préparer l`épreuve d`histoire-géographie
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1. ographie tude de la question Introduction La carte est un instrument incontournable pour l enseignement de la g ographie Cependant il faut tre conscient qu elle ne permet pas un acc s imm diat l espace qu elle tudie Elle ND REGARDS SUR LE MONDE ND est une reproduction de l espace per u par les filtres que son cr ateur impose en fonction de ses objectifs La carte n est donc pas le r el mais un ensemble de choix qui aboutissent une repr sentation cartographique de la r alit 1 1 Le choix d une l chelle LE CHOIX DE L CHELLE MODIFIE LA REPR SENTATION DES PH NOM NES e Le premier choix mis en uvre par le concepteur de la carte est celui du sujet de la carte qui peut laisser de c t certains aspects Il y a galement le choix de l chelle dans la mesure o la repr sentation cartographique d un territoire consiste r duire sur le papier les r alit s du terrain dont il faut respecter la taille relative et les distances Une carte est toujours con ue en respectant une chelle Celle ci est un rapport de r duction proportionnelle entre la taille sur le papier et les distances sur le terrain l chelle peut tre formul e par une fraction qui permet de calculer le rapport entre une distance relev e sur la carte et la distance r elle qu elle repr sente Ainsi pour une chelle au 1 25 000 1 cm sur la carte repr sente 25 000 cm sur le terrain c est dire 250 m tres Avec ce2. t s humaines Plus largement leur pr sence a pu jadis favoriser certaines routes maritimes commerciales et ou colonisatrices De leur pr sence d pendent bien des ressources alimentaires m me si son eau sal e ne permet pas la consommation humaine sauf traitements on reux Les activit s touristiques et commerciales sont tr s souvent situ es proximit des littoraux En terme de rep rage les programmes indiquent qu il est n cessaire de savoir identifier les cinq oc ans Atlantique Pacifique Indien Arctique et Antarctique et les principales mers du globe M diterran e Noire de Chine e Par continent on entend une vaste tendue terrestre d un seul tenant entour e d eau La communaut scientifique en reconna t habituellement six l Afrique l Eurasie l Am rique du Nord l Am rique du Sud l Oc anie et l Antarctique Le relief joue un r le important dans les choix d organisation et d adaptation des soci t s influant notamment les flux tant humains qu conomiques Ces reliefs sont l objet de dynamiques et d volutions qui vont galement interf rer avec les soci t s Il est n cessaire de conna tre les formes l mentaires du relief plaine plateau montagne vall e G 2 3 Les grands ensembles climatiques Doc Les grandes zones climatiques dans le monde LA PROBL MATIQUE DE CE TH ME EST DE COMPRENDRE LA RELATION ENTRE MILIEUX NATURELS ET SOCI T S e Le souci d envisager les grands ensem
3. cise leur signification est quasiment universel Dans de nombreux pays les modes de repr sentation topographiques ont t harmonis s et l utilisation de signes conventionnels lisibles par tous a t d cid e Ainsi en est il des flux par exemple qui peuvent concerner des d placements aussi vari s que ceux de l air des eaux des hommes des marchandises ou des capitaux Ils sont toujours repr sent s par des fl ches pr cisant leur origine et leur destination et indiquant leur trajectoire et leur ampleur par des trac s plus ou moins pais Doc Le vocabulaire cartographique Conclusion Il est int ressant de familiariser les l ves d s le cycle 3 la grande vari t des cartes cartes petite et grande chelle carte europ anocentr e G centr e sur le p le nord ou sur d autres continents carte prise de l espace voire carte par anamorphose Ai Une carte par anamorphose c est dire une carte qui rend les surfaces proportionnelles la variable analys e sur laquelle on pourra travailler notamment la lecture de la l gende L int r t est d amener l l ve r fl chir la pertinence d une repr sentation cartographique pour repr senter tel ou tel ph nom ne La comparaison diachronique de cartes topographiques r alis es diff rentes dates peut tre un excellent exercice pour faire comprendre l volution des paysages touristiques ou urbains A La p riurbanisation autour de Strasbourg De m
