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1. Point 13 de l ordre du jour Lettre de mission quand un adjoint ou tout autre salari quand il remplace le chef de centre mode d emploi Jacques BONO explique que tout collaborateur rempla ant le chef de centre doit signer une lettre de mission r dig e par la CRH et valid e par le DRT Cette r gle vaut pour tous les remplacements sauf en p riode de cong s Salim HENOUDA remarque que si le collaborateur rempla ant le chef de centre n a pas sign de lettre de mission il peut pr senter une demande en ce sens 24 07 2013 Jacques BONO pr cise que seuls les remplacements d une dur e exc dant une semaine donnent lieu la signature d une lettre de mission Salim HENOUDA s enquiert des avantages per us par un adjoint technique rempla ant un chef de centre pendant plusieurs semaines Jacques BONO r pond que ce dernier b n ficie d une prime mission R gis SOUAILLE JACQUES FO d ment cette affirmation et pr cise qu il remplace actuellement son chef de centre sans percevoir de prime Jacques BONO r affirme que la lettre de mission et la prime ne s appliquent qu aux remplacements hors cong s Point 14 de l ordre du jour Demande de modification de la date du CE de Septembre La r union du CE est report e au mardi 24 septembre Point 15 de l ordre du jour Demande de modification de la date de la commission conomique Ce point est report la prochaine r union Point 16 de l2. assistance de SECAFT En contrepartie la Direction prendrait sa charge les heures de travail Leonardo MILONE FO engage de nouveau la Direction contacter le cabinet Secafi d s le lendemain pour d terminer exactement quels frais seront pris en charge par le CE et la Direction S agissant des r unions des 12 et 16 ao t Aix en Provence et N mes le CE accepte de prendre sa charge les frais de d placement En revanche l entreprise assumera le co t du temps de travail Leonardo MILONE pr vient la Direction que si elle persiste dans son refus le CE pourrait d clencher un nouveau droit d alerte Jacques BONO sugg re que le CE assume les d placements des membres de la commission et les frais de SECAFT dans le cadre de ses interventions au sein de la commission La Direction s acquittera quant elle des heures des membres de la commission Leonardo MILONE FO prend note de cette proposition laquelle il r pondra ult rieurement Patrick SCHUSTER attire l attention des membres du CE sur les honoraires tr s lev s du cabinet SECAFTI 24 07 2013 Point 6 de l ordre du jour Information CE sur le Process du maintien salaire 200h trimestre lonque maladie et pr voyance Julien BERTOSSI rappelle que la question des lus portait sur la prise en charge par la pr voyance du compl ment employeur d un collaborateur ne percevant pas les IGSS Il fait savoir que la Direction attend depuis deux mois une
3. aucune mesure en ce sens n avait t prise depuis la signature de la convention collective en 2004 Il attire l attention des membres du CE sur le caract re exceptionnel de cette augmentation des bas salaires qui vise r pondre aux demandes des organisations syndicales R gis SOUAILLE JACQUES FO d plore qu aucune NAO n ait t men e sur le p rim tre d Adrexo la n gociation ayant eu lieu au niveau de la branche Patrick SCHUSTER pr cise qu ayant lu le compte rendu des n gociations chez Adrexo il tait parfaitement inform de l avanc e de ces discussions La Direction a d cid de privil gier l accord sign au niveau de la branche qui b n ficie l ensemble des op rateurs concern s Par ailleurs une NAO a t sign e en 2012 sur le p rim tre d Adrexo Elle a marqu un v ritable progr s sur le plan social Certains lus ont manifestement regrett que la Direction ait t absente lors des derni res r unions d di es la NAO Mais le fait est que Marcel Andreu ne pouvait y participer tant en cong s cette p riode R gis SOUAILLE JACQUES FO s indigne de l absence de Monsieur Andreu bien caract ristique de son attitude m prisante Monsieur Andreu a d ailleurs lui m me demand le report de la r union alors m me qu il savait pertinemment qu il serait en cong s la nouvelle date arr t e R gis SOUAILLE JACQUES FO engage la Direction clarifier sa position quan
4. comprend pas qu un avenant puisse tre tabli et propos pour signature six mois apr s la date de son entr e en vigueur Point 10 de l ordre du jour Vote sur l audit des comptes de l entreprise pour l ann e 2012 Leonardo MILONE FO annonce que le vote organis ce jour est un vote de principe Le vote d finitif aura lieu lors de la prochaine r union du CE en pr sence du cabinet d audit Leonardo MILONE FO alerte la Direction sur le probl me de refacturation des heures de d l gation au CE Il souligne que ces heures doivent tre pay es sans en d falquer les cotisations Patrick SCHUSTER fait savoir qu il n est pas en mesure de r pondre cette question Jacques BONO indique que les modalit s de facturation dont fait tat Monsieur Milone sont bien celles appliqu es au niveau de la branche Leonardo MILONE FO note que d un point de vue juridique et fiscal les charges sociales ne doivent pas tre d falqu es du montant r gl au CE 24 07 2013 Patrick SCHUSTER pr cise que la Direction soumettra cette question ses experts Vote du Comit d Entreprise sur l audit des comptes de l entreprise pour l ann e 2012 12 votants oPour 12 oContre 0 oAbstentions 0 l unanimit des pr sents le Comit d Entreprise rend un vote de principe favorable sur l audit des comptes de l entreprise pour l ann e 2012 Point 11 de l ordre du jour Modificati
