Home

051 - octobre 1990

1. un expos des techniques de diag nostic et de traitement une revue des probl mes pos s par l allergie dans certaines circons tances de la vie vie profession nelle enfance vieillesse Sans oublier un index completetun lexique multilingue comportant la traduction de quelques phrases utiles et celle d une liste de noms d allerg nes de maladies qui pour ront rendre service aux allergiques qui se rendent l tranger Ce livre nous semble un des plus complets parus jusqu pr sent sur le sujet Clair comprenant de nombreux tableaux et illustrations ilest crit dans un langage relative ment pargn par le jargon scienti fique toutefois encore pr sent par endroits M PLANES Guide pratique des aller gies Paris Compagnie Internatio nale du Livre 1988 317p Un deuxi me ouvrage paru l an dernier s intitule tout simplement L allergie Principalement desti n lui aussi aux patients allergi ques et leur entourage il est net tement moins d taill en ce qui concerne les diff rentes formes d allergie et laisse la part belle aux mesures de pr vention et aux di Li pour vous Bizarre vous avez dit bizarre derri re chaque volet une surprise fe fi Fi fi Ce ne sont pas les livres d initiation l anatomie pour les enfants qui manq
2. Infor Sant seuls les livres et les montages dias peuvent tre emprunt s moyennant une caution prix d achat du livre ou 1000FB par Infor Sant ANMC 121 rue de la Loi 1040 Bruxelles centre de documentation 02 237 48 53 du lundi au ven dredi de 9 12h et de 13 16h uniquement sur rendez vous etenseignants leur permettra d ai der les enfants dans leur appren tissage d une bonne hygi ne m Infor Sant n est pas en reste dans ce domaine Deux d pliants tout public ont t r alis s sous le titre g n rique Assurance sou rire Le premier Soins pr ven tifs le contrat avec votre dentiste veut informer le public sur toutes les armes de la pr vention sa dis position pour pr server ses dents et surtout celles des enfants Les diff rents actes pr ventifs pos s par le dentiste y sont expliqu s Tous les conseils et soins pr ven tifs du dentiste seront inutiles si nous ne sommes pas nous m mes tout au long de l ann e aux petits soins pour nos dents Le d pliant Hygi ne dentaire vous de jouer r sume les principes de base de l hygi ne quotidienne pour com battre la plaque dentaire et ren forcer l mail des dents Dans la biblioth que Oh Les bonnes dents Un livre tout d abord attire notre attention Il s agit de Oh Les bon nes dents de Marc Winnicki den tiste et Anne Vidal psychologue dit chez Hatier dans l excellente coll
3. Renseignements et inscription 1800FB aupr s de Madame Jo Poortmans t l 02 673 62 48 CIF 40 60 avenue des Aub pines 17 1180 Bruxelles t l 02 375 66 64 W Assu tudes Bruxelles Rompre avec nos d pendances Ne laissons pas notre vie tre gou vern e par la consommation de substances sucre chocolat tabac alcool drogues ou par des comportements de compensation dans le but de faire face nos obligations et difficult s de tous les jours S minaire les samedi 13 et diman che 14 octobre Soir e gratuite d information le vendredi 12 octobre 19 H au CERTA rue Vautier 22 1050 Bruxel les Renseignements 081 61 21 13 W Alzheimer Leuven La Ligue Alzheimer une associa ion de familles confront es la maladie d Alzheimer et aux autres formes de d mence organise occasion de son cinqui me anni versaire un congr s national Des expos s en fran ais et en n er andais traiteront de la situation actuelle de la recherche des as pects pratiques de la prise en charge de la personne d mente de la place prioritaire de cette maladie dans les soins de sant et enfin des possibilit s de communication avec a personne d mente Les participants seront accueillis auditoire P De Somer rue Debe riot 3000 Leuven de 13 18H30 le samedi 20 octobre Inscriptions et renseignements Ligue Alzheimer chauss e de La Hulpe 1170 Bruxelles 02 675 09 51 010
4. Equipement v tuste et rudimentaire PARENTS Peu de contacts Mauvaise percep tion du r le rigides du con Confusion Peu de percep tion de la r alit de la demande et de sa n cessit 10 ADMINISTRATION Bonne m decine scotaire m decine politiciennes Peu de prise en Pouvoir politique nous conditionn e par le succ s pr alable des phases un et deux ci dessus La transposition pure et simple du syst me appliqu dans les coles de l Etat ne peut tre envisag e dans tous les autres r seaux pour de multiples raisons diff rence des O N E Communica tion du dossier IMS PMS tr le budgetaire Peur du contexte m dical et psy chologique Multiplicit des d sinformation statuts du personnel et de r gime de mise au travail conflit de com p tence responsabilit s profes sionnelles sp cifiques mal recon nues non concordance des coles desservies Assurer la formation des ensei gnants en ducation la sant Mat riel ment r dig par Infor Drogues offre un survol rapide mais bien document du probl me d crivant aussi bien son historique que ses aspects m dical et psychologique Les drogues les plus courantes sont galement pass es en revue caf th tabac alcool produits volatils m dicaments tranquilli sants et stimulants marijuana et haschisch hallucinog nes coca ne et crack h ro ne La brochure parle aussi des ef
5. chaque enfantinscrira son score ainsi que d un guide reprenant les solutions aux nig mes Ce montage sera pr sent de pr f rence apr s le pr c dent car il exige des connaissances pr alables de la part des enfants Les r gles du jeu et les d veloppements ult rieurs pourront tre adapt s sui vant le public et les d sirs de l ani mateur Et les programmes vid o m1 existe relativement peu de mon tages vid o sur le th me de l hy gi ne dentaire si l on compare par exemple avec le th me de l alimen tation Citons tout d abord le montage r alis par la Croix Rouge de Belgique dans le cadre de la campagne Dents 2000 I meten sc ne un petit gar on qui a oubli de se laver les dents avant d aller se coucher Il r ve de ce qui se passe dans sa bouche durant la nuit Ce programme est disponible au Serv ice Education pour la Sant de la Croix Rouge De son c t la M diath que de la Communaut fran aise de Belgique C pr sente plusieurs montages dans la collection Education pour la Sant mais peu sont tr s r cents La s rie Archibald le Magichien remporte r guli rement un franc succ s aupr s des enfants Cette s rie est compos e de dix vid ocas settes reprenant chacune cinq dessins anim s d une dur e de cinq minutes Elle s adresse aux jeunes enfants de 5 8 ans Chaque pi sode peut tre visionn s par ment tant consacr un suj
6. entre l colier et l cole en particulier Nous vous invitons vous associer cette idylle encourager une union qui soit fertile Transmettez vos voeux aux nouveaux poux notamment en versant le montant de l abonnement au compte 310 0215255 01 de Sant Scolaire UCL Ce faire part de mariage est en m me temps un faire part de nais sance En fait nous avons repro duit ici ditorial du num ro 1 dela jeune revue Sant Scolaire Personne ne se plaindra de cette rationalisation qui devrait favori ser le dialogue entre la communau t ducative et la communaut sanitaire En effet la nouvelle n e se d finit elle m me comme un trait d union entre les quipes de sant scolaire et les ducateurs enseignants psychologues et parents La revue sera bimestrielle Au sommaire du num ro 1 d ao t 1990 un article sur l ducation sexuelleenmilieuimmigr unautre sur le difficile probl me des ryth mes biologiques de l enfant face au calendrier scolaire ainsi qu un gros dossier sur les troubles du sommeil chez l enfant et l adolescent La revue est structur e en rubri ques sp cifiques telles r flexion mat riel agenda cela s est d j vu ailleurs Quelques esprits chagrins et r tro grades regretteront sans doute le look d suet des S minaires sans doute une des derni res publica tions belges r alis e encore au moyen des bonnes vieilles techni ques ty
7. b cois c est dire principalement ceuxqui sont susceptibles d tre utilis s en Communaut Fran aise nous montre que ce n est en fait pas la r partition des aliments en grou pes qui pose probl me Nous avons s lectionn 1 2 mod les par pays mais vu la grande vari t de re pr sentations qui existe ici comme ailleurs ces mod les ne doivent pas tre consid r s comme mod les type du pays concern En effet dans la majorit des cas Figure 1 Le Tr fle Vlaams Voor lichtingscentrum voor de Voeding Belgique la viande les oeufs la volaille le poisson les crustac s les mollus ques et les abats forment un seul groupe le lait et tous ses d riv s l excep tion de la cr me fra che et du beurre sont toujours group s ensemble le beurre et la cr me fra che for ment quant eux le groupe des corps gras avec l huile la marga rine le saindoux etc les c r ales et tous leurs d riv s sont regroup s A ce groupe se joint tr s souvent la pomme de terre vu sa richesse en amidon les fruits et les l gumes forment un seul groupe les boissons sont galement grou p es l exception du lait qui est consid r comme un aliment Deux familles d aliments sont occa sionnellement reprises dans les repr sentations parce qu elles sont moins souvent consomm es les l gumineuses ou
8. le plus souvent d origine animale et que d ailleurs nous consommons tous en trop grande quantit par des graisses polyinsatur es La Ligue Belge de la Scl rose en Plaques a dit un d pliant sur le sujet l usage des malades et de leur entourage d pliant con u et r alis par le Centre d Education du Patient Divers conseils y sont donn s pour puiser de fa on perti nente dans les diff rents groupes d aliments pour mieux choisir cer tains aliments plut t que d autres Quelques r gles de cuisine sont ga lement pr sent es puisque c est ce moment l qu une partie des mati res grasses interviennent Ligue Belge de la Scl rose en Pla ques avenue Plasky 173 bte 11 1040 Bruxelles t l 02 733 17 95 m ASSUETUDES Tabac m dicaments h ro ne Un num ro hors s rie d Univers Cit nous pr sentant un autre regard sur les drogues Le docu S trat gie Les comp tences les bonnes vo lont s l enthousiasme existent sur le terrain il faut qu ils soient rapi dement soutenus par une r forme coh rente indispensable des struc tures de sant scolaire W Informatiser les services Pr vention tertiaire R duire les s quelles des maladies Favoriser la r insertion sociale Pr vention secondaire Diagnostic pr coce en vue d un traitement pr coce pour r duire la dur e des maladies Pr vention primaire Agir sur les facteurs de risque d apparition
9. pour centraliser et diffuser l information le plus largement pos sible aux organismes concern s Pr alablement cette r union 86 questionnaires d identification ont t envoy s aux diff rents organis mes susceptibles de participer la r union Les buts de ce question naire taient d une part de r aliser des fiches d identit des diff rents organismes s occupant d ducation la sant secteur alimentation en vue d changes entre organismes et d autre part de recenser les at tentes des organismes en mati re de coordination alimentaire Trente cinq questionnaires nous ont t retourn s partir desquels unr pertoire des organismes actifs en ducation alimentaire a t r a lis Ce document sera envoy tous les organismes qui y figurent ou qui en ont fait la demande 20 organismes repr sent s par 25 personnes ont particip la r union de coordination Apr s une pr sentation succincte de l ICAN et de son r le de coordi nation alimentation et une br ve pr sentation des organismes repr sent s missions nature des activi t s l essentiel de la r union t consacr la pr sentation des at tentes des organismes dans le ca dre de cette coordination Sur base des questionnaires re us une liste des diverses attentes des organismes dans le cadre de la coordination a t r alis e nous les pr sentons par ordre d crois sant en fonction de leu
10. rencon tr e l ICAN Suite de nombreuses demandes d enseignants relatives la r alisation d un dossier p da gogique sur l quilibre alimentaire l cole maternelle le dossier Pic Nic a t cr Proposer un service d exper tise de mat riel d ducation ali mentaire L ICAN propose les services de son Conseil Scientifique compos d ex perts en nutrition pathologies analyse des denr es alimentaires bromatologie p dagogie canc ro logie etc Disposer d une banque de don n es performante en ducation alimentaire Cette attente est malheureusement loin d tre rencontr e Cependant des contacts avec les organismes sp cialis s vont tre pris dans les meilleurs d lais Conclusion La coordination des actions pro jets tudes recherches publica tions etc men es actuellement dans le domaine de l Education Alimentaire estessentielle elle doit aboutir une plus grande facilit et une plus grande rapidit de mise sur pied et de r alisation de projets par la mise en place de collabora tions fructueuses Elle doit viter autant que possible les doubles emplois les r p titions gr ce une mise disposition ra pide et efficace d informations que ce soit au niveau des organismes existants des actions d j r ali s es ou en cours de r alisation Elle doit aussi permettre la diffu sion de documents fiables et de qualit et l acc s fac
11. Il tait une fois une ____ de lait qui adora it croquer les Chaque jour avec eux elle Mais force de faire le fous ils ont fait des et des salet s partout Apr s elle a eu tr s __etelle a d aller chez le pour un gros pansement Alors elle d cida de toujours se avec entrain et n invita plus que des trous nettoyer pommes dent mal bonbons s amusait dentiste Application la maison L enfant est invit se brosser les dents chaque jour pendant une semaine Il re oit un d pliant comportant un calendrier compl ter un rappel des principaux conseils et un appel la collaboration des parents Apr s le petit d jeuner et avant de me coucher tous les jours mes dents sont bross es Du rouge vers le blanc je brosse mes dents gaiement Ma brosse dents est us e ses poils sont recourb s mes parents vont la remplacer Au dentiste deux fois par an A je montre mes belles dents
12. ailleurs vraiment une mala die Dansles divers documents que nous avons consult s on parle plus g n ralement d un probl me d un ph nom ne d un symp t me un mal Un seul ose parler franchement de maladie 1 Pour tant au fond tout le monde est d accord cela se soigne 2 3 pour chaque forme sp cifique d in continence on trouve un traitement ad quat 4 des solutions exis tent 5 Pour chacun de ces documents part celui du Comit fran ais d du cation pour la sant qui s adresse aux m decins l objectif principal est le m me il s agit de vaincre le tabou d aider les incontinents sortir de l isolement viter le repli sur soi faire le pas qui leur permettra de b n ficier du trai tementad quat concr tement oser Mat riel septi me groupe comprenant les produits sucr s sucre confiture miel chocolat bonbons Le slogan qui accompagne habi tuellement les repr sentations des groupes d aliments Pour un bon quilibre alimentaire mangeons chaque jour un aliment de chaque groupe n est plus tout fait de mise En fait il s agit plut t d un classe ment que l on trouve dans certaines publications plus d taill es dont le but est de mieux faire conna tre la composition des aliments en plus d atteindre un bon quilibre alimen taire Nous n en poss dons pas de repr sentation graphique Tout d pend des objec
13. aurait probablement aucune influence moyen terme sur la couverture vaccinale ni sur la morbidit et mortalit attribua ble la grippe L nitiatives Mais l action d ducation pour la sant devra se combiner une am lioration des connaissances mettre en place des strat gies per mettant d encore mieux conna tre et quantifier le probl me de mieux valuer l impact de la politique de pr vention Cet objectif thique s impose cer tainement la communaut scien tifique etaux sp cialistes en duca tion pour la sant Pour ce faire un objectif concret devra tre r alis lier l initiative publique et priv e dans une perspective commune en vue d une am lioration de la sant de la population Patrick Tr fois Question Sant W Le Centre de Sant des Femmes Le Centre de Sant des Femmes de Li ge est issu du Collectif Contra ception Sa premi re pr occupation vise la prise en charge individuelle et collective par les femmes de leur sant mentale et physique Le Centre se veut un lieu de parole de rencontre de recherche d exp rimentation de nouvelles voies collectives en sant des femmes Il d veloppera des ateliers et des services m dicaux qui tiendront compte du v cu des femmes et de leurs besoins d pression post partum hyst rectomie m no pause auto examen des seins di t tique grossesse solitude s ro positivit Il organise en collabo ration av
