celle-ci continue ensuite de grossir dans la parti
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1. 238 PH VAN TIEGHEM se d velopper autour des derni res ramifications d une racine d arbre celle ci continue ensuite de grossir dans la partie de sa longueur qui est en dehors du tubercule tandis que la portion englob e reste peu pr s stationnaire C est ce qu on peut voir facilement par la figure qui repr sente la section longitudi nale d un de ces renflements tuberculeux p 229 Sans s en douter assur ment car 1l ne parail pas avoir connu l existence de la controverse M Lecomte s est trouv ainsi adop ter purement etsimplement l opinion du corps interm diaire de Blume et de Unger soutenue par G ppert en 1841 el admise depuis par tous les botanistes tant pour la Langsdortie que pour les Balanophorac es comme on l a vu plus haut Encore est il all dans cette mani re de voir plus loin qu aucun de ses devanciers car il consid re le syst me de ramifications de la racine nourrici re comme ant rieur comme pr existant la formation du tubercule qui l englobe tandis que tous les auteurs pr c dents le regardaient comme r sultant de la premi re action du parasite et contemporain de son d veloppement Le ph no m ne de la polyst lie bien qu introduit dansla Science longtemps avant la publication de son travail lui done compl tement chapp dans ce rhizome qui en est pourtant une des plus belles manifestations I n a pas aper u davantage ni les faisceaux cribrovasculaires du parenchym2. e interpos nileurs connexions avec les st les de sorte que d apr s lui le tubercule ne poss derait en propre aucun syst me vasculaire Naturellement 11 n a pas vu non plus ni les grandes cellules s cr trices mati re jaune rouge tre contenues dans le hiber ni les files de larges cellules s cr trices renferm es dans le bois primaire de chacune des st les C est pourtant la substance s cr t e par ces cellules et non comme il le fait la balanophorine incolore de l corce interpos e qu il faut probablement attribuer la propri t de gu rir les maux de t te que poss de ce rhizome Les noirs du pays Loango dit 1l utilisent ces renflements tubereuleux contre les maux de t te et le mode d emploi m rite d tre mentionne Le f ticheur m che la substance rouge brun tre du tubercule puis la mastication arriv e point 1l se place devant la per sonne malade et ui crache la figure la substance ainsi divis e
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