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Téléchargez - CoMed - Fédération Française de Spéléologie

1. L utilisation d une seule bougie chauffe plat est insuffisante pour la tortue car elle ne fournit que 25 W par bougie On peut en utiliser plusieurs mais on peut aussi am liorer son efficacit gr ce deux m thodes d crites de mani re d taill e dans l essai en changeant la m che par une m che ronde de 2mm de diam tre sa puissance passera de 25 W 65W en mettant deux m ches rondes sa puissance passera alors 108 W au prix d une dur e de vie plus courte Les bougies ont de multiples qualit s rustiques sans crainte de panne rappelez vous Casteret la grotte de Montespan l l g res et avec tr s peu de d chets remonter un pouvoir calorifique important source d clairage nombreux conditionnements permettent de chauffer des aliments et sont peu on reuses L auteur conclut de mani re pertinente en rappelant que la lutte contre le froid est obligatoirement globale le moyen de chauffage n tant qu un des l ments de la strat gie D un point de vue m dical je rajouterais qu il ne faut pas oublier le plus ancien mode de r chauffement qui est la chaleur humaine Notion fort utile en cas d incident ou de secours entourer la victime en la serrant contre soi est un moyen tr s efficace contre le froid et contre le stress Un grand merci Mme Ir ne Borowiak pour le travail pr alable qui a beaucoup facilit cette analyse Combustible ac tyl ne 50 1 483 p
2. des travailleurs sociaux et est amplement document e et prouv e 2 Quels moyens logistiques mat riels humains pour tre acteur de sa pratique en sp l ologie et canyonisme La relation ne se d cr te pas mais se construit La pr paration du projet est fondamentale connaissance des professionnels encadrants des sp l os des personnes encadr es des pathologies observ es Les moyens mat riels en dehors du handicap moteur qui n cessite du mat riel sp cifique il n y a pas de particularit l autonomie et la progression en s curit sont privil gi s Les moyens humains ils peuvent tre importants jusqu un encadrant par personne La dur e de l action sera variable ponctuelle ou longitudinale Les crit res limitant de l action ne pas extrapoler forc ment les travaux exp rimentaux la vie r elle des clubs et structures f d rales faire attention aux l ments juridiques et assurantiels et la notion de responsabilit m dicaux diagnostic traitement pathologies associ es contacts avec les sp cialistes dans la limite du n cessaire secret m dical Le certificat m dical sera une aide pr cieuse et devrait pouvoir faciliter la pratique des personnes souvent interdites de sport techniques difficult s et risques objectifs de la cavit blocage crue etc adaptation de la cavit aux personnes les situations de crise risques d accidents de d compensation m dical
3. tre des supports ducatifs et en quoi une cavit sans agr s dite horizontale serait plus facile explorer qu une autre Nous le ferons en deux groupes le premier en imaginant accompagner des handicap s physiques le second des handicap s mentaux et des personnes souffrant de d ficience ducative Chaque groupe sera invit faire part de ses conclusions et de ses interrogations Nous tenterons ensuite d clairer sous un autre angle les actions que nous souhaitons mettre en place en nous interrogeant sur leur finalit gt Que cherchons nous exactement Aider la personne handicap e acqu rir une certaine autonomie Lui faire d couvrir et explorer nos milieux de pratique Utiliser nos actions comme support ducatif Comme support th rapeutique Apr s cela nous aurons bien m rit ce qu il convient d appeler pudiquement un moment de convivialit qui est en fait un ap ritif partag avec des produits locaux que chacun appr ciera avec mod ration Le dimanche pour les l ve t t quelques vid os relatant des exp riences v cues seront projet es d s 8h30 A 9 heures nous voquerons en 3 groupes handicap physique handicap mental et d ficience ducative le besoin ou non de formations afin d tre les plus aptes possibles r pondre aux demandes des personnes en situation de handicap OQuels compl ments de formations nos brevets f d raux seraient n cessaires pour que nos cadres puissen
4. videmment j ai eu droit aux r flexions d sobligeantes des amis sur le fait que je le faisais expr s parce que j avais envie qu on me porte Ma m re a r agi en disant que ce n tait pas mon genre et qu il y avait un probl me Mesure de CO un peu moins de 1 5 personne ne s tait aper u de rien Au bout de la galerie il y avait 2 Je n aurais jamais pu arriver au bout Les gens normaux le remarquent peine mais pour moi c est irrespirable Apr s a j ai recommenc faire de la sp l o ponctuellement et ma m re a toujours v rifi le taux de gaz carbonique Maintenant que je suis adulte je continue faire attention les rares fois o je fais des sorties sp l o mais le probl me reste le m me moi je sais que mes limites sont tr s basses sous terre m me quand il n y a pas ou peu de gaz carbonique Je sais qu une sortie de deux heures durera au moins quatre fois plus de temps avec moi mais a personne ne le comprend J ai droit des c est plus tr s loin Encore un petit effort On est presque arriv s la salle aux concr tions aux peintures Etc Pour moi il n existe pas de petit effort sous terre l effort est soit immense soit insurmontable C est pour a que je continue ne faire de la sp l o qu avec ma m re parce qu elle au moins elle reste avec moi le temps que je reprenne mon souffle j ai beau expliquer tout le monde ce que j ai personn
5. La pol mique est donc repartie Comme la majorit des f d r s la FFS n est CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 3 pas tr s partante pour l instant mais si l on va dans cette voie la CoMed va malheureusement tre interpell e pour le suivi m dical des comp titions Affaire suivre de pr s car la FFESSM a perdu la d l gation pour la p che sous marine suite son refus d organiser des comp titions Nous aurons peut tre r fl chir la question et proposer des recommandations pour la pratique Ce livret peut tre largi aux activit s en milieu hostile isol Il servira de base au projet de stages d auto secours en canyon stages d j mis en place par le CAF 2 Projets m dicaux La cardiofr quencem trie est un sujet tr s int ressant II aurait pour but de caract riser l effort en sp l o et en canyon ce qui n a jamais t fait semble t il II prendrait la suite de Projets de travaux 1 Fiches secours canyon La CoMed y participe et valide le contenu de ce livret de secourisme qui est en cours depuis 18 mois l initiative des canyonistes et de l EFC Il est destin aux pratiquants qui pourront en cas d accident effectuer les premiers gestes pour s curiser la victime et attendre les secours Le support du livret est imperm able pour un usage en canyon A M nier travaille sur le sponsoring pour le financement du projet Philippe Bence travaille sur la
6. est en cours de d veloppement commercial Cet appareil permet de passer une perfusion pression constante quelles que soient les conditions m me en apesanteur et ceci sans aucun apport d nergie ni contact avec le solut Son usage peut le rendre int ressant en situations extr mes comme les secours en milieu hostile Ses dimensions sont assez importantes cependant 335 x 22 x 112 mm pour un poids de 2 kg Contact sur le site Internet http www droper be index html Sp l oth rapie Une info br ve parue sur le site Internet tr s branch http www vice com fr Il y est question d un centre de sp l oth rapie en Ukraine tabli depuis des d cennies dans une mine de sel qui traite entre 2000 et 5000personnes par an L asthme et les maladies respiratoires y seraient am lior es en raison de l impr gnation sal e qui aurait des effets fluidifiants du mucus et un r le antibact rien Rien de tr s scientifique l dedans mais cela rappelle nos souvenirs cette th rapie originale La CoMed s est pench e en son temps sur cette th rapie mais il serait s rement int ressant de reprendre le dossier CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 22 Secours au scialet des Chuats Dr me Vercors Dr France Rocourt Alors qu il regagnait la surface l issue d une exploration d une quinzaine d heures un sp l ologue est victime d une chute de pierres la cote 200m dans une verticale de 55m d
7. exp ditions annuelles Mais l analyse des r ponses sera utile G Valentin se charge de formaliser l tude 7 Exploiter l enqu te stress Cette enqu te a t un vrai succ s avec pratiquement 300 r ponses en un temps record On a donc touch un point fort et l analyse doit tre faite rapidement afin de publier dans Spelunca en 2011 Sont charg s de l tude C Costes S Lauransan R Duroc et JP Buch 8 Refonte du site internet Le week end dernier nous avons travaill en petit comit de 4 personnes R Duroc Y Kaneko C Costes et JP Buch sur le site Internet qui avait un besoin urgent de r actualisation et de transformation R Duroc nous pr sente la derni re version avec toutes les modifications faites durant le WE dernier Il y a encore pas mal de travail pour finaliser les rubriques mais on peut esp rer le mettre en ligne pour le d but 2011 avec des pages en construction si n cessaire Merci Raoul pour l norme travail effectu pour ce site sa construction et son volution L architecture g n rale des rubriques sera la suivante page d accueil avec rubriques sur une colonne gauche actions m dicales travaux m dicaux et scientifiques pr vention m dicale pr vention technique services aux f d r s travaux sur les secours ASV pr sentation bilans fiche de liaison m dicalisation principes protocoles infirmiers sp l o et canyon pour to
8. la mod lisation qui permet l accueil de ces publics On est la fronti re du tourisme et du sport En 2015 toutes les installations devront tre accessibles Oui les clubs doivent accueillir les personnes en situation de handicap car la loi les y oblige Mais peuvent ils accueillir sans mettre en p ril la vie m me de l association Faut il int grer les personnes en situation de handicap dans les f d rations valides ou avoir des f d rations sp cifiques Cette probl matique traverse actuellement les f d rations handisport et sport adapt qui oeuvrent de plus en plus pour que les personnes en situation de handicap soient int gr es dans les f d rations ordinaires Certaines f d rations font le choix de certains types de handicap ex le Judo investit pr f rentiellement sur le handicap mental Mais il ne suffit pas d adapter le mat riel et les structures il faut aussi le faire savoir Depuis mai 2007 un site internet r pond aux attentes des personnes en situation de handicaps en mati re de sport www handiguide gouvfr Ce site est d di tous les publics valides et handicap s la recherche d une structure sportive adapt e Il est compos d un annuaire national r pertoriant les structures proposant des activit s sportives pour les personnes en situation de handicaps Pratiques sp cifiques et ou int gr es handi valide 7 Activit s sur le terrain dans l Aven des Lauriers Remarqu
9. ress e est encourag e refonte compl te du site Internet r alisation de plusieurs PowerPoint m dicaux tudes et enqu tes poursuite de l tude diab te et sp l o JP Buch lancement d une enqu te sur le stress en sp l o et en canyon Publications r daction de l ditorial du Spelunca n 118 newsletter de la liste de diffusion m dicale L cho du st tho article sur Sp l ologie et diab te paru dans le Spelunca n 119 2 Comptabilit et budget pr visionnel Budget 2010 D penses 3 155 02 Recettes 2 350 96 R sultat 804 06 Budget pour 4 interventions en stage 2 remises de m dailles 2 tudes diab te 1 intervention aupr s d un club 1 r union pour le site internet la r union du CT et les frais postaux A noter que les recettes viennent uniquement des abandons de frais La CoMed repr sente elle seule la moiti des abandons de frais enregistr s la FFS Merci tous pour l effort collectif r alis Budget pr visionnel 2011 D penses 8 320 Recettes 6 700 R sultat 1 620 Budget pour 2 RCT Action cardiovasculaire action diab te action stress frais postaux 3 lections au CT Le CT comporte 12 personnes dont 2 param dicaux et 1 repr sentante du CD Il existe deux postes m dicaux vacants CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 2 F Rocourt s est port e candidate et S L
10. FFS CoMed Infos n 45 2012 page 8 Rencontres m dicales CoMed 11 13 novembre 2011 M ze H rault Docteur Jean Pierre Buch Claire Costes Pr sents CT CoMed Yves Kaneko Dr me Raoul Duroc Hautes Alpes Guy Valentin Gard Philippe Cr tal Pyr n es Atlantiques Jean Pierre Buch Gard Claire Costes H rault France Rocourt Is re Christine Durand Haute Garonne Annick M nier Dordogne repr sentant le comit directeur Pr sents non CT Thierry Coste Puy de D me Philippe Durand Haute Garonne Sophie amp Patrick Guichebaron Haute Savoie Natacha Jacquier Bouches de Rh ne Excus s Jean No l Dubois Haute Corse Fran ois Cap Charente Annie Argaud Loiret Jean Michel Ostermann Dordogne St phane Petit Bouches du Rh ne Philippe Gaubert Gard Marie Fran oise Andr Puy de D me Mathilde Fabre Is re Sandrine Lauransan Var C cile Morvant Ard che Michel Guilhem Pyr n es Orientales Jean Bariod Jura Ordre du jour bilan des actions de l ann e interventions en secours interventions en stages fiches secours livret canyon site internet Enqu te pathologie exp dition Enqu te stress Travaux CoMed en perspective th ses m moires Bilan du stage de m dicalisation de Grenoble et perspectives Collaboration avec l EFPS Assurance RCP m decins Sp l o et canyon pour tous Calendrier venir CoMed Infos articles budget et comp
11. Intervention du p le ressource Sport et Handicaps sur la prise en compte des handicaps dans les autres f d rations de sports de nature 7 Activit s sur le terrain dans l Aven des Lauriers 8 Quelles finalit s pour nos actions 9 Quels compl ments de formation nos brevets f d raux seraient n cessaires pour que nos cadres puissent adapter leur action 10 Et maintenant 12 Conclusions 2 Pr sentation Bonjour toutes et tous Merci de votre pr sence C est r confortant de constater qu autant de f d r s se mobilisent pour rechercher les moyens de rendre nos activit s accessibles Permettez moi avant de poursuivre de vous souhaiter en mon nom et en celui du Comit directeur de la F d ration qui suit avec int r t nos travaux une excellente ann e 2011 Le rendez vous de ce week end conclut une ann e consacr e au th me sp l o et canyon pour tous J esp re qu il sera aussi un point de d part pour ouvrir encore davantage nos activit s aux personnes handicap es pour peu que leur handicap soit compatible avec elles Mais de cela nous en reparlerons plus longuement durant ces deux jours Nous avons durant toute l ann e 2010 et avec le support de Spelunca sensibilis et inform l ensemble des f d r s sur respectivement Les handicaps mentaux avec l article de Marie Jos e Lacombe Carletto La sp l ologie prescrite sur ordonnance Les handicaps physiques avec l exp ri
12. accident les comp tences n ont pas de fronti res surtout qu il s agit d une unit de massif Merci tous les intervenants sp l ologues sauveteurs en montagne gendarmes ou CRS sapeurs pompiers SAMU 38 et 26 pilotes d h licopt re autorit s pr fectorales Leurs actions ont contribu faire en sorte que la victime a pu b n ficier de soins appropri s son tat Y Secours la grotte de la Diau Haute Savoie Dr France Rocourt 26 ao t 2011 Le groupe avait entrepris une travers e de 10h comportant environ 400m de rappels suivis d une progression dans une rivi re souterraine L accident a eu lieu au niveau du dernier rappel 1500m de la sortie environ 2h de progression chute de 10m dans un puits La victime est une femme de 38 ans pour laquelle on suspecte une fracture du bassin et du f mur Horaires 1 Vers 17h Accident 2 20h15 alerte Patrick Guichebaron m decin SSF 74 est inform qu un m decin Secours montagne 74 se rend aupr s du bless 3 21h appel de Patrick Guichebaron France Rocourt pour renfort ventuel et ou relais si le secours s av re long demande la mise en pr alerte d une quipe SSF SAMU38 4 21h10 quipe SSF SAMU 38 mise en pr alerte une infirmi re et un m decin SAMU 73 5 22h demande d intervention de l quipe car m decin montagne 74 pas disponible 6 L quipe SSF SAMU 38 se rend sur les lieux en compagnie des gendarmes enq
13. bec de 14 litres fonctionnant bien fournit ces 250 W Mais cette condition id ale n tant pas fr quente il semble plus r aliste de tabler sur une puissance utile de 125 W Les diff rents combustibles Apr s avoir limin les combustibles difficilement transportables ou toxiques on trouve les alcanes avec au premier rang le butane et le propane les combustibles liquides essence p trole lampant mais ces combustibles pr sentent des risques les combustibles solides paraffine acide st arique Tous ont un pouvoir calorifique lev entre 46 et 49 MJ kg les alcools m thanol thanol dont la fonction oxyg n e r duit fortement le pouvoir calorifique par rapport aux alcanes 28 34 MJ kg les produits carbon s charbon de bois ont un pouvoir calorifique du m me ordre que les alcools l ac tyl ne poss de un pouvoir calorifique tr s lev mais devant tre produit sur le lieu d utilisation avec les consid rations cit es plus haut son efficacit calorifique massique est limit e 19 MJ kg si l eau n cessaire la r action est disponible sur place Au cas o l eau devrait tre transport e par l utilisateur son efficacit massique tombe alors 12 MJ kg La performance calorifique de l ac tyl ne produit en transportant du carbure est ainsi largement inf rieure celle de tous les autres combustibles envisag s du moins dans cette stricte analyse propre