5. est d clench e apr s remise du r capitulatif mensuel des heures du d l gu Il rappelle que les heures de d l gation constituent du temps de travail effectif Une fois saisies ces heures s inscrivent dans la modulation en tant qu heures travaill es R gis SOUAILLE JACQUES FO s indigne que la Direction utilise les heures de d l gation pour organiser la modulation Jacques BONO explique que dans un r cent arr t la Cour d appel a condamn une entreprise pour violation du volume maximal d heures de travail en estimant que le nombre d heures de d l gation pay es tait trop important Leonardo MILONE FO observe que cet arr t de la Cour d appel pourrait tre r voqu par la Cour de cassation Jacques BONO objecte que les d cisions de la Cour d appel n en demeurent pas moins applicables Leonardo MILONE FO souligne que les membres du CE n ayant pas pris connaissance de cet arr t ils ne connaissent pas les termes pr cis du d bat Selon une jurisprudence de 1976 les heures de d l gation ne peuvent pas tre prises en compte pour requalifier un contrat de travail temps plein St phane BUGADA CFTC note que la Direction se contente de d clarer que la pratique consistant imposer aux d l gu s leurs jours de d l gation ne devrait pas exister De nombreux chos indiquent pourtant que plusieurs chefs de centre recourent cette pratique Jacques BONO explique que les heures de d l gati
6. mars 2014 sera cruciale pour la n gociation d importants contrats et la croissance du chiffre d affaires de l entreprise L objectif vis est une reconqu te des volumes de 5 pour l ann e prochaine Apr s avoir privil gi une strat gie d augmentation des marges qui n a pas suffi redresser le chiffre d affaires l entreprise a d cid de se recentrer sur les volumes Au cours des quatre derni res ann es Adrexo s est concentr sur quatre segments de march les clients centralis s sur Paris les deux cat gories de clients r f renc s et le march local Le seul segment sur lequel Adrexo a baiss ses tarifs savoir les clients r f renc s fig s lui a permis d augmenter ses volumes et d am liorer son chiffre d affaires En revanche sur tous les autres segments le groupe a subi une perte de volumes et de chiffre d affaires C est la raison pour laquelle la nouvelle strat gie d finie vise reconqu rir les volumes perdus La nouvelle politique tarifaire devrait tre communiqu e aux commerciaux d s le 19 septembre R gis SOUAILLE JACQUES FO en conclut que les prix baisseront Yves FERRAND pr cise que les prix seront simplement stabilis s R gis SOUAILLE JACQUES FO juge que les tarifs pratiqu s par Adrexo sont trop bas Yves FERRAND r affirme que l activit d Adrexo est une activit de volume Un certain seuil est donc n cessaire pour r aliser de la marge Plus le client est cen
7. que si l entreprise n est pas en mesure de fournir au distributeur une charge de travail correspondant la dur e de travail contractuelle ce dernier peut tre amen travailler sur un autre secteur ou une autre activit d faut la r mun ration du salari est assur e par le MG hauteur de 75 Si cette situation se prolonge pendant plus de quatre mois la sous modulation sera r gl e la date 24 07 2013 anniversaire du contrat de travail En tout tat de cause l entreprise est tenue de respecter la dur e de travail contractuelle du collaborateur Andr e PIRIOU FO souhaite savoir si un collaborateur ayant t en sous activit pendant deux mois se trouverait dans l obligation de r cup rer ses heures dans le cas d un surcro t de travail Jacques BONO confirme que le salari devra r cup rer ces heures avec un plafond de 33 par rapport son temps de travail contractuel Point 9 de l ordre du jour Quand un salari signe un avenant son contrat de travail en dehors de la p riode d anniversaire quelles en sont les cons quences Jacques BERTOSSI informe les lus que la signature d un avenant en cours de modulation modifie automatiquement le PIMM ainsi que la dur e contractuelle pour la p riode allant de la date de signature de l avenant la date anniversaire du contrat de travail Fabienne JUDE CFDT demande si l avenant modifie la date du contrat de travail Jacques BERTOSS