14. cadre bud g taire normal de l association Question Sant a d faire appel plusieurs partenaires priv s Ce type d action ducative se pr te bien ce genre de partenariat avec des producteurs ou distributeurs de produits alimentaires soucieux de faire passer une image d alimen tation saine par rapport leurs produits Pas de secret pour trouver les spon sors 1 Etablir une liste d entreprises dont l image et le produit cadrent priori avec l action 2 Entrer en contact avec la per sonne susceptible d tre responsa ble de ce genre d action il peut s agir de quelqu un du d partement marketing publicit qualit des produits service consommateurs etc 3 Envoyer cette personne un dossier pr sentant le projet 4 Reprendre contact pour fixer un rendez vous et discuter plus fond si cette personne est int ress e Kellogg s s est laiss convaincre assez facilement du fait que cette entreprise a d j collabor avec des organismes actifs en ducation pour la sant Comit fran ais d duca tion pour la sant Ligue Cardiolo gique Belge et que son d parte ment des affaires scientifiques d veloppe des messages d infor mation et d ducation nutrition nelle L accord pr voyait la prise en charge par le sponsor des frais techniques impression de mat riel organisa tion mat rielle des animations fourniture de c r ales Le logo de la des messages qui ne son
15. dant une comp tence minimum dans le domaine du handicap mental Ce vid ogramme qui s adresse au grand public peut tre exploit ef particulier dans la formation de professionnels comme pr paration la rencontre avec des handicap s mentaux Portraits programme d une du r e de 40 minutes une production du Centre audio visuel et du D par tement de psychologie de la Facult de M decine des Facult s Notre Dame de la Paix r alis e par B Lo tin Direction scientifique M Mer cier J Delville J L Collignon La cassette peut tre achet e au prix de 2500 francs Renseignements au 081 72 44 30 M Strat gie Par ailleurs au del des dysfonc tionnements inh rents en partie au manque de moyens rappelons qu l heure actuelle la Communaut Fran aise alloue une somme de 589F par l ve sous tutelle mais aussi aux conflits de comp tences et de pr rogatives li s l insuffisance des coordinations entre professionnels s int ressant la pr vention la sant l ducation les auteurs rel vent un certain nombre de probl mes de sant des enfants et des adolescents probl mes dont les priorit s sont dict es par leur fr quence la lourdeur de leur co t social humain et par leur r percus sion sur le devenir du futur adulte tableau 1 Apr s avoir d une part tudi les demandes manant des l ves des parents des enseignants des Pou voirs Organisateurs d
16. dehors de l cole Il faut par cons quent tenter de moti ver les parents au moins autant que les enseignants Un th me d ducation la sant n a donc de chance de succ s que s il s appuie sur un constat et la plu part du temps sur un constat d chec Ii est parfaitement inutile de vouloir plaider en faveur de l hy gi ne dentaire si l on ne peut au pr alable convaincre les parents et les enseignants du nombre de ca ries et de leur gravit Il en est de m me pour l exc s de poids pour le danger des rayons x et pour bien d autres th mes Je pense par cons quent que les th mes ne peuvent tre d finis qu partir d tudes pid miologiques correctement et judicieusement exploit es Quel contenu donner duca tion la sant Je suis de ceux qui croient que l ducation la sant doit tre per manente et r guli re pour tre efficace Je suis par cons quent de ceux qui croient que cette duca tion doit faire partie de l ducation g n rale qu elle doit tre faite par les p dagogues par ceux dont c est le m tier de faire passer des messa ges Quant au contenu de ces mes sages il va videmment d pendre des th mes choisis de la com position des classes de l ge des l ves de leur degr de compr hension et des comp tences du p dagogue Tout cela nous ram ne au probl me de la formation des ma tres en cette mati re Quel programme d ducati
17. et je n ai pas de caries Apr s nos deux petits amis d cident de faire une grande promenade P tit Ange Regarde Bouboune comme le ciel est bleu et toutes ces fleurs comme elles sentent bon Et si on jouait saute mouton Mais qu as tu Bouboune Tu ne dis rien et tu as l air tout triste Bouboune J ai mal aux dents Ptit Ange A e A e Que a fait mal P tit Ange Attends je vais te mettre un pansement Mais tu as peut tre un petit trou et il vaudrait mieux aller chez un dentiste Bouboune C est quoi un dentiste P tit Ange Comment Bouboune tu ne sais pas qui est le dentiste Je suis certain que tous nos petits amis eux le savent P A vers le public N est ce pas les enfants Public Oui Docteur pour les dents Bouboune Un docteur Je ne veux pas y aller j ai peur des docteurs P tit Ange Mais Bouboune il est tr s gentil et il va soigner ta dent comme cela tu n auras plus mal Allez viens avec moil Arriv e chez le dentiste Dentiste Bonjour petits oursons Alors qu est ce qui se passe P tit Ange Bouboune a mal aux dents monsieur Il a peut tre une carie Dentiste Attends je vais regarder Ah oui je vois une carie Je vais soigner ta dent en bouchant le petit trou ainsi tu n auras plus mal Voil c est termin Mais dis moi Bouboune est ce que tu ne manges pas tro
18. invitant adopter un syst me commun de re pr sentation des groupes d ali ments Loin de nous l imposer de fa on rigide ICAN nous invite au contraire adapter ce syst me en fonction de notre public et de nos objectifs p dagogiques Sant scolaire Une fois nos structures sp cifiques d ducation pour la sant mises sur pied il faudra veiller tablir le maximum de liens avec des relais proches du public sur le terrain Le milieu scolaire constitue pour nous unenjeu capital La r novation exp rimentale de l IMS cela commence bien faire depuis 1980 La jeune Association Professionnelle des M decins Scolaires avec son livre blanc secoue le cocotier sans aller jusqu la fusion pure et simple de PIMS et du PMS elle revendique la cr ation d un Service de Sant Sco laire global Sant scolaire bis Sant Scolaire c est aussi le titre de la nouvelle revue n e de la fu sion des S minaires de M decine Scolaire et des Cahiers d Educa tion et Sant publi s par l Unit et le Service de M decine Scolaire ainsi que par le Groupe d Etudes d Edu cation la Sant de l UCL Nous vous les pr sentons au chapitre lu pour vous Outils Pendant ce temps sur le terrain la vie continue des infirmi res du Centre de Sant Libre de Namur nous ont fourni la mati re du deuxi me num ro de notre collec tion Outils Un bon exemple de ce qu on peut faire sans beauco
19. l enseignement S trat gie SANTE SCOLAIRE Education pour la sant dans l enseignement primaire Comme on a pu le lire dans les pages qui pr c dent le livre blanc de l APMS pr conise notamment l implication effective des enseignants et des parents dans l action pr ventive et ducative des services de sant scolaire Dans une lettre adress e au Professeur Frydman Pr sident du Conseil Consultatif de M decine Scolaire et dont copie t communiqu e aux membres de la Cellule Permanente Education pour la Sant le Professeur Geubelle insiste sur la responsabilit des enseignants en mati re d ducation pour la sant et pr cise le r le sp cifique de la m decine scolaire dans ce do maine Cette prise de position int ressera sans doute nombre de nos lecteurs concern s professionnellement ou comme parents par la sant l cole Je l ai dit bien souvent je crois qu aucune ducation la sant n est efficace si elle ne trouve sa motiva tion et son prolongement dans la communaut scolaire elle m me C est d autant plus vrai dans l en seignement primaire o les l ves sont encore tr s d pendants de leurs parents et de leurs ma tres Quels th mes donner duca tion pour la sant Je crois tout d abord que c est un peu utopique de croire qu il suffit d duquer les enfants l cole pour modifier les habitudes de vie la maison et en
20. pour mes dents FT un sucre CS r A LAT S A NLA du lait une carotte E amp Q ONTEDUGATIONSSAN une brosse dents une noix que je croque avec mes dents P tit ange et Bouboune cartes colorier pour enfants d apr s la Fondation Belge pour la Sant Dentaire Groupe de Travail Francophone Bonjour Bouboune Quelle belle journ e le soleil brille Nous allons nous asseoir un moment pour manger un petit 10 heures Que ma pomme est bonne Moi je pr f re un petit bonbon Tu sais bien qu il ne faut pas oublier de se laver les dents Apr s quelques jours P tit Ange rencontre Bouboune Il apr s avoir mang Sinon tu risques d avoir bien mal car pleure tu auras des caries A e a e que j ai mal aux dents Ce n est pas gai de se laver les dents et puis je n ai pas Je t avais pourtant pr venu Il ne faut pas manger de le temps bonbons et surtout il faut se laver les dents Heureusement qu il existe un gentil dentiste pour r parer ma dent Maintenant je n ai plus mal Je me laverai les dents chaque soir et je n oublierai plus ton bon conseil une pomme est meilleure pour mes dents qu un bonbon Maintenant viens allons voir le dentiste Il soignera la dent qui te fait mal ITS Mat riel Animation en classe Rappel des notions abord es en premi re primaire Rencontre avec le Dr Qu
21. soir avant de me coucher Je vais demander papa et maman de m emmener chez le dentiste Apr s le brossage du soir je ne Un verre mange plus rien surtout pas des Que peut il leur arriver d eau A vais essayer de ne pas ur de me bonbons un sucre et rosser les dents surtout le soir pour A une cuiller chasser le sucre qui attire les microbes J ai une brosse dent moi Quand E E ON ses poils sont pli s j en recevraiune A z p PES d aliments du sucre et des microbes qui collent aux i nouvelle A h dents Elles sont tr s sales m me si cela ne se voit pas Le sucre sur nos dents est invisible comme le sucre Feuillet destin aux enfants ayant des caries dissous dans un verre d eau 10 COLLECHON EDUGATION SANTENe2s 664900 COLLECTION EDUCATIONSSANTE Nes 0671000 7 Evolution de la carie 2 trou 3 sensibilit j 4 douleur dans la dent au chaud au froid au sucre Les microbes aiment beaucoup le sucre et lorsqu ils le mangent ils deviennent tr s forts et font des trous dans les dents ces trous s appellent des caries Quel est le r le du dentiste R parer la dent Expliquer qu il vaut mieux y aller au stade 1 qu au stade 4 que le dentiste est l ami des dents et qu il doit les v rifier 2 fois par an Pour viter tous ces d g ts que vas tu faire Sucettes CS L a bonbons ooj Lait CAT D A Pomme carotte Ma
22. sont les cibles de la campagne En Belgique les recommandations du Conseil Communautaire Con sultatif de Pr vention pour la Sant d finissent pour les complications de la grippe risque lev les personnes de 75 ans et risque mod r les personnes de 65 ans la d cision de vacciner doit tre valu e individuellement pour el les Les recommandations s adres sent aussi des personnes de tout ge atteintes de certaines maladies D autre part la r glementation INAMI depuis 1989 autorise le remboursement du vaccin pour les personnes de plus de 65 ans Nous avons choisi les 65 ans et plus comme cible principale de la cam pagne Les m decins peuvent ex clure de la vaccination les quelques personnes entre 65 et 74 ans pour lesquelles le vaccin n est pas indi qu Pour la Wallonie et Bruxelles la population de plus de 65 ans s l ve environ 650 000 personnes 300 000 de ces personnes ont plus de 75 ans Cette population est la cible princi pale de la campagne Les enseignements du pass Plusieurs exp riences ant rieures nous ont permis de d gager les lignes de force de notre action Les crit res d acceptabilit de la vacci nation par les personnes risque ont t tudi s Ils ont servi au choix des informations d velopp es dans les documents destin s au public Ainsi la vaccination est accept e davantage par les person nes qui ont t vaccin es l ann e p
23. 41 78 10 E SIDA Bruxelles Arlon Namur Tournai Charleroi Octobre novembre d cembre 1990 1991 Le CEDIF organise durant l ann e acad mique 1990 1991 un cycle de formation et d change sur la pr vention du sida principalement destin aux personnels de sant travailleurs sociaux professionnels de l ducation etc Plusieurs mo dules sont propos s Module de base Sida moi et pr vention 2 journ es un mois d in tervalle 2000FB ce module consti tue un pr requis pour la participa tion aux autres modules Adolescents et pr vention 3 jour n es r parties sur deux mois 3500FB Enfants et pr vention 2 journ es un mois d intervalle 2500FB Testet pr vention 2 journ es un mois d intervalle 2500FB S ropositifs et pr vention 3 jour n es r parties sur un mois 3500FB Amour d sir risques et pr ven tion 2 journ es cons cutives en r sidentiel 3000FB Pour le d tail des dates et des lieux programme complet sur demande aupr s de Ang lique Bregentzer CEDIF rue Lesbroussart 28 1050 Bruxelles t l 02 641 93 93 I _ _ 2 O NC E SEES 43 La pour vous TABAC Lutte contre le tabagisme strat gies et valuations Le 31 mai 1990 une session inter nationale d information et de dis cussion sur ce th me s est tenue Huy Les participants ont eu le plai sir d couter divers minents sp cialiste
24. Actualit s Education sexuelle Bruxelles 3 novembre 15 d cembre 1990 19 janvier 16 f vrier 16 mars 23 mars 1991 Le service IMS de l UCL le Centre d Etudes Bio thiques et le Centre de Guidance de l UCL organisent toutau long de l ann e acad mique 1990 1991 un cycle de formation en ducation sexuelle Module 1 Le discours sur la sexua lit le mat riel audiovisuel ce module s est d roul le 22 septem bre 1990 Module 2 Aspects psychologiques sociologiques et culturels de la sexualit 3 novembre 1990 Module 3 Probl mes de fond de l ducation sexuelle aspects phi losophiques 15 d cembre 1990 Module 4 Education sexuelle l cole gardienne et primaire 19 janvier 1991 Module 5 Education sexuelle l cole secondaire 16 f vrier 1991 Module 6 deux sessions La contraception l embryon humain l avortement aspects l gi slatifs 16 mars 1991 Les maladies sexuellement trans mises la pr vention du sida PIMS et le sida 23 mars 1991 Frais d inscription 500FB par s ance ou 2000FB pour le cycle complet 27 Renseignements Service de M de cine Scolaire Dr P Thieffry Ecole de Sant Publique UCL Clos Cha pelle aux Champs 30 bte 3039 1200 Bruxelles t l 02 764 30 80 m Cancer Li ge Le Centre R gional d Action contre le Cancer CRAC de Li ge organise en collaboration avec l Universit de Li ge la Ville de Li ge et la Pro
25. Croix Jaune et Blan che a r alis pour le recyclage des infirmi res de soins domicile un film vid o sur la pr vention et la r ducation de l incontinence uri naire Sur ce th me assez d licat illus trer part videmment les sch mas anatomiques il convient de signaler la qualit communication nelle de la brochure diffus e par Ondine Et remarquez que cette association sp cialis e se pr sente comme un groupe d tude et de communication sur la continence urinaire et non sur l incontinence 1 L incontinence urinaire une maladie qui se soigne Nathan m dical 1986 76 p 2 Incontinence urinaire chez la personne g e en parler c est d j s en lib rer brochure publi e par Ondine groupe d tude et de com munication sur la continence uri naire sous la direction du Profes seur Piera 3 L incontinence urinaire chez l adulte cela se soigne d pliant publi par Infor Sant 4 Bien au sec brochure r alis e par Th rabel Pharma 5 L incontinence urinaire de l adulte brochure publi e par le Comit fran ais d ducation pour la sant 12 p E La Brigade Rouge et Blanc HANDICAP MENTAL Portraits Vous souvenez vous de la campa gne r alis e par Elida Gibbs en col laboration avec la Fondation pour la Sant Dentaire La Brigade Rouge et Blanc Voici la brochure desti nation des enfants des niveaux maternel et primaire Le h ros
26. S d pos en son temps aupr s de Monsieur le Ministre Ch Piqu et actuellement sous la responsabilit de Monsieur le Mi nistre F Guillaume responsable de la Sant Ce d cret permettra de poursuivre la r novation en lui donnant une base r glementaire solide et de subsidier les activit s des services de sant scolaire gr ce un forfait par l ves sous tutelle En outre il favorisera la nomination de m de cins coordonnateurs jusqu pr sent facultative aux services quien sont encore d pourvus 2 2 A moyen terme Concertation active entre partenai res impliqu s dans la promotion de la sant Ceci vise particuli rement l important secteur de la sant psycho sociale notamment dans le domaine de l Education la Sant Cette concertation entre l I M S les centres P M S et les coles devrait se mat rialiser dans la pratique et l occasion de la pr paration des arr t s d ex cution pr voir pour ce d cret cadre Cette concertation doit viser les modalit s d une meilleure col laboration IMS PMS dans un esprit de partenariat l implication effective des ensei gnants et des parents l action pr ventive et ducative des Servi ces de Sant Scolaire Ie relais avec les autres r seaux et agents de Sant m decins traitants ONE sant mentale Croix Rouge etc 2 3 long terme Etudier et exp rimenter des mo dalit s de rapprochement structu rel