14. canyon action collective P Cretal enqu te stress JP Buch R Duroc S Lauransan finalisation de l enqu te sur les pathologies d exp dition G Valentin stage m dicalisation de Grenoble F Rocourt JP Buch P Guichebaron participation la sortie annuelle des Enfants de la lune dans le Gard JP Buch r union du CT en juin et novembre conseils pour le m moire de N Jacquier JP Buch publications un num ro sp cial trenti me anniversaire de CoMed Infos n 44 JP Buch un num ro de l Echo du st tho JP Buch deux petits articles dans Spelunca sur les LEDs P Gaubert JP Buch gestion de la liste m dic sp l o canyon JP Buch refonte du site Internet R Duroc Interventions en secours F Rocourt nous reparle du secours aux Chuats Dr me et P Guichebaron du secours la Diau Haute Savoie sans oublier quelques souvenirs de P Cretal l AN51 Pyr n es Atlantiques et de F Rocourt au Trisou is re Ces trois secours introduisent un d bat sur la m dicalisation qui a n cessit des comp tences m dicales d urgence certaines et un niveau sp l o notable Ces comp tences ne sont malheureusement pas tr s r pandues sur le territoire ce qui pose le probl me de leur gestion pour des op rations finalement tr s rares 25 secours par an dont un tiers seulement n cessitent une m dicalisation Les explorations deviennent plus engag es plus profon
15. conna t que trois ainsi qu un infirmier La population qui pourrait tre tudi e para t tr s limit e et dispers e avec des pathologies probablement trop peu CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 11 repr sentatives et une tude non d nu e de risques On peut proposer aux plongeurs la d marche suivante inventorier le nombre de plongeurs voir Co plong e leur niveau et type de pratique profondeur m langes recycleur etc contacter les m decins plongeurs connus faire l inventaire des probl matiques souhait es Notre action se situerait dans le domaine du conseil et des recommandations m dicales appliqu es la plong e sp l o Pour le stress on pourrait mettre en place une tude sp cifique en prolongement de celle que nous venons de r aliser en sp l o et canyon Assurance RCP La commission assurance s est pench e sur l assurance des IDE et des m decins Pas de probl me pour les IDE mais c est plus complexe pour les m decins F Rocourt qui a sign les protocoles infirmiers du SSF n est pas assur e dans ce cadre l et elle a mis en stand by ces protocoles Ils sont autoris s par le Code de sant publique mais n cessitent la pr sence de m decins ce qui n est pas forc ment le cas en sp l o L assurance pendant un exercice SSF est l assurance f d rale Pendant les secours r els o il y a en principe une r quisition pr fectorale c est cette r
16. de la tr mie a permis le passage du brancard Il n est pas s r que la victime ait support d tre hiss e sans brancard Les manipulations techniques difficiles se sont bien d roul es gr ce l action de sp l ologues rompus ce genre de pratique L utilisation de postes de radio afin de communiquer entre le haut et le bas des verticales auraient certainement aid la man uvre Ce bless traumatis cr nien grave eu la chance de ne pas constituer d h matome intra cr nien car dans ce cas toutes les minutes comptent L aspect mat riel m dical Le SAMU 26 a fait parvenir un compl ment de mat riel demand l oxyg ne en cas d utilisation de celui ci par un respirateur il faut pr voir un relais de bouteilles toutes les deux heures C est pour cette raison que les obus conditionn s sont les m mes que ceux que l on trouve couramment dans les ambulances SAMU et les VSAV Nous avons vit l cueil qui consiste utiliser des bouteilles plus petites ou all g es de fa on tre s r de pouvoir en b n ficier au fond du gouffre en cas de besoin Pour conclure Les sp l ologues dr mois et is rois parcourent ensembles les gouffres du Vercors depuis de nombreuses ann es Nous esp rons que l accident du 5 f vrier contribuera faire tomber les barri res administratives pr judiciables aux victimes potentielles En effet le secours sp l o demande une grande technicit et lors d un
17. deux ann es a t d accompagner sa r daction en validant les textes et illustrations La validation finale doit tre faite aujourd hui et chaque page a t tudi e soigneusement et les techniques de relevage innovantes ont t discut es Un certain nombre de modifications de d tail ont t faites Il persiste un probl me mal r solu la lisibilit des messages color s par les daltoniens ou dyschromatopsiques La couleur bleue n tant pas adapt e au graphisme voulu il est d cid d entourer les encadr s de couleur orange par un liser noir Pour les critures nous n avons pas trouv de solution satisfaisante On peut inclure ce livret dans le projet sp l o amp canyon pour tous malgr un r sultat incomplet Ces techniques de premiers secours ont d j t test es lors de deux stages Premiers secours victime en canyon organis s par P Cretal et pourront tre dispens es ensuite par des non professionnels du secours lors de stages Projet de formation Assistance Victime P Cretal expose son projet de stage d j pr sent en 2010 aux Journ es des coles Dans le cursus de la formation EFC les notions de s curit sont exclusivement trait es sous l angle de la pr vention mais jamais sous l angle de l accident et de sa gestion L EFC demande d avoir le brevet de secourisme PSC 1 l EFS partir du monitorat mais cette formation est utile dans les situations o les se
18. discussions que nous avons men es lors de la r union du Comit Technique de la CoMed nous constatons que la politique de pr vention des accidents men e depuis des d cennies par la f d ration est efficace en ce qui concerne la pr vention technique Mais elle ne peut pas emp cher un accident de survenir dans nos milieux d activit Ces milieux sp cifiques restent hostiles et tout accident pose le probl me de sa gestion en attendant les secours centr sur la victime A notre avis tout encadrant doit tre capable de g rer une situation d accident et les premiers secours qui seront n cessaires Pour cela la CoMed recommande aux diff rentes coles EFS EFC EFPS deux solutions facilement applicables un dipl me de secourisme PSC 1 qui doit tre un pr requis d s le stage d initiateur une formation minimale aux premiers secours sp cifique l activit et adapt e au niveau du stage lors de chaque stage qualifiant initiateur et moniteur La CoMed pourra fournir un r f rentiel minimum pour construire ces formations sp cifiques Nous sommes persuad s que ces recommandations seront partag es par vos diff rentes structures et nous nous tenons votre disposition pour tout renseignement compl mentaire Bien cordialement tous Enqu te stress Le d pouillement des presque 300 r ponses a t long en raison de la densit et de la richesse de ces r ponses S Lauransan a
19. es en substances toxiques et en sp cifications de combustion mais il serait imprudent d utiliser des produits inappropri s dans ces dispositifs Les bougies sont leur propre appareil de combustion Leur utilisation est de la plus grande simplicit peu de pannes sont possibles et la quantit de combustible liquide un instant donn reste faible Pour un dispositif pr sentant une flamme le risque appara t minimal Le fait de disposer une bougie dans une lanterne permet d liminer tout risque d incendie de la couverture Remarquons cependant que les textiles et mat riaux utilis s actuellement ne br lent pas mais fondent la flamme ce qui est beaucoup moins dangereux Le dispositif employ ne doit pas d gager des odeurs d sagr ables qui sont souvent la signature d une combustion incompl te Une combustion compl te ne donne normalement que du dioxyde de carbone et de l eau qui sont inodores Une combustion incompl te peut d gager du CO ainsi que des suies qui peuvent p n trer l appareil respiratoire La qualit des combustibles leur ad quation l appareil de combustion et le parfait tat de celui ci doivent tre assur s Puissance de chauffage Le meilleur moyen alternatif actuel l ac tyl ne est s rement l utilisation de bougies Les t moignages concernant des tortues effectu es dans ces nouvelles conditions apparaissent cependant discordants et il ne faut surtout pas oublier son briquet
20. l auteur L effet attendu tant le r chauffement de la personne cet indice relativis peut para tre cependant un peu d cal voire artificiel Dans le tableau ci joint l chelle des pouvoirs calorifiques sup rieurs PCS et inf rieurs PCI de chaque substance ce qui donne une vision imm diate de leur efficacit intrins que S curit d utilisation Les r chauds combustible liquide pr sentent des risques importants surtout pour les plus volatils Des maladresses et erreurs d appr ciation peuvent survenir en situation de d tresse Renverser le r chaud ou une r serve de combustible peut tre catastrophique et les r chauds pression demandent une certaine habitude Certains combustibles liquides solidifi s au moyen d un additif rendent leur utilisation moins risqu e Les r chauds butane posent peu de probl mes hormis le poids des cartouches Le butane bien plus lourd que l air CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 26 ne devrait pas pouvoir s accumuler sous la tortue en cas d extinction accidentelle de la flamme La combustion de produits carbon s solides ne semblent pas poser de probl me majeur en ext rieur mais ils sont bien sur inutilisables en sp l o du fait d un d gagement important de monoxyde carbone CO tr s toxique certains accidents tant l pour le rappeler Les divers produits p troliers essence p trole lampant Certains garantissent des teneurs limit
21. liaison Afin de rajeunir la publication qui a 30 ans il est d cid d en changer le nom CoMed Infos est choisi pour les futurs bulletins commencer par la plaquette du XXXe anniversaire qui inaugurera ce nouveau nom l ditorial expliquera ce changement Par contre la num rotation ne changera pas La plaquette anniversaire portera donc le num ro 44 et le prochain vrai bulletin le num ro 45 7 Plaquette sp ciale XXXe anniversaire La plaquette est en cours de finalisation par JP Buch CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 5 Le projet est pr sent comportant des textes r dig s par les anciens pr sidents et une partie humoristique le b tisier de la CoMed On demandera Laurence Tanguille et Annick M nier de rajouter un petit texte d accompagnement Pr sentations m dicales Les PowerPoint suivants ont t pr sent s durant la r union Pr sentation de la CoMed JP Buch qui sommes nous que faisons nous Toxicit des LEDs r sum du rapport de l ANSES par P Gaubert ophtalmologiste qui a r ussi nous rendre clair ce rapport et cette probl matique tr s complexe Merci lui du travail effectu si rapidement Asthme et sp l o avec l accord du Dr M Guilhem excus pr sentation JP Buch r sum de l tude publi e dans le Spelunca n 115 Exp rience positive de la sp l o chez des jeunes patients pr sentant un asthme grave p
22. par une tude qualitative Une enqu te par entretiens semi directifs a t r alis e de mars avril 2011 aupr s de onze m decins de l Is re et des d partements limitrophes inscrits ou ayant t inscrits sur la liste du sp l o secours Les limites de la m dicalisation des secours sp l o sont repr sent es par la raret des m decins poss dant une double comp tence sp l ologique et m dicale la difficult de maintien de ces comp tences et la disponibilit de ces m decins sp cialis s Le m decin engag en secours sp l o doit tre exp riment en m decine d urgence pr hospitali re et en sp l ologie Cependant la comp tence m dicale prime sur celle sp l ologique La raret de cette double comp tence semble corr l e au d faut de formation m dicale sp cialis e ainsi qu l exigence de ce genre d activit relativement rare Les besoins en terme de formation m dicale et ou sp l ologique sont vidents Une mise en commun des formations sous forme d un r seau m dical interd partemental est souhait e afin d homog n iser les pratiques et favoriser les changes de comp tences L h t rog n it interd partementale des moyens m dicaux suscite une demande de mise en commun du syst me de m dicalisation Les SAMU strat giquement localis s sont les structures les plus comp tentes pour assurer ce r le en collaboration avec le Secours Sp l o Fran ais Ainsi la mu
23. pour le secours en sp l ologie gt Monsieur Laurent Hyvert infirmier au CESU 38 gt Monsieur Lionel Chatain CRS Alpes brevet d tat de sp l ologie et guide de haute montagne gt Monsieur Herv Labarde PGHM de l Is re sp l ologue et guide de haute montagne gt Monsieur Mathieu Gervaise PGHM de sp l ologue et guide de haute montagne l Is re Note technique Le massif du Vercors constitue un haut lieu de la sp l ologie fran aise malheureusement il existe une fronti re d partementale administrative Nous esp rons que le secours de Thomas Dobelmann va contribuer cr er des liens forts entre les deux d partements et ainsi une synergie d intervention pourrait s organiser Concernant le d marrage du secours d s 4 heures les compagnons du bless taient convaincus d une blessure emp chant le sp l ologue de ressortir seul Une mise en pr alerte de l quipe m dicale aurait fait gagner plusieurs heures pour la prise en charge de ce bless grave En effet les secours sp l o fort heureusement sont rares et les bless s encore plus Il n y a donc pas de syst me de garde m dicale seulement une liste de m decins urgentistes actifs ou anesth siste r animateur et infirmiers sp l ologues travaillant dans les services d urgences ou anesth sistes que le SAMU contacte afin qu ils interviennent dans le cadre du SAMU 38 Des moyens de r animation lourds peuvent donc tre activ s
24. quisition de collaborateur occasionnel de l tat qui couvre Mais que risque un m decin s il a un accident lors d un secours en terme d invalidit ou de d c s Que risque t il en cas de probl me avec une victime Quels sont les garanties et le contrat Reste le probl me d avoir une r quisition crite d s le d part Y Kaneko en a fait l exp rience sur un r el o la r quisition a finalement t annul e apr s la sortie de la victime On est donc en plein flou artistique Certains m decins se sont d j retir s du secours Les assurances professionnelles d exercice lib ral ou salari ne couvrent pas ces op rations D j certains cas pineux se font jour lors d accident du m decin sur des d clenchements institutionnels Un courrier est adress au Comit directeur f d ral et aux commissions assurance et juridique pour avoir une r ponse franche sur la question de qui assure quoi En l absence de r ponse les m decins ne faisant pas parti d un corps constitu ne feront plus de secours Voici le texte Le comit technique de la commission m dicale de la FFS s inqui te de la couverture assurantielle des m decins intervenant dans le cadre des secours qu ils soient r els ou en exercice Pour les m decins intervenant dans le cadre de la fonction publique hospitali re ou des corps constitu s il semble que leur statut leur permet de b n ficier d une couverture des risques re
25. un club peut tre difficile mais l accessibilit des handicap s la sp l o l est galement La porte doit donc rester ouverte mais conditionn es par une lucidit et une responsabilit aigue de la part des encadrants qui engagent leur responsabilit Enfin l activit ne doit pas tre une consommation mais centr e sur un vrai projet ducatif au service de l autonomie et de la valorisation de soi tout en garantissant le maximum de s curit Le chantier est donc ouvert Il restera d velopper les outils adapt s la probl matique A l issue du congr s a t mis en place un groupe de travail afin de concr tiser les propositions mises lors du congr s Se sont d roul es deux r unions pr paratoires avec des partenaires institutionnels La premi re St Bauzile de Putois H rault en janvier 2011 puis M jannes le Clap Gard en mai 2011 CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 14 COMPTE RENDU DU WEEK END SPELEO ET CANYON POUR TOUS 15 et 16 janvier 2011 SAINT BAUZILLE DE PUTOIS Comment adapter notre enseignement nos techniques certaines formes de handicap de pathologie de difficult s sociales pour rendre nos disciplines accessibles au plus grand nombre 1 Sommaire 2 Pr sentation 3 Rappel des conclusions des tables rondes du congr s de Sault 4 Zoom sur le th me des rencontres 5 R flexions sur les handicaps ou de d ficiences compatibles avec nos activit s 6
26. union annuelle du CT Elle aura lieu M ze au centre sportif du Taurus le week end du 11 novembre 2011 Y Kaneko s est occup de la r servation Le week end durant 3 jours nous verrons la possibilit de sortie de terrain sp l o mais peu de choses dans le secteur imm diat randonn e visite parcs ostr icoles autres sites culturels etc Fiches secours canyon Nous ne recevons plus de nouvelles depuis plusieurs mois nous ne savons pas o en est ce projet mais il semble progresser lentement Philippe Durand co initiateur du projet avec Philippe Cretal nous rejoint en fin de journ e et nous apporte quelques pr cisions bienvenues Le probl me du dessinateur est maintenant r solu c est le p re de P Durand qui remplace le premier qui n est plus joignable Les dessins sont tr s bien et quasiment au complet La maquette de mise en page est faite par Phil Bence qui attend le reliquat des dessins pour la finaliser ce qui devrait pouvoir tre fait pour septembre 2011 l imprimeur est trouv mais le montage financier n est pas encore abouti La maquette a d j t r gl e pour 1200 en 2010 l impression co tera 7000 pour 1000 exemplaires en A6 de 32 pages sur papier plastifi Le livret sera accompagn d une fiche d alerte et d un crayon papier Le prix de vente public n est pas fix Les subventions CSR Rh ne Alpes Vieux Campeur et sponsors sont en cours Une application iPhon
27. Bonne lecture Federa 4 Commission m dicale FFS R daction Dr J P Buch 655 B Vieille route d Anduze 30140 BAGARD lt jpbuch1 sfrfr gt Relecture Dr G Valentin C Costes A Menier CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 1 Rencontres m dicales CoMed Villedieu Vaucluse 11 14 novembre 2010 Claire Costes Dr Jean Pierre Buch Relecture collective Pr sents Pour le CT CoMed BUCH Jean Pierre m decin du travail Gard COSTES Claire manipulatrice d lectroradiologie m dicale H rault DUROC Raoul m decin g n raliste Hautes Alpes KANEKO Yves m decin g n raliste Dr me VALENTIN Guy m decin g n raliste Gard PETIT St phane m decin urgentiste Bouches du Rh ne MENIER Annick repr sentante du CD de la FFS Dordogne Autres m decins participants GAUBERT Philippe ophtalmologiste Gard et sa femme LAURANSAN Sandrine m decin p dopsychiatre Var DUBOIS Jean No l m decin du travail pr sident de la ligue insulaire sp l ologique de Corse Corse et sa femme ROCOURT France m decin anesth siste m decin de secours en montagne Is re FABRE Mathilde interne de m decine g n rale Is re JULIER Ingrid m decin endocrino diab tologue Gard MORVANT C cile m decin urgentiste et m decin l giste Ard che M decins excus s DURAND Christine CT CoMed m decin biologiste Haute Garonne CRETAL Philippe m decin g n raliste Pyr n es Atlantique