4. de leur histoire le besoin de conqu rir des terres sur la mer polders on n voque pas de surpopulation leur sujet la diff rence du Bangladesh D autres param tres sont consid rer un PIB habitant ou un IDH G lev s suffiront faire oublier la forte densit m me si elle occasionne quelques g nes l inverse un faible IDH ou un faible PIB habitant aggrav s par une faible croissance conomique s accompagnent souvent de situations dramatiques de malnutrition sous nutrition de ch mage structurel norme de difficult s de logement Ainsi ces notions de densit surpeuplement et sous peuplement doivent prendre en compte les conditions de d veloppement De m me la densit traduit mal en g n ral la r alit spatiale de la distribution du peuplement sur le territoire car il s agit d une moyenne La Chine avec 1 3 milliard d habitants en 2007 fait figure de g ant d mographique Sa densit moyenne de 137 habitants km est pourtant peine sup rieure celle de la France un peu plus de 110 habitants km Cette densit chinoise est peu significative dans la mesure o 90 de sa population se concentre sur 10 du territoire l Est du pays avec des densit s de 1 000 habitant km dans les plaines agricoles de l Est Il en est de m me avec la densit moyenne mondiale 50 habitants km qui n a pas grande signification tant les contrastes concernant la r partition de la population de la plan te sont impo
5. galopole japonaise alors que la population urbaine est d sormais majoritaire au plan mondial Enfin tous se trouvent proximit du littoral La littoralisation Gz un processus ancien accompagne largement ce mouvement puisqu un humain sur deux habite un espace c tier ou proche de la mer aujourd hui eo e Les vides correspondent des zones de faible occupation des d serts humains Il en existe quatre grands types Les d serts froids l emportent largement qu il s agisse d espaces d inlandsis Antarctique et Groenland absolument inhospitaliers ou d espaces de toundra ou de ta ga aux conditions climatiques tr s contraignantes amplitudes fortes froid hivernal gel emb cles et d b cles qui rendent impossible l agriculture Les populations se limitent des stations scientifiques Antarctique des bases militaires des sites d exploitation de ressources naturelles Sib rie Alaska sinon des peuples la population peu nombreuse anciens nomades et chasseurs Les d serts arides tant subtropicaux que continentaux sont par l absence d eau inhospitaliers aux tres humains l exception de la survivance d oasis traditionnelles du recours de grands travaux hydrauliques de d rivation en Asie centrale par exemple ou de l utilisation de l eau des nappes profondes gr ce des moyens techniques et financiers importants en Libye ou en Arabie Saoudite Les d serts verts correspondent la grande for t quatori
6. me on pourra mettre en relation la photographie d un paysage et la carte topographique qui y correspond ce dernier permettant un retour l image de la r alit afin de montrer les limites de la repr sentation cartographique I Ar B48 LES MODES DE REPR SENTATION GLOBALE DE LA TERRE ET DU MONDE ND 2 LES PRINCIPAUX CONTRASTES DE LA PLAN TE Int r t de la question ette partie renvoie l tude sp cifique de la g ographie Il s agit d tudier l organisation de l espace par les soci t s savoir la fa on dont les hommes produisent occupent utilisent am nagent organisent et transforment leurs territoires pour et par leurs activit s Dans les programmes cette approche primordiale en g ographie est abord e de nombreuses reprises Au cycle 3 puis en sixi me ensuite en classe de seconde dont le programme de g ographie est ainsi formul les hommes occupent et am nagent la Terre L une des entr es possibles c est celle qui a t choisie dans les trois niveaux cit s est le contraste entre des espaces vides et les espaces les plus peupl s de la plan te Cette tude de l in gale r partition des hommes sur la terre est compl t e par l approche d autres contrastes comme ceux existant entre oc ans et continents ou entre les grands ensembles climatiques Notons que ce dernier point a t retir des programmes des l ves de 2007 Le socle commun des connaissances consid re que chaq
