Home

ACCOMPAGNER LA CRÉATION D`ENTREPRISE

1. F Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises SUr quelques d cli naisons du march de la sant et du bien tre mCoaching physique ou training mental des personnes stress es m Thalassoth rapie thermalisme et thermoludisme ax sur la d ten te en eau chaude mVacances et bien tre h tels offrant des formules de relaxation s jours toniques s jours bien tre et perte de poids stages de randonn e et massages m Compl ments nutritionnels min raux oligo l ments micro nutriments vitamines m Aliments di t tiques produits bio soins capillaires argile m Produits et soins de beaut cos m tique soins capillaires soins esth tiques relooking mForme et sport saunas ham mams centres de baln oth rapie et de remise en forme spas con cept de fitness bien tre mas sage esth tisme ou de thermes ou spas bien tre et esth tisme m Produits de confort de la maison ionisation de l eau luminoth ra pie V tements en fibres naturelles mat riel de musculation D Source APCE Le sport support du catif pour accompagner les plus fragiles une orientation qui se confirme Depuis longtemps la pratique spor tive est reconnue comme un fac teur d int gration de premier ordre La nouveaut c est que projets ducatifs p dagogiques et th ra peutiques s appuient de plus en plus souvent sur des prestataires sp
2. Toute sa vie a t tourn e vers la danse comme moyen et non comme fin un projet que Laurent a toujours accompagn dans l ombre de son pouse avec une ferveur et une per s v rance non d mentie que partagent aujourd hui leurs deux enfants danseurs professionnels En cette fin d ann e 2010 ils ont toujours de nombreux projets pour La Manufac ture le recrutement international des tudiants la diffusion des productions un label national Entour s d une qui pe de jeunes passionn s ils r novent la relation avec le public et l approche des productions Jeune danseur de talent en danse tudes surdou de la communica tion et major de sa promotion Thierry Desserre en est le parfait exemple 23 ans Thierry est le coordinateur de La Manufacture dans une perspective de transmission Il participe avec les fonda teurs la mise en place de conventions avec les lus locaux et l tat pour assu rer le d veloppement de La Manufacture en restant tr s vigilant Ce qu ils craignent le plus c est le grand danger de la conformit Ce qui fait la diff rence c est l Homme quel que soit le secteur Ce sont les gens qui changent le monde On ne se refait pas Trajectoire CULTURE N h sitez pas d fendre des projets hors cadre Portrait de l entreprise Code NAF 94992 Convention collective Animation Date de cr ation 28 novembre 1992 Forme juridique Association loi 19
3. a Des accords pour MIRAVE tutter contre te stress au travail Les organisations patronales et syndicales europ ennes ont sign d s 2004 des accords cadres pour inciter les entreprises prendre des mesures collectives et indivi duelles puis en 2007 sur la ques tion sp cifique du harc lement au travail En France l accord interprofes sionnel sur le stress au travail sign en juin 2008 a t tendu toutes les entreprises par arr t minist riel JO du 6 5 2009 Il sti pule que d s qu un probl me de stress au travail est identifi une action doit tre entreprise pour le pr venir l liminer ou d faut le r duire Pour en savoir Consulter le site du minist re du Travail de l Emploi et de la Sant www travail emploi sante gouv fr et de l Agence nationale pour l am lioration des condi tions de travail ANACT www anact fr Pour r pondre ce ph nom ne de nombreuses entreprises se sont quip es d une salle de fitness avec le concours d entreprises sp cialis es D autres proposent leurs salari s les comp tences d un coach sur leur lieu de travail ou les incitent se retrouver pour les uns sur un terrain de squash et pour les autres sur un terrain de football Dans tous les cas les entreprises petites et grandes ont compris l int r t qu il y avait contribuer la sant de leurs salari s tout en favorisant la convivialit
4. si une association doit avoir un objet d sint ress cela ne lui interdit pas de r aliser des op rations lucratives d gageant des b n fices simplement ces b n fices ne peuvent pas tre partag s entre les membres si l objet est bien d sint ress il faut cr er une association Une soci t a une capacit juridique enti re alors que celle d une associa tion est limit e son objet statutaire et les avantages li s la propri t commer ciale lui sont refus s par la jurisprudence si l objet conduit exercer une acti vit conomique et lucrative pour en partager les b n fices la cr ation d une soci t s im pose personnes mettent en commun d une fa on permanente leurs connaissances ou leur activit dans un but autre que de partager des b n fices Article 1 de la loi du 1 juillet 1901 Les microprojets n cessitant peu d investissements peuvent tre r alis s dans un cadre associa tif sans apport de fonds Les banques ont tendance r ser ver un meilleur accueil cr dits emprunts tr sorerie etc aux projets d entreprises pour des raisons de garantie par exemple Si l activit conomique est appe l e se d velopper et a vocation d gager des b n fices la cr ation d une soci t commerciale per mettra de partager ces profits en cas de dissolution Au contraire la forme associa tive ne permettrait pas d attribuer le
5. Le terme de gymnastique douce rassemble l essentiel de ces prati ques Le ta chi le qi gong et le yoga en font partie La F d ration fran aise de ta chi chuan compte 600 associations qui rassemblent 30 000 pratiquants Ll existe environ 4 000 praticiens de qi gong et le yoga f d re plus d un million d adeptes Les clubs de gymnastique se sont adapt s cette nouvelle tendance Pour en savoir Lire la fiche APCE et la fiche profes sionnelle situ e en derni re partie du guide fiches Sectorielles x Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles gt ON Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Sur le ta chi chuan Le ta chichuan est le plus connu des arts ner g tiques chinois et le plus r pandu d entre eux C est un art fond sur la pratique de mouve ments fluides et souples r alis s dans la lenteur Il existe une cen taine de mouvements parer pres ser pousser tirer o le serpent rampe la grue blanche d ploie ses ailes Ces mouvements sont encha n s harmonieusement dans des s quences plus ou moins lon gues plus ou moins complexes Ondulations rotations tirements tous les mouvements partent du centre si ge de l nergie vitale Le corps est constamment comme tir vers le haut la t te droite la nuque tir e De l ext rieur le ta chi chuan en impose par le calme
6. Trajectoire SPORT illes consacre son autre passion l avia tion P dagogue dans l me Vincent est aujourd hui pilote pro fessionnel et instructeur avion ce qui lui permet de donner des cours de pilotage dans trois coles diff rentes Son r ve s est r alis IL va falloir penser d l guer es coups de pouce m lt Mes parents m ont juste demand de r fl chir Ils ne m ont jamais dit qu ils doutaient et jamais demand d arr ter Ils m ont aid au d part de l entreprise mon beau p re et ma belle m re ont r alis des outils originaux pour monter mon entreprise et nous ont h berg s ma femme et moi en atten dant que a d marre Mon p re m a don n sa remorque m Sa femme l a toujours soutenu et ne s est jamais oppos e ses projets m Son entra neur conseiller technique r gional l a toujours encourag et lui a clair la voie de la cr ation pour lui viter les pi ges m Le directeur de la mission locale de Ch tellerault lui a permis de d crocher un financement qui a couvert pratique ment Le coup de sa pr paration au brevet d tat m La direction d partementale de la Jeu nesse et des Sports l a aid monter le dossier de cr ation de l entreprise m Les pr sidents des clubs de Ch telle rault et Saint Beno t lui ont accord leur confiance d s le d part L essentiel c est de ne pas se fier aux apparences Il faut savoir s
7. Une d marche int res sante mais qui n est pas sans risque Le salari fait partie des effec tifs mais son contrat de travail est maintenu certaines condi tions l employeur n est pas tenu de le r mun rer il n acquiert ni anciennet ni droit des con g s pay s et ne peut exiger de r int grer l entreprise avant le terme de son cong sauf mention expresse dans sa demande Un cong de longue dur e la dur e du cong pour cr ation ou reprise d entreprise est fix e une ann e renouvelable une fois sous certaines conditions Deux options en fin de cong r int grer l entreprise en retrou vant son emploi pr c dent ou similaire et sa r mun ration rompre son contrat de travail sans effectuer de pr avis i Le salari peut aussi ARIE choisir de passer temps partiel S il s agit d une cr ation ou d une reprise d entreprise tous les autres dis positifs d appui au salari cr a teur d entreprise peuvent gale ment tre mobilis s L essentiel de la d marche La demande doit tre adress e l employeur 2 mois au moins avant le d but du cong fiches Pratiques Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles OS I Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises D OO Le report est possible sans justi fication dans la limite de 6 mois compter de la pr sentation de la demande Le refus est possible dans le
8. les exc dents doivent tre destin s au financement de pro jets dans le cadre de l objet non lucratif le prix est soit homologu par les pouvoirs publics soit inf rieur ceux pratiqu s par le secteur marchand soit modul en fonc tion de la situation sociale des b n ficiaires la publicit tant un indice de lucrativit est interdite mis part fiches Projets les campagnes d appel la g n rosit publique et les informations diffus es aux personnes ayant d j b n fici des prestations de l association Le sens de cette notion est tou jours en d bat Pour en conna tre les termes d couvrez le site de la CRESS Chambre r gionale de l conomie sociale et solidaire de Basse Normandie Source http cress bn org Suivre ces d bats peut tre utile pour accompagner ces cr ateurs Les services d int r t g n ral dans l Union europ enne La r alit des services d int r t g n ral dans l Union europ en ne est complexe et en volution constante Elle recouvre un vaste ventail d activit s allant des grandes industries de r seau nergie services postaux transport et t l communications la sant l ducation et aux services sociaux une grande diversit en ce qui concerne l chelon auquel ces services sont fournis du niveau europ en ou m me mondial au niveau purement local des services fournis sur des bases diff r
9. Un march r glement L activit d organisme de formation Les organismes de formation professionnelle continue doivent proposer des prestations ayant pour objet de favoriser l inser tion ou la r insertion profession nelle des travailleurs de permet tre leur maintien dans l emploi de favoriser le d veloppement de leurs comp tences et l acc s aux diff rents niveaux de la qua lification professionnelle et de contribuer au d veloppement conomique et culturel et leur promotion sociale Pour en savoir Sur chacune de ces cat gories d ac tions de formation consulter les arti cles L 6313 2 L 6313 12 du Code du travail a Organisme AK ou centre de formation IL convient de distinguer les orga nismes de formation des cen tres de formation Ces derniers ne peuvent tre cr s que sous forme soit de centres d entreprises par une entreprise dans ses propres tablissements soit de centres collectifs par des organisations professionnelles d employeurs ou de salari s par des collectivit s publiques ou par des associations ayant pour objet la r ducation professionnelle Article D 6352 26 du Code du travail fiches Pratiques Quelles prestations rel vent de la formation professionnelle con tinue Pour relever de la formation pro fessionnelle continue les presta tions doivent s adresser des salari s des personnes vis es
10. m www clownsmatapeste com Trajectoire CULTURE Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles O O 100 SOMMAIRE Conseils et Recommandations Le candidat et son projet de cr ation 102 Les points devidilance RER 105 Des pistes pour progresser 108 Savoirs et R f rences Sport sant et bien tre rcersn eeren reami 111 Tourisme et d veloppement durable 119 Tourisme loisirs sport et handicap 129 March s publics subventions et DSP 136 Outils et Ressources Adapter son projet touristico sportif au d veloppement durable 146 Rendre accessible un spectacle vivant aux publics handicapes 2 2 0 155 D clarer une activit de formation professionnelle 165 R aliser une tude de march 1175 tape 2 Le candidat m rit son projet CONVAINCRE LES PLUS R TICENTS La dispersion des ressources et des comp tences insuffisantes est souvent l origine d un accompagnement insatisfaisant ce stade Les r seaux d accompagnement g n ralistes disposent rarement des ressources et des comp tences sp cifiques pour aider ce candidat cerner les attentes de ses client les Ils lui reprochent souvent de manquer de m thode d voluer sur des march s fant mes ou de trop parler de subvention Le candidat la cr atio
11. mettre en place un outil de suivi et d valuation ccessibilit les normes r glementaires Selon le l gislateur il convient de prendre en compte les acc s et Les abords du site tout autant que les espaces d accueil int rieurs x i D finition de l ta UN d SVOIF blissement recevant du public ERP Le Code de la construction et de l habitation CCH d signe comme tablissement recevant du public tous b timents locaux et encein tes dans lesquels des personnes sont admises soit librement soit moyennant une r tribution ou une participation quelconque ou dans lesquels sont tenues des r unions ouvertes tout venant ou sur invi tation payantes ou non art R 123 2 Les tablissements sont class s en cat gories en r f rence au Code de la construction et de l habitation art R123 19 D La cha ne de d place ment Pour mettre l tablissement en conformit il est important de permettre au visiteur en situation de handicap de rep rer et s orienter acc der et circuler atteindre et utiliser communiquer Pr voir une information visuelle partir du mode de se reposer tre en s curit transport Le plus sortir et vacuer proche Espaces int rieurs COMMENT FAIRE pour am nager un espace int rieur m R server et identifier des emplacements pour les personnes en fauteuil roulant m Choisir des si ges amovibles ou plus
12. psychologiques l appr hension 12 conomiques le co t du s jour et le besoin d accompagnement 22 D fiches Sectorielles es mesures et des acteurs pour les accompagner Les lois et d crets rela tifs l accessibilit aux person nes handicap es Loi n 1975 534 du 30 juin 1975 d orientation en faveur des per sonnes handicap es Loi n 2005 102 du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handi cap es Loin 91 663 du 13 07 91 mesu res destin es favoriser l acces sibilit des locaux d habitation des lieux de travail et des installa tions recevant du public D cret n 78 1167 du 9 12 78 mesures destin es rendre accessibles les installations ouvertes au public existantes et adapter les services de transport public pour faciliter les d place ments D cret n 94 86 du 26 01 94 accessibilit des locaux d habita tion des tablissements et instal lations recevant du public Arr t du 31 05 94 dispositions techniques destin es rendre accessibles aux personnes han dicap es les tablissements rece vant du public et les installations ouvertes au public Des labels Label Tourisme et Handicaps Ce label s adresse toutes les cat gories professionnelles du tourisme qui proposent des pres tations de mus es salles d ex positions e
13. tre sa p rennit en entrant en couveuse les cr ateurs d entreprises int grent le r seau des dispositifs d appui Au terme dela la cr ation ce p riode detest on qui facilite leurs constate un taux relations avec les stable de sorties autres positives avec 80 notamment lors de acteurs des entrepreneurs La cr ation l essai qui cr ent leur Source www entreprise ou retrou uniondescouveuses vent un emploi com La coop rative d activit s Un concept original Les coop ratives d activit s et d emploi CAE constituent un concept original permettant un particulier de tester une production ou un service en toute s curit Les CAE sont g n ralistes elles aident au d veloppement de diverses activit s telles que l art et l artisanat d art Les services aux particuliers Les services aux entreprises le commerce et le n goce L originalit de la CAE est d of frir au porteur de projet un statut d entrepreneur salari qui lui permet de percevoir un salaire et de b n ficier de la couverture sociale d un salari classique Ne sont pas suivies par AI Les CAE les activit s issues du BTP Les activit s du bien tre relaxa tion les activit s r glement es les activit s n cessitant un bail commercial les activit s n cessitant des investissements de d part trop importants Les CAE sont constitu es sous forme de Scop
14. un retour la nature Ainsi il est pri mordial dans l laboration de ses pres tations que le professionnel travaille sur les notions de relation avec la nature d usages et de repr sentations de la nature e cr ateur et Les r gles de La pro fession Les dipl mes reconnus pour exercer contre r mun ration Afin d exercer contre r mun ration tout professionnel doit poss der un dipl me titre ou qualification lui conf rant des pr rogatives 154 qualifications permet tent d encadrer un sport de nature OCET en savoir Les fiches r glementation Pratique et encadrement des sports de nature sur le site www sportsdenature gouv fr La liste des qualifications R glemen tation des dipl mes professionnels sur le site www sports gouv fr rubrique M tiers et formations R glementation Encadrement r glement th me 17 Droit des sports de nature Fr d rique Roux et Katja Sontag dir Territorial 2008 www territorial fr tre professionnel dans le domaine des sports de nature implique d avoir des comp tences tr s vari es Ceci permet de pouvoir exercer tout au long de l ann e quelles que soient les saisons et d tre adaptable la diversit des m tiers du secteur des sports de nature m Parmi les fonctions qu un professionnel des sports de nature est amen exer cer on retrouve bien s r l encadrement mais galement des fonctions rela
15. Certaines couveuses sont sp cialis es dans les m tiers de la mode les activit s culturelles Comit d admission pr sentation d un dossier comportant des objectifs qualitatifs et quantitatifs et signature du CAPE Soit cr ation ou reprise d une entreprise noter les entreprises cr es b n ficient des exon rations fiscales r serv es aux entreprises nouvelles m Soit retour l emploi m Soit int gration dans une coop rative Soci t s de portage salarial Les activit s du conseil principalement Signature d une convention entre la soci t de portage et le b n ficiaire Pas de sortie obligatoire Ce tableau pr sente le fonctionnement de coop ratives adh rentes ou non au r seau Coop rer pour Entreprendre Les couveuses non adh rentes l Union des couveuses peuvent appliquer des r gles diff rentes celles pr sent es dans ce tableau 5 Source APCE Novembre 2009 ce stade mieux vaut laisser le cr ateur entre des mains expertes en vous assurant que comptables experts comptables notaires et conseillers divers auront pris Le temps de mesurer la singularit de son parcours W l L essentiel des conseils formul s dans cette fiche est en ligne sur le site de l APCE fiches Pratiques No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Appels projets march s publics dans tous les cas Le porteur de projet doit remplir
16. Est ce un secteur particuli re ment dynamique en mati re de cr ation d entreprises Un secteur porteur c est aussi un secteur qui se d veloppe sur un march nouveau dont on ne per oit que des tendances qui se d veloppe sur un march connu et bien r f renc fiches Projets qui d colle malgr ou parfois gr ce une situation de crise pour lequel on ne dispose que d informations partielles parce que l appareil statistique national ne permet pas de l appr hender couvert par peu d tudes de march parce qu il est soit trop pointu soit trop restreint soit Les deux la fois Ces caract ristiques valent parti culi rement pour ces secteurs ce qui ne facilite pas Les r seaux et la connaissance la cr ativit du des conditions de candidat fondent rentabilisation d un Souvent la pertinence projet de son projet 2 La question des finalit s On peut sch matiquement dis tinguer deux logiques d une part celle pour qui l objectif de l entreprise est de cr er avant tout de la valeur financi re et d autre part celle qui fait pr valoir la finalit humaine Entre les deux Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles Le mot crise est compos de deux caract res en chinois le premier pour le danger et le second pour l opportunit les partisans de la responsabilit sociale de l entreprise RSE sou tiennent que l
17. FORMALISER L ID E DE CR ATION L ui rappeler l essentiel Faire des compromis entre le souhaitable et le possible Pour r aliser ce compromis il faut mettre en relation l ambition du cr ateur avec le diagnostic des ressources qu il va pouvoir mobiliser et des obstacles qu il va devoir surmonter quels sont les revenus dont il a besoin pour vivre a minima Sur quoi et sur qui va t il pouvoir compter A t il bien identifi les ressources sur les quelles il va pouvoir s appuyer Consacrer du temps son projet en rapport avec l am bition affich e et m rir sa d mar che de cr ation dans le temps Entre un projet d activit compl mentaire saisonni re et un projet d activit principale l ann e le temps consacrer au projet n est pas du m me ordre La visualisa tion des diff rentes tapes ainsi que les points cl s de la cr ation ne devront pas tre n glig s pour autant Le temps est n cessaire la r flexion l va luation des risques encourus et si besoin est l ac quisition des com p tences qui lui font d faut avant de se lancer Pour un candidat la cr ation contre courant d une cul ture entrepreneuriale classique le temps permet de d mythifier la d marche de cr a tion et de travailler le choix du statut qu il devra arr ter dans une derni re tape Formaliser son projet l crit est une exigence comme pour les autres cr
18. Organisez des cir cuits touristiques personnalis s pour des groupes ou des familles par exemple les ch teaux de la Loire en v lo D Source www planete auto entrepreneur com fiches Sectorielles mo Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles NN ND Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Comment y met on fin Ce r gime s applique tant que le cr ateur rel ve du r gime fiscal de la micro entreprise Le r gime UNDINE fiscal de La micro entreprise ILest caract ris par m une franchise en base de TVA les entreprises ne facturent pas la TVA et ne la r cup rent pas lors de la facturation l entreprise doit pr ciser sur la facture TVA non applicable article 293 B du CGI m un abattement forfaitaire lors du calcul du r sultat de l entreprise Le taux d abattement est de 71 pour les entreprises exer ant une activit d achat revente ou de fourniture de logement de 50 pour les prestations de service commercial et de 34 pour les prestations de service non com mercial mdes obligations comptables et d claratives simplifi es m pas de d ficit possible l exploi tant individuel ne peut pas l impu ter sur son revenu global On peut cependant d cider d y renoncer Dans ce cas il fau dra d noncer cette option pour le r gime microsocial simplifi avant le 31 d cembre pour que cette renonciation prenne
19. d accompagnement que vers des financeurs mo Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Les statuts pour entreprendre sont nombreux Derri re une apparente complexit juridique Le l gislateur propose des solutions adapt es La place que souhaite accorder Le cr ateur ses valeurs la finalit de son projet ses motivations premi res sa situation personnelle ainsi qu la nature et La dimension de son projet de cr ation D couverte des derniers venus et de ceux qui sont les moins connus dans ces secteurs L ESSENTIEL SUR NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises LES STATUTS R CENTS a uto entrepreneur pour d mar rer simplement une activit Quelles situations Toute personne peut devenir auto entrepreneur un tudiant pour cr er sa premi re activit en m me temps que ses tudes un demandeur d emploi qui veut se lancer un salari du secteur pri v un fonctionnaire ou un retrait qui souhaite d velopper une acti vit annexe en compl ment de son salaire de son traitement ou de sa retraite Que ce soit titre principal ou compl mentaire cette activit doit tre exerc e sous forme d entre prise individuelle et relever pour l assurance vieillesse du R gime social des ind pendants RSI ou de la Caisse interprofessionnelle de pr voyance et d assurance vieillesse Cipav x Le r g
20. imaginer des solutions ou des am liorations permettant de r pondre des insatisfactions des dysfonctionnements ou des besoins rep r s M La lettre de laven IMIE ture et des sports de nature est un mensuel qui d crypte depuis une dizaine d ann es le march de l outoor et l volution des pratiques sporti ves en France et l tranger La lecture de rapports conomi ques issus d un syndicat profes sionnel d un minist re d une collectivit territoriale d une chambre de commerce ou des m tiers d organismes d tudes et d observation du S nat de l Assembl e nationale etc peut aussi permettre de d celer des opportunit s de cr ations Il suffit parfois de s abonner simplement sur une liste de diffusion Sur les espaces associant des structures de pratiques artificielles et des prestations de Parc r cr atif Les structures artificielles tentent de reproduire les conditions de pra tiques en site naturel tout en faci litant les volutions en proposant des niveaux de pratiques vari s et s curis s Les prestations de Parc r cr atif buvette location de mat riel ani mation du site restaurant lieu de stationnement etc viennent la fois faciliter la pratique et contri buer la rentabilit de La structure en multipliant les centres de re cette Ainsi les domaines skiables sont ils compl tement fa onn s pour s adapter des client les sans comp tences tech
21. l esprit c est de cr er son entreprise La cr ation c est rapi dement devenu une quasi obsession qu elle vit en Je suis tout Le temps A toute serenite en train de penser ce que je pourrais cr er De l nergie elle en a d j revendre et c est pr f rable quand on sait qu elle d cide en m me temps d acqu rir si jeune sa mai son J avais envie de cr er une entre prise acheter une maison j ai fait une maison et j ai cr mon entreprise Trajectoire SPORT En 2003 avec un ami de l poque plom bier chauffagiste de m tier elle monte sa premi re entreprise et se lance donc dans la construction de sa premi re maison Il lui faut des ressources finan ci res pour pouvoir assumer ces projets sans difficult s d o le choix d un emploi salari qu elle occupe en tant qu assis tante export pendant huit ans Ses journ es sont charg es comme on peut l imaginer sans peine et faites d une grande vari t de t ches Dans l entreprise elle s occupe de la par tie commerciale et de la gestion une fonction qu elle affectionne particuli rement En 2006 l volution de sa situa tion personnelle l am ne quitter cette entreprise Ce changement lui permet de mesurer combien cet investissement comptait pour elle Forte de ses exp riences et de son sens de l observation elle se remet aussit t sur un projet en se lan ant dans la construction de sa
22. la cr ation d entreprises Ma Pendant longtemps les d Savill salles de remise en forme avaient des superficies de voire 1000 m2 La tendance 600 m actuelle est la cr ation de clubs plus intimes moins co teux plus faciles financer de taille humaine d environ 200 m DSource r seaux 2008 Commerce magazine guide des m Indispensables l enqu te de terrain avec le rep rage de la concurrence ainsi que les investigations men es sur la zone de chalandise o aupr s des fournisseurs clients ou prescripteurs Miser sur un concept pointu Il faut habilement proposer une palette d ac tivit s classiques et miser sur quelques nouveaut s Savoir s entourer d une quipe comp tente L accueil la convivialit l accom pagnement personnalis du client sont quelques unes des cl s de la r ussite a Ne pas l siner sur le mat riel et veiller la propret des quipements qui donne au client une id e de la r gularit de leur entretien m Enfin une tude de la rentabilit s im pose d s la conception du projet e cr ateur et Les r gles de la profession Les dipl mes reconnus pour exercer On peut prendre la g rance d un club de mise en forme sans poss der de dipl me particulier mais d s qu il y a acte d enseignement animation entra ne Fiches Pro SPORT ment ou simple pr sence consid r e comme encadrement des utilisateurs la personne qui l acco
23. ment sp cifique Pour en savoir Le Code du sport pr sente des Chercher la r glementation sur une dispositions particuli res concer activit sp cifique nant le cadre d activit s en envi www sportsdenature gouv fr ronnement sp cifique qui impli quent en particulier le respect de mesures de s curit B Droit des sports de nature Territorial ditions 2008 Th me 16 Encadrement r glement Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises CO fiches Sectorielles Love La loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 et le d cret d appli cation du 26 avril 2002 instaurent un droit individuel valider les acquis de l exp rience profession nelle ou b n vole C est le jury du dipl me qui proc de cette vali dation La proc dure de validation des acquis de l exp rience pour les dipl mes dans les champs de la jeunesse et des sports visent l octroi de tout ou partie d une certification Les jurys sont compos s pour un quart de repr sentants des employeurs et des salari s Un accompagnement faculta tif mais recommand peut tre propos aux candidats pour les aider compl ter leur dossier de demande de dipl me L accompagnement est assur par des tablissements de for mation du minist re CREPS ou des organismes de formation continue W O TROUVER L INFO m Aupr s des Points Relais Consei
24. Habilitations Activit s Coordonn es 50307 2006 80 000 la premi re ann e 35 000 la deuxi me SARL BELLINI au capital de 17 500 Associ s parts gales Quentin Simon et Fr d ric Jeanneau Seguret 230 000 HT 7 5 15 salari s et 5 ind pendants en saison dont pr s de la moiti sont engag s dans l entreprise depuis le d but de l aventure Deux temps pleins l ann e dont un apprenti qui a t embauch fin 2010 Ils se connaissent tous depuis plusieurs ann es Habilitation tourisme du minist re du Tourisme habilitation navi guer du minist re des Transports d clar la DDCS comme tablis sement d activit s physiques ou sportives EAPS Conception organisation et vente de prestations de pleine nature et de s jours sur mesure s minaires h bergement activit s animations restauration transport Prestations sportives descente en barques cano kayak rafting hydrospeed canyoning randonn e aquatique parapente deltaplane autogire saut l lastique escalade via ferrata parcours aventure sp l o VTT segway m WwWww bateliersduviaduc com m www evolution2 com Trajectoire SPORT NATURE ports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O No POUR VIVRE COMME ELLE L A CHOISI TOUT EN GARDANT LES PIEDS SUR TERRE esprit y PAR PENTE Delphine PILLE
25. La loi du 21 ao t 2007 Depuis le 20 juin 2007 et la loi n 2007 1223 du 21 ao t 2007 en faveur du travail de l em ploi et du pouvoir d achat le redevable peut imputer sur l imp t de solidarit sur la for tune dans la limite de 50 000 75 du montant des dons en num raire et dons en pleine pro pri t de titres de soci t s admis aux n gociations sur un march r glement fran ais ou tranger effectu s au profit des tablissements de recherche ou d enseignement sup rieur ou d enseignement artistique publics ou priv s d int r t g n ral but non lucratif des fondations reconnues d uti lit publique r pondant aux condi tions fix es au a du 1 de l article 200 des entreprises d insertion et des entreprises de travail tempo raire d insertion mentionn es aux articles L 322 4 16 1 et L 322 4 16 2 du Code du travail des associations interm diaires mentionn es l article L 322 4 16 3 du m me code des ateliers et chantiers d inser tion mentionn s l article L 322 4 16 8 du m me code Ce qu en dit le Code des imp ts Depuislaloidu 1 aout 2003 le der nier alin a de l article 238 bis 1a du Code g n ral des imp ts est tr s clair Ces dispositions s appliquent m me si le nom de l entreprise versante est associ aux op ra tions r alis es par ces organis mes Ainsi le b n fice du dis positif en faveur du m c n
26. Mile recours la pluriactivit d Savill c d exercer des activit s professionnelles sous des statuts diff rents au multisalariat c d exercer plusieurs activit s profes sionnelles sous le statut de salari de fa on simultan e ou non et la multiac tivit c d exercer plusieurs activit s diff rentes ou dans plusieurs domai nes professionnels est courant dans le domaine des sports de nature Il r pond la n cessit d tre en activit sur la p riode la plus longue possible au cours de l ann e Pour en savoir Lire la fiche sectorielle Pluriactivit et sports situ e en tape 1 de ce guide La cr ation d activit Cr er son activit de services sportifs et en particulier d encadrement sportif est un pas difficile franchir entre obliga tions administratives choix du support juridique et recherche de soutiens ou de conseils le chemin est souvent tortueux m Les obligations En cas d activit r mun r e trois con traintes doivent dans tous les cas tre respect es la d claration d activit URSSAF ou registre du commerce et des soci t s la couverture sociale cotisations socia les maladie retraite ch mage le choix d un r gime fiscal imp ts Activit salari e ou lib rale En excluant le cas des soci t s capi taux financiers importants le choix doit d abord tre fait entre l activit salari e et
27. boni de liquidation ses membres fiches Pratiques Les porteurs de parts d une soci t responsabilit limit e SARL n ont pas le statut de commer ants et ne sont donc responsa bles des dettes sociales qu con currence de leur apport Comme les autres employeurs les associations peuvent b n fi cier des dispositifs d aide l em ploi S il s agit de cr er de l emploi en exer ant une activit d int r t g n ral le candidat la cr ation doit avoir l esprit que l associa tion est soumise aux m mes obli gations que tout autre employeur Le droit commercial et le Code de commerce s appliquent aux acti vit s conomiques ventes publi cit etc m me accessoires En effet l article L 442 7 du Code du commerce stipule qu aucune association ne peut de fa on habituelle offrir des produits la vente les vendre ou fournir des services si ces activit s ne sont pas pr vues par les statuts Tou tefois cela n entra ne pas l appli cation du statut de commercant la Cour de cassation s oppose toujours l inscription des asso ciations au registre du commerce et des soci t s N anmoins l as sociation peut sous conditions signer un bail commercial La gestion d sint res s e pivot du r gime fiscal des associations loi 1901 Les associations vis es par la loi de 1901 ne sont en principe pas soumises aux imp ts com merciaux imp t
28. cib g NO Guide pratique d teco gtagndieetre ris r ation d entreprises Sur Culture et FSE La Commission euro p enne encourage les amateurs de films d ini tiative prouver leur cr ativit et leurs comp tences en produisant une courte vid o qui traite des questions de l esprit d entreprise de ce qui peut encourager les gens devenir des entrepreneurs et de ce qui pourrait contrecarrer les vieux pr jug s et offrir de nouvel les visions de l esprit d entreprise 5 Source Prix europ en de l esprit d en treprise video 2010 http ec europa eu La coop rative d activit Artenreel situ e en Alsace a b n fici du FSE en phase de d marrage Source www culture proximite org par le biais d un soutien finan cier essentiellement travers le programme Culture 2007 2013 ainsi que par d autres actions par exemple dans le cadre de la politi que r gionale o elle finance co les de musique salles de concert et studios d enregistrement Pour la p riode 2007 ANAL 2013 6 milliards d euros des fonds de coh sion ont t consacr s la culture notamment pour la protection et la pr servation du patrimoine cultu rel le d veloppement des infras tructures culturelles et l aide aux services culturels D Source http eur lex europa eu Les objectifs de La Commission Pour entretenir et d velopper le r le de la culture comme vec teur de cr ativit et d i
29. e En privil giant des services d accueil transports h bergement restaura tion familiaux ou petite chelle e En choisissant des services locaux transports h bergement restaura tion o l cart est le plus faible possi ble entre les voyageurs et les habitants sur place e En v rifiant qu une partie certifi e des sommes issues du tourisme est redis tribu e localement sur un mode qui table depuis le logement jusqu aux objets artisanaux issus du lieu et en fournissant en pi ce jointe une fiche de transparence du prix ou dans le cas des multinationales en v rifiant qu il existe r ellement des retom b es positives cons quentes pour l conomie locale D Source www voyageons autrement com fiches Pratiques Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises voyageurs d aujourd hui indi vidualiste d butant colo colo au quotidien isol ou partisan Profil des partisans ils sont tr s attir s par Les voya ges hors des sentiers battus ils recherchent le d paysement et ils aiment changer avec les populations locales le confort est important mais pas primordial ils aiment voyager en respectant l environnement ils sont pr ts conomiser pour faire Le voyage de leurs r ves mais ils aiment galement voyager en formule tout
30. li s obligatoirement aux caisses relatives la protection sociale retraite sant pr voyance Ces caisses sont d sormais regroup es au sein du RSI r gime social des ind pendants www le rsi fr SAVOT Le r gime d assurance ch mage intermittent Dans ce secteur les artistes et les tech niciens sont souvent des intermittents du spectacle Pour en savoir www assedic fr puis rubrique Inter mittents du spectacle puis notice DAJ 168 avec la liste des activit s concern s par l annexe 8 www culture gouv fr Les conventions collectives m On trouve sur les sites du SPI et de l USPA la convention collective de l audio visuel qui concerne les entreprises des ex codes 921A 921B et 922B www lespi org www uspa fr m existe aussi la convention collective des films d animation www ladocum entationfrancaise fr disponible au Journal officiel 26 rue Desaix 75727 Paris Cedex 15 01 40 58 78 78 www journal officiel gouv fr ou gra tuitement sur www legifrance gouv fr Les r gles de La profession m Contrat G rer une soci t de production n ces site enfin une bonne pratique contrac tuelle savoir r diger un contrat de cession de droits d fendre l int grit d une uvre tre rompu aux contrats d auteur contrats de r alisateur con trats de coproduction contrats de tech nicien dur e d termin e Pour en savoir On trou
31. mise en r seau formation dition m Centre de ressources Th tre Handicap CRTH www crth org Pour l ensemble des profession nels du th tre information crth org m Musique et situations de handicap MESH Les actions de MESH en faveur des fiches Pratiques Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 03 OO P Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O TROUVER L INFO personnes handicap es se d cli nent autour de plusieurs axes la sensibilisation la formation la p dagogie et le montage de projets musique et handicap www mesh asso fr mesh mesh asso fr m www ctnerhi com fr Centre de documentation et d tu des sociales du Centre technique national d tudes et de recher ches sur les handicaps et les ina daptations CTNERHI m www yanous com Magazine d informations lec tronique des personnes handi cap es de leur entourage et des professionnels qui uvrent dans ce domaine m www handicapsport com Portail de l information sportive et de loisirs pour les personnes han dicap es m www afnor fr Organisme travaillant sur les normes d accessibilit y com pris au sein des instances europ ennes m www handica com Site d di au handicap Les informations sont class es par th mes produits et services m www w3 org wai Portail en langue anglaise Recommandations de mise en a
32. musiques actuelles titulaires d une ou plusieurs licences relatives aux spec tacles se livrant en tout ou partie des activit s d exploitant de lieux de specta cles vivants et ou de producteur de spec tacles ou d entrepreneur de tourn es et ou diffuseur de spectacles vivants ainsi que les entreprises de prestations techniques exer ant leur activit dans le domaine de l v nementiel et du specta cle vivant On entend par spectacles d Savi vivants de vari t s tous les spectacles entrant dans le champ de comp tence du Centre natio nal de la chanson des vari t s et du jazz CNV M Sont exclues du champ d ap d Savi plication les structures de droit priv sans but lucratif qui d veloppent titre principal des acti vit s d int r t social dans les domaines culturels ducatifs de loisirs et de plein air ainsi que les cirques discoth ques bals casinos et parcs de loisirs Pr cisons que les musiques et danses traditionnelles tombent directement dans son champ d application Seront concern es les entreprises pos s dant les codes NAF 90 01Z 90 027 90 03A 90 03B 90 04Z et 79 90Z Pour en savoir http crd irma asso fr Partenaires Si l tat a pu jouer un r le incitatif important au travers de sa politique culturelle dispositif SMAC Sc nes de musiques actuelles territoriale politi que de la ville ou sociale aides l em ploi les collectivit s territori
33. neur de spectacles ont contribu cr er pour la premi re g n ration d quipe ments des doubles montages juridiques association pour les activit s artistiques et culturelles SARL pour l activit de bar Mais la grande majorit des lieux surtout depuis 1992 fonctionnent d sor mais sur un statut associatif unique Cela engendre certaines difficult s par ticuli rement concernant l autorisation d ouverture tardive et l attribution de la licence de d bit de boissons mles associations programmant du spectacle vivant ont n goci avec le minist re charg de l conomie et des finances par l interm diaire de l UFISC Union f d rale d intervention des struc tures culturelles une fiche technique relative la lucrativit des associa tions exploitant des lieux de spectacles vivants Cette fiche pr cise Les conditions de non assujettissement aux imp ts commerciaux Elle indique qu une association d velop Fiches Pro CULTURE pant une activit culturelle et artistique dans un lieu de spectacle vivant peut tre exon r e des imp ts commerciaux d s lors qu elle est g r e de fa on d sin t ress e et qu elle est en situation de non concurrence vis vis du secteur lucratif Pour appr cier cette non concurrence il convient d ana lyser SAVOT le produit offert accueil d artistes mergents organisation d actions cultu relles soutien de b n voles pour l acti
34. selon une tude publi e par le CR DOC Pour ceux quine partent pas la rai son avanc e est financi re dans la moiti des cas 51 En 2008 19 des Fran ais ont b n fici d une aide pour leurs cong s principa lement sous forme de ch ques vacances estime l Insee En d pit de la crise conomique les Fran ais pr f rent rogner sur leurs d penses de restaurant et d achats de produits lectro niques plut t que de toucher leur budget vacances souligne le CR DOC Mais les m nages adaptent aussi leurs s jours en les raccourcissant o en partant moins loin une tendance qui se confirme en 2010 30 des Fran ais ont eu en 2010 un budget vacances inf rieur celui de l t 2009 selon une tude du cabinet Protourisme r alis e aupr s d un chantillon de 2 000 personnes et publi e d but juillet Ce budget atteindrait en moyenne 1 300 par foyer pour une dur e moyenne de 13 5 jours Pour en savoir Consulter Les enqu tes du CR DOC Conditions de vie et aspirations des Fran ais et Vacances 2010 les con traintes financi res favorisent de nou veaux arbitrages Octobre 2010 sur le site www credoc fr Et des id es re ues qui persistent durablement Un voyageur sur deux seulement a pris conscience de l impact du moyen de transport utilis comme faisant partie d un voyage plus res ponsable et seuls 41 compren nent que voyager
35. tre faite par pli recommand avec demande d ac cus de r ception Elle est d livr e par la DRAC par d l gation du pr fet apr s avis motiv de la commission r gionale consultative La DRAC dispose d un d lai de 4 mois pour prendre une d cision compter de la r ception d un dossier complet Faute de r ponse dans ce d lai la licence est r put e accord e le num ro de licence doit tre obliga toirement inscrit sur les affiches con trats billets tracts l exercice de l activit sans licence est passible de peines et amendes et de prison ainsi que le non respect des for malit s obligatoires comme la publicit concernant le num ro de licence les entrepreneurs de spectacles doi vent faire mention de leur licence sur les affiches prospectus billets et contrats de pr sentation article D7122 25 du Code du travail les employeurs sont responsables notamment de la s curit de leurs sala ri s Ils doivent s assurer que les lieux dans lesquels ils les font travailler sont d tenteurs d une licence de cat gorie 1 Formulaire et pi ces justificatives wwvw culture gouv fr infos pratiques formulaires spectacles vivants L activit occasionnelle sans licence m Peuvent exercer occasionnellement l activit d entrepreneurs de spectacles sans tre titulaires de la licence dans la limite de 6 repr sentations par an toute personne physique ou morale qui n a pas p
36. uvre de la VAE concernant les dipl mes permettant d enseigner d animer ou d encadrer des activit s s exer ant en environ nement sp cifique ski alpin alpi nisme plong e subaquatique etc D Source Les m tiers et dipl mes profes sionnels relevant du sport Minist re de la Sant de la Jeunesse et des Sports 11 2007 www jeunesse vie associative gouv fr Attention la recevabilit de la candidature est n cessaire pour la poursuite de la VAE mais pas suffisante pour garantir la validation de l exp rience et la d livrance de la certification Le mieux pour un candidat est de se renseigner pr cis ment aupr s des services de l tat dans son d partement fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ee OST Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Oo OS COMMENT FAIRE pour l accompagner et le pr parer s engager dans une VAE L accompagnement vise essentiel lement guider le candidat dans la formalisation crite et orale de son exp rience Pour cela il convient de franchir trois tapes tape 1 Faire Le point sur ce qu il peutraisonnablementesp rer vali dation totale ou partielle et sur Les l ments faire ressortir La d marche de VAE repose sur l analyse d exp riences sp cifiques s lectionn es au regard du di pl me vis IL est donc conseill de l aider s lectionner les activit s
37. valuer votre projet t l char geable sur le site de l Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie www ademe fr fiches Pratiques Des chartes qualit d Savi territoriales se super posent parfois ces labels C est le cas de la charte qualit H bergements d altitude du parc national du Mercantour qui implique l am lioration de l alimentation en eau potable un syst me d assainissement adapt au terrain des mat riaux cologiques une gestion de l lectricit avec des nergies renouvelables H tels au Naturel Les H tels au Naturel sont des h tels 2 3 toiles sensibles la protection de l environnement et localis s dans des parcs naturels r gionaux de France En 2010 22 h tels sont labellis s G tes Panda Le label G te Panda a t cr par le WWF France en 1993 dans le cadre d un partenariat asso ciant le WWF France la F d ra tion des parcs naturels r gionaux les parcs nationaux de France et la F d ration des g tes de France Le WWF France a d velopp un cahier des charges constitu de 120 crit res r partis autour de 4 axes fondamentaux protection de la nature co habitat co citoyennet et sensibilisation de la client le la protection de l en vironnement Les g tes proposent des sentiers de d couverte de la documentation WWF facilitant la compr hension des enjeux de conservation etc Pour en savoir
38. www gites panda fr MERI c marches sans labels De nombreux acteurs du tou risme sont engag s sur le terrain dans une d marche environne mentale mais ne souhaitent pas tre labellis s en raison de con traintes financi res et administra tives l obtention d un label a un co t entre 200 et 10 000 selon la structure un budget parfois trop important pour les petites structures qui n ont pas non plus le temps ni le savoir faire pour remplir les dossiers l absence de label de tourisme durable n est pas forc ment synonyme d absence d engagement On peut m me vous dire que certains h berge ments non labellis s sont plus engag s et plus militants que cer tains h bergements labellis s D Source www voyagespourlaplanete com Pour en savoir Sur les colabels www ecolabels fr L es manifestations sportives De nombreux guides permet tent d clairer les organisateurs de manifestations sportives de nature dans la prise en compte op rationnelle des principes du d veloppement durable Dans son guide l usage des organisateurs de manifestations sportives de nature le p le res sources national des sports de nature consacre un chapitre cette question On peut y d cou vrir les recommandations pr sent es en page suivante fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles P Guide pratique d accompagnement la cr ati
39. 1 Mobiliser les partenaires La mobilisation de partenaires est une tape fondamen tale Elle est tou jours mentionn e dans les dossiers et elle s av re sou vent indispensable la bonne r ali sation des projets propos s surtout dans le champ des activit s vis es par le guide La mobilisation des partenaires est au c ur de la r ussite du projet Elle doit permettre d viter la mise en situation de concurrence entre les acteurs et les structures ce qui va l encontre des int r ts terme des structures comme des territoires concern s Elle passe par la clarification des engagements des partenaires et la nature de leurs engagements Elle n cessite aussi de r partir les r les Elle doit se traduire Plus l op ration est complexe plus sa r alisation dans de bonnes conditions d pendra de la qualit de la mise en uvre de la phase jet concentre toute son nergie sur la mobilisation des partenaires ainsi que la pr para tion comptable et financi re de son terme par l ta blissement de conventions qui fixent les termes du partenariat ou et dans un premier Cette tape est d autant plus difficile que la coh rence du projet l identit et La politique de la structure et aux de conception projet temps de lettres projets et acteurs d engagement de du territoire n est principes pas appr hend e en amont Exemple de tableau de recensement
40. Cao Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Entreprises On distingue deux types d interventions sur ce march La communication externe L information de l entreprise est v hi cul e sur des supports nombreux et l Internet tient d sormais une place importante r alisation de clips ou films et blogs vid o de magazines on line de films commerciaux de DVD interactifs La communication audiovisuelle permet de conqu rir de nouvelles parts de mar ch moindre frais car la plupart des entreprises poss dent d j un site web comme outil de diffusion D Source Satis 2008 Cela permet aussi de valoriser les ima ges de l entreprise images actuelles ou images d archives cr ant ainsi une ima ge identitaire qui permet de valoriser la culture et les valeurs de l entreprise D Source Festival du Creusot Web TV La plupart des I grandes entreprises des ins titutions des clubs de sport des municipalit s et des conseils r gio naux ont leur t l vision sur Internet Objectif un gain d image une visibilit plus interactive et ludique La Web TV est un cr neau en plein essor La communication interne Gr ce aux nouvelles technologies multi m dia de nombreuses entreprises disposent pr sent d une plus grande latitude pour assurer tout ou partie de leur communication interne les sup ports de di
41. Depuis le d but des ann es 2000 les attentes accrues en mati re d environnement et la hausse des pratiques libres alimentent la mont e en puissance des activit s sportives de nature Le d veloppe ment durable plus qu une mode acc l re ce mouvement et contribue placer ces activit s au premier rang des disciplines pratiqu es par les Fran ais Activit s culturelles et socioculturelles Dans le domaine de l offre culturelle c est l essor du num rique et d Internet qui est le plus marquant ces nouvelles technologies modi fient substantiellement l acc s l art et la culture L mergence et le d veloppement des cultures urbaines ont galement largement contribu renouveler les pratiques culturelles des Fran ais et en particulier des jeunes Activit s sportives Le d veloppement de soi la question du bien tre et de la sant et la place accord e l panouissement personnel ont largement contribu au d veloppement des pratiques sportives ces derni res ann es Les politiques contractuelles d velopp es par l tat et Les collectivit s territoriales ont confort cette croissance en permettant de structurer les loisirs ducatifs et les activit s sportives en direction des publics scolaris s des actifs et des retrait s 21 Selon la d finition adopt e dans l analyse des temps sociaux notamment par l INSEE Les Pratiques culturelles des Fran ais l re num rique co dit
42. Dupliquer un concept d entreprise sociale qui a fait ses preuves c est possible 10 Reprendre autrement de nombreuses opportunit s Pour en savoir D couvrir le guide de l AVISE Devenez entrepreneur social ou consultez le site www avise org L entreprise solidaire La loi de modernisation de l co nomie du 4 ao t 2008 a instaur l obligation de proposer dans tout plan d pargne d entreprise un Fonds commun de placement d entreprise FCPE solidaire fiches Projets Le d cret d application pr cisant la d finition de l entreprise solidai re a t publi JO du 20 03 09 L entreprise solidaire est une entreprise non cot e dont soit un tiers des salari s sont en contrat d insertion par l activit conomique en contrat de travail aid en contrat de professionnali sation dans le cadre de convention de groupements d employeurs b n ficient de l accompagnement personnalis pour l acc s l em ploi ou sont reconnus travailleurs handicap s soit l entreprise est constitu e sous forme d association de coo p rative de mutuelle d institu tion de pr voyance ou de soci t dont les dirigeants sont lus par les salari s les adh rents ou les soci taires et la moyenne des r mun rations des cinq salari s ou dirigeants les mieux r mu n r s n exc de pas cinq fois le SMIC Le texte pr cise par ailleurs les modalit s d agr me
43. En 2009 ils obtiennent la reconnaissance de l tat en tant qu tablisse Vendetta a une approche diff rente de la danse La formation est d cloisonn e transversale et pluri disciplinaire Ici on meni apprend l expression ns LE avant la technique ne Pour compl ter ce dispositif dont l objectif est de faire le lien entre formation et m tier ils accueillent des artistes professionnels en r sidence particuli rement ouverte la recherche et l exp rimentation et accueillent des publics dits en difficult Parall lement la compagnie de Ven detta association ind pendante de La Manufacture fait un tabac avec la pi ce Homme Animal pr sent e Avignon En 2010 le b timent de la Manufacture re oit Le prix de l architecture bois Aujourd hui pr s de 600 personnes b n ficient un titre o un autre des enseignements donn s La Manufac ture et une vingtaine d artistes sont en r sidence Le lien entre formation et m tier cr ation et diffusion est essentiel C est un des rares centres de la danse qui fonctionnent de cette facon La Manufacture on privil gie l tre par rapport au savoir Pour Vendetta l essentiel est dans cette d claration Apprendre est un chan ge d instant en instant un mouvement du conna tre qui n a ni commencement ni fin et qui suppose un tat dans lequel l esprit n est pas investi par l autorit du savoir
44. En g n ral la r mun ration au cachet est vers e pour une journ e quel que soit le nombre d heures travaill es Les cachets sont convertis ensuite par P le emploi en heures de travail pour d terminer le droit aux allocations ch mage avii E pas group s Pour en savoir www emploi france5 fr Ces cachets sont pris compte diff rem ment selon qu ils sont isol s ou group s Les cachets group s sont ceux qui couvrent une p riode d em ploi d au moins cinq jours chez un m me employeur les cachets isol s sont ceux qui ne sont dans le secteur culturel plus de la moiti des salari s sont pluriactifs m 55 des salari s qui travaillent au moins une heure dans la culture en 2007 ont plusieurs employeurs ce qui n est le cas que de 5 des salari s en France Parmi eux 12 sont actifs dans plusieurs domaines culturels ils combinent alors le plus souvent l audio visuel et le spectacle vivant ou encore l dition librairie et la presse m Cette pluriactivit s exprime princi palement en dehors du champ culturel puisque 90 des salari s qui ont plu sieurs employeurs travaillent la fois dans le secteur culturel et l ext rieur le plus souvent dans les services aux entreprises par exemple dans la ges tion de supports de publicit le conseil en syst mes informatiques etc ou les administrations publiques par exemple employ par l administr
45. Fin 2009 on comptait ARII 925 soci t s coop ratives et participatives adh rant la Conf d ration des Scop r unissant 40 424 salari s hors filiales non coo p ratives et plus de 50 000 en comptant ces filiales Fin 2008 le nombre de Scop tait de 1 893 et les salari s de 39 929 Apr s quinze ans de croissance r guli re les Scop progres sent encore de plus 1 6 et de 1 2 en emplois en un an Mais cette progression est moindre que les ann es pr c dentes Source www scop coop Les principales caract ristiques Fiscalit La Scop est soumise aux m mes imp ts que toute soci t de droit commun Toutefois en versant beaucoup plus de participation que les entreprises classiques au moins 25 des b n fices elle r duit d autant le montant du b n fice imposable l IS imp t sur les soci t s Par ailleurs les Scop sont exon r es de la taxe professionnelle condition de respecter les principes qui permettent des salari s de prendre collectivement en main fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND ND O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises leur destin et de partager les ris ques et les r sultats au service de l emploi sur les territoires salari s associ s majoritaires d mocratie des d cisions et cons titution d un patrimoine commun au profit des g n rations futures de salari
46. Fran ais par an et l quitation est la f d ration sportive qui a connu la plus forte progression sur 5 ans D Source www haras nationaux fr Par ailleurs la demande des trangers est forte Les tendances m Longtemps cantonn aux disciplines sportives le cheval conna t l engoue ment d un public en qu te de contact avec la nature et de convivialit Il par ticipe aussi la r insertion sociale des d linquants ou des personnes en d tres se psychologique ou physique mLa client le est majoritairement une client le de proximit m Les randonn es sur plusieurs jours la fois ludiques et instructives l qui tation western et l attelage de loisirs sont en progression D autres tudes montrent par ailleurs que le produit cheval devient un produit culturel part enti re spectacle v nement aLe tourisme questre dispose quant lui de bons potentiels notamment en raison de la demande des trangers Les activit s questres sont reconnues entre autres pour leur potentialit de renforcement de l attractivit touristique des territoires comme en t moigne la journ e technique organis e par ATOUT France le 9 mars 2010 intitul e Desti nation et tourisme autour du cheval Quelques conseils pratiques Cette activit est marqu e par la saison nalit et les rythmes scolaires IL faut donc trouver les moyens de lisser l acti vit l ann e en
47. Leur fonctionne ment est assur par un g rant et des charg s de mission Chaque mois il est demand aux salari s entrepreneurs d assister une r union sur la gestion de la CAE Depuis 1999 de nombreuses CAE sont regroup es au sein du r seau www cooperer coop Des services complets Les CA proposent aux porteurs de projets un cadre juridique un num ro de TVA et une immatriculation au registre du commerce et des soci t s un statut d entrepreneur salari en CDI contrat dur e ind termi n e une gestion administrative de l activit incluant la tenue d une comptabilit le calcul et le verse ment des salaires une possibilit d change avec les autres entre preneurs salari s et un accompa gnement fiches Pratiques No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 19 Pour l ensemble de ces services l entrepreneur salari verse 10 de son chiffre d affaires hors taxe la CAE d s l mission de la pre mi re facture de vente Un fonctionnement s curisant l entrepreneur salari trouve un client entreprise association administration particulier et n gocie avec celui ci la nature de la prestation sa dur e et son tarif d s que la prestation est finali s e l entrepreneur salari met une facture mentionnant les coor donn es de la CAE chaque mois l entrepreneur salari per oit un salaire duquel seront d duits Les
48. Scic en 40 questions et Scic et collectivit s locales en 30 questions m Scic un outil innovant pour cons truire des prestations de services dans le secteur Sport minist re de la Jeu nesse des Sports et de la Vie associa tive Avise et la Scic SED Tous les guides rep res et revues sur les Scic sur le site www avise oro rubrique Publications coop ratives m De nombreuses informations aussi sur le site de l Inter r seaux Scic www scic coop es soci t s coop ratives et L participatives Scop la d mocratie nous r ussit Le fondement des Scop date du XIXe si cle Ce statut est cepen dant moins r pandu dans les sec teurs concern s par le guide en particulier celui du sport D finition Les soci t s coop ratives et par ticipatives Scop sont des soci t s commerciales de type SA ou SARL Sur cette base juridique se greffent les principes du droit coop ratif et les dispositions pro pres aux Scop Elles vivent et se d veloppent dans le secteur concurrentiel classique avec les m mes con traintes de gestion et de renta bilit que toute entreprise Leur originalit les salari s sont les actionnaires majoritaires de leur entreprise Ensemble et chacun avec un poids gal les salari s associ s ou actionnaires d cident des grandes orientations et li sent les dirigeants qui vont piloter leur entreprise g rant conseil d administration etc
49. Spedidam SPFF CCN Sc nes conventionn es pour la danse ONDA Th tre Musique Danse D Source revue La sc ne Les ressources m Consulter les carnets d adresses du minist re charg de la culture clas s s par sujet Exemple organismes de financement du th tre comme le Fonds de soutien au th tre priv le Centre national de la chanson pour une produc tion de concert etc www culture gouv fr mLes principaux r seaux et program mes financ s par le minist re charg de la culture www culture gouv fr m Se renseigner sur les conditions d ob tention des aides de la D l gation inter minist rielle La ville DIV 194 avenue du Pr sident Wilson 93217 La Plaine Saint Denis T 01 49 17 46 46 www ville gouv fr Les aides des conseils r gionaux et g n raux selon les priorit s du moment Exemple Arcadi un tablissement pu blic qui informe conseille et aide la cr ation et la diffusion des acteurs de la vie francilienne www arcadi fr Le m c nat d entreprise Tr s d velopp dans le monde culturel il peut se manifester par des actions de parrainage d ductibles des frais g n raux des dons consentis par les entreprises d ductibles de leur r sultat imposable la mise disposition de locaux mat riels ou personnels des achats de spectacles et des copro ductions des locations d espaces publicitaires etc L Admi
50. a 5 o Fe Le S r D n 2 S a C2 a 5 S C2 SPORTS ET LOISIRS DE NATURE Code NAF2008 r v NS Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Tous droits r serv s Phototh que sportsdenature gouv fr 93112 93197 85517 et divers Principaux codes NAF s agisse de clubs de dipl mes de m dailles aux Jeux olympiques ou f es sports de nature repr sentent un tiers du fait sportif fran ais Qu il aux championnats du monde de pratique d clar e des 15 75 ans tous les indicateurs concourent montrer que les activit s physiques ou sportives qui se d roulent en milieu naturel am nag ou non a rien terrestre et aquatique ont le vent en poupe Elles contribuent de plus en plus l attractivit touristique des territoires E ctivit s du secteur La pratique des sports de nature doit respecter les droits de propri t la nature appartient toujours quelqu un les autres usagers et l environnement Dans ce cadre les organisateurs d acti vit s doivent d velopper une offre spor tive de qualit une organisation et un Fiches Pro SPORT NATURE encadrement adapt s la demande des pratiquants et garantissant leur s curit Loffre d activit s est propos e par des entreprises des associations des col lectivit s ou des personnes physiques tout en sachant que de nombreux prati quants sont autonomes ou aspirent le devenir hiffres
51. ati ves et de loisirs relevant galement de la CCN du sport Pour en savoir Consulter le JORF n 0088 du 15 avril 2010 texte n 54 Arr t du 7 avril 2010 portant extension d un avenant la convention collective nationale du sport n 2511 NOR MTST1009606A N M Liste des conventions collecti d Savoir ves sport animation espace de loisirs d attractions et culturels golf centres questres guides et accompagnateurs milieu amazonien tourisme social et familial tourisme h tellerie de plein air navigation de plaisance t l ph riques et engins de remont es m caniques Les obligations d claratives m Tout ducateur dipl m souhaitant exercer contre r mun ration est dans l obligation de d clarer son activit aupr s de la pr fecture de son d parte ment d exercice principal IL devra pour cela s adresser la direction d parte mentale de la Coh sion sociale DDCS ou la direction d partementale de la Coh sion sociale et de la Protection des populations DDCSPP du d partement dans lequel il souhaite exercer IL cons tituera un dossier et recevra une carte professionnelle d ducateur sportif m L ouverture d un tablissement sportif tablissement de pratique sportive ou tablissement d activit s physiques et sportives est soumise une d clara tion pr alable effectuer aupr s de la pr fecture du d partement du si ge de celui ci L exploitant do
52. attentes des pratiquants puis des consommateurs De l effet de mode aux innova tions technologiques les sports de nature sont en constante volu tion Les principaux ressorts sont la recherche de nouveaux terrains de jeu activit s sportives de loi sirs o r cr atives et d aventure et le d veloppement de ces activi t s dans les milieux urbains Souvent les nouvelles tendan ces mergent de la d clinaison de sports d j r pertori s C est le cas des pratiques de glisse a rotract e n es de la rencontre entre le kitesurf d riv de la planche voile le surf des neiges issu du ski et du surf C est aussi le cas des raids sportifs organis s souvent partir de plusieurs acti vit s sportives classiques chaque fois ces formes de pratiques cr ent des utilisations atypiques des sites espaces et itin raires de pleine nature qui Sur la famille des sports de glisse Celle ci est particuli rement embl matique de ce type d volution Ski hot dog wind surf delta plane kitesurf et d autres supports comme le buggy sur sable le snowkite sur la neige et le mountain board sur le sable ou la terre se sont eux aussi appropri l aile de traction l instar du kitesurf ces pratiques sont n es d innovations techniques successives du surf reposant sur l articulation de trois l ments l engin de d placement l aile de traction incluant une barre de direction et le harnais
53. b n ficiaires d un CAPE Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques 00 valuation pr alable la cr a tion reprise d entreprise EPCRE Il s agit d un dispositif d accompa gnement propos par P le emploi destin aider les ch meurs dans leurs projets de cr ation d en 6 treprises en affinant leur dossier avec des professionnels et en se basant sur les outils m thodologi ques de l APCE Il permet de Certains parcs comme celui du Pilat ont mis en place un service d accueil pour les porteurs de projets individuels d sirant s im planter sur leur territoire faire Le point sur l tat d avance ment du projet de cr ation b R seaux g n ralistes Les r seaux des chambres de commerce et d industrie des bou tiques de gestion de France Active et de France Initiative R seau FIR proposent un accompagne ment du cr ateur tout au long de son projet Leur r seau peut accueillir ces cr ateurs et certai nes de leurs structures sont sp cialis es prendre conscience des forces et faiblesses du projet par une va luation des facteurs de r ussite et des risques tre conseill dans le choix pour poursuivre ou pour diff rer un projet mettre en place un plan d actions pour concr tiser votre projet D Source www pole emploi fr Pour en savoir Pour trouver les coordonn es de ces st
54. but d un programme d qui pements qui va permettre ensuite la construction des premi res salles de spectacles d di es et adapt es aux musiques amplifi es D finition m les musiques amplifi es est un terme apparu au d but des ann es 1990 issu des travaux de Marc Touch Les musiques amplifi es d signent un ensemble de musiques et de prati ques sociales qui utilisent l lectri cit et l amplification sonore comme l ment majeur des cr ations musi cales et des modes de vie transport stockage conditions de pratiques modalit s d apprentissage Pour reprendre les cat gories de clas sement les plus employ es le terme de musiques amplifi es repr sente un outil f d rateur regroupant des univers musi caux contrast s les musiques de recher che les diverses formes de rock n roll rap jazz rock jazz hard rock funk reggae chanson house music tous les d riv s de la culture rock D Source Les musiques actuelles Lyon www millenaire3 com mle c ur de m tier des lieux de musiques actuelles amplifi es est la programmation et l organisation de concerts Toutefois cette activit origi nelle tend s int grer progressivement dans une dynamique de d veloppement local notamment par l accompagne ment des pratiques artistiques Organisation de la profession Dans le secteur associatif trois types de structures et de cr ateurs ont t distin gu s par la F
55. c nat d entreprise comment aborder la recherche de partenariats priv s CNAR Culture OPALE www culture proximite org www culture gouv fr www mecenat culture gouv fr et www associations gouv fr fiches Pratiques O TROUVER L INFO mJeune chambre conomique fran aise JCEF 9 11 rue Alasseur 75015 Paris 01 53 58 52 50 actions jcef asso fr www jcef fr B n ficiaires entreprise collec tivit association et individu euro p en de tout secteur d activit Plusieurs cat gories indivi duel et respect des personnes communautaire entreprise dans la cit et respect de l envi ronnement et international business affaires Proc dure 2 dossiers d inscrip tion distincts selon le profil du candidat projets en mergence ou en cr ation o projets en d veloppement Dossiers t l charger sur www jcef fr Cl ture des candidatures troisi me trimestre 2011 Prix prise en charge de l accom pagnement du porteur de projet stand sur un salon Nombre de b n ficiaires 5 Informations susceptibles d tre modifi es pour la prochaine di tion mAssociation Concours Talents ACT en partenariat avec le R seau des boutiques de gestion RBG 14 rue Delambre 75014 Paris T 01 53 34 12 90 info concours talents com www concours talents com B n ficiaires entreprises cr es un an avant la date d inscr
56. clar l exception de la premi re conven tion ou du premier contrat de forma tion professionnelle le prestataire de formation fait figurer ce num ro d enregistrement sur les conven tions et en l absence de conventions sur les bons de commande ou fac tures ou les contrats de formation professionnelle qu il conclut sous la forme suivante d claration d ac tivit enregistr e sous le num ro aupr s du pr fet de r gion de Article R 6351 6 du Code du travail m tape 3 L int ress qui entend contester la d cision de refus ou d annulation de l enregistrement de la d claration d activit doit faire une r clamation aupr s de la DIRECCTE avant tout recours pour exc s de pouvoir a r glementation de la profession Normes de s curit En tant qu ERP tablissement recevant du public le local doit respecter un certain nombre de normes li es l accueil du public En cas de cr ation ou de travaux touchant l accessibilit il est notamment n cessaire d assurer l acc s aux locaux pour les per sonnes handicap es Pour plus d informations prendre contact avec la mairie d implanta tion Convention Un organisme de formation doit conclure une convention avec cha cun de ses clients quand celui ci est une personne morale structu re disposant d un num ro SIREN Les conventions ou d faut les bons de commande ou factures doivent notamment pr ciser l inti
57. clarer leur embauche aupr s des organismes comp tents leur remettre un contrat de tra vail avant le d but de leur activit leur remettre un bulletin de salaire indiquant les heures r el lement effectu es les cotisations sociales vers es notamment P le emploi aux cong s specta cles Lorsque la r mun ration au cachet est autoris e le bulle tin de salaire indique le nombre de cachets ainsi que les heures effectu es pour les services de r p titions selon les conditions fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises pr vues par la convention collec tive applicable Les personnes concern es cotisent alors effecti vement l Assedic du spectacle et aux cong s pay s du spectacle Ces cong s sont vers s direc tement aux intermittents sous forme d indemnit s par la Caisse des cong s du spectacle OCET en savoir BSur les textes r glementaires du r gime d indemnisation du ch mage des professionnels du spectacle www pole emploi fr BPour bien conna tre le nouveau r gime d indemnisation des artistes deman deurs d emploi se reporter au document PDF r alis par les Assedic en 2007 www info assedic fr ue signifie tre pay au cachet Etre pay au cachet signifie percevoir une r mun ration forfai taire
58. commune des Alpes qu il trouve son bonheur il est dans l quipe d entretien des quipements sportifs et gr ce des arrangements bienveillants il est tr s souvent en montagne Pendant six ans il conjugue sa passion avec un boulot qui lui laisse suffisam ment de disponibilit pour se pr pa rer au probatoire d aspirant guide le ticket d entr e royal pour vivre de sa passion Apr s un premier chec la r forme des dipl mes sportifs lui per met de passer avec succ s le dipl me d accompagnateur de pratiquer la montagne en toute libert Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles S OO O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises On est en 1982 et il d cide alors d accep ter la g rance d un centre de vacances pour le compte d une association parce que a le rapproche un peu plus des m tiers de la montagne et de la monta gne mais aussi parce qu il n a pas vrai ment dig r son chec au dipl me de guide C est l que la rencontre avec celle qui deviendra son pouse et associ e se fait Mona est am ricaine Cette passionn e de ski a pris deux ann es sabbatiques pour apprendre le fran ais Ses parents petits commer ants d origine chinoise Seattle ne se sont pas oppos s son choix Pourtant ses tudes en histoire de l art ne l ont pas particuli rement pr destin e aux apprentissages linguistiques ni la passion de la montag
59. contact avec les utilisateurs et galement les services techniques acheteurs lorsque la distinction existe fiches Pratiques oo Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO Z5 NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises COMMENT FAIRE pour Le guider dans l laboration de son plan de communication qui veut il s adresser Les consommateurs ou acheteurs ne seront pas n cessairement sa cible Pour ses partenaires il faudra pr ciser CSP ge sociostyle On ne communique pas de la m me fa on si la cible est une institution ou les familles m Quel message veut il d livrer Le message qui va lui permettre de faire passer l essentiel de ce qu il est et fait pour sa ou ses cibles Dans tous les cas il faut arr ter la strat gie sur un point s agit il simplement de faire savoir ou de faire agir t l phoner m Ce message est il cr dible Est il en correspondance avec les valeurs et modes de consommation de sa cible Permet il de rendre compte de ce qui importe aux yeux de ses partenaires m Quels sont les outils de communi cation de la concurrence Quelles sont leurs signatures et Les supports qu ils emploient m Quels outils de communication devra t il d cliner v nement site internet plaquette cartes de visite lettre d information p riodique IL conviendra de savoir comment ses cibles s informent leurs m di
60. culture et le sport pour renforcer leur croissance et leur rayon nement Elles ne sont plus les seules aujourd hui de nombreux terri toires ruraux des communes ou des intercommunalit s de petite taille sont l origine d initiatives int ressantes qui contribuent effi cacement leur attractivit voire leur comp titivit En mati re d attractivit conomi que r sidentielle ou touristique les dimensions culturelles et spor tives sont en effet unanimement consid r es comme des leviers strat giques qui vont contribuer la fois au bien vivre des habitants aux quilibres sociaux et l image dynamique que les territoires recherchent Parmi les ressour ces que les territoires mobilisent les quipements la communica tion et Les v nements culturels et sportifs sont souvent privil gi s de projets quelle nels L tymologie du verbe innover renvoie au terme novare en latin renouveler inventer forger changer Attirer des cr atifs passe aussi par l aide l installation ou la Ne n gligez mise en r seau pas cetype des profession L essentiel que soit leur au d part c est de dimension leur proposer un l attractivit des accompagnement territoires pour s curiser leur en d pend projet de cr ation L activit touristique s ap puie sur des entreprises saison ni res La France est la premi re des tination touristique au monde Son
61. d environnement Pr sentez les obligations li es cette r glementation et les d marches entreprises pour vous y conformer e Allez vous travailler seul quipe ou en Pr cisez le nombre de personnes et les fonctions de vos futurs salari s Exemple de tableau pour guider le cr ateur dans sa d marche Nombre de Date personnes pr visionnelle d embauche Temps plein Temps partiel R mun ration e Quels sont et ou seront vos besoins mat riels Indiquez quels sont vos besoins en mat riel local e Connaissez vous vos fournisseurs avez vous d j pris contact avec eux e Combien sont ils Cette tape franchie vous devrez pouvoir vous prononcer sur l op portunit de son projet en vous posant ces quelques questions cl s Son projet a t il sa place sur le march Va t il apporter un plus par rapport la concurrence Va t il r pondre un besoin non Exemple de tableau que vous pouvez lui proposer de r aliser Description sommaire Loyer annuel Loyer annuel e mat riel o la location PH cr dit bail Exemple de tableau que vous pouvez lui proposer de r aliser Coordonn es Produits Conditions Conditions RE an fournis de RER de ns Pr cisez s il s agit de mat riel neuf ou d occasion e Quels sont leurs d lais de et leurs conditions de r approvisionnement encorecouvert parla concurrence A t il cern les contraintes
62. de France www amf asso fr m L Association des maires des grandes villes de France www grandesvilles org m La F d ration des maires des villes moyennes www villesmoyennes asso fr m L Association des petites villes de France www apvf asso fr m Cit s Unies France www cites unies france org m Les coMaires www ecomaires com m Le Comit 21 www comite21 org m l Ademe www ademe fr fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles A SE OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises L es subventions Les relations que l Administration entretient et d veloppe avec diff rents partenaires notamment des associations ne sont pas obliga toirement des march s publics C est le fait de r pondre un besoin exprim par l Administration pour elle m me qui permet de diff rencier les march s publics des conventions qui accompagnent par exemple certaines d cisions d octroi de subventions Certaines associations d avoi ne peuvent recevoir une subvention de l tat que si elles ont t pr alablement agr es associations sportives villages de vacances associa tions de jeunesse et d ducation populaire Un champ bien d fini La d finition est propos e par la circulaire du 3 ao t 2006 portant manuel d application du Code des march s publics JO n 179 du 4 ao t 2006 page 11665 et la Circu laire du 29 d
63. deuxi me maison Comme cr er une entreprise faire une maison c est le parcours du combattant C t emploi son poste volue et elle se retrouve assez rapidement la gestion du comit d entreprise un poste qui l in t resse mais qui ne l emp che pas de r ver de nouvelles aventures Faire des devis g rer c est marrant a m a beaucoup manqu C est dans ce contexte qu un accident de ski en 2007 puis un an apr s une pneumonie la clouent sur un fauteuil roulant et freinent ses ardeurs entrepreneuriales mais c est aussi gr ce cette immobilisation forc e qu elle va cr er son entreprise actuelle chasses urbaines 45 Forc e d accepter une convalescence qui va s taler sur plusieurs mois Christel prend le temps de chercher des pr sents pour No l sur Internet C est dans ces circonstances qu elle tombe sur une offre originale de d couverte de la prati que des chasses Le prix de la presta tion est tr s abordable et l incite offrir ce cadeau atypique toute sa famille Quand la tribu se retrouve Paris en d but d ann e c est Le coup de foudre a ressemble beaucoup de choses on saute on marche mais a ne ressem ble rien de ce que je connais Pour moi la cr ation d entreprise c est pas du travail c est un investissement cr atif Je fais a au m me titre que la cuisine Tout de suite j ai l id e de cr er un
64. en uvre ainsi que les modalit s de contr le des connaissances et la nature de la sanction ventuelle de la formation les dipl mes titres ou r f ren ces des personnes charg es de la formation pr vue par le contrat les modalit s de paiement ainsi que les conditions financi res pr vues en cas de cessation anti cip e de la formation ou d aban don en cours de stage Tout stagiaire b n ficie AMIE d un d lai de dix jours compter de la signature du contrat pour se r tracter par lettre recommand e avec avis de r ception Pour en savoir Se r f rer aux articles L 6353 3 L 6353 7 du Code du travail R glement int rieur Un organisme de formation doit laborer un r glement int rieur arr tant les principales mesures appli cables en mati re de sant et de s curit dans l tablissement les r gles applicables en mati re de discipline notamment la nature et l chelle des sanctions applicables aux stagiaires ainsi que les droits de ceux ci en cas de sanction les modalit s selon lesquelles est assur e la repr sentation des stagiaires pour les actions de for mation d une dur e totale sup rieure cinq cents heures Article L 6352 4 du Code dutravail Le r glement int rieur d CO doit tre tabli dans les trois mois suivant le d but de l activit de l organisme de formation Article R 6352 2 du Code du travail O
65. es pour le tout public prendre des mesures de com pensation pour tel ou tel handicap Mobiliser le personnel et le tout public sur ces ques tions sensibiliser l ensemble des qui pes professionnelles de l tablis mondiale de la sant prend en compte la capacit de la personne participer la vie sociale et pointe les facteurs environnementaux physiques sociaux conomiques et culturels comme de possibles obstacles g n rateurs de situations de handicap S inscrire dans une d marche partenariale identifier les personnes en situa tion de handicap sur le territoire en rep rant Les principaux acteurs relais se faire conna tre et tablir des collaborations avec les lus les fiches Pratiques sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 05 A OST Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises professionnels et les associations concern es d velopper des changes des mises en r seau mutualiser les moyens en ter mes d quipements d informa tion de personnel Planifier la mise en accessibilit de l tablissement r aliser un tat des lieux des locaux de l information des spec tacles et de l accueil propos tablir un diagnostic chiffr de la mise en conformit des locaux budg tiser les d penses planifier et hi rarchiser les mesures n cessaires
66. examiner si l or ganisme exerce son activit selon des modalit s de gestion similaires celles des entreprises commercia les Pour cela quatre l ments doi vent tre pris en compte dans l ordre d croissant le Produit pro pos par l organisme le Public qui est vis les Prix qu il prati que et la Publicit qu il fait r gle des 4 P Ce n est que s il exerce son activit selon des m thodes similaires celles des entreprises commerciales que l organisme sera soumis aux imp ts commerciaux de droit commun Ces crit res ne s appliquent pas aux organismes qui exercent leur activit au profit d entreprises relations privil gi es et qui sont de ce fait imposables aux imp ts commerciaux D Source Instruction fiscale n 208 du 18 d cembre 2006 BOI 4 H 5 06 Une association peut si elle le souhaite ne soumettre que ses activit s lucratives l imp t sur les soci t s La comptabilit doit alors clairement identifier les deux secteurs concern s c est la sectorisation Pour en savoir L instruction pr cit e et publi e au BOI 4 H 5 06 r capitule l ensemble des dispositions formant le r gime d imposition des organismes but non lucratif pr cis depuis 1998 fiches Pratiques sur la proc dure du rescrit La proc dure du rescrit permet de soumettre l ad ministration le cas pr cis du projet de votre c
67. gime dit intermittent Fiches Pro CULTURE Marge Valeur Charges R sultat Cotisation Cr dit Besoin Cr dit CA HT PAE de en fonds de clients moyen prute ajou personnel Courant l exploitant to anieseun roulement en CA CA CA CA CA en jours en jours jour 176543 50 7 44 14 3 15 6 6 46 28 24 D Source F d ration des centres de gestion agr s www fcga fr la dur e moyenne d un contrat d un artiste ou d un technicien du spectacle est inf rieure une semaine d apr s la Caisse des cong s spectacles 22 des salari s sont en CDI et 40 seulement travaillent temps complet Environ 100 000 employeurs n ayant pas pour activit principale le spectacle vivant ont employ au moins une fois un artiste ou un technicien en 2004 selon les donn es du Guso Guichet unique du spectacle occasionnel Parmi eux plus de la moiti sont des associations et plus d un quart des particuliers D Source www inrs fr conomie du secteur mle secteur du spectacle vivant de l audiovisuel et du cin ma d gage un chiffre d affaires de 22 milliards d euros a La valeur ajout e d gag e est estim e 11 milliards d euros dont environ 17 pour le spectacle D Source Rapport Jean Paul Guillot BIPE novembre 2004 rapport non actualis mUn spectacle tourne en moyenne 9 fois 12 repr sentations en th tre et 4 par spectacle de danse D Source SACD 2009 i M CA
68. l article L 6312 2 du Code du travail les travailleurs ind pendants les membres des professions lib ra les et des professions non sala ri es y compris ceux n employant aucun salari ainsi que leur con joint collaborateur ou leur con joint associ mentionn l article L 121 4 du Code de commerce Ils b n ficient personnellement du droit la formation profession nelle continue Les travailleurs priv s d emploi Les personnes physiques en tant que particuliers qui assument elles m mes le co t de la forma tion et s il est av r que la finalit est professionnalisante fiches Pratiques Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles en SUr les interventions ducatives artistiques et culturelles dans un cadre scolaire ou p riscolaire o O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises L article L 911 6 du Code de l ducation d termine les per sonnes qui peuvent apporter leur concours aux enseignements et activit s artistiques en raison de leur comp tence professionnelle dans les domaines de la cr ation ou de l expression artistique de l histoire de l art ou de la conserva tion du patrimoine m D finition Un artiste ou un professionnel de la culture est partenaire d une action d ducation artistique et culturelle lorsqu il est fait appel lui en sa qualit d artiste ou de profession
69. le d clarant s il s agit d une personne physique et en cas de soci t pour tous les administrateurs et g rants de la soci t Article A 212 177 du Code du sport m Co t Gratuit Source www guichet entreprises fr fiches Sectorielles La caisse de retraite L adh sion une caisse de retraite de salari s est obligatoire dans les trois mois suivant l immatri culation de l entreprise m me si le d marrage se fait sans salari Pass le d lai de trois mois une caisse interprofessionnelle est impos e Enfin il ne faut pas oublier de de mander l ouverture d une ligne t l phonique professionnelle et se faire conna tre de La Poste Des formalit s compl mentaires effectuer en cas de cr ation d une soci t La cr ation d une soci t n ces site en compl ment de Faire intervenir un commissaire aux apports lorsque les associ s apportent des biens autres que de l argent au capital de la soci t D poser les fonds constituant les apports en esp ces sur un compte bloqu pendant le temps n cessaire limmatriculation de la soci t soit dans une banque contacter une banque soit la Caisse des d p ts et consignations soit chez un notaire R diger des statuts de d signer le ou les premiers dirigeants d tablir un tat des actes ac complis au nom et pour le compte de la soci t en formation de faire enr
70. lien social etc Elles entrent au capital pour 5 7 ans ou interviennent sous la forme d avances en compte cou rant d associ s de souscriptions d obligations ou par l octroi de pr ts participatifs elles peuvent venir en appui d une Scop Parall lement certaines soci t s de capital risque de proxi mit proposent un accompagne ment b n vole pendant 3 ans Leurs ressources proviennent des collectivit s locales des cham bres consulaires et des banques Pour en savoir www unicer asso fr fiches Sectorielles Le capital risque individuel Les Business Angels Les particuliers investisseurs dans les entreprises en cr ation ou en d veloppement sont r unis au sein de l association France Angels qui compte une quaran taine de r seaux r partis sur l en semble du territoire et rassem ble entre 2 000 et 3 000 Business Angels Les clubs locaux investissent en moyenne 40 000 par projet et au maximum 250 000 Les fonds d investissement de proximit FIP Instaur s par la loi sur l initiative conomique du 6 ao t 2003 les FIP ont vocation collecter une pargne de proximit et finan cer des PME en d veloppement ou des entreprises en cr ation au minimum 10 des financements seront d di s aux entreprises de moins de 5 ans localis es sur le territoire couvert par le dispositif L pargne provient soit de particu liers sensibilis s via les r seaux ban
71. logo de l entreprise sur les outils de communi cation du projet culturel mise disposi tion d un quota d entr es gratuites pour le personnel soir e priv e etc devra tre clairement mentionn e Dans tous les cas il faut tre capable de s appuyer sur une approche analytique de l activit et ou de sa structure 4 S duire ses interlocuteurs Jury pour un concours chef d entrepri se pour la recherche de m cenat cette tape est la plus importante L oral d un concours permet de juger la motivation du candidat et la communication avec un dirigeant d entreprise doit d bou cher sur une relation de confiance car c est l envie de s engager qu il va falloir susciter Alors invitez le cr ateur dans les deux cas bien se pr parer en soi gnant la pr sentation dans toutes ses dimensions tenue diction anecdotes et fluidit de l expos et pour ce faire n h sitez pas lui conseiller de s ap puyer sur un support multim dia et a minima de s appuyer surun plan m me sommaire 5 G rer les retomb es Les dotations des concours sont rare ment importantes Il s agit avant tout de coups de pouce il est fr quent que des laur ats b n ficient d un suivi dans un r seau d accompagnement ou du parrainage d un chef d entreprise Rien n interdit de faire fructifier ces appuis communication lettres de recomman dation avant de d poser les statuts Consulter Associations culturelles et m
72. m Envie d agir D fi jeunes Animation d initiation aux chasses urbaines d ambulation location mhttp urbaines45 echasses e monsite com ENTREPRENDRE ET LA MONTAGNE DEUX PASSIONS POUR UNE VIE PLEINE DE REBONDISSEMENTS A DEUX Ce passionn de montagne est un entrepreneur n Dans le milieu on le conna t pour la cr ation des premi res salles d escalade priv es en France Ce qu on ignore c est qu il a fait ses armes dans la grande distribution que sa femme est de tous ses engagements et que c est gr ce l amiti et aux checs qui Le dynamisent qu il a pu se r aliser sS on parcours C est l ge de 11 ans que G rard Goupil d couvre la montagne gr ce au club alpin du Mans et c est en seconde que le jeune adolescent d cide de l cher l cole pour vivre pr s des sommets On est dans les ann es 1960 et le jeune Sarthois n a pas de mal convaincre ses parents de le laisser libre de ses choix et de le laisser chercher des petits boulots dans les Alpes pour survivre Mais d s 18 ans par pragmatisme et parce que j ai du go t pour la compta il d cide de passer un CAP puis un BEP comptable puis finalement un dipl me comptable de niveau bac plus deux Avec son dipl me en poche il cherche avant tout un emploi qui va lui permettre Trajectoire SPORT La ma trise de la comptabilit m a permis de me projeter plus efficacement d s le C est dans une d part
73. m F d ration des Cigales 61 rue Victor Hugo 93500 Pantin G fax 01 49 91 90 91 info cigales asso fr wwvw cigales asso fr m F d ration Habitat et Humanisme 69 chemin de Vassieux 69300 Caluire T 04 72 27 42 58 fax 04 78 23 82 53 federation habitat humanisme org www habitat humanisme org O TROUVER L INFO m F d ration Love Money 10 rue Montyon 75009 Paris 01 48 00 03 35 fax 01 48 24 10 89 federation love money org www love money org m GARRIGUE 61 rue Victor Hugo 93500 Pantin G fax 0148 44 74 03 contact garrigue net www garrigue net m IDES Institut de d veloppement de l conomie sociale 2 place des Vosges Immeuble La Fayette 92400 Courbevoie 01 55 23 07 02 fax 01 49 00 19 82 ides esfin ides com www esfin ides com m ESFIN IDES 10 12 rue des Trois Fontanot 92022 Nanterre 0155 23 07 05 esfin gestion esfin ides com www esfin ides com m NEF Soci t Financi re 114 bd du 11 Novembre 1918 69626 Villeurbanne Cedex amp 08 11 90 11 90 fax 04 72 69 08 79 lanef lanef com www lanef com m R seau Entreprendre 50 bd du G n ral de Gaulle 59100 Roubaix T 0320 661466 www reseau entreprendre org m SIDI Soci t d investissement et de d veloppement international 12 rue Guy de la Brosse 75005 Paris 01 40 46 70 O0 fax 01 46 34 81 18 info sidi fr www sidi fr m Socoden pour les c
74. niable d contraction Dans les sports et loisirs de nature les cr ateurs donnent souvent l im pression que la tenue de vacances vaut toute l ann e parce qu il est contraint par des rythmes d activit particuliers ce cr ateur peut donner l impression d une activit peu soutenue souvent pr sent dans de nom Pour autant il faudra l amener N h sitez pas poser les termes composer sur l ordre de cette interd des conseils que pendance de fa on vous prodiguez pr cise breuses manifestations extra professionnelles propres son milieu il semble plus motiv par les relations conviviales que par les relations commerciales Derri re les apparences plu n e pas se fier aux apparences Une des id es re ues les plus tenaces consiste consid rer que ce cr ateur ne va pas gagner sa vie parce qu il est culturel lement loign de l conomie de march fiches Projets sieurs constats s imposent En voici quelques uns la motivation conomique est rarement absente m me si elle est souvent attach e en priorit aux conditions de vie du cr ateur cr er une entreprise sans avoir Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles No I t salari au pr alable est assez fr quent dans les sports et loisirs de nature faire des b n fices est un objec tif r pandu dans le secteur du sport tre pr sent dans son milieu est une excellent
75. perdu leur emploi ou risquent de fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 4 NN m O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Pour en savoir http ec europa eu le perdre de cr er leur micro entreprise Le Parlement a approuv le 11 f vrier 2010 un accord entre le Conseil et le Parlement sur les sources de financement de cet instrument Il sera financ par tiellement par le programme lui m me ainsi que par les marges non allou es du budget de l Union europ enne Progress permet de mettre des microcr dits la disposition des personnes qui souhaitent d mar rer ou d velopper leur micro entreprise mais qui ont des diffi cult s avoir acc s au march du cr dit conventionnel L instrument est destin aux orga nismes publics et priv s qui propo sent du micro financement Il doit permettre d injecter 100 millions d euros sur 4 ans aux structures financi res internationales et en particulier au groupe BEI Ban que europ enne d investissement et Fonds europ en d investis sement D Source Parlement europ en Com muniqu s du 11 02 2010 et du 15 12 2009 L Europe et le sport La politique europ enne du sport La politique europ enne du sport a t longue se mettre en place C est en 1974 que la Cour euro p enne de justice d cide que le sport rel ve du droit com munautaire en tant qu a
76. pratiques culturelles NO fiches Projets a dimension du projet du candidat La cr ation peut d motiver Les r seaux g n ralistes Ceux qui le connaissent bien ne sont pas tou jours outill s pour le conseiller dans Le choix d un statut La place de la culture associative et le manque de connaissances juridiques en sont souvent la cause Petit argumentaire sur Les points sensibles de l accompagnement au d marrage LES POINTS DE VIGILANCE Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises No No 1 La dimension du projet Le projet est souvent de faible envergure au d marrage et con cerne avant tout le cr ateur qui cherche cr er son emploi Cependant sous estimer un por teur de projet en raison de la ren tabilit hypoth tique de sa futu re entreprise ou d une p riode d ouverture l ann e partielle rel ve d un mauvais calcul cono mique C est ignorer que les grands projets dans ces secteurs ont pris de l envergure avec le temps C est aussi n gliger l int r t des territoires s appuyer sur ces micro entreprises Un territoire attractif dispose d une offre culturelle et sportive toff e l chelle des territoires la capa cit attirer et retenir des acti vit s et des hommes est souvent consid r e comme essentielle Les grandes m tropoles comme fiches Projets Paris Lyon Marseille ou Lille misent depuis longtemps sur la
77. propose des conseils des informa Lorsque l on souhaite obtenir un tions pratiques et un appui sp ci seul contrat de travail pour plu fique sieurs activit s ou lorsque des employeurs souhaitent organiser la pluriactivit de leurs salari s de multiples possibilit s sont offertes par m Le site www questionsaison fr regorge d informations pratiques sur l emploi saisonnier le loge ment la formation la sant le droit du travail et protection sociale les groupements d employeurs en Rh ne Alpes l entreprise de travail en temps mLe Groupement national pro partage fessions sport et loisirs GNP SL travers son site internet la soci t coop rative d int r t www profession sport loisirs fr collectif propose une bourse d emplois regroupant l ensemble des offres pour le sport et l animation la coop rative d activit s Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO OST fiches Sectorielles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises CO Sur quelques activit s compl mentaires m l exercice de plusieurs activit s sportives saison ni res compl mentaires comme par exemple ski cano kayak alpinisme canyon ou VTT ski voile etc m l alternance d activit s pro fessionnelles dans des secteurs diff rents ski transports alpi nisme b timent accompagnateur moyenne montagne AMM travaux acrobatiques AMM berge
78. qu il sera pr f rable de retenir dans son dossier Et n oubliez pas qu il ne pourra pas d poser plus d une demande par an pour une m me certification et trois au maximum pour des certifications diff rentes m tape 2 Le pr parer d velop per argumenter et convaincre Selon l organisme accompagnateur et la certification vis e l accompa gnement peut prendre diff rentes formes entretiens individuels ate liers d criture tutorat distance ateliers m thodologiques collectifs alternance de s quences individuel les et collectives tape 3 L entra ner pour passer devant Le jury L entretien doit permettre d appor ter des pr cisions sur les connais sances et comp tences acquises autour de ce qu il a con u ou r alis lui m me Dans tous les cas l accompagnement doit tre adapt aux besoins et au degr d autonomie du candidat il doit tre suffisamment tal dans le temps pour lui donner le temps de la r flexion et du travail de pr paration Enfin il doit tre de pr f rence assur par un interlocuteur unique Pour en savoir Pour tout savoir sur la VAE dans les m tiers de la culture consulter le site du minist re de la Culture wwvw culture gouv fr L int r t de La d marche pour un candidat Dans le secteur des sports et loisirs de nature les dipl mes qui permet tent d encadrer contre r mun ra tion demandent un investissement important de
79. quantitatif n est pas n gliger Les deux approches peuvent bien videmment tre combin es Attention prenez garde ne pas confondre valeur ajout e et innovation Uneaction propos e dans un dossier peut tre la recon duction d une activit existante qui pr voit des ajustements destin s en am liorer les r sultats Dans ce cas c est la m thode de travail adapt e qui sera innovante pas l action en tant que telle Un travail sur le changement de pra tiques permettra de garantir un mieux d faut de justifier d une action innovante La notion d innovation est relative Dans les projets FSE l innovation n est pas obligatoire m me si elle constitue une des priorit s trans versales de l UE dans le cadre de la programmation des fonds structurels 2007 2013 fiches Pratiques oncevoir le projet les points cl s On appelle conduite de projet l organisation mise en uvre pour que l ouvrage r alis par le ma tre d uvre r ponde aux attentes du ma tre d ouvrage et qu il soit livr dans les conditions de co t et de d lai pr vues D une fa on g n rale elle a pour objectif d assurer la coordination des acteurs et des t ches dans un souci d efficacit en correspondance avec des fina lit s et des objectifs strat giques pr alablement accept s par un groupe de partenaires Dans la phase conception il faut veiller ce que le porteur de pro
80. quel que soit le mode de gestion public ou priv but lucratif ou non de ces activit s Organisation de la profession Les entrepreneurs de spectacles vivants ILs sont divis s entrois cat gories exploi tants de lieux de spectacles produc teurs ou tourneurs qui sont employeurs du plateau artistique et diffuseurs de spectacle ou tourneurs qui ne sont pas employeurs du plateau artistique Cha cune assure des fonctions particuli res comme la mise en tat de fonctionne ment du lieu de spectacle la concep tion cr ation de spectacle l emploi des artistes ou des techniciens la gestion de la billetterie la promotion des spec tacles l organisation des tourn es etc Les artistes et techniciens du spectacle Ce sont des salari s soumis la plupart du temps des contrats dur e d ter min e CDD dits d usage car il est d usage de par la nature de l activit de l employeur et des fonctions occu p es par le salari d avoir recours au CDD Ils sont pay s mensuellement ou au cachet ce dernier tant une sorte de forfait horaire valant 8 ou 12 heures On parle des intermittents du spec tacle lorsque ces salari s b n ficient du r gime des annexes VIII pour les techni ciens et X pour les artistes de l assu rance ch mage Ces droits sont ouverts au bout d un certain nombre d heures travaill es Ces salari s connaissent g n ralement des successions de p rio d
81. rents l ments du mix marketing et analys m thodiquement le mar ch le candidat sera en mesure de chiffrer le co t des actions qu il envisage de mettre en uvre pour se lancer et d valuer un chiffre d affaires pr visionnel r aliste Quel sera le co t de fabrication ou de production du suite r int gr s dans le plan de financement de son entreprise produit par exem ple Quels seront les Pour r duire au maximum les risques mieux vaut d couvrir des infor mations qui d rangent ce stade un homme averti en vaut deux Pour faire les meilleurs choix pour atteindre ses objectifs certains parleront de choix faire d axes prioritaires ou encore d angle d attaque du march d autres parleront de strat gie commerciale Au del d un vocabulaire techni que inadapt ce type de cr a teur il est pr f rable de faire un point sur l utilit et l objectif de la strat gie La strat gie c est en fait le fil conducteur qui va permettre la future entreprise d atteindre le chiffre d affaires cette tape IL s agit d opter pour le meilleur angle d attaque en tenant compte des concurrents Se fixer des objectifs S I OT Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Mais a c est pour co ts de commer l tape suivante cialisation Ou encore quel sera le co t de la promotion ou de la commun
82. rience pour informer i 42 des responsables IMIE associatifs estiment que leurs adh rents ont recours un organisme sp cialis pour pr parer leur voyage Des destinations plut t classiques Comme pour les valides le lit toral est avant tout recherch Les d ficients moteurs vont moins en montagne accessibilit des activit s et les d ficients mentaux fr quentent tr s peu la ville Des crit res de choix centr s d abord sur l accessi bilit la diff rence des client les vali des le choix d une destination est avant tout centr sur des crit res d accessibilit la nouveaut et le climat La renomm e de la desti nation arrive en derni re position Les responsables d association mettent quant eux en exergue l importance de la vari t des activit s offertes Certains types d h ber gement Les principaux modes d h berge ment privil gi s sont dans l ordre l h tel la location et l h berge ment chez des parents ou des amis Une attente forte pour un personnel form 64 des personnes ayant r pondu estiment la pr sence sur le lieu de s jour d un personnel form tr s importante voire indispensable Une client le qui voya gerait plus si certains obstacles taient lev s Pour les personnes qui ont d clar ne pas partir les princi paux obstacles au voyage sont le manque d information et la mauvaise qualit de l adaptation pour 34
83. soins du visage sports de d fense et de combat squash badminton di t tique sportive vente de v tements et d accessoires de sport plate forme vibrante c hiffres cl s Structure de la profession m Environ 10 000 lieux se consacrent la relmise en forme en France en grande majorit au sein des structures associa tives et des f d rations sportives m Dans le secteur marchand on d nom bre de 1600 3000 clubs priv s de remise en forme selon les sources La crise des ann es 2002 2003 a provo qu la fermeture de plus de 700 clubs mais la crise de 2009 n a pas eu semble t il beaucoup d impact sur le secteur Fiches Pro SPORT m 95 des clubs sont ind pendants au mieux 4 5 5 des clubs environ 150 sont rattach s une enseigne nationale Club Med Gym Fitness First Vit Halles Moving et r alisent 15 20 du chif fre d affaires de la profession mle secteur emploie de 15000 18 000 salari s et l activit d gage de 700 millions un milliard d euros de chiffre d affaires R partition g ographique m C est une pratique plus urbaine que rurale et le maillage du territoire aug mente avec l urbanisation m Paris et sa grande couronne repr sen tent environ 10 du march La clien t le parisienne consomme ce type de services c t de son bureau ou de son lieu d habitation et toute heure m En province on privil gie l ambi