28. F d ration Fran aise ACER NME ALOS SOMMAIRE Rencontres m dicales CoMed novembre 2010 Villedieu DZ R union CoMed juin 2011 Toulouse D Rencontres m dicales CoMed novembre 2011 M ze p 9 Projet f d ral Sp l o amp canyon pour tous congr s FFS de Sault mai 2010 p13 r union St Bauzille de Putois janvier 2011 PHS r union M jannes le Clap mai 2011 p19 encore un petit effort p21 Br ves de lecture p 21 Secours au scialet des Chuats p 23 Secours la grotte de la Diau p25 Utilisation d un chauffage portatif au cours des activit s de nature p 26 Facteurs limitant la m dicalisation des secours th se m dicale p 27 Br ve d actu p 28 Fran aise de Sp l ologie EDITORIAL Dr Jean Pierre Buch Ion Une nouvelle charte graphique un nouveau site Internet la CoMed et ses publications voluent dans un dynamisme r affirm Esp rons que ce num ro 45 vous donnera des informations pertinentes int ressantes et utiles la communaut m dicale sp l o Le num ro 44 ayant t r serv au trenti me anniversaire de la CoMed le pr sent num ro va rattraper le retard de diffusion des r unions du CT et divers autres sujets Il sera donc plus toff L tude sur le stress a eu un tr s beau succ s de participation Elle fera l objet d un num ro th matique le num ro 46 qui sera publi rapidement Un num ro 47 th matique lui aussi portera sur les exp ditions
29. R Duroc le stress des quipiers de la victime a t particuli rement soulign Il faut positiver leurs actions et les faire agir si possible car l inaction est tr s mal v cue par ces quipiers Si cela est impossible il vaut mieux les loigner La cellule d urgence m dico psychologique CUMP est d clench e par le SAMU en cas de besoin Le stress post traumatique est consid r au del de six semaines temps n cessaire l adaptation naturelle un traumatisme En compl ment ludique ont t projet s sp l o en Corse JN Dubois deux films vid os r union CoMed 2007 JP Buch film vid o photos anciennes de la CoMed scann es par JP Buch gr ce aux archives de G Valentin La journ e du samedi f t r serv e une sortie sp l o la grotte du Barrage ou de D camagne Gard taient pr sents Jean Pierre Guy Claire Yves et sa femme Sylvette Guy Annick Philippe Jean No l et sa femme V ronique Michel Wienin alias vetus reptator nous a servi de guide accompagn d ric et de Guilhem Nous avons pu admirer les beaux profils karstiques de cette cavit ainsi que les bauges ours et les griffades d ours sans oublier le magnifique panorama sur les gorges du gardon et le pont St Nicolas Merci M Wienin pour sa disponibilit et son rudition sans faille Conclusion et remerciements La CoMed n avait pas eu une telle affluence depuis longtemps Merci Thierry Coste
30. andisport et sport adapt avec les coles d ducateurs sp cialis s et les structures accueillantes R flexion sur le Handicap mental et but ducatif Pourquoi organiser des sorties sp l o pour ce public e Potentiel th rapeutique de la sp l o Connaissance de soi de son corps du groupe rituel de l habillage effet baudrier qui rassemble Cavit contenante offre une certaine libert Activit gratifiante pour la personne qui part l aventure R v lation des caract res les personnes changent sous terre Valeurs intrins ques du milieu Rencontre entraide solidarit et galit activit physique qui casse l isolement Part de r ve et imaginaire important Abordable avec tout type de handicap c est le choix de la grotte qu il faut adapter au public Acquisition d autonomie et d ind pendance au fur et mesure des sorties avec la m moire de l habillage des techniques e Organisation La sp l o n cessite de tr s bien conna tre la personne et son handicap d o l utilit d un accompagnement de la sortie par des soignants ducateurs de l institution Etroite collaboration ducateur moniteur Il y a souvent une grande d compression la sortie de la grotte un rel chement pr voir et pr venir Etre tr s clair sur les consignes ne pas les accumuler mais bien les s rier c est un exercice pour le moniteur lui m me Une s an
31. anisation des hi rarchies qui vont servir de r v lateur de personnalit par la confrontation avec la nature et le milieu la r ussite dans l activit la valorisation personnelle et la r cup ration de la notion de r ussite pour la replacer dans d autres contextes d apprentissage Quel int r t de pratiquer la sp l ologie ou le canyon pour un public en situation de handicap Nous r pondons en premi re analyse par la notion de plaisir de d passement et de valorisation de soi par l apprentissage de l autonomie Restent d terminer le choix de la cavit valuer les personnes en capacit apprendre g rer l institution CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 19 accompagnante et bien diff rencier la sp l ologie du canyon La pr sence d eau en canyon complique l accessibilit tous c est donc une activit plus restrictive que la sp l ologie Quels sont les objectifs de la formation envisag e La formation est destin es aux cadres f d raux sp l ologie et canyonisme et peut avoir deux formes soit des modules compl mentaires sp cialis s ajout s aux cursus classiques soit une sensibilisation plus g n rale sur le th me du handicap int gr e aux formations actuelles Le principe des modules compl mentaires est retenu a priori Ces modules compl mentaires seront int gr s aux programmes des formations f d rales et au cursus du Brevet d Etat Une volution vers un certif
32. ansfert sur l h pital Mat riel utilis duvet ceinture pelvienne scope brassard tension seul 1 NaCl 250 mL 1 NaCl 500 mL 1 cath 18G 2 tubulures 3 seringues 3 trocards 1 perfalgan 1g 1 profenid 100 mg 2 amp de Morphine 10 mg Bilan fractures non d plac es du bassin Y CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 25 A propos de l utilisation d un chauffage portatif au cours d activit s de nature Andr de ROY Groupe Sp l ologique Auvergnat Analyse Dr Jean Pierre Buch Notre coll gue sp l o auvergnat a crit un tr s int ressant essai sur la comparaison des divers moyens de chauffage utilisables en sp l ologie et plus g n ralement dans les activit s de nature Cet article tait rest en attente depuis 2008 en raison de sa longueur et d un certain niveau technique Apr s un long travail voici l analyse de ce document dont l int gralit pourra tre obtenu aupr s de l auteur l adresse suivante Andre de ROY univ bpclermont fr Le texte commence par un rappel du contexte g n ral de l activit l isolement la n cessit d une autosuffisance nerg tique des conditions pr caires de survie en cas d incident et l ment original de ce travail la notion du poids des bagages emport s On verra que ce poids sera un l ment central du document Un rappel ensuite des probl mes li s la protection contre le froid selon le type de pratiqu
33. apport aux donn es instrumentales Le diab te ne doit pas tre compliqu par une neuropathie ou une microangiopathie en particulier des coronaires et ou des membres inf rieurs qui peuvent survenir apr s 10 ans d volution du diab te Un bilan cardiovasculaire est n cessaire au pr alable sans oublier les pathologies associ es qui peuvent poser de s rieux probl mes en particulier rhumatologiques Merci au Dr Julier de s tre sp cialement d plac e pour l occasion Elle n est pas sp l o mais a particip activement aux sorties vacuation d un bless grave F Rocourt R sum d un exercice men dans le Vercors avec simulation d un bless intub monitor et sous ventilation assist e La civi re est obligatoirement en STEF Un deuxi me exercice a montr les possibilit s de faire des chographies abdominales d urgence pour d celer des panchements internes L appareil portatif est miniaturis fragile et tr s cher bien que pass de 100 000 15 000 en quelques ann es mais les urgentistes savent s en servir C est donc un appoint tr s important au diagnostic sous terre dont on sait toute la difficult C est actuellement le seul moyen d imagerie d urgence portable utilisable en abdominal et en transcr nien Mortalit cardiovasculaire JP Buch r sum de l tude faite par la CoMed en 2003 Ce sujet pousse am liorer le respect de l obligation du certific
34. araffine 18 0 Y Les facteurs limitant la m dicalisation des secours sp l ologiques et les volutions envisageables 18 0 propos d une tude qualitative Dr J r mie Faurax Th se de doctorat Grenoble 19 octobre 2011 Analyse Dr Jean Pierre Buch Cette th se tr s r cente comporte deux parties distinctes une analyse du milieu souterrain et des caract ristiques du secours dans ce milieu tr s sp cifique une enqu te aupr s d une dizaine de m decins pas tous urgentistes ayant pratiqu ce type de secours Cette deuxi me partie fait l originalit de cette th se en citant la parole de ces m decins avec leur ressenti motionnel et technique CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 27 Laissons d abord s exprimer l auteur au travers de son r sum de th se La m dicalisation des secours sp l ologiques est rare mais essentielle Le m decin engag en secours souterrain doit faire face diff rents types de difficult s environnement hostile conditions d acc s et d vacuation de la victime pathologies rencontr es Son domaine de comp tence doit tre large Les moyens m dicaux disponibles dans les diff rents sp l o secours d partementaux et les organisations du syst me de m dicalisation sont h t rog nes L objectif de l tude est de pr ciser les facteurs limitant la m dicalisation des secours sp l ologiques et les volutions envisageables
35. at m dical pour la premi re licence m me si cette r glementation est tr s imparfaite La question de la thrombolyse en milieu hostile a t soulev e D apr s les sp cialistes pr sents elle reste possible dans la mesure o l on dispose d un trac ECG papier sur place le mat riel et bien s r les comp tences qui vont avec En cas de suspicion d infarctus on peut utiliser le protocole suivant Asp gic 250 per os ou IV si possible Plavix x 4 comprim s et Lovenox 0 6 0 8 ml Exposition au radon pr sentation l ANECAT JP Buch Suite du rapport sur l exposition au radon gaz canc rog ne dans son application en milieu professionnel A propos de canc rog nicit JN Dubois nous apprend qu il y a de l amiante en Corse que l on peut retrouver dans 5 7 des cavit s Les pathologies infectieuses en canyon Y Kaneko revue des pathologies observables en canyon Canyon et sant Y Kaneko revue compl te des aspects physiologiques de l activit des types d accidents et de la pr vention Accidents en canyon 1998 Y Kaneko revue des accidents Sp l o amp m decine JP Buch revue compl te des CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 6 aspects physiologiques de l activit des types d accidents et de la pr vention Diaporama destin aux stages ASV R Duroc r sum du r le de l quipe ASV destin aux stages ASV ASV et stress
36. ateur perfectionnement Gard JP Buch stage initiateur Vaucluse Y Kaneko stage initiateur perfectionnement H rault JP Buch vie f d rale r unions du Comit Directeur FFS 3 r unions Lyon Y Kaneko JP Buch r union intercommissions Vaucluse Y Kaneko JP Buch Etats g n raux du canyon EGC et Rassemblement interf d ral RIF Pyr n es Atlantiques Y Kaneko A M nier P Cr tal travail pr paratoire du congr s de Sault participation active au congr s FFS national de Sault Vaucluse avec discours d ouverture animation d une table ronde sur les pathologies chroniques et synth se des 4 tables rondes r ponses aux sollicitations et messages des f d r s des m decins traitants et des structures f d rales SSF CD autres sollicitation pour les mineurs chiliens et pour un article para tre dans Sant Magazine Actions diverses pr sentation de pr vention pour le Clan des Tritons cr ation d une liste de diffusion m dicale sp l o et canyon m dic speleo canyon avec presque une cinquantaine de membres et dition de 4 num ros d une newsletter baptis e L cho du st tho JP Buch Cette liste peut servir de base l tablissement d une base de donn es pour les m decins int ress s par le secours F Rocourt Elle peut naturellement permettre d changer des informations entre confr res et sa diffusion toute personne int
37. au m me niveau o Importance des couleurs diff rentes de chaque partie de l quipement 1 rep re o Etre vigilant o Importance de l appropriation du mat riel De la part du sp l o o clart des consignes hi rarchiser et trier les consignes trop de consignes tue les consignes o utilisation du mime o importance de l anticipation o adaptation du choix de la cavit au groupe Situation de crise peur du noir d rapage li l inattendu probl me de verbalisation sensations physiques diff rentes exacerb es par rapport aux non handicap s Attention la dangerosit inconsciente violence tr s grande de la personne en situation de crise Importance de jouer sur les clairages pour rassurer la personne Prendre le temps curiosit patience d couverte du milieu impatience de certains li e au handicap d ficit ducatif Importance du rapport de force sous terre le milieu souterrain impose sa propre loi elle est protectrice Importance des restitutions apr s la sortie vacuation des tensions Charge affective tr s grande pour tous partage d une passion en commun gt changement personnel chez tout le monde Sortie sp l o apporte au personnes porteuses d un handicap mais valable pour tous o une volution des sensations regards qu ils se portent sur eux m mes prise de conscience de leur corps o Une estime d eux m mes valorisation o Une reconnais
38. auransan se laisse convaincre de se pr senter au CT Le r sultat du vote 6 pr sents 6 votants 6 voix pour chacune de nos candidates Merci toutes les deux bienvenue Sandrine et bon retour France qui a cr la CoMed en 1979 Retour aux sources Il y a maintenant 5 femmes sur les 12 membres du CT Une quasi parit Rappelons qu il est possible d avoir des charg s de missions pour des actions ponctuelles en dehors des membres lus 4 Poste param dical Le poste de param dical est laiss vacant pour l instant 5 Sponsoring Sujet toujours difficile Une piste avec les laboratoires Abbott pour le diab te est en cours et nous pourrions contacter le laboratoire M narini sp cialis dans le sport 6 R f rent communication Ont t d sign s JP Buch et C Costes comme suppl ante 7 R f rent canyon Ont t d sign s Y Kaneko et C Durand comme suppl ante 8 Dates des prochaines r unions Il est pr vu deux r unions CoMed en 2011 La premi re Toulouse pour l assembl e f d rale le samedi 11 juin apr s midi la deuxi me du 11 au 13 novembre Y Kaneko propose de la faire M ze H rault Pour les futures r unions vu la difficult de l organisation cette ann e il faut qu un coordinateur s occupe des possibilit s d accueil sur son secteur ce qui facilite les contacts 9 Dates du calendrier f d ral week end de m dicalisation SSF
39. avance dans ce domaine le r f rentiel actuel servira de base de la r flexion commune La CoMed soutient et valide ce projet l unanimit P Cretal et P Durand nous montrent le mat riel l ger qu ils utilisent dont l EFC va pr voir une commande group e Premiers secours Suite l exp rience acquise par P Cretal dans ces stages de premiers secours en canyon et la r alisation du livret une discussion a amen pr coniser une formation de ce type comme pr requis pour les stages de cadres initiateurs et moniteurs et une sensibilisation aux premiers secours en milieu sp cifique lors de chaque formation Tout encadrant doit tre capable de g rer un ventuel CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 10 accident il doit donc avoir une formation minimale de premiers secours dans son milieu d activit Il est donc imp ratif qu une formation soit d livr e en fonction du niveau du participant lors de chaque stage qualifiant des trois coles f d rales La CoMed se propose d apporter un r f rentiel de ces formations minimales pendant les formations Ce projet sera discut lors des journ es des coles afin de lancer une dynamique sur le sujet A noter qu un PSC 1 coute 60 euros et un recyclage 10 euros L anciennet de la formation est prendre en compte et ne doit pas exc der 5 ans Un courriel est adress au comit directeur et aux trois coles dont voici le texte Bonjour Suite aux
40. c pr sentation de la CoMed du SSF et de nombreux diaporamas num riques chographie d urgence sur le terrain Fast cho m dicalisation des secours anesth sie loco r gionale ALR traumatologie des membres fonctionnement du SSF dans le cadre du CHU dotation mat rielle etc Tous ces Power Point seront en t l chargement sur le site de la CoMed les auteurs ayant donn leur accord Nous les remercions tr s chaleureusement d avoir accept ce transfert et recommandons tous les lecteurs de bien respecter les droits d auteur de ces confr res Le dimanche f t convivial avec la travers e de la Dent de Crolles trou du Glaz grotte Annette pour la majorit L ambiance excellente qui a r gn durant ce week end a donn envie de poursuivre sur cette lanc e avec un programme plus fortement m dicalis sur le terrain Pour 2012 le week end retenu est celui du 1er mai 28 29 30 avril 1 mai avec un jour de th orie un jour sous terre et un jour en falaise Ce stage serait coupl avec le stage ASV probablement dans l Aude gouffre de Cabrespine Nouvelle technique de STEF Syst me Technique d Equilibrage Facile F Rocourt nous pr sente la nouvelle technique mise au point par le SSF pour remonter une victime en civi re horizontale tout en simplifiant le changement de position horizontale verticale en sortie de puits Comme toute technique elle ne s improvise pas et n cessite un entrainement mai
