 prochains mois faible hausse Les r sultats de l enqu te indiquent que l investissement des entreprises wallonnes devrait s accroftre mais faiblement au cours des 6 prochains mois La part des entreprises qui comp tent augmenter leur investissement est effectivement plus le v e que la part de celles qui comptent le diminuer Cependant tant donn que la majorit des entreprises 53 ne comp tent pas modifier leur rythme d investissement et que les capacit s de production sont en forte sous utilisa
7. de cette enqu te est l accueil favorable que les entreprises wal lonnes r servent au plan Marshall Au total en mars 2005 seules 10 des entreprises interrog es consid raient que la politique du Gouvernement wal lon leur gard s tait am lior e au cours des 6 derniers mois En novembre 2005 ce pourcentage est Quelle a t l volution de l activit de votre entreprise au cours des 6 derniers mois 50 E mars 05 Mnov 05 pass a 25 Ce resultat montre que les entreprises attendent beaucoup du Gouvernement wallon Elles esperent que les intentions se traduiront dans les faits Dans le cadre de son enqu te de novembre a ajout une ques tion concernant les freins a l em bauche Tout comme leurs consoeurs europ ennes les entreprises wal lonnes pointent deux raisons princi pales la faiblesse de la demande et les co ts du travail La troisi me ral son importante est la difficult de trouver les profils ad quats Cette pro bl matique des freins l embauche est d velopp e en page 15 Activit conomique durant les 6 derniers mois ralentissement important 45 40 35 25 20 15 10 D favorable Stable Favorable Quelles sont les perspectives d activit de votre entreprise au cours des 6 prochains mois 60 El mars 05 El nov 05 5076 3076 2076 1076 0 D favorable Stable favorables Favorabl
8. de l Union Wallonne des Entreprises est dit par la Maison des Entreprises Wallonnes asbl mie Union Wallonne des Entreprises Chemin du Stockoy 3 B 1300 Wavre Tel 32 0 10 47 19 40 Fax 32 0 10 45 33 43 dynamisme wallon uwe be www dynamismewallon be R daction Thierry Decloux Madeleine Dembour Vinciane Pinte pr nom nom uwe be Conseil de R daction Luc De Cordier Jean de Lame Madeleine Dembour Thierry Devillez Didier Paquot Vinciane Pinte Vincent Reuter Jean Jacques Westhof Mise en page Interlignes Nivelles Impression Imprimerie Vase Fr res Photo de couverture Christophe Lo Giucide R gie Publicitaire Alliance Media Tel 32 0 10 40 13 12 info alliancemedia be Editeur Responsable Jean de Lame Chemin du Stockoy 3 B 1300 Wavre Abonnement annuel 11 num ros 01 EDITORIAL VINGT MILLE ENTREPRENEURS Succ s wallons DROBen Hedelab Les Nutons Kenomar 04 Top mondial Il Kitozyme 06 Actuel I Assembl e g n rale de l UWE b H Bultot gt gt 04 I Enqu te conjoncturelle de l UWE Rencontre avec Marie Dominique Simonet I Bilan 2005 des d penses publiques I Les entreprises unipersonnelles un vivier d emplois Tax Shelter quand les entreprises misent sur le cin ma gum DOSSIER 20 Ressources Humaines le barom tre du recrutement 2006 r les entreprises recru pour anticiper vos besoins en re i Etude LS S un
9. de la fourche a la fourchette Nous soutenons une agriculture raisonn e par des m thodes saines de production le moins d intrants possible limitation de l impact du phyto sanitaire etc et proposons des pro duits qui am liorent la sant Mais attention il ne faut pas confondre ces m thodes avec l agriculture biologique qui est un concept plus id ologique Non seulement il n existe pas de moyen scientifique pour prouver que cette derni re est meilleure qu une autre mais elle implique une productivit agricole trop faible par rapport aux besoins D apr s vous comment les entreprises envisagent elles le d veloppement durable Du d veloppement durable les entreprises en font sans s en rendre compte 1 Tout d pend du niveau de solidarit que l on souhaite avoir dans sa d marche conomique Comme je l ai dit le d veloppement durable implique une volution de fond sur le long terme Ceux qui font du d veloppement durable une pr occupation ont plus de chance de s inscrire dans la dur e l ou l conomique pur est dans le court terme tout le temps Que pensez vous des 15 indicateurs de d veloppement durable mis au point par l UWE Pour un industriel mesurer est le d but de toute d marche Ces indicateurs sont un bon outil de compr hension du milieu industriel en permettant d int grer le monde cono mique dans une r flexion de soci t et inversement L outil qui doit continuer a se d velopper et a
10. des secteurs o l activit industrielle de la Wallonie est particuli rement fer tile l n emp che que de multiples technologies d avant garde sont o seront utilis es par les entreprises qui forment ces p les qu il s agisse des nouveaux mat riaux des nanotechnolo gies ou encore des technologies de l information l instar des grands programmes europ ens tous nos acteurs sont invi t s coop rer au sein des p les pour que nos entreprises soient la pointe du progr s technologique et s assu rent une position comp titive dans un monde en profonde mutation On a beaucoup parl de l Europe de la connaissance l initiative des p les de comp titivit devrait permettre nos entreprises d en faire partie En ce qui concerne leur organisation ils seront conduits conjointement par des acteurs du monde industriel et du monde de la recherche Les universi t s ont nomm des coordinateurs qui aujourd hui examinent leurs domaines de comp tence et s organisent pour atteindre une grande efficacit Les coordinateurs rencontrent aussi des repr sentants des entreprises afin de d finir des objectifs communs En mati re de R amp D les projets seront soumis au sein de mon administra tion des proc dures rigoureuses de s lection quant leur qualit leur financement et leur suivi Un r cent rapport men sur l inter m diation technologique montrait la difficult pour une bonne part des
11. enne un contrat est sign Apr s le d marrage des activit s de recherche tous les douze mois la Commission europ enne attend un rapport p riodique du consortium Ce document donne un aper u de l tat d avancement du pro jet l comporte un rapport d activit s Activity Report un rapport de gestion financi re Management Report un rapport de distribution du subside Report on distribution of the EC contribution et plusieurs question naires Les d livrables sont quant eux transmis aux dates pr vues dans l annexe technique du contrat Une mise jour de la description du travail pour les 18 mois suivants doit gale ment tre jointe au rapport principal pour les projets int gr s et les r seaux d excellence En outre un rapport final doit tre remis la fin du projet Reprenant la structure globale des rapports p riodiques il couvre toute la dur e du projet Ce rap port d activit s doit cependant tre publiable et le plan pour l utilisation et la diss mination des connaissances doit tre plus complet PUDK Le d lai de soumission a t fix 45 jours pour les rapports p riodiques et finaux et 60 Jours apr s la r ception du dernier paiement pour le rapport final de distribution du subside Le consortium peut toutefois demander une prolongation de 45 jours pour cer tains l ments du rapport final Apr s r ception des rapports la Commission europ enne les value dans un d
12. les principes de base admis Marie d Huart A ce stade on parle par exemple de la d cla ration universelle des droits de l homme ou encore des conventions de l OIT Organisation Internationale du Travail exclusion du travail des enfants travail forc s curit libert d association Elles serviront de facto de socle la construc tion d ISO 26000 Mais il y a aussi une s rie de principes tou chant l environnement la dimension soci tale des organi sations dict s par les Nations Unies ou d autres instances internationales OCDE qui seront int gr s Les entreprises seront elles les seules concern es Serge de Backer Non au contraire L appellation com mune RSE Responsabilit soci tale des Entreprises laisse aujourd hui la place la RS Responsabilit soci tale Sous entendant que tout le monde est concern pas seulement les entreprises Cette orientation t moigne de la volont d ISO de construire ce standard sur le principe de la responsabilit partag e lant les entreprises lent et rassurant l faut imaginer le magma d id es que g n re une rencontre comme celle de Bangkok o plus de 350 personnes se rassemblent une semaine autour d un m me projet Les pays d velopp s les pays en d veloppement la soh re d influence anglo saxonne la fran cophonie des acteurs comme la Chine les pays d Am rique latine ou encore le Japon et la Thailande h tes de cett
13. ou pas qualifi a priori C est une mani re pour nous d organi ser leur insertion et en partie leur requalification Notre seul crit re pour l engagement de travailleur est la motivation du candidat conclut Dominique Rykers Cellule des Conseillers en Environnement Didier Nibelle responsable Olivier Cappellin Brigitte De Vos St phanie Fourez Anne Fran oise Hannick St phane Hennebert Olivier Kassi Sylvaine Menvielle e T l 010 47 19 43 e E mail conseillers uwe be e www uwe be www permisenvironnement be Cr l initiative du Ministre wallon de l Environnement la Cellule des Conseillers en Environnement est financ e par la R gion wallonne La s rie ISO 9000 Quelle valeur ajout e RUBRIQUE QUALIT 39 Quelle est la valeur ajout e d une certification ISO 9000 C est une question qui se pose encore aujourd hui dans bon nombre d organisations C est pourquoi le 24 juin dernier le Mouvement Wallon pour la Qualit MWO a organis une demi journ e th matique pour essayer de r pondre cette question Dynamisme Wallon Novembre 2005 Lors de cette journ e deux patrons de PME Michel Bauduin Revatech sa et Jean Fran ois Rossignol Sodiplan sa furent convi s faire part de leur approche qualit Bien que leurs soci t s se situent dans des domaines d activit s tr s loign s ces deux responsables d en treprises ont voqu plusieurs simili tudes dans leur ap
14. par Pol GUSTIN taire n cessitant l implication la parti cipation et la conviction de tous Ordre organisation communication rigueur s r nit responsabilisation devenaient des ma tres mots 5 ont permis au travers de cette d marche et permettent encore d asseoir la notori t de l entreprise en Belgique mais aussi l tranger ou les activit s se sont fortement d velopp es ces derni res ann es pour repr senter actuellement 20 du chiffre d affaires 2 en 2000 Sans cette d marche initialement volontaire l entreprise n aurait pu cro tre embellir et prospe rer dans un environnement de plus en plus concurrentiel s exprimant au tra vers d une tr s forte rosion des prix unitaires depuis septembre 2007 Le t moignage de Sodiplan Le deuxi me t moignage a t apport par Jean Fran ois Rossignol Administrateur d l gu de Sodiplan Cette entreprise bruxelloise est sp cialis e dans la conception et la mise en oeuvre d outil de gestion d informa tion caract re technique et docu mentaire combinant des bases de don n es alphanum riques et graphiques associ es Ces syst mes d informa tions sont destin s aux gestionnaires de patrimoines immobiliers et indus triels aux gestionnaires de r seaux d infrastructures routi res fluviales et ferroviaires Elle est active au B n lux en France au Canada et en Afrique Son certificat ISO 9001 a t renou vel en mai 2004 p
15. par nous n ont pas un volume suffisant et constant qui justifie une collaboration ce jour C est pourquoi nous collaborons avec la Cellule des Conseillers en Environnement de UWE Au travers de son action de promotion de la gestion collective de l environnement sur les zones d activi t s conomiques elle nous propose de cr er des syst mes de collecte regroupant les flux de d chets plas tiques Une mani re de rentabiliser ces fili res tant sur le plan environne mental que dans un souci d efficacit conomique Soucieuse de compl ter sa perfor mance sur les trois piliers du d velop S Cellule Conseillers Environnement WALLONNE DES ENTREPRISES Eryplast a r ussi la gageure de profiter du probl me pos par les d chets pour d velopper une activit particuli rement rentable pement durable Eryplast s investit galement sur le plan humain et social Par exemple une part non n gligeable des d chets trait s pro vient de la collecte de bouchons de poly thyl ne bouchons de bouteille r colt s par des associations humani taires Notre soci t leur ach te les d chets au dessus du prix du march Cela nous garantit un approvisionne ment constant En compensation nous avons vers en 2004 plus d un million d euros ces associations Sur le plan social interne la sp cificit de notre technologie et de notre mode de production nous permet d engager des personnes peu
16. partenaires Cette observation du march se trouve compl t e par une enqu te r currente sur l entreprise la plus attractive un guide pratique du travail publi tous les deux ans un sondage annuel sur le travail des jeunes et un barom tre trimestriel de la confiance des travailleurs auquel s ajoute une question d actualit De quoi offrir un regard constant et affdt sur les volutions du march de l emploi et en particulier sur les tendances en mati re de recrutement Ce quoi contribuent galement les midis th mes des s minaires organis s dans les r gions Patrick Dupont Il ressort de notre enqu te 2005 une certaine stabilit tant dans les p nuries identifi es qu en mati re de strat gies pour les contrer ou de canaux de recrutement DEVELOPPEMENT DURABLE 29 D veloppement durable Pas seulement l affaire des entreprises Dynamisme Wallon Novembre 2005 D veloppement durable gouvernance gestion thique des affaires responsabilit soci tale restent des termes abstraits et souvent galvaud s Le d veloppement durable est une autre fa on d appr hender l avenir Que ce soit en termes de mobilit de gestion des d chets de tourisme de social de gestion des nergies Dynamisme wallon l ve un coin du voile Sur une notion qui ne concerne pas seulement les entreprises mais tous les acteurs sociaux n E S a