84. te d Azur 2009 www orm paca org Salons professionnels Rencontres europ ennes du tourisme et des loisirs sportifs de nature www rencontres sports nature fr Liste non exhaustive Tous droits r serv s Phototh que sportsdenature gouv fr 1 Fiche r alis e par le P le ressources national des sports de nature Fiches Pro SPORT NATURE ports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 34 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises PARCOURS ACROBATIQUES EN HAUTEUR El dara Tous droits r serv s Phototh que sportsdenature gouv fr Code NAF2008 r v 03217 et divers Principaux codes NAF devenus une des composantes particuli rement attractives de l offre es PAH autrefois d nomm s Parcours acrobatiques en for t sont de loisirs multi activit s en plaine sur le littoral en montagne ou en milieu urbain L activit ludo sportive poursuit son d veloppement en voluant vers des formes de parc de loisirs et en multipliant l offre d acti vit s une tendance qui r pond aux attentes d une client le de plus en plus exigeante E ctivit s du secteur D finition Les premiers PAH sont apparus en France au milieu des ann es 1990 Le concept de d part est toujours en vigueur Il consiste en une s rie d ateliers ludiques de difficult s varia bles qui permettent de relier des plate formes install es dans des arbres Fich
85. tuelles www dixit fr Guide des formations aux m tiers de l audiovisuel et du multim dia Vid adoc 2008 2009 www videadoc com Consulter la fiche actuelle du CIDJ N 2 681 Travailler dans l audiovisuel et le num ro 2 25 sur Les arts graphiques www cidj com Information emploi m Le recrutement se fait par cooptation sur audition ou par le r seau relationnel IL existe des agences P le Emploi sp cialis es en le de France deux Paris une dans la plaine Saint Denis et une Boulogne Billancourt P le Emploi audiovisuel spectacle 56 rue de Billancourt 92100 Boulogne 0141 22 04 50 Information professionnelle mLa compagnie des R als ex APRAC association professionnelle des r a lisateurs d uvres audiovisuelles de commande Lieu de r flexion et d change ouvert tous les auteurs ou professionnels d u vres de commande 62 boulevard Diderot 75012 Paris T 0143 45 79 25 http laciedesreals org Fiches Pro CULTURE a Vid adoc 8 rue des Trois Couronnes 75011 Paris amp 01 48 06 58 66 www videadoc com Lieu d accueil ouvert aux porteurs de projets audiovisuels notamment dans le documentaire centre d information et de documentation qui propose de nom breux ouvrages de r f rence dition de guides pratiques etc ADIA Association pour Le d veloppement de l information audiovisuelle 56 avenue de Wagram 75017 Paris 01 4
86. veloppement la son engagement rectitude morale est souvent la qualit des rela un moteur tions et la recon etun guide naissance Source Entreprise et carri res n 978 du 24 au 30 nov 2009 www irsst qc ca fi les documents PubIRSST R 624 pdf d couvrir Le poids des valeurs dans l acte d achat Divers travaux d enqu te ont mis en lumi re les dimensions extra conomiques de l acte d achat L achat ne se limite plus en effet au besoin IL r pond aussi une recherche de satisfaction plus large qui peut passer par la satisfaction morale Il s agit alors de mettre du sens dans son acte d achat C est pr cis ment le sens de la consommation engag e qui consiste user de son pouvoir conomique pour sanctionner positivement ou Faites confiance n gativement ce candidat une entreprise ou pour rendre compte un produit des de ces tendances fins responsables dans son secteur D Source CREDOC Cahier de recherche n 268 d cembre 2009 Le consomma teur va t il changer durablement de com portement avec la crise econsid rer les march s publics Dans ces secteurs le terme de subvention n est tabou pour personne Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles revoir quelques d utilit Le candidat la cr ation faute de connaissances pointues en la mati re n est pourtant pas en mesure de distinguer un march public d une
87. 25 des 200 remont es m caniques sont remises en service pour ces v t tistes qui ne se contentent pas de se balader sur des sentiers alpins Cette volution est aussi pass e par l am nagement d espaces en ti rement consacr s au VTT les bike parks d clinaison des snow parks construits pour les nouvelles formes de glisses D Source La Croix Pascal CHARRIER 30 07 2010 www la croix com O TROUVER L INFO m La soci t Sociovision publie p rio diquement des travaux d crivant les caract ristiques des comportements et le mode de vie de la soci t fran aise m Le Centre de recherche pour l tude et l observation des conditions de vie CREDOC dispose galement d en qu tes ou d tudes concernant direc tement ce secteur d activit mSur les march s du tourisme une simple inscription sur le site national www veilleinfotourisme fr permet de balayer l volution du mar ch du tourisme S int resser la vie conomique du secteur La presse d di e la cr ation d entreprises et la presse pro fessionnelle fournissent quant elles des reportages pr cieux sur les nouvelles tendances des consommateurs o des march s permettant d anticiper l volution de la demande de transf rer une innovation sur un autre territoire ou d adapter une innovation de nouvelles activit s Sur la tendance sport et culture chez les voyagistes La d couverte du patri
88. 5 3 simplement de cr er d une amie i il prend ren MON emploi et faire dezvous avec Ce quime plait dans le direcion de les Ardennes la communaut de communes afin de lui demander conseil et ce dernier lui propose d embl e de mener ce projet sur le territoire intercommunal Il a un site en vue une ancienne colonie de vacances situ e au c ur de la for t que la communaut ea a C est une vraie chance veut reclasser POUT nous en zone touristique Trajectoire SPORT NATURE ports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 5 O F Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises IL n a pas tout fait 25 ans mais ses diverses exp riences ont aff t sa capa cit d adaptation et son regard sur la question des comp tences il sait qu il a des points faibles qu il lui faudra sur monter L criture d un premier projet pour l ONF a constitu une tape formatrice qui le conduit assez naturellement la chambre de commerce et d industrie locale pour faire un business plan Les rendez vous se succ dent mais ne lui permettent pas d aboutir Cet habitu de la formation comprend vite que ses points faibles ne peuvent dispara tre qu avec des enseignements adapt s C est donc l AFPA qu il s inscrit et en trois mois gr ce une formation de cr ateur il obtient les r ponses tou tes les questions en suspens Il fait son business plan ce qui
89. ATION 101 Fiches Projets Conseils et Recommandations Le candidat et son projet de cr ation ciicceieeeeerererrrrrr r 102 tes points de Vigilance sr norton tendres 105 Des pistes pour progresser sss sssssiiieesssrirreersrsrrrersssrirrrrrrrin 108 Fiches Sectorielles Savoirs et R f rences Sport sant et bien tresons smash 111 Tourisme et d veloppement durable ssssssiieeeeeeeesi reenen 119 Tourisme loisirs sport et handicap eseeeessreerersrerrerrreee 129 March s publics subventions et DSP 136 Fiches Pratiques Outils et Ressources Adapter son projet touristico sportif au d veloppement durable Rendre accessible un spectacle vivant aux publics handicap s D clarer une activit de formation professionnelle R aliser une tude de march a e Fiches Trajectoires Parcours et Portraits Christel Cochin chasses urbaines G rard Goupil MurMur assassenssaiisssiissriresrirssriresrrresrrrren Cl ment Nemery Le Ch ne perch aiiin Vendetta Mathea La Manufacture asssiinssssiesesrirerrrrererrrreee TAPE 3 LE CR ATEUR D CIDE DE SE LANCER 111111eeeeee0e Fiches Projets Conseils et Recommandations Le cr ateur et son projet eese esrsiireee si irrer enerne Les points de vigilante assistante ennienni Des pistes pour progresser s sesssiseessiiiersrrireertrrerterrreresrrrree Fiches Sectorielles
90. Cette jeune trentenaire n a peur de rien et sait ce qu elle veut depuis long temps d j Ce sont ces qualit s qui l ont conduite jusque dans la Dr me l ge de 21 ans L entreprise c est un choix de moyen et non une fin en soi Le choix des activit s qu elle propose un juste compromis entre hasard et n cessit pour que sa vie soit conforme ses exigences Ce qui l int resse avant tout c est de vivre comme elle l entend on parcours Quand on sait que l altitude la plus lev e relev e Bourges est de 120 m on peut s tonner de trouver cette Berrichonne la t te d une entreprise qui s appelle Esprit Parapente et qui est situ e dans les Alpes du Sud Pourtant quand on d couvre le parcours de Delphine tout s claire Delphine est une jeune scientifique qui accorde plus d importance aux gens qu aux formules C est essentiellement pour cette raison qu elle a abandonn le projet professionnel qui l a d cid e s inscrire en facult de sciences Limo ges la sortie du lyc e Au d part Delphine n a en effet qu une envie devenir contr leur a rien Ce pro jet la conduit presque naturellement passer un DEUG de math matiques puis Trajectoire SPORT NATURE une licence de physique Le week end elle r serve son temps libre sa passion C est l ge de 18 ans qu elle d couvre le vol libre dans le cadre des activit s sportives propos es par sa facult Au
91. Commission europ enne port Le rapport d Helsinki Livre blanc sur le sport 11 07 07 Commission europ enne n mg mmy Sites internet Portail europ en sur le sport Direction g n rale ducation et Culture http ec europa eu Quelques outils op ra tionnels Le caract re transversal de la politique europ enne du sport lui permet de b n ficier du soutien de programmes communautaires dans de nombreux domaines Jeunesse en action Avec le programme Jeunesse en action la Commission europ enne favorise les changes entre jeunes Europ ens l occasion de manifestations sportives L agence fran aise d savil AFPEJA implant e l Institut national de la jeunesse et de l ducation popu laire est charg e au nom de la Commission europ enne de la mise en uvre et du d veloppe ment du programme europ en Jeunesse en action en France Pour en savoir www jeunesseenaction fr Europe pour les citoyens Le sport est un des moyens qui permettent de promouvoir la citoyennet active Ce programme peut financer des v nements sportifs qui affichent cet objectif Pour en savoir http eacea ec europa eu Programme Sant publique 2007 2013 Le sport est un des moyens qui permettent aux objectifs de ce programme de se r aliser en particulier le second Promou voir la sant Ce programme finance ainsi des op rations spor tives ax es
92. Et rappelez lui qu il se devra de pr ciser son projet en une s rie d objectifs et d enjeux tape 1 Le pro jet doit tre d fini comme une r pon se une appr cia tion la plus objec tive possible de la r alit r alit de l environnement conjoncture mar ch concurrence r alit des points forts et faiblesses de la structure et ou du secteur 5 Source Rep re Avise Questions europ ennes n 1 FSE et acteurs de l ESS l essentiel de la programmation 2007 2013 T l chargement depuis le site de l Avise wWwww avise org Identit Valeur Tableau de d finition des enjeux Nature des enjeux Enjeux prioritaires Enjeux secondaires COMMENT FAIRE Conseils pour pr parer le d p t d un dossier dans le champ culturel m 1 Observez et d cryptez les enjeux et volutions europ ens dans votre domaine artistique votre secteur professionnel votre soci t ou sur votre territoire Quelles sont les recherches en cours les formes artistiques mergentes Quelles sont les mutations profes sionnelles qui caract risent votre secteur l chelle europ enne Quels sont les probl mes et d fis europ ens auxquels vos territoires Local r gional transfrontalier etc ont r pondre aujourd hui m2 Analysez plus pr cis ment lim pact direct de ces enjeux et volutions sur votre structure et vos pratiques Quels sont les facteurs les plus d terminant
93. F d ration nationale des centres d initiatives pour valoriser l agriculture et le milieu rural MRJC Mouvement rural de jeu nesse chr tienne Culture et Libert ils ont cr un site internet d di la cr ation d activit D Source www afip asso fr Pour en savoir wwvw globenet org fiches Pratiques Entente des g n rations pour l emploi et l entreprise L G E propose une assistance sur les domaines suivants d marches administratives struc tures juridiques montage finan cier plan d action business plan Pour en savoir wwvw egee asso fr Les formations qui Il existe d autres pr parent la cr a r seaux de cadres tion d entreprises retrait s comme sont nombreuses PIVOD Ecti Res aujourd hui Ne les sac Volontariat ou n gligez pas rien ne encore AGlRabcd vaut une bonne dyna qui aident b n vo mique de groupe pour lement les cr a La Fabrique initiatives La Fabrique initiatives structure et anime un r seau de capteur d id es et organise la rencon tre avec les porteurs de projets et l ensemble des acteurs de l ac compagnement r seaux de la cr ation d entreprise financeurs collectivit s r seau de l cono mie sociale et solidaire pour faire merger et d velopper des entreprises viables et p rennes en mettant en relation sur un ter ritoire l ensemble des ressources et outils pouvant tre mobilis s pour
94. Fran ais et le tou risme responsable Les Fran ais ne limitent pas le tourisme durable sa seule dimension environnementale Ils d clinent un mod le conciliant la protection de l environnement avec l ouverture culturelle et le d veloppement social et cono mique des pays d accueil et au final leur d finition du tourisme durable rejoint sur bien des points celle retenue par les organisa tions internationales S Source CR DOC Le tourisme durable l tranger ou la possibilit d un autre voyage Cahier de recherche n 269 D cembre 2009 Les Fran ais s duits par le con cept de voyage responsable et qui Le pratiquent d j 90 des Fran ais attendent avant tout de leurs vacances un contact avec les populations locales et 80 d entre eux estiment que le respect de la nature est primor dial autant que le d paysement 16 des voyageurs d clarent tre d j partis en voyage responsable Les Fran ais pr ts tre plus responsables en vacances 87 des voyageurs sont pr ts faire confiance un label garan tissant que leur voyage respecte les principes du tourisme respon sable 83 sont pr ts choisir en fiches Sectorielles Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles A No Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises priorit une agence de voyages qui a une d marche responsable et 85 sont d sireux de conna tre
95. L essentiel sur les statuts r cents Financements Les incontournables La politique europ enne 2007 2013 lacultture etle sport neee e e T Les formalit s de cr ation Outils et Ressources Choisir Le bon statut pour entreprendre Obtenir un financement europ en M c nat et concours la cr ation COMMENTS VDM Se Convaincre partenaires et financeurs enanc s par es publiques at a U arm s pour l orienter vers les statuts de ni ignore nee a la nr o ee A cuteur ND NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises our finaliser un projet de cr ation dans ces secteurs comme pour un projet de cr ation d entreprise classique il faut choisir le bon statut et trouver les financements n cessaires au d marrage Balayage des principales caract ristiques du cr ateur et de son projet qu il faut garder en m moire pour consolider un projet d accompagnement LE CR ATEUR ET SON PROJET a njeux objectifs et statut Dans ces secteurs les a priori sur certains statuts traditionnels sont forts alors que d autres statuts plus r cents ne sont pas connus Les activit s de spectacles vivants consid r es comme des activit s commerciales licences d entre preneurs soumission aux imp ts commerciaux sont tr s rare ment g r es sous forme d entre Mais quand le cr ateur affiche un
96. PRODISS Syndicat national des producteurs et organisateurs de spectacles 23 boulevard des Capucines 75002 Paris T 01 42 65 73 13 www prodiss org Ses membres sont des producteurs des exploitants de salles des organisateurs de festivals dans le domaine des musi ques actuelles m SYNAPSS USR la m me adresse Le syndicat national des petites struc tures de spectacles union des syndicats r gionaux regroupe essentiellement des structures associatives li es des salles de spectacles m SYNDEAC Syndicat national des directeurs d entreprises artistiques et culturelles 8 rue Blanche 75009 Paris T 01 44 53 72 10 www syndeac org Les membres du syndicat sont des directeurs de th tres de compagnies et de lieux de diffusion comme les salles de concert La CSCAD Chambre syndicale des cabarets artistiques et discoth ques Fond en 1938 le groupement rassem blait l origine les principaux caba rets artistiques et les tablissements de grandes revues de Paris IL compte actuellement environ 600 membres r partis en spectacles vivants discoth ques environ 280 adh rents et lieux de musique enregistr e m CSCAD 8 rue de Bellefond 75009 Paris T 06 18 41 84 88 www cscad fr Fiches Pro CULTURE Agences publiques ou partenaires institutionnels en charge de l aide au financement ADAMI Soci t civile pour l administration des droits des artistes musiciens
97. PROGRESSER p our en finir avec les id es re ues Fantasque Cr atif D cal Pr curseur Marginal Innovant Difficile Exigeant D codez et Ing nu Solidaire interpr tez T tu D termin autrement Individuel Autonome Laxiste Tol rant Agit nergique Instable R actif Imprudent Audacieux Dilettante Connaisseur D Source SED Conseil Comparez Les 1 Innovation valeurs du cr ateur 2 Esprit d quipe avec les valeurs corporate prioritaires affich es par les 4 Respect grandes entreprises fran aises 3 Int grit 5 Responsabilit D Source Courrier cadre D cembre 2009 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises fiches Projets Mieux nous comprendrons les relations micro plus le mod le macro sera utile V rifier La faisabilit conomique du projet Dans d autres secteurs le cr a teur a plut t tendance n gliger la compatibilit de son projet de cr ation avec son projet person nel pour se concentrer sur la fai sabilit commerciale et financi re de son id e C est souvent l inverse qui se passe avec ce candidat dont les valeurs et la passion d terminent tout autant ce qu il est que ce qu il fait Esther Dufflo Chaire internationale Savoirs contre pauvret 2009 Ce regard repose souvent sur quelques traits dominants dans ces secteurs Les choix vestimentaires et l ap parence g n rale traduisent une ind
98. Une fa on tr s op rationnelle de concilier valeurs et march s Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles PORTRAIT de TERRITOIRE Le Pays basque Une industrie touristique en d veloppe ment au Pays basque pr servant la qua lit de son environnement Le Pays basque s affirme depuis plusieurs ann es en territoire de destination tou ristique avec un axe important dans les diff rents secteurs du sport randonn e p destre golf rugby tennis quitation randonn e cheval et toutes les activit s en eaux vives ou en mer Cet axe est en phase avec les orienta tions de la R gion Aquitaine et de l en semble des acteurs qui r alisent des investissements mettent en uvre des produits et prestations de services professionnels syndicats professionnels collectivit s territoriales CCI et chambre de m tiers Des partenariats se sont d velopp s entre les collectivit s territoriales r gio nales et la CCI de Bayonne Pays Basque notamment par la cr ation d un service Implantations la CCI de Bayonne pour favoriser l installation de grandes enseignes de la glisse Cette action a pour objectif de donner une forte image du ter ritoire dans le domaine des activit s spor tives de cr er un environnement favorable la cr ation de structures compl men taires d inciter la formation et de cr er des conditions favorables la cr ation d emplois et la cr
99. actuelles en Europe notamment gr ce sa transformation en Scic en 2002 Ses valeurs cl s m L art du professionnalisme au service du professionnalisme de l art m Plaisir de transmettre le savoir faire m Respecter et associer dans la cr ativit la dynamique de chacun m S enrichir mutuellement du par tage culturel par l ouverture pour plus d adaptabilit m Cultiver l utopie r aliste dans une approche qui conjugue avant gar disme et pragmatisme Pour en savoir www atlavillage fr home fiches Sectorielles Caract ristiques principales Les caract ristiques du soci tariat Une des principales innovations apport es par la loi sur les soci t s coop ratives d int r t collectif est l introduction d un soci tariat multiple ou multi soci tariat Chaque associ d une Scic est donc identifi par la cat gorie laquelle il appartient qui pr cise la nature de son lien avec la coo p rative Les usagers qui utilisent les produits de la Scic les salari s qui en tirent leurs revenus etc La relation des membres leur coop rative est d une double natu re on parle de double qualit associ et donc responsable et impliqu dans la gestion et le pilo tage de la coop rative li par un int r t ou un besoin auquel la coop rative apporte une r ponse Des r gles de gestion du capital adapt es aux principes de ges tion d sint ress
100. adapt s en Rh ne Alpes Le guide du porteur de projet Mars 2005 mis en ligne sur le site de la Mission tou ristique Rh ne Alpes et des Cahiers de l AFIT Guide de savoir faire tude de march de la population handicap e face l offre touristique fran aise Octobre 2001 fiches Sectorielles Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles larifier les termes de subvention march public et d l gation de service public s impose dans ces secteurs d activit s Quel que soit Le statut choisi par le cr ateur l acteur public sera toujours pr sent dans son projet le plus souvent comme partenaire mais aussi comme client ce titre l acheteur public est pass de La culture de la demande de devis La formalisation de la passation des petits march s publics et de La Lettre de commande aux march s proc dure adapt e Rep res l gislatifs et r glementaires qu il faut conna tre pour accompa gner Le cr ateur dans sa strat gie MARCH S PUBLICS A CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises SUBVENTIONS ET DSP g v est ce qu un march public L article 1er du Code des march s publics en donne une d finition pr cise Un march public est un contrat qui consacre l accord de volont entre deux personnes dot es de la personnalit juridique ce qui exclut notamment toute d cision unilat rale Un march public est
101. ant plusieurs activit s distinctes pourra cons tituer un patrimoine d affectation pour chacune d elles r gime de pluralit de patrimoines affect s partir du 1 janvier 2013 L entrepreneur d termine les revenus qu il verse dans son patri moine personnel non affect Seul le patrimoine professionnel est ventuellement expos aux pour suites des cr anciers de l entre preneur le patrimoine personnel b n ficiant d une protection tout en pouvant servir de gage pour des cr ances personnelles x En cas de fraude ou de d avoi manquements aux obli gations fiscales socia les ou comptables la responsa bilit personnelle du dirigeant est engag e En cas de redressement fiscal ou social le recouvrement des sommes dues s applique la totalit du patrimoine personnel et professionnel R gime fiscal Le r gime fiscal de l EIRL reprend celui de l EURL entreprise uni personnelle responsabilit limi t e mais n entra ne pas la cr a tion d une personne morale C est le r gime de l imp t sur le revenu propre aux entrepreneurs individuels qui s applique par d faut Le b n fice r alis par l EIRL est alors imposable selon les r gles applicables la cat gorie des revenus correspondant la nature de son activit BIC BA BNC L entrepreneur peut opter pour le r gime fiscal des soci t s de capi taux imp t sur les soci t s sans tre oblig de cr er un
102. ateurs Pour celui qui affiche la volont de voir avant de se lancer comme pour celui qui d cide de s engager dans une activit qui va le mobili ser partiellement ou sur une seule saison crire permet de prendre toute la mesure de ce qui se joue et pr pare aux tapes ult rieures qui passeront n cessairement par l laboration de dossiers convaincants fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles I OST Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises I OS aider bien d marrer en quatre tapes tape 1 pr ciser son id e de cr ation Cette tape passe par la clarification et la hi rarchisa tion des motivations et des valeurs qui l animent la d clinaison de l activit et des services qu il veut proposer ainsi que les types de client les qu il entrevoit Cela lui permettra de formaliser ses ambitions r el les et de choisir ses propres indi cateurs de r ussite son revenu sa reconnaissance sociale l impact de son projet sur son territoire sa r alisation personnelle les r sul tats qu il obtiendra aupr s de son public de renforcer la coh rence de ses prestations de ses publics cibles ainsi que des conditions de mise en uvre de son projet impact D s cette tape environnemen proposez lui tal social statut d exposer son id e juridique finance de cr ation ments avec ses en
103. ation d entreprises avec l cole d ing nieurs ESTIA pour la cr ation de produits innovants notamment L tude de march ce stade l accompagnement doit permettre au candidat la dans le domaine sportif entre les diff rents partenaires enga g s dans le d veloppement des fili res sportives et la professionnalisation des activit s li es aux sports de loisirs par la cr ation de deux clusters initi s par la CCI de Bayonne avec ses partenaires EURO SIMA www eurosima com et GOAZEN sur le site de la CCI de Bayonne avec des structures et des entreprises frontali res dans le cadre d changes notamment dans le domaine du tourisme avec un structure sp cifique cr e par les CCI de Bayonne et de San Sebastian et anim e par la CCI de Bayonne Quelques chiffres et observations 13 millions de nuit es soit 33 000 touris tes par jour au Pays basque dont plus de 20 d trangers 19 millions d euros de chiffre d affaires r alis s par 54 structures d activit s spor tives 80 des grandes enseignes de la glisse ont d cid de s implanter au Pays basque v ritables locomotives dans l innovation l emploi la cr ation d activit s directes ou indirectes dans les activit s sportives Decathlon a choisi Hendaye dans une short list de trois sites pour d localiser ses services marketing et recherche pour tous les produits li s l eau confor tant la destination
104. aujourd hui recommand de trouver sur le Net la communaut ou la tribu qui va pouvoir permet tre de tester une nouvelle id e ou d observer la facon dont les clien t les se comportent De la famille aux amis chacun dispose d un r seau potentiel qui IL va falloir chiffrer le projet pour en mesurer la faisabilit Forma liser cette tape est indispensable si on veut passer la phase de cr ation proprement parler ce stade pour aider le candidat la cr ation avancer il faut s assu rer qu il a int gr la notion d tape ne demande qu tre activ pour et qu il peut parler clairement de sa 5 I OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises contribuer transformer une id e en projet Linkedln Viad o Xing et nergies sont les mieux implant s d marche fiches Pratiques COMMENT FAIRE m tape 1 pour l amener pr ciser les grandes lignes de son projet e Quels services ou biens tr s pr ci s ment souhaiteriez vous produire ou exploiter cette tape il est souhaitable d tre clair avec ses intentions e Quel s produit s ou quel s service s seront vendus Dans un projet proposant un ensemble de prestations il y a souvent un pro bl me de lisibilit pour les acheteurs potentiels e quel besoin r pond pr cis ment La prestation e Quelle est son utilit D finissez votre produit service sp cificit
105. ce guide L exhaustivit n est vis e ni dans le choix des sujets trait s ni dans le choix des informations trans mises L objectif premier consiste en effet fournir un corpus mini mal qui permette des sp cialistes de la cr ation d entreprises qui ne connaissent pas ces secteurs et des sp cialistes de ces secteurs qui connaissent mal la cr ation d entreprises d am liorer l accompagne ment qu ils proposent Pour y parvenir le guide s appuie sur une s lection de sites tudes et r f rences diverses qui rassemblent l essentiel de l information utile et en fait la pr sentation sur une cinquantaine de fiches Ce format a t retenu pour permettre au lecteur de disposer d une information synth tis e sur les points cl s du processus d accompagnement et sur les activit s vis es Les principales sources utilis es sont mentionn es au fil du r daction nel et la fin de chaque fiche Des conseils compl tent Les informations transmises Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles u n plan en 3 tapes Le plan du guide est construit en r f rence au processus de cr ation afin de permettre aux accompagnants de trouver facilement les infor mations qui les int ressent Les trois grandes tapes propos es sont connues des acteurs de l accompagnement Elles sont symbolis es par des onglets ronds et color s sur le c t droit de l ouvrage m tape 1 Le candidat a une id e de cr ation Il
106. charge par la commune ainsi que le ou les exercices aux quels elles se rapportent Pour en savoir Consulter l article L 2224 2 du Code g n ral des collectivi t s territoriales sur le site www legifrance gouv fr Il s agit du crit re principal qui dif f rencie les d l gations de servi ce public des march s publics le l gislateur estimant sans le dire express ment que le d l gataire doit g rer ses risques et p rils le service public qu il a la charge d exploiter l inverse si la r mun ration du cocontractant est effectu e par la collectivit et surtout sur la base d un prix sans lien avec les r sultats de l exploitation le contrat doit tre regard comme un march public et non comme une DSP L arr t du Conseil d tat du 6 avril 2007 n 284736 com mune d Aix en Provence Lorsque des collectivit s publi ques sont responsables d un ser vice public elles peuvent d s lors que la nature de ce service n y fait pas par elle m me obstacle d cider de confier sa gestion un tiers Elles peuvent toutefois ne pas passer un tel contrat lorsque eu gard la nature de l activit en cause et aux conditions particu li res dans lesquelles il l exerce le tiers auquel elles s adressent ne saurait tre regard comme un op rateur sur un march concur rentiel Lorsqu elles sont responsables d un service public des collectivi t s publiques
107. cialis s m me de contribuer la mise en place d un projet dit personnalis pour les usagers concern s Cette tendance a t confort e par la loi du 2 janvier 2002 en introdui sant l obligation pour les tablisse ments et services sociaux d valuer leurs activit s et la qualit de leurs prestations La question de la qualit de vie pro pos e aux usagers fait l objet de toutes les attentions et valuations Pour y parvenir les organismes proposent notamment aux usagers de choisir leurs loisirs Pour en savoir et Les Cahiers de l Actif Sur le sujet Lois et r glements faisant r f rence la notion de projet de pour la personne accompagn e par un tablissement ou service social et m dico social de l Agence nationale de l valuation et de la qualit des ta blissements sociaux et m dico sociaux fiches Sectorielles Sur deux structures ducatives pour Les jeu nes qui s appuient sur des prestataires sportifs FOCUS mLes structures d accueils col lectifs de mineurs caract re ducatif La d nomination des accueils pour mineurs pendant les vacances et pour les loisirs a volu Ancien nement centres de vacances et de loisirs ils sont aujourd hui regrou p s sous l appellation g n rique accueils collectifs de mineurs caract re ducatif article L227 1 du Code de l action sociale et des familles Ces accueils sont r gl
108. com munication r alise la maquette du journal de l association un impri meur reproduit ce journal en 1 000 exemplaires On parle encore de m c nat sans contrepartie directe mais de con trepartie d image lorsque Le nom du m c ne figure sur les op ra tions r alis es par l organisme ayant b n fici du don quels que soient le support et la forme l exception de tout message publi citaire D Source http crd irma asso fr Sur musique et m c nat Les entreprises peuvent d sormais admettre en d duction les sommes correspon dant au prix d acquisition d instru ments de musique Pour b n ficier de la d duction l entreprise doit s engager pr ter ces instruments titre gratuit aux interpr tes qui en font la demande Pour en savoir Consulter Associations cultu relles et m c nat d entreprise Comment aborder la recherche de partenariats priv s CNAR OPALE 2008 www bretagne mecenat fr fiches Pratiques IR Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles ND O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises SUr RSE et d velop pement durable m L application au monde de l entreprise du d velop pement durable est la RSE res ponsabilit sociale des entreprises ou responsabilit soci tale des entreprises Elle affirme la responsabilit des entreprises au del de la recher che de croissance et
109. conclu titre on reux L objet du march Un march public est un contrat qui doit r pondre aux besoins de l Administration en mati re de fournitures de services ou de tra vaux D s lors que le contrat porte sur des prestations susceptibles d tre fournies par un autre orga nisme public ou priv et dont le prix de revient peut tre d termi n de fa on relativement pr cise le r gime juridique des march s publics doit s appliquer fiches Sectorielles i Un contrat de fourni d CO ture de services peut tre qualifi de mar ch public m me en l absence de r mun ration directe par la col lectivit En effet la r mun ration du service rendu peut prendre la forme d une exon ration de rede vance La collectivit abandonne alors un produit au profit du pres tataire La notion de besoin de la personne publique Dans tous les cas le march doit avoir pour objet la satisfaction de besoins propres directs li s au fonctionnement m me des servi ces de l Administration ou bien de besoins propres indirects li s la mise en uvre des comp tences exerc es par l Administration Ils comprennent non seulement les besoins li s son fonctionnement propre ex des achats de four nitures de bureau d ordinateurs pour ses agents de prestations d assurance pour ses locaux etc mais galement tout le champ des besoins li s son activit d int r t g n ral et
110. concr tiser un projet d en treprise sociale L Avise est l organisation porteuse du concept et de son exp rimenta conforter la d marche teurs Fees tion En 2008 cinq territoires d ex cr ation Ils d veloppent des approches centr es sur les partenariats territoriaux L ADEFPAT et l ADEPFO Ces deux structures interviennent dans le Massif pyr n en et dans la R gion Midi Pyr n es Elles s appuient sur des partena riats territoriaux pour accompa gner le cr ateur avec l appui d un consultant formateur Les projets accompagn s sont essentiellement situ s dans des zones rurales ou de montagne Pour en savoir www adefpat fr et www adepfo a5so fr Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles p rimentation ont t identifi s Aquitaine Haute Normandie le de France Languedoc Rous sillon et Rh ne Alpes Un par tenariat national a t formalis autour du concept de Fabrique initiatives avec la Caisse des d p ts la fondation MACIF et le r seau Entreprendre Pour en savoir wwvw avise org La Ruche Oxalis La Ruche a pour objectif de favo riser l acc s la cr ation d entre prises des porteurs de projets rencontrant des difficult s pou vant tenir soit la personne par exemple un mauvais gestionnai re soit la nature de l activit soit aux particularit s du terri toire territoires ruraux du Pays fiche
111. convention et ses annexes en cas d acceptation du dossier pr sent La fa on dont elle est rem plie et le mode de fonctionnement du projet d crit dans le dossier vont alors devenir conventionnels et serviront de base aux contr les ult rieurs Il est donc primordial de bien comprendre les enjeux des diff rentes parties d une demande de concours Pour finir il est bon d avoir en m moire que les financements europ ens peuvent intervenir pour tout ou partie du projet de cr ation ou de d veloppement d une structure En d autres ter mes rien n est exclu b timents mat riel promotion d marche qualit produit v nementiel lt Les fonds structurels d I interviennent en rem boursement Pr voir de la tr sorerie sur 18 24 mois est donc indispensable fiches Pratiques Il faut identifier La valeur ajout e de l intervention euro p enne r soudre les probl mes tels qu ils se posent aux publics et aux territoires vis s prendre en compte ce qui existe d j et l enrichir Dans tous les cas les fonds europ ens maximisent le sensetles r sultats de l action vis e et permettent aussi de mieux r pon dre aux attentes du fonds vis FSE FEDER Un point de m thode Invitez Le cr ateur dresser une liste de questions qui peu vent r v ler les opportunit s ou les probl mes aux quels peut r pondre une op ration un produit sa nou velle structure
112. couter et s appuyer sur ses convictions Portrait de l entreprise Code NAF 85512 Convention collective Sport Date de cr ation 15 01 2000 Imvesissement 4 000 la premi re ann e 6 000 la deuxi me initial Forme juridique Entreprise individuelle Chiffre d affaires 2008 89 000 2009 78 000 2010 78 000 Progression du CA Stable avant 2008 20 an Personnel En saison 4 5 personnes re Animation d couverte du tir l arc entra nement Activit s i x formation d entra neur Coordonn es m Wwww tiralarc fr Trajectoire SPORT a D 5 a D r E g a B 2 Fe Le S D n 2 S a D a E 5 C2 OO CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises co Eze UN P RE DEUX MAIRES ET PR S DE 90 KG DE PERS V RANCE SES LRAAINES 45 Hakim OUNISSI C est sa premi re entreprise et il en est fier Pour en arriver l il a d faire preuve d une pers v rance remarquable et d une nergie qu il a puis e dans la reconnaissance de sa famille et La confiance que lui ont accord e deux maires et une entreprise priv e pour d marrer on parcours C estdansles clubs de handball qu ila fait ses classes loin de l ambiance des sal les de remise en forme Le hand c est un sport de comp tition et La comp te on conna t a dans la famille Ounissi Hakim le septi me d une frat
113. cu rit sont en effet tr s encadr s En prin cipe toutes les salles de spectacle ont obtenu l agr ment de s curit mais cela fait partie des premi res questions poser au bailleur de la salle Dans un lieu inhabituel il faut obtenir un avis favorable de la commission de s curit pour l accueil de public Pour en savoir Toute la pr vention des risques retrouver sur www cfpts com ainsi qu une bibliographie th matique de s curit ERP tablissements recevant du public www securite spectacle org le guide de la s curit dans le spectacle par l Agence culturelle d Alsace M mento de la s curit dans le spec tacle vivant DGCA minist re de la Culture et de la Communication guide en cours de r actualisation De plus les postulants une licence d exploitant de lieux de spectacle doivent avoir suivi une formation la s curit des spectacles ou justifier la pr sence dans l entreprise d une personne quali fi e dans le domaine de la s curit Les spectacles forains et exhibitions dans les lieux publics sont soumis autorisation municipale Les th tres ambulants ne sont tenus si besoin est qu au permis de stationnement Pour en savoir Un recueil de textes sur la s curit des lieux de spectacle par Eric Joly est diffus par l IRMA www irma asso fr Document ERP sur le site APCE www apce com es aides Les aides publiq
114. culture de l cono aussi une affaire implique et participe au mie et de l entre de bon sens et avanttoutun d veloppement prise dansle secteur de capacit projet conomique d initiatives dans du sport W d observation qui tient la route la d marche de etunservice quiasa cr ation place sur le march Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises fiches Projets fiches Projets Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ccompagner la d marche de cr ation dans d autres secteurs assure la ma trise des outils et m thodes qui vont permettre aux cr ateurs de franchir cette tape La principale difficult c est la connaissance des march s et des personnes ressources Pour progresser dans l accompagnement ce stade il faut se donner les moyens de convaincre m me les plus r ticents DES PISTES POUR PROGRESSER p our en finir avec les id es re ues On veut arbitrer ses achats tre acteur D codez et On vit de plus en plus interpr tez vieux autrement Pour tout cela on veut de l aide du la capacit service o on veut quand on veut du candidat la cr ation On vit la r volution r pondre technologique au nouveau contexte Le durable et Le solidaire marquent conomique l entr e dans l re de la raret et soci tal On vit en sachant tout sur tout L re du bling bling est potentiel lement l
115. d l gation de service public ou d une subvention Pour autant il n a pas tort de con sid rer l acteur public comme un client un client dont les exi gences ne sont pas tout fait Les m me que les autres a tombe bien ce candidat la cr ation Pour mieux peut afficher des appr hender valeurs qui sont en le p rim tre correspondance de son projet avec les notions invitez le d int r t g n ral et publique d finitions qui qui fondent l inter permettront vention de l tat et tous d yvoir des collectivit s plus clair territoriales une tude de march solide peut lui permettre d en mesurer la fai sabilit de d gager une strat gie adapt e et de trouver les appuis dont il aura besoin dans la phase d installation Les r seaux d accompagnement la cr ation d entreprises ainsi que les nombreux ouvrages qui s adressent aux cr ateurs livrent des m thodologies types souvent con ues sur un mod le proche Une trame est propos e dans les fiches pratiques de cette tape Petits conseils pratiques prodi guer dans tous les cas y consacrer le temps n cessaire croiser deux approches compl mentaires la recherche docu mentaire et les contacts directs interroger le plus possible d ex perts de son secteur d activit gt gt et ne pas h siter Faire preuve modifier ou retarder la fois de rigueur son projet en l adap et de souplesse tant aux
116. d part on ne peut pas dire que cette pra tique sportive soit une r v lation bien qu elle lui per mette de se retrouver dans le milieu qu elle affectionne le plein air En revanche elle y trouve ce qu elle recherche et qui d termine d j son choix comme dans tout ce qu elle entreprend le facteur humain Le choix du vol Libre c est d abord la rencontre avec des gens plut t qu une activit C est dans le Cantal qu elle d cide d effectuer sa semaine de stage d ini tiation Comme le courant passe avec je ne veux plus entendre purement th oriques les gens qui tiennent cette cole elle y revient l t suivant puis tous ceux qui suivent Les deux premi res saisons elle fait les navettes et la troisi me ann e elle est monitrice On est en 1998 quand Delphine choue de 13 100 son concours l ge de 21 ans elle subit son premier chec et les cons quences sont irr ver sibles sur ce projet qui lui tient c ur depuis des ann es Avoir chou de si peu sans avoir rencontr un seul exa minateur auquel elle puisse expo ser ses motiva tions cela sus cite en elle la r volte et provoque une remise en cause qui va changer le cours de sa vie a m a d cid e prendre une ann e sab batique pour apprendre d autres choses rencontrer d autres gens Apr s cet chec parler d tudes Pour tourner la page elle d cide de partir dans le Sud C est da
117. d administration ne sont pas r mun r s pour leurs fonctions de dirigeants et ne rel vent par con s quent d aucun r gime social SAS SASU soumise lIR le pr sident est assimil salari SNC r gime des travailleurs non salari s taire est travailleur non salari ND I Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises sur l affiliation au r gime social des artis tes auteurs Les artistes auteurs peu vent percevoir comme r mun ra tion le produit des ventes de leurs uvres et des droits d auteur Ces revenus artistiques permettent de d terminer l affiliation ou non des personnes au r gime social des artistes auteurs et servent de base pour le calcul du montant des cotisations sociales Une circulaire tend la liste des revenus artistiques notamment aux revenus issus de la conception de l uvre ex bourse prix d un concours de la location d uvres de la lecture publique d une ou plusieurs uvres etc Par ailleurs elle pr cise que des revenus accessoires peuvent ga lement tre rattach s aux reve nus artistiques uniquement pour le calcul des cotisations sociales sous certaines conditions mla personne doit d j tre affi li e au r gime social des artistes auteurs mlactivit g n rant ces revenus doit tre accessoire et ponctuelle m l activit ne doit pas tre assimi lable du salariat m Les revenus ne doivent
118. d entreprises et d organisations associations coop ratives et mutuelles fondations ainsi que certaines soci t s but social SA SARL Ces initiatives socio conomiques partagent des principes communs gouvernan ce d mocratique non lucrativit individuelle libert d adh sion ind pendance Une part d entre elles se r f re galement des finalit s de solidarit souvent ax es sur le d veloppement local la coh sion sociale et la lutte contre l exclusion insertion par l activit conomique commerce quitable D Source AVISE Devenez entrepreneur social www avise org Un d bat qui ne fait plus d bat 86 des citoyens consid rent que les associations et les entre prises doiventtravaillerensemble 80 des entreprises pensent que les relations entreprises associations vont se d velopper dans l avenir D Source Enqu tes ARPEA Citoyens et ARPEA Entreprises 2008 2009 Le RAMEAU en collaboration avec le MEDEF et IMS ENTREPRENDRE POUR LA CIT Des points communs avec les entreprises quels que soient leurs statuts des comp tences pointues des salaires et des factures fiches Pratiques payer des ch ances en fin de mois des prestations fournir dans une logique concurrentielle des relations avec les pouvoirs publics fond es sur l appel projet ou l appel d offre Mais un risque que l association est seule pre
119. d un dossier Ce site internet permet galement de r aliser en ligne l ensemble des formalit s n cessaires pour le lancement de certaines activi t s r glement es demandes de cartes d autorisations etc Actuellement cette possibilit est offerte dans les secteurs vis s par le guide comme le pr cise le focus suivant fiches Sectorielles SUr les activit s concer n es par le guide faisant l objet d une fiche sp cifique au 15 mai 2011 m L activit d agent artistique www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 96178 m L artisan d art www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 96159 m L artiste auteur www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 95891 m Le centre questre www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 95968 m L cole de danse www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 96074 m Le professeur de danse www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 96111 gt t tout ce qu il ne va pas falloir oublier Des formalit s incon tournables L INPI IL faut v rifier aupr s de l INPI que le nom choisi pour d signer l en treprise ou le produit n est pas d j utilis ou d pos en tant que marque et que le nom de domaine est disponible S il es
120. dans tout tablissement Enseignement du horse ball dans tout tablissement Enseignement du polo dans tout tablissement Enseignement de la voltige dans tout tablissement Enseignement de l quitation western dans tout tablissement MINIST RE DE L ENSEIGNEMENT SUP RIEUR ET DE LA RECHERCHE Licence entra nement sportif fili re sciences et techniques des activit s physiques et sportives Brevet d animateur poney BAP d livr jusqu au 28 08 2007 Brevet d accompagnateur de tourisme questre ATE jusqu au 28 08 2007 Brevet de guide de tourisme questre GTE jusqu au 28 08 2007 Titre finalit professionnelle animateur poney en instance d volution Titre finalit professionnelle accompagnateur de tourisme questre Encadrement de diff rents publics des fins d am lioration de La performance ou de d velop pement personnel dans la les disciplines s mentionn es s dans l annexe descriptive au dipl me mentionn e l article D 123 13 du Code de l ducation F D RATION FRAN AISE D QUITATION Initiation au poney dans tout tablissement Accompagnement et conduite de randonn es questres en toute saison dans tout tablissement dans Le cadre d itin raires et d tapes am nag s et reconnus Accompagnement et conduite de randonn es questres en toute saison dans tout tablissement Initiation au poney dans tout tablissement So
121. de validation sous certaines condi tions permet aux salari s d ob mLes travailleurs ind pendants devront cotiser FAF fonds d as surance formation Ce r le est jou principalement par l AGEFICE Association de gestion du finance ment de la formation individuelle des chefs d entreprises dans le secteur sportif L int r t de la d marche pour un candidat obtenir une qualification et ou se reconvertir tenir une autorisation d absence de 24 heures maximum Qui est concern La VAE permet l obtention de tout ou partie d une certification dipl me titre finalit profes sionnelle ou certificat de qualifica tion professionnelle CQP enre gistr e au R pertoire national Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques 03 OS Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises des certifications professionnelles RNCP sur la base d une exp rience professionnelle salari e non salari e et ou b n vole syndi cale associative et ou volontaire Cette exp rience en lien avec la certification vis e est valid e par un jury x Mile R pertoire national d CO des certifications profes sionnelles RNCP recen se l ensemble des certifications accessibles par la VAE Il est tabli et mis jour par la Commission nationale de la certification profes sionnelle CNCP Seules les actions de VAE visant l obtention d une cert
122. de justifier d une qualification profession nelle particuli re pour ouvrir un organisme de formation profes sionnelle continue Cependant toute personne qui propose des prestations de for mation professionnelle continue doit justifier des titres et qualit s des personnels d enseignement et d encadrement qu elle emploie et de la relation entre ces titres et qualit s et les prestations r ali s es dans le champ de la forma tion professionnelle Article L 6352 1 du Code du tra vail La d claration d activit Les r gles Depuis 2003 chaque organisme qui veut r aliser une action de for mation professionnelle de bilan de comp tences de validation des acquis de l exp rience vis e l article L 6313 1 du Code du travail doit effectuer une d cla ration d activit Cette obligation vise tous les prestataires de for mation professionnelle continue quel que soit leur statut d s lors qu ils interviennent dans un des domainesvis s article L 6313 1 du Code du travail D claration MINVI d activit et sous traitance Cette d claration n est pas obli gatoire si l activit s exerce exclu sivement dans le cadre de la sous traitance mais dans ce cas l exon ration de TVA ne s applique pas Depuis le d cret 2010 530 du 20 mai 2010 les organismes qui pr sentent pour la premi re fois une d claration d activit sont autoris s exercer sans num ro titre temporaire j
123. de l association Le groupe de travail pr sid en 2005 par Jean Francois Collinet a adopt la d finition suivante de la subvention Qu elle s accom pagne ou non d une convention la subvention constitue une contri bution financi re de la personne publique accord e la demande du b n ficiaire et justifi e par des consid rations relevant de l int r t g n ral sans que cette con tribution constitue le prix d une prestation de services ou d une fourniture de biens directement apport e la personne publique La subvention peut tre allou e globalement pour contribuer au financement de l activit de l orga nisme subventionn ou r pondre un besoin sp cifique correspon dant un objet pr cis con u et mis fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 14 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises en uvre par le b n ficiaire Ce projet peut lui m me porter sur une op ration d investissement ou sur une action en lien avec les politiques et l utilit publiques Dans tous les cas le r gime juri dique et financier de la subvention ne rel ve pas du Code des mar ch s publics IL est d termin par les dispositions r glementaires le r gissant compl t es le cas ch ant par les stipulations con tractuelles liant Le b n ficiaire et la personne publique Associations et droit communautaire Les asso
124. de voyager M De nombreuses victi ANR mes d accidents b n ficient d indemnit s qui leur permettent plus ais ment de voyager Globalement plus de 57 des personnes interview es consa crent par semaine de voyage s jour un budget compris entre 300 et 600 et 30 plus de 600 Environ 2 3 millions de personnes vivant leur domicile per oivent une allocation une pension ou un autre revenu en raison d un han dicap ou d un probl me de sant Plus de 5 millions de personnes b n ficient d une aide r guli re pour accomplir certaines t ches de la vie quotidienne pour les m mes raisons SAUT D Source Le handicap se conjugue au pluriel Insee Premi re Octobre 2000 fiches Sectorielles Une client le qui se d place avec des accompagnateurs Quand les personnes handicap es partent en vacances qu elles soient en groupe ou en individuel elles sont tr s souvent assist es d accompagnateurs famille amis ou encore des personnes salari es ou b n voles Ainsi les retomb es conomiques pour les activit s sont d multipli es Taux de d part en vacances des personnes handicap es en France Par ailleurs cette client le qui a besoin d tre s curis e appara t tr s fid le si elle a t satisfaite Enfin l ensemble des profession nels qui accueillent d j cette client le soulignent son compor tement agr able et la richesse de l exp rien
125. des garanties r T La Soci t MIRMA financi re de la Nef La Soci t financi re de la Nef est une coop rative de finances solidaires Depuis sa cr ation en 1988 elle exerce une double acti vit de collecte d pargne et d oc troi de cr dit dans le cadre d un agr ment de la Banque de France Les financements accord s par la Soci t financi re de la Nef per mettent de soutenir la cr ation et le d veloppement d activit s pro fessionnelles et associatives des fins d utilit sociale et environne mentale quels que soient la forme juridique coop rative soci t civile ou commerciale entreprise individuelle associa tion profession lib rale agricul teur etc et le type d activit ind pendan te artisanale commerciale etc Toutes les formes de garantie tra ditionnelles sont possibles hypo th que nantissement caution gage etc Des fonds sp cifiques et des formes de garantie solidaires peuvent galement tre sollicit s 5 Source www lanef com fiches Sectorielles No Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 23 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Le Pr t BON d Savoir la cr ation d entreprise Le Pr t la cr ation d entreprise PCE peut apporter au porteur de projet un montant compris entre 3000 et 8000 sans garan tie ni caution personnelle Il est financ par la Banque de d
126. des asso ciations ou des particuliers La loi de modernisation ARII du march du travail du 25 juin 2008 reconna t la pratique du portage et le d finit comme un ensemble de rela tions contractuelles organis es entre une entreprise de portage une personne port e et des entre prises clientes comportant pour la personne port e le r gime du salariat et la r mun ration de sa prestation chez le client par l en treprise de portage Il garantit les droits de la personne port e sur son apport de client le La couveuse d activit s La couveuse permet de tester une activit acheter et vendre sans s immatriculer et de cr er une entreprise apr s avoir v rifi sa viabilit La couveuse a de nombreux avan tages sp cifiques 1 Pour le cr ateur le passage en couveuse favorise l appropriation par les porteurs de projets des divers aspects du fiches Pratiques No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles COMMENT FAIRE 1 pour concr tiser les d marches 1 du portage salarial L op ration de portage n cessite la conclusion de deux voire trois contrats m Un contrat de prestation de service sign entre l intervenant la soci t de portage et le client Il s agit d un contrat classique qui doit mention ner la nature de la prestation effec tuer les dates de d but et de fin de la mission ainsi que les modalit s de paiement m Un contrat de trav
127. des partenariats dans le sport Finalit poursuivie Nature du partenariat Type de FELIENRILES formalisation Implication Minist re des strat gique lettre comit de 3 image Sports et financier d engagement pilotage Conseil Le comit de Re strat gique convention image r gional pilotage Conseil financier image et d velop et convention pement de la g n ral strat gique pratique sportive Communaut comit technique courrier politique de Communes technique contr le et politique sensibilisation la comit de pilotage mat riel cahier des et charges PNR strat gique autorisation comit de pilotage et comit technique pr servation environ nementale No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques ND OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Il est conseill de r gler en bin me les termes du partenariat avant de mobiliser l ensemble des partenaires poten tiels pour que les rencontres collec Les changes for mels comme infor mels permettent d arr ter un projet dans des termes qui conviennent tous les partenaires Il suffit parfois d une seule r union collec tives permettent d avancer au plus vite et au mieux COMMENT FAIRE pour am liorer l appui conseil ce stade souvent plus m 1 Analyser la demande du porteur de projet pour lui pr
128. deux points ambitions Pour en savoir Pour obtenir des informations sur la l gislation relative son activit se reporter la rubrique informations sectorielles du site de l APCE et se procurer la fiche professionnelle correspondant son activit sur ce m me site ou sur le site de l AVISE s il en existe une Si une de ces fiches corres pond au projet de votre cr ateur vous y trouverez de nombreux l ments de r ponse et des clai rages tr s pertinents tape 2 identifier ses contraintes Qu il s agisse de la nature du produit ou de la prestation de l tat du march celui ci peut tre mergent o au con traire satur ou en d clin de la client le peu solvable tr s loign e du territoire peu peupl faible ment irrigu par les moyens de communication difficile d acc s fiches Pratiques COMMENT FAIRE 7 pour Le guider dans sa r flexion Quelle activit allez vous proposer ou vendre Quelle est sa finalit principale quel s types de clients s adresse cette activit ou ce produit Avez vous rep r vos concurrents Avez vous pens sa promotion Aussi talentueux soit il le candidat la cr ation ne pourra r ussir son projet que s il est capable de r pondre un besoin de le faire savoir et de trouver une place sur le march Quelle est votre motivation profonde pour entreprendre gag
129. du 13 octobre 2005 fiches Pratiques No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND O NS Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Le devoir de transparence des organismes b n ficiaires Les organismes b n ficiaires de dons de personnes physiques ou morales doivent assurer dans des conditions d termin es par d cret en Conseil d tat la publi cit par tous moyens et la certifi cation de leurs comptes annuels au dessus d un montant de dons de 153 000 par an Cette disposi tion tend une obligation de tenue d une comptabilit non seulement pour toutes les associations et fondations mais aussi pour tout organisme public Les collectivit s terri d Sd toriales jouent un r le majeur en mati re de soutien la culture Les entrepri ses sont en contact r gulier avec ces collectivit s IL y aura donc un grand int r t associer les collec tivit s une d marche locale de m c nat Elles sont par ailleurs ligibles au m c nat La Cour des comptes est d sor mais en charge de l exercice des contr les En cas de doute v rifiez aupr s de l administration fiscale que l organisme peut recevoir des dons ligibles aux r ductions d imp t et mettre des re us fiscaux Pour en savoir www mecenat culture gouv fr et sur le site www impots gouv fr rubrique contacts les coordonn es des correspondants assoc
130. durable du tourisme requiert la participation en connaissance de cause de tous les acteurs concern s ainsi qu une forte direction politique pour assurer une large participa tion et l existence d un consensus Le tourisme durable est le fruit d efforts permanents et il exige le contr le constant des effets de cette activit ce qui suppose l adoption chaque fois qu il y a lieu de mesures pr ventives et ou correctrices n cessaires Pour en savoir Consulter le site de l OMT http unwto org fr La commission europ enne L Europe a quant elle com menc l gif rer La Commis sion a identifi le d veloppement durable comme un des aspects au fondement de la qualit et de la comp titivit de l industrie tou ristique Elle a par ailleurs pr sent fin 2007 un Agenda 21 pour un tourisme europ en durable et comp titif Agenda for a sustai nable and competitive European Tourism Elle appuie ce faisant les initia tives des tats membres et des acteurs du secteur une imp rieuse n cessit au regard de l attractivit du continent en la mati re l Europe attire en effet la moiti des touristes internatio naux dans le monde D Source COM 2007 621 consultable sur le site EUR lex Au niveau national Le Sommet de Rio La France s est engag e Rio lors de la conf rence sur l envi ronnement et le d veloppement mettre en uvre l Agenda 21 de Rio progra
131. e Les associ s qui concourent la constitution du capital sont des personnes physiques ou morales qui ont un int r t direct ou indi rect l activit de la coop rative ou bien des personnes physiques ou morales qui entendent sim plement contribuer par l apport de capitaux la r alisation des objectifs de la Scic Une des caract ristiques les plus remarquables des coop ratives est la constitution de r serves dites impartageables Une des autres caract ristiques des coop ratives est l impossi bilit pour les associ s de r ali ser des plus values sur les parts sociales qu ils d tiennent Les parts sociales de coop ratives ne sont pas vendables elles sont rembours es l associ lors de son d part leur valeur nominale c est dire au montant d bour s par l associ lors de la prise de parts MELA proc dure d agr ment Le d cret en Conseil d tat n 2002 241 impose aux Scic d tre agr es par la pr fecture du d partement de leur si ge social Cet agr ment est attribu pr alablement l immatriculation au registre du commerce et des soci t s dans le cas d une cr a tion ex nihilo et pr alablement toute modification de l immatri culation quand la Scic est issue d une transformation d une per sonne morale pr existante L agr ment est donn pour une p riode de cinq ans Le pr fet peut tout moment au cours de la p riode quinquennale
132. effet au 1 janvier qui suit IL faudra alors selon l activit s immatriculer au registre du commerce et des soci t s ou au r pertoire des m tiers Pour en savoir www lautoentrepreneurfr IRL pour prot ger le patri moine personnel du cr ateur Depuis le 1 janvier 2011 les entrepreneurs individuels peu vent choisir le nouveau sta tut d entrepreneur individuel responsabilit limit e EIRL qu ils soient d j en exercice ou l occasion de la cr ation de leur activit D qui s adresse ce dispositif Ce nouveau dispositif s adresse tout entrepreneur en nom pro pre qu il soit auto entrepreneur commer ant agent commercial artisan exploitant agricole ou en profession lib rale Il lui permet de prot ger son patri moine personnel en cas de faillite en affectant son activit profes sionnelle un patrimoine s par de son patrimoine personnel sans avoir cr er une soci t D quelles conditions Le patrimoine affect comprend l ensemble des l ments mat riels ou immat riels n cessaires l activit professionnelle dont l entrepreneur individuel est titu laire ou propri taire biens par exemple l quipe ment ou l immobilier droits par exemple droit au bail ou pas de porte obligations ou s ret s par exemple gage nantissement hypoth que privil ge fiches Sectorielles A Un entrepreneur exer d SV O
133. en particulier le minist re en charge des sports elle est depuis organis e tous les deux ans sur le territoire national pour rendre compte des volutions de la fili re Apr s Besan on Clermont Ferrand et Nantes la premi re di tion europ enne a t organis e Annecy en octobre 2011 E Sur le p le ressources national des sports de nature Le p le ressources national des sports de nature estune mission d appui au minist re des Sports Cr en 2004 dans le cadre de la politique de d veloppement ma tris des sports de nature il anime un r seau d acteurs du tourisme du sport de l environnement et des territoires Ces derniers peuvent valoriser leurs exp riences ou par tager leurs projets lors des rencon tres nationales du tourisme et des loisirs sportifs de nature partir de 2011 ces rencontres prennent une dimension europ enne Le p le ressources national des sports de nature et son r seau national apporte de l expertise dans les domaines suivants m l organisation de manifestations sportives et le soutien aux associa tions sportives m l acc s aux lieux de pratique m l emploi et les m tiers m la mise en place d actions duca tives mla r glementation des sports de nature m la connaissance des pratiques et les pratiquants Des r f rents sports de nature ont t mis en place au sein des ser vices d partementaux et r gio naux de l tat ainsi qu au se
134. est particuli rement apparente en ce qui concerne la danse le th tre l op ra les concerts de jazz ou de musique classique mLa proportion de personnes qui n ont jamais assist un spectacle vivant diminue r guli rement mais elle reste lev e dans certains domaines elle est de l ordre de 80 pour l op ra de 70 pour les concerts de musique classique de 40 pour le th tre professionnel D Source Francoscopie 2007 G rard Mermet Fiches Pro CULTURE m Le public vis est celui gagn par les spectacles mais pas seulement il s agit d attirer les jeunes de d velopper des partenariats avec l ducation nationale et les coles et de s adresser ceux qui ne poss dent pas les outils de compr hension de l offre artistique En 1997 En 2008 0 fois an 53 51 1 2 fois 23 26 h 3 fois et 24 22 sur 100 Fran ais de 15 ans et plus concernant la fr quentation un spectacle vivant D Source Enqu te sur les pratiques culturelles des Fran ais 2008 Les tendances par type de spectacle Le th tre Le mode principal de diffusion du spec tacle vivant reste les lieux d accueil th tre centre culturel cirque etc Le th tre antidote au formatage m diati que n a jamais attir autant de monde dans les salles Paris comme en pro vince 3 Source Avignon en sc nes 2009 La musique c t des grandes r alisations de l tat les collectivit s
135. et ces dur es de s jour sont sup rieurs aux moyennes nationales Cf tude men e en 2008 par TRACES TPi pour le compte de la DRJS et le conseil r gional d un point de vue territorial on est aussi capable de mesurer le poids d une fili re d activit sur un territoire Ainsi en Rh ne Alpes le poids de la fili re du vol libre sur le bassin ann cien est valu 3 2 millions d euros pour l ann e 2008 Cf tude men e en 2008 par FIGESMA pour le compte de la DRJS le poids des v nements sportifs de nature est aussi tr s important pour les territoires et l on peut affirmer qu il existe une v ritable offre touristique de l v nementiel sportif de nature titre d exemple la Semaine f d rale de cyclo tourisme a g n r 4 944 058 en 2008 dans le d partement du Maine et Loire D Source tude men e par TRACES TPi pour le compte de la F d ration fran aise de cyclotou risme et du P le ressources national des sports de nature Pour en savoir Les r sultats des tudes impact co nomique de l v nementiel sont en li gne sur www sportsdenature gouv fr rubrique Manifestations sportives va luation des retomb es conomiques Mile minist re charg des d Savoir sports et celui charg du tou risme travaillent actuelle ment la mise en place d outils et de m thodes d valuation de l impact co nomique des sports de nature Seuls les travaux trai
136. et il privil gie en toutes circonstances son libre arbitre Rapidement les deux artistes d cident de vivre de et par leur passion commune pour l art et le spectacle vivant Pendant quatre ans ils font des tourn es interna tionales elle sous les feux de la rampe et lui La gestion L aventure s est de la sc ne et de d velopp e d s sa carri re ce le d part autour de qui n emp che comp tences pas Laurent de compl mentaires poursuivre ses tudes de droit En 1985 l occasion d un week end en famille l adjoint la Culture de l poque l invite installer sa compagnie professionnelle Aurillac du temps o la ville est sc ne nationale Cette propo sition les am ne se lancer dans cette nouvelle aventure sans r serve Pendant cinq ans ils vont faire des allers retours Paris pour trouver des danseurs Mais c est un chec car les dan seurs ne sup portaient pas l loignement de la capitale En m me temps Laurent devient le premier notaire salari de France puis notaire associ il faut pouvoir nourrir leur petite famille qui s est agrandie avec l arriv e de deux enfants Il fallait repartir de z ro et faire en sorte que l exp rience artistique vive partir du territoire Pour r ussir ce nouveau d part ils d ci dent de s investir dans un lieu suscepti ble de porter leur ambition La d couver te d une ancienne fabrique de parapluies d saffect e le
137. europ ens m 3 Veiller ce que les montants demand s couvrent l investissement humain de la gestion de ce type de dos siers m 4 Ne pas oublier d int grer les mises disposition de biens et de personnes ou le b n volat dans les budgets m 5 R aliser une fourchette haute et une fourchette basse du budget int grant des variations possibles de sub ventions ou de contributions li es au nombre de participants pour une mani festation sportive ou culturelle m6 Mettre en place un outil de suivi administrativo comptable adapt la complexit des fonds g r s et veiller disposer d une proximit de travail avec la personne qui aura en charge cette mission 7 Ne pas oublier de respecter la r gle des appels d offre pour les pres tations et mat riels achet s ou lou s m 8 Ne pas oublier de mettre en place un suivi de tr sorerie bien souvent n cessaire m9 Le projet crit est souvent le seul outil dont le financeur disposera pour valuer le projet soigner la forme et soigner le fond Dans un contexte de rationalisation budg taire publique les montants r colt s quels que soient Les financeurs concern s renvoient la qualit de pr paration de l op ration et l opportunit qu elle repr sente pour les partenaires financeurs fiches Pratiques L e d p t du dossier Quelques r gles Le r dactionnel doit tre compr hensible pour un lecteur ext rieu
138. faut rajouter les b n voles soit une moyenne totale de 7 personnes par tablissement m 900 000 quid s vivent en France fin 2008 dont les 3 4 interviennent dans le sport et les loisirs m Plus de 27 000 preuves sont organi s es tous les ans Source www haras nationaux fr La client le L quitation est pratiqu 70 par des mineurs aLa pratique r guli re de l quitation concerne plus de 1 5 million de Fran ais m Plus de 500 000 cavaliers sont licen ci s dont 75 de femmes m On compte 8 cavaliers licenci s pour 1 000 habitants m Environ 1 novice sur 2 renonce l qui tation au cours de la premi re ann e de pratique Fiches Pro SPORT mLe nombre de cavaliers licenci s poney a tr s fortement augment depuis 15 ans Depuis 2003 il d passe le nom bre de cavaliers ayant une licence cheval La tendance se poursuit avec une pro gression du nombre de cavaliers poney 3 fois sup rieure celle cheval D Source FFE O SC enqu te Sociovision 2006 m Le prix moyen de l heure factur e est de 13 pour un adulte et de 12 pour un enfant m 13 des licenci s voyagent cheval m2500 g tes et fermes questres les accueillent Co t d installation L investissement de d part est tr s varia ble de 30 000 plusieurs 100 KE Il se r partit essentiellement de la fa on suivante 20 box entre 60 000 et 160 000 une sel
139. fixe et un pourcentage sur les r sultats de l exploitation La collectivit est charg e de la direction de ce service Le r gis seur int ress assure la gestion du service pour le compte du fiches Sectorielles d l gant et dispose par cons quent d une autonomie limit e En fonction du niveau de risque assur par le d l gataire la r gie int ress e r sultera d un simple march public ou d une d l ga tion de service public a g rance C est un mode de d l gation de service public fond sur les m mes principes que la r gie int ress e Elle a t ainsi d fi nie par une circulaire n 75 634 du 13 d cembre 1975 Fond sur les m mes bases que la r gie int ress e le contrat de g rance s en distingue dans la mesure o la collectivit d cide seule de la fixation des tarifs diff rence fondamentale avec les march s publics De plus la collectivit conserve le b n fice ou en cas de d ficit rembourse celui ci au g rant qui per oit une r mun ration forfai taire Le risque est en cons quence assum par la collectivit La r mun ration du g rant peut le cas ch ant tre compl t e par des primes li es la gestion du service ce qui loigne quel que peu la g rance de la r gie int ress e W Pour en savoir La subvention publique le march pu blic et la d l gation de service public Mode d emploi dossier mis e
140. formations dispens es au titre de la formation profes sionnelle continue la r partition des fonds re us selon leur nature et le montant des factures mises par le pres tataire les donn es comptables relati ves aux prestations de formation professionnelle continue les produits financiers tir s du Sant www travail emploi sante gouv fr placement des fonds re us Article R 6352 22 du Code du travail Pour en savoir Consulter la notice explicative www opuscitatum com formulai res 50199_05 pdf O TROUVER L INFO Les autorit s comp tentes m Direction r gionale des Entre prises de la Concurrence de la Consommation du Travail et de l Emploi DIRECCTE ou m Direction du Travail de l Emploi et de la Formation profession nelle DTEFP en outre mer Quelques textes de r f rence m Articles L 6311 1 L 6314 1 D 6312 1 et D 6314 1 du Code du travail sur les dispositions g n rales de la formation profession nelle continue m Articles L 6351 1 L 6355 24 et R 6351 1 R 6353 1 du Code du travail sur les organismes de formation m Arr t du 30 septembre 2002 fixant la liste des pi ces justifica tives d pos es lors de la d clara tion d activit d un prestataire de formation ou devant tre produites sur demande de l Administration m Circulaire DGEFP n 2011 01 du 06 janvier 2011 relative la d cla ration d activit de
141. forme N Il ne faut pas confondre salle d JOVOIF de gymnastique et centre de remise en forme Une salle de gymnastique fait appel d autres types de personnel qualifi d tenteur du brevet d tat de gymnas tique sportive Mais d s lors qu il y a culture physique musique de fond il y a exercice des m tiers de la remise en forme Les qualit s requises m tre dirigeant d un club requiert des comp tences ou des connaissances dans 5 domaines transversaux la ges tion sociale la gestion conomique le management d une petite structure le marketing de services la vente et les r gles de base de l activit physique r cr ative de loisir m tre dirigeant d un club c est savoir faire voluer le concept en se formant aux approches nouvelles et s introduire dans les r seaux et syndicats profession nels pour changer avec les exploitants exp riment s La convention collective Les clubs de fitness et de remise en forme apr s avoir t int gr s la con vention collective ELAC des espaces de loisirs d attractions et culturels devront dor navant appliquer la convention col lective du sport Pour en savoir JORF n 0088 du 15 avril 2010 texte n 54 arr t du 7 avril 2010 portant extension d un avenant la convention collective nationale du sport n 2511 NOR MTST1009606A La d claration d ouverture ou d claration pr alable Une d clarati
142. illustration de la cr ativit d bordante qui r gne dans le secteur des sports et loisirs denatureeeeee INNOVATION SPORTS ET LOISIRS DE NATURE C ontexte et d finitions L innovation peut pren dre des formes diverses dont le succ s d pend de multiples facteurs Innover c est faire mieux am liorer les per formances l efficacit la fiabilit la facilit d utilisation faire diff remment plus sim plement avec d autres m tho des ou partir d autres mati res premi res faire autre chose utiliser ses comp tences et ses moyens pour fournir d autres biens et services faire plus vite en r duisant le cycle de production ou en gagnant en r activit faire moins cher en optimi sant le process en changeant le design faire ensemble en augmentant les synergies internes en asso fiches Sectorielles ciant les clients et les fournis seurs faire plus r sistant plus s r plus facile entretenir plus dura ble plus l ger plus recyclable etc Pour en savoir BLire le rapport Cr ativit et inno vation dans les territoires du Conseil d analyse conomique rendu public en mai 2010 Le manuel d Oslo d finit quatre types d innovation la cr ation d un nouveau produit ou l offre d une nouvelle presta tion commerciale ou de service la mise en uvre de nouvelles techniques pour la production de biens ou la r ali
143. influence d un pays une ressource de pouvoir mobili sable dans le jeu des relations internationales Les classes cr atives La Commission europ enne en faisant de 2009 l ann e de l in novation et de la cr ativit a contribu rendre visible la classe cr ative _11 devenue ces derni res ann es la nouvelle lite capter dans un contexte de concurrence mondiale Incluant les professions artistiques cette nouvelle classe culturelle repose aussi sur le d velop pement des industries cr atives ouvertes aux m dias et Internet Les cadres des fonctions m tropolitaines La pr sence d emplois strat giques est utilis e dans l approche du rayonnement ou de l attractivit d un territoire Le concept de cadres des fonctions m tropolitaines CF M vise offrir une notion proche d emplois strat giques en assurant la coh rence avec les fonctions Les cadres des fonctions m tropolitaines sont d finis comme suit il s agit des emplois de cadres ou les chefs d entreprises de 10 salari s ou plus pr sents dans les 5 fonctions m tropolitaines que sont Conception recherche Prestations intellectuelles Commerce interen treprises Gestion et Culture loisirs S il n y a pas de consensus sur les indicateurs de bien tre ou sur la d finition des classes cr atives le renouvellement de l analyse conomique et statistique en voluant vers des sujets qui touchent de plus en plus la vi
144. interpr tes 14 rue Ballu 75009 Paris T 01 44 63 10 00 www adami org a Association pour Le soutien au th tre priv aide au montage garanties aides l emploi et la reprise emprunts pour travaux et quipement 46 rue Fortuny 75017 Paris D 01 42 27 45 97 www astp asso fr m CNT Centre national du th tre Entre autres aides nationales la cr ation de textes dramatiques accor d es par le CNT p le Auteur www cnt asso fr Les soci t s de droits d auteur sont tenues d affecter un pourcentage des r mun rations des aides la cr ation la diffusion de spectacles vivants et la formation des artistes loi du 3 juillet 1985 Par exemple la SCPP s adresse aux artistes non confirm s et au d mar rage de carri re pour la cr ation de spectacles et les tourn es chanson vari t s Ou encore la Fondation Beaumarchais de la SACD ou l ADAMI voir Les adresses rubrique 5 CNV Centre national de la chanson des vari t s et du jazz 7 9 boulevard des Batignolles 75008 Paris amp 01 56 69 11 30 www cnv fr m Hors les Murs Association nationale pour la promotion et le d veloppement des arts de la rue et des arts de La piste 68 rue de la Folie M ricourt 75011 Paris S 01 55 28 10 10 www horslesmurs com m IFCIC Institut pour le financement du cin ma et des industries culturelles Garantit Les cr dits moyen et long ter me dans les cas de cr
145. juillet 2011 IL suffit d sormais d une simple autorisation crite d livr e par ses parents ou par son repr sentant l gal Pour en savoir www associations gouv fr Si l association sollicite un intervenant ext rieur ce qui est fr quemment le cas dans les secteurs d activit concern s par le guide elle se doit de v rifier la l galit du contrat de prestation de services Contrat de HRVI prestation de services et l galit Dans la l gislation du travail la l galit du contrat de prestation de services est remise en cause s il s av re mqu il constitue un marchan dage c est dire que le contrat est une op ration but lucratif de fourniture de main d uvre qui a pour effet de causer un pr judice au salari qu elle concerne ou d luder l application des disposi tions l gales ou conventionnelles C trav art L 8231 1 m qu il masque un simple pr t de main d uvre exerc titre on reux et exclusif interdit par la loi en dehors du statut du travail tem poraire C trav art L 8241 1 D Source Analyse juridique sociale et fiscale des formes d organisation de l em ploi dans le secteur du sport fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ci zg OST Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises cib z o Les dirigeants ont tout int r t dans tous les cas mettr
146. l int r t direct de l exploitation 3 S assurer qu un organisme peut b n ficier du m c nat d ductible m En principe ce sont les organismes recevant des dons qui appr cient s ils remplissent ou non les conditions pour b n ficier de dons de particuliers Le syst me est purement d clara tif La d livrance de re us dons aux uvres rel ve donc de leur seule responsabilit Ce n est que dans le cadre d un contr le fiscal que les ser vices fiscaux d termineront si le re u a t mis bon droit Dans le cas o un organisme a d livr tort un re u il encourt une amende gale 25 du montant du don En revanche le con tribuable de bonne foi ne voit pas sa r duction d imp t remise en cause m Aux termes de la loi du 1 ao t 2003 un organisme peut cependant deman der s il le souhaite la direction des services fiscaux du d partement o son si ge social est tabli s il rel ve bien des cat gories b n ficiant du m c nat Cette demande de rescrit fiscal doit tre formul e par crit en fournissant tous l ments utiles pour appr cier l activit de l organisme Les modalit s en sont d finies par lins truction fiscale 13 L 5 04 n 164 du 19 octobre 2004 Un formulaire est dispo nible Cette disposition vise assurer aux organismes d int r t g n ral ainsi qu aux donateurs une plus grande s curit juridique Voir aussi ce sujet BOI 5 B 27 05 n 168
147. l ne suffit pas d avoir les qualit s d un cavalier il faut aussi tre capable de g rer organiser accueillir animer car un centre questre se g re comme une v ritable entreprise La brochure n 3603 est t l chargeable sur Legifrance www legifrance gouv fr La d claration d ouverture ou d claration pr alable a Le r le de l encadrant est primordial IL faut savoir inspirer confiance m Les conditions de travail ne sont pas faciles outre la saisonnalit ou le maintien l ann e d une activit li e aux rythmes scolaires une pr sence perma nente est exig e La convention collective Quand le centre questre abrite plusieurs activit s h bergement restauration c est l activit majoritaire qui d termine la convention adopter x M Cr en 1972 par les parte naires sociaux le FAFSEA est l OPCA et l OPACIF des salari s de l agriculture et des activit s annexes dont les centres questres www fafsea com d ao VO La convention collective nationale con cernant le personnel des centres ques tres date du 11 juillet 1975 Elle a t tendue par arr t du 14 juin 1976 JONC 8 ao t 1976 Fiches Pro SPORT Quelques r gles s imposent se r f rer au Plan local d urbanisme effectuer la d claration d tablisse ment d activit s physiques et sportives EAPS Cette formalit est requise si le centre questre propose une activit d en
148. la France Deuxi me r v lation car cette poque le clown commen ce sortir du music hall et du cirque Les choses s acc l rent et en deux ans les clowns amateurs cr ent une asso ciation La Petite Compagnie puis d ci dent pour trois d entre eux de passer professionnels On est en 1980 Hugues demande un premier cong sans solde qu il renouvellera avant de se lancer d finitivement dans ce m tier Comme une autre troupe porte le nom de Petite Compagnie ils renomment la leur La petite compagnie Matapeste et enfin Les Matapeste l instar des familles traditionnelles de clowns Au d but ils proposent aussi du th tre et de la marionnette mais d s le d part le clown ca marche On fait les arbres de No l les parents d l ves et les cen tres de loisirs Progressivement ils commencent investir les th tres de la r gion Il faut dire que dans les ann es 1980 c est encore un art consid r comme li au cirque et aux enfants avec une connotation populaire p jo rative dans le monde de la culture Peu importe nous sommes clowns de cir que d arbres de No l d coles de rue ou de th tre nous jouons pour tous les ges tous les milieux et dans toutes sortes de lieux nous commen cons en vivre et ce n est que du bonheur Notre compagnie on l a tout de suite envisa g e comme une entre prise D s le d part on s organise deux D s le
149. la Vie associative minist re des Sports direction des Sports Ce guide n aurait pu tre r alis sans la participation active des servi ces d concentr s et des administrations centrales charg s des sports de la jeunesse et de la vie associative Un remerciement particulier aux structures d accompagnement et aux chefs d entreprises ainsi qu aux experts qui ont enrichi ce guide par leurs conseils et leurs remarques Experts a Sonia De MEYER SCP MAUDUIT PELTIER notaires associ s Caen lise DEPECKER responsable du programme Entrepreneuriat Social Avise a S bastien DOTTIN directeur g n ral Boutique de gestion Oise a Jean Claude GARDY Cr dit Agricole de la Manche s Charles Beno t HEIDSIECK pr sident fondateur de l association Le RAMEAU s Arnaud JEAN chef de mission Sport et D veloppement durable minist re des Sports a Farbod KHANSARI responsable des questions europ ennes l Avise s Jean Yves KERBOURC H professeur de droit l universit de Nantes Amnyos Consultants a Bertrand KRILL tr sorier de l Union f d rale d intervention des struc tures culturelles a Marie LOISELET conseill re nationale en formation aupr s des branches sport et golf Uniformation a Pierre MARCENAC membre de la profession comptable et b n vole associatif a Annette MASSON pr sidente Association tourisme et handicaps a Bernard NICOLA DIS cabinet Sport Emploi et D veloppement a Audrey
150. la certification de services pr vue par les articles L 115 27 L 115 32 et R 115 1 R 115 3 du Code de la consommation Il a t publi au Journal officiel du 16 03 07 Source www tourisme responsable org Il lui faudra cependant aller plus loin en consultant les sites inter net institutionnels et rencontrer des acteurs publics susceptibles de l clairer e choix d un r seau et ou d un label Dans le secteur du tourisme ce sont les h bergeurs qui ont le plus progress dans la visibilit de leur engagement En savoir plus sur ces labels est int ressant plu sieurs titres les prestations touristiques sont le plus souvent partie int grante d un produit ce qui suppose d y int grer un h bergement Association pour le tourisme quitable et solidaire L ATES n est pas un label mais une association qui f d re au niveau national les acteurs et par tenaires du tourisme quitable et solidaire Elle a t cr e en 2006 L ATES aide la mise en r seau des acteurs la promotion et la commercialisation de leur offre d veloppe les partenariats et met en place un syst me d valuation des pratiques et des structures dans ces secteurs les entrepre 9 voyageurs sur 10 neurs m nent estiment que souvent de l offre de voyages front plusieurs responsables activit s dont n est pas facile celle d h ber trouver geur Label Tourisme res ponsable
151. label est t l chargeable sur www crt mitra com Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 13 P Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Label Destination pour tous Destination pour tous label lisera des territoires vocation touristique garantissant des prestations touristiques h berge ment restauration activit s cultu relles sportives et de plein air et des services de proximit com merces services ouverts au public services de soins etc accessi bles Ce label veillera tout particu li rement la qualit de la cha ne de d placement pour rejoindre le territoire et y circuler en toute autonomie Un premier appel candidature a t lanc pour s lectionner des sites pilotes ce jour six sites ont t retenus Il s agit de Angers Balaruc les Bains Bordeaux Canal du Midi Pays cathare parc r gional du Morvan et Saint Gilles Croix de Vie L exp rimentation de la pertinence des crit res s est d roul e durant les premiers mois de l ann e 2011 en lien avec les sites pilotes afin de pouvoir pr senter aux minis tres le projet de label Source www developpement durable gouv fr SUr le p le ressources national Sport et han dicaps du minist re des Sports Le p le ressources a pour vocation de d velopper faire conna tre et valoriser les pratiques physiques et sportives pour les personn
152. le brevet d aptitude profession nelle d assistant animateur techni cien BAPAAT niveau V m le brevet professionnel de la jeu nesse de l ducation populaire et du sport BPJEPS niveau IV m le dipl me d tat de la jeunesse de l ducation populaire et du sport DEJEPS niveau Ill m Le dipl me d tat sup rieur de la jeunesse de l ducation populaire et du sport DESJEPS niveau Il m Le brevet d tat d ducateur spor tif du premier degr BEES1 niveau IV m Le brevet d tat d ducateur spor tif du deuxi me degr BEES 2 niveau m Le brevet d tat d ducateur spor tif du troisi me degr BEES 3 niveau m Le dipl me de l Insep niveau I fiches Pratiques peuvent tre imput es par les employeurs sur leur participation au financement de la formation continue La VAE peut aussi se r aliser dans le cadre du droit individuel la formation DIF Dans ce cas les r gles d utilisation du DIF deman de crite d lai de r ponse doi vent tre respect es Et si le can didat ne dispose pas d un quota d heures suffisant son employeur peut financer les heures man quantes sur le plan de formation de l entreprise Les tapes cl s de la d marche pour un candidat la VAE 1 Information 2 et choix de la certification Points Information Conseil PIC y Organismes certificateurs Contact 2 Candidature Y 3 D cision de re
153. le travail ind pendant Les crit res du choix porteront sur le but recherch le volume du chiffre d affaires envisag Fiches Pro SPORT NATURE ports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO CO CO OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises la souplesse de fonctionnement souhai t e et le capital n cessaire au d mar rage de l activit Ensuite quatre r gimes peuvent tre adopt s selon l autonomie d cisionnelle et financi re souhait e travailleur ind pendant en micro entreprise sous la forme d entreprise individuelle d auto entrepreneur dans ce cas la limite du chiffre d affaires pour des prestations de service est fix e en 2011 32 600 ou de soci t en nom collectif l entrepreneur y engage sa responsabilit financi re personnelle dirigeant ou associ d une soci t dont la responsabilit est limit e l apport soci t responsabilit limit e SARL qui peut tre unipersonnelle EURL la soci t coop rative SCOP qui per met le partage des d cisions entre les salari s actionnaires soci t par action simplifi e uniper sonnelle ou de plusieurs associ s d un minimum de 37 000 de capital l association sans but lucratif o la d cision appartient au conseil d admi nistration sous la responsabilit du pr sident lu par les membres Pour en savoir Droit des sp
154. les la nature du handicap la fa on de voyager souvent r v latrice du degr d autonomie On distingue en g n ral les person nes vivant en institution et partant en s jour de vacances avec leur tablissement les groupes qui se constituent uniquement pour effectuer un s jour touristique et les personnes accompagn es ou non voyageant en individuel l origine du handicap Ce crit re met en effet en vidence des dif f rences de comportement li es fiches Sectorielles __ Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 55 CO NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises l ant riorit du handicap les modes de compensation la com paraison avec une exp rience ant rieure et les exigences que celle ci entra ne Que l origine du handicap soit de naissance li e une maladie volutive o un accident le comportement et les attentes du public seront sensi blement diff rents Un souhait d int gration Ce public souhaite voyager dans les m mes conditions que les vali des mais les prestations doivent tre adapt es voire sp cifiques en fonction du handicap car ses pratiques touristiques sont diff rentes de celles des valides DUn besoin d informa tions fiables D une fa on globale l information appara t peu ou pas fiable d o le choix du recours des sp cialis tes ou des personnes de con naissance ayant suffisamment d exp
155. leurs services se calculent en pourcen tage sur l ensemble des r mun rations de l artiste Toutefois un d cret doit fixer prochainement la nature des r mun rations prises en compte pour le calcul de la r tribution de l agent artistique le plafond et les modalit s de verse ment de sa r mun ration Jusqu la publication de ce d cret au Journal offi ciel les modalit s et Le plafond de r mu n ration en vigueur auparavant restent applicables Pour en savoir Fiche sur le statut d agent artistique de la CCIP Chambre de commerce et d in dustrie de Paris retrouver sur www ccip fr T 0155 65 75 75 Association des managers d artistes MMFF Music manager forum France 2 rue Navarin 75009 Paris www mmffrance com IL existe galement diff rents syndicats d agents artistiques Chambre syndica le des agents artistiques pour la musi que classique CSAAMC Syndicat fran ais des agents artistiques et litt raires SFAAL Chambre syndicale des agents artistiques de vari t s et de jazz AVJ Fiches Pro CULTURE hiffres cl s Le spectacle vivant est un secteur cultu rel particuli rement composite tant par les disciplines que par les m tiers couverts les types d entreprises ou les modes de fonctionnement Il est aussi l un des secteurs sur lesquels on dispose le plus d tudes statistiques Cependant les donn es sont difficiles interpr ter c e
156. min e CDD ou contrat dur e d termin e dit d usage CDDU et pour une fonction d finie dans la liste pr cit e Sont consid r s comme artistes du spectacle notamment l artiste lyrique l artiste dramatique l ar tiste chor graphique l artiste de vari t s le musicien l artiste de compl ment le chansonnier le chef d orchestre l arrangeur orchestrateur et pour l ex cution mat rielle de sa conception artis tique le metteur en sc ne Les artistes sont engag s sous CDD ou CDDU fiches Sectorielles Le CDD dit d usage Le contrat de travail d un intermit tent rel ve d un CDD d usage Pour les artistes du spectacle il doit tre soit un CDD d usage ou un CDD de droit commun Si les documents justificatifs pro duits P le emploi ne permettent pas d tablir que le salari du spectacle rel ve effectivement du champ d application des annexes 8 ou 10 il lui est fait application selon les cas du r glement g n ral ou du r glement particulier de l annexe 4 Les heures travaill es par un artiste ou un technicien inter mittent du spectacle en contrat dur e ind termin e CDI ne sont pas prises en compte au titre des annexes 8 ou 10 Le CDD d usage appel M aussi contrat d usage est conclu pour des emplois par nature temporaires dans les secteurs connaissant d importantes fluctuations d acti vit sur l ann e li es notamment aux spectacles au
157. mois par mois Chaque entr e ou sortie de fonds en TTC pour les op rations assu jetties la TVA doit tre port e dans la colonne du mois o elle doit normalement se produire par exemple un achat effectu en janvier et payable en mars doit tre imput dans la colonne des d caissements de mars Cela permet de d terminer le solde de tr sorerie du mois et un solde de tr sorerie cumul d un mois sur l autre et donc de savoir par rapport aux pr visions d acti vit si tout ce qu il y aura payer pourra l tre sans probl me gr ce aux disponibilit s du moment Si ce document pr visionnel devait faire ressortir une impasse de tr sorerie un certain moment il faudrait alors trouver une solution avant Le d marrage de l entreprise et pr voir l utilisation de cr dits bancaires de fonctionnement comme l escompte de papier commercial la mobilisation de cr ances professionnelles dans le cadre de la loi Dailly le d couvert etc i La dur e du pr t ne peut ARII sauf exception tre sup rieure la dur e d amortissement des biens finan c s le remboursement annuel de l emprunt ne doit pas exc der la moiti de la capacit d autofinan cement de l entreprise Source APCE L essentiel pour les banques x Toutes les banques sont d Svir susceptibles de financer un entrepreneur social cependant l exp rience montre que celles de l conomie sociale les banque
158. moyenne Des estimations font tat d un ratio de 1 000 heures d utilisation par studio cr et d un emploi d encadrement pour 1 300 heures de r p titions par an Installation m En 2005 le budget moyen de 45 adh rents la F durok tait de 711 000 euros IL d passe un million d euros pour 17 des structures et est inf rieur 300 000 euros pour 10 des lieux m Le co t d installation Les contraintes acoustiques expliquent l importance de l investissement initial pour cr er un studio de r p tition Il faut ainsi compter entre 850 et 1 250 HT le m pour une r habilitation ou une cr ation de studios Des sp cialistes architectes acousti ciens sonorisateurs doivent imp rati vement tre consult s mLa masse salariale repr sente en moyenne 45 des charges m Plus de 31 des produits r sultent de l activit conomique d velopp e par les lieux billetterie notamment mais les subventions restent la premi re source de financement avec 61 du budget en moyenne 71 des subventions pro viennent des collectivit s territoriales et majoritairement des villes m Un studio de r p tition est utilis par 30 groupes et pr sente un taux de fr quentation de 40 60 Chaque grou pe r p tant en moyenne 34 heures par an on aboutirait pour une moyenne de 3 musiciens par groupe un ratio de 3 000 heures usagers par an pour un studio de r p tition m En ce qui concerne
159. n importe quel projet en coh rence de cr ation n est pas avec le projet du la priorit candidat ce stade 4 L impact des mots IL y a des propos qu il est pr f rable de ne pas tenir au cr ateur au d marrage de l accompa gnement En voici quelques uns lui dire de simplifier son projet lui dire que la cr ation d entre prise c est tout ou rien lui dire de changer de projet s il ne d cide pas d y consacrer tout son temps lui dire de choisir entre le business et sa passion lui demander de renoncer d embl e cr er une association lui dire de se d brouiller au motif que son projet est de petite envergure lui dire de renoncer un projet qui pr sente trop vitez de porter des jugements h tifs et de risques lui dire que son coutez le projet est totale Le premier rendez vous est souvent ment farfelu I A d terminant LCD i F N s anyna Sanbneid a nzeu ap S1ISI0 4a sods syodg 2 RE a b DS ab a 1 Les ND ccompagner la d marche de cr ation dans d autres secteurs ne pr pare pas n cessairement accueillir les cr ateurs vis s par ce guide Pour autant leur parcours est sem des m mes emb ches et La cr ation d entreprises dans ce secteur r serve tous des surprises Pour progresser ce stade il faut d abord d passer le stade des pr jug s DES PISTES POUR
160. ne facilitent pas toujours le franchissement de cette tape o LE CANDIDAT ET SON PROJET DE CR ATION 5S5 NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises v aleurs repr sentations et march s La question des valeurs est sou vent mise en avant dans l labo ration de son projet personnel et professionnel Quand c est le cas il ne sait pas pour autant les mettre en coh rence avec son projet de cr ation sa m connaissance du monde de l entreprise et de l conomie ainsi que le poids des repr sentations dans son milieu professionnel ne lui facilitent pas la t che Parler de client les ou r aliser son projet personnel pour vivre sur un territoire o il va pouvoir partager sa passion avec ses amis pour pratiquer dans des clubs et associations pour vivre sur un territoire qui affiche une identit dans laquelle il se recon na t pour avoir du temps libre pour vivre dans un environnement pr serv C est souvent le cas dans les zones rurales montagneuses et littorales La relation entre projet de cr ation une tude de mar ch peut donc lui Dans tous les cas ses priorit s le contraignent jouer sur plusieurs tableaux pour b tir La coh rence entre projet de cr ation et choix de vie occupe souvent une place pr pond rante dans et valeurs est sembler en con souvent essentielle tradiction avec les pour ce type motivations qui de candidat
161. nel pour une intervention dans le cadre d un projet conduit en parte nariat avec une personne physique un enseignant par exemple dans un cadre scolaire o p riscolaire L intervention ne peut donc tre qu une activit accessoire Cette qualification vaut pour l ensemble des situations ducatives pendant et en dehors du temps scolaire Seuls les musiciens qui demeu rent des intervenants form s dans les centres de formation des musi ciens intervenants CFMI chap pent cette r gle m Les modalit s d attestation des comp tences attendues Afin de s assurer le concours d artistes dont la comp tence pro fessionnelle est reconnue et en vertu du d cret n 88 709 du 6 mai 1988 pris pour l application de l ar ticle L 911 6 du Code de l duca tion les artistes intervenants doi vent justifier de la possession d un dipl me de l enseignement sup rieur reconnu dans le domaine consid r et ou de l exercice effectif d activit s professionnelles dans ce domaine par la pr senta tion de leurs travaux r alisations ou publications sous forme d un dossier m Les conditions de r mun ration et de d claration des interven tions artistiques et culturelles L intervention des artistes dans des actions d ducation artistique s exerce en r gle g n rale dans le cadre d une relation salariale Elles peuvent tre d clar es sous le r gime d artiste auteur et si l intervenant n est pas affi
162. ni re Un mur peint de 5 000 m repr sentant la France la plus grande peinture murale en trompe l il du monde inaugur e Shanghai Une tape de plus dans le d veloppement international de ce leader mondial par le nom bre et la taille des fresques r ali s es jusqu 3 500 m Install e Oullins commune du Grand Lyon elle compte neuf salari s et peut mobiliser une cinquantaine de pein tres en fonction des projets Projets visibles aux quatre coins du monde Issue d un collectif d tudiants des Beaux Arts de Lyon Cit cr ation a choisi d tre une Scop il y a vingt ans D Source www cite creation com m Moins d une dizaine de Scop pour la plupart r centes voluent sur le march en pleine croissance du sport loisir Fond es par des pas sionn s elles se donnent gale ment une vocation d utilit sociale D Source Quand le sport loisir se fait coop ratif Participer 613 2005 www scop coop fiches Sectorielles es coop ratives d activit s et L d emploi CAE l entreprise partag e D finition L conomie sociale est fond e sur des valeurs et des principes qui reposent sur un socle huma niste dont les id es de solidarit et d entraide sont les l ments structurants Les coop ratives d activit s et d emploi incarnent ces vertus qui la fondation MACIF nous sont ch res et qui permettent aux entrepreneurs salari s de trouver l accompagnement qu i
163. objectifs poursuivis m De la gen se du projet m Des caract ristiques particuli res du produit service le niveau de technicit la valeur ajout e apport e le caract re innovant m Du business model diff rents modes de facturation des produits services Pr sentation des fondateurs Objectif pr senter les personnes cl s de l entreprise sous forme de CV profes sionnels lidentit exp riences les plus valorisantes par rapport au projet for mations r les et fonctions futures Les CV seront mis en annexe 2 LE MARCH Objectif partir d un constat ou tat des lieux de la situation actuelle afin de don ner au lecteur la connaissance de l en vironnement du projet Exposer ensuite la strat gie que vous avez choisie pour d velopper votre entreprise Vous devez arriver la conclusion que votre produit service a bien sa place sur le march et que votre offre r pond un besoin Qu est ce qui existe aujourd hui m D finir la taille du march locale nationale mondiale et les principales tendances croissance stagnation m Exposer les contraintes juridiques et ou administratives recenser les freins l entr e sur le march m O en est la technologie Les clients m Qui sont ils Quel est leur profil Combien sont ils O sont ils m Quels sont leurs besoins actuels et potentiels m Pourquoi ach teraient ils votre bien ou service leurs motivations fi
164. op ra tionnelle entre ces deux mondes son double objectif est d aider les associations piloter leur projet de d veloppement et d am liorer l efficacit des actions soci tales des entreprises www lerameau fr fiches Pratiques L y engager c est finir assurer au cr ateur pr ciser un busi une m diatisation qui ness plan Autant peut lui valoir l int d avanc es con r t d un banquier cr tes qui aident es concours de jeunes cr ateurs s engager pour gagner Ouverts tous ou des publics bien pr cis femmes jeunes entreprises innovantes il en existe de tr s nombreux aux niveaux national ou local L int r t principal d un concours hormis l aspect financier c est de pouvoir rencontrer des sp cialistes chefs d entreprises ou investisseurs recueillir avis et conseils red un march valider un projet M me si tous les concurrents ne sont pas gagnants chacun d entre eux pourra tester son projet soi gner son carnet d adresses et atti rer des investisseurs condition de respecter quelques principes de base et de mettre toutes les chances de son c t Alors pour bien choisir il faut plucher les r glements Certains concours s adressent par exem SUr Cr cap 1 concours national de cr ation d entreprises en produits bio ou co responsables 19 10 10 La Cap Cap cit s Agrobio P rigord Arbio Aquitaine CCI 24 CMA 24 Conseil g n ra
165. ordre jeter ses id es en vrac sur le papier faire un plan r diger un brouillon c est toujours une garantie pour obtenir un docu ment final convaincant m Ne pas laisser passer des fautes d orthographe m Ne pas h siter faire une synth se en plus de son dossier de pr senta tion elle permettra ses interlocu teurs d y revenir voire de l utiliser pour d fendre son dossier aupr s de leurs sup rieurs leurs lus m Enfin savoir utiliser l email pour tenir inform un interlocuteur de l tat d avancement du projet est un moyen des plus simples pour maintenir le contact DComment r pondre un appel d offre Ce dossier contient notamment les r f rences clients il n est cependant pas possible d carter une entreprise sur le seul motif qu elle n a pas de r f rences l historique de la soci t Les r sultats des trois derni res ann es Les savoir faire du dirigeant Les avantages concurrentiels l organigramme Les proc dures propos es les moyens techniques et humains tels que les CV des col laborateurs d di s la mission Le dossier devra tre actualis r guli rement Pour en savoir www apce com Pr parer son oral Pr parer un rendez vous pour obtenir un financement est aus si important qu il s agisse d un pr t ou d une subvention Les interlocuteurs du candidat la cr ation sont peu ou prou sensi bles aux m me
166. par Le minist re des Sports et des exp rimentations sociales soutenues par le minist re charg de la jeunesse Ses utilisateurs pourront utilement s appuyer sur les comp tences des direc tions r gionales de la jeunesse des sports et de la coh sion sociale et des directions d partementales charg es de la jeunesse et des sports Cet outil constitue un levier pour les organismes de formation et d accom pagnement la cr ation d entreprises le mouvement sportif les syndicats professionnels les r seaux associatifs de jeunesse et d ducation populaire les collectivit s territoriales et Les repr sentants des secteurs coop ratifs et associatifs engag s avec l tat dans le d veloppement local Eme Yann DY VRE Bertrand JARRIGE Directeur de la Jeunesse de l ducation Directeur des Sports populaire et de la Vie associative Minist re de l ducation nationale Minist re des Sports de la Jeunesse et de la Vie associative 1 Selon l INSEE sur la p riode d octobre 2008 janvier 2010 les cr ations d entreprises dans le domaine des arts spectacles et activit s r cr atives sont pass es de 2 189 6 719 soit 206 9 Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises SOMMAIRE PARTIE INTRODUCTIVE ditorial a ne cn 4 Le guide mode d emploi 8 volution d