41. ce isol e de sp l o aura peu d effet c est sur l habitude et la r p tition que commence le travail th rapeutique Il n y a pas forc ment besoin de mat riel adapt le code couleur descendeur rouge poign e bleu et le rituel de l habillage permet une bonne reconnaissance du mat riel Id e d utilisation de pictogramme R flexions sur la pratique de la sp l o avec des personnes en situation de d ficience ducative et de troubles du comportement CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 18 Rappel de l importance de la marche d approche dans les repr sentations que peuvent avoir ce type de public Exemple d un cas o l accompagnateur ne retrouvait pas l entr e du trou et o les jeunes ont exprim beaucoup d agressivit en faisant ressortir leurs craintes l effort de marche peut tre difficile d un point de vue psychologique plus que physique pour ce public La notion de confiance en l autre avait t mise mal l arriv e au trou rassure en g n ral et la partie technique et mat rielle est finalement la plus rassurante Importance de la notion de projet avec les jeunes afin de d velopper l int r t th rapeutique de l activit pour ne pas tomber dans l occupationnel et la simple activit d animation Pour l instant il est fait le constat que le professionnel BE est souvent utilis comme un outil et qu il n y a pas beaucoup de rencontres et de travail effectu entre
42. cours arrivent rapidement il y a donc un vide combler dans nos pratiques Ce stage a t r alis deux reprises en mars 2011 puis en septembre 2011 sur deux jours chaque fois avec une vingtaine de stagiaires canyonistes et sp l os Programme de la premi re journ e une premi re matin e de th orie avec priorisation des gestes hypothermie et traumatologie une apr s midi avec quatre ateliers point chaud immobilisation cou r axation immobilisation de la jambe d placement avec suspicion de l sion du rachis Remise niveau de secourisme PSC 1 par un moniteur de secourisme avec PLS et RCP une table ronde sur les notions de stress du sauveteur la trousse d urgence et les notions m dico l gales Deuxi me journ e application pratique avec plusieurs sc narios Une troisi me journ e optionnelle demand e par les stagiaires permettrait une mise en situation en canyon Il faut changer le nom de ce stage qui est trop proche du terme ASV du SSF La proposition de l appeler PSV comme Premiers Secours Victime est retenue Si le stage est sp cifique les cadres seront des sp cialistes du secours Si la formation est int gr e aux stages classiques ce sont les cadres du stage qui d livreront cette formation Les cadres form s PSV deviendront formateurs leur tour Un r f rentiel l usage des cadres devra tre r dig ainsi qu un support vid o L EFC tant en
43. crit un texte sur le stress JP Buch pr sente l article tel qu il est ce jour et le diffusera une fois finalis pour avis collectif Un article pour Spelunca sera r diger avec une version condens e l article int gral sera publi dans CoMed Info Il semble que l exp dition nationale FFS 2011 de descente de canyon au N pal ait b n fici d un d briefing avant l exp dition A r cup rer des informations aupr s de C cile Morvant qui tait leur m decin Deux aphorismes cit s par P Durand ont merg de la discussion si tu as peur n y va pas si tu y vas n ai pas peur et ce qui ne te tue pas te rend plus fort A m diter Enqu te sur les pathologies en exp dition G Valentin a repris les fiches de l enqu te lanc e en 2006 Elle a eu malheureusement peu de succ s et nous pouvons la suspendre sans tats d me Il a r dig une synth se que JP Buch va finaliser pour publication dans CoMed Infos Th ses Mathilde Fabre est toujours en cours mais le sujet a chang et traitera surtout d une cardiofr quencem trie sur une remont e de puits Pas de visibilit pour l instant J r mie Faurax urgentiste grenoblois a r alis une th se originale sur les facteurs limitant la m dicalisation des secours sp l ologiques et les volutions envisageables propos d une tude qualitative Sa conclusion rejoint le questionnement sur la gestion des comp tences m dical
44. d avoir relanc l id e de ces rencontres en regrettant qu il n ait pas pu y participer Nous avons eu l immense plaisir d une r union tr s chaleureuse et conviviale avec le retour tr s appr ci de France de nouveaux venus Philippe Jean No l St phane et surtout de nouvelles venues car la f minisation de la commission devient tr s notable avec l arriv e de France Sandrine C cile et Mathilde On va faire des jaloux Nous esp rons avoir relanc une dynamique qui n en restera pas l Nous comptons sur tous et toutes pour y parvenir Merci tous de votre participation et tr s bient t au long des futurs rendez vous de la commission Un grand merci galement Ingrid pour sa participation clairante sur le diab te On en sait d sormais un peu plus sur le sujet Enfin un grand merci Mme Catherine Lehucher du laboratoire Abbott pour sa gentillesse et sa pr sence si loin de ses bases qui nous a offert un sympathique ap ritif et un lecteur de glyc mie pour chaque participant R union CoMed Iljuin 2011 Toulouse Claire Costes Jean Pierre Buch Relecture collective Pr sents JP Buch C Costes R Duroc Y Kaneko et pour une partie P Durand et A M nier Cette r union interm diaire s est d roul e dans le cadre du rassemblement annuel f d ral avec l assembl e g n rale de la FFS Il s agissait essentiellement de faire un point d tape des travaux en cours R
45. de charge de piloter ce grand projet aux cadres techniques qui ont quip les cavit s et organis ce week end et tous ceux qui oeuvrent pour faire en sorte que le volet social du d veloppement durable ne soit pas qu une coquille vide Enfin merci vous tous Je nous souhaite de riches et fructueux changes porteurs d espoir Jean Pierre HOLVOET Pr sident adjoint de la FFS 3 Rappel des conclusions des tables rondes du congr s de Sault Par Jean Pierre Buch 4 Zoom sur le th me des rencontres Apr s cette excellente synth se de Jean Pierre Buch sur les tables rondes du Congr s nous voici au pied du mur Comment faire en sorte que notre f d ration ouvre largement ses activit s au plus grand nombre Nous vous proposons de r fl chir en premier lieu sur les handicaps et d ficiences compatibles avec nos activit s Point nous a t il sembl incontournable car il est difficile d affirmer d embl e que les handicaps et d ficiences quels qu ils soient ne sont pas un frein la pratique de nos activit s Pour tayer notre r flexion nous regarderons gr ce aux interventions du P le ressources sport handicap et de la f d ration handisport comment les autres f d rations de sports de nature prennent en compte les handicaps Nous irons ensuite sur le terrain pour voquer les probl matiques d acc s aux sites de pratique et de communication Nous tenterons de mesurer en quoi la sp l ologie et le canyonisme peuvent
46. de rendre un peu plus visible notre commission souvent m connue Cet article a t reproduit dans la Feuille de liaison n 43 pour ceux qui ne re oivent pas Spelunca La leptospirose un risque en sp l ologie et canyonisme Yves Kaneko Jean Michel Ostermann Spelunca 116 2009 p 22 24 Ce deuxi me article issu de la Comed paru dans Spelunca montre un dynamisme certain de notre commission La pr sentation de la maladie est pr cise et synth tique et reste parfaitement accessible au profane Un rapide historique de cette maladie dans le milieu sp l o en particulier outre mer permet d accrocher le lecteur d embl e Son attention sera encore plus touch e avec la pr sentation d une vraie pid mie survenue dans un canyon de l Ain avec plusieurs cas simultan s dont certains tr s s v res heureusement gu ris apr s une longue hospitalisation La derni re partie de l article traite bien s r de la pr vention de cette pathologie qui peut tre grave Pr vention technique durant la progression en canyon et pr vention m dicale qui vient compl ter la pr c dente vaccin antibioprophylaxie Rappelons que cette pathologie peut toucher toutes les activit s aquatiques en rivi re kayak nage p che CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 21 Cet article a t galement reproduit dans la Feuille de liaison n 43 Malaria et chauves souris Disease in the dark molecular characterizat
47. des et lointaines Sans parler de la m diatisation CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 9 Une solution serait de faire appel aux SAMU des d partements bien structur s et quip s qui pourraient intervenir dans n importe quel endroit L exemple de la 3SI qui intervient en Haute Savoie est un bon exercice de style qui n cessite cependant un montage juridiquement parfait Les grands massifs karstiques ont des CHU et des urgentistes relativement proches Bien videmment ce type de proc dure doit tre r serv aux cas le n cessitant les autres m decins sp l os non urgentistes gardant toute leur importance dans les cas plus b nins Interventions en stages Stage perfectionnement du CDS 69 mars 2011 JP Buch Formation ASV SSF 30 mai 2011 JP Buch Formation ASV SSF 34 avril 2011 C Costes Formation ASV national octobre 2011 R Duroc Stage PSV premiers secours victime septembre 2011 P Cretal Stage PSV premiers secours victime canyon formation continue des cadres mars 2011 C Costes P Cretal Stage canyon hivernal P Cretal Stages moniteur canyon mai 2001 P Cretal Dipl me suisse de m decine de montagne m dicalisation sp l o F Rocourt M dicalisation en sp l o mai 2011 F Rocourt JP Buch Rassemblement de la 3SI F Rocourt Site internet R Duroc a fait un gros travail de programmation malgr son peu de disponibilit II nous montre l
48. du 30 avril au 1er mai 2011 Is re organis par F Rocourt assembl e g n rale f d rale Toulouse du 11 au 13 juin 2011 Pentec te journ es des commissions sur sp l o et canyon pour tous 15 16 janvier 2011 St Bauzille de Putois H rault Informations diverses 1 Liste m dicale sp l o canyon Cr e en 2010 et administr e par JP Buch elle r unit actuellement 46 personnes ce qui est un score honorable pour une liste jeune Les contacts m dicaux r f renc s la FFS au SSF et la CoMed sont de 90 mais ce chiffre est en dessous de la r alit car nombre de m decins ne sont pas d clar s comme tels dans les fichiers volontairement ou non On peut esp rer une am lioration de ce chiffre avec les ann es qui viennent Une newsletter a t mise en place dont 4 num ros ont t faits sur l ann e 2 Protocoles infirmiers Rappelons que des protocoles infirmiers ont t mis au point par le SSF en 2009 2010 avec le concours de la CoMed pour pallier le manque de m decins sp l os Ces protocoles permettent des infirmiers sp cialement habilit s lors de stages validants de mettre en place des traitements lors des secours quand le m decin ne peut pas tre pr sent rapidement Cette pratique est autoris e par le Code de Sant publique Le week end de m dicalisation initialement pr vu en octobre et annul en raison de la p nurie de carburants est reconduit po
49. e v tements nourriture chauffage Ces trois l ments sont indispensables assurer Enfin un rappel sur les conditions sp cifiques la sp l o milieu souvent froid dont la temp rature varie entre 0 C et 14 C maximum l obligatoire autosuffisance en terme d quipements que ce soit d exploration ou de survie le poids et le volume n cessairement limit s de ce qui est emmen sous terre La protection contre le froid faisait jusqu maintenant appel la tortue enveloppement du sp l o par une couverture de survie chauff e gr ce sa lampe carbure l av nement aussi subit que massif des clairages LEDs a compl tement chang la donne Si la couverture fait toujours partie de l quipement de base du sp l o quels moyens avons nous pour chauffer cette tortue Probl me d autant plus difficile qu il faut concilier poids et encombrement pouvoir calorifique s curit d utilisation et puissance de chauffage n cessit e par la situation du sp l o Un dispositif de chauffage devra en plus tre fiable et d une mise en uvre aussi simple que possible m me en conditions tr s d grad es par exemple par un sp l o fatigu Il y a d abord les moyens sans flamme Seules les chaufferettes rechargeables utilisant la r action catalytique d un combustible liquide ou solide avec l oxyg ne de l air conduisent des efficacit s massiques comparables aux combustions avec flamme Elles ne sont
50. e de malaise de d rapage psychologique etc n cessit de s aligner sur les personnes les plus fragiles les plus lentes 3 Comment adapter notre enseignement nos techniques certaines formes de handicap de pathologie de difficult s sociales pour rendre nos disciplines accessibles au plus grand nombre Il faut sensibiliser les cadres la pathologie et aux publics concern s Le sujet est vaste et complexe s agira de d terminer des r f rentiels ou plus modestement des id es forces proposer aux structures f d rales La compr hension des consignes adapt e chaque type de handicap est une difficult r elle Il faudra mutualiser les exp riences les comp tences et le mat riel sp cifique Il faudra d velopper des partenariats institutionnels mais aussi associatifs avec les associations d handicap s ou de malades 4 Sous formes de conclusion Le projet sp l o et canyon pour tous au quotidien l chelle d un club d un comit est il envisageable avec ce type de public La faisabilit et l int r t de ces travaux paraissent amplement confirm s mais on ne doit pas occulter les difficult s d une telle aventure Cela n cessite un projet pr par tr s en amont parfaitement structur d autant que les intervenants sont multiples et de cultures diff rentes C est un volontariat clair Il faut une tra abilit du projet voire une convention crite L accueil par
51. e budget 2011 budget de fonctionnement 11 Conclusions 2 orientations l insertion des PSH dans les clubs Le travail avec les institutions N oublions pas la communication externe car c est une valeur ajout e pour la FFS que la prise en compte des PSH On a un peu oubli la dimension assurances par rapport aux risques li s emmener des PSH sous terre Une information plus compl te par la commission assurance semble indispensable Voir ce qui se fait dans les r gions et recenser les actions Disposer dans chaque r gion de personnes ressources On peut sugg rer aux r gions de prendre en charge cette th matique Quelques adresses utiles www handiguide gouv fr H l ne Bourguignon est charg e au p le ressources des relations avec les f d rations helene bourguignon creps centre com Voir article dans m decins du sport N 67 de sept Oct 2004 sur la classification des diff rents handicaps Y Compte rendu de la r union du groupe de travail Sp l o amp canyon pour tous M jannes le Clap 28 et 29 mai 2011 Ordre du jour mise en place d une formation compl mentaire sur le handicap ses raisons et ses objectifs d finition du contenu g n raliste ou modulaire selon le type de handicap mental physique sensoriel formation optionnelle ouverte aux volontaires brevets f d raux et BE ou formation int gr e au cursus normal des cadres sensibilisation Le terrain est vierge po
52. e ces exp riences aller plus loin dans la recherche et la conception de mat riel adapt gt Saisir le groupe d tudes techniques de la FFS pour cogiter l dessus gt Vincent nous invite repenser la question du handicap sensoriel qui n cessite de faire davantage appel la p dagogie donner les bonnes consignes tre clair concis Selon les techniques mises en uvre on mobilise plus ou moins de personnes gt Organiser des sorties dans des cavit s am nag es donc d j accessibles au plus grand nombre dans le cas d une initiation au milieu souterrain notamment pour le handicap moteur Partenariat avec l ANECAT mettre en place Sorties avec des personnes en situation de handicap Publics Veiller l homog n it des handicaps S informer au pr alable aupr s du public des m decins et des accompagnateurs conna tre les contraintes pathologies li es aux handicaps notamment maladies chroniques S assurer que le nombre de personnes encadrants et encadr s soit compatible avec la cavit explorer et adapt au temps pr visionnel passer sous terre ou en canyon Choix des sites Etablir un listing des cavit s et canyons d j utilis s ou quip s pour ces publics Par rapport l acc s aux entr es v rifier l accessibilit lagage pierres enlever etc V rifier que la zone d quipement individuel soit abrit e des intemp ries V rifier galement que l acc s des secours s
53. e comp tition dans ce milieu naturel si fragile Les techniques modernes de progression ont rendu les explorateurs plus autonomes Ils doivent donc tre la hauteur des efforts n cessaires La r ponse est donc oui c est un sportif Mais ne doit il tre que a Ne manque t il pas un suppl ment d me un suppl ment de sens Ne peut on pas imaginer une caract ristique plus f d ratrice Et si le sp l o canyoniste tait tout simplement un homme ou une femme dont l ambition serait de tisser du lien avec les autres humains Cette id e trouve son sens premier aujourd hui o nous nous interrogeons pour accueillir des personnes dont la vie n est pas un long fleuve tranquille Le sport est une activit b n fique pour la sant comme de nombreuses tudes ont pu le d montrer Quelques chiffres permettront de situer les enjeux en France CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 13 28 millions de personnes suivent un traitement long terme 15 millions de personnes ont une maladie chronique et 9 millions de personnes sont pris en charge 100 et seulement 25 des personnes ont une activit physique suffisante Inutile d aller plus loin dans la d monstration sinon de citer les domaines o le sport et l activit physique sont indispensables la sant la pr vention des maladies cardiovasculaires des maladies m taboliques des maladies psychiques et m me de certains cancers Je terminerai