7. pays d velopp s du Nord et les pays sous d velopp s du Sud Doc L in gal d veloppement des tats de la plan te Ceci dit cette fronti re est changeante et les contrastes sont importants au sein de chaque ensemble voire au sein d un m me pays La Chine 0 745 d IDH voit chaque ann e son rang progresser mais il existe un fort contraste de d veloppement entre le littoral et l int rieur du pays Elle est encore consid r e comme un pays du Sud comme les PMA pays les moins avanc s cat gorie cr e par le PNUD et regroupant les pays les moins d velopp s socio conomiquement de la plan te 50 en 2007 surtout des pays d Afrique subsaharienne Conclusion Les soci t s humaines connaissent d importants contrastes l chelle de la plan te en terme de peuplement de mode d occupation de l espace d activit s de richesses de d veloppement mais pour les expliquer les conditions naturelles ne sont jamais d terminantes Il serait vain de vouloir faire se recouper une carte des zones climatiques avec une carte de l IDH une carte du relief avec une carte de la population etc Il existera toujours des contre exemples plus nombreux qu on peut le penser a priori et il pourra tre judicieux de les inventorier avant de les analyser Il faut donc absolument renoncer au d terminisme consistant rapporter tel tat de la soci t un facteur naturel unique ou m me une s rie de facteurs naturels Les pays ari
8. LE REGARDS SUR LE MONDE PROGRAMME DE G OGRAPHIE 1 LES MODES DE REPR SENTATION GLOBALE DE LA TERRE ET DU MONDE Int r t de la question ss des cartes peut commencer d s le cycle 2 avec l initiation au planisph re ou aux cartes topographiques pour localiser soit des ph nom nes locaux soit des ph nom nes plus g n raux Au cycle 3 la carte devient avec la photographie de paysages l outil privil gi du cours de g ographie Les programmes pr voient que les l ves soient capables d orienter et de lire une carte d effectuer une recherche dans un atlas imprim ou num rique et de mettre en relation des cartes diff rentes chelles pour localiser un ph nom ne Cela est confirm par le socle commun des connaissances qui pr cise que les l ves doivent tre capables de situer dans l espace un lieu ou un ensemble g ographique en utilisant des cartes diff rentes chelles Le dire lire et crire au centre des apprentissage de l cole peut tre travaill de fa on tr s int ressante partir d une carte s agira par exemple d analyser une carte l oral en utilisant un vocabulaire g ographique adapt de lire une carte et sa l gende ou bien de l laborer l crit Probl matiques de la question Quels sont les diff rents modes de repr sentation cartographique de la Terre Quels sont les int r ts et les limites de la carte comme outil pour l enseignant en cours de g
9. ale et tropicale Born o Congo Amazonie Sumatra La for t fragile aux sols vite d stabilis s difficile p n trer et dont l ambiance chaude et humide est favorable aux end mies pr sente des limites une implantation importante Enfin les d serts des tr s hautes altitudes sont par le froid le manque d oxyg ne et la pente r pulsifs e Tous ces d serts humains on l aura compris pr sentent des contraintes naturelles importantes le froid l aridit un climat malsain la pente Cependant le d terminisme physique n est plus de mise aujourd hui pour expliquer lui seul la pr sence de ces d serts humains Des conditions climatiques ou environnementales proches ou identiques ne conduisent pas aux m mes situations en terme de densit Un exemple pour s en persuader les contrastes d occupation humaine observables entre l Amazonie et l Indon sie deux territoires situ s la m me latitude l un tr s peu peupl l autre tr s dens ment Le g ographe recourt alors un ensemble de facteurs qui viennent se combiner pour expliquer l importance d un peuplement Les dynamiques d mographiques en sont un ainsi que les LES PRINCIPAUX CONTRASTES DE LA PLAN TE ND REGARDS SUR LE MONDE migrations internationales du pass comme du pr sent La traite des noirs a par exemple contribu au peuplement des Am riques o malgr l an antissement de nombreuses populations am rindiennes pid m