167. par l Organisation mondiale de la sant OMS comme un des fl aux du monde occidental De nombreuses tudes sont venues confirmer cette tendance en France comme en Europe Le barom tre stress Fin 2009 la CFE CGC rendait public son barom tre stress semestriel On y apprenait que 10 des cadres avaient eu des id es suicidaires au cours des douze derniers mois que deux tiers d entre eux avaient des troubles du sommeil et que 30 avaient rencontr des difficult s conjugales Dans les premiers facteurs du stress taient nonc s le rythme et la charge de travail La course la rentabilit et l exigence d un maintien voire d une augmentation des chiffres d affaires sont la cause premi re de la d gradation des conditions de travail des cadres D Source Courrier Cadres f vrier 2010 Les prises en charge m dica les apparaissent souvent comme indispensables mais s accom pagnent de plus en plus de pres criptions compl mentaires Ce qui est de nos jours consid r par certains comme une pathologie sociale chronique se traite de facon compl mentaire par une prise en charge des individus au travail et en dehors de la sph re professionnelle Pour en savoir Bien tre et efficacit au travail dix propositions pour am liorer la sant psychologique au travail Conseil conomique social et environ nemental F vrier 2010 fiches Sectorielles
168. pas d pas ser 80 du seuil d affiliation au r gime social des artistes auteurs 6 379 20 pour 2010 d faut ils seront soumis en totalit au r gi me social des travailleurs ind pendants Le texte dresse la liste des revenus accessoires concern s ex reve nus issus des cours donn s dans l atelier ou le studio de l artiste auteur des ateliers artistiques ou d criture dans la limite de 3 par an etc Attention les revenus accessoires ne sont pas pris en consid ration pour d terminer l affiliation au r gime des artistes auteurs et son maintien qui reposent uniquement sur les revenus artistiques www apce com 5 Source circulaire n DSS 5B 2011 63 du 16 f vrier 2011 wwvw circulaires gouv fr fiches Pratiques Association les dirigeants sont assimil s salari s sous certaines conditions Associ s Entreprise individuelle il n y a pas d associ EURL r gime des travailleurs non salari s SARL soumise l IS r gime des salari s s ils sont titulaires d un contrat de travail SA forme classique soumise UIS r gime des salari s s ils sont titulaires d un contrat de travail SAS soumise l IS r gime des salari s s ils sont titulaires d un contrat de travail SNC r gime des travailleurs non salari s Association les membres de l association non dirigeants peu vent tre titulaires d un contrat de tra
169. permanents gnies orchestres troupes compa m Cr ation de spectacles danse th tre concert op ra cirque marionnet tes son et lumi re m Production organisation et promo tion de spectacles et de manifestations culturelles m Services techniques sp cialis s machinerie costumes d coration r gie g n rale et sp cialis e m Agences artistiques Cin ma audiovisuel dition phonographique m Exploitation cin matographique et distribution de films m Production cin matographique m Production et diffusion de pro grammes de radio et de t l vision m Production et diffusion d autres enre gistrements audiovisuels m dition phonographique et reproduc tion d enregistrements sonores vid o multim dias m Prestations techniques d veloppe ment de films cin matographiques studios d enregistrement prises de son effets sp ciaux montage colo riage doublage laboratoires photogra phiques uniquement les adh rents du Groupement national des laboratoires professionnels de l image ui proposer de s engager dans une formation longue gr ce au CIF Un salari qui souhaite se recon vertir peut prendre un cong individuel de formation Le CIF Publicit et distribution directe Publicit m Agences conseils en communication publicitaire agences m dia m Gestion de supports publicitaires de tous types y compris presse gratuite annuaires m Centra
170. permet plus particuli rement aux personnes loign es de la culture entrepreneuriale de tester leurs capacit s de combler leurs lacu nes d apprendre s entourer les programmes d appui dispen s s en couveuses qu il s agisse du coaching individualis ou des formations collectives visent assurer l autonomie de l entre preneur l essai la couveuse est enrichissante sur les plans professionnel et personnel en termes de savoir faire et de savoir tre Le cr ateur acquiert des comp tences nouvel les Il peut changer partager des exp riences la possibilit de tester son acti vit en couveuse incite d pas ser le stade d un travail marginal irr gulier voire non d clar et officialiser son activit valider son projet pendant plusieurs mois pour savoir s il est viable permet de d cider sereine ment de cr er ou non s exercer au m tier d entre preneur avant de s immatriculer permet de v rifier que l entrepre neuriat correspond bien son projet de vie ce choix donne enfin aux entre preneurs les moyens de vivre dignement de leur activit fiches Pratiques 2 Pour le projet de cr ation tester son activit permet d ap prendre conna tre son march de positionner ou reposition ner son service son produit de l adapter au march tester son entreprise avant de la cr er permet de d marrer dans de bonnes conditions et d accrof
171. personne 86 681 NULL R sultat courant 27 480 Le r sultat courant est tr s faible avec une seule personne 10 397 volution du secteur 2008 2009 La crise m Apr s une hausse continue au d but des ann es 2000 le budget du specta cle vivant du minist re de la Culture et de la Communication se situe depuis plu sieurs ann es au m me niveau soit environ 660 ME niveau atteint dans aucun autre pays d Europe communiqu de presse du 29 02 2008 du minist re le budget pour 2010 ayant t de 658 M Sous l effet conjugu de l largisse ment du champ artistique soutenu par les pouvoirs publics et de la multiplica tion du nombre d entreprises de projets et de dispositifs les ressources publi ques ne parviennent plus r guler de fa on optimum la production et la diffu sion m Par ailleurs les compagnies de spec tacle doivent affronter des co ts de pro duction en nette augmentation dou blement des cotisations P le Emploi signature des conventions collectives augmentation des co ts de transport m Au niveau des aides l engagement de certaines collectivit s locales d passe 12 de leur budget et concerne notam ment les d butants locaux Le minist re de la Culture et de la Communication prend en charge les entreprises confir m es dans des proportions variables Les financements crois s tat Collecti vit priv sont fr quents mais la crise de 2008 2009 interro
172. placedeCatalogne 75014Paris amp 01 70 39 93 00 www tourisme gouv fr Voir particuli rement la rubri que Dossiers sectoriels mis jour chaque ann e cf Donn es publiques du tourisme puis Dossiers sectoriels fiches Sectorielles Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles A No O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O TROUVER L INFO www veilleinfotourisme fr Portail collaboratif tr s riche et gratuit BConsulter galement Le bilan de l ann e touristique et Le M mento du tourisme sm Le minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement www developpement durable gouv fr m F d ration nationale des parcs naturels r gionaux de France 9 rue Christiani 75018 Paris 01 44 90 86 20 www parcs naturelsregionaux tm fr mLes CRT Comit s r gionaux du tourisme et les CDT comit s d partementaux du tourisme d pendent du Conseil r gional m ATOUT France Observation d veloppement et ing nierie touristique www atout france fr m Minist re des Sports 95 avenue de France 75013 Paris 01 40 45 90 00 www sante sports gouv fr m FNCDT F d ration nationale des comit s d partementaux de tourisme 280 boulevard Saint Germain 75007 Paris amp 014411 10 20 www resinfrance com ou www fncdt net m FNOTSI F d ration nationale des offices
173. qu en accom pagnement d un emprunt ban caire Proc dure c est en plus d un accompagnement humain et tech nique que la Fondation propose un soutien financier Effectuer la demande de subvention directe ment aupr s de la Fondation et avant l installation Cl ture des candidatures une commission d attribution se r u nit chaque mois Prix subvention Coupdepouce dont le montant est d fini au cas par cas m Le Phare 2010 Accede Provence Euromed Marseille cole de Management Domaine de Luminy BP 911 13288 Marseille Cedex 9 T 0491827835 lephare euromed manage ment com www accede provence com B n ficiaires porteurs de pro jets demandeurs d emploi des r gions du Sud de la France Corse Languedoc Roussillon Midi Pyr n es et PACA tudiants du Bassin m diterran en Cl ture des candidatures 5 janvier 2011 pour les candidats trangers 1 f vrier 2011 pour les candidats fran ais Prix dotation globale de 25 000 Nombre de b n ficiaires 6 Remarque ce concours concerne uniquement les r gions Corse Languedoc Roussillon Midi Pyr n es et Provence Alpes C te d Azur D Pour en savoir Liste des concours nationaux et r gionaux www aides entreprises fr Cette fiche est pour l essentiel r alis e sur la base d extraits s lectionn s sur les sites du minist re de la Culture et de la Communication du minist re de la Jeunesse
174. qu il d gage D ailleurs cet art martial est sou vent d fini comme une m ditation en mouvement une relaxation active Il s agit en effet d attein dre un tat de tranquillit int rieure tout en tant en mouvement Par le jeu de transfert du poids du corps d un pied sur l autre le ta chi chuan am liore galement le sens de l quilibre D Source le site www ffwushu fr Functional foods de quoi ca parle Tout en prenant du plaisir man ger et boire de bons produits nous contribuerons maintenir notre sant en excellent tat et nous re construirons une appa rence physique impeccable Source Ordre des experts comptables March s du futur tendances 2008 2012 L re des mutations Jeu vid o et fitness Depuis son lancement fin 2006 la console Wii a conquis pr s de 50 millions de consommateurs dans le monde Pourquoi un tel succ s Son fabricant Nintendo a d ve lopp un produit nouveau destin toutes les g n rations en sim plifiant son usage mais surtout en proposant un programme de remise en forme Le Wii Fit est en effet son grand succ s Vendu pr s de 14 millions de personnes dans le monde fin 2008 ila t lu produit culturel le plus vendu en France cette m me ann e avec plus d un mil lion d exemplaires Dans l univers du jeu ARNIE vid o on distingue qua tre types de m tiers parmi lesquels celui des info
175. qui la conduisent fournir des prestations des tiers Le droit exclusif accord un organisme d termin pour accomplissement d une mission de service d int r t g n ral ou d int r t conomique g n ral L article 3 2 du Code des mar ch s publics pr voit une dispo sition d exclusion de son champ d application pour les contrats de services conclus par une des personnes publiques mention n es l article 2 avec une autre de ces personnes publiques ou avec une des personnes mentionn es l article 9 de la loi n 91 3 du 3 jan vier 1991 lorsque la personne publique ou priv e cocontractante b n ficie sur le fondement d une disposition l galement prise d un droit exclusif ayant pour effet de lui r server l exercice d une acti vit condition que ces disposi tions soient compatibles avec le trait instituant la Communaut europ enne Cette exclusion ne concerne que les march s de services 3 Clause WNAI sp cifique et achat quitable Le cahier des clauses techniques particuli res permet lache teur public d ins rer des clauses sp cifiques pour faire de l achat quitable une modalit d ex cu tion obligatoire que les soumis sionnaires titulaires du march doivent respecter en tant que con dition contractuelle O TROUVER L INFO m Le site Commande publique et d veloppement durable www achatsresponsables com m L Association des maires
176. r sultats de est le meilleur l tude W moyen d arriver ses fins e xiger une tude de march solide M me s il est certain que son projet de service ou de produit va r volutionner le march seule Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises fiches Projets e soin accord la sant la forme et au bien tre concerne les Fran ais toutes cat gories sociales confondues Cette pr occupa tion est d autant plus affirm e que le stress et toutes les formes d agression psychologiques et mentales sont reconnus comme facteurs de mal vivre et de mal tre au travail comme dans la vie personnelle Dans ce contexte la pratique r guli re d une activit physique se r v le un atout majeur Ce march est en cours de structuration mais quelques grandes tendances permettent cependant de le cerner eeeee SPORT SANT ET BIEN TRE u n march port par de multiples tendances tre en forme un leitmotiv toutes g n rations confondues Des revues sp cialis es aux quo tidiens la presse se fait l cho des bienfaits des activit s phy siques ou sportives diminution des maladies cardio vasculaires r duction des risques de d velop pement de la maladie d Alzheimer ralentissement de la progression de l arthrose et de l ost oporose les conseils et recommandations fleurissent Le magazine Notre Temps qui s adresse en priorit aux seniors consacre une de
177. ration professionnelle des entrepri ses du sport et des loisirs 109 rue du Faubourg Saint Honor 75008 Paris 0144 70 77 90 www filieresport com FIFAS F d ration fran aise des industries du sport et des loisirs 3 rue Jules Guesde 92300 Levallois Perret T 014731 56 23 wwvw fifas com Informations professionnelles www vivelaforme com le site de la revue est un portail g n raliste sur la forme noter les revues consulta bles en ligne contenant de nombreuses informations sur le m tier actualit conseils interviews et les liens vers d autres sites wwvw lereseaudelaforme com les professionnels ind pendants du fitness et de la forme www sauna first com information sur le sauna www planet fitness fr avec son magazine trimestriel Les Mills News www bodyplanet com l univers du fitness et de la musculation www infosport org informations r glementaires sport sur le www infogym com l univers de la gymnastique www studiopilatesdeparis com l cole en France qui repr sente la m thode d origine m AFDAS Fonds d assurance formation des sec teurs du Spectacle vivant du Cin ma de l Audiovisuel de la Publicit et des Loisirs OCPA de la branche ELAC 3 rue au Maire 75003 Paris T 0144 78 39 39 www afdas com a UNIFORMATION 43 boulevard Diderot 75012 Paris 08 20 20 52 06 www uniformation fr a AGEFOS PME 187 quai d
178. relative aux relations entre les pouvoirs publics et les asso ciations conventions d objectifs et sim plification des d marches relatives aux proc dures d agr ment sous forme de subventions une association exer ant une activit conomique d int r t g n ral qui demeurent inf rieurs 200 000 sur une p riode de trois ans ne sont pas qualifi s d aides d tat et ne sont soumis aucune exigence Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles fiches Sectorielles 14 NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises L a d l gation de service public D finition L article 3 de la loi MURCEF n 2001 1168 du 11 d cembre 2001 L 1411 1 du CGCT donne une d finition de la d l gation de service public DSP tir e de l ob jet du contrat et des conditions de r mun ration des cocontractants de l administration Elle reprend pour l essentiel la loi n 93 122 du 29 janvier 1993 et les crit res tablis par la jurisprudence Ainsi aux termes de la loi Une d l gation de service public est un contrat par lequel une per sonne morale de droit public con fie la gestion d un service public dont elle a la responsabilit un d l gataire public ou priv dont la r mun ration est substantielle ment li e aux r sultats de l exploi tation du service Le d l gataire peut tre charg de construire des ouvrages ou d acqu ri
179. rer une compa gnie de la renomm e des Matapeste IL faut une rencontre pour que sa voix d artiste dise avec force et conviction qui il est et ce qu il a choisi de devenir il y a plus de trente ans aujourd hui Hugues Roche est n S tif dans une famille dont la branche paternelle est install e en Alg rie depuis trois g n ra tions C est l ge de 7 ans apr s l ind pendance de la Tunisie o son p re est magistrat que sa famille vient s installer Argenton sur Creuse dans l Indre Le bac en poche l envie de faire une ma trise de M opposer droit public Son dipl me en poche il a un vague d sir de faire autre chose Mais comme il n a pas de projet parti culier il devient chauffeur livreur puis veilleur de nuit jusqu au jour o une amie l invite participer l atelier th tre d une Maison pour tous de quartier Niort et l c est la r v lation je sais d embl e ce que je veux faire IL a 26 ans Avant de devenir com dien il doit trouver un emploi qui lui permette de pratiquer son art Il est imprimeur offset puis animateur socioculturel employ par la ville de Niort On est dans Trajectoire CULTURE les ann es 1970 il est fonctionnaire et passe un DEFA en formation continue C est gr ce au DEFA que j ai d couvert Le plaisir de manipuler les chiffres Avec un ami de la troupe il d cide de faire un stage de clown dans le nord de
180. responsable ce n est pas seulement l autre bout du monde mais que cela concerne tous les d placements y compris en France M me si les chiffres sont large ment la baisse un tiers des voyageurs continuent de penser qu un voyage responsable co te plus cher et que le confort est n cessairement rudimentaire Pr s de 6 Fran ais sur 10 con fondent encore voyage respon sable et s jour humanitaire ou b n volat Enfin 35 pensent encore que voyager responsable est forc ment incompatible avec leurs habitudes de voyage Source SOFRES Avril 2008 O TROUVER L INFO m Association ATR Agir pour le tourisme responsable association cr e en 2004 par 11 voyagistes fran ais m UNAT et son r seau ATES 20 associations unies pour un tou risme solidaire www tourismesolidaire org m AFE www ecotourisme info m Les laur ats des troph es du tourisme responsable m APS Association professionnelle de solidarit du tourisme L APS f d re 3000 agences de voyages en France et g re un fonds de solidarit pour rembourser les clients en cas de d faillance de leur agence organisme de garantie collective Elle a mis en place de nombreux dispositifs et actions en faveur des nouveaux entrepreneurs du tourisme Elle diffuse plusieurs guides techni ques pratiques 15 avenue Carnot 75017 Paris T 0144092535 www tourisme aps com m Sous direction du Tourisme 23
181. rieur 25 35 de la surface du d partement affichent une forte concentration de parcs d s l origine du d veloppement de l activit La part d enfants est en nette progres sion ces derni res ann es d autant que les gestionnaires d veloppent une offre sp cifique pour r pondre aux attentes de cette client le Le nombre de PAH proposant cette unique activit est cependant en forte baisse m D sormais le PAH s inscrit dans une offre de multi activit s tourn e essen tiellement vers le loisir de nature m Enfin il semble que le PAH de taille r duite avec une quinzaine d ateliers devienne un l ment attractif dans l offre d h bergement de plein air ou en centre de vacances Les parcours acrobatiques en hauteur sont donc aujourd hui des quipements relativement lourds faisant appel aux technologies du c ble dans des espaces clos et normalis s Ils sont tr s distincts en termes de finalit s et en termes de conditions techniques et s curitaires des parcours aventures propos s dans des espaces naturels ouverts et qui font appel aux techniques de progression sur cordes d escalade ou de sp l ologie Sur le plan de la technologie et des modes de progression ils se rapprochent de la via ferrata sans comporter toutefois la dimension d engagement que rev t celle ci On constate n anmoins l mer gence de formes de pratiques hybrides m lant progression dans les arbres et progression sur les roch
182. rythme sco laire au cycle des saisons et au tourisme Quelques r gles Le travail intermittent se carac t rise par la succession de contrats de travail dur e d ter min e S agissant des artistes et techni ciens du spectacle il doit en outre s exercer dans le cadre des fonc tions limitativement num r es pour le compte d employeurs appartenant des secteurs d ac tivit d finis annexe 8 ou dans le cadre de fonctions artistiques pr cit es au sens de l article L 7121 2 du Code du travail Techniciens du spectacle Pour b n ficier de l Assedic du spectacle les techniciens du spectacle doivent avoir exerc un emploi en contrat dur e d termin e d usage figurant sur la liste jointe l annexe 8 au r glement d assurance ch mage dans une soci t du spectacle du cin ma de l audiovisuel ou bien de la radio et de la diffusion Ces soci t s sont identifiables par leur code NAF r M intitul de la qualifi AMIE cation doit tre men tionn sur le contrat de travail et sur le bulletin de paie Artistes du spectacle En ce qui concerne les artistes du spectacle ils doivent avoir t recrut s par contrat dur e d termin e en qualit d artiste du spectacle Ce contrat peut tre un CDD d usage ou un CDD de droit commun Les salari s intermittents du spectacle doivent s assurer que leur s employeur s respectelnt ses leurs obligations d
183. s Des associ s salari s Chaque associ salari dispose d un poids gal celui des autres tout salari peut devenir associ apr s une p riode de probation et avec l accord des associ s exis tants chaque associ salari de la coop rative dispose d un droit de vote lors des assembl es ensemble les associ s salari s ont toujours la majorit en revanche depuis la loi de modernisation de 1992 les asso ci s ext rieurs peuvent d te nir ensemble jusqu 35 des droits de vote 49 si l associ ext rieur est une soci t coop ra tive Cette disposition vise lar gir les possibilit s de partenariat avec d autres entreprises Une r partition des b n fices Les b n fices sont r partis en trois parts une part entreprise Les r ser ves au minimum 16 une part salari s la participa tion au minimum 25 une part capital les dividendes au maximum 33 D Source www scop coop Sur les Scop beaucoup de culture un peu de sport mLa forme coop rative est parfaitement adapt e la gestion d une structure culturelle De grandes sc nes du monde du spectacle sont g r es par des soci t s coop ratives le Th tre du Soleil de Paris la Maison de la Culture de la Ni vre la Maison de la Danse de Lyon l orchestre de chambre national de Toulouse D Source www scop coop m Cit cr ation c tait l ann e der
184. s adresse g n ralement ce stade une structure dont il est naturellement proche Ses interlocuteurs sont souvent des agents des minist res en charge des sports et de la jeunesse mais aussi des mis sions locales m tape 2 Le candidat m rit son projet Il peut tre accompagn par les grands r seaux g n ralistes consulaires boutiques de gestion ou toute autre structure charg e d clairer le cr ateur dans le ciblage de son march et de ses client les m tape 3 Le cr ateur d cide de se lancer Il doit choisir son statut et convaincre partenaires et financeurs Notaires experts comptables et conseillers bancaires sont particuli rement con cern s par cette tape t rois types de fiches chacune des tapes On trouve 3 fiches projets 4 fiches sectorielles et 4 fiches pratiques chacune des tapes du processus d accompagnement Elles sont rep rables au niveau des onglets situ s en bas de page Les fiches projets d livrent conseils et recommandations Chaque tape d marre par trois fiches projets Le candidat et son projet Les points de vigilance et Des pistes pour progresser Elles sont maill es de conseils pratiques rep rables par leur couleur et la place qu ils occupent dans le texte Les fiches sectorielles rassemblent des donn es et des r f rences propres aux secteurs vis s en rapport avec chacune des tapes de la cr ation Ell
185. s de votre produit service la gamme que vous allez proposer son niveau de qualit Il faut aussi pouvoir clairement exposer le mode d utilisa tion du bien ou les conditions d acc s au service e Quel est le caract re novateur de votre produit service concept Quels prix allez vous pratiquer e Quelle d marche de communication comptez vous adopter Clarifiez votre plan d action en mati re de communication mailing presse annuaires tape 2 pour rendre compte des grandes tendances du ou des march s de l offre et de La demande Le march et son environnement IL va s agir d valuer la taille du mar ch vis de facon disposer des infor mations suffisamment pr cises pour prendre la d cision de se lancer e March des entreprises des parti culiers des loisirs des biens de gran de consommation e Ce march est il soumis des varia tions saisonni res eCe qu il repr sente en volume de vente et en chiffre d affaires e March en d veloppement en sta gnation en d clin e L innovation quelles sont les volu tions technologiques Sont elles fr quentes e Quel est leur impact sur le march e Ce qui influence ce march e Son cadre r glementaire et l gis latif autorisations requises taxes payer quel est Le r le des pouvoirs publics Quel est le r le des groupes et organismes professionnels e Pr cisez l tendue de votre ma
186. soci t coop rative d int r t collectif par exemple Sous forme de SA ou de SARL f les SCIC ont toutes pour objectif la production ou la fourniture de biens et de services d int r t collectif qui pr sentent un carac t re d utilit sociale Ce sta tut a t cr pour permettre aux attentes des acteurs de l cono mie sociale et solidaire de dispo ser d un cadre d entreprise adapt au d veloppement entrepreneu rial tout en prenant en compte la dimension thique des activit s qui rel vent de cette conomie r Les notions d int r t ARMIE collectif et d utilit sociale ne font pas ce jour l objet d une d finition juridi que pr cise Les fondateurs d une SCIC doivent cependant d crire l objet de leur entreprise d une mani re telle qu il fera appara tre sa dimension d int r t collectif ainsi que son caract re d utilit sociale La volont de s associer On peut tre tent de cr er une soci t plusieurs pour des rai sons patrimoniales conomiques fiscales ou encore sociales fiches Pratiques Mais si l on n a pas au d part la volont r elle de s associer de mettre en commun ses comp tences ses connaissances son carnet d adresses etc les chan ces de r ussite seront consid ra blement amoindries Si le cr ateur souhaite tre seul ma tre bord mieux vaut alors lui conseiller de rester ind pen dant en entreprise
187. son enfant aura grandi il lui faudra certaine ment arr ter les bisaisonnalit s Elle s y pr pare sereinement car ce qui compte pour elle c est exercer le travail de son choix et vivre l o elle l a d cid en toute simplicit on point faible m lt Mon site internet compense mes difficult s communiquer Trajectoire SPORT NATURE Oser et ne pas tre stress par le lendemain Elle progresse cependant En cr ant La Transdromoise une course de vol ran donn e elle a d cid de communiquer la fois sur son activit et sur son image es points forts m Je fais bien la diff rence entre le travail et les loisirs Si je tiens dans ce Portrait de l entreprise Date de cr ation 2007 Investissement initial 10 000 en 2009 Forme juridique Chiffre d affaires Progression du CA 7 5 milieu c est parce que j ai bien cloison n les deux m Avec une bonne r putation dans le milieu du vol libre le bouche oreille a marche m L aspect conomique ne m inqui te pas parce que je ne m engage que si je sens que tout va bien se passer Si je ne sens pas je fais pas 10 000 la premi re ann e en 2007 20 000 en 2008 et Ind pendante pour l enseignement du vol libre g rante de l EURL pour le reste de son activit Ces trois derni res ann es ses b n fices ont plus que tripl Aucun salari l ann e Elle ne travaille qu avec de
188. statut une comptabilit et des frais divers li s aux fonctionnements juridique et Fiches Pro SPORT NATURE ports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles CO CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises administratif hauteur de 1 500 2 000 par an environ 30 du chiffre d affaires pour les cotisations sociales et assurances lorsque l on se situe au dessus du pla fond URSSAF de 4 336 frais inh rents la mise en conformit avec le Code du tourisme pour la vente de prestations compl tes ex organi sation de produits liant h bergement et activit sportive m Commercial cr ation d un site internet entre 2 000 et 3 000 volution et mise jour entre 500 et 1 000 par an ou location d un site environ 400 par mois conception dition et envois de brochu res publicitaires entre 1 500 et 2 000 par an participation des manifestations foi res et salons pour faire la promotion de son activit et mieux conna tre le mar ch entre 1 000 et 2 000 par manifes tation auxquels s ajoutent le logement et Les transports s ME est souvent tr s int ressant d Savill de se rapprocher des offices de tourisme ou des CDT l instar du CDT de l H rault dont la politique de mise en r seau des prestataires autour de la d marche Qualit H rault est remarqu e qui sont en atten
189. sur ceux qui b n ficient du service public L affermage C est un mode de gestion d l gu e d un service public indus triel et commercial Les quipe ments n cessaires l exploitation du service sont remis au fermier par la collectivit qui en a assur le financement Le fermier doit simplement assu rer l exploitation du service ce titre il doit garantir la mainte nance des ouvrages et ventuelle ment leur modernisation ou leur extension La r mun ration du fermier repose sur les redevances pay es par les usagers En revanche le fermier est tenu de verser la collectivit une contribution des tin e couvrir l amortissement des frais initiaux engag s par la collectivit Le risque de gestion repose donc sur le fermier Ce mode de gestion se d CO rapproche de la conces sion mais diff re de cette derni re sur deux points la construction des ouvrages n ces saires revient la personne publi que responsable etnonaufermier le fermier ne conserve pas l in t gralit des recettes recues des usagers puisqu il doit en reverser une partie au d l gant L a r gie int ress e C est un mode de gestion mixte du service public qui s appuie sur le concours ext rieur d un pro fessionnel priv contractuelle ment charg de faire fonctionner le service public Le r gisseur est r mun r par la collectivit au moyen d une r tribution qui com prend une redevance
190. sur la sant Pour en savoir www touteleurope eu fr LIFE La pratique sportive est suscep tible de contribuer la mise en valeur ainsi qu la protection de l environnement Life peut financer ce titre des actions visant contribuer la protection des sites naturels et la sensibili sation des pratiquants Les sports de nature sont de ce point de vue directement concern s Pour en savoir http ec europa eu fiches Sectorielles Sur la cr ation d un centre VTT de cyclotou risme en Is re La soci t Natura v lo est une SARL qui a t cr e en mars 2010 suite un appel d offres du Pays voironnais pour l animation d un centre VTT cyclotourisme Pendant la phase de cr ation deux futurs associ s d posent des dos siers de demande de financement europ en pour l achat de mat riel m Le premier dans le cadre du pro gramme leader sur la priorit aide la cr ation et au d velop pement de micro entreprises mle second aupr s de la R gion Rh ne Alpes au titre de l am nagement et la requalification des quipements structurants lls sont accompagn s par le ser vice tourisme de la Communaut d agglom ration qui les soutient pour la constitution et la d fense de leur dossier Les r sultats sont l mla Communaut d agglom ration a cr le b timent qui accueille aujourd hui l entreprise dans la
191. sur le plan Environnemental e En privil giant les h bergements les restaurants les structures les trans ports respectueux de l environnement puration limination correcte des d chets conomie d nergie Social e En demandant aux autorit s respon sables de garantir un d veloppement touristique compatible e En privil giant les services d accueil transports logements restauration en accord avec la culture du lieu e En choisissant des partenaires locaux qui respectent les normes syndicales tablies par l Organisation mondiale du travail e En constituant de petits groupes de participants qui seront plus facilement au contact des r alit s locales vitant l exposition r it r e et continue d une communaut un impact touristique de masse d cid unilat ralement e En organisant des itin raires m na geant du temps entre les tapes et avec des destinations en nombre limit eEn mobilisant un accompagnateur form qui jouera aussi le r le de facili tateur interculturel eEn vitant un exc s d organisation qui emp che les visiteurs de se rendre compte des r alit s locales eEn ne favorisant pas le commer ce sexuel et en vitant par tous les moyens la prostitution et la pornogra phie infantiles eEn organisant la participation des touristes aux manifestations f tes et spectacles traditionnels dans le res pect de l authenticit et du consensus conomique
192. sur les soci t s de droit commun taxe profes sionnelle devenue contribution conomique territoriale et taxe sur la valeur ajout e Seul l exer cice d une activit lucrative peut remettre en question le b n fice de ces exon rations Gestion d sint ress e ne signifie pas absence d activi t s lucratives Le caract re lucratif est d ter min au moyen d une d marche en trois tapes conduite voir Comment faire en page suivan te pour chaque activit suivant les principes nonc s dans l ins truction fiscale de synth se 4 H 5 06 n 208 du 18 d cembre 2006 et confirm s par le Conseil d tat n 170289 Association Jeune France Cela suppose entre autres que la gestion de l asso ciation soit d sint ress e c est dire que les dirigeants de droit ou de fait ne doivent tirer aucun avantage direct ou indirect de la gestion de l organisme D Source www impots gouv fr A L Assembl e nationale a d CO adopt le 13 novembre 2009 un amendement portant 80 000 la franchise en base de TVA pour les associations D Source www assemblee nationale fr Si l organisme exerce une ou plu sieurs activit s commerciales et lucratives en plus de ses activit s non lucratives il est en principe soumis l imp t sur les soci t s et la TVA pour l ensemble de son activit Toutefois l assujettisse fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pr
193. t chaotique apr s deux redoublements en primaire et un cursus adapt au coll ge Pour tant ses difficult s ne lui font jamais perdre de vue son objectif et l am nent prendre une orientation scientifique en seconde un choix qui ne lui facilite pas sa scolarit En parall le il s engage pleinement dans la pratique du tir l arc et de l avia tion ce qui ne l aide pas consolider ses r sultats scolaires faute de temps Il est vrai que le jeune Vincent s entra ne au point de se faire remarquer aux cham pionnats de France et de rater son bac Alors tout en redoublant sa terminale il d cide de consolider ses dipl mes spor tifs en passant le tronc commun du bre vet d tat d ducateur sportif en cours du soir Jeunesse et Sports C est un deuxi me chec au baccalaur at qui Le conduit faire son service militaire pour changer d air il doit s acquitter de ses obligations un bon pr texte pour r fl chir une nouvelle strat gie qui lui permettra de devenir pilote profes sionnel l issue du service militaire il d cide de mener de front sa formation sp cifique du BE 1 degr de tir l arc et un emploi avec pour objectif de financer une cole de pilotage professionnelle qui l accepte sans son baccalaur at au Canada C est dans l usine o son p re est salari qu il trouve un premier job d t et qu il progresse dans sa r flexion profession nelle Le milieu est par
194. territoriales aident de nombreuses petites salles en mati re d quipement et de fonctionnement Un certain nombre de salles b n ficient du soutien plus large aux SMAC sc nes de musiques actuelles port es par un engouement r cent pour l expression baroque les musiques traditionnelles r gionales et surtout la vari t le jazz le rock le rap etc vocation diverse sociale ou innovante La base de donn es extranet du Centre d information et de ressources sur les musiques actuelles IRMA comptabi lise en additionnant entrepreneurs dif fuseurs et exploitants de lieu un total de 4740 entreprises de spectacle vivant dans le domaine des musiques actuelles D Source Enqu te Gemap Groupement des entrepreneurs de musiques actuelles et populaires Les festivals Ils se d veloppent dans toutes les dis ciplines Plus de 2 000 sont d nombr s en 2011 ils attirent plus de 5 millions de spectateurs Ce ph nom ne sp cifi quement fran ais repr sente un levier marketing important pour un territoire Autre signe de vitalit l augmentation du nombre de spectacles pour un festival donn par exemple Avignon celle ci est de pr s de 10 par an avec pour la saison 2011 plus de 1 143 spectacles programm s La danse La France dispose dans le domaine de la danse d une offre artistique in gal e en raison du grand nombre de compa gnies professionnelles de la vari t des esth tiques et du
195. trois cat gories d entrepreneurs de spectacles licence de 1 cat gorie les exploitants de lieux de spectacles am nag s pour les repr sentations publiques licence de 2 cat gorie les produc teurs de spectacles ou entrepreneurs de tourn es qui ont la responsabilit d un spectacle et notamment celle d em ployeur du plateau artistique licence de 3 cat gorie Les diffuseurs de spectacles qui ont en charge l accueil du public la billetterie et la s curit des spectacles et les entrepreneurs de tourn es qui n ont pas la responsabilit d employeur l gard du plateau artis tique r M Des contr les sur la r gu d Savi larit des entreprises sont renforc s circulaire 2007 018 du 29 octobre 2007 relative la d li vrance des licences d entrepreneurs de spectacles Fiches Pro CULTURE m Les conditions sp cifiques relatives la licence de 1 cat gorie avoir suivi aupr s d un organisme agr une formation la s curit des spectacles ou justifier d une personne qualifi e et tre propri taire locataire ou titulaire d un titre d occupation du lieu de spectacle En effet en application de l article R 7122 3 du Code du travail les candi dats la licence d exploitants de lieux licence dite de cat gorie 1 doivent avoir suivi une formation la s curit des spectacles adapt e la nature du lieu de spectacle toute demande de licence doit
196. ult rieurement des op rations en conformit avec les objectifs poursuivis par le projet une meilleure prise en compte de l environnement le maintien ou le d veloppement de l emploi Cumul d aides publiques direc tes r gle de Le d cret du 16 d cembre 1999 relatif aux sub ventions de l tat pour des pro jets d investissement a fix un taux plafond hauteur de 80 de cumul des aides publiques sur un projet d investissement y compris l aide europ enne pour les dos siers cofinanc s Des d rogations cette r gle existent demand es par les minist res par grands types d op rations et faisant l ob jet de d crets d rogatoires Pour le cumul des aides aux entre prises voir la circulaire du Pre mier ministre du 8 f vrier 1999 Programmes op rationnels PO sur la base du cadre politique et r glementaire europ en les tats membres ont labor leur Cadre de r f rence strat gique national CRSN en tenant compte de leurs propres besoins Le CRSN a ensuite t d clin en une s rie de programmes techni ques venant pr ciser les modali t s de mise en uvre Il s agit des programmes op rationnels Efficacit d un programme appr ciation des effets par rap port aux objectifs du programme cofinanc par des fonds struc turels europ ens et valu Une action sera efficace lorsque les objectifs ont t atteints Efficience d un programme appr ciation des effe
197. un outil innovant pour construire des prestations de services dans le secteur Sport une tude du minist re des Sports www sports gouv fr 4 La formalisation des valeurs Le lien social la citoyennet la qualit de vie la pr servation environnementale sont des socles forts sur lesquels l entreprise est de plus en plus pr sente La mont e en puissance des questions environnementales les questions de sant au travail ainsi que le rapport des entreprises leur territoire d implantation sont devenus des facteurs qui posi tionnent les entreprises petites L amener rendre qui ou grandes comme en t moigne l arriv e fin 2010 d un barom tre Publics r putations pour les plus grandes d entre elles Plus que l image la r putation renvoie ce que l entreprise fait pour mettre en uvre les valeurs qu elle affiche une marche sup pl mentaire pour rendre compte de la responsabilit sociale ou soci tale des entreprises Conna tre ces volutions doit per mettre au cr ateur d int grer cette dimension dans son projet pour r pondre aux attentes des con sommateurs des salari s et des associations de protection de l en vironnement Les pouvoirs publics choisissent aussi leurs prestatai res en fonction de ces crit res ou demandent les conna tre avant de verser une subvention sans parler des entreprises m c nes deviennent compte deses rarement parte valeurs en des naires si
198. ve loppement des PME BDPME Le PCE vient obligatoirement en accompagnement d un pr t ban caire de plus de deux ans dont le montant est au moins gal au PCE et le co t total du projet ne doit pas d passer 45 000 Par ailleurs si le porteur de projet ne dispose d aucune garantie il peut avoir recours un fonds de garantie comme France Active la Sofaris ou une Soci t de caution mutuelle Les aides sp cifiques pour les demandeurs d emploi L ACCRE Aide au ch meur cr a teur et repreneur d entreprise consiste en une exon ration de charges sociales pour les 12 pre miers mois de l activit Peuvent aussi en b n ficier les b n ficiai res du RMI les b n ficiaires de l allocation parent isol Cette aide est cumulable avec d autres aides de l tat D Source www minefe gouv fr Le NACRE Le Nouvel accompagnement pour la cr ation et la reprise d entre prise remplace depuis Le 1 jan vier 2009 l Eden et le ch que conseil Le dispositif Nacre se caract rise par un accompagnement renforc avec un interlocuteur unique Il se d compose en trois phases une premi re phase ant cr a tion Un accompagnement est pro pos pour faire avancer le cr ateur depuis son projet bien identifi jusqu la r alisation de son busi ness plan Cette phase s adresse aux cr ateurs ayant d j une id e pr cise du projet d entreprise Cet accompagnement se fait sur 8 ou 10 s ances et 4 mois m
199. vit le public vis actions aupr s de personnes en difficult ou issues de zones d favoris es Les prix pratiqu s ils doivent tre dans tous les cas inf rieurs d au moins un tiers au prix propos par les organismes du secteur concurrentiel la publicit les moyens de commu nication utilis s par l association ne doivent pouvoir tre assimil s de la publicit par l importance et le co t de la campagne de communication Contexte r glementaire et l gislatif La principale disposition r glementaire concernant ces lieux est constitu e par la loi du 15 d cembre 1998 qui instaure un niveau sonore ne pas d passer et la n cessit de r aliser une tude d impact des nuisances sonores pour les tablis sements recevant du public et diffusant de la musique amplifi e Ce texte appel par ailleurs d cret discoth que pose un certain nombre de probl mes d application pour des lieux de diffusion de spectacle vivant notamment les plus anciens Une autre difficult est pos e par l absence de cadre l gal permettant de d velopper une diffusion r guli re dans un lieu professionnel de concerts d amateurs Les conventions collectives Plusieurs conventions collectives r gis sent le domaine du spectacle Le contenu de ces accords varie selon l ac tivit de l entreprise ou de l association organisateurs de tourn es diffuseurs de spectacles vivants artistes anim
200. 0 54 20 43 Vid oth que de films d entreprises Tous droits r serv s Cr dit photo Frank Boucher Agence du court m trage 2 rue de Tocqueville 75017 Paris T 01 44 69 26 60 www agencecm com Le court m trage est diffus dans les salles de cin ma mais aussi sur d autres supports cha nes hertziennes DVD Internet t l phone portable m Maison du film court Plateforme d aide la r alisation de courts m trages 10 passage de Flandres 75019 Paris 01 40 34 32 44 www maison du filmcourt org I Fiche r alis e sur la base de la fiche professionnelle de APCE r actualis e en mai 2009 Ze D 5 n D a i F2 a Z Fe A 5 D n sa S5 A D a S5 2 Fiches Pro CULTURE KL CO O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises REMERCIEMENTS Le minist re des Sports et le minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative remercient tout particuli rement les membres du comit de pilotage et du comit de lecture pour leur contribution aux travaux ainsi que le cabinet SED Conseil pour son appui la r daction du pr sent guide Comit de pilotage s Michel BAZILE cole nationale de voile et des sports nautiques ENVSN s Sol ne BRIEL Comit national olympique sportif fran ais CNOSF a Agn s CHABOT direction d partementale de la Coh sion sociale et de l
201. 01 pr sid e depuis la cr ation par Pascale MAZEL 2007 231 703 2008 284 601 2009 421 162 2010 421 343 Personnel 4 permanents 20 intervenants formateurs Chiffre d affaires Habilitation du minist re de la Culture en tant que centre de formation au dipl me d tat de professeur de danse reconnaissance de l tat en tant qu tablissement d enseignement artistique centre de production artistique accueillant des artistes en r sidence Habilitations La Manufacture inscrit au c ur de son projet deux missions totalement li es qui interagissent en synergie et pluridisciplinarit l ducation artistique et La formation professionnelle dans un concept de parcours de l veil aux m tiers de la danse pr nant la ne rencontre entre publics en devenir artistes amateurs Activit s H ce pr professionnels et professionnels de toutes esth tiques la vie chor graphique du territoire par des r sidences d artistes ouvertes la recherche et l exp rimentation un festival d hiver un t danse et une large diffusion nationale et internationale en synergie avec le th tre d Aurillac sc ne conventionn e Coordonn es m Wwww la manufacture com Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles Trajectoire CULTURE 200 Recommandations Le cr ateur et son projet Les points de vigilance 0 0 er BES IEE ae ee RE 2 Savoirs et R f rences
202. 122 85517 et divers Tous droits r serv s Cr dit photos Panoramic Centre questre et autres activit s questres Code NAF2008 r v2 92 7C et divers Tous droits r serv s Phototh que sportsdenature gouv fr Sports et loisirs de nature Code NAF2008 r v2 93112 93197 85512 et divers Tous droits r serv s Phototh que sportsdenature gouv fr Parcours acrobatiques en hauteur Code NAF2008 r v 03217 et divers Tous droits r serv s Phototh que sportsdenature gouv fr Spectacle vivant Code NAF2008 r v2 00017 90027 00047 et divers Tous droits r serv s Cr dit photo B ranger Morel Musiques actuelles et lieux de r p tition Code NAF2008 r v2 90047 9003B 85527 et divers Tous droits r serv s Cr dit photo Frank Boucher Production audiovisuelle Code NAF2008 r v2 5911A 5911B 59127 et divers Tous droits r serv s Cr dit photo Frank Boucher 315 31 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Fiches Pro SPORT CENTRE DE REMISE EN FORME OU DE FITNESS L i L Tous droits r serv s Cr dit photos Panoramic Code NAF2008 r v2 93132 93112 09127 8551 et divers Principaux codes NAF les Fran ais vers la pratique r guli re d un sport Cette tendance f a pr occupation grandissante pour la sant et le bien tre pousse b n ficie pleinement au secteur de la remise en forme qui
203. ATR En France des initiatives ont vu le jour d s les ann es 1990 c t de Nouvelles Fronti res Jet Tours et Marmara des op rateurs moins importants font valoir leur engagement par un label officiel Source www voyagespourlaplanete com La Charte du tourisme quitable SAUT A ee Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises C est le cas de l association Agir pour un tourisme responsable ATR qui regroupe 9 des prin cipales agences de trekking fran aises et qui d livre le label Tourisme responsable Cette plate forme a t r dig e par 4 op rateurs de voyage qui s engagent dans une d mar che solidaire et responsable Croq Nature Djemb Tourisme et d veloppement solidaire La Route des Sens Pour en savoir www crognature com fiches Pratiques L co label europ en L co label europ en distingue les produits qui r pondent des crit res stricts de performance et de qualit environnementale Chaque produit passe un test de conformit environnementale dont les r sultats sont certifi s par un organisme ind pendant Les consommateurs retrouvent l colabel europ en partout dans l Union europ enne Plus de 23 cat gories de produits et de ser vices sont concern es Pour en savoir www ecolabels fr La Clef Verte Cr e au Danemark en 1994 La Clef Verte est un label de gestion environnementa
204. AVS dans le cadre d un accom pagnement m dico social adapt comportant des prestations de soins Ce service s adresse des personnes lourdement handica p es afin de leur apporter une r ponse pluridimensionnelle int grant une dimension th rapeu tique Groupe d entraide mutuelle GEM Structure favorisant l insertion sociale des personnes handi cap es psychiques notamment par des activit s culturelles et de loisir Foyer de vie ou occupationnel pour personnes handicap es Foyer accueillant des adultes han dicap s ne pouvant pas travailler en milieu prot g mais disposant d une certaine autonomie physi que et intellectuelle ces struc tures fonctionnent en internat semi internat externat accueil de jour accueil temporaire I Les informations contenues dans cette fiche proviennent de multiples sources institutionnelles fiches Sectorielles ration dans le monde 1995 2020 a acc l r la prise de conscience qu un autre d veloppement plus respectueux de la nature et des hommes tait possible et souhaitable Depuis quelques ann es Le concept de d veloppement durable apporte un certain nombre de r ponses aux quelles les voyageurs sont de plus en plus sensibles e triplement annonc des flux touristiques en l espace d une g n Comment y voir plus clair et se positionner sur ce qui est aujourd hui clairement identifi comme une lame defond eeeee TOURISME ET D VELOPPE
205. CULTURE Cao Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 71 3 NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises MUSIQUES ACTUELLES an ET LIEUX DE REPETITION Tous droits r serv s Cr dit photo Frank Boucher Code NAF2008 r v2 00047 9003B 85527 et divers Principaux codes NAF institutions publiques et Les professionnels du secteur pour d signer appellation musiques actuelles et amplifi es est utilis e par Les tout ce qui ne rel ve pas des musiques classiques et lyriques Dans Les lieux de musiques actuelles et amplifi es appel s aussi salles de concert ou clubs l activit principale est la diffusion mais de nom breux services associ s sont tr s souvent propos s r sidences d artistes r p tition accompagnement de groupes tremplins E ctivit s du secteur Historique Les pouvoirs publics commencent s int resser ce champ multiforme au d but des ann es 80 avec les prises de position de Jack Lang Cela se traduit par des mesures dont la plus symbo lique reste la cr ation de la F te de la musique Elle sera suivie par la mise en place de plusieurs instances comme la Commission consultative pour le rock et les vari t s la direction de la Musique l Agence pour le d veloppement des petits lieux musicaux le programme Caf s musiques Fiches Pro CULTURE C est le d
206. Ces actions compren nent des tudes des projets pilo tes et des changes d exp rience valeurs Finalit s socio ducatives D ON d Additionnalit afin d assurer un impact conomique r el les cr dits des fonds structurels euro p ens ne peuvent se substituer aux d penses structurelles publi ques et doivent tre au contraire additionnels cf art 11 du r gle ment g n ral n 1 260 sur les fonds structurels europ ens Cofinancement public contribu tion g n ralement sous forme de participation financi re au plan de financement d un projet subven tionner par une aide europ enne provenant d une collectivit publi que tat collectivit s locales ou territoriales et tablissements publics et constituant la con trepartie publique nationale l aide europ enne En effectuant les contr les par sondages sur les op rations les tats mem bres s efforcent de v rifier que le cofinancement national appropri a r ellement t fourni art 11 R 438 2001 Comit de pilotage rassemble repr sentants politiques et cadres de direction des partenaires fiches Pratiques concern s sur les finalit s et orientations strat giques du pro jet C est la bonne animation de ce comit par le pilote qui va garantir l implication technique humaine et financi re des struc tures repr sent es Un engage ment qui est aussi la garantie de voir r alis es
207. Dans le cadre des appels projets la collectivit publique a identifi une probl matique mais n a pas d fini la solution attendue D Source Circulairedu 18janvier2010NOR PRMX1001610C sur legifrance gouv fr pLa distinction presta tions en nature et subventions Les concours ou avantages en nature peuvent tre directs ou indirects et r alis s par le moyen d une mise disposition de locaux biens divers pr t taux gratuit garantie d emprunt etc fiches Sectorielles ou d agents publics d cret n 85 986 du 16 septembre 1985 Ils peuvent tre d nomm s pres tations en nature lls conservent en g n ral le caract re de sub vention au regard de la d finition nonc e ci dessus Le Code g n ral des AMIE collectivit s territoria les distingue au regard des r gles de transparence et de publicit des comptes les prestations en nature et les subventions La destination des subventions Les subventions pour des projets d investissement Elles sont r gies notamment s agissant de l tat par le d cret n 99 1060 du 16 d cembre 1999 relatif aux subventions de l tat pour des projets d investissement Elles ont pour objet la r alisation de projets d investissement mat riel ou immat riel pour la mise en uvre d une politique d int r t g n ral Les subventions attribu es pour Le financement d une action sp cifique ou du fonctionnement g n ral
208. E Vincent FAUGERAUX Quand il annonce son entourage qu il va faire du tir l arc sa source unique de revenus c est l tonnement et le doute qui pr valent Dans sa famille on n est pas particuli rement sportif et l entreprise est un univers totalement inconnu Dans le milieu f d ral c est une d marche novatrice qui suscite un enthousiasme mod r Pourtant a ne le freine pas dans son projet et Le temps lui a donn mille fois raison Parcours d un doux r veur qui sait ce qu il veut et qui ne se laisse jamais abattre on parcours C est l cole primaire que Vincent Faugerouxd couvreletir l arc llselance dans la comp tition d s l ge de 11 anset 16 ans il passe un dipl me d initiateur f d ral pour le C est un sport Ne plaisir l poque totalement amateur Je ne pensais pas en faire ma profession Rapidement il se prend de passion pour ce sport entra ne b n volement puis con tre r mun ration pendant les vacan ces pour financer un r ve devenir pilote de ligne Je voulais pr parer le dipl me de pilote de ligne mais a co te cher de financer les heures de vol En 1992 il obtient le brevet de pilote priv qui fait de lui le plus jeune brevet de France Mais pour r aliser ce r ve il faut faire des tudes longues et compliqu es ce qui ne semble pas facile pour le jeune Vincent dont le parcours scolaire est plut
209. GUIDE PRATIQUE ACCOMPAGNER LA CR ATION D ENTREPRISE Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Une cor alisation Cet ouvrage est une cor alisation du minist re des Sports et du minis t re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative Sa publication a t coordonn e par le bureau de l emploi et des bran ches professionnelles direction des Sports en lien troit avec Le bureau de l initiative de l information et de la participation des jeunes direc tion de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative Un multipartenariat Ce guide est le fruit d un multipartenariat avec le minist re de la Culture et de la Communication la Caisse des D p ts l Agence pour la cr ation d entreprise APCE et l Agence de valorisation des initiatives socio conomiques Avise Cette collaboration a permis de capitaliser des expertises compl mentaires qui conf rent cet outil son origina lit et en fait sa richesse Une s rie de guides pratiques Ce guide s inscrit dans une d marche globale d accompagnement la cr ation d emplois et d activit s initi e par le minist re des Sports et le minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie asso ciative IL compl te celui relatif la cr ation des groupements d em ployeurs associatifs dit en d but d ann e 2011 Directeur de la publication Bertrand Jarrige directeur des Sports Coordinati
210. Il ne s agit pas d un dipl me d ducateur sportif reconnu par le Code du sport au titre de l enseignement contre r mun ration gt Liste des titres et dipl mes permettant un exercice professionnel de l encadrement sportif contre r mu n ration au 1 juin 2011 aLe brevet d tat d ducateur sportif BEES option escalade ou sp l ologie m Le dipl me de guide de haute monta gne ou d aspirant guide du brevet d Etat d alpinisme m Le dipl me de moniteur d escalade du BEES d alpinisme Les diff rents brevets d tat poss dant l attestation de qualification et d aptitude l enseignement et l encadrement professionnel de la pratique du canyon m Le brevet d aptitude professionnelle d assistant animateur technicien avec support technique escalade m Le brevet d aptitude professionnelle d assistant animateur technicien de la jeunesse et des sports avec support technique sp l ologie m Le brevet d tat d ducateur sportif option activit s physiques pour tous BEESAPT m Le brevet professionnel de la jeunes se de l ducation populaire et du sport BPJEPS sp cialit activit s physi ques pour tous a Le certificat de sp cialisation activit s Fiches Pro SPORT NATURE escalade arr t du 2 mai 2006 associ aux BPJEPS sp cialit s activit s physi ques pour tous activit s nautiques activit s gymniques de la forme et de la force Po
211. MENT DURABLE u n cadre dont les contours se pr cisent Au niveau international Le rapport Brundtland Toutes les d finitions sur la dura bilit font r f rence au rapport Notre Avenir Tous dit Rap port Brundtland du nom de la pr sidente de la Commission mondiale sur l environnement et le d veloppement la Norv gienne Gro Harlem Brundtland publi en 1987 Le terme de d veloppement dura ble y appara t pour la premi re fois Il a t repris ensuite par la d claration de Rio lors du Som met de la terre en 1992 Depuis les d clarations chartes et labels se sont multipli s au niveau inter national La Commission mondiale sur l environnement et le d velop pement Elle a d fini la notion de d ve loppement durable comme un d veloppement qui r pond aux fiches Sectorielles besoins du pr sent sans com promettre la capacit des g n rations futures de r pondre aux leurs Deux concepts sont inh rents cette notion le concept de besoins et plus particuli re ment des besoins essentiels des plus d munis qui il convient d accorder la plus grande priorit et l id e des limitations que l tat de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacit de l environnement r pondre aux besoins actuels et venir L Assembl e g n rale des Nations unies Elle a officiellement reconnu en d cembre 2001 le Code mondial d thiqu
212. NACE r v 2 mais elle comporte un niveau suppl mentaire celui des sous classes 5 Source INSEE SIREN Le num ro SIREN est un iden tifiant de 9 chiffres attribu chaque entreprise Les huit pre miers chiffres n ont aucune si gnification except pour les or ganismes publics communes No Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles No c3 OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Sur la difficult d attribution d un code NAF dans le sport et la culture m Le code d activit est un rensei gnement fondamental pour la statis tique d entreprise car il est la base des classements des entreprises par secteur d activit Ainsi la qualit des tudes sur la situation conomique conjoncturelle et structurelle et celle des fichiers mis disposition du public d pendent en grande partie de l attri bution d un code APE correct chaque entreprise C est une des difficult s majeures dans ces secteurs ils sont dispers s sur de nombreux codes d activit et il est plus difficile de rendre compte de leur poids conomique Par ailleurs ces codes sont importants pour la future entreprise car ils d terminent son OPCA ce qui n emp che pas de mauvaises attributions de code Il faut savoir enfin qu un m me code peut regrouper des activit s relevant en partie de deux OPCA m titre d exemple les codes APE des activit s relevant du champ d ap
213. OPCA 17 qui mutualisent les fonds des entreprises pour la formation fiches Pratiques sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 65 a OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Les dix premi res sp cialit s de formation en 2008 S curit des biens et des personnes police surveillance ly c hygi ne et s curit Sp cialit s plurivalentes des changes et de la gestion gestion commerce transport finances ressources humaines D veloppement des capacit s d orientation d insertion ou de r insertion sociale et professionnelle Transport manutention magasinage Formations g n rales Sant Enseignement formation Commerce vente Informatique traitement de l information r seaux de transmission des donn es D veloppement des capacit s comportementales et relationnelles Ensemble des 10 premi res sp cialit s En des En des heures Dur e moyenne stagiaires stagiaires len heures 10 4 5 3 33 5 8 3 3 3 26 2 6 7 4 2 41 3 6 2 4 2 44 3 6 12 8 94 5 8 5 3 59 6 4 9 1 6 22 1 4 4 7 4 110 3 6 2 3 41 3 3 6 2 4 44 3 59 9 48 8 50 Champ organismes d enseignement ou de formation continue secteurs NAF r v 2 85 317 85 327 85 417 85 427 85 59A et 85 59B ayant r alis des actions de formation continue France enti re D Source Bilans p dagogiques et financiers traitement Dares Dares Analyses n 053 Ao t 2010
214. Objectifs 2et3 l Objectif de Coop ration terri toriale europ enne qui assure la continuit avec INTERREG Politiques de coh sion et fonds structurels Fonds et instruments structurels 1 Convergence 2 Comp titivit r gionale et Infrastructures innovations investissements etc Tous tats membres et r gions D Source Avise Le FEDER Ce qu il faut savoir Ce Fonds europ en de d veloppe ment r gional contribue aux pro jets de d veloppement conomi que au niveau local qu ils soient modestes ou plus ambitieux C est l chelle des r gions que la s lec tion des projets est r alis e selon des crit res propres chaque Fonds de coh sion Infrastructures professionnelle d environnement et aides l emploi de transport ner etc gies renouvelables Formation tats membres au RNB hab lt 90 territoire Le FEDER concentre son inter vention sur un nombre de priori t s th matiques que l on retrouve dans les trois t tes de chapitres d finis comme tant les Objectifs Convergence Comp titivit r gionale et emploi et Coop ration territo riale europ enne fiches Sectorielles D Quels types de projets sont sur les priorit s financ s par le FEDER Vs NE th matiques de l objectif Tous les crit res de s lection Convergence des projets sont pr cis s dans des documents propres chaqu
215. PERUSIN chef de bureau des m tiers de la r glementation et des dipl mes minist re des Sports s Jacques ROBERT direction de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative DJEPVA a Philippe RODET directeur de Nautisme en Bretagne s R jane SOURISSEAU responsable des questions europ ennes Opale CNAR Culture s Michel V RIN Chambre de commerce et d industrie de l Aveyron Cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 97 CO O OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises WEBOGRAPHIE La cr ation d entreprise et le cr ateur www acfci cci fr www guichet entreprises fr www ademe fr www impots gouv fr www afdas com www info assedic fr www agefos pme com www insee fr www aides entreprises fr www lautoentrepreneur fr WWWw apce com www legifrance gouv fr wWww associations gouv fr www minefe gouv fr wWww avise org www pluriactivite org www boutiques de gestion com http pme service public fr WWW cncp gouv fr www pole emploi fr WWW cooperer coop www servicepublic fr www credoc fr WWW SCiC CO0p www developpement durable gouv fr WWW SCOP CO0p www entreprendre en france fr www travail emploi sante gouv fr wWwww europe en france gouv fr www travail solidarite gouv fr http ec europa eu Www uniondescouveuses com www france initiative fr Ww
216. Reims et sa ville natale Convaincu de la valeur de son dipl me sportif il cherche un emploi dans le cadre des contrats ducatifs locaux et aupr s des IME pendant moins de trois mois car Hakim est r actif il n est pas question pour lui de rester au ch mage Comme je n ai pas trouv de boulot je me suis dit qu il fallait que je Le cr e Pendant cette p riode il se d place 40 km de son domicile pour faire du sport en salle car dans son nouveau lieu de r sidence il n y a pas de salle de remise en forme Pour tant Rethel conna t une v ritable explo sion d mographique li e l installation d une gare TGV qui met Paris peine plus d une heure de la commune et Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles OO cib zg Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises OO o d avoir le feu vert de prin mune C est parce que j ai dence J ai toujours eu un l augmentation marqu e du prix de l im mobilier sur Reims Pour 10 000 habitants et pr s de 27 000 dans la zone le seul moyen de faire du sport en salle c est de faire au moins une demi heure de voiture pour se rendre soit Charleville soit Reims qui est trois quarts d heure de route Sans h sita tion il d cide alors de cr er la premi re salle de remi se en forme de Rethel Nous sommes en mai 2007 quand les premiers rendez vous sont pris avec les lus locaux A
217. STION ONDA Office national de diffusion artistique 13 bis rue Henri Monnier 75009 Paris 01 48 80 28 22 www onda international com Aide la diffusion des spectacles s ins crivant r solument dans la cr ation contemporaine m AGEC Associations pour la gestion des entreprises culturelles Toutes les AGEC font de l accueil de la formation offrent des services comme le traitement de la paie Certaines sont plus sp cialis es que d autres par sujet Fiches Pro CULTURE KE nformation Information sur Les m tiers Aller au CIDJ l ONISEP Lire le guide sur les m tiers du spectacle J M Djian Le Monde de l ducation ainsi que le guide de l ANPE Carnet artistes et techniciens du spectacle et fiches n 2 262 M tiers de la Danse n 2 263 M tiers de la Musique interpr tes 101 quai Branly 75740 Paris Cedex 15 www cidj com Arts spectacles ANPE et Documenta tion fran aise collection Rome 1995 BLes m tiers de la sc ne et du spec tacle vivant collection L Etudiant wwvw letudiant fr Les m tiers du spectacle Jeunes Editions Information sur les formations Les organismes sont trop nombreux pour tre cit s dans le cadre de cette fiche Consulter m Les nombreux guides des formations aux m tiers de la culture avec adresses utiles du minist re de la Culture sur les m tiers des spectacles du th tre de la danse de la mu
218. Savoirs et R f rences L essentiel sur Les statuts r cents iciciesirerirsrirrrrrrrrerreen Financements les incontournables s csssascsisiesssirisisrrrrsrrrree La politique europ enne 2007 2013 la culture et le sport Les formalit s de cr ation s sisississisiisississisiisirrrsrerirrrrrn Fiches Pratiques Outils et Ressources Choisir le bon statut pour entreprendre ceieressessrerrrerrrere Obtenir un financement europ en aiicesssiiressiiesrrrrerrrerren M c nat et concours la cr ation comment s y prendre Convaincre partenaires et fiNanceurs s isesieeeeieeereeesreerreee Centre questre et autres activit s questres Sports et loisirs de nature ssesiiiiirrereeeresrsrrriirirerrerereene inn Parcours acrobatiques en hauteur s cicissresiesreerresrrsrrrrrren Spectacle VIVANE sssssssssstarsnnnaeneannnneennen dansent E hi Musiques actuelles et lieux de r p tition Production audiovisuelle ssssniriimrisrssiierrississaisiiriaa akis Remerciements 4 iii didieeeeeeeeeueeeeee W h graphie usine dd names ere mnte 146 Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises LE GUIDE MODE D EMPLOI e p rim tre du guide Ce guide a t r alis au terme d une enqu te interne aux services du minist re charg des sports et d une enqu te
219. Source www creps centre jeunesse sports gouv fr L ann e 2008 a t une ann e charni re pour la formation d tat handisport Le brevet d tat d ducateur spor tif 1 degr option sports pour handicap s physiques et senso riels a disparu au profit de nou velles qualifications d tat IN Sur les nouvelles qualificationshandisport du minist re des Sports mle Certificat de sp cia lisation CS Accompagnement et int gration de personnes en situation de Handicap AIPSH associ tous les BPJEPS ayant une sp cialit sportive m Le dipl me d tat de la Jeunesse de l ducation populaire et du Sport DEJEPS mention Handisport il d veloppe des comp tences en mati re d enseignement d entra nement 1 niveaux et de forma tion Il est destin toute personne souhaitant acqu rir un dipl me professionnel en lien avec le champ des activit s physiques et sportives pour les personnes handicap es physiques et sensorielles m Le dipl me d tat sup rieur de la Jeunesse de l ducation populaire et du Sport DESJEPS mention Handisport il est plut t destin aux titulaires de dipl mes d tat d ducateurs sportifs monova lents ou aux titulaires de dipl me d entraineur f d ral Il permet de d velopper des comp tences dans le champ de la comp tition et du haut niveau pour des sportifs handisports L essentiel des extraits cit s sont issus de Tourisme et loisirs
220. UE ou des autres tats parties l accord sur l espace conomique europ en r pondant aux condi tions de reconnaissance des qua lifications fix es par le Code du sport et d clar s cet effet Direc tive 2005 36 sur la reconnaissance des qualifications professionnel les Art L 212 7 et R 212 88 et suivant du Code du sport Ma Lorsqu il existe une IMIE diff rence substan tielle de niveau entre les qualifications attest es et ce qui est attendu le pr fet peut exiger par d cision motiv e pour des raisons tenant la s cu rit des personnes qu il le res sortissant europ en choisisse soit de se soumettre une preu ve d aptitude soit d accomplir un stage d adaptation Cette preuve porte alors outre sur l aptitude technique du d clarant sur sa connaissance du milieu naturel des r gles de s curit et des dispositifs de secours Cf art R 212 90 C sport fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND O Pratique et encadre ment des sports de nature Le site internet du P le ressources national sports de nature permet de conna tre la r glementation de 29 activit s ou groupes d activit s qui font l objet d une reconnais sance institutionnelle et d une r glementation significative Chaque fiche pr sente un bref historique de lenca drement et du d veloppement de l activit les noms et adresses d
221. _ S 722 amp ART_N_ID 2114 ENCRE2114 GUYANE www europe guyane fr index php rub 1 amp sec 324 HAUTE NORMANDIE www europe haute normandie fr pages telechargement html LE DE FRANCE www europeidf fr LANGUEDOC ROUSSILLON www languedoc roussillon eu LIMOUSIN www haute vienne pref gouv fr sections politiques_et_action les_fonds_europeens LORRAINE www lorraine pref gouv fr index php headingid 25 www draf lorraine agriculture gouv fr index3 php dir 13 amp dos 21 DO amp rub 227 amp art 334 MARTINIQUE www martinique europe fr accueil suite accueil europe en martinique html MIDI PYR N ES wWww europe en midipyrenees eu web europe 2045 documents de reference php NORD PAS DE CALAIS www nord pref gouv fr page php P data actions de_L_etat eu rope la_politique_regionale_europee 2007 2013 PAYS DE LOIRE www europe en paysdelaloire eu programme php page prog20 07 amp rub objs amp tab 1 PICARDIE www picardie europe fr POITOU CHARENTES www europe en poitou charentes eu PROVENCE ALPES www paca pref gouv fr frameset php C TE D AZUR LA R UNION www reunioneurope org UE_programmes2007 asp RH NE ALPES www rhone pref gouv fr web 190 le programme competitivite regionale et emploi 2007 2013 php www rhone pref gouv fr web 643 feader php 5 Source Cahiers de l Avise n 6 Associations et fonds europ ens comment g rer et financer votre projet IR Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Sectorielles N
222. a tion socioculturelle Les conventions les plus r pandues mLa Convention Entrepreneurs de spectacles artistes dramatiques lyri ques chor graphiques vari t s et musiciens N 3277 ex Snes d nomm e gale ment Convention Tourn es Convention tendue par d cret Le 20 octobre 2004 Cette convention r gle les rapports entre les artistes interpr tes dramati ques lyriques chor graphiques marion nettistes de vari t s et musiciens et les entrepreneurs de spectacles organisant des tourn es X M La convention donne dans son d Savr article 2 une d finition pr cise de la tourn e On entend par tourn es les d placements effectu s par l artiste interpr te dans un but de repr sentation publique donn e par tout entrepreneur produisant ou diffusant un ou plusieurs spectacles en France dans les d partements et territoires d outre mer ou l tranger quels que soient la dur e du s jour et le lieu de repr sen tation d s lors que les d placements sont effectifs On comprend par con s quent qu une tourn e peut parfaite ment se r duire un seul spectacle si le d placement est effectif Fiches Pro CULTURE Cao Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 1 CO I O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Cette convention pr voit des salaires minimums pour les cat gories d artis tes concern
223. a Protection des populations du Cantal s Fran ois GOIZIN direction de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative DJEPVA s Jean Jacques JANNI RE direction r gionale de la Jeunesse des Sports et de la Coh sion sociale de PACA s Anne Marie LA COTARDIERE de direction des Sports a Philippe LAGADEC direction d partementale de la Coh sion sociale de la Manche a Jean Francois LOCHET direction des Sports ric LECLERC Institut fran ais du cheval et de l quitation IFCE a Farid MEBARKI direction de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative DJEPVA s Jacques PLANTET minist re de la Culture et de la Communication Secr tariat g n ral a Ludmila RIDOIN P le ressources national des sports de nature PRNSN a Michael ROUX direction r gionale de la Jeunesse des Sports et de la Coh sion sociale d Auvergne a Fr d ric STEINBERG direction des Sports a lisabeth VINAY Agence pour la cr ation d entreprises APCE Comit de lecture s Anne Marie LA COTARDI RE de direction des Sports s Fran ois GOIZIN direction de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative DJEPVA a Jean Francois LOCHET direction des Sports a Farid MEBARKI direction de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative DJEPVA a Fr d ric STEINBERG direction des Sports minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de
224. a bo te de r pa ration de voiles qu a remont e son ami Nicola Montpellier Je suis profond ment attach la libert au sens philosophique du terme Son entreprise aujourd hui c est en core une histoire d amiti Quand Fr d ric qu il a connu en arrivant Millau quinze ans plus t t l appelle et lui pro pose de remonter une entreprise il dit Banco Fr d ric Jeanneau Seguret dit le grand Fred a un parcours diff rent 18ans le bac en poche ce jeune Ruth nois passionn de sp l o d escalade et de nature d cide de faire une cole de commerce et c est son choix la CCI de Rodez on me prenait pour un mutant avec ma d gaine et mon look Mais moi je savais d j que je monterais ma bo te Convaincu qu ilne pourrait d marrer sa vie professionnelle sans dipl me sportif il d cide de passer le BAPAAT option loisirs de pleine nature et int gre une entreprise dont il est toujours cog rant ESPRIT NATURE La rencontre avec Quentin se fait en saison quand Fred fait son stage Millau dans le cadre de sa pr paration au BAPAAT Son point fort dans l entreprise la ges tion des quipes et le terrain Pendant et en dehors de la saison il veille au grain convaincu que leur r ussite ils la devront leur capacit s appuyer sur une quipe stable et motiv e L envie de travailler ensemble pour le plaisir et parce qu on sait qu on est compl mentair
225. a cr ation d entreprise n est pas qu un hobby En 2009 elle a fait 3 593 euros de chiffre d affaires une somme qui correspond l investissement qu elle a fait cette ann e l Aujourd hui elle est en phase de d veloppement et de r flexion Sur les ventes d chasses je me calme parce que je ne gagne rien quant l activit elle a besoin de la consolider Son statut d auto entre preneur lui a permis de d marrer cette entreprise facilement mais aujourd hui Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles COCO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises les charges sont telles qu il n est pas certain qu elle Le conserve Qu cela ne tienne cette jeune Orl a naise a une vie tr pidante qu elle m ne en toute libert Ses f tes du Nouvel An c est en Argentine qu elle va les passer son retour elle se remettra ses acti vit s favorites les chasses le sport la nouvelle grange qu elle a d cid de retaper et pourquoi pas se lancer dans une nouvelle aventure car elle en est s re elle est faite pour entre prendre R cemment elle a fait un bilan de com p tences qui lui a confirm cette aptitude si clairement affirm e Alors quand on lui demande quoi elle pense en ce moment on n est presque pas surpris de l entendre noncer tous ces projets aux quels elle croit une cr perie en Espagne mais pourquoi pas un restaurant tap
226. a cr ation d entreprises b qui s adressent ils Devant la difficult d acc s au financement bancaire le pr t d honneur a vocation conforter voire selon le public remplacer l apport du porteur de projet et produire chaque fois que c est possible un effet de levier pour l obtention d un financement ban caire compl mentaire Les pr ts d honneur concernent les cr ateurs d entreprises mais aussi selon l organisme distribu teur les repreneurs ou encore les jeunes entreprises g es de 0 3 ans Les crit res de recevabilit con cernant le porteur de projet varient d un organisme l autre Pour quels projets Chaque dispositif financier de pr ts d honneur a vocation pri vil gier un ou plusieurs types de projets de cr ation d entreprise comme par exemple les micro projets permettant la r insertion conomique des per sonnes en difficult les projets en milieu rural les projets vocation sociale ou co logique les petits projets potentiel Les projets contenu technolo gique etc La plupart du temps il existe ga lement un crit re g ographique li au p rim tre d intervention de l organisme distributeur qui est souvent une association cr e pour favoriser le d veloppement conomique local A T Le pr t d honneur il AT baptis Autonomie Depuis le 1 janvier 2009 les futurs cr ateurs d entreprises peuvent b n fic
227. adh rents de la F durok indiquent d velopper une activit d infor mation et de ressources pour les acteurs locaux notamment en ouvrant au public un espace offrant la possibilit d couter des disques mais aussi de consulter des revues et de trouver des informations et du conseil artistique et juridique Action culturelle Des actions de sensibilisation sont sou vent men es par les lieux notamment en direction des scolaires ou en milieu carc ral tude de march Tendances g n rales La pratique et l coute de la musique sont en plein essor m Depuis trente ans la proportion de Fran ais coutant quotidiennement de la musique a tripl 25 d entre eux savent jouer d un instrument de musi que 60 des 15 19 ans m Environ 3 des Fran ais exercent r guli rement une activit musicale ce qui repr sente pr s de 1 5 million d indi vidus qui se r partissent quitablement entre zones rurales et moyennes ou grandes villes mles rares tudes plus qualitatives sur le public des concerts de musi ques actuelles amplifi es montrent que ces musiques ne s adressent pas qu une population jeune et tudiante Les trois quarts des spectateurs auraient entre 20 et 30 ans et pour le jazz ou le blues les plus de 30 ans sont fortement repr sent s 31 des Fran ais de 15 ans et plus ont assist un concert ou spectacle musical au moins une fois lors des 12 derniers mois Le pourcentage at
228. affaires HT Lorsqu une mission lui est confi e Pas de dur e limit e m H bergement juridique de l activit m Facturation m Calcul et paie ment des cotisa tions sociales m mission de bul letins de paie De 5 15 calcul s sur le montant du chiffre d affaires HT Minimum de facturation 1 noter quelques couveuses ont n anmoins mis en place une phase de pr paration au test fiches Pratiques COMMENT FAIRE 1 pour choisir le bon statut invitez le les comparer 2 2 Activit s repr sent es Condi tions d entr e Sortie du dispositif Coop ratives d activit s Toute activit l excep tion de certaines activit s r glement es savoir Certaines coop ratives sont sp cialis es dans les services la personne les activit s culturelles et artistiques R union collective suivie d un entretien individuel puis signature d une con vention d accompagne ment entre la coop rative et le b n ficiaire m Soit cr ation ou reprise d une entreprise noter les entreprises cr es b n ficient des exon rations fiscales r serv es aux entreprises nouvelles m Soit int gration dans la coop rative en tant qu associ m Soit retour l emploi Couveuses adh rentes de l Union des couveuses Toute activit l exception des activit s r glement es ou celles n cessitant un local commercial savoir
229. agements nationaux europ ens et internationaux D fi 1 une consommation et une production durables D fi 2 la soci t de la con naissance par le d veloppement de l information de la formation de l ducation tout au long de la vie et de l acc s la culture D fi 3 la gouvernance D fi 4 le changement climati que et l nergie D fi 5 les transports et la mobi lit durables D fi 6 la conservation et la ges tion durable de la biodiversit et des ressources naturelles D fi 7 la sant publique la pr vention et la gestion des risques D fi 8 la d mographie l immi gration et l inclusion sociale D fi 9 les d fis internationaux en mati re de d veloppement durable et de lutte contre la pau vret dans le monde Elle comprend aussi 5 l ments d terminants pour assurer le succ s d une d marche de d ve loppement durable une strat gie d am lioration continue la participation des acteurs l organisation du pilotage la transversalit des approches l valuation partag e Pour en savoir BD couvrir le document Strat gie nationale de d veloppement durable Un cadre en 9 d fis et 5 points 2010 2013 t l chargeable sur le site cl s du minist re de l cologie du D velop La strat gie nationale de d ve pement durable des Transports et du loppement durable est organis e Logement www d
230. ail entre l interve nant et la soci t de portage Il est ta bli en m me temps que le pr c dent contrat Il s agit g n ralement d un contrat dur e d termin e couvrant la p riode de la mission mais certai nes structures utilisent le contrat temps partiel annualis ou le contrat dur e ind termin e m Une convention d adh sion peut ga lement tre sign e entre ces m mes personnes pour pr voir les modalit s de refacturation des honoraires ainsi que les prestations annexes propos es par les soci t s de portage 2 de l engagement en couveuse d activit Le CAPE le cadre juridique que propo sent les couveuses est le cadre l gal permettant de tester son activit sans s immatriculer IL permet de com mencer vendre facturer produits ou services avant de s immatriculer Ce contrat permet d exercer en toute l galit tout en conservant statut social et droits ant rieurs En entrant dans une couveuse le porteur de projet devient entrepreneur l essai et signe un contrat CAPE reconnu l galement Pour en savoir www uniondescouveuses com En pratique le recours au portage peut selon les situa tions tre totalement occasionnel et ne concerner qu une mission d termin e ou bien se situer sur une p riode plus Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises longue dans le cadre de missions r currentes m tier de chef d entreprise Cela
231. ainsi que sport et loisirs sont recens es par l INSEE comme tant les plus importantes derri re le secteur social e renouvellement de l analyse conomique Le besoin apparu depuis quelques ann es d inventer de nouveaux modes d valuation des pays prenant en compte des l ments diffici lement appr ciables comme le bien tre la qualit de vie voire le bonheur a confort la visibilit et Le poids de ces activit s Cette nou velle approche a permis notamment de mettre en avant leur impact dans l image globale de la France et leurs incidences en mati re d in fluence et d attractivit internationales f vrier 2011 8 APCE mo mp et du bien tre dont les r sultats ont t pr sent s la Sorbonne en septembre 2009 7 ACOSSTAT Bilan n 121 Les associations en 2009 un secteur qui r siste la crise 9 Le pr sident de la R publique a confi Amartya Sen et Joseph Stiglitz une mission sur les limites du produit national brut comme crit re de mesure de la performance conomique L image de la France travers toutes les enqu tes et tudes Les nombreux ouvrages les t moignages on observe que les traits dominants de l image globale de la France sont la culture et le patrimoine l art de vivre et un tou risme florissant Selon le g opoliticien Joseph Nye ce soft power dont la culture constitue un l ment important est un vecteur longtemps sous estim de l
232. aire disposition sur le site dans la rubrique Appel projet Prix pour chaque appel projets un ou des prix de l ordre de 5 000 30 000 Nombre de b n ficiaires non d termin l avance fiches Pratiques O TROUVER L INFO m Fondation de France Initiatives solidaires et cr ation d emplois 40 avenue Hoche 75008 PARIS 5 0144213196 emploi fdf org wwvw fondationdefrance org B n ficiaires porteurs de pro jets associatifs o coop ratifs La Fondation de France soutient uni quement les initiatives collectives d veloppant une activit porteuse d utilit sociale sur son territoire Cl ture des candidatures 2 ses sions par an 25 mars et 9 sep tembre 2011 Prix subventions de 5000 30 000 par projet m Programme Jeun ESS Objectifs g n raux Le Programme Jeun ESS s est donn trois objectifs principaux constituant les trois axes de son intervention promouvoir ESS aupr s des jeunes leur donner envie de s y investir valoriser les initiatives des jeunes et leur donner une juste place favoriser l int gration des jeu nes dans les entreprises de l ESS et notamment dans leur gouver nance Nature des projets ligibles premi re action de l AXE 2 Lancement d un appel pro jets pour valoriser des initiatives remarquables port es par des jeunes m Fondation de la deuxi me chance Tour Bollor 31 32
233. ales ont toujours t tr s pr sentes en particu lier les municipalit s Fiches Pro CULTURE Les d partements et les r gions se positionnent de facon de plus en plus significative comme partenaires privi l gi s de ce type d quipements et de projets Les collectivit s interviennent pour de l aide l investissement de l aide aux projets notamment pour les actions culturelles et de l v nementiel et de l aide au fonctionnement infras tructure globale du lieu Les aides priv es m c nat par exem ple sont pratiquement inexistantes sur ce secteur Les soci t s civiles SACEM mais aussi ADAMI ou SPEDIDAM appor tent des aides ponctuelles qui restent toutefois un niveau faible ME Le CNV Centre national des d9 1i vari t s de la chanson et du jazz ancien Fonds de soutien est devenu en 2002 tablissement public sous tutelle du minist re de la Culture et de la Communication Sa mission prin cipale est de soutenir le secteur de la chanson des vari t s et du jazz gr ce aux fonds collect s par la perception de la taxe sur les spectacles de vari t s Le CNV apporte des aides financi res aux diff rents acteurs de la fili re producteurs salles festivals et d veloppe galement une activit de centre de ressources ontacts et sources d information Organismes professionnels On compte deux f d rations nationales F durok F d ration de li
234. alit s accompagnement pendant 3 ans Pour en savoir www entreprendre en france fr ils sont moins connus mais accompagnent aussi ces cr ateurs Le Comit d information et de mobilisation pour l emploi est un lieu d observation de promotion et de diffusion des initiatives locales cr atrices d activit s et d emplois fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles I AN Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises I ND CIME a d velopp le concept Balise dispositif visant faire merger les id es et projets cr a teurs d activit s et d emplois Pour en savoir www reseau balise org Le projet Dora Dispositif ouvert de ressources et d accompagne ment r unit des associations but non lucratif sous l gide de l AFIP impliqu es sur le terrain du d ve loppement des territoires ruraux via l accompagnement le soutien le conseil et la mise en r seau de porteurs de projets d instal lation IL s agit d une dynamique qui r unit des associations qui se rejoignent sur une approche ter ritoriale de la cr ation d activit et l appui des projets innovants et ou atypiques Les membres du r seau DORA sont AFIP Association de formation et d information pour le d velop pement d initiatives rurales PEC R seau Peuple et Culture ENFR Conf d ration nationale des foyers ruraux ENCIVAM
235. ance copains o familiale ainsi qu une locali sation en centre ville Les professionnels estiment qu il ne faut pas plus d une salle pour 50 000 habitants D Source Journal L Union Champagne Ardenne Picardie m Le maillage actuel est d environ 1 club pour 24 000 habitants La client le m 14 15 millions des Fran ais g s de 15 ans et plus pratiquent de fa on assi due ou occasionnelle le fitness la mus culation ou la gymnastique d entretien soit un quart de la population Cepen dant seuls 5 6 millions sont inscrits dans un club cua Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 17 CO As OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises R partition par grande cat gorie juridique au niveau national D Source RES Octobre 2010 Les pratiquants du fitness sont plut t jeunes et en majorit des femmes 54 mais la cat gorie des seniors est en forte progression aLa pratique a t une progression constante dans les ann es 90 Elle se stabilise aujourd hui avec deux millions de pratiquants suppl mentaires depuis 2005 Co t d installation en 2008 mLe co t d am nagement est valu environ 1 000 m un chiffre qui varie en fonction du site d implantation auquel il faut rajouter un BFR de 3 6 mois d activit 25 000 50 000 m Une salle bien quip e comporte au minimum vingt appareils soit vingt pos tes de t
236. ancer en partie leurs projets conform ment au principe du cofinancement i D sormais dans cer d avoi tains cas elles auront la possibilit de remplacer cette contribution par un cofinan cement en nature qui pourrait tre par exemple le travail fourni par une partie de leur personnel 5 Source Nouveaux fonds meilleures r gles Guide d initiation 2008 www fse microprojets fr que l instar de la pr c dente programmation l essentiel des fonds sont r gionalis s et en France plut t d concentr s territoriale recherch e par l Eu rope et ses Etats membres Pour la p riode 2007 AMIE 2013 la dotation finan ci re attribu e la politique r gionale avoisine les 348 milliards d euros 278 mil liards pour les fonds structurels et 70 milliards pour le fonds de coh sion Elle repr sente 35 du budget communautaire soit le deuxi me poste budg taire D apr s les chiffres publi s sur le site de la Commission europ enne au 5 juillet 2010 42 268 projets ont t financ s en France par l Union europ enne dans le cadre du Fonds social europ en FSE et du Fonds europ en de d veloppe ment r gional FEDER Les fonds structurels sont les instruments financiers de l Union europ enne Afin de simplifier le fonctionnement des fonds structurels la Commission euro p enne a propos d axer laide de l actuelle programmation sur Pour en savoir trois ob
237. andidat ce titre le site www doc impots gouv fr publie des positions que l administration fis cale a apport es dans les domai nes d activit vis s par le guide m RES n 2008 25 ASSOC Crit res de lucrativit des associa tions de cr ation artistique m RES n 2005 92 OSBL F d rations sportives et associa tions locales m RES n 2005 82 OSBL Organisation d un festival de musique d es responsabilit s et de nombreuses contraintes Les dirigeants sont res ponsables civilement si un acci dent se produit dans le cadre des activit s de l association et que la victime porte plainte p nale ment si l association ou l un de ses dirigeants enfreint la loi ou une r glementation financi re ment en cas de faute de gestion Le l gislateur a introduit dans le droit fran ais le principe de la res ponsabilit p nale des personnes morales par l entr e en vigueur le 1 mars 1994 du nouveau Code p nal Code p nal art 121 2 al 1 L association encourt alors des peines allant de simples amen des dont le montant est cinq fois plus lev que pour une personne physique jusqu la dissolution Et cela peut s accompagner de l engagement de la responsabilit personnelle des administrateurs Ila 16 ans au moins il I peut cr er et faire vivre une association gr ce au nouvel article 2 bis de la loi du 1 juillet 1901 issu de l article 45 de la loi n 2011 893 du 28
238. apacit faire preuve d esprit critique et s adapter Avoir l esprit critique consiste rep rer dans son cadre pro fessionnel et personnel ce qui pourrait tre am lior ce qui complique la vie mais aussi ce qui semble aller de soi ce sur quoi fiches Sectorielles une profession o un territoire fonctionne De nombreux nou veaux concepts de produits ou de services sont le fruit de ce genre de remise en cause de carences constat es dans l offre ou d une grande capacit d observation et d adaptation L volution des BON IR attentes chez les jeunes Quand d couvrir conna tre com prendre ou apprendre devient le moteur de l activit physique la recherche de sensation n est plus un but mais un moyen Les jeunes sont concern s par cette volution alors qu ils ont t pen dant longtemps essentiellement motiv s par la recherche de sen sations Pour rep rer ce changement encore faut il tre observateur ne pas h siter bousculer les id es re ues et chercher quel ques infos pour confirmer cette Sur la capacit d adap tation et d innovation des accompagnateurs En une trentaine d ann es les accompagnateurs ont d ve lopp des activit s d une grande vari t Ils ont t les premiers mesurer les attentes des publics en mati re de patrimoine de tradi tions et d histoire et adapter leurs produits en cons quence Pion niers du canyoning dan
239. ar tition des r sultats et ses r ser ves impartageables qui restent le patrimoine de l entreprise C est compliqu Faux et juste Scop ou pas Scop la gestion d une entreprise est toujours complexe Pour les aider les porteurs de projet b n ficient de l accompagnement du r seau des Scop la cr ation et tout au long du d veloppement de leur entreprise C est adapt seulement certains m tiers Faux il est possible d entrepren dre en Scop dans tous les m tiers Ce sont des entreprises but non lucratif Faux les Scop sont des entrepri ses part enti re pr sentes sur l conomie de march et expo s es pleinement la concurrence Elles sont confront es l imp ra tif de profitabilit Mais ce qui les distingue est l utilisation de leurs profits tourn s en priorit vers les salari s et la p rennit de l entreprise sans oublier la r mu n ration du capital a ne marche pas Faux les Scop connaissent un d veloppement r gulier en France depuis plus de quinze ans Tour fiches Projets n es vers le m tier les hommes et le long terme les Scop d velop pent leur chiffre d affaires sur une base capitalistique solide Tous les salari s sont associ s et il n y a pas d associ s ext rieurs Faux une Scop peut accueillir des associ s ext rieurs qui peu vent d tenir jusqu 49 du capital et 35 des droits de vote Au del de ces 49 l
240. arch La demande m Le croisement des donn es permet de d gager des fourchettes de fr quenta tion li es au nombre d ateliers On cons tate que 83 des parcs de moins de 50 ateliers ont g n ralement une fr quentation inf rieure 4 000 entr es et les deux tiers des parcs de plus de 100 ateliers d passent les 9 000 entr es m Plus du tiers des parcs comprenant de 50 100 ateliers ont galement une fr quentation sup rieure 9 000 entr es par an Les tendances m Les premiers parcs se sont d velopp s dans les massifs montagneux et par ticuli rement dans les Alpes et dans le sud de l Auvergne Plus r cemment ce 5 Source ATOUT France Grand Angle d veloppement 5 est concentre autour Hors s rie n 5 Sp cial d veloppement des parcours de certains territoires et concerne acrobatiques en hauteur aujourd hui diff rents bassins de client le ports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 347 Fiches Pro SPORT NATURE se re OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises i Ml densit d partementale d Savill de boisement n a eu aucune influence sur ce d veloppe ment Les Landes la Gironde d parte ments fort taux de boisement 45 62 de la surface du d partement voient l implantation de nouveaux parcs depuis quelques ann es seulement Les Hautes Alpes l Is re la Savoie avec un taux de boisement inf
241. ario catastrophe Et si rien ne se passait comme pr vu il est grand temps d amener le cr a teur mesurer les cons quences pr ci ses de ses engagements en particulier financiers Source www apce com fiches Pratiques Proposition de plan De nombreux plans types exis tent Si l entrepreneur fait appel un interm diaire pour r diger son business plan il disposera d un document appropri au monde des investisseurs Mais dans tous les cas il devra le conna tre com me s il l avait r dig lui m me Voici le plan pr conis par la CCI de Montpellier pour le guider dans la r daction COMMENT FAIRE de son business plan 1 2 1 LE PROJET Objectif donner une id e pr cise au lecteur de ce que vous allez faire Synth se du projet sur une seule page elle doit correspondre une pr sentation succincte du projet Objectif r sumer le projet en quelques lignes en reprenant les points essentiels du projet sans les d tailler m Secteur d activit m Produit service m Estimation du march m M thode de commercialisation m Le s porteur s de projet m Le montage juridique m Les investissements r aliser et la mani re dont vous souhaitez les financer m Les r sultats escompt s mles autres l ments sp cifiques au projet Pr sentation du projet Objectif pr sentation claire et d taill e m Du projet et du secteur d activit m Des motivations et
242. artementales des personnes handicap es Les MDPH sont un guichet d ac cueil d orientation et de recon naissance des droits prestations et aides qu ils soient ant rieurs ou cr s par la loi du 11 f vrier 2005 pour les personnes han dicap es et leurs familles Elles accompagnent la personne handi cap e et sa famille dans l labo ration de son projet de vie sant scolarit professionnalisation et loisirs m Minist re de l cologie de l nergie du D veloppement durable et de l Am nagement du territoire d l gation minist rielle l accessibilit DMA En r gion les directions d parte mentales de l quipement DDE ont des r f rents accessibilit Elles sont charg es d accom pagner la d marche de mise en conformit et d animer des com missions consultatives d par tementales d accessibilit et de s curit DMA equipement gouv fr m wwwaccesculture org Association ressource pour la mise en accessibilit de specta cles Acc s Culture propose des aides techniques permettant aux personnes d ficientes senso rielles et mentales d assister des repr sentations de th tre de danse ou d op ra de mani re autonome accesculture magic fr m www cemaforre asso fr Portail de l accessibilit des loisirs et de la culture handicap h pital d pendance Ing nierie culture handicap expertise conseil assistance tu des r alisation d tats des lieux
243. artir de comp tences personnelles m Aper u de La diversit des m tiers repr sent s Artenr el Animatrice d ateliers d criture animateur d ateliers th tre art th rapeute c ramiste com dienne formatrice com dienne voix off charg de production cr ateur de bijoux cr atrice textile d cora trice designer artisanal designer m tal danseur hip hop crivain entrepreneur de spectacle for matrice infographiste interve nante artistique intervenante veil musical graphiste maquet tiste musicien musicoth rapeute percussionniste peintre mural photographe plasticien d cora teur r dactrice relieuse d art sculptrice styliste m Les partenaires d Artenr el Union europ enne Fonds social europ en PLIE Plan local d inser tion pour l emploi communaut urbaine de Strasbourg direction r gionale du Travail de l Emploi et de la Formation profession nelle R gion Alsace d parte ment du Bas Rhin fondation MACIF Alsace Active Cr dit Coo p ratif direction r gionale des Affaires culturelles union d co nomie sociale Coop rer pour Entreprendre Union r gionale des Scop OGACA partenaire associ Artenr el 21 route du Neuhof 67100 Strasbourg T 03 88 44 50 99 cooperativefdartenreel com www artenreel com et aussi www cooperer coop fiches Sectorielles de son activit professionnelle peut en devenir soci taire La CAE est en effe
244. as o des artistes se produiraient comme dans un cabaret Orl ans ou un nou veau concept pour laver les voitures qui lui est venu des tats Unis ou utili ser le fait qu il y ait beaucoup de c li bataires qui communiquent essentiel lement par Internet et recr er le bal des grands parents pour permettre aux gens de se rencontrer Parce Portrait de l entreprise Code NAF 9312Z Date de cr ation 01 09 2009 Investissement 4000 Forme juridique Auto entreprise Chiffre d affaires 2010 9 165 Activit s Coordonn es Trajectoire SPORT qu au del du plaisir de cr er ce qui la motive par dessus tout c est de met tre les gens en confiance et r ussir les rendre heureux en les surprenant Dans sa famille personne n est tonn de son parcours ILfaut dire qu ils sont tous entrepreneurs artistes o artisans et que sa m re lui a trac sa voie apr s avoir vu son p re artisan pl trier elle n a pas h sit cr er un journal puis une agence de publicit tout en levant ses enfants Alors on comprend mieux pourquoi tout est pos sible pour Christel y compris apprendre lever le pied Depuis peu j apprends ne rien faire me promener avec mon chien C est vraiment une d couverte int ressante Ou avoir un enfant tout en continuant monter de nouvelles entreprises es coups de pouce m EGEE l entente des g n ra tions des entreprises du Loiret
245. as pr f r s m Quel budget pr visionnel peut il consacrer la communication m Quelle priorit accorder tel ou tel outil au d marrage m Quels sont les pi ges viter De mauvaises photos un r daction nel h sitant changer de communica tion rapidement oublier de deman der des autorisations d utilisation d image La question des r f rences se pose souvent une nouvelle en treprise Dans ce cas le cr ateur peut tr s bien donner ses r f ren ces ant rieures y compris s il tait salari dans une autre entreprise du m me secteur d activit Source APCE www apce com Et apr s Les aides la cr ation sont nom breuses mais il existe peu d aides concernant la postcr ation et le d veloppement de l entreprise C est principalement la difficult d acc s au cr dit bancaire classi que qui emp che les entreprises de se d velopper et de se p ren niser C est d autant plus vrai pour les entreprises porteuses d un projet g n rateur d utilit sociale qui ne peuvent pas toujours four nir de garanties suffisantes pour l obtention d un pr t Quant la communication de l entreprise elle devra rester une pr occupation de tous les instants dans laquelle Le cr ateur ne devra pas oublier de suivre de pr s les initiatives des collectivit s locales sur lesquelles il est implant fiches Pratiques sur G OCULTURE Port par le Centre r gional du liv
246. at ne sera remis en cause ques iln exis te pas une disproportion marqu e entre les sommes donn es et la valorisation de la prestation rendue par l organisme b n ficiaire des dons instruction fiscale 4 C 5 04 n 51 BON Savor Les r gles non crites Quels que soient leur motivation ou leur niveau d engagement dans les projets associatifs les parte naires sont sensibles aux gestes de valorisation int gr s dans la communication sur un support panneautage d un stade nom ou logo du m c ne sur des affiches programmes plaquette etc ou orale remerciements au cours d une manifestation En fonction des activit s que l association d veloppe sportives culturelles sociales humanitaires elle doit cibler les entreprises les plus proches de ses valeurs de son public de son histoire etc et donc les plus propices s engager sur son projet associatif des entreprises adapt es men tionn es l article L 323 31 du m me code de l Agence nationale de la recherche D Source http crd irma asso fr No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques ND O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises COMMENT FAIRE 1 pour pr parer une convention de m c nat La convention de m c nat n est pas obligatoire En th orie un simple ac cord de volont entre les parties suffit IL n existe donc pas de mo
247. ateur d expliquer sa vision et ses valeurs et d ordonner ses id es C est aussi le moment de mettre en va leur ses atouts et de chiffrer ses besoins Ce document doit ras sembler de mani re la plus coh rente possible toute la pertinence du projet identifier les cibles et valuer le march potentiel IL doit enfin rendre compte de sa strat gie marketing et de sa strat gie en termes d organisation Le BP ou BPS doit enfin contenir une v ritable feuille de route des actions qui vont tre entreprises et des moyens mettre en uvre pour y arriver sur une p riode pouvant aller jusqu cinq ans Pour lui faciliter La t che invitez le Avant de commen cer conseillez au sous estimer le temps de mise au point du produit ou du concept sous estimer les besoins en ca pital et en fonds propres sous estimer les besoins en tr sorerie faire un seul sc nario trop optimiste se focaliser sur un seul finan ceur et rester seul x Comment WIDMIE aborder un banquier Un banquier est un profes sionnel de la finance Pour mettre toutes les chances de son c t il faut respecter 5 r gles d or d finir les personnes cr ateur de d li Sos m Avoir confiance en soi et en son et entreprises quiil miter clairement projet va donner son plan ainsi qu formuler les questions qu il va avoir int r t aborder avec elles pour faire avancer son pr
248. ation n 2010 365 du 9 avril 2010 le se cond est venir sur les modalit s d valuation environnementale pour les projets en espaces natu rels g r s dans le cadre du dispo sitif Natura 2000 D Source La lettre du r seau national z se Le d ts d t 65 Mars 2011 c es depuis 1989 ainsi que les FS O EAA ra parcs naturels r gionaux cr s en 1967 ont pr figur l engage ment de nombreux territoires en mati re de pr servation environ nementale Souvent contraignante l implantation d une entreprise sur un territoire b n ficiant de mesures de protection particuli res garantit aussi un envi ronnement pr serv une dynamique locale convergente en faveur de la protection de la nature un soutien promotionnel non n gligeable Des proc dures sp cifiques De multiples proc dures de type SAGE ou Grands Sites couvrent le territoire national Ces mesures de protection sont essentielles conna tre en particulier pour un candidat quise pr pare cr er une entreprise r solument respec tueuse des principes du d velop pement durable ou et proposant des produits sportifs se d roulant en nature le statut de certains espaces prot g s leur conf re en effet un caract re r glementaire qui peut contraindre la pratique de ces activit s r serves naturelles arr t s pr fectoraux de protection de biotope La Charte europ enne du touris me durable dans les espaces pro t
249. ation restructu ration et d veloppement d entreprises film musique dition arts plastiques 46 avenue Victor Hugo 75116 Paris T 01 53 645555 www ifcic fr ONDA Office national de diffusion artistique Onda a pour mission d encourager et de soutenir la diffusion du travail d artis tes de compagnies ou d institutions qui s inscrivent r solument dans le domaine de la cr ation contemporaine et du renouvellement des formes www onda international com m OPALE Organisation pour projets alternatifs d entreprise Sp cialiste des caf s musique et du pro gramme SMAC sc nes de musiques actuelles 46 rue des Cing Diamants 75013 Paris 01 45 65 20 00 www culture proximite org Mg Les secteurs des musiques d Savr actuelles du th tre des arts de la rue du cirque tendent se rapprocher n gociations sur les con ventions collectives combinaison de ressources marchandes de subventions et de b n volat Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Fiches Pro CULTURE ROY CO o O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Autres organismes professionnels Association nationale des th tres de marionnettes et des arts associ s 24 rue Saint Lazare 75009 Paris amp 01 42 80 55 25 www themaa com a Chambre syndicale de l dition musicale 62 rue Blanche 75009 Paris T 01 48 74 09 29 www csdem org m Centre nationa