54. e de m dicalisation le discours d ouverture de Sault et le handicap quelques notes de lecture les comptes rendus de th ses et divers autres selon possibilit Pour Spelunca l tude sur le stress avec une r daction sp cifique sp l ologie et risque m dical au Laos JM Ostermann Budget pr visionnel Recettes 5 680 D penses 7 520 D ficit 1 840 D tails D penses Recettes correspondance 20 r union CT 2000 1000 stage ASV 300 300 stage m dicalisation 700 500 cardiofr quencem trie 4000 3500 diab te 300 200 travail efps 100 80 Lsp l o canyon pour tous 100 100 T Coste voque une ancienne subvention sp ciale pour la CoMed allou e par le minist re dont on ne sait pas si elle existe encore Renseignement prendre aupr s d E Alexis notre DTN lections 2012 Suite la d mission de JM Ostermann P Guichebaron est coopt pour boucler l olympiade qui se termine en juin 2012 l AG de Nancy Le CT sera d missionnaire en totalit lors de sa r union de novembre 2012 Se repr senteront priori JP Buch Y Kaneko G Valentin R Duroc et C Costes La place vacante pour un deuxi me param dical est toujours en stand by Il faudrait lancer les contacts pour le prochain CT S l o et canyon pour tous Suite au projet f d ral lanc en 2010 au congr s de Sault Vaucluse le travail sur
55. e le nombre de personnes n cessaires l accompagnement de personnes en situation de handicap dans des activit s sp l ologiques et de canyonisme 3 personnes pour 1 1 pour 1 et la possibilit de trouver suffisamment d accompagnateurs pour permettre une pratique r guli re et aller vers une autonomisation des personnes face l activit Il est propos de nouer un partenariat avec les f d rations handisport et sport adapt pour mettre en place la formation des encadrants de cr er une commission ou une structure au sein de la f d ration qui prendrait en charge les sollicitations du public en orientant les demandes et qui donnerait des informations conseils orientations aux clubs exemple du SBE Mettre en place des outils pour les CDS et travailler avec l EFS pour une plus grande sensibilisation au niveau des stages de perfectionnement et d initiateur de cr er une autre f d ration sp cialis e sachant qu il existe deux f d rations relatives au sport et handicap la F F Handisport et la F F Sport Adapt Ou bien tablir des conventions avec elles d inciter la publication d exp riences et sensibiliser les clubs Remarques pour le cas d une d marche th rapeutique ou ducative On peut aborder la pratique en grands groupes donc avec une faible recherche d autonomisation de l individu ou alors avec une approche plus sp cifique et individualis e et donc un plus grand
56. e ne veut jamais croire que je sois handicap e ce point l avec des conditions id ales sous terre et un sol plat je fais en moyenne une pause tous les dix vingt m tres en marchant doucement alors que dehors je semble tout fait normale Quand je dis stop je dois m arr ter et c est tout Pas de n gociation possible II n y a qu cette condition l que je pourrai continuer appr cier la sp l o autrement que par la fiction et l exp rience des autres Claire Le Falher Obstancias Nous avons re u ce texte la CoMed Il nous a beaucoup touch et nous remercions son auteur qui nous a permis de le publier Nous esp rons qu il pourra servir tous aux porteurs d une pathologie pour tre certains qu il y a de la vie malgr le handicap et aux encadrants et soignants afin qu ils ne voient pas toujours la vie du haut de leur pi destal BREVES DE LECTURE La Commission m dicale de la F d ration fran aise de sp l ologie 30 ans d j Qui sommes nous Que faisons nous Claire Costes Spelunca 116 2009 p 55 Cet article paru dans les pages bruits de fond Vie f d rale de notre revue nationale dresse un portrait de la CoMed depuis sa cr ation Historique fonctionnement missions travaux r alis s et travaux en cours sans oublier un peu de publicit pour notre site Internet et un appel aux bonnes volont s Le panorama est complet et didactique Merci Claire Costes
57. e retour d exp rience Le projet f d ral int gre une vision largie de l activit Il serait int ressant de comparer le comportement en sp l ologie et en canyonisme pour le m me groupe m me si l encadrement est diff rent Combien de stagiaires peut on envisager A priori le stage sera gratuit au moins pour le premier et orient plut t vers les cadres f d raux plut t que les BE ou DE Le nombre de participants ne doit pas d passer 15 personnes pour pouvoir changer et g rer le public support id alement entre 9 et 12 maximum pour permettre des changes int ressants Il faudra envisager l aspect l gal certificat m dical autorisation des parents la CNIL si le stage peut tre consid r comme une exp rience Cf exp rience sur l asthme CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 20 et envisager les possibilit s de recours et de gestion de crise si l activit perturbe un individu bien que l institution g rera a priori son public Un probl me risque de se poser avec les institutions comme les h pitaux psychiatriques de jour pour la disponibilit en week end quoiqu int gr au projet long terme de l tablissement mais pas avec le handicap sensoriel ou les ITEP Encore un petit effort Pendant longtemps j ai cru que je n aimais pas la sp l o Je suis n e avec une cardiopathie cong nitale cyanog ne complexe un ventricule unique inop rable Je vis tout fait normale
58. e serait un bon projet compl mentaire Au passage P Durand nous informe qu un stage ASV canyon est organis par P Cretal le premier week end de septembre Assurance RCP des m decins lors des secours Les infirmiers protocol s sont d sormais pris en charge par l assurance f d rale AXA Pour les m decins c est plus compliqu chacun ayant un statut diff rent Le contrat f d ral serait un contrat de groupe non nominatif mais dont le co t serait assez important La possession de la CAMU semble indispensable pour le Sou M dical mais la situation n est pas tr s claire Le r gime de la r quisition du plan de secours sp l o ou du statut de m decin pompier semblent pr valoir sur la RCP r quisition qui est en principe syst matique en cas de m dicalisation m me si elle n est pas imm diate un doute persiste parfois sur la r alit de cette r quisition Et le probl me des comp tences dipl mantes reste pos malgr tout Les solutions possibles ne plus faire de secours ne pas faire d actes dont on n a pas les comp tences CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 7 reconnues enfin le r le du m decin de surface en lien avec le CTD peut prendre dans ce cas toute l importance qu on lui pr te sans toujours lui donner de la consistance Au niveau f d ral il conviendrait de faire une enqu te sur les comp tences d urgentistes des m decins susceptibles d tre app
59. el s commencer par les m decins list s dans les SSF Stage m dicalisation des secours Organis par F Rocourt les 30 avril et 1er mai 2011 Grenoble il a r uni beaucoup de personnes m decins et IDE Un compte rendu sera r dig par France les pr sentations m dicales seront mises sur le site de la CoMed Il y a t question du lot de mat riel de la logistique des secours de l anesth sie locor gionale de l chographie sous terre Fast cho de la conduite tenir devant les traumatismes des membres Une pr sentation du SSF et de la Comed a compl t le programme Le deuxi me jour a t consacr une sortie sp l o conviviale et tr s sympathique avec une travers e de la Dent de Crolles Trou du Glaz grotte Annette tr s appr ci e F Rocourt pr voit un stage identique en 2012 peut tre dans le sud minervois avec cette fois une mise en pratique de techniques m dicales sous terre Certains accidents r cents nous interpellent sur les circonstances de leur survenue Des sp l os rest s seuls en arri re pour d s quipement ou progression plus lente se sont trouv s accident s ou gar s leurs coll gues n ayant d couvert leur absence que beaucoup plus tard ce qui aurait pu tre lourd de cons quences Il nous semble indispensable de communiquer sur l absolue n cessit pour tout groupe de garder syst matiquement un contact visuel ou au moins auditif avec un sp l o rest
60. eminement dans des galeries pendant environ 20 minutes Arriv e dans un point chaud la base du P73 o l attente dure plusieurs heures car la suite de la cavit n est pas pr te pour l vacuation Plus de personnel comp tent aurait permis de gagner du temps P 73m mise en uvre de la technique du balancier le m decin assistant le bless durant la remont e de cette verticale Man uvre de corde mise en uvre par excellents techniciens Passage de la tr mie dans le brancard gr ce aux travaux de d largissement entrepris durant la journ e et la pr sence de sp l ologues tag s afin de faciliter la remont e du brancard Remont e sans probl me d une pente d boulis 20h50 le bless est extrait de la cavit P15m quip par un treuil corde GRIMP 26 21h15 le bless est h liport vers le CHU de Grenoble L quipe m dicale Il s agit d une quipe SAMU 38 qui travaille depuis de nombreuses ann es avec le Sp l o Secours Is re Cette quipe a t activ e par le Docteur Jean Godart m decin r gulateur au SAMU 38 au moment de l alerte La suite de l op ration a t r gul e au SAMU 38 par le Docteur J Godart puis par le Docteur R Briot Constitution de cette quipe gt Docteur France Rocourt m decin anesth siste r animateur m decin r f rent du Sp l o Secours Fran ais brevet d tat de sp l ologie conseiller technique adjoint de Monsieur le Pr fet de l Is re
61. en arri re Travaux Comed Il y a deux projets en cours L enqu te sur le stress en sp l o et canyon nous avons re u 298 fiches renseign es ce qui est un r sultat tr s int ressant La partie chiffr e a t d pouill e il reste lire et classer les r ponses libres ce qui sera un gros travail La publication qui suivra CoMed Infos et Spelunca comportera en plus des r sultats de l enqu te un volet conceptuel sur le stress qui pourrait tre confi S Lauransan Les deux supports n auront bien s r pas la m me r daction Une tude plus cibl e pourra tre mise en place en fonction des r sultats si une probl matique plus sp cifique vient merger JP Hoelvoet nous a pass un m moire d instructeur sur le stress en sp l o et canon r dig en 1996 par Norbert Aumasson T Coste pr sident de la CoMed cette poque avait d ailleurs fait part de commentaires apr s sa parution L tude sur le co t cardiaque de l activit le projet de th se de Mathilde a t revu suite la position quelque peu rigide de son directeur de th se qui n y voyait pas assez de sciences Son quipe semble s orienter sur une cardiofr quencem trie faite dans une verticale unique Cette tude serait un bon appoint au projet Comed beaucoup plus large JP Buch a fait une demande le 2 mai dernier de subventionnement au laboratoire M narini pour l achat de 10 cardiofr quencem tres du
62. en op ration de secours La commission assurance demande ce que les m decins et IDE aient une ROP titre individuel et propose que l assurance f d rale les couvre Affaire en cours de traitement 6 Assurance assistance Assurance assistance et rapatriement selon les cartes bleues le rapatriement est pris en compte ou non ce qui n est pas le cas avec la Visa Premier par exemple A v rifier si la sp l o n est pas exclue du rapatriement pour ceux qui partent en exp dition 7 Journ es d tude des coles Les Journ es d tude des coles suite au congr s de Sault doivent travailler sur l outillage des structures f d rales face une demande des publics particuliers handicap moteur mental d ficit social pathologies chroniques Cette action est report e au 15 et 16 janvier 2011 8 Volontariat du Clan des Tritons Ce club lyonnais nous a sollicit l ann e derni re pour leur faire une intervention sur la pr vention JP Buch leur a fait la pr sentation du diaporama m decine et sp l o Le club a t tr s int ress et se propose pour tre volontaire pour des projets d tudes Cette proposition nous fait tr s plaisir et nous ferons appel eux dans le cadre des tudes venir Un grand merci eux tous 9 Comp titions sp l o et commission m dicale La f d ration espagnole doit se mettre en rapport avec la FFS pour l organisation de ces comp titions
63. ence de Handicap Aventure relat e par son pr sident Christian Stark La compatibilit de certaines maladies avec la pratique de la sp l ologie et du canyonisme avec un article tr s int ressant de Jean Pierre Buch et d Ingrid Julier sur le diab te et la sp l ologie et les handicaps sociaux avec l article de Thierry Colombo sur la sp l ologie et le canyonisme comme activit s de rem diation sociale ducative et th rapeutique Il serait dommage d en rester l c est pourquoi j invite chacun d entre nous publier les exp riences qu il vit ou vivra avec ces publics pour continuer informer mobiliser et sensibiliser l ensemble des pratiquants M me si nous le pressentions nous avons constat que de tr s nombreuses exp riences avec des publics particuliers se pratiquent dans nos clubs et nos CDS Notre rencontre d aujourd hui doit nous permettre partir de vos exp riences et de vos envies de r fl chir aux moyens mettre en place pour que nos activit s soient vraiment accessibles au plus grand nombre Lorsque nous am liorons l accessibilit pour les personnes handicap es c est toute la communaut qui en b n ficie Pour terminer cette courte introduction je voudrais remercier chaleureusement nos partenaires du P le ressources sport handicap de leur pr sence et de leurs conseils Merci galement la base de Saint Bauzille qui nous accueille Serge Fulcrand qui a eu la lour
64. es Quand il n y a pas de rampe se pose la question des boulis pour les personnes mobilit r duite Comment descendre un boulis avec des b quilles Les Non voyant suivre la paroi mais l boulis est bomb pas simple Importance de l encadrement 1 pour 1 le non voyant suit le Voyant une main sur l paule et per oit ainsi tous les mouvements du corps du voyant dans ses d placements mont e descente Pour les enfants possibilit de les longer l adulte quand les consignes des adultes ne font pas cadre Pour ceux qui ont tendance courir partout voir ce qui peut faire contenant Les malentendants n cessit de leur parler en face lecture sur les l vres Attention ne pas les blouir avec les lumi res R flexions premi res La grotte troite permet une meilleure autonomie et les personnes souffrant d un handicap visuel peuvent avoir la sensation de volume Importance des chos bruits pour se rendre compte des volumes quand la paroi ne peut tre touch e Les concr tions sont un plus dans le choix de la cavit projections imaginaires voire fantasmatiques Grande curiosit chez certains enfants et temps moins long notamment dans le cas d enfants porteurs de handicaps mentaux contrairement d autres pour qui il faut une activit plus physique pour les canaliser et g rer les impatiences Plaisir de se salir probl mes de comportement Reche
65. es volutions du site qui commence tre bien structur et nous rappelle le fonctionnement de la partie r serv e au CT qui sert mettre les documents sur le site et g rer l annuaire Il reste encore beaucoup de travail finaliser les rubriques et leur contenu faire les textes de pr sentations de certaines rubriques et changer le logo Divers documents historiques comme les anciens comptes rendus des r unions sont scanner pour tre mis en ligne Merci au passage F Rocourt d avoir explor ses archives personnelles Livret canyon de premiers secours Ce projet initi d but 2009 par P Durand et P Cr tal approche de son terme apr s de multiples p rip ties que nous r sument les auteurs C est le sujet de m moire d instructeur canyon de P Durand Trois devis ont t r alis s celui de Toulouse restant le moins cher Le budget a finalement t pris par la FFS en tant que projet f d ral les partenaires financiers lui reversant directement leur participation Le budget sera pris sur 2012 Pr sentation du livret ainsi de la fiche d alerte et de suivi qui l accompagne Le livret est robuste le papier est tanche et permet d crire dessus Il est destin tous les publics garder sur soi et sera vendu en magasin Vieux Campeur en particulier qui est partenaire financier C est un vrai outil p dagogique utilisable par des non professionnels du secours Le travail de la CoMed durant ces
66. es territoriales abord es pr c demment Natacha Jacquier urgentiste arl sienne pr sente notre r union a soutenu un m moire sur le soutien sanitaire des secouristes en milieu souterrain DIU pour son int gration au GRIMP 30 Sp l o amp canyon pour tous Ce projet f d ral initi apr s le congr s de Sault est arriv au terme de la r flexion Apr s deux week end de travail collectif St Bauzile de Putois 34 et M jannes le Clap 30 un dernier tour de table tait pr vu fin novembre mais a t annul faute de personnes disponibles Ce week end de finalisation est report au 24 25 mars 2012 St Bauzile de Putois I mettra au point les derniers d tails avant la mise en pratique pr vue lors d un stage exp rimental qui aura lieu lors du week end de l Ascension en mai 2012 probablement toujours St Bauzile de Putois car le centre d accueil est quip pour le handicap cole fran aise de plong e souterraine EFPS JP Buch a t contact par un membre de l EFPS et sa femme m decin MF Andr pour proposer des travaux m dicaux et avoir si possible un m decin r f rent Des sujets comme le diab te de type 2 et le stress nous ont t propos s Le diab te de type 1 et l asthme ont d j t trait par la FFESSM voir sur leur site Il y a peu de plongeurs sp l os et encore moins de m decins ayant cette comp tence F Rocourt nous signale qu elle n en
67. gr ce du mat riel adapt mais surtout gr ce l quipe constitu e en fonction de la demande Un simple coup de fil ne co te pas cher Avant l arriv e de l quipe m dicale aupr s de la victime ce bless a commenc par se secourir seul il a r ussi redescendre les quelques m tres parcourus et se mettre sous une couverture de survie avant de perdre connaissance S il n avait pu faire ces gestes il serait tr s certainement d c d victime de son traumatisme cr nien et d un syndrome du baudrier Ses compagnons redescendus aupr s de lui ont fait preuve de grand professionnalisme Ils ont fait tout ce qui tait possible vu leurs moyens Ceci a certainement contribu viter une aggravation secondaire des l sions Durant la phase de prise en charge m dicale Le bless a b n fici de soins m dicaux l vacuation a pu se faire en position horizontale dans le brancard pour les parties verticales Dans le puits de 55m la victime est mont e sans accompagnement en raison d ancrages jug s insuffisant pour deux personnes sur une tyrolienne et ceci en raison de la nature de la roche Une station prolong e dans un point chaud la base du puits de 73m aurait pu tre court e si le personnel technique engag avait t plus nombreux dans la cavit Dans le puits de 73m le bless a b n fici de l assistance du CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 24 m decin L largissement