10. bles climatiques de la plan te correspond une d marche g ographique classique Toutefois on notera ici que cette partie succ de l analyse de la r partition des populations dans le monde alors que jadis elle la pr c dait conduisant maintes d rives d terministes II s agit de pouvoir montrer comment les hommes s adaptent aux divers climats en quoi v g tation et climats contribuent la compr hension de la r partition des hommes sur la terre sans la d terminer pour autant Les grands ensembles zonaux sont pr sent s en cycle 3 de l cole primaire en recourant des cartes et illustr s par quelques paysages et diagrammes ombrothermiques Gz repr sentatifs Ces diagrammes sont utilis s ventuellement en illustration mais jamais r alis s par les l ves eux m mes Un futur professeur des coles doit pouvoir mettre en vidence les caract ristiques des grands types de climats quatorial tropical m diterran en temp r polaire Gz et grands biomes G for t dense savane steppe garrigue et ou maquis ta ga toundra G Un l ment essentiel explique la diff renciation zonale c est le bilan thermique r sultant de la rotondit de la terre et de son inclinaison Ainsi sont distingu es zone froide et zone chaude la zone temp r e tant en fait une zone interm diaire sujette aux deux influences cela s ajoute la disposition des terres et des mers donnant lieu des climats plut t continenta
11. des peuvent tre pauvres ou riches des espaces montagnards r pulsifs ou attractifs des zones quatoriales d velopp es ou non etc Le climat ou le relief ne sauraient eux seuls d terminer la r partition de la population ou le niveau de d veloppement d une soci t D ailleurs une contrainte peut se transformer en atout en fonction des activit s pratiqu es et des am nagements qu elles induisent ou qu elles permettent Tout d pend donc de l action de l homme donc des am nagements qui transforment le milieu E Ar B48 LES PRINCIPAUX CONTRASTES DE LA PLAN TE E ND
12. e sph re ne pouvant jamais tre parfaite La premi re exag re les surfaces vers les hautes latitudes la seconde d forme les continents Le choix du centre de la carte est galement important et d pend de ce que le g ographe veut repr senter Les cartes projection polaire placent le p le nord au centre ce qui perturbe nos habitudes visuelles en clatant l h misph re sud aux quatre coins de la carte Mais ce type de carte est particuli rement adapt pour repr senter les flux entre les pays de la Triade Doc Une carte centr e sur le p le nord I en est de m me pour des cartes qui ne sont pas centr es sur l Europe et l Afrique comme on en a l habitude mais sur les tats Unis pour montrer par exemple l influence plan taire de l hyperpuissance am ricaine Doc Une carte centr e sur le continent am ricain C est alors la Russie qui est coup e en deux et non l oc an Pacifique comme on en a l habitude Le choix de la projection n est pas d nu d id ologie Mettre l Europe au centre de la repr sentation de la Terre ou la Chine est bien l expression d une perception du monde 1 3 Un vocabulaire cartographique commun LES CARTES PARTAGENT UN LANGAGE CARTOGRAPHIQUE QUASI UNIVERSEL e Une carte se construit selon des choix successifs mais le langage cartographique qui correspond au mode d emploi de la carte qui r pertorie tous les signes utilis s les couleurs les trac s les trames les symboles et pr
13. ies massacres acculturation de nouveaux grands foyers de peuplement sont apparus Mais en contrepartie cet esclavagisme a durablement marqu l Afrique noire tant sur un plan d mographique qu conomique et g opolitique Cette relation aux dynamiques d mographiques illustre l importance des facteurs historiques techniques culturels et politiques Outre l impact de la colonisation ou de l esclavage les formes d organisation et de fonctionnement des soci t s relevant des grandes volutions historiques ont jou un r le pr pond rant La ma trise pr coce de syst mes hydrauliques et ou de techniques agricoles permettant une productivit assez lev e a permis l Asie des moussons et l Europe de supporter des densit s rurales importantes parfois normes deltas rizicoles asiatiques L mergence et la mise en place de structures politiques et administratives y ont aussi contribu Bien videmment l acc s la r volution commerciale puis l industrialisation des temps modernes a favoris les d veloppements d mographiques de l Europe et par transfert de populations des nouveaux mondes Aujourd hui la proximit ou non de la mer semble un facteur d cisif par exemple pour expliquer les diff rences de densit entre l Amazonie enclav e et l archipel qu est l Indon sie l mergence d une nouvelle voie commerciale maritime peut favoriser un lieu isol jadis Hong Kong Mais rien n est tabli pour toujours Un e