250. ation centrale d un minist re m Lorsqu ils ont plusieurs employeurs les salari s du secteur culturel exer cent g n ralement plusieurs m tiers qu il s agisse de professions sp cifiques leur domaine d activit par exemple com dien dans le spectacle vivant jour naliste dans la presse etc ou non em ploy administratif dans une association cr atrice de spectacles vivants etc Seuls 11 exercent le m me m tier pour plusieurs employeurs contre 64 dans l ensemble des salari s pluriactifs en France Les contrats dur e d termin e sont particuli rement r pan dus dans l audiovisuel et le spectacle vivant domaines qui emploient de nom breux salari s intermittents ils y sont associ s respectivement 81 et 86 des postes D Source Culture Chiffres 2010 3t l chargeable sur le site du minist re de la Culture et de la Com munication www culture gouv fr fiches Sectorielles mateurs Vous avez dit amateurs Selon le d cret n 53 1253 du 19 d cembre 1953 toujours en vigueur l amateur doit tirer ses moyens habituels d existence de salaires ou de revenus trangers aux diverses activit s artistiques des professions du spectacle Une circulaire du 23 mars 2001 pr cise et restreint le cadre d ac tivit des amateurs ils ne peu vent pas disposer d une licence d entrepreneur de spectacles mais depuis 1999 les spectacles m lant professionnels et ama t
251. atique d accompagnement la cr ation d entreprises ND oOo fiches Projets a r glementation sur les dipl mes volue r guli rement Dans le secteur du sport cette volution s est acc l r e ces derni res ann es Avant de s engager concr tement dans la phase de cr ation le candidat devra donc v rifier s il dispose des qualifications requises pour mener bien son projet Bref rappel du cadre juridique qui permet l exercice d une activit contre r mun ration DIPL MES SPORTIFS ET R GLEMENTATION ibert d entreprendre ce qu en disent les textes La loi sur le sport L article L 212 1 du Code du sport d finit les conditions d encadre ment contre r mun ration des activit s physiques ou sporti ves en France Seuls peuvent contre r mun ration enseigner animer ou encadrer une activit physique ou sportive ou entra ner ses pratiquants titre d occupa tion principale ou secondaire de facon habituelle saisonni re ou occasionnelle les titulaires d un dipl me titre finalit professionnelle ou certificat de qualification 1 garantissant la comp tence de son titulaire en mati re de s cu rit des pratiquants et des tiers dans l activit consid r e 2 et enregistr au r pertoire national des certifications profes sionnelles Peuvent exercer sur le territoire national les ressor tissants des Etats membres de l
252. atiques culturelles O7 CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises TA ment ces deux imp ts porte au plus sur ses activit s lucratives d s lors que ses activit s non lucratives sont pr pond rantes C est le cas de nombreuses struc tures qui proposent des activit s culturelles et sportives La franchise des imp ts commer ciaux pr vue l article 206 1 bis du Code g n ral des imp ts limite encore la port e de la taxation quel que soit le chiffre d affaires global si les conditions suivantes sont remplies les activit s non lucratives demeurent significativement pr pond rantes l organisme concern exerce accessoirement des activit s lucratives les recettes d exploitation annu elles aff rentes aux activit s lucratives sont inf rieures ou gales 60 000 Pour en savoir Consulter le site www associations gouv fr COMMENT FAIRE pour appr cier si une association est soumise aux imp ts commerciaux m tape 1 Examiner si la gestion de l organisme est d sint ress e Si ce n est pas le cas l organisme est n cessairement soumis aux imp ts commerciaux m tape 2 Si la gestion est d sin t ress e examiner si l organisme concurrence le secteur commercial Si ce n est pas le cas et que sa ges tion est d sint ress e l organisme n est pas imposable tape 3 S il concurrence le sec teur commercial
253. atoire et ventuellement le d but de l activit un porteur de projet non salari temps complet d sireux de cr er ou de reprendre une entreprise Le porteur de projet peut tre soit un salari temps partiel soit une personne b n ficiaire d un minimum social RMI ASS API soit un demandeur d emploi soit un dirigeant d entreprise con dition d tre associ unique de l entreprise accompagn e EURL SASU L essentiel du contrat Le CAPE est un contrat obligatoi rement conclu par crit La dur e de ce contrat ne peut exc der 12 mois renouvelable deux fois Le contrat peut ga lement pr voir avant le d but d une activit conomique une r mun ration du b n ficiaire du contrat ainsi que le cas ch ant ses modalit s de calcul et de versement ainsi que son montant SAUT Source www urssaf fr Les mesures en faveur de la cr ation d entreprise sont p riodiquement renouvel es Une mise jour r guli re de leur connaissance s impose Pour en savoir Consulter les textes de r f rence Articles 20 et 21 de la loi n 2003 721 du 1er ao t 2003 pour l initiative conomique D cret n 2005 505 du 19 mai 2005 Articles L 127 1 L 127 7 du Code de commerce D cret n 2008 121 du 7 f vrier 2008 relatif la protection contre les AT MP des personnes b n ficiaires d un CAPE Arr t du 18 f vrier 2008 relatif la cotisation AT MP due pour les
254. avant gardistes et l aff t des nouveaut s distinc tives les adopteurs pr coces 13 5 qui visent eux aussi se distin guer par leurs consommations la majorit pr coce 34 curieuse et influenc e par les lea ders d opinion par mim tisme la majorit tardive 34 influen able et sous pression sociale Bernard Cathelat l inventeur des socio styles dans les ann es 1980 estime que les courants et les comportements qui naissent et grandissent sur le Web d tei gnent sur la vie ce qu il appelle le web 2 world de la toile vers le monde Ce ph nom ne se traduit par quatre grandes tendances dont notamment le crowd mash on trouve sur Internet plus de savoir et d exp rience que dans la vie r elle et le map tag and track qui permet de tout savoir sur un produit gr ce aux informations donn es par d autres gratuitement Un projet innovant peut tre lent faire reconna tre et la solution apport e lente tre adopt e ce qui rend l usage de ces nouvelles voies particuli rement int ressantes Les retardataires 16 attach s aux traditions N oubliez pas qu un des premiers crit res de qualit d un projet c est sa clart et qu il peut y avoir un cart important entre ce que lon M Hr sur dont a d marche suivre pour passer autres ont besoin et ce qu ils Spi 5 A l tape suivante ressentent ou attendent vraiment Les r seaux sociaux Il est
255. aximum une deuxi me phase de finance ment Il s agit d aider le cr ateur obtenir un pr t d honneur taux z ro ancien dispositif Eden sur la base d un pr t moyen de 5 000 mais le montant pourra varier entre 1 000 et 10 000 Le pr t taux z ro Nacre est remboursable dans un d lai maximum de 5 ans Les mensualit s sont constantes Il n y a pas de diff r d amortisse ment une troisi me phase postcr a tion Un accompagnement sur trois ans sera propos au jeune chef d entreprise pour l aider mettre toutes les chances de son c t pour viabiliser rentabiliser et p renniser son entreprise D Source www entreprises minefi gouv fr fiches Sectorielles Pour en savoir www aides entreprises fr Les autres aides nationales Les travailleurs handicap s Les personnes reconnues travail leurs handicap s par la COTOREP peuvent obtenir une subven tion d un montant maximum de 10 675 via l AGEFIPH Les territoires Certaines zones b n ficient de mesures sp cifiques li es l am nagement du territoire C est le cas du fonds de revitalisation conomique FRE qui intervient aupr s des entreprises install es en zone urbaine sensible ZUS Les zones de revitalisation rura les ZRR b n ficient aussi de mesures sp cifiques Toutes ces mesures sont volutives IL est donc pr f rable de s informer au moment voulu Les pr ts des collectivit s locales com
256. banquier s L accord LL EUUUR de pr t Quelles que soient la banque et la nature du projet la d cision d ac corder un pr t est toujours moti v e par des l ments concrets pr sents dans le business plan Le banquier sera particuli re ment attentif l tat du march vis au niveau de chiffre d affaires pr vu aux b n fices estim s etc Ces l ments traduisent la capa cit de l entreprise rembourser son emprunt Le banquier juge galement la capacit du ou des dirigeants g rer convenablement l entrepri se Aussi souhaitera t il conna tre ses exp riences professionnel les sa formation ses aptitudes devenir chef d entreprise et surtout ses motivations afin de v rifier leur compatibilit avec le projet 5 Source APCE fiches Pratiques xs Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 03 30 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises COMMENT FAIRE 1 pour l aider progresser dans sa r daction Pour pr parer le cr ateur dans sa d marche proposez lui de r pondre quelques questions cl s 1 Quels services et produits va t il pro poser Le lecteur doit pouvoir comprendre rapi dement l activit de la future entreprise ainsi que ses op rations ses produits et services 2 En quoi le projet ou l entreprise sont ils uniques ou sp cifiques L investisseur recherche en g n ral un produit ou un projet ayant un pote
257. ble ma triser la compta c est mieux Lan prochain il esp re suivre une formation longue dans le cadre d un CIF pour compenser ses faiblesses es coups de pouce m 18 ans la mission locale l aide poser son projet professionnel et lui d croche un financement de la r gion Midi Pyr n es pour passer son BE parapente m 21 ans gr ce au programme D fi jeunes il devient g rant associ d HORIZON 35 ans la CCI de Millau l aide trou ver les financements dont il a besoin et mobilise l AD FPAT pour la conception des prestations avec l quipe de futurs salari s Il b n ficie du dispositif Fonds r gional d innovation pour l emploi FRIE m La communaut de communes Millau Grands Causses lui d cerne le prix de la cr ation d entreprise m Cette ann e la CCI lui a apport tous les conseils et appuis pour embaucher son premier apprenti et mobiliser toutes les aides possibles m Depuis plusieurs ann es sa femme docteur en philosophie est pr sente ses c t s C est elle qui s occupe des enfants en saison L hiver c est lui qui la suit en Inde o elle s investie dans un programme de recherche Trajectoire SPORT NATURE Tu n aides pas les gens malgr eux L accompagnement n a de sens que si l on a envie d tre aid Portrait de l entreprise Code NAF Date de cr ation Investissement initial Forme juridique Chiffre d affaires Progression du CA Personnel
258. bligations vis vis du stagiaire Tout dispensateur de formation doit remettre au stagiaire avant son inscription d finitive et tout r glement de frais le programme et les objectifs de la formation la liste des formateurs avec la mention des titres ou qualit s les horaires les modalit s d valuation de la formation les coordonn es de la personne charg e des relations avec les stagiaires par l entit commandi taire de la formation fiches Pratiques Le r glement int rieur applicable la formation Obligations comptables Tout organisme de formation doit tenir une comptabilit conforme au plan comptable adapt aux organismes de formation En cas de pluriactivit le d faut de tenue de comptabilit s pa r e est une infraction p nalement sanctionn e SUr quelques cr a teurs positionn s sur le march de la formation m Hauteur amp S curit L organisme de formation Hau teur amp S curit a t cr en avril 2010 par Sakti Cano un BE sp l o qui a acquis pendant plusieurs ann es une exp rience dans le domaine des travaux sur cordes Aujourd hui la soci t propose aux entreprises et aux collectivit s locales des formations courtes sur les travaux en hauteur pour per mettre leurs salari s d acqu rir l habilitationauxtravauxenhauteur montage pyl nes maintenance industrielle toiture couverture photovolta que Elle s adresse a
259. cadrement ou la location d quid s Elle doit tre effectu e par le responsa ble du centre questre 2 mois au moins avant son ouverture Autorit comp ten te direction d partementale des Terri toires de la pr fecture du d partement du lieu d exploitation ou du si ge du cen tre questre la d livrance de la carte profession nelle n est pas n cessaire pour d buter l activit L ducateur peut donc exercer d s lors qu il s est d clar Un accus de r ception lui est d li vr dans le mois qui suit le d p t de la d claration demander son immatriculation au registre des agents de voyages et autres op rateurs de la vente de voyages et de s jours compter du 1 janvier 2010 ex Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 33 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Fiches Pro SPORT cette d marche doit tre effectu e si le centre propose des packs s jours avec des prestations de transport d h bergement de restauration etc Elle doit tre renouvel e tous les 3 ans La r alisation de telles presta tions n cessite au pr alable de remplir certaines conditions Pour les conna tre se r f rer l article R211 20 du Code du tourisme SAUT La demande d immatriculation doit tre adress e soit par voie postale la commission d im matriculation de l Agence de d velop pement touristique de la France At
260. caires par exemple soit de collectivit s locales dans la limite de 30 de l actif du FIP fiches Sectorielles No Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O TROUVER L INFO m ADIE Association pour le droit l initiative conomique 4 boulevard Poissonni re 75009 Paris amp 01 56 03 59 00 fax 01 56 03 59 59 adie adie org www adie org a Association Racines R seau d accompagnement des cr ations et initiatives avec une nouvelle pargne de solidarit 8 rue des Mariniers 75014 Paris T 0145 6608 19 hcarrof romanini eu www racines clefe com m Autonomie et Solidarit 146 rue Nationale 59000 Lille 03 20 14 30 62 fax 03 28 52 84 67 info autonomieetsolidarite fr www autonomieetsolidarite fr m Caisse Solidaire Nord Pas de Calais 15 rue de la Poste 59100 Roubaix 03 20 81 99 70 fax 03 20 81 99 71 contact caisse solidaire org www caisse solidaire org fiches Sectorielles m France Active 37 rue Berg re 75009 Paris T 01 53 24 26 26 fax 01 53 24 26 63 franceactive franceactive org www franceactive org m France Angels 16 rue de Turbigo 75002 Paris 0144827777 contact franceangels org www franceangels org m France Initiative 55 rue des Francs Bourgeois 75181 Paris Cedex amp 01 40 64 10 20 wwvw france initiative fr
261. cal Association pour le d OAVONT d veloppement du m c nat industriel et commercial est un centre de ressources qui r pertorie les entreprises m c nes On peut aussi se renseigner la direction du D velop pement et des Formations du minist re de la Culture et de la Communication 26 ter rue Ordener 75018 Paris 0142 55 20 01 www admical org c ontacts Institutionnels m Minist re de la Culture et de la Communication 3 rue de Valois 75001 Paris 01 40 15 80 00 www culture gouv fr Fiches Pro CULTURE Dossier th matique Le spectacle vivant DEPS d partement des tu des de la prospective et des statistiques www culture gouv fr DRAC directions r gionales des affaires culturelles du minist re de la Culture N Le centre de ressources ARCA AMIE DE de la r gion PACA qui a une port e plus vaste que sa seule r gion www arcade paca com Diff rents services de l administration centrale dont entre autres DGCA Direction g n rale de la cr ation artistique 62 rue Beaubourg 75003 Paris 01 40 15 80 00 www culture gouv fr CNAP Centre national des arts plastiques Tour Atlantique 1 place de la Pyramide 92911 Paris La D fense amp 01 46 93 99 50 www cnap fr CNPS Conseil national des professionnels du spectacle Sous la pr sidence du ministre charg de la culture le CNPS rassemble tout ce qui touche l exercice de
262. capi tal social l association per oit des cotisations de ses membres si la facturation de ses services et les r serves qu elle a pu consti tuer s av rent insuffisantes Les membres peuvent galement effectuer des apports en nature en industrie ou en esp ces avec une possibilit de r cup rer les apports en nature la dissolution de l association D Source APCE juin 2009 x Le capital risque soli ARNIE daire peut prendre plu sieurs formes sous criptions des actions de capital des obligations convertibles des titres participatifs ou des billets ordre mis par des entreprises ou encore un pr t participatif Attirez l attention du cr ateur dans tous les cas sur le capital minimum et les besoins finan ciers de l entreprise ne pas confondre En effet certaines soci t s imposent un capital social minimum qui n a naturel lement aucun rapport avec les besoins financiers r els de l entreprise fiches Pratiques Le fonctionnement de l entreprise Selon la structure que choisira le cr ateur les r gles de fonction nement seront plus ou moins con traignantes Dans l entreprise individuelle le dirigeant est seul De ce fait les r gles de fonctionnement sont r duites au minimum Il prend toutes les d cisions et engage en contrepartie sa responsabilit Dans les soci t s le dirigeant n agit pas pour son propre compte mais au nom et p
263. capital risque solidaire con siste apporter des fonds propres des entreprises en d veloppe ment Il peut prendre plusieurs formes souscriptions des actions de capital des obliga tions convertibles des titres participatifs ou des billets ordre mis par des entreprises ou encore un pr t participatif IL permet au cr ateur d obtenir des fonds qui vont lui permettre d obtenir plus facilement un pr t bancaire et repr sente dans tous les cas un soutien moral profes sionnel et financier Les Cigales Les Cigales Clubs d investis seurs locaux pour une gestion alternative et locale de l par gne solidaire rassemblent des personnes qui mutualisent une partie de leur pargne afin d in vestir dans des projets locaux d conomie sociale et solidaire Les Cigales investissent dans tou tes les formes d entreprises col lectives y compris les Scop et les Scic et elles prennent des parti cipations dans les associations depuis 2004 L investissement moyen s l ve 2 500 Mais plu sieurs clubs peuvent investir dans le m me projet afin d augmenter Le montant de la participation fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND CO OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Garrigue C est une soci t coop rative de capital risque solidaire cr e en 1985 pour prendre des participa tions minoritaires dans des so
264. cateur sportif Chaque personne souhaitant exercer l activit d ducateur sportif est tenue de proc der cette d claration avant toute r alisation de prestation afin d obtenir une carte pro fessionnelle Cette d claration doit tre renouvel e tous les cinq ans Article L 212 11 du code du sport et article R 212 85 du code du sport Cette d claration doit mentionner les nom pr noms date et lieu de naissance et domicile des int ress s les dipl mes titres finalit profes sionnelle certificats de qualification professionnelle ou autorisation d exer cice ou pour les personnes en forma tion de la qualification pr par e m Autorit comp tente Direction d partementale en charge de la coh sion sociale DDCS ou direction d partementale en charge de la coh sion sociale et de la protection des populations DDCSPP de la pr fec ture du d partement dans lequel l ducateur sportif compte exercer son activit ou direction de la Jeunesse des Sports et de la Coh sion sociale DJSCS en outre mer ou direction de la Coh sion sociale du Travail de l Emploi et de la Formation DCSTEP Saint Pierre et Miquelon Pr cision si l activit s exerce dans plusieurs d partements la d clara tion est effectu e aupr s de la direc tion d partementale o la personne a sa principale activit m D lai de r ponse de l autorit com p tente La d livrance de la carte profe
265. ccessibilit des sites web pour tous m www handicapzero org Portail permettant un acc s auto nome l information g n rale le sport les loisirs les m dias la sant pour les personnes d fi cientes visuelles m www voirplus net Portail d informations portant sur l accessibilit du Web les techno logies d acc s les associations et la lecture pour les personnes d ficientes visuelles m www jaccede com Portail l attention des personnes mobilit r duite Informations sur les lieux accessibles les asso ciations les v nements W Cette fiche a t essentiellement r alis e sur la base des informations contenues dans le document intitul Accessibilit et spectacle vivant Guide pratique diffus par le minist re de la Culture et de la Communication fiches Pratiques Les formations portant sur l hygi ne et la s curit arrivent en t te sui vies par celles concernant les sp cialit s plurivalentes des changes et de la gestion ou ayant trait au d veloppement des capacit s d orientation ou d insertion professionnelle z n 2008 le secteur de la formation continue a poursuivi sa progression R capitulatif des principales d marches qu il faut avoir en m moire pour clairer le candidat m me quand il ne s agit pas de son activit principale eeeee D CLARER UNE ACTIVIT DE FORMATION PROFESSIONNELLE C ontexte et d finition Un march en progres sion c
266. ce que leur pr sence apporte tant au personnel qu au reste de la client le pour ceux qui savent r pondre aux attentes de ces client les Destination mondiale sur le mar ch du tourisme l attractivit de la France aupr s de ces clien t les est forte Par ailleurs le vieillissement de la population et l augmentation de la dur e de vie ouvrent des perspectives sur des client les nouvelles qui ont d j l habitude de voyager L adapta tion aujourd hui des structures et des offres pour les client les handicap es est un gage pour les prestataires de pouvoir accueillir demain des populations qui seront amen es vieillir dans un E Plusieurs fois par an I Presque jamais avenir plus ou moins proche D Source Tourisme et Loisirs de pleine nature adapt s Les Cahiers de la MITRA n 5 novembre 2004 Un march qui pr sente des atouts qualitatifs La carence d offre v ritablement adapt e permet aujourd hui aux professionnels qui offrent des prestations accessibles et de qualit de b n ficier d un mar ch captif quelle que soit la destination Les difficult s souvent rencon tr es pour acc der aux lieux de vacances incitent les personnes handicap es opter pour une dur e moyenne de s jour sup rieure celle du march tradi tionnel qui a tendance lui mul tiplier les courts s jours U n march connu Les facteurs qui influent sur les attentes de ces client
267. cembre 2009 relative au guide des bonnes pratiques en mati re de march s publics Une contribution financi re de la personne publique une op ra tion justifi e par l int r t g n ral mais qui est initi e et men e par un tiers Il s agira d une subven tion si l initiative du projet vient de l organisme b n ficiaire et si aucune contrepartie directe n est attendue par la personne publi que du versement de la contribu tion financi re Au regard de la r glementation nationale relative la commande publique la subvention caract rise la situation dans laquelle la collectivit apporte un concours financier une action initi e et men e par une personne publique ou priv e poursuivant des objec tifs propres auxquels l Adminis tration y trouvant int r t apporte soutien et aide Deux cas de figure l association porte un projet dont elle a l initiative ceci signifie qu elle ne r pond pas un besoin pr alablement d fini par la col lectivit publique pour le compte duquel elle agirait comme un prestataire r mun r avec une contrepartie directe le projet d velopp par l asso ciation s inscrit dans le cadre d un appel projets lanc par une col lectivit publique Les asso ciations sont invit es pr senter des projets s inscrivant dans ce cadre Mais ce sont bien elles qui prennent l initiative de ces projets et en d finissent le contenu
268. ces Dipl mes sportifs et r glementation Pluriactivit et sport Culture et intermittence Innovation sports et loisirs de nature Outils et Ressources Cr er une association pour entreprendre Construire un itin raire de formation S curiser un parcours de cr ation Formaliser l id e de cr ation tape 1 Le candidat a une id e de cr ation D PASSER LE STADE DES PR JUG S Les a priori et le manque d information sont souvent responsables de la faiblesse de l accompagnement au d marrage Pour les r seaux d accompagnement g n ralistes ce candidat la cr ation n est pas toujours cr dible son projet n est pas formul en des termes qui parlent ses interlocuteurs id e surprenante voire farfelue objectif peu cr dible contraintes mal valu es projet d activit marginal son profil peut sembler trop loign de ce que l on attend du cr ateur type trop passionn trop r veur trop d cal pas assez rassurant pas assez assur et son rapport au profit la notion de r ussite et l entreprise n est pas toujours conforme aux crit res attendus sur un projet de cr ation Les r seaux sp cifiques aux champs sportifs et culturels c toient ce public depuis longtemps mais ils n ont pas toutes les comp tences requises pour accompagner un projet de cr ation Quant au candidat il a du mal contacter en premi re instance une CCI une boutique de gestion ou toute autre st
269. cessibilit Comention Convention collective nationale du sport collective Date de cr ation 2009 Investissement initial 92 800 la premi re ann e 30 000 la deuxi me Forme juridique EURL Chiffre d affaires 2009 pour 5 mois 17 422 Chiffre d affaires pr visionnel 2010 200 000 Personnel 3 salari s l ann e Cardio training v lo stepper tapis de cours v lo elliptique rameur v lo de course 240 m de parquets pour la salle de cours collectifs Fitness step LIA abdos fessiers cardiofight stretching cardio fit total body Espace d tente sauna et jacuzzi Superficie 1 200 m une des plus grandes salles de remise en forme de la r gion Champagne Ardennes Activit s Coordonn es mhttp gotomove fr ES ITA l if Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles oo I Trajectoire SPORT Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises OO OO LA LIBERT LE BUSINESS ET LES COPAINS D ABORD pi daretier id d EN A AT Quentin SIMON Fr d ric Pierre Pas tout fait 40 ans et il en est d j sa quatri me entreprise Pour lui l entreprise est une vidence depuis qu il a d quitter Le coll ge sans dipl me en poche et avec une attirance marqu e pour ce qu on ap pelle aujourd hui Les sports et loisirs de nature sS on parcours Avec son p re un ing nieur normand qui s est implant
270. cevabilit v Contact 4 Dossier Organisme certificateur de VAE Autre organisme v accompagnateur Organisme certificateur 5 valuation Contact par le jury Organisme certificateur y Validation Dipl me d livr totale en totalit DS 5 ans maximum pour Validation obtenir une validation partielle totale Nouveau projet de VAE d part en formation Refus de bilan de comp tences validation enrichissement de l exp rience D Source www agefos pme com COMMENT FAIRE pour obtenir un dipl me par la VAE dans le secteur du sport m La dur e minimum de l exp rience requise est de 3 ans en continu ou en discontinu et de 2 400 heures cumul es Le candidat doit justifier d activit s salari es non salari es ou b n voles qui sont en rapport direct avec le dipl me vis m Les tapes suivre pour obtenir un dipl me par la VAE le candidat d pose une demande de recevabilit de son dossier la direction r gionale de la Jeunesse et des Sports de son domicile Il peut se faire accompagner par la per sonne ou l organisme de son choix pour r aliser un dossier dans lequel il doit d crire ses activit s le jury du dipl me tudie ce dos sier et peut sa demande ou la demande du candidat conduire un entretien s il valide les acquis du candidat le jury propose d attribuer tout ou partie du dipl me m l existe des dispositions particu li res de mise en
271. ches Pratiques co Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Co Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises pour Le guider dans la r daction COMMENT FAIRE l de son business plan 2 2 Les concurrents m Quel est le niveau de concurrence m Quels sont vos concurrents directs et indirects leurs points forts faibles leur strat gie leurs parts de march leurs r sultats Les partenaires m Quels changes allez vous pouvoir contractualiser avec d autres entre prises Les fournisseurs m Qui sont ils Quels sont leurs condi tions de paiement de Livraison m Sont ils nombreux Y a t il un risque de d pendance m Quelles sont les volutions possibles vers d autres sources d approvisionne ment 3 LES MOYENS La politique commerciale m Rappel du business model m Votre positionnement prix grille tari faire m Quels seront les r seaux ou circuits utilis s L emplacement pour un com merce m Qui seront les acteurs principaux de la commercialisation m Quels seront les moyens humains n cessaires pour d velopper le r seau commercial La politique de communication m Comment allez vous faire conna tre votre entreprise vos produits services Avec quel budget m quel niveau Local national Les moyens de production m Les technologies utilis es m La localisation acc s visibilit co t type de bail surface m Moye
272. ci t s en cr ation ou en d veloppe ment forte plus value sociale Outre la p rennit conomique trois crit res pr sident aux d ci sions d investissement l utilit sociale le respect de l tre humain et de l environnement et un fonc tionnement d mocratique Le montant des interventions varie de 8 000 30 000 en fonds propres ou en compte courant d associ pour une dur e de 5 10 ans Les Clubs d pargne pour les femmes qui entrepren nent CLEFE Depuis 1991 date de cr ation des CLEFE ce sont quelque 600 par gnants solidaires qui ont plac 300 000 Les CLEFE consentent en moyen ne des pr ts de 3 000 pour une dur e moyenne de deux ans Les taux d int r t sont bas s sur ceux de la Caisse d pargne ESFIN IDES C est un groupe sp cialis dans le financement des PME des entre prises de l conomie sociale et des entreprises forte responsa bilit sociale et environnementale bLes autres investis seurs en fonds propres Unicer une soci t de capital risque de proximit L Union nationale des investis seurs en capital pour les entre prises r gionales intervient en soutien la cr ation ou au d ve loppement de PME pour des montants g n ralement compris entre 30 000 et 300 000 Leur particularit est d int grer sys t matiquement des notions de proximit g ographique et sou vent d utilit sociale protection de l environnement
273. ciations but non lucra tif manifestent r guli rement leur inqui tude sur les cons quences d un cadre juridique en bonne part d origine communautaire dont les concepts et la termino logie parce qu ils mettent en cau se ou transcendent des d finitions ou des distinctions traditionnelle ment tablies dans Le d bat public national sont parfois per us com me attentatoires la sp cificit de l engagement associatif voire son d veloppement De fait un nombre croissant d activit s exerc es par les asso ciations entrent dans le champ d application du droit communau taire notamment parce qu elles sont consid r es comme tant de nature conomique Cette inqui tude se cristallise sur le recours aux proc dures d appel d offres BON Savor D Source Circulaire du 18 janvier 2010 NOR PRMX1001610C surlegifrance gouv fr Les conditions d octroi Le versement d une subvention une association est soumis un certain nombre de conditions d attribution et d utilisation En tout tat de cause la subvention doit tre sollicit e et les collec tivit s publiques disposent d un pouvoir discr tionnaire pour l accorder ou la refuser Lorsqu elle accorde une subven tion sous certaines conditions aide directe r alisation d un projet organisation d une mani festation l Administration peut en contr ler l utilisation Ce con tr le peut tre financier justifica tifs comptabl
274. ciplines sportives regroupent environ 20 000 professionnels certains sont adh rents l UNSA conf d ration syndicale commune L conomie du secteur Aujourd hui les donn es d observation conomique en France et les tudes men es permettent d tablir le poids conomique de la fili re des sports de nature en France On peut croiser cer tains indicateurs qui donnent des infor mations sur le poids cons quent de ces activit s on peut d abord par exemple conna tre le poids d une fili re d activit sp cifique au niveau national titre d exemple Atout France a dit en juillet 2009 un Grand Angle sp cial conomie du v lo et annonce un poids financier de 4 9 milliards d euros pour cette fili re Le chiffre d affaires des diff rents acteurs conomiques dont l activit est li e La pratique du v lo peut tre estim 4 5 M pour un effectif de 35 000 emplois Le tourisme repr sente 44 du chiffre d affaires du v lo Le Conseil interf d ral des sports nautiques CISN a aussi collect des chiffres cl s sur la fili re nautique une autre donn e d un niveau beau coup plus fin concerne les taux de con sommation journaliers des pratiquants Par exemple en Midi Pyr n es les pra tiquants de sports d eaux vives d pen Fiches Pro SPORT NATURE sent en moyenne 42 50 par jour et par personne pour une dur e moyenne de s jour de 9 nuits Ces taux de d penses
275. cl s Les lieux de pratique 81 502 quipements espaces sites rela tifs aux sports de nature recens s au 10 f vrier 2009 soit 24 du nombre total d quipements sportifs D Source Recensement des quipements spor tifs espaces et sites de pratiques Minist re char g des Sports www res sports gouv fr Les professionnels m60718 ducateurs sportifs d clar s poss dent des pr rogatives dans le champ des sports de nature soit 68 du total des ducateurs d clar s Lomme Bi 7 TA ne b Jek 07 F a ducateurs ayant une qualification offrant des pr rogatives sports de nature m 37 282 ducateurs sportifs d clar s poss dent des pr rogatives uniquement dans le champ des sports de nature soit 41 du total des ducateurs d clar s lls sont r partis sur tout le territoire fran ais avec des concentrations plus importantes dans les milieux monta gnards et nautiques e e eama CA r as Fe SA A aae CLS Jr Lu JUL eni g P F Es ducateurs ayant une qualification exclusivement sports de nature m Parmi ces derniers 23 3 sont des femmes 76 6 sont des hommes et 55 5 sont g s entre 30 et 49 ans m On distingue trois types d ducateurs L ducateur en zone de montagne 57 Fiches Pro SPORT NATURE ports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 33 Guide pratique
276. compris pour ne pas avoir de d penses impr vues 4 Veiller aux conditions d em plois des salari s Les emplois li s au tourisme sont la plupart du temps exerc s dans le cadre de CDD saisonniers en raison de la nature temporaire de ces activit s La pr carisation qui en d coule va l encontre des principes du d veloppement durable Voici les conseils du Comit de fili re ourisme Emplois et m tiers du tourisme dans la crois sance verte en la mati re Porter une attention parti culi re aux conditions d emploi des saisonniers pour renforcer l attractivit et la qualification de ces m tiers Veiller la qualit de linser tion dans l emploi le tourisme gros employeur de personnels peu o pas quali Sison offre r pond fi s est une des la majorit de ces principales portes crit res il va pouvoir d entr e pour des cibler La famille la jeunes en recher plus large de voya che d emploi geurs 40 celle des partisans Pour en savoir Le rapport du Comit de fili re Tou risme Emplois et m tiers du tourisme dans la croissance verte est t l char geable sur le site www veilleinfotourisme fr 5 Choisir son territoire d implantation Des politiques territoriales ce stade le choix d implantation du territoire est essentiel Nom breux sont ceux qui accordent l environnement une place pr pond rante Les parc
277. cruter quelqu un pour combler ce handicap Portrait de l entreprise Code NAF APE 9329 Z Convention collective 32 75 Date de cr ation 24 11 2006 I ti t Pal 130000 la premi re ann e 30 000 la deuxi me Forme juridique SARL compos e de 28 associ s Chiffre d affaires 2008 144 292 2009 151 567 2010 154 654 Progression du CA 7 Personnel En saison 11 personnes l ann e 4 5 quivalents temps pleins Parcours acrobatique en hauteur location de cabanes perch es la nuit e location de cycles Animation nature et randos th mes restauration boutique terroir courses d orientation sentiers de d couverte de la nature Activit s Montage et exploitation de structures ludiques sportives et d h ber gement la restauration la vente de produits consommables ou non l accueil de manifestations socioculturelles dans et hors ses murs l h bergement du public la production culturelle la construction et l exploitation de structures d h bergement sportives et ludiques dans et hors ses murs Objet social Coordonn es m www lecheneperche com m infos lecheneperche com Trajectoire SPORT NATURE 195 ES O Guide pratique d accompagnement La cr ation d entreprises ENTRE OMBRE ET LUMI RE LA TRANSMISSION ET LE LIBRE ARBITRE EN H RITAGE t Vendetta MATHEA Laurent Thierry Dans le milieu de la danse La Manufacture est une r f rence Cela fait plus d
278. ctivit conomique C est le trait d Amsterdam qui fait pour la premi re fois r f rence la politique sportive dans une annexe pour souligner l im portance sociale du sport et en particulier son r le de ferment de l identit et de trait d union entre les hommes En 1998 le Conseil europ en mentionne dans ses conclusions la fonction sociale du sport la Communaut doit tenir compte des fonctions sociales ducatives et culturelles du sport qui fondent sa sp cificit afin de respecter et de promouvoir l thique et les solidarit s n cessaires la pr servation de son r le social Les institutions europ ennes reconnaissent la sp cificit du r le du sport dans la soci t euro p enne sous l angle de la sant de l ducation de l int gration sociale et de la culture Le rapport d Helsinki en 1999 fait le constat d un certain nombre de d rives dopage pr pond rance de la logique commerciale au d triment de la logique spor tive tendance des grands clubs s organiser entre eux au d tri ment des f d rations nationa les garantes de l quit sportive diff rences de l gislation fiscale qui cr ent des in galit s entre les clubs etc La Commission y fait plusieurs propositions destin es conci lier la dimension conomique du sport avec sa dimension populaire ducative sociale et culturelle Mais en l absence de v ritable politique commune leur m
279. d finition suivante la pluriactivit consiste pour une m me personne exer cer plusieurs emplois ou activit s professionnelles sous diff rents statuts de facon simultan e ou cons cutive C est une situation qui caract rise l emploi dans les secteurs d acti vit s vis s par le guide La passion et Le choix d un lieu de vie proche de ses sites de pratique conduisent souvent le cr ateur accepter les contraintes de la saisonnalit de son m tier Pluriactif ou saisonnier La pluriactivit et la saisonnalit correspondent en principe des r alit s bien distinctes Alors que la notion de pluriactivit implique avant tout un cumul de comp ten ces et par l m me une aptitude la polyvalence pouvant facile ment s ancrer au territoire la saisonnalit n exige pas n cessai rement d exercer des m tiers dis tincts Elle se caract rise surtout par un rythme de travail contrast sur l ann e polaris entre saisons d hiver et d t et qui impose le plus souvent de La mobilit D Source Pour la montagne n 152 juillet 2005 www institut montagne org fiches Sectorielles Sur les situations de pluriactivit Les plus fr quemment rencontr es dans les m tiers du sport m salariat et activit ind pendante lib rale commer ante ou plus ra rement artisanale m salariat et activit agricole m tiers du sport et activit rurale en zone de montagne par ex
280. d le type de convention de m c nat mais il est vi vement conseill d tablir une conven tion crite car l absence d crit entra ne une incertitude quant la nature et l tendue des obligations mises la charge des partenaires Certaines clauses sont cependant es sentielles m me si plusieurs contrats peuvent tre impliqu s don manuel pr t location pr t de main d uvre dans la convention m D finition des cocontractants La convention doit d terminer les par tenaires et quel titre ils agissent m Objet de la convention IL peut tre pr cis la raison de l enga gement ou les objectifs poursuivis m D finition du projet Le projet doit tre d crit il peut s agir d une exposition d une op ration hu manitaire d une manifestation spor tive avec une date limite d ex cution fix e m Obligations du m c ne Lorsque le soutien est financier il est n cessaire de v rifier que le b n ficiaire a la capacit de rece voir ce don le m c ne a la capacit d effectuer ce don le montant total du don et l ch an cier des versements seront mention n s Lorsque le soutien est en nature plu sieurs situations sont envisageables mise disposition de mat riel mise disposition de locaux mise disposition de personnel m Obligations du b n ficiaire IL est utile d indiquer les modalit s d intervention du b n ficiaire aux dif f rentes
281. d part la gestion et la compta bilit c est lui et le commercial c est Francis Francis Lebarbier son associ a aujourd hui 53 ans Issu d un milieu ouvrier il a d couvert sa vocation tr s jeune C est en effet l ge de 11 ans qu il commence le th tre l cole Pour son entourage Francis c est le comi que de service ILjoue dans des troupes amateurs et se prend lui aussi de pas sion pour le clown Quand Hugues quitte son emploi d imprimeur il le propose Francis Et quand l id e de monter une compagnie professionnelle se pr cise ce dernier d cide lui aussi de partir dans l aventure Depuis les deux comp res ne se sont jamais quitt s ni sur sc ne ni derri re les rideaux Il faut dire que leur complicit d artistes se compl te d une m me vision de leur entreprise et les am ne depuis le d part se r partir les t ches pour assurer son d veloppement Francis a un sens commercial inn qui l am ne spontan ment d ployer des aptitudes qu il ignorait jusque l Quant Hugues il r v le rapidement ses talents de gestionnaire et monte les premiers dossiers de demande de subvention L tape majeure ils d cident de la franchir en embauchant une premi re administratrice puis une char g e de diffusion On pr f rait se payer moins qu elles mais on sentait que c tait indis pensable Aujourd hui encore ils supervisent et contr lent ensemble la gestion
282. d accompagnement la cr ation d entreprises Titres homologu s CS UCC m 154 qualifications permettent d enca drer des activit s sportives de nature BAPAAT 5 AQA CQC 5 23 0 BEES 61 R partition des qualifications par type de milieu m 40 100 qualifications ont t recens es dans le milieu terrestre m 1 479 qualifications ont t recens es dans le milieu a rien 15 309 qualifications ont t recens es dans le milieu nautique D Source Chiffres tir s de la base de d claration administrative des ducateurs d clar s Pour en savoir Travaux d observation des ducateurs de sports de nature P le ressources national des sports de nature www sportsdenature gouv fr Rubrique Emploi Formation Structure de la profession m 17 500 tablissements d activit s phy siques et sportives de nature d clar s 34 f d rations sportives de nature sont r f renc es donn es issues de la pla quette chiffres cl s minist re charg des sports 2009 m Pr s de 26 000 clubs proposent des activit s de nature 23 dans le milieu nautique 12 dans le milieu a rien et 65 dans le milieu terrestre m 74 1 des ducateurs d clar s affir ment tre en activit D Source Enqu te nationale sur les ducateurs d clar s P le ressources national des sports de nature 2010 m 22 syndicats de professionnels organi s s par dis
283. d activit s sportives du Pays basque Veillez Le s curiser sur les mar ges effectives dont il dispose pour se r aliser et r a Pensez solliciter liser son projet en votre r seau et sachez coh rence avec renvoyer le cr ateur ses motivations et localement ceux ses valeurs E qui d tiennent l information sur ses futurs march s cr ation de mesurer la pertinence de son projet N oubliez pas d adapter votre vocabulaire et votre d marche pour l amener s engager dans cette tape fondamentale fiches Sectorielles fiches Projets fiches Pratiques ses connaissances me si son projet Le passionne Le passage La cr ation n est pas sans risque pour le candidat Pour tre en mesure de s curiser son parcours il faut plus que jamais ajuster son regard et parfaire Pr sentation des points sensibles de l accompagnement acestadeeeeee LES POINTS DE VIGILANCE 1 La taille des march s Si le projet de cr ation n est pas toujours cr dible c est parce qu il est souvent positionn sur un mar ch de niche Pour autant la r us site du cr ateur est souvent li e sa capacit saisir des opportu nit nouvelles voire anticiper la demande des client les Ces cr ateurs sont en effet sou vent positionn s sur des secteurs porteurs Mais qu appelle t on un secteur porteur Est ce un secteur avec une crois sance forte en termes de progres sion du chiffre d affaires
284. d appui et de con seil aux structures qui d veloppent des activit s d utilit sociale Documents Activit s touristiques en milieu rural conna tre sa rentabilit Ludovic Pommaret coord D Source Centre national de ressources du tou risme et du patrimoine rural juin 2005 Collection Bo te outils Guide juridique et fiscal du tourisme rural Francis Varennes Ipso facto 2010 4 dition mise jour www droit du tourisme rural com Carnet de route de la campagne et de la moyenne montagne la demande l offre et les recommandations marketing ODIT France GMV Conseil 2005 Col lection D veloppement touristique ana lyse marketing BAtlas des ducateurs sportifs d cla r s dans le champ des sports de nature Collectif P le ressources national des sports de nature 2009 B Droit des sports de nature Fr d rique Roux et Katja Sontag dir Territorial 2008 www territorial fr notamment Formes de l exploitation commerciale th me 15 et Encadrement r glement th me 17 Moniteurs de cyclisme Enqu te m tier 2008 Collectif Syndicat national des moni teurs de cyclisme fran ais MCF 2008 www sportsdenature gouv fr rubrique Emploi Formation M tier Les m tiers des sports de montagne volution et enjeux en r gion Provence Alpes C te d Azur Anne Sophie Dumortier dir Observatoire r gional des m tiers ORM Provence Alpes C
285. d engagement collectif D s sa cr ation en 1999 le r seau Coop rer pour entreprendre s est dot d une charte de d onto logie r actualis e le 15 juin 2006 qui fixe la d finition les objectifs et les engagements des coop ratives d activit s et d emploi L adh sion d une CAE au r seau se fait avec l assentiment des CAE d j membres travers le conseil d administration de Coop rer pour entreprendre I DSource Coop rative d activit s et d emploi L entreprise partag e Collection Choisir d entreprendre autre ment Avise Pour en savoir Guide Rep re Entreprendre Autrement n 3 Coop ratives d activit s et d em ploi couveuses soci t s de portage salarial des opportunit s pour tester d velopper ou exercer son activit collection Les Rep res de l Avise ques de gestion et autres struc tures Les partenariats avec l tat et les collectivit s se traduisent g n ralement sous la forme de cofinancements Une logique d entreprise CPR Les CAE sont des entreprises coo p ratives qui fonctionnent dans www cooperer coop Cette fiche contient des informations recueillies pour l essentiel sur les sites servicepublic fr et de l Avise mo Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Sectorielles Les besoins en financement varient d un projet l autre et le cr ateur doit tre en mesure d opter pour la solution la pl
286. d essai sous le regard d un op rateur qui v rifie l acquisition des consignes de s curit et des diff rentes manipula tions du mat riel Le pratiquant peut alors s engager en autonomie sur le parcours de son choix Il assure personnellement son d place ment en restant constamment reli la ligne de vie S il le souhaite il peut viter certains passages en empruntant des chappatoires d di es cet effet IL volue sous le regard et la sur veillance des op rateurs rest s au sol Ces derniers interviennent si n ces saire pour rappeler des consignes pour aider une personne en difficult voire pour l vacuer de l atelier en cas de besoin m Les quatre fonctions principales assu r es par les op rateurs quiper les pratiquants briefer les pratiquants et leur expliquer le cheminement dans le PAH surveiller les pratiquants pendant leur parcours intervenir en cas de probl me de pro gression ou d incident hiffres cl s La client le mLe nombre d entr es annuelles dans les parcs acrobatiques en hauteur est en constante augmentation depuis 2001 d but du recensement de la fr quenta tion de l tude d ODIT France mEn 2004 contrairement aux autres ann es le taux d accroissement du nombre d entr es 32 par rapport 2003 est inf rieur au taux d accroisse ment des ouvertures de parcs 43 ce qui explique en grande partie l infl chissement de la courbe
287. de son march et les clefs du succ s A t il mesur les opportuni t s et les menaces ventuelles l chelle de son territoire votre tour de vous poser des questions et d adapter votre analyse aux particularit s de son projet W Cette fiche a t r alis e sur la base des conseils mis en ligne par l APCE la CRCI Midi Pyr n es et France5 fr fiches Pratiques COMMENT FAIRE pour am liorer votre accompagnement Notez des questions compl mentaires Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 63 fiches Pratiques 5 oo F Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises DE L NERGIE REVENDRE ET UNE ENVIE D ENTREPRENDRE HORS DU COMMUN v Christel COCHIN Voil plus d un an et demi que Christel Cochin s est lanc e dans une nouvelle aventure Pour elle l aventure dans la vie est synonyme de cr ation d entreprise et cette fois c est du haut de ses chasses qu elle a d cid de la mener une id e qui lui est venue apr s avoir cherch un cadeau de No l Parcours d une jeune femme qui fourmille d id es originales et qui n a qu une id e en t te entreprendre on parcours Salari e depuis plusieurs ann es dans un grand groupe pharmaceutique Christel a le virus de l entreprise depuis long temps d j 20 ans son BTS commerce international en poche la premi re id e qui lui vient
288. de fr quenta tion moyenne annuelle mLa fr quentation moyenne annuelle par PAH oscille autour de 8 600 entr es par an pour les 6 derni res ann es mDe 2004 2006 la fr quentation moyenne annuelle est en hausse de 6 5 et d passe aujourd hui la barre des 9 000 visiteurs mLa plage de fr quentation s tend de 500 plus de 30 000 entr es par an Fiches Pro SPORT NATURE ports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 345 Offre d activit s a Environ un tiers des PAH propose des activit s de pleine nature APN comme des circuits de VTT des activit s d eaux vives ou des activit s nautiques 18 proposent des activit s orient es vers le loisir comme le paintball le tram poline le minigolf le labyrinthe m 16 des gestionnaires pr sentent une offre vari e d activit s m lant les acti vit s de loisirs et les activit s de pleine nature m 80 des exploitants ont cr de nou veaux ateliers ces derni res ann es l investissement moyen tant de l ordre de 10 000 20 000 euros par an Localisation Les parcs qui accueillent plus de 25 000 entr es par an sont situ s proximit de grandes villes ou de grands p les touris tiques et sont accessibles toute l ann e notamment sur la base de r servations Emploi Un PAH g n re en moyenne 1 6 emploi permanent et 5 emplois saisonniers par an Cr ations annuelles de PAH volution du s
289. de la version papier 15 TTC 2 version lectronique sur le site de ATOUT FRANCE www atout france fr Tarif de la version PDF 13 Tous droits r serv s Phototh que sportsdenature gouv fr Fiche r alis e essentiellement sur la base du hors s rie Grand Angle n 5 Sp cial d veloppement des parcours acrobatiques en hauteur dit par ATOUT France en janvier 2009 Fiches Pro SPORT NATURE CO OST NO Guide pratique d accompagnement La cr ation d entreprises SPECTACLE VIVANT Tous droits r serv s Cr dit photo B ranger Morel Code NAF2008 r v 9001 90027 90047 et divers Principaux codes NAF e tout temps le spectacle vivant a assur au del de son activit commerciale une fonction d int r t g n ral et social encourag par les pouvoirs publics Le th tre s est impos comme moyen d du cation populaire avec Le TNP dans les ann es 1960 la musique vers 1965 la danse partir de 1975 le jazz et le rock dans les ann es 1980 Plus r cemment les marionnettes Le cirque et derni rement le spectacle de rue ont connu un v ritable essor Cependant Les structures nouvellement cr es sont fragiles Leur dur e de vie est souvent ph m re et l engage ment Leur c t des pouvoirs publics est parfois incertain ctivit s du secteur D finition m Le spectacle vivant se d finit comme la rencontre physique des interpr tes et des spectateurs auto
290. de nombre de licen ci s apr s Le football et Le tennis Cette croissance est due une d mocratisation de La pratique qui s expli que en partie par la diversification des activit s propos es endurance dressage attelage polo quitation western horseball hunter et par une forte progression des cavaliers poney EI ctivit s du secteur Un centre questre et un poney club sont des tablissements ouverts au public auquel sont propos s des servi ces se rapportant l quitation cours promenade stages pension dressage location Les tablissements qui s inscrivent sur le march du tourisme questre propo sent souvent toute une gamme de pres tations compl mentaires d h bergement g tes chambres d h tes Ces activit s sont g n ralement exer c es titre principal en compl ment d une activit agricole ou titre b n vole c hiffres cl s Structure de la profession m Environ 7 792 tablissements ques tres d clar s dont 2 784 associations et 5 008 tablissements priv s en 2010 m Plus de 6 000 clubs sont licenci s la FFE en 2006 m50 des tablissements n exercent qu une activit d enseignement mPr s de 2500 tablissements sont employeurs et le secteur emploie plus de 7 000 salari s m L activit est valu e 570 millions d euros de chiffre d affaires m La moyenne des salari s par tablis sement est de 2 3 ETP auxquels il
291. de p nal art 425 Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles initiative Acteurs Fili re Activit Autonomie Apprentissage Initi aJe INI ative On rat peration Val eur rcours Disponibilit Affaires Imaginaire Business Cluster F 9 gt VUSET Forum Cr ati ati nni re SD Na a artage Solidarit Activit salso de assion Dynamisme Enthous D couverte Pa asme i Produits co its co con us D veloppement durable Client le Aventure Imag teran de venture Partenariat Marque Banc d essa concurent Concept tude Savoir faire Promotion Manifestation Formation i professionnelle tude de march Usagers
292. de rentabilit dans les domaines suivants envi ronnement pratiques commercia les d veloppement local citoyen net gouvernance et ressources humaines Elle affiche des pr oc cupations l gard des salari s actionnaires clients fournisseurs et de la soci t civile dont les ONG sont les porte parole m Le r le civique que l entreprise se doit d honorer dans son environ nement n chappe plus person ne De nos jours il est donc devenu n cessaire et l gitime pour len treprise de s int resser aux pro bl mes de la cit Les entreprises auxquelles vous tes fid les appor tent elles une r elle contribution notre soci t notre environ nement V rifiez le c est ce qu on peut lire sur la page d accueil du site Entreprise citoyenne www entreprise citoyenne com L ligibilit au m c nat Avant de s engager dans une d marche de recherche de m c nat il convient de v rifier que l organisme est ligible au m c nat ouvrant droit pour le donateur un avantage fiscal m De son c t l Observatoire sur la responsabilit soci tale des entreprises souhaite cr er un site internet d di la valorisation des pratiques sociales innovantes autour de 7 th matiques galit professionnelle seniors int gra tion des jeunes handicap sant conditions de travail employabi lit Ce site permettra d identi fier les meilleures pratiques en la mati re ww
293. de tourisme et syndicats d initia tive 280 boulevard Saint Germain 75007 Paris amp 014411 10 30 wwvw tourisme fr m Ecorismo Un salon professionnel qui per met de rep rer les bonnes pra tiques par secteurs salon des coproduits et des solutions envi ronnementales pour le tourisme le camping l h tellerie et la res tauration Les acteurs du tourisme peuvent trouver sur un m me lieu une centaine d exposants et assister plus d une cinquantaine de con f rences Le programme complet est sur www ecorismo com m Des revues et des sites sur le d veloppement durable L information publique environne mentale wwvw toutsurlenvironnement fr Agence de l environnement et de la ma trise de l nergie www ademe fr E t re charg s de l cologie et du d veloppement durable de l conomie et des affaires L essentiel des informations contenues dans cette fiche provient des sites des minis trang res fiches Sectorielles situe entre 5 et 10 de La population selon que l on y inclut ou non les personnes g es Ce public repr sente une client le potentielle pour l industrie du tourisme et des loisirs dont l importance est renforc e par des dispositifs qui ont acc l r la prise en compte des personnes handicap es dans le respect de leurs droits F France on estime que le nombre de personnes handicap es se Point sur ce qu il est bon de savoir pour clairer un candidat
294. de travail des intermittents par secteur d activit en 2006 D Source Professions culturelles et emploi Chiffres cl s 2010 Minist re de la Culture et de la Communication www culture gouv fr nav index stat html Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises CO OO t 2003 signature par le MEDEF et trois centrales syndicales d un protocole d accord relatif au r gi me d assurance ch mage des professionnels intermittents du cin ma de l audiovisuel de la dif fusion et du spectacle entr e en vigueur du protocole d accord du 26 juin Avril 2007 mise en place d un nouveau dispositif d indemni sation des artistes et techniciens intermittents du spectacle L indemnisation ch mage reste fond e sur la solidarit interpro fessionnelle mais elle est dor navant compl t e par un Fonds de professionnalisation et de soli darit financ par l tat D Source www legi spectacle org D Source Jacques CHARPILLON Indemnisation du ch mage des intermittents du spectacle Minist re de la Culture et de la Communication D cembre 2004 e contrat de travail d un artiste L ou d un technicien du spectacle Pour qui Les ouvriers et techniciens du spectacle engag s par des employeurs relevant de la pro duction cin matographique de l audiovisuel ou du spectacle dans les domaines d finis dans la liste annex e l annexe 8 au titre d un contrat de travail dur e d ter
295. des moyens de plus en plus diversi fi s pratique sportive r guli re courtes escapades le week end relaxation et massages domicile ou en entreprise sont devenus monnaie courante sur l offre des salles de remise en forme Les salles de remise en forme sont la pointe de ce march Pour maintenir son leadership le secteur innove en permanence Apr s l a robic dans les ann es 1980 puis le step une variante de l a robic utilisant une marche le pump sous toutes ses formes a promu une nouvelle mode le cours de musculation en musi que et vid o Des techniques nou velles se cr ent ainsi constam ment On peut mentionner le Core Training techniques autour de la notion d quilibre le Cardiorobic les arts martiaux mergents Les cours o programmes pr chor graphi s labor s par des experts en fitness permettent galement un renouvellement r gulier des concepts Sans oublier la mode de la vibration sous toutes ses formes les Power Plate ou tapis vibreurs et la m thode du Pilates De nouvelles activit s sportives associant diff rentes disciplines comme le body balance qui associe ta chi Pilates et yoga ont gale ment fait leur apparition D Source APCE Le stress au travail un ph nom ne de soci t Le stress au travail est devenu une pr occupation majeure des pouvoirs publics La crise conomique n a fait qu amplifier ce ph nom ne con sid r
296. des europ ennes dans le secteur de l audiovisuel Cr dit d imp t IL existe depuis le 1 janvier 2005 un cr dit d imp t pour la production audio visuelle r alis sous certaines condi tions Pour en savoir Renseignements et formulaire de demande d agr ment sur le site du CNC www cnc fr Textes juridiques ou aides et commis sions audiovisuel cr dit d imp t R f rence d cret 205 315 du 1er avril 2005 pris pour l application des articles 200 sexies et 220 F du CGI et relatif l agr ment des uvres audiovisuelles ouvrant droit au cr dit d imp t pour les d penses dans la production d uvres audiovisuelles Pour en savoir Voir le dossier complet sur le site du CNC au lien suivant www cnc fr 3 rue Boissi re 75116 Paris Cedex T 01 44 34 34 46 Fiches Pro CULTURE c ontacts et sources d information Structures institutionnelles m Minist re de la Culture et de la Communication 3 rue de Valois 75001 Paris 01 40 15 80 00 www culture gouv fr Et Les DRAC directions r gionales des affaires culturelles du minist re de la Culture www culture fr m DGMIC Direction g n rale des m dias et des industries culturelles Minist re de la Culture et de la Communication Immeuble des Bons Enfants 182 rue Saint Honor 75033 PARIS Cedex 01 a CNC Centre national de la cin matographie 12 rue de Lubeck 75784 Pari
297. dures administratives et de responsabi lit tous les niveaux l crit garan tit la s curit des engagements pour autant qu on en connaisse les r gles pour tre accept dans la r sidence SUr les r gles du jeu d alerter le cr ateur une sur la n cessit de ne pas d marrer son activit s il sait par avance que dans les tout prochains mois il devra affronter un probl me de tr sorerie qu il n a pas les moyens de d l gation d partementale ou r gionale cela augmente le temps d attente IL est alors inu tile d appeler le banquier tous les jours D Source APCE surmonter www apce com France Initiative annonce une acti vit en hausse pour l ann e 2010 pr s de 18 000 entrepreneurs ont t finan c s par un pr t d honneur 0 10 ce qui repr sente pr s de 17 000 entreprises 13 plus de 37 000 emplois ont t ainsi cr s ou maintenus 11 enfin l action du r seau a permis de mobiliser plus d un milliard d euros au b n fice de l conomie des territoires www france initiative fr SAUT Source France Initiative Communi qu 22 03 2011 longue d entrepreneur en Auvergne Pour tre accompagn par la R gion Auvergne dans le cadre de ce dispositif il faut que le porteur de projet soit en mesure de pr ci ser ses besoins dans le cadre d une demande dite pr alable avant de d fendre sa candidature de
298. durok F d ration de lieux de musiques amplifi es actuelles en 2001 La premi re g n ration celle des militants b tisseurs Ces lieux cr s avant les ann es 1990 ont pris leur assise sur le terreau de l ducation populaire Leur structura tion a t influenc e par la personnalit de leurs dirigeants en g n ral peu centr s sur les questions de gestion et de ressources humaines Les projets artistiques et culturels de ces qui pements taient au d part d di s l activit de diffusion musicale La seconde g n ration Dans les ann es 1990 Les porteurs de projet associatif trouvent le soutien des collectivit s locales pour cr er des qui pements dans le cadre de partenariats mieux d finis La troisi me g n ration Des lieux cr s plus r cemment g n ration 2000 mergent Ils sont exclu sivement initi s et fortement contr l s par les collectivit s qui font appel des chefs de projet issus de la g n ration militante ou de formations sp cialis es hiffres cl s Structure de La profession mLa France compte environ 30 000 groupes de musiques actuelles de 3 ou 4 musiciens en moyenne soit 1 groupe pour 2 000 habitants m On recense environ 1 500 lieux de con certs en France 116 salles de plus de 1 200 places 520 salles de 400 1 200 places 895 salles de moins de 400 places mle Centre national des vari t s de la chanson et du jazz a rece
299. e 9 Inviter les personnels du secteur sanitaire m dico social La presse sp cialis e aux premi res Les revues tre D clic Faire Face Info Fax des sourds Int grer ces nouveaux partenaires dans les mailings et les inviter aux inaugurations ouvertures de saison premi res est fortement recommand fiches Pratiques handicap Festival Art et Handicap Breuvannes 52 Tous handicaps art handicap free fr L es festivals culture et On d nombre actuellement une vingtaine de festivals en France o se produisent des artistes en situation de handicap Suivant les cas ces festivals sont sp cialis s dans un ou plusieurs handicaps une ou plusieurs disciplines Ils permettent de rencontrer de mul tiples artistes Pour conna tre les festivals et les agendas invitez le cr ateur consulter les sites www cemaforre asso fr wwvw yanous com Festival Choukar Poitiers 86 Tous handicaps gregory sedek wanadoo fr Festival Clin d il Reims 51 Handicap auditif wwvw clindoeil cinesourds fr Festival europ en th tre et Art et D chirure handicap Orph e Rouen 76 Versailles 7 78 Tous handicaps Handicap mental psychique f www theatre montansier com h pital www art et d chirure org g Jo l Delaunay Festival du Futur compos amp 02 3295 11 78 A Autisme et culture D sali ner festivalfuturcompose free fr Morsang sur Orge 91 Handicap mental ps
300. e t r alis e e L analyse se r f re t elle une situation existante ou un projet alternatif Le projet a t il fait l objet d une analyse multicrit res e quels types de co ts s attache l analyse conomique co ts directs co ts induits co ts externes etc M thode d arbitrage Sur quels arguments la d cision d initier le projet s appuie t elle De quelle mani re les risques ont ils t pond r s Gestion du risque projet faisabilit p rennit La nature et la solidit des partenaires du projet ont elles t prises en compte Le projet est il la transposition d une exp rience existante Sera t il dupliqu Le mode de relation entre les partenai res a t il une influence sur la r alisation du projet Mode de conduite du projet Comment s organise la mise en uvre du projet Le projet fait il l objet d une d marche qualit Un syst me de suivi du projet a t il t mis en place m Questions portant sur la solidarit et l quit quilibres sociaux Quels sont les objectifs du projet Celui ci r pond il une demande sociale Comment sont prises en compte les aspirations des parties prenantes Des mesures d accompagnement sont elles pr vues quilibres g ographiques Quelles sont les incidences du projet en termes d organisation de la vie cono mique du territoire mobilit quilibre urbain rural etc De q
301. e durable accompagn e d une am lioration quantitative et qualitative de l emploi et d une plus grande coh sion sociale Cette croissance et cette comp ti tivit s appuient sur la mise en uvre d un d veloppement durable pLa strat gie europ enne pour l emploi Son objectif est d accro tre le nombre d emplois notamment les taux d activit tout en am liorant la qualit des emplois existants fiches Sectorielles La place du IERNII d veloppement durable Le trait de Lisbonne article 3 paragraphe 3 du trait sur l Union europ enne inscrit le d ve loppement durable parmi les objectifs poursuivis par l Union europ enne Ce n est pas parce que l emploi et la croissance sont une priorit que les questions sociales et co logiques sont pour autant rel gu es au second plan L Union europ enne met tout en uvre pour promouvoir une gestion responsable des entreprises qui doivent veiller au d veloppement des comp tences au respect de la l gislation sociale et des Droits de l Homme et une utilisation plus rationnelle des ressources naturelles D Source http europa eu DLa simplification de l acc s aux subventions On peut mentionner des exigences documentaires simplifi es dans le cas de mon tants peu lev s nouvelle cat go rie correspondant aux subventions inf rieures ou gales 25 000 que les organisations b n fi ciaires doivent fin
302. e en uvre une politique de pr ven tion des risques syst matiques et contracter des assurances adapt es l activit de l associa tion en raison des responsabilit s qui sont les leurs our en finir avec les id es re ues La d finition de l entre prise par la Cour europ enne de justice La notion d entreprise comprend toute entit exer ant une activit conomique ind pendamment du statut juridique de cette activit et de son mode de financement Activit conomique tant enten due comme toute activit con sistant offrir des biens ou des services sur un march donn L entrepreneur social a toutes les caract ristiques de l entrepreneur classique Trois l ments priment dans tous les cas avoir une id e aimer pren dre des risques et vouloir mettre en place un projet collectif D Source Devenezentrepreneur social AVISE t l chargeable sur www avise org x L article 28 bis de la loi ARAIA du 17 juillet 2001 modi fiant la loi de 1947 pr voit que les associations peuvent se transformer en soci t coo p rative sans cr ation d une per sonne morale nouvelle En outre les agr ments et les aides diver ses se poursuivent dans la soci t coop rative La d finition de l cono mie sociale et solidaire Les entrepreneurs sociaux vo luent dans le secteur de l cono mie sociale et solidaire Ce champ recouvre une grande diversit
303. e mais le co t d une prospection l tranger est lev un partenaire ou une filiale l tranger est n cessaire Pour limiter les co ts la d localisation de certaines productions est souvent en visag e La production audiovisuelle et cin matographique compte plus de 6 500 entreprises en France Un bon tiers des soci t s sont inactives cr es souvent en vue de r aliser un projet sp cifique elles peuvent ensuite rester en sommeil Ceci explique le taux lev de turn over du secteur Le march de l audiovisuel d passe largement le champ hexagonal Dix ans apr s le premier Festival de Biarritz on est pass de 2 000 8 000 programmes par an Pour en savoir Site de l Observatoire europ en de l audiovisuel www obs coe int Production audiovisuelle en France hors production de films pour le cin ma Parc Personnes Codes APE Activit s d entreprises occup es et CA en ETP Productions et r alisations de films et 1587 92 1A 59T1A de programmes pour la t l vision 1 185 M o 2 Productions et r alisations de films 2380 92 18 5911B institutionnels et publicitaires 1 186 M te Prestations techniques pour le cin ma et La t l vision post production de films 1336 2 108712 cin matographiques de vid os et de 1325 M 3203 programmes de t l vision DOME ee 565 92 2B 5911A Productions d missions de t l vision 1 066 ME POS D Source INSEE la France des ser
304. e r gion le programme op ra tionnel et le document de mise en uvre On peut d j retenir que ce sont des initiatives inno vantes respectant le d veloppe ment durable favorisant l emploi et rendant les territoires plus comp titifs qui sont privil gi es y m Recherche et d veloppe ment technologique RDT innovation et esprit d entreprise m Soci t de l information m Environnement m Pr vention des risques m Tourisme m Investissements culturels m Investissement dans les transports SUr le FEDER et les ac JJ tivit s vis es par le guide m conomie Encourager la transmission des entreprises locales accueillir les repreneurs dans de bonnes conditions soutenir les entreprises m Energie m Investissement en faveur de l ducation m Investissement dans les infras tructures sanitaires et sociales m Aide directe aux investissements dans les petites et moyennes entreprises PME 2007 2013 Le FEDER concentre son aide sur le soutien au d veloppement co nomique durable int gr ainsi qu la cr ation des emplois dura bles Les programmes op ra tionnels dans Les tats membres visent moderniser et diversi fier des structures conomiques r gionales entre autres dans les domaines qui concernent direc tement les secteurs vis s par le guide x Le FEDER c est plus 0 GOVOIT de 8 milliards d euros accord s aux territoires fran ais pour la p
305. e soci t a Orleans ne export va l essentiel elle cherche et trouve sans difficult l importateur d chasses en France mesure l investis Trajectoire SPORT sement que cela repr sente et d cide de se lancer chasses urbaines 45 voit officiellement le jour en juin 2009 en auto entreprise Depuis Christel a repris ses journ es ses semaines ses ann es de temps doublement plein C est en effet sur sa RTT sur ses cong s annuels sur ses soir es et ses week ends qu elle propose de l initiation de la location et de la vente Mais pour elle a n est que du plaisir C est la fois du loisir et un sport qui rend les gens heu reux 47 cm du sol il faut rapidement trouver son quilibre C est en salle ou sur chemins goudron n s en for t ou sur les bords de Loire qu elle exerce son activit Ses clients des familles ou des jeunes qui viennent par l interm diaire des maisons de quar tier des coles ou des centres a r s Entre ses diff rentes activit s elle prend le temps de d couvrir la boxe en club apr s avoir pratiqu pendant des ann es la natation et la gymnastique Tous les ans elle prend aussi Le temps de rendre visite une par tie de sa famille rest e en Espa gne a ma Je suis tr s cr ative j aime trouver des id es pour simplifier la vie des gens ou leur faire donn l envie p partager de bons d investir en moments Espagne Mais l
306. e Valmy 75010 Paris T 01 44 90 46 46 www agefos pme com Tous droits r serv s Cr dit photos Panoramic Liste de fournisseurs sur le site www bodyplanet com rubrique Adresses Voir galement les sites wwvw fitnessboutique fr www stylefitness fr ou encore www multiform com Salons professionnels m Salon Mondial Body Fitness Form expo Mars 2008 porte de Versailles www formexpo com m Salon Mondial r ducation Equip salles Octobre 2008 Parc floral de Paris www salonreeduca com m Salon de la piscine des SPA et du sauna D cembre 2008 porte de Versailles www salonpiscineparis com m Mondial spa et beaut 8 9 10 mars 2008 Paris www msbparis com Liste non exhaustive l Fiche r alis e sur la base de la fiche de l APCE correspondante et r actualis e en octobre 2010 Fiches Pro SPORT a LT D D a D r E i F2 3 a 2 re Le D n S a C2 a 5 S C2 23 32 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Fiches Pro SPORT CENTRE QUESTRE ET AUTRES ACTIVIT S QUESTRES Tous droits r serv s Phototh que sportsdenature gouv fr et divers Principaux codes NAF vingt ans Il place la fili re quitation de sport et de loisirs au 3 rang e d veloppement des activit s questres s est fortement acc l r en fran ais des f d rations olympiques en termes
307. e bilan de comp tences Elle se r partit g n ralement sur plusieurs semaines fiches Pratiques Le bilan de comp tences doit tre r alis par des prestataires sp cialis s inscrits sur une liste ta blie par Le FONGECIF ou l OPCA de branche auquel l employeur verse la contribution destin e au finan cement des cong s individuels de formation Cette liste est aussi disponible dans les DIRECCTE Directions r gionales des Entreprises de la Concurrence de la Consomma tion du Travail et de l Emploi ou aupr s de P le emploi Sur le bilan de comp tences cultures et loisirs L AFDAS publie tous les ans la liste des organismes de forma tion agr s pour r aliser les bilans de comp tences pour les profes sionnels des secteurs culturels et de loisirs qui rel vent de son champ d application spectacle cin ma audiovisuel publicit La liste est fournie par r gion et comporte adresse num ros de t l phone et fax des organismes de formation concern s Pour en savoir Pour l ann e 2011 consulter le document PDF disponible sur le site www afdas com Qui fait quoi Une demande crite doit tre transmise l employeur au plus tard 60 jours avant le d but du bilan de comp tences Elle doit indiquer les dates et la dur e du bilan de comp tences ainsi que la d nomination de l organisme prestataire Dans les 30 jours sui vant la r ception de la de
308. e coordonner et de compl ter les actions des tats membres en encourageant la neutralit et la transparence dans les comp titions sportives ainsi que la coo p ration des instances sportives Elles permettent galement de prot ger l int grit physique et morale des sportifs et en particu lier des jeunes Avec l article 45 le trait de Lisbonne dote l Union euro p enne d une base juridique qui lui faisait jusqu ici d faut en mati re de financement de pro jets sportifs Cet article habilite l Union allouer des fonds com munautaires des projets sportifs de dimension communautaire fiches Sectorielles IR Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 49 No C Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises i Gr ce l article 165 UUE d Savi peut financer directe ment des projets spor tifs de dimension europ enne Le trait met notamment l ac cent sur la lutte contre le dopage la protection de la jeunesse et la promotion de la formation des sportifs Dans cette perspective elle a lanc une consultation publique en ligne au mois de mai 2010 qui s est concentr e sur trois points cl s le r le du sport dans la soci t europ enne l impact conomique du sport et les aspects organisa tionnels du sport en Europe D Source www touteleurope eu fr Pour en savoir Textes et documents Europa Synth ses de la l gislation SCADPlus
309. e d information et de documen tation sur le bruit CIDB www infobruit org amp 0147 64 64 64 Bibliographie BUREAU Marie Christine Bernard SCHMIDT Nicolas Les associations de musiques actuelles GOMEL partenaires du programme nouveaux services Emplois jeunes contribution un tat des lieux Centre d tudes de l emploi Noisy le Grand 2004 COLIN Bruno L quilibre conomique d une activit de concerts musiques actuelles Opale Culture amp Proximit Paris 2003 Bonn Tous droits r serv s Cr dit photo Frank Boucher COLIN Bruno DE LARMINAT Luc BOURON Ga l LARDI RE Estelle Consolidation des NSEJ dans les r seaux musiques actuelles rapport final Opale Culture amp Proximit Paris 2003 GAUTIER Arthur Le positionnement conomique des lieux associatifs de musiques amplifi es l apport de l co nomie sociale et solidaire m moire de DESS ESSCA Universit catholique de l Ouest Angers 2005 TEILLET Philippe Publics et poli tiques des musiques actuelles dans DONNAT Olivier TOLILA Paul Lels public s de la culture Presses de Sciences Po Paris 2003 Cr er un studio de r p tition un guide pour des projets adapt s la diversit des pratiques musicales Lille R gion Nord Pas de Calais DIREN 2003 Diffusion aupr s de Domaine Musiques T 03 20 63 65 80 Fiche r alis e essentiel
310. e d marrer un doctorat sur l conomie du sport Mais quand le cou ple fait sa rencontre c est le d clic lui aussi pense ce projet mais il n a gu re de ressources mobiliser Par contre il a un carnet d adresses toff et un tr s bon sens des relations qu il s agisse d lus locaux de journalistes ou de tout autres partenaires C est avec la conviction que a doit mar cher qu il s engage dans le projet et abandonne sa th se L aventure dure jusqu en 2005 date laquelle il d cide nouveau de changer de vie Le couple lui rach te alors ses parts et continue en solo Leur parcours est ensuite relativement classique mais il a la particularit d tre tr s clair pour eux Il faut dire qu ils savent faire et qu un business plan c est pas compliqu r aliser Avec leur connaissance du milieu ils savent d s le d part qu ils ne r ussiront que s ils sont capables de toucher tous les publics des jeunes aux handicap s en passant par les cadres sup rieurs L escalade port e Pour ca il leur a de main faut un empla cement de r ve Au d part ils ciblent la bordure p riph rique de l ouest de Paris les banlieues ais es Mais on ne trouve rien d accessible du coup le projet est mort n Ils d cident alors de chercher dans la proche banlieue et en une semai ne ils tombent sur ce qu ils appellent une cath drale industrielle Pantin Sports sp
311. e d un an condition de respecter l obligation de loyaut l gard de son employeur wwvw legifrance gouv fr Le salari candidat la cr ation d entreprise doit par ailleurs v ri fier que son contrat de travail ne comporte pas de clauses de non concurrence W L essentiel de cette fiche provient d une tude du minist re des Sports r alis e par le cabinet AMNYOS en 2008 fiches Sectorielles d indemnisation ch mage sp cifique constitu par Les annexes 8 et 10 qui prend en compte le rythme d activit particulier au secteur Le secteur du spectacle fait en effet partie des secteurs d activit dans lesquels des contrats dur e d termin e dits d usage peuvent tre conclus en raison de la nature temporaire de ces emplois es artistes et techniciens du spectacle b n ficient d un r gime Synth se des caract ristiques de ce r gime particuliereeeee CULTURE ET INTERMITTENCE volution de ce syst me en quelques dates Au d but des ann es 1960 cer taines cat gories professionnelles sous contrat dur e d termin e ouvriers techniciens artistes du spectacle sont autoris es int grer une annexe particuli re au r glement g n ral de l assurance ch mage 1967 cr ation des premi res antennes spectacles de l ANPE 1972 cr ation d un organis me gestionnaire des droits la formation continue dans le spec tacle l AFDAS Au d but des ann e
312. e du tourisme labor par l Organisation mondiale du tou risme en 1999 cette occasion les Nations unies ont admis offi ciellement qu une croissance incontr l e d un tourisme visant le profit court terme a fr quem ment des effets n gatifs nuit l environnement et aux soci t s et Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles ND Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises d truit les bases m mes sur les quelles le tourisme est construit et prosp re L Organisation mondiale du tou risme L OMT consid re que le tourisme durable doit exploiter de facon optimum les ressources de l environnement qui constituent un l ment cl de la mise en valeur touristique en pr servant les processus colo giques essentiels et en aidant sauvegarder les ressources natu relles et La biodiversit respecter l authenticit socio culturelle des communaut s d accueil conserver leurs atouts culturels b tis et vivants leurs valeurs traditionnelles et contri buer l entente et la tol rance interculturelles assurer une activit conomique viable sur le long terme offrant toutes les parties prenantes des avantages socio conomi ques quitablement r partis qui contribuent la r duction de la pauvret emplois stables possi bilit s de b n fices et de services sociaux pour les communaut s d accueil Le d veloppement
313. e facon d entretenir un r seau souvent prescripteur et c est essentiel pour anticiper la demande la convivialit r gle les rapports professionnels dans ces milieux penser que le cr ateur issu du milieu associatif a toujours un Au del des projet d int r t apparences g n ral ou d utilit Pour lui faciliter la t che et le pr parer aux tapes ult rieures la formalisation de son projet l crit est une exigence m me pour ceux qui affichent la volont de voir avant de se lancer ou pour ceux qui d cident de s en gager dans une activit qui va les mobiliser partiellement ou sur une seule saison Les r seaux d accueil et d accom pagnement la cr ation d entre prises ainsi que les ouvrages qui s adressent aux cr ateurs livrent des questionnaires types souvent con us sur le m me mod le Afin de l aider franchir cette pre sachez rep rer sociale fait partie mi re tape nous vous proposons le futur des id es re ues un cadre d accompagnement qui chef d entreprise s en inspire en trois Entre rigueur et tapes Vous le souplesse ne trouverez dans les c dez pas sur la fiches pratiques ce formalisation de cette tape W son id e ce stade O btenir La r daction du projet Seuluntravailder flexionetd cri ture peut permettre au cr ateur de mettre en vidence ses r elles motivations ses atouts ainsi que les contraintes qu il va devoir surmonter Guide pr
314. e forte motivation pour d ve lopper un projet des fins d int r t g n ral ou d utilit publique les choses se compliquent Malgr les efforts du l gislateur pour toffer l outillage juridique de la cr ation d entreprise les SCOP ou les SCIC sont en effet encore rares dans les secteurs vis s par le guide Il n en va pas de m me pour le statut d auto entrepreneur qui semble faire une perc e remarqu e Choisir Le bon statut dans le secteur du est une imp rieuse sport et des loisirs n cessit pour ce sportifs cr ateur comme pour tous les autres d marrage progressif La mise en place des activit s et des investissements n cessaires est souvent progressive Le revenu compl mentaire s im pose alors comme une s curit la pluriactivit est plus ou moins choisie quand ce ne sont pas les aides sociales indemnit s de prises commerciales Dans le secteur du sport le choix du statut est relativement simple quand il s agit de cr er une salle de remise en forme ou un centre questre Il en va de m me pour les sports et loisirs de nature o les statuts traditionnels travailleur ind pendant SARL sont la fois r pandus et en correspondance avec l activit du secteur L orga nisation du travail n en demeure pas moins originale cole de ski bureau des guides fiches Projets Toutes les pr visions se trompent c est l une des rares certitudes qui a t donn e l
315. e lien social afin de soutenir d velopperetfaciliter L insertion sociale et profession nelle dans et par le sport La pr vention de la sant par le sport La promotion du sport pour les handicap s La pr vention de la violence et des incivilit s en milieu sportif L accompagnement et le soutien aux sportifs de haut niveau Les valeurs de l olympisme sont le support intellectuel et moral de l Association de Pr figuration de la Fondation du Sport Fran ais m IMS Entreprendre pour la Cit 141 avenue de Clichy 75017 Paris T 0143 87 52 52 www imsentreprendre com Les correspondants m c nat des DRAC sont l pour conseiller et orienter Voir la rubrique contacts du site www culture gouv fr m Mission du m c nat du minist re de la Culture et de la Communication d l gation au d veloppement et aux affaires internationales 3 rue de Valois 75001 Paris T 0140 15 83 97 ou 79 15 mission mecenat culture gouv fr m Mission m c nat d entreprise Minist re de l cologie de l nergie du D veloppement durable et de la Mer Commissariat g n ral au d ve loppement durable D l gation au d veloppement durable 3 place de Fontenoy 75007 Paris T 01 40 81 34 69 www mecenat developpement durable gouv fr m Le Rameau Le RAMEAU a pour vocation de favoriser la cr ation d int r ts partag s entre les associations et les entreprises Passerelle
316. e personne morale Le b n fice r alis apr s d duction de la r mun ration du dirigeant est dans ce cas impos au taux r duit de 15 jusqu 38 120 et 33 33 au del pour les PME dont le chiffre d affai res hors taxe est inf rieur 7 63 millions d euros Attention cette option est irr vocable Pour les auto entrepre neurs qui optent pour le r gime de l EIRL cette option n a pas d incidence sur leur r gime fiscal qui reste celui du r gime micro BIC ou micro BNC avec une imposition forfaitaire en pourcentage du chiffre d affaires encaiss versement fiscal lib ratoire et au titre des cotisations sociales microsocial simplifi SAUT R gime social Comme tout entrepreneur indi viduel l EIRL rel ve du r gime social des travailleurs non sala ri s TNS qu il ait opt pour l im p t sur le revenu ou pour l imp t sur les soci t s Le revenu pris en compte pour cal culer les cotisations sociales ce qui constitue l assiette des coti sations sociales correspond au revenu professionnel non salari fiches Sectorielles mo Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles ND ND NS Guide pratique d accompagnement La cr ation d entreprises qui est retenu pour le calcul de l imp t sur le revenu L entrepre neur individuel cotise donc sur l int gralit du b n fice g n r par son entreprise Le calcul des cotisations sociales Si le r gime
317. e quotidienne des individus et aux dynamiques territoriales permet de rendre compte de l importance croissante de ces activit s et de ceux qui Les d veloppent 1 ET Bernard PLASAIT Am liorer l image de la France avis et rapports du Conseil conomique social et environnemental La Documentation fran aise avril 2010 B11 La th se de la classe cr ative FLORIDA 2002 met l accent sur le r le cl de la cr ativit au niveau des m canismes de croissance conomique locale En identifiant trois formes majeures et inter reli es de la cr ativit technologique conomique et artistique ou culturelle FLORIDA 2002b 33 postule l existence d une classe cr ative qui rassemble ensemble des individus engag s dans des processus cr atifs ou d innovation dans le cadre de leur profession Source Insee 12F Martel Mainstream Enqu te sur cette culture qui pla t tout le monde Flammarion ars 2010 13 Insee m ny 3 y 1 Les d cideurs reconnaissent la France trois atouts principaux sa qualit de vie multidimensionnelle 31 ses sp cificit s sectorielles 27 et sa capacit d innovation 25 D Source Barom tre attractivit du site France 2010 Ernst amp Young Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles I 18 Conseils et Recommandations Le candidat et son id e de cr ation Les points de vigilance Des pistes pour progresser Savoirs et R f ren
318. e r gion a sa propre politique en mati re de soutien la production d u vres audiovisuelles La politique de communi d Savill cation du secteur public fait appel de plus en plus la communication audiovisuelle pour pro mouvoir ses services le client lance un appel d offres appel d offres que le producteur a parfois su susciter Parcourir les journaux sp cialis s comme les annonces l gales des quoti diens r gionaux agr s ou le bulletin officiel des annonces de march public et respecter les r gles g n rales de l obtention des march s publics sont des indispensables pour se positionner sur ces march s Pour en savoir Se renseigner aupr s des conseils r gionaux aides r gionales accord es pour les courts m trages la fiction le documentaire et le cin ma ou des conseils g n raux ou aupr s des servi ces du minist re charg de la culture en r gion les DRAC a Aides europ ennes Programme MEDIA 2007 2013 dot de 755 millions d euros Programme de l Union europ enne destin renforcer la comp titivit de l industrie cin matographique audiovi suelle et multim dia Mais il s adresse aux entreprises qui ont d j diffus des programmes et non aux cr ateurs Pour en savoir Media Desk France 24 rue Hamelin 750016 Paris 01 47 27 12 77 ou sur Internet www mediadesk com fr www mediadeskfrance fr et www europa eu pour retrouver les ai
319. e signe d une lib ration de l argent tabou en France On a peur de manquer L entreprise de demain s inscrira dans du soci tal rentable pour tous D Source Ordre des experts comptables Tendances 2008 2012 L re des mutations positives O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises A fiches Projets fiches P Tout se passe comme si les individus taient d autant plus contraints d inventer leur propre futur qu aucun syst me pr visionnel ne peut aujourd hui leur dire de quoi demain sera fait Boutinet Territoires 2040 DATAR 2010 rendre appui sur ses p engagements Le cr ateur peut s engager sur un projet de cr ation pour des raisons exclusivement conomiques Quand sa motivation premi re n est pas l argent cela ne signifie pas pour autant qu il va chouer dans son projet d entreprise et qu il ne va pas mettre toute son nergie le d velopper Dans tous les cas son projet d entreprise est au c ur de son projet de vie Pour lui le travail est une source d panouissement qu il priorise fortement Il n est pas le seul L Institut qu b cois de recherche Robert Sauv en sant et en s curit au travail a mis en ligne un document sur le sens au travail comme facteur de bien tre psychologique On y apprend que six caract risti ques donnent du sens au travail l utilit sociale l autonomie les occasions d apprentissage et de Le sens de d
320. e travail Une condition d anciennet est de gestion du CIF pr sents dans chaque r gion La demande de prise en charge financi re doit tre faite aupr s de l organisme paritaire collecteur agr FONGECIF ou OPACIF dont rel ve l entreprise dans laquelle le candidat est salari ou a ex cut son dernier contrat de travail dur e d termin e CDD Pour en savoir n cessaire 24 mois cons cutifs ou non en tant que salari dont 12 mois dans l entreprise 36 mois Pour les salari s int rimaires ou per manents d une entreprise de travail temporaire voir le site www faftt fr Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises D ND dans les entreprises artisanales de moins de 10 salari s Si le candidat a achev un contrat dur e d termin e depuis moins d un an il a droit un cong indi viduel de formation CIF CDD d un an Pour cela il doit justifier d une anciennet de 24 mois cons cutifs ou non en qualit de salari quelle que soit la nature des contrats suc cessifs au cours des 5 derni res ann es dont 4 mois cons cutifs ou non sous CDD au cours des 12 der niers mois civils Les fonctionnaires et MALI es agents publics employ s par l tat une collectivit territoriale ou un ta blissement public administratif rel vent de dispositifs sp cifiques Qui finance Le financement du cong indivi duel de formatio
321. e vingt ans que ce lieu bouscule les pratiques d un art aux codes qui semblaient immuables IL aura fallu lent tement de ses cr ateurs et leur farouche ind pendance pour y parvenir Si Vendetta Mathea est connue Laurent Berthomieux son mari l est bien moins Pourtant La Manufacture c est toute leur vie sS on parcours IL faut remonter aux ann es 1960 pour trouver les raisons de l engagement de Vendetta dans la danse et comprendre comment elle a atteint le niveau qu on lui conna t dans le milieu N e en 1953 dans un des ghettos de Detroit La jeune Am ricaine subit de plein fouet la s gr gation raciale qui frappe la communaut noire dans son pays Nageuse hors pair elle obtient des r sultats qui devraient la conduire dans l quipe olympique Mais cette poque elle n a pas encore le droit de rejoindre l lite sportive de son pays D pit e mais pas abattue la jeune fille qui dispose de nombreuses cordes son arc d cide alors de partir s installer New York avec 10 dollars en poche Sa m re danseuse de revue l a emme n e aux quatre coins des tats Unis et du Canada pendant toute son enfance et ce nouveau d part ne lui fait pas peur Tr s rapidement elle int gre le programme Modern dance and ballet program de la c l bre Juilliard School of Music avec une bourse d tudes Elle s engage alors pleinement dans la danse et atteint rapidement l excellence au point qu elle est
322. ecteur Les cr ations m Le d veloppement des parcours acro batiques en hauteur a atteint son apog e en 2002 et est rest un niveau assez lev Les trois ann es suivantes mLa cr ation de nouveaux parcs s est fortement ralentie depuis 2006 m De nouveaux parcs se cr ent encore cependant aujourd hui Ces nouvelles installations sont m rement r fl chies et r pondent une strat gie marketing bien d finie Elles sont principalement associ es l implantation de struc tures collectives comme les centres de vacan ces les campings ou des associations locales Par ailleurs un co t d investissement minimum est d sormais indispensable pour que le parc soit attractif et comp titif d s son ouverture m Les porteurs de projets sont donc plus rares mais plus professionnels qu il y a 5 ans R partition par grande cat gorie juridique au niveau national se Ouvertures CES 1993 94 95 96 97 98 9 2000 0 5 Source ATOUT France Grand Angle Hors s rie n 5 Sp cial d veloppement des parcours acrobatiques en hauteur 5 Source RES Octobre 2010 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Fiches Pro SPORT NATURE Les causes de fermetures m Elles sont le plus souvent li es un non respect des normes ou des pro bl mes phytosanitaires m Quelques parcs ont fait l objet d une fermeture pour difficult s commer ciales m Par ailleurs c
323. egistrer les statuts aupr s du service des imp ts en quatre exemplaires de publier un avis de constitu tion dans un journal d annonces l gales E Pour en savoir et trouver tous les mod les www apce com L essentiel des informations contenues dans cette fiche est issu des informations mises en lignes par l APCE et du site www guichet entreprises fr fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Le choix d une structure repose g n ralement sur une s rie de crit res qu il est bon de conna tre Quand le candidat la cr ation a d cid de se lancer l important est de bien prendre en compte le projet du cr ateur et sa situation personnelle La d marche suivre CHOISIR LE BON STATUT ND o Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises POUR ENTREPRENDRE C e qu il faut prendre en consid ration La nature de l activit Certaines activit s imposent le choix de la structure juridique IL est donc pr f rable de se ren seigner au pr alable aupr s des organismes professionnels con cern s ou des chambres consu laires IL peut tre galement judicieux de consulter la rubrique Infor mations sectorielles du site de l APCE ou de se procurer la fiche professionnelle de l APCE corres pondant l activit vis e La finalit de l activit C est ce qui se joue dans le choix de la SCIC
324. ement s par l tat essentiellement par le minist re en charge de la jeunesse et sont encadr s par un personnel qualifi Ce sont des lieux du catifs actifs et organis s autour d un projet ducatif et d un projet p dagogique lls alternent activit s collectives de loisirs ducatifs et moments de d tente m Les centres ducatifs renforc s sont des structures ducatives destin es la prise en charge des mineurs d linquants ou en situa tion de grande marginalisation qui doivent r pondre au risque de r ci dive et d incarc ration Pour en savoir Sur toutes les structures d ac cueil sp cialis es et leurs sp cificit s en mati re de public et d activit s consulter le site du minist re des Sports rubriques Statistiques et D finitions www jeunesse sports gouv fr es nouveaux march s de la sant et du bien tre DUn clairage sur les approches corps esprit On regroupe sous le nom d appro ches corps esprit des techniques et th rapies qui mettent l accent sur les interactions entre les pen s es les motions Le psychisme et le corps physique L tude de ces interac ANR tions a donn lieu une discipline qu on appelle psychoneuroimmunologie Elle explore les liens complexes entre la conscience psycho le syst me nerveux neuro et les m canismes de d fense de l organisme contre les agents infectieux et la division cellulaire aberrante immuno logie
325. ements dure de demande salari vise la cr ation n cessaires de financement et d entreprise ou un projet profes la constitution de de prise en charge sionnel totalement diff rent de son dossier du CIF l activit salari e actuelle l OPA CIF pourra demander la r alisa tion d un bilan de comp tences avant d instruire le dossier Dans la mesure o la pour le sport Jusqu au 31 d cembre 2011 la sp cificit de la branche professionnelle du sport permettait aux employeurs de cotiser en mati re de formation professionnelle plan de formation professionnalisation selon leur choix aupr s des OPCA AGEFOS PME ou UNIFORMATION La situa tion doit voluer en 2012 De plus en plus de salari s s engagent dans une formation la cr ation d entreprises Leur int r t c est de mettre Le candidat la cr ation au contact des experts r seaux et acteurs institutionnels qui pourront demain devenir ses partenaires clairer sur la validation des au titre des cong s individuels la PRRD acquis de l exp rience VAE situation est diff rente Seul UNI FORMATION est d sign pour la collecte des trois types de cong s individuels formation CIF CDD CIF CDI CIF dirigeant b n vole mEn revanche pour la collecte L Ce dispositif est inscrit dans le livre IX du Code du travail et dans le Code de l ducation depuis la loi de modernisation sociale publi e le 17 janvier 2002 Le cong
326. emple m travail ind pendant et activit agricole m tier ind pendant du sport et activit rurale en zone de montagne m cumul de plusieurs activit s in d pendantes lib rales commer ciales artisanales agricoles m fonctionnaire d tat ou d une col lectivit locale et activit salari e m fonctionnaire d tat ou d une col lectivit locale et activit ind pen dante lib rale ne situation qui offre bien des avantages Des avantages multiples d assurer une continuit de l em ploi et une s curit de revenus d acqu rir des comp tences com pl mentaires de consolider une polyvalence de construire une trajectoire pro fessionnelle coh rente et de ne pas d pendre d un seul employeur Plusieurs situations concern es Cette situation est d autant plus recherch e par ce cr ateur qu elle r pond son caract re ind pen dant et qu elle s inscrit dans une logique conomique pertinente un ducateur sportif salari peut vouloir s parer les types d activit en formant des d butants dans un cadre associatif qui lui offre la fois le statut du salariat et les mesures fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises ge re Sur plusieurs statuts adapt s m Le moniteur de ski li par un contrat de travail un employ
327. en tres chor graphiques centres nationaux de cr ations musicales et SMAC Il est financ essentiellement par les collecti vit s territoriales et en partie par l tat Un deuxi me r seau rassemble les 22 p les cirques et rue ainsi que les 2 600 compagnies de danse et de th tre SAUT D Source Dossier sur le spectacle vivant La Sc ne d cembre 2005 m Quelques donn es par cat gories de spectacles Th tres nationaux 5 th tres 39 cen tres dramatiques nationaux et r gionaux 69 sc nes nationales 627 compagnies ind pendantes subventionn es Le th tre priv Paris 16 897 repr sentations et 3 2 millions de spectateurs 25 000 com diens Danse 4 500 intermittents et 500 per manents 69 330 spectateurs dans les centres dramatiques nationaux Cirque plus de 550 entreprises cirque sont recens es en France en 2008 dont une centaine v ritablement profession nelles drainent 10 millions de specta teurs ce qui en fait Le plus fr quent des spectacles vivants Aujourd hui il existe deux types de cirque le cirque tradi tionnel et Le cirque dit contemporain apparu dans les ann es 1970 Ce cirque est plus th tralis et souvent sans ani maux La France est pionni re dans cette nouvelle formule qui rencontre un grand succ s international Musique 437 repr sentations l Op ra de Paris 1 600 dans les 17 th tres appartenant la r union des th t
328. en lui accordant des d finitions et des priorit s dif f rentes Dans le monde Les touristes am ricains Selon le National Geographic 55 millions de voyageurs am ri cains se disent soucieux de l en vironnement et de la soci t Ces geotravellers cherchent des exp riences de voyage uniques et culturellement authentiques tout en prot geant et en pr servant le milieu cologique et culturel Parmi ces voyageurs 38 seraient pr ts payer une prime pour recourir des compagnies de voyages respectueuses de l en vironnement Les touristes canadiens Les voyageurs canadiens se disent pr ts agir personnelle ment Le tiers d entre eux modifie raient leur destination de voyage pour en choisir une qui favoriserait le tourisme durable tandis que 4 personnes sur 10 feraient appel une agence de voyages qui adh re certaines directives environne mentales Plus d un quart 28 paieraient une prime pour des vacances thiques et durables Les touristes dans le monde En avril 2007 la communaut virtuelle de voyage TripAdvisor a sond 1 000 voyageurs dans le monde 38 ont dit qu ils pre naient en consid ration le res pect de l environnement lors des voyages 38 logeaient dans un fiches Sectorielles h tel vert et 9 cherchaient sp cifiquement ces h tels De plus 34 se sont dits pr ts payer davantage pour rester dans un h tel vert Enfin 24 des r po
329. endant Au d but elle travaille seulement avec ses deux coll gues travailleurs ind pendants comme elle Elle d couvre rapidement que l activit est insuffisante pour en vivre l ann e et qu elle aura du mal trouver une activit compl men taire sur place C est donc un peu par hasard que ses choix de vie l am nent construire un parcours qui est assez embl matique de ce que l on observe dans ces secteurs d activit Pour vivre ici il faut cr er son entreprise Pour compl ter ses revenus elle s en gage en effet dans la pratique du ski de fond et devient rapidement pisteur secouriste C est Vallouise qu elle exerce cette activit compl mentaire qui lui permet de d couvrir les r gles du jeu du travail en station et de mesurer en une saison qu elle pourrait proposer des vols en biplace aux skieurs En terme d a rologie cette vall e est par ticuli rement prot g e Les ann es pr c dentes d autres travailleurs ind pendants s y sont cependant essay s sans succ s Qu cela ne tienne Delphine s engage dans cette nouvelle aventure et abandonne son emploi salari saisonnier sans remords Trajectoire SPORT NATURE ports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 93 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises D T J y vais je travaille beau Elle sent que ca va fonctionner Au d part le lancement se fait
330. engag e dans plu sieurs troupes pour des tourn es inter nationales C est Aurillac en 1981 qu elle rencon tre Laurent photographe et r gisseur Trajectoire CULTURE Laurent Berthomieux n a pas le m me parcours m me si son ind pendance le conduit tr s jeune faire des choix qui lui ressemblent Ce fils de notable cantalien a en effet une me d artiste et il assume La profession de son p re il exerce la fonction de notaire Aurillac ne l emp che pas de poursuivre son r ve Lui ce qu il aime c est travailler l ombre et la lumi re derri re son appareil photo graphique ou aux commandes des jeux d orgues sur les plateaux de spectacle Apr s des travaux de recherche sur la filiation adult rine d abord puis sur les droits d auteur et les nouvelles techno logies il int gre l tude de son p re en achetant les parts de son associ qui part la retraite Son m tier va devenir une mani re de se donner les moyens de transformer un r ve en r alit Ce qui m a toujours motiv c est l art Aujourd hui encore celui qui est connu Aurillac pour tre un notaire comp tent est un artiste gestionnaire dans l me La Manufacture c est autant son histoire que celle de son pouse mais il ne le revendique pas Je suis un accompa gnant une personne de l ombre qui tra vaille la lumi re IL n est jamais sous les feux de la rampe contrairement celle qui deviendra son pouse
331. ens financiers les contraintes inh rentes son projet de la l gislation Il ne s agit pas de le de l existence de d courager mais de contraintes l ga l aider mesurer les ex acc s la l impact de ses choix profession r gle sur la faisabilit mentation relative et la viabilit de la s curit son projet D tape 3 faire le point sur sa situation Pour passer de l id e au projet il lui faut r aliser un petit diagnostic de ses ressources personnelles et professionnelles Sa situation personnelle C libataire mari concubin ou divorc le r gime matrimonial doit tre pr cis Il permet de sensibiliser le candidat la cr a tion aux ventuelles cons quen ces de ses choix ce point prendra du sens ult rieurement selon la nature de son projet Le conjoint a t il t inform du projet Le soutient il dans sa d marche Sa participation a t elle t envisag e et dans quels domaines ou fonctions Son r seau relationnel a t il t inform et mobilis Va t il le soutenir et dans quels domaines mat riel financier commercial technique Sa situation professionnelle Salari quel est son statut Demandeur d emploi indemnis n oubliez pas de lui demander de faire un point sur ses droits ASSEDIC Son parcours professionnel Aidez le mettre en valeur avec pr cision ses savoir faire et ses connaissances en rapport avec son
332. ent la cr ation d entreprises Oo Les manifestations commerciales et autres salons en relation direc te avec le champ d int r t du can didat la cr ation peuvent l aider trouver des id es de cr ation d autant que dans ce secteur les fabricants et quipementiers sont tr s pr sents et contribuent acti vement au renouvellement des pratiques M Le marketing de l inno d CO vation est situer dans le cadre d une d mar che qui vise influencer le mar ch contrairement un marke ting de la demande qui apporte une r ponse au march Savoir d celer des opportuni t s suppose aussi d accepter les apports venant de l ext rieur les savoir faire ou les pratiques diff rentes Sur La prise en compte du d veloppement durable chez les quipementiers mLa notion de d veloppement du rable progresse au niveau du pu blic confort e par de nombreux labels garants d une d marche cologiquement et socialement correcte m Les quipementiers comme Pa tagonia avec notamment le 1 pour la plan te et Lafuma parte naire de WWF sur des produits co con us ou Eider coton quitable de Max Havelaar ont depuis long temps pris cette tendance tr s au s rieux Millet et Cousin ont lanc d s 2007 une op ration pour recy cler les vieilles cordes de monta gne transform es ensuite en cin tres eux m mes utilis s pour les v tements de la marque trouve
333. ent production audiovisuelle d gt commerce am nagement Education D Source Enqu te interne aux minist res charg s de la jeunesse et des sports 2009 Le recensement des ouvrages existants a permis de cibler prioritaire ment les r seaux d accompagnement et non les cr ateurs L enqu te men e aupr s des r seaux et acteurs en charge de l accompagnement la cr ation d entreprises a permis de d gager les points sensibles devant faire l objet d une fiche sp cifique Enfin l enqu te men e aupr s des cr ateurs a permis d ent riner le p rim tre du guide Le p rim tre Le cadre juridique et conomique LE CADRE JURIDIQUE LE CADRE CONOMIQUE Des entreprises du secteur marchand gt Micro entreprises et TPE but lucratif et non lucratif y sconomiques Des finalit s dominantes conomiques Des objectifs conomiques sociales et ou ducatives Des activit s de service Des prestations contre r mun ration Y Un c ur d activit l offre de prestations sportives ou culturelles 1 Encadrement Accompagnement 2 Organisation d v nementiels 3 Formation 4 Diffusion Ce travail a t enrichi par un comit de pilotage dont les membres ont fix le p rim tre juridique et conomique du guide es partis pris m thodologiques r dactionnels Ce sont les points sensibles du processus de cr ation recens s au ter me des enqu tes qui font l objet de