8. sujets D une part le CE doit d signer les nouveaux membres qui si geront au sein de la commission de suivi du projet Mutaxion D autre part il convient de poursuivre la r flexion sur le r le du cabinet SECAFTI Leonardo MILONE FO explique que suite la promotion de Michel Dothe la commission de suivi ne compte plus que deux membres Les lus ont donc d cid de porter quatre personnes les membres de la commission au lieu des 3 membres actuels Le CE devra donc voter sur la d signation des deux nouveaux membres de la commission En r ponse certains lus Leonardo MILONE indique que Michel Dothe n a pas t exclu de la commission mais ne peut plus en faire partie par manque de temps Salim Henouda ajoute que l augmentation du nombre de membres de la commission doit permettre de pallier les ventuelles absences et d viter la surrepr sentation de la Direction D ailleurs Michel Dothe pourra rester membre de cette commission bien qu il ne soit pas pr sent aux r unions Leonardo MILONE FO le confirme Vote du Comit d Entreprise bulletin secret sur la d signation des deux nouveaux membres de la commission de suivi du projet Mutaxion 13 votants oPascal EHLINGER 9 oSalim HENOUDA 8 oAndr e PIRIOU 5 Pascal EHLINGER et Salim HENOUDA qui recueillent respectivement 9 et 8 voix sont d sign s comme nouveaux membres de la commission de suivi du projet Mutaxion S a
9. 24 semaines travaill es dans l ann e certains collaborateurs risquent de ne pas b n ficier du ch quier en raison de l organisation de leur temps de travail Il sugg re de se baser plut t sur le nombre d absences sans solde ou de cong s injustifi s Patrick SCHUSTER souligne que les lus doivent imp rativement signer les listes d margement Leonardo MILONE FO fait valoir que malgr les six demandes successives pr sent es l ann e pr c dente par les lus la Direction ne leur a toujours pas communiqu certains documents officiels Les lus se d chargent de toute responsabilit Leonardo MILONE FO met en garde la Direction contre un ventuel contr le de l Urssaf Patrick SCHUSTER note que les listes d margement de 2011 n ont pas t sign es Leonardo MILONE FO en convient mais r affirme que tous les documents demand s par les lus ne leur ont pas encore t remis Par ailleurs il demande que les assistantes de r gion sollicitent les chefs de centre de mani re obtenir pour le 31 mars 2014 au plus tard l ensemble des feuilles de route Jacques BONO r pond qu il sera bien demand aux assistantes de r gion de solliciter toutes les listes d margement et de les num riser comme cela avait t fait en 2012 Il rappelle toutefois qu une quinzaine de centres n avaient pas renvoy les listes d margement en d pit des relances effectu es Leonardo MILONE FO juge que ces in
10. CE Adrexo R UNION ORDINAIRE DU COMIT D ENTREPRISE Mercredi 24 juillet 2013 Paris TAIENT PR SENTS POUR _LA DIRECTION Patrick SCHUSTER Jacques BONO Julien BERTOSSI Yves FERRAND TITULAIRES BOUSLIM Najib BUGADA St phane GARCIA Jean Fran ois JUDE Fabienne MARIE Michel MILONE Leonardo SAINT Martine SOUAILLE JACQUES R gis TREMBLAY Charles SUPPL ANTS BOUAMAMA Fathallah MALBETE Philippe MASSE Pierre Eric PIRIOU Andr e POGU Jean Fran ois STEIGER Christiane RS CE CONFURON Jean Pierre COQUILLET Josette EHLINGER Pascal HENOUDA Salim Excus s BRUNEAU Gilles suppl ant COMETS Jacques suppl ant DHOTE Michel RS CE GRONIER Florence titulaire JABOUYNA Annie suppl ante LEFRANC Guy titulaire MACAREZ Pascal suppl ant MALFILATRE Bernard titulaire MALTE RRE Christine titulaire MANNINI Patrick titulaire MASSEI Laurence titulaire MIRANDA Jos titulaire REVERDY Christelle titulaire TERENZANI Fabienne RS THERY V ronique titulaire 24 07 2013 La s ance est ouverte 10 heures 30 sous la Pr sidence de Monsieur SCHUSTER Leonardo MILONE FO souhaiterait que la r union de ce jour s ach ve avant 13 heures Jacques BONO prend note de cette demande xK Point 1 de l ordre du jour Approbation du PV du CE du 26 juin 2013 Leonardo MILONE FO pr cise que la Direction a re u le nouveau devis du cabinet SECAFI Lors de la r union pr paratoire les l
11. I r pond par la n gative En principe la p riode de modulation demeure identique R gis SOUAILLE JACQUES FO r fute cette affirmation La signature d un avenant modifie bien la date anniversaire du contrat Leonardo MILONE FO fait valoir que de nombreux exemples montrent que d s lors qu un avenant est sign la date anniversaire du contrat est modifi e Pascal EHLINGER FO le confirme Il croit savoir en outre que la date indiqu e dans le RUP est elle aussi modifi e Julien BERTOSSI d ment cette assertion Les dates mentionn es dans le RUP correspondent aux dates d embauche et en aucun cas aux avenants sign s Charles TREMBLAY SUD fait tat d un contre exemple cette r gle titre personnel il explique que la date inscrite dans le RUP ne correspond pas son recrutement mais la signature de l avenant Julien BERTOSSI note qu il s agit tr s certainement d une erreur informatique Andr e PIRIOU FO observe pourtant que de multiples entr es et sorties fictives de salari s sont notifi es sur le RUP qui indique de mani re erron e que le m me collaborateur serait entr et sorti plusieurs reprises Elle engage la Direction revoir le document Salim HENOUDA attire l attention des membres du CE sur le fait que certains salari s ont refus de signer un avenant leur contrat de travail ce document leur ayant t communiqu avec plusieurs mois de retard Fabienne JUDE CFDT ne
