Nr. 27
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1. gr ce la pratique agricole respectueuse de l environnement employ e par l agri culture ou l leveur Cette prime peut tre calcul e directement et forfaitairement en fonction des pratiques agricoles ou ventuellement des traite ments sp cifiques effectu s sur les effluents exemple traite ment des lisiers Pour le param tre azote il est possible de calculer une prime qui tienne compte du niveau de fertilisation par rapport aux besoins des cultures du fractionnement des apports et de la couverture du sol en automne et hiver autant d l ments techniques propos s dans le cataloque de mesures 3 5 Politique de subventions De m me des subventions sont accord es dans certains Etats pour la cr ation de d p ts d engrais suffisants et pour l assainisse ment de fosses lisier 4 D veloppement de la recherche Les futures recherches doivent se concentrer sur l am lioration des pratiques agricoles garantissant une qualit du sol des eaux et de l air la meilleure possible on entend par l d une part la poursuite de la mise au point de l agriculture int gr e qui permet une agriculture plus compatible avec l environnement D autre part il est galement question de la poursuite de la mise au point de l agriculture alternative qui comporte notam ment une extensification de l agriculture Secteurs sp cifiques de recherche en vue d am liorer les pratiques agricoles la r duction du lessivage du rui2. r glements concernant le lisier qui r glementent l pandage suivant la saison la quantit le stockage et le mode d exploitation initiatives visant limiter l pandage de fumier en fonction de la surface pouvant aller jusqu la limitation du cheptel dans certains cas limitations de fertilisation dans les r serves naturelles interdictions proximit imm diate des eaux de surface et dans les bassins de zones de captage d eau potable le long des routes bouches d gouts et des talus de routes interdiction de l apport direct dans les eaux de mati re fertilisante de lisier de jus d ensilage etc soutien de ces probl mes par des directives communautaires pour la r duction de la pollution par des substances nutritives provenant de sources diffuses discussion en cours pour les nitrates REDUCTION DES PRODUITS PHYTOSANITAIRES ET DES INSECTICIDES Dans le cadre du d veloppement de la lutte int gr e des interdictions g n rales d utilisation de substances actives qui tel que cela a t d montr constituent une menace pour l environnement produits phytosanitaires et insec ticides p ex dans des zones de protection des eaux dans les cours d eau en for t et en lisi re de for t dans les r serves naturelles sur les voies de circulation les sta des les parcs ou partout r glements relatifs la production et au commerce p ex autorisation de circulation des produits auto contr
3. les rives de cours d eau p ex par l achat de surfaces o r duire au moins l utilisation dans ces zones Avec une largeur minimale des rives si possible jusqu 10 m des deux c t s du cours d eau cela repr sente une mesure effi cace pour diminuer l apport de nutriments am nagement des zones inondables et des terrains en pente particuli rement menac s en prairies et en p turages Disposition des champs si possible transversale la pente pour diminuer l rosion du sol dans la mesure o la longueur et l inclinaison de la pente ne sont pas trop importantes Planification et r alisation des projets d irrigation et de drainage compte tenu des crit res qualitatifs et quantita tifs de protection des eaux Planter des bandes bois es et des bandes de protection contre l rosion Maintien et largissement des lisi res des champs pour dimi nuer l rosion Planifier le r seau de chemins agricoles et son drainage en fonction des imp ratifs de protection des eaux c d flanc de coteau si possible dans le sens transversal la pente drainage dans des champs attenants rigoles sur les routes 2 2 Techniques culturales DIMINUTION DU RUISSELLEMENT ruissellement et rosion du sol en travaillant le sol en fonction du site et avec pr cau tion p ex en travaillant au cultivateur en labourant suivant les courbes de niveau en respectant la structure du sol en vitant les tassements
4. moyens d exploitation s appliquant l azote prouvent cependant que cela n a pas apport d avantage cologique jusqu pr sent Le fumier est toutefois le principal danger qui menace les eaux p ex lisier aussi faudrait il examiner l effica cit d une taxe pour le lisier ou taxe pour l exc dent de li sier Un subventionnement de la reconversion des m thodes utilisant le fumier solide devrait tre galement examin La mise en oeuvre d une incitation financi re par une fiscalit adapt e est cens e permettre d encourager l usage des pratiques agricoles respectueuses de l environnement tout en p nalisant les autres N anmoins une telle taxe est rapidement indolore comme la TVA et donc inop rante sur la pratique des utilisateurs qui consid rent qu apr s avoir pay la taxe ils poss dent un droit polluer Afin de responsabiliser individuellement chaque exploitant agricole et de garantir le caract re incitatif une politique financi re peut tre mise en place en tant assise sur une redevance brute proportionnelle pour chaque param tre consid r azote mati res toxiques l importance de la source de pollution elle m me d finie par une grandeur caract ristique nombre d animaux nombre de kilogrammes d azote achet s une prime venant en d duction de la redevance pr c dente pro portionnelle aux quantit s de mati res polluantes qui n atteignent pas le milieu naturel
5. par ailleurs aux principes d une exploitation agricole respectueuse de l environnement tout conflit d int r ts entre la protection des eaux d une part et l agriculture d autre part devrait pou voir tre vit Une troite collaboration entre les diff rents domaines scienti fiques concern s par l agriculture et la gestion des eaux pourra contribuer acc l rer et am liorer l volution en cours La poursuite intensive des recherches sur les m thodes biologiques et int gr es et sur les techniques d application surtout pour les grandes surfaces agricoles et les exploitations critiques de cultures sp ciales constitue la t che principale relevant de la recherche scientifique et de l information
6. semis sous couverture ou des bandes vertes ou couverture v g tale protectrice au sol contre les fortes pluies p ex pour le mais extensification en viticulture et vergers lorsque les conditions locales le permettent E par des pratiques culturales qui prot gent contre l rosion abandon du travail du sol sur la totalit des surfaces ensemensement sous paillis direct ou en coulisse DIMINUTION DU LESSIVAGE par une culture en fonction du potentiel du site nature u sol conditions atmosph riques couverture du sol utilisation appropri e de cultures d rob es afin d employer la r serve de substances nutritives pr sente dans le sol respect des assolements adapt s les uns aux autres fertilisation organique et min rale en fonction des besoins des plantes et du potentiel du site en tenant compte du rendement escompt en fonction du potentiel du site et de la fourniture en nutriments du sol valuation des besoins de fertilisants sp cifiques de la parcelle m thodes pour l tablissement du bilan et la pr vision de N meilleure prise en compte des substances nutritives provenant des fumiers de ferme valuation des analyses du sol p ex analyses de N adaptation au type de sol puisement des l ments nutritifs des plantes c d doses d engrais divis es au cours de la p riode de v g tation etc E prise en compte de la production de nutriments due au pacage sur les aires de p turage a p
7. Nr 27 INTERNATIONALE KOMMISSION ZUM SCHUTZE DES RHEINS COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DU RHIN Catalogue de mesures envisageables visant r duire les apports de substances d origine diffuse dans les eaux Lenzbourg le 2 juillet 1991 Table des mati res 1 1 1 1 2 Apports diffus provenant de l agriculture Fondements Conseils informations L gislation R duction des nutriments R duction des produits phytosanitaires et des insec ticides Mesures techniques Mesures pr visionnelles Techniques culturales Diminution du ruissellement Diminution du lessivage Diminution de la volatilisation Techniques d exploitation Lisier et fumier de ferne Jus d ensilage Alimentation du b tail Produits phytosanitaires et les insecticides Mesures dans le cadre de la politique agricole Politique structurelle Politique de march Politique de protection contre les immissions Politique fiscale Politique de subventions D veloppement de la recherche Remarques finales Apports diffus provenant de l agriculture L Fondements 1 1 Conseils informations La meilleure fa on de r duire l apport diffus dans les eaux de substances provenant de l agriculture est de d velopper l in formation et le conseil aux agriculteurs am lioration de la formation scolaire extension du nombre des services d infor mation agricole intensification du conseil par l augmentation du personne
8. as de fertilisation sur les p turages souvent inond s _ transformation traitement de fumiers de ferme p ex lisiers en pellets traitement collectif du lisier JUS D ENSILAGE collecte stockage et limination appropri s des jus d ensilage ALIMENTATION DU BETAIL adaptation de la nutrition animale viter les doses de pro t ines trop lev es am lioration des dosages adapter la teneur en phosphore des aliments du b tail aux besoins physiologiques du cheptel r duction des teneurs en m taux lourds cuivre zinc des aliments du b tail PRODUITS PHYTOSANITAIRES ET INSECTICIDES v rification permanente et am lioration des techniques et des proc d s d application de produits phytosanitaires et d insecticides p ex pas de pulv risation par h licopt re car elle produit des missions excessives dans l atmosph re entretien et contr le r guliers r gl s par la loi du mat riel d application des produits phytosanitaires et des in secticides instructions pr cises aux utilisateurs avec contr le des connaissances certificat d utilisation vente uniquement avec certificat utilisation ad quate et en fonction de l objectif recherch des quantit s minimales de substances actives requises limination ad quate des restes de substances actives et des emballages correspondants utilisation d autres m thodes de lutte gestion int gr e des cultures et d finition de seu
9. chniques d application qui pro uisent des missions importantes dans le milieu naturel sol eau at mosph re en cas de pr sence de r sidus de produits phytosanitaires et d insecticides veiller une bonne limination en fai sant appel des techniques appropri es 1 2 L gislation Si tel n est pas encore le cas o si cela est jug utile il conviendrait de pr coniser dans les Etats membres de la CIPR un appui de la l gislation pour les mesures envisag es pour la r duction des apports diffus de substances dans les eaux sous forme p ex de r visions des lois relatives la protection de l environnement des d crets des arr t s etc qui existent A l heure actuelle le soutien juridique est plus important en mati re de r duction des produits phytosanitaires et des insecticides que pour les engrais Des mesures l gislatives concernant une limitation des engrais min raux et de fumier ou de l pandage existent d j ou sont en pr paration dans les Etats riverains du Rhin et l chelon communautaire Un soutien juridique renforc pourrait p ex s appliquer aux domaines suivants LES REDUCTIONS DES NUTRIMENTS r glementations relatives l pandage de nutriments v g taux engrais min raux et fumier de ferme sur les surfaces agricoles horticoles et foresti res limitation de la fertilisation pour le phosphore et l a zote r glements concernant les boues d puration des stations
10. du sol par le passage trop fr quent en cas de mauvais tat du sol le mat riel trop lourd etc par une couverture du sol si possible annuelle par une culture d rob e en emp chant la jach re nue r duction de la fertilisation base de P sur des terres sols tourbeux dans lesquelles les phosphates sont entra n s avec les eaux d infiltration pratiques d irrigation qui s adaptent la capacit utilisa ble au champ et la culture DIMINUTION DE LA VOLATILISATION enfouissement le plus rapidement possible d engrais min raux et organiques notamment par temps chaud afin de r uire les missions d ammoniac 2 3 Techniques d exploitation LISIER ET FUMIER DE FERME construction d aires ou de fosses de stockage tanches d engrais de ferme au moins avec une capacit de stockage 6 mois pandage selon les conditions de la directive Nitrate aires de stockage tanches emp chant une infiltration ou l coulement intempestif de fumiers ou de jus d ensilage et coulement dans les fosses lisier stockage du lisier dans des unit s collectives en cas de n cessit faire effectuer des analyses des nutriments du lisier pan dage en fonction du type de sol de la parcelle des besoins des plantes am lioration des techniques d pandage des engrais p ex techniques de pulv risation am lior es organiques et min raux par l ensemencement de cultures intercalaires de
11. eurs participant volontairement aux mesures structurelles obtiennent une subvention qui doit compenser en principe la perte de revenu qui en r sulte Dans le cas de mesures communautaires qui ont t mises en oeuvre par les Etats membres et ont t consid r es par la Commission des CE comme aidables une partie des d penses des Etats membres participants est rembours e partir du fonds agricole des CE La cr ation obligatoire de zones de protection des eaux dans lesquelles certaines mesures ou interdictions sont prescrites dans l int r t de la protection des eaux p ex des r ductions de fertilisation et l interdiction de la protection chimique des plantes ne fait pas partie du domaine de la politique struc turelle mais de celui du droit des eaux 3 2 Politique de march Les r gles de la r gulation de l offre par le biais du prix ne s appliquent la production agricole que de mani re tr s limi t e Du fait de la particularit socio conomique de la produc tion agricole la flexibilit de l offre est par rapport au prix souvent n gative surtout dans une analyse court terme Les producteurs agricoles s efforcent de compenser le recul des prix par une augmentation des quantit s produites pour maintenir le revenu familial au m me niveau Un tel comportement de l of fre est li une augmentation de l intensification d exploita tion Une r duction de la production agricole et donc une dimi nution de l inten
12. ils d intervention 3 Mesures dans le cadre de la politique agricole 3 1 Politique structurelle Des mesures structurelles peuvent tre prises par les CE les Gouvernements nationaux ou les collectivit s territoriales subordonn es p ex les L nder f d raux allemands les cantons suisses Les mesures suivantes sont particuli rement importantes pour la r duction de l apport de substances dans les eaux souterraines interruption d finitive de l utilisation de surfaces cultiv es les mesures d extensification des proc d s de production agricole l encouragement des m thodes d exploitation agricole compatible avec la protection de l environnement Les mesures entra nent toutes les trois selon la mani re dont elles se pr sentent une r duction plus ou moins importante de l apport diffus de substances dans les eaux En l absence de toute pratique agricole et d levage l apport de nutriments se limiterait au lessivage naturel et aux apports atmosph riques et celui de phytosanitaires la charge historique Il y aurait lieu alors de mettre en place une gestion appropri e de l espa ce Les mesures s av rent particuli rement efficaces lorsqu elles sont mises en oeuvre sur les rives le long de eaux courantes et des eaux dormantes Les rives peuvent tre exploit es de ma ni re extensive pas d emploi de produits chimiques agricoles ou tre totalement exclues de l utilisation agricole Les cultivat
13. l organisation de cours de perfectionnement profes sionnel actions pr ventives par voie de presse agricole sp cia lis e publication de bulletins d avertissement par les services de protection des v g taux information sur la fertilisation recommandations en vue d une r duction de l usage des produits phytosanitaires et des insecticides mise en place de pr visions m t orologiques r gionales etc Les conseils porteront essentiellement sur les domaines suivants adaptation de l exploitation du sol la protection d une qualit du sol des eaux et de l air la meilleure possible exploitation agricole compatible pour l environnement con form ment la production v g tale int gr e Extensification de l agriculture et d veloppement de l agriculture alternative l o c est possible mesures relatives la production v g tale afin de r duire les pertes en nutriments par lessivage ruissellement volatilisation gr ce des plans de culture et un assole ment ad quates r alisation r guli re d tudes du sol fertilisation en fonction des besoins des plantes et du potentiel du site fertilisation aux p riodes ad quates prise en compte des conditions m t orologiques de l tat du sol de la planta tion utilisation satisfaisante pour l environnement de produits phytosanitaires et de pesticides combinaison optimale de moyens m caniques biologiques et chimiques viter les te
14. le mode d emploi et tiquettes devoirs de vigilance g n rale lors de l emploi de pesticides p ex obligation d pandage mod r autorisations d utili sation 2e l limination des d chets p ex interdiction d liminer dans les gouts et les ordures m nag res obligation de reprise pour le vendeur lieux de collecte publics des m thodes permettant de d tecter dans l eau des concen trations de substances nocives d environ 0 1 ug l devraient tre fournies par les producteurs en m me temps que les mati res actives autoris es ou ult rieurement la prise en compte non seulement des avantages que procurent ces substances pour les utilisateurs mais aussi des co ts conomiques et sociaux r sultant de l limination de ces substances p ex en raison de l indispensable filtration sur charbon actif dans les usines de distribution d eau potable un soutien par une directive communautaire concernant la mise sur le march de produits phytosanitaires autoris s par la CEE actuellement en projet adaptation permanente des autorisations des produits phyto sanitaires en fonction des connaissances scientifiques les plus r centes Mesures techniques 2 1 Mesures pr visionnelles Dans le cadre de proc dures de remembrement rural des change ments de la disposition des champs pouvant servir la protec tion des eaux sont p ex possibles Retirer de l utilisation agricole les zones prot g es et
15. ortants autorisation partir d une certaine taille minimale permet trait de ma triser une source notable de la pollution des eaux la production d excr ments d animaux est certes ponctuelle mais l pandage agit comme une pollution diffuse Enfin des quantit s maximales pour l pandage de lisier par hectare de surface agricole devraient tre fix es p ex lisier de 2 unit s de gros b tail UGB par hectare 3 4 Politique fiscale II est en principe possible de r duire l apport de nitrates dans les eaux en pr levant un imp t ou une taxe sur les engrais commerciaux Si le prix de l azote double on s attend une r duction de 16 de l utilisation de N en Allemagne li e ce pendant moyen terme une r duction d environ 40 des b n fices d exploitation Une appr ciation analogue est envisager en ce qui concerne une taxation des produits phytosanitaires PSM cependant il n est pas possible que pour l efficacit des mesures phytosanitaires une Valeur seuil ne soit pas atteint L alternative allant dans le sens de la protection des eaux serait de se rabattre sur PSM sans limitations d utilisations p ex obligation W en D et listes noires blanches en NL qui en g n ral sont cependant beaucoup plus ch res Des co ts suppl mentaires jusqu concurrence de 500 DM ha peuvent r sulter pour les diff rents secteurs d application Les exp riences faites en Su de et en Autriche avec la taxation des
16. sit n ont lieu qu plus long terme et dans le cas d une ba sse nette des prix r els la production Pour des raisons politiques et conomiques sup rieures notamment de politique sociale r gionale et relative l alimentation une telle politique radicale et long terme de baisse des prix serait cependant suspecte La possibilit de la politique des prix d exercer une action de protection sur l environnement s av re donc tr s limit e court terme Des produits agricoles obtenus sans danger pour l envi ronnement notamment des produits de l agriculture bioc cologique pourraient tout de m me tre encourag s plus fortement par la politique de march Des relations de prix fix s habilement per mettraient de parvenir une organisation plus productive de la rotation des cultures et de r duire un peu la n cessit de pro tection chimique des plantes et de fertilisation p ex prise en compte plus importante des l gumineuses En cas de surproduction une politique des quotas de production men e nergiquement permettrait galement d aboutir une r duction de l ensemble de la pollution due aux apports dans les eaux surtout si lors de la r partition des quotas on prenait galement en compte des aspects de la protection de l environnement 3 3 Politique de protection contre les immissions Un renforcement des prescriptions relatives la construction et au fonctionnement d installations avec des cheptels imp
17. ssellement ruissellement et rosion du sol ainsi que la volatilisation poursuite de la mise au point et optimisation de m thodes d tude du sol production v g tale la fertilisation en fonction des besoins des plantes et du potentiel du site la fertilisation aux p riodes ad quates prise en compte des conditions atmosph riques de l tat du sol de la plantation la poursuite de la mise au point de m thodes destin es l tablissement de bilans et de pr visions permettant de mieux calculer l apport d engrais la poursuite de la mise au point de m thodes de traitement et d pandage du lisier la production d aliments du b tail avec meilleure r partition des teneurs en nutriments la mise au point de m thodes de transformation des fumiers de ferme en engrais commercial application des r sultats de la biotechnologie l am lioration des techniques d application des produits phytosanitaires et des pesticides afin de r duire de mani re significative les quantit s de substances actives pandues l utilisation satisfaisante pour l environnement de produits phytosanitaires et de pesticides compte tenu du principe du seuil de nocivit la mise au point de nouveaux produits phytosanitaires et pesticides tol rables pour l environnement la d termination des seuils de nocivit pour les diff rents produits des champs 5 Remarques finales Par ces mesures de protection des eaux qui correspondent
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