334. ent particulier afin de l immortaliser en le gravant sur DVD ou CD D Source Rebondir Les tendances Tendances g n rales Le ralentissement r cent du secteur est d abord le fait de la crise La r forme de l audiovisuel et la contraction des activi t s en g n ral ont au total conduit un ralentissement du secteur en 2009 et 2010 La tendance est la reprise g n rale Fiches Pro CULTURE Le CNC consid re que les commandes en provenance des cha nes ont diminu Comme le souligne cependant l institut Xerfi en d pit de la morosit publici taire un grand nombre de soci t s de production se sont lanc es avec d ailleurs un certain succ s leur recette un posi tionnement sur les univers parall les de la publicit et du clip musical l ambition de produire moins mais mieux a Les m tiers qui montent Trois m tiers se distinguent lhomme orchestre charg de len semble de la communication d une entreprise sur supports vari s vid o CD ROM conception publicitaire outils multim dias le conseil et formateur ext rieur sur ces nouveaux outils technologiques l ind pendant qui manie la vid o occu pe les cr neaux du mariage des films sportifs ou des spectacles pour enfants m Tendances sectorielles La production de programmes est en expansion la plupart des soci t s se positionnent sur les secteurs tant du num rique que du multim dia D So
335. entes certains sont de nature marchande d autres de nature non marchande des organisations variant selon les traditions historiques g ogra phiques et culturelles ainsi qu en PORTRAIT de TERRITOIRE Impossible de recenser tous les appuis et aides mis en uvre par les collectivit s pour favoriser l installation des cr ateurs vis s par ce guide l instar des squats d artistes devenus nouveaux territoires de l art fabriques ou Lieux interm diaires ras semblant musiciens plasticiens vid astes artistes de rue etc comme La Malterie Lille ou Mix Art Myris Toulouse Montpellier une p pini re d di e au sport est en gestation En r gion PACA les cr ateurs sont accompagn s dans les p les r gionaux d innovation et de d velop pement conomique solidaire PRIDE Arles c est le cas pour les industries cul turelles num riques audiovisuelles et le cin ma Marseille les secteurs concern s sont le cin ma l audiovisuel l animation Le jeu vid o le multim dia l dition ladistributionetla diffusion de programmes fonction des caract ristiques de l activit concern e Certains services d int r t g n ral sont exclure du champ d appli cation des r gles de concurrence tels que la sant et l ducation le logement social mais aussi les services d int r t g n ral visant maintenir ou accro tre le plu ralisme de l informati
336. entreprise peut et doit la fois poursuivre des objec tifs sociaux et environnementaux tout en d gageant des b n fices Que les projets conomiques soient au service d un int r t collectif ou d une finalit sociale qu ils privil gient le service rendu la collectivit plut t que le pro fit individuel qu ils instaurent une solidarit entre les g n rations entre les pays en apportant du lien social ils se doivent d tre conomiquement viables L conomie sociale et solidaire a port un mouvement pr nant une autre mani re de consommer de travailler et d entreprendre Ce mouvement a suscit de nom breux d bats dont celui de La place 3 L tude de march La culture conomique de ce can didat est faible Pour autant sa connaissance des march s et de ses client les est loin d tre n gligeable il volue souvent dans ces sec teurs depuis de nombreuses ann es sa culture de r seau est forte ses nombreux voyages en France et l tranger repr sentent des opportunit s qu il sait saisir pour b tir des projets avant gardistes IL faut par ailleurs rappeler que la refonte des dipl mes du minist re des Sports ainsi que la mont e en puissance d une offre de for mation dans les universit s ont de l entreprise dans la soci t largement contribu R aliser une tude Avec la crise ce mouvement d velopper une de march est La r ussite s est renforc
337. er volet de l activit est donc la r alisation d uvres audiovisuelles et Le second la commercialisation des droits de diffusion avec la vente de droits m Les entreprises de production de com mande r alisent des films institutionnels ou publicitaires Ces activit s regroupent un grand nombre de petites entrepri ses dont la production moyenne est de 600 000 Les 25 plus grandes entre prises ne r alisent qu un tiers du CA du secteur m Le diffuseur est un diteur de pro gramme par exemple une cha ne de t l vision Le distributeur est une soci t qui ac qui re des droits d exploitation des films aupr s des producteurs pour les reven dre par la suite Le distributeur apporte un minimum garanti au producteur et la revente du programme reverse au producteur une partie de la vente apr s avoir r cup r son minimum garanti Le march est tr s atomis les contrats volatiles et Les structures l g res fai ble capitalisation ne facilitent pas les concentrations Le secteur des prestations techniques compte comme le pr c dent un nom bre important de petites entreprises Il est galement peu concentr M Une participation en coproduc d savil tion donne son titulaire un droit de propri t sur l uvre qu il partage ventuellement avec les autres coproducteurs Un pr achat ou une pr vente ne conf re son b n fi ciaire que des droits de diffusion limit s dans le temp
338. era les termes de la probl matique laquelle il est confron t puis il choisira ses champs d intervention prioritaires en vue de r soudre les probl mes identi fi s ce sont ses axes strat giques Ceux ci seront ensuite d clin s en objectifs op rationnels COMMENT FAIRE pour choisir les bons indicateurs 1 Rechercher des indicateurs perti nents peu nombreux ais ment calcu lables et significatifs quant leur por t e explicative m La circulaire du 28 12 1998 relative aux politiques publiques d valuation privil gie les valuations visant r pondre des questions claires per mettant d aboutir dans des d lais brefs des r ponses pr cises susceptibles de conduire des d cisions op ration nelles D Source www ladocumentationfrancaise fr 2 Ne pas perdre de vue tous les aspects du projet m Co t ce qui est n cessaire la r a lisation du projet y compris la mise disposition de mat riel de ressources humaines m Temps ne pas oublier que la mesure du temps des politiques europ ennes n est pas toujours celle des partenaires du projet et a fortiori celle du cr ateur m Qualit niveau de qualit per u par le client b n ficiaire interne ou externe exprim en termes compr hensibles et mesurables par exemple m R sultats attendus m thodes rete nues dont l application est envisa g e ainsi l impact pr visionnel de ces m thode
339. erne 300 entreprises de la fili re image www lepole org m Les relations publiques dans ce milieu sont capitales tout le monde se conna t et se retrouve aux m mes festivals ou v nements IL faut consacrer une bonne partie de son temps obtenir des rendez vous et donc le sens de la n gociation et du contact est capital y compris l tranger ainsi que le temps pass s informer sur ce qui est tendance Fiches Pro CULTURE pr senter un catalogue d s que pos sible faire tourner les films d j produits est l objectif atteindre se diversifier organisation d v ne ments production dans plusieurs sec teurs produits d riv s tre polyvalent savoir couvrir un v nement louer du mat riel ou faire partie d un club s associer une activit un mouve ment ou un sport qui monte dans le milieu de la TV Il faut avoir ses entr es car les relations personnelles pr valent enfin il faut savoir ne pas compter son temps Pour en savoir D couvrir une galerie de portraits sur www uspa fr Statuts SA SARL Entreprise individuelle EURL GIE Dans la pratique on rencontre beaucoup de SA et de SARL et de com mer ants quand il s agit d une soci t de production audiovisuelle Le commer ant ind pendant et le g rant majoritaire de la SARL entrent dans la cat go rie des non salari s et doivent tre affi
340. ers D Source www sportsdenature gouv fr Quelques conseils pratiques De nombreux facteurs interviennent lors de la cr ation d un parc disponibi lit du foncier utilisations d infrastruc tures existantes parking b timents d accueil IL semble cependant que le seuil de 100 000 euros corresponde l investis sement minimal n cessaire pour l ins tallation d un parc de plus 50 ateliers parc qui accueille g n ralement plus de 4 000 visiteurs par an e cr ateur et Les r gles de la profession Les essentiels pour exercer dans Les PAH m Depuis 2001 instruction n 01 145 du 1er Ao t 2001 le minist re charg des sports g re l activit par voie d instruc tions successives dans lesquelles sont d finies sp cialement les normes d en cadrement et Les personnes habilit es encadrer titres ou dipl mes m Les instructions distinguent deux types de pratiques une pratique autonome sous simple surveillance et cadr e par des recommandations du personnel et une pratique encadr e dans certains types de parcours et dans tous les cas pour le public relevant du secteur jeu nesse centre de vacances et de loisirs Fiches Pro SPORT NATURE N M Depuis f vrier 2007 il existe un AMAR CaP Certificat de qualification professionnelle op rateur PAH Les titulaires de cette qualification agissent en surveillance des pratiquants autonomes et peuvent intervenir en cas de probl me
341. ertains parcours sou vent install s par des collectivit s ou des associations pour offrir un compl ment d activit dans une station de ski ou sur une base de loisirs font l objet de ferme tures temporaires voire d finitives La fr quentation La fr quentation des parcours acro batiques en hauteur est en constante augmentation ces derni res ann es La cr ation de nouveaux parcs s est faite sous l impulsion de nouveaux prati quants et ou l augmentation du nombre de journ es de pratique par individu Une tr s forte disparit de fr quentation appara t cependant compte tenu de la taille des parcs et des formes de prati que propos es Fr quentations annuelles des PAH Fr quentation moyenne annuelle par PAH 2001 2002 2003 2004 2005 parcs parcs parcs parcs parcs Les client les m Aujourd hui la r partition enfants adultes tend s quilibrer m me si peu de parcs re oivent autant d enfants que d adultes m Certains parcs pr sentent une conno tation enfants ou une connotation adultes plus ou moins affirm e Ceux qui comptent plus de 60 d enfants dans leur part de client le environ la moiti d entre eux affichent une fr quentation moyenne annuelle moindre 8 000 entr es an que les parcs con notation adulte 11 000 entr es an Ils sont galement de taille plus modeste la moyenne des ateliers install s tant de 63 contre 109 pour les autres tude de m
342. es est l lls partent sur un projet d accro branche Royan qui ne voit pas le jour Mais quand Fred lui dit on va faire les bateliers du viaduc en r f rence aux historiques bate liers de la Mal ne dans les gorges du Tarn et au tout nouveau viaduc de Millau il ne r fl chit pas et fonce Pour tenir le coup financi rement il pas se un hiver dans une entreprise locale de fabrication de mobile homes par ce que c est pas un probl me d tre d couvert au niveau de l entreprise mais personnellement c est impossible Le monde de l entreprise quand tu Aujourd hui leur nouvelle entreprise vient compl ter opportun ment l offre Trajectoire SPORT NATURE es salari c est dur ports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O sport nature sud aveyronnaise en offrant des descentes du Tarn en cano en kayac ou en barque Le positionne ment est saisonnier et l offre s adresse en priorit aux familles et au troisi me ge En 2011 Les Bateliers du Viaduc se pr parent Le point facile dans franchir l entreprise c est le choix un nouveau de l activit le march cap Ils ont en Le point sensible c est effet adh r le sens qu on donne ce EVOLUTION qu on fait et la direction 2 une f d ra que l on prend tion d entre prises fran aises fortement p
343. es uvres de l esprit par un enrichissement de l tat de la technique une inno vation cas des inventions par un investissement cas des bases de donn es ou encore parce qu il contribue au bon fonctionnement du commerce et de La concurrence cas des signes distinctifs Le droit de la propri t intel lectuelle est organis en deux grandes branches la propri t litt raire et artistique ou droit d auteur d une part la propri t industrielle d autre part Ces deux grandes branches comportent elles m mes des ramifications sur la propri t lit t raire et artistique ou droit d auteur Elle recouvre m Le droit d auteur proprement dit en vertu duquel un droit exclusif est accord aux auteurs d uvres de l esprit originales m Le droit des producteurs de bases de donn es en vertu duquel celui qui prend l initiative et Le risque des investissements li s une base de donn es b n ficie du droit d auto riser et d interdire certains actes sur sa base m Les droits voisins qui incluent le droit des artistes interpr tes et le droit des producteurs de phono grammes vid ogrammes et entre prises audiovisuelles D Source www industrie gouv fr ans le sport l innovation est omnipr sente Elle concerne tout la fois les pratiques les produits et les services dont l volution d pend la fois des technologies nouvelles et des volutions soci tales L innovation est soute
344. es dramatiques lyriques chor graphiques vari t s et musiciens et pr cise le montant des indemnit s journali res de d placement Elle ne couvre pas les personnels techniques et administratifs Pour en savoir wwvw spectacle snes org ou sur www legifrance gouv fr m La Convention collective du spectacle vivant priv Les entreprises du secteur priv sont des entreprises ou des associations de droit priv ind pendantes de la puis sance publique tat et ou collectivit s territoriales en mati re d orientations artistiques p dagogiques sociales actions vis vis de publics cibl s terri toriales ou culturelles Elles peuvent b n ficier de conven tions pluriannuelles de financement de la part de l tat et ou des collectivit s territoriales sachant que les entrepri ses ou les associations b n ficiaires de ces conventions pluriannuelles restent globalement ind pendantes de la puis sance publique dans leur fonctionne ment que ce soit sur Le plan conomique ou en mati re d orientations artistiques p dagogiques sociales territoriales ou culturelles D Source www spectacle snes org mLa Convention Chanson vari t s jazz musiques actuelles Cette convention r gle les rapports entre tous les salari s administratif artistique accueil et technique des entreprises commerciales ou asso ciatives du secteur priv des specta cles vivants chanson vari t s jazz
345. es en remontant de la plus ancienne la plus r cente www apce com Source D cret n 2011 159 du 9 f vrier 2011 Journal officiel du 10 f vrier 2011 p 2579 www legifrance gouv fr fiches Sectorielles Des territoires s impliquent Certaines collectivit s mettent en place un dispositif d accompagne ment pour s curiser le parcours des auto entrepreneurs C est le cas de la ville de Tr laz qui a mis en place un dispositif d accompagnement la cr ation de micro entreprises Elle a d cid de cr er une aide aux futurs entrepreneurs d un montant total de 1000 destin e principale ment aux auto entrepreneurs Apr s avoir t re u par la ville et suivi une formation sur le r gime de l auto entrepreneur et les prin cipes comptables l entrepreneur recevra une premi re somme de 450 vers e par le Centre com munal d action sociale CCAS Six mois apr s un premier bilan sera tabli puis un deuxi me au bout d un an Une fois la r alit de l activit constat e la ville d blo quera le versement des 250 res tants Ce dispositif vise am lio rer l orientation de l entrepreneur ses connaissances en gestion de l entreprise et le financement de son projet 5 Source APCE Communiqu du 01 03 2010 Int r t et limites Ce statut permet de nombreux nouveaux entrepreneurs de se lancer dans une activit nou velle ou sous un statut nouvea
346. es Pro SPORT NATURE Les diff rents ateliers sont sans cesse renouvel s Apr s les ponts de singe sauts de Tarzan mont es et descentes sur chelles ou filets travers es sur des rondins des poutres des triers dans des tonneaux la tyrolienne est devenue l attraction majeure d un parc L essentiel des formes de progression en vigueur sont h rit es de la sp l ologie de l escalade et de l alpinisme Le pratiquant volue en assurant lui m me sa s curit au moyen d un qui pement de protection individuel reli une ligne de vie install e sur son par cours DLes diff rentes formes de pratique aLe parcours acrobatique en hauteur avec ses ateliers fixes permet une pra tique en autonomie sous la surveillance de personnels qualifi s m Certains parcs proposent exclusive ment une pratique encadr e alors que d autres laissent le choix leur clien t le de pratiquer en autonomie ou d tre accompagn e par un personnel d enca drement MA Dans 85 des parcs l activit d Savoir est effectu e en autonomie par le pratiquant m Apr s avoir fourni les quipements de protection individuelle aux pratiquants baudrier harnais casque longes un op rateur donne les consignes de s cu rit montre le maniement du mat riel les gestes de base en mati re d auto assurage ainsi que les techniques pro pres aux diff rents types d ateliers Le pratiquant s engage sur un parcours
347. es activit s culturelles ou r cr atives et de loisirs ne repr sentent que 4 3 des effectifs des associations en 2009 l volution de leur masse salariale sur les 11 derni res ann es est parmi les plus importantes observ es dans le monde associatif 80 7 Leur progression dans le champ de la cr ation d entreprises Les analyses de l INSEE observent l volution des activit s que le code NAF r v 1 2008 recense essentiellement dans les divisions 90 et 92 Sur la p riode d octobre 2009 janvier 2010 les arts spectacles et activit s r cr atives ont repr sent 3 des cr ations d entreprises r parties de la fa on suivante m 55 dans les activit s cr atives artistiques et de spectacles dont un tiers dans les activit s de cr ation artistique peintres sculpteurs crivains journalistes compositeurs m 33 dans les activit s r cr atives et de Loisirs centres de culture physique gestion d installations sportives exploitation de clubs de sports guides de montagne sportifs professionnels curies de che vaux de course m 11 dans les activit s r cr atives et de Loisirs parcs d attractions parcs th mes parcs de loisirs activit s de plages discoth ques location d quipements de loisirs 8 Leur poids dans Le champ de l conomie sociale et solidaire Dans le champ de l conomie sociale et solidaire les activit s entrant dans le champ culture et audiovisuel
348. es associ s ext rieurs peuvent aussi investir en titres participatifs qui ne leur donnent pas de Le nouveau statut droit de vote mais d auto entrepreneur leur attribuent une s impose dans tous r mun ration plus les secteurs forte compos e d activit d une partie fixe et d un compl ment variable d autant plus lev que les r sultats de len treprise sont bons Sa simplicit de mise en uvre ne doit pas cependant exon rer le cr ateur d une r flexion sur sa pertinence Le poids de l argumentaire La SCIC Pas facile mais pas impossible de d montrer le caract re d uti lit sociale d un projet d entre prise indispensable pour cr er une SCIC Pour convaincre de l utilit sociale d une SCIC sport on peut faire r f rence aux textes r gissant la vie sportive ou la vie sociale et locale qui sont nombreux La loi sur le sport rappelle l int r t de la pratique sportive notam ment dans ses aspects ducatifs No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises On peut mesurer facilement un nombre de pi ces produites par ouvrier et par jour mais com ment mesurer la capacit d agir face des situations relationnelles comment mesurer la capacit de b tir des coop rations pertinentes la performance est devenue une notion composite qui comporte de multiples dimension
349. es d emploi et de non emploi une plu ralit d employeurs voire des emplois itin rants Comme pr cis plus haut les artistes sont pr sum s tre salari s et non pas ind pendants Pour en savoir Se r f rer la fiche consacr e au statut d intermittent du spectacle situ e en tapel x M Les artistes ne peuvent pas d savil tre auto entrepreneurs pour ce m tier du fait de la pr somption de salariat m Les prestataires techniques Les prestataires techniques peuvent s occuper des r gies techniques des lumi res du son Il existe un label prestataire de servi ces du spectacle vivant priv et payant mais n cessaire pour pouvoir embau cher des techniciens cotisant au titre de l annexe VIII de l assurance ch mage dits intermittents Ce label est attribu par la Commission nationale du label www labelspectacle org Celle ci proc de notamment un exa men attentif des capacit s de l entre prise respecter l ensemble de ses Fiches Pro CULTURE Cao Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 30 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises obligations au regard du droit du travail des cotisations sociales des assuran ces des qualifications et habilitations des personnels ainsi que du respect des normes techniques de contr le d entretien et de s curit aLe manager artistique ou l agent artistique L ac
350. es de l association administratif v rification du bon emploi de la subvention ou juri dictionnel en cas de gestion de fait de fonds publics notamment IL appartient l association de d terminer quel financeur public elle va demander une subvention en fonction de son projet local d partemental national de son objet social de la politique de subventionnement des diff rents services administratifs N La demande peut tre AMIE faite en ligne mais elle n cessite la possession pr alable d un num ro SIRET Elle facilite la d marche et all ge les formalit s en diminuant les pi ces justificatives fournir Pour en savoir T l charger le formulaire CERFA n 12156 03 sur le site www formulaires modernisa tion gouv fr fiches Sectorielles Les conventions confient d une mani re g n rale ou particuli re une mission une association fixent le montant du concours de l organisme public et en d termi nent les modalit s En ce cas le r gime juridique et financier des subventions devrait s appliquer quelle que soit la d nomination du concours financier accord Vers une simplification des d marches Suite la deuxi me conf rence de la vie associative CVA qui s est tenue le 17 d cembre 2009 la circulaire du 18 janvier 2010 con tribue la clarification la sim plification et la s curisation des relations notamment financi res entre pouvo
351. es handi cap es C est aussi un lieu d tude de conseil et d expertise La dispo sition des acteurs et r f rents du mouvement sportif en France et de tout organisme qui le sollicite Le p le h berge un centre de docu mentation qui rassemble toute l in formation sur les diff rentes prati ques sportives adapt es tous les types de handicaps Il mutualise et capitalise exp riences et actions innovantes Pour en savoir Consulter le site du p le ressour ces national Sport et handicaps wwvw prn sporthandicaps fr fiches Sectorielles Dipl mes sportifs et r glementation Pour encadrer contre r mun ration les activit s physiques et sportives aupr s des personnes en situation de handicap le Code du sport impose une obligation de qualification En effet l article L 212 1 du Code du sport d termine que Seuls peuvent contre r mun ration enseigner animer ou encadrer une activit physique ou sportive ou entra ner ses pratiquants titre d occupation principale ou secondaire de facon habituelle saisonni re ou occasionnelle les titulaires d un dipl me titre finalit professionnelle ou certifi cation de qualification 1 garantissant la comp tence de son titulaire en mati re de s cu rit des pratiquants et des tiers dans l activit consid r e 2 et enregistr au r pertoire national des certifications profes sionnelles
352. es innovations qui sem blent parfois aller l encontre des grandes tendances du march l inverse on peut facilement d celer dans ce secteur l ouver ture d esprit qui qualifie souvent des chefs d entreprise l aff t de tout ce qui pourrait leur permettre de se d marquer ou de renforcer la coh rence entre leur activit de chef d entreprise et leurs choix de vie personnels Panorama des qualit s requises pour innover qui fleurissent dans le secteur des sports et loisirs de nature Sur la marche nordique Cette nouvelle activit mi chemin entre la mise en forme et la randonn e cible de nouveaux pratiquants issus de la gym du fitness et du running Elle apporte une r ponse la d saf fection relative pour la pratique de la randonn e sous certaines for mes et elle permet aux adeptes de fitness de faire une s ance en plein air initi e au d but des ann es 1990 par un moniteur de remise en forme finlandais l activit a t market e en Scandinavie par le fabricant de b tons Exel sous le nom de Nordic walking Les fabricants de chaussures de run ning comme New Balance Asics ou Salomon ont rapidement contribu asseoir cette nouvelle tendance leurs mod les de walking sont aujourd hui pr sent s au Salon de la randonn e Aujourd hui ils par ticipent leur tour l installation de la derni re tendance la rando rapide dite fast hiking DUne c
353. es insti tutions en charge des activit s f d rations d l gataires syndi cats professionnels L encadrement r mun r est sou mis la possession d un dipl me d tat d livr dans le cadre d une formation coordonn e par les services du ministre charg des sports et assur e par ses tablis sements publics Les conditions d acc s ces dipl mes par la Validation des acquis de l exp rience VAE sont aussi soumises un cadre r glemen taire particulier Cf art L 212 2 C sport Sur les activit s en environnement sp cifique Le canyonisme le para chutisme le ski l alpinisme et ses activit s assimil es la sp l ologie le surf de mer le vol libre l ex ception de l activit de cerf volant acrobatique et de combat Dans certaines conditions de prati que la plong e en scaphandre en tous lieux et en apn e en milieu naturel et en fosse de plong e le cano kayak et ses disciplines as soci es au del de la classe 3 la voile au del de 200 miles nauti ques d un abri Cf art R 212 7 C sport les dipl mes et titres permet tant l encadrement professionnel r mun r des activit s Pour en savoir Consulter le site du P le ressources national sports de nature www sportsdenature gouv fr L environnement sp cifique Plusieurs textes l gislatifs et r glementaires r gissent l enca drement d activit s en environne
354. es permettent de renforcer les connaissances utiles pour accompagner les cr ateurs dans ces secteurs Les fiches pratiques proposent des outils et des ressources pour am liorer l accompagnement des cr ateurs chacune des tapes de leur parcours Elles sont compl t es par des conseils pratiques rep rables par leur couleur et la place qu ils occupent dans le texte fiches Projets fiches Sectorelles fiches Pratiques Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Trajectoire SPORT Trajectoire SPORT NATURE Fiche Pro CULTURE S L es fiches trajectoires et les fiches professionnelles Les fiches trajectoires mettent en exergue le parcours embl ma tique de neuf cr ateurs Les onglets situ s en bas de page permettent de rep rer la nature des activit s propos es par leur entreprise elles sont intercal es entre les tapes Les fiches professionnelles situ es la fin du guide recensent l essentiel des savoirs r f rences et ressources disponibles sur un certain nombre d activit s L es diff rentes rubriques Plusieurs rubriques maillent la lecture du guide Elles ont pour vocation de faciliter la lecture des fiches en rassemblant des informa tions de m me nature La rubrique Focus illustre le propos de la fiche dans les secteurs vis s par le guide i La rubrique savoir concerne un point conomique juridi d CO que ou fiscal qui m rite une at
355. essionnelle aurait pu se faire dans la grande distribution loin de la montagne si un jour ils n avaient pas t catapult s sur la commune d Antony en r gion parisienne pour reprendre un magasin qui ne fonctionnait plus du tout On est au d but des ann es 1990 et ils ont abandonn la monta gne depuis quelques ann es Parce que je suis trop libre et parce que je ne voulais pas travailler toute ma vie pour les autres Est ce parce que ses parents sont artisans cordonniers que la r ussite financi re et professionnelle est impor tante pour G rard Aujourd hui encore il ne le sait pas vrai ment mais ce qui est certain c est qu il veut gagner sa vie confortablement depuis longtemps d j et qu il a h rit du bon sens paysan que lui a transmis son p re La grande distribution me passionne ca bouge toujours et dans les ann es 80 c est la bonne poque Le supermarch est repris gr ce au par rainage de son ami Jean Pierre Mais avec un d ficit sup rieur 20 millions de francs ils d cident d un commun accord Ce qui a fait basculer de jeter l pon notre d cision de partir ge La n go dans la grande ciation de leur distribution c tait d part leur per parce qu on avait met d acheter confiance mais aussi une maison en parce que c tait r gion parisien important de gagner ne et de pren notre vie dre le temps de la r flexion sur le
356. estionnaire Analyser les gt r ponses des entretiens qui accompagnent les cr ateurs d entreprise Le sch ma qui suit rassem l essentiel de l information transmise N h sitez pas inviter votre candidat la cr ation rencontrer ceux qui dans son entourage ont d j plong tout en l invitant ne pas prendre leur t moigna ge pour argent comptant et n oubliez pas que les exp riences de terrain sont le meilleur moyen de tester la th orie Source Esther Duflo 8 01 2009 www college de france fr Une tude de march n est pas si facile r aliser Pourtant votre candidat est invit la faire par ses propres moyens Une bonne facon d organiser son futur travail de veille et de constituer ou de renforcer son r seau CRE Et pour un candidat la cr ation innovant Les r gles de base d autres personnes Un projet d marre toujours par une id e Le premier conseil lui don ner est de v rifier si son id e de projet n est pas sur Internet IL doit ensuite pouvoir l expliquer C est son histoire qu il va falloir formuler de la facon la plus sim ple avant de pouvoir l valuer avec les moyens du bord fiches Pratiques a Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles Les classes HUMAIN dites d adoption Elles se succ dent dans le temps Rogers 1983 les innovateurs les 2 5 pre miers acheteurs
357. et de l APCE fiches Pratiques our convaincre des financeurs ou des partenaires il faut pouvoir s appuyer sur un dossier solide G n ralement appel business plan business plan social BPS ou plan d affaire ce document sert rendre compte du projet de cr ation et de ses perspectives Tous les op rateurs de l accompagnement la cr ation d entreprise s appuient sur des mod les qui leur sont propres mais certains points doivent tre invariablement abord s Rappel de ce qu il faut mentionner et de La facon dont il faut s y prendre eeeee CONVAINCRE PARTENAIRES ET FINANCEURS L essentiel de ce qu il faut savoir sur La d marche ce stade si les phases pr c dentes ont t franchies correc tement le cr ateur dispose de la mati re n cessaire la formali sation de son dossier final Encore faut il le mettre en forme et bien le d fendre pour r ussir mobili ser partenaires et financeurs D quoi sert un business plan Quel que soit le type de finance ment recherch l investisseur auquel le cr ateur s adressera lui demandera de lui faire parvenir un dossier appel business plan ou plan d affaire C est le docu ment de r f rence qui lui permet tra d avoir une id e juste du projet qui lui est propos et c est par tir de l qu il d cidera d aller plus loin ou pas Celui ci sera gale ment utilis pour lever une dette ou n gocier des facilit s de caisse avec un
358. et le travail en quipe Une tendance sur laquelle petites et grandes entreprises ont su sur fer ces derni res ann es DLe tourisme de bien tre une tendance qui s affirme Les lieux de pratiques sportives et de d tente pour les salari s sont concurrenc s par les s jours bien tre propos s non seu lement par les leaders du voyage en ligne lotusjourneys com par exemple mais aussi par des h bergements en milieu rural de type g tes ou chambres d h tes qui proposent parfois des s jours de remise en forme ou couplent leurs prestations d une offre de randonn e ou de yoga ou par les offices de tourisme comme celui de La Clusaz qui propose des rando hammam ou des rando yoga Cette tendance a t ren forc e par l explosion des coffrets cadeaux T moin aussi de la bonne sant du secteur l essor des stations thermales qui accueillent chaque ann e 550 000 curistes dont la moiti en provenance de l le de France et des centres de beaut les spas urbains ou provin ciaux il se vend entre 1 500 et 3 000 unit s par an de spas sans parler de la thalassoth rapie avec 350 000 curistes en moyenne par an Pour en savoir BUn dossier documentaire de Rh ne Alpes Tourisme donne une liste exhaustive des r f rences concernant ce march www rhonealpes tourisme fr fiches Sectorielles __ Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles gt
359. eur une association par exemple peut exercer parall le ment une activit de guide de haute montagne sous statut d ind pen dant m Un professeur d art martial peut la fois exercer son activit comme professionnel lib ral tout en tant salari par une association m Un ducateur sportif de patinage sur glace embauch par un club comme salari pourra d velopper des activit s ind pendantes ou cr er une soci t pour organiser des stages de perfectionnement en dehors de la saison sportive l t dans cette discipline de soutien f d ral En revanche il peut souhaiter lui ou l associa tion organiser l entra nement des athl tes de haut niveau ou les cours donn s certains publics comme les adul tes selon un mode de prestation de services un ducateur sportif peut vou loir d velopper plusieurs activit s qui n ont aucun lien entre elles activit param dicale comme la kin sith rapie de son c t l employeur peut trouver un int r t ce que son salari cumule plusieurs activit s lorsque lui m me ne peut propo ser qu un faible nombre d heures de travail ou une r mun ration insuffisante uelques difficult s en perspective La pluriactivit tant complexe g rer ilconvient d s cette tape de faire prendre conscience de cette difficult au candidat la cr ation DEn mati re comptable et fiscale il devra tenir une comptabilit pour chaque
360. eurs produits ou diff rentes pres tations il doit comprendre comment se d compose le chiffre d affaires pr vi sionnel par sous activit ou par produit 5 Que faire financer et par qui La palette des financeurs est tr s riche et diverse selon les publics jeunes demandeurs d emploi femmes etc les territoires et les types de projets et l on peut dire que le cofinancement des projets est devenu la r gle Mais s il existe une source pour tout besoin de financement encore faut il savoir qui s adresser pour quoi et comment arti culer les diff rents financements Les banques titre d exemple pr f rent financer les investissements mat riels qu elles pourront r cup rer en cas de d faillance de l entreprise et le pr t la cr ation d entreprise PCE sert couvrir le besoin en fonds de roulement 6 Quel b n fice sera tir de l interven tion du capital investisseur Comment sera utilis Le financement et avec quels b n fices pour l investisseur L investisseur s attend ce que son intervention permette une augmentation du chiffre d affaires et a minima un bon retour sur investissement ou une forte contribution aux fins et valeurs qu il affiche 7 Quelle est la perspective de sortie pour l investisseur L entreprise pourra t elle au terme de l investissement fusionner tre acquise ou les cr ateurs voudront ils racheter la participation de l investisseur 8 Quel est Le sc n
361. eurs sont reconnus par la loi loi n 99 198 du 18 mars 1999 L ar ticle L 7122 19 du Code du travail a introduit la possibilit pour les Pourensavoir en savoir BLe statut des amateurs dix questions pour tre en r gle www crd irma asso fr B Amateur quel boulot Luc Le Chatelier Emmanuelle Bou chez T l rama n 3084 du 21 f vrier 2009 groupements d artistes amateurs faisant occasionnellement appel un ou plusieurs artistes du spec tacle percevant une r mun ra tion d exercer occasionnellement l activit d entrepreneur de spec tacles sans tre titulaires d une licence dans la limite d un plafond annuel de six repr sentations W Source www legiculture fr Cette fiche a t essentiellement r alis e sur la base des informations diffus es sur le site du minist re de la Culture et de la Communication fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles de Z5 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises x ND ne volution rapide des valeurs des modes de vie et de La consom mation conjugu e une banalisation du voyage et La progression constante des technologies de la communication caract rise notre poque Ces tendances favorisent l innovation sur laquelle s appuie sou vent ce candidat la cr ation Point sur quelques r f rences qu il faut garder l esprit et
362. eux de musiques ampli fi es actuelles Cr e en 1994 elle rassemble plus de 70 lieux sur le territoire Le principal objectif de La F durok est de produire de l analyse et de l expertise via un travail de veille et d observation tout en accom pagnant les structures adh rentes dans leur d veloppement sp cifique Pour en savoir wwvw lafedurok org infofdlafedurok org T 02 40 48 08 85 F d ration des sc nes de jazz et de musiques improvis es FSJ Cr e en 1996 elle regroupe une tren taine de salles sp cialis es dans la diffusion de l esth tique jazz Pour en savoir www scenes jazz com f francisldscenes jazz com T 02 47 05 26 36 SMA Syndicat des petites et moyennes struc tures non lucratives de musiques actuelles Ces deux f d rations ont fond en 2005 le Syndicat des petites et moyennes structures non lucratives de musiques actuelles SMA Le SMA s adresse toutes les structures de droit priv sans finalit lucrative de petite et de moyenne taille se reconnaissant dans ce champ interm diaire et alternatif et dont la ou les activit s consistent diffuser des uvres et ou accompagner les pratiques et ou soutenir la cr ation et ou former les praticiens dans le secteur du spectacle vivant des musi ques actuelles ILa vocation repr senter ces structures dans les instances paritaires conven tions collectives fo
363. eveloppement du en 9 d fis strat giques coh rents rable gouv fr fiches Sectorielles gouv fr __ Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles ES No NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises n vocable et des concepts qu il u vaut mieux conna tre La prise en compte du d veloppe ment durable dans la fili re tou ristique s acc l re Tous les op rateurs du tourisme organismes d accueil commer ces de souvenirs et d artisanat agences de voyages entreprises de transports voyagistes guides touristiques etc sont concern s par cette tendance qui est en train de s installer La mise en place de labels normes ou d marches de r seaux cens s garantir aux consommateurs des produits touristiques conformes leurs attentes accompagne cette volution Tourisme solidaire thique qui table responsable durable co logique autant de fa ons de d finir un autre voyage plus res pectueux des populations locales de leur environnement autant de termes employ s pour lesquels une clarification s impose Concernant les volu AMIE tions sur les m tiers le comit de fili re Tou risme associ au Plan de mobi lisation nationale sur les m tiers li s la croissance verte s est prononc en plusieurs points On peut y lire Il n y a pas de m tier qui ne soit pas modifi dans ses gestes ou comportements professionnels par le
364. favo orange fr de p che SNAPEC Escalade Canyon Bertrand LAGRANGE lagrange38 gmail com SNBECKDA Cano kayak Didier MASSOT didiermassot dorange fr SNESN Ski nautique Marc GRILLI marc grilliwanadoo fr Isabelle SNGEA Grimpe d arbres SCHUHMACHER isa schuhmacherf gmail com SNGM Guidede Denis CRABIERES d crabieres sngm com haute montagne SNMCF Cyclisme VTT Guillaume CAMPREDON guillaume moniteurcycliste com SNMSF Surf ric GARRY garryericefdaol com SNMVL Vol libre Herv HUCHEDE snmvl wanadoo fr SNPG Golf Yves BECHU y bechuf pgafrance org z SNPSC Sp l ologie Canyon Martinho RODRIGUES martinho rodriguesforange fr snumns M Jo l FRICAUD joel fricaud free fr et du sport 3 SPEV Voile Samson IMACHE samsonimacheldyahoo fr S RS Parachutisme Bernard COSTANTINI bernard sppsonline free fr z SYNAPCCA Mushers Philippe DURDILLY synapccaldaliceadsl fr z UPTEC Chasse ric PUJOL epujolf uptec fr com S USPAK Pilotage auto Patrice LETORT uspakinfofaol com UNSA Con derenen Dominique QUIRION dquirion unsa org syndicale Quelques r seaux d aide la cr ation d activit salari e ou entre preneuriale mle groupement national profession sport et loisirs a pour vocation de sou tenir de promouvoir et de p renniser l emploi qualifi dans les m tiers du sport et de l animation notamment par la mutualisation des moyens et des res sources humaines a Le Dispositif local d accompagnement DLA est un dispositif
365. ffusion sont nombreux TNT Web Web TV DVD TV Peer to Peer Des soci t s se sont ainsi sp cialis es dans la communication B to B au moyen de technologies propres simplifier la communication les changes entre sa lari s des entreprises pour collaborer distance sur des projets communs pour optimiser les temps de r union La communication sert aussi aupr s des clients prospects et journalistes visioconf rence HD t l pr sencel audioconf rence tableau interactif pr sentation interactive bilan financier lancement de produit T l vision La production et la diffusion de fictions fran aises sont tr s inf rieures celles d autres pays europ ens et elles conti nuent r guli rement diminuer 5 Source Rapport Hadas Lebel sur la rediffusion des fictions fran aises sur les cha nes de t l vi sion juin 2006 t l charger sur www cnc fr M Command s par les agences AMIE de publicit les spots publi citaires sont r alis s par une trentaine de producteurs sp cialis s Ces soci t s productrices souffrent de la concurrence trang re notamment an glaise et Les spots sont r utilis s d sor mais plusieurs fois Ce sont des budgets de 150 000 450 000 en moyenne spot de 30 secondes m Les particuliers Ils repr sentent une nouvelle client le Sur ce march la demande est forte sur les captations une cristallisation sur bande d un v nem
366. financier Les collectivit s territoriales peu vent accorder des subventions aux Scic en vue de participer leur d veloppement Ces subventions peuvent intervenir sur les trois postes fonctionnement investis sement formation En tant que soci t s commercia les les Scic ont acc s l ensemble des soutiens financiers ou dispo sitifs d aide l emploi relevant des possibilit s communes offertes aux entreprises Source www avise org M Scicet MIRMA code des march s publics Le droit de pr f rence permet d at tribuer le march galit de prix ou quivalence d offres l offre pr sent e par une Scop par un groupement de producteurs agri coles par un artisan une soci t coop rative d artisans ou par une soci t coop rative d artis tes ou par des entreprises adap t es 53 IV du Code des march s publics CMP Le 7 septembre 2010 le d put Pascal Terrasse a demand au Gouvernement de se prononcer sur un possible largissement aux Scic soci t s coop ratives d int r t collectif de la liste des b n ficiaires du droit de pr f rence institu par l article 53 IV du Code des march s publics CMP Affaire suivre fiches Sectorielles O TROUVER L INFO m Sur le site de l Avise www avise org vous trouverez tous les textes l gislatifs et r glemen taires relatifs aux Scic dans la rubrique Biblioth que mLes guides
367. fiscal n a pas d inci dence sur le r gime social il en a cependant sur le mode de calcul des cotisations sociales dues par le chef d entreprise option l imp t sur le revenu les cotisations sociales sont cal cul es sur le b n fice imposable de l entreprise comme cela tait d j le cas pour les entrepre neurs individuels IL existe des cotisations minimales en mati re d assurance maladie maternit indemnit s journali res de retraite et d invalidit d c s Des cotisations sont dues m me si le r sultat est n gatif option l imp t sur les soci t s les cotisations sociales sont calcul es sur le revenu d activit pris en compte pour le calcul de l imp t sur le revenu donc sur sa r mun ration qui int gre la part des revenus de capitaux mobiliers sup rieure 10 de la valeur du patrimoine affect ou 10 du b n fice si ce dernier est sup rieur au patrimoine affect r M Comme pour les autres d Savill travailleurs non sala ri s les prestations sociales droit la retraite notam ment d pendent des cotisations effectivement vers es Une comptabilit s par e du patrimoine affect Sur le plan comptable l acti vit professionnelle patrimoine affect fait l objet d une compta bilit autonome avec notamment un compte bancaire exclusivement d di cette activit compte ban caire professionnel fiches Sectorielles La mention e
368. fnsea fr m IFCE l Institut fran ais du cheval et de l quitation tablissement public caract re administratif plac sous la tutelle des minist res charg s des sports et de l agriculture est l op rateur public unique pour accompagner la profes sionnalisation de la fili re quine Ses actions s exercent au profit de la profes sion des collectivit s territoriales de l tat et de tous les publics concern s par le cheval et l quitation www ifce fr m R seau Bienvenue la Ferme Assembl e permanente des chambres d agriculture APCA 9 avenue George V 75008 Paris www bienvenue a la ferme com s F d ration fran aise FFE 92517 Boulogne d quitation Liste non exhaustive Quelques sources utiles a La mairie les organismes consulaires les donn es Odil de l Insee http creation entreprise insee fr et les soci t s de g omarketing apportent des informations sur la population aLa consommation des m nages est analys e par l Insee et gr ce aux indices de disparit des d penses de consom mation IDC m Autres sources d information les antennes d partementales des f d ra tions professionnelles et les centres ou associations de gestion agr s et les haras nationaux www haras nationaux fr m Et les structures institutionnelles du tourisme wwwatout france fr les comit s d partementaux et r gionaux qui donnent parfois des informations sp cifiq
369. fre cul turelle des zones rurales s est for tement accrue depuis les ann es 1980 et la concurrence y est g n ralement moins forte Quant aux pratiques sportives de nature elles se font de plus en plus sur des sites am nag s et s curis s dans les p rim tres urbains Enfin certains territoires font l objet d appuis sp cifiques c est le cas des zones de montagne les zones urbaines sensibles ZUS sans parler des communes com munaut s de communes parcs naturels r gionaux conseils g n raux et r gionaux qui mettent en place des dispositifs d accueil et d installation concurrents Pour lui permettre d ajuster son projet de cr ation ce stade il faut donc imp rativement conna tre les politiques territoriales spor tives touristiques ou culturelles les dispositifs d aide la cr ation sp cifiques ainsi Le cr ateur que les fonds euro aura besoin d tre p ens qu il peut clair pour choisir mobiliser son territoire d implantation No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 03 C omp tences en gestion gestion des comp tences Les comp tences en gestion et en comptabilit lui font souvent d faut Par ailleurs il peut rarement s appuyer sur des ratios connus pour r aliser un pr visionnel Enfin des questions assez fonda mentales comme quelle est la valeur d une cr a tion culturelle ou artistique comment mesurer les retom Pou
370. g s exprime la volont des insti tutions gestionnaires des espaces prot g s et des professionnels du tourisme de favoriser un tourisme et des comp tences d di es Des outils d di s Le volet zonages de l Observatoire des territoires rassemble dans un cadre harmonis les informations sur les politiques d am nagement du territoire men es par l tat Le candidat la cr ation trouvera surlesite www territoires gouv fr l essentiel des informations qui pourront l clairer sur les politi ques publiques nationales sus ceptibles d avoir un impact sur la cr ation et le d veloppement de sa future entreprise Chaque direction r gionale de l Environnement DREAL propose par ailleurs gratuitement sur son site internet des cartographies pr cises des zonages couverts par des mesures environnementales fiches Pratiques sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles Sur la certification de ce label par ATR La certification de ser vice ne s ach te pas elle ne se d cr te pas non plus elle se gagne une fois qu un contr le effectu par AFNOR Certification accr dit par le COFRAC aupr s de la structure permet de prouver que l op rateur respecte les r gles contenues dans le r f rentiel Par ailleurs la certification n est pas d finitive elle doit tre confirm e chaque ann e Elle n cessite donc un engagement constant Notre r f rentiel s inscrit dans le cadre de
371. garantie finan ci re ouvrant ainsi aux entreprises de ce secteur des possibilit s largies de cr dit cr dits pr paration cr dits de tournage cr dits entreprise pr ts parti cipatifs garanties sur emprunts 46 avenue Victor Hugo 75116 Paris T 01 53 64 55 55 www ifcic fr Fonds images de la diversit G r par l Agence nationale pour la coh sion sociale et le Centre national de la cin matographie ce fonds lanc fin 2006 est destin soutenir la cr a tion cin matographique et audiovisuelle traitant de la diversit de la France et de l galit des chances www ancsec gouv fr FCM Fonds pour la Cr ation Musicale 141 rue La Fayette 75009 Paris 0148 78 50 60 www lefcm org d tail des program mes d aides et formulaires de demande d aides en ligne Le FCM est une association qui regrou pe des soci t s civiles de perception et de r partition des droits d auteur et de droits voisins des organisations syndi cales et professionnelles et Les pouvoirs publics Ses domaines d intervention sont vari s aides la production phonogra phique production de disques aides au Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Fiches Pro CULTURE KA CO O NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises spectacle vivant aides aux vid omusi ques aides l audiovisuel musical aides la formation d artiste a Aides r gionales Chaqu
372. ge la capacit du secteur maintenir un niveau de res sources quivalent dans les prochaines Fiches Pro CULTURE Cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO OST O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises ann es d autant que le m c nat se fait plus rare en temps de crise Les grandes tendances aLe nombre de repr sentations et le nombre de spectacles augmentent dans toutes les disciplines mais le nombre de repr sentations par spectacle dimi nue Rapport Latarjet la vraie crise n est pas dans la cr ation mais dans la diffusion Le d calage s accro t entre des co ts de production et les financements publics qui au mieux stagnent mles aides publiques profitent aux grandes institutions aux d pens de la politique de proximit et de l action cultu relle associative souvent financ es par les collectivit s sociales sur des lignes budg taires qui permettent difficilement d isoler le spectacle vivant aides l em ploi aide aux associations a Au niveau de la cr ation on parle sou vent d une crise des auteurs de la musique contemporaine Mais ce point de vue ne fait pas l unanimit On peut constater que les projets de production abondent sans toujours trouver leur public m Les spectateurs sont des consomma teurs or la culture ne se consomme pas m L acc s la culture reste tr s in ga litaire et l d
373. gime micro social est perdu Le versement lib ratoire de l imp t Le cr ateur peut opter pour le ver sement lib ratoire de l imp t sur le revenu condition que le revenu fiches Sectorielles mo Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles NO O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises de son foyer fiscal de l avant der ni re ann e soit inf rieur ou gal pour une part de quotient familial la limite sup rieure de la troi si me tranche du bar me de l im p t sur le revenu de l ann e pr c dente Cette limite est major e de 50 ou de 25 par demi part ou quart de part suppl mentaire Pour l ann e 2011 ce montant est ainsi fix 26030 pour une personne seule 52 060 pour un couple 78 090 pour un couple avec deux enfants etc La demande d option pour le versement lib ratoire de lim p t sur le revenu doit se faire au plus tard le dernier jour du troisi me mois suivant celui de la cr ation pour une application imm diate et avant le 31 d cembre de l ann e en cours pour une application l ann e suivante En cas d option pour le versement fiscal lib ratoire il faut tout de m me porter le montant du chif fre d affaires dans la d claration compl mentaire de revenus dans la partie intitul e 5 Revenus et plus values des professions non salari es Les revenus d auto entrepreneur ne sont pas im
374. gne No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Projets NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises ccompagner la d marche de cr ation dans ces secteurs exige une connaissance pointue des diff rents statuts et des cons quences de leur choix ainsi qu une ma trise des financements priv s et publics Pour progresser dans l accompagnement ce stade et donner toutes ses chances au projet de cr ation il faut savoir bousculer les id es re ues eeeee DES PISTES POUR PROGRESSER p our en finir avec les id es re ues D codez et interpr tez autrement la capacit de ce cr ateur contribuer l conomie L innovation technologique est le moteur de l conomie Ce sont les contenus culturels par exemple la musique les produits de l dition les films les jeux vid o qui rendent les nouvelles technologies int ressantes pour les consommateurs qui contribuent au d veloppement de nouveaux march s Seule la perspective d un gain financier fait tourner l conomie Le succ s de services et logiciels gratuits et libres d acc s comme Wikip dia est une tendance qui pr figure une cono mie dans laquelle le partage et l change des connaissances et des comp tences ne sont pas uniquement fond s sur des gains financiers Seuls les secteurs du sport et de la culture doivent proposer des exp riences riches et fortes Pour r ussir dans une c
375. gnement des activit s questres dans tout tablissement Encadrement et animation d activit s de Loisir d ini premiers niveaux de comp tition en quitation Encadrement et animation d activit s de loisir d initiation de d couverte et de pr paration aux premiers niveaux de comp tition en tourisme questre Encadrement et animation d activit s de Loisir d initiation de d couverte et de pr paration aux premiers niveaux de comp tition en quitation western Encadrement et animation d activit s de loisir d initiation de d couverte et de pr paration aux premiers niveaux de comp tition en quitation de tradition et de travail Encadrement et animation d activit s de loisir d initiation de d couverte et de pr paration aux premiers niveaux de comp tition en attelage ation de d couverte et de pr paration aux Animation de L activit poney avec Les pr rogatives et dans Les conditions pr vues par l arr t du 19 01 1993 modifi Accompagnement de randonn e questre avec les pr rogatives et dans Les conditions pr vues par l arr t du 19 01 1993 modifi Exercice contre r mun ration de La profession d ducateur sportif dans le domaine de l quitation dans tout tablissement Enseignement de l quitation sur poney de classe inf rieure la classe E Enseignement du tourisme questre dans tout tablissement Enseignement du tourisme questre
376. gra phistes et concept artistes ainsi que celui de sound desi gners r serv aux musiciens Le jeu vid o un univers promet teur pour nos cr ateurs fiches Sectorielles L image de soi pourquoi en parle t on Dans une soci t qui promeut le jeunisme les individus recher chent une nouvelle vision d eux m mes L apparence est devenue un point de rep re d autant plus important qu tre jeune ou res sembler un jeune s impose Pour les aider des produits des activit s et des soins les aident oublier le vieillissement De nom breuses innovations renforcent r guli rement les consommations sur ce march SUr Le march du coaching sportif Ce march est au croise ment du march du coa ching et du march du sport un cr neau en pleine expansion Les prestations peuvent aller du oint sur quelques institutions sanitaires et sociales Structures d accueil pour personnes g es Logement foyer Logements autonomes proposant des services collectifs et des aides domicile tablissement d h bergement pour personnes g es d pen dantes EHPAD Depuis la r forme de la tarifica tion en 1999 les tablissements accueillant des personnes g es maisons de retraite MAPAD sont appel s des EHPAD Petite unit de vie PUV Lieu de vie qui a vocation r pon dre aux besoins d h bergement en milieu p riurbain des personnes g es valides o
377. hes Pro SPORT Le plus souvent la client le se r partit dans la journ e de la mani re suivante matin personnes ne travaillant pas ou pratiquant des horaires variables midi client le de bureau pr f rant le sport au restaurant 14h 00 17 h 00 heures creuses soir clients de proximit Les tendances m Proposer des tarifs attractifs de type Amazonia Neoness forme la clef des formules low cost un concept automa tis n cessitant moins de salari s que dans les centres traditionnels m D velopper en parall le les services la personne payants personal trainers cours collectifs massages m Transformer les clubs de fitness en clubs de remise en forme pr vention sant m Proposer des clubs th mes pour les femmes type Lady Moving et cons urs m Fid liser la client le majoritaire attirer une client le peu repr sent e mais de plus en plus int ress e ou d velopper un concept familial et convivial ouvert tous D Source le GERF et l UFBS en 2008 Quelques conseils pratiques ml tude de march doit d finir le concept en fonction des go ts et du bud get du cr ateur m Elle doit identifier l offre existante La localisation et donc la client le doi vent concourir au choix des prestations offertes et aux prix propos s c Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles CO ND Guide pratique d accompagnement
378. homme Mais si elles se trompent elles disent vrai sur ceux qui les noncent non pas sur leur avenir mais sur leur temps pr sent Milan Kundera L Ignorance 2003 ch mage ou RSA qui jouent le r le d amortisseur Dans les m tiers artistiques certains cr ateurs choisissent le statut d artiste libre en d clarant leurs b n fices non commerciaux aux imp ts d autres s inscrivent comme travailleurs non profes sionnels ou vendent leurs uvres dans leur entourage avant de se lancer Dans le secteur du sport le statut d auto entrepreneur est une solu tion qui remporte un vif succ s au d marrage Enfin certains choisissent de se lancer progressivement dans une couveuse o une coop rative d ac tivit s et d emploi CAE Dans tous les cas la cr ation d une structure se fait dans le Un statut a se temps le statut de change Mieux vaut l entreprise vo le lui rappeler luant si n ces ce stade saire en parall le A ncrage territorial Le cr ateur ancre souvent son projet de cr ation sur un territoire qui lui permet de vivre sa passion au quotidien D autres crit res sont prendre en compte La dynamique culturelle reste plus forte dans les zones urbaines fiches Projets et la dynamique de cr ation d activit s sportives de nature se fait par d finition plut t dans les zones de montagne d arri re pays et de littoral Pour autant les r gles du jeu voluent l of
379. honoraires de la CAE ainsi que les cotisations sociales patronales et salariales Pour en savoir Coop rer pour entreprendre 37 rue Jean Leclaire 75017 Paris T 0142634771 info cooperer coop www cooperer coop COMMENT FAIRE i pour choisir Le bon statut invitez le les comparer 1 2 Coop ratives Soci t s de d activit portage salarial Couveuses adh rentes de l Union des couveuses ND I Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises quelle tape de leur D s le stade de l id e projet Pas de dur e limit e m H bergement juridique de l activit m Calcul et paiement des cotisations sociales m mission de Services bulletins de paie proposes y Accompagnement et formation de l entrepreneur salari m Mise en relation avec les autres entrepre neurs salari s 10 calcul s sur le montant du chiffre d affaires HT Frais de gestion Lorsque le projet est forma lis et qu il est pr t tre test 1 P riode l gale du CAPE Contrat d appui au projet d entreprise 12 mois maxi mum renouvelable 2 fois m H bergement juridique de l activit m Apprentissage du m tier de chef d entreprise m Suivi administratif de chaque activit m Mise en r seau des cr a teurs m D claration aux organis mes sociaux Participation possible aux frais li s aux services de nee par ex de 0 5 du chiffre d
380. iactivite org Agence pour la cr ation d entreprises APCE www apce com Espace cr ateur d entreprise tape 3 tude de march a nstitut national de la statistique et des tudes conomiques INSEE www insee fr Outil d aide au diagnostic d implantation locale ODIL m Enqu te Besoins en main d uvre BMO r alis e annuellement par P le emploi http info assedic fr m Atout France agence de d veloppe ment touristique de la France www atout france fr ports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 341 F d ration des comit s d partemen taux du tourisme FNCDT Annuaire des comit s d partementaux du tourisme www fncdt net a Comit national olympique et sportif fran ais CNOSF www franceolympique com Liste des f d rations sportives adh rentes au CNOSF D Source Centre national de ressources du tou risme et du patrimoine rural www source asso fr s F d ration nationale des comit s r gionaux du tourisme FNCRT www fncrt com Syndicats professionnels ANMP Plong e Jacques EMERY jmj emeryfaliceadsl fr ESI Memieurs de ski Philippe CAMUS philcamus ecoledeski fr internationaux GMK Kite Fran ois LEFROID contact dmoniteur kite com SNAM F campagnateurs Jean Marc HERMES president snam lesaem org en montagne eaa Monteurs gucke Alain FAVO alain
381. iations des services fiscaux finances publi ques par d partement pour des r pon ses opposables aux questions pos es M c nat et fiscalit Les avantages fiscaux du m c nat encouragent l appel aux entrepri ses locales pour soutenir les pro jets associatifs L ventail des professionnels con cern s est large des commer ces de proximit aux artisans aux supermarch s et aux PME locales ou r gionales qu elles soient industrielles commercia les ou de services sans oublier bien s r les partenaires habi tuels que sont les compagnies d assurances ou les banques Au plan comptable les AMI d penses de m c nat doivent tre comptabili s es en charges d exploitation au compte 6238 Divers La cr a tion d un sous compte 62381 par exemple D penses de m c nat pour bien les distinguer des d penses de publicit parrainage est aussi recommand e La Loi n 2003 709 du 1 ao t 2003 Cette loi a modernis les incita tions fiscales au financement pri v des activit s associatives par la g n rosit En effet tout en ren forcant significativement les inci tations aux dons des particuliers cette loi a doubl l avantage fiscal consenti aux entreprises qui sou tiennent des associations d int r t g n ral une opportunit pour ces derni res de mieux travailler dans la dur e avec leur environ nement conomique local fiches Pratiques
382. iblioth que centre de documentation services juridiques et bases de donn es m CND Centre national de la danse 1 rue Victor Hugo 93507 Pantin T 01 41 8398 98 www cnd fr Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Fiches Pro CULTURE Ke CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises IRMA Informations ressources musiques actuelles 22 rue Soleillet 75020 Paris BG 0143151111 www irma asso fr m Relais Culture Europe 132 rue du Faubourg Saint Denis 75010 Paris amp 01 53 40 95 10 www relaisculture europe org Recrutement et informations g n rales sur Le spectacle vivant a P le Emploi Spectacle 50 rue de Malte 75011 Paris T 01 53 36 28 28 www culture spectacle anpe fr Site extr mement complet avec adres ses et liens utiles m Les COREPS commissions r giona les de l emploi et des professions du spectacle qui d pendent des DRAC www profilculture com Site emploi sp cialis www cnt asso fr scene emploi Les emplois sur le site du CNT DLes syndicats d employeurs de production de spectacles a SNES Syndicat national des entrepreneurs de spectacles 48 rue Sainte Anne 75002 Paris 20142979877 www spectacle snes org Le SNES regroupe les entrepreneurs de spectacles qui appartiennent au secteur priv et qui viennent du th tre de la danse de l op ra des musiques actuel les de la musique classique m
383. ication Comment convaincre des clients et du projet C est g n rale ment l tape la plus d licate car elle n cessite r flexion logique cr ativit c est sortir du cadre du simple souhait D finir son objectif de fa on pr cise va lui permettre d an crer celui ci dans le concret Pour v rifier que son produit va marcher il faut s assurer qu il r pond un besoin d une ou plusieurs cibles identifi es Parce que c est le meilleur justi ficatif du chiffre d affaires pr vi sionnel qui motivera in fine les soutiens financiers dont il pourra b n ficier et souvent talent Lui demander de d fi d CO nir des objectifs pr cis c est le mettre en situa tion de hi rarchiser les raisons du pourquoi de son engagement et ajuster en fonction le projet de d veloppement commercial et les moyens financiers mat riels et humains mettre en place La d cision d finitive de se lancer passe par l fiches Pratiques Petits conseils pour simplifier votre propos Les ouvrages sp cialis s sont nombreux et les comp tences ble les organismes Les tapes cl s de l tude de march av r es dans Rechercher les B informations existantes fe Rechercher R aliser un des questionnaire informations R aliser des entretiens y V rifier la gt v racit des informations 2 Analyser les informations recueillies D pouiller Le qu
384. iches Pratiques des fautes de gestion ou accord des cautions titre personnel SARL la responsabilit des associ s est limit e au montant de leurs apports sauf s ils ont commis des fautes de gestion ou accord des cautions titre per sonnel SA forme classique la res ponsabilit des associ s est limit e au montant de leurs apports SAS SASU la responsabilit des associ s est limit e au mon tant de leurs apports SNC les associ s sont respon sables ind finiment sur l ensem ble de leurs biens personnels et solidairement Association absence de res ponsabilit des membres non dirigeants La responsabilit des dirigeants associ s Entreprise individuelle respon sabilit civile et p nale du chef d entreprise EURL responsabilit civile et p nale du dirigeant SARL responsabilit civile et p nale du ou des dirigeants SA forme classique respon sabilit civile et p nale du ou des dirigeants SAS SASU responsabilit civile et p nale du ou des dirigeants SNC responsabilit civile et p nale du ou des dirigeants Association res D s l instant o la ponsabilit civile et soci t demandera p nale du ou des un concours dirigeants cas tre att nu e dirigeants ou lorsque le dirigeant associ s sera exig e exerce ses fonc Alors invitez le tions de mani re cr ateur se rensei b n gner au
385. ience rapport entre les moyens mis en uvre et les r sultats obtenus R alisations actions effectu es dans le cadre du projet le premier niveau valider Pertinence ad quation entre les objectifs choisis et les besoins de la probl matique traiter Niveau de r alisation actions effectu es et niveau de consom mation du budget Coh rence ad quation entre les moyens mis en uvre et les objectifs Coh rence interne et R sultats effets directement li s externe l action AUX reaUsatione CU projek Impacts effets des actions R sultats attendus Les r sultats men es sur le public la probl souhait s que vous d finissez et matique vis e les dispositifs E communiquez en d but d action La d marche pr sent e ici rend compte de quelques uns des points abord s par l Avise dans son Cahier n 6 intitul Associations et fonds europ ens comment g rer et financer votre projet et par Relais culture Europe dans son Guide l usage des acteurs culturels No Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques ND oOo O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises a baisse des financements publics les tensions conomiques et la prise en compte du d veloppement durable par les entreprises sont autant de raisons d orienter le cr ateur vers un concours la cr ation et ou de l clairer sur le fonctionnement du m c nat Dans
386. ier d un pr t d honneur taux z ro baptis Autonomie coupl une garantie publique des pr ts ban caires et un accompagnement obligatoire durant les trois pre mi res ann es par des structures labellis es Le public vis est celui des ayants droits l ACCRE Aide la cr ation et la reprise d une entreprise demandeurs d emploi indemnis s ou non inscrits dans ce cas depuis 6 mois au moins les b n ficiaires des minimums sociaux les jeunes de moins de 26 ans ou de moins de 30 ans pour les ch meurs non indemnis s et ceux reconnus han dicap s les salari s qui repren nent leur entreprise en redresse ment ou liquidation judiciaire les titulaires d un Contrat d appui au projet d entreprise CAPE conclu notamment avec des couveuses d entrepreneurs l essai et par fois des coop ratives d activit s et d emploi ainsi que Les personnes qui cr ent leur entreprise en zone urbaine sensible ZUS Quel financement Les pr ts d honneur ont voca tion financer partiellement les besoins durables d une cr ation d entreprise Les investissements de d part le besoin en fonds de roulement BFR ainsi que les besoins durables de financement engendr s par fiches Sectorielles la reprise d une entreprise pour ce qui est des associations inter venant en faveur des repreneurs d entreprises Montant des pr ts et conditions d attribution Selon les possibi
387. ier doit tre effectu e par acte notari ce qui implique le paiement de frais de notaire et publi e au bureau des hypoth ques Pour en savoir Loi n 2010 658 du 15 juin 2010 JO du 16 juin 2010 sur L gifrance Pr sentation du statut de l EIRL format pdf par l APCE http pme service public fr collectif Scic une entreprise L a soci t coop rative d int r t au service du territoire Les territoires ruraux et urbains communaut de communes ou d agglom ration pays sont de plus en plus confront s l mer gence de besoins nouveaux ou insatisfaits am nagement et entretien des espaces tri et recy clage des d chets valorisation du patrimoine services aux person nes enfance et jeunesse person nes g s qui ont conduit les pouvoirs publics cr er de nou veaux statuts pour faciliter la con ciliation de cadres conomiques et de finalit s sociales fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 22 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises D finition Les Scic r glement es par la loi du 17 juillet 2001 et le d cret du 21 f vrier 2002 sont des entre prises SA ou SARL coop ratives adapt es la cr ation d activit s alliant un projet conomique une finalit sociale Ce statut innovant permet aux dif f rents acteurs d un m me terri toire collectivit s associat
388. ification enre gistr e au RNCP peuvent tre pri ses en charge au titre de la forma tion professionnelle continue ILfaut distinguer les dipl mes et titres finalit professionnelle qui sont d livr s au nom de l tat et sont enregistr s dedroit sanslimitation de dur e les autres certifications titres d organismes de formation et CAP qui sont enregistr es au RNCP pour une dur e de 5 ans renouve lable apr s avis de la CNCP sur demande de l organisme qui a cr la certification et la met en uvre Qui finance Une prise en charge financi re peut tre accord e par un organisme collecteur agr au titre du CIF tant pour ce qui concerne la r mu n ration du salari que les frais de validation proprement parler Par ailleurs les actions de vali dation des acquis entrent d sor mais dans le champ des actions de formation et en cons quence sur les dipl mes sportifs Les dipl mes sportifs sont soumis une r gle mentation stricte Ils sont d livr s mpar l tat pour les activit s s exer ant dans un environnement sp cifique mpar tout organisme public ou priv habilit par l tat homolo gu pour les autres activit s sous r serve que le dipl me comporte la qualification qui aura t d finie par l tat Dans les champs de la jeunesse et des sports les dipl mes suivants sont accessibles par la validation des acquis de l exp rience VAE m
389. im dias ou plurim dias e cr ateur et Les r gles de La profession Pour tre producteur d uvres audiovi suelles aucune autorisation d exercice n est demand e Il convient cependant de disposer de quelques qualit s et de quelques atouts Le cr ateur Le chef d entreprise est un homme aux multiples facettes parfois partag es avec un ou plusieurs associ s cr a teur technicien concepteur auteur r alisateur publicitaire a C est la fois un gestionnaire un juriste un financier Il poss de un sens aigu des relations publiques pour d cro cher des march s dans un milieu sou vent compar une jungle m L innovation et la cr ativit sont fon damentales IL doit tre en alerte en permanence et conserver une avance technologique sur ses concurrents m L exercice de son m tier est la con vergence de l audiovisuel et de l infor matique m Vid o et clips sur Internet beaucoup s essaient au d marrage sur Internet sur des sites de partage de vid os Eye ka Wat TV Dailymotion en esp rant tre reconnus Des initiatives territoriales d Savoir facilitent cette reconnaissance le r seau image dans le www ccip92 fr le r seau charentais www larochelle cci fr l association Coolisse www coolisses asso fr Le p le audiovisuel cin ma multim dia du Nord parisien avec une p pini re d volue au num rique en Seine Saint Denis qui conc
390. ime auto entre d sail preneur ne peut pas tre choisi lorsque l ac tivit est exerc e dans le cadre d un lien de subordination pour laquelle seul le salariat doit tre retenu D quelles conditions L entreprise individuelle doit rele ver du r gime fiscal de la micro entreprise c est dire r aliser un chiffre d affaires qui ne doit pas d passer en 2011 81 500 pour une activit de vente de marchandises d ob jets de fournitures de denr es emporter o consommer sur place ou pour une activit de four niture de logement 32 600 pour les prestations de services relevant de la cat gorie des b n fices industriels et com merciaux BIC ou des b n fices non commerciaux BNC fiches Sectorielles L entreprise est en franchise de TVA pas de facturation ni de r cu p ration de TVA Le chiffre d affaires est d savil proratiser en fonction de la date de cr ation de l activit Par exemple pour une activit de prestations de services commenc e au 1 mars 2011 le montant maximum du chiffre d af faires ne pas d passer est de 32 600 x 306 soit 27 330 365 Immatriculations Lors de la cr ation de l entreprise l auto entrepreneur est dispens d immatriculation au registre du commerce et des soci t s RCS et au r pertoire des m tiers RM Depuis le 1 avril 2010 lauto entrepreneur qui cr e une acti vit artisanale titre princ
391. in des f d rations sportives concern es ils constituent les interlocuteurs privil gi s du p le ressources et d ploient sur le terrain la politique de d veloppement ma tris des sports de nature impuls e par le minist re Cette fiche s appuie sur les conseils de APCE et sur le Guide de la propri t intellec tuelle dans les p les de comp titivit du minist re de l Industrie Les exemples ont t s lectionn s dans La Lettre de l aventure et des sports de nature fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles O7 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises OST ND e nombreuses id es re ues circulent sur les associations plus sim ples cr er moins contraignantes au d part moins fiscalis es L id e pourrait s duire notamment pour les aides la cr ation d emploi qui leur sont d di es L essentiel est de bien cerner les motiva tions et Le projet du candidat La cr ation avant de l engager dans le choix d un statut ou de Le laisser choisir son statut d s cette tape Attention aux fausses bonnes id es en la mati re o CR ER UNE ASSOCIATION POUR ENTREPRENDRE L association est la convention par laquel le deux ou plusieurs SAUT a ctivit s lucratives ou non lucratives La forme associative ne convient pas tous les projets IL faut en premier lieu s interroger sur le but poursuivi
392. individuelle ou en EURL par exemple La soci t civile de d Sd moyens SCM ou le groupement d int r t conomique GIE par exemple permettent chaque associ de rester ind pendant au niveau de l exercice de son activit profes sionnelle Pas question non plus de monter une SCIC celle ci repose avant tout sur le partenariat Ce sta tut permet en effet diff rents acteurs d un m me territoire col lectivit s associations b n voles usagers de s investir dans un m me projet Inutile de lui proposer d envisager la SCOP il devrait alors partager galit avec les autres salari s associ s ou actionnaires les gran des orientations qui concernent l entreprise i Le nombre iMMULIIIM d associ s requis m Entreprise individuelle Elle se compose uniquement de l entrepreneur individuel celui ci peut bien videmment embau cher des salari s m EURL 1 seul associ personne physi que ou morale l exception d une autre EURL m SARL 2 associ s minimum 100 maxi mum personnes physiques ou morales m SA forme classique 7 associ s minimum Pas de maximum personnes physiques ou morales m SAS SASU 1 associ minimum Pas de maximum personnes physiques ou morales m SNC 2 associ s minimum Pas de maximum personnes physiques ou morales m Association 2 membres minimum Pas de maximum 5 Source APCE Au del du projet ily a l hom
393. ing taine de villes fran aises qui changent et mutualisent les pra tiques afin d optimiser le d velop pement d actions culturelles et de loisirs en direction des personnes handicap es www cema forre asso fr O TROUVER L INFO m Minist re de la Culture et de La Communication Secr tariat g n ral 182 rue Saint Honor 75033 Paris Cedex 01 www culture gouv fr handicap Correspondante g n rale de la mission Culture et Handicap Sandrine Sophys Veret 014015 78 07 fax 01 40 15 77 64 sandrine sophys veret culture gouv fr m Direction g n rale de la cr a tion et de La diffusion DGCD 62 rue Beaubourg 75003 Paris Bureau de l ducation et des pra tiques amateurs Il coordonne les actions du minist re en faveur des personnes handicap es dans le domaine du spectacle vivant et des arts plastiques Charg e de mission Emma Bockor 0140 15 88 29 fax 01 40 15 88 00 emma bockor culture gouv fr fiches Pratiques O TROUVER L INFO m Mission d architecture conseil Responsable Mich le Kergosien michele kergosien culture gouv fr Anne Ghyssens anne ghyssens culture gouv fr Au niveau r gional il existe dans chaque DRAC direction r gio nale des Affaires culturelles un r f rent handicap m me de renseigner Pour trouver les coordonn es des DRAC aller sur le site du minist re www culture gouv fr handicap m Maisons d p
394. int ressante pour lui per mettre de clarifier ses points forts et ses points faibles par rapport son projet de cr ation Qui est concern Bas sur le volontariat du salari le bilan de comp tences peut tre r alis dans le cadre d un cong sp cifique ou du plan de forma tion de l entreprise Le cong de bilan de comp ten ces est aussi ouvert aux salari s qui ont t titulaires de contrats dur e d termin e Sauf disposi tions conventionnelles plus favo rables ils doivent justifier de 24 mois cons cutifs ou non d acti vit salari e au cours des 5 der ni res ann es quelle qu ait t la nature des contrats successifs dont 4 mois cons cutifs ou non en CDD au cours des 12 derniers mois Le bilan de comp tences ne peut tre r alis qu avec l accord du salari m me s il est inscrit au plan de formation de son entre prise Sa mise en uvre fait alors l objet d une convention tripartite sign e par l employeur le sala ri et l organisme prestataire qui clarifie les modalit s de r alisa tion du bilan et les objectifs vis s Le salari justifiant d au moins 5 ann es d activit salari e dont 12 mois dans l entreprise peut demander une autorisation d ab sence son employeur pour r ali ser un bilan de comp tences L essentiel de la d marche La dur e du bilan varie Elle est au maximum de 24 heures lorsque le bilan se d roule dans le cadre du cong d
395. ion La D couverte minist re de la Culture u ne place majeure dans l conomie nationale Selon l OCDE la France consacre 1 5 de son PIB l ensemble des activit s culturelles et de loisirs l Allemagne 0 7 la Grande Bretagne 0 5 et les Etats Unis 0 3 D apr s l INSEE les m nages fran ais ont investi en moyenne 1 020 par an pour leurs d penses culturelles entre 1990 et 1999 Cela repr sente 3 5 de leur budget sur cette p riode pour moins de 1 dans les ann es 1980 En 2008 les d penses culturelles et de loisirs comptaient pour 9 0 de la d pense de consommation des m nages Toujours d apr s l INSEE la part des d penses des m nages consacr e aux services r cr atifs et sportifs aux voyages forfait et aux week ends a augment de 2 7 points depuis 2000 Comparaison des croissances en euros constants des postes de consommation 1993 et 2008 1993 1992 Communications Autres biens et services Boissons alcoolis es et tabac 5 5 Equipement logement Alimentation 2008 2007 Habillement af s restaurants Education H tels D Source INSEE Comptabilit nationale La pratique sportive soutenue concerne en 2010 34 millions d individus Cela signifie que pr s de 65 de la population g e de 15 ans et plus d clarent pratiquer une activit physique et sportive raison d au moins une fois par semaine tout au long de
396. ion d entreprises onsid rer les valeurs comme une valeur ajout e Le poids de l Europe Dans le paragraphe 13 de la d claration des collectivit s loca les et territoriales francaises l ensemble des acteurs publics locaux s est engag promouvoir les achats publics thiques par l inscription de crit res sociaux et environnementaux dans l attribu tion des march s publics La position du droit communau taire europ en tr s favorable une utilisation thique des deniers publics a conduit le l gislateur fran ais revoir ses positions quant la politique d achat public et ouvrir le droit de la comman de publique des pr occupations jusqu alors imparfaitement int gr es comme le d veloppement durable ou le commerce quitable par exemple La L gislation fran aise La loi du 2 ao t 2005 sur les petites et moyennes entreprises a tabli que le commerce quitable s ins crit dans la strat gie nationale de d veloppement durable C est une suite logique l entr e dans la Constitution en mars 2005 de la Charte de l environnement C est sur ce fondement que le Code des march s publics a fiches Projets depuis 2006 fait de l introduction du d veloppement durable dans l achat public une obligation de moyen Pour tous leurs achats les collectivit s publiques doivent analyser la possibilit d int grer des objectifs de d veloppement durable Clauses et crit res de d vel
397. ion de la taxe professionnelle exon ration de la taxe fonci re sur les propri t s b ties imposition au titre des b n fices agri coles Fiches Pro SPORT M Des activit s accessoires d Savoir l activit principale par exem ple un centre questre qui propose de la restauration peuvent tre soumises ce taux de TVA 5 5 et pri ses en compte dans le revenu agricole sous r serve de g n rer moins de 50 000 euros et moins de 30 du chiffre d affai res TTC issu des activit s agricoles Les incidences sur les aides euro p ennes L ensemble des acteurs de la fili re quine peut b n ficier des mesures du Fond europ en agricole de d veloppe ment rural FEADER Sa d clinaison fran aise est fix e par un Plan de d veloppement rural hexagonal PDRH tabli pour la p riode 2007 2013 qui comporte 4 axes certains destin s aux agriculteurs d autres aux non agri culteurs au sens communautaire i M LAxe 3 s intitule Am liora AMIE tion de la qualit de la vie et diversification de l conomie et qualit de vie en milieu rural l Axe 4 s intitule Construction de capa cit s locales pour l emploi et la diversi fication ces deux axes pourront tre privil gi s en fonction de la nature des activit s du demandeur un cumul de ces axes est possible 5 Source www haras nationaux fr tude de march La demande Le tourisme questre attire 150 000
398. ion de pro pri t intellectuelle elle ne fait pas en effet l objet d une d fini tion juridique particuli re Elle est appr hend e par le droit essen tiellement dans le cadre de tex tes d ordre fiscal ou relatifs des aides de l tat ou de l Europe L innovation recouvre des l ments multiples inventions savoir faire logiciels bases de donn es marques etc qui sont soumis en fonction de leur nature des r gimes juridiques dis tincts La notion d innovation d 3d IE ne recoupe que par tiellement celle de propri t intellectuelle Qu est ce que la pro pri t intellectuelle La propri t intellectuelle est une notion juridique dont le p rim tre est vaste et le contenu h t ro g ne elle int resse des r alisa tions aussi diverses que des inven tions des logiciels des cr ations litt raires des marques etc Leur point commun elles sont toutes prot g es par un droit exclusif conf rant leur titulaire le pou voir d en contr ler l acc s l usage et l exploitation L objectif du l gislateur varie suivant la nature des l ments prot g s mais l id e d une r com pense du titulaire par un droit exclusif est toujours pr sente fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles m Co Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises m m Selon les cas elle se justifie par un acte de cr ation cas d
399. ionnel de la future entreprise et d effectuer ainsi une optimisation fiscale r aliste N anmoins si le cr ateur peut b n ficier d une mesure d exon ration d imp ts sur les b n fices il peut tre avantageux de choisir une structure qui lui permette de se placer sous le r gime de l im p t sur le revenu L exon ration portera alors sur l int gralit des b n fices y compris sur la part correspondant sa r mun ration La Scop est soumise si I aux m mes imp ts que toute soci t de droit commun Toutefois en versant beaucoup plus de participation que les entreprises classiques au moins 25 des b n fices elle r duit d autant le montant du b n fice imposable l IS imp t sur les soci t s tsi Le candidat n est pas encore a pr t se lancer Sachez dans ce cas qu il existe d autres formules qui permettent d tre port juridiquement par une autre structure pour tester une activit ou pour r pondre une demande ponctuelle Ces formules sont le portage sala rial la couveuse et la coop rative d activit s Le portage salarial Le portage salarial permet une personne de proposer son travail ou de tester ses capacit s entre prendre sans cr er une v ritable entreprise IL s adresse des consultants formateurs coachs th rapeutes professionnels du conseil et de la relation fournisseurs de ser vices qui peuvent intervenir aupr s des entreprises
400. ions b n voles usagers de s investir dans des projets d int r t collectif et d utilit sociale d exp rimen ter des formes de partenariat ori ginales d apporter des r ponses novatrices aux besoins mergents et aux enjeux de d veloppement local et de repenser les modes traditionnels de gouvernance L int r t collectif peut se caract riser comme le d passement de l int r t direct des membres ou de la coop rative en tendant l objet de l entreprise la satisfaction de besoins de la soci t civile ou de certains publics Toute Scic peut fournir ses servi ces des non membres de la coo p rative sans aucune limite cette possibilit est limit e 20 du total de l activit pour les autres formes de coop ratives L utilit sociale peut tre carac t ris e par l activit men e par la Scic mais aussi la mani re dont cette activit est exerc e En effet la dimension d mocratique de la Scic sa facult d associer l ensemble des parties concer n es par son activit ainsi que son caract re impos par la loi de gestion d sint ress e qui emp che tout enrichissement personnel de ses membres en font un outil entrepreneurial d uti lit sociale par nature Sur la Scic culture ATLA le village musi ques actuelles En 1994 No lle Tatich cr e la SARL ATLA Pigalle Paris Quinze ans plus tard ATLA est devenue l une des plus grandes coles des musiques
401. ipal doit s inscrire au RM Toutefois ilsera dispens du stage pr alable limmatriculation au RM exon r des frais li s aux forma lit s d immatriculation et jusqu la fin de la deuxi me ann e civile suivant celle de la cr ation de son entreprise de la taxe pour frais de chambre de m tiers L auto entrepreneur b n ficie du r gime micro social simplifi Ses cotisations et contributions socia les sont d clar es et calcul es par lui m me en appliquant un taux forfaitaire au chiffre d affaires ou aux recettes r alis s R gime fiscal La d claration annuelle de revenus Depuis le 1 janvier 2011 une d claration annuelle de reve nus aupr s du R gime social des ind pendants RSI doit tre faite m me en l absence de chiffre d affaires AND sur l exclusion de l J Eee activit s i Le artistiques Les activit s artistiques r mun r es par des droits d auteur qui d pendent de la Maison des artistes ou de l Agessa sont exclues du statut d auto entrepreneur Tou tefois une personne exer ant une activit artistique r mun r e non pas en droits d auteur mais en honoraires peut exercer son acti vit sous le r gime de l auto entre preneur Pour en savoir Sur le r gime particulier des artistes auteurs www apce com En cas de d claration NULL de chiffre d affaires nul pendant 24 mois ou 8 trimestres cons cutifs le b n fice du r
402. iption au concours et au plus tard au 31 mars de l ann e en cours de tout domaine d activit et ayant b n fici d un accompagnement dis pens par un organisme d aide la cr ation d entreprises Plusieurs cat gories Talents de l innovation technique et tech nologique Talents de l artisa nat et du commerce Talents de l conomie sociale Talents des services Talents des dyna miques rurales Talents des services la personne Proc dure inscription sur ins cription concours talents com Des correspondants en boutique de gestion peuvent galement accompagner l inscription Candidatures S lections r gio nales puis s lection nationale Prix r gionaux en moyenne 1 600 en num raire et en natu re IL y a un laur at par cat gorie et parfois des prix sp ciaux par r gion Prix nationaux entre 4000 et 10 000 en num raire Des prix sp ciaux nationaux sont galement pr vus Nombre de b n ficiaires entre 10 et 15 laur ats nationaux 100 laur ats r gionaux fiches Pratiques NO Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 30 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O TROUVER L INFO mAssociation Concours Talents ACT 14 rue Delambre 75014 Paris T 01 53 34 12 90 info concours talents com wwvw talentsdescites com B n ficiaires porteurs de pro jets de moins de 40 ans et jeu
403. ique incitatives apport es par la loi du ler ao t 2003 relative au m c nat aux associations et aux fondations et ses avanc es successives tout apport financier et ou en nature produit services main d uvre suppose en effet qu une disproportion marqu e entre les sommes donn es et la valo risation en termes d image ou de fiches Pratiques ventes soit assur e La structure qui apporte son soutien n attend pas en retour de contrepartie quivalente D Source www associations gouv fr et http doc impots gouv fr i Le m c nat doit tre AMIE clairement distingu du parrainage terme assi milable l anglais sponsoring Les d penses engag es dans le cadre d op rations de parrainage sont destin es promouvoir l image de marque les produits et les services de l entreprise Le parrainage r pond donc une d marche commerciale explici tement calcul e et raisonn e sa retomb e doit tre quantifiable et proportionn e l investissement initial Quel type de m c nat Le m c nat peut tre financier mais il peut aussi prendre la for me de dons en nature ou de mise disposition de comp tences professionnelles du personnel On parle alors de m c nat en nature m c nat technologique m c nat de comp tences un collaborateur de l entreprise m c ne apporte une partie de son savoir et de son temps au b n ficiaire partena riat m dia une agence de
404. ir et du r ve Si a marche tout de suite c est parce que les gens en ont pour leur argent Gr ce leur exp rience dans la grande distribution et parce que la philosophie de leur engagement n est pas compati Trajectoire SPORT ble avec la perte de la ma trise des ser vices qu ils proposent ils se refusent d velopper leur concept dans les termes que leur proposent les banques qui ont mesur l int r t de tels investisse ments i Re C est l exp rience de la grande distribution qui permet d tre vigilant Ce qui ne les emp che pas d avoir en pro jet un troisi me MurMur en r gion pari sienne pour nous et pour notre per sonnel qui en r ve es coups durs m Le d part de Serge en 2005 mLes probl mes de sant et la baisse des r sultats qui sont all s de pair On fait des b tises tout le temps mais l essentiel est de ne pas refaire les m mes es coups de pouce mles amis de toujours Jean Pierre Serge et les autres m Les lus locaux mUn responsable de l APEC qui leur permet de mieux cerner le profil dont ils ont besoin leurs c t s Gr ce cette rencontre ils vont recruter un directeur qui leur permet aujourd hui d tre plus sereins par rapport leur avenir On a l impression de savoir aujourd hui ce qui va se passer Il ne faut pas faire n importe quoi n importe comment mais ce qui est s r c est qu il faut retrousser
405. ir sa libert La vision des parents c est que les tudes permettent de choisir Qu cela ne tienne il s engage dans ce nouveau m tier mais pas vraiment longtemps Le m tier de cuisinier est trop prenant C est l que le d clic se produit apr s un s jour en Ard che Monter ce projet c est concilier sa vision de la libert son besoin de natu re le rappro chement de son fils et son atta chement aux Ardennes Le secteur s est impos car je voulais valoriser mon territoire et d velopper le blason des Ardennes J ai envie qu on pense autre chose qu un d sert industriel Ses Ardennes il en parle avec pas sion La for t bien s r la natu re partout pr sente mais aussi les gens du pays dont il parle si bien Il y a une ambiance fraternelle et d accueil spontan Pour les parents c est la quatri me aventure apr s deux ans en cuisine et a les inqui te Mais leur soutien est toujours sans faille Le fait d clencheur c est une balade en for t avec un ami qui l incite s installer l endroit o ils se prom nent En sui vant il fait des d marches pour se ren seigner sans avoir la moindre id e de ce qu tait une entreprise et un accro branche Le propri taire c est l ONF et il faut rapidement lui exposer le projet en pr sentant undossier L entreprise c est un non choix Ce que je recherche c est Sur les conseils
406. irs publics et monde associatif Elle concerne en particulier les conventions d objectifs cons cuti ves aux demandes de subvention La circulaire pr cise notamment La s curisation de l octroi d une aide publique une association exer ant une activit conomi que d int r t g n ral peut tre assur e en prenant quelques pr cautions simples par exception les concours financiers vers s particuli re en mati re de r gle mentation des aides d tat Ainsi les r gles adopt es en 2005 sur le r gime des aides d tat autorisent les associations assurer la gestion d un service d int r t conomique g n ral sans que cela implique obligatoi rement la passation d un march public ou d une d l gation de ser vice public La subvention peut donc cons tituer un mode de financement l gal dans le cadre d un service d int r t conomique g n ral La collectivit doit simplement d fi nir dans son acte unilat ral ou contractuel de mandat la mission de service d int r t conomique g n ral ainsi que les param tres pour le calcul de la compensation et les sauvegardes associ es Lorsque l on se situe dans le champ de la subvention et que son montant est sup rieur 23 000 celle ci doit faire l objet d une convention pluri annuelle d objectifs entre la collectivit publique et l association Pour en savoir La circulaire NOR PRMX1001610C du 18 janvier 2010
407. ise en uvre d pend en grande partie de la bonne volont des acteurs con cern s au premier chef savoir les tats membres et Les organi sations sportives 2004 sera l Ann e europ enne de l ducation par le sport une facon de promouvoir les orienta tions de la Commission fiches Sectorielles SN Le Livre blanc NIMES sur te r le du sport l chelle de l UE Le 11 juillet 2007 la Commis sion europ enne pr sente le Livre blanc sur le r le du sport au sein de l Union europ enne IL affirme l impact que peut avoir Le sport sur l ensemble des politiques euro p ennes et identifie Les besoins ainsi que les sp cificit s propres au monde du sport Le Livre blanc vise donner des orientations strat giques et encourager le d bat Un plan d action compl te ce Livre blanc La Commission y propose toute une s rie d actions concr tes touchant aux aspects soci taux et conomiques du sport tels que la sant l insertion sociale le b n volat l ducation ou les relations ext rieures Gr ce au trait de Lisbonne entr en vigueur le 1 d cembre 2009 le sport devient une politique part enti re de l Union europ enne Le trait de Lisbonne institue le sport comme tant un domaine o les tats membres demeurent totalement comp tents mais o l UE peut mener des actions d ap pui ou de coordination Ces nouvelles dispositions doi vent permettre l UE de soutenir d
408. issance dans le secteur des ICC Il est imp ratif de pr senter clai rement aux banques et aux investisseurs la valeur et Le potentiel co nomiques du secteur Le d veloppement durable est soit une affaire de valeur soit une affaire de march qui ne concerne donc pas toutes les entreprises La responsabilit sociale des entreprises RSE fait partie de la strat gie Europe 2020 pour une croissance intelligente durable et inclusive C est un concept qui d signe l int gration volontaire par les entrepri ses de pr occupations sociales et environnementales leurs activit s commerciales et leurs relations avec leurs parties prenantes Pas de d veloppement terme sans processus d valuation au d marrage La culture de l valuation qui pr domine dans la plupart des tats membres de l UE va l encontre de cette id e d exp rimentation et de prise de risque Il ne faut pas compter sur les secteurs de la culture et du sport pour cr er des richesses L art et la culture peuvent contribuer de mani re capitale la r alisa tion d objectifs qui r concilient la cr ation de richesse avec le d velop pement durable et le respect des valeurs humanistes communes 5 Source Union europ enne http ec europa eu Tendances 2008 2012 L re des mutations positives RS Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 11 fiches Projets NO NO Guide pratique d accompagnement la cr at
409. ist re de l cologie de l nergie du D veloppement durable et de la Mer MEEDM www developpement durable gouv fr Minist re de l ducation nationale MEN www education gouv fr Comit national olympique et sportif Fran ais CNOSF www franceolympique com a FPS fili re des entreprises sp cialis es de l quipement du sport www filieresport com m Conseil national associatifs CNEA www cnea syn org des employeurs m Conseil social du mouvement sportif CoSMoS www cosmos asso fr a Commission nationale de la certification professionnelle CNCP www cncp gouv fr R pertoire national des certifications professionnelles Fiches Pro SPORT NATURE Sites web P le ressources national des sports de nature PRNSN www sportsdenature gouv fr Notamment fiches r glementaires des activit s sportives de nature rubrique Emploi m tiers formation r pertoire de liens dont syndicats professionnels des activit s sportives de nature f d rations sportives de nature m Groupement national d employeurs Profession sport et loisirs www profession sport loisirs fr Bourse d emploi nationale des sports de nature Rencontres nationales de l emploi spor tif et de loisirs Observatoire national des m tiers de l animation et du sport ONMAS www onmas org Centre de ressources interr gional alpin sur la pluriactivit et La saisonna lit PERIPL www plur
410. it d partemental puis de sa ligue r gionale sans succ s IL doute et sa famille aussi ce stade son p re et son beau p re qui travaillent en usine l incitent rentrer dans les rangs pour devenir salari dans le milieu HOUSE Mais je suis t tu Gr ce au suivi fonctionner Il fallait de Jeunesse et rassurer expliquer et Sports il finit a Les convaincre qu ils par trouver une ne prendraient pas de solution pour i risques permettre a un club de travailler avec lui en tant que prestataire mais a n est pas facile J ai beaucoup boug pour faire avancer les choses Fin 1999 on lui conseille de cr er son entreprise mais la question des char ges la peur de l chec me freinent jusqu ce rendez vous avec la direction du Travail qui l informe qu il est exon r de charges sociales pendant trois ans Rassur il cr e alors son entreprise tout en continuant sa pr paration au BE 2 degr qu il obtient sans difficult On est en janvier 2000 et deux clubs lui font confiance d s le d part celui dans me faire embaucher par tous les clubs et essayer j tais s r que a pouvait Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises CO ND J ai tellement eu de mal d velopper l activit que lequel il a pass toute son enfance et son adolescence son club ainsi q
411. it pour cela s adresser au moins 2 mois avant l ouver ture la DDCS ou DDCSPP du d parte ment concern mLa r glementation relative au for fait touristique impose aussi un certain nombre de contraintes L organisation ou l offre d activit s spor tives assorties de prestations touristi ques implique de la part des gestion naires d activit s de loisirs la demande d une licence d une habilitation d un agr ment ou d une autorisation aupr s des services administratifs en charge du commerce touristique Le prestataire doit pour cela s adresser la d l gation r gionale du tourisme du si ge de son entreprise Les diff rents statuts Les professionnels des sports de nature peuvent exercer sous diff rents statuts ind pendant g rant ou non salari fonctionnaire Dans de nombreuses dis ciplines on sait que le cumul de statuts est courant Pour en savoir Formes de l exploitation commerciale th me 15 Droit des sports de nature Fr d rique Roux et Katja Sontag dir Territorial 2008 www territorial fr Fiches Pro SPORT NATURE c ontacts et sources d information Institutions mouvement sportif organismes professionnels a Minist re des Sports www sports gouv fr a P le ressources national des sports de nature PRNSN www sportsdenature gouv fr m Minist re de l conomie de l Industrie et de l Emploi MEIE en charge du Tourisme www tourisme gouv fr m Min
412. it que les con clusions de l valuation n ont pas t influenc es par les pr f rences personnelles ou les fiches Pratiques gt Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles ND OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises positions institutionnelles des responsables de l valuation m Possibilit de g n ralisation il s agit de savoir dans quelle mesure les conclusions port es sur les effets d une action publique partir d observations faites sur un certain type de terrain pendant une p riode donn e peuvent tre tendues d autres situations d autres contextes diff rents m Transparence outre l exigence d un expos complet et rigoureux des m thodes mises en uvre ce crit re inclut l id e que l va luation doit expliciter son propre mode d emploi et ses limites Source www evaluation gouv fr Attention un syst me d valuation trop orient vers l aspect financier ne fournit pas assez de donn es op rationnelles IL ne faut pas confondre bilan et valuation D finitions Accompagner un candidat dans le d p t d un dossier europ en passe par un temps de d couver te et d appropriation des termes usuels dans ce type de d marche En voici quelques uns Enjeu finalit ce quoi le projet entend r pondre Donne le sens du projet Axe strat gique dans un con texte connu le porteur de projet pos
413. jectifs convergence com p titivit r gionale et coop ration territoriale Commentaires et textes officiels 2007 2013 http ec europa eu L es fonds structurels La combinaison Orientations Les instruments finan ciers de l UE Les fonds structurels sont les instruments financiers de la poli tique r gionale de l Union euro p enne UE Ils visent r duire les carts de d veloppement entre les r gions et Les tats membres et participer ainsi l objectif de coh sion conomique sociale et Objectifs pose en effet le cadre politique de la programmation 2007 2013 qui est ensuite pr cis par les r glements relatifs aux fonds structurels publi s en juillet 2006 ce titre les cr dits des fonds structurels europ ens soutien nent les op rations nationales dans le respect des principes de concentration de partenariat fiches Sectorielles INR Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 24 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises d additionnalit et de program mation travers trois objectifs l Objectif Convergence qui concerne les r gions europ en nes les plus en retard de d velop pement Il correspond l ancien Objectif 1 de la programmation 2000 2006 En France sont con cern s les DOM l Objectif Comp titivit r gio nale et emploi qui s av re tre la synth se des pr c dents
414. l v nement novembre 2009 www aseditions fr m Nombreux festivals des arts de la rue recens s dans l annuaire Goliath dition Lieux publics disponible Hors les Murs www horslesmurs com m Forum de Nancy sur les musiques actuelles Nombreux changes et d bats synth ses retrouver sur le site Octobre 2005 www foruma fr m Et tous les festivals Spectacles de rue tels que celui d clat Aurillac mais aussi Chalon sur Sa ne le Festival de la Parole Grenoble et Chevilly Larue le Festival de danse Montpellier La Biennale de Lyon Les folles journ es de Nantes Le Festival interceltique de Lorient le Festival de la Marionnette Charleville M zi res Paris la Bien nale de la Marionnette en Bourgogne Informations sur les fournisseurs Organiser un spectacle c est faire appel de nombreux sous traitants Quelques points de rep re a Le Guide des agences et des presta taires L v nementiel www evenementiel fr m Le site du CFPTS centre de formation professionnelle aux techniques du spectacle donne des liens utiles par cat gories lumi re son d cor www cfpts com Pour en savoir www horslesmurs fr Fiches Pro CULTURE m Profession entrepreneur de spec tacle Philippe Audubert septembre 2007 IRMA dition retrouver sur www irma asso fr m GUSO pratique www guso com fr culture gouv fr infos p
415. l de votre r gion www vae gouv fr m Aupr s des directions r gionales de la Jeunesse des Sports et de la Coh sion sociale DRJSCS et des directions d partementales char g es de la coh sion sociale de votre r gion m Sur le site du minist re wwvw sports gouv fr o il est possible de t l charger en ligne le dossier de demande de dipl me m En consultant le r pertoire national des certifications professionnelles www cncp gouv fr L essentiel de cette fiche a t r alis sur la base des informations transmises sur les sites du minist re des Sports fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles SE A umuler plusieurs emplois ax s sur une disponibilit saisonni re dans un secteur d activit m me loign du sport est souvent La r gle Au fil des ans nombreux sont ceux qui s installent dans la pluriactivit par choix de vie pour des raisons conomiques et pour trouver des temps de respiration rendus n cessaires par La p nibilit de Leur m tier Bref clairage sur ce qui caract rise La pluriactivit dans Le champ des m tiers du sport PLURIACTIVIT ET SPORT Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises CO ND C ontexte et d finitions Plusieurs d finitions De nombreux termes circulent pour voquer la pluriactivit et les situations tr s diverses qu elle recouvre Nous retiendrons la