12. cidents sont regrettables Salim HENOUDA propose que les membres du CE se rendent dans ces centres aux frais de l entreprise pour effectuer eux m mes la distribution des ch quiers Leonardo MILONE FO fait valoir que les chefs de centre ne peuvent interdire un membre du CE de proc der la distribution des ch quiers Jacques BONO le confirme Il demande que ce rappel soit d ment consign dans le proc s verbal Andr e PIRIOU FO pr conise que les ch quiers des salari s ne pouvant se d placer lors de la remise leur soient envoy s par courrier Elle s enquiert par ailleurs des dispositions relatives la r troactivit des mesures en faveur de l anciennet Leonardo MILONE FO rappelle la proc dure de remise des ch ques la r ception des ch quiers le chef de centre doit les compter en pr sence d un membre lu ou d un d l gu du personnel Il doit ensuite signer un document certifiant la bonne r ception des ch quiers Jacques BONO sugg re de mentionner les modalit s pr cises de cette proc dure lors de la prochaine r union du CE Leonardo MILONE FO note que certains salari s n ayant pas b n fici du ch quier en raison d une erreur d actualisation du listing par la Direction r clament parfois leur ch quier tr s tardivement aux lus Andr e PIRIOU FO r cuse ces all gations Fabienne JUDE CFDT sugg re de reporter ce point l ordre du jour de la prochaine r union
13. cours du budget uvres Sociales s l ve 1 151 000 033 euros Il fait savoir que le CE a d cid de porter 70 euros le montant du ch quier offert aux salari s qui tait anciennement de 60 euros Par ailleurs un bonus de 10 euros suppl mentaires sera offert aux salari s pour un achat sup rieur 20 euros Fabienne JUDE CFDT demande si ces 20 euros d achat peuvent tre r gl s avec le ch quier Leonardo MILONE FO r pond affirmativement Il indique que seront b n ficiaires les collaborateurs justifiant d un an d anciennet au 30 septembre 2013 et ayant travaill au moins 24 semaines dans l ann e Jacques BONO explique que la Direction n est pas en capacit de d terminer si un salari a travaill plus de six mois dans l ann e La seule donn e figurant dans le logiciel est la date de la derni re feuille de route Andr e PIRIOU FO souhaite savoir jusqu quelle date un chef de centre peut remonter pour examiner les feuilles de route d un collaborateur Jacques BONO r pond que le chef de centre peut remonter jusqu cinq ou sept semaines en arri re R gis SOUAILLE JACQUES FO croit savoir que cette requ te peut tre effectu e sur une plus longue p riode 24 07 2013 Leonardo MILONE FO insiste sur le fait que le CE entend privil gier les salari s qui travaillent l exclusion des contrats de complaisance Salim HENOUDA fait remarquer qu en adoptant le crit re des
14. elle d un salari prot g 13 votants oPour 13 oContre 0 A l unanimit des pr sents le Comit d Entreprise rend un avis favorable sur la rupture conventionnelle du salari prot g La s ance est lev e 13 heures 30 24 07 2013
15. gissant des missions de SECAFI Leonardo MILONE FO pr cise qu il appartient la Direction de prendre contact avec le cabinet dans les plus brefs d lais de mani re tablir un cahier des charges et n gocier les honoraires Il ajoute qu une r union entre les consultants de SECAFT et la commission de suivi aura lieu le 12 ao t Aix en Provence La pr sence de la Direction cette r union pr paratoire ne sera toutefois pas n cessaire La r union suivante se tiendra le 16 ao t N mes Patrick SCHUSTER indique que la Direction ne pourra rencontrer les experts de SECAFT le 12 ao t en raison des cong s estivaux Il sera par cons quent propos au cabinet de programmer une r union de lancement partir de la semaine du 20 ao t avec Vincent Ouvrard B n dicte Naudet et Patrick Schuster Leonardo MILONE FO r p te que la pr sence de la Direction lors de la r union pr paratoire du 12 ao t n est pas n cessaire N anmoins toutes les d cisions prises cette occasion et les informations chang es seront communiqu es la Direction Patrick SCHUSTER attire l attention des lus sur les honoraires lev s du cabinet et fait valoir que les 62 930 euros HT demand s par Secafi ne comprennent pas le recours aux diff rents consultants et l accompagnement de la commission de suivi qui feront l objet de frais suppl mentaires Patrick SCHUSTER redoute que le montant total de la prestation du cabinet SECAFT ne so