68. icat de qualification professionnelle CQP est possible en partenariat avec la F d ration fran aise handisports Il faut tablir une disctinction entre les diff rents types de handicap mental physique sensoriel social maladie chronique chacun devant tre trait diff remment Il faut d terminer qui fait la demande cela peut venir des institutions cela peut venir de la personne handicap e elle m me mais dans les deux cas on devra avoir une vision largie de l activit Le handicap physique n cessite une adaptation technologique un mat riel sp cifique et technique des proc dures Les autres types de handicap n cessitent essentiellement une adaptation du comportement des encadrants la construction d une relation l autre sur un mod le ducatif une attention soutenue la dynamique de groupe adaptation de la cavit ou du canyon au public concern acc s technicit engagement est une notion fondamentale qui doit permettre une progression en s curit et une coh rence entre les attentes de ce public et la capacit ou l offre des cadres Le but sera toujours la recherche d une certaine autonomie Plus g n ralement le projet doit tre s rieusement tudi et m ri avant de le mettre en place Le Programme de formation 1 les g n ralit s Il faut d finir les publics qui l on s adresse conna tre les handicaps et les d ficiences Il faut tabl
69. ion ne fait pas forc ment toujours appel des comp tences d urgentistes On a bien compris que le regard de l auteur est fortement marqu par cette approche li e son cadre de travail Mais un m decin de base peut galement tre utile dans nombre de circonstances On doit donc consid rer deux situations possibles une probl matique m dicale simple qui rel ve de l organisation habituelle et locale des secours une probl matique m dicale complexe plus rare au regard des statistiques qui rel ve effectivement de comp tences plus affut es mais qui devront toujours tenir compte du milieu sp cifique en particulier de la longueur ventuelle du secours notion tr s justement soulign e dans la th se Le secours sp l o n est pas du secours domicile Dans ce dernier cas on ne peut que souscrire cette notion de comp tences d autant que la g n ralisation des techniques comme l anesth sie loco r gionale ou l chographie d urgence n cessite une formation s rieuse et un mat riel tr s sp cifique fragile et on reux Seuls des centres sp cialis s et quip s peuvent fournir ces comp tences et ce mat riel M me si la traumatologie lourde reste sur le devant de la sc ne une interrogation r cente sur la faisabilit d une thrombolyse coronaire en milieu souterrain rejoint le propos de notre confr re Dernier point la th se traite de la place d un m decin de surface dive
70. ion of Polychromophilus murinus in temperate zone bats revealed a worldwide distribution of this malaria like disease Une tude du Dr Philippe Criste chercheur suisse de l universit de Lausanne UNIL a retrouv la pr sence d un parasite de malaria de mani re importante chez les chauves souris suisses de 4 51 des individus selon les esp ces Cette pathologie est connue depuis le 19e si cle mais n avait jamais t tudi e depuis Le parasite est commun avec les chauves souris africaines et asiatiques le polychromophilus murinus et sa transmission est le fait d une mouche vivant sur la chauve souris et non pas de moustiques Information relay e sur le site de la CPEPESC http www cpepesc org La Faune sauvage affectee par des html et divers m dias suisses Pas de rapport direct avec le paludisme humain mais une piste d tude indirecte possible Etude publi e dans la revue Molecular Ecology en mars 2011 dans un num ro intitul Frontiers in host parasite ecology and evolution Le syndrome du nez blanc SNB ou white nose syndrom Toujours chez nos petites b tes f tiches quelques informations r centes sur ce redoutable syndrome pid mique Apparu en 2006 dans l tat de New York il a entrain le d c s de plus d un million de chauves souris principalement de l esp ce Myotis lucifugus Il colonise depuis d autres tats am ricains Il est li un champignon Geomyces destructans et i
71. ir un catalogue des trucs et recettes connaitre pour g rer les situations en fonction de la d ficience des caract ristiques des handicaps et de leur adaptation Le groupe est bien conscient que ces recettes ne sont pas une panac e mais que la demande dans ce sens sera probablement forte Il faut tenir compte des attentes des participants cette formation et de leur exp rience 2 Les aspects p dagogiques aborderont la d couverte du milieu les possibilit s d accession l autonomie les conditions d une valorisation personnelle la recherche de points communs ventuels entre ces d ficiences 3 Pour la date du stage il faut faire attention la saison pour le canyon aux contraintes de d lai pour pr parer la formation et aux contraintes f d rales contrat d objectif Si le stage devait avoir lieu avant fin 2011 ce serait un stage uniquement sp l ologique en octobre Dans le cas contraire ce serait un stage mixte sp l o canyon l ascension ou la fin des vacances de printemps 2012 ou encore autour du 1er mai La date retenue est a priori du 17 au 20 mai 2012 4 Pour les types de public inviter cette formation pr voir au moins trois publics diff rents ITEP handicap physique public adulte type C A T voir malvoyants Ce travail pourrait faire le sujet d un m moire d instructeur 5 Le lieu Deux sites sont retenus pour le stage la priori
72. l accueil des publics d favoris s est en cours de maturation et devrait conna tre une mise en application en 2012 La CoMed est directement impliqu e dans ce projet qui vise le handicap moteur mental et sensoriel le d ficit ducatif et les pathologies chroniques Voici dans l ordre le discours d ouvertiure de la CoMed Sault et le compte rendu des quatre tables rondes qui se sont d roul es durant le congr s Discours d ouverture Bonjour et bienvenue tous Rassurez vous je serai bref La sp l o n e en 1888 quand Martel effectua la travers e de Bramabiau est une vieille dame g e de 122 ans Depuis cette date une question lancinante agite le milieu Qui sommes nous Le sp l o canyoniste est il un scientifique Assur ment quand on voit l immense travail r alis par la communaut sp l ologique depuis cette date dans des domaines aussi vari s que la karstologie l hydrog ologie la biologie animale la chronobiologie humaine l environnement etc Les disciplines sont multiples et chacun aura b n fici des travaux de tous La r ponse est donc oui c est un scientifique Le sp l o canyoniste est il un sportif Assur ment quand on voit l engagement physique et psychique n cessaire aux premi res aux exp ditions exotiques aux grands gouffres et r seaux souterrains M me le sp l o de base r alise une vraie performance chaque sortie tout en restant fier de ne pas faire d
73. l n a pour l instant pas de traitement Le pessimisme est tel outre Atlantique qu il est m me envisag la disparition de l esp ce et que l interdiction de la pratique sp l o a t mise en place dans certaines cavit s les sp l os ayant pu tre des agents de propagation du champignon Ce champignon a t d cel en France de multiples endroits ainsi qu en Europe sans que l on ait constat de pathologie ce qui pourrait sugg rer que les esp ces europ ennes sont porteuses saines La fi vre h morragique de Marburg D cid ment nos petites amies des t n bres sont g t es Apr s la malaria et le SNB apr s la rage le SRAS l histoplasmose voil que le virus de cette grave maladie a t trouv e chez des chauves souris frugivore d Ouganda en 2009 AU passage signalons deux bonnes adresses internet sur les chiropt res http www plan actions chiropteres fr http chiroptera fr Hypothermie alcoolisation aigu gelures prise en charge hospitali re Concours m dical Tome 132 n 19 20 d cembre 2010 p842 843 Ce n est pas directement sp l o mais au travers d une observation tr s typ e la r ponse cette question pos e au journal permet un survol tr s int ressant des m thodes de traitement ce ces situations qui peuvent se voir en montagne mais aussi sous terre ou en canyon Un nouveau perfuseur m canique automatique Un appareil d origine belge le Droper
74. les 29 30 octobre 2011 St Bauzile de Putois pour finaliser la d marche et un premier stage exp rimental du 17 au 20 mai 2012 week end de l Ascension probablement au m me endroit Ce stage aura une partie th orique et une partie sur terrain avec encadrement en situation de personnes handicap es et de personnes en difficult socio ducatives La d marche peut para tre lente et laborieuse mais il n y rien de formalis jusqu maintenant le terrain est vierge Le compte rendu de la r union de St Bauzile sera publi e dans CoMed Infos Les actes du congr s f d ral de 1994 Montpellier sur sp l o ducation amp th rapie sont accessibles sur le site FFS l adresse suivante http ffspeleo fr article php rub_id 172 amp PHPSESSID 3b787638da0f4ed3af3c4d4fc52a6a0f Ou sur le site f d ral http ffspeleo fr index php page d accueil Pratiquer handicap d ficience sp l o amp canyon pour tous Ressources documentaires Actes congr s national Le compte rendu de la r union de St Bauzile est galement sur le site m me chemin page d accueil Pratiquer handicap d ficience sp l o amp canyon pour tous comptes rendus de r union Histoplasmose Nous venons d apprendre il y a quelques heures qu une exp dition a t frapp e par l histoplasmose dans une r gion peu connue l Ethiopie JP Buch contactera Bernard Lips l origine de l information pour en savoir un peu plus CoMed
75. mati e Pouls bien frapp respiration normale France Rocourt retransmet l alerte au Docteur Godart m decin r gulateur au SAMU 38 9h18 l alerte m dicale officieuse est transmise France Rocourt par le Major Durand du PGHM de l Is re Celle ci est imm diatement retransmise au SAMU 38 9h20 Monsieur Gaudin sous pr fet de permanence de la dr me demande l engagement h liport d une quipe sp cialis e du PGHM de l Is re m dicalis e par les m decins de Sp l o secours Is re qui travaillent dans le cadre du SAMU 38 9h26 le SAMU 26 donne son accord pour l intervention de l quipe sp cialis e du SAMU 38 10h00 Sous Pr fet de la Dr me confirmation au m decin r gulateur que Monsieur Gaudin est OK pour intervention SAMU 38 dans la Dr me 10h30 arriv e de Laurent Hyvert au SAMU 38 11h45 l quipe m dicale p n tre dans la cavit France Rocourt m decin Laurent Hyvert infirmier Herv Labarde PGHM Grenoble Lionel Chatain CRS Alpes Mathieu Gervaise PGHM Grenoble VNNVYY YV 12h30 jonction avec le bless et d but de la prise en charge CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 23 m dicale le bless ne peut se mobiliser sur le dos car cela lui occasionne de violents vertiges naus es vomissements Bilan Traumatisme cr nien grave l impact sur le casque est difiant avec perte de connaissance de plusieurs heures pas de signe de focalisation Glasgow 15 tr s som
76. ment et la plupart du temps personne ne remarque que j ai un probl me sauf quand je dois faire des efforts A cause de mes parents j ai toujours baign dans le milieu de la sp l o Assez vite je me suis mise refuser les sorties sous terre Rien que l id e d aller dans une grotte m puisait En r alit le probl me tait que je me fatiguais encore plus vite qu l ext rieur Sous terre l air est satur d eau avec parfois un peu de C0 Pour la plupart des gens a ne change pas grand chose mais pour moi qui ne suis oxyg n e qu 85 ce qui est beaucoup pour quelqu un avec ce type de cardiopathie mais qui fait une norme diff rence avec quelqu un de normal a rend la respiration tr s difficile Malgr mon aversion pour les sorties j tais toujours attir e par le monde souterrain que ce soit travers les livres les photos ou les films alors il n y avait pas de raison pour que je d teste la sp l o J ai compris le probl me lors d une sortie avec mes parents et quelques uns de leurs amis quand j avais une dizaine d ann es Nous avons eu le malheur d aller sous terre une p riode o il y avait beaucoup de gaz carbonique C tait une grotte facile et pas tr s longue o j tais d j all e mais arriv e mi chemin je me suis mise suffoquer J ai cru que j en avais trop fait alors je me suis arr t e pour me reposer comme d habitude Je mai pas r ussi reprendre mon souffle
77. mise en page et cherche un imprimeur Le budget est de 1000 pour le dessinateur 1500 pour l infographiste P Bence Le CSR Rh ne Alpes participe hauteur de 300 Le tirage n a pas t encore chiffr S Petit sugg re de faire une application pour iPhone Il en a une exp rience tr s positive et il a des contacts pour cela Sur la fiche d alerte bien mettre en valeur la r ponse aux 5 questions essentielles du SAMU Insister sur les consignes d approches de l h licopt re ne pas clairer l h licopt re de nuit attention aux chutes d objets se mettre l abri d un aplomb rocheux l tude sur la mortalit cardiovasculaire et s inscrirait dans le projet sp l o amp canyon pour tous Le mat riel n cessaire est relativement simple pas forc ment tr s on reux et pourrait tre pris en charge par un laboratoire Nous pourrions confier cette tude diverses personnes de tous ges en commen ant par nos volontaires lyonnais La question du cadre l gal d exp rimentation a t pos e Il faudrait voir aupr s du Comit consultatif des personnes se pr tant la recherche m dicale CCPPRM pour savoir si nous relevons de ce cadre juridique 3 Suite des tudes r alis es Les tudes sur le diab te et l asthme peuvent donner lieu des prolongements int ressants Pour le diab te une tude multicentrique pourrait tre men e en particulier avec un m decin grenoblois
78. mobiliser mais aussi faire conna tre les exp riences exemplaires mutualiser les comp tences contribuer l expertise des r seaux L quipe du P le d veloppe aussi des outils p dagogiques qui favorisent l int gration des personnes handicap es dans l environnement sportif A titre d exemple le document intitul Piscine guide d usage conception et am nagements qui promeut l accessibilit au travers de pr conisations sp cifiques Le P le est galement un lieu d accueil de conseil et d accompagnement Une deux fois par an il regroupe les membres du r seau sport pour changer informer et contribuer la structuration du r seau Il organise ou participe galement des formations continues Il met en place des actions similaires avec les correspondants handicaps missionn s au sein de chaque f d ration sportive nationale Le p le constitue un levier de promotion et d informations au service des pratiquants pour enrichir les acteurs d outils techniques et p dagogiques pour diffuser et faire conna tre Un certain nombre de f d rations s est impliqu dans l accueil des publics handicap s judo quitation et la FFRP dans le cadre des sports de nature Actuellement il n y a pas encore CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 16 de strat gie pour accueillir les personnes handicap es C est en cours de construction Le vol libre et le cano kayak ont adapt leur mat riel C est
79. nolent c phal es importantes et vertiges la moindre mobilisation Plaie frontale droite de 5cm environ Colonne thorax abdomen membres inf rieurs membre sup rieur droit RAS Traumatisme de la main gauche avec plaies de l minence th nar faisant suspecter des fractures de m tacarpiens Respiration normale h modynamique conserv e le bless est bien au chaud et ne souffre pas d hypothermie Gestes m dicaux effectu s gt Mise en place d une voie veineuse sur l avant bras droit avec s rum sal isotonique 500cc gt Injection intraveineuse de parac tamol 1 gramme 2 ampoules de Primp ran 120mg de Solum drol et 2 gammas de Sufentanyl 2 grammes d Augmentin 14 heures gt D sinfection et pansement de la plaie frontale apr s ablation du pansement fait par ses compagnons gt D sinfection et pansement de la main gauche Installation sur le brancard sp l o difficile car ce brancard est con u pour vacuer quelqu un en position de d cubitus dorsal strict position non support e par notre victime en raison de vertiges tr s importants Heureusement il n y a pas de traumatisme de la colonne vert brale Le bassin est donc attach comme pr vu et une l g re rotation lombaire permet un semblant de d cubitus lat ral Les man uvres de brancardage peuvent donc d buter P55m grande tyrolienne oblique seul l infirmier au d marrage le m decin l arriv e Ch
80. oit ais A l int rieur de la grotte Grotte horizontale sans agr s Profil Am nagement ou non Nature du sol Passage troit ou bas Equipement individuel b quilles fauteuils etc Grotte verticale Diagnostic de l quipement Type secours ou non Am nagement adapt Purge des acc s CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 17 Quel quipement individuel Aquatique Quelle technique de progression bateau n opr ne gilet haute rivi re volume tanche bou e Aspects physiologique temp rature Technique canyon rappel guid quipement en double Groupe de travail Handicap mental d ficit ducatif Important de se poser la question qu est ce que l on recherche Dans le cadre d un groupe il s agit d une d marche l initiative d un centre sous un angle th rapeutique recherche th rapeutique et plaisir Importance de conna tre la maladie le handicap Importance de la formation du milieu ducatif la sp l o pour tre autonome sous terre en situation de crise d une personne handicap e qui se tournera vers son ducateur et non plus aupr s de l encadrant sp l o m me si celui ci tait jusque l la r f rence en mati re sp l o uniquement Importance des rituels lors d une sortie et de l quipement o Tous le m me quipement adapter en fonction des personnes et des handicaps tudier mettre tout le monde