17. s affiner permet l entreprise de se situer de voir si elle volue dans le temps par rapport aux 3 piliers du d veloppement durable Je pense aussi que c est un outil tr s utile en terme d image pour ceux qui entourent l entreprise voisins R gion autorit s Les cri t res d veloppement durable peuvent par exemple tre des crit res en termes d investissement Que pensez vous de la d marche g n rale de l UWE par rapport au d veloppement durable Le fait que le d veloppement durable soit une pr occupation de UWE n est pas surprenant puisque le d veloppement durable concerne l ensemble des entreprises L UWE pro pose travers son groupe de travail un bon niveau d ap proche du d veloppement durable car il s agit d un niveau apprehendable pour l entreprise Si les entreprises veulent dialoguer avec les autres parties prenantes du d bat d ve loppement durable il faut qu elles soient impliqu es et proactives sur la question Jacques Crahay La particularit du d veloppement durable c est d abord l interaction avec tous les intervenants de l entreprise au sens large Sur la toile Trois sites consacr au d veloppement durable ont fait r cemment leur apparition sur la toile un site portail un site de vulgarisation et le site du Service public f d ral de programmation D veloppement durable gt gt www sppdd be DEVELOPPEMENT DURABLE 35 Responsabilit Soci tale des Ent
18. tre deuxi me d s 2006 Sur le plan conomique les perfor mances sont excellentes Apr s quelques ann es Eryplast d gage un cash flow net qui lui permet non seulement de se d sendetter rapide ment mais aussi d autofinancer sa croissance Pour le client le rapport qualit prix est performant n est pas rare de voir des entreprises diviser leur budget d achat de palettes par plus de deux en achetant chez nous explique Baudouin Dubuisson President d Eryplast Une croissance de 30 Sur le plan environnemental la soci t valorise pr s de 30 tonnes de d chets plastiques par jour Un tonnage qui Par Didier NIBELLE sans le d veloppement de cette fili re de valorisation devrait tre mis en d charge Eryplast pr voit de doubler ce volume dans les ann es venir suite un programme d investisse ment qui fera passer la production de 3 5 lignes d injection Pratiquement la soci t fonctionne sur un mode int gr du fait qu elle ach te les d chets m nagers Fostplus la sor tie des centres de tris des collectes s lectives Pour une part certains d chets proviennent de l industrie lorsque le volume est suffisant pour justifier une collaboration directe L id al serait d int grer encore plus nos fili res d approvisionnement explique Dominique Rykers Administrateur Directeur G n ral d Eryplast Un certain nombre d entre prise productrice de d chets valori sables
19. ur du zoning des Hauts Sarts Li ge Eryplast produit des pieces en plastique de grandes hE dimensions un co t comp titif En passe de devenir un des leaders du march europ en dans son secteur l entreprise d montre que le d veloppement durable peut tre une opportunit de business Dynamisme Wallon Novembre 2005 La SA Eryplast a r ussi la gageure de profiter du probl me pos par les d chets pour d velopper une activit particuli rement rentable et en crois sance annuelle de plus de 30 par an au cours des derni res ann es Eryplast produit des pi ces de grande dimension en plastique essentielle ment des palettes produit dont la demande est en forte augmentation Le secret d Eryplast est double d une part cette soci t est parvenue mai triser une technologie sophistiqu e m lant lectronique informatique m canique et hydraulique ce qui lui permet de transformer des d chets plastiques en pr servant plus de 99 des propri t s m caniques de la mati re vierge pour un prix plus de cinq fois inf rieur D autre part Eryplast affirme que cette m me technologie lui permet d atteindre une productivit cinq fois sup rieure celle de ses concurrents travaillant la mati re vierge Sans cher cher plus loin ce sont les raisons qui permettent Eryplast dans son acti vit palettes plastiques de devenir en quelques ann es le troisi me pro ducteur europ en et d ambitionner d
20. volu outre l int rim la plupart des acteurs offrent des services de recrutement et de s lection d out sourcing d outplacement etc Le spectre des fonctions que l int rim contribue pourvoir s est aussi largi celles d ouvriers et d employ s ne repr sentant plus que 80 85 du total La soci t d int rim se transforme en agence de placement Chez Manpower les consultants sont r partis de sorte d offrir soit l int rim soit le recrute ment et la s lection l s agit l d une dynamique consis tant tre plus proche du public L int rim est un observatoire du marche de l emploi Comment le rendre plus performant Federgon a d velopp sa m thodologie sur base d une enqu te aupr s des consultants en int rim De son c t le Forem utilise les informations relatives aux demandeurs d emploi et aux postes vacants Depuis toujours les penu ries identifi es de part et d autre sont semblables Chaque m thode comporte n anmoins des biais L id e est d unir nos forces pour aboutir une vision plus pr cise des fonc tions critiques r elles actuelles et venir Aujourd hui nous avons peu de donn es sur les sous r gions par exemple Les difficult s de recrutement gagnent tre abord es sous l angle des flux de la mobilit l convient de favoriser une vision prospective sur cing sept o dix ans Dans quelle volution s insere cette collaboration avec le Forem Depuis l application de
21. 8 Localisation Herstal Internet www kitozyme com Assembl e g n rale de UWE 800 patrons r unis autour de Franco Dragone Dynamisme Wallon Novembre 2005 reportage photo TILT HOUET L Assembl e g n rale de l UWE fut l occasion pour Henri Apr s avoir rappel les attentes des chefs d entreprises Mestdagh son Pr sident de communiquer la satisfaction Henri Mestdagh a rappel travers l exemple et le par globale des entreprises wallonnes par rapport au Plan cours de Franco Dragone invit d honneur de cette AG la d Actions Prioritaires pour la Wallonie et de souligner l im valeur de l esprit d entreprendre apparaissait important portance capitale que rev t aujourd hui aux yeux de celles ci l UWE d entendre quelqu un qui a mis en pratique ses sa mise en application rapide talents d innovateur de cr ateur pour de grandes r alisa tions culturelles et conomiques tout en restant fid le sa R gion Un parterre prestigieux emport par le R ve de Franco Dragone Andr Flahaut Ministre de la D fense Jean Jacques Verdickt Chief Executive Officer de Magotteaux Elio Di Rupo Ministre Pr sident de la R gion Franco Dragone au centre entour de son assistant Philippe Degeneffe du wallonne et Pr sident du PS et le Pr sident de l UWE Henri Mestdagh Pr sident de l UWE Henri Mestdagh de la S natrice Olga Zrihen et du accompagn de son pouse Gouverneur de la Province du Hainaut Cla
22. CCl x D nets EE d CS ET ON E SENT DONATE Oh ce Or EI Od TUE AT I PR ON NE EN NE EE EE 10 PATES BE aE ne aa EE a 1250 Cee ax aya u 4 A0 9 o o o o o o o o o o o o o o k o lam an ya R deg a AT OSEERE E N EAA EAE TE EET E E d ARI o CU D SSSR wes Se B 1 48 08 ee eS eee ee RS o a o EE n E Can to 12 SOR Z souscrit un abonnement Dynamisme Wallon Fr ZER E Adresse de facturation si diff rente du destinataire k Idem ci dessus 1 we CB ATU E gx Oe eT NS TNT 09 15 BOL 6 7712901278 39 0 SS be 60 AZAR es T 710 S 6 6 s 6 012 kr Shere Er a 22 AR 160 6 ca 76 95 Uu D Pr 0 16 00 DB B16 6 0197 Ss 3 e Sls w STW 25 0 0 6 169 1 oP SABLE se la A BY 16 z b Gite 105 ey R I ta d i re od el wesle Te iLl T al l l Je di BY eslelise iv eo di 41 l r ib di fa je eo sete te diiell e dl Bale ia aa e Dee rie dira je o h a 2 a Net Cat A dv er At dd te bn d er G t Cher 14420 KT vie 6 si 7 4 re VG kt Sa LS ai OW q l 46 319 6 fa se 9 Doy lt 6 asec fe 007479 Ula fer KA d A
23. CIR apporte des pr cisions sur les immobilisations qui remplissent ces crit res Ainsi les immobilisations qui tendent promouvoir la recherche et le d veloppement doi vent soit tre affect es un centre de recherche soit faire ou avoir fait l objet d un financement octroy par l Etat ou par l Institut pour l encouragement de la recherche scientifique dans l industrie et l agriculture soit tre reconnues comme tant n cessaires la r alisation d un programme de recherche scientifique concourant l innovation technolo gique Ou encore tre affect es certains domaines pr cis Les immobilisations nerg tiques sont quant a elles lis t es dans l annexe l de l AR CIR et sont notamment celles concourant l isolation des b timents le captage solaire l utilisation de l nergie olienne etc Certains documents justificatifs et ou attestations temol gnant de l appartenance des immobilisations l une de ces cat gories doivent tre fournis l administration l appui du traditionnel formulaire de demande de d duction pour inves tissement formulaire 276U et du relev des immobilisations concern es Plus values r alis es sur v hicules d entreprises Sur base de l article 44bis du CIR introduit par la loi du 14 jan vier 2003 les plus values r alis es sur v hicules d entre prises i e ceux affect s au transport r mun r de per sonnes ou au transport de biens sont totalement ex
24. Cette analyse nous permet ensuite d aller vers les op rateurs locaux accompagnant les demandeurs d emploi ou formant les jeunes pour les sensibiliser aux besoins rencontr s et les informer des conditions de travail des crit res d em bauche des exigences des jobs etc L industrie alimentaire peine trouver les comp tences dont elle a besoin notamment dans le secteur de la viande abatteur decoupeur d sosseur boucher industriel de la boulangerie p tisserie et de fa on trans sectorielle pour ce qui concerne la maintenance Le m tier d operateur de production n est quant lui pas en p nurie mais reste sen sible car il concerne entre 50 et 60 du personnel qu oc cupe le secteur Sur base des postes pourvoir dans les entreprises nous mettons par ailleurs sur pied des formations pour deman deurs d emploi en collaboration avec l IFAPME le Forem ou les missions r gionales pour l emploi ajoute Laurent Gall L ann e pass e nous avons ainsi form plus de 350 personnes auxquelles il faut ajouter 700 personnes for m es avec l aide de FormAlim le centre de comp tences de l industrie alimentaire Soit un total de 1000 personnes un r sultat jamais atteint jusque l La formation est aussi essentielle pour sensibiliser notre importante population d int rimaires aux normes de qualit de s curit et d hy giene Plus d infos Tensions sur le march du travail et difficult s de recrutement
25. Gouvernement wallon est d investir simultan ment dans l conomie d aujourd hui et dans l co nomie de demain Celle d aujourd hui est repr sent e par les p les de com p titivit cing secteurs de l conomie wallonne que nous voulons d velopper et porter au niveau international en associant dans des projets cibl s les entreprises les universit s et les centres de recherche Pour leurs investissements en R amp D ces p les disposeront de 120 millions d euros dans le cadre du Plan Marshall Pour construire l conomie de demain et favoriser l mergence de nouveaux p les autour des technologies de pointe le Plan pr voit de renforcer hauteur de quelque 70 millions d euros l action que mene depuis de nom breuses ann es la DGTRE soutenir les quipes de qualit internationale lancer des programmes mobilisateurs sur les technologies d avant garde permettre aux jeunes entrepreneurs de construire des installations pilotes etc Nous allons aussi renforcer les moyens du FRIA Fonds pour la forma tion la Recherche dans l Industrie et dans l Agriculture g r par la Communaut fran aise dont le nombre de boursiers passera en quatre ans de 480 600 L ensemble de ces actions renforcera in luctablement l attrait de la carri re de chercheur Je m attends dans les quatre ans venir l engagement de quelque 600 chercheurs suppl men taires dans les entreprises ou dans les laboratoires universit
26. PME d acc der aux services de R amp D La nouvelle Agence pour la stimula tion technologique rem diera t elle cette difficult Une tude r alis e dans le cadre du programme PROMETHEE sur les m canismes d interm diation en R gion Wallonne a effectivement mis en vidence des carences dans les dispositifs d appui pour les PME en mati re d acc s la R amp D Cette tude montre que leur grande majorit n est pas famili re du processus d innova tion Pour beaucoup d entre elles l in novation se limite parfois au remplace ment d une machine Et quand l entreprise tourne l innovation effraie dans les changements qu elle impose L application de l innovation pour cette cat gorie d entreprises est des lors plus ardue que pour des entreprises de taille plus grande et certainement que pour celles qui disposent d un service R amp D Il y a donc un travail norme de sensi bilisation r aliser ce niveau qui demande un professionnalisme certain du conseiller technologique l est aussi important que cet op rateur ait acc s l information sur les technologies mergentes les produits nouveaux Ou les services r cents l doit tre orga nis sur une base r gionale notam ment pour viter une multiplication des offres aupr s d une m me PME L Agence de stimulation technologique a parmi ses missions l organisation en r seau des trois grandes familles d op rateurs dont pr cis ment ces conseil
27. Portugal 64 18 15 Lituanie 62 26 19 Pays Bas 58 10 41 14 France 52 56 17 10 Danemark 51 14 15 16 Autriche 51 15 19 21 Espagne 50 25 12 29 Finlande 48 27 19 27 Belgique 44 39 21 18 Luxembourg 44 16 26 24 Irlande 43 26 26 26 R p Tch que 42 OA 16 16 Chypres 40 16 21 27 UE 19 40 36 17 18 Royaume Uni 38 14 25 15 Allemagne 20 36 14 15 Italie J9 19 22 Pologne 24 75 16 16 VINGT MILLE ENTREPRENEURS ACTUEL Graphique 1 Obstacles l embauche Comparaison de la Belgique a la moyenne europ enne B Belgium El EU 19 Au total donc la faiblesse de l activit de l entreprise a t cit e par 40 des entreprises europ ennes comme un des deux freins principaux l em bauche et 36 ont point les charges sur le travail Cela signifie en d autres termes que les charges sur le travail sont consid r es par les entreprises unipersonnelles comme tant un obs tacle pour embaucher presque aussi important que celui de la faiblesse de la demande C est le cas en Belgique en France en Allemagne et en Italie Le constat est corrobor par une cor r lation macro conomique forte entre le taux de ch mage et les charges pesant sur le travail confer encadr En ce qui concerne les sept autres propositions de la Commission euro p enne elle ont t nettement moins cit es comme un frein l embauche Le graphique 1 reprend ces diff rents obstacles avec pour chacun d entre eux le pourcentag