16. ient de dissoudre la commission de suivi La Direction prendra sa charge les honoraires de SECAFI mais il reviendra au CE d assumer les frais relatifs au maintien de la commission et aux interventions du cabinet SECAFI au sein de cette commission Ces frais seront par cons quent imput s sur le budget de fonctionnement du CE Julien BERTOSSI pr cise que dans le cadre du droit d alerte les honoraires du cabinet SECAFTI seront bien couverts par la Direction N anmoins si le CE souhaite constituer une commission de suivi et b n ficier de l assistance suppl mentaire d un cabinet d expertise les frais de fonctionnement de ladite commission et les honoraires de SECAFT sont la charge du CE Leonardo MILONE FO quitte la s ance pour contacter le cabinet SECAFI Fabienne JUDE CFDT note qu en l absence du secr taire du CE la s ance est suspendue Leonardo MILONE FO recommande la Direction de prendre contact avec le cabinet SECAFTI d s le lendemain Il souligne que la Direction a connaissance depuis deux ou trois semaines des diff rentes versions de l offre du cabinet SECAFTI Pourtant elle n a jusqu pr sent exprim aucun avis sur cette proposition La commission ayant estim qu elle ne poss de pas toutes les comp tences techniques n cessaires pour appr cier le projet il a t d cid de faire appel un cabinet d expertise En tout tat de cause c est la Direction et non au CE qu il ap
17. it bien plus lev que le montant de base annonc Leonardo MILONE FO explique que c est la raison pour laquelle le CE exhorte l entreprise prendre contact au plus vite avec SECAFT Il souhaite savoir quelle version se r f re Monsieur Schuster Patrick SCHUSTER r pond qu une seule version en date du 15 juillet lui a t transmise En tout tat de cause il faut imp rativement d finir pr cis ment les missions du cabinet SECAFT avant toute intervention des experts sous peine de ne plus pouvoir n gocier Fabienne JUDE CFDT s tonne que la Direction n ait engag aucune n gociation avec le cabinet SECAFI alors que le recours ce cabinet d expertise est d cid depuis longtemps Julien BERTOSSI rappelle que conform ment aux dispositions relatives au droit d alerte le CE a r solu de mandater le cabinet SECAFI Il a par ailleurs t convenu avec la Direction qu une commission de suivi 24 07 2013 serait constitu e pour tudier le projet Mutaxion Lors de la derni re r union du CE les lus ont fait tat d un manque de visibilit sur l organisation et demand le recours un cabinet d expertise Leonardo MILONE FO tient pr ciser que n tant pas sp cialistes les lus ont constat que la commission de suivi n tait pas suffisante pour valuer le projet Mutaxion Julien BERTOSSI note que d s l instant o le CE a d cid de faire appel au cabinet d expertise il conv
18. it souhaitable que la Direction examine les autres conventions collectives afin d assurer le maintien de la pr voyance Andr e PIRIOU FO met galement en avant la probl matique du maintien de salaire des retrait s Enfin elle met en garde la Direction contre le risque d une action en justice du collaborateur en cas de perte des documents adress s l entreprise Leonardo MILONE FO conclut que la Direction n ayant pas t en mesure d apporter une r ponse au CE en ce qui concerne la pr voyance ce point est report la prochaine r union du CE 24 07 2013 Point 7 de l ordre du jour De quel droit la direction utilise t elle les heures de d l gation en l absence de demande du salari pour g rer la modulation Jacques BONO rappelle que les heures de d l gation ne peuvent tre saisies avant la remise par le d l gu de son r capitulatif mensuel Une fois la p riode achev e les heures de d l gation sont d compt es et saisies dans Indiana R gis SOUAILLE JACQUES FO fait remarquer que cette r gle fonctionnait jusqu ce que l entreprise d cide d inclure 100 des heures de d l gation dans la modulation ce qui revient imposer aux d l gu s leurs jours de d l gation Ces derniers se voient ainsi contraints de poser leurs heures de d l gation les lundis et mardis Cette consigne est enti rement ill gale Jacques BONO r p te que la saisie des heures de d l gation dans Indiana
19. nt suivi R gis SOUAILLE JACQUES FO remarque qu en juger par les nombreux probl mes rencontr s par les salari s ce paiement ne doit pas tre effectu syst matiquement Julien BERTOSSI maintient que d s l instant o les documents sont transmis par le salari le paiement est bien op r Leonardo MILONE FO souligne que le d lai de versement des indemnit s peut tre tr s long Fabienne JUDE CFDT rappelle que selon la convention collective l indemnit ne peut tre r clam e au del d un d lai de trois mois apr s la fin de l arr t maladie De plus les salari s ayant puis leurs droits au maintien de salaire ignorent les modalit s d indemnisation par l organisme de pr voyance Leonardo MILONE FO engage la Direction reprendre contact avec APICIL R gis SOUAILLE JACQUES FO s offusque d entendre que l organisme de pr voyance n ait apport aucune r ponse la demande pr sent e par la Direction il y a deux mois Fabienne JUDE CFDT souhaiterait qu une copie du contrat sign avec APICIL soit remise aux lus Andr e PIRIOU FO pr cise que selon le contrat de pr voyance sign par l entreprise les indemnit s de pr voyance des salari s de plus de 65 ans baissent de 8 En cas de d c s l indemnit de pr voyance peut tre diminu e de 40 La Cour de cassation a pris position pour le paiement du maintien de salaire d un salari n ayant pas d IGSS Il sera