14. rtants En effet les 2 3 des surfaces merg es sont quasiment vides d hommes e y a des espaces marqu s par une tr s forte concentration de population les grands foyers de peuplement Ils sont au nombre de trois l Asie orientale plus de 1 5 milliard d habitants soit 23 5 de la population mondiale l Asie m ridionale plus de 1 4 milliard et l Europe plus de 500 millions Les deux premiers foyers fort anciens remontent l Antiquit ils abritent respectivement les deux g ants de la plan te par leur population la Chine avec 1 3 milliard d habitants et l Inde avec 1 06 milliard pourtant trois fois plus petite par sa superficie D autres foyers sont dit secondaires le nord est des tats Unis le Sudeste br silien mais peuvent conna tre une importance croissante comme celui d Asie du sud est pr s de 400 millions d habitants ou celui du golfe de Guin e On peut remarquer que tous ces foyers sont situ s dans les zones temp r es et tropicales Ce peuplement privil gie de plus des terres nourrici res les deltas rizicoles de l Asie des moussons les plaines et plateaux c r aliers tant en Europe qu en Asie Par ailleurs ces foyers de population concentrent quelques unes des plus grandes m tropoles Gr mondiales Beijing Shanghai Tokyo Calcutta Jakarta Londres New York Sao Paulo voire des m galopoles G la M galopolis du Nord est des tats Unis la m galopole europ enne et la m
15. s migrations jouent galement un r le dans la croissance d mographique La transition d mographique touche l ensemble des pays mais un rythme diff rent Elle est encore en cours d volution dans de nombreux pays en d veloppement notamment les pays d Afrique subsaharienne dans lesquels la croissance d mographique reste forte Mais partout on assiste une baisse de l indice synth tique de f condit G ce qui entra ne une d c l ration de la croissance d mographique mondiale La population mondiale augmente de 1 2 par an apr s avoir atteint une croissance de plus de 2 par an dans les ann es 1960 e Les contrastes de d veloppement G1 demeurent tr s importants Le d veloppement se mesure gr ce l IDH qui est calcul l aide de trois l ments le niveau de sant qui se mesure l aide de l esp rance de vie le niveau d ducation qui est valu l aide des taux d alphab tisation et de scolarisation ainsi que le niveau de vie le revenu par habitant Cet indicateur est calcul annuellement par le Programme des Nations Unies pour le D veloppement PNUD Plus l IDH d un pays se rapproche de 1 plus le pays est d velopp Plus l IDH est proche de 0 plus le pays est en retard de d veloppement Selon ce classement la Norv ge 0 94 appara t comme le pays le plus d velopp au monde alors que le Niger 0 25 est en queue de classement C est en fonction du seuil de 0 8 qu on d limite les
16. space r pulsif peut devenir attractif Ainsi en est il de littoraux malsains qui ont t assainis et am nag s Nous retiendrons donc qu aucun d terminisme exclusif dans l espace et le temps n est acceptable l inverse les conditions naturelles ne peuvent pas non plus tre ignor es MerH Exercice m thodologique pr sentez et expliquez les in galit s dans la r partition de la population mondiale MerH Exercice m thodologique une Terre et des hommes 2 2 Oc ans et continents LE SURNOM DE PLAN TE amp BLEUE DE LA TERRE VIENT DE L IMPORTANCE DES OC ANS e s agit de comprendre comment la r partition des oc ans contribue la compr hension de la r partition des hommes sur la Terre Commencer par les oc ans rel ve de l vidence puisque bien s r ils ne sont pas habit s La Terre est d abord une plan te couverte d eau 70 dont 90 pour l h misph re sud ce qui explique la localisation dans l h misph re nord de la plupart des foyers de population Bien qu inhabit cet espace maritime joue un r le cl tant pour de nombreuses activit s humaines en particulier le transport maritime qui assure 70 du commerce international que pour les grands quilibres plan taires De plus ses marges savoir les littoraux sont eux dens ment peupl s cause du ph nom ne de littoralisation d j voqu Les courants marins ont pu avoir des cons quences sur l installation des soci
