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du Bâtiment et des Travaux Publics

1. 3 2 2 Dans le cas du logement social la premi re proc dure mise en uvre a t celle des programmes pluriannuels qui permet l entreprise de b n ficier d une certaine continuit condition de satisfaire certaines conditions d am lioration des prix lors de la passation des tranches suppl mentaires dans le march tranches conditionnelles ou d accepter un rabais de d lai au del de 16 mois et de masse partir de la troisi me cen taine de logements dans le cas du march unique Cette proc dure constitue une incitation pour les entreprises penser en terme de productivit mieux s organiser pour r duire les d lais Dans le domaine des constructions scolaires ce syst me souffre toutefois de Pannua lit des cr dits et du caract re imp ratif des dates de livraison 35 36 3 2 3 La politique des mod les ayant pour objet de provoquer la cr ation de mod les agr s peut conduire une modification de la structure des participants l acte de construire en les incitant former quipe lors de la conception du projet Actuellement essentiellement utilis e dans le secteur du logement social cette politique devrait pouvoir tre tendue aux constructions administratives concours conception construction et elle portera tous ses fruits dans le domaine du logement si elle permet la p n tration dans le secteur diffus ce qui n cessite une organisation commerciale nouvelle
2. PCM Les entreprises de travaux publics et de b timent 28 rue des saints p res paris 7 mensuel 68 ann e G iuin 1971 ane R Cet EL G n rale G otechnique ad SOLS ET DE FONDATIONS SPECIALITES 1 DOMAINES fACINTE 2 TECHNIQUES de RECHERCHES 3 amis e l INTERVENTION G n rale G otechnique 4 rue de Cic PARIS VI TEL 222 41 15 et 57 14 548 66 00 Sommaize xr D centraliser le P C M Importance des entreprises de b timent et travaux publics Actions sur le march du b ti ment et des travaux publics et cons quences sur les struc tures professionnelles Probl mes de gestion dans Fen treprise de b timent et de travaux publics La recherche dans le secteur du b timent et des travaux publics Le financement des entreprises y L Etat et les industries du b ti ment et des travaux publics Ren MAYER Pr sident du P C M Alphonse FOLACCI Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es la Direction du B timent et des Travaux Publics Luc LEGRAND Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Rapporteur g n ral du Comit du B timent et des Travaux Publics pour le VI Plan Jean JAOUEN ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Adjoint au Direc teur du B timent et des Travaux Publics Georges RIBES Ing nieur des Ponts et Chauss es Administrateur Directeur g n ral de la Soci t des Grands Travaux en b
3. d une part sur une am lioration des m thodes de gestion permettant notamment chacun d avoir une connaissance pr cise de ses prix de revient On verrait ainsi se rar fier les cas o l attribution des travaux r sulte d une sorte de loterie dont le gagnant est trop souvent celui qui s est tromp dans son offre soit parce qu elle n a pas t tudi e avec suffisamment de soin soit parce qu une analyse s rieuse du bilan des chantiers ant rieurs a fait d faut d autre part sur une mod ration des pratiques selon lesquelles la concurrence est motiv e non pas seulement comme cela devrait tre par le souci de maximiser le profit mais par celui de maintenir tout prix le chiffre d affaires quand ce n est pas par celui de s imposer sur le march en liminant les concurrents or cette derni re motivation est de celle qui pr te tous les exc s car o se trouve la limite entre la pr occupation l gitime de sauvegarder ou d tendre une client le et l expression d une volont de puissance qui n a pas sa place dans une saine comp tition conomique On a vu se d velopper ces derni res ann es des formules dans lesquelles Pentreprise cessant d agir comme un simple prestataire de service intervient comme un agent conomi que majeur dont la fonction est d offrir sur le march un produit dont elle assure la con ception la commercialisation la r alisation et parfois exploitation La puissance pub
4. Ind pendamment de l exportation de brevets et de proc d s les entreprises pour la plupart des entreprises de Travaux Publics r alisent directement ou par Pinterm diaire de filiales des travaux importants hors m tropole dont le montant a pu pour l ann e 1969 tre estim 5 milliards de francs D veloppement et modernisation des entreprises Le developpement de Pecononue fran aise et en particulier celui de l industrie n est pas concevable sans le developpement parall le du B timent et des Travaux Publics Depuis 15 ans la production de ce secteur a tripl plus precisement la valeur des ouvrages realises en 1970 calculee en francs de 1955 represente trois fois celle des ouvrages r alis s en 1955 Durant la m me periode la population active du secteur n a augmente que de 69 Cette performance a ete rendue possible par des progr s dans la gestion le recours des cadres deux fois plus nombreux le quintuplement de la puissance du parc de vehi cules et d engins etc et aussi par des am liorations dans la formulation de la demande Dans Pavenir l est indispensable que les progr s du secteur du B timent et des Tra vaux Publics soient poursuivis et d veloppes En effet les gains de productivit qu il r ali sera d gageront des moyens de production suppl mentaires n cessaires pour accro tre le rythme de croissance de l conomie fran aise et parvenir une v ritable pui
5. avril 1968 date de sa r int gration dans son administration d origine Arr t du 10 mai 1971 72 M Boissereinq Yves Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es est plac en service d tach aupr s du Port autonome de Marseille en qualit de Directeur du Port pour la p riode du 6 avril 1970 au 31 mars 1971 inclus date d expiration du d tachement en cours Arr t du 10 mai 1971 Par arr t en date du 28 mai 1971 M Vasseur Jac ques ing nieur G n ral des Ponts et Chauss es est nomm Pr sident du Comit consultatif du Centre scienti fique et technique du b timent J O du 29 mai 1971 MUTATIONS M Giroult Eric ing nieur des Ponts et Chauss es pr c demment en service d tach aupr s du Secr tariat d Etat aux Affaires trang res est compter du 1 juil let 1970 r int gr pour ordre dans son administration d origine et plac nouveau en service d tach pour une p riode de 2 ans ventuellement renouvelable aupr s du Minist re des Affaires trang res en vue d exercer les fonctions de Directeur de projets en Roumanie au titre de l organisation mondiale de la sant Arr t du 6 avril 1971 M Prandi Eric Ing nieur en Chef des Ponts et Chaus s es est plac en position de disponibilit compter du 28 d cembre 1970 pour une p riode de trois ans ven tuellement renouvelable en vue d exercer aupr s de la Soci t d tudes techniques et conomiques
6. abord attaqu au probl me de l am lioration des m thodes de passation des march s publics Ces march s interviennent pour 75 80 dans l activit dans le secteur des travaux publics et pour pr s de 30 dans le secteur de b timent Leur poids est donc consid rable et nul doute que l action qui est men e depuis 1968 pour faire de la passation des march s publics un l ment de la politique conomique aura terme des r sultats b n fiques pour l ensemble du secteur En prolongement de l action qu il m ne dans le domaine des march s publies PEtat peut aussi intervenir plus en profondeur d une part en limitant autant qu il est possible les irr gularit s conjoncturelles dans le financement des investissements ce qui contribue avec la pratique des march s de longue dur e une meilleure planification de Pactivit des entreprises d autre part en adoptant ou encourageant des proc dures nouvelles mod les pr t construire concession d ouvrages publics dont la finalit est de permettre aux entreprises de se pr senter sur le march non plus en simples prestataires de service mais en inter venants majeurs capables d assurer toutes les fonctions d un v ritable industriel concep tion marketing construction et ventuellement commercialisation des ouvrages 65 Construction du pont de Choisy Mais l action de la puissance publique quels que soient ses effets direct
7. 3 3 2 En ce qui concerne l entretien et les grosses r parations il para t souhaita ble de voir se constituer des quipes groupant plusieurs corps d tat et capables de propo ser au client une organisation rationnelle du chantier permettant la r alisation de la tota lit des travaux dans les d lais pr vus avec d finition valable des prix Ces groupements de vraient faire un effort de prospection du march et d information des clients potentiels ce qui faciliterait certainement le d veloppement de ce secteur d activit les difficult s pour trouver actuellement l entreprise comp tente au moment voulu rebutant certainement des candidats l am lioration de leur logement ou de leur r sidence secondaire 3 3 3 Sur le plan des travaux neufs compte tenu de leur r partition g ographique dans le cadre de l industrialisation ces entreprises devraient pouvoir tre associ es la mise en uvre dans le secteur diffus et participer au service apr s vente compl ment de toute in dustrialisation 4 Conclusion Dans le souci d abaisser les co ts d am liorer la comp titivit des entreprises ainsi que Pa soulign le Comit B T P du VI Plan il convient de favoriser toute action permettant Vindustrialisation du secteur Il lui est apparu en particulier essentiel de favoriser la pro motion d entreprises majeures offrant sur le march des produits finis con us fabriqu s et commercialis s par elle
8. AA ex ANS mx Y e fes E nn Pro mo mg Un d veloppement des proc d s industrialis s m me dans le b timent industriel Entrep ts Ruxcis Photo S G T B A 42 Jusqu au batiment le plus elabore Casse d Epargne de Touros M Henry architecte Enfin plus que dans tout autre secteur de lourdes traditions p sent sur les compor tements et sur les structures Ventreprise sauf dans quelques cas particuliers comme la maison individuelle n aborde le march de la consommation qu au travers des ma tres d ouvrage et des ma tres d uvre Tiraill e entre les imp ratifs financiers des uns et les exi gences techniques des autres elle reste un agent conomique sous tutelle qui vit au jour le jour dans une perp tuelle incertitude quant la rentabilit de ses investissements en hommes en mat riels et en recherche Ces conditions sp cifiques de l activit des entreprises font que les techniques classi ques de gestion de l industrie ne peuvent pas tre transpos es sans pr caution et des op rations aussi d licates que F tude de prix d nn ouvrage et par suite le contr le budg taire des chantiers et de Pentreprise pr sentent des singularit s telles que seules des techniques sp cifiques appliqu es par des gestionnaires ayant une grande exp rience de la profession peuvent mencr au succ s LES L MENTS D UNE GESTION EFFECTIVE On a souvent compar le r le
9. Chauss es d tach dans l emploi de Directeur d parte mental de l quipement de la Seine Maritime est comp ter du 1 juin 1971 r int gr pour ordre dans son corps d origine et nomm Chef du Service r gional de l Equi pement Aquitaine en remplacement de M Philippon appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 M Jouvent Albert Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es d tach dans l emploi de Directeur d parte mental de l Equipement du Jura est compter du 1 juin 1971 r int gr dans son corps d origine et charg du Service du contr le des autoroutes conc d es Arr t du 5 mai 1971 M Campana Antoine Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es du cadre sp cial d tach dans l emploi de Directeur d partemental de l Equipement de Loir et Cher est compter du 16 mai 1971 r int gr pour ordre dans son corps d origine et nomm Chef du Service r gional de l Equipement de Haute Normandie Arr t du 5 mai 1971 M Belmain Marius Ing nieur des Ponts et Chaus s es Adjoint au Directeur d partemental de l Equipement de l Oise est compter du 16 mai 1971 nomm Direc teur d partemental de l Equipement de Loir et Cher en remplacement de M Campana appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 Par modification aux dispositions de l arr t du 5 mars 1969 M Orsini Robert est en sa nouvelle qualit d Ing nieur des Ponts et Chauss es plac en
10. a collabor avec Rh ne Poulenc pour la mise au point d une peinture applicable sur pl tre frais Les essais de fabrication industrielle sont en cours Cet ventail d exemples montre bien Putilit tr s imm diate de ces recherches pour l entreprise Le financement des entreprises par Yvan COMOLLI Ancien l ve de l Ecole Polytechnique Directeur g n ral du Comptoir central de mat riel d entreprise Pour bien comprendre quels niveaux se situent les besoins de financement des entre prises il n est peut tre pas inutile de rappeler la pr sentation sch matique g n rale d un bilan puis d examiner quels sont dans le cas particulier du secteur B T P les probl mes r soudre Nous nous efforcerons ensuite de d crire comment les diff rents circuits financiers i g n raux ou sp cifiques tentent d apporter ces probl mes des solutions satisfaisantes et j quelles sont les directions dans lesquelles s orientent actuellement les recherches en mati re financi re LES QUILIBRES FONDAMENTAUX D UN BILAN ACTIF PASSIF Immeubles B CAPITAUX PERMANENTS Capitaux A IMMOBILISATIONS Mat riels propres Participations Long terme Dettes terme Moyen terme C R ALISABLE a D DETTES A COURT TERME Fournisseurs et sous traitants Banques E B N FICE Pour simplifier et surtout clarifier l expos on a pratiqu plusieurs abstractions volon taires a Le poste actif Travaux en c
11. age est assur par les servi ces incendie locaux EN CONCLUSION Gr ce ce proc d la remise en tal d un tron on routier pollu par un d versement accidentel sera grande ment facilit e 11 sera toutefois sou haitable que les services de la voirie puissent disposer d un stock suffisant de ces deux produits Ces produits permettent de r soudre avec efficacit les probl mes de net toyage et d entretien r gulier des pistes d a rodromes garages parkings etc Pour tous renseignements s adresser Soci t SEFA Service Technique 5 bis passage Piver T l 357 46 16 75 PARIS XI 83 Nos lecteurs trouveront ci apr s des informations transmises par des entre prises travaillant pour les Ponts ef Chauss es ou int ressant les services des Ponts et Chauss es par certaines de leurs productions Le caract re documen taire de ces informations nous a paru justifier leur publication elles sont toutefois publi es sous la seule responsabilit des firmes int ress es LE SA 35 BARBER GREENE OU LE FINISHER MODERNE CONOMIQUE PAR EXCELLENCE Ce BARBER gt r unit un maximum d avantages PUISSANT mais CONOMIQUE POLYVALENT et PR CIS mais SIMPLE et ROBUSTE 1 PUISSANT De nombreux che vaux en r serve il POUSSE ais ment les camions il TIRE large et pais vite et bien il AVALE la production des plus grosses centrales IL CONOMIQU
12. cevoir J esp re toutefois que nos lecteurs sont sans illusions Les ambitions du nouveau P C M sont consid rables Elles ne sauraient tre poursuivies avec les seules forces des quatre Mineurs et des quatre Ponts qui m entourent au directoire La participation de tous sera n cessaire Le nouveau syst me lectoral a eu pr cis ment pour but de cr er un lien direct par le truche ment du bulletin de vote entre chacun des membres de l association et les dirigeants de celle ci Ce lien doit subsister au del de l lection sous forme de correspondances de suggestions ou de critiques Ne craignez donc pas de nous inonder de vos lettres nous nous efforcerons de r pondre rapidement chacune Ne craignez pas de venir au Secr tariat du P C M il reste ouvert en parti culier l heure du d jeuner pour vous accueillir Ne craignez pas en cas d urgence de t l phoner voire m me d appeler mon domicile 1 dans certains cas la rapidit de l intervention d termine le r sultat Mais puisque l activit du directoire ne saurait suffire il est un niveau de d multiplication o la pr sence et l action du P C M doivent tre largement d centralis es c est la R gion Les d l gu s r gionaux r cemment lus ont cet gard un r le fondamental jouer Is doivent se consi d rer non pas comme les simples bo tes aux lettres des directives nationales mais bien comme des responsables jouissant de
13. finies par un organigramme qui pr cise les responsa bilit s et les relations entre les membres de l entreprise Souvent les soci t s de travaux publics et de b timent ont t cr es et se sont d ve lopp es autour d un patron gt par lequel passait l essentiel des d cisions Une structure de ce type n est viable que jusqu une certaine taille d entreprise De toutes fa ons les techni ques comme les fonctions administratives devenant de plus en plus complexes il est souhai table que les dirigeants d l guent l chelon des chefs de service op rationnels les respon sabilit s d ex cution en r servant essentiel de leur activit aux t ches de pr vision et d orientation au choix des hommes En outre la cr ation d un pouvoir d centralis permet seule l engagement personnel des hommes condition qu il y ait d finition des responsabilit s claire et pr cise fixation chacun d objectifs personnels information des responsables jugement sur le contr le des r sultats Si l volution actuelle conduit in luctablement la d centralisation des d cisions au niveau des services op rationnels elle conduit au contraire une centralisation des services fonctionnels administratifs comme techniques pour faciliter le traitement informatique d velopper les sp cialisations favoriser la recherche On aboutit donc de nouvelles structures dans lesquelles des servic
14. lais de paiement des clients Ajoutons que si B A est positif on dit que l entreprise a un fonds de roulement posi tif puisque dans ce cas C est forc ment sup rieur D surtout si E existe ce que nous avons a priori suppos CAS PARTICULIERS DES B T P Transposons maintenant ces notions tr s g n rales et que nous nous excusons d avoir rappel es au cas particulier des entreprises de B timent et de Travaux Publics en nous bor nant des consid rations peut tre sch matiques mais que nous voudrions plus frappantes pour l imagination qu exhaustives A A l int rieur des IMMOBILISATIONS le poste Mat riel est de beaucoup le plus important La nature des activit s du secteur essentiellement nomades fait des mat riels mobiles de chantier Poutil de travail par excellence alors que dans d autres indus tries sid rurgie par exemple les immeubles que repr sentent les usines et les mat riels lourds install s poste fixe sont pr pond rants Le poste mat riel repr sente donc souvent 15 du chiffre d affaires quelquefois beaucoup plus 20 et 25 chez les entreprises de travaux routiers et ce malgr d samor tissements assez rapides Les immeubles taient jusqu ces derni res ann es surtout repr sentatifs d une infrastructure sociale trait e en g n ral assez sommairement si ge social ateliers d entre tien magasin central Les participations t
15. ouvrages industriels Essais sur mod les r duits d bit disponible atteignant 20 m s Etalonnage de pr cision Essais de r ception de centrales et tous essals et mesures LABORATOIRE D A RODYNAMIQUE Souffierie subsonique de 2 46 m de diam tre Vitesse max 40 m s Soutflerie supersonique 0 15 x 0 15 Vitesse max 2 2 M Bassin de car nes 117 m de long et 4 x 4 m de section Vitesse de remorquage atteignant 6 m s 81 IONS x INFORMATIONS x INFORMATIO Nos lecteurs trouveront ci apr s des informations transmises par des entre prises travaillant pour les Ponts et Chauss es ou int ressant les services des Ponts et Chauss es par certaines de leurs productions Le caract re documen taire de ces informations nous a paru justifier leur publication elles sont toutefois publi es sous la seule responsabilit des firmes int ress es PROC D POUR LE NETTOYAGE EFFICACE DES CHAUSS ES POLLU ES ACCIDENTELLEMENT Le transport par camions citernes des huiles min rales v g tales ou anima les est actuellement tr s intense sur notre r seau routier Ces v hicules sont parfois victimes d accidents renversement sur chaus s e qui perturbent ou entravent gra vement le trafic Diverses m thodes ont t employ es pour nettoyer les chauss es pollu es par ces accidents notamment l emploi de produits d tergents ou solvants Ces produits pr sentent l inconv nient d tre plus ou moins toxiqu
16. t du 19 mai 1971 M Gaillard Michel ing nieur des Ponts et Chauss es la Direction d partementale de l Equipement de l Aube est compter du 1 ao t 1971 mut dans l int r t du service la Direction d partementale de l Equipement du Puy de D me Arr t du 25 mai 1971 M Hoffmann Eug ne Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es d tach dans l emploi de Directeur d parte mental de l Equipement de la Meuse est compter du 16 mai 1971 r int gr pour ordre dans son corps d origine mis la disposition du Conseil Sup rieur des Transports en vue d y exercer les fonctions de Secr taire g n ral adjoint Arr t du 26 mai 1971 M Bosc Ren Ing nieur des Ponts et Chauss es au Service sp cial des Bases a riennes des Bouches du Rh ne est compter du 1 juin 1971 affect au groupe Urbanisme op rationnel et construction de la Direction d partementale de l Equipement des Bouches du Rh ne en remplacement de M Salat appel d autres fonctions Arr t du 28 mai 1971 M Vasseur Jacques Ing nieur G n ral des Ponts et Chauss es d tach dans l emploi de Directeur du B timent et des Travaux Publics est compter du 28 mai 1971 r int gr dans son corps d origine et affect au Conseil G n ral des Ponts et Chauss es Arr t du 3 juin 1971 M Vigny Charles ing nieur des Ponts et Chauss es pris en charge provisoirement par le Service r gional de l Equipemen
17. Direction de l Equipement Haute Savoie Baudin Ch teauneuf Societe Auonyme au capital de 4 000 000 de F Ch teauneuf sur Loire Loiret T l Orl ans 89 43 09 AGENCE DE PARIS 14 RUE MAUBLANC XVe 533 31 40 Pyc pubticit LA PAGE DU PR SIDENT D centraliser le P C M Le nouveau directoire ing nieurs des Mines et des Ponts et Chauss es r unis se doit de remercier et d assurer de son d vouement tous ceux qui fui ont manifest leur confiance lors des r centes lections Non seulement ceux ci mais encore tous ceux qui fort nombreux ont participe au vote et marqu ainsi leur int r t notre association Les Ing nieurs des Ponts avaient choisir entre deux listes D une campagne qui fut anim e on ne retiendra plus que l importance exceptionnelle de la participation lectorale 985 IPC soit pr s de deux sur trois et la courtoisie dont les discussions les plus vives ne se sont jamais d parties Un style a ainsi t cr dont les campagnes lectorales ult rieures ne pourront que difficile ment s carter l est juste de dire que ce r sultat est d pour la plus large part mon concurrent Gilbert DREYFUS que je tiens remercier ici ce titre au nom de tous et remercier aussi en mon nom personnel pour les f licitations amicales qu il a bien voulu m adresser apr s la proclama tion des r sultats Pour les nouveaux lus le plus difficile reste maintenant faire ne pas d
18. I DAIAIT WEI I DOINT WFI I POINT WFI TI POINT mosar serie g n rale et travaux publics 14 rue Armand Moisant Paris 15 WELLPOINT p mere Agences Paris Metun Nantes Rennes Lyon E RABATTEMENT DE NAPPE VACUUM CONCRETE PARIS 8 Chauss e d Antin PARIS 9 770 21 55 61 les gros tubes Hoechst Gros oui jusqu 1 200 mm Les conduits en Hostalen GM 5010 et ils vont loin longueur sont soud s bout bout Leurs parois sont unitaire jusqu 400 m absolument lisses interdisant ainsi les d p ts Parfois m me ts prennent la voie d eau Ils sont l gers et pourtant ils r sistent tout Mais qui pourrait reprocher aux conduits semi rigides au gel aux chocs comme aux produits chimiques en Hostalen GM 5010 d viter ainsi Quelquefois il faut savoir se les obstacles ils sont de grand diam tre defare de principes trop rigides Hostalen et pourtant ils savent faire de tout petits cercles Ecrivez nous nous savons Plus de raccords ni de materiaux d tanch it comment tourner les difficultes L Hostalen est une mati re plastique de Hoechst Les produits Hoechst sont fabriques et commercialises dans le monde entier Dans plus de 120 pays nos agents sont a votre disposition pour vous conseiller et vous donner toutes les informations techniques ou scientifiques que vous desireriez Feeds pense plus loim Je desire recevoir sans engagement de ma part vos 2 brochures sur l Hostal
19. Ing nieur G n ral des Ponts et Chaus s es d tach dans l emploi de Chef de Service r gional de l Equipement Languedoc est compter du 16 mai 1971 r int gr dans son corps d origine et charg de mission aupr s des Ing nieurs G n raux charg s des 20 et 21 circonscriptions d inspection g n rale avec r si dence administrative Montpellier Arr t du 5 mai 1971 M de Paulou Massat Jean Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Adjoint au Directeur d partemental de l Equipement de Maine et Loire est compter du 1 juin 1971 nomm Directeur d partemental de Equi pement de l Aisne en remplacement de M Trevilly appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 M Nau Andr Ing nieur en Chef des Ponts et Chaus s es d tach dans l emploi de Directeur d partemental de l Equipement des Hautes Pyr n es est compter du 16 mai 1971 r int gr dans son corps d origine et affect au Service de coop ration technique du Minist re de l quipement et du Logement Arr t du 5 mai 1971 M Rossi Ren Ing nieur en Chef des Ponts et Chaus s es Chef de la mission d Etudes et d Am nagement de la ville nouvelle de lisle d Abeau est compter du 1 juin 1971 nomm Directeur d partemental de l Equi pement de la Seine Maritime en remplacement de M Fou caud appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 M Foucaud Roger ing nieur en Chef des Ponts et
20. b timents et sp ciale ment du logement souffre de freins l volution et a m me marqu pendant la p riode 1960 1965 une pause apparente dans les progr s de productivit Sans entrer ici dans le d tail de cette question complexe disons que la situation que Pon constate en France ainsi d ailleurs que dans tous les pays d velopp s trouve son origine dans le poids des tradi tions et dans la multiplicit des agents concern s Chaque op ration de construction fait en effet intervenir l utilisateur final souvent rebelle Pinnovation qui tend s identifier pour lui l exp dient et au provisoire le ma tre d ouvrage l architecte et ventuellement un ou plusieurs bureaux d tudes une entreprise qui est toujours pour le moins multiforme en raison de la diversit des corps de m tier concern s enfin des industriels qui fournissent aujourd hui non plus seulement des compo sants l mentaires mais aussi des l ments de construction plus ou moins com plexes Nous sommes bien loin du sch ma simple qui caract rise la construction d un ouvra ge de g nie civil et on con oit ais ment que toute volution de quelque ampleur dans les conceptions ou dans les techniques ne puisse se g n raliser qu la faveur de l tablisse ment de consensus dont le processus ne peut tre que lent Enfin l am lioration des rendements par la mise en uvre des outillages modernes su
21. comme prestataire de service parpillement des ma tres d ouvrage tant publics que priv s permettant difficile ment le lancement de travaux importants Depuis quelques ann es PEtat s est efforc par son action de rem dier en ce qui le concerne aux divers inconv nients signal s Le Comit du B timent et des Travaux Publics a demand que cet effort soit poursuivi afin de permettre la branche d acc der une men talit industrielle source de progr s tous points de vue 2 Actions en vue de mieux appr hender le march 2 1 Le Comit du B timent et des Travaux Publics reconnaissant la difficult pour les entreprises d appr cier leur march souhaite qu un dialogue permanent entre ma tres d ouvrage et instances professionnelles permette d aboutir P tablissement d ch anciers de travaux tant au niveau national qu au niveau r gional ces ch anciers tant r guli rement tenus jour et accessibles aux entreprises 2 2 Pour sa part d s 1971 le Minist re de l Equipement et du Logement estime pouvoir fournir un tel ch ancier pour les op rations dont il est ma tre d ouvrage et r ussir le faire d s 1972 pour les autres Minist res Constructeurs et les Soci t s Nationales T1 men reste pas moins que la d concentration et la d centralisation ainsi que la r alisation de tra vaux importants par les collectivit s locales conduisent pr voir la cr ation d une ins
22. cours d butera en octobre Son th me est le calcul scientifique et technique sur ordinateur La revue B tir est depuis 1971 l organe qui rassemble toutes les publications de PUO T I visant une diffusion tr s large vers un public non scientifique d entreprises d archi tectes d ing nieurs ou de ma tres d ouvrages Enfin des conf rences des colloques sont organis s dans toute la France Bien qu ils soient destin s aux entreprises on y admet volontiers les autres professions 5 Quelques r sultats de la recherche Il n est pas question de donner ici un bilan complet des travaux de recherche mais seulement quelques exemples Des tudes en laboratoires et sur chantiers ont permis de d gager des recommanda tions permettant le b tonnage par temps froid ainsi que les m thodes et mat riels em ployer La publication en sera faite prochainement dans la revue B tir Des travaux sont en cours pour d terminer la contribution des cloisons int rieures quelle que soit leur constitution au contreventement d un b timent Le CO S TIC a mis au point des m thodes de calcul sur ordinateur d instaliations de chauffage ou de climatisation qui ont une valeur telle que la moiti des calculs de l esp ce faits dans le monde entier en 1970 sont sortis du CO S TIC Le C E B T P avec la Chambre Syndicale des Menuiseries M talliques a mis au point une marque de qualit CERFF de valeur certaine Le C E B T P
23. d Etudes Techniques et Economiques compter du 1 mai 1971 Pour y assurer la responsabilit des tudes techniques et conomiques concernant le domaine urbain l tranger Arr t du 28 avril 1971 M Huynh Van Diem Ing nieur des Ponts et Chaus s es en service d tach aupr s du Minist re des Affaires Etrang res est maintenu compter du 21 d cembre 1970 dans la m me position et dans les m mes fonctions pour une nouvelle p riode de 3 ans ventuellement renouve lable Arr t du 28 avril 1971 M Manuel Gilbert Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es en service d tach aupr s du Minist re des Affaires Etrang res pour servir l Organisation de l Avia tion Civile internationale est compter du 8 avril 1971 r int gr dans son corps d origine et remis la dispo sition de l Inspection G n rale de l Aviation Civile Arr t du 30 avril 1971 M Ostenc Philippe Ing nieur des Ponts et Chauss es est compter du 15 janvier 1971 plac en service d ta ch pour une p riode de 2 ans ventuellement renouve lable aupr s du Secr taire d Etat aupr s du Ministre des Affaires Etrang res en vue d exercer des fonctions de son grade en R publique de la C te d ivoire au titre de la Coop ration technique Arr t du 6 mai 1971 M Galatoire Mal garie Henri Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es en service d tach aupr s du Minis t re du D veloppement Industri
24. la demande en mati res d quipements immobiliers de toutes natures est appel e s accro tre largement au cours des prochaines d cennies 69 quelques raisons L EXPERIENCE 60 ans LE PARC Le plus grand parc mondial Le plus grand parc fran ais LE SERVICE Le plus grand stock europ en de pi ces pour finisseurs les chantiers importants d j 12 en Europe LE DISTRIBUTEUR STIME Agences r gionales quipes sp cialis es de d pannage 24 h sur 24 VOTRE GARANTIE LA TECHNIQUE Green y la gamme traditionnelle 3 S A 41 sur chenilles finisseur d entreprise sp cifique pour routes et autoroutes 9 S B 30 le seul gros finisseur de pr cision sur pneus au code de la route SB 41 d riv du S A 41 mais sur pneus SA 35 un engin robuste qui peut tre mis entre toutes les mains 873 travaille sur chenilles se d place sur pneus la gamme hydrostatique me E e t S B 20 enti rement hydrostatique fabriqu aux por et bient t en Aniar S B 50 fabriqu aux tats Unis et en Grande Bretagne pr sent sur tous t SES FILIALES M CASTIME asservissements TEMATRA adaptations 5 avenue Montaigne 75 PARIS 8e T l 359 51 69 LES ASSERVISSEMENTS Nouveau syst me proportionnel de contr le HONEYWELL Guidage LASER Service complet et location d asservissements M CASTIME 28 rue du Chateau d Eau 75 PARIS 10 T l 208 16 45 Quand on pense BARBER GREENE on pense finisseur et po
25. la plus large libert d initiative lls doivent donc se pr parer d une part participer activement la d finition de la politique nationale de l association et d autre part mettre celle ci en uvre sur le plan de leurs r gions en choisissant les moyens qui leur para tront les meilleurs Il leur appartiendra par exemple d organiser localement les rapprochements et les rencontres p riodiques d jeuners ou diner d bats conf rences groupes de travail mixtes etc avec nos partenaires sociaux privil gi s lus locaux corps techni ques jeunes dirigeants d entreprise journalistes magistrats eic Ils devront d signer les rappor teurs r gionaux des sujets mis l tude Ce sont eux encore q i apr s s tre entour s des avis des experts les plus qualifi s adresseront au directoire leurs conclusions ou propositions eux qui devront animer les actions de formation permanente etc Leur t che aussi sera donc tr s lourde C est pourquoi il appara tra vraisemblablement n ces saire de choisir des IM ou des IPC susceptibles de les pauler au niveau de chacune des vingt et une r gions de programme Certaines r gions poss dent d j des groupes P C M particuli rement actifs Pourquoi ne le deviendraient ils pas tous s int grant ainsi parmi les l ments qualifi s d une vie r gionale chaque jour plus intense 1 91 53 42 76 z qa tue Le pont de Tancarville 26 Pr Importance des
26. mobilier pour le mat riel immobilier pour les investissements lourds proc dures qui manipul es avec circonspection peuvent tre mo mentan ment utiles Mais c est dans le bas du bilan que se nouent en g n ral les drames de conscience de l entrepreneur En effet la composition m me du poste Clients en fait le terrain r v jug capa ble d une lasticit infinie On y ressent imm diatement Finfluence de toute variation conjoncturelle surtout dans le sens restrictif Tout retard dans les paiements des Administrations ou des collectivit s d termine un gonflement de ce poste pour le porter 6 8 ou 10 mois de chiffre d affaires Or en face l action possible sur les postes correspondants est tr s limit e En limi nant celle qui consiste faire supporter l tat sous la forme de retards sociaux ou fis caux les cons quences de ses propres d cisions l allongement des d lais de paiement con sentis par les fournisseurs et les sous traitants est tr s troit en p riode de mauvaise conjoncture conomique ces cat gories d individus ou d entreprises sont atteintes de m me fa on Le seul poste relativement plus lastique est le poste Banques Et c est pourquoi le recours au cr dit court terme est si important pour les entreprises qui sont en cela en m me temps que les banques et en raison m me de leur d pendance des Pouvoirs Publics puissamment aid es par la Caisse Nation
27. nomm Directeur d partemental de l quipement des Landes compter du 1 juin 1971 en remplacement de M Benquet appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 M Philippon Jean Baptiste Inspecteur G n ral de la Construction d tach dans l emploi de Chef de Service r gional de l Equipement Aquitaine est r int gr dans son corps d origine et affect au Conseil g n ral des Ponts et Chauss es compter du 1 juin 1971 Arr t du 5 mai 1971 M Bouttier Armand ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es charg de mission aupr s du Directeur d par temental de l Equipement des Pyr n es Atlantiques est nomm compter du 16 mai 1971 Directeur d partemen tal de l Equipement des Hautes Pyr n es en remplacement de M Nau appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 M Mat Pierre Ing nieur des Ponts et Chauss es Adjoint au Directeur d partemental de l Equipement de la Haute Marne est nomm compter du 16 mai 1971 Directeur d partemental de l Equipement de la Haute Marne en remplacement de M Voinot appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 M Vauday Paul ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es la Direction d partementale de l Equipement du Bas Rhin est nomm compter du 1 juin 1971 Direc teur d partemental de l Equipement du Jura en remplace ment de M Jouvent appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 M Colin Henri
28. routi re BATIMENT Isolation de terrasses Isolation phonique et thermique des planchers O Y nr e Bureau d Ing nmieurs Conseris 19 r Alphonse de Neuviile bel lier PARIS 17 T l 622 35 90 T iex COYBELIE 28177 F Am nagements hydrauliques et hydro lectriques Barrages Prospection de bassins M canique des sols M canique des roches Fondations Infrastructures Ouvrages d art Grands immeubles B ton arm et pr contraint Lutte contre la pollution Assainissement Am nagements urbains et souterrains FONDASOL SI GE SOCIAL 139 bis route de Tarascon AVIGNON BUREAU D TUDES DE SOLS ET FONDATIONS ON SE Be ED TUE EN ES x SONDAGES ESSAIS DE SOLS DIRECTION amp BUREAUX a MONTFAVET B P n T l 83 03 96 3 lignes group es CENTRE METZ place Saint Fhi bault T l 68 78 28 et 68 78 29 AGENCE CHALON SUR SAONE 19 rue Saint Georges T i 48 45 60 PARIS 5 bis rue du Louvres T l 231 40 98 et 236 21 43 td INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE TOULOUSE COLE NATIONALE SUP RIEURE D LECTROTECHNIQUE D LECTRONIQUE D INFORMATIQUE ET D HYDRAULIQUE INSTITUT DE MECANIQUE DES FLUIDES LABORATOIRE ASSOCI AU C N R S 2 rue Camichel T l Laboratoires Ecole 61 22 54 20 et 62 46 TOULOUSE 01 Laboratoire de Banl ve 61 52 86 48 LABORATOIRES D HYDRAULIQUE fond s en 1917 Etudes th oriques et exp rimentales de tous probl mes et de tous
29. s aux quipements collectifs et au logement aid le principe de Pannualit bud g taire s accordant mal de plus avec leur rythme de production aggravant ainsi Pirr gula rit de leur activit Elles vivent de ce fait dans une perp tuelle incertitude quant leur mar ch futur ce qui ne favorise videmment pas les r formes de structure n cessaires la mutation du secteur 1 6 Bien que globalement l activit du b timent et des travaux publics d pende pour une large part des pouvoirs publics contradictoirement le March est morcel Pextr me compte tenu des n cessit s g ographiques de la d concentration de la d centralisation des d l gations de pouvoirs faites de nombreux ma tres d ouvrage Dans le secteur priv il en est d ailleurs de m me et dans le b timent en particulier rares sont les promoteurs assurant le financement d un nombre important de logements sus ceptibles d aboutir la mise en place de structures adapt es une industrialisation pouss e de la production 1 7 Ce rapide survol permet de se rendre compte des lacunes essentielles du mar ch difficult de connaissance du march et partant impossibilit pratique de mar keting irr gularit de la demande compte tenu des al as et de la conjoncture et partant manque de continuit d finition des ouvrages au coup par coup avec rarement recours au produit fini l entrepreneur agissant souvent
30. secteur de la construction car la concentration des entreprises n implique nullement la concentra tion des chantiers Il en r sulte notamment et ceci est une cons quence fort importante sur le plan des processus de formation des prix que sur un chantier de taille moyenne une grande entreprise n est pas avantag e dans la concurrence du seul fait de sa dimension On vient d voquer les processus de formation des prix ici encore on constate une situation tr s particuli re qui tient l absence en g n ral de prix de r f rence il n y a pas grand chose de commun si ce n est le fait qu il y entre une certaine quantit de ciment d agr gats et d aciers entre un m de b ton d un pont routier et un m de b ton de la structure d un immeuble La pr vision du prix de revient pose ainsi sur chaque chantier un probl me nouveau qui doit tre trait en tenant compte non seulement de quantit s d l ments connus mais propres au chantier et done difficiles chiffrer mais aussi d l ments al atoires dont l appr ciation peut tre subjective par exemple lorsqu il s agit d ouvrir un chantier dans un secteur g ographique non encore prospect quelle sera l interaction du per sonnel d encadrement de l entreprise et du personnel d ex cution qu on embauchera sur pla ce Dans ces conditions le niveau des prix est constamment remis en cause par le jeu de la confrontation de l offre et la demande de travaux sans b n fic
31. sp cifiques qui ne se retrouvent pas dans d autres industries L importance de ce secteur dans l conomie nationale son r le dans le domaine co nomique et social et la n cessit de pr voir une adaptation la concurrence internationale alors que jusqu maintenant le secteur de la construction dans son ensemble pouvait tre consid r comme un secteur abrit gt conduisent souhaiter une industrialisation accrue de la production permettant un abaissement des co ts et une am lioration de la productivit mais ce r sultat ne peut tre obtenu sans un changement des structures qui peut tre large ment favoris par une adaptation du march Avant d examiner les actions susceptibles d am liorer la formulation de la demande il me para t souhaitable de rappeler les caract res sp cifiques qui cr ent dans une certaine mesure un frein au d veloppement harmonieux de cette industrialisation 1 Particularit s du march B T P 1 1 Bien qu on ait continu de classer dans le m me secteur d activit les entre prises tr s diverses allant de celle qui r alise un barrage celle qui assure l entretien ou les petites r parations il est bien vident que les conditions du march sont diff rentes pour les l ments de cet ensemble peu homog ne mais il n en reste pas moins que certaines caract ristiques resteront communes 1 2 D une fa on g n rale actuellement la majeure partie des tr
32. volution de l l vation g n rale du standard de vie tiennent compte quitablement des suj tions propres au travail sur le chantier et redressent la f cheuse tendance constat e ces derni res ann es suivant laquelle les salaires croissaient moins vite dans les emplois de B T P que dans les emplois stables en usine une meilleure association de la main d uvre la vie de Pentreprise qui la rende participante et r ellement soucieuse tous les niveaux hi rarchiques de contri buer l am lioration de la productivit et en r sum faire en sorte que l acquisition d une nouvelle image de marque atti re les jeunes vers les carri res du B T P et garantisse ainsi Pavenir du capital humain des entreprises Un tel programme suppose bien entendu que soient au moins partiellement corrig es la pr carit et l insuffisance de planification qui caract risent aujourd hui la vie des entre prises car on con oit mal une main d uvre participante qui ne soit pas assur e d une cer taine stabilit de l emploi L volution esquiss e plus haut contribue la r alisation de cet objectif mais ne saurait pr tendre redresser compl tement la situation car il est dans la nature des choses que les entreprises de B T P soient de m me que par exemple les entreprises de manutention dans les ports soumises de notables variations d activit le probl me de la main d uvre temporaire reste donc pos et devra
33. 1 M Trevilly Emile Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es du cadre sp cial d tach dans l emploi de Directeur d partemental de l quipement de l Aisne est r int gr pour ordre dans son corps d origine et nomm Chef du Service r gional de l Equipement de Champagne Ardennes en remplacement de M Lescanne retrait A compter du 16 mai 1971 Arr t du 5 mai 1971 M Salva Jean ing nieur en Chef des Ponts et Chaus s es d tach dans l emploi de Directeur d partemental de l quipement des Alpes Maritimes est r int gr pour ordre dans son corps d origine et nomm Chef du Service r gional de l Equipement Languedoc Roussilion A compter du 16 mai 1971 Arr t du 5 mai 1971 A titre de r gularisation M Giraud Ren Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es est plac en service d tach aupr s du Minist re d Etat charg de la D fense nationale pour exercer les fonctions de ma tre de conf rences l Ecole Polytechnique pour la p riode du 1 juil let 1967 au 1 octobre 1969 date de sa r int gration dans son administration d origine Atr t du 10 mai 1971 A titre de r gularisation M Millet jean Ing nieur des Ponts et Chauss es nomm Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es le 1 janvier 1968 est plac en service d tach aupr s du port autonome de Bordeaux en vue d y exercer les fonctions de Chef du Service des Travaux neufs pour la p riode du 1 juin 1966 au 1
34. 4 3 Le suivi de la recherche Chaque grand projet est d ores et d j suivi par des groupes de travail d ing nieurs d entreprises int ress s par le sujet qui sont appel s p riodiquement donner leur avis sur l avancement des tudes 4 La diffusion de la recherche C est l une difficult majeure D abord par nature les chercheurs sont des gens hum bles discrets et m me facilement secrets et en outre scrupuleux de sorte qu ils sont peu enclins dire ce qu ils savent et surtout le dire trop t t Mais par ailleurs les milieux du b timent quels qu ils soient sont en g n ral peu r ceptifs l innovation surtout l poque actuelle de difficult s financi res Les groupes de travail et les commissions techniques sont bien inform s Mais Pexp rience montre que la diffusion ne va pas au del et notamment pas vers les sp cialit s voi sines qu une recherche pourrait int resser Les Annales de PIT B T P sont l organe de diffusion vers le public des ing nieurs de bureaux d tudes Il est pr vu partir d octobre 1971 d approfondir leur efficacit en substituant progressivement aux conf rences de l I T B T P du mardi d int r t variable des cycles d tudes comportant une p riode pr liminaire de pr paration de rapports et une ou deux journ es de discussion les rapports finaux tant publi s dans les Annales Le pre mier cycle dont la p riode pr paratoire est en
35. E Economique Pachat cest la machine la moins cher la tonne d enrob s r pandue Pheu re Economique l utilisation toujours disponible le SA 35 terminera dans les d lais Economique entretien C est le Finis her sans probl me Le SA 35 sera la machine de PEntre prise qui veut gagner de Pargent IH POLYVALENT Fleuron de beaucoup de petites entreprises le SA 35 fait galement partie de l qui pement de nos grandes Soci t s natio nales Du parking Pautoroute tous les ty pes de chantiers ont d j t r alis s par le SA 35 Polyvalent galement gr ce son train de chenille le SA 35 ne patine jamais sur une fondation m ritant de recevoir de l enrob Polyvalent enfin dans ses domaines d application il acceple tous les pro duits routiers IV PR CIS Dans les r glages d paisseurs et la compaction des pro fils soit manuellement soit quip des toutes derni res techniques de r 84 gulation lectronique le SA 35 assure un compactage optima n affectant pas le bon quilibre de Ja table de nivelle ment Pr cis dans sa conduite gr ce une direction souple permettant un rayon de courbure sans coup depuis ses deux postes de pilotage V SIMPLE Le SA 35 est la ma chine sans myst re construite d l ments prouv s Il est con u de techniques m caniques modernes qui en font un Finisher fia ble Facile d
36. Le Comit du B ti ment et des Travaux Publics a sugg r par exemple la constitution de r seaux de distribu tion assurant la r alisation du m me mod le en divers lieux une quipe m re mettant au point le mod le l organisation industrielle et le mode d emploi et assurant l assistance tech nique aux autres entreprises du r seau 3 2 4 Le concours des maisons individuelles a marqu un pas de plus vers la production d un produit fini les laur ats devant fournir galement le terrain Le Pr t Construire va dans le m me sens puisqu il tend int grer lP l ment foncier et l quipe ment du terrain au prix du logement De m me dans les zones d am nagement concert les quipements collectifs doivent tre r alis s en m me temps que les logements ou les instal lations industrielles et commerciales 3 2 5 Le Comit du B timent et des Travaux Publics a pr conis le d veloppe ment de ces proc dures et l incitation aux groupements d entreprises pour satisfaire la demande Il est certain qu elles pr parent Pintervention directe des entreprises sur le mar ch ce qui doit leur permettre de mieux l appr hender et conduire une gestion indus trielle mise en place de constructeur promoteur de groupements avec r seaux de distribu tion Comme dans le cas du g nie civil les responsabilit s financi res qui en d coulent sont tr s diff rentes de ce qui existe l tat actu
37. RM E OSSATURE FONDATIONS SOUS UVRE 37 sc notre cible les micropolluants E notre arme f OZONE Pierre Lepage Degremont Dans sa lutte contre la micro pollution DEGREMONT dispose d un atout majeur l OZONE pouvant agir comme oxydant agent de d sodorisation as ds RSS agent de d composition Rs Lee HER ER agent de d coloration Life Chr antiseptique utilisant le proc d WELSBACH les ozoneurs multitubulaires DEGREMONT ont atteint les meil leurs rendements qualitatifs et nerg tiques connus 183 route de St Cloud 92 RUE L MALMAISON T l 1 772 25 05 Ozoneur d AUBERGENVILLE le plus puissant du monde Probl mes de gestion dans l entreprise de b timent et de travaux publics par Georges RIBES Ing nieur des Ponts et Chauss es Administrateur Directeur g n ral de la Soci t des Grands Travaux en B ton Arm L entreprise de b timent et de travaux publies est actuellement en pleine mutation Depuis une dizaine d ann es son effort de modernisation a port principalement sur le plan technique d veloppement de proc d s industrialis s pour le b timent progr s dans les performances des mat riels et renforcement du potentiel des entre prises pour les travaux publics adoption de plus en plus fr quente de techniques modernes d organisation des chan tiers pour Pensemble de la branche Les r sultats de cet effort
38. acc s Pentretien et les r gla ges ne posent aucune difficult Le SA 35 est simple d utilisation son conducteur sera rapidement qualifi VI ROBUSTE La simplicit m canique du SA 35 laisse la place pour surdimensionner tous les l ments Dans de nombreuses ann es votre SA 35 sera toujours aussi fid le Etant de surcro t un BARBER GREE NE il maura pas vieilli H n est donc pas tonnant que le SA 35 soit Pheure actuelle le Fi nisher de base de la plupart des Entre prises Routi res et qu il soit le pivot de la plus grande gamme de Finishers 873 SB 20 SB 30 SA 35 SB 41 SA 41 SB 50 Le Finisher SA 35 offre le maximum de polyvalence au meilleur prix de revient Votre premier BARBER gt sera un SA 33 car il permet d obtenir les meil leures r f rences et de compl ter plus tard un parc de Finishers dans une gamme compl te de machines desti n es des besoins plus particuliers Votre prochain BARBER sera un SA 35 car il correspond la majorit de vos chantiers STIME 5 avenue Montaigne 75 PARIS 8 T l 359 51 69 de x INFORMATIONS x INFORMATIONS x r m A A e a AN
39. aient en g n ral faibles ou inexistantes B En comparaison les entreprises B T P l origine bien souvent affaires d un hom me disposent de peu de capitaux propres le seuil de 10 du chiffre d affaires est rare ment atteint Pourtant ce qu il est convenu d appeler dans les comptes g n raux de la Nation le Financement de ia formation de capital par les entreprises individuelles est aussi im portant pour le B T P 2 milliards en 1966 que pour toutes les autres branches de l indus trie 2 1 milliards Ceci est essentiellement d la structure de la Profession 300 000 entre prises dont encore 240 000 artisanales Mais les capitaux propres sont surtout form s partir de Y pagne brute des soci t s ce qui implique d abord la pr sence de soci t s et aussi une certaine rentabilit 57 58 Or cette pargne brute qui repr sente 70 des comptes de capital pour l Industrie sans B T P ne repr sente que 47 pour les B T P Les capitaux propres tant faibles les dettes terme sont une n cessit Bien videm ment le poste Moyen terme correspondant au paiement des mat riels se retrouve dans tous les bilans et rev t une r elle importance Sachant au surplus que l un des ratios essentiels exig s des entreprises saines est que les dettes terme ne doivent en aucun cas exc der les capitaux propres on discerne ais ment que la pr servation d une m
40. al de l Equipement des Vosges a t nomm officier J O du 16 mai 1971 M Pebereau Georges Jean Joseph Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Paris a t nomm officier 3 0 du 16 mai 1971 M Sireyjol Pierre Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es a t nomm officier J O du 16 mai 1971 M Saglio Jean Fran ois ing nieur en Chef des Mines est nomm au Comit de bassin Seine Normandie au titre de d l gu du Premier Ministre par arr t du 4 mai 1971 J O du 16 mai 1971 71 NOMINATIONS M Faure Marcel Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es adjoint au Directeur d partemental de Equi pement de la Haute Savoie est nomm Directeur d par temental de l quipement de la Savoie en remplacement de M Beau plac en position de disponibilit sur sa demande A compter du 16 mai 1971 Arr t du 5 mai 1971 M Augier Ren ing nieur des Ponts et Chauss es la Direction d partementale de l Equipement du Rh ne est nomm Directeur d partemental de l Equipement de la Meuse en remplacement de M Hoffmann appel d autres fonctions A compter du 16 juin 1971 Arr t du 5 mai 1971 M Winghart Jean Ing nieur des Ponts et Chauss es la Direction d partementale de l Equipement de l Is re est nomm Directeur d partemental de l Equipement de la Marne en remplacement de M Hamon appel d au tres fonctions compter du 16 mai 1971 Arr t du 5 mai 197
41. ale des March s de l Etat LES CIRCUITS DE FINANCEMENT L ensemble des caract ristiques sp cifiques pr sent es par les entreprises B T P pla c es face leurs probl mes financiers ainsi que l importance m me de la Profession sur le plan de l Economie Nationale font que pour son financement le secteur B T P dispose en fait de deux circuits L un fait appel aux m canismes classiques de cr dit mis en place par les banques el les institutions financi res l autre est base professionnelle 59 Bien entendu de nombreux ponts existent entre les deux circuits dont les m mes organismes font souvent partie et leurs actions ne sont pas parall les mais dans la plupart des cas compl mentaires En cr ant ses propres organismes la Profession n a d ailleurs pas eu des vues autarci ques que l imbrication des ph nom nes conomiques aurait imm diatement condamn s mais simplement le souci de voir des professionnels se pencher les premiers sur les probl mes pos s la Profession pour y trouver des solutions adapt es et convier ensuite les financiers classiques s y associer Il est aussi notable de constater que les organismes base professionnelle sont beau coup plus importants dans le domaine du financement des investissements o se posent les probl mes les plus d licats Dans le domaine du court terme les services rendus par les Banques assist es effi cacement par la C N M E sont suf
42. andard de vie demande de plus en plus ardemment stabilit de Pem ploi et confort physique dans le travail 63 LES FREINS A L VOLUTION H existe une extraordinaire vari t dans les activit s de construction mais toutes ont ceci de commun qu elles comportent la r alisation d ouvrages incorporer un domaine immobilier sur laquelle l entreprise n a en g n ral aucun contr le De cette originalit d coulent pour l entreprise des contraintes particuli res travailler sur les biens du client im plique le plus g n ralement une servitude technique son gard et la soumet Val a per manent de la recherche de nouveaux chantiers tous diff rents quand ce ne serait que par leur localisation g ographique Elle est ainsi condamn e faire preuve d une tr s grande sou plesse exigence qui se concilie mal avec le d veloppement d une planification moyen terme dont on s accorde reconna tre qu elle est dans le contexte d un monde conomique mo derne le principal imp ratif d une gestion efficace et favorable au d veloppement de la pro ductivit Un autre caract re essentiel el souvent m connu des industries du B T P doit tre soulign dans la production industrielle classique la concentration des entreprises est un facteur de productivit parce qu elle entra ne la concentration des unit s de production qui conduit une r duction des prix de revient Or il n en est pas de m me dans le
43. arge d endettement correcte Capitaux propres moins dettes terme est essentielle pour une entreprise qui veut se d velopper C Les stocks des entreprises B T P sont en g n ral faibles mais en revanche l im portance du poste clients y compris les vrais Travaux en cours est bien des gards le barom tre de la bonne marche d une affaire Pour les entreprises de B timent le client est 60 directement ou indirecte ment l Etat Pour les T P ce pourcentage atteint 80 Un poste client atteignant 3 4 mois de chiffre d affaires peut tre consid r comme normal D Les fournisseurs et sous traitants sont en g n ral pay s court terme 90 jours pour les fournisseurs un peu moins pour les sous traitants La diff rence entre la tr sorerie provenant de ces facilit s et les sommes encore dues l entreprise au poste clients ou provisoirement immobilis es dans les stocks est fournic par les circuits de cr dits court terme Banques notamment Il faut ici mentionner l importance de la mobilisation de cr ances par l interm diaire de la C N M E corollaire normal de la place pr pond rante de PEtat et des collectivit s pu bliques dans le carnet de commandes des entreprises Une premi re conclusion s impose d s maintenant les quilibres fondamentaux des bilans des entreprises B T P sont en g n ral fragiles la faible rentabilit qui entretient la
44. attribution de lots plus importants la g n ralisation des march s pluriannuels et d une mani re g n rale la recherche de la continuit le d veloppement des proc dures de d voiution de travaux dans lesquelles Pentre prise retrouve son initiative et prend ses responsabilit s pr t construire dans le b timent concessions pour les travaux publics 49 SETEP maquette p tribout photo j p moulin Les quipements C F E E permettent le contr le automatique des usagers d un parking public ou priv Le D partement Trafic et Stationnement de C F E E met votre disposition une gamme compl te d quipements permettant de solutionner tous les probl mes de contr le p age comptage et alarme C F E E vous apporte le concours exp riment d un bureau d tudes europ en au Courant des techniques les plus r centes et poss dant les r f rences les plus nombreuses cherchons agents pour la province AUTOMATISME DE CONTROLE POUR PARKINGS e lecteurs de cartes d abonn s e distributeurs de tickets horodat s e r cepteurs de monnaie ou de jetons e barri res automatiques e d tecteurs de v hicules e cabines de p age caisses enregistreuses e comptage guidage e horodateurs avec ou sans caleul automatique du prix R duisez votre personnel Supprimez toutes fraudes Rentabilisez vos investissements en utilisant un automatisme de contr le C F E E 90 rue danton 92 leval
45. avaux s effectue sur chantier ce qui soumet la production aux al as climatiques g ologiques De ce fait l outil de production risque de subir des coups dans son rythme d autant plus que la nature du produit interdit pratiquement la constitution de stocks susceptibles de parer ces diff ren ces de niveaux d activit 1 3 Dans la plupart des cas il n est pas demand un produit fini Pentrepreneur agit plut t comme prestataire de service l acte de construire faisant intervenir plusieurs cat go ries de professionnels entre le client et le r alisateur 31 32 1 4 Le March est largement domin par l Etat que ce soit comme ma tre d ouvrage ou tuteur des ma tres d ouvrages que comme repr sentant des usagers En effet l activit des Travaux Publics d pend pour 80 des Pouvoirs Publics et celle du B timent 50 soit directement ou indirectement secteur aid du Logement par exemple Enfin pour la partie non aid e le facteur d entrainement des d cisions prises par l Etat ma tre d ouvrage est souvent d cisif 1 5 I en r sulte que les entreprises n ayant pas un acc s direct au March d pen dant pour une grande part des d cisions prises par l Etat ne peuvent tablir leur programme et d finir leurs structures comme d autres industries en fonction d un march statistique mais subissent les cons quences de la politique conjoncturelle surtout au niveau des cr dits destin
46. ces prestations tant pr vu d s le stade de l tude de prix Chaque chef de service op rationnel ou fonctionnel est ainsi responsable de son bud get annuel dont le respect constitue un de ses objectifs personnels Enfin on pourra passer de la pr vision annuelle que repr sentent les budgets une pr vision pluriannuelle par exemple par la m thode des plans de financement cinq ans bas s sur des hvpoth ses globales d activit et de rentablit des diff rents secteurs de l en treprise hypoth ses d duites des r sultats des exercices pr c dents et des perspectives du march C est au stade de la pr vision pluriannuelle qu interviendront les objectifs s n ranx et Tes choix fondamentaux vocation de l entrenrise modification des structures choix des modes de financement Une gestion pr visionnelle neut donc tre mise en nlace dans l entreprise de h timent et de travaux publies nartir de la d termination successive des bilans pr visionnels de chaque chantier des budgets annuels de chaque service et de l entreprise du plan de financement pluriannuel au niveau de l entreprise Cette gestion pr visionnelle est seule m me d anporter aux dirigeants et Pensem ble des responsables une d termination nr cise des prix de revient r els et par suite de pr parer les orientations essentielles de l activit Mais il imnorte de souligner que toute pr vision n a de sens que
47. comparable au d graissage lectrolytique employ en m tal lurgie B Les graisses v g tales animales ou compouds subissent une saponifica tion acide qui permet leur limi nation par un simple rin age Peau CLEANSOL S poss de les propri t s antiseptiques bact ricides et fon gicides Ces propri t s sont transmises au sol L odeur d une surface trait e au CLEANSOL west pratique ment pas perceptible elle est cepen dant r pulsive pour les insectes et les carte des surfaces trait es CLEANSOL S permet une bonne adh rence des rev tements de sols peinture bandes axiales etc jt peut donc tre utilis la pr paration des sols avant ces travaux Travaux de lavage de sol avec Cleanso S et mat riel industriel pour traitement de grandes surfaces a roports usines etc l PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT CLEANSOL P et CLEANSOL S gt sont totalement biod gradables et r pondant la l gislation interdisant Pemploi des produits qui ne sont pas biod gradables voir d cret Journal Officiel n 70 872 du 30 9 70 Les tudes effectu es en laboratoires par le CENTRE NATIONAL D TUDES et de PROTECTION des ALIMENTS MAT RIAUX et TRES VIVANFS C N E P confirment ces qualit s L mulsion des graisses avec CLEAN SOL gt rinsi que le m lange huiles poudre est totalement hiod gradable ce qui permet un rejet imm diat dans le r s
48. de modernisation se sont traduits par d importants gains de productivit horaire la production apparente de la main d uvre a progress au cours du V Plan un taux annuel moyen de 5 8 des d lais moindres et des prix inf rieurs alors que sur les dix derni res ann es les co ts des mat riaux ont cr de 50 et les salaires de plus de 100 l indice du co t de la construction a augment de 50 seulement et le prix plafond H L M de moins de 20 une avance ind niable sur le plan international des techniques francaises d in dustrialisation du b timent Mais ces brillants r sultats techniques n ont pas t accompagn s d un gain de renta bilit pour les entreprises C est tout le contraire la rentabilit nette reste pour 90 des entreprises de b timent inf rieure 2 du chiffre d affaires pour les entreprises de tra vaux publics elle est tomb e en moyenne de 2 du chiffre d affaires en 1966 0 8 en 1969 Cette situation critique est pour une large part la cons quence de l organisation actuelle du march dans lequel l Etat joue un r le primordial et dont les m canismes n cessitent de profondes r formes Mais il est galement indispensable que l effort de modernisation technique des en treprises s accompagne d une modernisation des m thodes de gestion Une partie des entrepreneurs n ont pas encore acquis une mentalit industrielle un tat d esprit
49. du gestionnaire dans l entreprise celui d un comman dant de navire a l entreprise doit avoir des objectifs d finis l avance avec pr cision quivalents de la destination et du plan de navigation pour le navire b elle doit disposer d une structure pr cise de commandement et de responsabilit comparable au lt r le la mer de l quipage c ses instruments de navigation sont les m thodes du contr le de gestion LES OBJECTIFS LA GESTION PR VISIONNELLE La technique reine de la gestion moderne est celle de la pr vision il n est de gestion que pr visionnelle Tout particuli rement dans la profession du b timent et des travaux pu blics pr voir c est substituer le rationnel et le quantitatif au pragmatisme et Pexp rience personnelle La base de toute pr vision dans l entreprise concerne la cellule l mentaire d activit que constitue le chantier Le m tier de l entrepreneur consiste remettre des offres de prix pour obtenir des affaires puis mener le chantier de telle sorte que les recettes couvrent non seulement les charges directes du chantier mais aussi l ensemble des charges de structure de l entreprise Chaque chantier nous Pavons d j soulign est un cas particulier et chaque tude de prix doit tre consid r e comme une op ration nouvelle et originale On con oit donc Pimportance accorder dans l entreprise la fonction tude de prix Le premie
50. e recherches ou grand projet l op ration l mentaire ou projet l mentaire Par exemple un th me est am liorer le confort d ambiance un grand projet est d veloppement du chauf fage lectrique un projet l mentaire est isolation thermique des fen tres Pour chaque grand projet est tabli un programme complet d tudes et recherches commen ant la recherche des travaux d j effectu s ailleurs pr voyant les projets l men taires mener avec leur succession dans le temps et envisageant les moyens de diffusion La pr cision de ces pr visions sera tr s variable selon qu il s agit de recherches fondamen tales d invention pure ou de d veloppement Le programme pr voit la participation d organismes de l U T I autres que les labo ratoires voire celle d organismes ext rieurs bureaux de contr le laboratoires publics a boratoires industriels Chaque projet l mentaire fait l objet d une fiche portant avec pr cision le d lai et le co t pr vu ceux ci ne pouvant tre imp ratifs en mati re de recherche mais servant d terminer des carts et leurs causes Chaque grand projet et chaque projet l mentaire est plac sous la responsabilit d un ing nieur qui dans le cadre des objectifs du d lai et du co t re oit d l gation pour le faire aboutir sous r serve d alerter l chelon sup rieur au cas o les pr visions ne pourraient tre respect es 53 5
51. eau d vacuation gouts etc INFORMATIONS INFORMATIONS x le rejet de cette mulsion ne provoque aucune pollution de la faune et la flore aquatiques ni la modification du pH du milieu r cepteur TRANSFORMATION SUPERFICIELLE DES SOLS TRAIT S A B tons maigres et ciments Les surfaces trait es b n ficient d une v ritable fluctuation apportant aux mat riaux des qualit s nouvelles La p n tration de CLEANSOL S provoque 1 Le blanchiment du sol 2 Le colmatage des pores du subjec tile 3 Le renforcement de la structure superficielle du ciment vite Peffri tement 4 Retarde Yimpr gnation des agents salissants B Asphalte Un nettoyage r gulier avec CLEAN SOL S gt vite la d t rioration des mat riaux bitumineux par les hydro carbures Ces d t riorations sont tr s fr quentes sur les aires de chargement ou de d chargement des produits p troliers MISE EN UVRE DE CLEANSOL P ET CLEANSOL 8 gt 4 CLEANSOL P poudre absor bante 1 Isoler le plus rapidement possi ble la zone du d versement afin que les produits r pandus ne s chappent pas dans un gout o une rivi re proche utiliser les vannes existantes sur re gards ou constituer des barrages en attendant les secours 2 R cup rer par pompage quand cela est possible le produit d vers qui s est accumul dans des foss s caniveaux d pres sion du sol e
52. el De plus cette politique suppose un corollaire dans l am lioration de la condition de la sous traitance avec les m mes observations qu en 3 1 3 ci dessus cas du g nie civil 3 2 6 Le VI Plan doit voir mettre en uvre un plan construction ax sur la recherche dans le domaine de l habitat mais Pinnovation ne pourra d boucher que si concur remment sont lev es les contraintes de tous ordres qui s opposent au progr s Il peut tre envisag ce titre la cr ation de groupements d industriels et d entrepreneurs participant aux efforts de recherche et assurant le d veloppement des proc d s mis au point avec la participation de l Etat H para t notamment int ressant d orienter la demande vers la mise en uvre d un plan composants permettant Putilisation d l ments interchangeables dans les diff rents types de construction atteignant ainsi la v ritable s rie industrielle Le r le de l entrepreneur en sera notablement modifi la majeure partie du travail pouvant se faire en usine 3 3 Le march des petites entreprises et des artisans 3 3 1 L essentiel de ce march est constitu par les travaux d entretien et de gros ses r parations compl t par la r alisation de maisons individuelles traditionnelles en sec teur diffus Dans ce domaine o l action de l Etat est faible l organisation doit venir des en treprises afin de faire face au March qu elles peuvent mieux appr hender
53. el et Scientifique est r int gr pour ordre le 1 mars 1971 dans les cadres de son administration d origine et plac compter de la m me date en position de disponibilit pour une p riode de 3 ans ventuellement renouvelable pour occuper les fonctions de Directeur aupr s de la Soci t de Force et Lumi re Electriques Forclum Arr t du 13 mai 1971 M Relotius Francis ing nieur des Ponts et Chaus s es la Direction d partementale de l Equipement du Nord est mis la disposition de l A roport de Paris compter du 1 avril 1971 pour la p riode du 1 avril 1971 au 30 septembre 1971 Arr t du 14 mai 1971 M Roumegu re Philippe Ing nieur des Ponts et Chauss es en service d tach aupr s de la Soci t Natio nale des Chemins de Fer fran ais est maintenu comp ter du 1 octobre 1970 dans la m me position aupr s de cette Soci t pour une nouvelle p riode de 5 ans ven tuellement renouvelable pour lui permettre de continuer y exercer les fonctions de son grade Arr t du 24 mai 1971 M Gluntz Philippe Ing nieur des Ponts et Chauss es en stage aux U S A est autoris prolonger son stage aux U S A du 1 avril 1971 au 30 septembre 1971 Arr t du 24 mai 1971 75 AU SERVICE DE LA PROFESSION DEPUIS 1859 Soci t des Grands Travaux en B ton Arm Capita 5 000 000 F Soci t Mutuelle Assurance des Chambres Syndicales du B timen
54. ement renou velable aupr s du Minist re des Affaires Etrang res en vue d exercer des fonctions de son grade en Tunisie au titre de la coop ration technique Arr t du 5 avril 1971 La d mission de M Peugeot Jean Claude ing nieur des Ponts est Chauss es en position de disponibilit est accept e Arr t du 9 avril 1971 M Busson Andr Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es mis la disposition du Minist re du D velop pement Industriel et Scientifique est plac en position de disponibilit compter du 1 avril 1971 pour une p riode de 3 ans ventuellement renouvelable en vue d exercer les fonctions de Directeur d l gu aupr s de l Union Technique de l Electricit Arr t du 19 avril 1971 M Colot Michel Ing nieur des Ponts et Chauss es en service d tach aupr s de la D l gation l Am nage ment du Territoire et l Action R gionale est r int gr pour ordre le 15 mars 1971 dans les cadres de son admi nistration d origine et plac compter de la m me date en position de disponibilit aupr s de la Soci t des Engins MATRA pour une p riode de 3 ans ventuellement renouvelable en vue d exercer les fonctions de Directeur Adjoint des syst mes civils et activit s nouvelles Arr t du 19 avril 1971 M Sato Louis Ing nieur des Ponts et Chauss es la Direction d partementale de l Equipement des Hauts de Seine est mis la disposition de la Soci t
55. en GM 5010 AUOoEcHsT o A FRANCE M o a DOT Tel Decoupez et retournez ce bon Hoechst France Departement Matieres Plastiques 3 avenue du General de Gaulle 92 Puteaux tel 772 12 12 62 o Bulletin du PCM L Etat et les industries du b timent et des travaux publics par Jacques VASSEUR Ing nieur G n ral des Ponts et Chauss es Pr sident du Comit consultatif du Centre scientifique et technique du B timent Ancien Directeur du B timent et des Travaux Publics Toutes les civilisations dont nous avons gard quelque m moire se sont manifest es par la r alisation d ouvrages qui t moignent de l existence de ce que nous appelons aujour d hui les industries de la construction On sait g n ralement peu de choses sur ce qu tait l organisation de ces industries voire sur les outillages qu elles mettaient en uvre Mais on reste confondu devant le haut degr de perfeclion auquel elles sont souvent parvenues per fection qui contraste trangement avec la faiblesse des connaissances dans l ordre scientifi que et technique qui leur sont contemporaines L apparition de la civilisation m canique n a pas boulevers d embl e les conditions d une production qui s appuyait sur une exp rience mill naire Elle a cependant apport des moyens nouveaux et notamment la ma trise de la m tallurgie de Pacier qui ont permis aux ing nieurs du xix si cle d difier des ouvrages prest
56. entreprises de b timent et de travaux publics par Alphonse FOLACCI Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es la Direction du B timent et des Travaux Publics Luc LEGRAND Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Rapporteur g n ral du Comit du B timent et des Travaux Publics pour le VIe Plan Les entreprises de B timent et de Travaux Publics sont elles d une taille suffisante pour faire face aux exigences d une conomie moderne Y a t il place dans ce secteur pour de petites entreprises Notre propos n est pas de r pondre de telles questions relatives la structure de la profession qui sont voqu es par d autres auteurs dans ce bulletin du P C M L objet de cet article est de consid rer les entreprises non pas individuellement mais dans leur ensemble et d analyser l importance que repr sentent leurs activit s dans P cono mie du pays Quelques chiffres cl s En 1969 d apr s les donn es de la Comptabilit Nationale l Agriculture l Industrie les Commerces et les Services l exclusion des Administrations dont par convention la Pro duction pesi pas prise en compte ont occup 16 8 millions de personnes pour r aliser une Production Int rieure Brute P I B de 647 milliards de francs Le B timent et les Travaux Publics qui sont compris dans l Industrie ont occup 2 millions de personnes et contribu pour une valeur ajout e de 73 8 milliards de francs la P I B valeur ajout e
57. es op rationnels aux larges responsabilit s d ex cution sont paul s sur le plan administratif et technique par des services fonctionnels de plus en plus toff s bureau d tudes bureau des m tho des service du mat riel administration comptabilit conform ment au sch ma ci dessous DIRECTION G N RALE SERVICES FONCTIONNELS nn a tudes tudes m thodes services techniques prix adminisratifs et comptables SERVICES OP RATIONNELS centre de centre de _ TENT travaux Paris travaux Lyon chantier A chantier X chantier B chantier Y LE CONTROLE DE GESTION H importe de comparer en permanence les r sultats aux pr visions pour d celer les carts lucider leurs causes et r duire les d viations C est le but du contr le de gestion Le terme de lt contr le doit tre entendu au sens anglo saxon de control qui pourrait tre traduit par maitrise ou encore au sens sportif le contr le du ballon gt C est en effet essentiellement un contr le dynamique qui consiste fournir au jour le jour aux responsables op rationnels les l ments principaux qui leur permettent de comparer leur gestion leurs pr visions et qui d terminent leur ac tion par opposition au contr le statique gt qui consisterait juger a posteriori des r sul tats L efficacit de ce contr le n cessite la cr ation au sein de l entreprise d un syst me rationnel d informat
58. es vis vis de la faune et la flore aquatiques et d une efficacit limit e Un nouveau produit permet de rem dier ces inconv nients LE CLEAN SOL Qu est ce que le CLEANSOL Physiquement il se pr sente sous deux formes D Une poudre absorbante CLEAN SOL P 2 Une p te de nettoyage CLEAN SOL lt 1 CEEANSOL P gt a la propri t dv r sorher toutes les huiles et essences min rales v g tales animales r pan dues sur les mat riaux Son pouvoir absorbant est tr s lev 6 7 fois son poids Le m lange obtenu poudre huile est stable ce qui ne provoque aucun d gorgement d huile ult rieur et supprime les odeurs la base Ce m lange est ramass facilement par 82 balayage Apr s celui ci le sol est sec ct praticable 2 CLEANSOL gt est un produit de nettoyage des sols chauss es ateliers ete pollu s par des huiles et graisses de toutes origines I est particuli re ment efficace pour l limination des souillures oxyd es telles que les cam bouis par exemple cet effet il est tr s largement utilis dans l industrie pour Pentretien et le d capage des sols industriels CLEANSOL lt S limine les graisses selon les processus suivants A R action de surface entre le pro duit et le support provoquant le d collement des graisses ou mui sions min rales qui sont mises en suspension dans l eau de rin age proc d
59. faiblesse des capitaux propres le fait d tre tributaires d un client pr pond rant la n ces sit de renouveler constamment un mat riel qui s use vite et devient encore plus rapidement obsolescent sont autant de caract ristiques dont les moindres variations influent profond ment sur l quilibre de l entreprise et cr ent des probl mes quelquefois d licats r soudre NOUVEAUX PROBL MES POS S PAR LES VOLUTIONS ACTUELLES A l int rieur de cet difice deux tages que constitue le bilan d une entreprise B T P voyons maintenant comment et dans quels sens influent les variations actuelles de la conjonc ture professionnelle Dans le haut du bilan deux postes tendent prendre de l importance Les investissements immobiliers croissent beaucoup actuellement 1 du chiffre d af faires de la Profession annuellement alors que le poste Mat riel diminue en valeur relative de 6 4 7 en 10 ans Deux causes principales expliquent cette variation Tout d abord l volution de la Profession vers un stade plus industriel la pr fabrication en usines actuellement 60 des logements collectifs la livraison postes fixes du b ton pr t l emploi des enrob s rou tiers etc engagent davantage vers des investissements lourds En second lieu les profondes mutations subies par les entreprises dans la recherche d une am lioration des structures et des frais g n raux favorisent la cons
60. fisamment souples et satisfaisants en quantit et qualit pour que les banques purement professionnelles au nombre de deux restent des organismes peu importants leur action tant limit e pour l instant la seule r gion parisienne En revanche en ce qui concerne le moyen et le long terme les entreprises peuvent s adresser indiff remment pour leurs achats de mat riel entra nant des cr dits moyen terme au Cr dit National via les Banques aux banques elles m mes aux soci t s de lea sing circuits classiques au C C M E travaillant en liaison troite l aussi avec la C N M E circuit profes sionnel Notons que dans bien des cas le risque du leasing revient au C C M E ce qui illustre l imbrication et la compl mentarit des circuits 9 pour les investissements lourds ou les immeubles entra nant des concours long terme au Cr dit National au Cr dit H telier aux Soci t s de D veloppement R gional aux SICOMI des banques cr dit bail immobilier qui constituent les sources de fi nancement classiques au G LB T P emprunts obligatoires group s ou IMMOBAIL b t p cr dit bail immobilier qui sont les organismes professionnels adapt s Enfin dans le domaine particulier qui est celui des cautions et garanties r clam es par les ma tres d ouvrage les entreprises peuvent bien entendu s adresser leurs banquiers mais la Profession a mis sur pied u
61. g otechni que les fonctions de Pr sident Directeur g n ral Arr t du 20 avril 1971 M Protat Pierre Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es la Direction des Transports terrestres est mis la disposition compter du 1 janvier 1971 de l Office central des Chemins de Fer d Outre Mer en qua lit de Directeur g n ral Arr t du 28 avril 1971 M Voinot Jean Ing nieur en Chef des Ponts et Chaus s es Directeur d partemental de l Equipement de la Haute Marne est nomm Directeur d partemental de l Equipement de la Haute Savoie compter du 16 mai 1971 en remplacement de M Colonna de Lega retrait Arr t du 5 mai 1971 M Benquet Robert d tach dans l emploi de Direc teur d partemental de l Equipement des Landes est r in t gr dans son corps d origine compter du 1 juin 1971 et charg par int rim de l inspection des parcs et ateliers en remplacement de M Favier admis la retraite Arr t du 5 mai 1971 M Tanzi Jacques ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es charg de mission aupr s du Directeur du Personnel et de l Organisation des services est nomm Directeur d partemental de l Equipement des Alpes Mari times compter du 16 mai 1971 en remplacement de M Salva appel d autres fonctions Arr t du 5 mai 1971 M Poggi Jean Jacques Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Directeur d partemental de l Equipement de Tarn et Garonne est
62. ier de l effet d amortissement qui se manifeste dans la plupart des autres secteurs de production L exp rience de ces derni res ann es montre que les prix moyens peuvent ainsi en l absence de toute r cession se maintenir durablement un niveau assez bas pour compro mettre les capacit s d autofinancement et m me mettre en p ril la vie d entreprises bien g r es On a fait allusion plus haut la lenteur des progr s de productivit et de la p n tration des innovations techniques Ce sont l des jugements qui ne sont pas sans fonde ments mais qui doivent tre fortement nuanc s On ne saurait notamment critiquer les grands constructeurs d ouvrages d art pour n avoir pas su exploiter les derni res acquisitions de la technique voire en susciter d originales Plus g n ralement si les progr s de productivit de l industrie du B T P n ont pas t ce qui est ais ment explicable aussi rapides que dans certaines industries manufactu ri res il reste qu on y a constat une am lioration continue qui se mat rialise par un acerois sement spectaculaire de Ja productivit horaire du travail depuis 1965 les effectifs restent sensiblement constants au niveau du personnel d ex cution en d pit d un accroissement de 647 par an en moyenne du volume de la production et une augmentation r guli re de la productivit globale des facteurs IN est certain par contre que le secteur de la construction de
63. igieux qui nous frappent encore aujourd hui non par eux m mes car ils sont largement d pass s mais par Paudace la valeur technique et la foi dans leurs vocations de b tisseur dont ont fait preuve des pionniers tels qu Eiffel ou John Roebling qui concut il y a un si cle cette huiti me merveille du monde que fut en son temps le pont suspendu de Brooklyn De nos jours il faut bien admettre que l industrie de la construction a perdu quelque peu de son lustre Ses r alisations sont plus ou moins clips es dans l esprit du public par le d veloppement de techniques nouvelles plus prestigieuses comme celle de l industrie a ro nautique et spatiale Son poids dans la vie conomique n a cess de se r duire devant l expan sion des productions industrielles tel point qu une proportion lev e de main d uvre em ploy e dans lindustrie du b timent et des travaux publics est souvent tenue pour un signe de sous d veloppement Faut il ajouter que cette industrie se sent mal aim e mal aim e du consommateur individuel qui n en voit que les uvres ancillaires mal aim e des conomistes qui la quali fient volontiers de secteur prot g et l accusent d tre peu perm able l innovation techni que et plus g n ralement l introduction de m thodes nouvelles susceptibles d en augmen ter la productivit Enfin son image de marque est m diocre aux yeux d une main d uvre qui avec l l vation r guli re du st
64. iment soit pour le compte de tiers administrations ou para administrations industries entreprises L eflicacit de ces recher ches exige de r soudre un certain nombre de probl mes choix des recherches contr le d efficacit suivi de la recherche et diffusion de ses r sultats 31 ARE iqu Pose d un l ment de fa ade pr fabr 52 1 Le choix des recherches Chaque Union ou Chambre Syndicale Nationale couvrant une sp cialit d termin e a sa propre commission technique qui en fonction des besoins ressentis par les membres de PUnion exprime un certain nombre de propositions Apr s discussions et mises au point avec la direction de la recherche ces propositions sont soumises un Conseil Professionnel des Investissements et de la Recherche Cependant il n est plus possible aujourd hui de se contenter des probl mes sp cifi ques un corps d tat Les probl mes d acoustique d isolation thermique d tanch it de r sistance au feu int ressent chacun plusieurs corps d tat et d ailleurs il faut les penser globalement dans leur originalit intrins que et ne pas se contenter de rassembler les obser vations exprim es par chaque sp cialit De nouvelles commissions techniques ont donc t ou sont cr es pour d finir les recherches faire dans ces probl mes communs Un travail plus approfondi a d tre entrepris un examen critique des travaux pass s a montr que l effort princi
65. ion quivalent un syst me nerveux la mise au point d un langage conomique commun par exemple plan comptable analytique co ncidant avec la normalisation de P tude de prix coh rence des budgets la rapidit de diffusion des informations tablissement de bilans mensuels la r duction du nombre de facteurs contr l s et leur adaptation aux pr occupations du responsable sous la forme d un tableau de bord bilan main d uvre pour le chef de chantier bilan main d uvre mat riel et frais de chantier pour le direc teur de travaux budget r gional pour un responsable d agence Pobjectivit des facteurs contr l s Cette objectivit est tr s difficile obtenir sur les chantiers de b timent et de travaux publics La saisie des donn es surtout des recettes sur un chantier en cours comporte des l ments relativement subjectifs appr ciation de l avancement valuation des travaux suppl mentaires etc 11 est beaucoup d entreprises o le vrai r sultat n est connu quen fin de chantier alors qu il est trop tard pour intervenir Seule la formation des hommes en particulier des responsables de chantier pour les rendre plus conscients des probl mes de co t et de la n cessit de comparer en permanence les l ments essentiels du prix de revient et du prix de vente peut am liorer les conditions d objectivit de cette saisie des donn es et donner une r elle efficaci
66. it faire l objet d un examen attentif visant d finir des solutions de compromis qui pallient autant qu il est possible les inconv nients inh rents cette forme de travail Les r flexions qui pr c dent sont celles que sugg re P tude de l industrie du b ti ment et des travaux publics en France Elles ne sont sans doute pas applicables du moins sans de notables correctifs dans d autres pays industrialis s il appara t cependant que les m mes causes ont produit partout des effets analogues de sorte qu on retrouve dans ces pays et sp cialement en ce qui concerne les travaux de b timent les m mes faiblesses qu en France Il est m me remarquable que l cho de ces pr occupations se retrouve dans les pays d conomie socialiste qui manifestement prouvent tous des difficult s mettre en uvre dans le domaine des entreprises de construction les th ories conomiques dont ils se r cla ment Du reste la position des entreprises fran aises sur le march international t moigne loquemment de leur comp titivit qu il s agisse des travaux de g nie civil o les activit s P tranger repr sentent quelque 15 du chiffre d affaires du secteur ou des travaux de b timent pour lesquels des entreprises fran aises auteurs de proc d s de pr fabrication on dira plut t aujourd hui de syst mes de construction ont connu aussi de brillants suc c s Pexportation L ACTION DE L TAT Sans do
67. laquelle correspond pour les entreprises un chiffre d affaires de 112 milliards de francs En moyenne la valeur ajout e par personne active du B timent et des Travaux Publics ressort donc en 1969 37 000 francs et ne diff re pratiquement pas de la moyenne natio nale Le poids de ce secteur dans l ensemble des branches productives est de l ordre de 11 12 que Pon se r f re la production ou Ja population active Si Pon consid re enfin la population active totale de la France y compris celle des Administrations qui s levait 20 2 millions de personnes en 1969 la part du B timent et des Travaux Publics ressort 10 27 28 Responsabilit des entreprises dans la formation et la conservation du Capital National Le Capital National est constitu par les logements les quipements collectifs et les quipements des branches productives Les quipements des branches productives ne font appel aux entreprises de B timent et de Travaux Publics qu concurrence de 40 le reste tant fourni par les autres bran ches industrielles Par contre les logements et les quipements collectifs sont r alis s en quasi totalit par les seules entreprises de B T P Au total la r alisation de 60 des investissements du pays est le fait des entreprises de B T P dont la responsabilit dans la formation et la conservation du Capital National est donc tr s importante L activit de ces entre
68. lique a fortement contribu encourager cette volution conces sions de parkings et d autoroutes dans les travaux publics mod les et pr t construire dans le b timent Une certaine tendance se dessine d autre part notamment dans la construction de b timents un recours plus large des contrats dans lesquels l entreprise agissant comme entreprise g n rale se trouve responsable de la livraison d un ouvrage cl s en main gt el soumise essentiellement des obligations de r sultat Cette volution est minemment favorable au d veloppement dans les entreprises d une mentalit industrielle gt qui leur permettra de s adapter plus ais ment aux conditions co nomiques du monde moderne Au niveau des petites et moyennes entreprises elle suppose un degr plus accentu d acceptation du changement se traduisant notamment par la cr ation de groupements sous des formes et des fins diverses et par une am lioration des pratiques de sous traitance qui doivent tre la source d une collaboration f conde avec les grandes entreprises et non comme c est trop souvent le cas le motif d insatisfactions justifi es r sultant de l abus de positions dominantes 67 En d pit du scepticisme que peut soulever cette derni re appr ciation il faut aussi souhaiter qu une mentalit industrielle se d veloppe m me dans les secteurs comme celui de l entretien des b timents qui paraissent les plus rebelle
69. lois t l 270 141 980 La recherche dans le secteur du b timent et des travaux publics par Yves AUBERT Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Directeur g n ral de l Union Technique Interprofessionnelle des F d rations nationales du b timent et des travaux publics La F d ration Nationale du B timent poss de en PU T L un ensemble d organismes aux capacit s potentielles consid rables Les deux activit s essentielles de FU T I sont la recherche et l assistance aux entre prises Mais il faut distinguer aussi une autre mission qui est d assurer la pr sence de Pentreprise vis vis des administrations dans les discussions nombreuses qui ont lieu au tour de tout ce qui est r glementation normalisation r gles de calcul etc M me si depuis le nouveau r glement de construction de 1969 et la substitution de l avis technique l agr ment du C S T B il n y a plus de grandes r formes pr parer Pexp rience montre qu il faut tre perp tuellement vigilant et c est pourquoi d une part une direction sp ciale de V U T I s occupe de ces probl mes et d autre part une part importante trop importante de nos recherches leur est consacr e La recherche a t longtemps l activit essentielle de PU T L Mais la promotion de Pentreprise prend de plus en plus de place et c est l gitime car c est en r alit le pro gr s de l entreprise qui est la finalit de PU T I Tonte l activit doit tre
70. lt conomique cost conscious gt comme on dit aux U S A qui devrait permettre une d termination plus pr cise des prix de revient et favoriser l orientation des entreprises vers les activit s les plus rentables pour elles 39 Une uclivit tr s diversifi e dans laquelle chaque chantier est un cas particulier depuis l ouvrage massif de g nie civil Cimenterie Le Havre 40 CONDITIONS SP CIFIQUES DE LA GESTION POUR LES ACTIVIT S DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS En raison m me des conditions dans lesquelles elles exercent leur activit les entre prises de b timent et de travaux publics posent des probl mes de gestion sensiblement diff rents de ceux des autres secteurs professionnels La construction d un ouvrage est le plus souvent un travail facon tr s rare ment r p titif dans sa conception toujours original dans son ex cution en fonction des con ditions locales qu elles soient physiques g ologie m t orologie ou humaines encadre D ment main d uvre ma tre d uvre En d pit des progr s techniques cette ex cution fait appel une main d uvre im portante et reste au plus haut point tributaire de la qualit des hommes de chantier De plus malgr tous ces al as la diff rence de Pindustriel l entrepreneur doit ven dre ses travaux prix convenus avant de les ex cuter an E Y Los ILES Su se CLAS OST EX ESA 4
71. ment de M Trevilly appel d autres fonctions Arr t du 12 mai 1971 M Tabart Pierre ing nieur des Ponts et Chauss es Direction d partementale de l Equipement de la Meuse est compter du 18 mai 1971 charg par int rim des fonctions de Directeur d partemental de l Equipement de la Meuse en remplacement de M Hoffmann appel d au tres fonctions Arr t du 12 mai 1971 M Larquetout jean ing nieur en Chef du Corps auto nome Chef de la branche Infrastructures la Direc tion d partementale de l Equipement de la Haute Garonne est compter du 16 mai 1971 nomm adjoint au Direc teur d partemental de l Equipement de la Haute Savoie en remplacement de M Faure appel d autres fonctions Arr t du 12 mai 1971 M Regard Robert Ing nieur des Ponts et Chauss es charg de la Mission d Etudes pour l Am nagement de la Basse Vall e de la Seine est compter du 1 juillet 1971 nomm Secr taire G n ral de ta D l gation l Am nage ment du Plateau Beaubourg Arr t du 18 mai 1971 74 M Rouillon Jean Ing nieur des Ponts et Chauss es Chef du Groupe d tudes et de programmation la Direc tion d partementale de l Equipement du Loiret est compter du 1 juin 1971 mut dans l int r t du service la Direction d partementale de l Equipement des Hauts de Seine en qualit de Chef du Groupe d tudes et de programmation en remplacement de M Sato Arr
72. ments comptables de d penses et les estimations de recettes aux pr visions budg taires des chantiers et des services et en pr sentant cette comparaison sous la forme de tableaux de bord adapt s chacun des chelons de responsabilit Ainsi malgr les difficult s inh rentes la nature m me de son activit l entreprise de b timent et de travaux publics volue vers les m thodes de la gestion pr visionnelle Cette volution ne se poursuivra que s il est effectivement possible l entreprise de pr voir quelle pourra tre son activit ce qui implique que l Etal client principal et Pen semble de la profession en particulier ma tres d ouvrage et ma tres d uvre soient conscients de cette n cessit de pr vision et s imposent eux m mes plus de rigueur pour diminuer la part de pragmatisme et d improvisation qui caract rise les activit s du b timent et des tra vaux publics Parmi les mesures souhaitables on peut citer l tablissement et le respect d une programmation moyen et long terme l che lon r gional et la mise en place en temps utile des moyens de financement l ex cution des ouvrages conform ment aux projets sur lesquels l entreprise a fait ses offres le choix des entreprises admises soumissionner en tenant compte non seulement de leurs capacit s techniques mais aussi de leur sant financi re institution d une carte de qualification financi re V
73. n certain nombre d organismes char g s le plus souvent de r soudre des probl mes limit s Caisse de Garantie Immo bili re pour les entrepreneurs promoteurs de B timent CONCLUSION Tels sont bri vement expos s les principaux probl mes qui se posent aux entreprises B T P pour le financement de leurs investissements et pour l alimentation de leur tr sorerie Nous avons soulign au passage la fragilit des quilibres fondamentaux du bilan d une entreprise et la n cessit o elle se trouve de ne pas commettre d erreur ni dans sa gestion ni dans les choix qu elle est amen e faire au cours de son d veloppement Nous aurons aussi vu que les possibilit s de financement qui s offrent elle sont nom breuses vari es et qu elle peut tre toujours assur e de trouver aupr s de ses organismes cor poratifs des conseils sur les options prendre Mais nous avons aussi vu combien l troitesse des marges b n ficiaires actuelles et la n cessit de mettre en place des outils de travail de plus en plus lourds et labor s condam najent pratiquement les initiatives dynamiques qui ne seraient pas appuy es par des moyens financiers propres consid rables Le d veloppement des entreprises moyennes auxquelles ne fait d faut ni l imagina tion ni la r alit mais priv es de capitaux est Pun des probl mes sur lesquels la Profes sion aura certainement se pencher prochainement LAFSA O PASA VAICR
74. ne 98 27 41 MACONNERIE BETON ARM ENTREPRISE GENERALE M me Maison CLERMONT FERRAND 4 rue du Clos Notre Dame T l 92 52 98 S M tallurgique Haut Marnaise JOINVILLE Haute Marne T L PHONE 320 et 321 Tout ce qui concerne le mat riel d adduction et de distribution d eau Robinets Vannes Bortes Fontaines Prises d Incen die Poteaux d incendie normalis s prises sous coffre et apparentes Bouches d incendie Robinetterie Accessoires de branchements et de canalisations pour tuyaux Fonte Acier Eternit Plomb Plastiques Joints PERFLEX et ISOFLEX Ventouses EUREKA Ventouses SECUR Mat riel SECUR pour branchements domiciliaires Raccords ISOSECUR QUIPEMENTS DES CAPTAGES ET DES R SERVOIRS Capots Cr pines Robinets Flotteurs Gaines tanches Soupapes de Vidange Dispositif de Renouvellement Automatique de la R serve d Incendie dans les R servoirs SCHUBEL amp Fils S A au capital de 1549 935 francs Si ge Social Zane rt Nord COLMAR 6 rue Andr Kiener Haut Rhin iph 41 15 50 Succursales T lex 88 992 STRASBOURG NEUDORF Bas Rhin 174 rue du Polygone T 34 47 83 MULHQUSE DORNACH Kg Rhin 130 rue de la Mer Rouge T 42 11 48 42 0 TRAVAUX ROUTIERS Am nagements ext rieurs Voirie et assainissement Espaces verts Cours Parcs Voies d acc s Terrains de sports Signalisation
75. ntiels le g nie civil caract ris pa la nature en g n ral peu r p titive des ouvrages et la pr dominance des ma tres d ouvrage publics les b timents et logements neufs susceptibles en g n ral d industrialisation l entretien et les grosses r parations qui sont surtout effectu s par les petites entre prises et les artisans 3 1 Le g nie civil 3 1 1 Les mesures prises visent en g n ral am liorer le mode de passation des march s Directive interminist rielle d octobre 1970 et faire participer davantage Pentre preneur la conception des ouvrages circulaire sur les concours de juillet 1970 cependant 1 Une tude sp ciale est en cours pour la R gion Parisienne compte tenu de sa complexit particuli re 33 mi FRA Facade d immeuble murs rideant qui sont lanc s sous une forme plus globale des lots plus importants afin d assurer une meil leure continuit des travaux permettant de ce fait un abaissement des co ts et une am lio ration de la comp titivit des entreprises L appel la concession pour certains travaux au toroute parking port de plaisance va galement dans le m me sens et permet la r union entre les mains de Pentrepreneur des fonctions de conception de r alisation et de commer cialisation 3 1 2 Cette formulation de la demande conduit les entreprises changer les struc tures soit au plan individuel soit s
76. orient e vers le ser vice de l entreprise La recherche s exerce selon diff rentes perspectives A long terme une action de prospective tente de d finir P volution probable des caract ristiques techniques du march des structures d entreprises qui peuvent en r sulter et donc de leurs besoins ainsi que l orientation de la technique future A ce titre PUTI est en contact r gulier avec les instances du Plan de la D G R S T du Plan Construction etc A moyen terme par des contacts bilat raux avec des industriels d autres branches PU T I cherche soit introduire dans le B timent des mat riaux existants qui n y sont pas encore utilis s soit exprimer aux industriels les probl mes techniques non ou mal r solus aujourd hui et auxquels leur collaboration permettrait de rem dier Lorsque des produits ou proc d s nouveaux sont envisag s et que l aboutissement de la recherche en g n ral com mune aux industriels et PU T I est probable une tude de march et une action de pro motion commerciale sont indispensables et sont men es de concert Par exemple une telle collaboration commence avec la profession des Tuiles et Briques qui a par le laboratoire professionnel mis au point des produits de terre cuite tout fait nouveaux qui int ressent vivement les entreprises Enfin PU T L ex cute un volume important de recherches dans ses propres labora toires soit aux frais de la F d ration Nationale du B t
77. ours auquel correspond au passif les Acomptes sur travaux en cours comprend en g n ral tout ce qui n est pas d finitivement factur Cette notion correctement interpr t e permet d assimiler les Travaux en cours et les clients gt Elle est malheureusement souvent mal interpr t e et donne lieu aux ex g ses les plus vari es Au surplus elle n est pas indispensable notre expos La prefabrication lourde 56 D On a suppos que le poste Banques entendu dans son sens le plus large comp tes d biteurs proprement dits part moins d un an des dettes terme interventions de la C N M E ne figurait qu au passif et que le disponible tait n gligeable ou nul ce qui est souvent le cas Ceci tant pr cis les correspondances ce qui n implique pas les galit s s tablis sent normalement entre les postes A et B d une part C et D d autre part La correspondance tablie entre A et B donne naissance des probl mes de finance ment terme long ou moyen terme dans la mesure o les Capitaux Propres ne peuvent suffire financer les Immobilisations La correspondance tablie entre C et D donne naissance aux probl mes de finance ment court terme dans la mesure o les d lais de paiement consentis par les fournisseurs et sous traitants de l entrepreneur ne peuvent suffire quilibrer correctement la valeur des stocks et surtout les d
78. p pose sur le chantier plus que partout ailleurs car chaque semaine parfois chaque jour am ne de nouveaux probl mes le concours d un personnel d ex cution de grande qua lit la machine rempla ant les ouvriers sans qualification qui taient autrefois n cessaires en grand nombre Or c est tout le contraire que Pon constate aujourd hui les jeunes sou cieux de confort dans le travail et de stabilit g ographique dans l emploi d sertent les m tiers du B T P et les entreprises sont contraintes d embaucher en proportions lev es des ouvriers recherchant des emplois de transit la suite par exemple de leur d part du sec teur agricole ou des ouvriers trangers dont la formation est nulle ou m diocre et dont Pin suffisance de connaissance de la langue constitue un handicap grave Les voies de progr s Le constat des lacunes des insuffisances et des freins l volution d finit d j une ouverture sur les voies par lesquelles on pourrait parvenir une situation meilleure et on n a pas manqu au cours des travaux du V et VI Plans de chercher en pr ciser les moyens Mais la t che est difficile du fait que les conditions physiques de la production sont en grande partie immuables et du fait que tout changement implique un processus n ces sairement lent d adaptation des divers participants Sans doute parce que c est celui sur lequel on a en apparence du moins le plus de prise on s est d
79. pal devait bien davantage porter sur Pinnovation L U T L s est alors lanc e dans une enqu te tr s exhaustive aupr s de cent cinquante experts selon une m thode d riv e du syst me am ricain Delphi afin de tenter linventaire des id es nou velles m me apparemment absurdes qui pourraient apporter une mutation dans les pro cessus techniques de fabrication Lorsque cet inventaire sera fait de petits groupes d experts seront de nouveau appe l s pour en faire examen critique d terminer pour chaque projet de recherche propos sa probabilit de r ussite son int r t conomique en comparant le co t de la recherche estim au gain esp r et au volume de travaux int ress s le d lai d obtention de r sultats etc Ce travail consid rable a commenc Il ne pourra videmment porter ses fruits que dans un d lai d au moins deux ans 2 Le contr le d efficacit Les laboratoires de l U T I Centre Exp rimental de Recherches et d Etudes du B ti ment et des Travaux Publics et le Comit Scientifique et Technique de l Industrie du Chauf fage sont d j dot s d une comptabilit analytique tr s pouss e Un syst me de direction par objectifs est en cours d institution de telle sorte qu il fonctionne pour Pexercice 1972 Il s inspire de ce qui existe d j dans des organismes analogues tels que l Institut Fran ais du P trole On est amen ainsi distinguer successivement le th me de recherches l action d
80. prises se r partit entre les diff rentes cat gories de besoins de la mani re suivante Formation du Capital National Logements neufs es steel tee ai 31 Equipements collectifs 4 44 20 Investissements des branches productives 24 Conservation du Capital National Entretien EE T 25 Total de la production des entreprises de B timent et de Travaux Publics 100 Pr sence des entreprises sur l ensemble du territoire Si les Services et les Commerces se r partissent assez uniform ment sur l ensemble du territoire il n en est pas de m me des activit s industrielles B timent et Travaux Publics exclus et agricoles selon les r gions en effet le pourcentage des actifs occup s dans Iin dustrie hors B T P varie de 20 40 celui des actifs occup s dans Pagriculture varie de 10 30 Pour le B timent et les Travaux Publics le pourcentage est remarquablement stable il varie de 9 11 n tant d pass de quelques points que dans les r gions m diterra n ennes qui accueillent de nombreux retrait s et vacanciers On trouve donc dans toutes les r gions y compris les moins industralis es de nom breuses entreprises qui contribuent y maintenir une certaine activit Pr sence des entreprises l tranger Le B timent et les Travaux Publics n interviennent pas uniquement dans le cadre fran cais
81. r effort de gestion consiste normaliser l tude des prix de revient pr visionnels et lui apporter le maximum de rigueur et de pr cision L tude de prix sert non seulement tablir les offres mais est galement la base de la pr paration du chantier et de son organisation l instrument de son contr le le cadre de recueil des informations statistiques l outil essentiel de pr vision au niveau de l entreprise et la base des divers bud gets 43 De Pobjectif l mentaire que constitue le bilan pr visionnel de chaque chantier on passe par sommation des pr visions d activit par responsable op rationnel puis en d coupant ces pr visions par exercice des objectifs plus globaux que constituent les bud gets annuels des diff rentes sections de l entreprise budgets techniques des responsables op rationnels agences ou branches d acti vit budget technique g n ral de l entreprise budgets de prestations des services fonctionnels tudes mat riel administration et comptabilit etc budget de tr sorerie qui permet de d terminer les besoins de financement et les frais financiers Un enchainement des diff rents budgets est donn dans le sch ma ci contre Les budgets des services fonctionnels sont quilibr s par imputation de leurs presta tions suivant un bar me interne aux chelons op rationnels chantiers ou agences le co t de
82. re plus du tiers si Pon s en tient aux march s qui rel vent de cette d finition juridique en sorte que malgr leur ind niable valeur incitative leur action sur le march ne peut tre d terminante elle seule li importe donc que la politique des march s publics trouve ses prolongements dans d autres actions qui sont de la seule responsabilit du secteur priv ou exigent de sa part initiatives et participation active Dans ce domaine Padministration ne saurait voir son action d finie par une formule simple Elle se bornera parfois faciliter les prises de con tact et les changes de vues c est l un des r les du Plan en s attachant par la suite en suivre les d veloppements Mais le plus souvent elle devra intervenir suivant les modalit s diverses Souvent dans un cadre institutionnel tel que par exemple celui du Plan Construction nour favoriser le d veloppement des efforts consacr s la recherche au sein des entrepri ses ou celui de la Normalisation qui est le tvne m me de l instrument destin provoquer sous le contr le et l animation de l administration l tablissement dans le secteur nriv d un consensus sur toutes les mesures propres favoriser les changes et la productivit I lui revient aussi d agir sur les ma tres d ouvrage et sur les professions qui en sont les auxiliaires pour obtenir en usant des pouvoirs de tutelle qu elle d tient sur beaucoup d entre eux que le
83. rms G rard Etienne Ing nieur en Chef des Mines Conseiller technique au cabinet du Premier Minis tre a t nomm chevalier Minist re de l Equipement et du Logement M Dollet Henri Antoine Marie Ing nieur G n ral des Ponts et Chauss es a t nomm commandeur 4 0 du 16 mai 1971 M Garnier Jean Laurent Eug ne ing nieur G n ral des Ponts et Chauss es a t nomm commandeur J O du 16 mai 1971 M Siadous Albert Pierre Ing nieur G n ral de la Construction a t nomm commandeur J O du 16 mai 1971 M Boissonnet L on Marie Andr Ing nieur des Ponts et Chauss es a t nomm officier J O du 16 mal 1971 M Claeyssen Raymond Jean Cornil ing nieur des Ponts et Chauss es Laon a t nomm officier J O du 16 mai 1971 M Girault Pierre Fran ois Robert Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Directeur d partemental de l quipement de Meurthe et Moselle a t nomm officier J O du 16 mai 1971 M Huet Yves Camille Marie Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es la Direction d partementale de l Equipement d ille et Vilaine a t nomm officier J O du 16 mai 1971 M Marcou Maurice Edouard Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Directeur d partemental de lEqui pement de l Ard che a t nomm officier 3 0 du 16 mai 1971 M Menez Pierre Maurice Prosper Ing nieur des Ponts et Chauss es Directeur d partement
84. s Le rapide survol des proc dures utilis es par le Minist re de PEquipement et du Loge ment montre que c est bien le but poursuivi que ce soit en mati re de g nie civil qu en ma ti re de b timent Le VI Plan en verra sans doute le d veloppement mais en contrepartie il en r sultera pour les entreprises la n cessit de s organiser pour r pondre la demande groupements sous traitance organisation financi re garanties Les entreprises en sont bien conscientes et paraissent d cid es faire l effort n cessaire pour assurer cette muta tion Cependant l Etat principal client directement ou indirectement devra cependant veil ler ce qu elle se fasse sans heurts excessifs ce qui a pu se faire dans d autres secteurs par l volution naturelle du march es ENTREPRISES LECAT BE S A Capital 5 500 000 F GROUPEMENT des INDUSTRIES du BATIMENT et des TRAVAUX PUBLICS Soci t anonyme au capital de 8 430 000 F Si ge Social 3 rue de Berri PARIS 8 T i 359 09 98 Travaux Publics Dragages E Financement long terme des investissements Travaux Routiers des entreprises du secteur B T P B ton Pr contraint B ton Arm Pieux A ee 17 Domaine des Hocquettes pee 92 Suresnes Hauts de Seine len t T l phone 506 42 05 Si ge PERONNE 80 61 rue Saint Fursy o Jacques R eymann Ing nieur 1 P F R C 66 B 1 P ronne T L 546 INSEE 340 80 620 1 009 TUDE B TON A
85. s la p n tration de m thodes nouvelles ll importe aussi que le progr s technique p n tre plus ais ment l activit des entre prises notamment dans les secteurs o le poids du pass l attitude conservatrice de cer tains intervenants les encouragent se rendre complices d une certaine r pugnance lin novation au lieu d en tre comme elles le devraient le principal l ment moteur La propo sition formul e dans le cadre des travaux du VI Plan de consacrer un effort accru au d veloppement des activit s de recherche dans le domaine de l habitat Plan Construction marque ainsi une volont d encourager les professionnels participer plus largement la mise en uvre d une politique susceptible de conduire une r duction significative des co ts par un recours plus effectif aux ressources de la technique moderne Enfin l am lioration des conditions demploi de la main d uvre constitue certainement comme l a express ment not le Comit B T P du VI Plan un imp ratif de base pour que puisse intervenir une v ritable mutation dans la vie des entreprises La main d uvre de demain doit tre une main d uvre qualifi e participante et sta ble Ces r sultats peuvent tre obtenus par la conjugaison de plusieurs facteurs l am lioration des conditions physiques du travail par un meilleur am nagement des conditions de vie sur les chantiers des niveaux de salaires qui compte tenu de l
86. s et sa valeur d incitation ne portera tous ses fruits que si elle est accompagn e par une volution du corps social des entreprises et de tous ceux qui leur font appel donneurs d ouvrages ou qui participent des titres divers jeur activit architectes et bureaux d tudes notamment Il est certes illusoire de penser que cette volution qui met en cause une population nombreuse et diverse puisse tre rapide ou m me que son rythme puisse tre brusquement acc l r par des innovations dans l ordre administratif juridique ou technique l faut en tre bien conscient et s attacher fonder cette volution d une part sur la continuit de l action administrative d autre part sur l adh sion du corps social aux princi pales orientations qui la commandent Quelles doivent tre ces principales orientations La r ponse peut aujourd hui tre valablement recherch e dans une synth se des chan ges de vues approfondis qui sont intervenus au cours de la pr paration du VI Plan Sous r serve de la part d appr ciation personnelle que comporte toute synth se on peut semble t il tenir pour essentielles les orientations suivantes C est d abord dans l tablissement de saines pratiques de concurrence que doivent tre simultan ment recherch s le maintien de marges de profit raisonnables et la limitation des coups dans le niveau d activit des entreprises Une volution dans ce sens s appuiera
87. s traitance soit transparent s il r percute sur le sous traitant les clauses du march principal soit opaque lorsque les relations entre donneur d ordre et sous traitant sont plus conformes la pratique commerciale avec mise au point de garantie contre les d faillances de Pun ou de Pautre Les organisations professionnelles tudient s rieusement ces question qui les concernent au premier chef Le Gouvernement de son c t compte prendre un certain nombre de mesures dans le cadre des march s publics allant d ailleurs dans le m me sens pour assurer ur traitement quitable au sous traitant 3 1 4 Le comportement de l Administration devrait galement se modifier notam ment pour le contr le des travaux car l entrepreneur doit tre soumis une obligation de r sultat Les garanties demand es peuvent tre diff rentes d lai de garantie plus tendu exigence d une caution de bonne fin de travaux analogue aux performance Bonds anglo saxons 3 2 B timents et logements neufs 3 2 1 Dans le domaine o l Etat a une influence pr pond rante la formulation de la demande a cherch favoriser lindustrialisation que ce soit dans le logement social ou les constructions scolaires tout en essayant d assurer une certaine continuit l activit des entreprises De plus une action a t men e pour grouper les ma tres d ouvrage publics et voluer vers la d finition du logement produit fini
88. service d tach aupr s de la Soci t centrale pour l quipement 73 du Territoire pour exercer les fonctions de Directeur de la S C E T Coop ration au Mali pour la p riode du 20 d cembre 1969 au 31 mars 1970 inclus M Orsini est main tenu dans la m me position et dans les m mes fonctions aupr s de cette Soci t pour fa p riode du 1 avril 1970 au 5 octobre 1970 date de sa r int gration dans son administration d origine Arr t du 10 mai 1971 M Liochon Marius Ing nieur des Ponts et Chaus s es la disposition du Minist re de la Sant Publique et de la S curit Sociale est compter du 1 avril 1971 r int gr pour ordre dans son corps d origine et mis la disposition du Minist re de l int rieur en vue d y exercer les fonctions de Chef du Bureau des tudes et recherches de la Sous Direction des tudes et de la pr vention Arr t du 10 mai 1971 M Grosse Philippe Ing nieur des Ponts et Chaus s es charg de l arrondissement exploitation et travaux neufs du Port autonome de Nantes St Nazaire est d si gn en remplacement de M Maynadie pour remplacer en cas d absence le directeur du port Arr t du 12 mai 1971 M Lapillonne Philippe Ing nieur des Ponts et Chaus s es adjoint au Directeur d partemental de l Equipement de l Aisne est compter du 16 mai 1971 charg par int rim des fonctions de Directeur d partemental de l Equipement de l Aisne en remplace
89. si ses bases ne son pas continuellement remises en question Comment faire en effet un bilan pr visionnel de chantier valable si les d lais changent en cours de travaux si la nature des travanx est modifi e si le volume des travaux varie largement Comment faire des nr visions annuelles d artivit raisonnables dans un secteur r ter min si les modes de financement pr vus par PEtat cr dits autoroutiers attribution de pri mes la construction par exemple sont brutalement remis en question pour des raisons de politique conjoncturelle SCH MA D ENCHAINEMENT DES BUDGETS Bilan pr visionnel Bilan pr visionnel chantier A chantier Z Pr visions d activit gt par responsable op rationnel D coupage par exercice budget y Budgets techniques par responsable op rationnel 3 y A A re BUDGET TECHNIQUE G N RAL ENTREPRISE Re ee ml ct of t y E Pr visions de Frais Budgets de prestations facturation et financiers Pr visions de r glements d investissements BUDGET EXTRAORDINAIRE BUDGET ORDINAIRE Services fonctionnels services assistance logistique ateliers admin et technique comptab BETechn mat riel charpente BEPrix achats pr fa m thodes brication 45 LES STRUCTURES Les m thodes de gestion pr visionnelle par objectifs ne sont applicables que dans la mesure o les structures sont bien d
90. ssance indus trielle D tail de l ensemble Maine Montparnasse Fa ade en beton apparent 29 soci t chimique de la route studios Villeurbannais Autoroute A7 sortie Sud de LYON Routes et autoroutes A rodromes Voirie et r seaux divers ES 4 Travaux hydrauliques Rev tements de canaux et digues Si ge social LIANTS et PRODUITS SP CIAUX MMMMANNNINIMN 2 AV VELASQUEZ e Emulsions acides r pandage et ACTIMUL ACTIFIX PARIS 8 enrobage stabilisation et impr gnation IMPREMAC Emulsions pour grave mulsion ACTIMEX CT a roca fluides Un Vs e Tapis minces en sable enrob TAPISABLE T l phone 522 13 79 Coulis sable mulsion ENDUISABLE 522 96 33 Binders de reprofilage et de renforcement MICGRIF Rev tements antik ros nes MICKER Rev tements color s ACTICOLOR e Rev tements chauffants THERMIDEP 30 Actions sur le march du b timent et des travaux publics et cons quences sur les structures professionnelles par Jean JAOUEN Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Adjoint au Directeur du B timent et des Travaux Publics Dans le cas du b timent et des travaux publies c est un lieu commun de dire que la structure des entreprises refl te celle du march qui leur est propos car elles doivent n cessairement s adapter la demande dont la formulation leur est en g n ral impos e et qui pr sente de ce fait et par la nature du produit des caract res bien
91. ste d enrobage 5 TIME 5 AVENUE MONTAIGNE 75 PARIS VII TEL 359 51 69 31 TOULOUSE 2 av Joseph Lebrix 61 48 91 58 76 LE HAVRE 35 48 15 98 35 RENNES 99 00 62 72 84 AVIGNDN Mas de l ile de Piot 90 81 00 20 A MUTATIONS PROMOTIONS et D CISIONS diverses concernant les Corps des Ing nieurs des Ponts et Chauss es et des Mines ORDRE NATIONAL DU M RITE Secr tariat g n ral pour la Communaut et les Affaires africaines et malgaches M Hervouet Ren Pierre L on Marie Directeur d l gu de la Soci t des mines de fer de Mauritanie a t nomm chevalier J 0 du 16 mai 1971 Minist re d Etat charg des r formes administratives M Feuillard Louis Gustave Ferdinand Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es en retraite la Guadeloupe a t nomm officier J O du 16 mai 1971 Minist re de la Justice M Doumenc Andr Edmond Ovide Conseiller d Etat a t nomm commandeur J O du 16 mai 1971 Minist re de l Economie et des Finances M Levy dit Levy Lambert Hubert Adolphe Daniel Ing nieur en Chef des Mines charg de mission contractuel l administration centrale a t nomm chevalier Minist re des Affaires culturelles M Doulcier Jean Jules Adrien Ing nieur en Chef charg de mission au minist re a t nomm officier 3 0 du 16 mai 1971 Minist re du D veloppement industriel et scientifique M Wo
92. t et des Travaux Publics SOCI T MUTUELLE D ASSURANCE A COTISATIONS VARIABLES Entreprise priv e r gie par le d cret loi du 14 juin 1938 SI GE SOCIAL 278 bis av Napol on Bonaparte 92 RUEIL T l 997 03 30 R C Versailles 7t B 170 Adresse T l graphique SOCBASATRA 114 Avenue Emile Zola PARIS 15 AGENCES Paris 5 bis rue de Berri T l SOCIETE DES CARRIERES DE PAGNAC ET DU LIMOUSIN Limoges 28 rue Fr d ric Mistral T l 77 25 92 Ch teauroux Route de Ligni res la Martinerie G RANCE DE LA SOCI T DES QUARTZITES Sada ET PORPHYRES DE L ORNE Si ge Social 2 rue Deverrine LIMOGES T l 58 64 Bureau PARIS 39 rue Darreau T l Gob 84 50 PAGNAC LIMOUSIN Le Havre 562 boulevard Jules Durand T l 48 16 00 Marseille 2 avenue D sir Bianco T l 47 56 70 Toulon 14 rue Revel Soci t anonyme au Capital de 600 000 CARRI RE DE PAGNAC Vernevil sur Vienne Embranchement particulier MATERIAUX imm diatement disponible Pierre cass e Graviers Gravillons Mignonnette Sables MAT RIAUX DE VIABILIT ET DE CONSTRUCTION Pav s Bordures Mosllons Pierre de taille 76 T i 93 40 83 o TOUS TRAVAUX EN B TON ARM TRAVAUX PUBLICS CONSTRUCTIONS INDUSTRIELLES Travaux Publics Industriels et Particuliers Entreprises E CHAUMENY Soci t Anonyme au Capital de 550 000 F SI GE SOCIAL A VICHY 18 RUE BARGOIN T l pho
93. t au contr le de ges tion APPORT DE L INFORMATIQUE Les moyens informatiques sont d j largement utilis s dans la profession pour les t ches administratives et comptables gestion administrative et paie du personnel horaire ou mensuel gestion du mat riel et des magasins comptabilit analytique d exploitation et comptabilit g n rale Leur emploi commence aussi se d velopper au stade de la gestion pr visionnelle Des programmes d tude de prix de revient existent pour des ouvrages bien d finis l avance ct faisant appel des proc d s d ex cution simples et r p titifs Pour des ouvra ges plus complexes dont l tude de prix fait appel plus d exp rience et d imagination lin formatique peut rendre les eslimations plus rapides en all geant tout le travail mat riel fastidieux elle permet de chiffrer rapidement plusieurs solutions variantes Enfin Pordon nancement de chantiers complexes et surtout les probl mes d optimisation de co t li s Por donnancement ne peuvent tre r solus que par l ordinateur programmes Pert charges par exemple 47 Rues Hg Site Maine Montparnasse 00 Mais nous pensons que c est dans le contr le de gestion que l informatique peut ren dre les services les plus pr cieux la profession en permettant de comparer dans les d lais les plus brefs les enregistre
94. t de la R gion Parisienne est affect provi soirement au Service r gional de l Equipement de la R gion Parisienne et mis la disposition du Minist re des Affaires Etrang res pour servir en Alg rie au titre de la Coop ration technique compter du 9 avril 1971 Arr t du 3 juin 1971 M Affholder Georges ing nieur des Ponts et Chaus s es Administration centrale direction de l am nagement foncier et de l urbanisme est compter du 1 juin 1971 mis la disposition du Minist re de l Environnement Arr t du 7 juin 1971 D CISIONS M Beau Jean Ren Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Directeur d partemental de l Equipement de la Savoie est compter du 1 avril 1971 plac en posi tion de disponibilit pour une p riode de trois ans ven tuellement renouvelable en vue d occuper aupr s de l im mobili re Constructions de Paris le poste de Directeur r gional pour la r gion Rh ne Alpes Arr t du 25 mars 1971 M Catoire Boris Ing nieur des Ponts et Chauss es est compter du 1 septembre 1970 plac en service d tach pour une p riode de 5 ans ventuellement renou velable aupr s du Port autonome de Rouen en vue d exer cer les fonctions de Directeur de l Exploitation Arr t du 2 avril 1971 M Virlogeux Michel Ing nieur des Ponts et Chaus s es est compter du 5 d cembre 1970 plac en service d tach pour une p riode de 2 ans ventuell
95. t opportun ou en pr voyant de lancer une concurrence plus large si P ch ance des travaux est imp rative l tat de d celer les risques de difficult s et de d finir Paction conjoncturelle possible en se basant galement sur les graphes de d cision et les op rations en attente connaissant le d lai de r ponse moyen pour chacun des types d op ration 2 5 Malgr certaines difficult s dues aux possibilit s de financement un certain nombre de centres de concertation r gionaux ont pu tre mis en place Lorraine Bretagne Provence C te d Azur cependant que dans d autres r gions Aquitaine Centre Champagne Ardennes Haute Normandie un conomiste tait charg aupr s du chef du service r gional de l Equipement de suivre plus sp cialement le march B T P en mettant en uvre les m thodes tudi es en Lorraine 1 Il est encore trop t t pour tirer des conclusions de l ac tion de ces centres qui ne peut cependant tre que vivifi e par la d cision prise r cemment par le Ministre de donner toutes les informations possibles sur l volution du march 3 Actions pour une meilleure d volution des travaux Il se dessine une volution certaine dans le mode de d volution des travaux afin de donner l entrepreneur de b timent et de travaux publics un v ritable r le d industricl Cependant compte tenu de la diversit des activit s je distinguerai dans la suite de cet expos trois secteurs esse
96. tance de concertation au niveau r gional De plus les travaux r alis s par le secteur priv repr sentent 50 du chiffre d affai res du B timent et 20 des Travaux Publics 11 s agit d une part importante du march qui ne peut tre n glig e et qui d une fa on g n rale ne peut tre saisie qu au niveau r gional par enqu te directe 2 3 Pour essayer de r soudre ce probl me le Minist re en accord avec les organi sations professionnelles a lanc en 1967 en Lorraine une tude pilote du March afin de d finir ses m canismes sa structure et son volution ainsi que les possibilit s d tablisse ment de pr visions d activit r gionale Cette tude a permis de d finir les moyens n cessaires au recueil de Pinformation d analyser les circuits de d cision technico administratifs pr c dant la mise en chantier d tablir des pr visions d activit tout en donnant un catalogue trimestriel des grands chan tiers en cours de r alisation ou en projet 2 4 La connaissance de la pr vision et des op rations futures importantes devrait permettre aux entreprises de mieux conna tre globalement P volution future de leur activit par comparaison avec les ann es ant rieures et en cons quence de mieux tablir leur programme d investissement et de d veloppement aux ma tres d ouvrage d assurer une meilleure r gularisation de l activit des en treprises en lan ant les travaux au momen
97. tc 3 Saupoudrer CLEANSOL P sur la chauss e pollu e b ton asphalte etc simultan ment constituer des barrages aux en droits o le produit d vers ris que de s couler caniveaux fos s s etc Apr s pandage suffisant les produits d vers s seront tr s ra pidement absorb s et enrob s par CLEANSOL P et le tra fic pourra tre r tabli Le pas sage de v hicules ou du person nel sur les surfaces trait es constituera une action m cani que favorable l absorption des produits tr s visqueux Pour les produits inflammables l pan dage de poudre vitera en gran de partie les risques d incen dies 4 Apr s absorption compl te ba layer les surfaces trait es B CLEANSOL p te fluide Est ntilis e la suite de CLEAN SOL P pour le d graissage total et en profondeur des surfaces en crass es 1 Etaler une couche r guli re de produit sur la surface nel toyer 2 Brosser utiliser des brosses brins d acier 3 Rincer la lance incendie La mise en uvre de ces produits se fera manuellement pour les petites surfaces Pour les grandes surfares il est re command d utiliser le mat riel de lu voirie 1 Pour le balayage de la poudre CLE ANSOL P 2 Pour l talement et le brossage de la p te CLEANSOL S sur le sol nettoyer utiliser des brosses rotatives brins d acier 3 Le rin
98. ton arm Yves AUBERT Ing nieur en Chef des Ponts et Chauss es Directeur g n ral de l Union Technique Interprofessionnelle des F d rations nationales du B timent et des Travaux Publics Yvan COMOLLI Ancien l ve de l Ecole Polytechnique Directeur g n ral du Comptoir central de mat riel d entreprise Jacques VASSEUR Ing nieur G n ral des Ponts et Chauss es Pr sident du Comit consultatif du Centre scientifique et technique du B timent Ancien Directeur du B timent et des Travaux Publics Mutations Promotions et D cisions diverses Revue dit e par 25 27 31 39 51 55 63 71 Photo de couverture immeuble usage d habitation Les Horizons Rennes Monsieur Maillols architecte OS l association professionnelle des Ing nieurs des Ponts et Chauss es et des Mines 28 rue des Saints P res Paris 7 mensuel Tarif abonnement Un an France et Etranger 100 F pour l Etranger frais de port en sus Prix du num ro 10 F UXVille ann e no 6 mensuel R DACTION 28 rue des Sts P res Paris 7 LIT 25 33 PUBLICITE 254 rue de Vaugirard Paris 15 LEC 27 19 L Association Professionnelle des Ing nieurs des Ponts et Chauss es et des Mines n est pas responsable des opinions mises dans les conf rences qu elle organise ou dans les articles qu elle publie Art 31 de son r glement int rieur Pont n 3 sur l Arve Ma tre de l uvre
99. truction de nou veaux si ges sociaux voisins des ateliers des d p ts faciles d acc s Les investissements incorporels notamment les participations croissent aussi beaucoup Les r formes de structure concentrations groupements ont ici aussi leur influen ce mais le plus important sera dans les ann es venir le d sir des entreprises dans leur recherche vitale d une meilleure rentabilit de participer la conception et la promotion des ouvrages plut t que de subir la loi de ma tres d ouvrage trop soucieux d exploiter une concurrence sauvage Les entreprises de b timent s engagent de plus en plus dans la promotion et celles de g nie civil y sont encourag es par les tendances actuelles de l Administration autoroutes pri v es L ensemble de ces volutions d place naturellement vers le long terme les besoins des entreprises en capitaux d appoint ce qui a pour effet de r duire dangereusement les marges d endettement qui sont les provisions d oxyg ne de l entreprise Quand l volution est trop rapide ou la croissance trop vive ce qui est normal dans une profession o la vie moyenne de l entreprise se confond souvent avec la courte p riode de dynamisme et de maturit efficace d un dirigeant il est parfois n cessaire de pouvoir investir au del des ratios sans rompre l quilibre fondamental du haut du bilan c est ce stade qu interviennent les proc dures de leasing
100. ur comnortement dans le secteur priv de la construction tienne compte des nr occupations qui orienteront celui du secteur publie Elle se bornera parfois accompagner les initiatives de secteur priv par les mesures administratives ou r glementaires qui sont n cessaires leur d veloppement Dans tous les cas il lui appartient tout en se gardant de toute immixtion inutile ou mal accept e d exercer un r le d animation et d information en ayant l ambition d tre en quelque sorte le catalvseur de r actions qui sont potentielles mais que des freinages de tou tes natures tendent diff rer Les travaux du VI Plan ont t marqu s plus clairement que dans le pass par l id e que l industrie doit rechercher ses voies de progr s non dans une programmation mise en uvre sous la responsabilit des pouvoirs publics mais bien dans la mobilisation des res sources de chacun de ses agents chaque secteur professionnel devant tre capable de domi ner ses probl mes et de canaliser son volution Nul doute qu une claire prise de conscience de cette modification dans l tat d esprit accompagn e par une saine compr hension du r le de l administration sera de nature d terminer dans le secteur du b timent et des travaux publics les processus d adaptation dont il a besoin pour rester une industrie prosp re capable de se maintenir la t te du pro gr s technique et de r pondre aux besoins d une collectivit dont
101. ur le plan interprofessionnel En effet les risques encourus ne sont plus de m me nature responsabilit risques financiers notamment et le tissu indus triel doit s adapter en cons quence Cette action atteint m me les professions voisines Bureaux d tudes techniques qui peuvent tre conduites passer des contrats avec l entrepreneur et non plus avec le ma tre A d ouvrage ou participer des groupements 3 1 3 Comme cons quences principales en ce qui concerne les entreprises on peut noter la n cessit de groupements plus ou moins temporaires soit pour mieux r partir les risques lorsqu il s agit d entreprises de m me sp cialit s soit pour associer les entreprises de sp cialit s diff rentes afin d tre m me de r aliser un ouvrage dans son ensemble Ces groupements s tendent aux professions autres que les T P Banques par exemple On peut assister de ce fait la r union de moyens d tu des de recherche voire des concentrations le d veloppement pr visible de la sous traitance qui se heurte des r sistances non n gligeables par suite de la crainte qu prouvent les entrepreneurs sous trai tants d une part d tre trop la merci du donneur d ordre d autre part d tre vic times d une d faillance de ce dernier Le Comit B T P a fortement insist sur la n cessit de mieux organiser la sous traitance notamment par la mise au point des contrats de sou
102. ute est il n cessaire de s interroger et c est par l que nous terminerons notre propos sur la valeur des moyens que PEtat peut mettre en uvre pour favoriser une volu tion conforme ces orientations On pensera d abord ceux qui rel vent de la puissance publique en tant qu acheteur direct et qui s expriment aujourd hui par une politique des march s publics qui a ambition de se placer dans le cadre de la politique conomique g n rale On doit se garder ce sujet de deux attitudes extr mes galement mal fond es la premi re est celle du sceptique qui tire argument de la port e pratique limit e des r sul tats obtenus ce jour sans se rendre compte qu il s agit d une action qui pour porter tous ses fruits doit p n trer tous les niveaux de l administration et tre bien comprise par les entreprises elles m mes Elle requiert pour ces motifs du temps et de la pers v rance et ne saurait tre jug e dans une optique court terme La seconde lui attribue au contraire une efficacit et une universalit qu elle ne sau rait comporter se r clamant plus ou moins consciemment de la conception de J Etat Pro vidence elle ne voit pas que Pobjectif essentiel d une politique des march s publics est de sauvegarder le maintien des conditions propres d terminer une concurrence saine mais aussi large que possible Elle oublie aussi que les march s publics ne repr sentent qu une partie de Pactivit du secteur gu

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