20. on des articles 15 amp 16 du r glement int rieur du CE Leonardo MILONE FO fait savoir que les modifications apport es aux articles 15 et 16 du r glement int rieur du CE doivent permettre d viter de devoir syst matiquement proc der un vote pour valider le paiement des frais de d placement et temps de travail du secr taire et du tr sorier du CE II donne lecture du paragraphe ajout au r glement int rieur Tous les frais de d placement ainsi que le temps pass dans le cadre des t ches qui leur sont r serv es de par leurs fonctions de secr taire ou secr taire adjoint sont pris en charge sur le budget de fonctionnement et r gl s ch ance par l entreprise Leonardo MILONE FO pr cise que cette r gle vaut galement pour le tr sorier et le tr sorier adjoint Fabienne JUDE CFDT consid re que d s l instant o il est propos de modifier des articles du r glement int rieur le vote du CE est indispensable Vote du Comit d Entreprise sur la modification des articles 15 et 16 du r glement int rieur du CE 13 votants oPour 12 oContre 0 oAbstention 1 Par 12 voix pour et 1 abstention le Comit d Entreprise approuve la modification des articles 15 et 16 du r glement int rieur du CE Point 12 de l ordre du jour uvres sociales fixation du montant du ch que cadeau et fixation des conditions pour en b n ficier Leonardo MILONE FO informe les lus que l en
21. on ne doivent pas tre r mun r es travers le syst me Indiana d s l instant o le d l gu n a pas transmis son d compte d heures Il r p te que les heures de d l gation tant consid r es comme temps de travail effectif elles doivent entrer dans la modulation Il est clair que les d l gu s ont tout int r t se faire payer leurs heures de d l gation en plus de leur temps de travail Ils peuvent ensuite indiquer leurs coll gues que la d tention d un mandat permet d avoir un cr dit d heures suppl mentaires De son c t la Direction doit s efforcer de pr venir tout risque de requalification ou de surmodulation Andr e PIRIOU FO alerte la Direction sur le probl me suivant si un salari est victime d un accident du travail sur des heures de d l gation ne correspondant pas celles enregistr es elles ne sont pas consid r es comme du temps de travail par la S curit sociale Jacques BONO indique que ces situations sont examin es au cas par cas Andr e PIRIOU FO fait remarquer qu elle a pourtant eu connaissance de plusieurs probl mes de ce type Leonardo MILONE FO fait valoir qu en l absence de r ponse de la Direction ce point est report Point 8 de l ordre du jour Quand dans un centre la majorit des secteurs n a qu un seul document distribuer m me enseigne que se passe t il pour le distributeur quand on vient perdre ce client Jacques BONO explique
22. ordre du jour Point de la part de M FERRAND sur le commercial et le service avec objectif pour fin de semestre et d but 2014 Yves FERRAND informe les membres du CE que selon les pr visions pour la fin de l ann e 2013 le chiffre d affaires d Adrexo devrait tre en recul de 6 7 par rapport l ann e pr c dente Ce r sultat est nettement en dessous du budget Pour faire face ces difficult s plusieurs r organisations ont t mises en uvre Les diff rentes organisations seront chapeaut es par un Directeur commercial et un Directeur op rationnel Par ailleurs des DZ ont t d sign s pour chacune des cinq r gions qui comprendront galement 2 DR Cette r organisation vise reconqu rir les volumes perdus au cours des deux derni res ann es Le march publicitaire repr sente aujourd hui 1 5 du PIB contre 2 2 dans les ann es 2000 et 1 8 dans les ann es 1980 Apr s avoir cherch conforter ses marges Adrexo a d cid de mettre en place une strat gie commerciale centr e sur une politique de prix agressive qui d clenchera une guerre commerciale avec son concurrent Mediapost Cette strat gie commence porter ses fruits puisque Conforama a d cid de reconduire son contrat avec Adrexo En outre un contrat important a t sign avec BUT pour la distribution de son catalogue Par ailleurs le contrat avec Botanic un ancien client de Mediapost a t renouvel La p riode de septembre 2013
23. par les commerciaux au niveau local Patrick SCHUSTER fait savoir que l ensemble des clients r f renc s fig s repr sente un chiffre d affaires de 100 millions d euros contre 60 millions d euros pour les clients r f renc s dimension locale Leonardo MILONE FO souligner que certaines r gions sont parvenues augmenter le nombre de documents pris en charge et revaloriser leurs prix en proposant les services d Adrexo toutes les soci t s situ es dans leur p rim tre Yves FERRAND explique que les trois priorit s d finies sont l accroissement des parts de march le recentrement de l action commerciale sur les clients r f renc s et la professionnalisation de la d marche Enfin il indique que le nombre de visites hebdomadaires a t augment de mani re significative partir du 19 ao t il passera 12 contre 8 9 aujourd hui La p rennisation de l entreprise passe par le d veloppement du chiffre d affaires et ne pourra tre atteinte qu travers une am lioration de la productivit des commerciaux Le travail des commerciaux sur le terrain reste donc fondamental Point 17 de l ordre du jour Information et consultation CE sur le licenciement d un salari prot g Point non trait Point 18 de l ordre du jour Information et consultation CE sur la rupture conventionnelle d un salari prot g Vote du Comit d Entreprise bulletins secrets sur la rupture conventionn