27. Superfluo accompagn de Libellule sa tendre admiratrice et du dentifrice son fid le compa gnon raconte aux enfants comment avoir de bonnes dents limitation des sucreries brossage des dents utilisation du fluor visites r guli res chez le dentiste tous les l ments essentiels une ducation l hygi ne dentaire sont pr sents Le tout est tr s joliment emball et en plus c est gratuit Que demander de plus La Brigade Rouge et Blanc brochure disponible gratuitement aupr s de Elida Gibbs rue Montoyer 51 1040 Bruxelles t l 02 516 75 11 M Trois adultes atteints de handicap mental l ger ou mod r parlent de leur vie quotidienne de leur tra vail de leurs soucis de leurs loi sirs Nous d couvrons ainsi des personnes capables de communi quer de vivre des motions de nouer des relations de r aliser des t ches en somme de g rer leur vie dans les limites qu impose le han dicap Le vid ogramme Portraits a pour ambition de d dramatiser le handi cap mental de montrer qu une personne handicap e mentale peut s exprimer r fl chir travailler qu elle peut parfaitement avoir des pr occupations d adulte I ne s agit pas d une approche v ri tablement p dagogique du sujet mais plut t d un v cu abord de fa on impressionniste Comme lin dique le document d accompagne ment de Portraits la projection doit tre suivie d un d bat avec un animateur poss
28. Une selection d outils d ducation pour la sant en hygi ne bucco dentaire L hygi ne bucco dentaire est un sujet privil gi de l ducation pour la sant avec un public d enfants Ceux ci tout comme leurs parents devraient y tre particuli rement sensibilis s Les enseignants ou les animateurs ne connaissent toutefois pas toujours tout le mat riel leur disposition pour introduire tayer ou agr menter leur activit Nous vous proposons donc dans cet article qui ne se veut pas exhaustif une brochette de diff rents documents grand public et didactiques disponibles actuellement en Belgique ou en France Du mat riel de 1er choix m En 1986 la Croix Rouge de Bel gique en collaboration avec le Minist re de la Sant de la Com munaut fran aise de Belgique laboraitune campagne d informa tion intitul e Dents 2000 L ob jectif tait d augmenter le nombre d enfants de 6 ans sans caries et diminuer le nombre de caries ou dents soign es chez les enfants de 12 ans tout cela par la mise en pratique de trois comportements simples se brosser les dents r gu li rement et de fa on efficace deux fois par jour diminuer la consom mation de sucreries faire une vis ite pr ventive chez le dentiste au moins une fois par an A cet effet la Croix Rouge a r alis du mat riel didactique s adressant aux enfants de 5 12 ans ainsi qu aux parents et enseignants Dents 2000 est un dossier scien t
29. ale ont accept de placer des affiches dans leurs bu reaux ouverts au public Les CPAS et les communes rece vront un courrier de sensibilisa tion avec diverses propositions concr tes de participation la campagne et des affiches Des journaux sp cialis s publieront des articles cibl s sur leur lectorat Le G n raliste Infophaco Infor Seniors Gesthome journal de l As sociation Belge du Diab te Si le secteur m dico social et asso ciatif a pris une partimportante la r alisation de cette campagne on peut par contre d plorer l absence de concr tisation des contacts avec les industries pharmaceutiques productrices de vaccin contre la grippe Nous pensons n anmoins que ce n est que partie remise et nous ne doutons pas que l avenir r serve des possibilit s de collabo ration Et pour l avenir En l absence de donn es statisti ques sp cifiques pour la Belgique ou la Communaut fran aise nous avons d nous baser sur des extra polations de chiffres trangers D autre part la connaissance de l histoire naturelle de la grippe et des autres affections respiratoires semble insuffisante les indicateurs pid miologiques restentimpr cis De l avis de tous les scientifiques qui nous ont fait b n ficier de leurs conseils ces carences devront tre progressivement corrig es La campagne de cette ann e devra trouver des prolongements au cours des prochaines ann es Un effort ponctuel n
30. ance Pr voyance Sociale et Question Sant pour la campagne Moi je domestique les accidents Dans cette situation la firme es p re un rendement comparable celui de la publicit proprement dite Qu il s agisse de la diffusion de documents portant la signature du sponsor ou de la couverture par les medias du projet soutenu il existe des formules de mesure de la rentabilit d un investissement en sponsoring On est loin du coup de coeur d un g n reux m c ne em ball par un projet Il peut aussi ne pas y avoir de lien direct par exemple lorsque la CGER appuie un programme ducatif de TOeuvre Belge du Cancer ou plus petite chelle lorsque la G n rale de Banque permet la Ligue Belge R fiexions de la Scl rose en Plaques d diter une brochure informative Dans ce cas le sponsor vise plut t renfor cer son image de marque comme acteur positif de la vie sociale affirmer une pr sence qui ne soit pas purement int ress e Sponsors interdits Il n existe pas de r gles formelles d incompatibilit mais des colla borations jug es immorales Ainsi l ICAN le choix du sponsor ne se fait pas n importe comment il doit pr senter des garanties sur le plan nutritionnel sujet qui nous pr occupe Nous vitons bien s r des sponsors comme les fabricants de colas ou de chips A l Oeuvre Belge du Cancer on ne pourrait travailler avec une marque de cigarettes ou un
31. ant qui s est tenue Francfort sur le Main les 7 et 8 d cembre 1989 a donn lieu la publication d une Charte europ enne de l Environnement et de la Sant dont les lignes de force devraient guider les actions futures des Etats et des organisa tions internationales europ ens Nous reproduisons ici les priorit s d finies dans la Charte l1 Les gouvernements et autres services publics sans pr juger de l importance accorder aux probl mes sp cifiques de leur pays res pectif la Communaut Economi que Europ enne et les autres orga nisations intergouvernementales concern es devraient lorsque cela est opportun s attacher tout parti culi rement aux probl mes d envi ronnement et de sant ci apr s qui pr sentent un caract re d urgence aux plans local r gional national et international et s efforcer de prendre les mesures n cessaires perturbations mondiales de l en vironnement telles que la des truction de la couche d ozone etles modifications climatiques urbanisation planification et r novation urbaines afin de prot ger la sant et de promouvoir le bien tre approvisionnement suffisant en eau de boisson saine conform mentaux Directives de qualit pour l eau de boisson de l OMS et en liaison avec des mesures d limina tion hygi nique des d chets dans toutes les collectivit s urbaines et rurales qualit de l eau superficielle des nappes phr ati
32. articles ont t pr par s au cours de cette phase Certains ont t adress s leur destinataire Une sensibilisation des personnes relais aide familiale infirmi res pharmaciens par articles jour nal de l APB animations expos s oraux et ou mise la disposition de documents scientifiques sp ci fiques et adapt s a t r alis e Des contacts avec de nombreuses personnalit s scientifiques ont permis la tenue d une r union de travail sur la probl matique de la grippe La phase 3 constitue la partie visi ble de l iceberg elle a commenc avec une conf rence de presse le 26 septembre suivront un courrier aux m decins et pharmaciens la distribution des documents aux pu blics cibles la parution des articles dans la presse grand public et sp cialis e la campagne d affichage dans diff rents lieux publics et priv s Ainsi avec le soutien de l OPHACO et de l APB les pharmaciens de la Communaut fran aise recevront une centaine de fiches informati ves pour leurs patients risque et apposeront l affiche de la campa gne dans leur officine En accord avec les responsables des services de la Croix Jaune et Blanche de CSD d Aides Familiales Rurales d Aides Familiales nous avons mis la disposition de ces intervenants des d pliants desti n s aux personnes risque qu ils assistent Suite aux contacts pris avec les mutualit s l ANMC UNMS et la Mutualit Lib r
33. ces trois probl mes leur origine allergique Mais le ph nom ne de l allergie peut tre pr sent tout momerit sous des formes tellement diverses qu il est parfois malais de s y retrouver Qu est ce au fond que l allergie Bri vement l individu dit normal oppose une substance trang re un processus d fensif qui la d truit L individu allergique y ajoute un encha nement de r actions bio logiques inconsid r es Ces r ac tions aboutissent des maladies des sympt mes dits allergiques L allergie semble gagner en fr quence dans les pays industriali s s La plupart des familles con naissent un allergique ou des per sonnes porteuses d un terrain pr dispos Les livres sur les allergies gagnent eux aussi en fr quence Deux gui des l usage des allergiques et de leur entourage sont ainsi parus traitant le sujet de mani re diff rente Le premier s intitule Guide prati que des allergies L ouvrage com prend cinq parties i une description sch matique des m canismes g n raux de l allergie un inventaire d taill et commen t des substances responsables les allerg nes poussi re animaux pollens moisissures aliments m dicaments produits chimiques etc une revue organe par organe des sympt mes de l allergie asthme rhino sinusite rhume des foins ecz ma urticaire oed me sensibi lit au soleil aux piq res d abeille ou de gu pe
34. de l IMS et du PMS les l gisla tions IMS et PMS ont t r cemment modifi es et harmonis es dans la Communaut Flamande L tude th orique et la pratique exp rimen tale de telles modalit s est pour Tableau 2 Les raisons des dysfonctionnements actuels PMS D faut de garantie de confidentialit 1 Objectivit relative des conclusions 2 Probl me 1i l unicit d pistage prise en charg Peu de suivi par manque de comp tence 3 ENSEIGNANT Sollicitations multiples D motivation Manque d autonomie vis vis PO Direct Pas de formation en sant scolaire et ducation sanitaire Echanges sens unique Complexe r ciproque 4 Peu de communication Secret professionnel 7 Non synchronisation de la concertation 5 Evolution divergente 6 7 Confusion IMS PMS M fiance plut t que collaboration Manque d coute par quipe IMS 8 Assimilation du m de cin 1 fonctionnaire Inspection MED TRAIT Banalisation des conclus sions IMS D valorisa tion de la motivation Manque d Activit compl mentaire d o moins de disponibilit et de m dicale scolaire REMEDIATIONS e a CENTRE Manque de formation ou de recyclage sp cifique autonomie financi re e a et de libert d action Peu de moyens pour assurer le suivi p ex vaccinations Manque d uniformisation des dossiers Routine des aspects de travail r ducations
35. de nouveaux cas des maladies Bulletin d abonnement renvoyer Education Sant rue de la Loi 121 1040 Bruxelles Tableau 3 Niveaux d activit de pr vention en sant scolaire Sant individuelle Suivi et accompagnement des l ves en difficult y compris les examens s lectifs suivant les facteurs de risque individuel D pistage des probl mes de sant des l ves y compris les examens syst matiques suivant l ge et le d veloppement Education la sant suivant les facteurs de risque individuel Accompagnement des l ves en risque de difficult Pratique des vaccinations de base Surveillance du milieu et de l environnement des l ves handicap s et malades chroniques NOM et ADRESSE o la revue doit tre envoy e Cette adresse est elle O priv e O professionnelle PROFESSION SEXE O masculin O f minin Sant collective Accompagnement des enseignants en difficult D pistage des probl mes de sant en fonction des risques collectifs examens orient s li s l environnement et l enseignement y compris le d pistage ventuel de la tuberculose Adaptation des rythmes et horaires scolaires Politique des sports et loisirs Mesures et consignes de s curit dans l environnement scolaire Surveillance des cantines et repas scolaires Education la sant Prophylaxie des maladies transmissibles Vaccinations orient es suivant les risques li s
36. des recherches r alis s en Communaut Fran aise dans le domaine de l ducation alimen taire Ce fichier une fois constitu sera envoy toute personne ou tout organisme qui en fera la demande l ICAN Les organismes y figurant le recevront automatiquement S trat gie La sant scolaire en question Les lignes qui suivent pr sentent les points essentiels du Livre Blanc La Sant Scolaire en Question ouvrage dont les auteurs sont les membres de l Association Profes sionnelle des M decins Scolaires A P M S et appartiennent toutes les universit s et tous les r seaux de m decine scolaire de la Commu naut Fran aise de Belgique Elles r pertorient les besoins prio ritaires de sant en milieu scolaire en d crivant bri vement un bilan de la situation actuelle Elles veu lent d une part mettre en exergue quelques probl mes particuli re ment importants et d autre part pr senter des propositions Tout lecteur soucieux de mieux comprendre ces propos est invit se r f rer l ouvrage qui se veut un outil critique sur la sant scolaire fait de constats de souhaits et d es poir Ce livre blanc d finit une conception de la sant scolaire de ses finalit s de ses moyens exis tants et souhait s et ceci dans un esprit de recherche et d action compl mentaire avec les parents les m decins traitants les ensei gnants les psychologues les tra vailleurs socia
37. e d autres probl mes en relation avec le milieu scolaire existent et concernent soit les enseignants sant physique psychique et sociale soit l cole s curit hygi ne alimentation en milieu scolaire infrastructure modes de vie rythmes scolaires gardes d enfants 2 Propositions op rationnelles 2 1 court terme Prise des initiatives politiques n cessaires la r novation de l outil lar glementation de 1964 est vieille et ne r pond plus aux n cessit s pr sentes La R novation exp ri mentale de l I M S autoris e par l A R du 16 05 1980 a mobilis les nergies d quipes d infirmi res et de m decins scolaires dynamiques Bas e sur le volontariat elle suscite un grand lan d enthousiasme et de cr ativit dans l ensemble de la Communaut Fran aise une tren taine de centres desservant l ensei gnement subventionn communal libre et provincial y participent En raison de la pr carit de son statut cette exp rience risque de rester sans lendemain De plus l ensemble des centres p tissent d un financement tr s insuffisant De nombreux services sont mena c s court terme d asphyxie finan ci re Il faut qu il soit mis fin cette double pr carit dans le d lai le plus bref Il est indispensable que soient pri ses les dispositions n cessaires Strat gie pour faire aboutir sur le plan l gis latif le projet de d cret de r forme de l I M
38. ec les Femmes Pr voyan tes Socialistes des ateliers de ges tion du stress Renseignements Centre de Sant des Femmes rue Lairesse 91 4000 Li ge t l 041 42 73 41 M BST je veille la sant de mes dents de la premi re maternelle Lin la deuxi me primaire 2 S lection de mat riel p dagogi aae na en hygi ne bucco dentaire Mi Education Sant rue de la Loi 121 1040 Bruxelles BUT RAS T l 02 237 48 53 LL nt ire NCA AVEC LE SOUTIEN DE LACOMMUNAUTE FRANCAISE DE BELGIQUE a O jet d une entr e en mati re sur le sujet m Pour insister sur les effets n fas tes des sucreries et des boissons sucr es entre les repas on pourra utiliser deux montages Le premier Bon app tit s adresse aux l ves de l enseignement primaire et insiste sur l importance d une ali mentation quilibr e et vari e et sur la n cessit de bien se brosser les dents au moins une fois par jour Danger Caramel a quant luiun titre tr s explicite Tous deux demandent une utilisation accom pagn e Danger Caramel fait par tie d un montage r alis par Un ion Nationale des Mutualit s So cialistes Il comprend en outre Le Brossage des dents et Mon ami le dentiste Maryse Van Audenhaege documentaliste Infor Sant R f rences Livres M WINNICKI A VIDAL Oh Les bonnes dents Paris Eds Hatier 1987 collection Gra
39. ection Grain de sel Le mot d ordre pour cette collection ap prendre et d couvrir en s amusant L histoire qui nous est ici racont e est celle des dents quenottes et croquenottes dents de lait dents de petits loups qui toute la jour n e croquent sourient rient la vie On y d couvre comment elles germent poussent et se placent dans la bouche comment les aider rester en bonne sant comment les rendre belles et fortes Et puisque les enfants raffolent des contes ils y retrouveront des his toires d ogres de croque mitaines et de petites souris Un livre plus particuli rement destin aux en fants de 6 10 ans Rire belles dents Voici un formidable condens sur l hygi ne dentaire ainsi que les d couvertes les plus r centes en soins dentaires Il d dramatise les maladies les plus courantes r pond toutes les questions qui in qui tent tant les patients gencives qui saignent aphtes mauvaise haleine sucres tous les ges de la vie Cet ouvrage est plut t destin aux adultes et pas directement pourun usage p dagogique Des dents pour mieux croquer Ce livre illustr l usage des 6 10 ans explique l importance des dents au travers d exemples pris dans le monde animal ainsi que l importance de l hygi ne dentaire m I tait une fois une dent sale ca ri e et tr s malheureuse Elle n ar rivait plus croquer une pomme tellement elle avait