81. ont la configuration naturelle est particuli rement bouleuse Il se trouvait quelques m tres du sol et avant de perdre connaissance a r ussi redescendre s abriter sous une couverture de survie L accident a lieu vers 1 heure du matin ses compagnons le retrouvent vers 6h30 Il souffre d un traumatisme cr nien grave associ un traumatisme de la main gauche L alerte m dicale officieuse arrive France Rocourt par l interm diaire du major Pierre Durand du PGHM de l Is re 9h18 Celle ci est retransmise au SAMU 38 pour action imm diate L action exemplaire des compagnons d exploration a certainement contribu limiter les complications ult rieures r sultant d un traumatisme cr nien grave L quipe m dicale du SAMU 38 achemin e par h licopt re jusqu l entr e de la cavit rejoint le bless 12h30 La prise en charge m dicale a consist mettre une voie veineuse injecter bon nombre de m dicaments enintraveineux et faire des pansements de la main et d une plaie frontale l vacuation s est d roul e le bless sur un brancard dans une position horizontale dans les grandes verticales 55m et 73m en effet malgr les th rapeutiques le bless est rest tr s somnolent et souffrait de naus es et vertiges la moindre mobilisation Les ancrages al atoires dus la nature de la roche dans la verticale de 55m ont impos la mont e du brancard seul sans accompagnement Pour la
82. par une citation de Saint Exup ry la grandeur d un m tier est peut tre avant tout de r unir les hommes Rempla ons le mot m tier par notre activit favorite et nous retrouvons cet l ment fondamental qui se traduit par notre valeur constante et profonde de solidarit Si ce lien peut na tre ou se d velopper au sein de notre f d ration nous aurons s rement fait un grand pas tous ensemble Je vous remercie de votre attention Dr Jean pierre BUCH m decin f d ral national Y Synth se des tables rondes pr sent e en AG Quatre tables rondes r unissant soixante participants Quatre questions pos es dont le r sultat sera r investi lors des journ es des coles en novembre 2010 pour aboutir un outillage des structures f d rales qui voudraient accueillir ces publics d favoris s 1 Quelle sp cificit et plus value portent la sp l ologie et le canyonisme Le milieu naturel est exceptionnel inhabituel riche et ne peut tre v cu qu en y allant C est une aventure humaine rencontre confiance et relations entre les personnes solidarit entraide galit devant les difficult s Ouvrir la porte de l activit est une r ponse la part de r ve de chacun Les b n fices Une reprise de la confiance et de l estime de soi valorisation personnelle La rupture de la spirale de la d sinsertion sociale et de l isolement En milieu ducatif le b n fice fait l unanimit
83. professionnels de la sp l o et professionnels ducatifs et soignants manque dans les formations et la culture professionnelle de chacun Importance de faire un d briefing apr s l activit afin de revenir sur des angoisses qui ont pu na tre ou se r v ler Proposition Faire la promotion de ce type d activit dans la formation des ducateurs et autre param dical La f d ration peut poss der une plateforme ressource pour la documentation les contacts 9 Quels compl ments de formation nos brevets f d raux seraient n cessaires pour que nos cadres puissent adapter leur action Pr sentation th orique de tous les handicaps voir certificat de qualification handisport Cr ation d un module optionnel dans le cadre de la formation continue qui permette la rencontre interprofessionnel entre moniteur ducateurs handisport sport adapt Int grer dans le stage de dirigeants un module sur l accueil des personnes en situation de handicap Cr ation d un groupe de travail pour d finir des r f rentiels relatifs un module sp cifique handicaps 10 Et maintenant A pr voir Premi re restitution pour le 18 19 mars 2011 CD FFS Rencontre du groupe de travail r flexion sur le contenu des formations dates d finir rapidement avril mai AG FFS les 12 14 juin 2011 Premier stage exp rimental l automne 2011 Restitution aux Journ es d tudes en novembre 2011 Inscrire des actions dans l
84. qui s occupe du dipl me de m decine de montagne que connaissent F Rocourt et I Julier C t asthme M Guilhem continue le suivi des enfants Pour le radon notre r le de conseil peut s exercer en particulier en milieu professionnel car la m thodologie de mesure en milieu souterrain vient d tre tablie CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 4 Elle est t l chargeable sur le site de l IRSN cette adresse http www irsn fr FR base de _connaissances librairie Documents publications_pour_les_professionnels IRSN_ guide mesurage_radon_souterrains pdf 4 Gaz toxiques et d sobstruction Il faut reprendre le compte rendu du stage de 2006 le compl ter en partant des bases communes Code du travail tudes compl t es par des exp rimentations sp cifiques si n cessaire afin d diter des recommandations g n rales qui seront diffus es en particulier pour le monoxyde de carbone qui repr sente le principal danger C Costes F Rocourt et S Petit vont travailler sur ce th me 5 Maladie de Lyme Suite des signalements de cette pathologie survenue chez des sp l os essentiellement dans l est de la France mais pathologie qui peut tre ubiquitaire il serait tr s utile de lancer une tude sur le sujet 6 Finaliser l tude exp ditions Le recueil sur le site Internet est termin Il n est pas tr s important car il n y a eu que tr s peu de r ponses par rapport au nombre d
85. rcher des grottes argileuses peut tre un plus Utiliser certaines salles pour jouer des fils de lumi re ou des fils de voix se cacher J y suis pas mais j existe quand m me La verticalit peut provoquer un clatement pour certains enfants A l inverse pour certains troubles psychiatriques le baudrier rassemble G rer l impatience en haut et en bas des puits n est pas toujours facile L quipement doit tre le m me que celui du moniteur appartenance au groupe des explorateurs Certains enfants peuvent refuser de s quiper Quand a glisse qu on y voit pas bien et que l on a un handicap physique on amplifie la situation de d pendance Jouer sur la curiosit des enfants Bien conna tre le public pour trouver des astuces d encadrement Choisir la bonne cavit collaboration troite entre les personnes en situation de handicap ou leurs r f rents et le cadre sp l o Le choix de la cavit et de l acc s aux entr es est essentiel et n cessite parfois des moyens importants tyrolienne pour monter les fauteuils Passage des troitures luge avec un syst me de traction T moignage de Gilles de l association aventure handicap o ce sont essentiellement les techniques du SSF qui sont mises en uvre Autre approche celle de St phane qui propose une m thode pour permettre une personne mobilit r duite d voluer en autonomie sur corde Comment partir d
86. rsement appr ci e et de celle par contre pl biscit e des infirmiers en particulier pour leur savoir faire technique Pour conclure cette br ve analyse on retiendra que cette th se aborde la question d actualit sur la double obligation des comp tences des intervenants m decine d urgence et sp l o et de disponibilit des m decins la solution propos e tant une mutualisation territoriale Cette mutualisation fera appel aux rouages administratifs territoriaux dont il sera attendu une souplesse et une r activit importantes Une derni re br ve d actualit Eric Zipper bien connu de tous les sp l os se verra remettre le 27 avril prochain par le Pr fet du Haut Rhin les insignes de Chevalier de l Ordre National du M rite La CoMed s associe naturellement cette r compense bien m rit e CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 28
87. s GUILHEM Michel m decin pneumo p diatre Pyr n es Orientales ARGAUD Annie m decin g n raliste Loiret OSTERMANN Jean Michel CT CoMed m decin g n raliste Dordogne COSTE Thierry m decin anesth siste Puy de D me LACROZE Jean Christophe m decin urgentiste H rault ANDRE Marie Fran oise m decin de sant publique Puy de D me SICARD Chantal m decin g n raliste Aveyron Avec un total cumul de 14 participants et de 9 excus s soit un total de 23 participants potentiels on ne peut que se f liciter de cette premi re exp rience en tout cas du renouveau de la commission Pour plus de clart dans la r daction de ce compte rendu ce n est pas l ordre chronologique des d bats qui sera suivi mais une pr sentation th matique Apr s les habituelles installations du vid oprojecteur des ordinateurs et les diverses pr sentations individuelles au gr des arriv es de chacun ces premi res rencontres m dicales d marrent Elles se d rouleront du jeudi matin au dimanche midi la journ e du samedi tant r serv e une sortie en cavit Bilan d activit gestion 1 Bilan annuel des activit s Les r unions hormis la pr sente r union r union pour le site Internet les 6 et 7 novembre Les interventions en stage stage ASV Hautes Alpes R Duroc stage auto secours canyon Bouches du Rh ne Y Kaneko stage ASV et secourisme sp l o Lot C Costes stage initi
88. s elle para t beaucoup plus facile que l ancienne Projets de travaux 1 tude de cardiofr quencem trie ce projet tient toujours Malgr plusieurs tentatives de JP Buch pour avoir une subvention du laboratoire M narini pas de r ponse de leur part Il faudra voir avec le d l gu local puis revoir avec le Pr Fran ois Carr responsable de la revue Cardio amp sports Le montant du budget est peu on reux environ 2500 euros P Guichebaron nous informe qu il vaut mieux utiliser le syst me sur ceinture et non en montre a d j une bonne exp rience des ces mesures et il est int ress de les mettre en place dans les exp ditions de longue distance Il est donc nomm pilote du projet avec mission de b tir une trame concr te 2 le diab te est rest en suspens Il faudrait contacter le Dr I Julier qui avait des contacts avec un diab tologue de Grenoble pr t largir l tude 3 travail avec les plongeurs commission plong e et EFPS incluant le r f rencement des m decins plongeurs 4 suivi des assurances 5 projet de formation des cadres aux premiers secours 6 assurer les diverses publications Calendrier Avant la fin de l ann e la CoMed participera deux manifestations sur Paris CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 12 la journ e des coles f d rales qui permettra de rencontrer l EFS l EFC et l EFPS et qui sera l occasion pour P Durand de pr sen
89. sance des autres Comportement diff rent entre sous et coute et l ext rieur comment faire perdurer ce comportement l ext rieur d velopper un travail sur la notion de solidarit Importance du travail en amont avec ducateurs et milieux m dicaux Sensibilisation n cessaire du sp l o aux handicaps terre respect Importance de la r flexion sur la notion d accueil en sp l o Qu il s agisse d une personne en situation de handicap ou non l accueil dans un club est capital Un d butant devient lui m me handicap surtout si son club ne s en occupe pas correctement Ces journ es peuvent amener une r flexion qui d passe le cadre du handicap pour un largissement tous et reprend ce que l on disait en intro quant l importance des valeurs humaines Pour les personnes souffrant de handicap mental les exp riences relat es montrent qu on n a pas forc ment demand l avis des personnes C est la structure et le club qui ont mis en place l activit e Propositions Information sur le handicap les comportements les r actions Bien savoir quoi on s engage N cessit de pr parer en amont les sorties Comment traiter les cas individuels Disposer d une liste de personnes ressources vers qui se renseigner et demander conseil Cr er un module de formation optionnel au DE Informer sur la responsabilit les assurances les aspects juridiques Etablir des partenariats avec les f d rations h
90. sponsabilit civile protection juridique et invalidit d c s Il n en est pas forc ment de m me pour les m decins lib raux ou salari s leur couverture n intervenant que dans le cadre strict de leur activit professionnelle Pour leur mise en uvre dans le cadre f d ral et une activit b n vole et non professionnelle ces risques ne sont priori pas couverts Nous demandons donc la f d ration au travers de ses commissions assurance et juridique de nous confirmer que les m decins sont bien pris en charge dans le cadre de ces assurances risques responsabilit civile protection juridique et invalidit d c s en dehors de la simple assurance de pratique sportive et de nous fournir tout document pr cisant le niveau de ces garanties Faute de quoi il nous semble tout fait l gitime que les m decins non fonctionnaires de l tat et n appartenant pas des corps constitu s cessent toute activit de secours La question se pose galement pour les personnels param dicaux Dans l attente et nous tenant votre disposition pour tout change soyez assur s de nos salutations les plus cordiales Formation m dicalisation F Rocourt a organis Grenoble durant le week end du 1er mai 2011 un week end de pr sentation Il a r uni les pr sidents de la CoMed et du SSF et de nombreux m decins et infirmiers principalement de la r gion La pr sentation th orique a occup le samedi ave
91. suite le bless b n ficiait de l assistance du m decin tout le long de son vacuation Un deuxi me point chaud pour bilan et attente de travaux dans une tr mie a t r alis dans la salle des Sapins d Argile la cote 140m Le brancardage a dur de 15h30 20h50 environ Apr s une vacuation h liport e de nuit le patient a t admis dans le service d chocage du CHU de Grenoble D roulement de l op ration 1 heures environ le matin du 5 f vrier 2011 un sp l ologue dernier d un groupe de 5 explorateurs est victime d une chute de pierres dans un puits de 55m particuli rement bouleux Ce puits se situe la cote 200m Il arrive redescendre sur la corde avec ses bloqueurs et perd connaissance apr s s tre assis sur son sac et s tre prot g par sa couverture de survie 4h inquiets de l absence de sortie de leur compagnon deux sp l os alertent Pierre Yves Belette Ensembles ils d cident de retourner dans la cavit munis d un point chaud duvet couvertures de survie v tements chauds apr s avoir pr venu le secours sp l o du retard de sortie de leur compagnon Connaissant bien le retardataire Pierre Yves est convaincu qu il est arriv un accident 5h40 ils s engagent dans la cavit 6h15 ils retrouvent le bless la base du P55 Ces professionnels de la sp l ologie et sauveteurs en montagne ont agit avec les moyens dont ils disposaient gt Ils ont mis la vic
92. t va St Bauzille de Putois car le centre est adapt pour tout handicap et que les activit s de sp l ologie et de canyon sont proches Mejannes le Clap serait une option alternative C est la canyonisme qui pose le plus de probl mes Il faudra tenir compte de la r glementation du d bit de l accessibilit de la temp rature ext rieure etc Quel contenu pour l apport th orique Les stagiaires se positionneront sur le public pr sent que l on conna tra par avance Il sera difficile d aller fond sur tous les types de publics Il faudra n anmoins fournir des notions ou des recettes pour tous les types de publics handicap s Il semble important de multiplier le nombre d intervenants pour voir les diverses approches les exp riences et les recettes en fonction de la personnalit et de l exp rience de chacun Le programme pr vu th orique et pratique devra tre coh rent La formation tant bas e sur le volontariat les stagiaires seront motiv s et leurs attentes devront tre prises en compte Il faut pr voir des temps d change en particulier sur les retours d exp rience On peut penser que les stagiaires auront d j un peu d exp rience On peut galement penser que certains auront l exp rience du public et non de l encadrement L apport th orique du d but de la formation sera important pour montrer la volont f d rale en terme d approche de l activit de projet p dagogique et d
93. t s la demande de personnes mobilit r duite d sirant s ins rer dans un club Si le club n est pas m me de r pondre une telle demande peut tre peut il orienter ces personnes vers les structures en capacit de r pondre CDS CSR F d ration Si nous avons obligation de rendre accessibles nos activit s en avons nous les moyens II faut distinguer 3 types de d marche th rapeutique ducative loisir M me apr s un accord m dical peut on demander tous les clubs de prendre en charge une personne handicap e Ne faut il pas que l offre vienne du club car il s agit d tre avant tout d accepter et d tre motiv pour faire cet encadrement Tous les clubs n ont pas cette vocation beaucoup de personnes ne pratiquent nos activit s que pour leurs loisirs o par int r t personnel et les encadrants n ont pas forc ment les comp tences requises Il faut donc proposer informer sensibiliser les clubs cette possibilit et leur pr senter ce qui a d j t fait pas de contrainte mais bien une stimulation Un partenariat serait construire avec les g rants des cavit s touristiques avec une dynamique diff rente bien s r mais qui permette une 1 re r ponse et une 1 re approche pour la personne handicap e exemple de la SBE au Br sil qui a la volont de mettre en place une adaptation au handicap dans toutes les grottes touristiques Il faut galement prendre en compt
94. t adapter leur action Vers 10 h 30 chaque groupe fera part de ses r flexions et propositions Enfin nous nous projetterons dans l ann e 2011 CoMed FFS CoMed Infos n 45 2012 page 15 en programmant si n cessaire des sessions de formation adapt es et en constituant une quipe de formateurs Voil un programme bien charg aussi je vous propose de nous mettre directement au travail sauf si certains souhaitent des pr cisions suppl mentaires 5 R flexions sur les handicaps ou de d ficiences compatibles avec nos activit s L acc s tout pour tous tel est le mot d ordre induit par la loi du 11 f vrier 2005 sur l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es qu il convient de mettre en oeuvre Si le droit la pratique de la sp l ologie et du canyonisme est un droit pour tous l avis m dical reste un crit re prendre en compte de m me que la position des assurances Il n est jamais impossible de faire descendre qui que ce soit sous terre seuls les moyens techniques et humains mettre en uvre diff rent comme celui du choix d une cavit adapt e Mais est il pertinent de faire descendre certains publics Devons nous obligatoirement r pondre un simple besoin de consommation de nos activit s Il faut bien reconna tre qu en dehors des demandes d institutions ou d organismes sp cialis s nous n avons que tr s rarement t confron
95. tabilit lections 2012 Apr s l installation de la salle par Y Kaneko et R Duroc arriv s les premiers un tour de table permettra les pr sentations dont certaines seront chelonn es durant le week end Nous avons le plaisir de revoir parmi nous T Coste ancien pr sident de la CoMed descendu de ses volcans et de nouveaux visages P Guichebaron m decin du travail sur Chamonix ayant une forte activit sp l o montagnarde N Jacquier urgentiste SMUR sur Arles sp l o d butante qui vient de soutenir un m moire pour tre m decin GRIMP dans le Gard sur le soutien m dical aux sauveteurs Les actions r alis es en 2011 Pour la f d ration sp l o et canyon pour tous PowerPoint de synth se des tables rondes de Sault JP Buch participation active aux rencontres sp l o amp canyon pour tous de St Bauzille de Putois 15 16 janvier 2011 C Costes JP Buch avec restitution des tables rondes de Sault et celle de M jannes le Clap 28 29 mai 2011 JP Buch participation active la commission communication de la FFS JP Buch C Costes tenue du stand f d ral au salon des sports de Paris JP Buch C Costes participation l EFC Y Kaneko mise jour du r glement antidopage travail sur les assurances RCP en secours pr sence l assembl e g n rale de la FFS Pour la CoMed participation au projet du livret premiers secours
96. ter le livret premiers secours qui est son m moire d instructeur canyon le salon des sports o C Costes et JP Buch tiendront le stand f d ral au titre de la commission communication Le calendrier 2012 est le suivant AG de la FFS le week end de la Pentec te le 27 mai 2012 dans la r gion de Nancy C est un simple rassemblement sans congr s en attendant Millau 2013 Comme d habitude une mini r union du CT se fera le samedi 26 A priori 5 personnes monteront A M nier R Duroc C Costes Y Kaneko et JP Buch Les autres sont les bienvenus stage m dicalisation du 28 avrilau 1er mai 2012 probablement dans l Aude stage ASV national aux m mes dates et au m me endroit stage exp rimental canyon et sp l o pour tous le week end de l Ascension du 17 au 20 mai 2012 probablement dans l H rault r union du CT CoMed du 1er au 4 novembre 2012 en Ard che Vallon Pont d Arc ou Salavas signalons une manifestation originale organis e par le SSF Alsace les journ es internationales sur la prise en charge d une victime en milieu hostile un exemple la sp l ologie du 21 au 23 septembre 2012 dans le Bas Rhin Articles pour CoMed Infos et Spelunca tude sur le stress enqu te sur les pathologies d exp dition les comptes rendus des r unions 2010 et 2011 les comptes rendus des accidents des Chuats et de la Diau en respectant le secret professionnel le compte rendu du stag
97. time l abri de nouvelles chutes de pierres gt Ils ont enlev enti rement la combinaison puis d coup les jambes de la sous combinaison imbib e d eau gt Ilsontinstall la victime en position lat rale de s curit apr s avoir improvis un collier cervical l aide d une attelle en aluminium dans un duvet en ayant pr alablement enfil une paire de chaussettes s ches gt Des chaufferettes judicieusement plac es compl tent cette installation gt Ce duvet pos sur une paisseur de plusieurs couvertures de survie et plac e sous une tente r alis e l aide de couvertures de survie R action exemplaire de ces trois sauveteurs gt Pierre Yves Belette Sp l ologue titulaire du brevet d tat gt St phane Laout du PGHM de l Is re gt Florent Merlet du PGHM de l Is re Par leur attitude professionnelle ils ont certainement contribu limiter l aggravation de leur compagnon victime d un traumatisme cr nien grave dans un milieu particuli rement hostile 9h02 St phane Laout ressort afin de faire part de l accident soup onn et transmet un bilan m dical circonstanci Pendant ce temps les deux autres sauveteurs veillent et surveillent leur compagnon Le bilan l alerte Traumatisme cr nien avec amn sie r trograde de plusieurs heures conscient mais tr s somnolent c phal es violentes vertiges naus es Plaie frontale droite Plaie de la main gauche qui s av re tr s oed
98. tion tr s instructive d autant qu il a eu peu de temps pour le faire le rapport ayant t publi juste avant notre r union Publications diffusion 1 Analyses bibliographiques Une th se r cente sur les accidents de plong e Pierre Boyet est tudier ainsi que la revue des SSF Infos depuis 2004 pour rep rer les accidents physiologiques C Costes pour les deux M Fabre et S Petit pour la th se plong e sont volontaires 2 Sujets de th se M Fabre a sollicit la CoMed pour un sujet de th se de m decine g n rale Plusieurs sujets sont utilisables Le certificat m dical l int resse beaucoup qu elle pourrait coupler avec l tude cardiovasculaire venir 4 Articles Spelunca Le d pouillement de l enqu te sur le stress en sp l o et canyon est le sujet le plus urgent traiter D j plusieurs personnes nous ont demand des r sultats avant m me la fin de l enqu te Il faut faire cet article sur 2011 d autant qu il peut d boucher sur une enqu te plus fine JP Buch pr voit une s rie d article sur la pr vention et le dopage Un article sur la plong e et un autre sur le risque cardiovasculaire sont envisag s 5 Diaporamas R Duroc a finalis sa pr sentation sur l ASV Elle est destin e en particulier aux stages ASV Un diaporama sur le stress en secours est toujours en cours d laboration JP Buch a fait un diaporama de pr sentation de la CoMed 6 Feuille de
99. travail sur l autonomie et l ind pendance C est une activit tout fait adaptable la th rapie et l ducation le potentiel th rapeutique et ducatif n est plus d montrer d apr s les nombreuses exp riences voqu es La f d ration doit aussi dans ce cadre tre capable d orienter les demandes Ce sont des sorties pr par es avec un travail faire avant pendant et apr s Il faut souligner l importance de la pr paration de la sortie tant pour le public que pour les accompagnateurs sp l ologues et ducateurs Le m decin d tient un grand pouvoir de d cision et de responsabilit en d livrant les certificats m dicaux Sont abord es la question de la sp cificit des activit s sp l ologie et canyonisme et les contre indications sp cifiques si elles existent 6 Intervention du p le ressource Sport et Handicaps sur la prise en compte des handicaps dans les autres f d rations de sports de nature Le minist re charg des sports a cr un outil innovant en septembre 2003 Le PRNSH Son objectif est d aider au d veloppement et la pratique du sport en direction des personnes en situation de handicap La loi du 11 f vrier 2005 relative l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es contribue placer le PRNSH au centre du dispositif mis en place par le minist re Soutenir informer valoriser accompagner animer
100. tualisation des dispositifs d partementaux de m dicalisation souterraine semblerait tre la solution la plus adapt e pour am liorer l efficacit des secours La probl matique pos e ici est dans l air du temps Comment concilier une haute technicit m dicale et une activit tr s occasionnelle et impr vue par principe Les facteurs limitants sont bien pr cis s m decins peu nombreux peu disponibles et souvent vieillissants par ailleurs comp tences en m decine d urgence vari es comp tences techniques sp l o et condition physique tr s h t rog nes La conclusion de la th se s oriente vers une solution relativement simple la mutualisation interd partementale de ces comp tences multiples et rares L organisation hospitali re des SAMU et SMUR serait le support naturel de cette mutualisation Ils sont comp tents r partis sur tout le territoire disponibles et assur s en tant que tel puisque ce probl me de la couverture assurantielle des m decins intervenant en secours ne semble pas compl tement r gl actuellement Pour aller plus loin on peut imaginer quelques bases sp cialis es r parties sur le territoire pr s des massifs karstiques qui pourraient intervenir sur d clenchement pr fectoral classique Le SAMU 38 pr figure peut tre ce genre d organisation comme on l a vu lors du secours la grotte de la Diau en 2011 L analyse critique doit faire remarquer que la m dicalisat
101. type Polar RS400 pour la somme de 2400 euros Le projet pourra tre pr sent au Dr Fran ois Carr r dacteur en chef de la revue Cardio amp sport dans laquelle notre tude sur la mortalit cardiovasculaire a t publi e en 2006 Site Internet R Duroc ayant un peu de disponibilit actuellement il compl te la mise en ligne progressive des documents publi s par la Comed que JP Buch a num ris s Les th mes retenus pour l organisation du site sont les suivants articles g n raux pathologie infectieuse pathologie m dicale pr vention aspects physiologiques m decine d exp dition m dicalisation des secours sp l o amp canyon pour tous toxicit des gaz Le mode d emploi du site pour que chacun puisse envoyer des documents nous est de nouveau expliqu par Raoul La taille du fichier peut aller jusqu 20Mo Ce mode d emploi est r dig part Sp l o amp canyon pour tous Le th me du projet f d ral et du congr s de Sault en 2010 continue sur sa lanc e marqu par deux rendez vous r cents les 15 16 janvier 2011 St Bauzile de Putois 34 avec sortie dans l Aven des Lauriers et les 28 29 mai 2011 M jannes le Clap 30 avec sortie dans la Grotte Claire JP Buch repr sente la CoMed qui participe activement au projet dont la coordination est assur e par Serge Fulcrand de la DTN La r flexion progresse et la mise en place se profile avec deux nouveaux rendez vous
102. u teurs 7 3h30 entr e dans la grotte 8 5h30 arriv e aupr s de la victime 1h de m dicalisation et conditionnement 9 11h30 Sortie et arriv e concomitante du SMUR h liport d Annecy 10 12h D part de l h licopt re vers l h pital d Annecy Equipe m dicale A la suite de l quipe ASV 1 m decin 1 infirmi re 2 gendarmes du PGHM 4 sp l os Bilan m dical Suspicion d atteintes l sionnelles moins graves qu l appel Gestes effectu s 1 changement de la sous combinaison humide changement du duvet par un autre sec 2 Mise en place d une ceinture pelvienne 3 Brassard tension mis au bras G scope entre les jambes teint pour le brancardage 4 VVP au pli du coude droit cath 18G NaCl 0 9 en garde veine 5 1g Perfalgan IVL 6 100 mg de Profenid IVL 7 Puis 3 mg de Morphine IVD les mobilisations tant tr s douloureuses 8 Perf clamp e mise dans le duvet 9 Nouvelle injection de 2mg de Morphine au bout d une heure de brancardage puis de nouveau 2mg 1h plus tard donc 7 mg au total 10 Prises de pouls et tension ponctuellement environ toutes les heures h modynamique parfaitement stable particuli rement avant les passages o une verticalisation tait n cessaire 11 Remplissage tr s limit 2 x 250 mL de NaCl avant 2 verticalisations La radio n a fonctionn qu 1h de la sortie Bilan m dical transmis avec demande de SMUR pour tr
103. uisque plac s en tablissement m dico scolaire d altitude Les sorties sp l o n ont pas donn lieu probl me ce qui est encourageant Diab te insulinod pendant et sp l o JP Buch amp I Julier r sum de l tude faite en 2008 2010 L tude men e sur 2 ann es avec un petit groupe de diab tiques insulinod pendants a pu mesurer la glyc mie interstitielle en continu lors de sorties sp l o La glyc mie interstitielle montre un certain d calage temporel avec la glyc mie circulante de l ordre de 15 20 minutes de retard Si l tude n a pas montr de probl me sp cifique les recommandations que l on peut faire sont les suivantes le patient doit tre parfaitement quilibr Hb glyqu e lt 8 5 avoir une glyc mie gt 1g et lt 2 50g pour faire la sortie et tre parfaitement duqu sa pathologie En particulier savoir reconna tre son seuil personnel d hypoglyc mie tr s variable d une personne l autre entre 0 et 1g et connaitre les techniques de resucrage Il faut bien s r avoir de quoi se resucrer sur place plusieurs reprises Ne pas avoir eu d pisode d hypoglyc mie ayant n cessit l intervention d une tierce personne hypoglyc mie s v re dans les mois pr c dents ni d acidoc tose r cente L entourage doit savoir faire une injection d insuline glucagon et avoir le mat riel disposition Enfin les signes cliniques doivent tre privil gi s par r
104. ur l instant rien de formalis n existe Rappel La loi donne le droit tous de pratiquer une activit Cela permet l acc s cette activit mais il faut compter avec les restrictions li es aux risques et viter l aspect consum riste qui d tre in vitable Il faut conna tre les caract ristiques du public rencontr quel que soit le cas de handicap mental physique sensoriel troubles du comportement pathologies chroniques Cette connaissance est la condition n cessaire pour apporter une r ponse la plus adapt e possible au type de handicap De nombreuses f d rations ont adapt leur activit pour tel ou tel type de handicap et d conseill la pratique pour certains Il ne faut pas que les clubs se sentent oblig s d accepter cet accueil et il faut savoir prendre la mesure des contraintes li es ce type d encadrement technique nombre des encadrants Cet accueil apporte de son c t des progr s aux encadrants dans les domaines p dagogiques et techniques et une regard nouveau sur la pratique Que peut on amener ces publics Il nous semble que nos activit s de sp l ologie et de canyonisme comportent des valeurs et des aspects p dagogiques bien sp cifiques nos milieux naturels On y d c le les notions de partage et de solidarit de pratiquer ensemble et de pouvoir faire comme les autres Cela implique une modification des r les de chacun o l encadrant devient apprenant une r org
105. ur le week end du 30 avril 1 mai Il aura lieu en Is re Les m decins et IDE sont invit s la mise en pratique des protocoles F Rocourt souhaite que les m decins CoMed int ress s par le secours soient pr sents cette formation 3 Relations avec le SSF La CoMed n est pas le SSF Elle est l pour aborder toutes les probl matiques de la sant en sp l o et canyon Le secours et la m dicalisation ne sont qu un des aspects de ces probl matiques La pr vention est son travail majeur Afin de se garantir un op rationnel le SSF s est dot d un r f rent m dical en la personne de F Rocourt La CoMed a valid cette nomination et est tr s heureuse de retrouver sa fondatrice qui pourra faire un lien efficace entre nos deux commissions 4 Informations FFS sur les p les Le projet de r organisation de la FFS pr voit la cr ation de p les d activit s regroupant plusieurs commissions Cette organisation resterait souple et n interdirait videmment aucune collaboration entre les diverses commissions La CoMed a t int gr e au p le Sant et secours avec le SSF Pour en finir avec l habitude de ne voir le m dical que sous l aspect des secours JP Buch a d fendu l id e au dernier CD que la CoMed soit plut t int gr e au p le scientifique avec la Co Scientifique et la Co Environnement La d cision appartiendra l AG f d rale 5 Assurances RCP des m decins et IDE
106. us publications internes revues f d rales documents t l chargeables certificat m dical documents cr s par la CoMed Feuille de liaison et CoMed Infos cho du st tho contacts et liens enqu tes pathologie d exp dition stress lexiques m dico sp l os anglais espagnol italien annuaire acc s r serv 9 Toxicit oculaire des LED Un tr s r cent rapport de l ANSES Agence Nationale de S curit Sanitaire vient de jeter une lumi re inqui tante sur les clairages LED Le rapport complet 282 pages est disponible l adresse suivante http www afssa fr Documents AP20085a0408 pdf Dans ce rapport tr s d taill et tr s technique la partie m dicale qui nous int resse n occupe que les pages 124 150 Les risques sont des l sions r tiniennes type de maculopathies aigues ou chroniques surtout si une pathologie pr existante est pr sente et de l sions du cristallin cataracte Les populations risque sont les enfants les aphakes les porteurs d une pathologie r tinienne et les personnes prenant des m dicaments photosensibilisants La toxicit des LED provient de la composante bleue de leur lumi re Pour nous clairer sur ce sujet complexe P Gaubert ophtalmologiste nous pr sente un r sum tr s document de l tude Nous comptons sur lui pour nous faire un article pour le prochain CoMed Infos et le remercions de son interven
107. utilisables que localement sur le corps pouvant viter les risques d hypothermie mais non pour un chauffage d ambiance Les v tements chauffants lectriques avec syst me de batterie rechargeable sont int ressants mais peu envisageables en sp l o Par ailleurs ces syst mes sans flamme ne permettent pas le r chauffage d aliments ou la pr paration de boissons chaudes L tude d Andr Roy est int ressante car elle compare les divers moyens existants pour produire de la chaleur Son apport original suppl mentaire est d avoir distingu chaque source en fonction de son pouvoir calorifique mais aussi selon la masse n cessit e par son utilisation Ce raisonnement abouti calculer un indice d Efficacit Calorifique Massique ECM qui est une relativisation du pouvoir calorifique intrins que de la substance utilis e par le poids de tout ce qui conditionne son utilisation L exemple le plus concret pour nous est l ac tyl ne Sa combustion est tr s calorifique mais elle n cessite de l eau le carbure est impur et lourd et son emballage peut tre pesant la combustion est loin d tre toujours optimale et on doit remonter des d chets qui p sent lourd On voit de suite que le d bat n est pas si simple que a Quel pouvoir calorifique est il recommand pour chauffer une tortue l auteur estime qu une puissance de 50 250 W est n cessaire Pour m moire une flamme ac tyl ne avec un

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