28. QUESTION QUE DABLE VOTRE COMPORTEMENT EST INDIGNE D UN PiRi GE ANT NoS EMPLOYE S ont 8 ESoi N D UN CHEF PAS D UN JovEuR DE TENN S Si LEURS FEMMES ME DISENT oui DE No JOURS PEUVENT SE VANTER D AVOIR UN DiReCTEUR Qui LES FAIT RIRE SACHEZ MARTINEZ QUE C EST Pour DES EMPLOYE COMME Vous QUE AE FARIS Manager mode d emploi Auteur Dehaes Dupuis 2005
29. aires Avec cet effort budg taire attein dra t on le 1 de d penses publiques R amp D dans le PIB voulu par l Europe Cette question retient mon attention depuis mon entr e en fonction l faut savoir que l objectif de Lisbonne est un th me complexe dans un pays comme le notre La recherche publique est en effet financ e entre autres par la R gion wallonne par la Communaut fran caise et par le Gouvernement f d ral Au niveau de la Belgique francophone ces diverses entit s consacrent en 2005 quelque 0 62 de son PIB a la R amp D Sion calcule la part relative que devrait prendre chaque entit l ac croissement du budget a l aune de sa contribution actuelle je puis affirmer que la R gion wallonne atteindra pour sa part l objectif voulu par l Europe Mais n oublions pas la recherche fondamentale financ e par la Communaut fran aise qui a elle aussi besoin d un s rieux coup de pouce La R gion wallonne finance la recherche appliqu e mais celle ci ne pourra se d velopper sans l apport vivifiant de nouvelles id es issues des laboratoires universitaires La coop ration de toutes les entit s f d r es sera n cessaire pour atteindre tif de Lisbonne celui ci ne rel ve pas de la seule R gion wallonne Qu attendez vous des p les de comp titivit Comment vont ils s organiser Les p les de comp titivit sont l image de l conomie d aujourd hui et sont li s a
30. al inclus et par fois encadr s par l installation de Commissions mixtes bilat rales o s initient et se d cident les projets de coop ration Comment envisagez vous une concertation plus troite avec le monde des entreprises afin de concr tiser aux b n fices de toutes les parties ces accords bilat raux susceptibles de multiplier des partenariats int res sants En ce qui concerne notre coop ration avec les pays d velopp s et en transi tion ma pr occupation est de resser rer nos programmes en fonction de nos besoins prioritaires en mati re de d veloppement conomique et social Il en va de m me pour notre d velop pement culturel et ce titre nos relations avec l ext rieur doivent maxi miser les synergies entre la Wallonie et la Communaut fran aise Je pr cise qu il ne s agit pas d une vision unilat rale de la coop ration Un partenariat bien compris doit apporter des retomb es positives pour chacun Le Plan strat gique transversal n 1 relatif la cr ation d activit s pr voit de rendre syst matiques et d augmen ter les volets scientifiques des accords bilat raux avec les pays de l O C D E C est une priorit chaque renouvelle ment des programmes de coop ration avec nos partenaires Nous ciblerons en particulier d une part les p les de comp titivit et d autre part les pays et r gions qui peuvent nous faire b n ficier de leur expertise sur le plan de la reconve
31. c t Manpower r alise une tude sur les perspectives d emploi Quelle est sa valeur ajout e L objectif consiste donner une vue prospective court terme en mesurant sur base trimestrielle les intentions de recrutement de 45 000 employeurs dans 23 pays dont 791 en Belgique Chaque employeur r pond cette ques tion Comment anticipez vous l volution de l emploi total dans votre entreprise au cours du prochain trimestre par rapport au trimestre actuel Le r sultat permet de d ga ger des tendances sur l volution de l emploi par r gion par secteur et par pays ce qui permet aux employeurs de mieux se positionner Aux Etats Unis ou elle est men e depuis 40 ans la parfaite corr lation entre la vue prospec tive et les chiffres de l emploi r el a t d montr e Didier de Laminne Les enqu tes sur l avenir du march du travail offrent aux employeurs une vue sur ce qui motive les travailleurs et candidats elles leur permettent d identifier d ventuelles faiblesses dans leurs strat gies d attractivit afin de les corriger Ce qu il en ressort Une certaine stabilit tant dans les p nuries identifi es qu en mati re de strat gies pour les contrer ou de canaux de recrutement note Patrick Dupont Manager Business Information Center Si ce n est qu en 2005 les employeurs s attachent d abord am liorer l ambiance de travail pour fid liser leur personnel Vient ensuite le salaire alors qu e
32. chit donc deux fois avant d atta quer le march Pour cela il est impor tant de se prot ger en ayant une poll tique de brevet tant au niveau de la conception que de la r alisation L avenir Ce juriste de formation aujourd hul entrepreneur le voit donc radieusement Je suis certain que la Wallonie est une terre ou la production industrielle a de l avenir Nous sommes capables de construire de faire Je le vois La dizaine de collabo rateurs que nous employons aujour d hui n est pas motiv e uniquement par l argent Ils sont fiers de mettre au point un produit leur produit Ils ont envie que cela marche Ils s investis sent pleinement dans la r ussite du projet Pour un entrepreneur cela fait plaisir voir conclut Hugues Bultot Alors rendez vous en 2007 pour voir s le pari est gagnant l ne faudra peut tre pas attendre si longtemps KitoZyme compte organiser une conf rence de presse en novembre atin d expliquer sa situation ses VISIONS Une chose est s re les r actions par rapport aux divers chantillons sem blent prometteuses KitoZyme a investi dans le futur et l avenir ne sourit il pas aux audacieux l Ann e de cr ation D cembre 2000 Activites KitoZyme est pr sent dans plusieurs domaines tel que le m dical le cosm tique le collage et la clarification du vin Effectif une dizaine de personnes en constante volution Chiffre d affaires en 2004 575 33
33. ctrices sur les ques tions centrales relatives la responsabilit soci tale Et le troisi me sous groupe est en charge d organiser la mise en uvre effective de ce futur standard au sein des organisa tions Le cahier de charge de ce dernier groupe d montre la volont des acteurs pr sents d aboutir un standard effectivement applicable au sein d organisations entre prises et autres ISO 26000 veut d montrer son utilit et son op rationnalit l ne s agira pas d un recueil de prose pour les militants d un monde meilleur 1 Plus d infos 010 24 25 47 serge debacker capconseil be www iso org wgsr www tisi go th iso_tmb Le lobby responsable Contradictio in terminis Lobby Voil bien un terme dont la simple mention voque pour beaucoup man uvres d influence et chantage N entend on pas souvent que les entreprises sont devenues plus puissantes que les gouvernements l ne fait pas bon tre lobbyiste priv ces temps c Pourtant ils sont plus de 100 000 dans le monde en porter l tiquette dont 15 000 rien qu Bruxelles arpentant les corridors des institutions europ ennes et internationales Et si ce m tier m ritait plus de consid ration Et si les jeux de pouvoir affich s ou non se faisaient aussi d fense d int r ts d passant l envie de se tailler simplement une plus grosse part du g teau conomique Le pouvoir av r du lobby est un levier actionner sans r se
34. d al ar K And de VK nd wt V eo el fs om 0179 12 VINGT MILLE ENTREPRENEURS ACTUEL Marie Dominique Simonet La recherche est reconnue comme une vraie priorit Plan Marshall poles de comp titivit R amp D Agence de stimulation conomique Marie Dominique Simonet Ministre de la Recherche des Technologies nouvelles et des Relations ext rieures de la R gion wallonne fait le point pour Dynamisme Wallon Dynamisme Wallon Novembre 2005 Propos recueillis par Vinciane PINTE La R amp D est une priorit en Wallonie Quels efforts suppl mentaires sont consentis pour concr tiser cette priorit Marie Dominique Simonet Pour la premi re fois la recherche est recon nue comme une vraie priorit Les Actions Prioritaires pour l Avenir wal lon le Plan Marshall lui consacrent plus du quart des ressources nou velles qui seront affect es au plan de d veloppement de la R gion wallonne durant les quatre prochaines ann es soit 270 millions d euros Notre objectif est double il s agit d une part d aider les entreprises exis tantes d velopper l innovation et d autre part transformer le paysage industriel de la Wallonie par la cr ation de soci t s nouvelles de type spin off issues essentiellement de la recherche universitaire et spin out issues des entreprises Un montant de 70 millions d euros sera ainsi consacr la capitalisation de telles entreprises La volont du
35. du Plan dit Marshall Wallonie Excellence s ouvre a toutes les entre prises wallonnes petites ou grandes qui souhaitent se doter d un Systeme de Management Oualit S curit et ou Environnement et d sirent rejoindre ainsi le club encore tr s ferm des entreprises wallonnes dont la performance est reconnue par des normes internationales Pour atteindre son objectif Wallonie Excellence met disposition de ses membres des outils informatiques des solutions mod les et une m tho dologie prouv e L objectif est de cr er en Wallonie un v ritable p le d excellence constitu d entreprises dynamiques capables de r pondre aux exigences des march s int rieur europ en et mondial R ussite de la phase pilote Le projet vient d atteindre son premier objectif Interm diaire une premi re entreprise pilote Solidbeton a d cro Par Marc CRUCIFIX ch en un an seulement sa triple cer tification de qualit ISO 9001 d envi ronnement ISO 14001 et de s curit OHSAS 18001 pourtant r put es si difficiles obtenir pour une PME Comme l explique Marcel Gehlen son initiateur cette r ussite d montre que la m thodologie et les outils mis dis position des entreprises par Wallonie Excellence en collaboration avec un consultant sp cialis fonctionnent bien Fort de ce succ s nous avons rassembl un premier convoi d en treprises qui se lancent aujourd hui dans la d marche Premier g
36. du futur standard pour la res ponsabilit soci tale qui devrait voir le jour en 2008 Quelle d finition peut on donner de la responsabilit soci tale Serge de Backer Un peu comme celle du d ve La responsabilit soci tale fait sauter LISO pieds joints dans le champ des que les autres acteurs de la soci t pouvoirs publics ONG syndicats consommateurs ont aussi leur part de responsabilit C est pourquoi le processus d laboration de la norme invite ces acteurs la construire ensemble Il ny a pas de monopole de l industrie ni dans la d finition ni dans sa future application loppement durable la d finition de la responsa de la q e bilit soci tale RS ou SR en anglais varie au gr du sens de la sph re Cr er un nouveau standard ISO n est pas des acteurs entreprises pouvoirs publics courant comment cela se passe consommateurs repr sentants des travailleurs des responsabilit s Mae Da Le processus lo 0 ies soci t civile ONG D o le d fi que s est fix ISO de mieux d finir ce concept et de tenter un consensus D j avant la rencontre de Bangkok les experts pr sents relay s par l ISO ont clairement insist sur le fait que ce standard respectera certains principes et normes de base commun ment admis Autre point important ce r f rentiel ne comprendra que des lignes directrices et ne sera pas sujet une quelconque labellisation ou certification Quels sont
37. e l information disponible sur les postes vacants et les candidats aux pratiques de recrutement etc et ou tensions structurelles inad quations de localisation de qualification li s la structure des salaires etc Les difficult s de recrutement ont des causes multiples soit externes au march du travail soit intimement li es son fonctionnement qui met en jeu les acteurs et leurs strat gies ainsi que les structures et les institutions du march du travail En outre plusieurs probl mes peuvent tre presents en m me temps ce qui complexifie l analyse Or cette analyse est n cessaire pour pouvoir apporter un diagnostic rapide et pertinent D o l int r t de l change des pratiques entre partenaires du SIAMT 26 DOSSIER Interim Dynamisme Wallon Novembre 2005 Par Christophe LO GIUDICE Linterim a toujours t un bon observatoire des besoins en recrutement Philippe Lacroix General Manager de Manpower Belgium et Patron de Federgon Wallonie Bruxelles decode les services que le secteur apporte aux entreprises En quoi l int rim represente t il un interm diaire important en terme de recrutement Philippe Lacroix Les entreprises s adressent d abord aux soci t s d int rim pour trouver le personnel dont elles ont besoin Aujourd hui deux soci t s sur trois en Belgique recourent l int rim pour recruter du personnel fixe Au fil du temps c est devenu un canal privil gi L offre a
38. e concern Ainsi le taux de la cotisation est fix 20 83 euros index annuellement au moins par mois Une cotisation sup rieure est due pour les v hicules essence ou au diesel d s que le r sultat d une formule d termin e est sup rieur 20 83 euros L l ment central de cette formule est un coefficient qui correspond au taux d mission de CO en gramme par kilom tre Pour les v hicules au GPL la formule est rendue plus avantageuse pour le contribuable tandis que pour les v hicules propulsion lectrique seule la cotisation mini male est due Le texte l gal pr cise par ailleurs qu il convient de se r f rer au taux d mission CO mentionn sur le certificat de confor mit ou sur le proc s verbal de conformit du v hicule ou a la banque de donn es de la Direction de l immatriculation des v hicules 1 Articles 47 et ss 2 Tels que par exemple le d veloppement de nouvelles techniques de production l am lioration de techniques de fabrication exis tantes l extension de d couvertes etc 3 Cet article est cependant rendu applicable aux plus values qui se rattachent l exercice d imposition 2001 ou un exercice ult rieur 4 l s agit notamment des autobus autocars voitures affect es exclusivement soit un service de taxi soit la location avec chauffeur tracteurs camions remorques et semi remorques avec un poids maximal admis d au moins 4 tonnes 34 FOCUS Jacques Cra