40. endormis sement soit la meilleure possible Le Professeur Ferber auteur de Prot gez le sommeil de votre en fant est le co fondateur du Centre des Troubles du sommeil de len fant l H pital des enfants de Boston ce titre il a rencontr de nombreux parents au bout du rouleau venus l pour divers trou bles du sommeil chez leur enfant Le probl me le plus r pandu l in somnie du jeune enfant s est av r le plus facile traiter M me un nourrisson ou un petit enfant qui n a jamais dormi une nuit enti re peut commencer le faire en quel ques jours avec l aide de es pa rents D autres probl mes comme l nur sie le somnambulisme les terreurs nocturnes n cessitent des approches diff rentes mais peuvent presque toujours tre soulag s rapidement A notre Centre je travaille en rela tion tr s troite avec les familles Avec leur aide j examine les fac teurs responsables de la d sorgani sation du sommeil de l enfant et dans la plupart des cas labore des m thodes de traitement que les parents appliquent eux m mes Le plus souvent ce sont les parents qui r solvent avec succ s les pro bl mes de leurs enfants Fort de ces exp riences le Profes seur Ferber a crit cet ouvrage o il d monte tous les m canismes et les difficult s du sommeil dans toutes ses phases et des ges diff rents avec l appui des exem plesillustrantles divers traitements ap
41. enotte Pr sentation du montage de diapositives Dr Que notte Colgate R le du sucre et des microbes L association du sucre et des microbes entra ne la for mation d un acide qui attaque les dents et provoque des caries distribution d une planche de BD extraite de Dents 2000 Croix Rouge de Belgique Comment se brosser les dents A l aide de la chanson du Dr Quenotte et du moule den taire on rappelle aux enfants comment se brosser les dents Rappel des quatre armes secr tes une alimentation saine et vari e un bon brossage apr s chaque repas un dentifrice au fluor deux visites par an chez le dentiste Application en classe Les enfants r alisent une affiche pour illustrer chacune des 4 armes secr tes Variante r aliser avec les enfants une grande affiche pour la classe collage dessins pliages Bibliographie 1 A Rochez J L Pestiaux J P Jaumotte Pr valence de la carie dentaire efficacit d une action de sensibilisation l hygi ne dentaire d enfants de 4 8 ans dans le Borinage Union Nationale des Mutualit s Socialistes Promotion de la Sant nov 1985 2 Ph Thieffry Bilan statistique des examens m dicaux effectu s dans le Centre de Sant UCL de Woluw en 1988 1989 S minaires de m decine scolaire UCL Ecole de Sant Publique oct 1989 Mat riel p dagogique Croix Rouge de Belgique Colgate ONE C
42. es Centres d Inspection M dicale Scolaire des m decins traitants de l ONE des quipes d Inspection M dicale Sco laire et apr s avoir d autre part reconsid r la finalit de l cole les auteurs se sont pench s avec un regard critique sur les structures comp tentes en sant scolaire tableau 2 ainsi que les program mes concernant tant la sant indivi duelle que la sant collective ta bleau 3 Les auteurs avancent les proposi tions suivantes 1 Concept de base L id e de base serait la cr ation d un Service de Sant Scolaire glo bal et comp tent structure dont les modalit s concr tes de fonc tionnement seraient tudier avec tous les int ress s Afin de partici per au plein panouissement de tous le Service de Sant Scolaire doit 1 1 assurer la pr vention de toute condition de sant physique men tale psychop dagogique socialeou autre emp chant l l ve de tirer le meilleur b n fice de l enseignement qu il a re u re oit ou recevra 1 2 assurer la protection de la sant Probl mes en sant somatique Troubles sensoriels Troubles instrumentaux Troubles du langage Troubles de la croissance staturo pond rate Variations et troubles pubertaires Maladies infectueuses et transmissibles Troubles bucco dentaire Enfants malades chroniques et handicap s D 0 J QU BR W D Affections dermatologiques 10 Troubles cardiovasculaires 11 Troubles de l humeur
43. es aspects importants de la r gula tion de l quilibre une tentative de classification des vertiges et tour dissements d apr s leur origine les examens m dicaux et traitements conseill s dans ce domaine Hygi ne de vie pendant la grossesse Tel est le th me de la fiche dat e de juin Elle examine tous les points qui ont une influence sur la gros sesse alimentation hygi ne cor porelle m dicaments m thodes pr paratoires l accouchement vie socio professionnelle pr vention des maladies et malformations Ces deux fiches sont disponibles aux prix de 20 et 25FB Question Sant rue du Viaduc 72 1050 Bruxel les t l 02 512 41 74 Pour recevoir 10 fois par an une fiche et le p riodique R ponses il suffit de verser 540FB au compte n 068 2115054 93 de Question Sant Un num ro de R ponses sera offert gratuitement aux per sonnes qui en feront la demande M Incontinence urinaire Education du patient ou ducation pour la sant En fait on est ici la charni re entre les deux domaines puisqu il appara t que le premier probl me consiste faire compren dre aux incontinents qu ils souf frent d une affection susceptible de b n ficier d un traitement efficace L incontinence urinaire semble en effet tre v cue comme une mala die honteuse tellement honteuse que beaucoup des personnes quien souffrent n oseraient m me pas en parler leur m decin Est ce d
44. es par l enfant Sensibilisation en premi re et deuxi me maternelle p a on efficace les repas minuer l consommation de sucre chez le ne pour un examen preventif Celui ci est enti rementrembours par la mutuelle Ainsi l enfant s habituer chez le dentiste Programme propos en troisi me maternelle qui gardera devant lui ce qui est bon pour les dents Animation Nous avons r alis un sc nario sur base des fiches colorier de la Fondation Belge pour la Sant Dentaire Bouboune et P tit Ange Celui ci peut tre pr sent toute la classe soit sous forme de planches colo ri es soit sous la forme d un spectacle de marionnettes voir texte en annexe 1 N B Pour faciliter la pr sentation de ce spectacle nous avons r alis un montage de diapositives et un vid ogramme disponibles au Centre de Sant Libre de Namur rue du Lombard 24 L animateur explique aux enfants la mani re de se brosser les dents voir le programme pour la pre mi re primaire comment bien choisir des colla tions 10h et 16h Application en classe Chaque enfant re oit les planches colorier de l histoire de Bouboune et P tit Ange Post test Le post test sera le m me que le pr test et on comparera les r sul tats O P
45. ess es aux parents Ce feuillet reprend ments les conseils pour une bonne hygi ne dentaire Le texte du feuillet diff re selon que l enfant a ou n a pas de caries E a Animation Mat riel confectionner par l enseignant Pour la sant de mes dents Je me brosse les dents avant d aller me Je mange moins de sucreries surtout nous utilisons le flanellographe diffus par la Croix Rouge il y a plusieurs ann es je lis et je retiens ces conseils Coucher pour chasser le sucre qui entre les repas et jamais apr s le A quoi servent nos dents mais qui n est plus distribu nourrit les microbes surtout pendant brossage du soir je pr f re croquer les heures de sommeil des pommes mordre m cher J ai ma brosse dents personnelle Pour un bon brossage je pars de la Si le docteur a dit que j avais des parler elle a des poils bien droits car une gencive vers la dent du rouge vers le caries je vais demander mes brosse us e ne m aide pas blanc je n oublie pas le dessus et l ar parents de m emmener chez le den No s devons en prendre bien soin ri re des dents puis je me rince la tiste M bouche N Feuillet destin aux enfants n ayant pas de caries Pour la sant de mes dents Je suis venu la visite m dicale le Je vais me brosser les dents deux Je lis et je retiens ces conseils fois par jour le matin apr s le j Le docteur a dit que j avais des caries petit d jeuner et non avant le
46. et de sant particulier comme la pr vention des accidents domes tiques l alimentation ou bien s r l hygi ne bucco dentaire Il est important que l enseignant ou lani mateur fasse bien comprendre le message Cette s rie fera donc l ob 14 PAT Je veille la sant de mes dents de la premi re maternelle a la deuxi me primaire projet pr sent par le Centre de Sant Libre de Namur Inspection M dicale Scolaire Introduction PS Le probl me de l hygi ne dentaire chez l enfant reste une des pr oc cupations des services de sant D apr s l OMS 90 des enfants eu rop ens pr sentent une ou plu sieurs caries dentaires l ge de 6 ans et entre 6 et 20 ans il appara t en moyenne une carie par enfant et par an 1 Il y a quelques ann es onattribuait peu d importance aux caries des dents de lait celles ci tant provi soires Aujourd hui on admet que ces caries pr coces pr disposent une mauvaise dentition future et augmentent les risques d infection et de caries sur les dents d fini tives Pourtant les statistiques d un im portant centre de sant bruxellois 2 d nombrent des caries non trai t es chez 18 5 des enfants de l enseignement primaire D autres enqu tes locales nous apprennent que la plupart des enfants mangent des sucreries tous les jours surtout entre les repas que moins de la moiti d entre eux se brossent les dents r guli
47. et la d pression 12 Maladies g n tiques 13 Troubies g nito urinaires tant au point de vue individuel que communautaire 1 3 assurer la promotion de la sant de tout membre de la communaut p dagogique 1 4 tablir r aliser et assurer la diffusion sur le terrain de program mes d activit s r pondant aux besoins des enseign s de leur en tourage et de leurs enseignants lutte contre les accidents pr ven tion des troubles li s la scolarit et l chec scolaire maltraitance enfant marginalis garde d en fants 1 5 participer la formation des enseignants Une seule quipe de sant scolaire assume toutes les missions au sein de l cole les quipes sont r unies g ographiquement au sein de cen tres communs Les auteurs d cri vent succinctement les r les res pectifs et les lieux d action d une quipe de sant scolaire efficace Par ailleurs les auteurs proposent de revoir et compl ter la formation du m decin scolaire d am liorer le statut du m decin coordinateur et d informatiser le Service de Sant Scolaire Tableau 1 Probl mes de sant Probl mes en sant psycho sociale 1 Echecs difficult s et maladaptations scolaires 2 Familles vuln rables et enfants sans enfance 3 Enfants maltrait s et n glig s 4 Accidents suicides et conduites risques lev s Probl mes li s la sexualit adolescente Assu tudes ao u Remarqu
48. fabricant de boissons alcoolis es ce qui va de soi Plus finement on d clare tenir compte de la qualit du produit et du s rieux de la publicit quand il s agit d un type de produit avec lequel une collaboration est possi ble Ainsi pour une campagne de sensibilisation aux risques li s l exposition au soleil on rejette une marque d huile solaire dont on es time la gamme peu fiable et la publicit mensong re Quelles formes pour le sponsoring Toute la gamme des aides est possi ble d une prestation minime en nature impression d un d pliant sur les presses de l imprimerie in t gr e du sponsor au financement coups de millions d une campa gne spectaculaire Certains sponsors souhaitent l ex clusivit alors que d autres accep tent volontiers d tre plusieurs soutenir un projet souvenez vous du M mento sida R cup ration Un cueil viter est de transfor mer le parrainage d un message ducatif en publicit am lior e pour un produit La cr dibilit et l thi que de l ducation pour la sant en prendraient un coup Le danger n est pas illusoire lors qu on arrive int resser un projet une entreprise active dans le m me secteur Par exemple on a pu esti mer que certaines campagnes d in formation sur le sida avaient t habilement converties en op ra tions publicitaires de fabricants de pr servatifs et parfois m me avec la complicit des pouvo
49. fets des drogues sur le syst me ner veux et met mal quelques solides pr jug s du genre les drogues Mnterdites par la loi sont les plus dangereuses sans omettre l aspect p nal du probl me Tabac M dicaments H ro ne brochure de 16 pages illustr e par Carl Bryn r alis e avec l aide de la Communaut Economique Euro p enne disponible gratuitement aupr s d Univers Cit 86 rue de la Caserne 1000 Bruxelles t l 02 514 10 11 ou chez Infor Drogues ch e de Waterloo 302 1060 Bruxel les t l 02 537 52 52 Joindre un timbre 14 francs pour la r ponse Infos Sexo Le Sous ce titre croquignolet une B D d ducation sexuelle destin e aux jeunes et pr sent e par la Mutuali t Fran aise Sarthe et C te d Or et le Mouvement Fran ais pour le Plan ning Familial Les amateurs d motions fortes ne seront pas vol s Comme d habi tude le dessinateur Moloch em ploie l artillerie lourde pour illus trer le sujet labor par le Planning Familial du Pays de Loire Cela tant on sourit plus d une fois la lecture de cette vulgarisation qui porte bien son nom qui dit pas mal de choses en peu de pages Infos Sexo bande dessin e en cou leurs de 40 pages format 15x21cm 19 FF F G Editions BP 785 27007 Evreux Cedex E QUESTION SANT Vertiges La fiche Question Sant du mois de mai est consacr e aux vertiges et aux tourdissements Elle aborde l
50. hologie depuis ses origines au XIX me si cle jus gui nouvelles th rapies d aujour thui Pourquoi de nos jours une telle consommation de psychologie Radio t l vision magazines travers le caract re l horoscope le choix amoureux et professionnel le partenaire sexuel sont les v hicules d une psychologie de masse C est au grand public que ce livre s adresse pour qu il soit conscient de ses choix et qu il ne se laisse pas abuser par de nombreux charlatans Mais le sp cialiste en psychologie est il pour autant mieux plac Il ne retient de sa formation universi taire qu une mosa que de m tho des et de pratiques de notions et de principes h t roclites Il a lui m me besoin de se rep rer Ce livre peut tre un guide pr cieux car il lui permet de s informer de conna tre les principes qui fondent les grands courants psychologiques Et ceci est tout autant valable pour les travailleurs sociaux les enseignants et les personnels de sant Chaudement recommand tous ceux d entre vous qui souhaitent rafra chir et actualiser leurs con naissances C est structur comme un syllabus mais c est un vrai bouquin Michel RICHARD Les courants de la psychologie Chronique Sociale Vie Ouvri re 1990 288 pages 850 FB M Allergies Avec l t sont revenus le classique rhume des foins les r actions au soleil ou les r actions aux piq res d insectes Commun d nominateur
51. ifique faisant le point sur les con naissances en hygi ne bucco den taire Il est appel tre le docu ment de r f rence des enseignants Les sch mas et dessins sont r alis s de mani re pouvoir les utiliser directement au cours des le ons Moi jme les brosse est un livret principalement destin aux jeunes enfants Sorte de bande dessin e en noir et blanc il n at tend que les couleurs que chaque enfant voudra lui donner Chaque page du livret repr sentant cha que mois de l ann e est une s quence ind pendante qui voque un probl me ayant rapport aux dents Ainsi novembre sera le mois dela premi re activit on y d crira la dent sa structure les diff rents l ments qui la composent D cembre sera l occasion d insister sur l importance du brossage r gu lier des dents au moins deux fois par jour par l interm diaire de Kitou le h ros de l histoire En janvier Kitou se fera expliquer l ac tion des microbes sur les gencives En f vrier il apprendra les diff rentes sortes de dents en mars il devra porter un appareil dentaire en avril il d couvrira le m canisme de formation de la carie et ainsi de suite jusqu aux mois de septembre et octobre laiss s libres pour per mettre l enfant de s exprimer Il va de soi que chaque instituteur ouanimateuradapterales histoires et les exercices son propre public ou y apportera son propre rythme En compl ment de ce l