416. l social est librement fix par l as soci en fonction de la taille de l activit et des besoins en capi taux de la soci t 20 des apports en esp ces sont vers sobligatoirementaumoment de la constitution le solde devant tre lib r dans les 5 ans SARL le montant du capital social est librement fix par les associ s en fonction de la taille de l activit et des besoins en capitaux de la soci t 20 des apports en esp ces sont vers sobligatoirementaumoment de la constitution le solde devant tre lib r dans les 5 ans SA forme classique 37 000 minimum 50 des apports en esp ces sont vers s obligatoire ment au moment de la constitu tion le solde devant tre lib r dans les 5 ans SAS SASU Le capital est libre ment fix par les actionnaires en fonction de la taille de l activit et des besoins en capitaux de la soci t 50 des apports en esp ces sont vers sobligatoirementaumoment de la constitution le solde devant tre lib r dans les 5 ans SNC le montant du capital social est librement fix par les associ s en fonction de la taille de l activit et des besoins en capitaux de la soci t Les apports en esp ces sont ver s s int gralement ou non la cr ation Dans ce dernier cas le solde peut faire l objet de versements ult rieurs sur appel de la g rance au fur et mesure des besoins Association il n y a pas de
417. l 24 Con seil r gional Innovalis Aquitaine INPI IUT Pgx Institut du go t du P rigord Lyc e agricole du P ri gord Oseo P rigord Initiatives P rigord D veloppement organi sent le concours Cr cap Deux cat gories sont r compen s es Innovation technique ou produit et Organisation co responsable de l entreprise Une dotation globale de plus de 40 000 a t partag e entre les deux gagnants pour le concours 2010 pepiniere capacites agglo pe rigueux fr Inutile de courir tous ple aux candidats les li vres la fois agricoles services les th matiques ne manquent pas Et pourquoi ne pas l inviter commen cer par un concours r gional plus accessible accompagn s par un r seau local incubateur ou p pini re D autres d cernent des prix dans de nombreu ses cat gories 5 Source http emploi france5 fr www creacap fr fiches Pratiques No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND O O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises COMMENT FAIRE 1 pour convaincre m c nes et jurys de concours Les conseils que vous pouvez donner au cr ateur 1 Comprendre qui finance quoi et pourquoi Le simple fait de d velopper une activit artistique ne suffit plus justifier d un appui ou d un financement Comme pour les subventions ou les financements europ ens il faut conna tre
418. l absence de formation la cr ation d entreprise En revanche l apport financier de d part influe bien moins dans le secteur du spectacle vivant que dans le reste de l conomie Pour en savoir Sur le chiffre des d faillances et des cessations par activit www cofacerating fr La diffusion Le r seau fran ais du spectacle vivant est aujourd hui constitu et solide C est le premier r seau en Europe et proba blement dans le monde entier Ce sont 1 235 ensembles et compagnies 40 centres dramatiques nationaux et r gionaux 19 centres nationaux chor graphiques 12 op ras en r gions 22 orchestres permanents 70 sc nes nationales 8 centres de cr ation musicale 95 sc nes conventionn es 132 salles de musiques actuelles 167 autres lieux de cr ation ou de diffusion plus de 2 000 lieux de repr sentations 1 500 festivals dont 280 qui sont soute nus en 2008 et plus de 5 000 cr ations nouvelles chaque ann e D Source minist re de la Culture et de la Communication 2009 Fiches Pro CULTURE Cx gt Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO OST Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Le spectacle vivant est orga nis en r seaux Un premier r seau officiel rassemble 188 sc nes nationales con ventionn es th tres nationaux op ras lyriques orchestres permanents c
419. l acc s aux droits fondamentaux toute personne handicap e Elle reconna t l acc s aux loisirs et la culture comme faisant partie des besoins essentiels l existence et ouvrant droit compensation en aide humaine technique et finan ci re pour les personnes handica p es La notion de participation la vie sociale repose fondamen talement sur les besoins d aide humaine pour se d placer l ext rieur et pour communiquer afin d acc der notamment aux loisirs la culture la vie associative etc Le temps d aide humaine pour la participation la vie sociale peut atteindre 30 heures par mois qui peut tre attribu sous forme de cr dit temps et peut tre capitalis sur une dur e de 12 mois 2 Familiariser les personnes avec le lieu visites du plateau des coulisses et des salles de r p tition faire arpenter l espace aux personnes d ficientes visuel les rencontre avec les quipes techniques 3 Faire d couvrir la sc nogra phie en faisant appel aux diff rents sens toucher les costumes arpenter la sc ne et appr hender les l ments de d cor 4 Inviter les personnes assis ter au travail des artistes lors de r p titions ouvertes accueillir Les personnes malentendantes au c ur d un orchestre pour qu elles sentent les vibrations provoquer des changes avec les acteurs danseurs ou musiciens 5 Pr parer les animateurs ou les professeur
420. l animent t erritoire et choix de vie La cr ation d entreprise dans ces secteurs proc de souvent d une priorit donn e par le cr ateur fiches Projets un projet viable ces secteurs S ources et tendances Pour ce public l tude de mar ch se fait souvent avec difficult De nombreux sites et sources publics existent mais l informa tion est trop souvent m connue des r seaux g n ralistes accompagnement personnes aux sp cificit s de ou souffrant d un Il n est point de vent favorable pour celui qui ne sait pas o il va La d couverte de nouveaux march s comme la forma tion passe par une d couverte de r gles du jeu qu il ignore souvent Sa d marche m rite d tre clair e par de solides informations nationales et locales Une connaissance des march s indispensable Sans tre exhaustif on peut rap peler que dans les associations sportives les adh rents se comportent de plus en plus souvent comme des consommateurs exigeants dans le champ de la culture la question des attentes du public est une pr occupation majeure la demande de prestations des collectivit s est en augmentation constante et elle concerne tous les publics publics prioritaires Adaptez votre habitants des ZUS g es ses client les handicap Des tendances porteuses sant bien tre et d veloppe ment personnel sont au c ur des S n que es
421. l ann e La dynamique associative concerne en 2008 un tiers des personnes de 16 ans ou plus soit 15 8 millions de personnes mem bres d au moins une association En prenant en compte les adh sions multiples les associations totalisent environ 21 millions d adh sions Quatre grandes activit s pr dominent dans les associations Le sport les activit s de 3 ge la culture et les loisirs 23 Enqu te pratique physique et sportive 2010 CNDS direction des Sports INSEP MEOS Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles A Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises A m Les lieux de spectacle vivant ont t fr quent s en 2008 1 2 fois dans l ann e par 26 des Fran ais et 3 fois plus par 22 d entre eux Fr quentation des quipements culturels au cours des 12 derniers mois Sur 100 personnes de 15 ans et plus Nulle Nulle Habituelle i 24 Habituelle R guli re R guli re Exceptionnelle Occasionnelle Occasionnelle D Source Pratiques culturelles 2008 DEPS minist re de la Culture et de la Communication 2009 Exceptionnelle u ne observation difficile et incompl te Certains m tiers et certaines activit s font l objet de controverses quant au champ qu ils recouvrent surtout quand leurs contours sont volutifs Cette situation concerne directement les activit s vis es par le guide auxquelles fournisseurs de donn e
422. l des arts du cirque 1 rue du Cirque 51006 Ch lons en Champagne T 03 26 21 12 43 www cnac fr m Centre national de cr ation des arts de la rue Marseille www lieuxpublics com a F d ration fran aise des coles du cirque 7 rue Taylor 75010 Paris www ffec asso fr a FESAC F d ration des entreprises du specta cle vivant de la musique de l audiovi suel et du cin ma 5 rue Cernuschi 75017 Paris amp 01 40 53 23 00 www fesac fr FIM F d ration internationale des musiciens 21 bis rue Victor Mass 75009 Paris T 01 45 26 31 23 www fim musicians com a Institut international de la marionnette Charleville M zi res 03 24 33 72 50 www marionnette com m Jeune Th tre National 13 rue des Lions Saint Paul 75004 Paris T 01 48 04 86 40 www jeune theatre national com Aide les jeunes sortant du Conserva toire national et du Th tre national de Strasbourg monter des spectacles Syndicat des directeurs de th tres priv s 48 rue Laborde 75008 Paris D 01 42 27 4597 Les aides de l association pour le soutien du th tre priv sont importantes m SYNAPSS Syndicat national des petites structures de spectacles Th tre de la Mainate 36 rue Bichat 75010 Paris T 01 44 52 10 62 Divers m CAGEC Nantes T 02 40 48 22 23 www cagec fr Consulter le site www legiculture fr base d informations du secteur culturel r alis par CAGEC GE
423. l faut dire qu ils n ont pas h sit organiser tous les deux ans un festival international de clowns Le Tr s Grand Conseil Mondial des Clowns qui leur permet de stabiliser une quipe toff e l ann e Depuis toujours les deux associ s sont particuli rement engag s dans l action collective L aspect collectif pour nous c est tr s important C est dans le syndi cat SYCAR SYNAVI Poitou Charentes qu Hugues m ne le combat celui de la mutualisation et de La transmission Pour lui c est s r la profession doit s organi ser pour tre en mesure de proposer des accompagnements adapt s aux artistes de l orientation sur le m tier la for mation continue Pour tre aussi force de proposition face aux pou voirs publics afin de chan ger les r gles du jeu Alors il pourra contribuer mettre en place des solutions pour que les artistes jeunes et moins jeunes ne soient pas oblig s de faire les chefs d entreprise sans en avoir les moyens mais puissent se former pour le devenir s ils Le souhaitent Ce qui est important c est le r le qu on joue dans la soci t qu on soit artiste ou pas Trajectoire CULTURE La prise de risque est inh rente au m tier es points forts m Une solide formation juridique et un m Une vision d entrepreneur go t pour la gestion m On a t bien entour s de copains qui m Une association de talents et de com venaien
424. l impact de leur voyage Mais jusqu quel point Pour pr s de 9 voyageurs sur 10 le plus important est de conserver leur style de voyage 86 sou haitent avant tout faire un voyage inoubliable et 70 d entre eux sont particuli rement attach s leur confort x De nombreux barom d Sd IR tres fournissent tous les ans des r sultats con cernant l volution de la prise en compte des principes du d velop pement durable dans les modes de vie et de consommation des Fran ais l instar de celui fourni par Mondadori L e poids du tourisme en France La France est le pays le plus visit au monde et la r gion le de France est la premi re destination mondiale Premier pays au monde pour le nombre de visiteurs 82 millions d arriv es en 2007 devant l Espagne les tats Unis et la Chine troisi me pour les revenus derri re les tats Unis et l Espagne Les revenus g n r s par les entreprises du secteur du tourisme occupant 876 000 personnes ont repr sent pr s de 70 milliards d euros en 2006 D Source minist re du Tourisme 2008 fiches Sectorielles Ce secteur a enregistr en 2008 un solde des changes ext rieurs positif de 6 6 milliards d euros en baisse de 40 par rapport 2007 D Source ao t 2009 Insee Comptes nationaux Un peu plus de la moiti seule ment des Fran ais 54 prennent des vacances en t s jours de 4 nuits et plus hors du domicile
425. l va Avec mes sup rieurs hi rarchiques il y a eu franc et direct Moi je ne me tais pas souvent des clash Je suis reconduire suffisamment pour prouver son p re qu il est capable de gagner sa vie et pour savoir qu il n ira jamais tra vailler en usine l usine on lui confie des t ches rein tantes parce qu il fait plus de 1 90 m qu il p se plus de 90 kg et qu il est jeune Cette exp rience est d cisive parce qu elle Lui donne une motivation suppl mentaire pour avancer Gagner sa vie par le sport et en faisant du sport il y pense s rieusement Ses parents l y encouragent mais a n est pas le cas de tout son entourage Ma prof de commerce me disait Comment tu comptes gagner ta vie dans le sport J aimerais bien La rencontrer pour lui dire ce que je fais aujourd hui Son bac STT ACC commerce en poche il part dans le Nord pour passer un BTS action com merciale faire ses stages D cathlon et jouer Villeneuve d Ascq en nationale 3 Nous sommes en 2000 il a 19 ans et toutes les chances de pro gresser en professionnel Son nouveau club lui propose en effet de signer pour faire de lui un de ses joueurs pro quand son p re est touch par une grave maladie et d c de en fin d ann e 2001 Le jeune Hakim est terrass par le cha grin au point de l cher la formation ain si que son engagement sportif Mon p re c tait le centre du mo
426. la diffusion et la croissance de leur compa gnie m me s ils ont fait le choix d embaucher des personnes comp ten Cette comp tence de gestionnaire il faut l avoir dans l entreprise Mais je cumulais Les deux Pour d velop per mes comp tences d artiste de clown ou de metteur en sc ne il a fallu que je d l gue et j ai eu du mal Francis aussi pour la vente Trajectoire CULTURE Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles O I Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O CO salari s et non des faux tes pour assurer la communication et l administration des Matapeste C est dans la C est rare dans notre fa AU construction du milieu mais j aime a duo gestion la compta la gestion Je crois que cela m a permis de compenser l ins curit li e l artistique naire et artiste qu il a forg son temp rament de chef d entre prise comme Francis l a fait avec la diffusion L artiste veut souvent tout g rer sans penser aux moyens Le gestionnaire lui se paie la r alit conomique de l entreprise mais aussi celle de l em ployeur L aller retour l entente entre artiste et gestionnaire est primordiale En 2006 le projet de coop rative SCOP voit le jour D s 1986 on d couvre ce statut parce que l tat encourage la cr a tion de SCOP mais on y renonce parce que certaines collectivit s nous disent qu elle
427. la cessation d activit s de l une des deux parties ILfaut alors pr voir Le sort des obli gations r ciproques le rembour sement des sommes vers es les dommages et int r ts ventuels Litige En cas de litige concernant l ex cution du contrat une phase de concertation et de m diation peut tre envisag e Tribunaux comp tents La d finition du tribunal comp tent se fait en fonction du si ge social des parties de la nature de la convention et du montant de la demande Source ADMICAL www admical org fiches Pratiques gt Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O TROUVER L INFO m ADMICAL Association pour le d veloppement du m c nat industriel et commercial 16 rue Girardon 75018 Paris 0142552001 m Fondation de France Service Conseil en m c nat d entreprise 40 avenue Hoche 75008 Paris 01 44 21 31 00 m Fondation du Sport 40 rue La P rouse 75116 Paris 0144 17 80 06 www fondationdusport org m Fondation du Sport Francais La Fondation du Sport Fran ais FSF est n e au Comit Natio nal Olympique et Sportif Fran ais CNOSF et a vu le jour en 2011 Elle rassemble le mouvement paralympique la Fondation V o lia la Mutuelle des Sportifs et la Fondation Fran aise des Jeux La FSF se fixe comme mission principale de promouvoir le sport comme vecteur d
428. la cr ation sur ce march eeeee TOURISME LOISIRS SPORT ET HANDICAP es diff rentes formes de handicap Les chiffres concernant le han dicap en France varient selon la d finition donn e ce terme ainsi que la source des donn es Les chiffres les plus couramment utilis s sont ceux issus de l en qu te Handicap incapacit s d pendance HID r alis e par l Insee entre 1998 et 2001 dont voici un extrait Handicap visuel Au total 1 7 million de person nes souffrent d une d ficience visuelle dont 207 000 malvoyants profonds Moins de 1 des d ficients visuels 8 000 personnes environ se ser vent d interfaces d ordinateurs reconnaissance vocale cran tactile synth se vocale 15 des aveugles ont appris le fiches Sectorielles braille 10 l utilisent pour la lecture et 10 pour l criture galement Handicap auditif Au total 5 18 millions de person nes souffrent d une d ficience auditive Moins de 1 des d ficients audi tifs 44 000 d clarent utiliser la langue des signes 8 chez les personnes ayant une d ficience auditive profonde ou totale Handicap moteur Les d ficiences motrices sont pr dominantes pour environ 850 000 personnes Handicap intellectuel Environ 700 000 personnes souf frent de handicaps intellectuels difficult s de l apprentissage du langage ou retards mentaux D Source www webaccessibilite fr Sports s
429. la ques le poids des march s publics dans le PIB environ 15 Ils affichent leurs priorit s et notamment cel les relatives au d veloppement durable au travers des politiques et des march s publics En effet depuis le 1 mars 2005 la Charte de l environnement est int gr e au bloc constitutionnel et tablit que Les politiques publiques doivent promouvoir un d veloppement durable cet effet elles concilient la protection et la mise en valeur de l environ nement le d veloppement cono mique et le progr s social Par ailleurs depuis le d cret du ler ao t 2006 portant r forme du Code des march s publics le d veloppement durable est expli citement mentionn Pour les acteurs publics que ce soit au niveau local national ou europ en les objectifs de d ve loppement durable orientent donc termes concrets tion des valeurs non seulement la d termination va permettre au n est pas claire des besoins prio Dans ces secteurs cr ateur de mieux ment abord e ritaires satisfaire l acteur public est un d fendre son projet mais aussi les moda acheteur un finan lit s de s lection des ceur et un partenaire Les principes du prestataires quand majeur Conna tre Les d veloppement durable L tat et Les collectivit s territoria il y a lieu pour y textes de r f rence les sont des acheteurs potentiels parvenir E en la mati re devient imp ratif d envergure comme en t moi
430. larges dont les accoudoirs peuvent tre enlev s et rabattus m Faciliter l acc s au bar aux toi lettes par une circulation sans obstacles m Installer ascenseur ou l vateur m Mettre en place des aides au suivi du spectacle m S quiper de syst me de transmis sion et d amplification des sons boucle magn tique infrarouge m quiper des fauteuils de dispositif d coute ou d amplification du son m Assurer le sous titrage du spec tacle La projection sur cran ou sur livret lectronique m Mettre en place un syst me d audio vision qui d crit oralement les l ments visuels du spectacle Source www pro rhonealpes tourisme com fiches Pratiques Espaces ext rieurs Les manifestations en plein air sont bien moins contraignantes en terme d accessibilit que les structures ferm es les espaces sont ouverts l orientation est faci lit e et Les circulations sont g n ralement de plain pied COMMENT FAIRE pour adapter les acc s et Les abords du site Selon le l gislateur il convient de prendre en compte m Le rep rage et Le guidage signa lisation adapt e visible lisible et compr hensible rev tement du cheminement accessible pr sentant un contraste visuel et tactile par rapport son environnement mles caract ristiques dimen sionnelles des cheminements ext rieurs plain pied largeurs de passage et de man uvre pour les personnes circ
431. le d clarant m Pratique sportive y compris arts devra produire ces deux pi ces martiaux A La partie VI du Code du d Siir travail ne pr voit aucu ne restriction quant au statut du d clarant il peut donc s agir de toute personne morale de droit priv y compris en auto entreprise les personnes morales m Jeux et activit s sp cifiques de de droit public et les personnes loisirs physiques m D veloppement des capacit s comportementales et relation nelles m D veloppement des capacit s d orientation d insertion ou de r in sertion sociale et professionnelle D Source Circulaire DGEFP n 2011 01 du 6 janvier 2011 relative la d claration d activit des prestataires de formation 3 Une copie de la premi re con vention de formation profession nelle pr vue l article L 6351 1 ou d faut du bon de commande AMAR vit devient caduque ou de la facture tablis pour la lorsque le bilan p da r alisation de la prestation de for gogique et financier ne fait appa mation conform ment l article paf tre aucune activit de forma L 6333 2 ou s ily a lieu du pre tion ou lorsque ce bilan n a pas mier contrat de formation profes t adress l autorit comp sionnellepr vu l articleL 6353 3 tente Article L 6351 6 du Code 4 Pour les organismes qui pr du travail sentent l appui de leur d cla ration une convention de bilan de Pour en savoir comp tences po
432. le pour les h ber gements touristiques d cern par la Fondation pour l duca tion l environnement Plus de 550 tablissements dans 12 pays d Europe et d Afrique du Nord ont obtenu le label en 2008 cog tes Un h bergement cog te est un h bergement labellis G tes de France con u ou restaur selon des techniques ou mat riaux reconnus comme ayant un faible impact sur l environnement Une d marche p dagogique d coci toyennet doit aussi tre engag e afin de sensibiliser les h tes au respect de l environnement et sa protection M La norme ISO 26 000 est d Savoir la seule norme interna tionale qui fixe les lignes directrices de la responsabilit soci tale la RSE responsabilit sociale des entreprises est uti lis e comme un l ment d iden tification de la bonne gestion de l entreprise au regard du respect des principes du d veloppement durable Pour en savoir Consulter La RSE en 10 questions de l AFNOR www afnororg fiches Pratiques Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles A O7 NS Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises pour d terminersisonprojetint greles principes d ac COMMENT FAIRE 1 tion du d veloppement durable Les conseils de l ADEME m Questions portant sur La pr caution et La pr vention Appr hension des risques et des opportunit s Une pr tude du projet a t ell
433. lement sur la base des deux fiches Rep res de l Avise correspondantes les lieux de musiques actuelles et amplifi es t l chargeables sur le site de l Avise www avise org Ce rar 5 zi ea ad o 2 a o fe re 5 mn D n 2 a Ca 2 S 22 Fiches Pro CULTURE Et PRODUCTION AUDIOVISUELLE Code NAF2008 r v2 5911 5911B 59127 et divers Tous droits r serv s Cr dit photo Frank Boucher Principaux codes NAF d une fiction est Le r sultat d une triple recherche une id e origina le un r alisateur ce peut tre l auteur lui m me et un producteur qui va positionner le projet aupr s d un diffuseur f a concr tisation d un film d un documentaire d un court m trage ou Elle a t boulevers e ces derni res ann es par les technologies audiovisuelles auxquelles les professionnels ont un acc s plus facile et plus rapide aujourd hui Internet le num rique les images de synth se et la t l phonie 3G ont boulevers l approche audiovisuelle des entreprises et l animation t l vis e La crise de 2008 n a pas pargn ce secteur E ctivit s du secteur leurs dur es court ou long m trage CO OO NS Guide pratique d accompagnement La cr ation d entreprises D finition IL s agit de production de films qui ne sont pas destin s la diffusion cin ma tographique en salle et ce quels que soient
434. ler sur le d veloppement rural Culture et libert s curit justice Des projets pour travailler sur les droits fondamentaux Des projets pour travailler sur l int gration Culture et Union acteur global Des projets avec les voisins de l Europe en M diterran e ou l est Des projets de coop ration avec les pays en d veloppement Source www relais culture europe org Pour en savoir Sur la politique culturelle et sur l Ann e europ enne de la cr ativit et de l inno vation http europa eu fiches Sectorielles O TROUVER L INFO ALSACE www bas rhin pref gouv fr site Programmes et fonds euro peens 16 html AQUITAINE www europe en aquitaine eu programmes europeens 2007 2013 en aquitaine AUVERGNE www europe en auvergne fr panorama des programmes euro peens auvergne html BASSE NORMANDIE www calvados pref gouv fr sections basse normandie l_europe documents a telechar id fse documents a te BOURGOGNE www europe bourgogne fr BRETAGNE www bretagne pref gouv fr sections europe CENTRE www europe centre eu CHAMPAGNE ARDENNES www champagne ardenne pref gouv fr index php europe site europe home programmes les_ programmes _europeens_2007_ 2013 CORSE www corse pref gouv fr scripts display asp P EAfeder www corse pref gouv fr scripts display asp P EACOOP2007 2013 FRANCHE COMT www europe franche comte fr docs php GUADELOUPE www cr guadeloupe fr europe ARB_N_ID 699 amp ARB_N
435. lerie entre 8 500 et 9 000 il faut rajouter man ge vestiaires sanitaires et stockage du fourrage Le prix moyen d un cheval va de 1 200 4 000 et celui d un poney de 150 500 Un cheval se renouvelle environ tous les 6 ans SAUT IL y a une moyenne de 30 chevaux par centre questre pratiquant l ensei gnement et environ 15 20 poneys par poney club Le co t moyen d un cheval est de 90 100 par mois Un cheval consomme en moyenne 10 kg de paille par jour co Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles CO ND Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises R partition par grande cat gorie juridique au niveau national D Source RES Octobre 2010 volution du secteur Le statut des entreprises Depuis le 2 f vrier 2005 avec le vote de la Loi sur le d veloppement des terri toires ruraux l ensemble des activit s de la fili re quine est d sormais consid r comme relevant du champ des activit s agricoles et b n ficie d un statut cono mique fiscal et social harmonis Cf la modification de l article 63 du Code g n ral des imp ts et la modification de l article L 311 1 du Code rural Les cons quences fiscales Les cons quences fiscales sont essen tiellement les suivantes application du taux de TVA 5 5 par rapport l activit et non au statut de l entreprise exon rat
436. les deux cas ses qualit s personnelles et son savoir faire sont essentiels Point sur ce qu il ne faut pas omettre dans le conseil ce stade M C NAT ET CONCOURS LA CR ATION COMMENT S Y PRENDRE Le m c nat se traduit par le ver sement d un don en num raire en nature o en comp tence un organisme pour soutenir une uvre d int r t g n ral Si le b n ficiaire est ligible au m c nat d ductible le don ouvre droit pour les donateurs des avanta ges fiscaux Par ailleurs l entre prise donatrice peut maintenant b n ficier de certaines contre parties en communication et rela tions publiques Pour le m c nat dont la valeur doit des particuliers cependant r pon les contreparties dre certaines strictement limit es conditions sont symboliques c nat un soutien fortement r glement Qu est ce que le m c nat L arr t du 6 janvier 1989 rela tif la terminologie conomique et financi re d finit le m c nat comme le soutien mat riel apport sans contrepartie directe de la part du b n ficiaire une uvre ou une personne pour l exercice d activit s pr sentant un int r t g n ral Si les notions centrales de cette d finition soutien absence de contreparties et int r t g n ral conservent toute leur valeur le d velop pement du m c nat en France doit beaucoup aux mesures Ce soutien mat riel qui impl
437. les d achat d espaces m Am nagement et entretien des sup ports d affichage et de publicit ext rieure m Distribution de prospectus et d chan tillons publicitaires Distribution directe m Distribution de journaux documents objets et autres supports publicitaires tous caract re gratuit et non adress Loisirs entreprises de droit priv but lucratif Espaces clos et am nag s recevant un public familial m Parcs de loisirs et d attractions m Gestion du patrimoine naturel jardins botaniques r serves et parcs naturels l exclusion des zoos m Mus es et sites de tous types Discoth ques Activit s sportives caract re r cr atif m Gestion d installations sportives m Centres de culture physique Jeux de hasard et d argent l exclusion des casinos lui permet en effet de s inscrire dans une formation longue sans d missionner de son entreprise Ce dispositif peut s av rer int ressant pour les candidats la cr ation vis e par le guide en fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles o j particulier dans le secteur des sports et loisirs de nature o poly valence pluriactivit et r glemen tation conjugu s requi rent des qualifications multiples Qui est concern Tout salari peut acc der un cong individuel de formation quels que soient l effectif de l en treprise et la nature de son con trat d
438. les priorit s des structures sollicit es et conna tre les r gles du jeu qui sont les leurs La d marche de recherche de fonds aupr s d une entreprise est cependant fonda mentalement diff rente de la recherche d une subvention publique L entre prise n est nullement tenue de financer la culture si elle le fait c est parce qu elle y trouve un int r t IL est donc essentiel de comprendre cet int r t et d y adh rer Les sites internet les rapports d activi t s sont utiles pour cela de m me que la presse conomique 2 Y consacrer le temps n cessaire Agir un an avant la date de r alisation du projet et ne pas h siter rencontrer les chefs d entreprises de facon informelle dans les cercles qu ils fr quentent unions patronales associations d entre preneurs etc pour le m c nat 3 Pr parer un bon dossier Un dossier clair et pr cis s impose quel que soit le destinataire Il faut l inciter le ficeler comme s il s adressait des investisseurs la description pr cise du projet l originalit du projet la cible public le rayonnement g ographique l tude de march et Le plan de finance ment doivent y figurer Mais on peut ajou ter d autres l ments comme une pr sentation multim dia ou des documents Pour en savoir en annexe photos plaquettes r f ren ces clients etc Dans le cadre de la re cherche de m c nat la nature des con treparties offertes l entreprise
439. les prix de revient on peut avancer une moyenne d environ 30 40 par heure d occupation et un co t annuel par usager de 300 400 volution du secteur Outre la cr ation et la diffusion trois activit s structurent le secteur la r p tition l accompagnement l infor mation les ressources l action cultu relle Fiches Pro CULTURE R p tition accompagnement 85 des lieux adh rents de la F durok int grent une activit de r p tition et la plupart des lieux qui ouvrent actuelle ment sont quip s de studios de r p ti tion Cette activit ne consiste pas sim plement proposer aux musiciens des cr neaux de r p tition dans une salle quip e Elle peut tre d finie au sens large comme de l accompagnement r p tition accompagn e aide la pro duction la diffusion etc Certains lieux organisent de v ritables parcours de professionnalisation de groupes sur plusieurs ann es Des studios d enregistrement sont ga lement disponibles dans certains lieux En outre des services d enseignement musical sont galement propos s stages ponctuels avec des profession nels formation individuelle et collective Certains lieux mettent galement disposition des ordinateurs quip s avec de nombreux services associ s aide la consultation cours de MAO Musique assist e par ordinateur o de construc tion de sites web Information ressources 80 des lieux
440. leur ind pendant pour l activit de monitorat Depuis l an dernier elle a un comptable parce qu elle ne s en sort plus chacun son m tier Elle a vite compris qu elle pourrait vivre du parapente durant toute l ann e Mais pour prot ger cette activit qui lui tient tant c ur elle comprend galement rapi dement qu une autre activit est n cessaire pour garder la qualit de vie souhait e et lui assurer un revenu compl mentaire Les trois mois d hiver restent conomiquement non n gligeables compa r s aux sept mois d t Professionnellement elle est dans une phase moins cr ative qu une poque IL faut dire qu elle est engag e dans un projet mais sur un plan beaucoup plus personnel 33 ans elle attend son pre mier enfant Pour pouvoir s occuper de lui comme elle l entend il va falloir qu el le s organise autrement tout en ayant des revenus suffisants pour l lever Sa maison elle en est d j propri taire quant son activit profes sionnelle elle se pr pare la g rer dif f remment La luge c est ce qui me permet de manger L en seignement du parapente c est ce qui me fait vibrer et vivre et qui m a permis de choisir cette vie et en toute s curit C est pour a qu elle a cr Esprit Parapente en EURL et pour que cela garde son identit m me si je suis moins sur le terrain un certain temps Dans trois ou quatre ans quand
441. leurs supports diapos films vid o multim dias et t l phonie ou ou leurs formes reportages films de prestige de promotion documentaires fictions s ries programmes d anima tion etc Cette production de films est destin e plusieurs types de client le Fiches Pro CULTURE m Entreprises et institutionnels On parle alors dans les deux cas de films de commande c est dire de films publicitaires ou institutionnels a Cha nes de t l vision Les producteurs de production t l vi suelle d veloppent soit des program mes de flux missions de vari t s jeux retransmissions sportives ou journaux t l vis s magazines soit des uvres les fictions et documentaires de cr ation l animation les vid omusiques clips et les captations r cr ations de spectacles vivants x Mile producteur de l uvre d Savill audiovisuelle est la personne physique ou morale qui prend l initiative et la responsabilit de la r ali sation de l uvre Il produit post produit et fait diffuser D Source art 132 133 Code de la propri t intellectuelle Structure de la profession ms Une soci t de production audio visuelle conduit son terme les op ra tions de conception de r alisation de fa brication et d exploitation des films Elle fait le plus souvent appel des presta taires ext rieurs pour le mat riel de tournage le montage et la post produc tion Le premi
442. leurs titulaires Quand ces derniers d cident de cr er leur propre entreprise apr s avoir t saisonnier pendant plu sieurs ann es ils n ont pas n ces sairement les qualifications requi ses pour se lancer Dans ce secteur d activit la multiactivit est la r gle La polyvalence qu elle induit n est cependant pas chose facile La VAE peut donc repr senter pour eux une solution particuli rement int ressante W L essentiel de l information dans cette fiche provient des sites publics www vae gouv fr et www service public fr fiches Pratiques e candidat la cr ation doit pouvoir d gager du temps et des ressources pour mener bien son projet Plusieurs mesures natio nales et territoriales peuvent contribuer lui faciliter la t che Elles sont compl mentaires de l appui fourni par de nombreux r seaux qui accompagnent les cr ateurs tout au long de leur parcours Tour d horizon de quelques r seaux connus et moins connus et des principales mesures en vigueur eeeee S CURISER UN PARCOURS DE CR ATION e cong pour cr ation d entreprise IL dure 1 an et peut tre renouvel une fois Qui est concern Tout salari dont l anciennet dans l entreprise est gale ou sup rieure 24 mois cons cutifs ou non Tout salari dont le projet est de cr er ou de reprendre une entre prise individuelle ou en soci t qu elle soit industrielle commer ciale artisanale ou agricole
443. li au r gime des artistes auteurs les r mun rations vers es devront tre assujetties au r gime social des ind pendants sous b n fice du seuil d exon ration allocations familiales et CSG CRDS et des cotisations forfaitaires assurance maladie invalidit d c s vieillesse de base et compl mentaire Pour en savoir Code de l ducation L 911 6 reprenant la loi n 88 20 du 6 janvier 1988 article 7 D cret n 88 709 du 6 mai 1988 article 4 relatif aux enseigne ments artistiques et conditions dans lesquelles certaines person nes peuvent apporter leur con cours aux enseignements artis tiques du premier et du second degr Arr t du 10 mai 1989 articles 1 et 2 sur les modalit s d attestation de comp tence professionnelle pour les personnes apportant leur concours aux enseignements et activit s artistiques D Source www educart culture gouv fr fiches Pratiques e qu il faut savoir avant de se lancer Les organismes de formation sont soumis certaines obligations administratives dont la d clara tion d activit et Le bilan p dagogi que et financier articles L 6351 1 et L 6352 11 du Code du travail Ces obligations s appliquent aux tablissements ayant une autono mie financi re c est dire ayant la capacit de souscrire des con ventions de formation Qui peut ouvrir un orga nisme de formation Il n est pas n cessaire
444. lication des plateformes de dif fusion de l audiovisuel TV sur ADSL TNT TVHD Web TV pour une entreprise TV sur les t l phones portables ces nouvelles t l visions offrent d sormais de r elles opportunit s de relancer le march des outils de production l re du num rique la multiplica tion des cha nes devrait b n ficier la production mais des contraintes de financement fortes continuent freiner ce d veloppement D Source Salon Satis 2008 mles strat gies des acteurs de la production pass un certain stade de Fiches Pro CULTURE Cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO OO O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises d veloppement s organisent autour des axes suivants strat gie d investissement dans cer tains genres afin d acqu rir une position dominante strat gie de d veloppement dans toute la cha ne de valeur de la production sans omettre l Internet conclusion d alliances et de partena riats avec des acteurs compl mentaires autres producteurs distributeurs ou diffuseurs croissance externe pour b n ficier d un effet de taille internationalisation pour gagner de nouveaux march s l export m Concurrence effr n e dans tous les cas de figure au sein de l Hexagone et en dehors des fronti res concurrence des services audiovisuels des entreprises concurrence des agences mult
445. lit s et les orien tations conomiques de l organis me distributeur les montants des pr ts accord s oscillent g n rale ment entre 3 000 et 15 000 avec un montant moyen avoisinant 7 500 Les PFIL Si Le cr ateur ne dispose pas de 50 du co t total du projet il peut s adresser une plate forme d initiative locale PFIL Les PFIL interviennent au niveau d parte mental ou local pour des pr ts d honneur jusqu 30 000 rem boursables sur 5 ans L ADIE Si Le co t total du projet est inf rieur 7 500 l Association pour le droit l initiative conomique ADIE peut tre sollicit e pour des pr ts de 5 000 maximum remboursables en 2 ans Une personne doit se porter garante hauteur de 50 de la somme demand e L ADIE Association pour IIS Le droit l initiative co nomique a d cid de lancer un site de microcr dit en ligne www adieconnect fr IL permet d octroyer directement des microcr dits inf rieurs 2 000 afin de faciliter les d mar ches et de r duire les d lais d obtention 5 jours ouvr s via AdieConnect Tous les types de projets sont ligibles ces cr dits en ligne Dans tous les cas il faut garder en m moire que chacun de ces ta blissements a son domaine d in tervention privil gi et que pour obtenir les garanties demand es le cr ateur peut avoir recours un fonds de garantie L e capital risque solidaire Le
446. litiques qui vont peser fortement dans la mise en uvre du projet Ses ressources naturelles e Ressources naturelles qualifica tion des sites accessibilit niveaux de pratique beaut des paysages am nagements et touristiques h bergement offre r cr ative pour un projet dans le champ des sports et loi sirs de nature Son organisation e Comment l offre est elle organis e e Ya t ildesespacesde mutualisation e Y a t il une politique de communica tion et de mise en march l chelle du territoire sur la fili re consid r e Exemple de tableau pour guider le cr ateur dans sa d marche Chiffres Produits services Prix d affaires e M e Combien sont ils e O sont ils e Quels sont les leaders e Que proposent ils e qui et quels prix e Les consommateurs clients sont ils satisfaits Les politiques publiques e Y a t il une politique forte dans votre secteur e Quels sont les espaces d di s la concertation eLes lus en charge de votre fili re sont ils dynamiques et engag s e Un acteur est il en charge de votre fili re sur le territoire e Quelles sont les dominantes de la territoire repr sentations fili re sur ce e Pouvez vous d crire l identit domi nante de ce territoire e Les lus ont ils d fini une strat gie marketing territoriale e Quelle place accorde t elle votre fili re e Mais y a t il aussi des mesures s
447. llant des jeunes handicap s moteurs leur sortie des centres de r adapta tion fonctionnelle enseignement scolaire et professionnel accom pagn d un ensemble de soins requis pour la r ducation Institut m dico ducatif IME Institut sp cialis quivalent un IMP ou un IMPro mais accueillant des enfants et des adolescents de 3 18 ans voire 20 ans Institut m dico p dagogique IMP tablissement assurant les soins l ducation et l enseignement g n ral des enfants handica p s de 6 voire 3 ans 14 ans environ Structures m dico sociales Centre d accueil de jour CAJ Centre pour personnes ayant des incapacit s persistantes et permanentes o elles peuvent recevoir tout en rentrant chez elles la fin de la journ e des services de r adaptation de main tien des capacit s et de soutien l int gration sociale Service d accompagnement la vie sociale SAVS Service contribuant la r alisa tion du projet de vie de personnes en situation de handicap par un accompagnement adapt favori sant le maintien ou la restauration de leurs liens familiaux sociaux scolaires universitaires ou pro fessionnels et facilitant leur acc s l ensemble des services offerts par la collectivit Service d accompagnement m dico social pour adultes han dicap s SAMSAH Service r alisant des missions d int gration sociale et profes sionnelle galement d volues aux S
448. ls attendent pour r ussir dans leur initiative entrepreneuriale et pro bablement pour tenter de r ussir dans leur vie Alain Philippe pr sident de la fondation MACIF Une coop rative d activit s et d emploi CAE est une entreprise dont l objectif est de cr er des emplois p rennes et de la riches se conomique et sociale sur son territoire Dans les coop ratives d activit s et d emploi les entrepreneurs salari s sont la fois responsa bles de leur devenir conomique et parties prenantes d une entre prise collective o se mutualisent les exp riences dans un esprit d entraide et de convivialit Cette d marche originale est por t e notamment par les r seaux Coop rer pour entreprendre aujourd hui 68 coop ratives d ac tivit s en France en Belgique et au Qu bec et Copea 35 CAE dans la r gion Rh ne Alpes aujourd hui Les principales caract ristiques Entrepreneur salari D s ses premi res affaires le porteur de projet se voit proposer le statut d entrepreneur salari Il est embauch en CDI temps partiel au d part sur la base de quelques heures et commence se r mun rer avec son propre chiffre d affaires d duction faite des charges li es l activit des cotisations sociales et de la par ticipation aux frais de gestion autour de 10 du chiffre d affai res En contrepartie la coop ra tive le fait b n ficier de son cadre juridique eteffectue p
449. ls de com munication adap t s site internet plaquettes E Communiquer sur son activit voire sa personne est devenu un passage oblig de la vente d un produit d un service ou d une prestation IR Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises e passage la cr ation n est pas sans risque m me si la passion est cens e permettre au cr ateur de surmonter plus facilement les difficult s qu il ne manquera pas de rencontrer Pour lui donner toutes les chances de r ussite cette tape m rite d tre abord e avec des connaissances juridiques et m thodologiques appropri es R capitulatif des points qui m ritent une attention particuli re cette tape LES POINTS DE VIGILANCE 1 La communication du projet 2 La connaissance des statuts La SCOP Le passage la cr ation ne se fait pas sans difficult car les id es recues provoquent encore ce stade des situations de blocage et le cr ateur n a pas toujours conscience des progr s qu il doit r aliser pour convaincre Pourtant d velopper une activit artistique ne suffit plus justi Qu appelle t on une entreprise qui marche Est ce une entreprise avec une croissance forte en termes de progression du chiffre d affaires Est ce une entreprise particuli rement dynamique en mati re de communication fier l attribu
450. m p titivit Cap Digital situ Paris au 74 rue du Faubourg Saint Antoine Source Observatoire de la production audio visuelle et cin matographique en le de France Degardin P Veillon O R avril 2011 Pour en savoir Pour retrouver tous les chiffres sur la production audiovisuelle la diffusion de vid os et La diffusion des films la t l vision consulter le site www cnc fr la rubrique Statistiques Chiffre d affaires Beaucoup d entreprises font environ 300 000 de chiffre d affaires tandis qu une autre partie de la profession atteint des CA de l ordre de 1 5 M D autres entreprises attendent de nouveaux contrats et r alisent tr s peu de chiffre Facturation Quelques facturations HT 10 minutes de films Autour de d entreprise support vid o 4 500 52 minutes de documen taire tourn en 16 mm 180 000 livr en vid o Spot TV 30 secondes en 150 000 35 mm 500 000 Facturation du court m trage entre 400 et 600 la minute SAV tude de march volution par type de client le m Institutionnels croissance soutenue par le d veloppement touristique et culturel Dans le secteur public les appels d offres accompagnent tout budget sup rieur des montants fix s par le Code des march s publics Pour en savoir www minefe gouv fr puis commande publique march s publics Fiches Pro CULTURE
451. m diat permettant une vision et une lecture en position debout comme en position assis Le support doit tre situ une hau teur inf rieure 2 2 m permettre une personne malvoyante de s approcher moins de 1 met non blouissant lisibles information fortement contrast e par rapport son support hauteur des caract res d criture proportionn e aux cir constances compr hensibles la signal ti que doit recourir autant que pos sible des ic nes ou des picto grammes lorsqu ils existent le recours aux pictogrammes nor malis s s impose Il faut penser au del de la r glementation tout ce qui va pouvoir faciliter le rep rage et le cheminement en toutes circonstances fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles A ex O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises a T Les pictogrammes MIRRI tes plus courants lls permettent d attirer latten tion Ils sont tr s utiles dans tous les supports de communication et pour la signal tique Il n existe pas de pictogramme standardis Personne malvoyante ou aveugle Personne malentendante ou sourde Personne handicap e moteur Personne en situation de handicap mental e cna 1 Langue des signes Personne avec enfant en poussette Information pour les W personnes malentendantes Caisse comptoir accessible aux personnes ha
452. ma de l audio visuel et de la publicit 3 rue au Maire 75003 Paris amp 01 44 78 39 39 www afdas com Fiches Pro CULTURE Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Co O CO 39 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Salons Festival du court m trage de Clermont Ferrand T 047391 65 73 www clermontfilmfest com m Les rencontres audiovisuelles de Lille T 03 20 53 24 84 m FIPA festival international de pro duction audiovisuelle chaque ann e Biarritz T 014489 99 99 m FIAC festival international des arts du clip contactdfestivalduclip com m TOP COM les professionnels de la communication d entreprise www topcom fr 2 congr s par an m SIEL SATIS Salon des techniques de l image et du son annuel novembre Paris www satis expo com Pour en savoir Liste des 700 salons et festivals sur www videadoc com Information Emploi m tiers m Les m tiers de l audiovisuel voluent tr s vite Un point sur cette volution est fait par UINA lors du Salon Siel amp Satis 2008 www siel satis com a Le chat sur www lesmetiers net au sujet des m tiers du spectacle La brochure Formation aux m tiers de la culture cin ma et audiovisuel du minist re de La Culture amp 0140158778 BAux ditions DIXIT le Guide des m tiers et formations audiovisuel cin ma ainsi que des formations ponc
453. mais plusieurs m thodes de calcul pour aboutir un chiffre d affaires r aliste BON Savor l une d elles consiste tudier des projets similaires sur son territoire d implantation ou sur d autres zones g ographiques une autre valuer dans le cadre d une enqu te de terrain les intentions d achat des clients potentiels une autre tester son projet en grandeur nature Au terme de cette tape le candidat la cr ation doit pouvoir exprimer les points forts et les points faibles de son produit service concept projet par rapport son ses concurrent s en termes de qualit de produits pres L id al est d utiliser tations de prix de plusieurs m thodes services de d lais afin de faire ressortir de promotion de une hypoth se basse partenariats et une hypoth se haute L int r t de ce travail est multiple IL permet de n oublier aucun moyen de chiffrer ces moyens de s assurer de la compatibi lit entre l ampleur des t ches et __ Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques A oo NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises COMMENT FAIRE m tape 4 pour le guider dans la formulation des grands lignes de son projet e L activit que vous envisagez est elle soumise une r glementation parti culi re condition de dipl me d auto risation administrative d hygi ne de s curit
454. mande l employeur doit en retour faire conna tre par crit l int ress son accord ou les raisons de service motivant le report de l autorisation d absence Ce report ne peut exc der 6 mois Le salari b n ficiaire d un cong de bilan de comp tences peut pr senter une demande de prise en charge des d penses aff rentes ce cong l organisme collecteur FONGECIF ou dans certains cas OPCA de branche auquel l employeur verse la con tribution destin e au financement des cong s individuels de forma tion L organisme collecteur est susceptible de refuser le finan cement du cong notamment lorsque les demandes de prise en charge ne peuvent tre tou tes simultan ment satisfaites ou lorsque l organisme charg de la r alisation de ce bilan de comp tences ne figure pas sur la liste arr t e par l organisme paritaire i Pour les salari s en IRI CDD c est l organisme de financement du CIF dont d pend l entreprise dans laquelle il a effectu son der nier CDD S il est int rimaire un seul interlocuteur le Fonds d assurance formation du travail temporaire Pour en savoir Consulter le site www faftt fr En cas d accord la r mun ration du salari est gale celle qu il aurait per ue s il tait rest son poste de travail dans la limite de 24 heures Elle lui est vers e par l employeur lequel est rembours par l organisme collecteur fiches Pratique
455. me Si celui ci est r fractaire au partage et s il ne supporte pas d avoir des comptes rendre certains statuts ne sont pas faits pour lui fiches Pratiques IR Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND o Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises La protection des biens Si Le cr ateur a un patrimoine per sonnel prot ger et ou trans mettre le choix de la structure juridique prend toute son impor tance Aujourd hui l entrepreneur indi viduel peut prot ger ses biens immobiliers en effectuant une d claration d insaisissabilit devant notaire C est une d mar che efficace mais souvent assez co teuse Constituer une soci t permet de diff rencier le patrimoine person nel de celui de l entreprise et donc de prot ger ses biens person nels de l action des cr anciers de l entreprise x Depuis le 1 janvier d CO 2011 les entrepreneurs individuels d j en exercice ou lors de la cr ation de leur activit peuvent choisir le nouveau statut d entrepreneur individuel responsabilit limit e EIRL qui distingue le patrimoi ne professionnel du patrimoine personnel l entrepreneur individuel peut opter pour le r gime de l EIRL et constituer un patrimoine affect son activit professionnelle dis tinct de son patrimoine personnel L EIRL lui permettra d isoler ses biens personnels des poursuites des cr anciers profession
456. me quitable organise les voyages autour de six engagements imp ratifs qui ont fiches Sectorielles trait aux droits l mentaires de l Homme et la transparence des relations permettant chacun de faire valoir ses droits travailler en partenariat avec les prestataires parmi les plus d fa voris s dans une approche soli daire et pour un d veloppement durable accorder le prix et la qualit des prestations le versement d acomptes et du solde assurer la transparence dans le fonctionne ment des diff rents partenaires s engager pour l am lioration de l environnement socio cono mique informer le touriste valoriser les potentiels et savoir faire locaux accepter le contr le du respect de ces principes D Source crognature com Le tourisme durable Pour ATOUT France le d veloppe ment du tourisme durable s en tend comme Toute forme de d veloppe ment de cette activit touristique qui respecte pr serve et met en valeur long terme les ressources naturelles culturelles et sociales d un territoire Le d veloppement du touris me durable doit s inscrire dans une dynamique qui articule des modes de production et de con sommation responsables tout en offrant aux populations qui vivent travaillent ou s journent sur cet espace des avantages socio conomiques quitablement r partis Ce d veloppement sup pose un am nagement et une ges tion i
457. me les primes r gio nales la cr ation d entreprise peuvent galement compl ter le financement du lancement de l entreprise L e pr t d honneur V ritable coup de pouce finan cier pour les porteurs de projet ne poss dant pas suffisamment d apports financiers personnels le pr t d honneur est un cr dit moyen terme dont la dur e est g n ralement comprise entre 2 et 5 ans octroy la personne m me du cr ateur ou au repreneur et non l entreprise qu il cr e il s agirait dans ce cas d une avance rem boursable n exigeant aucune garantie per sonnelle ou r elle d o l expres sion d honneur Certains organismes distribuant des cr dits solidaires formule proche par leur esprit et leur for me des pr ts d honneur deman dent l emprunteur de fournir plusieurs cautions de mani re cr dibiliser sa d marche sans toutefois engager lourdement ceux qui se portent garants de l emprunteur chaque cautionne ment ne repr sente qu une petite partie du pr t 5 Le pr t d honneur est d Savill en g n ral octroy un taux de 0 Quelques rares organismes font payer un int r t au b n ficiaire le taux est alors dans la plupart des cas un peu inf rieur aux taux du march bancaire fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND CO Guide pratique d accompagnement l
458. menade et de randonn e PDIPR 25 des m dailles d or gagn es lors des Jeux olympiques manent des sports de nature c est le cas de pr s d une m daille sur deux dans les comp titions internationales officielles 800 agents du minist re en charge des sports accompagnent le d veloppe ment et contribuent l encadrement des sports de nature Fiches Pro SPORT NATURE F d rations sportives terrestres Char voile Course d orientation Liste des f d rations sportives de nature par milieux Aviron Cano kayak A romod lisme A ronautique Cyclisme tudes et sports sous marins A rostation Cyclotourisme Joute et sauvetage nautique Giraviation Planeur ultral ger Motocyclisme quitation Motonautisme ue motorise Montagne et escalade P che La mouche et au lancer Vol voile Clubs alpins et de montagne P che sportive au coup Vol libre P che en mer Parachutisme Sports de tra neau Sauvetage et secourisme Pulka et tra neau chiens Ski nautique Randonn e p destre Surf Ski Voile Sp l ologie Triathlon volution du secteur professionnel Pr s de la moiti des professionnels des sports de nature choisissent le statut de travailleur ind pendant pour leur acti vit En cyclisme ils sont 63 1 faire ce choix Dans les activit s de montagne ce taux est largement sup rieur
459. minant 60 des cr ateurs n ont pas le bac Quels sont les risques personnels et professionnels que vous prenez La prise de risques est inh rente la cr ation d entreprise Pour ceux qui ont peur de ne pas pouvoir r sister la pression le portage salarial est une solution e Disposez vous des dipl mes requis par la loi pour vous lancer Dans le secteur du sport ce point est incontournable Avez vous une id e des investissements minimaux qu il vous faudra engager La premi re cause d chec dans les trois premi res ann es de cr ation c est un chiffre d affaires insuffisant Avez vous mesur le revenu minimum dont vous avez besoin au d marrage et son volution En cas de probl me financier il faudra que le cr ateur tienne le coup et puisse se reposer sur son entourage Dans tous les cas les trois premi res ann es seront d terminantes Cependant n oubliez pas ce stade qu un cr ateur en herbe c est une somme d nergie de cr ativit et d impatience qu il faut laisser s panouir fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles a I Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises I oo des moyens mettre en uvre la commercialisation la com munication la gestion peu vent entra ner des contraintes ce stade dela importantes com r flexion vous devez P tences dispo l engager mesurer nibilit moy
460. mme d actions pour le XXIe si cle orient vers le d velop pement durable Le cadre de r f rence national Adopt en r union interminist rielle en juillet 2006 le cadre de fiches Sectorielles r f rence national des projets territoriaux de d veloppement durable labor en concertation avec les autres minist res les associations d lus et les collecti vit s locales a permis de donner un cadre et une d finition com mune aux agendas 21 locaux en coh rence avec la strat gie euro p enne SEDD Le Grenelle Environnement Le changement climatique l chelle mondiale le Grenelle Environnement en France ainsi que la crise conomique et finan ci re mondiale ont amen les pouvoirs publics renforcer leurs engagements en la mati re Le Comit interminist riel pour le d veloppement durable CIDD a ainsi adopt le 27 juillet 2010 la nouvelle Strat gie nationale de d veloppement durable pour la p riode 2010 2013 SNDD Parution au Journal officiel le 3 ao t 2009 de la loi de programma tion relative la mise en uvre du Grenelle de l environnement dite Loi Grenelle 1 www legifrance gouv fr La loi Grenelle 2 ou loi n 2010 788 du 12 juillet 2010 por tant engagement national pour l environnement compl te appli que et territorialise la loi vot e l ann e pr c dente www legifrance gouv fr SAUT D Source www developpement durable avec les eng
461. moine historique ou naturel est depuis longtemps une des motivations de la randonn e Le d veloppement des randonn es culturelles dans les agences de voyagesillustre plei nement cette tendance peinture et randonn e chez Allibert produits scientifiques et naturalistes agen ces Aventure et Volcans Sa ga Escursia Sp cialiste des voyages culturels l agence Interm des s est rapproch e d Allibert Trekking en 2010 pour cr er une nouvelle mar que alliant culture et randonn e Sentiers des Arts Herv Derain cofondateur de Terres d Aventure a quant lui choisi de se rapprocher de l agence Orients Aventure sp cialis e depuis vingt ans dans les voyages culturels pour d velopper une nouvelle gamme de produits centr s sur la randonn e douce et la d couverte culturelle Les organisateurs du jeune festival Culture Aventure ont su saisir cette nouvelle tendance fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles DO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O7 Observer les volutions professionnelles de la fili re La bonne connaissance d un m tier alli e aux dispositions d esprit d j voqu es doit inci ter rechercher dans sa fili re de nouvelles propositions de servi ces ou de produits Il est vrai que le contact avec les acteurs d une fili re mais aussi avec les par tenaires de la fili re peut ame ner
462. mplit doit poss der un dipl me d tat D Source la loi 84 810 du 16 juillet 1984 loi Avice prolong e par celle du 13 juillet 1992 rela tive l organisation et la promotion des activit s physiques et sportives La liste des dipl mes reconnus pour exercer l activit contre r mun ration est la suivante m Dipl me mis en place par le minist re charg des sports le BPJEPS AGFF bre vet d tat professionnel des m tiers de la forme Il est dispens par des CREPS ou des organismes de formation habili t s par l tat m D anciens dipl mes comme le bre vet d tat des m tiers de la forme les BEEGDA brevet d tat d enseignement de la gymnastique et des disciplines associ es et HACUMESE halt rophilie culturisme musculation ducative sportive et d entretien m l existe aussi le BEAECPC brevet d tat d aptitude l enseignement de la culture physique et du culturisme qui donne la qualification d enseigner la musculation l exclusion des cours col lectifs chor graphi s m Le DEUST m tiers de la forme dipl me professionnel du minist re en charge de l enseignement sup rieur dispens par les universit s Suite la r forme des universit s LMD il a t compl t par les licences profes sionnelles activit s sportives option remise en forme et loisirs sportifs asso ci s responsable d quipe de projets et activit s sportives sp cialit m tiers de la
463. mptables vendre un spectacle le promou voir ou le diffuser est une activit commerciale quel que soit Le statut le temps c est de l argent il faut savoir le mesurer fiches Projets ommunication des outils et des hommes Les conomistes d crivent les produits culturels sportifs et de loisirs en termes de biens de con sommation et de services Cer tains emploient aussi Le terme de biens d exp riences Dans tous les cas l volution des cat gories qui les nomment tend rendre compte de la place pr pond rante jou e par la notori t la r putation et les m canismes de relconnaissance dans ces sec teurs Parmi ces m canismes la communication est un outil qui s impose quels que soient Le pro jet et la notori t du cr ateur Danslechampdusport lesann es 1980 ont marqu une phase nou velle du d veloppement du mar ch du sport comme un march conomique part enti re port essentiellement par la multiplica tion des actions de communica tion des entreprises dans le sport et par le sport Dans le champ de la culture la notori t est au c ur m me de la construction des positions artis tiques conomiques et sociales Elle passe de plus en plus par une fiches Projets communication propre l artiste au del de son uvre Enfin un positionnement sur les march s du tourisme des loisirs ou de la forma tion implique la mise en place d outi
464. n animateur soigneur assistant CAP ASA cheval en quitation poney ou en tourisme questre Pour les mentions quitation public poney et quitation public cheval sous Le contr le d un titulaire du BEES option quitation ou du BP JEPS sp cialit activit s questres mention quitation Pour La mention tourisme questre sous Le contr le d un titulaire du BP JEPS sp cialit activit s questres mention tourisme questre ou du brevet de guide de tourisme questre COP enseignant animateur d quitation Conduite en autonomie de s ances d initiation aux pratiques questres COP organisateur de randonn es questres Initiation aux techniques de La randonn e questre et conduite de promenades et de randonn es questres en autonomie D Source minist re des Sports e BEES Brevet d tat ducateur sportif e AQA Attestation de qualification et d aptitude e BAPAAT Brevet d aptitude professionnelle aux fonctions d assistant animateur technicien de la jeunesse et des sports BPJEPS Brevet professionnel de la jeunesse de l ducation populaire et du sport e DEJEPS Dipl me d tat de la jeunesse de l ducation populaire et du sport e CQP Certificat de qualification professionnelle e DESJEPS Dipl me d tat sup rieur de la jeunesse de l ducation populaire et du sport Pour en savoir Les qualit s requises a
465. n en particulier dans le champ socioculturel ou culturel est parfois allergique toute r f rence au march IL ignore par ailleurs qu il peut b n ficier d un accompagnement sp cifique pour mieux cerner la faisabilit de son projet C est l tape de toutes les contradictions son id e de cr ation est en prise directe avec les volutions soci tales les plus r centes mais son secteur d activit ne fait pas l objet d une observation statistique tr s pr cise et les tudes de march qui pourraient l int resser sont rarement accessibles au niveau local IL faut dire qu il volue souvent sur des march s mergents ou en volution permanente ce qui ne l aide pas mesurer les attentes de ses client les et La pertinence de son projet re Le de cette tape Cette tape est souvent n glig e faute de connaissances ou de reconnaissance de ces secteurs et des march s sur lesquels ils voluent Pourtant comme pour n importe quel candidat la cr ation c est l tape cl conscient des opportunit s et des contraintes qu il va devoir affronter le candidat la cr ation va pouvoir passer de l id e au projet 101 tude de march est un passage oblig pour m rir un projet de cr ation Cerner les caract ristiques du secteur d activit et mesurer les attentes des client les permet de se faire une id e plus pr cise de la viabilit du projet Les caract ristiques du candidat et de son projet
466. n apport en num raire mais galement en nature ordi nateur outils camion Solliciter la famille et Les proches pour b n ficier d un don ou d un pr t sans int r t permet de ren forcer l apport personnel En r gle g n rale l apport repr sente un tiers des sommes demand es au banquier La garantie ne fait pas la d cision mais elle y contribue Pour obtenir des financements une entreprise doit g n ralement fiches Sectorielles fournir des garanties notamment quand elle prend la forme d une soci t responsabilit limit e La caution personnelle voire du conjoint fait partie de ces garan ties N Le dispositif NACRE d savil Nouvel accompagne ment pour la cr ation ou la reprise d entreprise per met aux demandeurs d emploi de recevoir en deux fois sous forme de capital les allocations ch mage vers es chaque mois L engagement du cr ateur sur ses fonds propres inspire confiance et permet de d clencher des finan cements externes Le pr t bancaire La banque est souvent le parte naire incontournable d une entre prise en phase de cr ation La convaincre du bien fond d un projet de cr ation n est pas tou jours facile surtout dans le con texte actuel Trois crit res garder en t te la banque finance rarement plus de 50 du co t du projet d o la n cessit de l apport le pr t doit tre au moins gal 7 500 euros enfin il faut pr senter
467. n concilier son besoin de nature et de libert avec son attachement aux Ardennes et le besoin d tre pr s de son fils IL a enfin trouv sa voie on parcours L histoire de l entreprise d marre en 2003 Apr s une d couverte de son pre mier parcours accrobranche en Ard che alors qu il est en vacances c est le coup de foudre imm diat Pour faire d couvrir les arbres et la natu re il se dit que c est vraiment g nial lui qui a pass son enfance dans les for ts ardennaises et qui n est pas parti culi rement vers dans la pratique spor tive La seule chose qu il retient c est qu enfin il va pouvoir b tir un projet dans son pays natal se rapprocher de son fils et se retrouver dans le milieu qu il affec tionne depuis sa tendre enfance Pour sa famille c est un nouveau d part mais elle Le soutient comme chaque fois Son p re universitaire et sa m re ins titutrice ont choisi de vivre avec leurs enfants Poix Terron un petit vil lage situ entre Reims et Charleville M zi res au tout d but du massif des Ardennes sur le territoire des cr tes pr ardennaises Cette famille d enseignants laisse beaucoup de libert ses enfants IL faut dire qu ils vivent dans une r gion qui s y pr te particuli rement Cl ment n la fin des ann es 1970 b n ficie de cette libert tout comme ses fr res et s urs tout au long de vie et l envie que j ai eue de monter ce pr
468. n est assur par des organismes paritaires agr s par l tat OPACIF IL s agit prin cipalement des FONGECIF Fonds pour la culture m Pour certains secteurs professionnels comme le spectacle l agriculture et l conomie sociale ce sont les OPCA organismes paritaires col lecteurs agr s de branche qui sont charg s du financement du CIF m L AFDAS est la fois OPCA orga nisme paritaire collecteur agr et OPACIF organisme paritaire collecteur agr gestionnaire du cong individuel de formation Ce dispositif est financ par toutes les entreprises employant au moins un intermittent du spectacle hau teur de 2 de leur masse salariale intermittente Pour en savoir Consulter le site de l AFDAS www afdas com ou des sites sp cialis s comme celui du Cen tre national des arts du cirque www cnac fr fiches Pratiques La d marche Le cong individuel de formation CIF permet de suivre une for mation d une dur e maximale de 12 mois en temps partiel ou en se maintenir en emploi voluer dans son m tier changer de statut professionnel pour les salari s peu qualifi s Lesalari adone discontinu ou de DE e iens Fongecif CREDOC int r t s adresser 1 200 heures 2010 le plus t t possible au Chaque organisme FONGECIF ou son d finit ses propres OPACIF pour disposer r gles de proc EME formation suivie par le des renseign
469. n ligne par le minist re des Sports Loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d association article 6 Loi du 9 d cembre 1905 concernant la s paration des Eglises et de l Etat Ordonnance du 23 septembre 1958 article 31 relatif au contr le des orga nismes subventionn s Loi du 29 janvier 1993 relative la transparence de la vie conomique et des proc dures publiques Loi n 2000 321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations article 10 D cret n 2009 540 du 14 mai 2009 portant sur les obligations des associa tions et des fondations relatives La pu blicit de leurs comptes annuels Circulaire du 18 janvier 2010 relative aux relations entre les pouvoirs publics et les associations conventions d ob jectifs et proc dures d agr ment Cette fiche est essentiellement compos e d extraits du guide La subvention publique le march public et la d l gation de service public Mode d emploi du minist re des Sports et d informations diffus es sur le site www servicepublic fr Mars 2007 fiches Sectorielles Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles m Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises particuli rement concern s par la progression des principes du d veloppement durable Labels chartes et codes thiques fleuris sent aujourd h
470. nant d autres services tels que visites ateliers et bornes tactiles dans les mus es les centres de ressources sp cialis s dans le handicap les associations et p les res sourcessp cialis s Pour conna tre les Acc s Culture dans le domaine ue 16 rue Beautreillis 75004 Paris loisirs culture et NERO S 01 53 65 30 74 handicap organismes relais on peut s adresser les institutions aux centres d accueil des sec communaux d action D Source Lettre lectronique du d velop teurs sanitaire et sociale CCAS aux pement culturel du minist re de la Culture m dico social Aai L et de la Communication Octobre 2010 i missions handicap lesservicesd aide des communes et et de soins domi aux maisons d par accesculture magic fr www accesculture org 7 Programmer des concerts ou des spectacles ducatifs pour les Cle tementales des Er plus jeunes des conf rences ou RE De des d bats propos des specta Les maisons MDPH d partementales cles pour les adultes des personnes handicap es 8 Organiser des rencontres sur IMDPH le th me culture et handicap ILexiste dans chaque d partement qui permettent des changes et une MDPH guichet unique charg une meilleure connaissance entre de l accueil de l information de les diff rents publics fr quentant l accompagnement des personnes une structure handicap es et de leurs familles pour leur projet de vi
471. nationale men e aupr s de t tes de r seaux et d accompagnateurs de terrain sp cialistes de ces secteurs ou sp cialistes de la cr ation d entreprises Ce travail a t compl t par une analyse des ouvrages et outils disponibles pour clairer la d marche de cr ation dans ces secteurs et par des entre tiens avec des cr ateurs Le p rim tre L activit principale des entreprises Loisirs sportifs de nature divers Cr ation et diffusion de l art 16 11 Parc acrobatique en hauteur Centre de remise en forme Centre questre Cr ation v nementiel D Source Enqu te interne aux minist res charg s de la jeunesse et des sports 2009 La s lection des activit s abord es dans le guide a t r alis e au terme de l enqu te men e aupr s des agents des minist res charg s de la jeunesse et des sports Le p rim tre Prestations et march s SECTEURS SPORT Activit s sportives et de CULTURE loisirs de nature Randonn e p destre questre Organisation et VTT accrobranche cano d v nements kayak voile kitesurf vol libre Formation Diffusion ACTIVIT Autres activit s sportives GLOBALE Remise en forme gymnasti que douce rollers tir l arc tennis RE Activit s culturelles Tourisme loisirs Autres m tiers Spectacle de rue danse cirque Sant bien tre H bergement restauration contes th tre spectacle vivant _ F rmati n insertion agriculture enseignem
472. ndants ont affirm que le transport a rien devrait tre vit En Europe Les touristes suisses 95 des touristes suisses con sid rent le respect de la culture locale comme un l ment tr s important dans le choix d un voyage et environ 87 des r pon dants au sondage du responsible travel com 2004 indiquent qu ils sont galement int ress s par la d couverte de la nourriture et de la culture locales ainsi que par l utilisation des guides locaux lors de leurs voyages Les touristes britanniques 44 des personnes interrog es par l Association of British Travel Agents jugent tr s important que leurs vacances ne nuisent pas l environnement 45 Les touristes europ ens Une tude men e en octobre 2007 par TNS Travel amp Tourism aupr s de plus de 6000 voyageurs en Grande Bretagne en France en Allemagne en Italie en Espagne et en Am rique du Nord a permis de conclure que le pourcentage des voyageurs susceptibles d as sumer les co ts environnemen taux de leurs vacances s chelon nait de 2 pour les Allemands 12 pour les Espagnols Quand il s agit de prendre les mesures n cessaires pour r duire leur impact sur l environnement les Italiens arrivent en t te 32 sont en effet pr ts opter pour des solutions plus vertes 2 Source B valuation de la demande en mati re de tourisme durable Rachel Dodds et Marion Joppe www veilleinfotourisme fr Les
473. nde En octobre 2002 le club de Revin lui pro pose de devenir animateur en emploi jeune une proposition qui ressemble un nouveau d part IL reprend alors la pr paration du BTS action commer ciale en candidat libre et en profite pour Le fait d tre tomb passer le tronc aussi bas m a commun du bre paradoxalement donn vet d tat d du la force de continuer cateur sportif Trajectoire SPORT au CREPS Champagne Ardennes Tout se passe bien en deux ans il obtient son bac 2 et envisage de poursuivre sa formation sportive par un dipl me poly valent Ca tombe bien le CREPS Nord Pas de Calais propose une pr paration au BPJEPS activit s physiques pour tous quil suivra avec succ s Son tout nouveau dipl me en poche il travaille dans une association qui propose des s jours aux personnes handicap es en tant qu animateur puis en tant que responsable con vaincu que cela repr sente une oppor tunit professionnelle pour int grer un institut m dico ducatif IME et parce qu tre au contact de personnes touch es par un handicap c est impor tant pour moi En 2006 celle qui est devenue depuis peu son pouse passe avec succ s son dipl me de kin sith rapeute et int gre un cabinet Reims Pour que la jeune femme ne fasse pas trop de trajet et pour permettre Hakim de se rapprocher de sa m re rest e Revin le jeune couple d cide de s instal ler Rethel mi chemin entre
474. ndicap es moteurs 3 Pour s assurer qu un pictogramme fonctionne il est important de mener une r flexion en amont et des tests avec les utilisateurs concern s M diation culturelle mode d emploi Une diversit d actions de m dia tion peut tre propos e ou antici p e en amont de la repr sentation pour faciliter la perception et la compr hension des spectacles 1 Organiser des r unions d information d di es De nombreuses structures cultu relles invitent chaque ann e en d but de saison les repr sentants des tablissements scolaires ou des comit s d entreprises afin de leur pr senter leur program mation Certaines d entre elles entreprennent une d marche analogue en direction des repr sentants des structures d accueil du secteur m dicosocial et sani taire de proximit Les responsables des structures culturelles peuvent rep rer au moment de l laboration de leur programmation les compagnies artistiques et les artistes qui fiches Pratiques en raison de leurs actions leur philosophie Pensez rendre ces rencontres accessibles traduction en langue des signes docu ments adapt s leurs motivations peuvent labo rer des proposi tions artistiques en direction des publics en situa tion de handicap Sur l acc s aux loisirs et la culture toute personne handicap e La loi du 11 f vrier 2005 a rappel l obligation de garantir
475. ndre la d saffec tion de ses b n voles W L association est une structure juridique utilis e par ceux qui d sirent se regrouper dans un but autre que le partage des b n fices elle n est donc pas v ritablement adapt e la cr ation d une activit commerciale entrepreneuriale Un seul conseil ce stade le choix du statut devra se faire ult rieurement L essentiel de cette fiche a t r alis partir des informations transmises sur les sites www impots gouv fr et www associations gouv fr fiches Pratiques Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles OST I our mener bien son projet de cr ation Le candidat devra mobili ser une combinaison de savoirs de savoir faire et d exp riences Sa formation initiale son parcours professionnel et ses multi ples engagements comme b n vole devront peser dans l valuation de sa capacit ma triser les dimensions p dagogique juridique fiscale de sa future activit Panorama des principaux dispositifs qui peuvent l aider cestadeeeeee CONSTRUIRE UN ITIN RAIRE DE FORMATION Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises cib zg SS orienter vers un bilan de comp tences Tout salari peut au cours de sa vie professionnelle r aliser un bilan de comp tences qui lui per met d analyser et de mettre en perspective ses aptitudes profes sionnelles Une d marche qui peut s av rer
476. nds de formation Pour en savoir www sma syndicat org infoldsma syndicat org T 09 50 21 77 28 Fiches Pro CULTURE Cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 19 CO OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises R seaux Locaux Plus de la moiti des r gions m tropo litaines comptent un r seau de lieux de musiques amplifi es actuelles On peut citer m Avant Mardi Midi Pyr n es www avant mardi com m Fracama Centre www fracama org m Hi ro Alsace et Limousin www fede hiero com m Le Patch Picardie www le patch net Le P le Pays de la Loire www lepole asso fr Le Rama Aquitaine www le rama org m Le Rif le de France www lerif org m Museau Champagne Ardenne www macao fr museau m P le r gional des musiques actuelles de Poitou Charentes www pole musiques com m R seau Raoul Nord Pas de Calais www reseau raoul com R zo Bourgogne Trema PACA m Ziz Zac Lorraine www zic zac com Mill n existe pas de f d ration d Savoir nationale regroupant des stu dios de r p tition musicale Toutefois des structures d partementa les ou r gionales f d rations ou centres de ressources se sont investies sur ces chantiers Le Cry pour la musique dans les Yvelines le P le r gional des musi ques actuelles en Poitou Charentes ou encore Trempolino en Loire Atlantique mL AFIJMA A
477. ne et de toutes les activit s qui permettent de mieux la conna tre alpinisme escalade ski La rencontre avec G rard va boulever ser d finitivement le cours de sa vie Aujourd hui cette Franco Am ricaine partage son temps entre les Alpes o elle continue vivre sa passion et la r gion parisienne o ils se sont aventur s ces vingt derni res ann es L aventure de cette nouvelle vie ne dure pas un incendie ravage le centre quel ques mois plus tard et entra ne G rard loin de la montagne C est un ami d enfance Jean Pierre qui lui propose un emploi pour lui et sa compagne dans la Sarthe Ce changement de vie il l ac cepte sans grande difficult il faut dire que cet v nement l a touch profond ment et qu il a besoin de gagner sa vie Alors les yeux ferm s ils s investis sent tous les deux dans le supermarch de son ami lui la station service et Mona la mise en place du tout nouveau syst me des codes barres Trajectoire SPORT Mais d s le d part ils s engagent tout en sachant qu ils ne resteront pas salari s Les patrons de l enseigne avaient une politique sociale On savait pour quoi on faisait Pour vivre notre vie des efforts de couple et pour En sept ans il h surmonter l chec G rard et son A i d aspirant guide epouse vont gravir tous les chelons de la grande distribution chef de rayon directeur puis patron Toute leur vie prof
478. ne l emp che pas de travailler encore en cuisine puis de recevoir le RMI dans un m me temps C est pendant cette p riode qu il prend des rendez vous avec des personnes issues de milieux professionnels tr s divers avocats comptables chefs d entreprises Les conseils que ces p personnes comp tentes m ont donn s ont t d terminants Ce sont ces conseils qui m ont orient vers le projet tel que je l ai men C est sans argent qu il s engage mais avec un projet b tonn et des soutiens nombreux l arriv e son plan de finan cement se boucle non sans difficult s mais ses parrains sont pr sents et le suivent d ailleurs encore aujourd hui dans son d veloppement L entreprise elle lui ressemble par cours acrobatique sentiers de d cou verte et cabanes dans les arbres pour mieux d couvrir l environnement qui lui donne des motions depuis son enfance ses c t s Benjamin Laurent son jeune associ vient compl ter ses comp tences 27 ans le parcours de Benjamin est plus lin aire Avec son BTS gestion pro tection de la nature en poche il travaille d abord dans une commune au centre de tri des d chets C est une rencontre dans le cadre du festival Cabaret vert qui les rapprochera Lui il est respon sable de la charte de l environnement de cet v nementiel une autre fa on de mettre ses comp tences au service de ses convictions l association a
479. nels Le rempart juridique que consti tue une soci t sera diff rent d une structure une autre En effet dans une soci t en nom collectif SNC par exemple chaque asso ci est solidairement et ind fini ment responsable avec la soci t En cas de difficult s financi res si les biens de la soci t ne suf fisent pas ceux ci pourront faire saisir les biens d un ou de plu sieurs associ s charge pour ces derniers de se faire rembourser en partie par leurs coassoci s x Quel que soit le type de d CO soci t choisi le ou les dirigeants de droit ou de fait sont garants de la bonne gestion de l entreprise l gard de leurs associ s et des tiers Si ces derniers sont en mesure de prou ver qu ils ont commis des fautes de gestion se r v lant tre l ori gine des difficult s financi res de l entreprise ils pourront recher cher leur responsabilit et inten ter leur encontre une action en comblement de passif La responsabilit La responsabilit des associ s Entreprise individuelle l entre preneur individuel est seul res ponsable sur l ensemble de ses biens personnels Ses biens fon ciers b tis ou non b tis non affec t s un usage professionnel peu vent cependant tre prot g s en effectuant une d claration d in saisissabilit devant notaire EURL la responsabilit de l as soci est limit e au montant de ses apports sauf s il a commis f
480. nement individuel en utilisant un concept original La m thode Florence Clair associe ses exper tises de commerciale et de musi cienne pour former les personnes et groupes de personnes l coute Elle a b n fici du soutien de la Boutique de gestion PaRIF Hauts de Seine et de celui de l Adie http music entreprise com fiches Pratiques a Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 17 F Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises L exon ration de TVA est accord e compter de la date de d p t de la demande elle n est donc jamais r troactive et sous r serve que l organisme de formation soit jour de ses obligations num ro d activit valide et remise du bilan p dagogique et financier L option exon ration I ou non de TVA est d finitive one de La CSS enr S Le bilan p dagogique et financier Tout organisme de formation immatricul doit produire l Administration avant le 30 avril de chaque ann e un bilan p dago gique et financier retra ant son activit au cours du dernier exercice comptable Les docu ments comptables doivent y tre annex s Ce bilan indique les activit s de formation con duites au cours de l exercice comptable le nombre de stagiaires accueil lis le nombre d heures stagiaires et d heures de formation corres pondant en fonction de la nature du niveau des domaines et de la dur e des
481. ner votre vie r aliser un pro jet de vie personnel vous r aliser vous rendre utile La soci t gagner plus d argent sortir du ch mage tre ind pendant relever un d fi tre socialement reconnu tre libre Des objectifs diff rents conduisent des strat gies et des modes de gestion diff rents Prendre le temps de r pondre cette question est essentiel ce stade Quel est le temps dont vous disposez ou que vous tes pr t prendre pour cr er votre entreprise Un projet de cr ation se m rit dans le temps et laisse peu de temps l improvisation Avez vous le soutien de votre entourage Il faut une bonne r sistance physique et nerveuse du cr ateur et de son entourage proche pour supporter tension surcro t de travail et investissement financier Savez vous organiser votre travail et d cider Le cr ateur et demain le chef d entreprise doivent en permanence prendre des d cisions et ils sont souvent seuls pour le faire Avez vous mesur vos capacit s d adaptation Pers v rance et go t de l effort seront n cessaires pour surmonter l preuve de la cr ation puis de la gestion et du d veloppement de l entreprise Demain il faudra accepter d avoir des hauts et des bas Connaissez vous vos points forts et vos points faibles en termes de personnalit et de comp tences capacit s d organisation de d cision Le bagage scolaire n est pas un crit re d ter
482. nes entreprises de moins de 3 ans install es dans les quartiers de la politique de la Ville 2 cat gories de prix mergen ce pour les porteurs de projets et Cr ation pour les jeunes entreprises Proc dure candidature sur ins cription talentsdescites com Prix r gionaux 1 500 pour les laur ats de la cat gorie mer gence 3 000 pour ceux de la cat gorie Cr ation Prix nationaux chaque laur at recoit 7 000 Un Grand Prix et Mention sp ciale recevront en plus un prix d une valeur de 5 000 Nombre de b n ficiaires 15 au niveau national et une quarantaine au niveau r gional m APCE et Ordre des experts comptables 14 rue Delambre 75014 Paris www creacc com et www apce com B n ficiaires cr ateurs se trou vant dans la phase pr c dant l im matriculation de leur entreprise et jeunes entreprises immatricul es depuis moins de 6 mois m Prix Guy Crescent Appel projets 2011 Fondation Geodis Cap West 7 9 all e de l Europe 92615 Clichy Cedex fondation geodis com www fondationgeodis org B n ficiaires cr ateurs ou diri geants d entreprise en situation de handicap et associations ou organismes sans but lucratif dont les projets sont port s par des personnes handicap es Proc dure 2 appels projets par an Le premier du 25 janvier au 25 mars 2011 le second du 25 ao t au 25 octobre 2011 Formul
483. nique physique et psychique particuli res D Source www virtualburo fr Participer des rencontres professionnelles Les acteurs qui uvrent pour le d veloppement des sports et loisirs de nature accordent une grande importance aux Rencon tres nationales du tourisme et des loisirs sportifs de nature Ent rin e par le Comit intermi nist riel du tourisme de septem bre 2003 la premi re dition s est d roul e en octobre 2003 l ini tiative du territoire Millau Grands Causses fiches Sectorielles PAROLE D EXPERT En Bretagne en plus des pres tations de type croisi re avec nuit e ou de balade et rando nautique type embarque ment imm diat pour lesquelles de belles opportunit s existent le d veloppement d une nou velle entreprise pourra se faire sur une des niches en cours de d veloppement longe c te co le de sauvetage c tier ou bien sur un secteur mature du point de vue tarifaire surf char voile kitesurf en partenariat direct avec un des centres nautiques implant s sur le territoire L innovation se joue ici l chelle du territoire Gr ce la volont et l engagement de nombreux acteurs le territoire a d velopp une expertise et un r seau de comp tences unique qui apporte une aide compl te aux cr ateurs d entreprises Philippe RODET Directeur de Nautisme en Bretagne Fortement soutenue par les pou voirs publics et
484. nnovation sociale et technologique certains objectifs sp cifiques ont t iden tifi s le premier est de promouvoir la cr ativit dans l ducation en s appuyant sur le potentiel de la culture comme un outil concret pour l apprentissage continu le deuxi me consiste renfor cer les capacit s dans le secteur culturel en favorisant la formation des travailleurs culturels dans la gestion l entrepreneuriat et le march europ en ainsi que les aider d velopper et acc der des sources novatrices de finan cement y compris le parrainage le troisi me est de d velopper les partenariats cr atifs entre le secteur culturel et d autres sec teurs tels que les technologies d information et de communica tion de recherche le tourisme la soci t civile Pour en savoir Programme culture 2007 2013 http eacea ec europa eu fiches Sectorielles Sur r seau Banlieues d Europe Quartiers populaires quartiers cr atifs en Europe QU De l art dans la lutte contre l ex clusion en 1990 au d veloppe ment des pratiques artistiques et culturelles innovantes et participa tives en 2010 Banlieues d Europe a capitalis des centaines de pro jets impuls de nombreuses ren contres entre acteurs d horizons divers R flexion changes coop rations d bats sur l action artistique et culturelle avec des habitants et des territoires europ en
485. ns 30 000 repr sentations payantes de spectacles de vari t s et de musiques actuelles en Fiches Pro CULTURE Cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 3 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises 2005 pour un total de 15 5 millions d en tr es 30 des spectacles concernent la chanson 23 les spectacles d humour 14 le pop rock 12 le jazz mLles lieux adh rents de la F durok ont programm en moyenne en 2005 60 soir es dates attirant 230 spec tateurs par concert pour une jauge moyenne de 500 places En outre la moiti de ces structures organisent un festival dans l ann e Pour les salles adh rentes la F d ration des sc nes de jazz et de musiques improvis es o les jauges sont plus modestes on se situerait en moyenne environ 40 concerts par an et 100 spectateurs par concert m L IRMA Information et ressources en musiques actuelles recense 336 struc tures publiques priv es et associatives proposant des studios de r p tition Emploi m En 2006 les lieux de musiques actuel les amplifi es de la F durok et de la FSJ employaient entre 1 et 22 salari s quivalent temps plein ETP avec une moyenne de 6 44 ETP par lieu mLes contrats aid s concernent envi ron la moiti des salari s en quivalent temps plein 77 des structures perc oi vent des aides l emploi m me si elles ne repr sentent que 5 des ressources en
486. ns la Dr me qu elle s installe par hasard et qu elle d cide de poursuivre sa vie car c est d cid elle ne repassera pas son concours de con tr leur a rien Apr s une ann e pass e dig rer ce changement elle d cide de reprendre ses tudes Valence l IUP LEST loisirs environnement sport tourisme Il n y a pas de nouveau projet professionnel la cl juste une opportunit de poursuivre ses tudes en ma trise et de passer son BE parapente en parall le Pour l obtention de son dipl me univer sitaire elle doit faire un stage de cinq mois qu elle r alise dans la commune de l Argenti re la Bess e L elle s occupe de la mise en place du r seau des sen tiers de randonn e se familiarise avec la cartographie et d couvre l animation des r seaux d acteurs Parce qu elle n a pas fini sa mission et qu elle a donn satis faction ses employeurs elle devient salari e pen J ai d couvert que dant les sept l emploi salari ne me mois suivants convenait pas Je n ai Cette exp pas aim cette sensation rience est tr s d tre verrouill e enrichissante plusieurs titres mais elle comprend que les r sultats de son travail ne d pen dent pas seulement des efforts qu elle d ploie ou de la pertinence des r sultats qu elle obtient Le compromis c est dans une cole de parapente install e dans la Dr me qu elle le trouve ainsi que par le choix du statut de travailleur ind p
487. ns techniques n cessaires des cription du mat riel co t et mode d ac quisition achat location Les ressources humaines m Organigramme de l entreprise m Moyens humains n cessaires fonc tions qualifications nombre date d em bauche m thode de recrutement r mu n rations 4 CONCLUSION Objectif ce stade le cr ateur doit avoir convaincu le lecteur que son projet est faisable viable et r aliste L offre pro pos e s inscrit v ritablement dans une logique de besoin existant ou naissant Le montage juridique m La forme juridique SA SARL Entre prise individuelle m Pour les soci t s les principaux actionnaires et associ s niveau de par ticipation dans le capital social nature des apports Le montage financier m Les investissements pr vus et amor tissements m Le plan de financement m Les comptes de r sultats pr visionnels sur trois ans m Le besoin en fonds de roulement m Le plan de tr sorerie sur douze mois Source CCI de Montpellier www google fr Le r sum est la partie essentielle du plan d affaire ou du business plan de quelques lignes deux pages il devra convaincre le lecteur de la qualit du projet Mieux vaut le r diger apr s tout le reste m me s il est positionn en premier car c est sa qualit qui va conditionner l int r t de l interlocuteur la lecture de la suite du document fiches Pratiques C est l occasion pour le cr
488. nt gr s des ressources ainsi que la participation des acteurs locaux afin de concilier sa mise en uvre avec les besoins et les capacit s du territoire bLe tourisme commu nautaire CBT Isabelle Bourboulon et Dora Valayer proposent la d finition suivante du tourisme commu nautaire Encore peu utilis le mot d signe les formes touristi ques propos es et g r es par les populations locales elles m mes formes qui s int grent de fa on harmonieuse dans les diverses dynamiques collectives du lieu d accueil En respectant l environ nement naturel et social de ces communaut s le tourisme com munautaire est sans doute l h ritier le plus fid le du tourisme int gr D Source toutes ces d finitions sont int gralement issues d une tude du minist re des Affaires trang res r alis e en 2003 intitul e Caract riser le tourisme responsable facteur de d veloppement durable Elle est t l chargeable sur le site du minist re www diplomatie gouv fr fiches Sectorielles Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 5 NO F Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises es client les dont les attentes sont variables La demande actuelle en la mati re est difficile valuer mais de nombreuses tudes montrent cependant que le consommateur quelle que soit sa nationalit s in t resse de plus en plus au touris me durable tout
489. nt 70 ans un droit moral perp tuel pouvant tre exerc par les descendants s ils esti ment que l uvre est d natur e Depuis la loi 85 660 du 3 juillet 1985 il en est de m me pour les artistes interpr tes concernant leur interpr tation soumise un droit d autoriser Pour en savoir Renseignements aupr s du minist re de la Culture bureau de la propri t litt raire et artistique ou ci apr s m SACEM Soci t des auteurs compositeurs et diteurs de musique renseigne les cr ateurs 225 avenue Charles de Gaulle 92521 Neuilly sur Seine D 01471547 15 www sacem fr a SACD Soci t des auteurs et compositeurs dramatiques g re les droits des u vres th trales chor graphiques ma rionnettes pantomimes cirques etc Organise une fois l an la lecture d u vres contemporaines R partit les droits de 45 000 auteurs du spectacle vivant et de l audiovisuel 11 bis rue Ballu 75009 Paris D 01 40 23 44 44 www sacd fr Voir aussi www sesam org a SPEDIDAM Soci t de perception des droits et de distribution des artistes interpr tes de musique et de danse 16 rue Am lie 75007 Paris T 01 44 18 58 58 www spedidam fr La convention collective IL en existe plusieurs qui d finissent notamment les salaires minima les d fraiements et la dur e du travail CCN r gissant les rapports entre les entrepreneurs de spectacles et les artistes drama
490. nt de ces entreprises par le pr fet Ce der nier doit statuer dans un d lai de trois mois suivant le d p t de la demande L absence de r ponse au del de ce d lai vaut d cision d acceptation L agr ment est accord pour une dur e de deux ans Conna tre les ou en cas de renou statuts de l conomie vellement de cinq sociale et solidaire ans est indispensable mo Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises pprofondir les questions d uti lit sociale et d int r t g n ral L activit d utilit sociale La notion d utilit sociale est lar gement usit e mais sa d finition laisse encore place de nom breux d bats tant dans le milieu associatif qu au sein des pouvoirs publics Elle appara t notamment avec l instruction fiscale du 15 d cem bre 1998 relative aux associations qui aborde en premier lieu la ques tion du caract re d sint ress de la gestion de l association Ce texte pr cise ce qui permet d ap pr cier l activit de l association en des termes d utilit sociale le produit est d utilit sociale si l activit tend satisfaire un besoin qui n est pas pris en comp te par le march ou l est de fa on peu satisfaisante le public vis doit correspondre des personnes qui ne peuvent acc der aux services offerts par le march pour des raisons cono miques ou sociales
491. nt ils des id es et de nouvelles opportunit s Dans ces secteurs comme dans tous les autres il est pr f ra ble d exercer une r elle vigilance dans trois domaines de pr dilec tion la vie conomique le quoti dien et son milieu professionnel sans oublier de prendre plaisir le faire i Le mot anglais sport d 30 F souvent synonyme de comp tition vient du vieux fran ais desport se des porter signifiant s amuser Suivre attentivement l actualit via la presse quotidien ne la t l vision Internet ou des magazines t l vis s permet de d tecter des pistes creuser Au niveau du territoire d implanta tion de la future entreprise cette recommandation est majeure titre d exemple l annonce de la cr ation dans une ville moyenne d une antenne universitaire inter venant dans le sport ou les sports de nature repr sente une oppor tunit pour envisager de proposer ses services fiches Sectorielles SUr Le VTT de descente valoris dans un article du quotidien La Croix Ce loisir au d part r serv des pratiquants exp riment s tend se d velopper dans les sta tions o les infrastructures cons truites pour les skieurs servent aux cyclistes l t venu un VTT accro ch sur un t l si ge Le domaine franco suisse des Por tes du Soleil a t un des pionniers de ce loisir au milieu des ann es 1990 Aujourd hui la belle saison
492. nternet d di s les recommandations mises en ligne par les associations qui conseillent les voya geurs en la mati re sont particuli re ment int ressantes 3 Choisir ses clients Le profil des voyageurs d aujourd hui En 2007 une tude initi e par voyages sncf com a permis de d terminer les grands types de fiches Pratiques pour engager le cr ateur dans une d marche touris COMMENT FAIRE 1 tique durable La lecture des conseils donn s par l Asso ciation italienne pour le tourisme responsable aux usagers AITR permet de mieux cerner les attentes de ces client les On peut lire sur le site de cette asso ciation les conseils suivants donn s aux voyageurs pour mesurer l engage ment de l organisateur Celui ci mFournit des informations sur le voyage travers un catalogue r aliste une fiche de description g ographique environnementale socio conomique politique d actualit de projets de coop ration sociale et environnemen tale de consignes relatives aux com portements et une bibliographie sur la destination m Est disponible pour organiser des rencontres entre les participants au cours desquelles en plus de faire con naissance soit les itin raires et les calendriers sont valid s en commun soit Les doutes des usagers sont lev s soit des occasions de rencontre avec les communaut s du lieu de destina tion sont programm es m S engage du point de vue thique
493. ntiel qui le distingue la fois des concurrents de son secteur il peut s agir de territoi res concurrents et des autres proposi tions qu il re oit IL peut en m me temps rechercher la visibilit de certaines valeurs les deux ne sont pas incompa tibles 3 Le management a t il t clairement int gr la d marche Beaucoup d investisseurs consid rent que c est l l ment le plus important un investisseur doit pour cela pouvoir faire confiance l exp rience et aux qualit s du chef d entreprise Il va falloir faire un CV convaincant ce qui signifie que les exp riences extraprofessionnelles les enga gements dans la vie d une association sa passion etc m ritent d tre valoris s en termes de responsabilit s occup es de dimension des quipes encadr es 4 Les projections financi res sont elles r alistes Rien n interdit des projections finan ci res agressives mais elles doivent tre en coh rence avec la r alit des affai res et surtout du secteur concern Un business plan pr sentant une croissance du chiffre d affaires de 30 par an dans un secteur qui cro t de 5 par an ne sera pas pris au s rieux par l investisseur sauf si le facteur innovation est majeur Il va alors falloir expliquer le march et la concurrence et pr senter une ana lyse du chiffre d affaires et des marges expos es et expliquer la coh rence des prix envisag s Si le cr ateur propose plusi
494. ntre les sourcils pour vaincre sa timidit ou son mo tion m Ne parler ni trop fort ni trop len tement m Bien bouger les bras et les mains c est bien parler m Rester soi m me et avoir confiance en soi Vous pouvez lui conseiller de tester sa capacit d fendre son dossier aupr s d un financeur sur lequel il ne compte pas vraiment c est le meilleur entra nement qui soit Communiquer sur son entreprise Pour faciliter l obtention d un financement bancaire faire recon na tre la qualit de son projet par des tiers et d marrer son activit dans de bonnes conditions il faut communiquer Invitez le cr ateur n gocier des accords de partenariat de principe avec d autres entreprises ou avec des collectivit s locales parti ciper des concours s engager dans des d marches de labellisa tion faire valider son projet par des organismes qui attribuent des pr ts d honneur et dans tous les cas conseillez lui de prendre le temps de la r flexion pour arr ter sa strat gie op rationnelle Communiquer avec l acheteur public L entrepreneur doit pratiquer un certain marketing vis vis des services acheteurs des collectivi t s publiques pour que ces derniers le con naissent et songent le consulter dans les proc dures adapt es de faibles montants pour qu ils lui indiquent leurs pr visions d achats pour l ann e venir Il ne doit pas h siter entrer en
495. ntrepreneur indi viduel responsabilit limit e ou simplement Le sigle EIRL doit accompagner la d nomination commerciale de l entreprise sur tous les documents profession nels devis factures etc Les comptes annuels doivent tre publi s au lieu du d p t de la d claration initiale d affectation et valent actualisation de la com position et de la valeur du patri moine affect Comment se d clarer en EIRL Pour constituer un patrimoine affect l EIRL doit d poser une d claration d affectation au regis tre du commerce et des soci t s RCS pour les commer ants ou au r pertoire des m tiers RM pour les artisans En cas de dou ble immatriculation le registre de publicit L gale est choisi par l en trepreneur individuel avec une mention port e l autre registre Les personnes physiques qui ne sont pas tenues de s immatri culer professions lib rales ou auto entreprise par exemple et les exploitants agricoles doi vent effectuer cette d claration aupr s du greffe du tribunal du commerce La d claration d affectation doit comporter un tat descriptif des biens droits obligations ou s re t s affect s l activit profession nelle en nature qualit quantit et valeur Le d p t de la d claration est gratuit lorsque la d claration est d pos e simultan ment la demande d immatriculation au RCS ou au RM L affectation professionnelle d un bien immobil
496. nue par les fabricants de mat riel et d qui pements sportifs qui ont par ailleurs mobilis depuis long temps des professionnels du mar keting de la communication et du design pour en faire un march de grande consommation Ainsi les mat riaux issus de la recherche dans d autres secteurs industriels ont trouv de nouvel les applications dans le sport fibre de carbone aluminium polyester Kevlar Pebax fibres composites sont aujourd hui largement utilis s pour r pondre la demande de renouvellement de confort et de s curit des pratiquants L innovation est particuli rement valoris e dans la culture sportive Un geste une figure ou un exploit in dit apr s avoir obtenu la reconnaissance de son efficacit ou de son esth tique par le public sportif concern porte souvent le nom de son cr ateur r alisa teur Une reconnaissance qui vaut largement une m daille dans certaines activit s sportives fiches Sectorielles Le cas des sports et loisirs de nature Le d veloppement des sports et loisirs de nature a particuli re ment t impact par ce ph nom ne ces trente derni res ann es Autrefois circonscrits des activi t s connues du grand public gr ce aux r sultats de sportifs c l bres ils se sont transform s en prati ques ludiques et de d couvertes gr ce l ing niosit et la volont de tout un secteur professionnel qui a su entendre les nouvelles
497. o 7 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O TROUVER L INFO mLa majorit des fonds de l UE tant g r e au niveau national ou r gional les autorit s nationales r gionales ou locales fournissent souvent les informations ainsi que les structures d assistance n ces saires En plus du site national www europe en france gouv fr le site www racine fr permet de disposer de toute l information utile sur le FSE et le site Attp europa eu propose notamment la synth se de toute la l gislation europ enne m Le relais Culture Europe Centre de ressources sur l Europe et La culture sensibilise informe et accompagne les acteurs culturels et artistiques fran ais et euro p ens sur les probl matiques et enjeux liant Europe et culture les objectifs politiques et program mes communautaires et leur tra duction en termes de strat gies pratiques et projets Il poursuit un objectif global d europ anisation des pratiques des acteurs cultu rels fran ais Depuis sa cr ation en 1998 le relais Culture Europe assume notamment la fonction de point de contact national pour le programme Culture 2007 2013 mission confi e par la Commis sion europ enne et le minist re fran ais de la Culture Son activit se d veloppe autour de deux p les de services Le p le Information accompagnement et le p le Prospective D veloppement Pour en savoir www relais cul
498. ojet Trajectoire SPORT NATURE IL y a une vraie relation entre cette poque de ma l ann e Pendant les vacances entre les voyages familiaux et son engage ment dans le mouvement des scouts il d couvre les Alpes la Bavi re le massif pyr n en l adolescence cette envie de libert dont il profitait quand il tait en for t ressort sous forme de r bellion cette poque de sa vie il construit sa person nalit autour de quelques points forts h rit s de son enfance 3 C est avec ces Une tr s grande difficult recevoir des ue r il ordres de personnes PO NEE de droit mais que je ne consid rais pas comme comp tentes un refus de l arbitraire et une grande envie d autod termination a ne dure pas Son engagement au Centre dra matique natio nal de Reims une cole qui le pr pare au m tier de com dien sem ble mieux lui convenir L aventure dure quelques ann es et il exerce m me son nouveau m tier pendant deux sai sons cons cutives Mais cela se solde par une frustration que le jeune chef d entreprise d aujourd hui explique par l absence d usage de ses mains dans ce m tier Alors pour combler ce manque il d cide de devenir cuisinier et s inscrit l AFPA Dijon Les parents ont un peu de mal suivre ces changements d orientation mais ils le soutiennent sans r serve Ses fr res eux font de grandes tudes un moyen privil gi pour obten