24. partient de d finir les modalit s d organisation de la mission de SECAFT et le nombre de r unions n cessaires Patrick SCHUSTER objecte que la Direction ne peut supporter la fois les frais de l enqu te de SECAFT et le fonctionnement de la commission de suivi ainsi que le deuxi me recours un cabinet d expertise Leonardo MILONE FO sugg re que l entreprise prenne sa charge les heures de travail des membres de la commission tandis que le CE supportera les frais de d placement Julien BERTOSSI r p te que le CE doit assumer sur son budget de fonctionnement la commission de suivi du projet Mutaxion en sus des frais de l expertise compl mentaire Il pr cise que la mission de SECAFTI est double D une part le cabinet est sollicit dans le cadre du droit d alerte et cette intervention est prise en charge par l entreprise D autre part le cabinet offrirait une assistance la commission de suivi Cette seconde prestation ne relevant pas du droit d alerte elle reviendrait la charge du CE Julien BERTOSSI ajoute que cette double facturation appara t clairement dans la lettre de mission Fabienne JUDE CFDT fait valoir que le CE n est pas autoris payer des heures de d l gation aux membres de la commission Julien BERTOSSI r pond que cela est possible sur le plan l gal bien que compliqu Fabienne JUDE CFDT propose que le CE assume sur son budget de fonctionnement les d placements ainsi que l
25. r ponse d APICIL pour savoir si cet organisme applique la jurisprudence de la Cour de cassation Fabienne JUDE CFDT fait observer que le contrat est pourtant conclu entre Adrexo et APICIL Julien BERTOSSI r cuse cette affirmation et pr cise que la n gociation du contrat a t confi e un courtier Fabienne JUDE CFDT note qu en tous les cas le donneur d ordres est bien Adrexo Julien BERTOSSI le confirme mais fait savoir que l assureur et la pr voyance ne prennent leur charge que les dispositions conventionnelles R gis SOUAILLE JACQUES FO r fute cat goriquement la formule compl ment employeur Il pr cise qu il s agit bien d un maintien de salaire comme le pr voit la convention collective Leonardo MILONE FO illustre cette probl matique travers le cas d un salari effectuant moins de 200 heures de travail par trimestre Les indemnit s maladie de ce collaborateur ne sont pas prises en charge par la S curit sociale Or ce probl me ne se poserait pas si la Direction acceptait de signer la subrogation ou si elle mettait en place des contrats de 15 heures minimum Julien BERTOSSI explique que l entreprise prend en charge le maintien de salaire dans une limite de 90 jours sur pr sentation de l attestation certifiant que le salari ne peut percevoir les IGSS Leonardo MILONE FO doute que cette pratique soit r elle Julien BERTOSSI pr cise que c est bien le mode de fonctionneme
26. rmation et consultation du CE sur le projet de rapport galit professionnelle H F Adrexo 2012 point 4 odj juin Jacques BONO confirme la pr sence d une erreur sur le montant total mentionn dans le document Il ajoute qu aucune autre question sur ce rapport ne lui a t transmise depuis la derni re r union du CE Vote du Comit d Entreprise sur le projet de rapport galit professionnelle H F Adrexo 2012 13 votants oPour 8 oContre 0 oAbstentions 5 Par 8 voix pour et 5 abstentions le Comit d Entreprise approuve le projet de rapport galit professionnelle H F Adrexo 2012 Point 4 de l ordre du jour Information et Consultation du CE sur le projet d avenant n 11 l accord de Participation Groupe pour le d blocage exceptionnel de la participation aux b n fices Julien BERTOSSI rappelle que la loi du 29 juin 2013 pr voit la possibilit de d bloquer titre exceptionnel les sommes issues de la participation investies dans un compte courant bloqu ou transf r es sur le PE l exception du fonds solidaire Le plafond individuel global est fix 20 000 euros L exon ration des charges sociales et d imp ts sur le revenu n est possible que si les sommes d bloqu es sont utilis es pour l achat de biens dans le secteur automobile ou pour la fourniture de prestations de service Ces dispositions ne peuvent tre mises en uvre qu apr s consultation de l ensemble des CE et signa