52. ile un conseil d experts en la mati re L ICAN en tant que Service aux Educateurs avec pour mission de g rer le Service de Coordination Alimentation se propose comme centre de dispatching de cette coordination centre o arriveront et d o repartiront toutes les infor mations Notre volont est de susciter la coor dination en proposant les outils qui permettent sa r alisation mais non l imposer il est vident que cette collaboration ne pourra se faire que gr ce la participation volontaire et active de tous les acteurs en pr sence dans le domaine de l du cation alimentaire Elle se fera gr ce tous pour facili ter le travail de chacun Professeur H Batbason Pr sident de l ICAN E FICHE SIGNALETIQUE DE PROJET ACTION RECHERCHE REALISES 1 Nom du projet 2 Promoteur UJ 4 Collaborateurs 5 Organisation subsidiante kez 7 Analyse de la situation 8 Buts Objectifs 9 Public cible 10 D marche utilis e Dur e date du d but de la fin Organisme responsable de la r alisation 11 Impact nombre de personnes touch es 12 R sultats 13 Evaluation 14 Implication 15 Publication Cette fiche est renvoyer ICAN Cellule de coordination Quai du Barbou 4 4020 Li ge Il est demand aux diff rents organismes concern s de compl ter la fiche ci dessus dont l objectif est de r pertorier les projets actions tu
53. in de sel 90p D SALMON LEROY Rire belles dents Paris Eds Buchet Chastel 1988 285p Des dents pour mieux croquer Paris Eds Hachette 1988 collection D couverte Benjamin G WOLDE Fanette chez le dentiste Paris Marcinelle Eds Dupuis 1974 collection Fanette L LENTIN D LAUER Le nouveau dentifrice de M lanie Paris Eds Fleurus 1988 collection Grenadine LL Brochures d pliants Croix Rouge de Belgique Service Education pour la Sant chauss e de Vleurgat 84 1050 Bruxelles t l 02 647 10 10 Dossier enseignant Dents 2000 15FB Je joue avec Kitou 3e 4e primaire 5FB La r cr de Kitou 5e 6e primaire 5FB Moi j me les brosse le 2e primaire 5FB Dossier p dagogique Dents 2000 20FB Croque la vie 20FB 1989 Elida Gibbs rue Montoyer 51 1040 Bruxelles t l 02 516 75 11 Brochure La brigade Rouge et Blanc gratuite Comit fran ais d Education pour la Sant rue Auguste Comte 2 F 92170 Vanves France Affiches En forme jusqu au bout des dents D pliant Le fluor l ami de vos dents Brochure Brossissimo J entretiens mes dents en m amusant Ce mat riel est disponible gratuitement au CFES Infor Sant Alliance Nationale des Mutualit s Chr tiennes rue de la Loi 121 1040 Bruxelles t l 02 237 48 51 D pliant Assurance sourire Soins pr ventifs le contrat avec votre dentiste 1989 D pliant Assurance sourire Hygi
54. ion des sucreries brossage des dents utilisation du fluor visites r guli res chez le dentiste tous les l ments essentiels une duca tion l hygi ne dentaire sont pr sents Et ce qui ne g che rien le tout est tr s joliment emball m Le Comit fran ais d Education pour la Sant est galement tr s actif en mati re d hygi ne bucco dentaire La campagne En forme jusqu au bout des dents lanc e voici quelques temps l atteste Le mat riel pr sent par le CFES est essentiellement constitu d af fiches de tracts et d pliants ou d autocollants Signalons par exemple un d pliant intitul Le fluor L ami de vos dents mettant en vidence les effets pr ventifs du fluor tous les ges de la vie Toujours dans le cadre de cette campagne le CFES a r alis une brochure l usage des enfants Brossissimo J entretiens mes dents en m amusant A l aide de jeux et de dessins colorier ils apprendront les quelques princi pes l mentaires pour maintenir leurs dents en bonne sant Ac compagnant cette brochure un d pliant pour les adultes parents Annexe P TIT ANGE ET BOUBOUNE P tit Ange et Bouboune sont deux amis Aujourd hui ils partent en vacances la montagne car P tit Ange Oh tu as vu Bouboune ces jolies fleurs Bouboune Regarde les maisons en bas elles sont toutes petites comme des bo tes d allumettes P tit Ange Nous all
55. ion que nous avons choi si pour les raisons cit es plus haut Dans un souci d uniformisation nous proposons aux organismes et aux personnes susceptibles de faire de l ducation alimentaire d adop ter galement cette repr sentation Dans la mesure o le mod le ne convient pas au public choisi et ou aux objectifs poursuivis nous sommes pr ts r fl chir avec les personnes qui le souhaitent la mise au point d un sch ma restant dans la m me lign e de pens e mais mieux adapt la situation Il ne s agit pas d imposer un choix nous ne voulons tre ni rigides ni dogmatiques mais il s agit de pro poser une solution au d licat pro bl me de l uniformisation des messages en ducationalimentaire Pour l quipe de l ICAN Fran oise Martin Di t ticienne W SCL ROSE EN PLAQUES R gime ou simple alimentation quilibr e On ne sait pas encore tout sur la scl rose en plaques Ce qu on pense savoir c est que le syst me immu nitaire des personnes atteintes de scl rose en plaques est d ficient Ce syst me immunitaire pourrait tre renforc par une alimentation plus riche en acides gras polyinsa tur s qui se retrouvent le plus souvent dans les graisses v g tales L alimentation des malades est donc tr s importante Ils ne devraient pas s astreindre un r gime parti culier mais la caract ristique es sentielle serait de remplacer une partie des graisses satur es
56. irs publics Le risque est moins grand quand le sponsor n est pas directement engag dans le m me secteur d ac tivit IL cherchera alors moins donner un suppl ment de cr dibili t ses produits qu renforcer long terme son image d entreprise en phase avec son poque et sou cieuse de la qualit de la vie de ses contemporains et pas uniquement de ses clientsl Autre moyen d viter la r cup ra tion commerciale le co parrainage du projet par les pouvoirs publics ou des organismes d int r t public Les sponsors intelligents ne s en formaliseront pas Au contraire ils seront rassur s de voir leur bel argent investi dans un projet soute nu par une ou des instances offi cielles et ils seront ravis de la l gi timit qu ils obtiennent en tant eux m mes associ s une initia tive approuv e officiellement Comment faire pour trouver les sous Enfin la question principale pen sez vous Voil une r ponse sans doute significative Un article sur le sponsoring serait sans nul doute int ressant pour y trouver r ponse nos questions et tuyaux pour obtenir des finance ments J avoue avoir commenc r pondre en d tail votre question naire puis le doute m a saisie N al lais je pas me d forcer en donnant mes sources mes coll gues Cha cun allait il r pondre en toute fran chise Suivent quelques banalit s qui reviennent chez la plupart d nos correspondants mais
57. itionnelle Evidemment il y a des domaines acquis depuis plus longtemps au sponsoring sports surtout m ca niques culture en g n ral et musi que en particulier qu elle soit rock ou classique les sponsors ne sont alors pas n cessairement les m mes Plus r cemment et en d ve loppement constant ces derniers mois la protection de l environne ment est devenu un th me tr s porteur pour les soci t s d sireuses de faire montre de civisme cologi que ou de se refaire une virginit lire ce propos le dossier Marke ting vert dans Media Marketing n 55 juillet ao t 1990 Est ce souhaitable Choix ou n cessit la question ne se pose m me pas pour nos corres pondants Le recours au sponsoring est deve nu malheureusement indispensable vu le co t lev de la r alisation et de l impression des documents p dagogiques et le peu de moyens financiers octroy s par la Commu naut fran aise Un autre confirme la chose en ces termes Nous devrons de plus en plus avoir recours au Sponsoring vu les faibles moyens attribu s par les pouvoirs publics On ne saurait tre plus explicite Activit ducative et activit commerciale quel rapport Le cas le plus fr quent est celui du sponsor investissant dans un pro jet en rapport direct avec un de ses produits Exemples l eau min rale de Chaudfontaine et l ICAN pour la brochure Tom la ferme la compagnie d assur
58. ivret deux cahiers de jeux pour les 3e 4e pri maires et 5e 6e primaires permet tront d aborder le sujet dents lors de diff rents cours Je joue avec Kitou La r cr de Kitou Enfin un fichier p dagogique pro posera d utiliser ces documents comme base de diff rentes activ it s int gr es dans les activit s scolaires chaque fiche correspon dant la pr paration de la le on m Plus r cemment le Service Edu cation pour la Sant de la Croix Rouge a r alis un d pliant tout public intitul Croque la vie en collaboration avec la firme Zyma Galen productrice de comprim s de fluor et donc directement con cern e par le sujet Il propose de mani re synth tique les quatre conseils essentiels pour viter les caries brossage efficace des dents alimentation quilibr e r le essentiel du fluor visites r guli res chez le dentiste le tout avec une mise en page particuli re ment soign e m Une autre campagne r alis e par la marque de dentifrice Signal en r alit Elida Gibbs en collabora tion avec la Fondation pour la San t Dentaire est intitul e La briga de Rouge et Blanc Une brochure du m me titre a t dit e desti n e aux enfants des niveaux mater nel et primaire g Le h ros Superfluo accompagn de Libellule sa tendre admiratrice et du dentifrice son fid le com pagnon raconte aux enfants com ment avoir de bonnes dents limi tat
59. l gumes secs pois haricots soja qui sont group es soit avec les c r ales soit avec la viande selon que l on consi d re leur apport en glucides com plexes ou en prot ines Figure 2 La Roue Environnement et progr s Belgique les fruits ol agineux noix noiset tes amandes olives qui peu vent tre class s part ou group s avec les corps gras Par contre on s aper oit que le choix du nombre de groupes d aliments entra ne des divergences ce nom bre varie en g n ral de 4 7 grou pes Quatre grands types de repr senta tions sont ainsi d finis le plus souvent accompagn s du m me conseil 2 Pour avoir une alimentation qui libr e il faut choisir chaque jour au moins un aliment de chaque groupe et varier ses choix au sein de chaque groupe Repr sentation 4 groupes On y trouve le plus souvent le groupe des produits laitiers le groupe de la viande du poisson des oeufs etc le groupe des c r ales et d riv s et de la pomme de terre le groupe des fruits et des l gu mes Les principaux groupes absents son donc le groupe des boissons non consi d r es comme des aliments le groupe des corps gras Viande et produits laitiers Figure 3 Le maaltijdschijf ou disque repas Pays Bas Strat gie EUROPE Environnement et sant La premi re Conf rence europ enne sur l environnement et la s
60. l op ration L accord tait il quilibr Avez vous une id e de la rentabilit pour le sponsor 9 L intervention du sponsor a t elle modifi le projet Si oui dans quel sens Est ce plut t positif ou n gatif Cette intervention a t elle pos des probl mes pratiques Quelles furent les contraintes pour les partenaires 10 Votre sponsor a t il exploit un ou des aspects particuliers de votre initiative des fins publicitaires Lequel ou lesquels G n ralit s 11 Le secteur de l ducation pour la sant est il susceptible d int resser des firmes commerciales Pour quels th mes et quels publics 12 Quels conseils donneriez vous une association d sireuse de faire sponso riser une action d ducation pour la sant 13 Quel int r t une firme commerciale peut elle avoir parrainer une action d ducation pour la sant 14 O s arr te le sponsoring o commence la publicit Quelles r gles d ontologiques devrait on respecter quand on fait appel des sponsors 15 N y a t il pas un risque pour l organisme sponsoris d tre d poss d de son travail au profit des activit s purement commerciales du sponsor Quelles garanties imaginer pour que cela ne se produise pas 16 Le recours aux sponsors n est il pas un encouragement la d mission des pouvoirs publics subsidiants 17 Le sponsoring n est il pas contradictoire par rapport la vocation ducative de nombreux projets 18 Certains secteurs
61. la pratique une campagne de vaccination contre la grippe p 14 t de mes dents aternelle la deuxi me primaire L Coordination locale et communautaire Les structures pr vues par l arr t du 8 novembre vont enfin tre com pl tement mises en place En effet au moment o vouslisez ceslignes le Ministre Guillaume devrait avoir agr les organismes qui rempli ront les missions de Centre de coor dination communautaire ainsi que les Commissions locales de coordi nation Pour ne parler que de ce qui nous concerne directement comme publication sp cialis e en duca tion pour la sant nous attendons beaucoup de cette coordination no tamment des commissions locales pour mieux vous informer sur ce qui se passe pr s de chez vous sur le terrain Notre prochain num ro vous en dira davantage ditorial Services aux ducateurs En attendant les services agr s depuis maintenant plus d un an deviennent op rationnels Nous vous le manifestons chaque mois par notre parution r guli re et par les articles qu ils nous font parve nir les autres services aux duca teurs vous pr sentent tour tour ce que vous pouvez attendre d eux Apr s le service de documentation du RESO c est cette fois l ICAN qui se pr sente non seulement avec son fichier des organismes actifs en ducation alimentaire ce qui est bien le minimum minimorum pour un organisme de coordination mais aussi en nous
62. mal Les autres dents la rejetaient parce qu elle tait laide et sentait mauvais Sou vent elle tait malade elle souf frait de rage de dents Une dent propre lui conseilla un jour d aller chez le dentiste et de se laver plus souvent Depuis lors plus de pro bl me elle est la dent la plus pro pre et la plus heureuse au monde Tel est le sc nario de La Toilette des dents mat riel p dagogique l usage des 6 8 ans compos de 8 diapositives dessins en couleur d un dossier de l enseignant de jeux exercices et d une affiche Mat riel de bonne qualit propos en 1985 par Sanogyl Junior le dentifrice pour enfant bien connu m Une autre s rie de diapositives qui date un peu mais qui constitue toujours un support p dagogique int ressant Vos dents sont vi vantes Ilestr alis par le Comit fran ais d Education pour la Sant Eui aussi est accompagn d un dossier d information pour l enseig nant m Enfin Colgate Palmolive nous propose deux montages Les con seils du Docteur Quenotte et Le jeu du Docteur Quenotte Eux aussi datent un peu mais sont toujours utilisables et utilis s Le premier met en sc ne le Docteur Quenotte charmant lapin d guis en dentiste pour raconter l hygi ne dentaire aux enfants Le Jeu quant lui est constitu d une s rie de dias d une cassette audio reprenant des questions en relation avec les dias de fiches r ponses o
63. n rempla ant du m decin g n raliste ni un catalo gue de vente de m dicaments M me si la plupart des hypnoti ques sont soumis l ordonnance du m decin ce dernier faute de temps et de moyens ne fera bient t plus que renouveler des ordonnances anarchiques sur com mande de ses malades Ce guide doit permettre d ouvrir ce d bat essentiel pour un traitement vala ble de l insomnie entre le m decin et le malade inform P DI MARIA 130 m dicaments con tre l insomnie et comment s en pas ser Paris Eds Balland 1989 192p 89FF E Lu pour vous vers traitements possibles C est moins un guide pratique qu un compl ment d information pour les allergiques qui connaissent d j l origine de leur maladie mais voudraient en savoir plus sur cer tains probl mes touchant leurs conditions de vie C MOLINA L allergie Paris Eds Economica 1989 collection Visa pour la Sant 101p 35FF M G riatrie et ducation du patient Le num ro de juin du Bulletin d Edu cation du Patient la publication trimestrielle du Centre d Education du Patient pr sente un dossier sp cial G riatrie Divers articles y font tat de lap port de l ducation du patient la probl matique du vieillissement au niveau des probl mes de com pliance importants en raison des prescriptions multiples des pro bl mes d autonomie des probl mes pos s par l accompagnement des patients hos
64. naut Fran aise comme cela a d j t accompli depuis plusieurs ann es 30 08 85 en Communaut Fla mande de Belgique Les modalit s actuelles d organisa tion des services comp tents de Sant Scolaire IMS PMS sont le fruit d un h ritage institutionnel cr et compl t au gr des opportunit s Actuellement coexistent deux struc tures incompl tes l une issue de la sant publique ne comportant ni psychologue ni p dagogue l autre issue de l enseignement dont le m decin qui y est simplement rat 5 tach ne fait pas partie int grante Les deux structures comportent chacune une infirmi re dont le statut et les missions varient sui vant le type de structure Cette coexistence est on reuse mais surtout mal adapt e aux besoins et g n ratrice de conflits de comp tence et de confiance La simple juxtaposition ne peut aboutir un fonctionnement optimal Les auteurs du Livre Blanc rel vent les besoins de sant prioritaires l ge scolaire tant dans l enseigne ment fondamental que dans l en seignement secondaire et analy sent d une fa on critique et non exhaustive l tat de la situation actuelle N HO SANTE SCOLAIRE Un mariage de raison par amour des enfants Les S minaires de M decine Scolaire ont actuellement 25 ann es d exis tence Au fil des 138 fascicules les quipes IMS PMS ainsi que tous les ducateurs soucieux de la promoti