499. ojet qui il va s adres ser ce qu il attend de chacun de ces interlocuteurs et ce que chacun de ces interlocuteurs peut attendre de Lui Point sur les principa les erreurs qu il ne doit pas commettre surestimer le march surestimer la part de march m Proposer une accroche all chante qui incite le banquier vouloir en conna tre davantage sur le projet m noncer son projet de mani re la plus compr hensible possible m Justifier chaque point par des arguments d taill s m Solliciter un financement r a liste tenant compte de la prati que bancaire 5 Source APCE Il s agit avant tout de s duire le ou les investisseurs potentiels ce qui suppose de pouvoir s appuyer sur un document la fois d taill et concis qui sera prise sous estimer la r action de la concurrence Cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques CO O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises L e plan de tr sorerie La plupart des disparitions d en treprises nouvelles intervenant la premi re ann e sont le fait de probl mes de tr sorerie d o la n cessit de faire pr parer au cr ateur un plan de tr sorerie quoi a sert Le plan de tr sorerie prend la forme d un tableau pr sentant tous les d caissements et tous les encaissements pr vus au cours de la premi re ann e en les ven tilant
500. on d entreprises pour organiser une manifestation sportive en nature COMMENT FAIRE 1 respectueuse des principes du d veloppement durable m tre exemplaire et duquer les publics Il appartient l organisateur de sensi biliser et de responsabiliser l ensem ble des publics au respect des sites et des populations L organisateur se doit d tre un exemple et de faire les choix ad quats pour limiter l impact de son organisation m Organiser La concertation g rer Les conflits d usage le d bat et la concertation avec toutes les structures et tous les orga nismes c toy s dans le milieu naturel services de r glementation propri taires et gestionnaires ONF propri taires forestiers priv s parcs naturels r gionaux et nationaux centres r gio naux de la propri t foresti re DDA autres usagers du milieu f d r s ou non chasseurs randonneurs m Pr server Le patrimoine Pour r duire les d placements et l mission de gaz et de particules e Mettre en place des transports en commun n cessaires plut t que de d placer des v hicules individuels e Favoriser le covoiturage e inciter rouler lentement aux abords Pour en savoir UFOLEP www sport21 fr Moutain riders www mountain riders org DRJSCS Bourgogne www bourgogne jeunesse sports gouv fr Et pour l obtention du label Sport et d veloppement durable consultez le guide pratique mi
501. on d ouverture doit se faire Fiches Pro SPORT dans les deux mois avant l ouverture de la salle aupr s de la DDCS direction d partementale de la Coh sion sociale ou DDCSPP direction d partementale de la Coh sion sociale et de la Protec tion des populations Cette d claration doit pr ciser l identit des personnes qui enseigneront et leurs dipl mes ainsi que leur d claration d exercice profes sionnel Les services de l tat effectuent ensuite une visite des locaux pour v rifier leur conformit M Le r c piss de d claration AMIS a DOCS ou La DDCSPP est demand lors de l inscription au Centre de formalit s des entreprises CFE ontacts et sources d information Quelques sources utiles pour l tude de march m La mairie les organismes consulaires les donn es Odil de l Insee http creation entreprise insee fr et les soci t s de g omarketing appor tent des informations sur la population m Le site du minist re des Finances per met d acc der aux seuils d imposition par commune www bercy gouv fr sans oublier la base de donn es sociales localis es http bdsl social gouv fr mLa consommation des m nages est analys e par l Insee et gr ce aux indices de disparit des d penses de consom mation IDC D Source les antennes d partementales des f d rations professionnelles et les centres ou associations de gestion agr s c Sports spo
502. on et de la diversit culturelle D Source Synth ses du Livre vert de la Commission du 21 mai 2003 sur les ser vices d int r t g n ral COM 2003 270 final Journal officiel C 76 du 25 03 2004 Consolider ses connaissances juridiques n est pas superflu xiger un solide business plan Quelle que soit La qualit de son projet seul un solide business plan peut permettre au cr ateur de d crocher les financements dont il a besoin pour d marrer son activit Les r seaux d accompagnement la cr ation d entreprises ainsi que de nombreux ouvrages qui fiches Projets s adressent aux cr ateurs livrent des conseils qui sont toujours bons prendre Petits conseils pratiques prodi guer dans tous les cas s entourer de personnes comp tentes confronter les points de vue rencontrer le plus rapidement possible les repr sentants des r seaux professionnels entrer en contact avec les lus et les techniciens des collectivit s locales du territoire d implanta tion Cependant si le cr ateur n est pas en mesure d expliquer ses besoins de financement et l affectation des ressources qu il cherche mobili ser investissements mat riels ou immat riels besoins en fonds de roulement etc cela signifie que le travail sur le projet n a pas t compl tement effectu E Si Le projet n est pas m r mieux vaut orienter le cr ateur vers des organismes
503. on g n rale Fr d ric Steinberg Coordination ditoriale minist re charg de la Jeunesse Farid Mebarki Coordination ditoriale minist re charg des Sports Fr d ric Steinberg Conception et r daction V ronique Siau SED Conseil Secr tariat d dition Karine Elsener Conception graphique et maquettage Cr aComm SED Conseil Illustrations Gylles Morel GUIDE PRATIQUE ACCOMPAGNER DES ENTREPRENEURS DE TALENT Eta g es re u e 0 PEJ o le Cr ateur d cide de se lance pouscut be Sport e Sports et loisirs de nature Pratiques culturelles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises DITORIAL Yann DY VRE directeur de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative Minist re de l ducation nationale de la Jeunesse et de la Vie associative Bertrand JARRIGE directeur des Sports Minist re des Sports L Entrepreneuriat dans les champs du sport des Loisirs de nature et des pratiques culturelles Le d veloppement du temps libre la d mocratisation des loisirs et de la culture ainsi qu une plus grande prise en compte du bien tre ou de l en vironnement ont largement transform les modes de vie des Fran ais Les activit s sportives et socio ducatives ou les pratiques culturelles constituent des enjeux majeurs pour le d veloppement des territoires et des conomies locales En t moignent la professionnalisation et Le nombre croissant de cr a tions d ent
504. ones urbaines en difficult m Pour qui Les organisations de petite taille peu o pas de salari s g n ra lement constitu es sous forme associative ou coop rative Les structures primo demandeuses d une aide au titre du FSE sont prioritaires m Combien Pour les micro projets le taux d intervention pourra aller jusqu 100 Pour effectuer une demande de subventions voir le dossier dis ponible aupr s de l organisme interm diaire de votre r gion www fse microprojets fr Pour en savoir Sur le FSE www fse gouv fr Le FEADER Les types de projets financ s par le FEADER Fonds europ en agri cole pour le d veloppement rural en lien avec les secteurs vis s par le guide Gestion de l espace et am liora tion de l environnement Le FEADER permet d am liorer les pratiques agricoles pour un plus grand respect de l environ nement Diversification de l activit en zone rurale Le FEADER soutient notamment la diversification de l activit agri cole la cr ation d entreprises artisanales le d veloppement du tourisme et des services et la mise en valeur du patrimoine naturel ou culturel D Source Guide pratique de l lu www amf asso fr Progress un instru ment europ en de micro finan cement En d cembre 2009 le Parlement avait approuv la cr ation d un instrument europ en de micro financement Progress pour permettre aux personnes qui ont
505. onomie postindustrielle les entreprises quel que soit leur secteur d activit doivent s assurer que ce qu elles vendent offre une exp rience riche et forte La cr ativit appartient exclusivement au monde de la culture La cr ativit bas e sur la culture est pour les chefs d entreprises et les d cideurs politiques un l ment fondamental pour d velop per et mettre en uvre des strat gies centr es sur les besoins de l utilisateur il s agit moins de produire des choses que d offrir un service fiches Projets Le caract re immat riel du produit donne une importance cruciale la traduction la plus pr cise du projet dont il est l aboutissement Conseil conomique et social L acte productif dans la soci t des savoirs et de l immat riel 2004 La comp titivit des conomies repose exclusivement sur l am lioration des fonctions de production des entreprises Le contexte international en pleine mutation l mergence de nouvelles technologies et l acc l ration de la mondialisation constituent des d fis pour la comp titivit de l Europe Les industries culturelles et cr atives ICC de l UE ont Le potentiel n cessaire pour y r pondre en particulier par la cr ativit et l innovation qui les caract risent L acc s au financement est frein par Les faiblesses de l observation conomique de ces secteurs L acc s au financement constitue l un des principaux obstacles la cro
506. onstante 94 des organismes rel vent du secteur priv but lucratif non lucratif et formateurs individuels et r alisent les trois quarts du chiffre d affaires 9 millions de stagiaires ont t accueillis dans leurs centres de formation soit 81 du total C est essentielle ment gr ce eux et notamment gr ce au secteur priv but lucratif que le dynamisme global du secteur se maintient en termes de chiffre d affaires Le chiffre d affaires du secteur s l ve 6 9 milliards d euros en hausse de 6 2 apr s 7 3 en 2007 Au total 14 550 orga nismes 2 6 ont form 11 4 millions de stagiaires 3 9 et dispens 755 millions d heures aux stagiaires 0 5 SAUT Les formateurs ind pendants connaissent la plus forte hausse 6 et repr sentent 32 des prestataires Ils ont galement form un plus grand nombre de stagiaires 9 Cependant ils n accueillent toujours en 2008 qu un stagiaire sur dix et ne r a lisent que 4 du chiffre d affaires du secteur et 9 des heures sta giaires Les employeurs sont les princi paux acheteurs de formation 59 des formations sont finan c es par des employeurs publics et priv s pour leur personnel Les entreprises priv es sont les prin cipaux acheteurs de formation professionnelle continue 52 Elles les financent soit directe ment 34 soit par l interm diaire des organismes paritaires collecteurs agr s
507. oposer un accompa gnement adapt ou l orienter vers une structure comp tente m2 Cr er un climat de confiance et d sacraliser l acc s aux fonds structurels pour aider le cr ateur diff rentes tapes de son projet m3 Se pr parer promouvoir une vision r aliste et globale du territoire pour orienter le projet dans le sens des priorit s europ ennes et des orienta tions prioritaires du territoire m4 Faciliter la mise en relation des partenaires avec le porteur de projet pour l aider mobiliser les ressources techniques financi res et m thodolo giques n cessaires la r alisation de son projet 2 R aliser un pr visionnel tive mais il en faut La r alisation initiale d un budget pr visionnel pr cis accompagn C est un point majeur de l acc s aux fonds europ ens qui passe par la capacit du porteur de projet s appuyer sur une comptabilit analytique d un outil de suivi adapt permet de g rer les aspects financiers et budg taires du d but de la r alisation jusqu au bilan COMMENT FAIRE pour aider le cr ateur pr voir une gestion budg taire et financi re rigoureuse conseils pratiques m 1 Analyser pr cis ment les attentes des financeurs potentiels pour argu menter correctement le dossier de demande de financement m 2 S assurer de pouvoir disposer d une comptabilit analytique en interne avant de d poser des deman des de fonds
508. oppement durable sont ainsi introduits dans les cahiers des charges et les proc dures de passation en toute s curit juri dique Pour faciliter le respect de cette nouvelle obligation l tat a la bor un Plan national d action pour des achats publics durables en 2007 D une part la circulaire du Pre mier ministre du 12 f vrier 2009 a fait de la d marche administration exemplaire un imp ratif pour tous les services de l tat et d autre part Le d cret de cr ation du Service des achats de l tat SAE en mars 2009 men tionne explicitement que Le ser vice des achats de l tat s assure que les achats de l tat res pectent les objectifs de d velop pement durable et de d veloppe ment social D Source Plate forme pour le commerce quitable Avril 2010 www commercequitable org Des valeurs aux principes le cadre l gislatif repr sente une garantie r ed couvrir certaines d finitions L entrepreneur social 1 Un entrepreneur social est d abord un entrepreneur 2 On ne na t pas entrepreneur on le devient 3 L entrepreneur social est un innovateur 4 On peut entreprendre autre ment dans tous les secteurs 5 0n peut entreprendre autre ment avec toutes les ambitions 6 Savoir s ancrer sur son territoire un atout pour r ussir 7 Se faire bien accompagner une condition du succ s 8 Entreprendre autrement c est aussi se faire financer autrement 9
509. orts de nature Fr d rique Roux et Katja Sontag dir Territorial 2008 www territorial fr tude de march La demande f M lt Pour les Fran ais le plein air d Savill voque la nature le plaisir la convivialit la libert la sant et la d couverte D Source Observatoire du plein air TNS SOFRES 03 10 Document en ligne www tns sofres com m Plus de 80 de la client le des pro fessionnels en Provence Alpes C te d Azur pratiquent les sports de nature pour d couvrir l activit et le territoire ou comme loisirs 2 Source tude sur la satisfaction des clients des professionnels des sports de nature Comit r gional de tourisme PACA 2009 m 59 des Fran ais souhaitent privil gier pour les vacances d t les balades et les randonn es dans la nature 25 veulent pratiquer des activit s sportives 30 en zone de montagne D Source Les Fran ais la France et le tourisme TNS SOFRES 06 10 www tns sofres com Les tendances m Aujourd hui plus que jamais les ques tions de protection de la nature et d du cation l environnement sont incon tournables dans notre soci t Face aux risques multiples catastrophes naturel les changement climatique destruction de la biodiversit puisement des res sources des transformations politi ques conomiques ou socioculturelles mergent Un nouveau projet de soci t se profile m La tendance est aus
510. orts et Loisirs de nature pratiques culturelles O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises au nord de Paris Ils sont dans le 93 l o il n y a pas de grimpeurs Mais con vaincus qu ils vont faire d placer leur client le gr ce la qualit et la dimen sion de la salle ils vont solliciter les ban ques La somme n est pas des moindres 3 500 000 francs Ils en rencontrent 9 au total La plupart de leurs interlocuteurs sont s duits mais les commissions d accord de pr ts refusent syst matiquement ils n ont jamais pr t d argent pour cr er une salle d escalade Pourtant une des banques finit par accepter parce qu ils ne peuvent pas faire autrement Ce sont les banques qui poussent vers la SA Les banques ne sont pas les seules ne pas croire au projet c est tout Le milieu de la montagne et de l escalade qui les enterre au d part Personne ne leur accorde du cr dit sauf eux et leurs associ s et amis un avocat un cadre sup de l ANPE des chefs d entreprises dont Jean Pierre qui sont tous issus de la montagne et qui vont leur appor ter le soutien moral et financier dont ils ont besoin C est finalement en 1995 que l ouverture du premier MurMur se fait Pantin et d s 2001 c est l ouverture du deuxi me toujours en r gion parisienne Entre temps d autres Mur Mur verront le jour en licence de marque Je vends du plais
511. ositionn es sur le tourisme d affaires et le tourisme d aventure Pour accompagner ce d veloppement une responsable com munication commercialisation et un jeune apprenti ont t embauch s Pierre Letohic a 23 ans Il a quitt l co le assez t t pris par la passion de la montagne que son p re lui a transmise 18 ans le jeune R tais il est originaire de l le de R laisse l oc an et l entrepri se familiale pour passer un BE escalade Millau Entre des saisons hivernales dans les Alpes et de l int rim dans l en treprise qui fabrique des mobile homes localement il a pass son tronc commun et s est engag dans la pratique du vol libre Entre temps il s est investi dans l organisation des Natural Games un v nement sportif qui a acquis une noto ri t internationale en quelques ann es Pour la prochaine dition il est respon sable de la partie musicale sa deuxi me passion qui le taraude depuis l enfance et qui lui permet d arrondir ses fins de mois Depuis peu il a d cid de passer un BPJEPS APT activit s physiques pour tous pour asseoir sa polyvalence Ca tombe bien Quentin a besoin d un profil comme le sien pour assurer le d veloppement de son entreprise Cr er un jour son entreprise il y pense d j a ne s invente pas es points faibles m Je fais toujours corriger mes dos siers C est mon point faible etje le sais m Conna tre la compta c est indispen sa
512. our activit principale ou pour objet l exploitation de lieux de specta cles la diffusion ou la production de spectacles les groupements d artistes amateurs b n voles faisant occasionnellement appel un ou plusieurs artistes du spec tacle percevant une r mun ration dans le cadre de spectacles enti rement amateurs d finis par une publicit locale une absence de ou une faible billetterie un contexte non lucra tif une r mun ration des personnes par une autre activit que celle pour laquelle elles se produisent il n est pas n ces saire d avoir une licence ni d effectuer une d claration pour les entrepreneurs occasionnels il existe un guichet unique de d clarations sociales GUSO et des feuillets de sim plifications qui ont valeur de d claration pr alable l embauche contrat de tra vail et feuille de paie www guso fr m Ces repr sentations doivent faire l ob jet d une d claration pr alable l auto rit administrative comp tente un mois avant la date pr vue direction r gionale des Affaires culturelles et mairie ou pr fecture Paris Lyon et Marseille Fiches Pro CULTURE Ca Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO o NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Les obligations effectuer aupr s des soci t s de droits d auteur Les droits d auteur se d composent en un droit patrimonial penda
513. our le compte de la soci t IL doit donc obser ver un certain formalisme et obte nir l autorisation de ses associ s pour tous les actes importants qui concernent la vie de l entreprise M La CAE est une soci t Nif coop rative de produc tion SCOP r gie par le principe une personne une voix les entrepreneurs salari s sont la fois responsables de leur deve nir conomique et parties prenan tes d une entreprise Le r gime social de l entrepreneur Ce crit re a longtemps t d ter minant dans le choix de la struc ture juridique En effet certains cr ateurs n h sitaient pas cons tituer des soci t s fictives pour tre rattach s en tant que diri geants au r gime g n ral des salari s La l gislation a aujourd hui large ment volu vers une harmonisa tion des statuts et le r gime des salari s n est plus aujourd hui la panac e fiches Pratiques gt Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles Dirigeants Entreprise individuelle r gime des travailleurs non salari s EURL si le g rant est l associ unique r gime des travailleurs non salari s Si Le g rant est un tiers assimil salari SARL soumise l IS le g rant minoritaire ou galitaire est assi mil salari et le g rant majori SA forme classique soumise lIR le pr sident est assimil salari Les autres membres du con seil
514. our luitoutes les t ches comptables fiscales et administratives n cessaires Chaque entrepreneur continue de b n ficier d un accompagnement personnalis individuel et col lectif sur l analyse de l activit le suivi du carnet de commandes la red finition ventuelle de sa strat gie et La d termination des objectifs Entrepreneur associ L entrepreneur dont l activit a atteint un r gime de croisi re et qui souhaite faire durablement de la coop rative le cadre d exercice fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND Co Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Sur Artenreel J CAE pour les 7 m tiers artistiques et culturels m Pr sentation de la structure C est en 2004 que St phane Bossuet porte l initiative d Arten r el premi re coop rative d ac tivit s et d emploi exclusivement d di e aux m tiers artistiques et culturels Bas e Strasbourg Artenreel est une coop rative d activit s et d emploi pour les m tiers artisti ques et culturels sous forme de soci t coop rative et participa tive Au nom de l innovation et de l initiative conomique l entreprise coop rative permet de d passer le clivage entre le statut d entrepre neur et celui de salari Dans ce mode d organisation protecteur le salariat est compatible avec la libert d entreprendre et de d ve lopper des initiatives p
515. our y r pondre en particulier par la cr ativit et l innovation qui les caract risent D Source Livre vert du 27 avril 2010 Lib rer le potentiel des industries cultu relles et cr atives http eur lex europa eu COM 2010 183 final Non publi au Journal officiel Les programmes ouverts la culture Culture et citoyennet Des projets pour travailler sur l espace culturel europ en com mun programme Culture Des projets pour promouvoir une citoyennet europ enne pro gramme L Europe pour les citoyens Des projets pour favoriser la par ticipation des jeunes programme Jeunesse en action fiches Sectorielles No Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 25 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Sur des programmes Culture financ s par l Union europ enne chez nos voisins m Lirlandealanc en 2009 le projet Cultural Tourism Initiative pour am liorer la collaboration entre les secteurs de l art de la culture et du tourisme m Le nouveau service sp cialis du mi nist re de la Culture de la Roumanie consacr au tourisme culturel encou rage la coop ration interservices pour exploiter pleinement le potentiel du pa trimoine mat riel et immat riel m Le programme de r sidence DIVA mis en place par le Danemark doit favoriser l accueil d artistes trangers dans les domaines de l art visuel de la musique de la lit
516. out France par voie lectronique sur le site internet de l Agence Pour conna tre l ligibilit ou d Svir non de l activit la Chambre d agriculture est le Centre de formalit s des entreprises CFE comp tent pour les activit s agri coles la direction d partementale des Ter ritoires sera consult e pour les auto risations d exploiter l installation ou les agrandissements de structures les aides agricoles Pour en savoir www apce com c ontacts et sources d information Organismes professionnels a Minist re des Sports 95 avenue de France 75650 Paris a Minist re de l Agriculture de L Ali mentation de la P che de la Ruralit et de l Am nagement du territoire 75349 Paris m F d ration interprofessionnelle du cheval de sport de loisir et de travail Fival 104 rue R aumur 75002 PARIS amp 0145611219 Fax 01 45 08 88 03 contact afival info m Haras nationaux pour la protection du cheval LFPC 124 rue du Vieux Pont de S vres 92100 Boulogne F d ration des randonneurs questres de France FREF 33340 Saint Germain d Esteuil www fref france com m Chambre syndicale du commerce des chevaux de France CSCCF 78125 Gazeran www csccf fr m Groupement hippique national GHN 12 avenue de la R publique 41600 Lamotte Beuvron www ghn com fr m F d ration nationale du cheval FNC 50 rue Justice 75020 Paris T 0143 613119 www fnc
517. p cifiques d incitation d accueil et d ap pui au d veloppement dans ces sec teurs d activit eY a t il une politique affirm e en mati re de d veloppement durable e IL faut l amener poser clairement les atouts et les faiblesses de son projet en la mati re et ne pas oublier que pour ce candidat la cr ation l quation projet personnel projet professionnel qui est souvent au c ur de sa d marche repose fortement sur son territoire d implantation fiches Pratiques L e recensement des moyens Le recensement des moyens qui seront n cessaires la mise en uvre du projet est un travail pr cis qu il convient d effectuer avec soin ILest important de ne rien oublier car il est toujours d licat lorsque l on se trouve en phase de d mar rage d une entreprise de devoir solliciter nouveau son banquier dans le but d obtenir un compl ment de pr t Pour cela les cr ateurs doivent prendre le temps de visualiser mentalement comment fonction nera leur future entreprise en d composant en d tail cha que fonction de l entreprise t che par t che en se demandant pour chaque t che comment la r aliser avec quels moyens qui s en char gera quel co t en combien de temps et en reportant ces informations dans un tableau l effectif envisag et naturel lement du temps disponible de chacun Comment pr voir un CA r aliste IL n existe pas une
518. pas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises NO E Dans le sport l innovation est omnipr sente Elle r pond la demande de renouvellement de confort et de s curit des pratiquants Elle concerne autant les pratiques que les mat riels dont l volution d pend la fois des technologies nouvelles et de la mode Pour ce qui concerne la culture la cr ation et la singularit sont au c ur des productions quels que soient les publics vis s Elles ont Pr parez vous t particuli re d couvrir une id e ment touch es ces de projet originale derni res ann es dans ses modalit s par l interdiscipli de mise en uvre narit qui s impose comme dans son dans presque tous contenu les domaines 3 Le choix du statut Pour les acteurs qui ne sont pas sp cialistes de l accompagnement la cr ation d entreprises le ris que consiste laisser le cr ateur s enfermer dans les statuts qui dominent dans ces secteurs d activit Ce risque est d autant plus fort que la culture conomique des cr ateurs eux m mes s est for g e dans des milieux o le statut associatif et ou le statut d inter mittent sont Les plus r pandus fiches Projets IL n est pas plus question ce stade de rejeter d embl e ces sta tuts qui peuvent Le choix du statut dans certaines comme pour conditions tre
519. pente qui a la trentaine ils cr ent HORIZON une SARL qui vend activit s et mat riels dans L entreprise pour moi c est un non choix parce qu il n y en a pas d autre les sports de nature escalade sp l o vol libre canyoning et qui sous traite MILLAU VOL LIBRE les activit s d enca drement et d cole de parapente Quand Nicola a un accident l autre bout du monde qui l oblige rester une an n e clou sur un lit d h pital le jeune Quentin prend naturellement la rel ve et g re la bo te de son coll gue tout en as surant la g rance de la SARL HORIZON son retour Nicola d cide de quitter la ville de Millau et lui c de son entre prise Notre jeune cr ateur se retrouve donc propri taire de MILLAU VOL LIBRE et g rant d HORIZON L aventure dure presque dix ans On est en 2000 quand un accident dans sa client le remet tout en cause L envie n est plus l m me s il peut toujours exercer Alors il d cide de changer de vie il vend ses parts son asso ci Thierry et part faire une cole de jazz sur Montpellier Sa deuxi me passion l am ne repartir z ro avec un groupe de salsa Mais les temps sont durs pour les musiciens et la concurrence est s v re Alors pour compl ter ses fins de mois il innove en cr ant un manuel p dagogique pour les coles de parapente qu il vend au travers d une nouvelle en treprise BIG BIRD tout en travaillant comme salari dans l
520. peuvent aussi d ci der d en assurer directement la gestion En outre lorsqu une personne pri v e exerce sous sa responsabilit et sans qu une personne publique en d termine le contenu une acti vit dont elle a pris l initiative elle fiches Sectorielles Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 14 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises ne peut en tout tat de cause tre regard e comme b n ficiant de la part d une personne publique de la d volution d une mission de service public Son activit peut cependant se voir reconna tre un caract re de service public si une personne publique en raison de l int r t g n ral qui s y attache et de l importance qu elle rev t ses yeux exerce un droit de regard sur son organisation et le cas ch ant lui accorde des financements L a concession La d finition classique du contrat de concession est celle donn e par le commissaire du gouverne ment Chardenet dans l affaire du Gaz de Bordeaux CE 30 mars 1916 C est Le contrat qui char ge un particulier ou une soci t d ex cuter un ouvrage public ou d assurer un service public ses frais avec ou sans subvention avec ou sans garantie d int r ts et que l on r mun re en lui con fiant l exploitation de l ouvrage public ou l ex cution du service public avec le droit de percevoir des redevances sur les usagers de l ouvrage ou
521. plica tion de l AFDAS sont 18 207 56 307 59 11A 59 11B 59 11C 59 127 59 13A 59 13B 59 147 59 207 60 107 60 20A 60 20B 73 11Z 73 122 74 207 74 90B 78 107 90 01Z 90 027 90 047 91 027 dont le num ro SIREN commen ce obligatoirement par 1 ou 2 Le neuvi me chiffre est un chiffre de contr le de validit du num ro SIRET Le num ro SIRET est un identi fiant d tablissement Cet identifiant num rique de 14 chiffres est articul en deux par ties la premi re est le num ro fiches Sectorielles IE OS Z NID 707 007 N 5 NNIZ gt RIZZA RIZ IA CR2IZ 93 297 Sur cet exemple le code 56 307 inclut l exploitation de bars et caf s et bien que ce code soit d sign comme rele vant de l AFDAS les bars et caf s rel vent du FAFIH comme OPCA du sec teur www insee fr m Autre exemple l activit de profes seur de danse concerne exclusivement les professionnels qui enseignent la danse classique contemporaine et le jazz Leur code NAF est le 85 527 savoir celui de l Enseignement cultu rel L cole de danse est r f renc e sur le m me code NAF pour autant elle concerne les tablissements o est dispens l enseignement de toutes formes de danse classique contem poraine jazz de salon sportive ur baine etc mLes principaux codes NAF utilis s dans le sport 93 11Z Gestion d installations spor tives 93 12Z Activit
522. ports et Loisirs de nature pratiques culturelles 5S Se Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises u n march av r La demande au niveau europ en Selon une d finition relativement large du handicap la population handicap e repr senterait envi ron 50 millions de personnes soit 11 de la population europ enne totale Le nombre d Europ ens physique ment handicap s financi rement solvables et aptes voyager serait de 36 millions Sachant que la plupart de ces personnes se d placent avec un accompagnateur cette client le pourrait g n rer 239 millions de nuit es touristiques potentielles D Source Les cahiers de la MITRA Tourisme et loisirs de pleine nature adapt s Novembre 2004 Les vacances pour les Francais Pour plus de la moiti des per sonnes handicap es les vacances sont une r alit Une client le qui voyage 90 des r pondants ont d clar partir en vacances une fois dans l ann e plus de 80 km de chez eux et ce plus d une nuit 50 d entre eux ont d clar des dur es de s jour de deux semaines et plus Pour les d ficients mentaux cette proportion passe 74 Une client le qui a des ressour ces pour voyager Contrairement une id e souvent r pandue une partie non n dgli geable de la client le handicap e notamment parmi la client le handicap e suite un accident dispose d un budget et de la volont
523. pos s deux fois mais ils sont pris en compte dans la d termination du revenu fiscal de r f rence du foyer fiscal pour la caisse d allo cations familiales et prendre en compte pour v rifier que l op tion pour le versement fiscal lib ratoire sera toujours ouverte dans deux ans du taux d imposition qui s appli quera aux autres revenus du foyer fiscal Le cr ateur b n ficie d Savill par ailleurs d une exo n ration de la cotisation fonci re des entreprises ex taxe professionnelle en cas d option pour le versement lib ratoire de l imp t sur le revenu durant les deux ans qui suivent l ann e de d but d activit affectation des versements Les versements effectu s dans le cadre du r gime micro social auto entrepreneur servent payer en priorit l imp t sur le revenu en cas d option pour les versements fiscaux lib ratoires puis la contribution sociale g n ralis e CSG et la contribution au remboursement de la dette sociale CRDS Un d cret pr cise l ordre d affectation du solde des cotisations sociales assurance maladie maternit assurance suppl mentaire de maladie maternit invalidit d c s assurance vieillesse compl mentaire allocations familiales assurance vieillesse de base Cette affectation s applique aux cotisations dues au titre de la derni re ch ance puis celles dues au titre des ch ances ant rieur
524. pour des raisons profes sionnelles en r gion parisienne Quentin Simon pratique le tennis et la voile tous les week ends et l hiver il fait du ski Ce go t en bouche il d croche un BAFA qui lui permet de passer deux ans CAP Monde en r gion parisienne en tant qu animateur de classes d couverte C est en pratiquant la voile un week end qu un copain normand l initie au para pente et lui conseille de faire un stage d une semaine au sein d une cole qui s appelle MILLAU VOL LIBRE et qui comme son nom l indique se situe Millau dans le Sud Aveyron On est en 1989 il a 18 ans et il sait d j que la cr ation d entreprise sera sa seule voie Dans sa famille les dipl mes de l enseignement sup rieur et la r ussite Trajectoire SPORT NATURE sociale sont la r gle et il faut pouvoir se d brouiller sans se faire assister Sa famille le lui a dit il peut comp ter sur eux mais uniquement s il ne s en sort pas Gr ce l appui d une mission locale il h site un peu mais pas tr s long temps entre le BE ski et le BE parapente pour le BE ski j ai vite compris que je n aurai pas le niveau et il trouve un financement r gional pour d crocher son dipl me Entre des saisons Luchon l t et Cannes l hiver c est Millau qu il se forme et qu il d cide de cr er sa premi re entreprise On est en 1992 il n a que 21 ans Avec Thierry un jeune sp l ologue de 20 ans et Nicola un BE para
525. pr s de son totalement vole notaire Les besoins financiers cette tape le cr ateur doit avoir d termin les besoins financiers de son entreprise il l a fait lors de l tablissementdescomptes pr vi sionnels Lorsque ses besoins sont impor tants la cr ation d une soci t peut s imposer pour pou voir accueillir des investis seurs dans le capital mais a n est pas toujours le cas les Cigales investissent dans toutes les formes d entreprises collectives y compris les Scop et les Scic et les financements accord s par la Soci t financi re de la Nef permettent de soutenir la cr ation et le d veloppement d activit s professionnelles et associatives quelle que soit la for me juridique coop rative soci t civile ou commerciale entre prise individuelle association profession lib rale agriculteur etc mais il faut que ces activi t s r pondent des fins d utilit sociale et environnementale fiches Pratiques bancaire il sera La responsabilit probable que la peut dans certains caution de certains No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND o OQ Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Le montant minimal du capital social Entreprise individuelle il n y a pas de notion de capital social l entreprise et l entrepreneur ne formant juridiquement qu une seule et m me personne EURL le montant du capita
526. progres sivement et lui permet de vivre tran quillement Pour rendre son activit conomique ment plus sereine elle d cide de mettre en place une activit de luge le snake gliss qu elle a d couverte par hasard gr ce un ami premi re vue cette nouvelle activit n est pas tr s compli qu e et l investissement est mesur Cela consiste en effet faire descendre les pistes en luges attach es les unes aux autres Sa bonne connaissance de la station et des professionnels qui y vivent lui permet de n gocier les autorisations dont elle a besoin et de recruter les moniteurs de ski et accompagnateurs en moyenne montagne qui encadrent ce nouveau produit coup et jusqu pr sent a a toujours march C t Dr me les choses se pas sent bien pendant huit ans Quand la collaboration cesse en 2007 elle r alise que son statut de travailleur ind pen dant qui lui va si bien ne la prot ge pas J ai beaucoup perdu suffisamment en ne travaillant plus dans cette cole La soci t de fait c est bien tant que tout va bien mais quand a va plus on perd le fruit d ann es de travail Pour cr er Esprit Parapente elle veille lui don ner une identit et une me Aujourd hui elle passe ses t s dans les Baronnies et ses hivers Vallouise Elle a cr une EURL pour porter la partie commerciale de l cole de parapente et elle a conserv son statut de travail
527. projet selon le sch ma poste ou fonction occup le savoir faire et connaissances niveau de forma tion et dipl mes D tape 4 faire un pre mier bilan Pour l aider identifier ses points faibles technique commerciale gestion et ses points forts pour la r alisation de son projet mettez l accent sur ses atouts facult s particuli res contacts connaissances pratiques ou th o riques participation des orga nismes des asso N oubliez pas qu il ciations aide du n existe pas de profil conjoint etc id al pour devenir entrepreneur Et n h sitez pas l orienter vers une formation compl mentaire pour qu il dispose du plus grand nombre d atouts au d marrage mais aussi ce sur quoi il doit faire porter ses efforts Quelles sont les conditions de r us site Comment va t il y parvenir et dans quel d lai IN Pour en savoir T l charger le guide de l APCE intitul Valider son id e de cr ation L essentiel du contenu de cette fiche s appuie sur les conseils en ligne donn s sur le site de l APCE fiches Pratiques COMMENT FAIRE pour am liorer votre accompagnement Notez des questions compl mentaires Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques RE Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises E Trajectoire SPORT UNE CAPACIT SURMONTER LES PREUVES TOUTE PREUV
528. propose une offre diversifi e et flexible adapt e aux exigences des modes de vie s dentaires et urbanis s Cette forte demande contribue aiguiser un climat de concurrence carac t ris par la pr sence d un secteur priv et d un secteur associatif de poids quivalent et par l volution permanente de la demande des client les E ctivit s du secteur D finition Une salle de remise en forme est un lieu mettant disposition du public des qui pements un environnement et des pres tations d encadrement visant l am lioration de la condition physique de la d tente et du bien tre de ses clients La seule salle de musculation n attire plus en effet les foules d sormais tout club se doit de proposer des activi t s compl mentaires pour s duire une client le beaucoup plus large hommes femmes seniors aux aspirations tr s diverses d tente bien tre mais aussi mal de dos stress ob sit convivialit Les diff rentes formes de pratique On distingue d sormais a Les activit s classiques Salle de musculation espace cardio training tapis roulants v los stepper rameur cours collectifs culture physique step low impact Hi Lo stretching cours de danse Des diversifications possibles sauna hammam spa piscine et aquagym massages et autres activit s li es la relaxation soins de beaut solarium enveloppe ments
529. quai de Dion Bouton 92811 Puteaux Cedex BG 0146964433 c dupont cordelier bollore net www deuxiemechance org B n ficiaires personnes g es de 18 60 ans ayant travers de lourdes preuves de vie aujourd hui en situation de grande pr carit mais manifestant une r elle volont de rebondir La Fondation ne finance pas les cr ations d activit s artistiques Proc dure la dotation peut tre sollicit e une fois que le candi dat a effectu des demandes de cofinancement aupr s des acteurs traditionnels de financement Prix soutien financier et humain pour mener bien un projet pro fessionnel r aliste et durable for mation qualifiante cr ation ou reprise d entreprise Un comit d agr ment se r unit 6 fois par an Montant dotation en moyenne de 6 000 8 000 sur 2 ans Nombre de b n ficiaires environ 600 chaque ann e fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Co c5 Z5 Co NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O TROUVER L INFO m Fondation Raoul Follereau 31 rue de Dantzig 75015 PARIS 01 53 68 98 98 ruralite raoul follereau org www raoul follereau org B n ficiaires personnes en situation de pr carit porteu ses d un projet de cr ation ou de reprise d activit situ es en zone rurale communes de moins de 2 500 habitants La subvention ne peut tre accord e
530. quelle deux associ s se sont investis mla nouvelle entreprise va pou voir compter sur les fonds euro p ens pour un montant total de 20 de l investissement la phase de cr ation soit environ 20 000 euros Europe et La culture La politique europ enne de La culture La culture constitue aussi une sph re d action relativement nou velle pour l Union europ enne UE tout au moins d un point de vue juridique l introduction des bases juridiques de l action de l UE dans ce domaine ne remonte qu au trait de Maastricht et en particulier l article 151 du Trait sur le fonctionnement de l Union europ enne en 1992 En 2007 la Commission adopte l Agenda europ en pour la culture dans un monde globalis puis elle fait de 2009 l Ann e europ enne de la cr ativit et de l innovation par l ducation et la culture Aujourd hui la culture est recon nue comme un secteur d acti vit part enti re 2 6 du PIB de l Union en 2003 dont l impact sur l environnement socio cono mique europ en est av r La Commission europ enne encourage en cons quence la culture de deux mani res par le biais de la politique cultu relle mais galement par l int gration de la dimension culturelle dans d autres domaines d int r t de l UE tels que la concurrence ou la politique industrielle fiches Sectorielles No Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles No
531. qui relie l aile au pratiquant Elles se sont impos es en grande partie gr ce l investissement de fabricants qui se sont progressive ment sp cialis s D Source Le Kitesurf une innovation fran aise Yves Belliard et Claude Legrand revue Espace avril 2010 par ailleurs sont aussi utilis s par d autres publics La relation entre sports de nature et technologie semble tre r gie par un m canisme dont les roua ges sont interd pendants o tour tour la pratique de nouveaux sports induit la cr ation de mat riels innovants dont l volution conduit r guli rement en retour l am lioration des conditions de pratiques et ainsi de suite D Source Rapport du Conseil national des activit s physiques et sportives 2002 publi par la Documentation francaise fiches Sectorielles Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles EE Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O L actualit est d ores et d j au mariage des activit s courses d orientation et d couverte du patrimoine via ferrata et d cou verte ludique et interactive sen tiers de randonn e et de d cou verte culturelle ou patrimoniale course d orientation acc s inter net et strat gie v nement spor tif de haut niveau et m dias innovation une question de posture Dans le secteur des sports et loi sirs de nature on voit fleurir de nombreus
532. r NF EN 15567 1 du 6 mars 2008 Partie 1 exigences de construction et de s curit Cette premi re partie de norme sp cifie les exigences de s curit concernant la conception la construction le contr le et la maintenance des parcours acro Fiches Pro SPORT NATURE batiques en hauteur et de leurs compo sants Elle ne s applique ni aux parcours acrobatiques temporaires ni aux aires de jeux pour enfants noter que son application n est pas obligatoire D Source ATOUT France Grand Angle Hors s rie n 5 Sp cial d veloppement des parcours acrobatiques en hauteur ontacts et sources d information Organismes professionnels Syndicat national des exploitants de parcours d aventure SNEPA cr en juin 2004 43 150 Les Estables www snepa org secretaire dsnepa org Syndicat national des espaces de loi sirs animaliers et culturels SNELAC ouvert tous les sites de loisirs qui recoivent un public familial dans un espace clos et am nag parcs d attrac tion parcs aquatiques ou animaliers parcours acrobatiques en hauteur parcs th mes ou sites culturels 2 rue d Amsterdam 75009 Paris www snelac com contactidsnelac com Ouvrages Grand Angle Hors s rie n 5 Sp cial d veloppement des parcours acrobatiques en hauteur 1 version papier sur le site de la DILA Documentation fran aise www documentationfrancaise fr Tarif
533. r clairer sa d marche les minist res charg s des sports et de la culture l AVISE Agence de valorisation des initiatives socio conomiques l APCE Agence pour la cr ation d entreprises le CNAR culture Centre national d appui et de ressources culture le CNAR sport mettent en ligne des informations qui vont per mettre au cr ateur de concr tiser son projet Par ailleurs les formations et les conseils en la mati re existent S ils ne sont pas La formation b es conomiques d un v ne ment culturel ou sportif sp cifiques ils per est dans la vocation mettent cependant m me de certains d clairer judicieu statuts Une autre sement la d mar facon de s curiser le che du cr ateur parcours de cr ation quelle valeur accorder au bien tre ou la qualit de la vie restent souvent sans r ponses 20 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Pourtant cette connaissance est indispensable Sans tre exhaus tif on peut rappeler que dans les associations d ve lopper une activit artistique ou sportive ne suffit pas obtenir une subvention l Europe tout comme les collec tivit s territoriales soutiennent les associations dans une logique de projet les entreprises m c nes se pro noncent sur des budgets d op ra tions et non de structure r pondre un appel d offres ne peut se faire sans une certaine ma trise des outils co
534. r qui ne conna t pas forc ment le champ d intervention de ce type de cr ateur IL est donc recommand d viter le vocabulaire propre un m tier ou un secteur d activit A Mile dossier FSE com d savil porte une rubrique o doivent tre mention n s les r sultats attendus con seillez au cr ateur d tre modeste sur le niveau estim des r sultats attendus assurez vous que ceux ci soient mesurables et invitez le se limiter ce qui est n cessaire au d p t de son dossier Rappe lez vous que ces r sultats atten dus figureront dans la convention La qualit et Le soin apport s la r daction du dossier sont pr pond rants Ils vont engager le d posant pendant toute la dur e de la mise en uvre de son op ration La d marche d valuation Mettre en place une proc dure d valuation pour garantir la qua lit du projet est attendu quelle que soit La nature du projet i M valuation appara t INR aujourd hui comme indispensable dans le champ public Elle r pond cinq imp ratifs x Utilit pertinence c est le fait que l valuation produise de l in formation compr hensible et utile non seulement pour les d cideurs mais aussi pour les autres prota gonistes de la politique publique m Fiabilit l valuation doit tre digne de confiance Cela ren voie l exactitude des informa tions collect es mObjectivit l objectivit s en tend comme le fa
535. r ations de Scop 37 rue Jean Leclaire 75017 Paris T 0144 85 47 30 www scop coop m Unicer Immeuble Mercure 445 bd Gambetta 59976 Tourcoing Cedex 03 20 24 97 87 contact unicerasso fr www unicerasso fr W le site de APCE du minist re de l conomie des Finances et de l Industrie du site www aides entreprises fr ainsi que du dossier Web n 029 d Alternatives conomiques Cette fiche a t r alis e pour l essentiel partir des informations diffus es sur Septembre 2008 fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 41 2006 et une nouvelle enveloppe de pr s de 20 milliards d euros est ouverte pour les projets francais entre 2007 et 2013 Souvent jug s complexes les fonds structurels sont d laiss s par les petits porteurs de projets Pr de 200 000 projets ont t financ s par l Europe entre 2000 et Point sur Les informations qu il est bon d avoir en m moire pour accompa gner un cr ateur dans les secteurs du sport et de lacultureeeeee LA POLITIQUE EUROP ENNE 2007 2013 LA CULTURE ET LE SPORT 24 NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises es trois axes de la nouvelle programmation 2007 2013 Lastrat giede Lisbonne renouvel e G teborg Elle vise faire de l Europe l co nomie de la connaissance la plus comp titive et la plus dynamique du monde d ici 2010 capable d une croissance conomiqu
536. r guide agriculture AMM h tellerie res tauration etc DSource Les m tiers des sports de montagne Evolution et enjeux en r gion Provence Alpes C te d Azur Mission r gionale d observation de l em ploi de la formation et de l insertion pro fessionnelle dans les m tiers du sport et de l animation www orm paca org onction publique et cr ation d entreprise La loi de modernisation de la fonc tion publique du 2 f vrier 2007 et son d cret n 2007 658 du 2 mai 2007 ont red fini Les r gles appli cables aux agents publics Ils peu vent d sormais demander leur hi rarchie l autorisation de cumu ler leur fonction avec la cr ation ou la reprise d une entreprise www legifrance gouv fr ultisalariat attention la dur e L gale du travail et la clause de non concurrence Seuls les travailleurs ind pen dants sont libres de travailler comme ils l entendent Pour les salari s l article L 3121 34 du Code du travail sauf d ro gation est strict aucun salari ne peut travailler plus de 10h par journ e civile soit entre0het 24h sur une semaine la dur e l gale ne peut exc der 48 heures et sur 12 semaines la dur e moyenne ne peut d passer 44 heures La loi pour l initiative d Savi conomique du 1er ao t 2003 permet de cumu ler une activit salari e et une activit ind pendante malgr la clause d exclusivit et ce pendant une p riod
537. r des biens n cessaires au service Ma Un avis du Conseil NULL d tat confirm par la loi MURCEF affirme que le caract re administratif d un service public n interdit pas la collectivit d en confier l ex cu tion des personnes priv es sous r serve que ces services ne soient pas par leur nature ou la volont du l gislateur au nombre de ceux qui ne peuvent tre assur s que par la collectivit publique fiches Sectorielles La d l gation de service public se caract rise par trois l ments 1 Le lien unissant Le d l gant au d l gataire doit tre n cessaire ment contractuel La loi d finit la d l gation de service public par l instrument juridique r alisant la d l gation La notion de contrat se trouve mise en exergue ce qui ipso facto fait sortir du champ de la d fini tion toutes les d l gations sta tutaires c est dire pr vues par d termination de la loi ou du r glement 2 Le d l gataire doit tre char g de la gestion et de l exploita tion du service public d faut le contrat pourrait n tre qu une fourniture de moyens pou vant relever du Code des march s publics Seule une collectivit d Siir publique peut d tenir la ma trise d un service public c est dire qu elle peut seule d tenir les comp tences pour le cr er l organiser lui don ner les moyens de sa mission et en assumer le contr le La gestion proprement di
538. ranchise peut tre un atout pour percer plus vite sur un march on b n ficie de la notori t d une ensei gne et d une formation d une assistance technique et commerciale ainsi que de diff rents services Les contraintes exis tent en contrepartie la communication reste l exclusivit de la marque il faut respecter la charte graphique et surtout pouvoir supporter l ampleur des inves tissements de d part ou le droit d entr e dans le r seau Pour en savoir Voir la fiche professionnelle de l APCE sur la franchise l attention des futurs franchis s tude de march La demande Le seul sport version bodybuilding ne fait plus recette La client le vient cher cher du bien tre avec les services de kin sith rapeutes d esth ticiennes de di t ticien ne ls de podologues et m me de coiffeurs Elle a d couvert les vertus des saunas hammams et spas une ten dance qui englobe des pratiques h t ro clites comme la gym aquatique les mas sages les soins Le wellness qualifie les diff rentes pratiques concou rant au bien tre SAVOT Le m tier volue aussi vers les ser vices personnalis s plus que jamais le client a besoin de coaching pour s entra ner G n ralement les hommes pratiquent en priorit la musculation les femmes privil gient les cours collectifs et l espace cardio training est utilis par les deux indiff remment Fic
539. rang repose avant tout sur sa situation g ographique sa culture et son patrimoine Mais la valeur conomique de ses ressources est enti rement d pendante de la capacit des entreprises et des professionnels s adapter aux saisonnalit s qu impose le sec teur Tous les territoires n ont pas les moyens d appuyer leur politique de d veloppement touristique sur le sport et la culture mais tous ceux qui y parviennent avec suc c s ont su conjuguer des quipe ments et ou une communication fiches Projets adapt e avec un soutien aux entrepreneurs et leurs salari s La formation professionnelle con tinue et les dispositifs de soutien territorialis s contribuent effi cacement faciliter l installation durable t s saisonni res ce candidat Cependant au sta les entreprises de de la cr ation saisonni res l accompagnement sont indispensables des cr ateurs n est aux territoires pas toujours au touristiques rendez vous 2 L originalit du projet La p riode actuelle est mar qu e par une volution rapide des valeurs ainsi que des modes de vie et de consommation con jugu e une banalisation des d placements des populations et la progression constante des nouvelles technologies Dans ce contexte notre poque se r v le particuli rement favorable une dynamique d innovation qui con cerne pleinement les activit s et les cr ateurs vis s par ce guide d activi Ne n gligez
540. ratiqu e comme une activit de loisir une situa tion qui contribue complexifier la classification de ces activit s Cr ativit Par ailleurs ces activit s sont souvent port es par des acteurs aux d marches cr atives qui inventent en permanence de nouveaux modes d expression et de nouveaux termes pour les qualifier X games ice climbing cancayak slacklining ragga jam breakbeat turntablisme Ce renouvellement permanent y compris dans le vocabulaire sert g n ralement l image de ces secteurs dont il refl te la dynamique mais ces mots peuvent aussi faire obstacle leur connaissance voire leur reconnaissance u ne progression constante Malgr ces difficult s l observation statistique s adapte l volution des contenus des nomenclatures des professions et activit s les travaux r alis s sur les familles professionnelles par la DARES ou les analyses de l INSEE en t moignent La d finition du code NAF Dans ce contexte la d finition des activit s propos e par la NAF m me si elle est insuffisante pour rendre compte de ces activit s avec pr ci sion repr sente une base int ressante m 90 Activit s cr atives artistiques et de spectacle Cette division comprend l exploitation d installations et la prestation de services en vue de r pondre aux int r ts des clients en mati re de culture et de divertissement Elle couvre la production et la promotion de spectacles d v nements ou d e
541. ratiques for mulaires spectacle vivant textes sur la licences et formulaires de demande Artistes vos droits par le service public http vosdroits service public fr Les fiches pratiques de l IRMA dont L organisation de spectacle t l char ger gratuitement sur le site de l IRMA m le guide annuaire du spectacle vivant dit par le CNT Centre national du th tre qui comprend toute une par tie juridique a Le site de la CAGEC gestion www legiculture fr les r glemen tations dans le domaine culturel sur abonnement Dossier complet sur la licence d entre Tous droits r serv s Cr dit photo Frank Boucher preneur du spectacle retrouver sur www cfpts com www ccip fr activit s r glement es les entreprises de spectacles wwvw cagec fr fiche sur les entrepre neurs de spectacle vivant s Le M mento sur la r glementation des spectacles dit par le minist re de la Culture direction de la Commu nication direction du Th tre et des Spectacles amp 01 40 15 80 00 a Le Delmas sur L entreprise de spec tacle et les contrats du spectacle m Fiche APCE rubrique Activit s r gle ment es www apce com ms De nombreuses informations Internet par exemple sur www citinerant com On trouve la l gislation sur les cirques et spectacles ambulants sur I Fiche r alis e sur la base de la fiche de l APCE correspondante Fiches Pro
542. ravail diff rents un investisse ment d au moins 80 000 50 000 pour les plus petits centres 170 000 pour les plus grands Lady Fitness ou Lady Moving par exemple sur des surfaces de 200 300 m m L investissement dans un mat riel de base pour une dizaine de clients tapis bancs de musculation rameurs step pers v los peut tre limit moins de 9 000 Fiches Pro SPORT 1 600 3 000 selon Les sources 700 ME environ Nombre de clubs Chiffre d affaires 1 200 M Personnes de 15 000 occup es 18 000 Nombre de a de5 6 millions pratiquants inscrits Nombre d adh rents club 300 Cotisati ll otisation annuelle 318 moyenne D Source APCE volution du secteur L offre de services Depuis que la profession s est assainie de nouveaux concepts ont redynamis la profession autour du low cost des salles r serv es aux femmes ou des activit s plus douces o bien tre relaxation et esth tisme sont en valeur Choisir entre franchise ind pendance ou association m L ind pendant non franchis propose un nombre d termin de prestations personnalis es dans une salle de taille limit e n exc dant pas en g n ral 1 500 m2 Il Lui faut du temps pour faire l apprentissage du m tier et rentabiliser son investissement IL est en concur rence avec les associations notamment en province o il semble plus difficile de se lancer m La f
543. rch local national r gional internatio nal d crivez l volution du march ces derni res ann es Les acheteurs Les consommateurs et les prescripteurs Donnez leurs grandes caract ristiques pour les entreprises ou les collectivi t s CA ou budget effectif secteur d activit pour les particuliers ge sexe cat gories socio professionnel les pouvoir d achat habitudes de con sommation budget consacr au type de produit ou service que vous voulez lancer et pour tous leur territoire d implantation pour les entreprises d habitation pour les particuliers e Quels sont leurs besoins e Comment ach tent ils e O vivent ils e Comment se comportent ils o fiches Pratiques a Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles oo Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises COMMENT FAIRE tape 2 suite Les concurrents Citez vos concurrents et d crivez les en pr cisant leur taille leur CA leur effectif leur r putation leurs prix leurs points forts et leurs points faibles tape 3 pour lui demander de cla rifier Les atouts et Les sp cificit s de son futur territoire d implantation La place du territoire dans le potentiel de r ussite du projet est essentielle Elle renvoie la localisation des clien t les cibles mais aussi une analyse des ressources naturelles humaines organisationnelles et po
544. re en Limousin G oCulture est un projet num rique innovant vocation culturelle et touristique qui pr sente le territoire limousin travers le regard que les artistes portent sur lui partir de lieux G oCulture donne acc s gratuitement par le biais d une interface carto graphique dynamique des centaines d uvres litt raires po mes extraits de romans de nouvelles plastiques peintu res sculptures dessins photo graphies musicales cin ma tographiques ou relevant de la culture occitane et inversement permet de d couvrir des sites remarquables ou ordinaires travers les uvres qui y sont rattach es qui les voquent les d crivent Les inventent parfois G oCulture est un portail num rique qui donne aux visiteurs un avant go t des uvres d couvrir dans les mus es les centres d art les biblioth ques et les librairies de la r gion IL est Le fruit d un par tenariat avec l Agence technique culturelle de la r gion Limousin ATCRL et le Comit r gional du tourisme CRT Mus es centres d art artistes crivains ou profes sionnels du tourisme forment un r seau de contributeurs qui est au c ur de ce projet G oCulture sera ensuite propos en mobilit gr ce une applica tion t l chargeable gratuitement pour t l phones mobiles multi m dias smartphones et tablettes num riques Brice Boucard coordination Centre r gional du li
545. recherchant des clien t les nouvelles et en prenant en compte la concurrence Fiches Pro SPORT mles comit s d entreprises les cen tres de vacances et de loisirs voire les coles sont des prescripteurs ne pas n gliger mNe pas oublier que les op rateurs touristiques nationaux proposent des s jours ou randonn es que la plupart organisent eux m mes UCPA Maison de la randonn e mLa concurrence s exerce essentielle ment avec les autres activit s sportives et de loisirs et dans une moindre mesu re entre centres questres Le poney club a le vent en poupe Il repose en effet sur des valeurs tendan ces l ducation l cologie la place de l enfant et son developpement m R aliser une solide tude de march avant de d marrer m Adapter son approche marketing et sa communication aux prestations et aux client les sp cifiques m Se faire conna tre des offices du tou risme et syndicats d initiatives locaux du CDT Comit d partemental du tou risme voire du CRT Comit r gional du tourisme e cr ateur et Les r gles de la profession Les dipl mes reconnus pour exercer Le tableau ci apr s donne un aper u g n ral des conditions d exercice des titres et dipl mes ouvrant droit l enca drement contre r mun ration des activi t s questres figurant sur les cartes pro fessionnelles des ducateurs sportifs xs Sports sports et loisirs de nature pratiq
546. renouvellement per manent des formes propos es On peut parler du foisonnement de la cr ation chor graphique m Le spectacle de rue Parfois subventionn il touche toutes les disciplines artistiques Un Fran ais sur trois assiste chaque ann e un spectacle de rue Plus de deux cents spectacles de rue sont cr s chaque ann e et plus de 950 compagnies de rue sont actuellement recens es dans cette discipline qui s affirme comme l une des expressions les plus abou ties de la cr ation contemporaine encourag e par les pouvoirs publics 5 Source Discours du Ministre de la Culture sur le temps des arts de la rue Marseille le 02 02 05 Fiches Pro CULTURE Caa Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Le cirque Longtemps v cu comme un art mineur il est sorti de son sillon en s ouvrant d autres disciplines il s affirme aujour d hui travers des critures sc nogra phiques surprenantes et des esth tiques contemporaines tr s novatrices Il existe 431 compagnies en 2006 et c est un sec teur jeune et f cond Source http www2 culture gouv fr culture deps 2008 pdf dc152 pdf L archipel conomique du cirque Le secteur des conteurs se d veloppe autour du Centre de litt rature orale de Chartres et se produit dans les biblio th ques publiques en milieu rural Mile d veloppement d
547. reprise externe on parle alors de sous traitance prestataire Partenaires la qualit du pro jet dans sa mise en uvre et son exploitation repose sur la mobili sation des partenaires concern s Seul un projet compris en des termes d finis et partag s peut mobiliser les acteurs concern s l chelle territoriale pertinente du projet C est leur clart et leur coh ren ce avec les finalit s des acteurs concern s qui vont garantir l im plication aux niveaux politique technique administratif et la mobilisation des moyens humains et financiers n cessaires leur r alisation ult rieure ce stade l chelle territoriale du projet est identifi e Elle va conditionner la mobilisation des partenaires aux bonnes chelles a mLa WDA vateur ajout e Cette expression renvoie deux id es pour le FSE m Faire plus cette optique si elle est privil gi e revient agir sur des l ments purement quantitatifs plus de demandeurs d emploi accueillis par exemple Elle sup pose des indicateurs de suivi sans lesquels la justification du plus sera p rilleuse Organisez votre syst me de suivi en cons quence m Faire mieux ce qui signifie am liorer la qualit d intervention de l association en proposant une action in dite ou l am lioration d actions existantes IL est pr f rable d envisager une valeur ajout e ou plus value qualitative m me si l aspect
548. reprises dans ces secteurs et leur r le d terminant dans l attrac tivit des bassins de vie Le mod le associatif demeure le socle structurant de ce p rim tre et les asso ciations constituent une ressource pour les politiques publiques anim es par les collectivit s territoriales et l tat Le d veloppement de l conomie sociale et solidaire ou celui d un secteur marchand adoptant des d marches entre preneuriales innovantes concourent la construction de nouveaux mod les conomiques qu il s agit d accompagner la lueur de ce constat et compte tenu des sp cificit s des porteurs de projet la direction des Sports DS en lien troit avec la direction de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative DJEPVA a souhait laborer un guide d accompagnement la cr ation d entreprises dans les champs sportifs de loisirs et des pratiques culturelles Ce guide a pour finalit principale d aider les r seaux qui accompagnent les porteurs de projets dans leur d marche entrepreneuriale et qui uvrent pour le d veloppement de l emploi durable Il vise la s curisation des parcours de cr ation et des trajectoires professionnelles des cr ateurs Ce guide s appuie sur une approche adapt e ces secteurs d activit et d em ploi en apportant des r ponses pratiques et concr tes Il enrichit les m tho dologies d velopp es l occasion de diagnostics territoriaux approfondis DTA impuls s
549. res lyriques de France 30 000 musiciens interpr tes Spectacles de vari t s Les chiffres du spectacle de vari t s et de musiques actuelles sont diffus s par le Centre national de la chanson CNV en 2008 il y a eu 40 317 repr sentations pour un montant total de recettes de billetterie et de contrats de cession hors taxes de 415 millions d euros Enfin on ne compte plus les centaines de milliers de repr sentations annuelles organis es par des entrepreneurs occa sionnels comit s des f tes comit s d entreprises etc D Source Mini chiffres clef 2009 DEPS minist re de la Culture et de la Communication et autres sources diverses Emploi m Le nombre d actifs concern s est diffi cile cerner avec pr cision car les sour ces sont nombreuses et ne co ncident pas toujours Il existe plus de 1 600 intitul s d em plois dans le spectacle m Le volume de travail dans le spectacle augmente mais il est concomitant avec une hausse des effectifs du secteur et une baisse de la dur e des contrats m Quelques chiffres sur les salari s du spectacle le salaire moyen annuel est inf rieur en 2006 6 000 ce qui est rapprocher de la forte instabilit de l emploi les salari s travaillent en moyenne 400 heures par an La moiti d entre eux travaillent moins de 120 heures dans le spectacle vivant P le Emploi comptabilise environ 100 000 personnes indemnis es par le r
550. res professionnels d clara tion en mairie ou pr fecture li e l ouverture etc Actuellement ce service concerne 14 activit s parmi lesquelles on trouve les centres questres Progressivement la liste des acti vit s concern es sera tendue fiches Sectorielles INR Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles ND o Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Sport et culture liste des CFE concern s m Entrepreneurs individuels Chambre de ae z NE Agent artistique ducateur exer ant une activit commerciale commerce enortif encas de cr ation d une m Soci t s commerciales SARL SA EURL et E DTE 3 soci t commerciale SNC n ayant pas un objet artisanal d industrie Chambre de Artisan d art entrepreneur de P 2 ia spectacle en cas de cr ation m Entrepreneurs individuels et soci t s m tiers SRE HA ir da d une entreprise individuelle exer ant une activit artisanale et de ne d ES ou d une soci t commerciale l artisanat z comptant 10 salari s au plus m Soci t s civiles SCI SCM SCP ducateur sportif dans les m Soci t s d exercice lib ral Greffe du d partements du Bas Rhin SELARL SELAFA SELCA tribunal de du Haut Rhin et de la Moselle m Agents commerciaux personnes physiques commerce en cas de cr ation d une m Groupements d int r t conomique GIE soci t civile ee n cole de dan
551. rface sup rieure 2 hectares d un permis d am nager R421 19 du code de lurba nisme Ce permis d am nager a rempla c la demande d autorisation de r aliser des installations et travaux divers ITD d finie auparavant l article R 442 1 et suivants du code de l urbanisme pour les b timents accueil sanitaires vestiaires restauration d un permis de construire ou d une d claration pr a lable art R 421 1 du code de l urbanis me pour le stationnement selon les cas d un permis d am nager d une d cla ration pr alable ou aucune formalit au titre de l urbanisme art R 421 19 et sui vants du code de l urbanisme en cas de d frichement du terrain un dossier de demande d autorisation de d frichement devra tre d pos la pr fecture art L311 1 et suivants du Code forestier pr alablement la proc dure d urbanisme 5 Source ATOUT France Grand Angle Hors s rie n 5 Sp cial d veloppement des parcours acrobatiques en hauteur M Les parcours acrobatiques en d Savi hauteur sont g n ralement cr s et g r s par des soci t s priv es et implant es sur des ter rains appartenant des communes ou des communaut s de communes Une norme europ enne concerne la construction des parcours acrobatiques en hauteur fixes et mobiles et leurs composants Structures de sport et d activit s de plein air Parcours acro batiques en hauteu
552. rie com pos e de huit enfants fait donc du hand comme son fr re jumeau alors que les autres font du foot Dans la famille on fait du sport parce qu il le faut et puis rapidement parce qu on aime a Le p re est venu d Alg rie au d but des ann es 1960 pour donner une chance ses cinq enfants Son parcours est commun de nombreux immigr s de cette g n ration il trouve un travail dans une usine et il installe ensuite sa famille C est Orzy un quartier class en zone sensible Revin dans les Ardennes que la famille Ounissi trouve un logement Les enfants qui s en sortiront plus tard vont l cole et font du sport leur p re Trajectoire SPORT en est persuad C est pourquoi il serine r guli rement Hakim Si tu ne travailles pas bien tu n iras pas au handball Avec une m re qui se consacre l du cation de ses enfants et un p re ouvrier l usine la fratrie n a d autre choix que de trouver des ressources pour faire des tudes Les enfants sont boursiers mais cela ne suffit pas D s l ge de 16 ans j ai t rembours de mes frais de d pla cement et puis j ai commenc toucher des primes chaque fois que je faisais un match 18 ans Hakim veut passer son permis mais il n a pas encore assez d argent pour se payer les cours de conduite Pour lui donner un coup de pouce son p re lui pro pose de faire une saison en usine une exp rience majeure qu i
553. riode allant de qui ont des projets innovants ou des besoins d investir sont autant d actions subventionn es par le FEDER m Environnement Des subventions sont disponibles pour prot ger les sites naturels et la biodiversit pour la mise en place de technologies plus res pectueuses de l environnement ou encore pour financer les pratiques innovantes permettant d conomi ser l eau ou l nergie m Technologies de l information et de la communication TIC L Europe aide notamment les projets qui facilitent le d veloppe ment de nouveaux usages dans les entreprises et les services publics ainsi que l acc s et la formation des utilisateurs ces nouvelles technologies fiches Sectorielles NN Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 45 Dans le cas de com AMIE p tences partag es l intervention commu nautaire repose sur un proces sus concert et cadr qui se tra duit par des principes de mise en uvre subsidiarit additionna lit partenariat etc Les priorit s du FSE dans le cadre des objectifs Conver gence et Comp titivit r gio nale et emploi augmenter la capacit d adap tation des travailleurs des entre prises et des chefs d entreprises afin d am liorer l anticipation et la gestion positive des changements conomiques Pour en savoir Sur le FEDER http europa eu am liorer l acc s l emploi et NN m G
554. rop ens qui ne sont pas tablis dans un tel tat et qui souhaitent galement exercer l acti vit en France de mani re temporaire et occasionnelle doivent toujours soit effectuer une demande de licence pour la dur e des repr sentations publiques envisag es soit effectuer une d clara tion pr alable condition d avoir conclu un contrat de prestation de services avec un entrepreneur de spectacles d tenteur de la licence fran aise www apce com 5 Source article 12 loi n 2011 302 du 22 mars 2011 Journal officiel du 23 mars 2011 p 5 186 www legifrance gouv fr A qui s adresser Le CFE Centre de formalit s des entreprises Le CFE est un interlocuteur incon tournable m me si les formalit s ont t effectu es en ligne via le site www guichet entreprises fr Il va centraliser les pi ces du dos sier de cr ation et les transmettre apr s avoir effectu un contr le formel aux diff rents organismes et administrations int ress s par la cr ation de l entreprise 5 La r forme IA du guichet unique La loi de modernisation de l co nomie du 4 ao t 2008 a investi les CFE du r le de guichet unique ce qui leur permettra progressive ment de r ceptionner toutes les demandes d inscription d auto risation ou de d claration n ces saires au d marrage de certaines activit s au del de la cr ation proprement dite ex autorisation d exercice inscription sur des re gist
555. rts et Loisirs de nature pratiques culturelles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises 322 SN AU Le poids conomique du sport en 2007 enqu te publi e en novembre 2009 par le minist re charg des sports Les Fran ais la forme et le bien tre f vrier 2008 enqu te Ipsos retrouver sur www vivelaforme com On trouvera dans l enqu te r alis e la demande de la Commission de la s cu rit des consommateurs CSC des infor mations r centes sur les pratiquants de tous les types de salles www securiteconso org et www vivelaforme com Organismes professionnels a GERF Groupement national des entreprises de remise en forme 76 rue Lazare Carnot 45120 Chalette sur Loing wwvw gerf fr rolandchauvelaclub internet fr F3PF F d ration des professionnels de la pr paration physique et de la forme Cr e en juin 2006 pour d fendre et favo riser la reconnaissance des m tiers des ducateurs physiques pr parateurs et coachs dans le domaine de la forme 9 ter avenue de la R publique 74960 Cran Gevrier Annecy T 04 50 67 33 47 www f3pf org a F d ration francaise de gymnastique 7 ter cour des Petites curies 75010 Paris 0148 01 2448 www ffgym com FFHMFAC F d ration fran aise d halt rophilie musculation force athl tique et cultu risme 4 rue du Chemin Vert 94500 Champigny sur Marne www ffhmfac fr FPS F d
556. ructure d accompagnement d di e la cr ation d entreprises Il les consid re souvent comme trop loign es de son univers et de sa vision de l entreprise Ilen ignore m me parfois l existence Le de cette tape N gliger cette premi re tape revient affaiblir ses chances de r ussite Accompagner le candidat dans la formalisation de son id e de cr ation c est le pr parer rencontrer des r seaux sp cialis s et s curiser ainsi la suite de son parcours une tape indispensable pour lui permettre de clarifier son projet et valider sa capacit s engager 19 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises ND e candidat la cr ation se distingue g n ralement par une pratique sportive ou culturelle intense qui motive son projet de cr ation des bases faibles voire inexistantes en gestion et en marketing qui ne le freinent pas dans ses ambitions et une repr sentation erron e de l entreprise qui lengage pr matur ment sur le choix d un statut Ces caract ristiques l loignent souvent de La d marche de cr ation et des r seaux qui peuvent l accompagner o LE CANDIDAT ET SON ID E DE CR ATION assions et motivations l entreprise est la mode et ce ph nom ne touche aussi ces Ce candidat la cr ation parle cr ateurs en devenir avec conviction de sa passion et que l on parle de publics de du sens de son engagement mais clients de spectate
557. ructures sur votre territoire www acfci cci fr www boutiques de gestion com es principaux r seaux d accompagnement Aux c t s des r seaux g n ra listes bien connus une multitude de nouveaux r seaux et d acteurs sont l pour aider le candidat la cr ation passer le cap de cette premi re tape et entrer ensuite dans la phase projet Souvent Recensez pr cis soutenus par les ment les structures collectivit s loca qui accompagnent les ils sont nom les cr ateurs sur breux proposer votre territoire Vous un appui sur tout aurez certainement le processus de Dans ces r seaux le professionnalisme est grand Par ailleurs lus et techniciens sont en contact permanent avec les acteurs qui deviendront demain les partenaires de votre candidat une chance suppl mentaire pour faire aboutir son projet Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises I tion elles sont g n ralement nombreuses et pas toujours connues des surprises car en cr ation mais la mati re d accompa plupart ne sont pas gnement la cr a sp cialis s dans l accompagne ment de ce type de cr ateur fiches Pratiques Recherche d emploi BON IR stages et aides La cr ation d entreprise mles d marches accomplies en vue de la cr ation d une entreprise sont reconnues comme des actes positifs de recherche d emploi Les demandeurs d emploi inscrits sur la lis
558. s Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles O7 O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises o M Le salari sous contrat NULLE de travail dur e d ter min e peut obtenir de l organisme collecteur auquel son dernier employeur verse la con tribution destin e au financement des cong s individuels de forma tion le FONGECIF ou dans cer taines branches professionnelles l OPCA une r mun ration d un montant gal un pourcentage du salaire moyen per u au cours des 4 derniers mois L int r t de la d marche pour le candidat Le bilan va lui permettre de formaliser ses valeurs ses aspi rations ainsi que les facteurs d terminants de sa motivation d finir et analyser la nature de ses besoins valuer ses connaissances ses savoir faire et ses aptitudes rep rer les exp riences qu il va pouvoir capitaliser dans son projet d celer des ressources qu il n a pas encore identifi es d terminer Un regard ext rieur ses possibi et des comp tences lit s d volu appropri es vont tion profes Permettre au can didat de clarifier des points majeurs qui concernent son projet sionnelle fiches Pratiques Sur les secteurs d activit s relevant de l AFDAS Spectacle vivant m Gestion de salles de specta cle salles de concert th tres caba rets caf s th tres caf s concerts m Ensembles
559. s points Le Comment fai re en page sui vante rappelle les principaux points Dans tous les cas la pr paration est une des cl s de la r us site car un dossier bien ficel est une chose le face face en est une autre fiches Pratiques COMMENT FAIRE pour pr parer Le cr ateur d fen dre son business plan et son projet d entreprise m Se montrer motiv les interlocu teurs vont attendre du candidat la cr ation au prix etc qu il montre sa motivation et ses atouts pour r ussir des motivations qui doivent tre en ad quation avec celles de l entreprise m c ne de la collectivit territoriale de l organisateur du prix m viter Le jargon a ne sert pas plus qu l crit m Aller l essentiel comme l crit m Adopter le bon look il ne s agit pas de se plier des normes esth tiques et sociales mais de rassurer en prenant en compte les attentes de l interlocuteur Attention certains interlocuteurs pr f rent un candidat la cr ation v tu comme un sportif ou un cr atif cela peut les rassurer l inverse un mauvais look est tou jours celui qui ne correspond ni qui on est ni ce que l on fait ni son projet m viter de bouger sans cesse sur sa chaise ou de balancer sa jambe cela donne une impression de nervosit et donc une impression de manque d assurance m Regarder son interlocuteur dans les yeux ou viser e
560. s Pierre Veltz Le nouveau monde de la production revue Sciences Humaines n 210 2009 les d clarations de l Union euro p enne donnent des r f rences sur le caract re social du sport les orientations nationales fournissent des clairages sur l accessibilit aux pratiques spor tives pour des publics qui en sont loign s personnes souffrant d un handicap jeunes issus des quartiers d favoris s am liora tion de la pratique f minine des pratiques mixtes Les orientations sportives locales prises par les collectivit s territo riales et Les tablissements inter communaux pr cisent les orien tations l chelle des territoires Le porteur de projet pourra ga lement b tir son argumentaire autour des effets produits par son projet d activit ou ses conditions de mise en uvre l impact des manifestations sportives dans l attractivit des territoires la tarification de l acc s aux pra tiques en fonction des revenus du statut social pour favoriser les pratiques sportives pour tous fiches Projets Ces futurs entrepre neurs ne sont pas toujours arm s pour argumenter sur la nature de leur projet en termes d utilit publique ou d int r t g n ral Les pratiques destin es lutter contre la s den tarit contre l ob sit Pour en savoir BD couvrir certains ouvrages comme Soci t coop rative d in t r t collectif
561. s 71 Aujourd hui le statut d auto entrepreneur repr sente une alternative dans ces secteurs pour tous ceux qui cumulent par choix ou par contrainte plusieurs activit s Cependant les sta tistiques disponibles ne per mettent pas encore de dispo ser de donn es exploitables pour conna tre l impact de ce i Peuvent devenir auto d Savill entrepreneur un demandeur d em ploi qui veut se lancer un sala ri du secteur priv un fonc tionnaire ou un retrait qui souhaitent d velopper une activi t annexe en compl ment de leur salaire leur traitement ou leur retraite statut dans les champs vis s par le guide Statuts et pluriactivit dans le champ du sport UNE PLUSIEURS UN EMPLOYEUR ACTIVIT SOUS ACTIVIT S STATUT SOUS STATUT IND PENDANT IND PENDANT PLUSIEURS EMPLOYEURS Salariat Un seul Entreprise Plusieurs sta classique m tier activit tuts ind pen exerc en unique dants dans un m me secteur d activit multi salariat Exemple Exemple Exemple Exemple Exemple Exemple Una ducateur Accompa Moniteur Accompagna Accompa Ch meur m tier SPortif gnateur de ski en teur de touris gnateur ayant une football moyenne ind pendant me questre moyenne petite dans un montagne lib ral montagne activit de club saisonnier vente de sous statut moniteur s jo
562. s Activit s hiver vol en biplace et descente en luge encadr e t vol en biplace et enseignement du parapente formation m www esprit parapente com m www pleine nature ecrins com Personnel ee travailleurs ind pendants Activit s de pilotes Coordonn es m www transdromoise fr Trajectoire SPORT NATURE ports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 95 ARTISTE ET PATRON POUR TRE CITOYEN DU MONDE Francis Hugues ROCHE A N AYLI LES MATAPESTE Voil plus de trente ans qu il est sur les planches faire le clown pour faire rire mais aussi pour amener son public sourire de la condition humaine Vivre de son art c est le moyen qu il a choisi pour vivre pleinement sa citoyennet Dans la profession ses choix sont connus Ce qui l est moins c est qu il g re sa compagnie depuis le d but comme une entreprise Parcours d un artiste qui ne m che pas ses mots pour dire qui il est sS on parcours Quand on l observe sur sc ne affubl de l artiste va rapidement se heurter au d sir paternel d avoir un fils qui prenne sa succession J ai fait du droit la mort IlSanecnit donc dans ilameiparceiquenje eOe Eais apaci capableRde son gros nez rouge la premi re chose qui vient l esprit a n est pas de s in terroger sur les comp tences qu il lui Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises O OS faut d ployer pour g
563. s court moyen et long terme Quels sont ceux qui auront le plus d impact Quels sont in fine vos principaux enjeux europ ens Ceci vous permettra de d finir un ca dre de projet qui soit Le plus pertinent possible D Source www relais culture europe org fiches Pratiques No Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles ND oOo Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Exemple de cadre de d finition d un produit sportif en termes d enjeux Finalit s ludo sportives _ territoire Finalit s patrimonio touristiques Partir des orientations strat gi ques de la structure et descendre jusqu au projet est le meilleur conseil donner au cr ateur a peut lui permettre en plus de r aliser que sa strat gie n est pas encore tr s claire activit s tape 2 Mesurer la coh rence du projet par rapport la structure en termes d identit valeurs d orientations priorit s de positionne ment concurren tiel march Les mots pour le dire Consid r e comme un des points sensibles de l acc s ce type de financement la connaissance du jargon communautaire s im pose Actions innovatrices les fonds structurels europ ens peuvent financer l initiative de la Com mission europ enne et dans la limite de 0 40 de leur dotation annuelle respective des actions innovatrices au niveau commu nautaire
564. s volutions li es au d ve loppement durable D Source Veille info tourisme L cotourisme L cotourisme est un tourisme dans des espaces peu perturb s par l homme qui doit contribuer la protection de la nature et au bien tre des populations loca les Cette d finition propos e par TIES The International Eco tourism Society est adopt e au niveau international par le PNUE Programme des Nations unies pour l environnement et l OMT Toutefois l ensemble des experts s accorde sur le fait que ce qui diff rencie l cotourisme face aux autres formes de tourisme durable est La composante du cative et la m diation l environ nement Le tourisme solidaire Comme le tourisme alternatif il a vu le jour aux lendemains de la colonisation par la volont de groupes militants aux origines id ologiques ou religieuses diver ses de mettre profit leur prati que du tourisme pour engager de nouvelles relations avec les popu lations locales d colonis es ou en voie de d colonisation Sa finalit est d amener le touriste client une forme de solidarit concr te avec les populations visit es IL peut prendre plusieurs aspects comme par exemple le soutien un projet de d veloppement et s inscrit dans la dur e garante de l accomplissement et de la p ren nit des actions de solidarit D Source actionconsommation org Le tourisme quitable Le touris
565. s entreprises de moins de 200 sala ri s si l employeur estime apr s consultation des repr sentants du personnel que l absence du sala ri peut avoir des cons quences pr judiciables pour l entreprise Afin de faciliter La cr a Il tion ou la reprise d en treprise par les sala ri s une possibilit de passer temps partiel a t mise en place Pour en b n ficier le sala ri doit remplir une condition justifier de 24 mois d anciennet dans l entreprise ou dans une entreprise du m me groupe cons cutifs ou non Pour en savoir www travail solidarite gouv fr e tutorat un accompagnement individualis encore m connu Qui peut tre tuteur Toute personne qui peut justifier d une exp rience professionnelle utile dans l laboration du pro jet de cr ation ou dans la phase de d marrage Les c dants qui apportent une aide b n vole au repreneur de leur entreprise sont aussi concern s Dans tous les cas il faut tre accr dit pour exercer le tutorat Qui peut b n ficier du tutorat Toute personne inscrite comme demandeur d emploi ou b n fi ciaire du RMI de l allocation de parent isol de l allocation aux adultes handicap s ou du revenu de solidarit active Les repreneurs d entreprise quel que soit leur statut L essentiel de La d marche Chaque tuteur peut aider trois cr ateurs repreneurs simultan ment Une convention d accompa gnement e
566. s passe souvent par un projet d ac tivit secondaire et peut mettre fiches Projets Prendre des risques sans craindre l chec est la pierre angulaire de l effort cr atif Commission europ enne L impact de la culture sur la cr ativit 2009 plusieurs ann es avant de se r aliser Quand ce candidat ne consacre pas tout son temps son projet sa motivation n est pas en cause IL a besoin d exercer une autre activit pour s assurer un mini mum de revenus et il est rare son id e de cr ation de clarifier les grandes caract ristiques co nomiques de son projet puis de mesurer sa capacit le r aliser Entre un projet exclusivement sai sonnier et un projet d activit prin cipale l ann e la complexit de la d marche n est pas la m me Pr parez vous ment bien inform Mais dans tous les cas son abou l accompagner dans sur les dispositifs tissement court et moyen terme son projet de qui ont vocation sera li la qualit de l accom cr ation par tape le soutenir dans sa pagnement qui lui Ilva falloir exclure et sur plusieurs d marche sera propos tout a priori mettre ann es s il Le faut Ce candidat le au second plan votre n glige et se lance propre syst me ccompagnement et souplesse Souvent seul D de r f rence professionnelle et tre l coute ce stade l accompagnement doit lui permettre de formaliser Sports sports et loisirs de nature
567. s usagers ou chercheurs n attribuent pas les m mes d finitions Animation socioculturelle et action culturelle IL existe traditionnellement un principe d opposition entre animation socioculturelle et action culturelle 5 l animation socioculturelle pro posant des activit s dont l objet est le processus d expression des participants l animation culturelle partant des uvres pour proposer des groupes sociaux une familiarisation une sensibilisation ou une diffusion de l art Cette distinction souvent d battue par les experts et professionnels de la culture est souvent ignor e des pratiquants usagers ou spectateurs Sport culture et loisirs Les fronti res entre les champs du sport de la culture et des loisirs sont perm ables La danse par exemple est consid r e comme une pratique tout autant sportive que culturelle La perm abilit de ces fronti res est par ailleurs accrue par la multiplication des v nements ou cr ations interdisciplinaires C est le cas de la musique et de la vid o qui cohabitent fr quemment De m me une discipline sportive ou P 4 Spectacle de danses folkloriques danse cirque music hall op rette op ra concert de rock concert de jazz concert de musique classique autre concert th tre 25 G Poujol M Simonot Les Associations dans la vie et la politique culturelle minist re de la Culture et de la Communication DEP 2001 culturelle peut tre p
568. s 1990 prise en compte du domaine d activit de l entreprise employeur et r forme de la codification de l INSEE du code APE au code NAF permet tent d tendre le champ des b n ficiaires aux films publicitaires et la diffusion des programmes de t l vision fiches Sectorielles D cembre 1992 cr ation de la Commission paritaire nationale emploi et formation du spectacle vivant et extension du p rim tre d ligibilit l dition d enregis trements sonores aux activit s de radio aux services annexes du spectacle et la gestion des sal les de spectacle Printemps 1993 institution d un Conseil national des professions du spectacle Le 21 mai 2001 le minist re de l Emploi et de la Solidarit et le minist re de la Culture et de la Communication pr cisent les modalit s d application de la pro c dure simplifi e de d claration et de versement des cotisations et contributions sociales dues au titre de l emploi occasionnel d ar tistes et de techniciens du spec tacle vivant Guichet unique du spectacle occasionnel dit GUSO Pour en savoir www guso fr Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles CO I Animation Concerts divers spectacles et lyrique autres branches 4 12 Audiovisuel hors cin ma 32 Vari t s 13 Th tre danse caf th tre cirque Enregistrement sonore 22 D publicit autres 3 R partition des jours
569. s Cedex 16 T 01 44 34 34 40 www cnc fr Direction des programmes audiovisuels et des industries de l image m Centre de documentation des tudes et statistiques biblioth que ouverte au public 3 rue Boissi re 75016 Paris T 01 4434 3634 Organismes professionnels SPI Syndicat des producteurs ind pendants films de longs m trages de courts m trages de t l vision et de films institutionnels 1 bis rue du Havre 75008 Paris amp 01 44 70 70 44 www lespi org m USPA Union syndicale de La production audiovisuelle APF Association des producteurs de fiction 5 rue Cernuschi 75017 Paris 2 01 40 53 23 00 www uspa fr Regroupe les producteurs de program mes de t l vision fiction animation documentaire vari t s jeux m SPFA Syndicat professionnel du film d animation 2 rue de La Roquette Passage du Cheval Blanc 75011 Paris 01 55 28 83 05 www animation france fr m CSEA Chambre syndicale de l dition audiovisuelle Syndicat de l dition vid o 24 rue Marbeuf 75008 Paris amp 01 42 25 33 04 m FICAM F d ration des industries du cin ma de l audiovisuel et du multim dia 11 17 rue de l Amiral Hamelin 75783 Paris Cedex 16 amp 0145 05 7255 www ficam fr 180 entreprises de la post production m AFCA Association fran aise du film d animation www afca asso fr m AFDAS Fonds d assurance formation des activi t s du spectacle et du cin
570. s Pratiques I CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises I de G tine du Pays du Haut Val de S vre et du Pays Mellois Elle est particuli rement adapt e la gestion de cr ations complexes comme celles li es la pluri activit Pour en savoir wwvw celavar org Ils sont sp cialis s dans l accompagnement des cr ateurs dans le champ de la culture P le emploi culture spectacle Pour trouver votre interlocuteur wwvw culture spectacle anpe fr x En Languedoc Rous ARII sillon un r seau de correspondants P le emploi est constitu autour de l quipe Culture Spectacles du p le emploi de Celleneuve T 04 67 84 78 80 L incubateur Culture amp Cie et Advancia chambre de commerce et d industrie de Paris Ce dispositif est ouvert tous les cr ateurs d entreprises dans le secteur de la musique et du spectacle vivant mais gale ment du cin ma de l audiovisuel de l dition de la presse et du multim dia Cet incubateur d entreprises cul turelles met la disposition des porteurs de projets et des cr a teurs d entreprises ou d associa tions culturelles un espace de tra vail bureau ordinateur Internet t l phone fax salle de r union et un accompagnement individuel et collectif La couveuse d activit s et d en treprises culturelles CADO est sp cialis e dans l accompagne ment des porteurs de projets d entreprises dans le secte
571. s collectivit s Pour en savoir Voir sur le site le dossier du CNC sur ce sujet Le CNC soutient le court m trage www cnc fr a Compte de soutien l industrie des programmes audiovisuels du CNC Le COSIP a pour objet de favoriser la pro duction d uvres cin matographiques et audiovisuelles fictions documentaires animations vid os musiques recr a tion de spectacles vivants destin es tre diffus es sur les cha nes de t l vi sion fran aises Le soutien aux uvres audio d Savoir visuelles caract re innovant est r alis gr ce au Fonds d aide l innovation audiovisuelle R f rence d cret n 2005 1396 du 10 novembre 2005 relatif au soutien finan cier la cr ation d uvres audiovi suelles caract re innovant Renseigne ments aupr s du CNC Cosip Brochure au lien suivant www cnc fr m Images mouvement aide la cr ation audiovisuelle minist re de la Culture aides individuelles dans le domaine d art vid o nouvelle image www cnap fr m Centre national des arts plastiques Tour Atlantique 1 Place de la Pyramide 92911 Paris La D fense T 01 46 93 99 58 m PROCIREP prix du producteur fran ais de t l vision www procirep fr 11 bis rue Jean Goujon 75008 Paris amp 01 53 83 91 91 retrouver sur www sacdl fr m IFCIC Institut pour le financement du cin ma et des industries culturelles apporte aux banques sa
572. s coop ratives ou mutualistes sont plus accueil lantes l gard de ceux qui veulent entreprendre autrement Source www entrepreneur social npdc org Ce qu il faut viter dans tous les cas 1 Minimiser la somme qu il est n cessaire d emprunter peut tre pr judiciable la bonne marche financi re de l entreprise Si celle ci est rapidement confront e un probl me de tr sorerie qui se tra duit par un d couvert le banquier se montrera h sitant accorder un nouveau financement voire une autorisation de d couvert 2 Ne pas recourir l emprunt en pensant que ses ressources pro pres seront suffisantes au bon d marrage de l entreprise il est fiches Pratiques toujours pr f rable de conserver au moins 20 des besoins de l entreprise en apports person nels au cas o l entreprise serait confront e des probl mes de tr sorerie dans les premiers mois de son existence 3 Afin d viter tout stress dans l attente de la d cision d attri bution de pr t il est judicieux de demander lors du premier entre tien avec le banquier quel sera le d lai d instruction du dossier Selon les montants sollicit s il est fort probable que le dossier L importantest soit tudi dans Comment r diger pour convaincre M me si l cran a progressive ment remplac le papier l cri ture est loin d avoir disparu bien au contraire Dans un contexte de combplexification des proc
573. s de clubs de sports 93 13Z Activit s des centres de culture physique 93 19Z7 Autres activit s li es au sport 85 512 Enseignement de disciplines sportives et d activit s de loisirs SIREN de l entreprise ou unit l gale ou personne juridique laquelle appartient l unit SIRET la seconde habituellement ap pel e NIC Num ro interne de classement se compose d un nu m ro d ordre 4 chiffres attribu l tablissement et d un chiffre de contr le qui permet de v ri fier la validit de l ensemble du num ro SIRET x La loi de modernisation d i IR de l conomie du 4 ao t 2008 a instaur une dis pense d immatriculation au regis tre du commerce et des soci t s et au r pertoire des m tiers en faveur des micro entrepreneurs qui exercent titre principal ou compl mentaire une activit com merciale et ou artisanale et qui ont opt pour le nouveau r gime micro social Sur l entrepreneur de spectacles vivants d marche accomplir par les ressortissants europ ens mLes ressortissants europ ens l gale ment tablis dans un tat membre de l Union europ enne ou partie l accord sur l Espace conomique europ en et qui souhaitent exercer l activit en France de mani re temporaire et occa sionnelle devront prochainement effec tuer une d claration pr alable dont Les modalit s seront fix es par d cret mLes ressortissants eu
574. s en qu rir du respect par la Scic de la conformit aux l ments qui ont pr valu son agr ment En cas de non conformit l agr ment peut tre retir fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND ND Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises sur la Scic tourisme et 1 Loisirs sportifs de nature 20 Alph a CNSB territoire Sioule et Bouble Cr e en 2005 la premi re Scic d Auvergne emploie en 2010 5 ETP l ann e dont 15 saisonniers C est gr ce au statut de Scic que l ancienne association a pu mainte nir puis cr er des emplois notam ment en b n ficiant de contrats aid s C est aussi gr ce au choix de ce statut que l ouverture l ann e de cette structure est assur e sur son territoire Apr s le cano le tir l arc et la course d orientation la Scic a d velopp de nouvelles activit s la marche nordique le paint ball et l escalarbre http alpheacnsb com acc Des r gles d organisation La forme juridique de la soci t d termine l organisation de la direction et de l administration de la Scic Scic SARL la Scic est dirig e par un ou plusieurs g rants d si gn s par l assembl e g n rale des associ s Scic SA la Scic est adminis tr e par un conseil d administra tion qui d signe le pr sident et le directeur g n ral Un int r t en mati re d appui
575. s en ligne par le CNOSF www franceolympique com de la for t et plus particuli rement dans les zones de la manifestation e Stationner les v hicules en dehors des champs des terrains cultiv s des entr es de propri t s Pour limiter les d chets et les traces e Privil gier l usage de vaisselle lava ble ou biod gradable e Limiter les r cipients e Marquer les produits emport s avec disqualification des pollueurs e Mettre en place un syst me de col lecte parking ravitaillement zones de concentration de pr f rence s lectif et l usage de toilettes installer e Utiliser un balisage mobile et ph m re le moins polluant possible pein ture a rosol biod gradable d balisage rapide En milieu naturel le balisage doit tre constitu uniquement de rubalise fl che cartonn e et piquet aux carrefours pas de clou dans les arbres L utilisa tion de peinture m me annonc e bio d gradable est proscrire e R partir pr cis ment les t ches de d balisage D Source www sportsdenature gouv fr ce stade l essentiel est de ne pas freiner le candidat la cr ation dans sa d marche en lui transmettant des grilles trop complexes Mieux vaut l orien ter vers la personne ressource comp tente sur son futur terri toire d implantation en l ayant pr par ce rendez vous W Cette fiche a t r alis e partir d informations diffus es s
576. s et pour un ou des modes d exploitation pr cis hiffres cl s La production audiovisuelle demeure une activit mal connue du secteur de l audiovisuel cause de son faible poids conomique et de la multitude de ses intervenants Il est plus facile de s int resser aux distributeurs ou diffuseurs et moins ais de cerner toutes les bran ches de ce secteur qui interf rent sou vent entre elles notamment audiovisuel et cin ma 5 Source Eurostaf Fiches Pro CULTURE Cao Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles CO OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises volution du secteur m T l vision les fictions animations documentaires s exportent En 2007 pour la quatri me ann e cons cutive les ventes de programmes audiovisuels fran ais l tranger avaient progress et s levaient 118 M En 2009 le total de ces exportations ventes et pr ventes atteignent 135 9 M Le recul est de 9 7 par rapport 2008 5 Source TV France international le 11 09 2008 www tvfrance intl com et L exportation des pro grammes audiovisuels fran ais en 2009 Centre national du cin ma et de l image anim e 09 10 Les animations et le documentaire qui repr sentent 30 40 des expor tations de l audiovisuel fran ais sont les deux points forts de l activit des entre prises fran aises a Le film d entreprise exporte aussi son imag
577. s la sierra de Guara ou du VTT sur les che mins muletiers ils ont aussi promu le trekking et cr le march de la raquette neige Devenue le pi lier hivernal de la profession elle a m me amen certains d entre eux se convertir en fabricants de raquettes c est le cas de Claude Bibolet cr ateur d Inook et de Philipe Gallay P D G de la soci t TSL devenue n 1 mondial de la raquette neige Du c t des Pyr n es La Bala gu re un des premiers voyagis tes d aventure sp cialis s dans la randonn e a lanc le concept de rando libert IL n a pas h sit pour cela remettre en cause l op position traditionnelle qui a r gn entre la randonn e accompagn e et la randonn e individuelle D Source La lettre de l aventure et des sports de nature Septembre 2007 et octobre 2009 De la curiosit et une nouvelle tendance grande ouverture d esprit Pour saisir les opportunit s qui peuvent se pr senter dans un monde qui change en perma nence encore faut il rester en prise avec lui pour s informer analyser et comprendre ce qui se passe anticiper voire pr dire certaines volutions Pour en savoir Sur l volution des pratiques culturel les et sportives chez les jeunes consul ter Le site www2 culture gouv fr Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles I fiches Sectorielles Guide pratique d accompagnem
578. s m tiers du spectacle repr sentation des salari s et des employeurs de l ensemble des sec teurs d activit audiovisuel cin ma et spectacle vivant Les divers organismes sociaux et professionnels GRISS P le Emploi UNEDIC Caisse des cong s spectacles AFDAS etc la commission emploi du CNPS se dote d un observatoire sur la fili re COREPS conf rences ou commissions r gionales des professions du spectacle dans chaque DRAC nombreux partenariats avec les minis t res charg s de la jeunesse des sports et de l ducation nationale Les centres de ressources du spectacle vivant Les principaux centres de ressources du spectacle vivant CND CNT Hors les murs IRMA Relais Culture Europe et le CIPAC pour les arts plastiques s as socient r guli rement en vue de l orga nisation de journ es d information en direction des professionnels du spec tacle vivant circulation internationale du spectacle vivant contrats dans le spectacle vivant etc Renseignements aupr s des centres qui mettent souvent le compte rendu en ligne m Hors les Murs 68 rue de la Folie M ricourt 75011 Paris a 01 55 28 10 10 www horslesmurs com Association nationale pour le d veloppe ment des arts de la rue et des arts de la piste CNT Centre national du th tre 134 rue Legendre 75017 Paris T 01 44 61 8485 www cnt asso fr Accueil des professionnels et amateurs du spectacle vivant b
579. s mettront fin aux subventions Nouvel essai en 1993 m mes r ponses n gatives IL faudra attendre 2004 avec des assurances de la part des institu tions et l appui de l Union r gionale des SCOP pour que Les Matapeste changent enfin de statut juridique Finie l associa tion avec son statut bancal les copains de bonne volont qui ne peuvent s in vestir comme les professionnels et les dysfonctionnements dans la gestion humaine Enfin le pouvoir r el est On a voulu que le devenu offi pouvoir dans notre ciel Francis et entreprise se traduise Hugues sont les par la reconnaissance deux premiers officielle de ceux associ s rejoints qui l exercent rapidement par Dans la SCOP onest l ancien pr si les dirigeants de dent de lasso l entreprise et des ciation et depuis peu par d autres vrais patrons Enfin salari s tout est devenu clair SCOP SARL les voil patrons Pourtant on le dit souvent nos coll gues mi provoc mi boutade mais avec un fond de s rieux on pr f rerait tre clowns fonctionnaires Faire de l argent on s en fiche on exercerait notre m tier mieux et avec autant de passion Mais tant que l entreprise est pour la majorit d entre nous le seul moyen d exercer notre m tier Et cela marche plu t t bien pour eux au national comme l international plus de 40 pays visit s avec actuellement 6 salari s perma nents qui composent l entreprise leurs c t s I
580. s nationaux et les parcs naturels r gionaux sont les plus connus mais ils ne sont pas les seuls de nombreuses collectivi t s locales accompagn es dans leur d marche par les consulaires les services de l tat mais aussi les acteurs territoriaux du tou risme comit s d partementaux et r gionaux du tourisme pren nent des mesures et accompa gnent les entreprises sur leur ter ritoire en 2010 52 stations adh rentes l Association nationale des maires de stations de montagne ANMSM avaient sign La charte nationale en faveur du d veloppe ment durable dans les stations de montagne et 10 d entres elles avaient r alis leur bilan carbone fiches Pratiques de son c t l association Les co Maires a t cr e en 1989 l ini tiative d une cinquantaine d lus avec pour objet principal de r unir les collectivit s qui font de La pro motion de l environnement et du d veloppement durable une prio rit de leur mandat les d partements comme ce lui des Vosges revendiquent une d marche respectueuse de len vironnement dont ils ont fait un support de promotion Ils accom pagnent les professionnels dans leur d marche Les op rations Grands Sites lan en accord avec le concept et les principes du d veloppement du rable La France a vot une d Sg Il loi sur la responsa bilit environnemen tale le 1 ao t 2008 compl t e par deux d crets d applic
581. s prestataires de formation a Pi ces justificatives Formulaire CERFA n 10443 09 E Cette fiche a t r alis e sur la base des informations transmises sur le site de la DIRECCTE Aquitaine de APCE et du minist re du Travail de l Emploi et de la fiches Pratiques endre quoi o comment et qui Une tude de march doit r pondre ces diff rentes questions pour permettre au candidat de valider son projet d entreprise Le terme tude de march peut cependant inqui ter l apprenti entrepreneur tort car c est avant tout une facon de rassembler Le maxi mum d informations sur son secteur d activit et le seul moyen d valuer la faisabilit de son projet Pour le rassurer des questions r ponses et un petit rappel m thodo logique sur la d marche R ALISER UNE TUDE DE MARCH produit prix distribution et communication mix mar keting u n peu de communication Tout part de l tude de march objectifs en terme de chiffre d af pour faire les meilleurs choix faires moyens mettre en place comptes pr visionnels organisa tion pratique Pour le convaincre de s engager mieux vaut poss der un bon argumentaire L tude de march pourquoi Pour conna tre Pour mieux conna tre les gran des tendances et les acteurs de son march Pour anticiper Pour r unir suffisamment d in forma
