Très petites entreprises et système agroalimentaire de production
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1. r seau passe par l enclenchement d une trajectoire propre donner au r seau un actif sp cifique ce que nous appelons mont e en gamme de l actif du r seau Configuration p les Ma tres Salaisonniers Bretons Groupement Mode d Emploi Atlanpack Configurations de type alliance Alliance Loire K R seaux logique coop rative potentiel d image logique d addition forte sp cificit des actifs Dans ce type de r seau la logique de coop ration vise susciter la cr ation d un actif nouveau image produits comp tences valorisable par les membres pour promouvoir des strat gies de diff renciation commerciale Cet actif a une valeur sp cifique attach e au fonctionnement du r seau Ici la d marche serait plut t de type top down Deux caract ristiques e les participants conservent un niveau lev d autonomie et un haut niveau de protection pour leurs savoir faire sp cifiques e les gains en potentiel d image supposent que la dynamique du r seau soit r guli rement activ e pour ce faire les membres du r seau sont invit s d velopper des partenariats qui rappellent les formes de coop ration identifi es dans les r seaux logique coop rative comp tences d o la qualification top down de la d marche Configuration avec assises territoriales P le Senteurs et Saveurs Club des Entrepreneurs de Grasse PRIAM Configuration sans assises territorial2. re la dynamique de construction des SYAL peut on envisager un encha nement vertueux de stades franchir Existe il un chemin id al suivre Et pr coniser A quels niveaux une intervention des pouvoirs publics peut elle s exercer d une mani re efficace et efficiente y La seconde met l accent sur les diff rents degr s d implication de la variable territoire dans la structuration et le d veloppement des SYAL Selon le type de sc nario et donc la place tenue par la variable territoriale on comprend que les actions d appui au d veloppement des SYAL ainsi que les modalit s propos es par les pouvoirs publics seront de nature tr s diff rente 3 2 1 Les r seaux un encha nement vertueux On peut proposer un encha nement d tapes standard selon six degr s r action de regroupement face une perturbation construction d une structure autoproduction d une culture commune affirmation de comp tences d passement du projet initial politique d innovation PI EE PARIINRPRARME ERFT Ai OVALI HU EL nan m e T AZt eie MAN Aa AA LL mAnnr An 3 2 2 Les sc narios quelle politique publique Selon le type de sc nario l implication de la variable territoire est plus ou moins grande tant dans la construction de la coop ration que dans l orientation strat gique choisie par les SYAL Strat gie organique de territoire Pouvoirs publics catalyseur Dans ce sc nario l action des pouvo
3. riences tudi es sont ordonn es en quatre classes correspondant aux quatre quadrants d limit s par l intersection de deux axes vy un axe horizontal qui oppose la dimension logique de rapprochement ou addition d activit s semblables logique d int gration d activit s compl mentaires v un axe vertical qui oppose la dimension forte sp cificit des actifs du r seau faible sp cificit Quatre configurations apparaissent R seaux logique coop rative comp tences logique d addition faible sp cificit des actifs Dans ces r seaux les membres mettent en commun une activit et ou une comp tence pour acc der un meilleur positionnement concurrentiel On pourrait qualifier la d marche suivie de type down top La r union de moyens doit permettre chaque participant d op rer une r ing ni rie de ses processus de production ou de vente selon un mod le interm diaire entre entrepreneuriat collectif et entrepreneuriat individuel L approche typologique b tit un cadre de r f rence partir du terrain en accentuant certaines variables par rapport d autres L approche taxonomique celle des sc narios privil gie la voie empirique PI EE PARIINRPRARME ERFT Ai OVALI nu EL nan ET AZt BACS AA LL mAnnr Aa Deux caract ristiques e les participants conservent des degr s divers leur autonomie et leurs savoir faire sp cifiques e la p rennit du
4. Colette FOURCADE Ma tre de Conf rences Sciences Economiques HDR E R F I Gis SYAL Universit Montpellier I S minaire Produits de terroir fili re qualit et d veloppement durable 22 juin 2006 Maison des Sciences de l Homme de Montpellier Tr s Petites Entreprises et Syst mes agro alimentaires de production localis s Colette FOURCADE Facult des Sciences Economiques Site Richter CS 79606 34960 Montpellier Cedex 2 T l 04 67 64 53 43 E mail Colette Fourcade wanadoo fr Tr s Petites Entreprises et N Syst mes agro alimentaires de production Y localis s LES ENJEUX DU SEMINAIRE Ce s minaire vise d gager de nouveaux chantiers de cr ation de connaissances Dans cette perspective il convient de poser une double exigence pour la d finition d un objectif cibl Une double exigence La premi re concerne la d marche faire converger les comp tences issues de deux ensembles de ressources e dune part l ERFI Equipe de Recherche sur la Firme et l Industrie quipe d accueil de l Ecole Doctorale Economie et Gestion de Montpellier organis e selon quatre groupes de recherche dont le groupe fondateur Strat gies Entrepreneuriales et de Petite Taille ERFI SEPT Les apports de ce groupe sont centr s sur la PME avec une focalisation plus r cente sur la petite et tr s petite dimension des entreprises e d autre part le Gis SYAL2 constitu de six institutions I
5. NRA CIRAD CNEARC Agropolis Museum Universit Versailles Saint Quentin Universit Montpellier qui ont choisi de mettre en commun des moyens humains et mat riels pour d velopper une recherche finalis e sur les Syst mes Agro alimentaires Localis s x La seconde est relative l objet confronter les connaissances e la probl matique ERFI SEPT elle s articule autour du management strat gique de la petite et tr s petite entreprise selon trois axes de r flexion v entrepreneuriat Y comportement strat gique au sein des petites entreprises Fond e par Michel Marchesnay Professeur des Universit s en Sciences de Gestion l ERFI est actuellement dirig e par Fr d ric Le Roy Professeur des Universit s en Sciences de Gestion Pr sid par Philippe Lacombe le Gis SYAL est dirig par Jos Muchnik PI EE PARIINRPRARME ERFT Ai PU AS CLEA V DR ENEN EDR AZt BACS AA LL mAnnr a v relation entre territoire et petite entreprise e es axes th matiques SYAL la diversit des SYAL est abord e travers quatre axes principaux v les r seaux d acteurs et d entreprises locales v les processus locaux de qualification des produits v les savoirs savoir faire et la formation des comp tences v la patrimonialisation Cette double exigence s inscrit dans la recherche d un objectif commun la d finition d un champ de recherche mergent Tr s petites entreprises et Syst mes agro alimentaires de production l
6. alimentaire Rapport terminal Montpellier d cembre PI EE PARIINRPRARME ERPT A OVALI Hu EL nan E ET AZt BACS AA LL mAnnr Le premier est celui d un environnement sp cifique les SYAL sont confront s d une part des contraintes organisationnelles manant en amont des nouvelles exigences issues du d veloppement durable et en aval des contraintes impos es par la grande distribution d autre part des contraintes structurelles ne serait ce que celles des orientations trac es par la Politique Agricole Commune Le second enjeu r side dans la construction de syst mes sp cifi s Face aux volutions de l environnement les SYAL apparaissent comme des laboratoires dans lesquels se d velopperaient de nouvelles formes de solidarit entre acteurs et o s laboreraient de nouveaux comportements collectifs Il appara t en effet que les modes de coop ration classiques ainsi que la promotion en termes de production des signes d origine et de qualit AOC IGP s essoufflent quelque peu face un environnement turbulent Ces nouvelles conditions exigent donc de la sph re agro alimentaire des comportements innovants il s agit de rechercher des configurations adapt es mettant en uvre des formes originales de collaboration et d veloppant de nouvelles dynamiques de coop ration Une question de recherche La recherche SYAL initi e en France vise r pondre la question de recherche ainsi formul e Quel
7. erritoire de Forcalquier pour le P le Senteurs et Saveurs Enfin la transversalit s exerce entre le c ur de la Fili re Sel de Gu rande et les organismes techniques de formation et communication qui contribuent construire et renforcer l image du territoire e une tr s forte influence des collectivit s territoriales elle est d terminante pour P le Senteurs et Saveurs et Club des Entrepreneurs de Grasse la gouvernance est d tenue par le Pays Haute Provence pour le premier cas et dans les autres les collectivit s locales ont jou un r le essentiel en tant que mentor K Strat gie conjugu e MAJ MAJ Industriel Majeur Territoire Majeur l objectif de construction de la coop ration est industriel mais la variable territoriale est d terminante Deux caract ristiques Trois exp riences tudi es se rangent sous ce sc nario Ma tres Salaisonniers Bretons Alliance Loire et P le Fili re Halieutique e la variable territoriale si elle n est pas fondatrice comme dans le sc nario 1 appara t d terminante condition n cessaire de la coh rence strat gique du SYAL elle en fonde la vision strat gique Les trois cas sont donc similaires de ce point de vue l implication territoriale constitue une variable strat giquement n cessaire la coop ration industrielle e l objectif de construction de la coop ration est industriel dans les trois cas ces SYAL rel vent totalement et exclusivement de l ag
8. es Bleu Blanc C ur R seaux logique coop rative cr ation de fili re logique d int gration forte sp cificit des actifs La cr ation d une fili re se justifie en tant qu elle concr tise la recherche d un positionnement diff renci et ce dernier ne peut tre atteint que s il est port par la mise en place d une fili re profil original PI EE PARIINRPRARME ERFT Ai OMAI HU EL nan E m e T AZt eie MAAN Aa AA LL mAnnr Deux caract ristiques e on reste ici dans la probl matique fonctionnement fili re mais il s agit moins de favoriser les ajustements mutuels que de susciter la cr ation de nouveaux arrangements pour favoriser la valorisation d une ressource donn e e le partenariat va tre g n rateur d un actif sp cifique fort sp cifique au r seau mais les membres n ont qu une possibilit faible de s approprier cet actif Orylag Fili re Sel de Gu rande u R seaux logique coop rative am lioration de fili re logique d int gration forte sp cificit des actifs Le fonctionnement en r seau doit permettre une meilleure coordination des activit s des membres et au total une am lioration des performances d ensemble en particulier en termes de co ts Deux caract ristiques e les participants conservent leur autonomie et leurs savoir faire sp cifiques la gamme des savoir faire et ou des ressources mobilis es dans le r seau varient selon la nature d
9. ion associ es de par leurs caract ristiques et leur fonctionnement un territoire sp cifique Le milieu les produits les hommes leurs institutions leur savoir faire leurs r seaux de relations se combinent dans un territoire pour produire une forme d organisation agro alimentaire une chelle spatiale donn e Cirad Sar 1996 Un largissement du champ d tude a t nourri par une recherche men e en France On constate en effet que nombre d initiatives du monde agricole et agro alimentaire s expriment au travers de d marches dans lesquelles collaboration ou coop ration conjugu es la territorialisation apparaissent comme des valeurs porteuses d un d terminisme majeur On est alors conduit s interroger sur l mergence d organisations et de dynamique nouvelles s exer ant dans les activit s agro alimentaires et s inscrivant dans un environnement en mutation 2 LA RECHERCHE SYAL Les enjeux La d marche SYAL repose sur une hypoth se forte selon laquelle les syst mes productifs localis s oeuvrant dans les activit s agro alimentaires pr sentent une particularit issue d un positionnement face un double enjeu Cirad Sar 1996 Syst mes Agro alimentaires localis s Rapport ATP Soutenue par le Minist re de l Agriculture et la DATAR la recherche a t men e l int rieur du GIS SYAL C Fourcade J Muchnik R Treillon 2005 Syst mes productifs localis s dans le domaine agro
10. irs publics est concevable sous la forme d une aide au management de la coop ration et les r sultats attendus de cette politique auront n anmoins des implications territorialis es L aide appara t ainsi transversale aux diff rents niveaux du processus en tapes PI EE PARIINRPRARME ERFT Ai OMAI Hu EL nan ET AZt BACS AA LL mAnnr A 4 4 LES CONCLUSIONS Trois propositions conclusives face la question initiale de recherche e de nouvelles utilisations de formes connues de coop ration e une d naturation de la coop ration e une plasticit de la variable territoriale Deux voies d approfondissement pour des chantiers communs de cr ation de connaissances e le r le des TPE v dans la structuration d organisations collectives originales y pour r sister la pression concurrentielle internationale e le degr de plasticit de la variable territoriale PI EE PARIINRPRARME ERFT Ai OVALI nu EL nan E m e T ML MAAN aAa AA LL mAnnr An
11. irs publics locaux qu il s agisse de la r gion du d partement d une communaut d agglom ration de Pays est primordiale Le catalyseur est constitu par une collectivit territoriale ou un mix de collectivit s ce qui implique une volont de coop ration de la part de ces collectivit s Le r le des pouvoirs publics locaux s exerce ainsi en amont et au d but de l exp rience de coop ration Par r f rence l encha nement des tapes pr sent dans la section pr c dente l intervention publique devrait se positionner au niveau Construction d une structure Strat gie Maj Maj Pouvoirs publics appui l innovation organisationnelle L action des pouvoirs publics s inscrit dans une d marche d appui d aide la r solution ou au d passement de probl mes organisationnels En ce sens et toujours en se r f rant au processus en tapes l intervention publique se con oit en aval de la coop ration en termes d appui la politique d innovation organisationnelle Strat gie Maj Min Pouvoirs publics aide au management de la coop ration Dans les coop rations caract ristiques de ce troisi me sc nario la contrainte en question est la suivante la dimension territoriale est pr sente mais sous la forme d une variable non strat gique tant du point de vue de la construction de l exp rience que surtout du point de vue du d veloppement du SYAL Dans ces situations une politique des pouvo
12. les sont les nouvelles formes de coop ration qui peuvent aider les entreprises des fili res de production s adapter un environnement en mutation et en quoi le territoire peut il intervenir comme variable significative Des r f rents th oriques Nous mobilisons ici la litt rature partir de deux ensembles de r f rences e le domaine des strat gies collectives rattach au management strat gique La th orie des strat gies collectives vise fournir un cadre d analyse des strat gies de collaboration qu une entreprise peut mettre en uvre avec d autres partenaires y compris des concurrents 5 Un article fondateur est d W G Astley et C J Fombrun 1983 Collective strategy social ecology of organizational environments Academy of Management Review PI EE PARIINRPRARME ERFT Ai OMAI Hu EL nan E ET AZt BACS AA LL mAnnr e l approche des Syst mes Productifs Localis s situ e au croisement de l conomie industrielle et de l conomie spatiale Le concept de SPL permet de regrouper les diff rents modes de coordination entre formes variables d organisations industrielles situ es sur un territoire donn 3 LES PREMIERS APPORTS 3 1 Un cadre d analyse f d rateur Un cadre f d rateur est offert sous une double forme e une typologie d terminant quatre types de r seaux e la construction de trois sc narios strat giques 3 1 1 Une typologie les r seaux de coop ration Les exp
13. ocalis s LE CHAMP DE RECHERCHE QUATRE POINTS SERONT DEVELOPPES DANS CETTE PRESENTATION LA PROBLEMATIQUE LA RECHERCHE SYAL LES PREMIERS APPORTS UN CADRE D ANALYSE FEDERATEUR LES DIRECTIONS DE PRECONISATIONS LES CONCLUSIONS 1 LA PROBLEMATIQUE Qu est ce qu un SYAL Les Syst mes Agro alimentaires Localis s tudient les processus de d veloppement agro alimentaires v fond s sur la mise en valeur des ressources locales produits savoirs et savoir faire institutions v impliquant des petites entreprises agro alimentaires ancr es territorialement Y s appuyant sur la qualit et la diversit des produits agricoles et alimentaires PI EE PARIINRPRARME ERFT Ale OMAI Hu EL nan m e T AZt eie MAN aAa AA LL mAnnr a v r pondant des pr occupations de d veloppement local et aux nouveaux enjeux du monde rural Pourquoi les SYAL Pourquoi cet int r t pour les syst mes productifs localis s oeuvrant dans les activit s agro alimentaires Un ensemble de configurations SYAL observ es dans les pays dits du Sud par des chercheurs du CIRAD notamment a constitu un premier objet d tude Il s agissait essentiellement de configurations regroupant des micro entreprises agricoles et de premi re transformation agro alimentaire Les SYAL ont ainsi t d finis comme des organisations de production et services unit s de production agricole entreprises agro alimentaires commerciales de service restaurat
14. ro alimentaire aucun aspect de trans fili re n appara t f Gueguen Gueguen G E Pellegrin Boucher et O Torr s 2004 Des strat gies collectives aux cosyst mes d affaires le secteur des logiciels comme illustration In Les strat gies collectives rivaliser et coop rer avec ses concurrents Atelier AIMS Montpellier PI RE FAIINAARF ERFT Ai OVALI HU EL nan m e T AZt eie AAN aAa AA LL mAnnr Aa Strat gie f d r e MAJ MIN Industriel Majeur Territoire Mineur les coop rations sont fond es sur un objectif industriel avec une dimension mineure de la variable territoire Deux caract ristiques e deux groupes apparaissent Mode d Emploi Nord Vienne et Atlanpack sont organis s selon une logique de fonction emploi pour le premier emballage pour le second cette fonction s exprimant travers un ensemble de services rendus aux activit s de l agro alimentaire Valagro Orylag et P le Horticole de Hy res sont fond s quant eux sur une logique fili re l entr e par les activit s tant nettement de type valorisation de ressources agricoles e pour l ensemble des SYAL de ce sc nario la variable territoriale appara t comme contrainte mais on retrouve l encore le clivage entre les deux groupes en tant que contrainte institutionnelle pour le groupe services contrainte naturelle mat rielle pour le groupe agricole 3 2 Les directions de pr conisations y La premi re r f
15. u probl me r soudre e par nature la r versibilit dans ce type de r seau est forte le retrait de certains membres n en alt rant pas la sp cificit Face cette faiblesse chronique la recherche d un actif sp cifique constitue une base privil gi e de d veloppement A d faut la p rennit du r seau resterait trop probl matique P le Fili re Halieutique Cerise Confite d Apt 3 1 2 Une taxonomie les sc narios strat giques Strat gie organique de territoire des entreprises ou organisations diff rentes partagent une m me ressource et trouvent int r t promouvoir cette ressource ici le territoire Trois caract ristiques Trois SYAL rel vent de ce sc nario P le Senteurs et Saveurs Club des Entrepreneurs de Grasse et Fili re Sel de Gu rande e l image du territoire en tant que bien collectif repr sente un l ment fondamental de ce sc nario tous les acteurs industriels tiennent leur ancrage territorial et s approprient l image du territoire PI EE PARIINRPRARME ERFT Ai OMAI HU EL nan E ET ML BACS AA LL mAnnr Aa e une structuration de relations transversales la source des effets d addlitivit annexe Ces relations transversales existent entre les entreprises du Club des Entrepreneurs de Grasse afin d tablir un socle commun producteur de services de recherche La transversalit est caract ristique de la construction de relations entre les fili res sur le t
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