65. ncent Magos Jean Louis Pestiaux Danielle Piette Roger Swinnen Thierry Poucet Patrick Tr fois Editeur Responsable Jean Hallet O Maquette Philippe Mar chal Composition P amp E Photogravure et impression Economat ANMC Tirage 1 700 exemplaires ISSN 0776 2623 Les articles publi s par Education Sant n engagent que leurs auteurs La revue n accepte pas de publicit Pour tous renseignements compl mentaires Education Sant rue de la Loi 121 1040 Bruxelles t l 02 237 48 53 P rinatalit enfant Bruxelles Le salon Baby 90 deuxi me salon de la pr maman et du petit enfant se tiendra du 4 au 7 octobre 1990 l Anspach Center 6e tage Boule vard Anspach 30 36 1000 Bruxel les de 10 18 heures Prix d entr e 250FB Outre la pr sence de diverses fir mes commerciales signalons celle de quelques services sp cialis s Lans le domaine de la petite en fance Association des Accoucheu ses Professionnelles francophones et n erlandophones Infor Nais sance Kind amp Gezin Le Journal de votre enfant Ligue des Familles O N E etc Renseignements Baby Promotion rue du Tr ne 198 1050 Bruxelles t l 02 640 88 20 W Femme Bruxelles ovembre 1990 B La cinquantaine au f minin cy cle de cinq r unions d information discussion sur des questions m dicales psycho sociales et rela tionnelles qui peuvent se poser entre 40 et 60 ans
66. ne dentaire vous de jouer 1989 Sp cimens disponibles gratuitement Infor Sant Il est possible de s abonner aux d pliants d Infor Sant en en voyant un billet de 100FB vous serez automatiquement abonn 8 d pliants r partis sur 2 ans sujets et public diff rents pour chaque d pliant Pour des commandes de d plinats s adresser aux f d rations r gionales des Mutualit s Chr tiennes d Montages dias La Toilette des Dents Sanogyl Junior 1985 Vos dents sont vivantes Comit Fran ais d Education pour la Sant 1978 Les Conseils du Docteur Quenotte Colgate Palmolive Le Jeu du Docteur Quenotte Colgate Palmolive Programmes video Croix Rouge de Belgique Service Education pour la Sant voir plus haut Dents 2000 M diath que de la Communaut fran aise de Belgique liste des comptoirs de pr t et consultation du catalogue aupr s d Infor Sant Archibald le Magichien Diffusion Information et Communi cation 1981 R f SG9001 s quence 5 R f SG9002 s quence 2 R f SG9003 s quence 2 R f SG9005 s quence 4 R f G9006 s quences 1 2 R f SG9009 s quence 5 Danger Caramel Mon ami le dentiste Le brossage des dents UNMS 1984 r f SG 6001 17 min Bon app tit mission RTBF T l vision Scolaire 14 05 1986 r f SA 0506 25 min montage Tous les documents cit s dans l article hormis les vid ocassettes peuvent tre consult s
67. ne sont ils pas condamn s par le fait qu ils ne seraient pas porteurs pour le sponsor 19 Pouvez vous tablir une typologie des projets sponsorisables en ducation pour la sant Si d aventure ces questions vous inspirent vos r ponses commentaires et r flexions sont les bienvenus Le sujet est loin d tre puis et m rite qu on s y attarde en fonction de vos exp riences concr tes 9 10 SERVICES AUX DUCATEURS La coordination alimentaire INSTITUT COMMUNAUTAIRE DELALMRENTATION ET DELANUTRITION ASBL L Institut Communautaire de l Ali mentation et de la Nutrition ICAN est suivant l Arr t Minist riel du 8 novembre 1988 agr en tant que Service aux Educateurs et a re u no tamment pour mission d assurer la gestion du Service de Coordina tion Alimentation Dans le cadre de cette mission l ICAN a organis le 4 mai 1990 la r union des repr sentants d orga nismes actifs dans le domaine de l Education la Sant secteur ali mentation en Communaut Fran aise Les objectifs de cette r union taient les suivants faire conna tre les diff rents orga nismes leurs missions leur s pu blic s cible s leurs projets en cours faire conna tre les attentes et les besoins dans la cr ation de sup ports didactiques brochures ma t riel p dagogique formation de mat riels audiovisuels etc organiser un centre de dispat ching
68. nger moins de sucreries Pr f rer les fruits et les l gumes Boire du lait Brosse et dentifrice A 4 Noix et noisettes Brosser les dents avec un dentifrice au fluor pour chasser microbes le sucre les morceaux d al iments avoir un beau sourire une bonne haleine Eviter de croquer des objets durs Quand vas tu te brosser les dents Apr s chaque repas si possible mais toujours le soir car pendant la nuit le sucre et les microbes sont plus l aise pour faire des d g ts Il ne faut plus manger ni boire apr s sauf de l eau f N LA Comment vas tu te brosser les dents Rassembler son mat riel brosse dents aux poils bien droits dentifrice au fluor gobelet eau L animateur montre sur le moule dentaire la mani re de se brosser les dents de la gencive vers les dents au dessus et en dessous devant et derri re l int rieur et l ext rieur rincer avec de l eau Dans la mesure o les conditions le permettent exercice pratique de brossage ou faute de mieux les enfants miment les diff rents mouvements avec leur brosse Rappel des 3 conseils se brosser les dents apr s chaque repas si possible mais surtout le soir viter de manger trop de sucreries et pr f rer des fruits et des l gumes aller chez le dentiste deux fois par an Application en classe L enfant doit replacer les mots manquants dans un texte
69. nt tre il lustr es par cette m me r flexion l ICAN se propose de centraliser toutes les informations de les dif fuser le plus largement possible et la demande propose des collabo rations ventuelles En un mot tre le centre de dispatching en duca tion alimentaire Eviter les doubles emplois la r p tition des projets d ac tions D finir la place de chacun en termes de partenariat et de com pl mentarit Valoriser les ressources insti tutionnelles existant au niveau communautaire et local Susciter la cr ation de mat riel p dagogique au besoin cr er ce mat riel i La pour vous PSYCHOLOGIE Pour mieux comprendre les personnes Qui sont Freud Watson Pavlov Reich Piaget Klein Lacan Brenta no Janet Lowen Perls etc Qu ont ils invent Que veulent dire bio nergie psychanalyse cri pri mal gestaltth orie behaviorisme r flexologie psychologie g n ti que caract rologie dasein analyse etc CQ Ces noms et ces mots expriment la mont e d une culture psychologi que dans nos soci t s Rares sont aujourd hui les indivi dus les groupes les institutions les valeurs qui ne sont pas concer n s par la psychologie Comment se rep rer dans ce foisonnement Comment savoir si le psy que vous allez consulter appartient telle tendance Les courants de la psychologie fait le point sur la diversit des th ories de la psyc
70. omit Fran ais d Education pour la Sant Fondation Belge pour la Sant Dentaire Mutualit s Chr tiennes R alisation Centre de Sant Libre de Namur Inspection M dicale Scolaire rue du Lombard 24 5000 Namur t l 081 22 49 19 Post test Programme propos en premi re primaire Application quivalente au pr test et comparaison des r sultats principalement au niveau des connaissances Au niveau des comportements on demandera aux enfants de rapporter le d pliant A plus long terme on peut se renseigner aupr s des parents au moyen d un petit questionnaire Objectifs Programme propose i Au terme de l action l enfant sera en deuxi me primaire capable d expliquer quoi servent les dents pop M A i ni Objectifs Les objectifs du programme de premi re primaire sont repris pourquoi quand et comment se brosser les dents En outre au terme de l action l enfant sera capable d expliquer l origine et le r le de l acide dans la formation de le r le du dentiste la carie ction Au terme de cette action les parents seront sensibilis s nouveau l hygi ne dentaire DT E Action C o Pr test ction 6 J ouvre une noix avec mes dents oui non L enfant devra r pondre au ques Lors de l examen m dical tionnaire ci contre bas sur les connaissances et les comporte Chaque enfant re oit un feuillet qui est joint aux conclusions m dicales adr
71. on la sant Tout d pendra des th mes et du contenu Je doute que l ducation la sant prenne le pas sur les autres aspects de l ducation Elle doit s ins rer le plus harmonieusement possible dans le programme g n ral d ducation Ce qui nous ra m ne vers les autorit s p dagogiques responsables des pro grammes et vers la communaut scolaire qui doit exprimer ses be soins ses d sirs ou ses exigences Quel r le Ia m decine scolaire peut elle d s lors jouer 1 L information individuelle des l ves majeurs des parents des l ves mineurs d ge C est tout le probl me des entretiens que le m decin scolaire devrait pouvoir multiplier l occasion notamment des examens cliniques 2 L information collective des pa rents et de lacommunaut scolaire C est tout le probl me des tudes pid miologiques du recueil et de l informatisation des donn es 3 L information des ma tres des ducateurs et des p dagogues C est tout le probl me du contenu de la formation En avons nous les moyens Faut il vraiment continuer supprimer des examens dont l inutilit est loin d tre d montr e pour se donner le temps de faire de l ducation d une mani re empirique N y a t il pas maintenant une Cellule Per manente Education pour la Sant au sein de la Communaut fran aise dont c est la mission Professeur F Geubelle Cette absence est justifi e selon les a
72. on de la sant en milieu scolaire ont b n fici tous les deux mois d articles r dig s par des artisans pour ne pas dire des ap tres du bien tre et du mieux tre l cole Depuis 1978 une seconde publication est n e Les Cahiers d Education et Sant destin s plus sp cifiquement favoriser la liaison entre les Centres de Sant et les enseignants leur rapportant des exp riences en mati re de pr vention primaire sugg rant m thodes et contenus p dagogiques ins rer dans les projets ducatifs de chaque cole Le 36 me fascicule est sortien Cuin dernier Or progressivement nous avons eu le plaisir de constater que beaucoup de lecteurs soucieux de la compl mentarit des informations et des exp riences taient abonn s l une et l autre des revues D o le regroupement actuel des deux publications sous le titre lapidaire de Sant Scolaire et de deux ils deviendront une seule chair Loin de nous le vocable Inspection M dicale Scolaire car les m decins ne sont plus uniquement des inspecteurs Loin de nous l appellation M decine Scolaire car nos quipes ont largement d pass le stade l mentaire du d pistage de la pr vention secondaire pour s attacher aux aspects ducatifs la pr vention primaire Sant Scolaire a pour finalit l approche globale holistique de la Sant l harmonie toujours plus parfaite entre l individu et son environnement
73. ons bien nous amuser nous allons pouvoir courir et jouer en respirant le bon air de la montagne Le car s arr te et les deux petits oursons descendent P tit Ange D j 11 heures il est temps d aller acheter notre pique nique Magasin Bouboune Regarde les belles sucettes et les bonbons de toutes les couleurs Mm Je vais en acheter tout plein pour le d ner que je vais me r galer P tit Ange Des bonbons Mais Bouboune tu vas avoir mal aux dents en mangeant toutes ces sucreries Moi je choisis une pomme En la croquant elle va me nettoyer les dents Bouboune Beurk une pomme Je n aime pas cela je pr f re les bonbons et puis je n ai jamais mal aux dents Les oursons prennent leur repas ensuite tandis que P tit Ange sort sa brosse dents Bouboune s tend pr s d un arbre Bouboune Et maintenant une bonne sieste P tit Ange Mais tu ne te brosses pas les dents Bouboune Bouboune Pourquoi P tit Ange Tu viens de manger et il reste plein de petits morceaux d aliments qui collent tes dents Elles sont toutes sales et si tu ne les brosses pas avec du dentifrice et si tu ne les rinces pas l eau tu vas avoir des petits trous P tit Ange vers le public Comment appelle t on ces petits trous les amis car Bouboune ne conna t pas grand chose Public Des caries Bouboune Je ne me suis jamais bross les dents
74. p de bonbons et est ce que tu te brosses souvent les dents Bouboune Je ne me brossais jamais les dents mais maintenant j ai bien compris Pour ne plus avoir mal aux dents je vous promets de me les brosser apr s chaque repas et de manger moins de bonbons D N oublie pas non plus de croquer de belles pommes et des carottes Et puis viens me voir une fois par ann e Je regarderai si tes dents sont toujours aussi bonnes Bouboune C est quoi une fois par ann e Dentiste Et bien pour le retenir chaque fois que c est ton anniversaire viens me voir P tit Ange et Bouboune Au revoir Monsieur et encore mercil C P tit Ange J esp re que maintenant tu as bien compris r p te avec tous nos petits amis ce qu il faut faire pour garder de bonnes dents Bouboune Manger moins de bonbons Les enfants r p tent la phrase Me brosser les dents apr s chaque repas si possible mais au moins le matin et le soir Croquer des pommes et des carottes Aller chez le dentiste une fois par an P tit Ange et Bouboune Puisque vous nous avez bien compris nous vous avons pr par une petite surprise Vous trouverez notre histoire dans un petit carnet que vous colorerez avec votre institutrice Allez au revoir les petits amis et n oubliez pas tous les bons conseils pour avoir de bonnes dents Brigitte COLLET Martine LEJEUNE Je colorie ce qui est bon
75. pitalis s Le Bulletin pr sente en outre un article sur l Education du patient l alimentation parent rale domi cile les r flexions d un sociologue sur la qualit d outils ou de pro grammes en ducation du patient ainsi que la description de quel ques brochures et d pliants dispo nibles au Centre d Education du Patient Dossier G riatrie Bulletin d Educa tion du Patient volume 9 n 2 juin 1990 L abonnement au Bulletin d Educa tion du Patient co te 500FB person nel 850FB institution ou 400FB tudiant Centre d Education du Patient ave nue Th rasse I 5180 Yvoir t l 081 42 22 08 E Le retour du Dr E Pid mio Nos lecteurs le plus fid les se sou viendront peut tre d un ouvrage paru en 1985 sous le titre L Epid miologie sans peine Son objectif proposer aux professionnels de sant de toutes disciplines et de toute forme de pratique qui n ont pas eu une formation initiale en pid miologie une approche sim ple et accessible des principaux concepts pid miologiques et des m thodes de base de cette disci pline Une deuxi me dition de cet ou vrage de base vient de para tre avec les m mes objectifs et s adres sant au m me public La premi re partie Les aventures du Dr E Pid mio et de son amie Anna Lise est inchang e C est la seconde partie Presque toute l pid miologie en bref qui a subi le plus de modifications et d ajout
76. pliqu s Un livre tr s int ressant s adres sant directement aux parents et au personnel de sant de la petite enfance R FERBER Prot gez le sommeil de votre enfant Paris Eds E S F 1990 La vie de l enfant 273p 190FF M ET SOMNIFERES 130 m dicaments contre l insomnie et comment s en passer Un petit stress une anxi t passa g re et l insomnie a transform votre vie en v ritable cauchemar En quilibre instable sur le fil de l endormissement vous avez alors saisi la premi re perche tendue un somnif re Mais si le somnif re fait dormir il s accroche il puise et enfin il s puise Un petit guide d crit toutes ces insomnies passag res qui ne de vraient pas devenir chroniques celles de l enfant de l adolescent de la grossesse des personnes g es des travailleurs de la nuit des d calages horaires et toutes les fausses insomnies celles dues aux m dicaments l alimentation et au sport Une liste d taill e de 80 somnif res attention le livre est fran ais les noms commerciaux ne sont donc pas les m mes en Belgique en d crit les diverses caract ristiques dur e d action d pendance qualit du r veil perte d efficacit complica tions court et long termes Enfin des moyens simples pour se passer ou se d barrasser de somni f res sont sugg r s relaxation massages acupuncture L auteur insiste sur le fait que ce guide n est ni u
77. plus la moin dre information saignante Pas folle la gu pe Les g n ralit s on veut bien en faire part mais les infos exploitables on se les garde jalousement Avouez que c est de bonne guerre m me si on ne peut pas encore dire qu il y a saturation du secteur de l ducation pour la sant en ma ti re de parrainage Quelques conseils en vrac conserver le contr le total du contenu faire preuve de beaucoup de pa tience r diger une convention crite pr voir un calendrier suffisam ment souple pour tenir compte des d lais n cessaires pour que l appui du sponsor soit op rationnel Il n est pas sot de s y prendre un an l avance pr senter un projet bien d limit pas une vague demande d finir la cible avec pr cision conna tre des gens utiles au bon endroit il n y a pas de honte se faire pistonner et une suggestion Une id e qui pourrait faire son che Lau pour vous SOMMEIL Prot gez le sommeil de votre enfant Un nourrisson ou un jeune enfant qui se r veille plusieurs fois par nuit pleure ou crie puise assez rapidement les parents physique ment et psychologiquement Que faut il faire aller pr s de lui et le bercer le laisser pleurer et atten dre que a passe Dans le pre mier cas un sentiment de culpabi lit accentu par les avis toujours bien inform s de l entourage les accablera Vous le g tez trop