27. t au montant de l enveloppe d di e aux avantages acquis dans le cadre de la NAO Enfin il exprime galement son m contentement quant la n cessit de faire valider la multicomp tence par le DRT au risque de discriminer les membres d organisations syndicales Toute demande de reconnaissance d une multicomp tence par un salari syndiqu se voit en effet syst matiquement rejet e Patrick SCHUSTER objecte que dans la mesure o cette reconnaissance d pend exclusivement de crit res objectifs il ne peut y avoir aucune discrimination 24 07 2013 R gis SOUAILLE JACQUES FO r affirme que le DRT ne devrait pas intervenir dans ce processus Fabienne JUDE CFDT tient pr ciser que pour la CFDT la revalorisation de 0 8 en faveur des bas salaires n est pas suffisante C est la raison pour laquelle cette organisation syndicale a refus de ratifier l accord Il convient en outre de rappeler que la NAO ne se r sume pas aux seuls avantages salariaux De plus si un accord de NAO a t sign en 2012 chez Adrexo c est parce qu aucune n gociation n avait t organis e au p rim tre de la branche Fabienne JUDE souhaite savoir si dans l hypoth se o un proc s verbal de d saccord serait sign les propositions de la Direction seraient malgr tout appliqu es Patrick SCHUSTER indique qu il n est pas en mesure aujourd hui d apporter une r ponse cette question Point 3 de l ordre du jour Info
28. tralis plus le prix moyen est bas Il manque 24 07 2013 aujourd hui un bloc et demi par poign e pour assurer la rentabilit de l entreprise Il ne s agit pas de baisser les tarifs mais de reconqu rir des volumes sur le national de mani re asseoir la rentabilit sur le d veloppement des volumes en local R gis SOUAILLE JACQUES FO d plore qu Adrexo et son unique concurrent Mediapost se livrent depuis 30 ans une guerre sur les prix et les volumes si acharn e qu ils n ont aujourd hui plus aucune marge de man uvre Ce sont bien videmment les salari s qui font les frais de cette politique Andr e PIRIOU FO fait observer que certains centres sont presque enti rement priv s de commerciaux Est il envisag de rem dier ce probl me en pla ant des technico commerciaux dans ces centres Yves FERRAND r pond par la n gative Il explique que le r seau local des commerciaux hors Paris comprend 130 commerciaux Par esprit de solidarit les commerciaux seront encourag s contribuer l activit de l ensemble des centres Dans la nouvelle organisation les responsables de centre n auront qu une dizaine de commerciaux manager Enfin la priorit d action d finie par la Direction est le r f rencement en n gociation locale Intermarch Super U Leclerc etc secteur dans lequel Adrexo d tient une part de march de 60 Leonardo MILONE FO insiste sur l importance du travail accompli
29. ture d un avenant l accord de participation groupe Une note d information individuelle sera ensuite envoy e l ensemble des salari s avant le 29 ao t Les sommes devront tre d bloqu es d ici le 31 d cembre 2013 ce jour trois CE ont valid ce d blocage exceptionnel et sign l avenant n 11 Il s agit de Concept R gicom et IPS Apr s Adrexo CIP sera consult sur ce dispositif Tous les CE sollicit s ont rendu un avis favorable l unanimit Fabienne JUDE CFDT souhaite savoir si l information individuelle aux salari s sera diffus e par courrier ou bien transmise par l interm diaire des d p ts Julien BERTOSSI l ignore Vote du Comit d Entreprise sur le projet d avenant n 11 l accord de Participation Groupe pour le d blocage exceptionnel de la participation aux b n fices 13 votants oPour 13 oContre 0 oAbstentions 0 l unanimit des pr sents le Comit d Entreprise approuve le projet d avenant n 11 l accord de Participation Groupe pour le d blocage exceptionnel de la participation aux b n fices Christiane STENGER pour les cadres et Fabienne JUDE pour les employ s sont mandat s pour signer l accord 24 07 2013 Point 5 de l ordre du jour Point Mutaxion point 5 odj juin suite la r union du 8 juillet Aix et modification de la composition de la commission Patrick SCHUSTER fait savoir que ce point regroupe deux
30. us ont estim qu il serait souhaitable de maintenir la date des 24 et 25 juillet pour le rendez vous avec les experts de mani re viter d autres d placements g n rant des co ts suppl mentaires ce jour la Direction n a toujours pas apport de r ponse au cabinet SECAFI sur ce point Patrick SCHUSTER objecte qu il ne sera pas possible de maintenir cette date de rendez vous compte tenu de l absence pour cong s de Vincent Ouvrard cette p riode Il conviendra par cons quent de reporter cette r union la rentr e Vote du Comit Entreprise sur le proc s verbal du 26 juin 2013 13 votants oPour 13 oContre 0 oAbstentions 0 l unanimit des pr sents le Comit d Entreprise approuve le proc s verbal du 26 juin 2013 Point 2 de l ordre du jour Information du CE sur la signature d un accord NAO 2013 au niveau de la branche de la Distribution Directe Patrick SCHUSTER informe les lus qu l exception de la CFDT toutes les organisations syndicales repr sent es ont sign l accord NAO 2013 Par ailleurs SUD vient de rejoindre les n gociations suite l application des r gles de repr sentativit L accord pr voit une revalorisation de 0 8 des tranches des bas salaires compter du 1 septembre 2013 En outre toutes les grilles des minima conventionnels ont t r vis es afin de conserver les carts entre les diff rents statuts Patrick SCHUSTER souligne qu
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