17. tte chelle une carte topographique o figurent beaucoup de d tails est consid r e comme une carte grande chelle l inverse lorsqu on repr sente des territoires plus vastes comme un pays o un continent de nombreux d tails disparaissent la carte est petite chelle 1 100 000 000 Le choix de l chelle modifie la repr sentation du ph nom ne ou de l espace qu on veut cartographier Doc Le trafic mondial de marchandises diff rentes chelles Toutes sont compl mentaires et peuvent s embo ter La d marche multiscalaire G ou diff rentes chelles d un ph nom ne ou d un espace est donc particuli rement int ressante et est recommand e par les programmes Doc L le d Aix diff rentes chelles 1 2 Le choix d une projection TOUTE PROJECTION ENTRA NE DES D FORMATIONS e Le choix de la projection GL intervient aussi C est une n cessit puisque l on veut passer d une r alit trois dimensions son image r duite en deux dimensions ce qui entra ne n cessairement des d formations Les projections les plus couramment utilis es sont des projections cylindriques Sur celle dite de Mercator d apr s le nom du g ographe flamand du XVI si cle m ridiens et parall les se coupent angle droit Celle de Peters a t labor e en 1973 Doc Les projections de Mercator et de Peters L une et l autre pr sentent leurs propres inconv nients la repr sentation plat d un
18. ue l ve doit avoir des rep res g ographiques dont les grands ensembles physiques oc ans continents fleuves grands domaines climatiques et biog ographiques et humains r partition mondiale de la population Probl matiques de la question Comment expliquer l in gale r partition des hommes sur la Terre Quels sont les grands contrastes de la plan te REGARDS SUR LE MONDE ND REGARDS SUR LE MONDE ND tude de la question Introduction Aujourd hui la Terre est habit e par plus de 6 6 milliards d tres humains La carte de la r partition de la population dans le monde permet de distinguer les grands contrastes de densit humaine Doc L in gale r partition de la population mondiale Comment les expliquer 2 1 L in gale r partition de la population sur la plan te LES IN GALIT S DE LA R PARTITION DE LA POPULATION L CHELLE PLAN TAIRE SONT TOUJOURS TR S FORTES ET M ME CROISSANTES e La densit mesurant un rapport moyen entre nombre d habitants et superficie d un territoire est une notion m ritant d tre utilis e avec pr caution tout comme celles de surpeuplement ou de sous peuplement qui parfois l accompagnent La densit est de 457 habitants km aux Pays Bas et de 830 habitants km au Bangladesh II s agit de densit s lev es dans l absolu mais elles peuvent tre v cues diff remment selon les conditions de vie et les ressources Si les Pays Bas ont prouv lors
19. ux ou plut t oc aniques Ainsi une gamme de climats est d finie par la latitude l amplitude thermique plus forte en position continentale et l humidit li e l exposition aux flux oc aniques LES PRINCIPAUX CONTRASTES DE LA PLAN TE ND ND REGARDS SUR LE MONDE 2 4 Les autres grands contrastes Il existe d autres grands contrastes comme les contrastes de croissance d mographique et les contrastes de d veloppement e Les contrastes de croissance d mographique restent aujourd hui importants m me s ils ont tendance diminuer l chelle de la plan te On les explique gr ce la notion de transition d mographique Gz qui identifie quatre phases de croissance d mographique diff renci e Doc La transition d mographique une longue p riode pr alable pr transition caract ris e par une forte natalit et une forte mortalit et donc une croissance faible succ de une phase de croissance forte C est la transition d mographique proprement dite Le taux de mortalit recule rapidement alors que la natalit reste lev e dans un premier temps phase 1 avant de diminuer son tour phase 2 Lorsque l accroissement naturel G devient faible voire nul ou n gatif car la natalit et la mortalit sont basses on dit que la transition d mographique est termin e C est le cas dans les pays riches dans lesquels le renouvellement des g n rations n est souvent plus assur On notera que le
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