78. pographiques artisanales Les m mesretardataires seront sans doute secou s par la nouvelle mise en page qui fait appel toutes les ressources du DTP ou desktop publishing en fran ais PAO ou publication assist e par ordinateur Avouons que nous m mes sans crainte d tre tax s de nostalgiques avons trouv la nouvelle pr senta tion quelque peu charg e au d tri ment parfois de la lisibilit Les heureux parents voudront bien nous pardonner cette remarque quelque peu inconvenante leurs yeux leur b b est videmment le plus beau En guise de voeux nous proposons Sant Scolaire une confraternelle collaboration et nous en attendons une efficace compl mentarit L abonnement Sant Scolaire est de 1000 FB versement anticip et s tend de ao t juin Prix au num ro 160 FB Sant Scolaire Clos Chapelle aux Champs 30 bte 3039 1200 Bruxel les t l 02 764 30 80 M M at riel aborder la question sanshonteavec le m decin L information donn e au patient dans chacun de ces documents est assez semblable Tous d crivent les traitements adapt s chaque type d incontinence kin sith rapie m dicaments chirurgie Les pal liatifs absorbants ne sont jamais pr sent s que pour m moire et non comme une r elle solution au probl me Pour les professionnels signalons encore en plus de la brochure du Comit Fran ais d Education pour la Sant que la
79. ques des eaux c ti res et usage r cr atif s curit microbiologique et chimi que des denr es alimentaires impact sur l environnement et la sant des diff rentes options en mati re nerg tique des transports notamment la s curi t routi re des pratiques agrico les notamment l emploi des en grais et des pesticides et l vacua tion des d chets qualit de l air laquelle doit tre conforme aux principes directeurs de OMS sur la qualit de l air en Europe notamment pour ce qui concerne les oxydes de soufre et d azote les oxydants photochimi ques smog estival et les compo s s organiques volatils qualit de Pair l int rieur des locaux d habitation de loisirs et professionnels notamment effets du radon du tabagisme passif et des substances chimiques substances chimiques persistan tes et celles qui exercent des effets chroniques d chets dangereux et notamment leur gestion leur transport et leur limination biotechnologie en particulier des manipulations g n tiques pr paration aux situations d ur gence et interventions en cas d accidents et de catastrophes technologies plus propres ti tre pr ventif 2 Il importe de tenir compte en r pondant toutes ces priorit s de l importance d une planification intersectorielle de environne ment et d une gestion communautaire afin d assurer le meilleur niveau possible de sant et de bien
80. r c dente qui n ont pas souffert d effets secondaires lors de pr c dentes vaccinations qui n ont pas entendu parler du vaccin en termes n gatifs qui ont peur de la grippe et se sentent susceptibles de l at traper qui croient dans l efficacit et l innocuit du vaccin La vaccination estrefus e principa lement par les personnes qui ne craignent pas la grippe et qui ont peur des effets secondaires du vaccin Dans une campagne canadienne les m decins g n ralistes ont no tamment adress personnellement une lettre leurs patients Une excellente exp rience belge a t r alis e avec l aide du Profes seur De Wals par les m decins g n ralistes de Braine le Ch teau en 1985 1986 Ici aussi une phase d information et de sensibilisation des m decins g n ralistes a pr c d une information individuelle puis collective de la population vis e Dans ces deux cas la m thodologie utilis e a permis de faire passer la couverture vaccinale de 17 40 environ Nous avons adapt cette m thodo logie pour une utilisation exp ri mentale l chelle communautaire En effet notre communaut dis pose des ressources n cessaires notamment de m decins g n ralis tes et d intervenants m dico s0 ciaux comp tents et motiv s sou vent regroup s au sein de structu res permettant le renforcement de l information Les objectifs de l action Le but de la campagne est de dimi nue
81. r fr quence d apparition accompagn es d un petit commentaire qui r sume nos r flexions au cours de cetter union Qu attend t on de PICAN dans le cadre de sa mission de coordination Conna tre les diff rents orga nismes s occupant de l duca tion alimentaire leurs missions leurs actions leurs projets leurs publications En premier lieu il ressort de ces at tentes un grand besoin d informa tion que ce soit au niveau des groupes existants ou des actions men es en Communaut Fran aise Il para t vident que notre fichier r pondra ce souci important On peut esp rer ainsi d une part r duire la r p tition de projets iden tiques et d autre part valoriser des ressources souvent m connues Nous esp rons pouvoir distribuer ce r pertoire le plus largement possible et le remettre annuelle ment jour voir la fiche signal ti que reproduite ci contre Harmoniser les messages ali mentaires uniformisation et co h rence Exemple r partition des aliments en groupes Une synth se des diff rentes re pr sentations rencontr es habituel lement dans la litt rature a t pr sent e Elle vous est galement propos e dans ce num ro Nous y exposons galement la position prise par l ICAN ce propos Susciter la collaboration entre les organismes Permettre et susciter les chan ges et les dynamiser ICAN centre de dispatching Ces deux attentes peuve
82. r la morbidit et la mortalit dues la grippe l objectif interm diaire d augmenter la couverture vaccinale dans les groupes ris que Les objectifs op rationnels ont t d finis en d tail dans le dossier de la campagne Dans la phase pr paratoire nous avons obtenu les avis favorables de la Direction g n rale de la Sant de la Cellule Education pour la Sant de la Communaut fran aise con cr tis s par le soutien de Monsieur Fran ois Guillaume Ministre de la Sant Nous avons jet les bases d une collaboration qui s av re dynamique avec l hebdomadaire Le G n raliste diffus notam ment aupr s de tous les m decins g n ralistes de la Communaut fran aise Fin de l article en page 31 Les objectifs op rationnels La phase 1 juin 90 de la campagne a vu l envoi tous ces m decins d un courrier de Monsieur Fran ois Guillaume d un dossier scientifi que d une centaine de fiches per sonnalis es destin es leurs pa tients risque Une information scientifique a t galement pu bli e par Le G n raliste La phase 2 juillet septembre a t l occasion de contacts avec de multiples partenaires qui ont manifest pour la majorit un int r t concret pour la d marche en effet de nombreux accords de col laboration et de codiffusion ont t men s terme Tous les documents des actions ult rieures d pliants affiches dossiers sp cifiques
83. re de contribuer cr er ou mainte nir une solidarit et une dignit professionnelle dans les rapports entre ses membres ainsi qu entre ceux ci et toutes personnes ou orga nismes impliqu s dans le domaine de la sant scolaire de prot ger les int r ts profession nels de ses membres La soci t a publi cette ann e le livre La Sant Scolaire en Ques tion Ce livre outil de r flexion veut amener la cr ation d une structure de m decine pr ventive r pondant aux besoins actuels des communaut s p dagogiques et des familles Il s adresse donc ceux qui travaillent et r fl chissent la san t des coliers personnes col lectivit s institutions organismes et pouvoirs publics impliqu s dans ce domaine Pour obtenir un exemplaire du livre verser la somme de 250 FB au comp te 330 0015285 13 de la librairie Fonteyn MB Fochplein 13 3000 Leuven en indiquant Sant Sco laire part des l ves coute ducation la sant des parents contacts communication informations garde d enfants malades des en seignants accompagnement prise en charge des probl mes d ordre professionnel formation en duca tion la sant des quipes IMS autonomie de fonctionnement et moyens en rapport avec l tendue des missions informatisation Il est urgent de remodeler la M de cine Scolaire dans le cadre d une l gislation adapt e aux besoins prioritaires de la Commu
84. re part ce ne sont pas des aliments de base dans notre sch ma alimentaire habituel Larepr sentation choisie par l ICAN est la m me que celle diffus e par le Comit Fran ais d Education pour la Sant notamment via son affiche La sant dans l assiette Repr sentation 7 groupes On y retrouve les 6 groupes vus pr c demment accompagn s d un Oriphe arinak j Prot ines Lait et d riv s Mati res grasses v g tales huile margarine minarine Fruits et Viande poissons mollusques crustac s ab ts gibiers volailles ufs C r ales et d riv s pommes de terre l gumes Figure 5 Le disque ICAN Belgique d pans P Dipire v g tale Fa lA B Les groupes d aliments quel syst me choisir armi les attentes expri m es par les diff rents organismes en mati re de coordination alimenta tion l uniformisation des messages en ducation alimentaire en particulier pour la r partition des aliments en groupes appara t comme un des objectifs atteindre prioritairement Il est vrai que m me si les nom breux mod les peuvent se justifier une mise au point aboutissant une harmonisation serait souhai table d autant plus que ces repr sentations servent souvent de base des messages portant sur l quili bre nutritionnel Un premier passage en revue de diff rents mod les belges fran ais suisses hollandais et qu
85. rement et 17 jamais 1 Il nous a donc paru important de proposer une action dans ce do maine au niveau de l cole mater nelle Des actions ponctuelles dans ce domaine s tant r v l es ineffi caces 1 nous avons labor un programme qui s tale de la pre mi re maternelle la deuxi me primaire En fait ce programme consiste utiliser d une fa on coh rente di vers mat riels p dagogiques exis tants en y ajoutant certains l ments Notre initiative a t accueillie favorablement par les enfants les parents et les instituteurs Cet accueil positif ne constitue certes pas une preuve d efficacit mais simplement un facteur favorable Nous avons donc int gr des l ments d valuation des connais sances et gr ce une enqu te aupr s des parents nous pouvons observer des changements de comportements courtterme Nous ne disposons malheureusement pas de moyens d valuation long ter me Elabor etappliqu initialement par les infirmi res de l IMS ce pro gramme doit progressivement tre pris en charge par les enseignants eux m mes Les publics Public cible direct Les enfants de la l re maternelle la 2 me primaire de 3 8 ans mais le programme propos peut tre adapt pour une tranche d ge de 5 9 ans Publics cibles indirects et partenaires Les parents sensibilis s par des lettres par les travaux domicile de leurs enfan
86. rps gras que nous consid rons comme des aliments essentiels une alimentation qui libr e de par leur teneur en acides gras essentiels eten vitamines lipo solubles De plus n oublions pas que si les autres groupes d aliments repris dans cette repr sentation appor tent aussi des lipides il s agit prin cipalement de lipides d origine animale groupes de la viande et des produits laitiers c est dire relativement pauvres en acides gras insatur s raison de plus pour in sister sur l importance des aliments de ce groupe particuli rement ceux d origine v g tale N oublions pas que c est l exc s de ces aliments qui est nocif un bon quilibre alimen taire et non les aliments en eux m mes L eau repr sentant elle seule le groupe des boissons puisque c est la seule boisson qui soit essentielle Mat riel est aussi reprise dans cette repr sentation car si ce n est pas un aliment tel qu on l entend habituel lement elle est bien indispensable notre organisme Nous avons galement choisi de grouper les l gumineuses avec les c r ales car dans notre pays elles sont plus souvent utilis es comme source de glucides complexes que comme source de prot ines Le groupe des fruits ol agineux n est pas repris dans notre sch ma car d une part leurs apports ne sont pas essentiels si les 6 autres grou pes d aliments sont quotidienne ment repr sent s dans notre ali mentation et d aut
87. s On trouvera notamment un chapitre nouveau consacr l valuation de la qualit des don n es et particuli rement l va luation des proc dures de diagnos tic et de d pistage notions de sen sibilit sp cificit valeur pr dic tive l introduction de notions qui n taient que peu ou pas abord es pr c demment principe du calcul de l esp rance de vie des taux et ratio standardis s du nombre de sujets n cessaires dans les enqu tes approfondissement de la no tion du risque d erreur dans les tests statistiques etc Les sch mas les illustrations et les exemples num riques sont plus nombreux afin de faire compren dre ais ment l ensemble de ces notions Marcel Goldberg et al L Epid mio logie sans peine 2 d Paris Eds Frison Roche 1990 194 pages E Le poisson c est bon Voil une affirmation qui fait Pun animit Le poisson est en effet un aliment d licieux sous toutes ses esp ces et en plus pauvre en cho lest rol t en graisses et riche en acides gras insatur s i L ouvrage publi par la Ligue Car diologique Belge et les Editions Standaard est sous titr L art d m nager le coeur des gourmets Cela ne signifie pas qu il s agit d un livre de di t tique r serv aux car diaques Il s adresse toute per sonne consciente de l importance d une cuisine saine vari e et raffi n e et administre la preuve que sant et gastronomie peu
88. s en couleur ont le m rite de pr senter de mani re attrayante un sujet pas tr s rigolo Ils convien nent des enfants de 8 10 ans aid s ventuellement par leurs parents ou un enseignant Pete Sanders et Louis Morzac Sois prudent 4 titres parus Gamma Ecole Active 1990 32p chacun 295 FB le volume M K MILIEUX DEFAVORISES Bibliographie sp cialis e Le centre dedocumentation du RESO R seau des Enseignements en Sant Ouverts aux adultes UCL publie un nouveau num ro de son bulletin bibliographique trimestriel Info Reso Il s agit en l occurrence d un num ro sp cial Sant et milieux d favo ris s issu d une collaboratior entre une vingtaine d organismes etservices d ducation pour la sant pour la localisation la s lection l analyse et le traitement informati que des diff rents documents Les documents r pertori s docu ments crits et document vid ogra phiques traitent non seulement le th me sant dans les diff rents milieux d favoris s mais aussi les aspects socio conomiques et o cio culturels qui ont une influence importante sur la sant RESODOC Centre de documenta tion Facult de M decine Centre Facult niveau 1 Av Mounier n 50 1200 Bruxelles T l 02 764 50 32 ou 02 764 56 44 M Kefen Education pour la sant et sponsors Quelques exp riences et r flexions Certains lecteurs curieux ou peut tre int re
89. s europ ens qui leur ont pr sent la synth se de leurs tra vaux Un document reprenant l in t gralit des communications est maintenant disponible On peut se le procurer aupr s du service Education pour la Sant 12 rue Rioul 5200 Huy t l 085 21 25 76 en versant la somme de cinq cent francs frais de port compris au compte n 068 2034538 87 avec la mention Col loque Tabac 1990 Tabagisme passif mythe ou r alit L an dernier le Centre d Informa tion et de Documentation sur le Tabac IDT une asbl financ e par l industrie du tabac avait envoy aux m decins une brochure cons cr e au tabagisme passif La fu m e de tabac dans l air ambiant sous titr e une tude de la litt ra ture scientifique S appuyant habilement sur de tr s nombreuses r f rences bibliogra phiques d allure s rieuse les au teurs apparemment bien inform s mais curieusement anonymes con cluaient qu il n est pas possible dans l tat actuel de nos connaissances en la mati re d tablir une relation s re entre le tabagisme passif etles affections habituellementassoci es au tabac Des scientifiques belges ont r pli qu cette ann e avec Le tabagisme passif mythe ou r alit une plaquette de 12 pages r futant de mani re nuanc e la th se d IDT Cette mise au point tablie par des personnalit s ne d fendant aucun int r t commercial vient son heure On peut toutefoi