582. s qui am nent leurs groupes en leur donnant des documents appropri s en leur faisant rencontrer les artis tes en amont en organisant des temps d information sur les sujets abord s 6 Proposer des ateliers favori sant la compr hension des d marches artistiques et ou permettant l expression per sonnelle Ces ateliers peu vent aboutir des productions dessins crits spectacles fiches Pratiques Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises o Sur le site de l asso ciation Acc s Culture Ce site propose la pro grammation 2010 2011 de ses partenaires qui uvrent pour l acc s la culture des personnes en situation de handicap L association Acc s Culture propose des aides techniques gra tuites permettant aux personnes aveugles malvoyantes sourdes malentendantes ou d ficientes mentales d assister des repr sentations de th tre de danse ou d op ra de mani re autonome Les relais Locaux Les principaux organismes Divers organismes peuvent tre des partenaires efficaces pour relayer l information en direction des personnes handicap es Avec Acc s Culture Spectacle il Les associations repr sentatives est possible de t l charger la liste de personnes en situation de han des spectacles adapt s par lieu et dicap par handicap On y trouve aussi des informations concer
583. s sont au c ur de leurs pr occupations Source www relais culture europe org Sa d finition des indus tries culturelles et cr atives Industries culturelles Les industries qui produisent et diffusent des biens ou des servi ces consid r s au moment de leur conception comme poss dant une qualit un usage ou une finalit sp cifique qui incarne ou v hi cule des expressions culturelles ind pendamment de la valeur commerciale que ces biens ou ces services peuvent avoir Outre les secteurs traditionnels des arts ces biens et services incluent galement les films les DVD et les vid os la t l vision et la radio les jeux vid o les nouveaux m dias la musique les livres et la presse Industries cr atives Les industries qui utilisent la culture comme intrant et poss dent une dimension culturelle bien que leurs productions soient essentiellement fonctionnelles Elles incluent l architecture et le design lesquels int grent des l ments cr atifs dans des pro cessus plus larges ainsi que des sous secteurs comme la con ception graphique la cr ation de mode ou la publicit D Source http europa eu Le livre vert Le contexte international en pleine mutation l mergence de nouvel les technologies et l acc l ration de la mondialisation constituent des d fis pour la comp titivit de l Europe Les industries cultu relles et cr atives de l UE ont le potentiel n cessaire p
584. s sur la structure le public et ou le territoire 3 Diff rencier ce qui rel ve strictement du suivi et ce qui rel ve de l valuation m l indicateur de suivi permet d appr hender des r alisations qu elles soient physiques avancement du projet ou financi res niveau de program mation m l indicateur d valuation sert com parer les r sultats incidences imm diates et les impacts effets moyen et long termes du projet ou de la politi que par rapport aux objectifs poursui vis et aux moyens mis en uvre fiches Pratiques Exemple de fiche de suivi Objectif du projet Re Date de lancement Date de fin Ech ancier tapeencouss O O Lapaations R alisation de la p riode R alisations z Rappel du projet tat d avancement planning pr visionnel Budget r alis Fonctionnement Investissement budget pr visionnel de Date de fin du projet Objectif op rationnel ce que Efficacit mesure de l atteinte l on souhaite atteindre au regard des objectifs des enjeux besoins et probl mes Chaque objectif op rationnel se d cline en plan d actions R sultats Conformit carts entre le pr vu et le r alis Si le FSE accepte ces carts il est imp ratif de pouvoir Moyens financements res les expliciter quand c est le cas sources mat rielles et humaines mobilis es pour la r alisation du projet Effic
585. sation de presta tions de services innovation de proc d l innovation d organisation l innovation de marketing IL aura cependant fallu attendre 2005 et la troisi me dition de ce document de r f rence pour que la d finition initiale de l innovation soit enrichie de dimensions quine soient pas purement techniques Dans tous les cas trouver le bon compromis entre cr ativit et d marche d innovation exige de savoir mobiliser des connaissan ces tr s diverses et de faire preuve d un grand sens de l observation Le mod le classique de Rogers 1983 distingue cinq fac teurs pouvant favoriser la diffu sion d une innovation 1 l avantage concurrentiel du pro duit nouveau tel qu il est per u par les consommateurs potentiels en termes de co t de performances de commodit d usage 2 sa compatibilit avec les nor mes et r f rences actuelles du consommateur 3 sa simplicit et sa facilit d uti lisation 4 sa facilit d essai moindre co t et sa possibilit d tre frac tionn permettant de pouvoir l essayer une petite chelle afin de permettre une acquisition progressive 5 sa visibilit dans l entourage social de l innovateur en mesure de provoquer un largissement de sa diffusion et sa communicabilit pouvoir en parler aux autres tout en tant compr hensible pLa notion d innovation n est pas un concept juridique la diff rence de la not
586. se ducateur m Entrepreneurs individuels membres d une ue i es 2 7 Urssaf sportif en cas de cr ation d une profession lib rale r glement e ou non RE entreprise individuelle Eee ce Artiste auteur Code s NAF m Assujettis la TVA l imp t sur le revenu au 90 03A Cr ation artistique rele S 3 Service des titre des BIC ou l IS et qui ne rel vent pas des imp ts vant des arts plastiques cat gories ci dessus soci t s en participation OaE Autre cr ction associations loueurs en meubl Re artistique m Entreprises exer ant titre principal Chambre Centre questre et autres des activit s agricoles d agriculture activit s questres Illustrations non exhaustives des CFE concern s par les activit s vis es par le guide Le service de formalit s en ligne Le site www guichet entreprises fr a t mis en service le 1 janvier 2010 pour faciliter au maximum la cr ation d entreprises en rendant ais ment accessibles chacun l information et l accomplisse ment des formalit s G r par l ACFCI l APCM l ACOSS les chambres d agriculture et les greffes des tribunaux de com merce et en partenariat avec l tat l APCE et l INPI il permet d s pr sent de consulter les fiches r gle mentation de l APCE d identifier le centre de formali t s des entreprises concern de d poser par Internet la de mande d immatriculation de suivre l tat d avancement
587. se ces simplifications s appliquent directement aux activit s concern es par le guide eeeee LES FORMALIT S DE CR ATION L es formalit s administratives de quoi s agit il L enregistrement Ces d marches concernent le r pertoire national des entre prises RNE tenu par l Insee Ins titut national de la statistique et des tudes conomiques le registre du commerce et des soci t s RCS tenu par le greffe du tribunal de commerce s il s agit d une activit commerciale sauf option pour le r gime de l auto entrepreneur ou s il s agit d une soci t le r pertoire des m tiers RM tenu par la chambre des m tiers et de l artisanat CMA s il s agit d une activit artisanale L immatriculation Limmatriculation se fait via un num ro unique SIREN en pour entreprise et un ou plusieurs num ros SIRET et pour tablissement d livr s par l Insee fiches Sectorielles i T NAF MURRI et NACE Toute entreprise se voit attribuer par l Insee lors de son inscrip tion au r pertoire SIRENE un code caract risant son activit principale par r f rence la no menclature d activit s fran aise NAF r v 2 La nomenclature des activit s conomiques en vi gueur depuis le 1 janvier 2008 est la nomenclature d activit s fran aise NAF r v 2 La NAF a la m me structure que la nomen clature d activit s de la Commu naut europ enne
588. ses manches et savoir prendre des risques Code NAF Convention collective Date de cr ation Investissement Forme juridique Chiffre d affaires Progression du CA Personnel Habilitations Activit s Coordonn es Trajectoire SPORT Portrait de l entreprise 93112 IDCC 1790 Espace de loisirs d attractions culturelles 1996 350 k SA 2007 2008 1 461 607 2008 2009 1 399 252 2009 2010 1 551 344 2007 2008 2008 2009 4 3 2008 2009 2009 2010 10 9 19 en quivalent TC 26 personnes tablissements Jeunesse et Sports Habilitation tourisme Gestion et exploitation des salles d escalade organisation de stages et de formations d escalade organisation de sorties falaise m Www murmur fr Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles POUR L AMOUR DU FILS DES ARDENNES ET POUR ETRE LIBRE DE CHOISIR SA VOIE O NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Cl ment NEMERY Benjamin Ce trentenaire a mis du temps trouver son chemin IL faut dire qu il n a pas eu peur de changer plusieurs fois d orientation afin de trouver l activit qui conviendrait ses exigences C est son enfance pass e dans les Ardennes qui structure ses choix de vie depuis longtemps C est encore dans ses exp riences d enfant qu il a puis l nergie et l envie de cr er Le Ch ne perch Aujourd hui il peut enfi
589. ses rubriques la randonn e p destre et ne man que pas l occasion de rappeler les bienfaits de la pratique sportive aupr s de ses lecteurs M me la revue Courrier Cadre r percute cette tendance Dans son num ro de juillet ao t 2009 on pouvait lire Le sport c est le meilleur moyen de garder la forme Cela permet de br ler des calories de faire fonctionner le pancr as de d congestionner le syst me nerveux d am liorer la contraction cardiaque et l las ticit des art res de diminuer le taux de mauvais cholest rol de r guler la glyc mie de favoriser la circulation du sang et d oxyg ner le cerveau i Les f d rations et clubs d cavil sportifs se positionnent aussi sur ce march l instar de la F d ration fran aise d athl tisme qui a lanc un nou veau programme intitul Coach Athl Sant une facon de s duire un nouveau public et de s ouvrir de nouveaux horizons D Source www athle com Cette tendance se traduit par le recours la di t tique aux m de cines parfois alternatives et aux pratiques sportives ainsi qu de nombreuses approches globa les du corps au moyen de tech niques m thodes ou disciplines vari es Pour chapper au stress fiches Sectorielles _ Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles gt gt NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises les Fran ais utilisent en effet
590. si au renforcement de la culture marketing des profession nels des sports de nature Il s agit non seulement d am liorer la qualit des relations avec les clients mais gale ment avec les partenaires au sein de r seaux sp cifiques m Le march des sports de nature entre dans une dimension internationale qui implique une certaine normalisation Le professionnel est donc de plus en plus amen r pondre des r f rentiels de qualit ex d marche qualit territo riale Plan qualit France Norme inter nationale sur le tourisme d aventure Fiches Pro SPORT NATURE m Les styles de pratique se diversifient et la concurrence augmente constam ment Les professionnels des sports de nature doivent suivre les pratiques sociales et proposer des produits qui soient en ad quation avec celles ci donc des produits socio sportifs et r cr atifs mLa tendance est galement marqu e par une volont d int gration des prati ques au niveau d un territoire Ceci est en ad quation avec la demande crois sante de pratiques de proximit et lat tente d un tourisme qui permette de r cr er des liens entre les locaux les professionnels les loisirs et les prati ques touristiques Quelques conseils pratiques Au regard des tendances de notre soci t Les sports de nature ont sans aucun doute un r le jouer pour changer nos mani res de vivre les temps du quotidien et du loisir Ceux ci peuvent contribuer
591. si villes banlieues avec leurs probl mes sp cifi ques Cette urbanisation croissante entra nera la n cessit de transformer profond ment les politiques culturelles De ce point de vue la prise en consi d ration des pratiques mergentes sera essentielle l essor des technologies L lectro nique et l informatique ouvrent la voie non seulement de nouvelles formes de cr ation et de production musicales mais aussi pour toutes les couches de la population de nouvelles formes d ac c s la musique La musique de notre temps appara t ainsi plus comme une mati re sonore que l on triture l infini que comme une construction intellec tuelle issue d un patrimoine universel 5 Source www millenaire3 com e cr ateur et Les r gles de la profession Profils de poste lls peuvent tre tr s diff rents en fonction des lieux et Les cadres d emploi restent encore peu construits On assiste cependant une professionnalisation qui se traduit notamment par une utilisation accrue de la formation professionnelle et une meilleure d finition des organi grammes Enfin pour la quasi totalit des lieux il est important de rappeler que des b n voles participent l activit notamment pour l accueil des artistes et du public Statuts juridiques et fiscalit mLes normes juridiques de la profes sion particuli rement l ordonnance du 13 octobre 1945 sur la licence d entrepre
592. sique les m tiers du spectacle vivant www culture gouv fr m Le centre de formation professionnelle aux techniques du spectacle avec de nombreux documents dont le r pertoire des bonnes adresses sur Internet pour le spectacle vivant www cfpts com Information sur le finance ment de la formation continue m AFDAS Fonds d assurance formation des activi t s de spectacle 3 rue au Maire 75156 Paris Cedex 03 T 01 44 78 39 39 www afdas com m AGECIF Organisme de formation conti nue dans le domaine de la gestion d entreprise culturelle 22 rue de Picardie 75003 Paris T 01 48 87 58 24 www agecif fr Informations sur la r glemen tation sociale De nombreux sites permettent de se tenir au courant sur la r glementation du travail On conseillera tout particuli rement m Emploi dans le secteur vivant le r gime des intermittents www unedic com a La revue mensuelle CAGE lettre de l entreprise culturelle www cagec com n le Guide de l employeur culturel publi par Juris Service en co dition avec la CAGEC Le Guide annuaire du spectacle vivant du CNT o sont d taill es toutes les for malit s li es l embauche de salari s www professionnelsduspectacle com Le site des professionnels m La CNPNEF SV commission paritaire salari s et employeurs nationale emploi formation a pour mission de proposer les moyens permettant d assurer le d veloppement e
593. sitif ENVOL pour les demandeurs d emploi qui veulent cr er leur entreprise 7 600 m Le conseil g n ral des Ardennes via la subvention Aide l investissement 15 000 m Ardenne initiative 5 000 de subvention 5 000 taux 0 m Le minist re des Sports via D fijeunes 6 000 Le dispositif D fi jeunes a t possi ble car le maire de la commune d Acy Romance et un assureur de Rethel m ont soutenu mLa soci t PANATTA SPORT quipe mentier a accept de faire un pr t de 38 000 et a particip la d finition de la strat gie marketing communication du logo jusqu l enseigne m La ville de Rethel et son maire ont aussi fait beaucoup pour moi Le local est en effet propri t de la commune qui a fait des travaux pour lancer l activit Par ailleurs une location progressive sur trois ans a t mise en place mSa femme a toujours soutenu son projet Elle croit en lui mLa rencontre avec un expert compta ble lui a permis de pr senter un busi ness plan conforme aux attentes des banques C est gr ce ce coup de pouce que son PowerPoint a emport la d cision de la banque qui l a soutenu au d marrage C est bien d tre entour Il ne faut pas avoir peur de demander de l aide et de s appuyer sur des personnes comp tentes Portrait de l entreprise 9312Z ERP tablissement recevant du public commission Code NAF pra d ac
594. ssion nelle n est pas n cessaire pour d bu ter l activit L ducateur peut donc exercer d s lors qu il s est d clar Un accus de r ception lui est d livr dans le mois qui suit le d p t de la d claration m D lai et voie de recours Sans objet m Pi ces justificatives Article A 212 176 du Code du sport Joindre la d claration formulaire CERFA n 12699 01 accompagn e des pi ces suivantes une copie d une pi ce d identit une photographie d identit une d claration sur l honneur attes tant de l exactitude des informations figurant dans le formulaire de d clara tion voir mod le annexe Il 12 du Code du sport une copie simple de chacun des dipl mes titres certificats ou autorisation invoqu s ou pour les personnes en formation l attestation justifiant des exigences minimales pr alables la mise en situation p dagogique et toute pi ce justifiant du tutorat Par ailleurs l ducateur sportif doit pouvoir pr senter la demande de l autorit comp tente un certificat m dical de non contre indication la pratique et l encadrement d activit s physiques et sportives datant de moins d un an au jour du d p t de sa d clara tion Article A 212 178 du Code du sport En outre la pr fecture demandera elle m me au Casier judiciaire natio nal un extrait n 2 de moins de trois mois pour v rifier l absence d incapa cit ou d interdiction d exercer pour
595. ssociation des festivals innovants en jazz et musiques actuel les Cr e en 1993 l association regroupe aujourd hui 35 festivals de jazz contem porain et de musiques improvis es en France et l tranger R unis autour d une charte ils inscrivent leur program mation dans la cadre de projets culturels affirm s et de projets citoyens de diffusion d veloppement des publics action dans les quartiers et en milieu rural actions p dagogiques multiples travail l ann e en dehors du festival tarifs quitables www afijma asso fr Pour en savoir Le Cry www lecry com infoldlecry com 01 30 61 58 02 P le r gional des musiques actuelles de Poitou Charentes www pole musiques com anne loussouarnidpole musiques com T 0549553319 Structures ressources m Information et ressources en musiques actuelles IRMA Le secteur est dot d un centre de ressources national qui regroupe depuis 1994 le CIJ Centre d information du jazz le CIMT Centre d information des musiques traditionnelles et du mon de et le CIR Centre d information rock chanson hip hop et musiques lectroni ques L IRMA s appuie sur de nombreux correspondants r gionaux www irma asso fr jnbigottifdirma asso fr T 0143151111 Fiches Pro CULTURE m Centre national de La chanson des vari t s et du jazz CNV www cnv fr severine morin cnv fr S 01 56 69 11 30 m Centr
596. st pourquoi une commis sion dite Emploi du Conseil national des professions du spectacle analyse les diff rentes sources et les chiffres qu elles publient Par ailleurs les parte naires sociaux ont cr un observatoire prospectif du spectacle vivant Pour en savoir www culture gouv fr rubrique tudes et statistiques www cpnefsv org Structure de La profession mFin 2010 21 500 entrepreneurs de spectacles sont d tenteurs d une licence m80 des entreprises de spectacles sont des associations mles domaines d activit s principaux sont la production la diffusion ou l ac cueil de spectacles vivants Les tablis sements d activit artistique compa gnies troupes orchestres forment la grande majorit des tablissements suivis des tablissements de services annexes services techniques de machi nerie costumes clairages puis des tablissements de gestion des salles de spectacle a 50 des tablissements de spectacle vivant emploient au maximum un sala ri pr s de 98 comptent moins de 20 permanents contre 33 dans l ensem ble de l conomie m 16 des entreprises disparaissent au bout d un an 52 au bout de 5 ans Le d crochage appara t g n ralement entre la seconde et la troisi me ann e m Les principaux facteurs de fragilit sont la cat gorie juridique 1 3 des entrepri ses individuelles disparaissent en 2 ans contre 7 des soci t s et
597. st sign e avec le can didat la cr ation ou la reprise d entreprise pour une dur e mini male de 2 mois renouvelable jus qu 3 ann es cons cutives En change de l accompagnement qu il r alise le tuteur b n ficie d une r duction d imp t de 1 000 1 400 en fonction de la popula tion soutenue Cette initiative a t encadr e par la loi n 2005 882 du 2 ao t 2005 modifi e par la loi de fiches Pratiques modernisation de l conomie LME du 4 08 2008 et le d cret d application paru le 20 03 2009 La d marche de cr ation s apparente une d marche de formation dans les deux cas l accompagnement individualis a fait ses preuves Pour en savoir www apce com e Contrat d appui au projet d entreprise CAPE Ce nouveau r gi me s applique aux tuteurs signant une convention de tutorat entre le 1 janvier 2009 et le 31 d cembre 2011 Instaur par la loi pour l initiative conomique du 1er ao t 2003 le Contrat d appui au projet d entre prise CAPE est entr en vigueur suite la parution du d cret n 2005 505 du 19 mai 2005 IL permet au cr ateur de d finir son projet d tudier sa faisabilit et d effectuer des actes pr para toires la cr ation de son entre prise Qui est concern Le CAPE est un contrat crit par lequel une soci t o une asso ciation s engage fournir aide et assistance pendant la phase pr par
598. t ge les artistes du seul fait de l existence de leur uvre C est un droit inali nable IL existe cependant des organismes profession nels d auteurs charg s d exploiter et de faire respecter les droits des artistes isol s qui n ont pas les moyens de d ce ler toutes les utilisations indues de leurs uvres Pour en savoir Les droits d auteur pour une uvre d animation sont voqu s au lien suivant www afca asso fr Mg Un r alisateur pourra tre d Savoir r tribu en partie en droits d auteur sous certaines conditions se renseigner aupr s de l Agessa Association pour la gestion de la s curit sociale des auteurs 21 bis rue de Bruxelles 75009 Paris 0148 78 25 00 www agessa org l es aides financi res Pour en savoir Pour tout savoir sur la production aid e www cnc fr m Centre national du cin ma et de l image anim e 3 rue Boissi re 75016 Paris T 01 44 34 34 40 www cnc fr Le CNC contribue au financement du court m trage sous des formes diverses aux diff rents stades de l criture de la production de la promotion et de la diffusion des films courts Ses aides sont s lectives ou automatiques direc tes ou par l interm diaire d organismes COSIP GREC Maison du film court Agence du court m trage AFCA qu il Fiches Pro CULTURE Le CNC agit galement dans le cadre de conventions que l Etat les DRAC signe avec le
599. t rature et du spectacle vivant m Un programme pour les artistes da nois d sireux de travailler l tranger est en cours de pr paration m Un nouveau programme tch que con sacr aux projets de cr ation ou d tude favorise la mobilit dans une optique de cr ation m La Slov nie a adopt des lignes direc trices nationales pour l ducation cultu relle et artistique m Le projet su dois Creative Schools destin encourager la collaboration entre les coles et le secteur culturel a t adopt par 97 des municipalit s m Dans toutes les municipalit s grec ques le service charg de l ducation compte dans ses rangs un directeur des Affaires culturelles dont la mission con siste renforcer les liens entre l duca tion et la culture mLe programme belge communaut flamande Dynamo3 encourage les coles adopter une perspective long terme dans l ducation artistique et culturelle Source http eur lex europa eu Culture et croissance durable Des projets pour travailler sur l ducation et la formation tout au long de la vie Des projets pour travailler sur la recherche et le d veloppement technologique europ ens Des projets pour travailler sur l es prit d entreprise et l innovation Des projets pour travailler sur le d veloppement territorial et la coo p ration entre territoires Culture et ressources naturelles Des projets pour travail
600. t disponible en tant que marque et nom de domaine il ne faut pas attendre pour le d poser et ce m me si le cr ateur ne dis pose pas encore d un site internet m l ducateur sportif www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 95957 m l entrepreneur de spectacle www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 96242 m Le guide de haute montagne www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 95973 m Le moniteur de ski www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 95994 m La salle de sport www guichet entreprises fr mgun_ accueil pages fichelnformation jsf ficheld 95970 m Progressivement d autres activit s auront acc s ce service Source www guichet entreprises fr Responsabilit civile et professionnelle Il est important que la couverture au niveau de la responsabilit civile et professionnelle soit assur e quelle que soit l activit il ne faut pas n gliger de penser aux assurances obligatoires ou facultatives Pour en savoir Toutes les explications n cessaires se trouvent dans l espace Nouveau chef d entreprise du site de l APCE fiches Sectorielles No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND o NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises SUr la d claration d du
601. t du monde de l entreprise p tences compl mentaires La gestion pour l un et le commercial pour l autre m Un choix juridique conforme aux enga gements personnels des deux associ s Portrait de l entreprise Code NAF Convention collective Date de cr ation Investissement Forme juridique Chiffre d affaires Progression du CA Personnel Activit s Coordonn es 9001Z Entreprises du Spectacle 12 12 1978 500 F la premi re ann e 1 000 F la deuxi me Association loi 1901 puis soci t coop rative ouvri re de production depuis 2006 Budget 2007 472 176 2008 335 010 2009 598 021 Hors subventions CA 2007 199 413 CA 2008 101 606 CA 2009 138 708 18 dont 6 permanents Ann es du festival 46 dont 6 permanents 1 Production de spectacles de clowns tous publics ou pour adultes actuellement 4 spectacles 2 Coproduction et cocr ations de spectacles avec des clowns tran gers actuellement russes vietnamiens mexicains et malgaches 3 Formations pour com diens et clowns professionnels 4 Action culturelle aupr s de structures de l ducation et du social 5 Formation pour com diens amateurs 6 Organisation d un festival international de clowns Le Tr s Grand Conseil Mondial des Clowns et 15 jours de festival 7 Gestion d un lieu municipal salle de spectacle Le patronage la que destination de 35 groupes amateurs et professionnels
602. t en constante augmentation la d marche d accessibilit se met en place dans ces secteurs et permet de r pondre aux souhaits des personnes ayant un handicap dans la formation professionnelle comme dans la formation initiale les besoins sont Pour l accompagner dans sa d marche les structures sp cialis es sont rares mais elles nombreux existent t ourisme et d veloppement durable Plus qu une mode les principes du d veloppement durable s dui sent de plus en plus de voyageurs qui demandent des garanties concr tes Le secteur du tourisme n est pas le seul concern les collectivit s territoriales s engagent de plus en plus concr tement sur des op rations qui renvoient une priorisation de la valence sociale et environnementale des projets qu elles soutiennent ou qu elles d l guent dans le cadre de leurs march s publics Un arsenal juri pr occupations des individus et des organisations les exigences des client les tou ristiques se sont accrues malgr ou et avec la crise la demande de prestations cul turelles sportives ducatives en des termes respectueux des prin cipes du d veloppement durable fiches Projets dique et r glemen taire les y engage les engagements nationaux consti tuent des cadres de r f rences qui s imposent aussi ce type d activit s Son projet de cr ation doit rendre compte de ses engagements en la mati re
603. t la s cu Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles Fiches Pro CULTURE KA CO I Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises rit de l emploi et de promouvoir la quali fication et la formation professionnelle dans le spectacle vivant www cpnefsv org m Opale dispositif de soutien aux asso ciations dispose de nombreux docu ments portant sur l emploi au sein des associations www culture proximite org Information sur les aides m Le Guide annuaire du CNT www cnt asso fr m Autre contact VIRMA fiche technique sur les aides au spectacle vivant www irma asso fr Hors Les Murs toutes les aides La cr ation http crd irma asso fr avec leur calendrier www horslesmurs fr Minist re de la Culture et de la Com munication DGCA www culture gouv fr et liste des principaux r seaux financ s Sur le site de toute l Europe fr www touteleurope fr Information sur les salons et manifestations SIEL Satis Salon professionnel des univers du spec tacle et de l v nement Parc des expositions Paris porte de Versailles amp 01 41 90 47 47 Pendant 4 jours le SIEL propo se aux professionnels du spec tacle un cycle de conf rences pl ni res enti rement consacr l actualit de la sc nographie du cin ma du th tre et du spectacle wwvw siel satis com m JTSE Journ es techniques du spectacle et de
604. t monuments de sites naturels d h bergement de prestations de loisirs salles de spectacles parcs th me qui fiches Sectorielles pements sportifs et r cr atifs de restauration et d information office de tourisme L accessibilit WINME une r gle g n rale de construction La loi n 2005 102 du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handi cap es pr voit article 41 que les dispositions architecturales des tablissements recevant du public ERP doivent tre telles que ces locaux soient accessibles tous quel que soit le type de handi cap physique sensoriel cognitif mental ou psychique L accessibilit est donc une r gle g n rale de construction au m me titre que la s curit contre les ris ques d incendie et l hygi ne Les quipements sportifs tablis sements recevant du public sont concern s par ces dispositions Pour en savoir wwwr legifrance gouv fr C est une d marche volontaire ouverte aux professionnels du tou risme ayant r alis au pr alable les am nagements pour rendre leur prestation accessible aux per sonnes en situation de handicap Le suivi de la mise en uvre de ce label est confi Association Tourisme amp Handicaps 43 rue Marx Dormoy 75018 Paris T 0144111041 www tourisme handicaps org Pour en savoir Le cahier des charges du
605. t une soci t coop ra tive et participative SCOP r gie par le principe une personne une voix L acc s au soci tariat est l aboutissement naturel et choisi d une d marche progressi ve d appropriation de l entreprise qui traduit au del de la gestion de sa propre activit le souhait de participer au fonctionnement de la CAE et son d veloppement N Chacun peut aussi d Savo tout moment faire libre ment le choix de sortir de la coop rative et cr er sa propre structure Une implantation territoriale reconnue Rencontres p riodiques avec les lus et les acteurs conomi ques locaux comit s de pilotage et comit s techniques r unions et changes font partie des mis sions r guli res assur es par les g rants et associ s des CAE Les coop ratives d activit s et d em ploi sont un maillon compl men taire et innovant dans la cha ne des nombreux outils d accompa gnement l emploi que sont les chambres consulaires les bouti une logique entrepreneuriale Les entrepreneurs attaquent leur march comme n importe lequel de leur concurrent et pratiquent les m mes prix Une CAE est sou mise au m me r gime fiscal et social que n importe quelle SCOP Pour assurer leur solidit finan ci re les CAE se sont dot es travers les r seaux Copea et Coop rer pour entreprendre de solutions pour financer leur fonds de roulement et renforcer leurs fonds propres Une charte
606. tant de l v nementiel sont aujourd hui finalis s Les pratiquants la client le m Plus de 13 millions de Fran ais de 15 ans et plus d clarent pratiquer un sport de nature m 2 millions de licences au sein des 34 f d rations concern es soit 20 27 des licences d livr es par les seules f d ra tions unisports en 2007 m Une pratique f minine des sports de nature sup rieure la moyenne natio nale de la pratique sportive avec 41 des licences d tenues par des femmes dans les f d rations sportives de nature m 48 des Europ ens parmi les r pon dants qui ont d clar faire du sport ou de l exercice Le font dans la nature ou dans un parc m Les sports de nature sont tr s large ment pratiqu s lors de s jours d agr ment m55 des vacanciers d clarent pra tiquer un sport essentiellement des sports de nature dont les trois activit s sportives dominantes sont la natation la randonn e p destre et Le VTT suivis par les sports de montagne et les activit s nautiques D Source Minist re des Sports TNS SOFRES Suivi du d placement des Francais 2008 Eurobarom tre Sports et activit s physiques des Europ ens 2010 Le co t d installation Ce co t est aussi diff rent que peuvent l tre les activit s de sports de nature On peut n anmoins identifier trois postes majeurs de d penses Administratif du temps pour la cr ation d une entre prise quel que soit Le
607. tapes du projet ainsi que de d finir les contreparties qu il propose son m c ne m Droits d auteur a Exclusivit ou copartenariat Le m c ne peut exiger d tre le parte naire exclusif de l op ration soutenue ou accepter la pluralit des m c nes sous r serve de donner son accord sur leur choix Dans le cadre du m c nat il faudra tre prudent quant cette notion d ex clusivit et son criture dans la con vention sous peine de voir requalifier le contrat par l administration fiscale en raison d une relation quasi com merciale IL est essentiel de d finir le champ de l exclusivit m Dur e de la convention La convention peut tre pr vue pour la pr paration de l op ration ou pour une p riode d finie Le renouvellement de la convention peut tre envisag une date pr cise m Assurances La convention indiquera sur quel par tenaire p se la charge des assurances qui couvrent la responsabilit civile les biens ou encore le risque d annu lation de la manifestation m Signature Enfin les parties doivent signer et dater le contrat qui est fait en autant d exemplaires que de contractants fiches Pratiques La r siliation d une convention Le m c ne peut se r server le droit de contr ler tout moment la bonne ex cution du contrat R siliation Deux situations peuvent entra ner sa r siliation Le non respect de ses engage ments par l une des parties
608. te concerne uni quement l ex cution du service conform ment au cadre juridique pr alablement tabli 3 La r mun ration est substan tiellement assur e par les r sul tats de l exploitation d un service public principe de la r mun ration substantielle c est dire celui de l al a financier lt Communes MNIE services publics et r gles budg taires IL est interdit aux communes de prendre en charge dans leur budget propre des d penses au titre des services publics vis s l article L 2224 1 Toutefois le conseil municipal peut d cider une telle prise en charge lorsque celle ci est justi fi e par l une des raisons suivan tes lorsque les exigences du service public conduisent la collectivit imposer des contraintes particu li res de fonctionnement lorsque le fonctionnement du service public exige la r alisation d investissements qui en raison de leur importance et eu gard au nombre d usagers ne peuvent tre financ s sans augmentation excessive des tarifs lorsque apr s la p riode de r glementation des prix la sup pression de toute prise en charge par le budget de la commune aurait pour cons quence une hausse excessive des tarifs La d cision du conseil municipal fait l objet peine de nullit d une d lib ration motiv e Cette d lib ration fixe les r gles de calcul et Les modalit s de ver sement des d penses du service prises en
609. te de prestations de qualit proposer aux touristes m Mat riel Le mat riel personnel d un profession nel de l encadrement des sports de nature est diff rent en fonction de l ac tivit IL existe un socle commun v te ments techniques t l phone portable instruments d aide la navigation qui pement de s curit environ 1 000 Dans les sports de nature tels que les loisirs motoris s ou le cyclisme pour lesquels le recours un parc de mat riel est obligatoire l investissement est de l ordre de plusieurs dizaines de milliers d euros M L achat d un ou de plusieurs d Sd v hicules pour assurer le transport et l encadrement des clients pratiquants dans les meilleures conditions de s curit est souvent n ces saire Autres donn es Les collectivit s territoriales d parte ments essentiellement ont la comp tence l gale pour contribuer au d velop pement ma tris des sports de nature 39 conseils g n raux ont mis en pla ce une commission consultative pour l laboration de Plans d partementaux des espaces sites et itin raires PDESI relatifs aux sports de nature 12 PDESI sont aujourd hui valid s et servent de r f rence pour la p rennisa tion de l acc s aux lieux de pratique 800 000 km d itin raires de randonn e sont conserv s dans le patrimoine collectif gr ce aux engagements des communes dans les Plans d partemen taux des itin raires de pro
610. te des demandeurs d em ploi continuent percevoir lallo cation de retour l emploi ARE m De nombreuses structures pro posent des stages de courte ou de longue dur e qui ouvrent droit r mun ration m La prestation cible est aussi un moyen de pr parer son projet Elle est prescrite par P le emploi qui oriente le cr ateur vers les organismes prestataires D Source site internet de P le emploi Les Prestations d accompagnement m Le d partement de la Sarthe a mis en place un dispositif sp ci fique Carrefour entreprise Sarthe qui rassemble de nom breux partenaires pour l accom pagnement des cr ateurs Il octroie un salaire aux candidats la cr ation d entreprise qui pren nent un cong sabbatique D Source www ces72 org Entreprendre en France Les chambres de commerce et d industrie g rent le dispositif entreprendre en France qui rassemble des chefs d entreprises b n voles autour des cr ateurs Les grandes lignes du dispositif accueil et orientation des por teurs de projets outils documentation sp ciali s e carnets d adresses outils informatiques etc ce stade les porteurs de projets b n ficient d une demi journ e d informa tion formation pr alable et forma tions sp cialis es appr ciation de la d marche conseils sp cialis s de parte naires acc s facilit au financement simplification des form
611. teint 41 pour les 15 29 ans m La chanson et les vari t s fran aises constituent le style de concert le plus fr quent 41 de ceux qui sont all s au moins un concert dans l ann e indi quent avoir assist un concert de chan sons suivi des musiques classiques 26 des musiques du monde et r gio nales 25 de la vari t internationale 24 du rock 19 du jazz 14 et des musiques lectroniques 9 Fiches Pro CULTURE Cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 75 CO I Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises m M me si le public est plut t jeune environ 40 du public serait tudiant ou scolaris et masculin l activit musi cale semble d buter de plus en plus t t pour s achever de plus en plus tard Et demain La commission Musiques amplifi es de la FNCC a d termin trois principaux enjeux aLa musicalisation de la soci t qui touche aussi bien les espaces collec tifs que les sph res les plus intimes de la vie Quels que soient les jugements esth tiques que l on porte sur les musiques amplifi es elles demeureront vraisem blablement comme l une des caract ris tiques majeures et l un des principaux symboles de la production musicale de la deuxi me moiti du si cle Le d veloppement des villes Vil les qui se d veloppent en villes centres villes p riph riques mais aus
612. tention particuli re s La rubrique Bon savoir attire l attention des lecteurs BIN d Savi sur une information qu il est bon de conna tre Pour en savoir La rubrique Pour en savoir permet au lecteur d approfondir ses connaissances en acc dant aux tudes et sites internet exploit s pour r aliser les fiches O TROUVER L INFO La rubrique O trouver l info fournit les coordonn es de structures et sites internet susceptibles de fournir au lecteur une information experte sur le sujet COMMENT FAIRE La rubrique Comment faire propose de la ressource op ration nelle sous forme de questionnaires et d une marche suivre PAROLE D EXPERT Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 2 gt Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises 5 NO VOLUTION DU POIDS DES ACTIVIT S SPORTIVES ET SOCIO CULTURELLES Les activit s sportives culturelles et de loisirs sont en progression constante dans la soci t fran aise tout au long du XX si cle La d mocratisation de l ducation de La culture et du sport la r duction du temps de travail ainsi que l allongement de la dur e de La vie sont l origine de ce ph nom ne Ces activit s occupent aujourd hui une place pr pond rante dans la vie des Fran ais et dans l conomie nationale u ne volution tr s forte de la demande Activit s sportives et de loisirs de nature
613. ticuli rement intol rant et il se dit qu il ne mettra pas les pieds dans une usine m me si son r ve ne se r alise pas Et comme il ne r ussit pas r unir la somme n ces saire pour partir au Canada il d cide de se concentrer sur son dipl me de tir l arc Et l non seulement il passe ses exa mens avec suc c s mais 24 ans il finit major de sa promotion Pendant sa formation il d couvre Profession sport APSL 86 et d cide de travailler avec son dipl me sportif en poche Devenu comp titeur reconnu il fait les circuits nationaux au point de d crocher les titres de vice champion de France 70 m et cham pion de France 50 m trois reprises Son activit professionnelle l poque est mineure il tourne dans les centres J ai du mal rester inactif Trajectoire SPORT de loisirs en moyenne une heure par semaine histoire de se faire une pre mi re exp rience et en m me temps il propose ses services son comit d partemental mais b n volement C est ce mo ment l que na t son nou veau projet pro fessionnel Je suis connu dans la r gion pour mes r sul tats alors pourquoi pas T de cr er mon emploi On est l po que du dispositif emplois jeunes qui permet de faciliter l embauche de jeu nes dans les associations Convaincu que c est la solution il d fend son pro jet pendant plus d un an aupr s de son com
614. tion de subventions et la cr ation d une entreprise saisonni re dans le secteur des sports et loisirs de nature peut difficilement s envisager sans le concours d une agence ban caire Quant imaginer cr er un centre questre o un centre de remise en forme sans appui ext rieur c est aujourd hui quasiment impossible Comme dans n importe quel sec teur la cr ation d entreprise se concr tise par la mobilisation Penserla des financements n cessaires au lan de son projet cement de l acti cr ation d emploi Ou est ce le statut qui fait le r sultat Les statuts de l conomie sociale et solidaire sont encore m con nus Nombreux sont les acteurs qui ont leur sujet un certain nombre d id es re ues parmi les quelles C est financi rement peu motivant pour les dirigeants Faux une Scop s inscrit dans les politiques de r mun ration du march du travail comme toutes les entreprises Le d veloppement est limit par la capacit d investis sement vit et la capacit du cr ateur con vaincre l attention de ses financeurs est indispensable fiches Projets Faux au d marrage les salari s co entrepreneurs b n ficient de l accompagnement du r seau des Scop pour construire le montage financier leur permettant d appor ter les fonds n cessaires Dans la dur e la coop rative g n re ses propres capacit s d investisse ment gr ce sa logique de r p
615. tions qui vont lui permettre de fixer des hypoth ses de chiffre d affaires pour apporter des l ments con crets qui lui permettront d tablir un budget pr visionnel Pour agir Pour fixer de la mani re la plus coh rente possible sa politique commerciaux afin d atteindre ses objectifs d termi ner sa strat gie pourse constituer en m me temps un premier r seau Le mix marketing Voil pourquoi il est tout indiqu de lui conseiller de faire son tude lui m me et de Le convaincre que c est une tape fondamentale On appelle mix marketing l en semble des d cisions de marke ting prises par l entreprise un moment donn sur un produit ou sur l ensemble de sa gamme pour influencer et satisfaire sa client le Vous pouvez l aborder en des ter mes simplifi s et lui rappeler qu il s agit simplement de r pondre aux questions suivantes le produit quel s produit s ou service s allez vous proposer vos futurs clients fiches Pratiques sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 75 Tous ces l ments chiffr s seront par la le prix quels prix allez vous le s vendre la distribution comment allez vous lels vendre Quels vont tre vos r seaux de distribution en di rect avec des interm diaires par Internet et la communication comment allez vous vous faire conna tre Apr s avoir d fini les diff
616. tiques lyriques chor graphiques et de vari t s dite des tourneurs CCN nationale des entreprises artisti ques et culturelles CCN des th tres priv s CCN de l animation CCN des parcs de loisirs et d attrac tions Liste non exhaustive voir fiche pratique de IRMA sur les conventions collec tives Pour en savoir Les textes des conventions collectives sont disponibles au Journal officiel 26 rue Desaix 75727 Paris 01 40 58 78 78 www journal officiel gouv fr et sur wwvw legifrance gouv fr acc s gratuit A M est n cessaire de compl ter d Savoir les CCN avec les protocoles et accords applicables dans le secteur Par ailleurs les entreprises cotisant au GUSO guichet unique pour les entrepre neurs de spectacles occasionnels doi vent choisir une convention collective du spectacle Les autorisations municipales Tout spectacle doit tre autoris par le maire de la commune dans laquelle il va tre repr sent la demande doit tre faite aupr s des services municipaux un mois avant le spectacle Fiches Pro CULTURE La s curit R gles de s curit l organisateur est tenu de mettre en place un service de s curit et de le d clarer aupr s de la mairie M Les maires ont le pouvoir de d Savill faire interdire des spectacles sur leur commune Les autorisations li es l accueil du public et le respect des normes de s
617. tives l accueil au conseil au management la gestion de structure l entretien et l quipement d espaces de sites et d iti n raires de pratique la gestion d un parc de mat riel entretien et renou vellement la formation de cadres la cr ation la promotion et la vente de prestations m Les comp tences g n ralement atten dues d un professionnel dans les sports de nature sont tre autonome dans l action tre capable de n gocier tre capable de communiquer tre capable d empathie ma triser techniquement l activit tre capable de g rer un groupe Fiches Pro SPORT NATURE ports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 34 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises tre capable d analyser son action et d en faire un retour tre capable d analyser et de prendre en compte les contraintes du milieu tre capable d observer les pratiquants et de leur donner des consignes tre capable d valuer et de g rer le risque tre capable de g rer les secours tre capable d duquer le public l en vironnement La convention collective On retrouve des salari s dans le domai ne des Activit s physiques et sportives APS dans plusieurs conventions col lectives Toutefois l application de la convention collective nationale du sport est pr dominante les activit s r cr
618. tivit d agent artistique qu elle soit exerc e sous l appellation d impr sario de manager ou sous toute autre d nomi nation consiste recevoir mandat titre on reux d un ou de plusieurs artistes du spectacle aux fins de placement et de repr sentation de leurs int r ts profes sionnels article L 7121 9 du Code du travail Activit s Les agents ont entre autres missions l assistance la gestion la promotion le suivi et l administration de la carri re de l artiste du spectacle et notam ment la recherche la n gociation et la conclusion des contrats de travail pour l artiste du spectacle mais aus si par exemple la gestion de l agenda et des relations de presse de l artiste du spectacle certains se sp cialisent dans les jeunes talents On les appelle aussi les managers les impresarii etc M Pour exercer le m tier il faut d Savill s inscrire au registre national des agents artistiques aupr s du minist re de la Culture et de la Com munication Ce registre a t mis en place en 2011 L activit d agent artistique est dans tous les cas incompatible avec l activit de producteur d uvres cin matogra phiques ou audiovisuelles D Source Article L 7121 9 du Code du travail R mun ration L article L 7121 13 du Code du travail modifi par l article 21 de la loi n 2010 853 du 23 juillet 2010 pr voit que les sommes que peuvent percevoir les agents artistiques en r mun ration de
619. truction du minist re charg des sports en ao t 2001 Par cette instruction le minist re charg des sports reconnaissait explicitement les parcours acrobatiques comme rele vant du domaine des activit s physiques et sportives APS mLa loi n 84 610 du 16 juillet 1984 relative l organisation et la promo tion des activit s physiques et sportives d finit les r gles de fonctionnement de ces tablissements Ces dispositions sont aujourd hui codifi es dans le Code du sport m Les tablissements d APS sont soit des personnes physiques soit des person nes morales finalit commerciale ou but non lucratif ce titre les services ont t fond s exiger des exploitants une d claration d tablisse ment sportif en pr fecture SAUT mEn novembre 2003 une commission de normalisation compos e de tous les partenaires a publi une double norme AFNOR La premi re XP S 52 902 1 concerne les exigences de construction tandis que la deuxi me XP S 52 902 2 concerne les exigences d exploitation avec notamment des indications sur les comp tences du personnel et les normes d encadrement des mineurs Cette norme est exp rimentale et a pris fin au 31 d cembre 2006 5 Source www sportsdenature gouv fr Afin de respecter les proc dures d ur banisme l am nagement doit tre pr c d de la d livrance pour les quipements des arbres pour les aires de jeux et sports d une su
620. ts r alis e par rapport aux intrants finan ciers ou administratifs mobilis s c est dire la mani re dont les intrants ont t conomiquement convertis en produits r sultats ou impacts Le m me r sultat aurait il pu tre obtenu avec moins de ressources ou plus de r sultats auraient ils pu tre obtenus avec les m mes ressources Ma tre d ouvrage entit porteuse d finissant objectif calendrier et budget du projet Le r sultat attendu du projet est la r alisation d un projet appel ouvrage Le ma tre d ouvrage peut faire appel une ma trise d ouvrage d l gu e pour l aider d finir clairement ses besoins et v ri fier aupr s du ma tre d uvre si l objectif est techniquement r ali sable On parle d assistance ma trise d ouvrage AMO Ma tre d uvre entit retenue par le ma tre d ouvrage pour r a liser le projet dans les conditions de d lais de qualit et de co t fix es dans le cadre d un contrat ou d une convention La ma trise d uvre est responsable des choix techniques Le ma tre d uvre a la responsabilit de d signer le chef de projet ou pilote fiches Pratiques No Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles ND CO NS Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Pour en savoir www europe en france gouv fr Pour la r alisation de certaines t ches du projet le ma tre d uvre peut faire appel une ent
621. tul la nature la dur e les effectifs les modalit s du d roulement et de sanction de la formation et le num ro d enregis trement Le prix et les contributions finan ci res ventuelles de personnes publiques l issue de la formation le pres tataire d livre au stagiaire une attestation mentionnant les objectifs la nature et la dur e de l action et les r sultats de l va luation des acquis de la formation Contrat de formation Si le client est une personne phy sique particulier finan ant l ac tion de formation sur ses propres fiches Pratiques a Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 17 NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises deniers le prestataire de forma tion a l obligation de conclure un contrat Ce contrat conclu avant l inscription d finitive du stagiaire et tout r glement de frais doit pr ciser la nature la dur e le program me et l objet des actions de for mation que le dispensateur de formation pr voit ainsi que les effectifs qu elles concernent le niveau de connaissances pr alables requis pour suivre la formation et obtenir les qualifica tions auxquelles elle pr pare les conditions dans lesquelles la formation est donn e aux sta giaires notamment les modali t s de formation dans le cas des formations r alis es en tout ou en partie distance les moyens p dagogiques et techniques mis
622. ture europe org 32 rue du Faubourg Saint Denis 75010 Paris 0033 1534095 10 fax 00 33 1 53 40 95 19 info relais culture europe org mlAvise propose des services visant faciliter l acc s des asso ciations aux fonds structurels veille sur l Europe et l conomie sociale formations en r gion pour l acc s au FSE service de rensei gnement gratuit guide Associa tions et fonds europ ens guide pratique CD ROM www avise org mLes liens internet indiqu s ci apr s permettent de se procurer les programmes op rationnels documents de mise en uvre ou documents r gionaux de d velop pement rural La majorit d entre eux donnent acc s aux sites Europe de chaque r gion Ces sites proposent d autres informa tions ne pas n gliger E Cette fiche est compos e pour l essentiel des fiches rep res de l Avise d extraits issus des sites publics www europe en france gouv fr ainsi que de celui de la Commission europ enne http ec europa eu fiches Sectorielles fi es gr ce la mise en place des guichets uniques Les centres de formalit s des entreprises CFE et depuis le 1 janvier 2010 du site www guichet entreprises fr Le cr ateur va donc pouvoir effectuer ses formalit s tr s rapide ment en se rendant son CFE ou tout simplement en effectuant ses d marches par Internet es formalit s de cr ation ont t consid rablement simpli La bonne surpri
623. type d activit l ex ception de l activit salari e plus simple g rer il devra proc der une d clara tion annuelle sp cifique par acti vit DEn mati re de protec tion sociale il rel vera de plusieurs r gi mes de s curit sociale sant vieillesse il surcotisera pour un niveau de protection qui n est pas plus favo rable notamment lorsqu il est salari et ind pendant En droit du travail Le pluriactif b n ficie de la pro tection offerte par le Code du tra vail pour ses activit s de salari fiches Sectorielles mais pas pour les activit s ind pendantes Le pluriactif b n ficie de l assu rance ch mage exclusivement pour les activit s de salari s Pluriactivit et poly comp tence d encadrement ou multiactivit La multiactivit implique Le passa ge d une activit sportive l autre en t et en hiver et ou le passage un autre secteur durant les sai sons creuses Il n est pas rare que BSur Les cumuls d activit s voir la certains professionnels cumulent fiche 14 3 en pages 117 et 118 de plus de trois activit s sportives fiscale des formes d organisation de l emploi dans le secteur du sport du minist re des Sports Pour en savoir O TROUVER L INFO a mLe Centre de ressources inter es cadres juridiques r gional alpin sur la pluriactivit pertinents PERIPL www pluriactivite org
624. u plus int ressant La presse est unanime pour vanter l arriv e d un nouveau venu boulever sant la d marche de cr ation par une simplification l extr me des contraintes et une rapidit d engagement L volution du nombre de cr a teurs en France a atteint gr ce ce statut des records in gal s Cependant les limites de ce sta tut commencent tre mieux cer n es Pour l essentiel elles con cernent la r alit de l activit derri re les statistiques de d claration l activit n est pas toujours effec tive les conditions dans lesquelles ce statut est choisi parfois impos par certains chefs d entreprises leurs salari s il entra ne la pr carisation de l emploi dans cer tains secteurs particuli rement concern s par la saisonnalit ou l irr gularit des activit s Auto entrepreneur tourisme et loisirs sportifs de nature Difficile de conna tre l im pact de ce statut dans les secteurs concern s par le guide On peut cependant constater que certaines entreprises touristiques saisonni res qui proposent des activit s de sports et loisirs de nature ont remplac leurs salari s saisonniers par des contrats de prestation pass s avec des auto entrepreneurs D autres se sont lanc s dans ce secteur en faisant le choix de ce statut Le tourisme vous int resse Accompagnez des touristes et faites leur d couvrir des monuments des quartiers une r gion
625. u en perte d autonomie d accompagner les simple cours de musculation la gestion compl te de l activit sportive et de d tente du client cours de remise en forme s ance de yoga de massage et coaching psychologique confiance en soi Elles s adressent des particuliers o des entreprises De nombreux articles de presse s accordent sur ce point mais il est tr s difficile d avoir des donn es pr cises Pour ajuster sa strat gie il est donc pr f rable de s inspirer des exemples d j existants r sidents dans leurs actes de la vie quotidienne en cas de besoin de lutter contre la solitude et l iso lement en proposant des anima tions Unit de soins de Longue dur e USLD Service d tablissement de sant assurant l h bergement et les soins des personnes priv es de leur autonomie n cessitant une surveillance m dicale Institutions sp cia lis es de scolarisation ou de formation Pour en savoir BLire la fiche de l APCE consa cr e au coaching Centre de r ducation profes sionnelle CRP Structure facilitant la r insertion __ Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles fiches Sectorielles gt OO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises sociale du travailleur handicap et lui assurant une formation qualifiante par la proposition de stages Institut d ducation motrice IEM tablissement accuei
626. u poids des activit s sportives et socio culturelles 12 TAPE 1 LE CANDIDAT A UNE ID E DE CR ATION 00 01111111100000e 19 Fiches Projets Conseils et Recommandations Le candidat et son id e de cr ation 20 Les points de Vigilance ssssstenteinenneshel mener inner 22 D s pistes pour progresser 4 22205recnnniernnne ist pasaia 26 Fiches Sectorielles Savoirs et R f rences Dipl mes sportifs et r glementation 29 PluriactiVit tSPOFT assoc tu no nen le rabat i a parures 32 Culture et intermittent sccis a 37 Innovation sports et loisirs de nature aeeiiceeeeer rererere 42 Fiches Pratiques Outils et Ressources Cr er une association pour entreprendre 92 Construire un itin raire de formation sessisccceeeeerereree 58 S curiser un parcours de cr ation 67 Formaliser l id e de cr ation 75 Fiches Trajectoires Parcours et Portraits Vincent Faugeraux Tir l arc eeeessessriieeesessssrrrrrreersrsrrrrrrrte 80 Hakim Ounissi Go to move 84 Quentin Simon Les Bateliers du Viaduc 88 Delphine Pille Esprit Parapente ss icsssreeerrrrerrerererrrrrree 92 Hugues Roche Les Matapeste eeiseessrreressssrrrreersrrrrreererrrn 96 TAPE 2 LE CANDIDAT M RIT SON PROJET DE CR
627. u spec d Savoir tacle amateur se d veloppe particuli rement en milieu rural o la demande est forte Le spec tacle caract re social en direction des retrait s des publics d favoris s des jeunes des coles etc parfois aid par les organismes sociaux tels que la direc tion d partementale de l Action sanitaire et sociale DDAS est en train de trouver sa place m Pour tous la tendance est la mutua lisation pour acheter du mat riel mais galement pour permettre d allonger la dur e des contrats des salari s Tech niciens administratifs locaux services emplois espaces de travail Pour en savoir www horslesmurs fr r e cr ateur et les r gles de la profession Les licences d entrepreneur de spectacles L exercice de l activit d entrepreneur de spectacles est soumis par les disposi tions du Code du travail articles L7122 1 et suivants D7122 1 et suivants la d livrance d une licence d une dur e de 3 ans renouvelable m Pour obtenir la licence l entrepreneur doit tre majeur tre titulaire d un dipl me de l ensei gnement sup rieur ou justifier de l em ploi d une exp rience professionnelle de 2 ans au moins ou d une formation professionnelle de 500 heures au moins dans le domaine du spectacle avoir la capacit juridique d exercer une activit commerciale m Le Code du travail distingue trois cat gories de licences selon les
628. ucation artistique recule selon certaines critiques qui d non cent la part trop faible de la d cou verte artistique dans les programmes scolaires mLe r seau g n raliste de la diffusion d laisse certaines disciplines artisti ques danse musiques actuelles jeune public au profit du th tre et des festi vals m Le manque de coordination l absence de dialogue structur ou de vie corpora tive sont toujours un frein au d veloppe ment de ce secteur Pour en savoir On peut se r f rer Avignon en sc nes 2009 avec son dossier sp cial consa cr au Bilan critique et perspectives entre tat et spectacle vivant www avignon enscenes fr ainsi qu aux Entretiens de Valois 2008 2009 tude de march Tendances g n rales m Les d penses culturelles au sens large incluant les achats de mat riel l audiovisuel repr sentent 4 5 du budget des m nages un chiffre stable avec un budget autour de 1 200 par m nage et par an Cependant le spec tacle ne repr sente qu une part de ce budget modeste mais en progression 52 en 1990 123 en 2000 et 154 en 2004 La d pense annuelle moyenne des m nages en spectacles vivants est pas s e de 42 en 2001 38 en 2006 D Source CREDOC Consommation et modes de vie n 235 d cembre 2010 mLa fr quentation des lieux de spec tacle est fortement li e au niveau d ins truction la relation
629. ue le club de Saint Beno t Les rentr es finan ci res ne sont pas importantes mais quand au bout d un an deux des archers qu il entra ne deviennent champions de France du coup on s int resse moi Depuis ce temps le jeune archer a fait son chemin Cette activit gr ce laquelle il a d marr ne repr sente plus que 30 de son chiffre d affaires Le reste ce sont des produits d anima tion propos s en centre de loisirs et Les colonies de vacances et depuis 2004 la vente de prestations plus de 80 cam pings situ s dans le tr s touristique Marais poitevin et sur la c te atlantique Le succ s est tel qu en 2005 il est dans l obligation de prendre un premier quand la demande est l ee salari je ne peux pas refuser Un an apr s il embauche un second archer puis un troisi me jusqu en avoir 5 cette poque il travaille de 7 heures 1 heure du matin ce stade il sait qu il va devoir choisir entre la gestion et le terrain et c est le terrain qui l emporte parce qu il ne veut pas g rer sa bo te simplement et qu il veut continuer rester au contact des gens Son pouse est responsable d une biblio th que et avec un enfant en bas ge a demande beaucoup d investissement Une nouvelle tape de sa vie personnelle va d marrer Aujourd hui cela fait dix ans que son entreprise est cr e le tir l arc occupe 70 de son temps Les 30 restants
630. uel s niveau x g ographiques le projet tient il compte le projet prend il en dimension Nord Sud Facteur temps compte la De quelle mani re le projettient ilcompte des diff rentes chelles de temps Les cons quences du projet pour les g n rations futures sont elles envisag es Le projet est il un facteur d innovation Comment l intervention des diff rents partenaires est elle organis e dans le temps Comment sont arbitr es les urgences entre les partenaires m Questions portant sur la participation et la transparence Nature et rapports des partenaires associ s Quelles sont les parties prenantes du projet Qui organise la concertation Qui prend les d cisions Qui arbitre quel titre Quels sont les rapports entre les parte naires Comment s organisent les responsabili t s subsidiarit d centralisation etc Modalit s de concertation Un syst me de consultation ou de con certation a t il t mis en place e Des lieux de concertation sont ils cr s Comment l information est elle diffus e De quelle information s agit il Les proc dures de concertation ont elles t formalis es conventions chartes M thode de travail Comment travaillent associ s les partenaires Comment se prennent les d cisions Quelle est l implication des partenaires dans Le syst me de suivi et d valuation S Source
631. ues Le minist re de la Culture et les DRAC sont directement comp tents pour apporter des soutiens divers aide la cr ation soutien l emploi culturel aide l quipement aide la production audiovisuelle du spectacle vivant avec le concours du CNC et du COSIP Mg Aides individuelles la cr a d savil tion attribu es par les DRAC qui s lectionnent les dossiers FRILE Fonds r gional d aides aux initiatives locales g r au niveau local par les pr fectures Au niveau national contacter la DIACT ex DATAR T 01 40 65 12 34 www diact com FCM Fonds pour la cr ation musicale 141 rue La Fayette 75010 Paris 01 48 78 50 60 www lefcm org d tail des programmes d aide et formu laires de demande d aide en ligne Les aides d autres minist res seront accord es en fonction de la nature des projets Tourisme ducation nationale Affaires sanitaires et sociales Fiches Pro CULTURE Cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 30 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises M Les financements publics sont d Savoir assur s aux deux tiers par les collectivit s territoriales et pour un tiers par l tat soutien la cr ation la diffusion et aux industries culturelles Genres Principaux guichets Adami Spedidam Afaa ONDA Aides du r seau g n raliste de la diffusion SMAC Adami FCM CNV Sacem SCPP
632. ues culturelles CO ND O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Brevet d tat d ducateur sportif BEES option quitation activit s questres Le BEES du 1 degr nest plus d livr depuis le 31 12 2005 Brevet professionnel de La jeunesse de l ducation populaire et du sport BP JEPS sp cialit activit s questres mentions quitation Tourisme questre quitation western quitation de tradition et de travail Attelage Brevet d aptitude professionnelle d assistant animateur technicien BAPAAT supports techniques Poney Randonn e questre Autorisations sp cifiques d exercer ne sont plus d livr es depuis l entr e en vigueur de la loi du 06 07 2000 modifiant la loi du 16 07 1984 relative L organisation et la promotion des APS mais ont conf r des droits acquis Attestations de qualification et d aptitude AQA Ne sont plus d livr es depuis l entr e en vigueur de la loi du 01 08 2003 relative l organisation et la promotion des APS mais ont conf r des droits acquis AQA l enseignement de l quitation sur poney AQA l enseignement du tourisme questre AQA l enseignement de l attelage AQA l enseignement du horse ball AQA l enseignement du polo AQA l enseignement de la voltige AQA l enseignement de l quitation western MINIST RE DES SPORTS Ensei
633. ues sur ce march Etpour mener de front le projet de centre questre et un h bergement touristique Pour l ouverture d un g te rural ou d une chambre d h te www apce com Tous droits r serv s Cr dit photos Panoramic Pour r aliser l tude de march Entre 2005 et 2008 21 r gions se sont engag es dans le dispositif des Obser vatoires conomiques r gionaux OER anim par les Haras nationaux et les Conseils des chevaux Ce dispositif per met aujourd hui de mieux conna tre les entreprises questres dans toutes leurs dimensions www haras nationaux fr Ouvrages Am nagement et quipement des centres questres librairiel haras nationaux fr Textes de r f rence Article L331 2 du Code rural autorisation d exploiter des terres agricoles Article L322 3 du Code du sport ouverture d un tablissement d activit s physiques et sportives Article L212 11 du Code du sport ducateur sportif Article 1211 18 du Code du tourisme prestations touristiques Articles A322 16 et suivants du Code du sport sur les r gles d hygi ne et de s curit sur l utilisation de chevaux Fiche r alis e sur la base de la fiche de l APCE correspondante et r actualis e partiellement sur la base des informations disponibles sur le site des Haras nationaux et d autres sources Fiches Pro SPORT a D d a D S E a i 3
634. ui pour marquer l engagement des prestataires et t moi gner de l volution de la demande Pour progresser dans sa d marche le candidat la cr ation doit faire preuve de rigueur et de coh rence es march s du tourisme et des loisirs sportifs de nature sont tout L essentiel de ce que vous devez lui transmettre ce stade ADAPTER SON PROJET TOURISTICO SPORTIF AU DEVELOPPEMENT DURABLE 2 Communiquer sur ses engagements Christophe Leservoisier est L es points cl s de la d marche Difficile pour un candidat la cr ation de s engager s rieuse ment dans cette d marche sans s appuyer sur un cadre 1 Proposer une offre cr dible Il ne suffit pas de vouloir proposer des produits r pondant aux cri t res du d veloppement durable encore faut il savoir quelles sont les attentes connues de ces clien t les et comment y r pondre Pour y parvenir le candidat la cr ation peut approfondir les prin cipes propos s par la Commission europ enne mais la question du comment faire et combien a co te ne sera pas r gl e pour autant pr sident et cofon dateur d Atalante tour op rateur d aventure fond en 1986 Il est lorigine de la Charte thique du voyageur et a con tribu la fonda tion du label Agir pour un tourisme responsable ATR cr en 2004 Pour l accompagner dans sa d marche vous pouvez en premier lieu lui conseiller de consulter les sites i
635. uide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Le FSE Ce qu il faut savoir Le Fonds social europ en est l outil Le plus ancien de la politique de coh sion europ enne Il vise accompagner la r alisation de projets qui soutiennent l emploi qui permettent le d veloppement des comp tences et assurent l in sertion sociale des populations IL s agit d un outil de proximit et ce titre c est au niveau r gional que la plupart des dossiers sont trait s L Europe a accord 0 Il une enveloppe de 5 4 milliards d euros la France pour la p riode allant de 2007 2013 Quels types de projets sont financ s par Le FSE Avec le Fonds social l Europe s adresse aux travailleurs et aux demandeurs d emploi notam ment ceux qui rencontrent plus de difficult s comme les jeunes et les seniors et accompagne les cr ateurs d entreprises Ce fonds finance aussi des projets am liorant la situation de l emploi pour les personnes handicap es l insertion durable sur le march du travail des demandeurs d em ploi et des personnes inactives pr venir Le ch mage en particu lier le ch mage de longue dur e et le ch mage des jeunes encourager le vieillissement actif et prolonger la vie active accro tre la participation au mar ch du travail renforcer l inclusion sociale des personnes d favoris es en vue de leur int gration durable dans l emploi lutter contre to
636. ulant en fauteuil rou lant ou avec des b quilles m La s curit d usage sol ou rev tement de sol non meuble non glis sant non r fl chissant sans obsta cles la roue absence de trous ou de fentes au sol ayant un diam tre ou une largeur sup rieur e 2 cm absence d obstacles hauteur de visage en dessous de 2 2 m marches et volets de marches s curis es mLe stationnement automobile au minimum 2 du parc de station nement doit tre adapt rep rage de plain pied de largeur minimale de 3 3 m syst me de contr le d ac c s ou de sortie adapt m Enfin la pr sence de points de repos et un espace permettant une d pose minute proximit de l en tr e de l tablissement sont forte ment recommand s C ommunication pLa signal tique et les rep res pour s orienter Plus l espace est important et complexe plus la signal tique devient un l ment d terminant afin d assurer une autonomie de circulation et de mouvement pour tous les publics Lorsque des informations perma nentes sont propos es aux visi teurs par le moyen d une signali sation visuelle ou sonore celles ci doivent tre per ues et interpr t es par un visiteur handicap quel que soit son handicap Le l gislateur pr cise que ces l ments d information et de signali sation doivent tre visibles information regroup e support d information contrast par rapport son environnement im
637. un formulaire qui va rendre compte de sa d marche et se pr parer d fendre son projet Ce qui compte avant tout c est de conna tre les r gles du jeu et quelques ND I O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises principes fondamentaux de la gestion de projet Point sur ce qu il est pr f rable de conseiller au cr ateur cette tape o o OBTENIR UN FINANCEMENT EUROP EN e familiariser avec les r gles du jeu et le vocabulaire Les r gles du jeu au d marrage Un projet est toujours port par une structure personne morale et non une personne physique et la demande de concours est con ue dans le but de d terminer la qualit de l engagement du porteur de pro jet c est aussi vrai dans le cas de r ponse appel d offres Il est n cessaire de situer son projet par rapport aux priorit s europ ennes et ensuite de le doter d un argumentaire solide Pour cela il est pr f rable de conna tre la pro grammation en cours les r gles du jeu aff rentes cha cun des fonds et la terminologie parti culi re employ e d valuer l oppor tunit du projet au regard de la pro grammation vis e r gionale natio nale europ enne d appr cier l li gibilit des d pen ses pr visionnelles et la construction du plan de finance ment Par ailleurs c est la demande de con cours qui sera reprise pour tablir la
638. ur avenir professionnel La passion de la montagne est toujours pr sente m me s ils n ont pas eu de temps lui consacrer ces derni res ann es Alors ils se remettent tous les deux grimper dans une salle d escalade de la r gion parisienne lls d cident alors de cr er une soci t de nettoyage parce qu ils ont un carnet d adresses et qu il faut bien faire quel que chose mais la soci t vivote et l aventure ne les passionne pas C est cependant cet pisode qui va tre le d clencheur de la r ussite qu on leur conna t aujourd hui Parmi leurs clients ils ont la salle d escalade dont ils d cou vrent un jour qu elle est en vente C est l que le d clic se produit On va pouvoir conjuguer le plaisir de renouer avec la gestion d une entreprise et l acceptation de l chec du Avec l envie de monter supermarch la premi re grande salle d escalade en Mais ils ne sont France on renoue avec s pas les seuls la passion avoir cette id e Pour la phase de r alisation la rencontre avec Serge Riou est d termi nante Trajectoire SPORT Serge Riou n a pas l me d un entrepre neur mais il voit juste sur le march Apr s des tudes en conomie du sport et en droit il d marre une carri re dans le milieu sportif en travaillant d abord l UCPA puis en devenant directeur de la F d ration fran aise de savate boxe fran aise Quelques ann es plus tard il d cide d
639. ur cul turel et r cr atif Pour en savoir www amicentre biz rubrique entrepreneurs couveusecado amicentre biz T 04 95 04 95 50 La liste des r seaux qui d Savill accompagnent les can didats la cr ation est disponible sur le site www pme gouv fr Et si vous d teniez une partie des cl s Nombreux sont les territoires qui ne sont pas dot s de structures sp cialis es dans l accompagne ment de ce type de cr ateurs Pourquoi ne pas organiser une r union d information latten tion des r seaux g n ralistes et leur donner des Vous pourrez informations con alors sensibiliser cernant ces cr a Vos partenaires teurs et leurs pro l int r t qu ils jets pourquoi ne repr sentent pas organiser une Voire susciter rencontre entre l adaptation de ces r seaux et des leurs dispositifs cr ateurs en herbe et proc dures ou install s E L essentiel des informations juridiques contenues dans cette fiche provient du site du minist re du Travail de l Emploi et la Sant fiches Pratiques d accompagnement fin de le pr parer formaliser son id e de cr ation rappelez au porteur de projet quelques fondamentaux de la cr ation d entre prise qui vont le concerner quel que soit Le choix qu il fera au terme de cette premi re tape Aidez le franchir cette premi re tape en Le guidant dans sa d marche par une s rie de questions cl s
640. ur d une uvre IL comprend pour l essentiel les activit s suivantes th tre danse op ra com die musicale concert r cital lyrique vari t s cirque mime arts de la rue spectacle forain fanfare pantomime m Toute cr ation de spectacle ne doit pas se traduire dans les faits par une cr a tion d entreprise m me s il existe une pr somption de salariat m Toute personne qui s assure moyennant r mun ration du concours d un artiste du spectacle en vue de sa production est pr sum tre son employeur sauf si l artiste exerce dans des conditions impliquant son inscription au registre du commerce D Source art L 7121 3 du Code du travail Fiches Pro CULTURE aLa cr ation artistique du spectacle vivant se distingue par son caract re fugitif par opposition aux uvres p ren nes des autres formes d art Un spectacle vivant est d fini par la pr sence physique d au moins un artiste du spectacle percevant une r mun ration lors de la repr sentation au public d une uvre de l esprit VOl D Source Article L 7122 1 du Code du travail aLe Code du travail article L7122 2 pr cise la d finition d entrepreneur de spectacle vivant IL s agit de toute per sonne qui exerce une activit d exploita tion de lieux de spectacles de produc tion ou de diffusion de spectacles seul ou dans le cadre de contrats conclus avec d autres entrepreneurs de spec tacles vivants
641. ur en savoir Instruction 09 089 du 15 juillet 2009 modifi e relative la protection du public dans les PAH L accidentologie m est important de noter que l acciden tologie dans les PAH est faible mLes r ceptions et tout particuli re ment la r ception de tyroliennes sont l origine de plus d un tiers des acci dents m Un autre tiers des accidents d clar s est d des erreurs d assurage et des chutes alors que la pratique est des plus s curis es briefing parcours d initia tion obligatoire pour v rifier la bonne compr hension des consignes de s cu rit ainsi que la bonne manipulation des quipements de protection individuelle surveillance des parcours aux points strat giques ou difficiles ml est noter la part importante de malaises enregistr s crises d asthme d pilepsie de t tanie environ 12 des accidents m Pour certaines personnes l accumu lation de fatigue l volution en hauteur la pr sence continuelle du vide peuvent tre incommodants et devenir sources de stress Proc dures et normes d installation Cette offre a d abord t diffuse et diverse pour tre regroup e ensuite sous l appellation parcours acro ports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 349 CO OST Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises batiques en for t l occasion d une premi re ins
642. ur le site wwvw voyagespourlaplanete com et sur divers sites institutionnels fiches Pratiques cratisation culturelle La loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des person nes handicap es apporte des volutions fondamentales pour r pondre aux attentes des personnes handicap es Ces nouvelles dispositions l ga les concernent Le cadre b ti l information ainsi que les prestations accessibilit est aujourd hui affich e comme une exigence de d mo Pour permettre au candidat la cr ation de progresser dans son projet cette tape un premier clairage s impose RENDRE ACCESSIBLE UN SPECTACLE VIVANT AUX PUBLICS HANDICAPES our r ussir une d marche sement et former des personnels d accessibilit particuli rement concern s La r ussite d une d marche d ac cessibilit repose sur quatre grands principes d action nommer un r f rent sensibiliser le Etne pas oublier public la d mar les artistes che entreprise handicap s Penser laccessibilit de l tablissement de mani re Dans sa d finition de 2002 l Organisation SAUT globale prendre en compte la diversit des handicaps rendre accessible les locaux l information et l ensemble des activit s propos es prendre en compte les person nes en situation de handicap dans toutes mesures et actions enga g
643. ur permet d amorcer le virage qu ils ont d cid de prendre ensemble Les investissements qu ils peuvent r aliser sont insuffisants Qu celanetienne ils r ussissent mobiliser plusieurs par tenaires fami liaux et m c nes qui croient en eux et la nouvelle cole ouvre rapidement ses portes On est en 1992 et l association La Manufacture des arts voit officiellement Le jour Au d but seuls des enfants et des dan seurs amateurs prennent des cours mais l id e de la compagnie profession nelle demeure Une survie due une capacit d innovation permanente Les choses ensuite s acc l rent Vendetta reforme sa compagnie avec des danseurs occasionnels d s 1993 Trajectoire CULTURE Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles es O O Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises En 1999 ils obtiennent l habilitation du minist re de La Culture pour pr parer au dipl me d tat de professeur de danse En 2007 ils s engagent dans la recons truction int rieure du b timent qui accueille La Manufacture et l encore ils innovent en utilisant essentiellement du bois sur 1 300 m et des nouvelles tech nologies et en s appuyant sur l archi tecte Simon Teyssou jusque dans les lumi res une pr occupation ch re Laurent La Manufacture est clair e de leds qui ne consomment pas plus qu un radiateur lectrique pour tout le b ti ment
644. ur un salari un Articles L 6351 1 L 6351 2 R 6351 1 justificatif d inscription sur la liste R 6351 2 et article R 6351 11 du Code mentionn e l article L 6322 48 du travail et d cret n 2010 530 du 20 5 Une copie du programme de mai 2010 Journal officiel du 22 mai la formation pr vu l article 2010 L 6353 1 ainsi que la liste des La d claration d acti Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises 17 fiches Pratiques COMMENT FAIRE pour accompagner le cr ateur dans sa d marche m tape 1 Au plus tard dans les trois mois qui suivent la conclusion de la premi re convention ou du pre mier contrat de formation profes sionnelle le prestataire de forma tion doit adresser une d claration d activit la direction r gionale des Entreprises de la Concurrence de la Consommation du Travail et de l Emploi DIRECCTE soit du lieu du principal tablissement soit du lieu o est assur e la direction effective soit du lieu du si ge social m tape 2 Dans un d lai de trente jours compter de la r ception de la d claration le pr fet de r gion d livre au d clarant un r c piss comportant un num ro d enregis trement ou lui notifie sa d cision de refus d enregistrement Jusqu la d livrance de ce r c pis s ou la notification de la d cision de refus d enregistrement l organisme est r put d
645. urce APAA Association des producteurs audiovisuels d Alsace Le long m trage d animation n a jamais t aussi dynamique les s ries se pro duisent par dizaines pour les t l vi sions et les coles forment des talents qui font jeu gal avec les talents du march 5 Source Festival d Annecy 2006 Les studios fran ais d animation 3D surfent sur la demande croissante de la t l vision du cin ma et du jeu vid o La France reste l un des acteurs mon diaux les plus dynamiques dans ce domaine derri re les tats Unis et le Japon et cette volution stabilis e haut niveau autour de 280 heures de programmes s accompagne d une v ri table embellie sur le march de l emploi r Mg Un obstacle au d veloppement d Savr de la 3D les salles fran aises sont peu nombreuses tre quip es en num rique capables de visionner des films en 3D En 2009 350 salles sont quip es Par ailleurs avec le d veloppement continu d Internet la mode est aux clips vid o et de nombreuses soci t s se sont lanc es sur ce cr neau blogs vid o vid os remont es et dimensionn es pour le Web Web TV On parle de commu nication virale Des ph nom nes com me YouTube et Facebook impliquent des comportements nouveaux des rapports nouveaux l image D Source Festival 1 regard Pour en savoir tude du CNC sur Le march de l animation www cnc fr Et demain m Multip
646. urelles autres que celles ayant pour objet de pr senter au public des uvres de spectacle vivant et d organiser des expositions d art contemporain Toutefois l activit d un organisme peut tre sectoris e Dans ce cas les activit s non assujetties la TVA peuvent tre compatibles avec des actions de m c nat IL convient de souligner enfin que ne sont pas ligibles au m c nat les organismes constitu s en soci t s tel les que SA SCOP SARL etc qui sont des organismes but lucratif au sens fiscal du terme m La gestion est d sint ress e m L activit ne profite pas un cercle restreint de personnes Sur les crit res d appr ciation du caract re non lucratif et de la gestion d sint ress e d un organisme sans but lucratif notamment une associa tion loi 1901 et sur la sectorisation des activit s il faut se r f rer lins truction fiscale 4 H 5 06 n 208 du 18 d cembre 2006 2 Mesurer si l uvre ou la manifesta tion est bien d int r t g n ral Cette condition est remplie si selon l article 39 1 7 du CGI Code g n ral des imp ts ces manifestations ou uvres sont de caract re philan thropique ducatif scientifique social humanitaire sportif familial culturel ou concourant la d fense de l envi ronnement naturel ou la diffusion de la culture de la langue et des connais sances scientifiques fran aises lors qu elles sont expos es dans
647. urs de salari l hi de cano tourisme ver et statut kayak questre ind pen commercant dant l t Multi salariat multipro fessionnel Plusieurs statuts ind pendants dans diff rents secteurs d activit Plusieurs activit s incluses sous un m me statut d ind pendant Exemple Moniteur Exemple Plusieurs Exemple Moniteur de Exemple Moniteur de Exemple Moniteur Exemple Ch meur Plusieurs i m tiers animateur emplois ski de fond ski alpin de ski de ayant une polyvalent saisonniers accompagna lib ral fond ind petite en sport de moni teur moyenne h telier pendant activit teur de ski montagne commercant cuisinier d anima de fond guide de salari teur de p che en loisirs profession lib rale accompa gnateur moyenne montagne D Source Une adaptation du sch ma de C Laurent et M F Mouriaux Centre d tudes de l emploi 1999 NO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises 2 fiches Pratiques Le r gime fiscal de l entreprise Selon le type de structure choisi les b n fices de l entreprise seront assujettis l imp t sur le revenu o l imp t sur les soci t s L encore ce crit re sera rarement d terminant en phase de cr ation En effet il est difficile d valuer pr cis ment le chiffre d affaires pr vis
648. urs ou de sta il aborde plus rarement ce stade giaires ildevientrare dans cessec l conomie de son projet teurs de ne pas parler de demande Sa motivation est forte et son d attentes voire d exigences nergie souvent d bordante est ce point li e ses pratiques per sonnelles qu il peut en oublier de mentionner sa client le ou son public et parfois m me refuser de consid rer la question de la Appuyez vous demande sur ses motivations La passion est sou et d celez malgr vent l origine de l absence de r f ren sonenviedes inves ce au chiffre d affai tir dans un projet de res la r ussite ou cr ation et demain l argent un vrai peut tre dans son projet d entreprise entreprise la g n ralisation des appels d offre contribue familiariser ces cr ateurs avec le monde de l entreprise et de la concurrence enfin la mont e en puissance de l conomie sociale et solidaire l ve un certain nombre de r ser ves notamment en introduisant un nouveau vocabulaire pour parler de cr ation Prudence dans le et d entreprise choix des mots plus conforme aux parlez de projet attentes d une par et non d entreprise tie de ce public ce stade e Muepuse e trepresenitaot p luriactivit et complexit Se projeter dans l univers de l en treprise n est pas toujours facile pour un cr ateur dans ces sec teurs m me si des volutions sont visibles La cr ation dans ces secteur
649. us appropri e en fonction de ses besoins de son statut et de celui de son entreprise ainsi que de son domaine de cr ation Point sur les principales sources de financement qu il peut mobiliser et sur les r gles essentielles qu il devra respecter eeeee FINANCEMENTS LES INCONTOURNABLES ND Co NS Guide pratique d accompagnement La cr ation d entreprises es principales sources de financement Am nagement du local acquisi tion de mat riel de l quipement informatique frais d immatri culation de communication et demain besoins en fonds de rou lement etc les besoins finan ciers au d marrage sont sou vent nombreux Pour assurer le financement de la future entre prise deux types de ressources se compl tent les fonds propres qui proviennent du cr ateur et les financements externes Pour faire face aux premiers mois de vie de l entreprise ils doivent souvent tre mobilis s rapide ment Les solutions suivantes sont le plus souvent envisag es renforcer ses apports person nels en sollicitant l pargne de ses proches ce que l on appelle le love money ouvrir son capital des investis seurs solliciter un financement extra bancaire microcr dit pr t d hon neur recourir l endettement moyen 2 7 ans ou long terme 7 15 ans obtenir une aide publique L apport personnel Dans tous les cas tout commen ce par l apport personnel Il peut s agir d u
650. us l autorit d un titulaire du BEES du 1 degr option quitation activit s questres ou du BEES du 2 degr option quitation ou du BP JEPS sp cialit activit s questres toutes mentions Accompagnement et conduite de randonn es questres en autonomie dans tout tablissement dans le cadre de parcours identifi s Intervient en situation d autonomie pr par e avec et sous l autorit d un cadre d un niveau sup rieur de qualification et exerc e sous la responsabilit du directeur de l tablissement o il exerce ses fonctions Anime la pratique d activit s en initiant ou en accompagnant soit comme assistant soit en situation d autonomie Limit e et contr l e dans les m mes conditions Le transfert de connaissances se limite aux n cessit s de la conduite de l activit et aux consignes de s curit Encore appel e suppl ment au dipl me Intervient sous l autorit d un titulaire d un BEES option quitation activit s questres ou d un BP JEPS sp cialit activit s questres mention tourisme questre ou d une AQA l enseignement du tourisme questre qui exerce des fonctions d enseignement dans l tablissement Fiches Pro SPORT COMMISSION PARITAIRE NATIONALE EMPLOI FORMATION ENTREPRISES QUESTRES Certificat de qualification professionnelle Participation l encadrement des pratiquants dans Le cadre d une action d animation en quitatio
651. usqu l inter vention d une d cision de l Admi nistration 30 jours maximum compter de la r ception du dos sier complet Le dossier Le dossier de d claration d activit est d pos en un seul exemplaire au moyen du formulaire CERFA correspondant accompagn des pi ces justificatives suivantes en application de l article R 6351 5 1 une copie du justificatif d attri bution du num ro SIREN 2 le bulletin n 3 du casier judi ciaire du dirigeant pour les person nes morales ou celui du d clarant pour les personnes physiques fiches Pratiques Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles Sur Les sp cialit s de formation d finies dans le formulaire de d claration d activit personnes qui interviennent dans Le formulaire mentionne entre la r alisation de l action avec la autre mention de leurs titres et qualit s m Les arts plastiques du lien entre ces titres et qualit s m Musique arts du spectacle et la prestation r alis e confor m ment l article L 6352 1 et du lien contractuel qui les lie l orga nisme S agissant du 5 vis par l article R 6351 5 il n est pas mAutres disciplines artistiques plurivalentes m Animation culturelle sportive et de se rare que les informations deman m S curit des biens et des person d es figurent sur deux documents nes y compris hygi ne et s curit distincts auquel cas
652. ussi aux travailleurs ind pendants et aux demandeurs d emploi pour les pr parer au certificat de qualifi cation professionnelle au m tier de cordiste www formation hau teur securite fr m Un coach sportif au service de la sant Jean Luc Machet ducateur spor tif dipl m d tat avec option ka rat a choisi le r gime auto entre Les activit s de formation pro fessionnelle continue conduites par des organismes de droit priv sont assujetties la TVA Cepen dant il est possible de deman der sur option tre exon r de TVA sur les activit s de for mation professionnelle continue Cette demande fait l objet d un formulaire CERFA formulaire n 10219 qui doit tre d pos aupr s de la DIRECCTE preneur pour exercer une activit de coach sportif Il propose ses clients particuliers associations comit s d entreprises de les ac compagner en fonction de leurs be soins et intervient aupr s d enfants en primaire gr ce un CEL contrat ducatif local mis en place avec la mairie de Ch lons en Champagne Afin d optimiser son action il ta blit parfois des relations avec les professionnels de la sant D Source www educart culture gouv fr L Union L Ardennais 06 09 2010 m Music amp Entreprise En 2009 Florence Clair a cr Music amp Entreprise une entreprise sp cialis e dans la formation com merciale le management le d ve loppement personnel et l accom pag
653. utes les formes de discrimination sur le march du travail renforcer et accro tre le capital humain promouvoir les partenariats Dans le cadre de l objectif Convergence le FSE accorde son soutien particulier plus d investissement dans le capital humain avec des r formes dans les syst mes d ducation et de formation une participation accrue l du cation et la formation tout au long de la vie fiches Sectorielles 3 mLa WODINI Mesure 423 Renforcer l acc s aux finance ments europ ens des petits por teurs de projets associatifs m Pourquoi Permettre de financer en priorit des petits porteurs qui ne peuvent pas acc der directement au FSE faute d une capacit financi re permettant de faire l avance du FSE ou d une organisation admi nistrative suffisante pour g rer une aide communautaire sans un accompagnement sp cifique et durable m Quelles actions cr ation d activit s dans le domaine de l conomie sociale et solidaire positionn es sur des nouveaux gisements d emplois initiatives de nature combler les d ficits de maillage des terri toires transport communication service la personne activit s valorisant les m tiers patrimoniaux dans une perspec tive de valorisation conomique d un territoire Pour ces th matiques les pro jets retenus devront concerner en priorit des territoires ruraux isol s ou des z
654. vail 5 Source APCE Juin 2009 Le r gime fiscal du dirigeant Entreprise individuelle imp t sur le revenu dans la cat gorie correspondant l activit de l en treprise EURL imp t sur le revenu soit dans la cat gorie des b n fices industriels et commerciaux ou des b n fices non commerciaux EURL l imp t sur le revenu soit dans celle des traitements et salaires EURL l imp t sur les soci t s SARL traitements et salaires sauf si option de la soci t pour l imp t sur le revenu SA forme classique traite ments et salaires pour le pr si dent du conseil d administration sauf si option de la soci t pour l imp t sur le revenu SAS SASU traitements et salaires pour le pr sident sauf si option de la soci t pour l imp t sur le revenu SNC imp t sur le revenu dans la cat gorie des b n fices indus triels et commerciaux Association traitements et salaires si une r mun ration est vers e Le nombre d activit s La question du choix du statut est d autant plus contrainte que les activit s sont multiples et saison ni res comme c est fr quemment le cas dans les activit s vis es par le guide Dans le tableau ci apr s les situations et statuts corres pondants le plus fr quem ment rep r s au d but des ann es 2000 dans le champ du sport fiches Pratiques mo Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelle
655. vant d entamer toute d marche j avais besoin cipe des lus de la com t mis en confiance d s le d but que je me suis lanc dans le projet Il lui faudra attendre alors pr s de deux ans pour accueillir son premier client Entre temps il fera une tude de mar ch qui finira de convaincre de nombreux acteurs publics et en particulier les maires d Acy Romance et de Rethel qui le soutiennent aupr s du conseil g n ral et de la R gion au point qu il dispose l arriv e de 65 de l investissement ini tial dont il a besoin C est l obtention de son pr t bancaire qui lui prend beaucoup de temps des mois durant lesquels il se bat jusqu perdre espoir et d cider de s engager dans une cole de kin sith rapie parce que sa femme croit en lui Quand l cole aupr s de laquelle il s est pr sent l informe qu il est admis la Caisse d pargne lui donne enfin son accord L octroi du pr t se fait en octo bre et le 14 avril 2009 c est l ouverture Depuis sa salle ne d semplit pas La t nacit de Hakim a donn raison tous ceux qui l ont soutenu L entreprise pour moi c est presque une vi fort caract re je suis un leader Je savais qu un jour j entreprendrais Trajectoire SPORT es points forts m Si je n avais pas eu de notions commerciales et comptables je n aurais pas r ussi es coups de pouce mle conseil r gional de Champagne Ardennes dispo
656. vant un comit de s lection Ce syst me est original dans le sens o il per met de tester un projet dans des conditions financi res optimales avant toute inscription ou immatri culation un salaire compl men taire est allou sur deux six mois ainsi que les frais li s la phase de cr ation tude de march tude de faisabilit prospective La r sidence longue d entrepre neur accompagne galement des cr ateurs dans le champ de la culture et du sport Pour en savoir www auvergnelife tv fiches Pratiques cas Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises COMMENT FAIRE pour clairer Le cr ateur sur les r gles de La communication crite Quelques conseils utiles m Se mettre la place de son lecteur pour identifier ses int r ts et tre en capacit de pr senter le projet dans des termes qui lui parlent m viter de jargonner le vocabu laire technique c est indispensable pour communiquer dans son milieu c est bannir l ext rieur m Organiser ses id es avant de pas ser la r daction m Distinguer l essentiel de l acces soire sur le fond et dans la forme autrement dit aller droit au but m Mettre en avant les id es cl s et les objectifs prioritaires m Privil gier dans tous les cas les phrases courtes et les mots simples m Dans l
657. vec Cl ment c est presque une vidence qui le conduira accompagner le projet un an et demi avant qu il ne sorte de terre Lui se charge de tout ce qui est en rapport avec la d couverte et l ducation l envi ronnement Le parcours accro c est une prestataire Ga lle Girardot qui l assure Elle a fait sa premi re saison en 2009 au Ch ne perch en tant qu op ratrice de parcours Son entreprise elle l a mont e trois ans apr s Aujourd hui elle a fait Le choix du statut d auto entrepreneur es coups de pouce m Ardenne initiative de 7 000 pr t d honneur m Un capital social de 28 associ s dont beaucoup de ceux qui sont pr sents dans le groupe de travail 28 500 m Le D fi jeunes de 9 500 a permis de d clencher les autres subventions mLa communaut de communes des cr tes pr ardennaises et la commune de Signy l Abbaye ont investi pr s de 450 000 sur le site m Les services et les lus de la commu naut de communes suivent et appuient les dossiers de subvention m La r gion Champagne Ardennes et le conseil g n ral des Ardennes appuient les projets d investissement Trajectoire SPORT NATURE Conna tre ses limites pour mieux les surmonter es points faibles m J essaie de trouver sans succ s ce m La communication c est le nerf de jour une formation pour combler mes la guerre dans notre activit Je cherche faiblesses en gestion re
658. vera des mod les de contrats sur le site de la SACD www sacd fr et aupr s des organisations profession nelles Fiches Pro CULTURE Caa Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles CO SO Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Assurances sp cifiques Assurances du film ou de la pellicule assurances couvrant les accidents divers survenus pendant le tournage et garantie de bonne fin afin que le film se r alise conform ment au budget et au plan pr vu Les primes sont calcul es d apr s le budget d un film Pour en savoir CDIA Centre de documentation et d information de l assurance www ffsa fr D p t l gal Les uvres audiovisuelles doivent tre d pos es selon leur nature aupr s d organismes vari s la Biblioth que Nationale de France le Centre national de la cin matographie et l Institut natio nal de l audiovisuel pour l archivage Le d p t constitue une garantie de con fidentialit et un l ment de protection contre le piratage Mila protection d une uvre d Sabil audiovisuelle peut tre effec tu e aupr s de l INPI 26 bis rue de Saint P tersbourg 75008 Paris amp 01 53 04 53 04 www inpi fr a Droits de la propri t litt raire et artistique L galement c est la loi du 11 mars 1957 modifi e par la loi du 3 juillet 1985 qui r git les droits sur la propri t litt raire et artistique elle pro
659. vices services aux particuliers en 2006 janvier 2009 Actualisation sur www insee fr puis services Fiches Pro CULTURE Emploi m Au total ce sont environ 52 000 per manents et 50 000 intermittents qui sont concern s m Les entreprises de l ensemble des sec teurs sont de tr s petites entreprises En le de France 45 d entre elles ne d clarent aucun emploi permanent en 2009 uniquement des intermittents et 27 d entre elles d clarent 1 ou 2 per sonnes ayant occup un emploi perma nent sur l ann e Source Observatoire de la production audio visuelle et cin matographique en le de France Degardin Philippe Veillon Olivier Ren avril 2011 mle secteur de l animation emploie 2 500 personnes au sein d environ 40 soci t s qui r alisent un CA d environ 180 M par an avec un franc succ s l international o la France est leader europ en du genre D Source Festival d animation d Annecy Pour la premi re fois depuis 2004 les emplois intermittents sont en baisse ainsi que les emplois permanents 2 5 Localisation La fili re des industries de l image est dynamique en particulier en le de France qui concentre 90 des presta tions techniques du cin ma et de l audio visuel fran ais les Hauts de Seine pour la conception et la Seine Saint Denis pour les prestataires techniques les studios les structures de formation et de recherche ainsi que le p le de co
660. vre en Limousin 13 boulevard Victor Hugo 87000 Limoges T 05 55 77 47 49 ml gueracague crl limousin org olivier thuillas crl limousin org brice boucard crl limousin org 5 Source Lettre lectronique du minis t re de la Culture et de la Communication Octobre 2010 www culture gouv fr C est bient t La fin du d but et non Le d but de la fin Tout reste faire pour aider le cr ateur franchir la barre fatidique des trois ans Deux conseils sont primordiaux ce stade savoir valuer son activit pour faire voluer son entreprise et savoir s entourer pour garantir la qualit de son offre Le visionnaire le cr atif l entreprenant doit laisser sa place l homme orchestre M Cette fiche a t r alis e pour l essentiel sur la base d informations transmises sur le site de l APCE et dans la revue Courrier Cadre rubriques Comp tences et Recrutements xs Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles fiches Pratiques 314 Centre de remise en forme ou de fitness Centre questre et autres activit s questres Sports et loisirs de nature Parcours accrobatiques en hauteur Spectacle vivant Musiques actuelles et lieux de r p tition Production audiovisuelle 316 324 332 344 352 372 382 Fiches professionnelles Centre de remise en forme ou de fitness Code NAF2008 r v2 03132 93117 03
661. w orse org 01 56 79 35 00 m Novethic est un centre de res sources sur la responsabilit soci tale des entreprises Cr e en 2001 c est une filiale de la Caisse des d p ts qui s adresse aux investisseurs aux entreprises aux associations et aux ONG On y trouve de nombreuses r f ren ces dont un article sur le m c nat environnemental D Source www novethic fr m Enfin une mission m c nat d en treprise du minist re de l cologie de l nergie du D veloppement durable et de la Mer accompagne les porteurs de projets dans leur d marche de m c nat Des cor respondants sont pr sents sur tout le territoire national www developpement durable gouv fr Les personnes phy Svir siques artistes par exemple ne peuvent b n ficier du m c nat en r gie directe des entreprises ni du m c nat des particuliers N an moins elles peuvent recevoir des subventions de fondations d en treprises ou de fondations recon nues d utilit publique fiches Pratiques COMMENT FAIRE 1 pour v rifier si une structure est ligible 1 V rifier si le b n ficiaire potentiel est un organisme d int r t g n ral Cette condition est remplie si m L activit est non lucrative c est dire non concurrentielle Il est impor tant de noter que l assujettissement de l activit la TVA et autres imp ts commerciaux exclut du champ de l ligibilit au m c nat les structures cult
662. w uniformation fr www franceactive org Www urssaf fr www fse gouv fr www atout france fr WwW vae gouv fr Le sport les sports et loisirs de nature les activit s culturelles www profession sport loisirs fr wWww avise org www relais culture europe org www culture gouv fr wWww sports gouv fr www educart culture gouv fr www sportsdenature gouv fr www franceolympique com www tourisme gouv fr www legiculture fr www mecenat culture gouv fr Liste non exhaustive www veilleinfotourisme fr Copyright 2011 tous droits r serv s dition d l gu e Louisiane RCS Paris 518334818 T l 01 56 08 36 60 N d diteur 001 2012 ISBN 978 2 918995 10 04 D p t l gal Mars 2012 Impression sur papier certifi PEFC 10 31 1481 par BB Cr ations 175 rue Blomet 75015 Paris Toute reproduction ou repr sentation int grale ou partielle par quelque proc d que ce soit des pages publi es dans le pr sent document fait sans l autorisation de l diteur est illicite et constitue une contrefacon Seules sont autoris es d une part les reproductions strictement r serv es l usage priv du copiste et non destin es une utilisation collective et d autre part les analyses et courtes citations justifi es par le caract re scientifique ou d information de l uvre dans laquelle elles sont incorpor es frefLoi du 1 juillet 1992 Art L 122 4 et L 122 5 Co
663. xpositions destin s au grand public la fourniture des comp tences artistiques cr atives et techniques n cessaires la production de spectacles et de produits artistiques m 92 Activit s r cr atives culturelles et sportives La division 92 homog ne dans ses finalit s r cr atives culturelles et sportives cor respond des activit s diverses dans leurs manifestations leurs finan cements et leurs imbrications La fili re audiovisuelle cin ma t l vision r unit la production audio visuelle les prestations techniques connexes et la diffusion par les m dias TV salles dition vid o etc S ajoutent les activit s des agences de presse et de radio Les activit s artistiques de sc ne ou d exposition les activit s culturelles mus es monuments biblioth ques etc les activit s r cr atives spectacles divertissements jeux etc et les activit s sportives organisation d v nements ou pratique sportive participent la division 92 Les uvres r cr atives litt raires ou artistiques originales constituent des actifs incorporels produits elles peuvent donner lieu des tran sactions leur exploitation est une activit distincte de leur production B www insee fr Sports sports et loisirs de nature pratiques culturelles 5 O7 Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises o Leur volution dans le secteur associatif Si les associations proposant d
664. ychique h pital Association Les Temps M l s Docteur Michel Guyader T 016951 17 57 Festival Handistars Carentoir 56 Tous handicaps herga wanadoo fr Festival international de Defistival la diff rence Paris 75 Paris 75 Tous handicaps Tous handicaps www degryse com fr www defistival org Festival Itin raires singuliers Festiv art n Reffannes 79 Dijon 21 Handicap mental Tous handicaps site mafnet berceau www itin rairessinguliers com __ Sports sports et Loisirs de nature pratiques culturelles 01 fiches Pratiques 16 NS Guide pratique d accompagnement la cr ation d entreprises Festival l Impr vu uvrant pour le droit la diff rence et la culture pour tous Montemb uf 16 imprevumontemboeuf free fr Festival Together La Ravoire 73 Tous handicaps together2006 wanadoo fr Festival Vice et Versa Valence 26 Handicap sensoriel www festival vice versa com Handiblues le d Ol ron 17 Tous handicaps T 05 46 76 22 29 Handiclap Nantes 44 Tous handicaps 02 40 14 04 71 Handi moi oui Le Mans 72 Tous handicaps www membres lycos fr handimoioui L me de Fond Dieppe 76 Handicap mental www lamedefond net La T te Ailleurs Nancy 54 Tous handicaps Catherine Adam Pereira T 03 83 31 26 36 X Le r seau des villes d CO Loisirs Culture et Handicaps anim par Cemaforre rassemble une v

ACCOMPAGNER LA CRÉATION D`ENTREPRISE

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

ACCOMPAGNER LA CR&Eacute;ATION D`ENTREPRISE

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

ACCOMPAGNER LA CRÉATION D`ENTREPRISE