39. e seconde session de travail t moignent de cette diversit Diversit laquelle il faut ajouter les diff rences de sensibi lit entre l industriel le repr sentant d une ONG le syndica liste ou le repr sentant des consommateurs Si vous ajoutez dans cette mixit une pinc e d acad miciens et d experts th matiques a la pointure internationale vous avez un aper u des changes et de la confrontation d id es induits par un tel processus D o l int r t d inscrire la construction d un stan dard de ce type dans un processus rigoureux et proc dural comme ISO En tout il s agit d un travail de 3 ans ponctu de rencontres internationales tous les 6 mois Est il possible de standar diser un th me comme la responsabilit soci tale Serge de Backer Certes ISO a aussi d mettre de l eau dans son vin Le proces sus entam pour ISO 26000 qui se d clinera jusqu en 2008 avec une prochaine r union programm e en mars Marie d Huart au centre L ISO 26000 n est pas un recueil de prose pour les militants d un monde meilleur Il veut d montrer son utilit et son op rationnalit au Portugal s loigne quelque peu des habitudes de travail d ISO sur des normes techniques par exemple Ce qul rend ce processus passionnant mais pose un d fi important l or ganisation internationale de standardisation Le theme de la responsabilit soci tale fait sauter cette institution pieds joints dans le cham
40. e d affaires annuel de 120 millions d euros Wallonie Espace a t reconnue en octobre 2003 comme le Cluster Espace de la R gion wallonne plus d in fos sur http clusters wallonie be Retrouvez sur son site toute l actualit des grands programmes spatiaux dans les quels sont impliqu es des entreprises wallonnes ainsi que les fiches compl tes de ses membres comp tences sec teurs d activit s derni res r alisations gt gt www wallonie espace be certaines conditions Se d velopper dans un secteur concurrentiel XYZ est un r seau de salons de coiffure en pleine expansion au sein de la R gion Wallonne P y 22 Ce nest pourtant pas de coiffeurs dont manque la Wallonie Comment des lors se 3 DEMAIN GESTION 43 d velopper dans un secteur aussi concurrentiel Ses dirigeants S verine Tielman et Micha l Del Bianco nous expliquent leur m thode Dynamisme Wallon Novembre 2005 Dans un secteur comme le v tre comment faire pour g rer la concur rence Le march ne laisse plus de place aux services de qualit moyenne C est tant mieux pour le client mais l effort est permanent pour le prestataire La recette est simple observer constam ment son march pour s assurer de rester la pointe de la technologie et de la mode Le fait de tenir compte des commentaires et suggestions de la client le est vital Nous avons ainsi organis des enqu tes de satisfaction au sein de chacun d
41. e d entreprises belges et europ ennes qui les ont cit s comme premier o second obs tacle l embauche Un l ment frappant qui ressort de ce graphique est que les entreprises belges se plaignent nettement moins du poids des charges administratives comme obstacle l embauche que les entreprises europ ennes alors que la Belgique est un pays o les charges administratives sont plus importantes qu ailleurs Deux raisons permettent d expliquer ce paradoxe les proc dures administratives sont la plupart Graphique 2 Les charges pesant sur le travail comme obstacle l embauche dans les entreprises uniperson nelles et le ch mage Les pays o les entreprises se plaignent de charges trop lev es sont aussi ceux o le ch mage est plus important Le graphique 2 montre qu il existe une rela tion positive entre ces deux l ments On peut effectivement distinguer deux groupes de pays Le premier est consti tu des six pays o les entreprises consid rent les charges sur le travail comme un frein important l embauche Ce groupe est plus particuli rement touch par le ch mage Par contre dans le second groupe de pays les entre prises sont proportionnellement moins nombreuses consid rer les charges sur le travail comme un frein l em bauche et le ch mage y est nettement plus faible ne d passant pas 7 Perceptions des charges sur le travail dans les entreprises unipersonnelles et ta
42. e nos salons Dans un secteur concurrentiel l ny a pas de place pour la qualit moyenne Vous avez 5 enseignes en Wallonie bient t 7 Quelles sont les caract ris tiques de votre reseau par rapport aux autres La proximit tout d abord Nous gar dons le contact en permanence avec chaque membre de l quipe Le marke ting cr atif ensuite nous organisons 4 collections par an qui consistent cr er des images des ic nes qui appuleront notre image du moment Ces coupes th matiques non seule ment plaisent la client le mais ren contrent galement un vif succ s aupr s de la presse sp cialis e Propos recueillis par Olivier KAHN conseiller Ichec PME www ichec pme be olivier kahn ichec be Comment s assurer de la qualit de tout un r seau Un ma tre mot le respect Du respect de chacun na t le plaisir et la satisfac tion du travail au sein du r seau Nous avons ainsi d fini et communiqu notre philosophie nos objectifs notre bible l y est d fini ce que nous esp rons et ce que nous ne voulons pas Le contenu s enrichit et volue des r flexions amen es au quotidien De cette bible d coule notre charte gra phique notre dossier technique notre process de formation des collabora teurs nos principes de relations avec les diff rents managers etc Le pr ventif co te bien moins cher gue le curatif Vous comptez 40 collaborateurs Quel serait votre principa
43. e o l on serait bon mais sans plus au nom d un march qui se d velopperait Assurer une diff rentia tion claire en pr cisant pourquoi le client doit venir chez vous et pas chez un autre Etre concret dans les argu ments avanc s horaires cr ativit cholx Enfin la mise en place de tableaux de bord permet de rep rer rapidement tout cart de gestion Plus rapides que la comptabilit plus lisibles plus synth tiques ces tableaux de bord doivent tre mis en place au sein de toute PME Des indi cateurs commerciaux strat giques organisationnels viendront compl ter utilement les indicateurs financiers Un tableau de bord utile et personnalis ne d passe pas selon notre exp rience 2 3 pages et se diffuse ponc tuellement fr quence mensuelle En collaboration avec E PME D Lu lz informations pratiques Ichec PME propose de octobre a mars un cycle sp cial pour PME en crois sance Echanges d exp riences informations pratiques conseils d experts dans esprit de partage Plus d infos sur www ichec pme org 44 DEMAIN HUMOUR Qui RISQUENT DE SE RETROUVER Au CHOMAGE SEULS AVEC DEUX ENFANTS JE PLAINS LES HOMMES DE VOTRE AGE RARES Sont LES EMPLOVES aui J Ai UNE MAUVAISE NoUVELLE Fouk Vous MARTINEZ Vous ETES LicENGE C EST UNE BLAGve Vows montz Jai aust Gesell PENSEZ A VoTRE IMAGE REMETTEZ Vov VN PEU EN
44. e sement marque L volution des r ponses entre l enqu te pr c dente r alis e en mars 2005 et celle ci savoir une augmentation des r ponses d favorables au d triment des r ponse favorables sugg re un niveau d activit conomique toujours faible des entreprises wallonnes depuis le mois de mars 2005 Ce senti ment est corrobor par les diff rents indicateurs conomiques et l volution du PIB dans les diff rents pays europ ens Au total la croissance pour 2005 pourrait ne pas d passer 1 5 Activit conomique durant les 6 prochains mois reprise timide Les attentes des chefs d entreprises wallons quant a l volu tion de leur activit durant les 6 prochains mois restent encore tr s mitig es m me si au total elles restent l g rement II ne faut d s lors pas s attendre une am lioration marqu e de la situation conomique dans les prochains mois C est par ailleurs le message qui semble se d gager des diff rents indi cateurs conjoncturels tant au niveau national qu international une reprise tr s graduelle et toujours fragile apr s un ralentis 10 VINGT MILLE ENTREPRENEURS l ACTUEL 10 5 0 60 50 40 30 20 10 60 50 40 30 20 10 60 50 40 30 20 10 0 Comment voyez vous l volution de vos march s l exportation durant les 6 prochains mois E mars 05 Mnov 05 Defavorable Stable Favorable
45. el e a 2 devenir le standard international de qua 2 lit alimentaire C est une nouvelle tape 25 dans cette success story qul debuta 55775 en 1998 par le rachat d une soci t de 57 55 Framerles active dans le domaine de la EA phytoth rapie bien tre par les plantes Apr s avoir recadr l entreprise sur la conception et la production de compl ments alimentaires destin s aux mar 25 ch s de la di t tique et du bien tre 7 les deux jeunes directeurs d Hedelab ae ED Olivier Troger et Gilles Gernaey ont r ussi doubler son activit tripler le nombre de collaborateurs et a devenir en 2003 propri taires d un nouveau site de production de 6 000 m ob issant aux tenir compte de l augmentation des aides l investissement 45 millions d euros et de l augmentation des moyens mis disposition de la recherche et de l innovation en lien sant l utilisation de programmes infor matiques de suivi etc La R gion a sign un nombre impor tant d accords de coop ration avec Le 10 octobre taient d cern s les Prix de l Innovation Technologique qui r compensent les entreprises qui ont cr une activit nouvelle en Wallonie du fait de la valorisation de leurs recherches Dans la cat gorie spin off c est KitoZyme Herstal qui a remport les suffrages pour sa mise au point de biopo
46. enir l tudes des ecosystemes passe au crible les principaux secteurs de economie wallonne L industrie alimentaire d voile son syst me int gr d anticipation des tendances tandis que le march de l int rim confirme son statut de canal de recrutement privil gi e Etude des cosyst mes pour projeter les acteurs de l emploi dans leur futur gt gt en page 22 e S unir pour mieux recruter l exemple de l industrie alimentaire gt gt en page 24 e Int rim vers une redefinition des r les gt gt en page 26 21 aplanig aydoysuyg s1q109 22 DOSSIER Etudes des ecosystemes Dynamisme Wallon Novembre 2005 Par Christophe LO GIUDICE L tude des cosyst mes men e par les experts du Forem et les sociologues de Survey amp Action scanne l un apres l autre les principaux secteurs de l conomie wallonne Objectif mieux cerner les besoins actuels et futurs en mati re d emploi Le programme cosyst mes s appuie sur un double constat Comme l explique Benoit Scheuer Fondateur de l institut de recherches Survey amp Action D une part les besoins actuels et futurs des employeurs et des tra vailleurs en termes d emplois et de comp tences sont souvent latents non verbalis s Notre objectif tant pros pectif nous ne nous limitons pas aux besoins explicites ceux traditionnellement identifi s par les sondages d opi D autre part pour contextuali
47. es PME Par ailleurs il faut aussi b normes les plus strictes oa sil tsn Hainaut La soci t anonyme DROBen D veloppements et R alisations d Objectifs Bas s sur les nergies nou velles a d but ses activit s de produc tion Ghislenghien le 16 septembre der nier L objet de cette entreprise innovatrice et c est une premi re en Wallonie est de fabriquer des panneaux ou modules photovolta ques Ces panneaux transforment la lumi re en lectricit sans aucun composant mobile sans nuisance sonore et sans rejet gazeux Leur long vit et leur besoin minime en entretien font de l nergie solaire photovolta que une source fiable pour la g n ration d celec tricit verte Mais l innovation tient surtout dans le fait que contrairement aux panneaux solaires standards les modules DROBen peuvent gr ce des machines outils de nouvelle g n ration tre fabriqu s sur mesure pour s int grer dans l architecture de mani re esth tique et en harmonie avec la construction 5 Le 6 octobre la Lloyd s Register Quality 75 Assurance a remis a la soci t Hedelab laboratoire agro alimentaire actif dans la JE conception et la production de compl 75 ments alimentaires son certificat ISO 5 77 oo aag 22000 Bas e Ghlin Hedelab devient ainsi la premi re soci t europ enne St obtenir cette certification app
48. es de recrutement identifi s Sur base des r sultats nous envoyons nos conseillers en formation vers les entreprises de sorte d analyser les raisons de ces difficul t s Nous nous sommes en effet rendu compte que pour apporter des r ponses r ellement pertinentes il faut tra vailler au niveau de l arrondissement voire de facon plus locale encore l faut travailler directement sur le public qu on aimerait attirer L industrie alimentaire peine trouver les comp tences dont elle a besoin notamment dans le secteur de la viande de la boulangerie patisserie et de fa on trans sectorielle pour ce qui concerne la maintenance LIFP le centre de formation de l industrie alimentaire en Belgique s est associ diff rents partenaires pour mettre en place un syst me int gr d anticipation des tendances sur les marches du travail L enjeu mieux cibler les formations afin de faciliter les processus de recrutement Laurent Gall Pour apporter des r ponses r ellement pertinentes il faut travailler de fa on plus locale directement sur le public qu on aimerait attirer Sur base d une grille d analyse servant d outil d entretien le conseiller va se mettre l coute du terrain quelles sont les raisons pouvant expliquer la difficult Quelles sont les pistes d j explor es En quoi consistent tr s concr tement les fonctions pourvoir sur base de r f ren tiels d emplois m tiers et comp tences
49. es sont les deux raisons principales pour lesquelles vous n embauchez pas nbre d occurrence Le niveau de votre Couts salariaux activit ne le globaux trop n cessite pas lev s Difficult s trop lev es trouver la personne ad quate Les r sultats sont repr sent s au gra phique 3 Au total 64 5 des entre prises interrog es ont cit la taille de leur activit comme une des deux ral sons principales qui les emp chent d engager une personne suppl men taire Une part l g rement inf rieure des entreprises wallonnes 57 9 a cit les charges sur le travail et 33 ont point la difficult de trouver les personnes ad quates Ces r sultats sont tr s proches des r sultats de l enqu te europ enne En effet les deux principaux obs tacles correspondent ceux cit s par les entreprises belges et europ ennes La Wallonie se distingue n anmoins par la diffi cult de trouver la personne ad quate Cet obstacle occupe la troisi me position au classement des r sultats de l en qu te de l UWE alors qu il ne se situe qu en sixi me position des r sultats de l enqu te de la Commission Europ enne pour la Belgique Ces r sultats confortent l UWE dans l id e que la r duction du ch mage wallon passera par la r duction des charges sur le travail et l am lioration de la qualit de la formation La r duction du ch mage wallon passera par la r duction des charges sur le trava
50. gique dans la cat gorie Spin off apr s seulement quelques ann es d existence Dynamisme Wallon Novembre 2005 Le Prix de l innovation technolo gique voir page 14 vient r compenser les diff rents produits base de biopo lym res v g taux d origine fongique d velopp s par la soci t li geoise C est en d cembre 2000 que na t KitoZyme La jeune PME doit son exis tence l association de la connais sance et d une farouche volont d en treprendre Depuis pas mal de temps je voulais produire cr er explique Hugues Bultot Administrateur d l gu de KitoZyme Lors de leurs parcours universitaires les tudiants re oivent et emmagasinent un large savoir On leur donne des formations pour qu ils deviennent cr atifs pour qu ils puis sent mettre au point leur soci t Est ce que ce savoir est vraiment utilis Dans mon cas je voulais que cela le soit je voulais absolument me servir de tout ce bagage pour produire quelque chose De son c t le groupe de recherche de l institut de botanique de l Universit de Li ge disposant de connaissances exploitables il ne res tait plus qu trouver des partenaires financiers et se lancer En 2003 KitoZyme installe Herstal sa pre mi re unit de production Par Bernard WALSCHAERTS Les collaborateurs employ s par KitoZyme ne sont pas motives uniquement par l argent Ils sont fiers de mettre au point un produit leur produit I
51. hay Le DD c est une reflexion solidaire Dynamisme Wallon Novembre 2005 Propos recueillis par Vinciane PINTE Dynamisme Wallon a recueilli le t moignage de Jacques Crahay Administrateur d l gu de Cosucra Groupe Warcoing et membre actif du groupe de travail D veloppement Durable DD de l UWE Cosucra Groupe Warcoing est actif dans la transforma tion de la chicor e et du pois prot agineux en ingr dients ali mentaires Pr sent sur trois sites de production dont deux en Wallonie Cosucra Groupe Warcoing emploie 250 per sonnes et r alise un chiffre d affaires de 85 millions d euros dont 95 l exportation Jacques Crahay son Adminis trateur d l gu nous livre sa vision de chef d entreprise impliqu dans le d veloppement durable Pour vous quelle est la d finition du d veloppement durable Jacques Crahay s agit d un concept tendu Au niveau de l entreprise il s agit d int grer des l ments a priori non co nomiques des consid rations morales thiques dans le rai sonnement de l entreprise Le d veloppement durable est une vision des choses sur le long terme C est une r flexion solidaire Concr tement que fait votre entreprise en faveur du d veloppement durable La particularit du d veloppement durable c est d abord l in teraction avec tous les intervenants de l entreprise au sens large stakeholders En ce qui concerne Cosucra Groupe Warcoing nous allons
52. il et l am lioration de la qualit de la formation Co ts formation trop lev s Proc dures Autres l gales etc trop compliqu es Conclusions Les entreprises unipersonnelles sont un vivier d emplois potentiels impor tant Or il ressort de l enqu te euro peenne que pour ce type d entre prises les charges sur le travail constituent un obstacle pour embau cher presque aussi Important que celul de la demande La probl matique du co t du travail ne concerne donc pas que les entreprises expos es la concurrence internationale Elle concerne aussi les toutes petites entreprises Cela t moigne de l insuffi sance des mesures actuelles visant r duire les charges sur le travail et plaide pour une r duction plus importante des charges En outre pour les entreprises wallonnes la diffi cult de trouver une main d uvre for m e semble plus importante que dans le reste de l Europe Le 19 octobre dans le cadre du Forum Initiatives l hebdomadaire Trends Tendances a remis la soci t Kenomar la Gazelle de Super Ambassadeur pour l ensemble de la Wallonie dans la cate gorie Petites entreprises Cr e en 1998 et install e depuis 2002 au c ur du Parc Industriel des Hauts Sarts Li ge Kenomar est active dans un cr neau tr s sp cialis la commercialisation d ac cessoires cosm tiques et de mode dans la grande distribution Leader belge dans
53. iologistes la soci t Coris BioConcept Parc Cr alys a pour objet la fourniture d un service global dans le domaine du diagnostic in vitro Avec un per sonnel de 15 employ s elle d ve loppe produit et commercialise des kits de d tection des principaux virus et parasites responsables des troubles digestifs et respiratoires Son savoir faire la positionne parmi les soci t s wallonnes de pointe dans le secteur du diagnostic in vitro Quant sa direction elle d sire optimiser simplifier et infor matiser son syst me qualit avec l aide de Wallonie Excellence Dans une seconde phase elle envisage d obtenir sa certification environne mentale afin de pr parer l avenir Elle a t s duite par Wallonie Excellence pour plusieurs raisons le potentiel de centralisation et d or ganisation de l outil informatique la possibilit d int grer qualit s curit et environnement le support qui laisse une grande place aux changes d exp riences et enfin l espoir de cr er une v ritable coh rence entre les diff rents p les de l entreprise Cellule de coordination du Fil de Veco gestion Marcel Gehlen responsable Catherine Dubois et Florence Gillmann e T l 010 47 19 60 e E mail ecogestion uwe be e www ecogestion be e Plate forme Wallonie Excellence www wallonie excellence be 38 RUBRIQUE ENVIRONNEMENT L exemple d Eryplast Quand les dechets deviennent des matieres durables Au c
54. ipersonnelles per sonne physique ou morale assujettie a la TVA et qui n emploie aucun salari occupent 13 de l emploi en Wallonie contre 12 en Belgique et sont au nombre 146 700 Si demain la moiti de ces entreprises d cidaient d enga ger une personne cela cr erait 250 000 emplois en Belgique et 73 000 en Wallonie Cela permettrait donc de r duire le ch mage de moiti dans le Royaume et de 32 en Wallonie Ces derniers temps plusieurs pays europ ens ont pris conscience du potentiel de cr ation d emplois dans le segment des toutes petites entre prises C est par exemple le public cible du plan d urgence adopt par le Gouvernement fran ais en ao t 2005 La Commission Europ enne a r alis une tude comparative visant com prendre quels sont les freins d termi nants qui emp chent ces entreprises d engager une personne suppl men taire Cette tude est fond e sur les constats d experts et sur une enqu te r alis e aupr s des entreprises uniper sonnelles des 19 tats membres parti cipant au travail Cette enqu te a notamment consist demander aux entreprises unipersonnelles de s lec tionner parmi neuf suggestions les deux raisons principales qui les emp chent d embaucher une personne sup plementaire La question a t libell e de la mani re suivante Parmi la liste suivante quelles sont les deux princi pales raisons qui pourraient expliquer le mieux pourquoi vous n emplo
55. ir pour mieux recruter Int rim vers une redefinition des r les NN FOCUS 29 Developpement durable D veloppement durable gouvernance gestion thique des affaires responsabilit soci tale restent des termes abstraits et souvent galvaud s Dynamisme wallon l ve un coin du voile sur une notion qui concerne tous les acteurs de la societe J Crahay gt gt 34 Wu LES RUBRIQUES 37 Ecogestion il OSE la solution Wallonie Excellence 38 Environnement Quand les d chets deviennent des mati res durables 39 Qualit il La s rie ISO 9000 quelle valeur ajout e d 40 Recherche LUWE toffe ses services DEMAIN 42 Communication Il Lire surfer communiquer 43 Gestion Il Faire sa place sur un march concurrentiel 44 Humour Il Manager mode d emploi M Del Bianco amp S Tielman gt gt 43 30 verser sur le compte de la Maison des Entreprises Wallonnes 360 1149184 31 Toute reproduction m me partielle des textes et des documents de ce num ro est soumise l approbation pr alable de la r daction distribution dirig e Membre de l Union des 2004 4 VINGT MILLE ENTREPRENEURS TOP MONDIAL KitoZyme Prix de l innovation technologique La valeur n attend pas le nombre des ann es Ce n est en tout cas pas Hugues Bultot administrateur d l gu de KitoZyme qui dira le contraire Cette PME li geoise a en effet re u le Prix de l innovation technolo
56. l conseil en mati re de gestion Etre juste et biens ant avant tout Ensuite s lectionner avec grand soin et prendre tout le temps n cessaire ses bras droits Nos managers sont des l ments cl s dans notre r seau D l guer le quotidien mais res ter ma tre de la d cision relative ment sa sensibilit Se faire conseiller non seulement pour les questions de formes comptabilit fis calit mais aussi sur les l ments de fond cr ativit tendances Sur ce dernier point une r gle de base le pr ventif co te bien moins cher que le curatif Notre expert comptable nous confirme volontiers la n cessit de ne pas rester seul dans sa direction Vous sillonnez la Wallonie et l Europe Quel est votre avis sur notre R gion L humilit et la prise de conscience permettent de relever tous les d fis C est le cas de la R gion Wallonne Des foyers technologies savoir faire tr s prometteurs apparaissent et laissent tous les espoirs de redres sement Au niveau de notre secteur la R gion flamande apparaissait comme la plus dynamique actuellement la preuve est apport e que des r seaux tel le n tre peuvent galement se d velopper tr s sainement au Sud de Pays Nous y croyons beaucoup Quelques conseils donneriez vous Une des cl s de r ussite est de croi ser les forces de l entreprise avec des atouts du march vis Ne pas faire quelque chos
57. la gestion mixte priv e publique du march du travail en 2004 les r les tendent se redistri Duer Le Forem devient un regisseur ensemblier visant offrir une vue globale du march de l emploi et conseiller les instances politiques Sa mission devrait tre de moins en moins li e au placement direct des individus plus du ressort du priv qui se trouve la source des demandes des entreprises et dispose de moyens plus importants dans l valuation des candidats Un autre r le du FOREM tient la gestion de la population au ch mage Sur Philippe Lacroix L offre des soci t s d int rim a volu la plupart des acteurs offrent galement des services de recrutement et de s lection d outsourcing d outplacement etc 240 000 ch meurs 60 000 a 80 000 sont directement employables Au public de s occuper des autres popula tions sans travail en les abordant selon les divers sous publics et de former ceux qui en ont besoin pour les faire revenir sur le march du travail Quelle concr tisation peut on d j faire valoir Les ch ques services ont par exemple permis de recr er tout un march du travail Ils repr sentent d sormais 3 du march de l int rim soit plus que la construction ouverte bien avant Il reste norm ment de voies explo rer de ce c t pour autant que l on dispose d une meilleure image de l offre et de la demande tant du c t des entreprises que des particuliers De son
58. lai de 45 jours Si elle refuse de valider un rapport la prochaine tranche du subside n est pas vers e Il est donc important que tout partici pant a un projet anticipe le reporting pour viter d avoir r colter les infor mations au tout dernier moment et pour ne pas entraver la bonne pour Par St phane WAHA suite du projet Le NCP se tient bien entendu votre disposition afin de vous accompagner dans ces d marches et vous aider les pr pa rer au mieux Vous trouverez ci dessous un tableau reprenant les principaux l ments prendre en compte NCP Wallonie e Tel 010 48 50 39 Fax 010 45 33 43 e E mail ncp wallonie uwe be e www ncpwallonie be 1 Rapports la fin de chaque p riode de reporting Type de rapport Parqui Types Format Soumission Approbation de projets Periodic Activity Report Tous Tous Papier 45 Normally 45 e Activit s de la p riode lectronique 90 tacit e Executive summary publiable approval e PUDK update Periodic Management Report Tous Tous Papier 45 Normally 45 e Justification des co ts lectronique en fonction des activit s e Financial Statement Form C e Audit certificate si n cessaire Periodic report on the Coordi Tous Papier 45 N A distribution of the nateur lectronique Community s contribution Draft planning for next Tous IP NoE Papier 45 Normally 45 18 months lectronique Supplementary reports Tous Tous Papier 45 Norma
59. lers l innovation Elle est ga lement charg e de la mise en place des outils utiles au fonctionnement du r seau de l organisation et de la diffu sion de l information de la mise niveau et de l encadrement de ces op rateurs l impl mentation de ces diff rentes mesures va permettre d accro tre les performances du syst me actuel d in termedlat on au niveau du conseil technologique pour les PME Un autre rapport qui valuait les aides R amp D r gionales aux entre prises mettait le doigt sur le carac t re peu incitatif des aides aux PME Or rien ne semble pr vu dans le plan Marshall pour rem dier ce probl me Votre r action Je suis parfaitement consciente des caract ristiques du paysage industriel wallon o la PME occupe une place importante C est d ailleurs sur les PME qu il faut en grande partie comp ter pour renforcer notre conomie Et c est aussi l opinion de la Commission europ enne qui lors de la r union des ministres de la recherche en juillet dernier Cardiff a organis un atelier sur la mani re d aider les PME a parti ciper l effort de recherche europ en L Agence de stimulation technolo gique qui est une des premi res mesures du Plan Marshall mise en application est un premier moyen d aider les PME concr tement Les conseillers technologiques qui profiteront de l encadrement de cette agence ont notamment pour mission de promouvoir les aides R amp D aupr s d
60. lly 45 If required in the contract lectronique Interim activity reports Tous Tous Papier 45 Normally 45 If required in Annex l lectronique Deliverables Tous Tous Forme ad quate 45 calendrier Normally with pr vu dans project periodic annexe review 2 A la fin du projet Publishable final activity Tous Tous Papier 45 90 sur Normally 45 report lectronique demande e Activit s objectifs r sultats conclusions motiv e e Executive summary publiable e PUDK r sultats publiables Final plan for using and Tous Tous Papier 45 90 sur Normally 45 disseminating the knowledge lectronique demande motiv e Final management report Tous Tous Papier 45 90 sur Normally 45 Consolidation des co ts de tous les lectronique demande partenaires sur la dur e du projet Final report on the distribution Coordi Tous Papier 60 apr s r cep N A of the Community s contribution nateur lectronique Don du dernier paiement par le coordinateur Supplementary final reports Tous Tous Papier 45 Normally 45 si pr vu dans le contrat lectronique 3 Questionnaires a remplir en fin de premiere p riode de reporting et en fin de projet Science and society reporting Coordi Tous On line 45 Normally 45 questionnaire nateur Reporting on the implementa Tous IP NoE On line 45 Normally 45 tion of the gender action plan Reporting questionnaire Tous Tous sauf On line 45 Normally 45 on worforce statistics IP NoE Socio econ
61. ls ont envie que cela marche et s investissent pleinement dans la r ussite du projet Des produits la longue gestation Jusqu present 4 5 millions d euros ont t consacr s la mise au point de la PME li geoise Si pour l heure le chiffre d affaires est proche du demi million d euros Hugues Bultot est cer tain que d ici deux ans il devrait consi d rablement grandir Nous sommes dans une phase d investissement Certains de nos produits sont sur le march D autres ne le seront pas tout de suite Nous nous sommes engag s dans des processus long terme Nous le savions Nous suivons nos plans Un exemple nous mettons au point un produit qui permet de coller de clarifier le vin Ce produit ne sera pas sur le march avant 2007 alors que nous avons commenc les tudes en 2002 affirme Hugues Bultot Il en va de m me pour tout ce qui touche les produits m dicaux les cos m tiques Bref tout ce que va cr er KitoZyme demande une longue gesta tion Pour Hugues Bultot cette constante a deux cons quences importantes D une part les parte naires financiers s investissent long terme il faut donc que le concept soit porteur ait un r el potentiel pour qu ils d cident de se lancer Le projet doit tre tres bon sinon il est impossible de convaincre qui que ce soit d inves tir dans l aventure D autre part l avance que l on peut prendre est dif ficilement rattrapable La concurrence r fl
62. lym res v g taux innovants et res pectueux de l environnement uniques au monde voir notre article Top mondial en page 4 La cat gorie jeune entre prise innovante a vu merger Delta Services Industriels Orcq pour le d veloppement de techniques de radio tra age appliqu es l optimisation des moteurs combustion interne des lubri fiants et de leurs additifs Enfin Free Field Technologies Louvain la Neuve a t prim e dans la cat gorie entreprise innovante pour le d veloppement d une famille de logiciels de conception acous tique assist e par ordinateur permettant de simuler les m canismes de g n ra tion et de propagation du bruit et des vibrations Ces trois jeunes soci t s se sont vues remettre leur prix 2 500 euros chacune par Marie Dominique Simonet Ministre wallonne de la Recherche des Technologies nouvelles et des Relations ext rieures lors d une c r monie publique qui a rassembl plus de 250 d cideurs economiques et politiques P Sehyns SOFAM avec l entreprise 150 millions d eu ros Ces politiques constituent en terme de moyens suppl mentaires une action sensible en faveur des entreprises dont les PME Et je rap pelle que les PME peuvent profiter des aides la recherche et l innova tion des taux tr s int ressants 70 80 le plus souvent II n est donc pas exact de dire que rien n a t p
63. me s l industrie manufacturi re en walioana oth GT kpa pren A kun G la Ges rr umurree hein da commerce et de la distribution en Mipan wall es dans l cosrel me Methodologie Dans le champ de la gestion des risques environnementaux les sociologues de Survey amp Action et les experts du Forem remarquent parmi les employeurs un grand souci de r duire leur consommation d nergie et donc la facture y aff rent En l absence de moyens concrets pour passer l acte cette intention reste souvent un v u pieux En signant le Protocole de Kyoto le Gouvernement wallon s est engag r duire la consommation d nergie mais actuellement la tendance va plut t dans le sens d un accroissement Le besoin latent en sp cialistes charg s de r aliser des bilans nerg tiques globaux ou partiels en entreprise avec propositions concr tes d quipements et gestion financi re a t mis en lumi re L tude recommande de monter des formations pointues en la mati re la demande de tels profils tant attendue croissante Bernard Van Asbrouck L objectif est d envisager la probl matique des comp tences dans une gestion pr visionnelle permettant de s curiser tant l employeur que les travailleurs EN ARR RE ee ASS SAAN a RESSOURCES HUMAINES 23 24 DOSSIER exemple de industrie alimentaire
64. n 2000 cet ordre tait invers Des indications laissent d j penser que chez les travailleurs c est l volution contraire qui s est produite un d calage que devrait clairer notre enqu te 2006 RESSOURCES HUMAINES 27 D crypter le march au profit de tous Depuis 2000 Randstad publie chaque ann e une enqu te dont les ditions 2000 et 2005 ont analys la percep tion par les employeurs de l avenir du march du travail Les crus 2001 et 2006 actuellement en pr paration sont l occasion de v rifier si les tendances d gag es concordent avec la perception des travailleurs Entre temps le leader belge de l int rim s est aussi pench sur la vision des jeunes des actifs et non actifs en mati re d emploi sur les attentes des travailleurs envers la GRH et sur leur participation la vie de l entreprise L tendue du spectre r pond notamment l volution de la soci t d int rim en prestataire de services en ressources humaines pour les entreprises Ces tudes offrent aux employeurs une vue de ce qui motive les travailleurs et candidats elles leur permettent d identifier d ventuelles faiblesses dans leurs strat gies d attractivit afin de les corriger voire de se comparer aux autres employeurs explique Didier de Laminne Press amp Public Relations Manager Randstad se positionne de la sorte en entreprise de la connaissance qui tudie son march pour ses besoins propres et ceux de ses clients et
65. omic reporting Tous Tous On line 45 Normally 45 questionnaire 1 dans les XX jours calendrier apr s la fin de la p riode reporting 2 Nombre de jours apr s soumission 42 DEMAIN COMMUNICATION Lire surfer communiquer Alfred de Musset Dynamisme Wallon Novembre 2005 Point conjoncturel Le 7e Point conjoncturel de l UWE est paru le 8 novembre Ce document synth tise les derni res volutions conjoncturelles de l conomie wallonne replac es dans le contexte conomique international et tay es par une enqu te men e aupr s des entreprises wallonnes Les r sultats de celle ci voir en pages 9 11 et l volution des indicateurs montrent que le ralentissement conomique a t plus marqu que pr vu durant la premi re partie de 2005 limitant la croissance wallonne a 1 6 pour l ann e En 2006 la croissance devrait s accelerer quelque peu pour atteindre 2 2 gr ce une reprise des exportations La demande domestique resterait quant elle h sitante Ce taux de croissance d un peu plus de 2 sera insuffisant pour conduire une r duction notable du ch mage qui en 2005 a atteint des records historiques en Wallonie La mise en uvre du Plan Marshall qui a t tr s bien accueilli par les entreprises est d s lors imp rative tout comme l est le maintien du plan f d ral interg n rationnel r cemment adopt Mais il faut avoir conscience que d autres mesures du m me type
66. on r es d imp t sous certaines conditions Parmi celles ci mentionnons sp cifiquement que la valeur de r alisation du v hicule le prix de vente ou encore l indemnit en cas de sinistre doit tre remployee sous la forme de v hicules d en treprise qui remplissent des normes cologiques d termi n es par l AR CIR Ces normes cologiques sont d finies en fonction du type de v hicule concern et consisteront notam ment et alternativement justifier pour le nouveau v hicule d un niveau d mission polluante maximale d une composi tion minimale de mat riaux recyclables d une peinture de carrosserie neutre pour l environnement etc nouveau le contribuable est tenu de joindre sa d clara tion fiscale un relev des v hicules r alis s et des v hi cules tenant lieu de remploi tandis que les normes colo giques doivent tre justifi es par des pi ces probantes d livr es par le constructeur l importateur ou l installateur La cotisation CO sur les voitures de soci t La loi programme du 27 d cembre 2004 a instaur une coti sation de solidarit due par l employeur qui met a la disposi tion de son travailleur de mani re directe ou indirecte un v hicule destin un usage autre que strictement profes sionnel Sans d tailler ici l ensemble des caract ristiques de cette cotisation soulignons que la hauteur de cette cotisation est fonction du taux d mission polluante en CO du v hicul
67. onjoncturel de novembre 2005 voir page 42 l Union Wallonne des Entreprises a r alis son enqu te semestrielle aupr s des entrepreneurs wallons Il ressort de cette enqu te que l activit conomique est rest e faible au cours des six derniers mois De m me les perspectives pour les prochains mois restent mitig es Mais l ment positif l enqu te sugg re un accueil tr s favorable du plan Marshall par les entrepreneurs Dynamisme Wallon Novembre 2005 222 entreprises de toute taille et de tout secteur ont r pondu l enqu te conjoncturelle de UWE qui a t cl tu ree le 17 octobre l ressort des r ponses des entreprises wallonnes que l activit conomique ne s est pas am lior e voire s est l g rement d t rior e au cours des 6 derniers mois Les indicateurs conjoncturels notam ment ceux de la Banque Nationale sugg rent la possibilit d une reprise de l activit dans les derniers mois de 2005 Les r sultats de l enqu te de l UWE sur les perspectives tant g n rales que pour les exportations sur les 6 prochains moins indiquent cepen dant que si reprise il y a elle sera Par C cile CODDENS timide l ne faut donc pas s attendre a une acc l ration marqu e de l activit dans un proche avenir C est donc sans surprise que les entreprises wal lonnes ne projettent pas une forte augmentation de leur investissement ni de leur embauche Un l ment positif important qui res sort
68. our une nouvelle p riode de trois ans Jean Francois Rossignol estime que valeur ajout e d une d marche qualit peut m me aller jusqu pouvoir tre chiffr e directement Il en donne pour preuve trois retom bees notoires pour son entreprise La d marche Qualit entam e d s 1998 dans le cadre d une grappe CEQUAL a result d un constat de manque de Mouvement Wallon asbl performance dans certains de nos pro jets Aujourd hui cet effort de 3 ann es a permis de mettre en place d excellents outils de contr le des prestations de tra abilit de suivi et de gestion de projets tant techniques que commerciaux Avec comme r sul tats de disposer d une tr s bonne information pour proc der l tablis sement des offres de prix pour nos futurs projets pour planifier nos tra vaux et nos actions commerciales et pour ajuster r guli rement en cours de projet les m thodologies ou les processus de production en vue de respecter les d lais et les budgets pr vus Cette d marche vers une meilleure organisation a renforc notre cr dibilit et notre r putation envers nos clients et fournisseurs ceci est particuli rement important pour notre entreprise qui est actuellement en cours d introduction en bourse En effet une transparence totale est indispensable pour entamer ce proces sus On peut galement constater que les grands concepts de qualit se retrouvent d crits dans les
69. p des valeurs de la qu te du sens la sphere des responsabilit s ne s agit plus seulement d changer entre experts sur comment s curiser la fabrica tion d un boulon pour l industrie a ronautique Le th me lui m me des travaux impose une concertation avec le public concern C est pourquoi ISO s est lanc volontairement dans un processus tr s participatif et repr sentatif Une large part des discussions Bangkok a servi asseoir ce fonctionnement Quelques r gles en d coulent une organisation bic phale pour chaque groupe de travail faisant collaborer un expert d un pays d velopp avec un expert d un pays en voie de d veloppement Autre prin cipe les d l gations nationales sont encouragees identifier des experts de diff rentes cat gories consommateurs industries pouvoirs publics pas Tous Les acteurs de la soci t sont concern s seulement les entreprises DEVELOPPEMENT DURABLE 31 Que doit on retenir du travail r alis Bangkok Marie d Huart Au del du peaufinage des r gles de fonc tionnement pour le r le et le travail des experts pr sents Bangkok accouche principalement d une table des mati res concert e des futures lignes directrices Le travail sur le contenu est r partit entre trois sous groupes Le premier est en charge de d finir le domaine d application le contexte de la Responsabilit soci tale et les principes Le second doit identifier les lignes dire
70. proche qualit savoir sensibilisation et communica tion d cision prise dans un environne ment conomique difficile adjonction d un responsable qualit implication de tout le personnel obtention du certificat ISO 9001 et volont de rester dans cette optique Revatech la volont de faire mieux tous les jours Cette soci t li geoise est active dans le domaine du traitement recyclage valorisation et limination de d chets industriels non dangereux raison de 140 000 t an Revatech a t certifi e ISO 9001 et 14001 en 2004 Comme l explique Michel Bauduin son Directeur g n ral Nous avons mis en place une d marche Qualit afin d am liorer l organisation et les performances de l entreprise C tait en 1999 L entreprise n avait cepen dant pas les moyens de ses ambitions et les d marches voluaient lentement avec difficult En 2003 suite aux conseils de notre Conseiller en Pr vention la d cision a t prise de mettre en place une cellule EQS Environnement Qualit et S curit en lui donnant les moyens engage ment d une employ e administrative mi temps tout en nous fixant pour objectif d obtenir la double certification ISO 9001 et 14007 Douze mois plus tard le r ve se r a lise Utopie souhait de faire comme tout le monde Non 1 Uniquement la volont de faire mieux mieux tous les jours au d part d une d marche volon Article propos par le MVVQ et r dig
71. r vu dans le Plan Marshall dans ce domaine Qu est ce qui a motiv la d cision de fusionner la DGTRE avec admi nistration de l conomie La fusion des deux directions g n rales r sulte d un choix du Gouvernement wallon inscrit dans le Plan Marshall Ce choix est justifi comme suit En mati re de dossiers recherche et inno vation la Direction g n rale de l Economie et de l Emploi et la Direction g n rale de la Recherche sont amen es traiter des dossiers qui comportent souvent des volets recherche et des volets conomie Afin de d cloisonner les approches administratives d augmenter l effi cience du traitement des dossiers notamment dans l attribution des fonds de la R gion d dicac s la recherche et l innovation mais galement pour disposer d outils fiables permettant de mieux valuer l impact des aides accor d es il sera proc d une fusion des deux directions g n rales La fusion doit permettre d abord d augmenter l impact global des aides sur l activit conomique wallonne II s agit par exemple d assurer la meilleure coh rence possible entre les diff rents types d aide et de proc der une valuation syst matique des aides afin de revoir en cons quence les strat gies poursuivies La fusion doit ensuite am liorer l efficacit de d autres R gions et Etats Dans ces accords de coop ration des volets conomiques technologiques et R amp D sont en g n r
72. r fournir des r ponses sur mesure Le r seau organise r guli rement des rencontres et des groupes de tra vail au sein desquels certains th mes sp cifiques sont exa min s plus en profondeur L organisation a opt pour une approche proactive en prenant syst matiquement l initiative en concluant des partenariats en Belgique et a l tranger en posant les jalons d un change ment durable Business amp Society est membre de CSR Europe un r seau europ en qui rassemble plus de 60 entreprises multinatio nales et 18 partenaires CSR Europe joue un r le central dans la promotion et l int gration de la Responsabilit Soci tale de l entreprise en Europe notamment en tant que cheville ouvri re de la European Business Campaign n e de l ap pel lanc par l Union europ enne lors du Sommet de Lisbonne en faveur d un plus grand engagement social des dirigeants d entreprises L UWE et le D veloppement Durable Action no fashion Lors de sa conf rence de presse fin octobre sur le th me de la responsabilit soci tale des entreprises Business amp Society a mis clairement l accent sur la RSE en actions et en r alisations concr tes aupr s des 250 participants essentiel lement des repr sentants d entreprise Cette th matique tait encore renforc e par la remise du prix du Meilleur Rapport de D veloppement Durable par l Institut des R viseurs d Entreprises IRE au cours de la conf rence Cette ann e c e
73. recomman dations du code Buysse pour la bonne gouvernance des PME non cot es En tant que fournisseurs de donn es pour nos clients Sodiplan a d velopp dans le cadre de sa d marche qualit une m thodologie de contr le des donnes livr es qui est appliqu e syst matiquement en interne Celle ci a t appr ci e par nos clients et a d j fait l objet de commande de prestations qui ont donc permis notre soci t de rentabiliser directement son investis sement effort Qualit 1 Code de corporate governance pour les entreprises non cot es en Bourse Mouvement Wallon pour la Qualite Con u sous la forme d un r seau le MWQ d veloppe stimule et encourage la recherche de l excellence pour tous en R gion wallonne e T l 081 63 49 09 e E mail info mwg be e VVVVVV mvvq be 40 RUBRIQUE RECHERCHE Projets de recherche europ ens Obligations contractuelles Dans un projet de recherche du 6 Programme Cadre le consortium est amen remettre un rapport p riodique la Commission europ enne il s agit du reporting administratif et financier Les entreprises concern es doivent s y pr parer au plus t t Le NCP Wallonie a r cemment organis deux ateliers sp cifiques pour aider celles ci dans leurs d marches Dynamisme wallon vous en livre un bref r sum Dynamisme Wallon Novembre 2005 Lorsqu un projet de recherche et d veloppement est financ par la Commission europ
74. reprises Le r seau belge Business amp Society Dynamisme Wallon Novembre 2005 Par Vinciane PINTE Business amp Society Belgium est un r seau belge d entreprises qui assure la promotion et l int gration de la responsabilit sociale de l entreprise dans ses activit s en vue de contribuer au d veloppement durable et au progr s humain LUWE en est membre Pr sentation Business amp Society Belgium est un r seau et une source d inspiration pour les entreprises et les associations d entre prises qui veulent int grer la Responsabilit Soci tale des Entreprises RSE dans leur gestion et leurs activit s Ce r seau compte actuellement une cinquantaine de soci t s dont UWE L organisation entend encourager et soutenir ce processus d int gration et de changement Elle regroupe des chefs d entreprise et des managers qui chacun dans leur domaine s efforcent de mettre en pratique la notion d entreprise res ponsable Le r seau donne acc s ses membres aux bonnes pratiques des diff rentes entreprises aux exp riences concr tes les plus diverses Ce faisant il se cr e aussi de nouvelles opportunit s de collaboration et de nouveaux par tenariats concrets Business amp Society Belgium fournit des informations cibl es et actualis es qu il s agisse de th orie ou de pratique sur des initiatives comparables prises en Belgique et l tranger et met les entreprises en contact avec des sp cialistes m me de leu
75. rises et de f d rations sectorielles a pour mission de proc der de fa on concert e et consensuelle la mise en pratique de ce concept pour VVE et ses membres Ce groupe de travail se r unit p riodiquement pour faire voluer ses prises de position avec l intervention d experts issus de diff rents horizons acad miques ONG politiciens soci t civile L UVVE suit galement de pr s les positionnements politiques et r glementaires en la mati re Oualit S curit Environnement OSE La solution Wallonie Excellence Quatre ans apr s sa cr ation la Cellule du Fil de l co gestion de VUVVE prend un nouveau tournant Elle volue aujourd hui vers la gestion des Syst mes de Management Qualit S curit Environnement QSE travers le projet Wallonie Excellence Objectif Cr er un v ritable p le d excellence wallon constitu d entreprises capables de r pondre aux exigences QSE des march s int rieur europ en et mondial Dynamisme Wallon Novembre 2005 Marcel Gehlen Nous avons rassembl un premier CONVOI d entreprises qui se lancent aujourd hui dans la d marche de Wallonie Excellence Wallonie Excellence est un projet de club d entreprises qui a pour but de faciliter la mise en place ou la gestion des Syst mes de Management Qualit S curit et ou Environnement QSE au sein des entreprises wal lonnes S inscrivant clairement dans l actualit
76. rniers mois En outre la part des entre prises qui ont constat une hausse reste largement sup rieure celle qui ont constat une baisse Les efforts consentis par les pouvoirs publics pour diminuer les charges administratives n ont donc pas encore t per us par les entreprises 40 30 20 10 0 a diminu est rest stable a augment Au cours des 6 derniers mois la politique gouvernementale wallonne en faveur des entreprises ea La politique gouvernementale vvallonne m nov 05 l gard des entreprises accueil favorable du plan Marshal 60 50 Les entreprises interrog es ont t tr s r ceptives l initiative du Gouvernement wallon de lancer plusieurs politiques en faveur du red ploiement conomique de la Wallonie En effet la part des entreprises qui consid rent que la politique en leur faveur s est am lior e a plus de doubl Elle est pass e de 10 25 40 30 20 10 s est d grad e est rest e s est am lior e Sans avis inchang e PRET Formulaire a d n ppa Abonnez vous GE Lo pr sent formulaire afin de nous permettre de vous Wallon mm E EE ynam sme 0 t awe 5 OO eee PEL ECK ee 17 710646 x Pi 44 27 D Me Oe ee eee ee CP Kn EC WEEN re de Ke qiy KE CR q mv TS EC Wie LAAR FZE ao y a ar S HE a YR IN FONCTION APR RUN Dee
77. roupe d entreprises qui se lancent dans la d marche Venues d horizons diff rents mais unies dans leur volont de mettre en place un syst me de management int gr de la qualit de la s curit et de l environnement des PME wal lonnes dynamiques se sont associ es Wallonie Excellence avec la ferme intention de compl ter la certification de leur savoir faire et de simplifier la gestion de celles ci Advanced Coating Cr e en 1985 et implant e a Sclessin Advanced Coating est une PME sp cialis e dans le traitement des surfaces par projection ther mique de m taux alliages c ra miques ou carbures Compos e de 18 personnes elle traite des pi ces m caniques de toutes dimensions et effectue aussi des rectifications et des quilibrages dynamiques La soci t d veloppe notamment ses activit s de haute technologie dans le domaine de l a ronautique Airbus A380 et A340 Jean Pierre Janssen son Directeur se dit depuis long temps convaincu de la n cessit d une gestion int gr e de l entre prise Je pense avoir trouv en Wallonie Excellence la fois un programme efficace pour faciliter la RUBRIQUE CO GESTION 37 gestion l outil informatique inte gr que je recher chais mais aussi la possibilit d changer nos exp riences avec d autres soci t s qui font une d marche similaire WALECNIE EACELLENCE ee e Coris BioConcept Cr e en 1996 par deux b
78. rsion conomique Ce resserrement fait l objet d une note de politique internationale sur laquelle je consulteral largement notamment traitement des dossiers d aide Par l Union Wallonne des Entreprises exemple en exploitant les synergies les effets d chelles et en concentrant les expertises l s agit encore de facili ter pour les b n ficiaires des aides et tous les acteurs ext rieurs le suivi des dossiers en rendant la structure orga nisationnelle plus claire en optimal l heure ou la recherche passe obliga toirement par les collaborations inter nationales il est essentiel que nos programmes permettent aux cher cheurs d tre pleinement partie prenante aux r seaux scientifiques internationaux LR n ees aa a m m m REKT GEN E Ge eh wt get VINGT MILLE ENTREPRENEURS ACTUEL 15 Entreprises unipersonnelles Un vivier d emplois On compte en Wallonie 146 700 entreprises unipersonnelles qui repr sentent 13 de l emploi Elles sont galement une source importante d emplois potentiels Or il ressort d une r cente enqu te europ enne que dans ce type de structures les charges sur le travail constituent un obstacle pour embaucher presque aussi important que celui du niveau d activit Dynamisme Wallon Novembre 2005 Particuli rement pr sentes dans des secteurs tels que le services aux entreprises l agriculture l artisanat la construction ou le commerce les entreprises un
79. rve si on respecte une s rie de principes car c est un vecteur puissant de changement dans la soci t pour un d veloppement durable C est le postulat d fendu r cemment par le Global Compact des Nations Unies et l institut londonien AccountAbility dans leur rapport Towards responsible lobbying Ce rapport r sulte d une vaste consultation avec des lobbyistes professionnels et plus de 2 200 entreprises gouvernements et ONG dans le monde Quelques points saillants La cl c est de cibler la coh rence entre m tier de l organisation entreprise syndicat ONG et pratiques de lobby Une entreprise responsable est celle dont la politique de lobby est en ligne avec sa mission ses codes de conduite et les valeurs internationales telles que les 10 principes du Global Compact ou les Millenium Goals Et le rapport poursuit en offrant une m thode en 6 points pour valuer et am liorer ses pratiques de lobby La premi re et non des moindres est d tre transparent et coh rent Le d fi est d aller plus loin Par exemple mettre sa position de force profit pour d fendre des causes d passant le simple int r t de son organisation le court terme S en expliquer argumenter ouvertement l s agit de facto d un changement de mentalit d audace l y va de la cr dibilit de ceux qui lobbyent La cr dibilit n est elle pas la condition sine qua de la d marche d un lobbyiste
80. s TV cette exemption fiscale donne un joli coup de pouce la production cin ma tographique belge Pour l exercice d imposition 2004 revenus 2003 on estime en effet qu entre 15 et 20 mil lions d euros ont t r colt s gr ce a cette fili re ce qui a permis de finan cer une dizaine de films parmi lesquels L enfant des fr res Dardenne Le couperet de Costa Gavras ou Ultranova de Bouli Lanners En 2005 on table sur un montant de 25 a 35 millions d euros et une tren taine de films partiellement financ s grace a ce systeme mu ar r En 2005 le Tax Shelter a permis de financer une trentaine de films pour un montant total de 15 20 millions d euros Le profil type des investisseurs les grosses PME Quel est le profil des investisseurs En majorit de grosses PME en vertu du plafond des profits 500 000 euros par an qui int resse moins les grandes entreprises et d une plus grande sou plesse de prise de d cision au sein des PME Pour jouer le r le d interm diaires entre producteurs et investisseurs une dizaine de soci t s belges aux quelles il faut ajouter les deux cha nes de t l vision francophone ont d j vu le jour Plus d infos www wallimage be 20 DOSSIER Le barom tre du recrutement Dynamisme Wallon Novembre 2005 Comment les entreprises recruteront elles demain Dans ce dossier RH Dynamisme wallon esquisse les tendances pour l av
81. s de tel ou tel profil de comp tences Techniquement une telle m thodologie impose de mesu rer un grand nombre de param tres En moyenne deux secteurs par an sont pass s au crible sur base d entre tiens qualitatifs puis quantitatifs aupr s de 1 600 2 500 acteurs de l cosyst me envisag Les r sultats sont alors interpr t s collectivement par les sociologues de Survey amp Action et les experts du Forem pour d boucher sur des sc narios probabilistes Ils aboutissent a des recomman dations relay es aupr s des entreprises par le canal des f d rations Sur base de donn es objectives port es par cette logique prospective on peut ainsi aborder la question des p nu ries tout autrement sous l angle interentreprises explique Bernard Van Asbrouck Charg du projet au Forem L entreprise peut s approprier utiliser ces r sultats pour mieux g rer son recrutement et plus largement ses res sources humaines L objectif est d envisager la probl ma tique des comp tences dans une gestion pr visionnelle permettant de s curiser tant l employeur que les tra vailleurs ss Marene de l Emploi March de l Emploi wa March de l Emploi analyse analyse Lan mikasa gt led pralrques hard de la dedin des ressources humaines Gang du transport de marchandises el logistique en R gion wallnne Les et les pratiques l gard de gestion humaines dans l torypet
82. ser la probl matique nous integrons l analyse au del bien s r des employeurs et des salari s tous les acteurs susceptibles d influer d une mani re ou d une autre sur le d veloppe ment de l activit Exemple le secteur chimique et pharmaceutique Outre les entreprises et leurs travailleurs d autres acteurs inter viennent comme le politique par promotion ou non de ces fili res dans l enseignement sa politique de subsides ou les r glementations ou les laboratoires de R amp D des multi nationales qui pr figurent souvent de l tranger ce que le secteur sera dans dix ans L opinion publique joue gale ment un r le ainsi dans le secteur de la construction les besoins en comp tences ont t tr s affect s par la demande du public pour l co construction L hypoth se C est dans les repr sentations sociales des acteurs que 5 ancrent les projets d investissement dans tel ou tel domaine d embaucher tel ou tel profil de comp tences de construire sa carri re de telle ou telle fa on poursuit le sociologue s agit d une s rie de vagues que les PME notamment ne voient pas arriver et auxquelles il sera moins difficile de s adapter si on peut les anticiper Un tel travail va leur permettre de mettre des mots sur des sensations de confirmer ou d infirmer les choix strat giques pos s Beno t Scheuer C est dans les repr sentations sociales des acteurs que s ancrent les projets d embauche
83. seront encore n cessaires dans le futur pour retrouver une volution conomique et sociale soutenable moyen terme gt gt Le Point Conjoncturel peut tre command ou consult en ligne sur www uwe be rubrique Publications gt Etudes 2 Mettre en pratique le d veloppement durable Il ne s agit pas dans cet ouvrage de convaincre du bien fond des d marches de d veloppement durable engag es par les entreprises mais bien de proposer des pistes d ac tion concr tes Fort de son exp rience actuelle au sein de la Cogema Olivier Dubigeon propose de remettre plat les processus de d veloppement durable au c ur de l entre prise Gouvernance relations avec les actionnaires et avec les ONG indicateurs de performance reporting labels et certifications toutes ces questions sont pass es en revue avec m thode pour donner au manager un v ritable guide op rationnel gt gt Olivier Dubigeon Edition Pearson Education 39 BEPOINT comoncrure er ee Mettre en pratique d veloppement durable 1 i 3 Wallonie space d excellence pour le spatial Le site de Wallonie Espace vient de subir un lifting complet Cr e en 1996 cette association soutenue par l UWE a pour but de promouvoir et valoriser le potentiel spatial wallon tant dans le cadre national qu au niveau international Forte de pres d une trentaine de membres pesant 1 200 emplois directs et g n rant un chiffr
84. son secteur elle approvisionne 1 500 points de vente en Belgique Luxembourg France et aux Pays Bas r alise un chiffre d affaires d environ 7 millions d euros par an et occupe une quarantaine de personnes 1 Agro alimentaire Luxembourg beige Le 21 octobre avait lieu la remise offi 25 cielle des Godefroid qul chaque ann e mettent l honneur des personnalit s de 5055 la province de Luxembourg dans les en Ge domaines du sport de la culture de Tas 105 sociatif et de l conomie Dans cette der 7 ni re categorie c est l usine agro ali mentaire Les Nutons qul a remporte les suffrages Cr e en 1973 Marche en 256 Famenne l entreprise fait partie depuis 265 1996 du groupe Ter Beke apr s un pas 05 sage de 10 ans dans le groupe Unilever 300 personnes travaillent dans l usine de production pates et de pizza ou seront 5 prochainement investis 11 millions d eu ros dans une chaine de production de 53 pates pr parees Pour tre complet les dene autres laur ats des Godefroid 2005 0 7 sont l athl te Elisabeth Davin sport le 00 groupe Cr Tonnerre culture et le club informatique de l Oeuvre Nationale des Aveugles associatif 2000 18 VINGT MILLE ENTREPRENEURS ACTUEL Tax Shelter Quand les entreprises misent sur le cinema Le tax shelter est un incitan
85. st le groupe Dexia qui a rem port cette r compense prestigieuse qui s inscrit dans le cadre du reporting soci tal Le monde politique en dialogue sur la RSE avec le monde des entreprises Le monde politique assistait cette conf rence aux c t s des chefs d entreprise Le dialogue entre les repr sentants de l autorit publique et les entreprises est en effet au c ur de la RSE tant se sont confront s dans ce domaine des conceptions divergentes les uns pr nant des mesures caract re contraignant pour les entreprises celles ci d fen dant plut t leur libre consentement et leur responsabilit sp cifique Le d bat a illustr que c est travers le dialogue et les projets r alis s en commun le Digitaal Kennis centrum en Flandre ou le Road Map europ en entre autres que les points de vue se rejoignent Des ateliers pour echanger de bonnes pratiques et partager l exp rience de terrain Quatre th matiques ont t s lectionn es au cours des ate liers qui ont ponctu la conf rence la RSE et l ducation la RSE et la performance le management de l galit des chances le dialogue entre entreprises et ONG l Plus d infos Pr sentations de la conf rence networking booklet et magazine de Business amp Society Belgium disponibles sur www businessandsociety be Pr sid par Jean Marie Postiaux Solvay le Groupe de Travail D veloppement Durable de UE qui rassemble des responsables d entrep
86. t d sir d exprimer un m contentement diffus On remarque que ces gr ves n avaient rien voir avec la situation particuli re des entreprises ce qui pose bien videmment la question des abus li s l exercice du droit de gr ve Il faudra y revenir Par ailleurs il faut souligner que c est en r gion wallonne celle qui peut le moins se le permettre que ces manifestations ont t les plus nombreuses et que la volont d emp cher de travailler ceux qul le souhaitent a t la plus forte D ores et d j les d g ts sont commis pr judice conomique certainement mais aussi une interrogation de plus en plus fr quente de la part des investisseurs la Wallonie vaut elle la peine de s y installer O est le b n fice de cette concertation sociale tant vant e qui m ne de telles irrationalit s Aujourd hui au si ge de groupes am ricain anglais japonais fran ais ou autres exploitant des filiales en Wallonie ces questions risquent fort de recevoir une r ponse n gative On retrouve le m me tat d esprit faut il le dire chez de nombreux entrepreneurs wallons tent s de chercher ailleurs un climat social plus stable Aucun plan Marshall ou autre ne peut produire d effets sans la conscience partag e par tous de ces r alit s toutes simples et sans un comportement appropri la hauteur de nos difficult s et de nos ambitions Sommaire 11 2005 Dynamisme Wallon le mensuel
87. t fiscal accord aux entreprises qui investissent dans le cin ma belge Elle leur permet d investir jusqu 500 000 euros et de b n ficier d une exoneration fiscale de 150 du montant investi Zoom avant sur cette nouvelle fili re Dynamisme Wallon Novembre 2005 Gr ce au tax shelter les soci t s qui investissent dans la production d une oeuvre audiovisuelle pourront profiter d une exon ration de leurs b n fices concurrence de 150 tout en b n ficiant d autres avantages pourcentage sur les recettes du film par exemple Cet investissement s op re par la conclusion d une convention entre le producteur et la soci t qui investit et doit se r aliser sous la forme d investissement direct et de pr t L investissement sous forme de pr t est limit 40 des sommes investies Ce syst me pr sente un double avan tage d une part la soci t qui inves tit obtient une exon ration d imp t sur ses b n fices et d autre part le pro ducteur re oit un financement ad quat pour la r alisation de son oeuvre L Etat retire galement un avantage important 150 des sommes inves ties autrement que sous forme de pr t Par Vinciane PINTE doivent tre d pens es en Belgique Cela contribuera cr er de l emploi dans les secteurs concern s et engendrera de nouvelles recettes via les cotisations sociales et les imp ts pay s Bref tout le monde y gagne 1 Apr s les aides publiques et les aide
88. tion l inves tissement priv ne devrait pas tre un moteur important de la croissance dans les prochains mois Intentions d embauche durant les 6 prochains mois atonie Les r sultats de l enqu te montrent que les intentions d em bauche des entreprises wallonnes restent tr s prudentes Malgr une l g re am lioration le solde des r ponses favo rables n est effectivement que de 8 La croissance cono mique est insuffisante pour assurer une hausse de l emploi et permettre de r duire le taux de ch mage wallon encore tr s lev diminuer rester stable augmenter Offre de formation au personnel de l entreprise lev e Les intentions d offre de formation des entreprises ont quelque peu diminu N anmoins le solde des r ponses favo rables est tr s lev 31 Cela devrait amener l offre de for mation la hausse et cela malgr une croissance conomique faible VINGT MILLE ENTREPRENEURS ACTUEL 11 Au cours des 6 derniers mois le temps que votre entreprise a consacr aux charges administratives et a ses relations avec les administrations Le temps consacr aux charges administratives et aux relations avec les administrations intensifier les efforts de simplification E mars 05 El nov 05 7076 60 50 La majeure partie des entreprises interrog es 62 consid rent que le poids des charges administratives n a pas chang au cours des six de
89. ude Durieux Pascal Erpicum CogArd le Baron Jacques Delruelle et son pouse Philippe Delaunois Mediabel et Jean Michel Javaux Secr taire f d ral d Ecolo L administrateur D l gu de l UWE Vincent Reuter et la Pr sidente du CDH Jo lle Milquet visiblement s duits par l humour de Franco Dragone VINGT MILLE ENTREPRENEURS ACTUEL 7 Le Pr sident de l UCM Roger Mene a droite num re les pr occupations des classes moyennes a Melchior Wathelet Vice Pr sident du CDH Apart entre Josly Piette CSC et Baudouin Michiels Unibra Didier Donfut Secr taire d Etat aux affaires europ ennes Virginie Nouvelle et Philippe Reynaert Wallimage le fonds d investissement wallon pour l audiovisuel Qu est ce qui peut r unir les secteurs de la logistique de la chimie et du verre C est l UWE que Pierre Portier Renory groupe Portier Guy Marlier Prayon et Etienne Elaerts Durobor semblent avoir trouv la r ponse Marie Dominique Simonet Ministre de la Recherche des Technologies nouvelles et des Relations ext rieures de la R gion wallonne et Jean Jacques Verdickt Magotteaux Pieter Timmermans F d ration des Entreprises de Belgique Luc Willame Glaverbel Jean Mossoux HEC Li ge et Baudouin Velge Fedis la f d ration des entreprises de distribution Enqu te conjoncturelle de UWE Une ann e 2005 plus faible que pr vu VINGT MILLE ENTREPRENEURS ACTUEL 9 En vue du Point C
90. ux de ch mage 2004 10 20 30 40 50 d entreprises qui consid rent les charges sur le travail comme un des deux facteurs principaux qui l emp chent d embaucher du temps all g es pour les entreprises de tr s petite taille et la Belgique est le pays europ en o les entreprises recourent le plus aux secr tariats sociaux pour la gestion administrative de leur personnel Afin d valuer les freins l embauche en Wallonie UWE a pos une ques tion semblable celle tudi e dans cet article dans le cadre de l enqu te pour le Point Conjoncturel Cette question a t formul e de la mani re suivante Dans la liste suivante quelles sont les deux raisons principales pour les quelles vous n embauchez pas 1 Le niveau de votre activit ne le n cessite pas 2 Les difficult s de trouver la per sonne ad quatement qualifi e sont trop lev es 3 Les co ts salariaux globaux sont trop lev s 4 Les proc dures l gales et adminis tratives pour engager employer ou licencier du personnel sont trop compliqu es 5 Les co ts li s la formation sont trop lev s 6 Autre 1 Une tude r alis e par l Observatoire europ en des PME a montr que la Belgique tait un des pays europ en ou les contraintes administratives pesaient le plus lourdement contre une d cision d embauche Graphique 3 Dans la liste suivante quell
91. yez actuellement personne avec un contrat de travail r gulier Par Didier PAQUOT 1 Votre activit n est pas encore assez grande 2 Les co ts additionnels li s l emploi tels que les cotisations la s curit sociale etc sont trop lev s 3 Les salaires que vous auriez payer sont trop lev s 4 Il est difficile de trouver la personne ad quatement qualifi e 5 Vous voulez garder le contr le de tous les aspects de votre entreprise 6 Vos pr visions pour le d veloppe ment futur de votre entreprise ne sont pas suffisamment bonnes 7 Les proc dures l gales et adminis tratives pour engager employer ou licencier du personnel sont trop compliqu es 8 Cela co terait trop cher de former un nouvel employ 9 Autre Globalement une des deux raisons principales avanc es par la plupart des entreprises unipersonnelles est que leur activit ne le n cessite pas Les entreprises consid rent effectivement que la demande est trop faible pour pouvoir occuper une personne suppl mentaire Le second obstacle a l em bauche qui a le plus fr quemment t point par les entreprises est celui des charges pesant sur le travail telles que les charges patronales Tableau 1 R sultats de l enqu te europ enne Demande Charges sur Volont de Salaires trop faible le travail garder le trop lev s trop lev es contr le Suede 69 22 15 17 Estonie 68 18 13 11

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