90. s regretter que l information destin e au corps m dical ne soit pas doubl e d un message clair l intention du grand public IDT l avait bien compris qui non content de s adresser aux m decins a galement dit une petite brochure pour le grand pu blic La fum e des autres Il n est pas trop tard pour faire la m me chose avis aux volontaires Le tabagisme passif mythe ou r a lit brochure co sign e par les Facult s de M decine et publi e gr ce au concours de l Oeuvre Belge du Cancer de la Ligue Cardiologique Belge du Ko rdinatiekomitee Alge mene Tabakspreventie et de la Fa res Elle est disponible la Fares rue de la Concorde 56 1050 Bruxelles t l 02 512 29 36 M ACCIDENTS Sois prudent Sais tu comment tre prudent Que ferais tu si ton copain tombe et se fait mal Que ferais tu en cas d acci dent Redoutables questions auxquelles la collection lanc e r cemment par Gamma Ecole Active apporte des l ments de r ponse Quatre titres sont parus A la maison Sur la route En plein air Pr s de l eau Chaque ouvrage passe en revue des situations de la vie quotidienne de l enfant et lui indique le meilleur choix faire pour viter les dangers qui le guettent Les conseils sont compl t s par des exercices des exp riences r ali ser des devinettes des informa tions compl mentaires Sous une couverture cartonn e tr s solide ces albums largement illus tr
91. si ous commencez comme a vous ne vous en sortirez plus donnez lui une t tine un m dicament pour dormir Dans le second un m me sentiment de culpabilit appara tra renforc si les parents travaillent tous les deux lext rieur la peur que l enfant ne soit pas heureux qu il se sente aban donn peut tre plus forte que tout autre raisonnement Dormir toute la nuit est un appren tissage bas sur la question de l au tonomie pour l enfant et la facult de s paration pour les parents C est ces derniers qu il revient de ren dre leur enfant ind pendant de lui min organiser une table ronde K Jermettre de mattriser les cycles de r unissant associations sponsors gon sommeil et de se consoler tout et pouvoirs subsidiants pourrait tre int ressante et clarifier la mani re dont les trois parties de vraient l avenir collaborer de fa on positive Avis aux amateurs Merci aux correspondants qui ont aimablement accueilli notre d mar che m me s ils n ont pu clairer notre lanterne Un merci particulier ceux qui se sont donn la peine de nous informer Dr Vander Steichel Oeuvre Belge du Cancer Eve Craen hals Ligue Belge de la Scl rose en Plaques Viviane Delegher Croix Rouge de Belgique Christiane Bai jot ICAN Bernadette Lambrechts Question Sant seul chaque r veil eux gale ment d tablir le rituel du coucher pour que la qualit de l
92. ss s nous ont demand de mener une petite enqu te sur le sponsoring en ducation pour la sant Etant donn les moyens limi t s dont disposent les organismes actifs dans ce secteur on observe en effet depuis quelques ann es un recours de plus en plus fr quent au soutien logistique ou financier d en treprises commerciales Education Sant ne faisant pasappel la publicit sous quelque forme que ce soit et n ayant par cons quent pas d exp rience r elle vous faire partager en la mati re nous avons adress un questionnaire sponsoring une douzaine d as sociations grosses ou petites ayant fait appel r cemment au secteur priv Ce questionnaire reproduit ici contenait la fois des questions fondamentales sur la philosophie du sponsoring en ducation pour la sant et des questions plus prati ques sur une exp rience concr te v cue par l association Sponsoriser un programme d ducation pour la sant est ce possible C est une vidence et qui rassurera plus d un de nos lecteurs Le fait m me que nous rencontrons r gu li rement des documents p dago giques sign s par une firme com merciale ou que nous assistons des v nements sponsoris s en est la meilleure preuve La sant en g n ral et l ducation pour la sant en particulier sont des domaines susceptibles d int resser les entre prises d sireuses de sortir du champ de la publicit trad
93. t pas tou jours exactement identiques cha cun ayant des objectifs diff rents m me s ils sont conciliables Des mises au point r guli res sont in dispensables pour maintenir un bon quilibre au projet Kellogg s aadmis que le projet Petit d jeuner malin reste essentielle ment ce qu il tait au d part moyen nant l une ou l autre modification des messages L organisme spon soris doit faire preuvre d une cer taine fermet sous peine de perdre sa cr dibilit s il r pond trop facile ment aux exigences de son parte naire W firme appara t sur tous les docu ments Une fois l accord sign il importe que les souhaits des uns et des autres co ncident I faut concilier Enqu te sponsoring Exp rience particuli re oo 1 Pour quelle s raison s avez vous eu recours au sponsoring 2 Comment tes vous entr en contact avec votre sponsor directement par une agence un autre canal 3 Y a t il un rapport vident entre les activit s commertiales du sponsor et le projet sponsoris 4 Comment l avez vous convaincu d investir dans l ducation pour la sant 5 D crivez l accord que vous avez pass avec votre partenaire 6 Quelle part du projet a t elle t financ e par le sponsor Quels autres services a t il ventuellement rendus 7 Quelle part la recherche du sponsor a t elle pris dans la pr paration du projet 8 Les partenaires ont ils retir des avantages quivalents de
94. tifs et du public Apr s ce passage en revue des dif f rentes repr sentations des grou pes d aliments une derni re cons tatation s impose toute repr sen tation utilis e doit d une part s adapter au public auquel elle s adresse et d autre part r pondre aux objectifs que l on d sire attein dre Il ne faudra donc pas s tonner de trouver dans certaines publications d autres repr sentations qui ne concernent parfois que l quilibre d un seul repas Ainsi la figure 6 extraite d un do cument suisse s adressant aux ado lescents pr sente des aliments r partis en 4 groupes parmi les quels il convient de choisir 4 l ments d un repas de midi quilibr De m me dans notre document Pic Nic ou pr parons et d gustons un petit d jeuner et des collations quilibr s l cole maternelle nous pr sentons 3 groupes d aliments qui permettront aux enfants de 4 5 ans d quilibrer leur petit d jeuner et leurs collations Mais il est bien entendu que ces choix ne remettent pas en cause le choix fait pour la repr sentation des groupes d aliments dans le cadre Fig 6 L quilibre alimentaire ex trait de Jeunes gens que man gez vous midi d pliant distri bu par la R gie f d rale des al cools 3000 Berne 9 d un message portant sur l quili bre alimentaire global Conclusion Nous souhaitons diffuser le plus largement possible le type de re pr sentat
95. tre 3 La promotion de la sant doit aller de pair avec la protection de la sant de fa on susciter l adop tion de modes de vie sains dans un environnement propre et harmo nieux 4 Il faudrait reconna tre que cer tains probl mes urgents exigentune coop ration internationale et des efforts concert s directs et imm diats La Charte compl te peut tre obte nue sur simple demande l Organi sation Mondiale de la Sant Bureau R gional de l Europe 8 Scherfigs vej DK 2100 Copenhagen Dane mark M A 8 VACCINATION CONTRE LA GRIPPE M thodologie et concr tisation d une campagne de la th orie l action En f vrier 1990 Question Sant a soumis aux auto rit s de la Communaut fran aise un projet de campagne de vaccination contre la grippe pour les groupes risque La campagne est construite sur la m thodologie conseill e par la Cel lule Education pour la Sant de la Communaut fran aise Bref r sum des donn es scien tifiques La grippe provoque chaque ann e des complications graves et des d c s dans les groupes risque Elle est responsable d un important co t conomique frais curatifs hospitalisations examens techni ques L ensemble de cette situation esten grande partie vitable par un moyen simple et s r la vaccination des personnes risque Le rapport co t b n fice de cette vaccination est positif Les groupes risque
96. ts et par le question naire d valuation Les enseignants dont la partici pation active et prolong e est in dispensable Les coles invit es organiser leurs cantines en fonction de ce projet ducatif Les objectifs long terme Augmenter la prise en charge par la personne elle m me d une partie de sa sant Sensibiliser les enfants et les parents la n cessit d une bonne hygi ne dentaire Diminuer les pathologies buc cales moyen terme Diminuer les caries dans l enfan ce et prendre rapidement en char ge les troubles associ s D velopper une attitude positive envers le dentiste COLLECHONSEDUCATIONSSANTE Ne2 0641990 3 Objectifs Simple sensibilisation des parents et par leur interm diaire des enfants trois aspects de l hy gi ne dentaire brossage r gulier diminution des sucreries attitude positive vis vis du den tiste Action A la suite de l examen m dical une fiche comportant diff rents con seils d hygi ne est jointe aux con clusions m dicales adress es aux parents Objectifs Au terme de l action l enfant sera capable de reconna tre les amis et les ennemis de ses dents de savoir qu il faut se brosser les dents et diminuer les sucreries de savoir que le dentiste est un ami Action Pr test L animateur fera soit colorier les dessins soit trier les imag
97. uent dans les librairies Pour tant de temps en temps certains mergent par leur originalit C tait le cas du Livre g ant du corps humain dont nous avons parl dans un de nos pr c dents num ros c est galement le cas de Bi zarre bizarre notre corps Dans ce livre l enfant trouvera des petites histoires sur le corps de dr les de questions et des illustra tions qui le feront rire aux clats Il suffit de soulever des petits volets d coup s dans le carton des plan ches pouf lire les r ponses Edit l origine en Grande Breta gne crit par des auteurs anglais et on reconna t bien ici l humour british il a t adapt en fran ais par les ditions Nathan Une belle id e de cadeau retenir pour l une ou lautre occasion Sue CASSIN David SMITH Marianne BONNEAU adaptation Mike GOR DON M illustrations Bizarre bi zarre notre corps Paris Eds Na than 1989 environ 400FB M Tout en muscles connu est le symbole de l amour Quel est le plus fort de nos muscles ll y a environ 650 muscles dans le corps et quand tu te d places tu en utilises 541 Quand tu souris tu utilises 17 muscles Quel est le plus fort de nos muscles it y a environ 650 muscles dans le corps et quand tu te d places tu en utilises 54 Quand tu souris tu utilises 17 muscles H S trat gie Cette initiative a d j t
98. up de moyens avec un peu de d brouillar dise et d imagination en utilisant le mat riel disponible et le syst me D Si on peut regretter certaines lacunes au niveau de l valuation il faut reconna tre que les contrain tes quotidiennes qu elles manent de l cole ou de PIMS rendent la chose tr s difficile Les critiques constructives cela va de soi res tent bienvenues Le sponsoring sanitaire A propos de moyens et de syst me D n oublions pas que de bons pro grammes peuvent tre subsidi s par le Ministre de la Sant de la Commu naut fran aise Et avez vous d j pens au sponso ring Il y avait d j le sponsoring sportif le sponsoring culturel le sponsoring social En ducation pour la sant le sponsoring existe aussi Nous avons men notre en qu te Quelques associations qui ont d j travaill avec des sponsors ont bien voulu apporter leur t moi gnage R alisation et diffusion Infor Sant Alliance Nationale des Mutualit s Chr tiennes rue de la Loi 121 1040 Bruxelles T l 02 237 48 53 Fax 02 237 33 00 indiquer ANMC Education Sant comme destinataire R dacteur en chef Jacques Henkinbrant O Secr taire de r daction Christian De Bock Secr taire de r daction adjoint Roger Swinnen Documentation abonnements Maryse Van Audenhaege Comit de r daction Christian De Bock Alain Deccache Michel Demarteau Jacques Henkinbrant Vi
99. uteurs par le fait que les autres groupes d aliments notamment le groupe des produits laitiers et le groupe de la viande apportent d j de la graisse Ce syst me est utilis notamment pour le tr fle du Vlaams Voorlich tingscentrum voor de Voeding Belgique figure 1 pour la roue d Environnement et Progr s Bel gique figure 2 et pour le disque repas Pays Bas figure 3 Il y a aussi le mod le qu b cois non illustr dans cet article mo d le 4 groupes o les pommes de terre sont group es avec les fruits Tatles l gumes et o les l gumineu ses sont group es avec la viande Repr sentation 5 groupes On y trouve le plus souvent les m mes groupes que dans les repr sentations 4 groupes avec en plus la famille des corps gras Par exemple la pomme du Comit In terprovincial de M decine Pr ven tive Belgique figure 4 Fig 4 La pomme La sant sans p pin Comit Interprovincial de M decine Pr ventive Belgique Repr sentation 6 groupes Les 5 groupes du mod le pr c dent sont pr sents et on y ajoute le groupe des boissons repr sent par l eau C est la repr sentation que l ICAN a choisi de diffuser travers ses for mations et ses publications Outre la pr sence indispensable des 4 premiers groupes viande pro duits laitiers c r ales et pomme de terre fruits et l gumes elle a l avan tage de pr senter galement le groupe des co
100. ux tous au service des jeunes de notre communaut La loi du 21 mars 1964 rendant obligatoire l I M S et organisant celle ci dans les diff rents r seaux scolaires subventionn s a rendu d incontestables services Nous lui devons une meilleure pr vention de la tuberculose et d autres mala dies infectieuses Les d ficiences sensorielles sont d pist es plus pr cocement et sont plus rapide ment trait es Des progr s appr ciables ont t obtenus dans le domaine de la sant physique g n rale Beaucoup reste faire cepen dant pour r pondre efficacement aux besoins actuels et aux d fis de notre temps dans le domaine de la sant physique et plus encore dans celui de la sant psychosociale Il n est pas r pondu de mani re satisfaisante aux besoins d am lio ration et de surveillance du milieu et de l environnement scolaire aux imp ratifs de la politique de pro tection et d radication de certai nes maladies infectieuses aux missions en ducation la sant la r alisation d examens et de bi lans de sant avec des moyens tech niques modernes et fiables Des demandes explicites non satisfai tes se manifestent clairement de l L Association Professionnelle des M decins Scolaires a t fond e fin 1989 Son si ge se trouve La Lou vi re 10 rue de la Loi Elle a pour objet d tudier tous les probl mes se rap portant la promotion de la sant en milieu scolai
101. vent tre compatibles Le poisson c est bon contient d ailleurs des recet tes cr es par de grands cuisiniers belges pour l occasion Mais avant d en arriver aux recet tes l ouvrage nous rappelle d abord tout l int r t du poisson dans une alimentation quilibr e ses modes de cuisson ses conditions de con servation Les principales vari t s de poissons et coquillages con somm s chez nous sont aussi d crites Bref une agr able invitation la d couverte pour qui voit plus loin que le moule casserole la tomate crevettes ou la sole meuni re Jacqueline Absolonne Bea Collin Le poisson c est bon Editions Stan daard Ligue Cardiologique Belge 1990 224 pages 895 FB M R flexions A lire sur le sujet Comment cher cher un sponsor mode d emploi par Pierre Sahnoun et Nathalie Doury Editions Juris Service 1990 248 pages 170 FF Ouvrage pratique plut t ax sur les domaines classi ques du sponsoring sport et cul ture sans jugement moral l im portant est de trouver des sous pour r aliser son projet Une exp rience con cr te Petit d jeu ner malin Ques tion Sant Kellogg s Pour rappel il s agit d un projet concret de sensibilisation aux bien faits d un vrai petit d jeuner se reporter Education Sant n 40 pour plus de d tails r alis en collabo ration avec l ICAN Pour mener bien une exp rience s inscrivant en dehors du
102. vince de Li ge sa troisi me Journ e li geoise d information sur le cancer au Centre Hospitalier Universitaire de Li ge Le th me de cette ann e la mort du malade canc reux Ce colloque destin principalement aux m decins et param dicaux PT pour objectif d approcher ce qu existe en mati re de soins termi naux en Belgique Programme sur simple demande au CRAC Li ge rue des Augustins 30 4000 Li ge t l 041 22 08 56 M Si vous d sirez publier une information dans Education Sant ayez l amabilit de nous en fournir le texte au plus tard le 10 du mois pr c dant la date de parution Par exemple pour publier un avis dans le num ro de d cembre vous devez nous faire parvenir les donn es avant le 10 novembre Merci d avance Renseignements pratiques Nom de l organisme Nom du responsable Adresse sad T l phone Informations publier Titre Manifestation objet lieu date heure Publication contenu fiche technique public vis prix Autre La revue Education Sant est r alis e avec l aide du Minist re de la Communaut fran aise de Belgique D partement de la Sant Elle est publi e dans le cadre de la Cellule de coordination intermutualiste Alliance Nationale des Mutualit s Chr tierines Union Nationale des Mutualites Socialistes RAA MENSUEL NE PARAIT PAS EN JUILLET ET EN AOUT OCTOBRE 1990 ISSN 0776 2623 De la m thode

051 - octobre 1990

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents