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REVUE EUROPÉENNE DU DROIT SOCIAL - RevueEuropeenne

1. Derni rement est apparu un nouveau terme patrimoine b ti Il est employ propos de a conservation de monuments et divers b timents historiques pendant une longue p riode de temps Les sites historiques attirent g n ralement un ensemble d individus compos de visiteurs locaux et internationaux mais la plupart sont des visiteurs locaux li s l histoire et la culture du pays respectif Pour cette raison il est n cessaire de reconna tre le tourisme du patrimoine comme un l ment du tourisme culturel En synth se nous pouvons affirmer que le tourisme culturel comprend l ensemble des touristes qui un moment concret visitent une attraction ou un site culturel La soci t contemporaine reconna t de plus en plus largement le r le de la culture et du patrimoine historique en tant que motivation touristique mod le de comportement et support motionnel Les donn es statistiques des derni res ann es illustrent le d veloppement acc l r du tourisme culturel dans l ensemble des activit s touristiques On consid re que les participants au tourisme culturel s journent plus longuement dans le pays de destination voyagent plus fr quemment et participent bien davantage de visites que les autres touristes 3 Parusheva T Le tourisme culturel alternative de la mondialisation Editions Avangard Prima S 2009 p 223 25 Revue europ nnee du droit social Synergie entre culture et tour
2. The United Nations Convention Against Transnational Organized Crime Palermo 2000 adopted by the General Assembly of the United Nations on 15 November 2000 3 The Council Framework Decision 2001 1220 JHA dated 15 March 2001 139 Revue europ nnee du droit social In reference to trafficking the notion of victim is explained both in the Protocol to prevent suppress and punish trafficking in persons especially women and children supplementing the United Nations Convention against Transnational Organized Crime Palermo 2000 which is supplemented by three Protocols the Protocol against trafficking in persons which came into force on 25 December 2003 the Protocol against the smuggling of migrants by land air and sea which came into force on 28 January 2004 and the Protocol against the illicit manufacture of and trafficking in firearms which came into force on 3 July 2005 and in the text of The Council of Europe Convention on action against trafficking in human beings reserved to trafficked persons The art 4 of The Council of Europe Convention said that Victim shall mean any natural person who is subject to trafficking in human beings as defined in this article In the Article 2 we can read the Convention s Scope This Convention shall apply to all forms of trafficking in human beings whether national or transnational whether or not connected with organized crime Article 3 Non discrimination principle The i
3. Another conduct constitutes a criminal offence in the collection transport recovery or disposal of waste including the supervision of such operations and the after care of disposal sites and including actions taken as a dealer or a broker waste management which causes or is likely to cause death or serious injury to any person or substantial damage to the quality of air the quality of soil the quality of water or to animals or plants The fight against maritime pollution through criminal law in the background of the disaster of the tanker Prestige off the coast of Galicia in November 2002 highlighted the urgent need for joint European Union action against ship source pollution The above mentioned Framework Decision on environmental criminal law that was to be adopted approximately at the same time did not address specifically this issue Political statements of the European Council were unanimous in calling for the rapid adoption of an European Union legislative framework In addition to proposals for technical regulations the Commission presented therefore in spring 2003 two proposals on offences and sanctions one for a Directive based on Article 80 TEC the rules on the common transport policy and one for a Framework Decision based on Articles 31 and 34 TEU which form a unity The discussions for both instruments were difficult The Framework Decision 2005 667 JHA to 18 Strafgesctzb ch 33 Aufflage 1999 Beck Texte in D
4. LEGISLACI N EUROPEA Resoluci n del Consejo de 27 de Noviembre de 2009 relativa a un marco renovado para la Cooperaci n Europea en el mbito de la juventud 2010 2018 C311 de diciembre de 2009 p 1 Comunicaci n de la Comisi n al Consejo al Parlamento Europeo al Comit Econ mico y Social y al Comit de las Regiones Juventud en Movimiento COM 2010 477 final Comunicaci n de la Comisi n EUROPA 2020 Una estrategia para un crecimiento inteligente sostenible e integrador e integrador COM 2010 2020 LEGISLACI N NACIONAL LEY ORG NICA 6 2001 de 21 de diciembre de Universidades Bolet n Oficial del Estado BOE de 24 de diciembre de 2001 LEY ORG NICA 4 2007 de 12 de abril por la que se modifica la Ley Org nica 6 2001 de 21 de diciembre de Universidades Bolet n Oficial del Estado BOE de 13 abril de 2007 Ley 14 2011 de 1 de junio de la Ciencia la Tecnolog a y la Innovaci n Bolet n Oficial del Estado BOE de 2 de junio de 2011 153 CONSIDERATIONS REGARDING NATURAL LAW PRINCIPLES IN MEDIEVAL EUROPE SYSTEMIC APPROACHES TO LAW Claudiu Ramon D Butculescu Ph D Acad Andrei R dulescu Institute for Legal Research Romanian Academy Abstract Evolution of the law may undoubtedly vary according to its main divisions Thus if private law is based on immutable principles founded on the principles of subrogation and universal balance public law and in principle the penal law is a legal sub sy
5. est un lubrifiant il favorise et supporte la coop ration et la mobilit sociale Il est constitu d acquaintances amis d amis ancien camarade d universit etc mobilisables en certaines circonstances afin d avoir acc s divers types de ressources pouvant s av rer rares information quant une offre d emploi par exemple Nous pouvons extrapoler ces deux notions d signant ce qu est le capital social sur les listes de contacts constitu es sur les RSP Deux questions sont alors poser les relations constitu es sur un RSP entrent elles dans l une de ces deux cat gories Constituent elles un terrain favorable aux mobilit s professionnelles Derri re les usages consistant cr er des relations en ligne il y a des structures relationnelles qui se dessinent Selon le r gime d usage de l utilisateur son r seau va emprunter diff rentes formes Les utilisateurs exploitant ces outils dans une d marche principalement exploratoire qui consiste inviter un grand nombre de contacts sans avoir de certitude quant l utilit de ces derniers vont disposer de contacts diversifi s car appartenant diff rents milieux socioprofessionnels 12 Putnam 2000 127 Revue europ nnee du droit social D autres au contraire vont utiliser des crit res de s lection tr s pr cis Ces derniers l oppos disposent de r seaux plus denses et homophiles La structure ci dessous est
6. faire ressortir les exp riences communes qui les r unissent Par ailleurs le collectif est renforc par les mobilisations qui se pr sentent comme des moments forts dans la constitution du groupe ouvrier Les mobilisations sont v cues comme des moments conviviaux qui sont le lieu d une sociabilit accrue et de pratiques collectives D accord et juste par rapport aux mobilisations y avait une bonne ambiance Oui oui voil a durait quelques mois puis apr s a retombait a redonne des liens entre les gens avec les barbecues qu on faisait dehors Richard Michel Verret met en avant le caract re convivial des moments de contestation F tes d occupation d usine inaugur es en 936 avec les drapeaux les flons flons les fleurs en papier les chansons les buvettes Ou f tes de gr ves qui sont aussi des moyens de popularisation d guisements d fil s satiriques humour insolence ce qu on a pu rire Par ailleurs comme l explique M Ragon dans une table ronde sur le monde ouvrier ces moments exceptionnels sont la plupart du temps l occasion de l engagement de l adh sion C est donc un contexte tr s particulier qui se cr e lors des mobilisations Ce contexte est dans le m me temps le terrain de pratiques collectives et celui d un regain d engagement et d adh sion syndicale Conclusion La crise conomique actuelle ne fait que prolonger et renforcer les craintes d
7. l unit des m nages sont affect s aux individus Le r sultat escompt de la moyenne des nouveaux poids individuels pour l ELIM est bien l unit Les estimations sur la structure de la population selon un crit re sp cifique garde donc un caract re g n ral Seules les unit s d ges r volus compris entre 15 et 65 ans sont consid r es Dans toute la mod lisation ces pond rations individuelles resteront inchang es uniquement pour les analyses s par es des pays et des variables seront codifi es Pour l analyse comparative on reviendra sur le cas du Cameroun en affectant 99 Revue europ nnee du droit social aussi aux individus le poids du m nage dans lequel il appartient Ceci est fait dans l optique d harmoniser le calcul des pond rations ce 1 2 Typologie des individus par les conditions de vie L ACM est faite s par ment sur les deux populations L objectif tant d abord de comparer ces populations l approche optimale aurait t de faire un syst me de pooling17 dans lequel les individus de chaque pays devaient tre localis s au moyen d une variable additionnelle comme le pays par exemple Seulement le d calage temporel est de 5 ans La classification mixte SEMIS permet d tablir les regroupements des individus par rapport leurs ressemblances apr s PACM Elle utilise les coordonn es factorielles obtenues de ACM chaque it ration pour faire des affectations Cette m
8. g s d un autre c t les travailleurs sur la n cessit de travailler plus longtemps 4 Les enseignements de l tranger Les carts importants entre les pays en mati re de taux d emploi des seniors font l objet de nombreuses analyses Si certains pays d Europe du Nord d finis comme mod le en la mati re ont proc d des r formes qui se caract risent par une approche globale du march du travail combinant des mesures incitatives et coercitives ils auraient surtout d velopp une culture de maintien au travail l oppos d une culture de la sortie pr coce caract ristique des pays d Europe continentale C est ainsi que Guillemard qualifie ces pays o les options retenues auraient produit des cultures de l ge D s lors la participation au march du travail en seconde partie de carri re doit tre saisie comme un construit social Elle r sulte du r seau d interd pendances entre difices normatifs politiques de protection 22 TADDEI D 2000 Retraites choisies et progressives Rapport du Conseil d Analyse Economique n 21 Paris La Documentation fran aise 63 Revue europ nnee du droit social sociale et d emploi et syst mes de relations professionnelles tous l ments qui conf rent la participation au march du travail sa sp cificit soci tale Certains travaux se sont focalis s sur les politiques d emploi des seniors des pays d Europe
9. g s la pr pension mi temps supprim e en 2012 mais toujours effective pour les personnes en b n ficiant la fin de 2011 le cr dit temps et l interruption de carri re temps partiel ou encore le cr dit temps fin de carri re 17 Ibid p 15 18 Ibid p 106 12 GUILLEMARD A M 2003 L ge de l emploi Les soci t s l preuve du vieillissement Paris Armand Colin 22 CSE 2011 Rapport annuel 2011 Bruxelles p 17 61 Revue europ nnee du droit social Afin d encourager les employeurs maintenir et recruter une main d uvre plus g e ou encore lui procurer du travail d autres mesures existent r duction des cotisations patronales et plan ACTIVA r duction du co t salarial d un travailleur g outplacement reclassement professionnel compl ment de reprise du travail r gime de vacances seniors Enfin rappelons que r cemment deux nouvelles mesures ont t prises par le gouvernement le plan annuel pour l emploi des travailleurs g s de 45 ans et plus obligatoire depuis le 1er janvier 2013 et l obligation pour l entreprise de respecter la pyramide des ges du personnel lors d un licenciement collectif La premi re mesure exige que chaque entreprise comptant au moins 20 travailleurs tablisse un plan pour ses salari s de 45 ans et plus en y indiquant quels efforts seront consentis pour les maintenir en emploi voire pour en recruter d autres La seconde mesure st
10. ici 2010 Projet r alisable ou v u pieux de philanthrope Pour peu que le projet ne soit pas remis aux calendes grecques c dant sous le poids de l attrait conomiques des nergies conventionnelles Il faudrait d j songer l apr s hydrocarbures qui va certainement se passer pendant ce si cle L apr s p trole passe obligatoirement par les nergies renouvelables Et il faut s y mettre d s maintenant Conclusion L conomie alg rienne est stabilis e et a r alis ses quilibres macro conomiques Seulement elle souffre d importantes fragilit s au niveau de son tissu d entreprises faible diversification faible performance des entreprises tissu conomique fragment Depuis le premier plan d ajustement structurel sous la couverture du FMI en 1974 l objectif de stabilisation macro conomique a t atteint Il est temps d aller vers des politiques de l entreprise plus rigoureuses D autant plus qu la vue des r serves p troli res prouv es du rythme de production actuel et des prix projet s sur le march l Alg rie disposerait de plusieurs milliards de dollars de surplus p trolier sue les 15 20 prochaines ann es qu il faudrait utiliser rationnellement pour construire l avenir du pays 174 Revista european de drept social Pour sortir de cette orni re le pays a besoin d un projet conomique d envergure dont nous avons rappel les diff rentes actions mener
11. infirmi re sp cialiste sera dispens e de la mobilit vers d autres services Si la r ponse est n gative les exceptions n tant donc pas admises il faudra alors constater un g chis de comp tences M me si l on pr tend que la pluralit de sp cialisations et d exp riences re transforme l infirmi re en g n raliste de haut niveau Le besoin d une polyvalence des infirmi res a d j conduit supprimer la sp cialisation psychiatrique autrefois propos e d s l entr e l IFSI La polyvalence propre l infirmi re se trouve compl t e par l accompagnement et par les protocoles L accompagnement r sulte des avis et conseils dispens s par les soignants du service d accueil leur coll gue rempla ant Il a donc lieu au jour le jour En revanche les protocoles sont intemporels ce sont souvent des recommandations crites sur un acte professionnel pr cis D apr s les chos qu un cadre de sant tient d une infirmi re l un des obstacles la mobilit serait le mauvais accueil re u Il arriverait que les coll gues trouv s sur place s attendent ce que le rempla ant soit automatiquement op rationnel Il y a de leur part un manquement la confraternit notamment par un tel discours ben cet infirmier il n y conna t rien notre service il va me retarder dans mon travail a ne va pas aller L id al serait des coll gues re oivent la nouvelle infirmi re avec bienv
12. l instar d autres pays europ ens engranger des r sultats significatifs en termes de taux d emploi des 55 64 ans toujours inf rieur la moyenne europ enne Pourtant la politique d activation de l emploi des seniors s articule tant sur l offre de travail en s adressant aux salari s outplacement syst me de r duction du temps de travail en fin de carri re bonus pensions etc que sur la demande de travail en voulant activer l entreprise plans de gestion active des restructurations syst mes de r duction de charge etc Le Pacte des g n rations et les diff rentes initiatives men es ces derni res ann es visaient bien une augmentation significative du taux d emploi des 55 64 ans en rendant plus restrictive une sortie anticip e du march du travail et en sollicitant maints gards et notamment sur le plan financier les entreprises et les travailleurs Certes des questions restent en suspens propos de la difficile coh rence des mesures entre elles fragment es et contournables de la coh rence temporelle des politiques visant au rel vement de l ge effectif de d part en retraite ou encore propos de la priorit donn e une action sur l offre ou sur la demande La r flexion sur les conditions d un allongement de la vie professionnelle et du maintien en emploi des seniors interroge aussi le comportement et les repr sentations des employeurs l
13. par les membres En effet lorsqu on interroge les jeunes dipl m s inscrits sur Viad o sur la mani re dont ils ont trouv les diff rents contrats qu ils renseignent ces derniers n invoquent pas la plateforme Ils privil gient plut t ces autres relations potentiellement pr sentes sur la plateforme mais le plus souvent mobilis es par des moyens plus traditionnels Par ailleurs ils renvoient aussi r guli rement un processus de candidature typique 13 Pov da 2012 129 Revue europ nnee du droit social Le r le des institutions de formation est central pour comprendre l ambivalence des usages des r seaux sociaux professionnels en ligne D abord elles jouent aussi le jeu de ces nouveaux interm diaires qui s ils semblent n intervenir que marginalement dans l insertion professionnelle se font le relais promotionnel de ces r seaux et font sens pour les jeunes dipl m s Ensuite pour certaines de ces structures en particulier pour les Ecoles et les formations du priv le r seaux des Anciens est traditionnellement bien ancr dans leur fonctionnement Ces r seaux en relayant des appels d offres parfois exclusives l Ecole du fait de partenariats et en favorisant la circulation d informations professionnelles de mani re privil gi e ont le m me r le que les interm diaires du march du travail m me si le processus se joue en interne Ainsi se d gagent trois grands acteurs pesant sur la r gu
14. t invit e rappeler rapidement Pire que d cider si l infirmi re dit ne pas pouvoir aller travailler En principe un soignant qui est a son domicile n a pas d ordre recevoir de sa hi rarchie Donc aucune cons quence ne devrait tre d plor e son encontre En r alit le cadre de sant proc de la notation des agents chaque ann e Il est presque s r qu il saura se souvenir de la bonne ou de la mauvaise volont des agents Juridiquement parlant ce serait un d tournement de pouvoir si l agent pouvait prouver la ranc ur de son chef Au fond le cadre de sant songera plus r compenser les infirmi res qui se d vouent Bien souvent ce sont les m mes infirmi res que l on se croit autoris appeler en cas de probl me de remplacement impromptu La cons quence est la perturbation de la vie familiale et sociale des int ress s lesquels ne peuvent programm s d v nements avec certitude B La peur de Vinsuffisance professionnelle en cas de mobilit interne L infirmi re qui doit aller occuper un poste nouveau craint juste titre de ne pas tre imm diatement op rationnelle Or ses prestations tant lorgn es elles peuvent ensuite lui valoir des remarques d sobligeantes particuli rement en cas d accident para m dical l humiliation et au remords endur s s ajoute ventuellement la r vocation pour insuffisance professionnelle H las des infirmi res manquent parfois
15. 2 Les co ts des march et des r alisations les r valuations successives des projets souvent scandaleusement gonfl s impliquent des transferts indus et de tr s s rieux soup ons Comment expliquer que l Alg rie ait r alis en 2003 un taux de croissance avoisinant les 7 6 8 avec un taux plus faible en importations 12 milliards de dollars alors qu avec plus du double on n arrive plus qu 3 2 de taux de croissance du PIB Un taux faible que m me la banque mondiale a pudiquement zapp dans les statistiques de son rapport annuel 2010 Ce qui fait craindre le pire pour 2010 puisque selon les projections du FMI les importations augmenteraient de 37 par rapport 2007 pour atteindre 37 7 milliards de dollars M me avec ce niveau d importation et les effets n fastes de la baisse du dollar par rapport l euro le r glement anticip de la dette ext rieure le solde de la balance des paiements est rest positif Ces r sultats ont conduit une augmentation des r serves de change qui ont atteint un niveau record la fin 2007 pour d passer la barre des 205 milliards de dollars Ces r sultats sont dus essentiellement la mono exportation d hydrocarbures Mais gare au retour de manivelle si les prix ont d pass le seuil des 100 dollars le baril ils risquent de fl chir tout moment Reste la d pendance alimentaire du pays car tout ou presque tout est import et surtout des prix prohibitifs
16. 58 ans pension anticip e 60 ans pension l gale 65 ans Nous pr sentons dans la section suivante ces dispositifs ainsi que les mesures en faveur de l emploi des travailleurs g s 2 2 Le contexte institutionnel En Belgique outre le r gime de pension l gal accessible l ge de 65 ans plusieurs syst mes de retrait anticip existent et permettent aux travailleurs de quitter le march du travail avant d avoir atteint l ge l gal de la pension Il s agit du r gime de ch mage avec compl ment d entreprise l ancienne pr pension conventionnelle accessible partir de 60 ans du statut de ch meur g non demandeur d emploi les personnes g es de 58 ans et au ch mage peuvent tre lib r es de l obligation de recherche d un emploi du cr dit temps temps plein ou de l interruption de carri re compl te et enfin du statut d invalide personne d clar e en incapacit de travail En 2011 environ 60 des personnes g es entre 60 et 64 ans ont recouru l un de ces r gimes de sortie anticip e Toutefois Depuis 2000 ces pourcentages ont clairement diminu sous l effet du durcissement des conditions d acc s la pension pour les femmes au r gime de ch mage avec compl ment d entreprise et au statut de ch meur g non demandeur d emploi D autres dispositifs ont galement t mis en place pour maintenir plus longtemps au travail les travailleurs
17. Marty 2011 p 36 8 Vermeiren J et Verdonck B D veloppez votre r seau et communiquez sur Linkedin P le Emploi Trouver un emploi avec Internet P le Emploi Trouver un emploi avec Internet Accessible l adresse suivante http www pole emploi fr file mmlelement pj c9 2a f3 2e guidepratiqueinternet49963 pdf 10 Flichy 2008 p 164 125 Revue europ nnee du droit social gt Les 4 tapes cl s pour int grer un r seau social professionnel sur Internet O S inscrire Compl ter son profil Consulter ceux des autres membres en fonction de ses int r ts communs tablir des contacts et les entretenir Pour tre s r que votre profil sera consult vous devez le compl ter en indiquant parcours exp riences savoir faire sp cialit s loisirs Pensez aussi mettre une photo car les profils avec photo sont quatre fois plus consult s que les autres Vous pouvez galement mettre des liens vers une page personnelle ou demander des contacts d crire un t moignage sur vous Viadeo par exemple est le plus important R seaux les erreurs viter Ne confondez pas qualit et quantit N acceptez pas syst matiquement les demandes de contacts surtout si elles viennent de personnes que vous ne connaissez pas N envoyez pas d invitation une personne que vous ne connaissez pas sans motiver votre d marche professionnelle Ne souscrivez pas syst matique
18. Moins de 2 d exportation hors hydrocarbures pour 2011 2012 Le blocage tant donc d ordre syst matique fautes d entreprises performantes du fait d un environnement hostile bureaucratie syst me financier contraignant probl me du foncier Cela explique que le taux de croissance soit un des plus faibles en Afrique et au Moyen Orient croissance faible tir e par les d penses publiques segments BTPH services via les hydrocarbures comme en t moigne la dominance de la fiscalit p troli re au sein des recettes budg taires des r serves de change de plus de 100 milliards de dollars fin 2007 en r alit 53 milliards d euros dont pr s de 50 plac s l tranger avec la d pr ciation du dollar par rapport l euro de pr s de 50 entre 2000 2007 soit 98 de nos exportations en dollars et plus de 60 de nos importations en euros En conclusion il s agit d viter de recourir a des solutions compromettantes comme le retour l Etat gestionnaire fondamental dans la vie conomique qui constituera coup s r un frein pour les r formes entreprises jusqu ce jour L Alg rie devra s adapter imp rativement aux nouvelles mutations mondiales pour un retour la croissance hors hydrocarbures afin de pr server le pouvoir d achat travers une v ritable efficacit gouvernementale Et ce afin de mettre fin ce paradoxe Alg rie un pays riche mais une population pauvre R f ren
19. Non seulement les femmes au Cameroun sont autant actives que les hommes mais leur comportement d activit n est pas g n par une vie en couple Cependant l impact n gatif de la pr sence d un enfant de moins d un an sur la probabilit qu une femme soit active peut repositionner les d bats Par contre ces r sultats sont tous l oppos sur la population malienne En couple les hommes sont bien plus actifs que les femmes La th orie f ministe devrait tre plus pr cise dans les choix d occupation des femmes 112 Revista european de drept social 1 4 2 D terminants de l offre de travail Les mod les d offre de travail ont t construits de fa on sp cifique selon la disponibilit des donn es Ainsi les r sultats sur le Cameroun sont plus fins que ceux sur le Mali 1 4 2 1 Capital humain et offre de travail Si l offre de travail des femmes camerounaises est aujourd hui abondante c est en partie cause de la bonne r mun ration de leur capital humain En effet les diff rences de niveaux d instruction expliquent les positions des unes et des autres dans l emploi au Cameroun La fin des tudes secondaires semble tre aujourd hui un minimum pour une femme si elle d sire am liorer ses chances de travailler dans le secteur public ou priv Ainsi les politiques de recrutement des femmes dans les secteurs public et priv a priori plus s curis s sont plus en faveur de celles q
20. de la distribution des cartes de visite l envoi de cartes de v ux de fin d ann e Le terme r seautage en ligne ne d signe donc pas un r pertoire de pratiques propres l usage de RSP Il est davantage une nouvelle cat gorie du langage commun que l utilisateur s approprie pour sa capacit d signer certains usages des r seaux num riques de m me que certains comportements et artefacts relationnels qui restaient jusqu pr sent sans nom Alors que cette cat gorie offre aux utilisateurs une prise intellectuelle sur des pratiques constitutives de leurs vies professionnelles elle est un pi ge particuli rement redoutable pour l analyse se pr tendant objective Comprendre les dynamiques soci tales qui la sous tendent semble donc tre un imp ratif Le capital social comme grille de lecture quelles externalit s du r seautage en ligne Robert Putnam dans son tude portant notamment sur la transformation du lien communautaire aux Etats Unis propose d approcher le capital social selon deux entr es Il y aurait d une part ce qu il nomme le bonding social capital et d autre part le bridging social capital Le premier est ce qu il nomme une colle sociologique il regroupe les relations auxquelles il est possible de faire appel en cas de probl mes personnels ou qu il est possible de solliciter par exemple pour un pr t financier Le second le bridging social capital
21. est qu une exag ration de la peur de l incomp tence En outre les malades ne p tissent nullement ni directement ni imm diatement de l itin rance des infirmi res L une d elle avoue Les premi res fois o j allais dans de nouveaux services j tais stress e les jours d avant Par contre plus les mois passaient comme c tait des services qu au final j avais d j faits a devenait automatique Par ailleurs confie un cadre de sant certaines infirmi res trop angoiss es et donc r fractaires son dispens es de la mobilit La raison dit un cadre est que on ne va pas mettre un agent en difficult Par exemple sans doute y chappe cette infirmi re qui disait que maintenant si on me dit tu dois aller aux urgences a m apporte rien que m emb ter et de l anxi t Comme c est la qualit des soins prodiguer qui pr occupe les soignants une infirmi re qui parle des remplacements en cardiologie commence par constater la difficult de cette discipline pour elle Ne la ma trisant pas ajoute t elle donc c est plus angoissant c est plus stressant Apr s c est vrai que a se passe bien quand j y vais Mais c est vraiment de la mobilit ponctuelle Une autre infirmi re dit je n ai pas vraiment envie d aller voir ailleurs Si voir ailleurs mais pas n cessairement tre polyvalente Je veux dire comme devoir partir dans des services de pointe moins d tre doubl e Il y en a
22. et plus particuli rement sa facult de droit et sp cialement son cercle d herm neutique juridique et le centre Robertiaunum de droit priv anim s par Monsieur le professeur Valerius Ciuca juge honoraire au tribunal de l Union Europ enne la facult de droit et de sciences juridiques sociales et politiques de l universit Valahia de Targoviste Roumanie l universit du 1 er d cembre 1918 Alba lulia Bucarest Roumanie l Universit POLITEHNICA de Bucarest Roumanie 1 Acad mie d Etudes conomiques de Bucarest Roumanie l Universit Libre de Bruxelles ULB l Universit de Li ge Belgique l Universit conomique de Sofia Bulgarie Universit d conomie nationale et mondiale Sofia Bulgarie ou qui esp rent le devenir bient t ISAM Moldavie ou y sont ext rieurs universit de management et d conomie de Saint Petersburg Russie Avec aussi une pr sence du Maghreb et de l Afrique E S T Safi kadi Ayyad universit Marrakech Maroc Facult de Sciences Juridiques conomiques et sociales Rabat Agdal Maroc universit de Tunis et africaines avec une participation de IGAC Institut de la gouvernance en Afrique centrale Cameroun et l universit catholique de Bertoua Cameroun dont les responsables n ont qui malheureusement n ont pas pu tre pr sents physiquement en raison de probl mes de visa Marc Richevaux Dan Top Directeur de publication R dacteur en chef Suivre de num ro 1
23. faible entre le niveau d instruction et l alphab tisation En zone rurale il n est pas isol d observer des individus de niveau primaire ou ayant d but le secondaire qui sont class s analphab tes Ce r sultat peut susciter des interrogations sur la qualit des donn es ou d autres explications Au Mali les variables d crivant la condition de vie sont faiblement discriminantes En fait l usage des outils de communication par les individus n ont pas un fort pouvoir de discrimination Il est donc n cessaire de s int resser aux techniques de collecte de ces informations capitales dans l analyse Conclusion et recommandations Cette tude avait pour but d analyser les facteurs qui conditionnent l entr e des femmes sur le march du travail dans deux pays notamment le Cameroun et le Mali Aussi il a t jug int ressant d analyser les comportements d offre de travail de ces derni res de fa on sp cifique L tude s appuie sur trois th ories de la litt rature qui ont t formul es sous forme d hypoth ses soient la th orie du capital humain la th orie des strat gies de survie et les th ories f ministes de l conomie du travail La v racit de ces hypoth ses a t test e et ces hypoth ses 115 Revue europ nnee du droit social cadrent bien avec l ensemble des comportements de participation des femmes dans les deux pays La localisation est un premier obstacle dans l
24. faute de r ussir appr hender les param tres externes influant sur l volution des besoins Elle s inscrit donc principalement dans le cadre des modes de fonctionnement et d organisation existants 2 1 R formes des retraites r sistance la mobilit interne ou externe contrainte financi re constituent autant de freins pour mettre en place une gestion pr visionnelle des recrutements Plusieurs facteurs rendent difficiles l anticipation des besoins et la mise en uvre d une gestion pluriannuelle des recrutements Les d parts la retraite sont devenus d licats pr voir en raison des r formes successives et de l incertitude qu elles entra nent chez de nombreux agents M me de grandes collectivit s se d clarent incapables de pr voir les d parts la retraite plus de 8 10 mois En outre il peut exister une r elle concurrence entre collectivit s sur un bassin d emploi ou sur le plan national que ce soit pour l encadrement sup rieur ou les secteurs sensibles dans lesquels les candidats comp tents peuvent tre rares au regard de la demande notamment pu riculture social et m dico social voirie finances publiques juridique en particulier Or ces difficult s de recrutement sectorielles seraient plus faciles surmonter par des efforts d anticipation notamment gr ce des pr visions pluriannuelles Des partenariats avec des tablissements d enseignement ou de formation apparaissen
25. mais c est la loi m me si elle est assez p nible ind pendamment de sa teneur De nouveau Cic ron Legum servi sumus ut liberi esse possimus Nous sommes esclaves des lois pour pouvoir etre libres sens la libert des uns s arr te o la libert des autres commence en m me sens J J Rousseau amp Thomas Hobbes Leviathan contre toute interpr tation stricto sensu de la loi contre tout formalisme juridique excessif contre l interpr tation ad litteram pour une interpr tation plus large contextuelle organique multipolaire et ouverte exempli gratia la r habilitation post mortem voir mon article de la Revue roumaine de droit 1998 voir aussi Celui qui se fait ver dit Kant peut il se plaindre d tre cras la loi humaine rigide et la loi naturelle lastique aequitas contre toute inflation normative Carbonnier Voir aussi Portali Discours pr liminaire apud M Messenet texte sur Internet apud Valerius M Ciuca Euronomosofia On gouverne mal quand on gouverne trop Un homme qui traite avec un autre homme doit tre attentif et sage il doit veiller son int r t prendre les informations convenables et ne pas n gliger ce qui est utile L office de la loi est de nous prot ger contre la fraude d autrui mais non pas de nous dispenser de faire usage de notre propre raison S il en tait autrement la vie des hommes sous la surveillance des lois ne serait qu une longue et honteuse minor
26. me descente des ordres et remont e des compte rendu repose sur deux principes Il s agit pour les subordonn s du devoir d ob issance et pour les chefs il s agit du devoir de commandement La mobilit interne a des chances de pouvoir s appliquer dans la mesure o les fonctionnaires doivent ex cuter tous les ordres directs qu ils re oivent de leurs sup rieurs hi rarchiques Leur obligation d ob issance n est att nu e que si deux conditions se cumulent D une part le caract re manifestement ill gal de l ordre re u puisqu il porterait atteinte un int r t public D autre part les cons quences de l ex cution de l ordre apparemment ill gal doivent s av rer irr versibles c est dire sans possibilit de retour en arri re Dans cette optique le droit de retrait permet aux agents de ne point accomplir une mission qui mettrait en jeu leur vie ou leur s curit Naturellement un ordre de porter atteinte la vie d autrui est indiscutablement illicite tout aussi indiscutable est le fait que l on ne peut ressusciter un mort En cas de doute sur la valeur juridique de l ordre ou sur le caract re d finitif de ses effets l agent devrait toujours s ex cuter Car il encourt la r vocation pour refus d ob ir un ordre direct Ici intervient d ailleurs l aptitude de la hi rarchie donner des vrais ordres 86 Revista european de drept social Du moment que le remplacement
27. p riode de vacances seniors le b n ficiaire a droit une allocation de vacances senior charge de ONEM Gestion active des restructurations depuis l arr t royal du 9 mars 2006 lorsqu une entreprise est reconnue comme tant en restructuration l employeur est dans l obligation de cr er une cellule pour l emploi laquelle tous les travailleurs de plus de 45 ans ayant au moins un an d anciennet et licenci s dans le cadre d un licenciement collectif devront participer La mission de la cellule pour l emploi est d accompagner les travailleurs licenci s dans la recherche d un nouvel emploi Les travailleurs qui participent la cellule pour l emploi ont droit une indemnit de reclassement Prime pour le passage d un travail lourd un travail l ger depuis le 30 avril 2010 un travailleur salari de 50 ans et plus qui passe sa propre demande et chez le m me employeur d un travail lourd depuis au moins 5 ans un travail plus l ger et qui subit suite cela une perte de revenus brute d au moins 260 08 par mois peut pr tendre une prime de passage Le travail lourd est d fini comme celui que le travailleur lui m me consid re comme trop lourd au vu de ses capacit s Le travail plus l ger concerne une fonction que le travailleur consid re comme adapt e ses capacit s Cette mesure ne peut tre utilis e qu une seule fois Envoi Automatique de l Estimation de pensio
28. par les seuls agents sous statut de fonctionnaire et les emplois publics locaux demeurent particuli rement convoit s 4 1 Un recrutement assez largement orient sur des agents contractuels En application des dispositions des articles 3 3 4 de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 les emplois publics se r partissent en emplois permanents occup s par des agents titulaires et en emplois temporaires occup s par des agents contractuels en remplacement de titulaires Les emplois permanents peuvent toutefois tre occup s par des agents contractuels dans l attente ou dans l impossibilit de recruter un fonctionnaire soit l emploi est demeur vacant apr s une tentative infructueuse d embauche d agent titulaire soit il n existe pas de cadre d emploi correspondant cette fonction dans le statut de la fonction publique Les agents titulaires sont des fonctionnaires ou dans de rares cas des agents sous contrat de droit public dur e ind termin e Les fonctionnaires b n ficient du statut de la fonction publique territoriale ou hospitali re qui leur garantit une carri re et un emploi en principe au sein du m me organisme Ils sont recrut s librement pour la plupart d entre eux cat gorie C ou sur concours pour les fonctions d encadrement cat gorie A ou exigeant des capacit s techniques 10 Quels sont les effets de la mise en place de la gestion pr visionnelle des m tiers et des comp tences l h pital pu
29. se de l importance du r le de la femme dans le m nage au Mali est donc incontournable dans l analyse de l offre du travail Quand les femmes en couple sont actives elles sont tr s souvent contraintes de mener des activit s pr caires li es l informel Ce r sultat montre bien la pertinence de cette hypoth se dans la caract risation des choix d offre de travail des femmes au Mali Comme pour le Cameroun il s agit d un facteur inclure dans l analyse de l offre de travail malien 1 4 3 Limites de l tude Le premier facteur limitant de cette tude est le type des enqu tes utilis es En fait les enqu tes aupr s des m nages que nous utilisons ne permettent pas d appr cier la qualit de l emploi Il est primordial de collecter des informations qui pr cisent mieux la qualit de l emploi des individus Seules les enqu tes sur l emploi peuvent donner des pr cisions dans ce sens Pour pouvoir faire une analyse comparative ces enqu tes devront se faire la m me ann e dans les pays 114 Revista european de drept social d int r t En fait un d calage temporel consid rable comme dans notre cas conduit souvent la formulation d hypoth ses de comparaison susceptibles de faire une critique Dans cette tude nous supposons la stabilit de la structure du march du travail camerounais entre 2001 et 2006 malgr que 2004 fut une ann e lectorale Le cadrage macro conomique peut servi
30. sociales plut t qu aux caract ristiques individuelles En effet ce sont la zone d habitation la situation matrimoniale le lien de parent avec le chef de m nage la naissance d un enfant et la condition de vie du m nage qui distinguent les groupes des actives occup es et des ch meuses au Mali N anmoins l alphab tisation et la poursuite des tudes se sont montr es tr s discriminantes Aussi il n existe pas de sp cificit entre les actives occup es et les ch meuses au regard de l ge Les femmes des zones rurales s ins rent plus facilement que celles des zones urbaines Ceci pourrait s expliquer par l tendu et la facilit de s ins rer dans des activit s pr caires qui entrent en compte dans la formation des groupes d occupation et plus pr cis ment les activit s d aide familial De plus les femmes mari es et c libataires qui constituent les deux plus grandes sous populations selon le statut matrimonial sont les plus actives En outre le fait qu une femme soit encore en formation ne constitue pas un r el frein la participation l activit conomique La proportion de femmes inactives dans la population de femmes scolaris es est moins grande que la proportion de femmes inactives parmi les femmes n tant plus scolaris es Aussi les femmes vivant dans des conditions favorables participent plus l activit conomique que celles des m nages pauvres Contrairement aux r sultats
31. un salariat d j inqui t par la crise sp cifique de son secteur celui de l industrie crise amorc e depuis longtemps d j avant les v nements globaux actuels La faible pr sence des ouvriers sur le territoire local assortie d une 13 RAGON M La forteresse vide table ronde in AZEMAR G P dir Ouvriers ouvri res Un continent morcel et silencieux Editions Autrement Paris 1992 76 Revista european de drept social croissante imposition de normes manag riales contribuent transformer les collectifs de travail traditionnels accroitre les concurrences entre salari s affaiblir le groupe ouvrier et ce faisant alt rer les conditions de possibilit du mouvement ouvrier Malgr ces diff rents constats reste que des mobilisations mergent Elles ont pour terreau la pr sence fragile mais n anmoins r elle des syndicats sur le terrain Cette pr sence syndicale qui ne suffit pas reconstituer les collectifs est relay e par les craintes des salari s quant la perte d emploi et la d gradation de leurs conditions de travail Enfin l existence d un collectif latent fort d une exp rience professionnelle socialisatrice commune s actualise en ces circonstances sp cifiques de crise conomique 77 LA MOBILIT ET LA FLEXIBILIT DES INFIRMIERES EN FRANCE Clotaire MOULOUNGUI Docteur en droit Maitre de conf rences l Universit Lille Nord de France membre du LARJ ULCO
32. 18 2013 MAINTENANCE INDUSTRIELLE PERSPECTIVES D INSERTION PROFESSIONNELLE Jo l GEST Marc RICHEVAUX Professeur des Universit s Chef du d partement Ma tre de conf rences G nie Industriel et Maintenance Unit de Ancien responsable de la licence Gestion des Dynamique et Structure des Mat riaux ol culaires Ressources Humaines UDSMM Calais EA4476 Universit Lille Nord de Universit Lille Nord de France Universit du France Universit du Littoral C te d Opale Littoral C te d Opale IUT de St Omer Dunkerque Centre Universitaire de la Mi Voix Abstract Maintenance is defined as all actions which have the objective of retaining or restoring an item in or to a state in which it can perform its required function One can distinguish curative maintenance which consists of repairing and restoring operating industrial equipment and preventive maintenance which involves the control verify and implement actions to prevent failure The maintenance department may also be required to participate in studies to improve the industrial process and must like other departments of the company taking into account many constraints such as quality safety environment cost etc Thus the maintenance technician must not only have a good knowledge of automated systems and electrical and mechanical equipment but also skills in terms of management assessment of costs planning and animation All these skills make maintenance technicians pe
33. 1988 avec une organisation en 117 m tiers regroup s en 13 familles et un tableau de concordance m tiers grades qui d finit un d roulement de carri re pour chaque m tier Les m tiers ont en outre t cot s suivant six crit res technicit responsabilit de d cision et autonomie responsabilit hi rarchique complexit de l emploi et difficult d organisation contraintes li es au service public et l emploi niveau relationnel Une commune de taille plus r duite comme Sarreguemines a li partir de 2005 les fiches de postes et de comp tences le plan de formation l organigramme et le programme de recrutements A terme la d marche pr visionnelle implique l laboration d un r pertoire cible qui n a cependant pas t relev lors des contr les effectu s par les chambres r gionales des comptes La formation professionnelle permet de r pondre la complexit et la technicit croissantes des postes l apparition de nouveaux m tiers et l exigence accrue de qualit du service rendu Elle est d autant plus importante que pr s des 4 5 des agents territoriaux sont des agents d ex cution Or en 2009 le nombre moyen de jours de formation suivis se situait seulement 2 4 par agent territorial et par an Les actions de formation doivent proc der de la d finition d une strat gie coh rente fond e sur l analyse des m tiers et comp tences et des besoins de la collecti
34. 9 sur les 10 personnes ne disposant pas de r frig rateur dans leur domicile y sont En outre la th orie des strat gies de survie suppose alors que les membres de tels m nages se mobiliseront afin d am liorer la situation de vie des siens Ce mal tre concerne plus les ruraux On s attendrait ce que les femmes des zones rurales participent plus au Cameroun que celles des zones urbaines Si l on s int resse la composition uniquement du premier groupe on retiendra que les femmes sont autant repr sent es 49 78 que les hommes Ceci illustre bien l importance des deux groupes tous les ges dans cette classe Il y a plus d hommes que de femmes dans les groupes d ges extr mes Cependant si l on ajoute en illustratif la variable Zone d habitation la modalit rurale est quasiment confondue au centre de gravit de la classe 2 En mati re d quipement et d habitat un tel r sultat tait la moindre des choses attendre de cette classification Pour le Mali De fa on similaire la typologie des individus est faite pour le Mali Dans ce cas aussi les groupes sont tr s in galement r partis La classe 2 regroupe seulement 1 3 de la population consid r e C est le regroupement de la majorit des personnes ayant l lectricit dans leur domicile et plus de la moiti de ceux poss dant des toilettes modernes C est donc la classe des non pauvres par l approche choisie La plupart des r
35. D abord ce personnel satisfera mieux son ventuelle ambition d volution de carri re Quant au service public aussi bien de d part que d accueil il b n ficiera de profils nouveaux de fonctionnaires Au fond ces derniers se montreront souvent plus conciliants car ils voudront tre adopt s par la structure qu ils auront int gr e Par ailleurs ils auront peut tre des id es et des approches diff rentes des probl mes d o des progr s possibles dans l organisation et le fonctionnement Peut on dire que la fonction publique hospitali re l h pital pratiquera ou pratique aussi la mobilit La r ponse est oui En effet elle s y adonne depuis plusieurs ann es d j Au demeurant la mobilit l h pital prend un tour nouveau avec le regain des mutualisations des moyens des structures publiques Car l heure est la coop ration sinon carr ment aux fusions regroupements Concr tement les moyens mat riels financiers humains et juridiques sont exploit s en commun 78 Revista european de drept social C est ainsi que le personnel conjoint exerce successivement pendant une p riode convenue dans l un puis dans l autre service Une seconde possibilit d exploitation partag e est le travail du personnel dans un espace unique appartenant aux deux services Dans les deux cas de gestion des ressources humaines la mobilit des infirmi res n est pas n cessairement volontaire Elle se
36. Dunkerque Abstract French hospitals do not have enough nurses There are at least a dozen reasons for such a lack of staff To compensate for their lack of staff then they practice mobility and flexibility Indeed hospitals require nurses at rest or on leave to return to work Thus they replace a colleague of service or a nurse from another department For the moment no academic study is concerned with the consequences of such management personnel However the mobility of nurses certainly carries implications for the hospital patients and caregivers themselves To understand the phenomenon context advantages disadvantages health professionals were interviewed Their responses scattered legal and health reflections of the author Introduction a la flexibilit ou mobilit interne des infirmi res hospitali res Pour manifester leur volont de soutenir la circulation des travailleurs a travers l espace europ en les autorit s communautaires ont fait de l ann e 2006 l ann e de la mobilit A leur tour en 2009 les autorit s frangaises comp tentes ont vot une loi cens e favoriser la mobilit des agents de la fonction publique de l Etat Ces agents sont diversement incit s se lancer la d couverte d autres administrations dont ils comprendront alors les activit s et m thodes A priori le syst me pr sentera des int r ts tant pour l administration que pour les fonctionnaires et autres agents publics
37. La taille des entreprises est d terminante pour avoir des co ts de production comp titifs acc der au financement moindre co t mettre en place des plans de d veloppement ambitieux L entreprise alg rienne souffre de l insuffisance de capacit s manag riales notamment dans le domaine de marketing ainsi que de l opacit du syst me d information conomique L environnement actuel de l entreprise est peu favorable et ne lui permet gu re d tre comp titive puisqu elle volue dans un environnement fiscal l gislatif et conomique d favoble Pis encore l absence d une strat gie nationale de d veloppement conomique ne permet pas d avoir une vision moyen et long terme La production industrielle du secteur public hors hydocarbures a recul de 1 31 de m me que celles des industries manufacturi res notamment agroalimentaires 20 6 car elle ne peut soutenir la concurrence avec les importations du secteur priv La production de ce dernier a d ailleurs cr de 5 ce qui prouve son dynamisme Ces chiffres soulignent l urgence d une restructuration des activit s et du mode de gestion des entreprises publiques et les b n fices potentiels pour l conomie d un d sengagement de l Etat plus rapide en termes d accroissement de la productivit et de la comp titivit 2 3 Lenteur des r formes conomiques La r currence des probl mes conomiques et sociaux dont souffre le pays en d pit de gros moyens financie
38. La transition vers l conomie de march o le secteur priv d veloppe son activit dans la sph re formelle est retard e par l absence de culture financi re laquelle se traduit la fois Djamel Benbelkacem Analyse L Inflation en Alg rie LCE octobre 2011 163 Revue europ nnee du droit social par les difficult s d acc s au cr dit pour les entreprises priv es mais galement dans la r pugnance de ces derni res y recourir cela supposant une transparence qui n est pas encore l habitude et qui fait subir une concurrence plus importante 2 2 Faiblesse du tissu industriel Le second facteur de fragilit de l conomie nationale est la qualit de son tissu d entreprises L analyse comparative de la structure du PIB et de la taille des cinquante premi res soci t s alg riennes celles des pays voisins r v le deux enseignements le manque de soci t s de services et notamment les services forte valeur ajout e la modestie de la taille des soci t s alg riennes en moyenne compar e celles des pays voisins Parmi les pays analys s c est en Alg rie que les 50 premi res entreprises hors SONATRACH repr sentent le plus faible chiffre d affaires cumul par rapport aux pays voisins 7 milliards de dollars contre 17 milliards pour le Maroc 10 pour l Egypte et 7 pour la Tunisie Dans un contexte de concurrence mondiale ou du moins r gionale cette fragmentation est porteuse de fragilit
39. MONDE OUVRIER LES EFFETS PARADOXAUX DE LA CRISE ECONOMIQUE SUR LE COLLECTIF OUVRIER Emilie Aunis 67 LA MOBILIT ET LA FLEXIBILIT DES INFIRMI RES EN FRANCE Clotaire Mouloungui 78 PARTICIPATION DES FEMMES SUR LE MARCH DU TRAVAIL UNE TUDE COMPARATIVE SUR LE CAMEROUN ET LE MALI Franck Armel Mba Eyene 97 LES R SEAUX SOCIAUX PROFESSIONNELS EN LIGNE VERS UNE POLY NSTITUTIONNALISATION DU MARCHE DU TRAVAIL Julien Mesangeau Arnaud Poveda 119 CL TURE DU COLLOQUE Marc Richevaux 149 THE INTERNATIONAL NOTION OF VICTIM IN JUDICIAL PROCEEDINGS Ion Fl m nzeanu 151 Revue europ nnee du droit social EL DERECHO AL TRABAJO DE LOS JOVENES SU PARTICIPACI N EN ORGANIZACIONES SOCIALES Pilar Munuera G mez Francisco G mez G mez Jes s Fern ndez Rodr guez 156 CONSIDERATIONS REGARDING NATURAL LAW PRINCIPLES IN MEDIEVAL EUROPE SYSTEMIC APPROACHES TO LAW Claudiu Ramon D Butculescu 166 VULN RABILIT DE L CONOMIE ALG RIENNE D FIS ET LES ENJEUX A RELEVER Kamel Bouadam Djnina Amor 171 THE ENVIRONMENT THROUGH CRIMINAL LAW IN EUROPEAN UNION Mihaela Aghenitei 189 o Gaction Administrative et commerciale Ua O UNIVERSIT l DU LITTORAL lt y C TE D OPALE Deere COLLOQUE LES ACTIVIT S PROFESSIONNELLES ET LE MARCHE DU TRAVAIL DEUXIEME PARTIE Sur le th me Les activit s professionnelles et le march du travail s est tenu Saint Omer Pas de Calais France
40. Model Penal Code and Commentaires Part Philadelphia P A 1985 The American Law Institute lon Fl m nzeanu R spunderea juridic p 69 73 Edit ProUniversitaria Bucure ti 2010 lon Fl m nzeanu Interactiunea si ierarhizarea izvoarelor dreptului Dreptul rom nesc n contextul exigentelor Uniunii Europene Comunic ri prezentate la Sesiunea Stiintific a Institutului de cercet ri Juridice 2009 Academia Romana Institutul de Cercet ri Juridice Andrei Radulescu articol publicat in volumul Dreptul rom nesc n contextul exigentelor Uniunii Europene Ed Hamangiu 2009 p 365 366 lon Fl m nzeanu Colaborarea interna ional n domeniul promov rii si protec iei drepturilor si libert ilor fundamentale ale omului articol publicat n volumul Particularit i ale fenomenologiei sociale si politice n lumea contemporan Simpozion International T rgovi te 5 6 iunie 2009 Ed Hamangiu 2009 p 253 254 182
41. Rhodia Chimie pharmacie 105 Arkema Chimie 105 Clemessy lectrique lectronique 100 Soitec lectronique 50 etc 2 3 Les niveaux de formation L industrie est une grande consommatrice de techniciens de niveau bac 2 ou bac 3 Le taux de ch mage des cadres et des techniciens de l industrie n est que de 3 Or les usines le cambouis la peur des d localisations et les machines attirent peu les nouvelles g n rations Selon une r cente enqu te 30 des offres d emplois pourtant des CDI ont eu du mal trouver preneur comme par exemple dans l industrie pharmaceutique Si ces bac 2 sont si difficiles trouver c est parce que la plupart pr f rent poursuivre jusqu bac 5 Pourtant les perspectives de carri re n en sont pas moins inint ressantes Selon Christophe Catoir chez Adecco Experts l insertion est beaucoup plus ais e avec un bon bac 2 technique qu avec un bac 5 de type master trop g n raliste d autant que les techniciens peuvent ensuite facilement progresser en interne assure t il Parmi les plus pris s en ces temps de vaches maigres on peut citer les techniciens en maintenance charg s d entretenir les machines et de les faire durer Malheureusement les offres ne sont pas toutes pourvues rien qu en industrie on y recense 36 des offres pour seulement 31 de CV de candidats Au niveau bac 2 les entreprises recrutent des Dipl mes Universitaires Technologiques DUT en maintenance industrielle conception
42. Sociologie n 1 4 Universit libre de Bruxelles 1 4 pp 97 125 MOULAERT T LEONARD D 2011 Le vieillissement actif sur la sc ne europ enne Bruxelles Courrier hebdomadaire CRISP n 2105 MOULAERT T 2005 La fin de carri re Des politiques en d bat Bruxelles Courrier hebdomadaire CRISP n 1882 2005 NARINX A 2007 Un Pacte controvers L ECHO 2 mai OCDE 2003 Vieillissement et politiques de l emploi Belgique Paris OCDE p 73 PALSTERMAN P 2008 Les fins de carri re l preuve du droit social belge Revue de l Institut de Sociologie Universit libre de Bruxelles n 1 4 REDOR D 2003 Comparaison des politiques d incitation l emploi des salari s g s au Danemark en Finlande et en Su de Revue fran aise des affaires sociales volume 57 n 4 p 251 272 TADDEI D 2000 Retraites choisies et progressives Rapport du Conseil d Analyse Economique n 21 Paris La Documentation fran aise 66 CRISE ET MONDE OUVRIER LES EFFETS PARADOXAUX DE LA CRISE ECONOMIQUE SUR LE COLLECTIF OUVRIER Emilie AUNIS Doctorante en sociologie au GRESCO ATER l universit de Poitiers Email aunis wanadoo fr Abstract The deep changes of the labor market and the deindustrialisation affect for many years the working world While many factors tend to stop the potential community protest of the working class the reverse process will be analyzed here Using a
43. agit alors cette fois de r viser de contr ler de v rifier la machine En quelques sortes une communication se cr e avec la machine qui permet de voir Revue europ nnee du droit social comment elle se porte de voir si elle est capable de r pondre son cahier des charges et surtout pendant combien de temps encore Ainsi curative ou pr ventive la maintenance est pour l entreprise une source de productivit et de profits importants condition de bien choisir les m thodes et les outils ad quats La maintenance des quipements d une usine doit ob ir une programmation dont la pr cision est digne d une horloge Si r parer une machine avant qu elle en ait r ellement besoin co te cher intervenir trop tard sur un quipement critique peut provoquer l arr t pur et simple de la production et engendrer un co t beaucoup plus lev De ce fait des formations sp cifiques capables de r pondre ces nouvelles exigences du monde professionnel ont t mises en place Malheureusement l image n gative de la maintenance continue persister et les jeunes ont une forte tendance bouder ces formations Malgr ce tr s faible int r t pour le secteur industriel et en particulier pour la maintenance nous montrons dans ce travail que les emplois dans ce secteur d activit sont nombreux et que des formations en ad quation sont bien pr sentes sur le territoire 1 La maintenance industrielle 1 1 Pr sentation g n rale
44. c est en dehors Comme l avoue un cadre la o l on a un petit peu plus travailler c est sur les interpoles aller aux urgences Sinon sur les autres services de chirurgie les quipes se connaissent donc c est d j plus facile g rer la mobilit En mati re de mobilit dit une infirmi re si on n impose pas il y en a qui veulent il y en a qui ne veulent pas D s lors une grande partie des soignants chapperaient l obligation d aller s occuper d un poste ou d une p riode de travail sans agent N anmoins une infirmi re pr f rerait que le cadre de sant s appuie d abord sur les volontaires A cet gard le cadre est heureux de disposer d agents de bonne volont qui se sacrifient quasiment pour le service Dieu merci confesse cadre il y a toujours des personnes plus arrangeantes C est souvent sur les m mes que a tombe Malheureusement Et du m me qu il y un ordre il faut l ex cuter Cela renvoie aux notions de direction commandement et d ob issance Il faut savoir que Les fonctionnaires sont organis s sur une base pyramidale fonctionnant selon le principe de la voie hi rarchique Les fonctionnaires sup rieures disent aux fonctionnaires inf rieurs ce qu il y a faire quand le faire et comment le faire Les fonctionnaires inf rieures rendent ensuite compte de l accomplissement des missions re ues leurs sup rieurs hi rarchiques Le fonctionnement du syst
45. caract re innovant campagne de sensibilisation de tous les acteurs l gard des pr jug s reliant le travail l ge et le vieillissement notamment en termes de productivit conomique et de valeur sur le march de l emploi des travailleurs exp riment s prix annuel f d ral aux entreprises favorables aux travailleurs g s mise en place par les secteurs et les entreprises d une politique de personnel pr ventive tenant compte de l ge 57 Revue europ nnee du droit social Si les r formes adopt es avant 2005 en Belgique avaient surtout concern la question des retraites plut t que l emploi des seniors le Pacte de solidarit entre g n rations consid r comme la r forme phare du gouvernement Verhofstadt I aura finalement eu pour objectif central de rendre l acc s la pr pension plus restrictif tout en promouvant un ensemble d autres mesures visant favoriser l incitation des travailleurs plus g s poursuivre le travail et l incitation des employeurs les maintenir en emploi ou en embaucher Que peut on dire du Pacte aujourd hui plus de cinq ans apr s sa sortie Certes nous l avons d j mentionn il a conduit des tensions entre les interlocuteurs sociaux et le gouvernement f d ral renfor ant au passage les carts de la vision du march du travail entre les repr sentants des employeurs et les repr sentants des travailleurs en Belgique Si l
46. ce type est autour de 5 07 membres Les travailleurs ind pendants au Mali Dans ce groupe d actifs les hommes sont l g rement plus nombreux que les femmes En fait la proportion d hommes ind pendants est de 55 Il y a un peu moins de travailleurs ind pendants en zone urbaine qu en zone rurale En effet 6 de ces actifs sur 10 r sident dans les zones rurales Aussi bien dans les zones urbaines que dans les zones rurales les taux d alphab tisation sont tr s lev s Des caract ristiques qui permettent de mieux caract riser les actifs appartenant ce groupe sont la situation matrimoniale le lien de parent avec le chef de m nage et la condition de vie C est principalement le groupe o les actifs vivent en couple En fait la proportion des personnes en couple parmi les travailleurs ind pendants au Mali est de 80 Ce sont pour la plupart des hommes et des femmes qui sont chefs de leurs m nages Comme au Cameroun les donn es r v lent que la moiti des travailleurs ind pendants ont d clar tre la t te de leur m nage De plus il y a toujours ce grand cart entre les deux groupes si l analyse se fait avec l approche par les conditions de vie des m nages Il est important de constater que 65 des travailleurs ind pendants sont class s dans le groupe des pauvres en conditions de vie La situation d activit des membres d un m me m nage est tr s proche dans ce groupe restreint d actifs En effe
47. consolidation du secteur bancaire doit faire apparaitre plusieurs grandes banques afin de ne pas rendre d pendante la sant de tout le secteur d une ou de deux banques Maitriser la politique des cr dits par les banques en se dotant d un syst me de scoring La non maitrise de la politique des cr dits est un des risques majeurs qui guettent les conomies non aguerries Il n ya qu voir les enseignements tir s de la crise mondiale financi re qui secoue la plan te Un autre volet concerne la construction d un syst me de financements de projets et d acc s au capital proche des lieux de la recherche pour lancer le moteur de l innovation Le financement bancaire pour le moment reste le premier levier mais des instruments de financement du type fonds de capital risque doivent tre d velopp s et n cessairement compl t s par des dispositifs de coaching tels que les incubateurs pour s assurer de l aboutissement des projets 3 4 D veloppement humain Les conomies d velopp es qui m nent le processus de mondialisation sont aujourd hui sur un nouveau paradigme de croissance l conomie fond e sur la connaissance La comp titivit la performance conomique reposent de plus en sur la connaissance le savoir le savoir faire et non pas seulement sur le capital et le travail L immat riel est aujourd hui un facteur de production strat gique Il semblerait que l Alg rie ait tir les le ons des pr c dents
48. d tablissements ayant utilis la presse 18 1 n est que l g rement sup rieure celle qui a utilis Internet 16 5 Mais ces donn es cachent des disparit s importantes li es en particulier la taille des tablissements Cependant les auteurs soulignent aussi une diff rence d appropriation de ces outils par les entreprises elles m mes notamment en ce qui concerne le processus de recrutement En effet bien que les candidats potentiels puissent effectivement acc der des offres d emploi diffus es par l entreprise la grande majorit d entre eux privil gient encore la proc dure typique pour l envoi de candidatures Si les auteurs invoquent effectivement l argument de la taille des tablissements on peut y ajouter leur poids conomique une entreprise disposant d un budget important dans la communication sur le web sera certainement plus encline y investir des ressources humaines et p cuniaires qu une PME ou une Tr s Petite Entreprise Un web professionnalis La r appropriation d une pratique ancienne La pratique du r seautage est bien plus ancienne que le web Si on ne s en tient qu aux structures de formation en France les Grandes Ecoles et les Ecoles d Ing nieurs fonctionnent traditionnellement gr ce leurs R seaux des Anciens Ce r seau est le plus souvent invisible ceux qui n appartiennent pas la structure Le fonctionnement de ces r seaux a fait l obj
49. d esprit confraternel Ainsi une rempla ante qui ne trouve pas rapidement ses 94 Revista european de drept social marques et se trompe peut devenir une t te de turque Autrement dit il vaut mieux tre op rationnel d s l entr e en fonction Comme cela n est pas toujours possible on comprend que les infirmi res se d pla ant dans le cadre de la mobilit passag re d veloppent une certaine appr hension Le soignant n exag re pas en ayant peur d aller remplacer car si ses gestes professionnels manquent d efficacit sa responsabilit juridique peut se trouver engag e L une des limites a l adh sion des soignants la mobilit est la crainte de ne pas tre la hauteur Leur appr hension prend comme appellation la peur le stress l angoisse Une infirmi re dit redouter une affectation dans un service de pointe que sont par exemple pour elles les Urgences la R animation et le Bloc op ratoire Comme elle manquerait d exp rience elle se figure qu elle deviendrait un boulet pour les autres Globalement les soignants h sitent changer des services parce qu ils doutent de leur aptitude pouvoir d ployer les comp tences exig es par l unit de soins qui les accueilleraient quel moment cette peur arrive t elle Aboutit elle paralyser l infirmi re au point d administrer des soins inadapt s aux malades Deux extraits d entretiens montrent que cette crainte n
50. dans le recrutement mais dans le cadre social qui l organise Enfin face l h t rog n it de ces interm diaires et compte tenu des r les disparates et n anmoins essentiels qu ils jouent nous ferons l hypoth se d une poly institutionnalisation du march du travail Dans ce 119 Revue europ nnee du droit social ph nom ne nous analyserons plus particuli rement l effet de l interrelation entre le web et le processus de recrutement Il apparaitra que si les candidats sont bien accompagn s dans leurs pratiques professionnelles du web les recruteurs semblent l tre beaucoup moins Un march du travail en restructuration Restructuration des interm diaires du march du travail L insertion professionnelle se joue au croisement de deux variables l offre manant des structures recrutant et la demande Pour faciliter cette mise en relation les interm diaires du march du travail sont apparus d s les ann es 1960 au travers des structures publiques comme l Agence Nationale Pour l Emploi ANPE et l Association Pour l Emploi des Cadres APEC Les ann es 1960 s inscrivaient dans une p riode de forte production industrielle et donc dans un contexte de croissance conomique et de ch mage bas L objectif de ces structures tait alors de maintenir ce plein emploi Les effets des crises conomiques de la fin des ann es 1970 se sont prolong s dans les ann es 1980 et 1990 Accompagnant les trans
51. de participation de ces femmes Il est donc d une importance capitale que des mesures soient prises afin d tablir et de r ajuster les chances d emplois de bonne qualit entre les deux zones d habitation au Cameroun mais encore plus au Mali 1 4 2 3 Occupation professionnelle des femmes et position dans le m nage Au Cameroun l offre de travail des femmes camerounaises est conditionn e par le r le qu elle joue dans leur m nage Bien que la pr sence d enfants bas ge n emp che pas aujourd hui les femmes de travailler mais le poids de la naissance d enfants peut tre per u travers le types d activit s qui les occupent D une fa on g n rale les femmes en couple sont contraintes d exercer des activit s temps partiel Sur les trois types d occupation ces femmes s orientent plus vers les activit s d aides familiales plus accessibles La th orie f ministe permet donc d expliquer les positions d offre de travail des femmes en couple De plus il ressort des estimations que les femmes la t te de leur m nage sont en majorit actives mais elles travaillent comme ind pendantes Elles m nent donc des petites activit s de subsistance Par cons quent la n cessit de survie du m nage les contraint d offrir leur force de travail et le plus souvent dans les activit s non rentables plus li es l informel Par contre les estimations sur la population malienne de l hypoth
52. de produits industriels industrialisation des produits m caniques g nie lectrique et informatique industrielle productique g nie thermique et nergie mesures physiques g nie biologique gestion logistique et transport D apr s une enqu te nationale du minist re concernant les dipl m s du DUT G nie Industriel et Maintenance GIM de 2008 qui n ont pas souhait effectuer de poursuite d tudes 79 avaient obtenu un emploi stable d s la 1 ann e apr s l obtention du DUT contre 73 tous DUT confondus et 82 de ceux qui ont 14 Revista european de drept social obtenu un emploi sont pass s au niveau cadre dans la m me ann e contre 59 tous DUT confondus Les entreprises sont en qu te de dipl m s dans des domaines nouveaux non pris ou mal pris en compte jusqu pr sent tels que la qualit la s curit l environnement ou encore la gestion des d chets Ceci ouvre la porte des dipl m s de maintenance avec des comp tences compl mentaires en chimie p trole m tallurgie Ils occupent des postes de consultants et r alisent des audits en milieu industriel Ils analysent les aspects li s la s curit des sites et recensent les zones risques Dans cet objectif les licences professionnelles Bac 3 sont de plus en plus pris es On peut noter des licences professionnelles en plasturgie et mat riaux composites hygi ne s curit et environnement gestion de la production industrielle mai
53. demande du cadre t l phone pour signaler la n cessit d un remplacement soudain Parfois le coup de fil re u par l int ress lui vient d un cadre de sant d un autre service mais qui ce jour l assurera la garde en vue de la permanence des soins infirmiers dans l h pital Comment donc ce cadre aura t il proc der pour disposer du num ro de t l phone de l infirmi re Sans doute en consultant une liste ill galement tablie par le cadre du service auquel il faut trouver une infirmi re en urgence La d tention et l usage du num ro de t l phone de l agent sont en particulier contraires l article 9 du Code civil lequel prot ge des atteintes la vie priv e Heureusement aucun soignant ne songerait saisir la justice pour ce motif Au demeurant c est volontairement qu il aura lui m me communiqu son num ro de t l phone au cadre de sant et ses propres coll gues Ce geste initial de bonne volont ne signifie pas pour autant que le soignant d crochera chaque fois que l h pital appellera puis qu il reprendra sto quement son poste de travail Un autre probl me survient parfois gr ce aux r cepteurs t l phoniques modernes il est possible de savoir quel correspondant tente de vous joindre L infirmi re peut alors choisir de ne pas d crocher Par cons quent comment g rer cette situation D ailleurs si un message lui a t laiss que penser de son silence sachant qu elle aura
54. du mod le de participation appliqu au cas du Cameroun la taille du m nage permet de pr dire l offre de travail A nsi les femmes des familles nombreuses exercent plus comme des ind pendantes Elles 109 Revue europ nnee du droit social s ins rent plus facilement dans les activit s connexes aux profils des travailleurs ind pendants plut t qu ceux des aides familiaux Les femmes des zones urbaines r ussissent s ins rer plus facilement comme salari es des secteurs public et priv ou comme aides familiales par rapport celles des zones rurales Les femmes en couple occup es participent plus l activit conomique en cr ant leurs propres activit s Cependant il est plus difficile d observer une femme en couple voluant comme employ e Ceci dit elles sont plus contraints donc de s ins rer dans des activit s temps partiel tr s li es l informel La mod lisation de l offre de travail ressort aussi que la proportion de femmes occup es comme ind pendantes parmi les c libataires est la plus importante N anmoins il est moins probable d observer une femme c libataire travaillant comme aide familiale que ch meuse L analyse de l offre de travail travers la structure familiale met en exergue des comportements sp cifiques la population malienne M me tr s jeunes les enfants du responsable de l unit domestique sont autant expos s participer l activit conomique
55. en patrimoine historique et diversit culturelle Leur sauvegarde est importante pour la conservation de l identit nationale du Bulgare Les rapports la terre et la culture traditionnelle font partie int grante de son quotidien et ont t un moyen de survie au cours des p riodes de libert ou de soumission Notre pays est le berceau de sept civilisations qui au cours des derniers 4000 ans se sont panouies sur le territoire actuel du pays les civilisations pr historique grecque antique romaine thrace antique byzantine bulgare et islamique L Etat bulgare assume la responsabilit de la sauvegarde des monuments culturels de ces sept grandes civilisations A l poque contemporaine la Bulgarie membre de l Union europ enne fait partie du march conomique social et culturel mondialis Cette d pendance induit de nombreux effets positifs mais rec le aussi beaucoup de menaces Parmi ces derni res figure celle de la dilution de l identit culturelle des pays de l Union Il s agit d un processus naturel de culture de masse d coulant de l acceptation et de la pratique des particularit s culturelles des diff rents pays correspondant aux besoins culturels de la soci t europ enne Les positions touristiques de la Bulgarie doivent s appuyer l avenir sur quatre facteurs concurrentiels l histoire l art et la culture les traditions la gastronomie La Bulgarie doit promouvoir sur le march t
56. est capable Au surplus la mobilit donne aux agents l occasion d observer divers coll gues au travail Cela favorise des comparaisons l issue desquelles un progr s s envisage logiquement Un cadre de sant pr cise ce propos que la mobilit leur permet de revoir un peu leurs pratiques professionnelles de voir si ce qu elles font tous les jours au quotidien c est bien Enfin il y a des chances d une plus grande confraternit puisque l on conna t un peu plus de coll gues En v rit rappelle un cadre la mobilit est plus employ e pour r gler un probl me d absent isme que pour un d veloppement de comp tences Il Les facteurs de la mobilit interne des infirmi res La mobilit interne des soignants ne se concr tise qu avec la r union de certaines conditions Ces facteurs favorables consistent tout d abord en des r gles du droit administratif A Les autres facteurs qui permettent la mobilit interne l h pital sont propres au monde de la sant B A Les facteurs de mobilit li s au droit administratif Le droit administratif rend la mobilit interne possible gr ce au moins deux principes g n raux tr s proches l un de l autre Ce sont le principe d adaptabilit du service public et l int r t du service ou n cessit s de service Au contraire deux devoirs bien contraires l un de l autre qui s adressent sp cifiquement aux fonctionnaires favori
57. estudiantes que no alcanzan el nivel 2 considerado como el m nimo admisible 3 Este informe se realiza en intervalos de 3 a os a los estudiantes de 15 a os de diferentes pa ses 4 El ndice de Desarrollo Educativo IDE es la media geom trica que utiliza la media geom trica de las valoraciones normalizadas de los tres componentes que aparecen en el cuadro 1 ofreciendo una medida sint tica de aquel desarrollo que se calcula multiplicando los valores de las n observaciones y tomando la ra z n sima del total porque mide mejor las diferencias entre variables que han sido normalizadas y por tanto pueden ser comparadas entre s 5 El Informe PISA establece seis niveles diferenciados de competencias en t rminos de los valores obtenidos en el test El nivel 1 es el de competencias m s bajas y el 6 el de competencias m s altas 146 Revista european de drept social En comparaci n con el resto de pa ses de la Uni n Europea de los Quince cuadro 1 Espa a obtiene buenos resultados en equidad En cambio est por debajo de la media en rendimiento y est muy por debajo de la media en calidad que es uno de los principales puntos d biles de nuestro sistema educativo Estos datos sobre el rendimiento educativo preocupan a las todas las instituciones responsables por ser un indicador reconocido sobre el nivel educativo de un pa s que se ala a la vez la posible promoci n de los estudiantes en materia de formaci n profesional
58. financi re constitue un fort stimulant pour atteindre ces objectifs L volution pourrait passer par la refonte de la carte territoriale qui a conduit dans la plupart des pays europ ens rechercher un seuil d efficience par la r duction du nombre de collectivit s et de strates et par l attribution de comp tences exclusives chaque strate 16 Un plan strat gique des ressources humaines Jacques Beaupied La Lettre du cadre territorial 15 juin 2011 p 34 38 H Management public et ressources humaines Robert Holcman Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 52 56 18 La gestion des ressources humaines dans les collectivit s territoriales Philippe Nasciet Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 85 88 18 L Europe l heure du New Public Management Laure Thibault Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 115 118 22 30 ans de r formes de la gestion publique dans les pays de l OCDE Annie Chemla Lafay Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 38 44 51 Revue europ nnee du droit social Bibliographie La gestion pr visionnelle des ressources humaines dans les collectivit s territoriales rapport public annuel 2012 de la Cour des comptes point 3 Les cahiers hospitaliers avril 2012 Christophe Baret Ewan Oiry Rapport particulier de la Cour des comptes sur les services d incendie et de secours SDIS 29 novembre 2011 Les communes ont elles trop recrut Emmanuelle Stroesser Dossier Maires et pr sidents de communaut de France 11 juin 2012
59. gard des salari s vieillissants sans oublier le contexte organisationnel et les conditions de travail Des r formes en ce sens sont en marche depuis le d but des ann es 2000 en Belgique En 2012 l occasion de l ann e europ enne du Vieillissement actif et de la solidarit entre les g n rations une campagne de communication sur les travailleurs g s a t r alis e Des d cisions ont t prises pour que d s 2013 les E BARBIER J C 2005 Apprendre vraiment du Danemark Quatre pages du CEE n 18 juillet Ibidem 27 JOLIVET A 2007 Augmenter l emploi des seniors comment et avec quelles cons quences Chronique internationale de l IRES n 109 65 Revue europ nnee du droit social entreprises laborent un plan annuel en faveur de leurs salari s g s de 45 ans et plus D autres mesures verront sans doute encore le jour et nul n ignore que la r flexion sur le d part anticip dans certaines conditions augure encore de vives tensions entre les parties prenantes au d bat D s lors s il reste encore impl menter une politique coh rente en mati re de fin de carri re il reste surtout changer les mentalit s des acteurs des employeurs mais aussi des travailleurs Bibliographie ARCQ E 2011 Le blocage de l valuation du Pacte de solidarit entre les g n rations Les analyses du CRISP en ligne 22 d cembre www crisp be BARBIER J C 2
60. genre et surtout du risque des transformations sociales la place d une vision optimiste sur les occupations sociales quoi faire avec la nationalisation presque forc e des occupations manufacturi res du XIX me si cle quoi faire avec les gitans qui ont perdu presque tout perdant la victoire dans la guerre non concurrentielle avec 1 tat usurpateur de leurs comp tences conomiques quoi faire avec le syst me anticoncurrentiel et monopolistique en mati re d occupations conomiques captur es par 1 tat le r le curieux des rassurants des assureurs qui chargent inutilement les personnes assur es initialement surtout dans le champ du travail la disparition des coles des h pitaux et des glises avec l aff rente diminution du nombre d enseignants de m decins et de pr tres qualifi e de d sertification des places de travail social par d finition aux b n fices des places p nitenciers par ex aux tats Unis il y a une v ritable drame qui m rite la solution confucianiste sauvez l ducation en r duisant la p nalit sauvez les artisans et vous aurez des places de travail vitez la d sertification du monde rustique avec ses occupations nobles ancestrales et bien satisfaites par des comp tences humaines exemplaires et autonomes contre cette fallacieuse tendance de transformer en bien public tout ce qui est trait par les normes de droit public tout cela m indique
61. in such activities were also considered an offence On sanction the proposals obliged European Union states to provide for natural persons for criminal penalties involving in serious cases deprivation of liberty The Directive proposal went through the first reading of the European Parliament after which an amended proposal was adopted But Council never took up the proposal for discussion only adopting the Danish Framework Decision proposal in 2003 The Framework Decision 2003 80 JHA so adopting on the protection of the environment through criminal law was build substantively on the structure of the Council of Europe Convention on the Protection of the Environment through Criminal Law In the Decision the offences are defined including the requirement of unlawful behaviour i e infringing a law an administrative regulation or a provision of Community law aiming at the protection of the environment with an exception of one autonomus offence in Article 2 a The European Union states had to ensure that penalties include at least in serious cases deprivation of liberty which can give rise to extradition which means generally more than one year of imprisonment such in Article 5 Article 6 of the Framework Decision defined the grounds on which legal persons must be held responsible for conduct committed for their benefit by persons having a leading position within their structure or when such a person is liable for lack of supervision or c
62. industrie dans son ensemble Il est urgent que les pouvoirs publics entreprennent un gros travail d information et de communication si nous ne voulons pas que le savoir faire reconnu des professionnels de l industrie fran aise disparaisse 20 Revista european de drept social Bibliographie Fran ois Monchy Jean Pierre Vernier Maintenance M thodes et organisations pour une meilleure productivit 2010 ISBN 978 2 10 057967 9 dition Dunod Henri Procaccia Eric Ferton Marc Procaccia Fiabilit et maintenance des mat riels industriels r parables et non r parables 2011 ISBN 978 2 7430 1362 2 dition Tec amp Doc J P Souris La maintenance source de profits Paris Les ditions d Organisation 1990 Selon norme AFNOR X60 000 mai 2002 http Awww afnor org Nicolas Terrier La maintenance Projet universitaire DESS QUASSI 2001 2002 Universit d Angers S Nakajima Total Productive Maintenance Introduction to TPM Cambridge Productivity Press 1988 Edition originale Nakajima S TPM Nyumon Tokyo JIPM 1984 Les formations qui recrutent en lle de France http www lesmetiers net Les m tiers de la maintenance industrielle Les Editions de l Industrie Collection Mode d emploi Paris 2001 ISSN 1263 2139 ISBN 2 11 092656 2 Th Lucas Expertise Comment valoriser son savoir faire L Usine Nouvelle juil 2012 Thierry Regond Vice pr sident de Sunaero La maintena
63. is known by direct perception of divinity Contrary Sf Augustin De civitate dei 3 Peter J Stanlis Edmund Burke and the Natural Law Ann Arbor MI University of Michigan Press 1958 p 9 4 Edward B McLean ed Common Truths New Perspectives on Natural Law 1st ed book on line Wilmington DE ISI Books 2000 pp 46 48 5 Richard Olson Science deified amp science defied University of California Press Berkeley and Los Angeles California 1982 p 173 Jean Porter Nature as Reason A Thomistic Theory of the Natural Law Grand Rapids MI Eerdmans 2005 p 19 7 A P d Entr ves Natural Law An Introduction to Legal Philosophy London Hutchinson s University Library 1951 p 36 8 lon Flamanzeanu Doctrina ca izvor de drept Studii de Drept Rom nesc an 22 55 nr 1 2 pp 24 25 Saint Bernard of Clairvaux Gilliam Rosemary Evans Selected Works Paulist Press New Jersey 1987 p 242 155 Revue europ nnee du droit social to this idea Thomas Aquinas and Albertus Magnus 1193 1280 AD believed that natural law is perceived by humans through reason Other representatives of natural law at that time were Simon of Bisignano twelfth century AD Roland of Cremona 1178 1259 AD PetrusLombardus 1100 1160 AD HuguccioThe Ferrari 1210 AD Likewise Jean Calvin 1509 1564 AD believes that there are laws in place divine and human laws The principles and ideas of natural law were not exclusively tied
64. l organisme sur le march de l emploi L valuation est le plus souvent confondue avec la notation La gestion des comp tences et des carri res contribue adapter la ressource aux besoins futurs de la collectivit Elle permet d viter le recours au recrutement externe en p riode de contraintes budg taires Elle peut am liorer le climat social et fid liser et motiver les agents par un suivi individualis des parcours La notation individuelle compare l agent aux autres agents un instant donn Souvent elle ne sert pas v ritablement fonder les appr ciations ni les rythmes d avancement la plupart du temps quasiment identiques ni les ventuelles modulations de primes En revanche l valuation prend en compte les volutions les comparaisons d une ann e sur l autre et l appr ciation des r sultats par rapport aux objectifs et aux missions Le d cret du 29 juin 2010 pris en application de la loi du 3 ao t 2009 relative la mobilit et aux parcours professionnels largit l int r t de l exercice au del de l valuation individuelle Il officialise pour une p riode exp rimentale une pratique mise en uvre auparavant dans certaines collectivit s L entretien professionnel permet de mesurer l cart entre les comp tences attendues et manifest es dans le poste d identifier les potentiels et les viviers de comp tences inexploit es d anticiper les mobilit s internes et d
65. law Some of the authors cited above rejected the idea of divisions of law That this statement may be erroneous because the proper divide of law is needed to determine the sphere of influence of the two streams natural law or positivism In the field of private law natural law elements are found predominantly which are logically and validly applied Private law principles are based on perennial and immutable ideas that existed before the arrival of our society and will continue to exist long after the extinction of our race Reversibility and content conservation are universal elements that we find everywhere in nature and in private law It should not be understood from the foregoing statement that private law has an everlasting character Only the fundamental principles on which private law is based are aprioristic The way of perceiving and interpreting them is as temporal as human society On the other hand public law which concerns the good of society is strongly influenced by positivism Public law encompasses all legal measures enacted for the good of society This definition shows that public law appeared posterior to human society obviously it could not have the objective of common good before the appearance of organized human society Thus the purpose of public law is to support the development of society This means that public law ceases with the disappearance of human society Regarding public law the fundamental principles are no
66. le Cameroun Une approche est d observer l impact du capital humain sur la probabilit conditionnelle de participer au march de travail malien par les effets de l ge de l alphab tisation et dans une moindre mesure la scolarisation mais seul l ge et la scolarisation ont eu un grand pouvoir de pr diction dans cette mod lisation Au Cameroun le capital humain est un facteur d terminant dans la situation d activit Si on l approche uniquement par le niveau d instruction et l ge on retient que l accumulation du capital humain est un facteur qui pousse les femmes participer de plus en plus Chez les hommes la probabilit d tre actif est moins expliqu e par ce facteur Par cons quent l ducation a un r le de r quilibrage des in galit s entre les hommes et les femmes sur le march du travail De plus il ressort que la participation est moins importante chez les plus jeunes aussi bien chez les femmes que chez les hommes Ce r sultat est valable pour les deux populations d tude La participation au march du travail camerounais se distingue aussi par les variables Alphab tisation substitue du niveau d instruction et Scolarisation En fait la scolarisation est un frein la participation des jeunes femmes au Mali et au Cameroun alors que le fait d tre alphab tis n est important qu au Cameroun On est amen se questionner sur l impact des programmes d alpha
67. le candidat s il y a arbitrage Mais ce n est pas non plus le s same qui va ouvrir toutes les portes Les r seaux sociaux en ligne seraient une variable parmi d autres sur laquelle s appuieraient certains recruteurs lorsque le poste en jeu le justifierait de quelle entreprise s agit il De quel secteur Cependant les comp tences valu es ici ne sont pas de l ordre du savoir faire professionnel d j formalis s par le CV notamment Elles seraient bien plus sociales et symboliques le candidat est il capable comme lors d une candidature traditionnelle de se pr senter de mani re pertinente sur les r seaux sociaux A l valuation sociale on peut ajouter une dimension technique le candidat est il suffisamment habile pour cacher les informations susceptibles de lui nuire M me si Fran ois affirme qu il faut faire confiance au recruteur d autres v nements surtout outre atlantique ont t relay s par les m dias o un recruteur a demand au candidat de lui fournir ses identifiants Facebook Cette pratique intrusive est certainement marginale Elle pose n anmoins le cadre d un d bat En effet alors que les candidats sont incit s contr ler leurs publications afin de ne pas engager leur cr dibilit peu de discours d accompagnement en mati re de cadre d usages des RSP s adressent aux recruteurs Pourtant juger les comp tences d autrui sur la base d informations plus ou moin
68. le des urgences Ses coll gues et lui m me examineraient un petit peu le profil des personnes qu on envoie Donc en fonction des comp tences des infirmi res qu on a pu identifier c est elles que en priorit on va envoyer sur le secteur des urgences pour que justement elles ne se sentent pas en difficult Il convient de noter que les cadres de sant ne disposent pas de documents crits sur les qualifications des personnels qu ils doivent manager On aurait pu imaginer l existence de classeurs r pertoriant les CV des agents Donc la connaissance qu ils ont des agents reste empirique floue et incertaine Pour rendre 87 Revue europ nnee du droit social compte de l action t tons des cadres on privil gie les personnes qui ont t quand m me mobiles sur le secteur l pour les remettre si besoin Une infirmi re reproche le manque de concertation en mati re de mobilit Selon elle tout au plus y a t il communication sur les d cisions d j ou bient t prises Le propos doit tre relativis D une part parce qu un cadre de sant souligne que l v nement maladie accouchement deuil etc cause duquel la mobilit sera exig e est toujours connu des soignants Un cadre rappelle que les arr ts tout le monde est au courant vous connaissez la radio potins des h pitaux Donc tout le monde est bien au courant bien avant nous m me des fois Une infirmi re d un h pital diff rent admet q
69. le r seau des contacts d un utilisateur de LinkedIn que nous avons rencontr Grand r seauteur Charles Alexandre voit en LinkedIn un nouvel horizon professionnel affranchi de certaines limites pesant sur le d veloppement des r seaux professionnels Les pratiques de mise en relation sont moins ancr es dans les cultures locales L autocontrainte qui serait selon lui caract ristique d un r seautage fran ais est donc marginale Inversement LinkedIn permet de construire des liens sur un mode volontairement ouvert o il est admis de solliciter des centaines de parfaits trangers Le r seau de Charles Alexandre est tr s tendu Il embrasse Asie l Europe et Am rique diff rents milieux d affaire diff rents r seaux d anciens tudiants am ricains et fran ais Charles Alexandre y trouve de nombreuses ressources facilitant son activit professionnelle Certaines relations cr es en ligne semblent certains gards similaires celles regroup es dans le bridging social capital Par ailleurs plusieurs des utilisateurs que nous avons rencontr s ont pu profiter de leurs contacts cr s sur les RSP afin d obtenir des informations pr cises utiles leurs activit s professionnelles A l instar de Charles Alexandre de nombreux utilisateurs de 128 Revista european de drept social LinkedIn rencontr s confient ainsi profiter de ces outils pour entrer en relation avec des inconnus
70. les agents Les collectivit s se privent ainsi d un outil de gestion pluriannuelle utile pour la prise en compte des comp tences acquises et acqu rir La suppression des quotas r glementaires pour l avancement de grade par la loi du 19 f vrier 2007 qui a modifi l article 49 du statut de 1984 n aurait pas d avoir pour cons quence d amener les collectivit s proposer tous les promouvables pour l avancement Les ratios promus promouvables ont en effet remplac les quotas ant rieurs par l application d un taux de promotion l effectif des fonctionnaires remplissant les conditions pour l avancement de grade concern Cependant le taux de promotion chaque changement de grade vot par l assembl e d lib rante depuis la loi de 2007 est fix 100 par une grande majorit de communes Ceci revient de fait inscrire tous les agents au tableau d avancement Autrement dit au del du d voiement de la r gle pos e par le l gislateur ces collectivit s se privent d un outil de gestion diff renci e des carri res de motivation et de r compense du m rite et des r sultats outre d un moyen de ma trise de la masse salariale Peu nombreuses sont les communes comme celle d Orange Vaucluse qui ont adopt des ratios de 25 40 pour les avancements de grade et les promotions internes La diff renciation plus nette des rythmes d avancement n a pas seulement pour vocation de fa
71. les salaires et les promotions Jean Marie Gorgue Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 96 100 et L engagement des agents territoriaux au travail St phane Gu rard Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 74 84 47 Revue europ nnee du droit social indemnitaires diff renci s en fonction des niveaux d expertise et de responsabilit d encadrement En 2009 la commune de La Seyne sur Mer Var a recens les comp tences en diffusant des fiches comportant les rubriques suivantes dipl mes et concours exp rience professionnelle formations habilitations exp riences extraprofessionnelles lus b n voles associatifs responsables syndicaux etc comp tences techniques organisationnelles relationnelles sociales informatiques linguistiques Le fl chage des postes et la construction de parcours professionnels sont n cessaires une gestion pluriannuelle des carri res et des comp tences dont la fois la collectivit et les agents tirent b n fice Les centres hospitaliers sont incit s relier l entretien individuel annuel l valuation des comp tences et aux besoins de l tablissement afin de faciliter l adaptation des agents aux transformations de l h pital 4 L attractivit des administrations locales demeure tr s forte en d pit de modalit s de recrutement ne garantissant pas toujours un gal acc s aux emplois publics Le march du travail des administrations locales n est pas constitu
72. leurs points de vue sur un sujet d actualit le march du travail et les activit s professionnelles Ils ont ainsi pu s exprimer pour d finir ce que sont les activit s professionnelles vues travers le prisme du march du travail ou plut t les march s du travail tant les sp cificit s de certains d entre eux fonction publique monde associatif t l travail et quelques autres notamment l informel emp chent de les ramener l unicit Les questions comment entrer sur la march du travail avec ou sans difficult s comment s y exprimer comment y voluer avec des strat gies individuelles ou collectives ou Revue europ nnee du droit social les deux comment y pr server sa sant comment y rester malgr l ge et bien d autre questions y ont t abord es tant d un point de vue fran ais que d un point de vue europ en et non europ en tant ces probl mes m me si c est de mani re parfois diff rentes se posent partout dans le monde Nous avons pu entendre des coll gues venant des Universit s fran aises Cergy Pontoise universit Paul Sabatier Toulouse Universit Europ enne de Bretagne de UPJV Universit de Picardie Jules Vernes Amiens de Universit de Rouen Universit de Poitiers UPV Metz Universit Paul Verlaine Metz et des universit s de Lille 1 et Lille 3 ainsi que d universit s europ ennes de pays d j membres de l union europ enne Universit Alexandru loan Cuza lasi Roumanie
73. lev s Alors que le taux de participation est plus lev dans les zones urbaines au Mali la participation l activit conomique est bien plus intense dans les zones rurales camerounaises A la lecture du tableau 1 on per oit que la participation l activit conomique est plus importante chez les hommes par rapport aux femmes En effet les taux d activit des hommes d passent ceux des femmes dans chacune des zones d habitation pour les deux pays Ces forts taux d activit sont donc le reflet de la participation des hommes plus que ceux des femmes Mais la situation 98 Revista european de drept social d activit est bien plus quilibr e entre hommes et femmes au Cameroun surtout dans les zones rurales En effet le gap d activit des femmes sur les hommes en zone rurale n est que de 5 19 au Cameroun alors qu au Mali le gap est pr s de 16 Par cons quent le niveau de participation des femmes est bien plus important au Cameroun qu au Mali 1 1 2 Niveaux de participation et classes d ges La participation par groupe d ges dans chacun des pays L analyse par classe d ges r v le une participation moins importante au Mali pour tous les ges En outre les diff rentiels des taux d activit entre les deux pays les plus importants sont pour les groupes d ges 15 24 ans et 55 65 ans r volus valu s pr s de 10 En g n ral les diff rences des taux de participation po
74. m me quand il s agit des femmes en couple En effet la vie de couple n est pas un frein la participation des femmes au march du travail au Cameroun Bien au contraire une femme a bien plus de chances d tre active que son partenaire Sur la population malienne l estimation du mod le de participation a donn des r sultats diff rents Les femmes issues des familles pauvres ont plus de chances de participer au march du travail plus que toutes les autres Autrement dit au Mali les femmes qui participent le plus l activit conomique sont celles des m nages pauvres De plus c est principalement le r le de chef de famille qui pousse les femmes de toutes les classes sociales l activit Les femmes en couple n ont pas a post riori plus de chances d tre actives que les autres membres du m nage en dehors de leurs partenaires Ainsi la th orie des strat gies de survie est beaucoup plus proche des comportements de participation des femmes au Mali qu au Cameroun Les femmes en couple sont tr s contraintes l inactivit Cependant ces femmes sont plus de 60 dans les zones rurales o les opportunit s d emplois de qualit ne sont pas aussi importantes que dans les zones urbaines 1 4 1 3 Th orie f ministe et participation De toutes ces th ories la th orie f ministe de l conomie du travail est difficilement v rifi e sur la population camerounaise selon l opposition Actif Inactif
75. m s pruebas de que el compromiso de los voluntarios fomenta los valores c vicos y la cohesi n social que mitigan los conflictos violentos en todas sus fases VNU 2011 xxiii CONCLUSIONES Se debe favorecer un marco legal espa ol que favorezca actividades educativas no formales para los j venes impulsando la Carta de Derechos de la Juventud que promueva al joven como sujeto de derechos y al amparo de las estrategias de la UE Cuidar los derechos de los j venes en el acceso a la educaci n y al empleo supone generar un importante impulso en la construcci n de una ciudadan a m s solidaria en cuestiones relativas al desarrollo la cultura la paz el medio ambiente etc pues los j venes son la generaci n futura del pa s Se deben establecer programas de atenci n a los j venes desempleados para reducir su inactividad y poder reducir las cifras de paro juvenil existentes en Espa a La planificaci n de la formaci n debe tener en cuenta las nuevas necesidades del mercado laboral a trav s de adecuadas pol ticas de empleo 1 La ley 6 1996 de 15 de enero del Voluntariado en su art 3 considera como voluntariado el conjunto de actividades de inter s general desarrolladas por personas fisicas siempre que las mismas no se realicen en virtud de una relaci n laboral funcionarial mercantil o cualquier otra retribuida 15 Programas que funcionan en otros pa ses que al joven que llevan 4 meses desempleado se le oferta empleo pr
76. mixed method combining secondary analysis of data from INSEE and interviews with industrial workers we studied the processes at work in five factories of greater Poitiers In addition to the local factors namely the very low population working in the area the evolution of the labor market and the introduction of managerial norms gradually led to the disintegration of collective labor especially for workers in the industry Nevertheless mobilizations emerge due to a plurality of elements union presence the degradation of the labor market and the fear of job loss Keywords Mots cl s Deindustrialisation managerial norms working class work collective mobilizations Introduction A l heure o la crise conomique touche une grande partie des entreprises fran aises et notamment le secteur industriel nous nous proposons d examiner les effets conjoints de la crise conomique et de la d sindustrialisation sur le collectif ouvrier et sa capacit se mobiliser Il s agit de montrer de quelle mani re la crise et le contexte actuel du march du travail conduisent la dissolution des collectifs de travail mais paradoxalement aussi leur reconstruction en des configurations sp cifiques Cette recherche s appuie sur l analyse d une quarantaine d entretiens r alis s avec des ouvriers et des techniciens g s de 29 59 ans travaillant dans 5 entreprises du secteur industriel de l agglom ration poitevine Cette re
77. n est pas la panac e l int r t pour ces nergies est motiv par trois raisons fondamentales En effet les technologies d nergies renouvelables sont pratiquement bien adapt es aux usages d centralis s dans les pays en d veloppement et constituent des potentiels mobilisables importants avec une exploitation entra nant beaucoup moins de probl mes d environnement local que les nergies fossiles ou nucl aires M me travers le monde la place des nergies renouvelables est de plus en plus importante dans la consommation d nergie Elle occupera 4 3 milliards TEP en 2050 soit 23 contre 500 millions TEP 6 actuellement La baisse constante des co ts des nergies renouvelables notamment pour le photovolta que est aussi l une des raisons de l int r t alg rien Les co ts sont pass s de 50 c dollar kWh en 2000 10 en 2020 alors que pour le thermique solaire ils sont pass s de 17 c dollar kWh en 2000 6 en 2020 A terme ces nergies pourront concurrencer le gaz naturel s accordent dire les sp cialistes Les secteurs d application sont nombreux allant de l lectrification rurale des villages isol s l alimentation en eau des populations et du cheptel et irrigation des terres agricoles quipement des centres de sant en conservateurs m dicaux autonomes alimentation en nergie des relais de t l communications et production d eau chaude sanitaire A pr sent les technologies des n
78. ne pas n cessairement une diminution des effectifs due proportion toutes choses tant gales par ailleurs Les disparit s de nombre et de qualification des agents entre collectivit s locales et dans une mesure moindre entre tablissements de sant de m me strate exer ant les m mes comp tences sous la m me forme apparaissent souvent importantes et s expliquent principalement par le choix de limiter ou non les effectifs Les interrogations sur le nombre d agents tr s variable entre des collectivit s de m me taille exer ant leurs comp tences d une m me mani re directe ou d l gu e et marqu par de forts tropismes r gionaux commencent poindre 7 Les communes ont elles trop recrut Emmanuelle Stroesser Dossier Maires et pr sidents de communaut de France 11 juin 2012 p 38 43 44 Revista european de drept social 3 La gestion des carri res reste marqu e par une approche r glementaire des droits des agents La culture administrative de l application de la r gle et la satisfaction des exigences mat rielles des agents constituent des objectifs difficiles d passer nonobstant la volont affich e de la plupart des acteurs de la gestion des ressources humaines de valoriser davantage les m rites et les comp tences 3 1 Les processus d valuation d avancement et de r mun ration traduisent le double souci d administrer de mani re galitaire et de renforcer la comp titivit de
79. niveaux de pauvret en quipement et en habitat seraient donc plus accentu s chez les alphab tes majoritairement ayant fini leurs tudes Dans ce cas il existerait un d calage entre les opportunit s d emploi et la qualit de celles ci L utilisation des mod les conomiques permettra de mieux caract riser la situation d activit des femmes Aussi le panier de biens qui sert la cr ation de la variable PNM semble tre plus proche des pr f rences des plus jeunes et tr s loin de ceux des ruraux mais il n en demeure pas moins vrai qu il permet de capter l information sur la d cision de participer ou d orienter sa force de travail dans une activit plut t qu une autre connaissant les conditions de vie de son unit familiale comme stipul dans les hypoth ses 1 3 Caract risation de l offre de travail Cette pr sentation ne concerne que les actifs occup s D apr s les donn es ces actifs repr sentent au Cameroun et au Mali respectivement 64 55 et 71 80 de la population Une premi re analyse pr sente les traits communs qui existent entre les individus d une occupation une autre Les niveaux d absorption de la main d uvre potentielle par les secteurs public et priv sont les plus faibles 21 09 au Cameroun et 14 15 au Mali En revanche la population active est compos e en majorit de travailleurs ind pendants au Cameroun 57 66 Au Mali les aides familiaux et les travaill
80. normes manag riales imposition de l crit flexibilit polyvalence conduisent la mise en concurrence des ouvriers et au bouleversement des collectifs de travail traditionnels Les logiques manag riales s imposent progressivement aux salari s Les jeunes ont tendance valoriser les nouvelles normes de flexibilit et de polyvalence 7 L habitus est d fini par Pierre Bourdieu comme un syst me de dispositions durables et transposables structures structur es dispos es fonctionner comme structures structurantes c est dire en tant que principe g n rateurs et organisateurs de pratiques et de repr sentations qui peuvent tre objectivement adapt es leur but sans supposer la vis e consciente de fins et la ma trise expresse des op rations n cessaires pour les atteindre pour le dire plus simplement il s agit d expliquer comment les individus sont au moins partiellement d termin s dans leurs pratiques mais aussi dans leur conception du monde par leur classe sociale d appartenance 8 Renahy Nicolas Les gars du coin Enqu te sur une jeunesse rurale La d couverte Paris 2005 71 Revue europ nnee du droit social notamment parce qu ils n ont pas ou peu connu les modes d organisation ant rieurs La polyvalence rev t deux visages Alors qu elle est associ e d un c t aux exigences de productivit et de rationalisation des activit s elle peut tre de l autre source de valorisation individuel
81. nouvelles possibilit s l gales et r glementaires de mutualisation lois du 13 ao t 2004 et du 16 d cembre 2010 principalement entre communes et EPCI permettent la mise disposition de services de la commune vers l tablissement public de coop ration intercommunale EPCI ou de l EPCI vers les communes m me en cas de transfert partiel de comp tences la cr ation de services communs entre des communes et une intercommunalit en dehors des comp tences transf r es la mutualisation horizontale entre les d partements les r gions et leurs satellites par une mise disposition de services ou des services unifi s terme le mouvement de mutualisation devrait aboutir la mise en uvre d une politique harmonis e de gestion des ressources humaines sur un territoire tendu Toutefois il est significatif de constater que la mutualisation des personnels mise en uvre en 1970 par la communaut urbaine et de la ville de Strasbourg demeure ce jour la plus aboutie Pour autant les v ritables gains de productivit sont g n r s par les transferts de comp tence et non par la mutualisation des fonctions support actuellement privil gi e En revanche les tablissements de sant ont t conduits adapter en permanence leur organisation leurs moyens pour faire face leurs missions dans le contexte de d ficit budg taire de l assurance maladie et de l Etat qui sont leurs premiers financeurs 1 2 L tabli
82. offences such are in the Article 3 of the Directive 2008 99 CE refer to the operations of a plant in which a dangerous activity is carried out or in which dangerous substances or preparations are stored or used and which outside the plant causes or is likely to cause death or serious injury to any person or substantial damage to the quality of air soil water or to animals or plants With the same result are charging the production processing handling use holding storage transport import export or disposal of nuclear materials or other hazardous radioactive substances the killing destruction possession or taking of specimens of protected wild fauna or flora species except for cases where the conduct concerns a negligible quantity of such specimens and has a negligible impact on the conservation status of the species and trading in specimens of protected wild fauna or flora species or parts or derivatives thereof with the same exceptions Offences are also any conduct which causes the significant deterioration of a habitat within a protected site and the production importation exportation placing on the market or use of ozone depleting substances All the European Union states shall ensure Article 4 that inciting aiding and abetting the intentional conduct referred to the offences above mentioned are punishable as a criminal offence by effective and proportionate dissuasive penalties for any legal person who don t respect the st
83. ont permis la mise en uvre d une gestion pr visionnelle Toutefois la d marche se limite le plus souvent un effort de connaissance pr cise de l existant et des d marches d accompagnement ponctuel ou partiel des politiques strat giques Les d cisions en mati re de r organisation de territorialisation d activit s de remise en cause d activit s impactent les ressources humaines et les besoins en effectifs m tiers et comp tences Ceci vaut pour des projets comme des extensions d horaires d ouverture au public ou la mise en place de nouveaux proc d s techniques comme pour les choix entre diff rents modes de gestion comme le march la r gie et la d l gation pour la restauration les d chets l eau ou la voirie Dans son projet de modernisation de la gestion routi re le d partement de l Is re a d fini une organisation cible qui se met en place au fur et mesure des mobilit s et des d parts La direction des ressources humaines de la mairie de Roubaix compte un service prospective budg taire et organisationnelle charg d une fonction de conseil en organisation destination des services municipaux Le projet de gestion pr visionnelle du d partement du Var s inscrit dans une refonte 39 Revue europ nnee du droit social de l organisation globale des services qui integre l impact de l volution des missions sur les besoins futurs en personnels et en moyens logistiques Les
84. os y los varones alcanzan en el grupo de edad de 30 a 34 a os el 94 5 de la actividad mientras que las mujeres s lo llegan al 85 Consejo Juventud Espa a 2011 8 En este informe se se ala que en los intervalos de 25 a 29 a os y de 30 a 34 a os las mujeres no consiguen aumentar su actividad mas de un punto y medio mientras que los j venes varones lo hacen en 5 puntos marcando esta diferencia la dificultad de incorporarse al mercado laboral de las mujeres en tramos de edad relacionados con su primera maternidad Sin olvidar a los j venes con discapacidad que viven una doble situaci n de exclusi n social por las dificultades que esta sociedad mantiene al acceso y la participaci n tanto en materia de formaci n como de trabajo en este mbito El trabajo es una garant a de subsistencia y desarrollo personal para las personas con discapacidad donde se reconocen los derechos como ciudadanos de plenos derechos promulgados en la Convenci n sobre los derechos de las personas con discapacidad ONU 2006 La principal dificultad para caracterizar la situaci n respecto al empleo de los j venes con discapacidad es la pr ctica ausencia de datos actualizados VVAA 52 En estos momentos el empleo es el recurso por excelencia que permite tener ingresos para poder cubrir las necesidades y la inclusi n social donde cualquier persona con una vida estabilizada puede estar en riesgo de exclusi n si pierde su trabajo en el contexto de la actual cr
85. ou reprendre contact avec d anciennes connaissances En ce sens ils font un r seautage tourn vers le d veloppement d un capital social devant favoriser leur mobilit ascension professionnelle A la diff rence de Charles Alexandre cependant nombreux sont ceux qui voient d un mauvais il de telles pratiques Contrairement ce que ce dernier avance il ne s agit pas d une forme d autocontrainte motiv e par une pression sociale sanctionnant n gativement la sollicitation d trangers Il s agirait plut t d une pratique o les utilisateurs privil gient la reproduction de relations de confiance En ce sens elle est dot e d une rationalit diff rente davantage tourn e vers un besoin de s curit et la n cessit de maintenir le lien avec des proches ayant suivi des parcours de vie similaire m me parcours scolaire m me entreprises etc Lors de la premi re phase de l enqu te les entretiens avaient r v l que les jeunes dipl m s taient optimistes quant l efficacit des r seaux sociaux professionnels pour trouver un emploi invoquant certaines dimensions de l outil plus que d autres selon leur profil M me s ils n taient pas toujours en mesure de mobiliser une exp rience personnelle ou venant d un tiers le plus souvent d un proche corroborant cet optimisme les enqu t s laissaient penser qu ils avaient int rioris s les discours d accompagnement sur ces nouveaux inte
86. p 38 43 L influence du m rite sur les salaires et les promotions Jean Marie Gorgue Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 96 100 L engagement des agents territoriaux au travail St phane Gu rard Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 74 84 Quels sont les effets de la mise en place de la gestion pr visionnelle des m tiers et des comp tences l h pital public Christophe Barret Les cahiers hospitaliers 1 mai 2012 p 27 30 Performance efficience le personnel de la fonction publique en mutation Florence Crouzatier Durand Revue Jurisclasseur mars 2012 L institution de l employeur public Jean Saglio Pouvoirs locaux 17 juin 2001 p 65 68 La sp cificit publique l preuve de la fonction publique territoriale mod les et avenir 3 journ e du cycle Droit du travail et des fonctions publiques le 29 mars 2012 Angers Lamy collectivit s locales 30 juillet 2012 p 63 105 Nos collectivit s deviennent elles des entreprises La Lettre du cadre territorial 20 octobre 2011 n 430 Jean Jacques P nin Un plan strat gique des ressources humaines Jacques Beaupied La Lettre du cadre territorial 15 juin 2011 p 34 38 Management public et ressources humaines Robert Holcman Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 52 56 La gestion des ressources humaines dans les collectivit s territoriales Philippe Nasciet Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 85 88 L Europe l heure du New Public Management Laure Thibault Pouvoirs locaux 1
87. parer l avenir du futur dipl m Ce c ur de comp tences pluridisciplinaires commun tous les titulaires du DUT GIM comprend une formation G n rale math matiques langues communication informatique e une formation Scientifique et Technique G nie Electrique G nie M canique G nie Thermique e une formation Professionnelle et transversale ax e sur les techniques les m thodes et outils de gestion et d organisation de la maintenance Le DUT GIM est un dipl me professionnalisant La formation comprend e des travaux pratiques en petits groupes 12 tudiants 40 de la formation e des projets tuteur s ils ont pour objectif de placer les tudiants en situation d autonomie Les projets tuteur s doivent permettre l tudiant de devenir autonome dans l utilisation et la mise en application des savoirs et savoir faire Les sujets des projets peuvent tre fournis par un enseignant par une entreprise ou une collectivit territoriale Ces projets permettent l apprentissage de la m thodologie de conduite de projet travail en groupe gestion du temps de travail respect des d lais la mise en pratique des savoirs et savoir faire recherche documentaire proposition de solutions r alisation d un rapport l apprentissage de l autonomie et de la polyvalence e Un stage industriel d au moins 10 semaines compl te cette formation Il a pour but de confronter l tudiant aux fonctions d
88. perte de rep res quotidiens A D un autre c t les aptitudes utilisables changent selon le poste occup On peut ainsi craindre que le passage d un poste un autre serait ce pour une courte dur e r v le ou rencontre l incomp tence du rempla ant B A La perte de rep res cons cutive la mobilit interne M me l homme nomade a besoin de points fixes auxquels s ancrer Ces points d ancrage tant professionnels et familiaux Mais les premiers souffrent certainement de l obligation pour le soignant d aller d un service l autre Quant aux rep res familiaux ils p tissent de la flexibilit c est dire de la mobilit dans les plages horaires occuper en urgence Tout d abord l infirmi re passe l h pital le tiers ou la moiti de sa journ e Or elle n est pas forc ment affect e un service sp cifique et doit donc parfois aller uvrer en diverses unit s de soins Elle se retrouve ainsi d pays e devant des tres patients malades et des choses mat riels produits mal connus Dans ce cadre on peut douter qu elle s int gre pleinement une quipe La mobilit appara t d s lors comme un obstacle l implication du soignant int rimaire dans les comit s et projets des services o il passerait Pour tre efficace le soignant doit conna tre ses outils et ses patients Or certains mat riels ne sont utilis s que dans tel ou tel unit de soins Et quand un typ
89. pour une des modalit s de ces variables dichotomiques N anmoins il existe des modalit s non consistantes dans les deux cas pour lesquels les poids relatifs sont inf rieurs 5 qui sont supprim es dans les analyses En g n ral ce sont les modalit s des r ponses non pr cises Autres Inconnu etc des variables Instruments de cuisine Eau d usage Mat riaux de construction et Mur qui sont ventil es entre les autres modalit s de ces variables 100 Revista european de drept social 1 2 1 1 Choix du nombre d axes factoriels L analyse des crit res du cumul d inertie et du Coude proposent de retenir les 7 et 8 premiers axes factoriels respectivement sur les populations malienne et camerounaise N anmoins les premiers facteurs expliquent une grande part des inerties totales 1 2 1 2 Modalit s interpr tables par axe factoriel Les contributions les plus importantes la formation du premier axe factoriel concernent le groupe des biens d quipement pour la population camerounaise 1 2 1 3 Associations entre modalit s des variables actives Pour les analyses sur la population camerounaise les projections du nuage des modalit s sur les diff rents plans factoriels form s par les 8 premiers facteurs font ressortir deux groupes d individus les non pauvres qui sont mieux quip s et mieux lotis et les pauvres Ainsi les pauvres vivent dans des conditions pr caires et s approprient moins le
90. pratiquent moins les activit s d aides familiales par rapport aux femmes divorc es aux femmes veuves etc 108 Revista european de drept social Lorsqu une femme active est chef de m nage elle r ussit a s ins rer tr s souvent comme aide familiale ou salari e Aussi les chances pour qu une femme chef de m nage soit ind pendante sont plus faibles que si elle devait tre au ch mage Il est plus facile d observer une femme qui poursuit ses tudes au ch mage que salari e La non significativit des deux autres coefficients estim s de la modalit Formation Oui provient de l ind pendance des comportements des femmes pour le choix d une occupation sp cifique ind pendante ou aide familiale De plus les estimations r v lent que les femmes pauvres sont le plus souvent au ch mage au lieu d tre salari es Ainsi la situation de pauvret de celles ci est plus attach e leurs positions sur le march de l emploi plus qu autre chose En outre la non significativit du Ratio de Mills suppose qu il n y a pas eu biais de s lectivit sur la sp cification de l offre de travail Cela pourrait s expliquer par le faible niveau de ch mage et par la prise en compte d un grand nombre de facteurs explicatifs des trois occupations professionnelles des femmes au Cameroun 1 3 2 Offre de travail des femmes Cas du Mali L offre de travail des femmes au Mali est plus li e aux caract ristiques
91. proc dures de recrutement insuffisamment ouvertes Les collectivit s sont tenues de d clarer les emplois vacants au centre d partemental de gestion de la fonction publique territoriale A l exception des h pitaux la publicit est g n ralement minimale et se limite la d claration au centre de gestion La d termination des emplois pourvoir par mobilit interne par mobilit externe ou par recrutement sur le march de l emploi n appara t pas toujours clairement faute de processus de recrutement anticipant suffisamment les besoins pour s op rer par tapes En outre il est fr quemment observ que le d lai observ entre la publication des vacances d emploi et le recrutement couramment inf rieur un mois y compris sur des postes d encadrement ou lors de la p riode estivale est insuffisant pour accro tre le nombre et la qualit des candidatures La d termination du d lai observer fait l objet d une appr ciation d esp ce Le juge administratif a estim que pour pourvoir un emploi n cessitant des comp tences courantes un d lai de trois semaines tait insuffisant alors qu un d lai de deux mois est suffisant Parfois la publication elle m me fait d faut ce qui est n cessairement r pr hensible De mani re g n rale les collectivit s ne prennent pas toutes les dispositions pour assurer la meilleure publicit leurs offres d emploi Inversement les h pitaux recourent quasi syst m
92. professionnelle et les comp tences techniques acquises se trouvent d grad es au sein de nouvelles formes de travail Nombre de conflits entre ouvriers sont le fruit de socialisations professionnelles diff renci es En effet longue pour les anciens courte pour les jeunes la socialisation explique que les points de vue puissent diverger Les anciens avaient leurs habitudes et ils s taient de fait satisfaits de leur activit de travail qui se trouve aujourd hui fondamentalement remise en cause par l imposition de ces nouvelles normes professionnelles Les plus jeunes restent quant eux soumis de fortes contraintes et ne t moignent pas d un consentement total ces nouvelles r gles Mais ils sont malgr tout plus enclins que les anciens s y soumettre dans l espoir d une ascension professionnelle ou de profits financiers pour le travail de nuit A l instar de Lucie Goussard nous convenons qu il n y a pas d indiff rence des salari s aux mutations organisationnelles et manag riales m me si force est de constater que les r ticences aux mutations qui contribuent d faire le collectif prennent le plus souvent la forme d actes individuels masqu s et spontan s Goussard 2008 p 186 73 Revue europ nnee du droit social Partie Il La renaissance du collectif Quand la crise conomique re constitue la classe ouvri re Apr s avoir expos dans un premier temps les facteurs entravan
93. resources management Introduction Les administrations locales frangaises constituent des acteurs importants sur le march du travail Elles repr sentent 12 de l emploi sur le territoire fran ais Ainsi sur les 5 3 millions d agents publics que compte la France les collectivit s locales et leurs tablissements publics en emploient 1 8 million et la fonction publique hospitali re dont les agents sont g r s de droit ou de fait localement nonobstant le 37 Revue europ nnee du droit social statut national des tablissements en emploie 1 1 million Les effectifs des agents territoriaux ont connu une forte croissance depuis 30 ans en raison du d veloppement des politiques publiques locales et des transferts de comp tences de l Etat La Cour des comptes et les chambres r gionales des comptes constituent dans l exercice de leurs fonctions d valuation des politiques publiques et de contr le de la r gularit de l conomie des moyens et des r sultats atteints des observateurs privil gi s des volutions qui affectent les collectivit s locales et les tablissements hospitaliers Les observations et les recommandations qu elles formulent notamment les plus r centes de 2011 et 2012 permettent de dresser un tableau large et critique des ambitions et des lacunes dans le domaine des ressources humaines La gestion pr visionnelle des ressources humaines a fait l objet d une enqu te d valuation men e
94. s arr ter de travailler en vue de prendre des vacances Heureusement de nombreux progr s sont survenus progressivement En 1906 le repos hebdomadaire dominical en 1936 trois semaines obligatoires de cong s pay s en 1981 deux semaines suppl mentaires A l h pital plus qu ailleurs ces p riodes de repos s expliquent d au moins trois fa ons D une part les agents doivent pouvoir s occuper d eux m mes et de leur famille D autre part une activit continue puise l individu et l expose des accidents professionnels De troisi me part la qualit du travail r alis baisse quand augmente la fatigue Le temps de travail des infirmi res est ainsi strictement limit par des repos de s curit Le cadre charg d tablir les emplois du temps en tient obligatoirement compte Juridiquement c est le chef d tablissement qui prend un arr t relatif aux horaires du mois Le droit administratif parle de tableau de service Les plannings ainsi d finis tant tre port s la connaissance des agents quinze jours au moins avant leur mise en uvre Un affichage qui permet aux agents de pouvoir les consulter Mais compte tenu de l absent isme les textes pr voient la possibilit de modifier les heures de travail initialement programm es Sachant que les agents devraient tre inform s de la modification 48 heures avant son application et qu elle devrait tre crite sur le tableau de service Toutef
95. sant ou d un arr t du directeur de l h pital Le probl me du cadre de sant est que son sous effectif n appara t pas syst matiquement la hi rarchie si celle ci se fie au seul effectif d di au service L absent isme donne l impression d tre sous dot en personnel La mobilit peut exceptionnellement tre spontan e si par exemple en traumato il y a un arr t que personne n a remplac a arrive souvent et tr s souvent que notre quipe on se d tache On fait notre travail chez nous une fois que c est termin on va leur donner un coup de main M me si on est en quipe compl te des deux c t s si ils ont beaucoup de boulot d un c t on y va et on s entraide Malgr tout les participants y trouvent encore plus qu un int r t moral Car des comp tences nouvelles sont acquises par les soignants qui participent la mobilit interne Les fonctions assum es peuvent ensuite prises en compte pour leur avancement La r alit des comp tences acquises peut par ailleurs tre confirm e par des autorit s ext rieures l h pital Par exemple l occasion des validations des acquis de l exp rience VAE ou l occasion des certifications et accr ditations La mobilit interne prend aussi la forme d un changement du type de t ches Le probl me est qu l h pital la plupart des actes sont reconnus exclusivement des professionnels pr cis Dans le service public la notion de
96. savoir bien les utiliser D ailleurs l h pital ne fait pas r diger les protocoles par simple souci d uniformisation ou par volont de fournir une m moire ou un aide m moire sur la dispensation des soins Effectivement les valuations et certifications les rendent obligatoires Leur finalit est d viter l amateurisme et l improvisation Dans ces conditions les agents peuvent naviguer sans crainte travers les diverses unit s de soins Les protocoles aboutissent une standardisation des pratiques dans les divers h pitaux de France Surtout s ils sont publi s sur Internet comme c est le cas sur infirmiers com Est ce que les soignants conservent une possibilit d initiative individuelle On sait que le m decin ayant le premier pr conis le lavage r guliers des mains a t vilipend par les autres membres de sa profession Esp rons qu aucune sanction syst matique ne frappe les auteurs d carts aux protocoles D autres obstacles existent l encontre de la mobilit des infirmi res 90 Revista european de drept social lll Les limites de la mobilit interne des infirmi res La mobilit interne s accompagne d inconv nients En tous cas il n est pas toujours possible de la mettre en uvre Les limites que pr sente alors le recours la mobilit interne concernent les rep res et la comp tence soignants D un c t des cons quences f cheuses peuvent survenir de leur ventuelle
97. se respeten los derechos y libertades fundamentales Para terminar con la actual Ley 14 2011 de 1 de junio de la Ciencia la Tecnolog a y la Innovaci n LCTI que establece en su t tulo preliminar III el fomento de la investigaci n cient fica y t cnica y sus instrumentos de coordinaci n general con un fin concreto contribuir al desarrollo econ mico sostenible y al bienestar social mediante la generaci n difusi n y transferencia del conocimiento y la innovaci n Se aprecia que sigue vigente el eterno y recurrente debate sobre los fines de la universidad y el modo de articular su gobierno institucional Rodr guez J M 2010 3 En el sistema universitario espa ol se establece que la Universidad debe ejercer un papel importante en el desarrollo social y humano a trav s de programas y pr cticas que contribuyan en la realizaci n de una sociedad m s equitativa y participativa desde iniciativas que promuevan el voluntariado y la cooperaci n en organizaciones no gubernamentales como de entidades no lucrativas que conformar el tercer sector La Conferencia de Rectores de Universidades Espa olas CRUE se incorpora al asociacionismo europeo formando parte de la European University Asociaciation EUA la Organizaci n de las Naciones Unidas para la Educaci n la Ciencia y la Cultura UNESCO que estableci un Convenio sobre el reconocimiento de cualificaciones relativas a la Educaci n Superior en la Regi n Europea 1997 La CRUE se e
98. ses DARES n 10 3 mars REDOR D 2003 Comparaison des politiques d incitation l emploi des salari s g s au Danemark en Finlande et en Su de Revue fran aise des affaires sociales volume 57 n 4 p 251 272 DELTEIL V REDOR D 2005 L emploi des travailleurs g s mesures cibl es et dispositifs g n raux L exemple de l Europe du Nord Premi res Informations et Premi res Synth ses DARES n 21 2 mai 64 Revista european de drept social Par exemple en tudiant le mod le danois Barbier nous invite comprendre pourquoi la r forme d un syst me d emploi et de protection sociale pour autant qu elle doive s imprimer dans la dur e d une r alisation effective doit pouvoir s inscrire dans une coh rence soci tale propre Son analyse de la soci t danoise d voile une coh rence complexe celle des arrangements institutionnels videmment impossible importer par on ne sait quelle bonne pratique Cette question de la coh rence soci tale peut aussi se traduire au niveau local de l entreprise En effet les pratiques d entreprises s inscrivent dans un contexte environnemental sectoriel conomique concurrentiel et manag rial donn contexte qui peut entrainer des r flexions court terme Conclusion Malgr les mesures et les dispositifs mis en place notamment dans la foul e du Pacte des g n rations la Belgique ne parvient pas encore
99. social a d j retenu un num ro sp cial pour publier les actes du prochain colloque que nous souhaitons aussi r ussi que celui ci auquel nous esp rons vous revoir nouveau Marc Richevaux Va suivre dans le num ro prochaine 138 THE INTERNATIONAL NOTION OF VICTIM IN JUDICIAL PROCEEDINGS dr lon FLAMANZEANU Research Institute for Legal Research Andrei Radulescu Romanian Academy Abstract In the Declaration A RES 40 34 adopted by the General Assembly of the United Nations on 29 November 1985 on the fundamental principles of justice relating to victims of criminality and the victims of abuses of power the notion of victim had its greatest recognition which achieved a fundamental step for humanity restated by the Commission on Human Rights resolution 2003 34 EICN 4 RES 2003 34 The right to restitution compensation and rehabilitation for victims of grave violations of human rights and fundamental freedoms it implies that the victim was considered on the level of human rights So on 16 December 2005 the General Assembly of the Commission on Human Rights adopted Resolution 60 147 Basic principles and Guidelines on the Rights to Remedy and Reparation for victims of gross violations of International Human Rights law and serious Violations of International humanitarian law The same notion has been taken up again in the United Nations Convention against Transnational Organized Crime in Palermo 2000 adopted by the General Assem
100. sur un march de travail segment une analyse appliqu e au cas du Maroc Centre d conomie du d veloppement Universit Montesquieu Bordeaux IV CADORET amp al 2009 Econom trie appliqu e 2 me dition de Boeck Universit Bruxelles Page 403 448 CALOT G rard 1978 Cours de calcul des probabilit s DUNOD Poitier COMBARNOUS Fran ois La mise en uvre du mod le logistique multinomial embo t dans l analyse de la participation au march du travail Universit de Montesquieu Bordeaux IV Document de travail no 39 CREPON Bruno et JACQUEMET Nicolas 2006 Econom trie lin aire appliqu e Pages 197 226 DABITAO DEMBELE HAIDARA et SOUGANE 2011 Pauvret multidimensionnelle et condition de vie au Mali 2001 2006 Cachier de Recherche PMMA Pages 1 50 DAVOINE et ERHEL 2007 La qualit de l emploi en Europe une approche comparative et dynamique Revue Economie et Statistique No 410 Page 47 69 DOYON Michael et FORTIN Mario 2008 Mod le dynamique en pr sence de biais de s lection et d h t rog n it inobserv e Application la participation des femmes sur le march du travail au Canada Universit de SHERBROOK Cahier de recherche GREDI 08 23 DOUMBIA GAKOU et KUEPIE 2008 Niveau et d terminant de l insertion des femmes sur le march du travail au Mali Document de Travail DIAL GOURIEROUX M Christian 1999 Econom trie des variables qualitatives 117 Revue euro
101. the time In this regard it should be noted that some European philosophers of that time and Siger of Brabant 1235 1282 AD were Jean de Jandun 1328 AD have supported these ideas Another source cited in the works of Thomas Aquinas was Moses Maimonides is 1135 1205 AD He proposed similar concepts with those of Thomas Aquinas showing a distinction between divine law and natural law In this view between divine law and natural law is a relationship of the whole to the part Of course the above approach tends to promote ideas that support the theory of natural law However the natural law and positivist theories are not completely wrong or completely valid In fact the two major current complement each other and apply to the system of law from case to case These theories are to be applied 10 William J Bouwsma John Calvin A Sixteenth Century Portrait New York Oxford University Press 1989 pp 74 75 11 Richard L Gregory ed The Oxford Companion to the Mind Oxford Oxford University Press 1998 p 19 12 JuliusStone Human Law and Human Justice Stanford University Press Stanford California 1965 pp 46 48 13 John Goyette Mark Latkovic Richard Myers S ST Thomas Aquinas and the Natural Law Tradition Contemporary Perspectives Catholic University of America Press 2004 pp 43 57 156 Revista european de drept social in practice not on to the law in its entirety but partial depending on the branch of
102. thode l avantage de projeter l ensemble des individus sur les plans factoriels form s en conservant le maximum de l information qui existe dans les observations Les groupes propos s sont ainsi relativement homog nes l int rieur des classes et la variance inter groupes est maximale Le pooling est une technique tr s utilis e dans les tudes de comparaison Cette technique consiste faire l analyse sur tous les individus tout en ajoutant une variable de localisation comme le pays dans notre cas pour rappeler leur appartenance Et le poids de chaque chantillon est relative la taille de la population laquelle l chantillon appartient parmi toutes les populations d tude La participation est un fait social et donc plusieurs param tres sont susceptibles d interf rer dans la participation des individus l activit conomique Aussi bien dans la th orie des strat gies de survie que celle des f ministes la pauvret joue un r le capital dans leurs analyses Par cons quent une approche de la pauvret non mon taire par les conditions de vie est utilis e 1 2 1 Consistance des variables d int r t et rapprochements entre modalit s L tape d apurement sur la population camerounaise r v le que toutes les variables sont consistantes Cependant toutes les variables d quipement T l phone Radio R frig rateur etc sont inconsistantes sur la population malien Tr s faible poids relatif
103. to the Christian world Other medieval philosophers had implicit influence in matters of natural law For example Avicenna s precursor Alpharabius 872 950 AD al Farabi proposes two sources as the basis of social development a theory of the social contract and the desire for power Avicenna 980 1037 AD IbnSina shows that the universe is structured and foreordained by God Averroes 1126 1198 AD IbnRushd another Islamic philosopher whose works were the inspiration for Thomas Aquinas strengthens the Aristotelian conception of natural law enshrined by Avicenna saying that man can achieve its naturalgoals only in an ideal state with a constitution and an ideal law Some Islamic philosophers have strongly rejected the Aristotelian view on natural law establishing the influence of the divine omnipotence instead of that of nature In this direction the most relevant are the worksof the known philosopher Al Ghazali 1058 1111 AD of which the most significant work is The Incoherence of Philosophers His views were in turn criticized by other philosophers advocates of Aristotelian ideas such as Averroes IbnRushd or Abubacer 1105 to 1185 AD IbnTufail Similar concepts of that of Averroes hadAvenpace 1138 AD IbnBajjah and Abubacer IbnTufail These ideas have entered European thought as a result of Umayyad conquest of Spain Most of these Islamic philosophers influenced the European philosophical concept signified at
104. tre sollicit es pour un remplacement conduit leur disparition La pr f rence s est un temps orient e vers les infirmi res des entreprises de travail temporaire En effet une organisation qui a momentan ment besoin d un personnel qualifi s interdit de le recruter d finitivement Mais leur chert apparente a progressivement ferm cette solution de repli Alors les agents acceptent la mobilit qui leur permet la fois d exercer leur profession et d obtenir quelques facilit s 81 Revue europ nnee du droit social B Les int r ts procur s aux soignants par la mobilit interne Les int r ts de l h pital ne sont pas forc ment oppos s ceux des soignants Il n emp che que certaines cons quences heureuses de la mobilit interne concernent d abord les soignants Premi rement ils profitent plus facilement de leurs temps de repos Deuxi mement la mobilit interne permet aux soignants de renouveler leurs comp tences Pour commencer plusieurs r gles de droit imposent l encadrement hospitalier de planifier le temps de travail et de repos des soignants Cette programmation est facilit e par la possibilit de d placer les agents vers les postes en souffrance d effectif Pendant longtemps un salari ne percevait de salaire que pour avoir effectivement travailler pendant la p riode consid r e En cons quence tout salari qui ne disposait pas d conomies substantielles ne pouvait jamais
105. un v ritable pand monium la place ne rassure rien c est l individu qui doit assurer tout et affronter le risque la jurisprudence insolite de nos jours repr sente pour nous un s rieux t moin voir la partie finale de la conf rence 2 les si dites actions collectives donnant force une sorte de figure tot mique irr elle et vraiment ridicule par son esprit isolationniste li e aux concepts n o tribalistes d sign s par le jus sanguinis le droit du sang comme les actions propos es par les ethnocentristes et les s paratistes de tous azimuts et de tout genre exempli gratia justicialisme collectiviste exacerbant corporatiste et d raisonnable par ses pr tentions antihumaniste r duisant l individu aux racines la place de la couronne de la m me souche partir d ici exempli gratia Vinhibition des m decins par le si dit mal praxis ind fini qui pr ne une sorte d infaillibilit humaine et un f tichisme des contrats de r sultat en abolissant le plus humain contrat de moyen les nobles buts de la convivialit pacifique et ouverte l exag ration du principe d estoppel de l expectative l gitime et de la responsabilit politique assez r duite dans le droit romain voire les 3 actions sans 33 Revue europ nnee du droit social consentement pollicitatio visant une promesse de don d un candidat une magistrature de la cit votum visant une promesse faite une divinit
106. 0 d activit 2010 5 7 m Agriculture sylviculture p che m Industrie m Construction 42 m Commerce transports services divers m Administration publique enseignement sant action sociale Graphique 1 Ce premier graphique met en vidence le faible r le jou par le p le industriel dans la structure du salariat local Le tissu conomique local se caract rise avant tout par la pr dominance du secteur tertiaire construit autour de secteurs d activit s phares l universit le centre hospitalier r gional universitaire l administration r gionale et les commerces Mais le nombre d tablissements industriels et les emplois qu ils induisent ne peuvent suffire l appr hension de la population ouvri re Quand bien m me le secteur industriel emploie localement 5318 salari s il est n cessaire de d passer ce premier constat pour observer ce qu il en est de la fraction ouvri re du salariat industriel et de son poids dans la population active 68 Revista european de drept social Part d ouvriers dans la population active 2009 Part d ouvriers dans la population active en France Poitou Vienne CAP Chatellerault Poitiers Charentes Graphique 1 Le graphique 2 tablit la comparaison interterritoriale de la part d ouvriers dans la population active Il permet de faire un premier constat l agglom rati
107. 005 Apprendre vraiment du Danemark Quatre pages du CEE n 18 juillet BEHAGHEL L 2005 Les seniors entre formation et viction Connaissance de l emploi n 14 DELTEIL V REDOR D 2003 L emploi des seniors en Europe du Nord Premi res Informations et Premi res Synth ses DARES n 10 3 mars DELTEIL V REDOR D 2005 L emploi des travailleurs g s mesures cibl es et dispositifs g n raux L exemple de l Europe du Nord Premi res Informations et Premi res Synth ses DARES n 21 2 mai CSE 2011 Rapport annuel 2011 Bruxelles p 15 GAULLIER X 2002 Retraites pr retraites et temps de la vie Droit social n 2 f vrier p 148 GUILLEMARD A M 2003 L ge de l emploi Les soci t s l preuve du vieillissement Paris Armand Colin GUILLEMARD A M 2004 Les soci t s l preuve du vieillissement Le d fi de l emploi en seconde partie de carri re Futuribles n 299 juillet ao t p 50 JOLIVET A 2003 Partir en retraite plus t t ou plus tard quelles implications d une ouverture des marges du choix individuel Revue de MIRES n 43 3 p 1 21 JOLIVET A 2007 Augmenter l emploi des seniors comment et avec quelles cons quences Chronique internationale de MIRES n 109 LEONARD D 2008 Quand l Etat s engage en faveur du maintien au travail quelques le ons du Fonds de l exp rience professionnelle Revue de l Institut de
108. 7 Strat gie de survie et procr ation Une tude des bidonvilles d Asuncion Paraguay CRDI Universit de Montr al Page 1 49 SAPORTA Gilbert 1990 Probabilit s Analyse des donn es et Statistique Editions TECHNIP Paris Page 402 428 THOMAS Alban 2000 Econom trie des variables qualitatives DUNOD Paris Page 51 155 L adresse des donn es du BIT http laborsta ilo org 118 LES R SEAUX SOCIAUX PROFESSIONNELS EN LIGNE VERS UNE POLY INSTITUTIONNALISATION DU MARCH DU TRAVAIL Julien MESANGEAU Arnaud POVEDA LAS Universit Rennes2 CARISM Universit Paris 2 GERIICO Universit Lille 3 Abstract The 00 s are a context of deep transformation both for professional institutions and for the labour market Since the late 70 s and the oil shock short labour employment had become a norm for all the new incomers in the labour market without degree distinction To face this situation the State tries with several public policies to control an uncertain economical context At the same time since the 90 s and the early 00 s web based services and the social network sites have participated on the first hand to the labour market restructuration and on the other hand to the mediation of professional relationship As the young incomers are connected to the social network sites what do the traditional actors of the labour market become and what is the part for these online services Finally what do the link stronger th
109. 7 juin 2011 p 115 118 30 ans de r formes de la gestion publique dans les pays de l OCDE Annie Chemla Lafay Pouvoirs locaux 17 juin 2011 p 38 44 52 L EMPLOI DES SENIORS EN BELGIQUE EVOLUTIONS ENJEUX PERSPECTIVES L onard DIMITRI D partement des Sciences sociales et des Sciences du travail Universit libre de Bruxelles ULB Belgique Abstract There are still many European countries recording an unsatisfactory senior employment rate compared to the target of 50 set for 2010 to a community level Belgium 38 didn t escape although we observed since the early 2000s contours and features of an activation policy of employing older workers In 2005 the Pact for Solidarity between generations embodies the will of the Belgian government to make restrictive early exits from the labour market and to answer the European injunction rate to increase employment of older workers The pact breaks with a retirement policy marked since decades by encouraging youth employment and the use of early leaves What is the situation of older people in on the labour market in Belgium What are the measures deriving from the Pact How to define the Belgian public policy in this area in terms of other European countries Keywords Employment Policy Active Aging Employment of Older Workers Working Conditions Introduction Depuis la fin des ann es 1990 le discours normatif europ en en faveur du vieillissement actif s est progressivem
110. Avicenna Abubacer Averroes etc Finally during contractualist theories include thinking stage of Hugo Grotius Pufendorf and Thomasius followed plus the subsequent European influences and American universalism In the Middle Ages the main representatives of the school of natural law jus naturale are St Augustine of Hippo 354 430 AD and St Thomas Aquinas 1225 1274 AD The first distinguishes the kingdom of heaven from the earthly kingdom 1 lon Fl m nzeanu Actiunea normei juridice n timp Studii de Drept Rom nesc an 20 53 nr 1 2 pp 184 185 154 Revista european de drept social Heavenly kingdom is the paradigm on which earthly kingdom must be based The state and law are subject to church power St Augustine using the concepts first mentioned by St Paul uses the concept natural lexscripta in heart natural law in written in the heart Roman ideas of natural law were taken and other Christian church fathers such as St Ambrose St Jerome St Gregory etc St Ambrose 337 397 AD believed that the Ten Commandments were enacted and communicated to Moses because humanity has ceased to observe the natural law Similarly St Jerome 347 420 AD believe that God has given natural rights to mankind St Basil the Great 330 379 AD also discusses the issue of natural law showing that with the first order of divinity the natural order becomes immutable St Aquinas considers natural law as an ord
111. C la diff rence qu il vise l instauration d une zone de libre change d rogation que permet l article 17 du GATT Par ailleurs l accord d association est tabli sur les bases de r ciprocit cependant un d lai est accord l Alg rie pour proc der la suppression des droits de douane et la mise en uvre des autres engagements Dans le cas de I OMC les pays acc dants offrent un ticket d entr e et b n ficient en retour sans discrimination de tous les engagements des autres pays membres 2 5 Investissements publics massifs Gr ce la manne p troli re l Alg rie s est lanc e dans des investissements publics massifs en commen ant pour la p riode 2005 2009 par un programme de 55 milliards de dollars programme compl mentaire de soutien la relance conomique 7 Hors hydrocarbures difficile de faire mieux Ali Bey Nasri Pr sident de l association nationales des exportateurs alg riens 2007 167 Revue europ nnee du droit social Ce dit programme devrait permettre de faire face aux besoins les plus urgents en mati re de prestations de services publics tout en rattrapant le retard pris dans la r habilitation des infrastructures pendant la p riode de terrorisme et de r pondre aux besoins majeurs de leur modernisation et d veloppement Un tel niveau de d penses publiques comporte des d fis majeurs en termes de qualit des d penses Il soul ve plus que par le pass des d fi
112. Certes ce taux est en croissance relative depuis quelques ann es mais il reste nettement inf rieur la moyenne europ enne et serait li selon le Conseil sup rieur de l emploi CSE des facteurs conomiques et d mographiques plut t qu l volution du contexte institutionnel C est donc surtout les signes d un changement de discours politique qu il faut souligner davantage qu un changement de comportement et de mentalit des acteurs du march du travail a contrario de la situation dans d autres pays europ ens Dans cette contribution nous retra ons tout d abord bri vement l volution des politiques publiques en mati re de fin de carri re en Belgique Nous revenons ensuite sur la place occup e par les seniors sur le march du travail et sur certaines mesures existantes avant d exposer quelques enjeux pour les entreprises et pour les travailleurs Nous mettons enfin en perspective les enseignements tirer de quelques r formes r alis es l tranger 3 MOULAERT T 2005 La fin de carri re Des politiques en d bat Bruxelles Courrier hebdomadaire CRISP n 1882 2005 4 Cette contribution s inspire largement d un texte qui n a jamais t publi et qui s intitulait Le vieillissement actif en Belgique Initialement cor dig avec Thibauld MOULAERT ce texte constituait la suite de MOULAERT T LEONARD D 2011 Le vieillissement actif sur la sc ne europ enne Bruxell
113. La mod lisation de l offre de travail des femmes au Cameroun r v le que l h t rog n it en capital humain expliquerait leurs positions sur le march de l emploi Les femmes ayant acquis un niveau d ducation suffisant s orientent et ce significativement dans les activit s relativement plus s curis es En effet les femmes ayant fini au moins leurs tudes secondaires ont plus de chances de travailler dans les secteurs public et priv De plus il est plus probable qu une femme occup e de niveau primaire soit aide familiale L accumulation du capital humain est donc un facteur qui ventile facilement Poffre de travail des femmes au Cameroun Les femmes sont plus contraintes de travailler de fa on ind pendante quand elles sont issues de familles nombreuses Leurs choix d occupation professionnelle varient avec l ge En effet les travailleurs ind pendants sont relativement jeunes alors que les plus g es s ins rent plus comme salari es et aides familiales De plus les femmes actives sont d abord des employ es dans les zones urbaines alors que dans les zones rurales elles voluent plus comme des travailleuses ind pendantes Cependant les activit s d aide familial sont plus r pandues dans les zones urbaines que dans les zones rurales Les femmes actives c libataires sont le plus souvent ind pendantes m me si la proportion de femmes salari es en activit n est pas n gligeable En fait elles
114. REVUE EUROP ENNE DU DROIT SOCIAL Maison d dition Bibliotheca e Atest e par le Minist re de la Culture et des Cultes avec l avis no 4363 27 05 1997 e Acredit e par le Conseil National de la Recherche Scientifique CNCS 2011 2014 e Membre de l Association des Editeurs de Roumanie AER Romanian Publishers Association RPA N Radian KB 2 3 T rgoviste 130062 tel fax 0245 212241 e mail biblioth gmail com www bibliotheca ro REVUE EUROP ENNE DU DROIT SOCIAL Volume XIX ISSUE 2 Year 2013 dition Bibliotheca T rgoviste 2013 La Revue est reconnu e par le Conseil National de la Recherche Scientifique de l Enseignement Sup rieur CNCSIS categorie B avec avis no 828 2007 en vidence BDI Copernicus CEEOL et EBSCO Publishing Comite scientifique Scientific Board Antonio Baylos Professeur de Droit du Travail et de la S curit Sociale l Universit de Castilla La Mancha Spain Dimitri Uzunidis Directeur du Laboratoire de Recherche sur l Industrie et l Innovation ULCO France Alexandru Ticlea Professeur Recteur de l Universit Ecologique Bucarest Roumanie Sophie Boutillier Directrice de recherche au laboratoire Red ploiement industriel et innovation l Universit du Littoral C te d Opale France Ahmed Smahi Enseignant Chercheur la Facult des Sciences Economiques et de Gestion Universit de Tlemcen Alg rie Ana R Mart n Minguij n Doyen de la Facult
115. Si la maintenance curative fait appel des comp tences techniques sp cifiques la maintenance pr ventive quant elle fait appel des comp tences technologiques tr s vari es En effet les machines sont de plus en plus pointues et performantes sur le plan technologique dans des domaines aussi divers que la m canique la robotique l lectronique l nergie l automatique ou encore l informatique Ces domaines aussi diff rents soient ils sont n cessairement d pendants les uns des autres et il est absolument n cessaire de les analyser ensemble dans leur contexte Ainsi en termes d animation le technicien de maintenance doit tre capable de communiquer avec des sp cialistes Il a pour r le d informer de conseiller et de coordonner des quipes de travail A l image du m decin g n raliste qui oriente son patient vers un sp cialiste le technicien de maintenance est l interlocuteur privil gi des diff rents corps de m tiers techniques Par ailleurs la maintenance pr ventive doit en plus faire appel des comp tences issues du domaine tertiaire Il s agit en effet de montrer que le service maintenance est rentable sur le plan conomique d o des comp tences de gestionnaire qui sont n cessaires notamment en termes de planification des t ches et d valuation des co ts Toutes ces comp tences n cessaires et issues la fois des domaines secondaires et tertiaires font des techniciens de la mainten
116. TRABAJO DE LOS JOVENES SU PARTICIPACI N EN ORGANIZACIONES SOCIALES ME Pilar Munuera GOMEZ Francisco G mez G mez Jes s Fern ndez Profesora Titular de la Universidad Profesor Titular de la Universidad Rodr guez Complutense de Madrid Complutense de Madrid Profesor Ayudante UNED pmunuera trs ucm es fgomez trs ucm es jfernandez der uned es Summary The right of young people to access to a job is analyzed herein Such right is protected by the European Union EU through the definition of different strategies on the matter of Youth that may become unnoticed despite the depth of their studies and the programs of action in execution These EU strategies have been drawn up in order to be known and respected by the diverse institutions and social organizations which form part of the EU aiming to achieve an appropriate advance of the society and avoid at the same time the possible risks of exclusion over a group of the population as important as this one for the social and economic growth of a country Keywords Rights job young people strategies Europe training participation Introducci n La crisis econ mica financiera instaurada a nivel internacional repercute en la sociedad y de forma especial en los j venes comprendidos entre los 16 y 34 a os En Europa se est n alcanzando unos niveles de desempleo alarmantes para el conjunto de la poblaci n pero las cifras son escalofriantes sobre el desempleo juvenil En los pa ses del sur de Eu
117. a legii penale existenta sau oportunitate in contextul apartenentei la Uniunea European Dreptul rom nesc n contextul exigen elor Uniunii Europene Comunic ri prezentate la Sesiunea Stiintific a Institutului de cercet ri Juridice 2009 142 Revista european de drept social an evaluation of the two instruments Increased use of the financing programs should be made in accordance with their respective legal frameworks The notion of victim appears rich in meaning and the subject of particular interest at an International level where increasing special attention is being paid to the victims paying greater attention to their vulnerability and specifically to the various forms of organized crime in so much as weak individuals who can at the same time be called to testify about the serious events they have been subjected to Their protection appears especially important when bearing in mind the substantial prejudices they are subjected to in the form of serious delinquency The rights of the victims have long been neglected and numerous initiatives have been launched regarding their role in the world justice or to ensure that they receive fair compensation and to allow the depend upon measures of concrete help which may ensure their total recovery Bibliography Commission on Human Rights resolution 2003 34 E CN4 RES 2003 34 The United Nations Convention Against Transnational Organized Crime Palermo 2000 adopted by the Genera
118. able dans l analyse cela revient supposer que chacun participera au march du travail en connaissance de ses acquis mat riels mais aussi de ses manquements Plus de 60 des individus appartenant cette classe ont un ge inf rieur 35 ans En effet les plus jeunes de moins de 25 ans hommes et femmes confondus 101 Revue europ nnee du droit social repr sentent d j les 41 8 de cette classe d individus et parmi eux 50 continuent d tre en formation La jeunesse est repr sent e de fa on quilibr e entre les deux groupes d individus De plus 90 de personnes que l on classe dans ce groupe sont alphab tis s Il faudrait donc relativiser dans l analyse de cette variable car 32 5 des personnes seulement de plus de 45 ans seront affect s la premi re classe La pr f rence pour le panier discriminant de biens T l phone R frig rateur T l vision principalement pour un individu pourrait d pendre consid rablement de son ge et de sa localisation Pr s de 87 des personnes du groupe 2 ne disposent pas d lectricit dans leur domicile et 60 de radio Ce sont les 94 de personnes ayant des domiciles sans lectricit qui composent ce groupe Il est essentiellement form d individus vivant dans des m nages o il manque le n cessaire en mati re d quipement et d habitat de mani re g n rale traduisant de mauvaises conditions de vie comparativement aux autres En effet au moins
119. accepter les choix impos s par le service A croire les soignants c est surtout lors des cong s annuels que la mobilit leur profite personnellement Car la finalit du remplacement s av re est de pouvoir offrir chacun d eux ses vacances d t En tous cas l organisation en p les et la mobilit subs quente sont par ailleurs salu es Comme confie une infirmi re elles ne sont pas refus es ce qui pourrait tre le cas si on n tait qu un seul service Une autre infirme confirme que la mobilit c est pour permettre ceux qu on remplace d aller en cong comme eux le font pour nous pour pouvoir partir aussi Donc c est un peu gagnant gagnant Il n emp che que l h pital ferme successivement ses unit s de soins Ainsi dans un p le compos de trois services chacun d eux ferme une semaine Les services maintenus ouverts accueillent recueillent le personnel et les patients des services ferm s La mobilit permet en outre le soulagement de coll gues surmen s par le sous effectif Car quand cela arrive une activit qui devrait tre assur e par un nombre donn de soignants l est par moins Certes l encadrement infirmier veille ne jamais descendre en dessous des grilles minimales de temps de travail tant entendu qu accessoirement la grille normale existe une seconde pour le cas de gr ve des soignants Ces grilles respecter r sultent respectivement d un arr t du ministre de
120. acional cicue 148 Revista european de drept social internacionalizaci n las relaciones internacionales y la cooperaci n al desarrollo As como de los organismos e instituciones p blicas y privadas espa olas y extranjeras que desarrollan su actividad en el mbito internacional 3 Promover la organizaci n de encuentros peri dicos entre sus miembros y el fortalecimiento de v nculos con asociaciones internacionales o extranjeras de fines coincidentes 4 Constituir un foro estable de debate que permita definir y desarrollar l neas de actuaci n comunes entre las que destaca el fomento y coordinaci n de la cooperaci n universitaria al desarrollo de las universidades espa olas Tres comisiones de trabajo Internacionalizaci n Cooperaci n universitaria al desarrollo y Movilidad desarrollan los objetivos marcados anteriormente Marco ampliado en el Plan de Acci n 2010 2011 que determina los objetivos de la educaci n para la d cada de 2010 2020 donde su objetivo n 8 habla sobre modernizaci n e internacionalizaci n de las universidades delimitando los temas de formaci n investigaci n transferencia del conocimiento y responsabilidad social marcadas por la Estrategia Universidad 2015 En la Estrategia 2015 se crean un conjunto de ejes estrat gicos de mejora y modernizaci n de las universidades basados en tres objetivos generales la dimensi n social de la educaci n superior la excelencia y la internacionaliza
121. acticas formaci n o programas de capacitaci n adaptado a sus necesidades La Comisi n Europea ha presentado recientemente un paquete de empleo juvenil donde se solicita a todos los Estados miembros que garanticen que todos los j venes reciban una oferta de empleo o de formaci n de calidad en un plazo de cuatro meses tras haber terminado sus estudios o haberse quedado en paro La medida propuesta aprovechar a plenamente la financiaci n europea y en concreto la del Fondo Social Europeo FSE creado con el fin de reducir las diferencias en cuanto a prosperidad y niveles de vida en todos los Estados miembros y regiones de la Uni n Europea 151 Revue europ nnee du droit social La participaci n de los j venes en organizaciones sociales debe hacerse desde el control de las instituciones responsables para evitar el abuso y la precarizaci n del mercado laboral de los j venes Se necesitan limites claros para evitar las posibles interferencias entre voluntariado relaciones laborales y trabajo remunerado La participaci n en programas de voluntariado favorece la adquisici n de valores humanitarios y la construcci n de un ciudadano solidario estrategia que se debe potenciar desde todas las instituciones Bibliografia Alem n C y Trinidad A 2006 Servicios Sociales Planificaci n y Evaluaci n Navarra Civitas Bowen H 1953 Social responsibilities of the businessman Ney York Harper 8 Brothers Callejo J 1999 Volu
122. ades Plusieurs disent crier au secours si n cessaire Alors leur doute professionnel est lev par la coll gue famili re au service D un autre c t les protocoles facilitent la mobilit des soignants parce qu ils aident se sentir polyvalents De fait la polyvalence s apparente l aptitude travailler dans un service diff rent du sien Parfois le nouveau a besoin d un accompagnement parfois d sign encadrement Or les coll gues ne sont pas toujours disponibles pour donner avis et conseils tant entendu qu ils doivent vaquer leur labeur propre C est alors que les protocoles r v lent leur int r t Ce sont des guides de bonnes pratiques des descriptions des proc dures relatives aux gestes vitaux l administration d un soin la v rification du chariot d urgence la tenu du dossier de soins au remplissage des fiches de transfert etc Les protocoles sont r unis dans des classeurs ou affich s aux murs distribu s aux int ress s Par exemple dans une unit de traumatologie une infirmi re dit on a eu un petit papier cartonn avec les appuis les sans appui les gens qui doivent avoir une attelle pas d attelle Donc on a un petit soutien Et il y a des protocoles un peu dans toutes les sp cialit s Ces documents peuvent m me tre accessibles sur l Intranet de l tablissement hospitalier et peut tre un jour sur Internet Et pourtant objecte une infirmi re encore faut il
123. an before between public and private spheres and so the link between the candidate and the hopeful recruiter generate in the social and juridical point Keywords Social Network Sites Labour Market Public Policies Skills Evaluation Introduction Penser les mutations du march du travail aujourd hui notamment dans le cadre d v nements universitaires pluridisciplinaires est un enjeu qui d passe largement les contours de la Recherche En effet les probl matiques touchant l emploi sont plurielles Elles font l objet d enqu tes nourries par des hypoth ses et des m thodologies h t rog nes elles font aussi l objet de d cisions politiques impactant la r alit sociale Aussi t cherons nous d articuler les probl matiques universitaires avec des l ments empiriques Dans cet article nous t cherons d abord de d gager les grands traits des mutations du march du travail l re num rique Nous pr senterons leurs caract ristiques et leurs impacts sur les interm diaires du march du travail d une part d autre part nous verrons ce que les politiques publiques font en termes de r gulation de l offre et de la demande d emploi Dans un second temps le propos se resserra sur le web en tant qu interm diaire part enti re mais dont le r le demeure mal d fini En effet souvent limit s des hypoth ses op ratoires les r seaux sociaux professionnels jouent un autre r le non pas n cessairement
124. an fundamental and human rights system based on the European Convention and those set out in the Charter of Fundamental Rights In the third part of the second paragraph of the Stockholm program in the so called Vulnerable groups 2 3 3 All forms of discrimination remain unacceptable The European Union and the Member States must make a concerted effort to fully integrate vulnerable groups in particular the Roma community into society by promoting their inclusion in the education system and labour market and by taking action to prevent violence against them For this purpose Member States should ensure that the existing legislation is properly applied to tackle potential discrimination The European Union will offer practical support and promote best practice to help Member States achieve this Civil society will have a special role to play Vulnerable groups in particularly exposed situations such as women victims of violence or of genital mutilation or persons who are harmed in a Member State of which they are not nationals or residents are in need of greater protection Appropriate financial support will be provided through the available financing programs The need for additional proposals as regards vulnerable adults should be assessed in the light of the experience acquired from the application of the 2000 Hague Convention on the International Protection of Adults by the Member States which are parties or which will be
125. ance des personnes la fois g n ralistes et qualifi es Par ailleurs pour faire face cette nouvelle approche de la maintenance ces techniciens deviennent des professionnels tr s pris s et recherch s par les entreprises 10 Revista european de drept social 1 2 D finition Pour rester simple et bref sur cette question on peut dire que la maintenance vise maintenir ou r tablir un bien dans un tat tel que celui ci soit en mesure d assurer un service d termin La maintenance regroupe ainsi les actions de d pannage et de r paration de r glage de r vision de contr le et de v rification des quipements mat riels machines v hicules objets manufactur s etc ou m me immat riels logiciels Un service de maintenance peut galement tre amen participer des tudes d am lioration du processus industriel et doit comme d autres services de l entreprise prendre en consid ration de nombreuses contraintes comme la qualit la s curit l environnement sans oublier le co t 1 3 Int r t La maintenance est un domaine strat gique pour les entreprises industrielles puisqu elle contribue optimiser les performances de l appareil de production Rien qu en Ile de France les activit s de maintenance concernent pr s de 210 000 professionnels dont environ la moiti occupe un poste de technicien ou d agent de ma trise Les entreprises sont amen es recruter des techniciens sup rieurs don
126. ans et plus ayant au moins un an d anciennet Quelques nuances doivent tre apport es la suppos e inadaptation des plus g s aux nouvelles technologies Voir ce sujet BEHAGHEL L 2005 Les seniors entre formation et viction Connaissance de l emploi n 14 PALSTERMAN P 2008 Les fins de carri re l preuve du droit social belge Revue de l Institut de Sociologie Bruxelles n 1 4 p 134 1 MOULAERT T 2005 La fin de carri re Des politiques en d bat Bruxelles Courrier hebdomadaire CRISP n 1882 11 LEONARD D 2008 Quand l Etat s engage en faveur du maintien au travail quelques le ons du Fonds de l exp rience professionnelle Revue de l Institut de Sociologie Bruxelles n 1 4 pp 97 125 56 Revista european de drept social r duction des cotisations sociales diminution des charges pour le patronat tendue aux travailleurs g s via l augmentation des abattements pour les plus de 58 ans cr ation d un Fonds pour la promotion de la qualit des conditions de travail qui deviendra en 2004 le Fonds de l exp rience professionnelle ce dispositif subventionne les entreprises du secteur priv qui am liorent les conditions de travail des salari s de 45 ans et plus 1 3 Le Pacte des g n rations ou l arriv e du vieillissement actif Les accords successifs de gouvernement vont prolonger l orientation europ enne l gard des t
127. anuelle 2006 La mobilisation d Internet pour recruter aux limites de la s lection distance Revue de l IRES n 52 sp cial Internet recrutement et recherche d emploi p 11 39 Fondeur Yannick et Lhermitte France 2006 R seaux sociaux num riques et march du travail Revue de l IRES n 52 sp cial Internet recrutement et recherche d emploi p 101 131 Fondeur Yannick et Tuchszirer Carole 2005 Internet et les interm diaires du march du travail Rapport pour l ANPE Institut de Recherches Economiques et Sociales Adresse http www vonrohr net vr library FR Internet_Intermediaires_Travail_2005 pdf Consult 11 septembre 2011 Granjon Fabien 2011 De quelques pathologies sociales de l individualit num rique Exposition de soi et autor ification sur les sites de r seaux sociaux R seaux n 167 p 75 103 Jou t Josiane 1993 Pratiques de communication et figures de la m diation R seaux n 60 p 99 120 LECECIL 2012 Facebook quand les recruteurs am ricains contraignent les candidats r v ler leur profil priv http www lececil org Adresse http www lececil org spip php article142 Consult 23 avril 2012 Mazari Zora Meyer Virginie Rouaud Pascale Ryk Florence et al 2011 Le dipl me un atout gagnant pour les jeunes face la crise Bref du C req Marseille Centre d tudes et de recherches sur les qualifications Adresse www cereq fr index php
128. articuli res d s lors que la crainte de perdre son emploi devient trop puissante Tout se passe comme si les logiques s inversaient dans ces configurations sp cifiques 1 DARES Premi res synth ses informations Le paradoxe du syndicalisme francais un faible nombre d adh rents mais des syndicats bien implant s Avril 2008 n 16 1 12 DARES Premi res synth ses informations Pr sence syndicale des implantations en croissance une confiance des salari s qui ne d bouche pas sur des adh sions Avril 2007 n 14 2 75 Revue europ nnee du droit social 3 Un collectif latent uni par une exp rience commune et pour une cause commune Enfin m me si nous avons montr comment le collectif ouvrier se trouvait affaibli par les profondes transformations du monde du travail plusieurs l ments nous conduisent postuler l existence d un collectif latent On peut donc faire mettre l hypoth se de l existence de collectifs latents dont l expression est frein e en temps normal par les logiques manag riales et par les contraintes de travail C est le contexte de crise profonde qui permet aux solidarit s latentes de s actualiser Ce collectif repose en partie sur une exp rience de travail commune et des processus de socialisation qui pr sentent de fortes similitudes Malgr l existence d une diversit de profils les situations difficiles auxquelles font face les ouvriers d aujourd hui tendent
129. ate que ces femmes sont majoritairement des femmes en couple avec une moiti analphab te 1 3 1 Offre de travail des femmes Cas du Cameroun L analyse de l offre de travail des femmes montre qu il n existe pas de diff rence significative entre les individus de chacune des occupations retenues par rapport au groupe des ch meuses selon la variable Age En effet seuls les effets marginaux des variables Age et Age au carr qui ne peuvent pas tre interpr t s Si l on se restreint une comparaison Ch meur et Non ch meur dans la population active le capital humain le niveau de pauvret et le fait de r sider en zone urbaine ont des effets n gatifs sur les chances d un individu d tre actif occup Ainsi chez les femmes en g n rale la population active n est pas n cessairement plus instruite que la population des ch meuses bien au contraire Les jeunes femmes en couple et les c libataires r ussissent le plus s ins rer sur le march du travail Cependant les femmes qui sont la t te de leurs m nages ont plus de chances d tre des ch meuses qu actives occup es Ceci est encore plus vrai si celles ci vivent dans des conditions d favorables Ainsi la probabilit qu une femme d un m nage pauvre soit Ch meuse est plus grande En outre la plupart des femmes encore en formation sont des actives occup es Le cumul Occupation et tudes scolaires n est pas un ph nom ne isol
130. atiquement aux agences au del de P le Emploi et aux sites sp cialis s d di s aux professions m dicales et param dicales Pour autant les administrations locales n prouvent pas de r elles difficult s pourvoir leurs emplois sauf dans les petites structures hospitali res pour certaines professions m dicales et dans plusieurs r gions pour les infirmi res Depuis la loi n 46 2294 du 19 octobre 1946 relative au statut g n ral des fonctionnaires on d nombre une quinzaine de plans de titularisation dont les principaux ont fait l objet de la loi du 3 avril 1950 des lois statutaires du 11 juin 1983 et du 11 janvier 1984 de la loi Perben du 16 d cembre 1996 et de la loi Sapin du 3 janvier 2001 50 Revista european de drept social L origine g ographique des candidats recrut s lorsqu elle est appr ci e met souvent en vidence au moins pour les emplois de faible qualification un recrutement tr s localis souvent majoritairement concentr sur la population r sidente dans la commune La relation intuitu personae peut donc jouer un r le non n gligeable dans l acc s l emploi public local Cette pr f rence locale outre son caract re potentiellement irr gulier nuit l optimisation des recrutements Inversement la formalisation des recrutements ou pour les emplois de cadres et de sp cialistes le recours des cabinets de recrutement aident les collectivit s qui y recour
131. b tisation tr s r pandus sur le territoire malien sur l activit conomique Cependant le cumul emploi et tudes n est pas n gligeable au Mali Bien que poursuivant leurs tudes les jeunes femmes participent norm ment l activit conomique Cette observation reste tout aussi valable pour la population camerounaise 111 Revue europ nnee du droit social 1 4 1 2 Approche des Strat gies de survie dans analyse de la participation L analyse de la th orie des strat gies de survie se fait principalement avec les variables Pauvret non mon taire Taille du m nage et Lien avec le chef de m nage Ainsi la participation des femmes n est pas les m mes selon cette approche Au Cameroun les femmes qui ont moins de chances d tre actives sont celles qui ont t class es dans le groupe des pauvres en conditions de vie Par cons quent les plus ais es en majorit des zones urbaines adoptent des comportements strat giques plus port s vers l insertion professionnelle Les opportunit s en mati re d emploi sont plus r duites dans les zones rurales au point o ses r sidentes sont plus contraintes de cr er des petites activit s d faut de travailler pour les siens C est donc un circuit ferm de pauvret auquel les moins lotis des zones rurales doivent faire face au quotidien De plus le fait d tre chef de m nage accroit la probabilit qu une femme soit active Ce r sultat est inchang
132. ber of especially important sectors amongst them environment crime But despite this agreement about the importance of joint the European Union action environmental criminal law has become the centre of a serious institutional fight between the European Commission supported by the European Parliament on the one hand and the Council supported by the great majority of the European Union member states on the other hand The European Parliament and the Council of European Union having regard to the Treaty establishing the European Community and in particular Article 175 1 thereof and to the opinion of the European Economic and Social Committee often consulting the Committee of the Regions acting in accordance with the procedure laid down in Article 251 of the Treaty have adopted the Directive 2008 99 EC of 19 November 2008 on the protection of the environment through criminal law who obliges the European Union member states to provide for criminal penalties in their national legislation in respect of serious infringements of provisions of Community law on the protection of the environment Keywords Environment Criminal Law European Union Framework Decision Directive Community Law Environment crime is among the European Union s central concerns The Tampere European Council of 15 and 16 October 1999 at which a first work program for the European Union action in the field of Justice and Home Affairs was adopted asked that
133. blems So every Member State ensures that the particularly vulnerable victims may benefit from a specific treatment which responds most appropriately to their situation art 2 the Council Framework Decision 2001 the following provisions cover the same theme From this context it can be inferred that the victims can be vulnerable due to their personal characteristics physical or psychic disabilities tender age as minors or for reasons connected to the type of crime they fell victim to sexual abuses organized crimes domestic violence and finally even when indirectly because they are foreigners who therefore have linguistic difficulties In the Project of conclusion of the Presidency relative to the conference on the protection of vulnerable victims and their position in penal procedures as recognized that the need for special protection of the victims in situations of vulnerability deserves due attention in order to create an effective form of protection and at the same time a fair trial for the victims or the accused a formal invitation was made to the European Union states to promote an effective application of their internal legislation on the subject with particular attention to the training of those working in the field of justice In the context of the European Union it is worth also pointing out the programmed choices included in the Stockholm program In the Stockholm program is illustrated the first of the po
134. blic Christophe Barret Les cahiers hospitaliers 1 mai 2012 p 27 30 48 Revista european de drept social cat gories A et B Les agents contractuels sont titularis s de droit s ils sont employ s sur des emplois p rennes sur une p riode sup rieure six ans Les modalit s de recrutement ne font plus du concours un sine qua non La loi du 2 f vrier 2007 a g n ralis les recrutements sur titres pour les emplois de cat gorie C tendu la prise en compte des acquis et le recrutement sur titres pour l ensemble des cat gories Le statut demeure en droit la pierre angulaire de gestion des agents de la fonction publique conform ment la volont de la population tr s attach e au mod le actuel Pour autant en contradiction avec les dispositions r glementaires le recrutement d agents contractuels est massif En 2010 les agents contractuels repr sentaient 19 7 des effectifs des collectivit s locales dont 45 seulement sur des remplacements ou en l absence de cadre d emploi ou et 15 9 des effectifs des tablissements hospitaliers De nombreuses administrations locales territoriales ou hospitali res consid rent le recrutement sous la forme contractuelle comme la norme la titularisation prenant acte quelques ann es plus tard de la satisfaction donn e par l agent son employeur Certaines collectivit s maintiennent des agents affect s des emplois permanents temps complet ou temps pa
135. blic r ussira til p renniser la croissance et promouvoir un d veloppement plus acc l r ou aboutira t il tout simplement largir le gaspillage et la corruption Le rapport de la banque mondiale a insist sur la qualit extr mement faible des projets et les graves carences institutionnelles qui sont derri re la mauvaise ex cution des projets 3 Les d fis relever pour l conomie nationale Au regard de ce diagnostic le programme visant redresser l conomie et lui donner un lan de prosp rit doit se mener sur deux fronts indissociables construire un tissu conomique efficace et l ancrer dans le sillage de l conomie mondiale afin d en tirer profit L efficacit de l conomie alg rienne reste tributaire de la construction des pr requis critiques tout d veloppement la construction d un syst me de financement efficient la consolidation d un tissu d entreprises comp titives et ce en termes de produits et de services d outils de gestion et de solvabilit financi re et la constitution d un vivier de managers capables de mener le paquebot bon port 3 1 Modernisation du tissu conomique Le tissu conomique alg rien se caract rise par une tr s forte fragmentation En effet en dehors de bien s r l industrie de l nergie et de quelques fonctions r galiennes on note peu de champions r gionaux c est dire capables de mener un r le de premier ordre dans le paysag
136. bly of the United Nations on 15 November 2000 Keywords the victim human rights the European Convention the General Assembly of the United Nations The notion of victim had its greatest recognition in the A RES 40 34 Declaration of 1985 which achieved a fundamental step for humanity restated also in more recent times because it implied that the victim was considered on the level of human rights The Declaration A RES 40 34 explains how the term victim is intended to indicate people who either individually or in a collective sense have suffered some kind of harm above all an offence to their physical or mental integrity a moral sufferance a material loss or a serious violation of their fundamental rights caused by actions or omissions which violate the existing criminal laws in a European Union state including those which prohibit on a penal level abuses of power At the European level the same notion has been taken up again and officially documented by means of for example the Council Framework Decision on the victim s role in the trial whereby in art 1 the following definition is offered victim shall mean a natural person who has suffered harm including physical or mental injury emotional suffering or economic loss directly caused by acts or omissions that are in violation of the criminal law of a Member State 1 Commission on Human Rights resolution 2003 34 E CN4 RES 2003 34
137. ce sera rarement d une ville l autre S il ne s agit pas ainsi d une mobilit g ographique il faut donc parler de mobilit interne Encore que celle ci renvoie plut t aux concepts de reclassement de recyclage et de mise au placard Or l h pital il s agit d obtenir des soignants qu ils assurent un remplacement ponctuel dans leur service ou dans une unit de soins de leur sous ensemble d h pital le p le d activit s C est donc une mobilit temporaire D s lors le service d accueil ne s arr tera pas de fonctionner tandis qu aucune infirmi re ne demeurera son poste actuel o sa pr sence serait devenue par comparaison comme qui dirait inutile Dans cette optique la mobilit se confond avec la productivit ou avec la flexibilit L une et l autre constituent des th mes qui opposent les gestionnaires les syndicalistes les politiques et les chercheurs Qu ils s int ressent au secteur priv ou au secteur public La pr sente tude se sert abondamment du terme infirmi re et non pas du terme masculin infirmier La raison est que le nombre tr s important de femmes qui exercent cette profession a fini par lui imprimer le genre f minin Des termes proches mais plus larges comme soignants ou comme param dicaux s utilisent aussi l inverse proportionnellement leur effectif dans la profession infirmi re les hommes se retrouvent plut t nombreux dans les postes d enca
138. ceptables Ainsi on pourrait dire que ce profil est a priori plus rentable que celui d aide familial et de travallleur ind pendant Avoir fait des tudes secondaires apparait comme un pr requis pour exercer comme employ Il est difficile d observer un salari n ayant pas termin le cycle primaire En effet les individus de niveau primaire ne repr sentent que 10 de la population des salari s Certes le poids du sous groupe des personnes ayant termin leurs tudes universitaires n est que de 5 tout de m me il faudrait savoir que plus de 90 des universitaires sont des salari s De plus la plupart des salari s r sident en zone urbaine Les femmes ayant le statut d employ sont plus importantes dans les zones urbaines que rurales En effet 8 employ es sur 10 sont dans les zones urbaines Bien que le sous groupe des m nages plus d un salari est plus important mais 12 des salari s sont les seuls actifs ayant ce profil dans leur m nage Dans les m nages avec plus d un salari les femmes sont autant nombreuses que les hommes dans l activit La situation d activit des individus ne d pend pas du genre Aussi le nombre moyen de salari s dans un m nage avec plus d un actif est de 2 9 pourtant la taille moyenne de ces m nages est autour de 5 individus A nsi la pr sence d un salari dans un m nage pourrait aussi influencer les choix d occupation de ses proches Les salari s au Mali De
139. ces bibliographiques Libert conomique N 466 du 6 au 12 f vrier 2008 Le soir d Alg rie du 4 avril 2007 CNES ann e 2006 Office national des statistiques El Watan Economie N 138 du 11 au 17 f vrier 2008 03 11 Midi conomie hebdomadaire N 11 du 23 au 30 mars 2007 El Watan jeudi 7 f vrier 2008 Terry Lynn Karl The paradox of plenty Rapport de la banque mondiale pour 2007 Giacomo Luciani the rentier state et the arab state KHELIF Amor La r forme du secteur des hydrocarbures en Alg rie in Colloque Fay al YACHIR sur La mondialisation l ajustement structurel et le d veloppement la lumi re de l oeuvre et de la pens e de Fay al YACHIR Universit de S tif 15 16 Mai 1999 Vol 2 P trole et Gaz arabe N 697 du 01 04 1998 Forum des chefs d entreprises priv es Quel d veloppement pour l Alg rie Colloque Alger 2006 Benbitour Ahmed 2001 L Alg rie au troisi me mill naire d fis et potentialit s Editions Marinoor Baghzouz Aomar juin 2000 Le partenariat euro m diterran en et les enjeux de s curit globalement et sp cifi s maghr bines colloque international de Bejaia enjeux et perspectives Examen de la politique de l Alg rie nations unis New York et Gen ve 2004 Etude sur les investissements trangers dans le Moyen Orient et l Afrique du nord centre d tudes m diterran en ANIMA 2006 175 Revue europ nnee du droit social Forum des chefs d entrepr
140. ces derniers temps puisque les pays producteurs de produits agricoles comptent bien r percuter le co t de l nergie sur les produits qu ils exportent et c est tout fait l gitime Ces r serves de change sont en partie d pos es aux USA sous forme de bons de tr sor am ricain r mun r s aux alentours de 4 alors qu une autre partie est confi e des banques europ ennes libell e en euros et livres sterling Il s agit de d p ts prudents faiblement r mun r s moins qu ils ne s agissent de tr s gros capitaux mais peu risqu s Ces fonds souverains ne sont rentables que s ils repr sentent des sommes importantes tout en tant g r s de mani re comp tente et rigoureuse alors qu il faut tenir compte d un environnement boursier assez tristounet L Alg rie a souffert du syndrome hollandaises et de son exposition la volatilit du cours de p trole sa principale ressource L conomie n est pas assez diversifi e Ce dont on t moigne tout autant les sources de recettes fiscales que le contenu des changes ext rieurs et souffre socialement d un fort taux de ch mage qui p se fortement sur la paix sociale et en cons quence sur les capacit s des gouvernants gouverner Autre facteur qui rend vuln rable les capacit s budg taires de l Etat le poids de l informel grandement li aux probl mes de l emploi qui p se sur les ressources fiscales non li es la manne p troli re
141. cherche qualitative s accompagne d un volet quantitatif qui a consist en l analyse secondaire des donn es du recensement de l INSEE depuis 1968 sur la communaut d agglom ration poitevine Afin de saisir les effets de la crise des restructurations des fermetures d usine sur le collectif ouvrier l analyse se fera en deux moments Dans un premier temps nous chercherons montrer quels sont les facteurs la fois locaux mais aussi plus globaux qui viennent freiner les mobilisations collectives et la constitution d un groupe ouvrier solidaire Dans un second temps nous analyserons la mani re dont ce collectif ouvrier est m me de se constituer reconstituer l occasion de circonstances sp cifiques 67 Revue europ nnee du droit social Partie I Les obstacles au collectif et aux mobilisations ouvri res 1 Un territoire faiblement industrialis un territoire presque sans ouvriers Avant d interroger les effets des transformations du monde du travail sur le collectif ouvrier il est n cessaire de proc der un bref tat des lieux Cette recherche porte en effet sur un territoire singulier la communaut d agglom ration de Poitiers Cette zone g ographique pr sente la sp cificit d tre un territoire tr s peu industrialis Quelques l ments peuvent tre pr sent s afin de mettre jour les particularit s de ce bassin d emploi Structure des effectifs salari s par secteur
142. chniciens sup rieurs en maintenance La d finition du DUT GIM et de la p dagogie qui y conduit tiennent compte de la large gamme de professions et de t ches que les dipl m s peuvent exercer ainsi que des volutions probables de ces m tiers et en particulier de l largissement de leur domaine La formation GIM porte tout la fois sur la maintenance des quipements et sur l am lioration permanente des syst mes industriels Le titulaire du DUT GIM est un technicien de terrain qui intervient sur des lignes de fabrication ou des machines isol es Ses comp tences s appuient sur une bonne connaissance des syst mes automatis s et des quipements lectriques et m caniques ainsi que sur la ma trise des m thodes de maintenance aussi bien pr ventive que corrective Il peut tablir un diagnostic de panne faire le bilan d une suite d interventions et l analyser pour tablir le cahier des charges d installations nouvelles Une fois ces installations r alis es il peut les r ceptionner et superviser leur mise en uvre Ce professionnel dipl m est galement form sur des fonctions de gestion planification des t ches valuation des co ts et d animation information conseil et coordination des quipes de travail Pour tenir compte de l volution permanente du m tier de technicien de maintenance l enseignement vise faire acqu rir aux tudiants des m thodes de travail et de raisonnement autant que des con
143. chnologique qui sont int gr es dans les universit s Alors que les BTS forment des techniciens de terrain et directement op rationnels dans l entreprise les formations en DUT quant elles sont plus g n ralistes offrant une capacit d adaptation plus importante Lorsqu on demande aux entreprises quelles sont les principales qualit s des tudiants de DUT les m mes mots reviennent souvent Ce sont des tudiants tr s ouverts Ils arrivent se d tacher de leurs connaissances pour pouvoir s adapter notre entreprise Ce sont des jeunes plut t tr s matures Ils ne comptent pas tous leur temps et c est tr s appr ciable lorsqu on doit terminer un projet 15 Revue europ nnee du droit social Par ailleurs les dipl mes d cern s par les universit s dans le domaine de la maintenance industrielle offrent des possibilit s d entr e rapide sur le march du travail mais aussi de grandes possibilit s d volution En particulier le DUT GIM Dipl me Universitaire Technologique G nie Industriel Maintenance est l occasion d avoir en seulement deux ans apr s le baccalaur at un dipl me reconnu et recherch 3 1 Objectifs et comp tences attendus Le DUT GIM G nie Industriel Maintenance est un dipl me soumis un programme p dagogique national labor en collaboration troite avec les entreprises Il dispense un enseignement pluridisciplinaire en 2 ans qui a pour objectif de former des te
144. chocs p troliers et veuille utiliser les ressources g n r es par le boom p trolier pour diversifier l conomie travers notamment la nouvelle politique industrielle La r ussite d une 171 Revue europ nnee du droit social telle politique d pendra largement des incitations donn es l mergence d une classe d entrepreneurs dynamiques porteurs d innovation et g n rateurs de valeurs ajout es La faible part de l industrie manufacturi re dans les exportations montre clairement que ce secteur reste tourn vers son march local Cette situation n encourage pas les progr s de comp titivit travers une politique active d innovation ce qui ampute encore les perspectives de croissance long terme L Alg rie doit faire sien ce nouveau paradigme Syst me ducatif et de formation technologies de l information et de la communication innovation et recherche climat des affaires c est l que se jouent nos chances d int grer par le haut la mondialisation de l conomie et de tirer profit de la densification des changes conomiques internationaux Le pays peut se vanter d un r seau important d universit s et d instituts qui lui permettent d afficher un nombre important de dipl m s universitaires Seulement la qualit de l enseignement dispens reste loin des aspirations voulues surtout pour ce qui est du domaine de management La qualit des managers alg riens reste donc parfaire P
145. ci n Son los Consejos Sociales de las Universidades P blicas Espa olas los responsables del desarrollo de la responsabilidad social de las universidades dada su funci n de rganos guardianes de los intereses de la sociedad Se puede definir la responsabilidad social de las universidades citando a Howard Bowen 1953 como obligaciones de los gestores universitarios en el impulso de pol ticas institucionales para tomar decisiones o para seguir l neas de acci n que son deseables en t rminos de los objetivos y valores de la sociedad Gaete 2011 111 3 ADQUISICI N DE COMPETENCIAS DESDE LA PARTICIPACI N EN PROYECTOS SOCIALES La propuesta de la CE sobre financiaci n de la cooperaci n al desarrollo 2014 2020 propone 11 La Comisi n de Trabajo de CADEP Universidad y Movilidad se ha adherido a la Red Europea de Educaci n Superior para el Desarrollo Sostenible denominada Alianza COPERNICUS L neas que despliegan la posibilidad de la participaci n de los estudiantes en programas de cooperaci n participaci n y solidaridad social 12 La CRUE en su Asamblea de 28 de septiembre de 2000 aprueba la estrategia de cooperaci n a seguir por las Universidades que se concibe desde la necesaria participaci n de la universidad desde la docencia e investigaci n en la formaci n de valores de compromiso social fomentando la solidaridad activa y el voluntariado as como la promoci n de la formaci n la educaci n la investigaci n y
146. ciliter des conomies budg taires Les possibilit s de mobilit interne et d volution vers d autres emplois permettent aussi de proposer des perspectives attractives aux agents les plus motiv s et les plus efficaces Pour les sapeurs pompiers la transformation des postes des agents permet de b n ficier de promotions sur place fonction inchang e Les quotas d avancement par grades ne sont pas respect s De m me la modulation des primes et des indemnit s est encore limit e Leurs montants restent tr s li s aux grades Pourtant la loi du 5 juillet 2010 pr voit que la prime de fonctions et de r sultat PFR doit tre mise en place lors de la premi re modification du r gime indemnitaire suivant la mise en place de ce nouveau r gime indemnitaire dans les corps quivalents de la fonction publique de l Etat Les modulations seront d sormais plus ais es du moins si les collectivit s territoriales acceptent de rompre avec les pratiques actuelles Les indemnit s de responsabilit et de sp cialit des sapeurs pompiers peuvent tre attribu es des personnels n exer ant pas les responsabilit s exigibles Le r gime indemnitaire avait pour fondement originel de prendre en compte l atteinte d objectifs identifi s en amont Il peut retrouver cette fonction 46 Revista european de drept social d incitation l acquisition de comp tences et de reconnaissance de la qualit du travail effectu mais e
147. come parties in the future The Member States are encouraged to join the Convention as soon as possible In the same Stockholm program with reference to Victim of crime including terrorism it is stated that 2 3 4 Those who are most vulnerable or who find themselves in particularly exposed situations such as persons subjected to repeated violence in close relationships victims of gender based violence or persons who fall victim to other types of crimes in a Member State of which they are not nationals or residents are in need of special support and legal protection Victims of terrorism also need special attention support and social recognition An integrated and coordinated approach to victims is needed in line with the Council conclusions on a strategy to ensure fulfillment of the rights of and improve support for persons who fall victims of crime The European Union states must examine how to improve legislation and practical support measures for protection of victims and to improve implementation of existing instruments offer better support to victims otherwise possibly through existing European networks that provide practical help and put forward proposals to that end and examine the opportunity of making one comprehensive legal instrument on the protection of victims by joining together the Directive on compensation to victims and the Framework Decision on victims on the basis of Mihaela Aghenitei Retroactivitate
148. comp tence admet au moins deux acceptions La premi re est le droit d accomplir certains actes et ou 83 Revue europ nnee du droit social d exercer une certaine profession La seconde acception de la comp tence est l aptitude professionnelle r aliser des actes donn s En mati re param dicale il convient de d tenir un dipl me d Etat Les soignants admettent volontiers le principe de leur d placement dans l h pital au gr des int r ts du service Ainsi est il soutenu quand on est dans un service on se sp cialise dans la pathologie qu on soigne tous les jours et on se cloisonne au bout de quelques ann es D s lors l gard des infirmiers la mobilit d veloppe les comp tences puisque elles travaillent dans un domaine bien sp cialis et elles en d couvrent un autre Une infirmi re ajoute que la mobilit dans un pool de remplacement lui a permis d approfondir ses connaissances en gastro en pneumo en m decine en chimio dans les soins palliatifs tant sur le plan technique que relationnel parce que c est diff rent Une autre surench rit en ces termes moi j ai d couvert des choses notamment en cardiologie que je ne savais pas Ou alors que j avais oubli es Enfin ce sont des choses qu on ne voit pas en m decine En tout tat de cause se convainquent les infirmi res tre polyvalent est positif Pourquoi parce que si on peut aller dans les autres services c est qu on
149. condamn voluer L conomie nationale est renti re partir du moment o tous les programmes d investissements conomiques et sociaux sont financ s par les revenus tir s du p trole et du gaz Le probl me est que la science conomique nous dit que ce n est pas toujours bien de d pendre uniquement des richesses du sous sol parce qu elles ne sont pas ternelles L conomie est la fois une science admirable et d plaisante Admirable parce qu elle nous explique le fonctionnement du monde dans toute sa complexit et d plaisante car elle nous met face nos comportements qui ne sont pas toujours rationnels ce qui ne nous rassure gu re sur l avenir Selon les chiffres officiels la progression de la valeur r elle du PIB pour l ann e 2010 se situerait aux alentours de 3 2 il s agit l sans le moindre doute possible d un taux extr mement faible compar aux ressources financi res engag es Une croissance due essentiellement aux exportations d hydrocarbures dont les prix ont sans jeu de mots flamb au cours de l ann e en cours et aux secteurs connus tels que les services et les BTP alors que le service industriel continue de plonger en fonctionnant 50 de ses possibilit s Le secteur industriel public au plus mal compar au secteur priv nettement plus performant et dynamique la fois Le secteur industriel public est proprement sinistr et semble tre maintenu en cet tat depuis les a
150. content download 1797 21709 b283 pdf Consult 10 avril 2012 M sangeau Julien 2012 Le r seautage et ses usages le cas d un groupe d anciens tudiants h berg sur LinkedIn Terminal n 111 p 39 51 Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques 2010 Des d buts qui comptent des emplois pour les jeunes Paris OCDE Adresse http www sudoc fr 150919182 Consult 7 septembre 2012 Pincon Michel et Pin on Charlot Monique 2007 Les ghettos du Gotha Comment la bourgeoisie d fend ses espaces Seuil Paris Pov da Arnaud 2012 Quelle place pour les m dias sociaux dans la recherche d un emploi par les jeunes Revue Europ enne de Droit Social n 2 p 201 215 Pov da Arnaud 2012 b Se rendre visible pour se faire remarquer Les usages des r seaux sociaux professionnels par les jeunes p A PARAITRE in Publics et pratiques m diatiques Metz 135 Revue europ nnee du droit social 136 CL TURE DU COLLOQUE Au risque de surprendre mes tudiants peu habitu s de ma part ce genre d exercice mon propos s articulera autour d un plan en 2 parties 2 sous parties I DES FLEURS A un cactus en forme de double premi re B Un tr s gros bouquet II UN SCOOP EVENTE A Faux d part B we shall over come I DES FLEURS Ce moment est en g n ral pour moi le plus facile et le plus agr able puisqu il s agit de remercier tous ceux qui ont contribu la r ussite du co
151. d une tradition industrielle locale et un obstacle la constitution d un collectif ouvrier uni et mobilis De m me que J N Reti re d crivait le groupe ouvrier et la sociabilit communautaire unissant les ouvriers de Lanester ancien bastion industriel du Morbihan N Renahy a plus r cemment montr comment l appartenance la classe ouvri re permettait le maintien du lien entre les jeunes footballeurs amateurs de Coulanges Dans les deux cas c est bien l espace local qui joue un r le dans la sociabilit ouvri re et le mode de constitution de collectifs D s lors une question est soulever le territoire et la pr sence d une forte population ouvri re dans un espace donn sont ils les seuls facteurs du d veloppement d une solidarit ou d une coh sion ouvri re Si tel est le cas les ouvriers poitevins seraient ils d office exempts d un potentiel communautaire et ou mobilisateur 2 La crise du collectif ouvrier l aune des transformations du monde du travail A ce premier constat d une population ouvri re moindre s ajoute celui des transformations du monde du travail qui viennent sensiblement affaiblir les solidarit s ouvri res La d sindustrialisation et la fr quente m diatisation des fermetures d usines constituent une v ritable source d angoisse pour les ouvriers d aujourd hui La crainte de la perte d emploi qui p se assez largement sur eux et les nouvelles normes de travail
152. d cret du 12 novembre 2010 en raison d obstacles statutaires et de pratiques manag riales qui ne l encourage pas ainsi que le souligne 1 Association des r gions de France Pourtant les comp tences et les m tiers se rapprochent entre les diff rentes collectivit s publiques La contrainte financi re constitue un facteur d cisionnel majeur dans les tablissements de sant et pourrait prendre plus d importance dans l avenir au sein des collectivit s locales du fait de la rar faction de la ressource Ainsi l organisation des gardes au sein des services d incendie et de secours est elle particuli rement co teuse du fait de la faiblesse du nombre de jours de travail entre 90 et 100 par an et de la part des interventions au sein du temps de travail environ 10 pour les r gimes organis s en gardes de 24 heures hors Paris et Marseille de sorte que les effectifs et leurs r partition entre professionnels et volontaires selon les obligations statutaires de chacun et la p riode de la journ e sont pas adapt s aux besoins 2 2 La politique de recrutement reste peu connect e aux objectifs strat giques et aux besoins futurs Le recrutement devrait tre pr c d d une analyse des besoins pour garantir la meilleure ad quation entre le poste et l agent Souvent cependant les recrutements se font au fil de l eau lors de mutations ou de d parts la retraite sans r flexion pr alable suffisante 5 E
153. de crise syndicale que l on ne saurait nier une majorit de jeunes ouvriers refusent de s engager dans l activit syndicale tout en lui reconnaissant une certaine utilit et une forme de l gitimit 2 Andolfatto D Labbe D 2007 Les syndiqu s en France Qui Combien O Rueil Malmaison Editions Liaisons 1 Amosse T Pignoni M T 2006 La transformation du paysage syndical depuis 1945 Donn es sociales La soci t fran aise p 405 412 74 Revista european de drept social Mais il semble toutefois n cessaire de nuancer le discours qui tend vers l id e d une perte totale d influence des syndicats dans les entreprises et dans les usines Force est de constater que des transformations du syndicalisme s op rent aujourd hui Mais ces transformations sont tudier avec pr caution La faiblesse de l adh sion syndicale n est pas synonyme d une influence nulle des syndicats dans l entreprise et sur les salari s Ainsi la pr sence accrue des syndicats dans les entreprises et l opinion globalement favorable des salari s l encontre des organisations syndicales constituent un terreau fertile quoique souvent latent aux mobilisations La forte visibilit des syndicats dans les deux entreprises malgr la faiblesse num rique de leurs adh rents a constitu un facteur propice aux mouvements ouvrier En effet les ouvriers syndiqu s ou non connaissaient les repr sentants synd
154. de 1 4 par an Rapport 2010 2011 sur l tat de la fonction publique DGAFP A titre d exemple entre 2005 et 2008 les effectifs budg taires pourvus du d partement du Nord sont pass s de 5 270 7 897 Sur les 2 832 cr ations de postes seules 469 l ont t hors transferts de l Etat Ainsi la suite de la loi du 13 ao t 2004 qui a d fini l acte ll de la d centralisation 133 000 personnels comptabilis s en quivalents temps plein ETP travaillant dans les services de l Etat ont t transf r s aux collectivit s territoriales dans les ann es 2006 2009 Chambres r gionales des comptes d Alsace d Aquitaine d Auvergne de Bretagne du Centre de Corse de la Guadeloupe de la Guyane de la Martinique d Ile de France de Lorraine de Nord Pas de Calais de Haute Normandie des Pays de la Loire de Poitou Charentes de Provence Alpes C te d Azur et de Rh ne Alpes sur 79 organismes dont 49 communes de toutes tailles 9 intercommunalit s 12 d partements 3 r gions 5 centres d partementaux de gestion de la fonction publique territoriale CDG et Cour des comptes sur le centre national de la fonction publique territoriale CNFPT insertion au rapport public annuel 2012 38 Revista european de drept social 1 La gestion pr visionnelle des ressources humaines des collectivit s locales reste largement inaboutie L identification des besoins constitue le pr alable d une politique de recrutement et de gestion de
155. de droit UNED Madrid Spain Vlad Barbu Professeur Vice recteur de l Acad mie de Police Alexandru loan Cuza Bucarest Roumanie Rafael Junquera de Est fani Vice doyen de la Facult de droit UNED Madrid Spain Jos Alvarez Pestana Professeur de Sociologie UNED Madrid Spain Comite de r daction Editorial Board R dacteur en chef Editor responsible Dan Top PhD Executive Editor Marc S Richeveaux PhD R dacteur en chef adjoint Editor assistant Radu R zvan Popescu PhD Secr taire de r daction Editorial Secretary Pedro Fernandez Santiago PhD 130051 Targoviste Aleea Trandafirilor bl 10 ap 46 Judetul D mbovita Roumanie Tel 0722 723340 www RevueEurop enne_du_DroitSocial ro ISSN 1843 679X Copyright 2013 SOMMAIRE MAINTENANCE INDUSTRIELLE PERSPECTIVES D INSERTION PROFESSIONNELLE Jo l Gest Marc Richevaux 9 LES DIMENSIONS DU TOURISME CULTUREL Tanya Parusheva 23 PREUVES REDONDANTES DE LA PASSION EUROP ENNE POSTMODERNE POUR L ANIMISME ET LE TOT MISME JURIDIQUE PLACE DE TRAVAIL ACTION COLLECTIVE TAT DE DROIT EXERCICE POUR UN S MINAIRE DE DROIT PRIV COMPARE Valerius M Ciuca 32 GESTION PREVISIONNELLE MERITES DES AGENTS OUVERTURE DES RECRUTEMENTS LES EVOLUTIONS EN COURS DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES LOCALES AU REGARD DU MARCHE DU TRAVAIL Denis Larribau 37 L EMPLOI DES SENIORS EN BELGIQUE EVOLUTIONS ENJEUX PERSPECTIVES L onard Dimitri 53 CRISE ET
156. de partenariats actifs et d associations entre tour op rateurs communaut s et populations locales et le meilleur moyen de d velopper des op rations touristiques durables e Organisation interne de la planification de l activit La planification commerciale est la base du succ s du tourisme culturel Un business plan comprenant des objectifs commerciaux et historiques en m me temps peut permettre de soutenir les efforts en mati re de patrimoine historique e Investissements dans le personnel et les sites Les strat gies prenant en compte l avantage mutuel peuvent contribuer soutenir les sites et les personnes concern s Elles englobent des mesures d am lioration du confort touristique et de sensibilisation des visiteurs l importance du site e March et publicit du produit Le marketing et la publicit des sites historiques doivent respecter les v ux des communaut s locales et viter la cr ation d attentes irr alistes chez les visiteurs Les actions r ussies de marketing et publicit se fondent sur le partenariat strat gique entre les op rateurs touristiques et les int r ts traditionnels au niveau local r gional national et international e Assurer une exp rience v cue profitable aux visiteurs Pour assurer aux visiteurs une exp rience v cue profitable les tour op rateurs et managers doivent respecter leurs besoins et motivations Le degr lev de satisfaction est le r sultat de visites associa
157. drement du travail de leurs coll gues Ces infirmiers et infirmi res sortis du rang portent le titre 79 Revue europ nnee du droit social de cadres de sant Autrefois l on parlait de Surveillantes et d infirmi res g n rales Cela tant la mobilit impos e aux infirmi res emporte t elle des cons quences n gatives ou positives Il semble cet gard judicieux de rechercher les incidences de la mobilit sur l infirmi re sur son h pital et sur les patients traiter Pour r pondre ces questions pourquoi la mobilit comment et alors une enqu te sur le terrain a t entreprise Une infirmi re pu ricultrice cadre de sant s en est charg e dans trois h pitaux en s entretenant avec une dizaine d infirmi res et de cadres de sant Compte tenu du devoir de r serve auquel tout fonctionnaire est tenu les interview s ont parl sous r serve d anonymat Leurs propos ne jalonnent pas moins cette tude en trois parties Dans la premi re il s agit de discuter des causes et int r ts de la mobilit des infirmi res La deuxi me en examine les conditions de mise en uvre Enfin la derni re partie tudie les limites et inconv nients de cette mobilit I Les int r ts de la mobilit interne des infirmi res C est l institution hospitali re qui d cide de la mobilit car elle en attend des r sultats pr cis A Mais ces r sultats qui justifient fondamentalement la mobil
158. du Nord et du Royaume Uni Ils observent l volution de politiques cibl es sur la demande de travail des seuls seniors taxation ou r glementations des licenciements vers une approche globale du march du travail tenant compte de tous les ges A titre d exemple la Finlande a mis en place une strat gie globale en faveur de l emploi des travailleurs de plus de 45 ans qui s est d velopp e dans la dur e et qui a donn lieu deux plans quinquennaux successifs le programme national finlandais 1998 2002 avec l adoption du slogan l exp rience est une richesse nationale et le programme VETO 2003 2007 L approche int gr e mise en place par la Finlande visait transformer tant les repr sentations que les pratiques l gard des seniors dans un contexte 1997 o ce pays comptait parmi les pays europ ens pr sentant l un des taux d emploi les plus faibles pour les 55 64 ans A c t d une strat gie globale on identifie aussi des mesures sp cifiques que ce soit la promotion du maintien des capacit s de travail en Finlande le soutien du temps partiel pour tous au Pays Bas ou encore la flexibilisation du march du travail et des fins de carri re au Royaume Uni Quant au maintien d un niveau d emploi lev pour les g s en Su de et au Danemark il s expliquerait aussi voire d abord par une attention de longue date dans ces pays l am lioration des conditions de travail dans les entreprises
159. duction d eau potable branchement de gaz et d lectricit etc En un mot des investissements qui ne donnent pas lieu des biens exportables ou consommables localement et dont le retour sur investissement est insaisissable et qui ne produisent pas les conditions de leurs reproductions Notre conomie n investit pas productivement de mani re suffisante Au cours des derni res ann es l Alg rie a continu a progress dans la mise ne place d une conomie de march mais il reste beaucoup faire pour assurer une croissance durable et continue avec une mise en uvre acc l r e des r formes Les d fis majeurs identifi s sont toujours d actualit mais il y a maintenant d autres d fis relever Le pays doit encore consolider et renforcer son quilibre macro conomique diversifier son conomie et augmenter la productivit La reprise de la croissance hors hydrocarbures est toujours aliment e par les investissements publics 1 Atouts faire valoir de l conomie alg rienne L Alg rie poss de des ressources naturelles tr s importantes capables de lui permettre d assurer une croissance rapide et soutenue et de soigner son exc dent commercial Elle a galement assur une lib ralisation de son conomie par la mise en place du processus de privatisation engag d j depuis 1995 et la r forme de son syst me financier loin encore d tre finalis Le secteur des hydrocarbures constitue encore la bas
160. e venir propos du service des urgences l une des infirmi res regrette qu elle en soit partie trop rapidement Or elle avait besoin d au moins six mois pour s adapter et voir un petit peu tout ce qu il peut y avoir comme cas cliniques et comme pathologies et comme soins Une de ses coll gues a v cu une m saventure comparable dans des unit s p diatriques avant m me l obtention du dipl me professionnel Effectivement dit elle au d part je voulais tre pu ricultrice Et puis mes stages en p diatrie ne se sont pas tr s bien pass s j en ai fait 2 ou 3 Du coup j ai chang parce que finalement c est sp cial la p diatrie et la pu riculture Si le persistant d ficit en personnel doit se r soudre par la mobilit et par son exigence de polyvalence une question se poserait Savoir s il conviendra encore de sp cialiser des infirmi res pour en faire des pu ricultrices des IBODE ou des IADE Encore que cette sp cialisation ne r sulte pas forc ment d tudes en IFSI ou l universit Effectivement une infirmi re parvient l expertise en un domaine la suite d une longue pratique Son exp rience professionnelle devrait pouvoir tre bient t consacr e par un titre officiel l issue d une validation des acquis de l exp rience VAE Quelle que soit l hypoth se sp cialisation par l cole ou par le terrain une autre question se pose Il s agit cette fois de savoir si l
161. e L Alg rie poss de l une des conomies les moins diversifi es parmi les pays revenu interm diaire et les pays producteurs de p trole D importantes r formes ont t mises en uvre Cependant le programme de r forme la tra ne dans les domaines tels que l accession POMC la privatisation des entreprises publiques la modernisation du secteur financier et dans les domaines de la gouvernance tels que la r forme de l administration fiscale et de l appareil judiciaire Malheureusement l actuelle mont e en fl che des cours du p trole masque quelque peu le r el besoin des r formes conomiques urgentes L Alg rie se trouve donc la crois e des chemins Alors que l ambitieux programme de relance a t lanc le pays est confront un d fi fondamental le cr neau d opportunit s sera t il exploit long terme de l conomie et de l emploi et d un d veloppement social permanent ou sera t il perdu pour des raisons d inefficacit de gaspillage et de corruption De nombreux projets susceptibles de redynamiser la r forme bancaire la relance de la bourse d Alger la r forme de la douane l acc l ration du processus de privatisation sont voqu s sans cesse par les pouvoirs publics mais en l absence de pr cisions et d un calendrier sur les actions mener on ne peut qu tre sceptique Les r formes initi es jusque l notamment la r forme des institutions financi res et bancai
162. e critiqu e de m me par Jean Carbonnier cot d une fiscalit norme comme un monstre l viathanique la complication inutile de la vie des gens la place d une sancta simplicitas pr n e par l ontologie d un syst me juridique rationnel comme le droit romain d antan de nouveau bona fides la destruction du principe de la bonne foi et des contrats verbis assez simples le non respect de l id al social que j ose le d nommer le principe de la quasi sinchronicit entre l ill galit et sa r paration l gale et judiciaire pour ne pas transformer la Justice dans une arme de vendetta politique ce qui est plus grave que l absence de la Justice ce qui nous sugg re le proc s des opposants politiques et ejusdem farinae les proc s bolcheviques sovi tiques et communistes des ann es 50 du si cle pass la chasse des sorci res la chasse du maccarthysme aux USA tous les exc s au nom d une ordre parfaite au nom d un tat de droit purement m taphysique et souvent assez ridicule par son hypocrisie tardive cach sous le signe d un pouvoir ph m re et usurpateur de la justice v ritable 2 Addendum secundus voir http www savezvousque fr societe proces insolites html exempli gratia Le proc s Liebeck contre McDonald s En 1992 Stella Liebeck femme de 79 ans habitante de Santa Fe dans l tat du Nouveau Mexique avait achet un caf au Mc Drive d un McDonald Voulant ajouter du la
163. e l exp rience VAE qui rend possible un changement de m tier sans avoir le dipl me ou le titre requis Le d veloppement de la VAE reste cependant marginal alors que le dispositif est bien adapt certains profils professionnels fr quents dans les collectivit s territoriales comme les agents peu qualifi s ou en voie d usure professionnelle 41 Revue europ nnee du droit social Les bilans de comp tences ou les actions d accompagnement restent ponctuels Un projet reclassement est men par la ville de Lyon depuis la fin de 2007 avec plusieurs volets gestion des r int grations et des red ploiements accompagnement global des agents en reclassement pour raisons de sant pr vention des probl mes d aptitude par l analyse des conditions de travail r elles pr vention et traitement collectif des mobilit s d licates Cet exemple t moigne des larges marges de progr s qui s offrent aujourd hui aux collectivit s territoriales Dans la fonction publique hospitali re la gestion pr visionnelle des m tiers et des comp tences est en cours de mise en place Ainsi le regroupement des m decins en trois corps statutaires au lieu de dix est pr conis afin de faciliter la gestion des personnels m dicaux 2 La gestion des recrutements est moins un facteur qu une cons quence des politiques de la collectivit La gestion des recrutements est en g n ral assez peu reli e aux objectifs strat giques
164. e Emploi entre le milieu des ann es 1990 et aujourd hui informe que quatre mouvements ont t l uvre D abord apr s un taux relativement lev en 1996 le plus haut atteint par l chantillon le nombre d inscrits d cro t jusqu en 2001 passant de 140 000 100 000 inscrits P le Emploi La tendance du d but des ann es 2000 est plut t une hausse de l effectif tout en restant bien inf rieur son taux de d part atteignant les 114 000 en 2005 Entre 2005 et 2008 le nombre de 18 30 ans inscrits P le Emploi finit par atteindre son niveau le plus bas N 96 000 avant d atteindre un niveau quivalent celui de la fin de la d cennie 90 N 127 000 Par ailleurs les donn es fournies pour l ann e 2012 et donc encore partielles sugg rent que cette hausse se prolongera Les diff rentes phases de la fr quentation de P le Emploi depuis 1996 font ainsi cho avec les grandes tendances socio conomiques qui ont marqu es les ann es 2000 Par ailleurs le travail d enqu te r alis sur les profils des usagers des diff rents dispositifs en ligne li s la sph re professionnelle job boards r seaux num riques montre bien que chaque m dia ne concerne pas n cessairement les m mes publics Le d terminisme technique rencontre ici un premier cueil En effet il est inexact d affirmer que ces inscrits P le Emploi et les usagers de Viad o ou LinkedIn ont le m me type de prof
165. e carri re tr s rapide N anmoins ce dipl me donne la possibilit d une poursuite d tudes ou d une reprise d tudes via la formation tout au long de la vie D apr s la 7 enqu te nationale du devenir des DUT concernant les dipl m s 2008 70 des DUT GIM font une poursuite d tudes Pr s de la moiti se dirige vers un parcours long cole d ing nieurs ou licence et master et 39 vers un parcours court licence professionnelle Les Licences Professionnelles sont tout fait adapt es la poursuite d tudes apr s le DUT Elles ont pour but de former des techniciens et assistants ing nieurs capables de conduire un projet technique ayant une capacit voluer vers des fonctions d encadrement avec le souci du respect de la r glementation Elles permettent par exemple d acqu rir des comp tences compl mentaires au DUT GIM dans le domaine du patrimoine de la s curit de l environnement de la chimie du nucl aire etc Conclusion La maintenance industrielle a fortement volu depuis ces derni res ann es Dans un contexte conomique fortement concurrentiel la maintenance constitue un enjeu d cisif pour les entreprises Les interventions en urgence engendrent des arr ts de production co teux qui n cessitent de mettre en place des proc dures de pr vention syst matiques des pannes majeures 19 Revue europ nnee du droit social Bien que le service maintenance g n re un gain financ
166. e concurrentiel r gional D autre part lW4alg rie ambitionne de rejoindre les espac s conomiques ouverts comme l int gration POMC et de baisser ces barri res douani res vis vis de la communaut europ enne Les entreprises qui pr tendent un positionnement de leurs produits sur la place internationale doivent faire avec deux exigences de taille produire moindre co t et proposer un produit de qualit sup rieur donc une obligation une certification Iso chercher r duire au mieux les co ts qui continuent greffer les prix des produits par la mise en place de meilleures actions potentielles sur des compressions des charges Contrairement une vision r pondue qui consiste croire que l une des premi res charges r duire serait la masse salariale la v rit est toute autre L Alg rie est l un des pays au monde qui offre les plus bas salaires ce qui justifie en grande partie la fuite des meilleurs l ments vers l ext rieur Par contre les produits import s mati res premi res et quipements industriels subissent des effets inflationnistes importants dus essentiellement la faiblesse du dinar par rapport aux monnaies trang res et plus particuli rement l euro Pour faire face L Alg rie misera beaucoup plus sur un partenariat solide devant d boucher sur des 169 Revue europ nnee du droit social engagements de processing ou de joint venture Les exemples ne manquent
167. e de l conomie du pays en assurant 52 des revenus budg taires 25 du PIB et 98 des recettes d exportations L Alg rie dispose de la 5 importante r serve de gaz naturel au niveau mondial Elle est en 14 position au niveau des r serves p troli res L conomie reste tributaire des fluctuations du march p trolier et du cours du dollar c est ce qui explique pourquoi l Alg rie s efforce de diversifier son conomie par une politique d encouragement de l investissement tranger et local en dehors des hydrocarbures L existence d une main d ceuvre qualifi e repr sente sans doute un des atouts les plus importants faire valoir En effet l Alg rie dispose d une main d ouvre qualifi e techniquement ing nieurs informaticiens techniciens et autres dont le Baghzouz Aomar juin 2000 Le partenariat euro m diterran en et les enjeux de s curit globalement et sp cifi s maghr bines colloque international de Bejaia enjeux et perspectives Bilan de la conjoncture 2006 donn es du gouvernement alg rien 160 Revista european de drept social co t reste tr s faible plus de 40 universit s et plusieurs dizaines d instituts fr quent s par pr s de 1 500 000 tudiants Ces donn es sont en perp te augmentation La population active ayant un niveau d tudes sup rieures d passait un million de personnes en 2000 soit environ 15 de la population active La
168. e donn de mat riel est utilis la fois dans le service d accueil et dans le service d origine du rempla ant leurs fabricants diff rent ventuellement Sans compter qu il y a des volutions entre les versions du m me mat riel Le probl me est que le mat riel est seulement progressivement chang dans les services A nsi donc le soignant se retrouvera parfois devant un mat riel dont il aura besoin de relire le mode d emploi Par ailleurs pour comprendre et conseiller les patients il convient d en avoir une certaine connaissance Or les publics des divers services d un m me h pital ne co ncident pas forc ment En tous cas le professionnel ne saurait tenir le m me discours aux mourants des soins palliatifs aux drogu s en sevrage aux vieux de g riatrie aux enfants de p diatrie ou aux angoiss s des urgences Dans le m me ordre d id es il est souhaitable de conna tre les coll gues avec qui l on travaille Ne serait ce que pour savoir qui s adresser pour avoir des conseils et avis professionnels Comme tous les services ne fonctionnent pas de la m me fa on il faut toujours se r adapter il y a toujours un moment de r adaptation au service aux patients C est vrai que les mat riels et appareillages peuvent varier d un service 91 Revue europ nnee du droit social Pautre Parlant de son h pital un cadre constate que non seulement les urgences sont un service particulier mais en pl
169. e faciliter l laboration des plans de formation La convocation l entretien est accompagn e de la fiche de poste et d un canevas d entretien professionnel servant au compte rendu Les collectivit s ont ensuite int r t effectuer un traitement informatis global des r sultats des entretiens notamment pour le recensement des comp tences attendues et existantes et pour les demandes de mobilit et de formation Ce type de traitement permet la mise jour des fiches de postes au sein du d partement de l Is re depuis 2009 L avancement et la r mun ration valorisent peu le m rite L article 20 du statut g n ral de la fonction publique modifi par la loi du 5 juillet 2010 permet de prendre en compte dans la r mun ration des fonctionnaires les fonctions et les r sultats individuels et collectifs Cette volution qui doit se 45 Revue europ nnee du droit social faire dans le cadre du principe de parit entre les fonctions publiques n a pas encore produits d effets tangibles Alors que l article 78 du statut de la fonction publique territoriale destine l avancement minimum d chelon aux fonctionnaires dont la valeur professionnelle le justifie la logique de la loi est invers e dans la plupart des collectivit s m me de grande taille l avancement d chelon s y fait quasi exclusivement l anciennet minimale L valuation des agents n a d s lors pas d incidence significative sur
170. e financier des syst mes de retraite mais les remet leur vraie place la seconde En Belgique des voies continuent de se lever pour rappeler l importance du maintien de la pr pension compte tenu notamment de la p nibilit au travail D autre part sur le march de l emploi et l int rieur m me de l entreprise la perception des employeurs vis vis des plus g s au travail est essentielle Or depuis longtemps cette perception est ambivalente oscillant entre un constat de d clin sur le plan physique et la reconnaissance de sagesse et d exp rience Quand on les interroge sur les travailleurs prenant de l ge les employeurs font galement r f rence une faible productivit une certaine r sistance aux changements techniques et organisationnels peu de mobilit professionnelle et de polyvalence ou encore une moindre app tence pour la formation continue De plus on observe dans l entreprise des pratiques effectives qui demeurent diff renci es selon l ge politique de recrutement ax e sur les plus jeunes faible acc s la formation apr s 50 ans perspectives professionnelles r duites mesure de l avanc e en ge etc Si ces constats ne se limitent pas uniquement la Belgique ils seraient moins marqu s dans d autres pays qui ont mis en place une r forme globale du march du travail et qui ont r ussi convaincre d un c t les employeurs maintenir en emploi les plus
171. e genre D apr s le CSE on note toutefois que la 1 Pour rappel le taux d emploi exprime la part des personnes occup es en pourcentage de la population du m me ge 16 CSE 2011 Rapport annuel 2011 Bruxelles p 15 60 Revista european de drept social participation au march du travail des hommes et des femmes diminue dans des proportions comparables partir de la tranche d ge des 50 54 ans De plus Au fur et mesure qu on s int resse des populations g es l emploi c de le pas une s rie d autres statuts socioprofessionnels li s l inactivit De m me La proportion de demandeurs d emploi diminue elle aussi en 2010 moins de 2 des 55 64 ans taient activement la recherche d un emploi et disponibles pour le march du travail et 60 8 taient inactifs La moiti de ces inactifs s taient d j retir s du march du travail via un des r gimes de pension ou de pr pension Ainsi le cadre r glementaire joue ici un r le sur le comportement des acteurs et sur la participation au march du travail une situation qui renforce les th ses d velopp es dans certains travaux d analyse compar e La probabilit de retrait du march du travail est dans ce contexte national fonction de l ge d acc s aux diff rents dispositifs de retrait pr pension d s 50 ans dans certains cas statut de ch meur g avec dispense de recherche d emploi
172. e le tourisme devient partie int grante des strat gies de d veloppement culturel des pays de destination moyen suppl mentaire de pr servation du patrimoine et d encouragement des activit s cultuelles La synergie entre culture et tourisme conduit la promotion parall le de ces deux domaines d activit Elle devient un facteur important compte tenu de l importance croissante de la culture et du tourisme pour l conomie des pays du monde entier L association de la culture et du tourisme s av re un moteur conomique extr mement puissant La culture est un l ment important du tourisme g n rateur d attrait et de comp titivit pour toute destination Les destinations les plus recherch es sont celles qui parviennent cr er une bonne synergie entre culture et tourisme Cette synergie ne se cr e pas spontan ment Elle doit tre cultiv e d velopp e et g r e Certains crit res sont particuli rement importants pour le d veloppement de bonnes relations entre culture et tourisme e Le caract re soutenu des v nements culturels e Le niveau de participation de la population locale aux manifestations propos es aux touristes 4 OECD The impact of culture on tourism 2010 5 Pencheva A Gestion de projets dans le tourisme Editions Avangard Prima S 2012 Parusheva T Vision des transformations globales de la culture Conf rence scientifique internationale Les enjeux du tourisme au XXle s
173. e technicien dans l entreprise connaissance de l entreprise organisation autonomie comp tences techniques difficult s humaines et techniques Le DUT GIM peut tre obtenu par des voies diff rentes qui permettent des publics divers selon des organisations et des horaires adapt s d acqu rir les savoirs et savoir faire sanctionn s par un dipl me unique le DUT G nie Industriel et Maintenance Ces voies sont 17 Revue europ nnee du droit social e la formation en quatre semestres temps plein e la formation distance et avec regroupements e la formation en un an temps plein ann e sp ciale e la formation continue et la VAE Validation des Acquis de l Exp rience e la formation en alternance contrat de professionnalisation apprentissage convention e la formation en dur e adapt e sportif de haut niveau 3 3 Partenariats Le DUT GIM est un dipl me national Il sanctionne une formation pluridisciplinaire dont les contenus sont propos s par la Commission P dagogique Nationale de la sp cialit Ce programme est labor et actualis en permanence par des enseignants chercheurs de l universit mais galement par des professionnels du m tier Selon un sondage IFOP 90 des personnes interrog es ont une bonne image voire une tr s bonne image des IUT 84 des chefs d entreprise se rejoignent pour dire que les formations IUT sont parfaitement adapt es aux besoins et qu elles
174. efforts be made to adopt common definitions of offences and penalties focusing on a number of especially important sectors amongst them environment crime But despite this agreement about the importance of joint the European Union action environmental criminal law has become the centre of a serious institutional fight between the European Commission supported by the European Parliament on the one hand and the Council supported by the great majority of the European Union member states on the other hand At stake is nothing less than the distribution of powers between the first and the third pillars and The Tampere European Council of 15 and 16 October 1999 177 Revue europ nnee du droit social therefore also between the Commission and the European Union s member states The effect of this fight is currently a legal vacuum on general environmental criminal law that was closed with the Directive 2008 99 CE taking into consideration the cross border dimension of environmental crime and the existing significant differences in the national legislation of the European Union member states 1 In February 2000 Denmark presented an initiative for a Framework Decision on Environmental Crime Same country has made a proposal for a Directive on the Protection of the Environment through Criminal Law Both proposals defined offences as infringements of secondary environmental legislation or implementing national legislation of and participation
175. eillance et dans le souci d un accompagnement Il s agirait de guider et soutenir les premiers pas de la rempla ante Toutefois observe t elle lucidement si on va faire un remplacement c est qu il n y a personne pour encadrer forc ment En r alit pr cise une troisi me infirmi re on arrive l bas mais on est quelqu un 89 Revue europ nnee du droit social qui vient d panner Ce n est pas quelqu un qui vient en plus en surnombre Donc il faut se d brouiller chaque infirmi re doit se d brouiller Si les infirmi res d j en sous nombre se doivent de former elles risquent de manquer de temps pour leurs propres objectifs de la journ e N anmoins un soignant se voie parfois attach une future coll gue l occasion des stages d application Rappelons que les param dicales b n ficient d une formation en alternance entre l institut et l h pital Mais peut on vraiment s en sortir sans accompagnement dans un service que l on conna t mal Une infirmi re en doute Pour elle ce serait comme si notre domicile un invit y venant pour la premi re fois devait faire la cuisine Elle rassure n anmoins en se promettant de donner le meilleur d elle m me Voici son propos je pense que j essaierai de me d brouiller je ferai de mon mieux Maintenant est ce que je serai efficace pour autant Les nouvelles infirmi res ne semblent pas s enfermer dans un mutisme pr judiciable aux mal
176. el de l int rim Si l on ajoute qu elles ont d velopp des r f rentiels tr s complets destin s formaliser les comp tences on est port penser que leur activit d interm diation est parfaitement adapt e Internet ce m dia est le plus r actif le 120 Revista european de drept social moins cher et il permet condition que les comp tences soient tr s formalis es une recherche pointue sur les profils et les postes En effet contrairement aux interm diaires institutionnels financ s par l Etat les ETT ne b n ficient pas des m mes budgets pour absorber elles seules les demandes de recrutement Pour ces structures en particulier la diffusion des TIC tant dans les organisations que dans le corps social repr sentait un enjeu important pour s affirmer parmi l ventail des interm diaires En d veloppant leurs propres plateformes pour diffuser leurs offres d emploi les ETT ont effectivement augment leur visibilit sur le web en tant notamment moissonn es par les moteurs de recherche D s lors les demandeurs int ress s pouvaient acc der ces annonces et ventuellement y r pondre depuis leur domicile et en dehors des heures d ouverture de l agence Internet appara t alors comme un pont suppl mentaire entre l offre d emploi et le demandeur quip en TIC gommant dans le m me temps la variable espace temps L analyse des fluctuations des taux d inscription des 18 30 ans P l
177. elques segments strat giques doivent tre s lectionn s pour favoriser l apparition de champions r gionaux capables de jouer un r le de leadership au niveau de l Afrique 170 Revista european de drept social Parmi les secteurs dans lesquels ces champions pourraient appara tre on peut citer le secteur bancaire cl de co te du syst me conomique le secteur de la haute technologique gr ce la main d uvre qualifi e et bas prix dont dispose le pays Cette industrie sera un des secteurs attractifs des IDE pour la sous traitance off shore L Inde est une illustration dans le genre de l apport d un tel secteur pour le d veloppement D autres secteurs pourraient bien s r tre envisag s pour tirer avantage Le d veloppement de ces champions ne doit pas se faire n cessairement par la cr ation de soci t s tatiques mais plut t en favorisant le d veloppement de quelques soci t s qui existent et qui ont d j des bases saines et en les aidant nouer des partenariats avec des op rateurs trangers 3 3 Mise en place d un syst me de financement efficient Un autre l ment levier mettre en uvre concerne la construction d un syst me bancaire efficient travers la modernisation des syst mes d informations et l mergence de banques solides gr ce a des coop rations capitalistiques et ou techniques avec des leaders mondiaux pour assurer la mont e en comp tences locales Cette strat gie de
178. emment le v hicule quitta la route s crasa et se renversa Grazinski poursuivit la soci t Winnebago en justice parce qu elle n avait pas mentionn dans son guide d utilisation que le v hicule ne pouvait pas se conduire tout seul la fin du proc s la soci t Winnebago a d lui reverser une somme de 1 750 000 et lui offrir une nouvelle caravane Grazinski Depuis la soci t a d modifier les instructions de son guide d utilisation voir aussi Terrence Dickson et le plus beau cambriolage Bristol Pennsylvanie En 1998 il a port plainte contre la compagnie d assurance de la maison arguant que la situation l avait plac dans un tat de d tresse psychologique Il gagna devant le jury 500 000 dollars d indemnit pour torture morale L interrupteur de la porte du garage de la maison qu il tait en train de cambrioler fonctionnant mal il s est retrouv enferm dans le garage jusqu au retour de vacances des propri taires 8 jours plus tard Ne survivant que gr ce un stock de bouteilles de pepsi et de nourriture pour chien il tait normal qu ils payent non Si on peut plus cambrioler tranquille voir tant d autres sur Internet 35 Revue europ nnee du droit social ind pendante et sobre par cons quent la seule solution est l abolition de tout immunit des dirigeants politiques sauf pour les d cisions collectives ou celles qui respectent les proc dures d une conduite collective presc
179. enalties which demonstrate a social disapproval of a qualitatively different nature compared to administrative penalties or a compensation mechanism under civil law Common rules on criminal offences make it possible to use effective methods of investigation and assistance within and between European Union states In order to achieve effective protection of the environment there is particular need for more dissuasive penalties for environmentally harmful activities typically cause or are likely to cause substantial damage to the air including the stratosphere to soil water animals or plants including to the conservation of species Failure to comply with a legal duty to act can have the same effect as active behavior and should therefore also be subject to corresponding penalties Therefore such conduct may be considered a criminal offence throughout the Community of the European Union when committed intentionally or with serious negligence In the Article 3 of the Directive 2008 99 CE the European Union states must ensure that a series of fact constitutes a criminal offence when unlawful and committed intentionally or with at least serious negligence such as the discharge emission or introduction of a quantity of materials or ionising radiation into air soil or water which causes or is likely to cause death or serious injury to any person or substantial damage to the quality of air the quality of soil or water or to animals or plants
180. ent de plus en plus fr quemment optimiser leurs m thodes d embauche La d marche r flexive sur la n cessit de structurer les besoins dans le domaine des ressources humaines autour de la formalisation des objectifs est en cours La gestion pr visionnelle est pr sent e comme un outil indispensable pour introduire le pilotage des comp tences Des r f rentiels trangers et d sormais nationaux apportent des r f rences aux tablissements hospitaliers La r flexion pose les questions de la tension entre d une part la gestion par la mise en uvre de m thodes souples de management et l organisation interne des organismes publics et d autre part le passage d une gestion par statut une gestion par m tiers Les pratiques relev es grande chelle sur le terrain par les chambres r gionales des comptes demeurent largement en retrait des intentions affich es ainsi que des possibilit s qu offre la r glementation Il reste aux collectivit s s approprier les outils de gestion pr visionnelle et utiliser les marges dont elles disposent pour valoriser le m rite et la comp tence en termes d organisation collective et d avancement individuel avant de poser avec une pertinence accrue la question de l inadaptation ventuelle du cadre r glementaire compte tenu de la diff rence de nature entre acteurs publics et priv s L accroissement probable dans les ann es venir de la contrainte
181. ent invit au c ur des politiques nationales Se limitant aux notions de travail r mun r derri re l activit et de prolongation des carri res comme finalit de transformation de l action publique il insiste sur la n cessit dans une soci t dite vieillissante d un changement de paradigme en faveur des seniors au travail et d un changement de mentalit s leur gard afin d augmenter le taux d emploi de cette cat gorie de la population L injonction europ enne l augmentation du taux d emploi des personnes g es de 55 64 ans entend r pondre ainsi aux perspectives de vieillissement d mographique et leurs impacts sur le financement des syst mes de s curit sociale En 2010 l objectif communautaire d un taux d emploi de 50 pour les 55 64 ans n a pas t atteint en Belgique 38 tout comme dans de nombreux pays europ ens cet gard la nouvelle strat gie Europe 2020 a r affirm la n cessit d une plus grande participation des g s sur le march du travail Nous avons propos ailleurs une interpr tation plus critique de cette orientation et du discours qui l accompagne 1 MOULAERT T LEONARD D 2011 Le vieillissement actif sur la sc ne europ enne Bruxelles Courrier hebdomadaire CRISP n 2105 Ibidem 53 Revue europ nnee du droit social Aussi les discussions propos des fins de carri re ne sont pas neuves en Belgique El
182. er of reason given for the common good by the one who has the responsibility to community Man made laws can vary in time and space Laws should not be tyrannical and must promote the common good Contemporary of St Thomas Aquinas but belonging to the Franciscan Order Thomas Aquinas was part of the Dominican Order OrdoPraedicatorum John of Fidanza 1221 1274 AD known as St Bonaventure used natural law instruments to comment on legal phenomena such as marital chastity Isidore of Seville 560 636 AD wrote some work on the idea of natural law and jurisprudence In his conception the laws are divided into divine and human Divine laws are rooted in nature and human laws based on custom Natural law is the common law of all people Natural law has no conventional human source but a natural source which isboth aprioristic and immutable Nevertheless the doctrine had also an important role as all these principles were often transmitted through legal commentaries of jurists of that time Another medieval monk Gratian twelfth century AD considered that natural law began with the first rational creature is invariable in time and immutable St Bernard 1090 1153 AD Bernard of Clairvaux was also speaking about natural law considering that under it man must act in relation to others as they would like others to act towards him At the same time it should be noted thatGuillaummed Auxerre 1233 AD believed that natural law
183. ergies renouvelables ont pour la plupart montr une fiabilit technique et leur adaptabilit aux conditions locales Elles se pr sentent comme tant une composante de la diversification nerg tique laquelle chaque pays doit recourir pour r pondre ses besoins qui peuvent avoir trait l am lioration des conditions de vie des citoyens la promotion de la production agricole et surtout prot ger l environnement par des nergies non polluantes Le d veloppement de l nergie solaire contribuera r pondre aux besoins en terme de consommation d lectricit qui a augment durant les derni res ann es de 4 par an au moment o la demande devrait long terme cro tre de 7 par ann e Parmi les projets lanc s figure des fermes oliennes Tindouf Timimoun Adrar pour 100 MW au total La fili re hydraulique quant elle produit 1 7 de la puissance install e Elle est constitu e de 34 groupes dont la puissance unitaire varie de 1 5 MW pour les basses chutes Plusieurs projets ont t lanc s dans le cadre de la promotion des nergies renouvelables notamment le projet de 173 Revue europ nnee du droit social construction d une centrale hybride de cycle combin solaire gaz Hasssi R mel d une capacit de 150 m gawatts l lectrification au solaire de 18 villages repr sentant environ 1 million de kilom tre carr de surface L nergie produite jusqu ce jour est de deux GWh Dan
184. ertaines d entre elles s inscrivent dans du d j l c est dire qu elle prolonge ou modifie quelque peu des mesures existantes Enfin soulignons galement que certaines mesures pr vues par le volet vieillissement actif du Pacte des g n rations n ont pas t ou insuffisamment ex cut es et ont fait l objet d un bilan par le CSE la demande de la Ministre de Pemploi 12 NARINX A 2007 Un Pacte controvers L ECHO 2 mai 13 ARCO E 2011 Le blocage de l valuation du Pacte de solidarit entre les g n rations Les analyses du CRISP en ligne 22 d cembre www crisp be 14 CSE 2011 Rapport annuel 2011 Bruxelles pp 261 285 58 Revista european de drept social Encadr quelques mesures cr es par le Pacte des G n rations Bonus pension entr en vigueur le ler janvier 2007 il offre un droit de pension suppl mentaire aux personnes qui continuent de travailler apr s l ge de 62 ans ou apr s leur 44 ann e de carri re professionnelle Vacances Senior entr es en vigueur le ler janvier 2007 les vacances seniors s appliquent aux personnes g es d au moins 50 ans qui reprennent un travail et qui en raison d une p riode de ch mage ou d invalidit l ann e pr c dente n ont pas droit aux quatre semaines de vacances Ces travailleurs se voient accorder des jours de cong pour compenser ceux auxquels ils n auraient pas droit Durant la
185. es Courrier hebdomadaire CRISP n 2105 Nous l avons personnellement synth tis et actualis pour cette contribution 54 Revista european de drept social 1 Des politiques publiques en volution 1 1 Des r alit s conomiques des besoins sociaux Dans les ann es 1970 le contexte socio conomique marqu par des nombreuses restructurations d entreprises a vu appara tre une s rie de dispositifs visant r duire l offre de travail Ces dispositifs visaient galement combattre un ch mage croissant chez les jeunes en proposant des mesures favorables au retrait anticip du march du travail des plus g s C est au d but des ann es 1970 que l id e de pr pension appara t avec la Conf rence de l Emploi Apr s de apres d bats la pr pension conventionnelle est rendue obligatoire en janvier 1975 Elle permet concr tement aux travailleurs licenci s g s de 60 ans de recevoir une indemnit compl mentaire charge de l employeur suite un licenciement Plusieurs syst mes proches de la pr pension vont alors se d velopper mais le co t des d penses sociales pour l Etat va entra ner leur suppression progressive dans les ann es 1980 la pr pension l gale instaur e en 1976 et abolie en 1982 elle tait accord e la demande du travailleur ou la pr pension sp ciale mise en place en 1977 elle sera galement abolie en 1982 elle visait la mise en retraite de certains ch meurs de longue d
186. es alternatives Le ratio de Mills est non significatif pour le profil d aide familial uniquement Ainsi il n y a pas de biais de s lectivit ce niveau Le niveau d instruction n est pas d terminant pour les activit s sous jacentes au profil d aide familial En revanche l absence du niveau d instruction et ventuellement d autres facteurs cr ent un biais dans la sp cification de l offre de travail pour les profils de travailleur ind pendant et employ 110 Revista european de drept social 1 4 R sultats Les diff rentes mod lisations effectu es permettent de mettre en exergue les facteurs d terminants de la participation et du choix d occupation des femmes 1 4 1 D terminants de la participation au march du travail Trois hypoth ses ont t postul es afin d expliquer la situation d activit des femmes camerounaises et maliennes Aussi certains facteurs d terminants permettent de conclure rapidement sur la validit de certaines hypoth ses alors que le postulat de la femme domin e ne semble pas s appliquer dans notre tude La participation des femmes diff rent selon la population d tude mais il existe des facteurs cl s qui caract risent le statut d activit des femmes de fa on identique 1 4 1 1 Impact du capital humain sur la participation Pour l analyse de la participation l impact du capital humain sur le statut d activit des femmes est mieux per u sur
187. es choix de participation et d offre de travail des ruraux Elle conditionne encore plus les comportements d offre de travail de ces femmes qui trop souvent sont contraintes de s orienter dans des activit s non rentables d aide familial contrario dans les zones urbaines o l activit conomique est plus diversifi e les femmes s efforcent d int grer ce march largement occup par les hommes en grande partie par l accumulation du capital humain qui est justement r mun r e L accumulation du capital humain permet mieux de relancer les femmes dans des emplois plus s curis s dans les zones urbaines au Cameroun Seulement le cumul scolarisation et emploi est tr s r pandu dans les soci t s camerounaise et maliennes Les donn es ont r v l qu au moins 50 des plus jeunes sont des actifs Ces scores sont bien trop en diapason avec les taux d absorption des secteurs public et priv que l on s interroge sur la qualit de ces occupations Il est donc primordial de maintenir les femmes dans le circuit scolaire jusqu un niveau suffisant de connaissance jug par la structure de l offre de travail Dans cette tude ce niveau correspondant la fin des tudes secondaires Les familles vivant dans des conditions de vie d favorables participent norm ment l activit conomique mais la plupart sont inscrites dans un cycle de pauvret encore ferm En fait ce sont les femmes des m nages dont l
188. es conditions ont t jug es insuffisantes qui interviennent plus dans les activit s pr caires que l on enregistre comme des aides familiaux alors que les personnes ais es continuent d exercer de plus en plus comme salari es en majorit du priv et du public En outre le r le classique de la femme au service du m nage des th ories f ministes tend dispara tre mais il s applique mieux aux femmes en couple Ce sont donc des femmes la recherche d une meilleure situation pour l panouissement de leur famille que l on retrouve aujourd hui m me si cela est plus ressenti dans les familles pauvres au Mali De plus la pr sence d un enfant est certes un frein la participation au march du travail des femmes mais une fois que la d cision de participer est prise ce sont des conditions meilleures qui sont vis es dans les grandes villes contrairement aux femmes rurales o les choix d occupation sont plus r duits Autant les choix des femmes en mati re d occupation tiennent compte des avantages que les unes peuvent avoir sur les autres en mati re de r gionalisation du travail de capital humain etc autant leurs choix sont guid s par leurs positions familiales Certes la participation l activit conomique est un fait socialement r pandu dans ces soci t s mais les choix d occupation des femmes en couple sont en majorit attach s l informel Ce sont donc des choix d occupation plus ti
189. escatar experiencias realizadas por reformadores sociales y fil ntropos del siglo XIX que ayudan a valorar la participaci n de los j venes estudiantes en proyectos sociales Destaca el movimiento de los establecimientos o Settlements House de Samuel Augustus Barnett 1844 1913 y Henrietta Barnett 1851 1936 en el cual hombres y mujeres de la universidad se mostraron cr ticos Se encontraban entre dos deberes el del conocimiento la b squeda de la verdad y el de ayuda al necesitados VVAA 2004 114 Esta convivencia de profesores y alumnos universitarios con poblaci n en situaci n de pobreza a trav s de cursos de formaci n actividades culturales etc han sido un medio para promover la educaci n formal e informal de la poblaci n en situaci n de exclusi n social Proyecto llevado a Am rica del Norte por Jane Addams en el Hull House de Chicago que constituyo una red formada por estudiantes y profesoras de la Universidad de Chicago y por residentes de la Hull House Dos de los principales objetivos de reforma de este grupo fueron la educaci n superior y la independencia econ mica de la mujeres Garc a 2010 18 19 promocionando a los j venes a estudiar en la universidad y dirigiendo las investigaciones de estos j venes en el Hull House entre los que se encontraba E Lindeman mencionado anteriormente Estas experiencias del s XX ayudaron a construir una ciudadan a mas participativa y responsable dado que Se considera que
190. essionnelle Plus que communiquer Internet leur offre la possibilit de ma triser et donc de contr ler les diff rentes tapes du processus de recrutement d employ s et de collaborateurs depuis la diffusion d informations et d offres jusqu au traitement homog n is et syst matique des candidatures La possibilit de diffuser des annonces sur son propre site d entreprise appara t en revanche comme une innovation autoris e par le nouveau media sur lequel se sont multipli s les sites corporate Elle permet l entreprise de prospecter plus largement le march du travail sans sortir pour autant l annonce du contexte dans lequel l emploi est offert L autre innovation permise par le nouveau media a trait la possibilit de consulter des candidatures sur des candidath ques De telles candidath ques taient auparavant constitu es par des interm diaires professionnels sans que les entreprises y aient un acc s direct La possibilit de remplir un dossier de candidature sur n importe quel job board a pour effet de d multiplier leur constitution et les possibilit s de les consulter Les usages traditionnels restent pr dominants surtout pour la r ception de candidatures 90 9 des tablissements en ont re u par La Poste pour 23 4 par Internet La diffusion 122 Revista european de drept social d annonces par la presse semble davantage concurrenc e par le nouveau canal la proportion
191. essources Univers Formation Formations Post bac DUT Genie industriel et maintenance Martine de Maintenant Mercuri Urval cit e dans le nouvel observateur f v 2009 M tiers d avenir vision 2020 Journal Vosinfos n 06 Edition Neufch tel Aumale Septembre 2011 Jean Christophe Prunet pr sident de Rohde et Schwarz France cit par Emmanuel Vaillant http www letudiant fr metiers les metiers davenir html Arnaud Dumas Jeunes dipl m s Avantage aux techniciens L usine nouvelle oct 2009 Christelle Boisseau Potier bien choisir son BTS ou son DUT l Etudiant mars 2012 Programme P dagogique National PPN G nie Industriel et Maintenance Minist re de l enseignement sup rieur et de la recherche publi par arr t du 1er juillet 2010 Les IUT v ritable passeport pour l emploi R sultats de l tude IFOP 2007 http www youscribe com catalogue rapports et theses education etudes superieures resultats de l etude ifop 2007 les iut veritables 359888 http www onisep fr Ressources Univers Formation Formations Post bac DUT Genie industriel et maintenance Le devenir des dipl m s de DUT 7 me enqu te nationale http Awww iut fr net publications Les licences professionnelles http www onisep fr Choisir mes etudes Apres le bac Filieres d etudes Les licences professionnelles 22 LES DIMENSIONS DU TOURISME CULTUREL Prof Dr Tanya PARUSHEVA Universit d conomie nationale et mond
192. est situada en las ultimas posiciones de los ltimos estudios realizados sobre rendimiento educativo seg n el Informe del Programa Internacional para la Evaluaci n Program for International Student Assessment PISA realizado por la Organizaci n para la Cooperaci n y el Desarrollo Econ micos OCDE seg n se puede apreciar en el cuadro 1 que aparece a continuaci n Cuadro 1 Resultados del sistema educativo ndice de Desarrollo Educativo UE 15 OCDE 100 ndice de Desarrollo Educativo Rendimiento Equidad Calidad Finlandia 135 8 108 7 106 7 215 9 B lgica 113 5 102 6 95 4 149 4 Holanda 112 8 103 0 102 5 135 9 Suecia 106 5 100 8 99 6 120 3 Francia 106 4 100 6 95 8 124 9 Reino Unido 101 7 100 2 99 3 105 7 OCDE 100 0 100 0 100 100 0 Alemania 99 4 100 8 96 9 100 4 Ilanda 98 3 100 6 100 7 93 9 Italia 90 2 98 6 100 4 74 2 Grecia 88 5 98 0 99 0 71 4 Dinamarca 87 100 4 101 5 64 6 Portugal 86 1 99 2 100 3 64 1 Luxemburgo 84 9 95 7 93 5 68 3 Austria 80 7 95 3 95 8 57 6 Espa a 75 9 97 6 100 9 44 4 Fuente Fundaci n BBVA Ivie La equidad reflejada en el cuadro 1 est vinculada a la idea de igualdad de oportunidades y tiene que ver con el grado de dependencia de los resultados de los alumnos con respecto a sus condiciones socioecon micas Para estimar la calidad del sistema educativo se recurre a analizar la proporci n de estudiantes que alcanzan los niveles superiores de competencia niveles 5 y 6 descontando los
193. est demand l agent alors qu il devrait tre en repos il est impossible de le brusquer Il faut proc der avec courtoisie et humilit La hi rarchie para t galement proc der de la sorte m me quand le soignant n est pas en situation de force Car le management recommand est le management participatif o les avis et tats d me de chacun sont pris en compte Le chef craint de se faire des ennemis en ordonnant franchement Le probl me est que s il y a un devoir d ob issance c est parce qu il y a en face un devoir de commandement Sinon quoi l agent ob irait il En cons quence le chef doit indiquer clairement ses attentes chacun des membres de son quipe On parle alors parfois de feuille de mission Et chacun doit lui rendre compte de l ex cution de la mission Car il est inconcevable que le responsable d un service ignore ce qui s y passe Voila pourquoi les correspondances suivent la voie hi rarchique Tous ses subordonn s lui pr senteront au pr alable les courriers qu ils entendent adresser quiconque est au dessus de lui Compte tenu de cette obligation de reddition des comptes ou de compte rendu et de l obligation d ob issance sanctionn e par la r vocation le chef de service devrait se consid rer comme le fautif en cas de dysfonctionnement dans le service En vertu de ces principes la mobilit interne est logiquement toujours r alisable dans les services publics l h pital de
194. et un syst me soutenu de formation tout au long de la vie En France un pays caract ris par un faible taux d emploi des g s les pouvoirs publics et les partenaires sociaux ont pris depuis la fin des ann es 1990 une s rie de dispositions en vue de promouvoir l emploi des seniors Au rayon des obligations l gales depuis 2009 les entreprises fran aises de plus de 50 salari s doivent conclure un accord ou un plan d action en faveur du recrutement ou du maintien en emploi des salari s seniors La loi de r forme des retraites de 2010 et ses d crets d application pr voient galement une p nalit financi re pour les entreprises et les branches concern es qui n auraient pas n goci un accord ou mis en place un plan d action de pr vention de la p nibilit M me si l examen compar des pratiques et des r formes men es dans diff rents pays en mati re de fins de carri re s inscrit dans un processus de coordination voulu par l Union europ enne pour changer des bonnes pratiques entre tats membres il faut souligner que les recettes des pays trangers ne sont pas n cessairement compatibles ni m me comparables 23 GUILLEMARD A M 2004 Les soci t s l preuve du vieillissement Le d fi de l emploi en seconde partie de carri re Futuribles n 299 juillet ao t p 50 2 DELTEIL V REDOR D 2003 L emploi des seniors en Europe du Nord Premi res Informations et Premi res Synth
195. et de travaux notamment de Michel Pin on et de Monique Pin on Charlot dans leur travail sur les modes de r affirmation d un lien social lu dans le contexte tr s clos de la bourgeoisie Aujourd hui la pratique du r seautage tend se publiciser et se diffuser dans d autres types de formations particuli rement celles qui ont trait aux m tiers de la communication Ces deux grands types de formation sont largement repr sent s sur Viad o notamment gr ce l impulsion de discours d accompagnement vari s mais aussi par des injonctions manant de ces structures m mes Yannick Fondeur et France Lhermitte soulignent bien que la mobilisation d un r seau de relations plus ou moins affinitaires dans une perspective professionnelle fait sens depuis longtemps Aussi affirment ils que Depuis les ann es trente conomistes et sociologues du travail distinguent deux types de m thode de recherche d emploi Les m thodes formelles consistent r pondre aux annonces envoyer des candidatures spontan es ou faire appel des services publics ou priv s de placement Les m thodes informelles consistent mobiliser son r seau de relations famille amis contacts professionnels Notons qu il existe une ambigu t forte dans cette distinction Non seulement les m thodes ne sont pas exclusives l une de l autre mais en outre elles sont souvent tr s difficilement isolables Le processus
196. eurs ind pendants repr sentent respectivement 43 39 et 42 46 De fa on g n rale les femmes investissent le march de l emploi autant que les hommes Les donn es r v lent que la proportion d hommes dans la population active occup e est de 50 47 au Cameroun et de 53 26 au Mali En outre les statuts d occupation des hommes et des femmes sont diff rents De fa on sp cifique selon le genre la zone d habitation la taille du m nage etc les choix d occupation des hommes et des femmes sont diff renci s La composition de la main d uvre effective pour chaque type d occupation r v le 103 Revue europ nnee du droit social des ressemblances et des dissemblances entre ces deux groupes d actifs selon la population d analyse De plus les aides familiaux les salari s et les travailleurs ind pendants ont des profils sp cifiques types d un pays l autre Une premi re tape importante de ce travail est d extraire les caract ristiques des individus pour chacune de ces occupations 1 3 1 Caract ristiques communes des aides familiaux Ce groupe de travailleurs est plus important au Mali qu au Cameroun En effet 43 39 de la main d uvre effective exerce comme des aides familiaux au Mali alors que seulement 22 25 des actifs occup s ont ce profil au Cameroun Les aides familiaux au Cameroun Cette occupation est r serv e majoritairement aux femmes En effet 69 82 des aides familiaux s
197. eutscher Taschenbuch Verlag 19 Model Penal Code and Commentaires Part I Philadelphia P A 1985 The American Law Institute 2 Jon Fl m nzeanu R spunderea juridic p 69 73 Edit ProUniversitaria Bucuresti 2010 180 Revista european de drept social strengthen the criminal law framework for the enforcement of the law against ship source pollution was finally adopted in July 2005 the Directive 2005 35 EC on ship source pollution and on the introduction of penalties for infringements in September 2005 Two instruments were considered necessary due to the above mentioned institutional conflict whether criminal law provisions were acceptable in a first pillar instrument The Commission had initially included most of the criminal law related provisions in its proposal for a directive however the Council decided to transfer the majority into the Framework Decision The Directive 2008 99 CE on the protection of the environment through criminal law of the European Parliament and of the Council having regard to the proposal from the Commission stipulate that is an offence the shipment of waste where this activity falls within the scope of Article 2 35 of Regulation EC No 1013 2006 of the European Parliament and of the Council of 14 June 2006 on shipments of waste 6 and is undertaken in a non negligible quantity whether executed in a simple shipment or in several shipments which appear to be linked Another criminal
198. ew chef du d partement GACO qui du d but la fin nous a soutenu et ce n tait pas toujours facile tant les obstacles taient nombreux S verine BOUTEILLER enseignante d anglais au GACO et fabienne BOULET enseignante d anglais directrice des tudes du d partement techniques de commercialisation pour le travail de v rification r vision et parfois fabrication de traductions anglaises qui sans elles ne seraient pas d une aussi bonne qualit Stany Lardeur pour son travail de communication autour du colloque La caso qui nous a aid s II UN SCOOP EVENTE A Faux d part Ils avaient pourtant jur de garder le silence jusqu la fin jusqu la veille de la date officielle du d part mais certains n ont pas r ussi tenir leur langue et vous savez tous que pour cause de d part en retraite cette ann e ce colloque sera pour moi le dernier en tant qu organisateur B we shall over come Ce colloque sera donc pour moi le dernier en tant qu organisateur je sais qu il est en bonne main puisque Jeane marie Wailly et Hedi benrabbah vont Pan prochain passer de co organisateurs organisateurs le succ s de la 9 dition est donc d j assur le th me est d j connu RESSOURCES HUMAINES TERRITOIRES FORMATION SUP RIEURES Vous pouvez d j nous adresser vos propres communications et ou celles de vos coll gues l adresse mail iutgaco univ littoral fr marc _richevaux yahoo fr La revue europ enne du droit
199. fa te aux salari s de venir travailler la nuit Ces derniers en font le choix mais dans la totalit des cas le choix est guid par la n cessit conomique Ces diff rentes injonctions s inscrivent dans des mutations organisationnelles plus larges A Schneider Electric comme la Sagem s instaure progressivement une organisation matricielle qui adjoint au mod le hi rarchique vertical traditionnel un principe de coop rations horizontales Goussard 2008 p 177 Ce mode d organisation du travail induit une interd pendance entre les diff rentes quipes autrefois segment es et perturbe la constitution des anciens collectifs productifs fond s sur les affinit s et construits autour des m tiers en leur substituant des collectifs artificiels Goussard 2008 p 178 C est alors l ensemble de la production qui s en trouve boulevers e Les plus jeunes semblent appr cier la polyvalence instaur e par ce nouveau mode d organisation mais ils rejoignent les anciens en d non ant de la m me mani re la fragmentation du groupe de travail et l immat rialit du syst me d encadrement 72 Revista european de drept social Et donc a fonctionne comment cette organisation matricielle Avant c tait par atelier maintenant on fonctionne par ligne de produit donc a regroupe des personnes de chacun des services autour d un m me produit des gens de la qualit de la production etc et c es
200. ficient compared to countries of similar level of development but which have not been endowed with the same resources oil revenues Moreover factors of economic vulnerability weaker export diversification worsening of the dependence of the balance of payments and the budget on oil revenues and bigger state role in the economy have increased The issue of economic recovery endeavours made by the government to spur real growth dynamics is definitely an effective way of making use of oil revenues Keywords Vulnerability productive investment challenges issues Algeria Introduction L analyse du contexte conomique alg rien en comparaison a ceux des pays similaires r v le que cette conomie deux atouts majeurs une main d ceuvre qualifi e et bon prix et aussi une am lioration sensible des quilibres macro conomiques lui donnant ainsi une marge de manceuvre en termes de politique conomique Toutefois quelques freins subsistent et doivent tre lev s pour lancer la m canique de la croissance fragilit du tissu conomique compos de petites entreprises avec des modes de management anciens faible attractivit du climat des affaires alg rien et surtout la faible diversification de l conomie et sa totale d pendance l gard des hydrocarbures qui constituent pour l essentiel 98 de ses ressources L abondance des revenus p troliers n encourage pas seulement la mauvaise allocation des ressources publique
201. formations des modes et des besoins de production le taux de ch mage a pris de l ampleur par rapport la d cennie pr c dente Pour faire face ce nouveau contexte socio conomique les interm diaires ont adapt s leurs offres et leurs objectifs Dor navant leur r le n est plus de maintenir un taux de l emploi le plus lev possible mais bien de limiter la mont e du ch mage Ainsi des Entreprises de Travail Temporaire sont cr es Ces structures proposent sur la base des besoins des entreprises un ventail d emplois dur es d termin es A l origine con ues pour palier des besoins exceptionnels en main d uvre pour les entreprises d une part et pour offrir un emploi en cas d urgence pour les particuliers d autre part ce syst me de recrutement se p rennise Yannick Fondeur et Carole Tuchszirer dans un rapport r alis pour l ANPE soulignent les volutions de ces interm diaires depuis les institutionnels originels jusqu aux nouveaux acteurs du recrutement issus de la diffusion des TIC Ainsi ils mettent en avant le r le qu Internet a jou dans la cr ation de sites web pour diffuser plus largement les offres des structures de recrutement Les ETT Entreprises de Travail Temporaire ont une approche tr s sp cifique du recrutement Elles ont besoin de recruter vite des profils pointus elles sont exigeantes elles ne disposent pas forc ment de beaucoup d argent pour communiquer Entretien professionn
202. gnifie que les pouvoirs publics doivent permettre une lib ralisation socio conomique en laborant des strat gies partir d informations sur l Etat national des lieux mais aussi sur l exp rience d autres pays et les avanc es les plus r centes de th ories et pratiques conomiques et sociales Pour que l Alg rie retire pleinement des dividendes conomiques de son ouverture progressive il est important que dans la strat gie de d veloppement s installent dans la dur e les dynamiques internes correspondantes fond es sur la formation d op rateurs locaux capables de cr er de survie et de mener terme les projets mis en uvre selon la trajectoire optimale int grant les enjeux strat giques Les d fis sont de pouvoir avec pertinence et efficacit arbitrer d cider et prendre les initiatives coh rentes dans un environnement relativement nouveau et en pleine mutation o les enjeux sont soumis des logiques locales Pour faire face ces d fis les entreprises doivent rattraper et am liorer leur culture manag riale autour des axes suivants renforcement et professionnalisation des fonctions commerciales marketing utilisation des leviers technologiques et g n ralisation des cycles de formation 3 2 D veloppement des champions r gionaux dans les secteurs porteurs Le d veloppement du tissu conomique doit encourager l esprit entrepreneurial certes mais ne doit pas conduire un tissu industriel diffus Qu
203. h pital a permet de moins embaucher puisque il y a une infirmi re polyvalente au niveau du p le s il n y a pas de travail l on la prend on la met autre part Dans un autre 80 Revista european de drept social tablissement un cadre surench rit en faisant observer que aujourd hui on essaye de d guiser la mobilit pour pallier au manque d effectif Autrement dit la mobilit participe la r duction des co ts de personnel puisque l h pital r duit sa d pense Surtout parce que dit une infirmi re il n y a plus alors faire appel a de l int rim Il est entendu que le recours aux infirmi res inscrites dans les agences d int rim co te plus cher sur le moment D sabus un autre cadre de sant se pose cette question quels sont les signes de reconnaissance qu on peut donner nos soignants Son interrogation vient de ce que le soignant doit toujours travailler m me quand son service d affectation n est pas plein Dans ce contexte il ne lui est plus possible d offrir une petite compensation ceux qui se plient volontiers la mobilit Cette compensation pouvant tre la certitude du moment des vacances En effet rappelle le cadre avant il y avait les mensualit s d t que l on pouvait avoir Maintenant c est vraiment red ploiement et mobilit Il n en demeure pas moins que gr ce la mobilit l h pital r ussit le tour de force de faire accomplir la
204. i cle Sofia 2012 p 20 25 26 Revista european de drept social e La capacit du territoire proposer les produits et services li s l v nement e La capacit des activit s favoriser l effet cluster La cr ation d un lien efficace entre tourisme et culture est un gage de r ussite Le secteur touristique est tr s commercial alors que le secteur culturel a souvent des fins non commerciales Les probl mes qui se manifestent lors du travail collaboratif proviennent du fait que le secteur culturel prouve parfois des difficult s percevoir les avantages directs du tourisme Etendue du tourisme culturel La grande tendue du tourisme culturel s explique par la vari t de ses ressources Celles ci sont g n ralement class es de la fa on suivante 1 Monuments historiques mus es et centres historiques ch teaux sites anciens jardins et paysages historiques villages et villes historiques 2 Festivals et v nements particuliers folklore sport int r ts sp ciaux v nements traditionnels 3 Industrie et commerce visite de lieux de travail attractions agricoles c l bres magasins et manufactures 4 Sites religieux lieux de cultes autels glises cath drales 5 Architecture 6 Langue langues r gionales dialectes et patois coles linguistiques 7 Arts b timents 8 M tiers traditionnels th tres et galeries d art 9 Sport et activit s de loisir
205. iale Sofia Bulgarie t_parusheva abv bg Abstract The main purpose of the present article is to analyze the dimensions of cultural tourism in the context of its future leading position on the global tourism market The author defines the terms as culture heritage and cultural tourism Attention is paid to the so called built heritage which is related to the preservation of monuments and historical building in a long term The author focuses on the synergy between culture and tourism which is pointed out as strong economic engine for many destinations The diversity of the cultural tourism is explained by types of resources Moreover the principles of cultural tourism benefits and impacts are stated out Special emphasis is placed on the rich historical heritage and cultural diversity of Bulgaria as a cultural destination The role of the cultural tourism on the world tourism scene is proved Keywords cultural tourism heritage benefits and impact destination Bulgaria La culture repr sente une partie extr mement importante de la r alit de chaque pays en m me temps qu un facteur de sa coh sion et de son originalit La culture de m me que le patrimoine historique sont de puissants catalyseurs du d veloppement conomique et de la prosp rit C est pr cis ment sur ces deux aspects que se fonde l analyse du tourisme culturel en tant que tendance en plein essor dans le secteur conomique touristique Le tourisme cultu
206. icaux depuis longtemps D ailleurs les mobilisations suscitent de mani re quasi syst matique un regain d adh sions 2 Des configurations particuli res favorables l mergence de mobilisations Mais la pr sence syndicale reste insuffisante l mergence de mobilisations En effet elles restent particuli rement rares en temps normal C est en fait la d sindustrialisation et la crise actuelle qui conduisent paradoxalement reconstituer le collectif ouvrier dans des configurations bien sp cifiques Tout en s loignant du mythe de la classe ouvri re unie et solidaire qui n a de toute vidence jamais exist sur le territoire que nous tudions nous choisirons de voir comment la constitution de collectifs de salari s d ouvriers dans le cas pr sent peut avoir pour terreau les transformations du march de l emploi Lorsque la crainte de perdre son emploi se fait particuli rement pressante lorsque l entreprise menace de fermer les ouvriers parviennent reconstituer un collectif au moins partiellement solidaire pour d fendre ce qui unifie leur condition l emploi Ainsi le contexte conomique coupl au contexte territorial une tr s faible industrialisation locale qui participe en temps normal l affaiblissement des solidarit s dans le travail peut faire na tre ou r v ler des solidarit s latentes Elles ne s actualisent ou ne se traduisent par la mobilisation que dans des circonstances p
207. ido en la Constituci n de 1978 en su 5 i mp eth articulo 27 desarrollado posteriormente en diferentes leyes sobre educaci n La universidad se encuentra en el ultimo tramo de formaci n especializada La Ley 18 1983 del 16 de Noviembre crea el Consejo de la Juventud de Espa a como entidad de derecho p blico con personalidad jur dica propia y plena capacidad para el cumplimiento de sus fines en un comienzo el Consejo estuvo ubicado en el Ministerio de Cultura Real Decreto 565 1985 pero en 1988 pasa al Ministerio de Asuntos Sociales Las Comunidades Aut nomas llevan a cabo pol ticas de promoci n al joven Esta adscrito la Comisi n Interministerial para el estudio de la Problem tica de la Juventud 7 Ley Org nica 2 2006 de 3 de mayo de Educaci n con la actualizaci n realizada en el Real Decreto 1190 2012 de 3 de agosto por el que se modifican el Real Decreto 1513 2006 de 7 de diciembre por el que se establecen las ense anzas m nimas de la Educaci n Primaria y el Real Decreto 1631 2006 de 29 de diciembre por el que se establecen las ense anzas m nimas correspondientes a la Educaci n Secundaria Obligatoria 147 Revue europ nnee du droit social La Ley Org nica 6 2001 de 21 de diciembre de Universidades LOU que da paso a la Ley Org nica de 4 2007 de 12 abril de Universidades LOMLU habla del papel de la universidad como transmisor esencial de valores para lograr una sociedad tolerante e igualitaria en la que
208. ier en vitant les pannes il repr sente galement un co t pour l entreprise en termes de salaires de mat riels de rechange de stockage des pi ces etc Le service de maintenance devient ainsi un v ritable centre conomique au c ur de l entreprise Il faut gagner de l argent en d pensant le moins possible De ce fait en fonction de l analyse de la situation l axe d intervention s orientera soit vers la maintenance pr ventive soit vers la maintenance curative En cons quence le m tier de la maintenance demande aujourd hui non seulement une bonne connaissance technologique du fonctionnement des machines industrielles qui sont de plus en plus sophistiqu es mais galement de bonnes connaissances des fonctions de gestion de planification des t ches d valuation des co ts et d animation Le professionnel de la maintenance doit galement tre capable de prendre en consid ration de nombreuses contraintes normatives li es la qualit la s curit et l environnement Pour faire face ces nouvelles exigences les techniciens de la maintenance devraient b n ficier de cr ations d emploi accentu es pour ces prochaines ann es par des d parts massifs la retraite dans le secteur industriel Actuellement les offres pourvoir dans le domaine s adressent majoritairement des jeunes issus de formations courtes En cette p riode actuelle de crise les entreprises privil gient en effet les dipl m s d u
209. igne ne sont pas en mesure de r soudre les difficult s rencontr es lorsque l enjeu de trouver un travail se pose Au contraire l observation des publics pr sents sur la plateforme il appara t bien que ses usagers appartiennent plut t la cat gorie la plus favoris e en termes d insertion professionnelle En revanche ces r seaux sociaux jouent quand m me un r le bien qu il ne soit pas d ordre op rationnel En devenant un acteur part enti re du march de l emploi des sites comme Viad o ou LinkedIn ne sont pas tant des leviers pour l insertion que des talons permettant autrui d auto valuer son parcours Par ailleurs la confrontation de nos enqu tes tend r v ler que toutes les dimensions de cette probl matique ne sont pas trait es avec la m me assiduit En effet d abord les politiques publiques semblent se concentrer sur ces publics a priori plus en difficult s que les autres face l insertion professionnelle M me s il y a effectivement plus de chances que les jeunes dipl m s de niveau Master trouvent un travail moyen termes et m me s ils sont souvent en situation d activit professionnelle leurs parcours n en est pas moins jalonn d emplois pr caires et parfois sous pay s Le r seau institutionnel ou non dont ils b n ficient parfois sans que celui ci ne soit forc ment g r via les r seaux sociaux num riques ne jouent pas toujours lorsque l emploi es
210. il social et professionnel Selon la trajectoire sociobiographique et notamment selon le niveau de qualification les individus ne visent pas les m mes types d emploi a fortiori lorsqu ils se projettent dans un travail qu ils veulent p renne M me si la fracture num rique se r duit les individus issus de milieux populaires continuent d tre moins quip s en TIC que les milieux les mieux dot s en ressources conomiques Par ailleurs le niveau de dipl me agit encore comme une protection relative dans 1 Fondeur et Tuchszirer 2005 p 44 2 Source STMT P le emploi Dares En ligne http travail emploi gouv fr etudes recherches statistiques de 76 statistiques 78 chomage 79 les mots du chomage 1413 les demandeurs d emploi inscrits a 9576 html Consult le 02 10 2012 3 Granjon Lelong et Metzger 2009 121 Revue europ nnee du droit social un march du travail en r cession Ainsi le rapport entre insertion professionnelle et Internet se joue sur deux niveaux Dans un premier mouvement la diffusion massifi e des outils d information et de communication a effectivement transform les modes d acc s aux offres d emplois et le cas ch ant un travail Dans un autre mouvement les individus ayant acc s Internet avec le moins de contraintes facilit s d acc s une connexion type d abonnement etc demeurent parmi les cat gories sociales les mieux dot es en ressources socio conomi
211. ion comprenant l ensemble du milieu socioculturel avec les traditions les coutumes les particularit s du mode de vie et les activit s domestiques La ressource minimale du tourisme de d couverte peut tre une localit donn e Pour parvenir un d veloppement de masse il est indispensable de d finir la concentration de sites appartenant au patrimoine culturel La d finition du tourisme culturel est une t che complexe Difficile d aboutir une formule acceptable pour l ensemble des observateurs et sp cialistes Selon la Commission Europ enne du Tourisme le tourisme culturel dans son contexte international repr sente le d placement de personnes vers des attractions culturelles concr tes telles que des sites du patrimoine culturel des manifestations artistiques et culturelles dans des localit s situ es hors de leur pays de r sidence L Association europ enne pour l ducation eu tourisme ATLAS le d finit comme le d placement de personnes vers des attractions culturelles dans des localit s de pays trangers hors leur pays de r sidence avec l intention de recueillir des savoirs et des exp riences pouvant satisfaire leurs besoins culturels L Organisation mondiale du tourisme OMT propose deux d finitions La d finition troite inclut le d placement de personnes pour des motifs enti rement culturels comme par exemple des tourn es scientifiques la tenue de diff rents festivals et v ne
212. ipulations of this Directive 2 Jon Fl m nzeanu Interactiunea si ierarhizarea izvoarelor dreptului Dreptul rom nesc n contextul exigentelor Uniunii Europene Comunic ri prezentate la Sesiunea Stiintific a Institutului de cercetari Juridice 2009 Academia Rom n Institutul de Cercet ri Juridice Andrei Radulescu Ed Hamangiu 2009 p 365 366 2 lon Fl m nzeanu Colaborarea international in domeniul promov rii si protectiei drepturilor si libert ilor fundamentale ale omului articol publicat in volumul Particularit i ale fenomenologiei sociale si politice n lumea contemporan Simpozion International T rgovi te 5 6 iunie 2009 Ed Hamangiu 2009 p 253 254 181 Revue europ nnee du droit social Bibliography The Tampere European Council of 15 and 16 October 1999 The Directive 2008 99 CE The Framework Decision 2003 80 JHA Jean Pradel Droit p nal g n ral Paris 1990 P Salnoge Droit p nal g n ral Press Universitaire 1994 C Soyer Droit p nal et Procedure p nale Librarie G n rale de droit et de jurisprudence Paris 1994 International Review of Penal Law 2007 Preparatory Colloquium La Coru a Spain 2007 National reports CD Rom annexes Codice penale e leggi complementari Ed Giuridiche Simone 2000 Le nouveau Code p nal introduit et comment par Henri Leclerc Editions du Seuil 1994 Strafgesctzb ch 33 Aufflage 1999 Beck Texte in Deutscher Taschenbuch Verlag
213. ipule que les entreprises d au moins 20 travailleurs devront lors d un licenciement collectif respecter la pyramide des ges et en cons quence qu elles ne pourront plus comme par le pass licencier exclusivement les plus g s souvent les plus co teux pour l employeur Au del de l impact souhait sur le taux d emploi ces deux mesures entendent galement agir en amont et sensibiliser les entreprises la plus value des g s sur le march du travail un lieu o s op rent des s lections complexes et vari es davantage encore pour les plus g s 3 Pouvoir Travailler plus longtemps Outre les configurations institutionnelles qui mod lisent le comportement des acteurs du march du travail d autres facteurs influencent le choix de d part ou de maintien en activit En effet de nombreuses recherches mettent en exergue une diversit de facteurs explicatifs complexes et enchev tr s Certes travailler plus longtemps d pend des possibilit s r elles en termes d emplois disponibles et du cadre l gal mais aussi des pratiques des employeurs notamment en mati re de recrutement des formes de gestion de la main d uvre dans l entreprise ou encore des aspirations parfois plus personnelles des travailleurs Plusieurs travaux en ergonomie du travail montrent galement que les conditions de travail jouent un r le d terminant d une part dans le processus de d veloppement des comp tences et de
214. ises priv es Quel d veloppement pour l Alg rie Colloque Alger 2002 Adel Abderazek crise conomique et probl matique des r formes El Khetwa 2003 Midi conomie les exportations hors hydrocarbures les raisons d un chec Avril 2007 Madjid Bouzar L intelligence conomique les enjeux Direction du d partement des relations internationales Strasbourg 2007 Centre national d information et de statistiques CNIS A Bouzidi le soir d Alg rie le prix de l ouverture commerciale Rapport du conseil national conomique et social CNES 2006 SDAT est une composante du Sch ma national de l am nagement du territoire SNAT 2025 la loi 02 01 du 12 d cembre 2001 relative l am nagement du territoire et du d veloppement durable 176 THE ENVIRONMENT THROUGH CRIMINAL LAW IN EUROPEAN UNION Mihaela AGHENITEI Prosecutor Ph D Lecturer Research Associate High Court of Cassation and Justice National Anticorruption Directorate Territorial Service Galati Lower Danube Galati Faculty of Law and Public Administration Institute for Legal Research A Radulescu Romanian Academy Abstract Environment crime is among the European Union s central concerns The Tampere European Council of 15 and 16 October 1999 at which a first work program for the European Union action in the field of Justice and Home Affairs was adopted asked that efforts be made to adopt common definitions of offences and penalties focusing on a num
215. isis econ mica quedando fuera del sistema En el informe sobre tendencias de empleo de la Organizaci n Internacional del Trabajo OIT 2012 se establece la necesidad de ofrecer empleo a los j venes como medida para generar un crecimiento sostenible desde la cohesi n social En la Comisi n de Comunidades Europeas se ha estudiado esta realidad elaborando diferentes l neas de actuaci n en la Uni n Europea UE con el fin de establecer una pol tica coherente con la problem tica existente en la EU que est n reflejadas en las diferentes disposiciones y recomendaciones en materia de juventud empleo educaci n y formaci n Con este fin Europa dise a una estrategia para la Juventud 2010 2018 con el fin de establecer prioridades en materia de Juventud que se centran en 1 Medidas de prevenci n con el objetivo principal de reducir el abandono escolar y lograr que aumente el n mero de personas que finalizan la ense anza superior para disminuir el riesgo de caer en la pobreza e incrementar el porcentaje de la poblaci n empleada 2 Medidas de atenci n a Potenciar la movilidad de los j venes en la UE b Crear una Agenda con nuevas cualificaciones y empleos c Crear una Plataforma Europea contra la Pobreza y la Exclusi n Social que tenga el cuenta a los j venes entre sus objetivos iniciativa denominada Juventud en Movimiento 145 Revue europ nnee du droit social 1 REALIDAD ESPA OLA EN MATERIA DE JUVENTUD Espa a
216. isme La culture joue un double r le dans le tourisme D une part elle peut tre consid r e comme partie de la mixture destin e rendre une destination touristique attrayante pour le client potentiel La culture remplit une fonction d augmentation du nombre des visites pour une destination donn e A l chelle mondiale les arts la culture et le patrimoine ont prouv leur r le d amplificateurs de g n rateurs d attrait ind pendamment du motif d clar de la visite D un autre c t l aspect culturel peut tre le motif principal du voyage sans lequel les touristes ne choisiraient pas cette m me destination Pendant la plus grande partie du XXe si cle le tourisme et la culture taient examin s comme des aspects s par s des destinations Les aspects culturels taient analys s en tant qu l ments du patrimoine des destinations fortement li s l ducation de la population locale et la sauvegarde de l identit nationale ou locale Le tourisme de son c t tait consid r avant tout comme une source de d tente et de loisirs s par e de la vie courante et de la culture de la population locale Cette conception a progressivement volu et vers la fin des ann es 80 le tourisme est examin comme une source principale de d veloppement conomique pour de nombreuses destinations Les aspects culturels sont largement exploit s dans la mise en valeur du produit touristique alors qu
217. istiques des hommes et des femmes pour cette occupation sont tr s proches selon le niveau d instruction Les travailleurs ind pendants sont en grande partie des hommes et des femmes en couple En fait sur 10 femmes participant l activit conomique comme ind pendantes il y a 6 femmes en couple Aussi ces actifs sont le plus souvent des hommes et de femmes chefs de familles pauvres L analyse montre que 72 des travailleurs ind pendants appartiennent la classe des d favoris s De plus la moiti des ind pendants sont des chefs de famille La proportion des personnes qui ont des liens directs avec les chefs de m nages autre que son pouse et ses enfants n est pas n gligeable dans l ensemble de la population m nages Par cons quent les chefs de m nages pauvres en conditions de vie sont contraints d velopper des petites activit s de 105 Revue europ nnee du droit social commerce de biens et services etc qui ne suffisent toujours pas assurer le minimum de biens d quipement et d habitat L activit des membres du m nage d un travailleur ind pendant est affect e 5 seulement des travailleurs ind pendants sont les seuls avoir un tel profil parmi tous les membres de leur m nage Dans les m nages o il y a plus d un actif ind pendant on compte en moyenne 3 84 travailleurs ind pendants soient au moins le chef de m nage et son pouse De plus la taille moyenne d un m nage de
218. it et cette surveillance d g n rerait elle m me en inquisition C est un autre principe que les lois faites pour pr venir ou pour r primer la m chancet des hommes doivent montrer une certaine franchise une certaine candeur Si l on part de l id e qu il faut parer tout le mal et a tous les abus dont quelques personnes sont capables tout est perdu On multipliera les formes l infini on s accordera qu une protection ruineuse aux citoyens et le rem de deviendra pire que le mal Quelques hommes sont si m chants que pour gouverner la masse avec sagesse il faut supposer les plus mauvais d entre les hommes meilleurs qu ils ne sont voir aussi La plus grande action magique de l homme est d tablir des lois Tommaso Campanella extrait Du sens des choses et de la magie voir aussi pour ce th me e Quand les lois seront justes les hommes seront justes Anatole France extrait du Monsieur Bergeret Paris 34 Revista european de drept social jurisprudentielles extr mement contradictoires et controvers es dans le Common Law le manque de s curit juridique d termin e par la surabondance des interpr tations al atoires partant des solutions relativistes la place des solutionnes relationnelles l pitom de ces inflations de tout sorte l efflorescence d une bureaucratie flamboyante et terrifiante inutile usurpatrice du principe de bonne fois bona fides tr s couteuse et chronophag
219. it interne s accompagnent accessoirement d autres Les soignants y trouvent alors personnellement quelques int r ts B A Les int r ts poursuivis par l h pital dans la mobilit interne En mettant en uvre la mobilit interne l h pital poursuit deux buts D une part assurer la permanence des soins la continuit du service public de sant D autre part r aliser des conomies sur la masse salariale La mobilit interne permet de satisfaire l exigence de continuit car il y a forc ment un agent chaque pose de travail l vidence le droit de gr ve contrarie ce principe Encore que dans les faits gr ce aux assignations et gr ce au maintien du salaire la gr ve soit g n ralement contr e par les directeurs des h pitaux et des cliniques Les hospitaliers sont conscients des d ficits des tablissements de sant et partant de la difficult financi re pouvoir recruter du personnel suppl mentaire Oui soupire un cadre de sant il y a un probl me d argent et c est dramatique De m me pense Pun de ses coll gues la mobilit est indispensable de par les contraintes budg taires M me les soignants de base paraissent conscients des co ts salariaux qu ils repr sentent Ils comprennent cons quemment le recours la mobilit car il n y a pas besoin de remplacer par des int rimaires qui co tent plus cher De m me un cadre se r sume en affirmant que pour l
220. it et du sucre son caf elle essaya d enlever le couvercle du gobelet de caf sans succ s puisque ce dernier resta coinc Elle entreprit alors de proc der la manipulation avec ses deux mains et coin a donc le gobelet entre ses genoux Elle tira donc sur le couvercle qui se d tacha brutalement et renversa le caf br lant sur ses genoux le si ge ses cuisses et son entrejambe Br l e aux deuxi me et troisi me degr s elle fut hospitalis e et subit de multiples greffes de peau Elle resta ainsi immobilis e pendant 3 semaines assist e au quotidien par sa fille qui dut prendre un cong sans solde Le 18 ao t 1994 le jury d clara McDonald s responsable 80 mais estima que Stella Liebeck tait galement elle m me responsable hauteur de 20 de ses blessures MacDonald s fut donc condamner payer 640 000 de dommages et int r ts McDonald s fit appel et les parties conclurent finalement sur un accord dont le montant est toujours secret ce jour mais qui serait inf rieur 600 000 Cette histoire a donn naissance aux Stella Awards un prix qui r compense les verdicts de proc s insolite voir aussi Grazinski et sa caravane En 2000 Grazinski Merv dans l tat d Oklahoma City acheta une grande caravane de la marque Winnebago avec r gulateur de vitesse Lors de son voyage il r gla sa caravane afin de stabiliser sa vitesse 113 km h puis quitta son si ge pour aller se pr parer un caf vid
221. iteurs qui s int ressent l histoire la culture l ethnographie la religion l architecture et l art Sur le territoire de tout le pays sont diss min es des d couvertes arch ologiques uniques d anciens tells de l poque du n olithique des sanctuaires et n cropoles thraces des vestiges de cit s romaines des forteresses byzantines et m di vales des r serves architecturales des complexes ethnographiques des glises des monast res orthodoxes des tekke musulmans et beaucoup d autres monuments La Bulgarie est la troisi me place en Europe apr s la Gr ce et l Italie pour le nombre et la diversit des monuments de la culture d couverts Compte tenu de l histoire sp cifique du pays le patrimoine culturel de la Bulgarie repr sente un amalgame d influences diverses mode de vie et traditions provenant aussi bien des populations historiques que des communaut s bulgares l tranger La culture bulgare est marqu e par un profond respect de la famille de 29 Revue europ nnee du droit social sa structure et des traditions architecturales dans l habitat Plusieurs r gions rurales authentiques sont conserv es jusqu nos jours et repr sentent des sanctuaires naturels du patrimoine culturel bulgare On peut y d couvrir des coutumes traditionnelles ancestrales et diff rents types de c r monies m tiers et arts appartenant au folklore La Bulgarie est un pays de riche
222. l authenticit du pass et du pr sent incluant des ressources culturelles historiques et naturelles La d finition du terme culture est non moins ardue Celui ci englobe non seulement la culture traditionnelle visites de mus es de repr sentations musicales et th trales de galeries de sites culturels etc mais aussi une approche du mode de vie d une r gion donn e incluant des aspects comme la langue les croyances la cuisine les costumes les coutumes et les produits qui en d rivent architecture atmosphere g n rale Les villes ont la capacit de proposer aux visiteurs 3 principales possibilit s 1 Le Patrimoine des artefacts li s au pass 2 L Art l art contemporain 3 La Cr ation les industries cr atrices Comme indique ci dessus la litt rature disponible ne fournit pas de d finition pr cise du terme tourisme culturel Pour cette raison il existe de nombreuses variantes plus explicatives comme tourisme ethnique tourisme historique tourisme de patrimoine Dans ce contexte il est opportun de d finir le terme patrimoine La culture et le patrimoine sont tr s troitement li s tant donn que la culture incorpore le patrimoine Le patrimoine est un h ritage transmis par une g n ration aux g n rations suivantes Il constitue une combinaison de valeurs historiques du pass et est consid r comme partie int grante de la tradition culturelle d une soci t
223. l Assembly of the United Nations on 15 November 2000 The Council Framework Decision 2001 1220 JHA dated 15 March 2001 The United Nations Convention against Transnational Organized Crime adopted by the General Assembly of the United Nations on 15 November 2000 came into force on 23 September 2003 The Council of Europe Convention on action against trafficking in human beings Warsaw 16 05 2005 which came into force on 01 02 2008 The Supplementary Protocol of the Palermo Convention 2000 The Council of Europe Plenary Session dated on 3 7 April 2006 European Council Decision Brussels 30 03 2009 n 7855 1 09 Document 17024 09 Brussels 02 12 2009 Mihaela Aghenitei Permanentele dreptului penal Partea Generala Ed Universul Juridic 2010 p 42 44 Mihaela Aghenitei Retroactivitatea legii penale existenta sau oportunitate n contextul apartenentei la Uniunea European Dreptul rom nesc n contextul exigentelor Uniunii Europene Comunic ri prezentate la Sesiunea Stiintific a Institutului de cercet ri Juridice 2009 Academia Romana Institutul de Cercet ri Juridice Andrei Radulescu Ed Hamangiu 2009 p 636 639 Mihaela Aghenitei Ex post facto law in acceptiunea Constitutiei europene si a legislatiilor natiunilor civilizate Particularit ti ale fenomenologiei sociale si politice in lumea contemporan Simpozion International T rgoviste 5 6 iunie 2009 Ed Hamangiu 2009 p 339 342 143 EL DERECHO AL
224. la sensibilizaci n de la comunidad universitaria 149 Revue europ nnee du droit social Concentrar la ayuda en los pa ses m s pobres y asignar m s fondos all donde la ayuda pueda tener m s impacto Integrar en todos los programas la promoci n de los derechos humanos el buen gobierno la sostenibilidad medioambiental y la inclusi n social Crear un nuevo programa panafricano que asegurar a un uso coherente de los diferentes instrumentos financieros desplegados en el continente africano Vincular de manera m s clara y directa la ayuda humanitaria con la cooperaci n al desarrollo Coordinar mejor los esfuerzos de todos los donantes europeos simplificar los procesos reducir el n mero de programas y ajustarlos mejor a las estrategias de desarrollo de los pa ses en cuesti n El voluntariado en los j venes es visto como una estrategia desdineralizada hacia la producci n de la mercanc a trabajador y la integraci n en el mercado laboral Callejo 1999 57 Estrategia que viene siendo usada por j venes universitarios ante las amenazas del desempleo dados los beneficios de esta actividad sentirse tiles y satisfechos por la labor realizada y la ayuda ofrecida Cedr n y Buscemi 2011 motivando su participaci n en organizaciones sociales De ah que la actividad voluntaria cobre sentido en s misma al permitir una vivencia de trabajo positiva Zurdo 2004 En la historia de la protecci n social se pueden r
225. lar Article 175 1 thereof to the proposal from the Commission to the opinion of the European Economic and Social Committee after consulting the Committee of the Regions and in accordance with the procedure laid down in Article 251 of the Treaty This Directive 2008 99 CE on the protection Issue Based of the environment through criminal law was adopted according to Article 174 2 of the Treaty So Community policy on the environment must aim at a high level of protection the Community been concerned at the rise in environmental offences and at their affects which are increasingly extending beyond the borders of the states in which the offences are committed Such offences pose a threat to the environment and therefore call for an appropriate response 1G Soyer Droit p nal et Procedure p nale Librarie G n rale de droit et de jurisprudence Paris 1994 15 International Review of Penal Law 2007 Preparatory Colloquium La Coru a Spain 2007 National reports CD Rom annexes 18 Codice penale e leggi complementari Ed Giuridiche Simone 2000 17 Le nouveau Code p nal introduit et comment par Henri Leclerc Editions du Seuil 1994 179 Revue europ nnee du droit social Experience has shown that the existing systems of penalties have not been sufficient to achieve complete compliance with the laws for the protection of the environment Such compliance can and should be strengthened by the availability of criminal p
226. lateformes se cachent des injonctions formul es par les structures de formations elles m mes Elles accompagnent la socialisation professionnelle de leurs membres et structurent leurs habilet s face un march du travail concurrentiel Ainsi certaines formations et la nature de celle ci ne semble pas tre une variable r ellement significative les politiques de chaque tablissement le sont davantage font appel des intervenants ext rieurs parfois des repr sentants de ces sites ou int grent ces probl matiques dans leurs enseignements Ce faisant ces structures de formations jouent le r le d ambassadrices plus ou moins critiques des r seaux sociaux professionnels En tant qu organisations l gitimes dans le champ professionnel le cadre d usages qu elles prescrivent aupr s de leurs membres tendent transformer ces discours en normes 130 Revista european de drept social M me si ces injonctions ont effectivement un r le dans le processus de d couverte et d inscription sur les r seaux sociaux professionnels les usagers puisent aussi dans leur parcours afin de donner du sens leurs usages Ainsi Josiane Jou t pr cise a propos du processus d appropriation des dispositifs techniques que Les pratiques de communication sont l occasion de d velopper des modes de faire particuliers qui rendent compte de la n gociation des individus avec l objet technique La confrontation avec l outil est source d une e
227. lation du march de l emploi les interm diaires traditionnels du march du travail sous le contr le de PEtat les interm diaires en ligne et plus particuli rement aujourd hui les sites de r seaux sociaux vocation professionnelle s adressant surtout un certain type de profil et construit autour d objectifs h t rog nes les institutions de formation qui tendent accompagner leurs dipl m s vers le march de l emploi et qui encadrent leurs pratiques socioprofessionnelles du web autour de prescriptions d usages Face cette situation in dite nous pouvons nous interroger sur l effet de ces structures h t rog nes sur la perception de l emploi des jeunes dipl m s mais aussi sur les recruteurs eux m mes En effet il nous semble que cette mutation du march de l emploi a des effets d une part sur le candidat quand celui ci int riorise les injonctions sociales allant dans le sens d un plus grand contr le de sa pr sence en ligne d autre part elle impacte les Ressources Humaines qui font face un enjeu nouveau et contradictoire Quelle place accorder aux traces laiss es en ligne par les candidats et dans quelle mesure les recruteurs doivent ils apprendre ne pas les regarder quand bien m me elles sont accessibles Vers un march du travail polyinstitutionnalis Contr ler sa pr sence en ligne les injonctions des formations Derri re les formes d appropriation h t rog nes de ces p
228. le trouvent un emploi stable dans l ann e qui suit leur sortie du syst me universitaire 18 Revista european de drept social Les salaires d embauche sont parmi les plus lev s toutes sp cialit s de DUT confondus pour la province la moyenne est de 1 470 et pour l Ile de France il est de 1 775 Ce professionnel ainsi form peut exercer ses activit s dans pratiquement tous les secteurs agroalimentaire construction m canique a ronautique automobile construction lectrique ou lectronique chimie nucl aire production d nergie industries extractives et de transformations transports secteur m dical loisirs travaux publics et b timent etc Il peut travailler dans diff rents types de services tudes et travaux neufs maintenance production qualit s curit services technico commerciaux services charg s des probl mes d nergie et d environnement services apr s vente etc Il exerce les m tiers de Technicien de maintenance Assistant Environnement Agent technico commercial Responsable de service maintenance Technicien en conomie d nergie concepteur dans les bureaux d tude de l industrie etc 3 5 Poursuite des tudes L objectif vis par la formation est de permettre une insertion et une int gration rapide des dipl m s dans le monde du travail Elle permet en particulier une adaptation une grande vari t d emplois offrant une forte mobilit et une volution d
229. le CSE En d pit d une hausse substantielle depuis 2000 qui est essentiellement imputable un accroissement de l emploi des personnes g es de 55 59 ans ce ratio tait sensiblement inf rieur la moyenne europ enne notamment parce que l augmentation de la participation des personnes g es de 60 ans et plus est rest e jusqu pr sent nettement plus modeste Taux d emploi des 55 64 ans en 2000 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 Belgique 26 3 31 8 32 0 34 4 34 5 35 3 37 3 38 7 UE 27 36 8 42 3 43 5 44 7 45 6 46 0 46 3 47 4 Sources Conseil sup rieur de l emploi Rapports 2010 et 2011 De mani re g n rale tout comme l indique la note de politique g n rale du gouvernement du 4 novembre 2008 malgr un taux d emploi des 55 64 ans encore relativement faible et en de des objectifs europ ens la progression constante depuis les ann es 2000 s expliquerait tant par des facteurs d mographiques effet de cohorte li la participation plus grande des femmes et conomiques augmentation relative de l emploi dans le secteur tertiaire que par la mise en uvre les derni res ann es de politiques sp cifiques Par ailleurs le taux d emploi des 55 64 ans augmente selon les m mes m canismes que ceux observ s pour le reste de la population c est dire parall lement au niveau de qualification mais il diff re selon l
230. le et professionnelle pour les jeunes salari s D cri e par les anciens qui l associent l intensification du travail et la disparition de l ouvrier de m tier elle est appr ci e par les plus jeunes en ce qu elle leur offre la possibilit de changer r guli rement de postes de d velopper des comp tences diversifi es et surtout d chapper la routine de lusine Les gens sont attach s leur boulot ici ou Bah y en a qui disent qui sont l que pour avoir de quoi manger mais quand ils sont sur un poste bien pr cis bah ils veulent pas bouger Ils veulent pas faire de la polyvalence et pourtant la polyvalence c est bien Schneider incite a la polyvalence De plus en plus de plus en plus Et vous Ah bah moi j ai toujours fait de la polyvalence c est pas monotone c est plus vari que de faire toujours la m me chose c est s r on aura nos quotas on aura tout mais bon moment donn c est ennuyeux il faut bouger Virginie 38 ans conductrice de ligne op ratrice Schneider Electric bac comptabilit La flexibilit peut aussi prendre des formes en apparence moins contraignantes puisque fond es sur le volontariat Mais le volontariat n en n est pas r ellement un La mise en place d quipes de nuit s av re parfois n cessaire en raison d une hausse de la production associ e une augmentation de la demande A cette occasion proposition est
231. le utilise l un de ces r seaux sp cialis s ainsi que les particularit s qu il pr sente dans le cadre de ses usages professionnels Resotour c est un peu comme Viad o C est le m me principe Tu as des contacts des personnes qu on ne connait pas forc ment en contact Et on a tous en commun le fait qu on travaille dans la culture le patrimoine et le tourisme Donc il y a le cv en ligne des conversations des annonces mais toujours en lien avec notre domaine C est beaucoup plus ferm que Viad o Par contre j ai beaucoup moins de contacts sur r sotour Je dois en avoir peut tre quatre ou cing Sur Viad o j en ai peut tre quinze Mais resotour ce sont plus des gens que j ai c toy s a a t un ancien tuteur de stage quelqu un qui a t en classe avec moi et qui a fait les m mes tudes que moi Viad o ce sont des gens que je ne connais absolument pas M me si elle situe les deux plateformes dans le m me champ elle les diff rencie Alors que Viad o lui sert savoir si son cv est assez rempli par rapport d autres un site comme R sotour lui permet de mobiliser des contacts dont la relation est construite sur le mode du face face notamment dans le cadre d institutions reconnues et l gitimes formation salons etc Les r seaux sociaux num riques seraient aujourd hui devenus un outil commun utile pour la gestion de ce r seau personnel r unissant coll gues clients potentiels et recrute
232. lerius M CIUC Universit Alexandru loan Cuza de lasi Roumanie Lab RIl Universit du Littoral C te d Opale France Juge honoraire TUE Luxembourg January term professor Universit d Ottawa Canada Motto Quid leges sine moribus Vanae proficiunt quoi servent les lois vaines sans les m urs O Horatius Flaccus Odae Carm IIT Liber XXIV 35 36 Nota bene Ma petite j r miade sur le plan de l absolutisme des id es juridique instrumentalistes Abstract We try to provide as themes of meditation for our Conference a few conceptual exaggerations often fetichis es which could be misleading in the undemocratic countries where are lacking of the respect of human rights and the humanistic policy isn t clear My conference is an invitation to a moderate usefulness of some juridical concepts in a sense of organically contextual and humanist understanding proposing the principle of quasi synchronicity between juridical offence of the law and judicial reaction eliminating the political immunity during the mandate Keywords respect of human rights work place collective action Ce sont les concepts qui transforment la r alit Primum verbum Et Verbum cum Dio Je vais essayer de proposer comme th mes de m ditation pour notre Colloque quelques exag rations conceptuelles comme des attentes souvent insidieuses dissimul es aux d mocraties et au droit humaniste Ensuite on aborde d une mani re c
233. les 29 et 30 novembre 2012 la 8 dition du colloque annuel de la licence professionnelle gestion des ressources humaines de l IUT Saint Omer Dunkerque de l Universit du littoral c te d opale sous la direction de Marc R chevaux Ma tre de conf rences Universit du littoral c te d opale ancien responsable de la licence gestion des ressources humaines et la codirection Jeanne Marie Wailly enseignant universit du littoral cote d opale responsable de la licence gestion des ressources humaines et de Mr Hedi Benrabah ma tre de conf rences associ universit du littoral cote d opale directeur des tudes du d partement GACO avec la participation de l ensemble des enseignants personnels et tudiants de la licence gestion des ressources humaines de ceux de la licence gestion touristique et h teli re du d partement GACO ainsi que ceux d autres d partements de l IUT Saint Omer Dunkerque et d autres formations de l universit du littoral c te d opale et en partenariat avec diff rentes universit s Fran aise et trang res Ainsi pendant deux jours l universit du littoral c te d opale a donc accueillis des enseignants chercheurs supprimer provenant et des enseignants provenant de diff rentes universit s fran aises et trang res ainsi que des repr sentants du monde de l entreprise d administrations d institutions publiques et de juridictions nationales ou r gionales qui ont pu confronter
234. les alimentent le d bat social depuis pr s de 40 ans Il faut se rappeler que dans le milieu des ann es 1970 le recours aux sorties anticip es du march du travail a t d fendu par de nombreux acteurs institutionnels et priv s notamment pour assurer une forme de paix sociale en cas de restructuration d entreprise mais aussi pour laisser la place aux jeunes face un ch mage croissant Or depuis le d but des ann es 2000 les traits et les contours d une politique en faveur de l emploi des seniors sont observ s Le 23 d cembre 2005 une loi promulgu e par le gouvernement met en uvre un document que l on appelle couramment le Pacte de solidarit entre les g n rations Son objectif relever le taux d emploi en particulier des travailleurs g s en r duisant les possibilit s de sortie anticip e du march du travail Malgr plusieurs phases de concertation ce Pacte va cristalliser les tensions entre les interlocuteurs sociaux repr sentants des employeurs et des travailleurs et entre les interlocuteurs sociaux et le gouvernement f d ral Si l id e de ce Pacte est de changer les mentalit s des acteurs du march du travail de promouvoir la gestion des ges dans l entreprise et pour les travailleurs de devoir travailler plus longtemps les mesures et les dispositifs qui en manent n ont pas encore r ellement d effets significatifs sur le taux d emploi des actifs plus g s
235. litical priorities established in the title Promoting the rights of citizens a Europe for rights the second paragraph In the first part of this paragraph entitled Europe built on fundamental rights it states that The European Union is based on common values and respect for fundamental rights After the entry into force of the Lisbon Treaty the rapid accession of the European Union to the European Convention on Human Rights is of key importance This will reinforce the obligation of the Union including its institutions to ensure that in all its areas of activity fundamental rights are actively 7 The Council Framework Decision 2001 220 JHA 8 The Council of Europe Plenary Session dated on 3 7 April 2006 i European Council Decision Brussels 30 03 2009 n 7855 1 09 Mihaela Aghenitei Ex post facto law in accep iunea Constitu iei europene si a legislatiilor na iunilor civilizate Particularit i ale fenomenologiei sociale si politice in lumea contemporan Simpozion International T rgoviste 5 6 iunie 2009 Ed Hamangiu 2009 p 339 342 1 Document 17024 09 Brussels 02 12 2009 Mihaela Aghenitei Permanentele dreptului penal Partea Generala Ed Universul Juridic 2010 p 42 44 141 Revue europ nnee du droit social promoted The case law of the Court of Justice of the European Union and the European Court of Human Rights will be able to develop in step reinforcing the creation of a uniform Europe
236. lloque et ils sont nombreux J esp re n oublier personnes mais je sais aussi qu en cas d oubli les victimes ne s en formaliseront pas mais pour moi cette ann e les sucreries ont un go t un peu amer A un cactus en forme de double premi re Les premiers remerciements vont donc tout d abord et ils sont la hauteur de l effort qu il a fourni notre directeur qui nous fournit l occasion d une double premi re puisque cette 8 e dition du colloque qui est la premi re se d rouler sur 2 jours et elle est aussi la premi re b n ficier d un budget aussi faible C est aussi la premi re fois depuis l existence du colloque que le chef du d partement Gaco ne participe la s ance pl ni re de cl ture occup qu il est traquer les centimes de d passement du budget B Un tr s gros bouquet Bien d autres personnes qui ont concouru au succ s de cette manifestation m ritent d tre remerci s je donc extraire une une d un gros bouquet les fleurs m rit es par chacun ils sont nombreux J esp re n oublier personne Tout d abord les premiers remerciements vont aux intervenants sans qui qui une manifestation de ce genre ne pourrai pas exister et qui ont pris sur leur temps et dieu sait qu il est pr cieux pour venir exposer le r sultat de qui ont leurs recherches et partager la r flexion de leurs coll gues de nos tudiants et de responsables d entreprises Il me faut aussi remercie
237. lors restez ouvert et sont les personnes les plus m me pour m aider num rez les gens qui sont les plus m me de vous r aliser mon objectif Ne limitez pas votre recherche aider m me si vous ne les connaissez pas ou si vous ne aux contacts que vous connaissez d j vous faut connaissez m me pas leur nom moins de 6 tapes pour contacter n importe quel t Enfin cet usage repose sur un principe d conomie caract ris par une gestion planifi e du temps contrer le caract re chronophage de l internet et du lien le qualitatif prime toujours sur le quantitatif La reconnaissance de la l gitimit des RSP en tant qu interm diaire du march du travail se fait aussi l chelle d tablissements publics La capture d cran pr sent e ci dessous montre un document accessible en ligne sur le site internet du P le Emploi Ce document est intitul Trouver un emploi avec Internet Les prescriptions retrouv es dans ce dernier consistent elles aussi formaliser un cadre d usages de ces outils Le cadre d usages est ici d finit comme celui qui d crit le type d activit s sociales propos es par la technique qui la positionne dans l ventail des pratiques sociales des routines de la vie quotidienne et pr cise les publics envisag s les lieux et les situations o cette technique peut se d ployer Il indique galement le sens social de cette technologie 7
238. los valores las actitudes las habilidades y los conocimientos adquiridos aportan madurez y configuran un marco de comportamiento para poder afrontar las situaciones Se destaca el 13 Movimiento que se inicia despu s de la publicaci n University settlements in our great towns 150 Revista european de drept social inter s en buscar nuevos retos y proyectos la b squeda de los recursos necesarios y la iniciativa personal Valls 2007 12 Donde los voluntarios sociales pueden hacer mucho para implicar a todo el cuerpo social en la b squeda de soluciones humanizadoras a la crisis G mez 2011 59 actividad que en la mayor a de las ocasiones es realizada desde los pa ses m s desarrollados a los menos desarrollados como muestra de solidaridad internacional Salazar 1996 Tambi n existen proyectos sociales relacionados con programas de emprendedores sociales que intentan cambiar la realidad de los adolescentes con su acceso a la universidad como es el caso del proyecto realizado por J B Schramm en Estados Unidos con el objetivo de dar respuesta a muchos alumnos de rentas bajas que podr an tener xito en la universidad no crecen en una cultura de familiaridad con la universidad no saben c mo abogar por s mismos con eficacia y no reciben la orientaci n paso a paso que tienen otros Schramm 2005 p 235 Se puede ver en el voluntariado una fuerza para la inclusi n social de todas las personas de una sociedad pues cada vez hay
239. m me qu au Cameroun les hommes sont pr pond rants dans ce groupe Cependant les femmes maliennes r ussissent aussi s ins rer dans ces secteurs d activit En effet la proportion de femmes salari es est de 25 Ces actifs vivent en grande partie en zone urbaine En fait 70 de salari s r sident dans les grandes villes du pays Les hommes et femmes sont r partis de fa on similaire entre les deux zones Tout comme chez les hommes il y a 7 sur 10 salari es qui habitent en zone urbaine Un salari chef de m nage a 9 autres personnes sa charge bien qu il puisse y avoir 2 autres membres actifs de m me profil Aussi il est important de remarquer que 20 des salari s appartiennent des familles o ils sont les seuls actifs de ce profil tant donn les faibles taux d absorption du public et priv on per oit bien qu il s agit d une occupation r serv e une classe particuli re d individus Le groupe des salari s est principalement compos de personnes en couple En effet 65 des salari s sont des personnes qui vivent en couple au Mali En outre il s agit des familles de petites tailles o les premi res personnes suppos es tre des salari s sont d abord le responsable du m nage puis sa partenaire avant toutes autres possibilit s Si on s int resse particuli rement aux caract ristiques des 107 Revue europ nnee du droit social femmes des m nages avec plusieurs salari s on const
240. m me quantit de travail des quipes param dicales clairsem es L institution gagne donc en productivit Encore que celle ci se con oive surtout du point de vue de la qualit des actes accomplis et non pas b tement du point de vue de leur quantit En d autres termes le nombre des prestations r alis es devrait tre secondaire Outre que le recours la mobilit permet des conomies il limite les temps mort les agents courent en permanence Les rares qui parfois r ussissaient se croiser les bras ne disposeront plus de la moindre minute pour bavarder D apr s des soignants il en r sultera un recul des histoires personnelles et des rumeurs A priori comme les soignants se consacreront exclusivement la prise en charge des patients la productivit progressera Une infirmi re admet que de se retrouver dans un service o l on ne conna t pas vraiment les coll gues limite les indiscr tions sur la vie priv e Une seconde relate que l on rentre moins aussi dans les histoires de service les cancans En fait on est l pour travailler pour bien travailler et voil Selon toutes vraisemblances comme les soignants se consacreront dor navant aux seuls patients leur productivit s en trouvera d cupl e Autrefois il existait des pools quipe d infirmi res charg es de remplacer les coll gues absents D sormais d imaginer que des infirmi res pourraient ne pas travailler et attendraient d
241. ment aux r seau social professionnel en France avec formules payantes sans les avoir test es 3 millions d inscrits Mais il est galement avant pr sent en Angleterre Espagne Italie Chine Inde et au Mexique et s est juste ment sp cialis dans le recrutement Remettez vous en question notamment sur la mani re de vous pr senter sur Internet CV profil Comme sur le march physique ce sont les candidats les plus actifs qui trouvent un emploi rapidement Utilisez tous ces outils en compl ment d une recherche active Sachez que Viadeo ou LinkedIn seront surtout efficaces si vous avez d j un r seau professionnel Vous pouvez ainsi retrouver vos connaissances et les inviter rejoindre votre r seau virtuel pour largir vos contacts professionnels L utilisateur doit par exemple veiller ne pas confondre qualit et quantit c est dire choisir avec discernement les personnes qu il invite Cette capacit r flexive se caract rise par l valuation permanente des propositions de mise en relation L utilisateur ne doit pas accepter syst matiquement les demandes de contacts surtout si elles viennent de personnes qu il ne connait pas Cet engagement est d autant plus utile que souligne ce document les r seaux sociaux repr sentent de plus en plus un march parall le de l emploi Partant de ces diff rents discours nous pouvons constater que des acteurs aux statuts h
242. ments culturels la visite de sites et curiosit s des voyages de connaissance de la nature du folklore ou des arts et des voyages religieux La m me d finition nous fournit une br ve description des touristes culturels ce sont des individus qui placent la motivation culturelle en tant qu intention centrale lors du choix de la destination La d finition large au contraire recouvre tous les d placements de personnes car ceux ci satisfont les besoins humains de diversit augmentent le niveau culturel de l individu et ouvrent la voie de la connaissance de la participation diverses manifestations et des rencontres Cette d finition est large car consid rant que les touristes aspirent conna tre d autres cultures modes de vie et traditions souhaitent stimuler leur autoanalyse et accumuler des informations sur le pays visit sans que cette intention soit le motif central du choix de la destination Selon l auteur du pr sent article le tourisme culturel est un tourisme dont le but principal est de partager le patrimoine physique et mat riel et la culture y compris les paysages les b timents les collections l art l identit les traditions la langue Il repr sente un d placement entrepris dans le but de visiter des sites de Y Isaac R Understanding the behavior of cultural tourists 2010 2 www unwto org 24 Revista european de drept social pratiquer des activit s particuli res conjuguant
243. mise en perspective de ces donn es par rapport ceux de pays comparables l Europe centrale et au Maghreb d montre que la performance de l Alg rie se situe dans la bonne moyenne de ce panel de pays De plus cette main d uvre jouit d une aisance particuli re La langue fran aise lui procure un avantage pour l attrait des investisseurs francophones A cette qualit s ajoute son faible co t qui demeure comp titif Le co t horaire en Alg rie moins de 1 dollar par heure est nettement plus avantag que celui pratiqu au sein de l union europ enne entre 15 20 dollars et demeure m me inf rieur ceux des pays de l Europe de l Est L extension de cette analyse comparative la Chine qui constitue coup s r la puissance actuelle r v le un enseignement surprenant En effet si l cart par rapport la Chine reste en faveur de cette derni re pour les cat gorises de personnel les moins qualifi es Pour la cat gorie main d uvre qualifi e top ou middle management l cart est l avantage de l Alg rie En chine la rar faction des profils d encadrement suite aux investissements lev s a conduit une tension sur le march de l emploi sur cette cat gorie et donc une augmentation des salaires Le second atout de l Alg rie est le r tablissement de ses fondamentaux macro conomiques En effet partir de 1990 on peut noter que l encours de la dette ext rieure a baiss
244. mplementation of the provisions of this Convention by Parties in particular the enjoyment of measures to protect and promote the rights of victims shall be secured without discrimination on any ground such as sex race color language religion political or other opinion national or social origin association with a national minority property birth or other status These people in reality have also been categorized as vulnerable victims already by the additional Protocol on Trafficking when in defining illicit behavior it refers to situations of abuse of power or of a position of vulnerability So in the article 3 of Prot Suppl Transnational Organized Crime Convention Palermo 2000 the international definition of trafficking is a Trafficking in persons shall mean the recruitment transportation transfer harboring or receipt of persons by means of the threat or use of force or other forms of coercion of abduction of fraud of deception of the abuse of power or of a position of vulnerability or of the giving or receiving of payments or benefits to achieve the consent of a person having control over another person for the purpose of exploitation Exploitation shall include as minimum the exploitation of the prostitution of others or other forms of sexual exploitation forced labour or services slavery or practices similar to slavery servitude or the removal of organs 4 The United Nations Convention against Transna
245. mptes m me si cela tend varier selon les parcours Ce faible taux tend confirmer l hypoth se que les jeunes dipl m s sont attentifs leur pr sence en ligne au moins lorsqu ils s inscrivent sur Viad o comme nous l observions lors de la premi re analyse des enseignements du travail d enqu te Comme Fabien Granjon le souligne Les SNS poussent ainsi leurs utilisateurs s interroger sur les moyens par le biais desquels ils partagent et organisent leurs informations sur la mani re dont ils interpretent ces actes d exposition ainsi que sur la fa on dont ils les mobilisent des fins strat giques dans le cours d interactions sociales En d pit des discours communs sur la tendance l exposition de soi des jeunes ceux ci ont int rioris les discours publics sur les diff rents cas de jurisprudence autour des usages des traces priv es par les recruteurs dans le cas d un recrutement L interrelation entre l engagement sur un r seau social professionnel en ligne et le regard que ses usagers portent sur leurs quivalents priv s d notent bien une prise en compte de l ensemble des traces que les internautes sont susceptibles de laisser sur le web tre familiaris avec les plateformes professionnelles aurait ainsi 14 Jou t 1993 p 105 15 Pov da 2012b 16 Granjon 2011 p 77 131 Revue europ nnee du droit social une port e symbolique signalant publiquement que les individ
246. n 55 ans les organismes comp tents en mati re de pension sont cens s envoyer de mani re automatique tous leurs b n ficiaires de 55 ans une information sur les droits en mati re de pension ainsi qu une estimation de l impact d un d part anticip entre 60 65 ans Sources http www travailleurs be SPF Emploi Travail et Concertation sociale et Conseil National du Travail 59 Revue europ nnee du droit social 2 Les seniors et le march du travail 1 2 Un taux d emploi inf rieur la moyenne europ enne La situation du march du travail pour les travailleurs se r duit le plus souvent la notion de taux d emploi Cette notion permet de situer le nombre d individu r ellement au travail Que peut on dire de la situation en Belgique En 2008 la crise conomique avait mis fin l accroissement ininterrompu du taux d emploi belge et avait entra n une hausse du taux de ch mage Les cons quences de cette hausse taient toutefois rest es limit es Cette situation favorable s expliquait alors dans le Programme National de R forme PNR belge de 2011 par l action de stabilisateurs conomiques le recours intensif aux mesures anticrises f d rales et r gionales En 2011 67 3 des personnes g es de 20 64 ans avaient un emploi la moyenne europ enne tant alors de 68 6 S agissant du taux d emploi des 55 64 ans il s tablissait a 38 7 Comme l indique
247. n 2010 les d penses de personnel des collectivit s territoriales s levaient a 51 7 Md soit un tiers des d penses totales de fonctionnement comparer aux 68 6 Md de d penses d investissement source DGCL Rapport particulier de la Cour des comptes sur les services d incendie et de secours SDIS 29 novembre 2011 43 Revue europ nnee du droit social Au sein de la communaut d agglom ration de Mulhouse les demandes de remplacement s effectuent sur la base de notes manant des services accompagn es d un profil de poste et d un avis du directeur g n ral adjoint comp tent Ces propositions sont instruites par la direction des ressources humaines qui les complete par la v rification de la vacance l tude de l impact budg taire et la recherche de possibilit de mobilit interne avant transmission au directeur g n ral des services pour d cision Le d partement de la Moselle utilise comme base pour les recrutements les fiches de fonction labor es dans le cadre de la gestion pr visionnelle des effectifs de l emploi et des comp tences Ces initiatives int ressantes restent rares Elles sont parfois motiv es par des consid rations de ma trise de la masse salariale dont la croissance moyenne est sup rieure sur le long terme celle de la ressource sans forc ment d couler d une volont de mieux adapter les ressources humaines aux m tiers et aux comp tences futurs C est alors davantage
248. n niveau bac 2 imm diatement op rationnels et misent sur leur potentiel en les formant ensuite en interne Dans cet objectif le DUT GIM est tout fait appropri Il s agit d une formation professionnalis e qui permet de former en 2 ans des techniciens sup rieurs en maintenance La formation apporte les connaissances technologiques acqu rir sur les lignes de production et des machines isol es mais galement des connaissances li es la gestion et l conomie de l entreprise Par ailleurs pour permettre au technicien de s adapter et faire face l volution permanente du m tier de la maintenance tout en voluant dans son entreprise le DUT GIM vise tant acqu rir des m thodes de travail et de raisonnement que des connaissances th oriques De fa on tr s sp cifique les enseignements tendent l acquisition de principes de mise en uvre de proc d s plut t que des recettes pr d finies Pourtant et bien que la maintenance industrielle soit un secteur d avenir qui garantisse aux tudiants issus de nos formations un d bouch et une ascension professionnelle rapide dans le monde du travail le DUT GIM est le DUT qui attire le moins d tudiants Comme nous l avons montr cette situation n est en rien justifi e par le taux de l insertion professionnelle qui est sup rieur aux autres DUT mais reste bien marqu e par l image n gative que g n re le mot maintenance et le monde de l
249. n the system and permit no foreign exchange What is immutable cannot be changed so that any change is unnecessary However it is widely accepted that that law as an interpersonal communication tool has the character of an analytical and informational system However it is important to distinguish between phrases law as a system and the system of law In the first case we can refer to the 157 Revue europ nnee du droit social systemic character of law as a complex integrated information of human society while in the second phrase is about all the legal rules related to a specific element a nation a state an organization territory etc This distinction is relevant because legal systems are usual open systems Romanian legal literature systemic approach to law is not new Thus a new approach to the classic concept of system of law was proposed defined as the division of law into branches comprising the legal rules from a new perspective the systemic one Not once in the relations between legal systems legal mimicry was performed so that some systems borrowed from others positive elements to improve the structure of their own law The dynamic component of law which is linked to positivism is the foundation for the construction of contemporary law The positivist view states that law is a dynamic system that changes as a result of human influence and interactions Individuals are those that determine the devel
250. nage de 5 personnes soient 2 femmes effectuant des travaux d aide familial comme activit principale Par cons quent les activit s des aides familiaux concernent une classe r duite de m nages 20 Ce groupe d occupation est plus observ en zone rurale o les femmes et leurs enfants participent norm ment aux activit s sous jacentes L aide familial au Mali Au Mali il y a autant d hommes que de femmes qui sont des aides familiaux Comme au Cameroun ces activit s sont plus le fait des ruraux qui repr sentent 81 de cette main d uvre La classe des pauvres est fortement repr sent e Sur 10 personnes ayant des activit s d aide familial 7 vivent dans de mauvaises conditions Le taux d alphab tisation tant tr s lev dans ce pays on n observe 104 Revista european de drept social pratiquement pas une diff rence dans la r partition par zone d habitation de ces actifs selon la variable Alphab tisation Pour cette occupation une forme de sp cialisation des individus d un m me m nage est observ e Dans 99 des cas il y a au moins deux membres d un m nage qui sont des aides familiaux En fait en moyenne 6 4 personnes d un m me m nage sont des aides familiaux soit la moiti de la taille moyenne d un m nage o l on pratique une activit d aide familial la diff rence de ce qui est observ au Cameroun cette occupation est plus fr quente chez les jeunes maliens Les clas
251. naissances des principes de mise en uvre et des proc d s plut t que des recettes Les comp tences vis es par le DUT GIM sont li es au m tier de la maintenance et impliquent de la part des techniciens sup rieurs l acquisition des savoir faire suivants e Appr hender le fonctionnement d un syst me industriel dans sa globalit aspects techniques organisationnels financiers et humains e Ma triser les technologies et les quipements qui le composent e Ma triser les m thodes d organisation et les outils de gestion pour am liorer la disponibilit de ces quipements e Appliquer et faire appliquer les normes en mati re d hygi ne s curit et environnement 16 Revista european de drept social e Faire preuve de r activit et d autonomie e Disposer de r elles capacit s de communication et notamment de compr hension en langue anglaise Ainsi le DUT GIM valide pour ses titulaires d une part des comp tences scientifiques et techniques et d autre part les savoir tre attendus d un technicien sup rieur capacit communiquer travailler en quipe et g rer un projet 3 2 Organisation Le dipl me est organis autour d un c ur de comp tences qui repr sente 80 de la formation encadr e compl t e par des modules compl mentaires que l tudiant choisit en fonction de son Projet Personnel et Professionnel Il prend galement en compte l offre locale de formation pour pr
252. nce a ronautique mondiale un march en pleine mutation usine nouvelle Juillet 2012 Hassan Meddah La maintenance la p pite m connue d Air France l usine nouvelle Nov 2012 Barbara Leblanc La maintenance attire de plus en plus les constructeurs a ronautiques Pusine nouvelle Mai 2012 63 000 emplois saisir dans 80 entreprises l usine nouvelle sept 2011 Marc Antoine Lestrade charg de mission au Centre d Analyse strat gique et coauteur de l tude les M tiers en 2015 cit dans le nouvel observateur f v 2009 Optimiser la maintenance des quipements lusine nouvelle mars 2012 Emmanuel Vaillant Les m tiers d avenir les secteurs qui recrutent l tudiant http www letudiant fr metiers les metiers davenir quels sont les metiers qui recruteront demain html D apr s enqu te Nouvel observateur num ro sp cial f vrier 2011 Observatoire paritaire prospectif et analytique des m tiers et qualifications de la m tallurgie Etude prospective sur l volution des emplois et des m tiers de la m tallurgie juin 2012 Les m tiers de la maintenance industrielle Les Editions de l Industrie Paris 2001 Collection Mode d emploi ISBN 2 11 092656 2 Les m tiers de la maintenance industrielle tude r alis e par l Observatoire des m tiers du Laboratoire des Entreprises du M dicament LEEM Direction des Affaires Sociales de l Emploi et de la Formation Profe
253. ncore faut il que la volont du l gislateur soit respect e Certains compl ments de r mun ration ont t d tourn s de leur objet au profit des agents ou de certains d entre eux Ainsi le paiement d heures suppl mentaires forfaitis es s accompagne trop souvent dans les petites collectivit s d une absence de contr le de la r alit du service fait faute d un syst me automatis de d compte d heures De m me pour l encadrement sup rieur certains l ments de r mun ration sont n goci s lors de l embauche y compris avec des agents sous statut ind pendamment de la raret de la ressource A contrario dans le cas sp cifique du manque de m decins pour assurer le fonctionnement du service public de sant certains centres hospitaliers r mun rent des gardes et astreintes dans des conditions irr guli res sur la base d accords donn s lors de l embauche ou bien recourent des soci t s sp cialis es dans la mise disposition de m decins rempla ants Une volution cependant se fait jour dans la prise en compte de plus en plus fr quente dans les compl ments de r mun ration de l absent isme qui d passe en volume de 10 du temps de travail dans les collectivit s de plus de 350 agents et dans les h pitaux en hausse r guli re depuis plusieurs d cennies Pour autant la prise en compte du m rite l instar de la pratique dans de nombreuses entreprises est contest e au regard des m
254. nction publique en mutation Florence Crouzatier Durand Revue Jurisclasseur mars 2012 12 L institution de l employeur public Jean Saglio Pouvoirs locaux 17 juin 2001 p 65 68 La sp cificit publique l preuve de la fonction publique territoriale mod les et avenir 3 journ e du cycle Droit du travail et des fonctions publiques le 29 mars 2012 Angers Lamy collectivit s locales 30 juillet 2012 p 63 105 14 Nos collectivit s deviennent elles des entreprises La Lettre du cadre territorial 20 octobre 2011 n 430 Jean Jacques P nin 49 Revue europ nnee du droit social Il n est donc gu re surprenant que les lois relatives la r sorption de l emploi pr caire par la titularisation des agents contractuels dont la derni re est la loi du 12 mars 2012 peinent enrayer le ph nom ne Cette pratique certes contestable s inscrit dans un mouvement g n ral de rapprochement des r gles de gestion de la fonction publique avec le secteur priv avec l introduction d un syst me de retraite additionnelle par la loi du 21 ao t 2003 du recours l int rim par la loi du 3 ao t 2009 la valorisation des primes selon les fonctions et les r sultats individuels par la loi du 5 juillet 2010 la fixation de quotas de femmes et l accroissement des possibilit s de recours des agents contractuels par la loi du 12 mars 2012 4 2 L emploi public demeure particuli rement recherch malgr des
255. ncuentra tambi n en el espacio iberoamericano formando parte del Consejo Universitario Iberoamericano CUIB Los principios de esta Cooperaci n Cultural Internacional quedan recogidos en su articulo X En la cooperaci n cultural deber concederse particular importancia a la educaci n moral e intelectual de la juventud con espiritu de amistad de comprensi n internacional y de paz La cooperaci n cultural fomentar entre los Estados la conciencia de la necesidad de suscitar vocaciones en los campos m s diversos y de favorecer la formaci n profesional de las nuevas generaciones UNESCO 1966 En este compromiso ha desempe ado un papel importante la Comisi n de Internacionalizaci n y Cooperaci n de la Universidades Espa olas CICUE perteneciente a la CRUE que ha fijado los siguientes objetivos 1 Promover la puesta en com n de las pol ticas universitarias de internacionalizaci n y cooperaci n al desarrollo facilitando el intercambio de informaci n contactos y buenas pr cticas 2 Recopilar y difundir en el mbito universitario informaci n sobre la organizaci n y gestion de las actividades inherentes al mbito de la 8 http portal unesco org es ev php URL_ID 13522 amp URL_DO DO_TOPIC amp URL_SECTION 201 html 2 Informaci n extra da el 5 de noviembre de 2012 http www crue org opencms opencms handle404 exporturi export sites Crue areainternacional 8 5d 1 Informaci n disponible en http www crue org areaintern
256. nde conjugu es leur puisement annonc dans un avenir tr s proche font clignoter les voyants au rouge tant ces nergies repr sentent des ressources incontournables et hautement strat giques pour toute conomie La tendance mondiale actuelle va vers l exploitation des nergies renouvelables comme source compl mentaire aux hydrocarbures dont les co ts ne cessent de monter en fl che Avec la tendance baissi re des co ts Alg rie qui accuse un grand retard dans ce sens vise exploiter les potentialit s exceptionnelles d ensoleillement 172 Revista european de drept social pour utiliser mettre au point et d velopper les applications de l nergie solaire l lectrification des sites situ s au niveau des zones d sertiques du sud travers notamment les wilayas d Adrar Illizi Tamanrasset et Tindouf ainsi qu au niveau des r gions montagneuses Disposant du potentiel solaire le plus important de tout le bassin m diterran en estim 169 440 TWh an ce qui repr sente l quivalent de 5 000 fois la consommation alg rienne en lectricit et 60 fois la consommation de l Europe des 15 qui est estim e 3000 TWh an Le pays consid re les nergies renouvelables comme un enjeu pour l avenir nerg tique A titre indicatif les r gions c ti res re oivent une nergie moyenne de 1700 kWh m2 an contre 1900 KWh m2 an pour les hauts plateaux et 2650 kWh m2 an pour les r gions sud M me si elle
257. ne est plus concentr e dans les zones rurales en 2006 Les donn es montrent que 63 de la main d uvre potentielle demeurant en zone rurale au Mali La population camerounaise est caract ris e relativement de la m me mani re si l on se restreint une lecture g n rale par zone d habitation De plus la proportion de la population rurale camerounaise est autour des 53 Une premi re dissemblance entre ces deux pays appara t dans l analyse selon le genre Au Cameroun c est la forte pr sence des femmes dans les zones rurales 55 11 qui diminue le poids de la population urbaine dans le pays La situation est diff rente sur le territoire malien En effet les hommes et les femmes sont plus nombreux dans les zones rurales que dans les zones urbaines au Mali L occupation de tout le territoire est assez similaire entre hommes et femmes au Mali soit un peu plus de 6 personnes en zone rurale sur 10 Ainsi tandis que la population malienne est plus rurale celle du Cameroun est bien plus quilibr e entre ces deux strates tant donn a priori les diff rences en mati re de qualit de travail et d opportunit s entre ces deux zones un r sultat surprenant serait d obtenir une plus forte participation des femmes maliennes par rapport aux camerounaises Dans le m me temps les situations d activit sont tr s proches dans les deux pays en g n ral En fait les taux de participation des zones rurales sont les plus
258. nn es 1980 sous toutes sortes de pr textes aussi fallacieux les unes que les autres Ainsi le maintien sous perfusion au prix de lourds sacrifices d entreprises publiques maintes fois refinanc es par les banques publiques elles m mes navigant d j dans le rouge en raison de ce portefeuille de cr ances malsaines qui ont fait fuir force de man uvres m me la City Bank qui comptait se porter candidate la reprise du Cr dit Populaire Alg rien CPA Il ne faudrait pas perdre de vue que le co t de ces refinancements s l ve depuis 1989 nos jours 60 milliards de dollars Une paille qu on aurait aim e trouver aux temps durs du PAS et des licenciements en masse Ce constat de croissance conomique tr s faible compar aux d penses engag es am ne deux conclusions 1 le niveau d inflation a t en moyenne de 3 5 en d pit d une augmentation consid rable des d penses publiques notamment partir de 2006Elle a certes progress 5 74 en 2009 mais elle est redescendue 3 9 en 2010 et n est que de 3 8 en moyenne annuelle en 2011 huit premiers mois D s lors comment interpr ter la relative faiblesse de l inflation et sa mod ration en d pit des A consid rables augmentations de revenus li es celles des d penses publiques 162 Revista european de drept social mon tisation et d pense d une grande partie des flux nets annuels de devises travers les d penses publiques
259. nt certains secteurs certaines professions et une fois que tu as fait le tour de l informatique des m dias du journalisme du marketing de la comm Il ne reste plus beaucoup de monde sur les r seaux sociaux Aussi tend il relativiser les discours commun sur une pratique per ue comme r pandue mais qui reste valuer empiriquement les recruteurs vont voir 132 Revista european de drept social syst matiquement le profil des candidats En effet pour Fran ois la r alit aussi c est qu il y a des recruteurs dans certaines boites qui ne vont pas du tout sur les r seaux sociaux Qui ne sont pas l aise avec LinkedIn ou avec Facebook Qui n y connaissent rien Apr s effectivement qu est ce qui se passe Est ce que puisque le recruteur n y va pas ce n est pas la peine d y aller Qu est ce que c est finalement le processus de recrutement aussi C est qu il y a en principe tout le monde au m me niveau sur la ligne de d part et puis apr s il y a une s lection qui va se faire Et qu est ce que fait le candidat Il va essayer de mettre en avant ses plus beaux atours Alors c est une belle photo ou pas de photo a va tre bien expliquer ses missions ou mal les expliquer Ca va tre bien se comporter en entretien C est juste que cette pr sence ce branding elle fait partie de la panoplie Pour certains postes c est indispensable Pour d autres a ne l est pas Mais c est un plus qui peut d partager
260. nt l int r t la distraction et le souci de la pr servation du site e Respect des droits et obligations locaux La population locale respecte les obligations de protection des sites et monuments Elle est aussi la principale source d information sur l importance du patrimoine Avantages et impacts du tourisme culturel Les avantages du tourisme culturel sont conomiques et sociaux Les touristes culturels entreprennent des s jours plus prolong s dans les pays de destination et y d pensent davantage par rapport aux autres cat gories de touristes Un sondage r alis par l Association de l industrie touristique montre que 70 de l ensemble des touristes ont visite une ou deux des attractions suivantes site historique parc 8 European Union The European Social Fund Culture and Tourism Background report 2011 28 Revista european de drept social national ou local galerie d arts ou mus e concert spectacle site ethnique ou cologique Selon les touristes le s jour est d autant plus m morable qu il inclut une activit historique permettant d acqu rir de nouvelles connaissances Les touristes culturels sont pr ts s investir davantage dans une communaut donn e et d pensent en moyenne 166 dollars de plus que les autres touristes pour le m me voyage Le profil du touriste culturel volue tr s rapidement C est pourquoi il est difficile de rendre un aper u global des impacts du tourisme cul
261. ntariado estrat gico en un contexto no elegido una hip tesis sobre el creciente acercamiento de los j venes a las ONGs Revista de Estudios de Juventud n 45 pp 51 60 Celdr n M y Buscemi V 2011 Beneficios desventajas y barreras para ser voluntario percepci n de los voluntarios oncol gicos Apuntes de psicolog a 2011 vol 29 n 1 pp 59 70 Comisi n de las Comunidades Europeas 2001 Libro Blanco de la Comisi n Europea un nuevo impulso para la juventud europea Bruselas Consejo de la Juventud de Espa a 2011 OBJOVEM cuarto trimestre 2011 pp 1 39 D az R 1996 Redes de solidaridad internacional para derribar el muro norte sur Madrid HOAC Dees J G 1998 The meaning of lt social entrepreneurship gt Stanford University Draft Report for the Kauffman Center for Entrepreneurial Leadership 6 Gaete R 2011 La responsabilidad social universitaria como desaf o para la gesti n estrat gica de la Educaci n Superior El caso de Espa a Revista de Educaci n 355 pp 109 133 Garc a S 2010 La historia olvidada de las mujeres de la Escuela de Chicago Revista Espa ola de Investigaciones Sociol gicas REISS n 131 pp 11 41 G mez P J 2011 Crisis econ mica y voluntariado Documentaci n Social n 160 2011 Moreno A 2012 La invisibilidad de los y las j venes en los servicios sociales del Estado de bienestar espa ol En Revista de estudios de la Juventud 97 Junio p 93 108 Rod
262. ntenance a ronautique lectronique et informatique embarqu es commercialisation des produits et services industriels etc Enfin l innovation technique et scientifique reste un l ment essentiel du d veloppement conomique L industrie est au c ur des enjeux soci taux d avenir en particulier pour ce qui concerne l nergie les nouvelles technologies la sant ou encore le d veloppement durable Les d partements de recherche amp d veloppement des grands groupes industriels doivent recruter pour rester la pointe l heure o les fili res scientifiques ne font pas le plein les perspectives d emploi notamment sur des postes d ing nieur ou master Bac 5 et de technicien sont la hausse dans un grand nombre d industries de l agroalimentaire l mformatique en passant par les travaux publics la chimie ou la m tallurgie 3 Une formation adapt e le DUT GIM Les jeunes issus de formations courtes sont tr s pris s par les entreprises qui les trouvent directement op rationnels Contrairement aux id es re ues et notamment en p riode de crise les dipl m s d un bac 2 s en sortent bien En particulier les postes de techniciens dans le secteur de l industrie pr sentent les meilleurs taux d insertion Dans le cadre de la maintenance industrielle on trouve des formations de type BTS Brevet de technicien Sup rieur qui sont g r es par les lyc es et de type DUT Dipl me Universitaire Te
263. o universitaria Hechos que repercuten de forma significativa en el crecimiento econ mico y social de un pa s a la vez que generan dificultades de acceso a un empleo cualificado en aquellos j venes que no est n formados o cualificados Las personas cualificadas tienen menor riesgo a la exposici n de contratos eventuales por lo que obtienen salarios m s estables ofreciendo un mayor ndice productividad El Instituto de la Juventud INJUVE es el organismo responsable del fomento de la cultura y asociacionismo juvenil Ha desarrollo un sistema de informaci n y documentaci n de la juventud que fomenta las relaciones y la cooperaci n internacional en materia de juventud Otro elemento a considerar en materia de promoci n de la juventud en Espa a ha sido el Real Decreto 3481 1977 sobre las Asociaciones Juveniles ampliado con el Real Decreto 397 del 22 de Abril de 1988 como medidas que permitieron el asociacionismo juvenil y el desarrollo de iniciativas juveniles Espa a no tiene trayectoria jur dica especifica que coordine educaci n empleo y participaci n social en materia de juventud Protagonismo que est n tomando las universidades con diferente intensidad Actividad justificada por el porcentaje considerable de j venes que se encuentran bajo la tutela de las universidades espa olas en estos momentos 2 PROTAGONISMO DE LA UNIVERSIDAD EN EL FORTALECIMIENTO DE LAS COMPETENCIAS DE LOS JOVENES El derecho a la educaci n est reconoc
264. of manpower needs of the active departments of the administration which provide different services to the local population The reform of the pension system the opposition of present staff to external and internal mobility and the financial constraint can be considered put a block under necessary changes in human resources management Future needs are not anticipated Career management remains in prospect of a basic respect of staff legal rights Standards of assessment promotion and payments show concer for both equality between administration members and enforcement of competitiveness of local administration on work market Performance valuation is usually confused with private grading which follows a large range of traditional values as length of service university degree or administrative corps This is why promotion and level payment do not represent personal qualities and abilities do not appear management criterions at the present time Despite of inequities in recruitment process public jobs are attracted for workers The administration gives greater place to contractors rather than official staff Improvements are going on at the present time with the implementation of a planning management within an approach by skills and performance The crisis the public finances gives an opportunity to change public policies Regulations and rules will have to be adapted to the new deal of human resources management Keywords local public sector jobs human
265. ois ce d lai raisonnable ne saurait tre observ si l on y est imp rieusement contraint par les besoins de fonctionnement du service Les difficult s de la r alisation de l emploi du temps des hospitaliers tient des facteurs suppl mentaires D abord toutes les deux semaines il faut pr voir quatre jours de repos au profit de l agent Ces jours ne seront pas parpill s dans 1 D cret n 2002 8 du 4 janvier 2002 relatif aux cong s annuels des agents des tablissements mentionn s l article 2 de la loi n 86 33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives la fonction publique hospitali re D cret n 2002 9 du 4 janvier 2002 relatif au temps de travail et l organisation du travail dans les tablissements mentionn s l article 2 de la loi n 86 33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives la fonction publique hospitali re Circulaire DHOS P1 2003 295 du 24 juin 2003 82 Revista european de drept social cette p riode bihebdomadaire En tous cas deux jours au moins doivent se suivre et inclure un dimanche pour le repos La question se pose de savoir s il s agit pour l agent non pas seulement d un droit mais galement d une obligation Car le service et lui m me pourraient trouver pr f rable de lui conc der quatre jours cons cutifs par exemple du lundi au vendredi Mais en l absence de limitation claire l agent serait parfois oblig d
266. omte Mignaloux Beauvoir Mign Auxances Montamis Poitiers Saint Benoit Vouneuil sous Biard 69 Revue europ nnee du droit social Ce qui saute aux yeux l examen du troisi me graphique c est la similitude des blocs traduisant la tr s forte proximit des volutions de la part d ouvriers dans la population active de chaque zone g ographique Le constat est connu toutes les zones g ographiques observ es voient progressivement la part de la population ouvri re baisser entre 1968 et 2009 en raison du processus de d sindustrialisation De 1968 1975 trois chelons g ographiques voient leur part d ouvriers l g rement augmenter Ch tellerault 6 la Vienne 1 et le Poitou Charentes 3 A la m me p riode Poitiers connait une tr s l g re baisse de sa part d ouvriers malgr une hausse importante du nombre d ouvriers en valeur absolue 22 42 En effet la population active poitevine ayant largement augment au cours de cette p riode passant de 27600 actifs en 1968 33820 actifs en 1975 soit une hausse de 22 l augmentation du nombre d ouvriers en valeur absolue trouve sa source dans l accroissement g n rale de la population active Pour tous les chelons g ographiques la part d ouvriers baisse ensuite partir de 1975 Ainsi si l agglom ration poitevine connait une volution similaire celles de la France de la r gion Poitou Charentes et du d partement de la Vienne reste
267. on appartient un p le C est dit m me quand on a des postes vacants en interne Une infirmi re a alors beau jeu de l cher qu elles repr sentent de simples pions pour l administration La mobilit se pratique parfois sous forme d intervertissement dans les fonctions d infirmi res et d aides soignantes D apr s un cadre les infirmi res vont remplacer les aides soignantes s il y a plus d aides soignantes en vacances et au contraire si il y a moins d infirmi res en vacances ce moment l Les infirmi res vont prendre les postes aides soignants Dans ces circonstances les possibilit s de r organiser les quipes deviennent plus nombreuses Toutefois l infirmi re venue pour pallier une absence b n ficie d un certain respect C est ainsi que l on vite de lui faire accomplir des t ches habituellement confi es aux aides soignantes Comme l indique un cadre de sant il reviendra une infirmi re du service d accueil d y pourvoir Il est hors de question de sembler vexatoires envers les coll gues rempla antes Or ils font d j effort de bouger on essaie de les laisser dans leurs fonctions De fa on g n rale la r organisation du mode de fonctionnement d un service est regard e comme une mesure d ordre int rieur De telles mesures ne peuvent tre attaqu es en justice en vue de leur annulation par le juge administratif Il n y a donc pas de droit acquis pour la population ou po
268. on poitevine n est de toute vidence pas une cit ouvri re Ainsi en 2009 la part des ouvriers dans la population active poitevine est de 17 alors que celles de Chatellerault ville du m me d partement et localement r put e pour sa tradition ouvri re et de la France sont respectivement de 30 et de 24 Toutes cat gories d ouvriers confondues la population ouvri re est donc sous repr sent e dans le bassin d emploi poitevin par rapport l ensemble de la France Par ailleurs la cat gorie des ouvriers est galement faiblement pr sente l chelle de la CAP Communaut d agglom ration de Poitiers puisqu ils n en repr sentent que 17 de la population active A la m me date la communaut d agglom ration de Saint Nazaire comparable celle de Poitiers du point de vue de la population active respectivement 49 932 et 61019 actifs compte 31 d ouvriers parmi les actifs Evolution de la part d ouvriers dans la population active 25 B 20 15 10 5 o cap France PC Vienne m1968 01975 m1982 51990 m1999 12006 m2009 Poitiers Ch telerault Graphique 3 1 Les donn es sont calcul es partir des r sultats du re censement 2009 de l INSEE La Communaut d Agglom ration de Poitiers regroupe 12 communes B ruges Biard Buxerolles Chasseneuil du Poitou Croutelle Fontaine le C
269. ont des femmes De plus dans ce groupe d actifs la proportion des personnes vivant dans des conditions d favorables est de 80 mais les hommes ne repr sentent que les 26 de cette population d favoris e A nsi les activit s d aide familial sont plus proches des activit s de survie Ces activit s sont plus fr quentes dans les zones rurales que dans les zones urbaines En fait les ruraux sont 82 dans ce type occupation et 74 sont des femmes Le niveau d ducation de ces travailleurs est relativement bas En effet il n y a que 5 de personnes qui ont termin leurs tudes secondaires Sur 10 personnes de ceux qui n ont pas achev leurs tudes secondaires il y a au moins 6 femmes C est dire que les femmes des zones rurales les moins instruites sont premi re vue les plus contraintes exercer comme aides familiales au Cameroun Les activit s des aides familiaux sont r serv es un groupe restreint de m nages Il y a comme une sp cialisation de cette main d uvre dans ces activit s Les donn es r v lent que 99 de ces actifs ont au moins un parent qui exerce aussi dans une activit d aide familial Dans les m nages o l on compte au moins deux membres de la famille dans ces activit s d aide 37 21 de ces travailleurs sont des enfants du chef de m nage 64 sont des hommes et 60 les pouses de chefs de famille De plus il y a en moyenne 3 actifs exer ant comme aides familiaux dans un m
270. ontrol Sanctions for legal persons should include criminal or non criminal fines and may include other sanctions such as exclusion from entitlement to public benefits a judicial winding up order etc The Framework Decision 2003 80 JHA obliged European Union states to establish jurisdiction when the offence was entirely or partly committed in their territory or on board of a ship or on aircraft registered in it or flying its flag and provided for optional jurisdiction grounds such in Article 8 Additional rules on extradition and prosecution in particular on offences committed by own nationals 1 The Directive 2008 99 CE 11 The Framework Decision 2003 80 JHA Jean Pradel Droit p nal g n ral Paris 1990 BP Salnoge Droit p nal g n ral Press Universitaire 1994 178 Revista european de drept social outside the territory of a European Union state had lost their relevance with the introduction of the European Arrest Warrant 2 When the Framework Decision was adopted in the Council the Commission always upheld the view that this was not the appropriate legal instrument for provisions on environmental crime In this situation environmental criminal law has become the centre of a serious institutional fight between the European Commission and the Council about the possibility to include criminal law related provisions in first pillar instruments So briefly after the adoption in april 2003 the Commission sought annulmen
271. ople who are both generalist and qualified highly prized and sought after by companies Thus specific trainings have been implemented Unfortunately maintenance generates a negative image and the students have a strong tendency to avoid these formations Despite this very low interest for maintenance we show that jobs in this sector are many and adequate trainings are present in the territory Keywords curative maintenance preventive maintenance employability trainings jobs Introduction Il y a encore quelques ann es quand on voquait la maintenance c tait g n ralement la maintenance dite curative qu il tait fait r f rence Citons l exemple d une machine qui se trouve en plein c ur d une chaine de production qui tombe subitement en panne et paralyse compl tement la production Le r le du service de maintenance consiste alors d panner r parer la machine au plus vite pour remettre en route toute la chaine de production On peut ais ment comprendre ici tout l int r t du service maintenance sur le plan conomique Bien que la maintenance reste encore incarn e par l image de l ouvrier en bleu de travail avec sa cl molette aujourd hui dans les faits ce temps est de plus en plus r volu Il ne s agit plus en effet d attendre que la machine tombe en panne pour la r parer Au contraire pour des raisons conomiques la panne est anticip e et la maintenance pr ventive fait ici son entr e Il s
272. opment of law However positivism does not tackle the unilateral influence of humans on law systems but rather a circular influence meaning that people make the law which in turn determines their conduct and finally other interventions by humans Researching the effects of natural law and positivist theories is an interesting initiative The systemic approach may represent a needed option to clarify and justly place the abovementioned effects to their logical places in interaction with the major divisions of law namely public law and private law By using the concepts of general systems theory applied to notions of natural law and positivism it may be possible to find a common line of thought in which the two currents do not contradict one another but rather coexist and complement each other 14 Sofia Popescu coord Dragos Iliescu Probleme actuale ale metodologiei juridice Editura Stiintific si Enciclopedic Bucuresti 1979 cap Il 15 lon Fl m nzeanu Elaborarea Dreptului cu privire special asupra legisticii formale Studii de Drept Rom nesc an 21 54 nr 1 pp 26 27 158 VULN RABILIT DE L CONOMIE ALG RIENNE D FIS ET LES ENJEUX RELEVER Prof Kamel Bouadam Dr Djnina Amor Universit S tif 1 Alg rie Universit de T bessa Abstract In Algeria better macroeconomic indicators and structural reforms in numerous areas have not induced a lasting economic growth The results are mixed or even insuf
273. our rem dier cela quelques principes fondamentaux sont int grer dans la construction du cursus universitaire revaloriser l enseignement de la gestion et lui donner la place qui lui sied remettre l accent sur la pratique via les stages d velopper l enseignement des langues pour tirer profit des exp riences outre mer 3 5 Energies renouvelables Un potentiel exploiter au mieux Les nergies renouvelables ne repr sentent actuellement qu une tr s faible part dans le bilan nerg tique national soit 0 02 de la consommation nationale d lectricit Pour promouvoir ces nergies les autorit s comptent lancer un programme national de promotion des nergies renouvelables en accordant des subventions pour les projets lanc s dans ce domaine Il est possible de lancer des programmes de partenariat avec des firmes trang res comme c est le cas pour les entreprises allemandes qui ont d j effectu des tudes de march s En voulant exploiter les potentialit s exceptionnelles d ensoleillement pour d velopper les applications de l nergie solaire l lectrification des zones isol es telles que les r gions d sertiques du sud ainsi que les r gions montagneuses Jamais la question nerg tique n a t pos e avec autant d acuit dans le monde Les r percussions n fastes des nergies conventionnelles p trole gaz naturel charbon sur le r chauffement climatique constat partout dans le mo
274. ouristique mondialis ses atouts les plus pr cieux e Le caract re unique de son patrimoine culturel et historique e Sa position de leader du tourisme r gional e Sa situation g ographique e Ses stations modernes maritimes et de sports d hiver Il est n cessaire de proposer des voyages authentiques Les touristes bulgares et trangers veulent red couvrir de nouveaux sites entretenir des contacts sociaux avec la population et go ter des produits locaux inconnus Les vacances culturelles ne sont pas qu une occasion de d tente apr s le travail mais aussi une recherche de nouvelles aventures insolites Parusheva T La multiplicit culturelle ressource clef du tourisme global Conf rence scientifique internationale Tendances et enjeux du d veloppement conomique Editions Science et conomie Universit conomique Varna 2012 pp 475 480 30 Revista european de drept social Conclusions e Le tourisme culturel assure aux visiteurs des s jours de diversit et cr ativit e Le produit culturel vise satisfaire la demande et l int r t des touristes conna tre et aborder directement la culture du pays e Les sites culturels bulgares sont exceptionnels et provoquent l admiration g n rale sur le march mondial du tourisme culturel Postface Le tourisme culturel est parvenu trouver rapidement sa place sur la sc ne touristique mondiale Il affirme sa pr tention et ses ca
275. p nnee du droit social HAVET Nathalie 2006 L insertion professionnelle des jeunes et mesures publiques des trajectoires diff renci es entre hommes et femmes Groupe d analyse conomique Montr al Canada LEO Universit d Orl ans LASSASSI et HAMMOUDA 2009 Analyse micro conomique des d terminants du choix occupationnel en Alg rie Centre de recherche en conomie appliqu e au d veloppement LASSASSI et HAMMOUDA 2009 D terminant de la participation au march du travail et choix occupationnel une analyse micro conomique appliqu e au cas du Maroc Centre de recherche en conomie appliqu e pour le d veloppement LOLLIVIER St fan 2001 Les choix d activit des femmes en couple une approche longitudinale Revue Economie et Statistique No 349 350 Page 125 140 MBA EYENE 2012 Franck Armel Participation des femmes sur le march du travail une tude comparative sur le Cameroun et le Mali m moire Institut Sous r gional de Statistique et d Economie Appliqu e ISSEA NATIONS UNIES 2009 Annuaire statistique Cinquante troisi me dition pages 259 271 RICCO 2009 Pratique de la R gression Logistique R gression Logistique Binaire et Polytomique Version 2 0 Universit Lumi re Lyon 2 272 pages SACKEY Harry 2005 Female labour force participation in Ghana The effects of education AERC Research Paper 150 African Economic Research Consortium Nairobi Page 1 53 SCHOEMAKER JUAN F 198
276. pacit s de future position de leader sur le march touristique mondialis Dans un contexte de march extr mement dynamique et de recherche de produits nouveaux et int ressants le tourisme culturel peut proposer des solutions de voyage excitant et inoubliable Bibliographie Parusheva T Vision des transformations globales de la culture Conf rence scientifique internationale Les enjeux du tourisme au XXIe si cle Sofia 2012 pp 20 25 Parusheva T Le tourisme culturel alternative de la mondialisation Editions Avangard Prima S 2009 p 223 Parusheva T La multiplicit culturelle ressource clef du tourisme global Conf rence scientifique internationale Tendances et enjeux du d veloppement conomique Editions Science et conomie Universit conomique Varna 2012 pp 475 480 Pencheva A Gestion de projets dans le tourisme Editions Avangard Prima S OECD The impact of culture on tourism 2010 www unwto org 2012 Council of Europe Sustainable Cultural Tourism in Historic Towns and Cities 2010 pp 1 12 European Union The European Social Fund Culture and Tourism Background report 2011 Isaac R Understanding the behavior of cultural tourists 2010 31 PREUVES REDONDANTES DE LA PASSION EUROP ENNE POSTMODERNE POUR L ANIMISME ET LE TOT MISME JURIDIQUE PLACE DE TRAVAIL ACTION COLLECTIVE TAT DE DROIT EXERCICE POUR UN S MINAIRE DE DROIT PRIV COMPAR Prof Dr Va
277. par les juridictions financi res dont les r sultats ont t ins r s au rapport public annuel de la Cour des comptes de 2012 Par ailleurs ce th me est tr s r guli rement inclus dans les audits sur la gestion des collectivit s locales r alis s par les chambres r gionales des comptes qui corroborent et compl tent les r sultats de l enqu te pr cit e La demande citoyenne d am lioration constante de l efficacit de l action publique et la tendance lourde la rar faction de la ressource financi re obligent les acteurs publics d passer la logique traditionnelle de gestion par le risque juridique L volution induite est tout juste entam e dans la plupart des collectivit s locales La gestion des ressources humaines au sein des administrations locales 1 reste peu pr visionnelle faute d tre int gr e aux objectifs strat giques de l organisme et de mise en place des outils n cessaires et 2 repose sur une administration galitaire des recrutements et 3 des carri res par manque de ma trise des param tres externes et des besoins internes 4 ce qui ne nuit pas l attractivit de ces administrations dans un contexte de ch mage important et d ins curit des emplois priv s existants De 1998 2009 les effectifs des r gions ont augment de 21 2 par an ceux des d partements de 5 4 Entre 1998 et 2009 ceux des intercommunalit s de 9 7 par an en moyenne et ceux des communes
278. pas dans ce sens Il n y a qu voir le cas de Henkel qui a parfaitement r ussi son association avec la soci t alg rienne des detergents pour r aliser des produits concurrentiels sur le march soit local ou externe Avant de parler d adh sion il est important que les entreprises publiques ou priv es se mettent niveau Elles doivent devenir comp titives et produire selon les conditions conomiques Elles doivent se baser sur les crit res de prix de qualit et de d lais L Etat doit jouer le r le de r gulateur et ne peut pas demander aux entreprises de se d brouiller toutes seules Il doit les accompagner et mettre en place les outils et les moyens n cessaires pour cette transition vers l conomie de march Il faudrait dans ce sens que la politique conomique soit claire et lisible Il est souligner que l Alg rie a fonctionn depuis longtemps avec un r gime socialiste et ne peut passer facilement l conomie de march lib rale Il faut que l Etat soit un prescripteur capable de d finir les r gles de jeu compatibles avec les imp ratifs de l conomie mondiale L Alg rie qui compte int grer POMC et qui s est engag e dans la zone de libre change euro m diterran enne ne peut cr er les conditions de la r ussite de son insertion dans l conomie mondiale et g n rer des dynamiques socioculturelles du d veloppement que par l mergence d une v ritable culture entrepreneuriale Cela si
279. passant de 32 milliards de dollars Us en 1994 4 14 milliards en 2011 Les r serves de changes se sont consolid es pour d passer la barre de 100 milliards L inflation a baiss consid rablement pour se situer moins de 3 Le taux de croissance s est beaucoup raffermi pour atteindre la moyenne de 5 pour la p riode 2000 2008 De plus un important plan de relance de plus de 460 milliards de dollars a t lanc pour la p riode 2005 2014 Ceci constitue sans aucun doute un signal fort pour les investisseurs nationaux et surtout trangers pour maintenir la croissance un rythme soutenu 2 Les facteurs de fragilit de l conomie alg rienne Face ces atouts nous avons identifi les facteurs de fragilit suivants qui devront tre renforc s 2 1 Economie renti re vuln rable L Alg rie se met l preuve du d veloppement L tendue de son territoire la diversit de ses richesses et les besoins d une gestion rationnelle de son potentiel 3 CIA World Factbook Version du 01 janvier 2011 161 Revue europ nnee du droit social conomique se con oivent comme autant d atouts qu il faudrait mettre en vidence Le d fi reste donc entier et plus que jamais les pouvoirs publics sont mis face leurs responsabilit s L ouverture d brid e de l conomie a atteint en effet un seuil au del duquel le pays doit prendre bras le corps les questions qui engagent son avenir ou il sera d sormais
280. permettant de comparer ce qui tait pr vu avec ce qui a t r alis et encore moins de comparer le co t avantage ou l efficacit avec la situation r elle Des probl mes risquent de se poser en termes d ambiguit dans la r partition des responsabilit s et du travail entre les diff rents niveaux de l administration de besoin d une meilleure coordination au sein de cette derni re L am lioration de la gouvernance sera primordiale pour ce nouveau programme de d penses publiques C est un grand d fi pour le pays pour son d veloppement Un programme d une telle ampleur pose d normes d fis Tout d abord il soul ve de s rieuses interrogations concernant la viabilit long terme des tendances budg taires actuelles et sur la qualit des d penses Plus pr cis ment il engendre des difficult s diff rents niveaux comment concevoir des strat gies sectorielles adapt es comment programmer les volutions futures des d penses d investissement par rapport aux d penses ordinaires comment assurer une gestion ad quate des projets et une bonne ex cution du budget et notamment comment assurer le suivi et l valuation et am liorer le rapport avantages co ts des projets d une mani re g n rale 8 Libert conomie N 456 du 28 au 4 d cembre 2007 peu d efficacit dans la d pense publique en Alg rie 168 Revista european de drept social Autrement dit le programme d investissement pu
281. permettent aux jeunes d tre directement op rationnels dans leur m tier Enfin 82 des cadres consid rent que le DUT est un bon tremplin pour envisager rapidement des perspectives d volution de carri re et de r mun ration int ressantes Le DUT GIM b n ficie comme tous les DUT d un r seau de comp tences national r parti sur tout le territoire qui favorise un enseignement sup rieur de proximit tout en garantissant une coh rence nationale Le contact avec le milieu professionnel employeur potentiel des tudiants y est d velopp au maximum Non seulement les professionnels participent la vie du d partement l occasion des sessions des jurys d admission et de d livrance des dipl mes ils prennent galement une part active importante lors des suivis de stages et de mise en uvre de projets et tudes de cas De plus ils participent directement l enseignement acad mique hauteur d environ 10 3 4 Insertion professionnelle Le technicien GIM travaille dans tous les secteurs d activit a ronautique automobile bois lectronique immobilier m canique agro alimentaire textile h pital Actuellement 30 des dipl m s GIM choisissent d int grer directement le monde du travail Leur insertion est rapide le nombre d offre d emploi de technicien GIM est sup rieur au nombre de dipl m s GIM sur le march du travail 79 des jeunes dipl m s souhaitant int grer directement la vie professionnel
282. peut annoncer son absence Dans le cadre de la mobilit interne l on fait appel aux infirmi res en repos Au moins deux questions se posent alors D une part comment joindre les infirmi res alors que leurs coordonn es t l phoniques rel vent de la vie priv e D autre part comment doit proc der l h pital l gard de ses agents qui ne r pondent pas l appel On joint l infirmi re ventuellement en repos apr s avoir v rifi que son repos de s curit est accompli Le probl me toutefois est que le cadre de sant n est pas cens disposer d un fichier nominatif qui r pertorie les agents avec leurs coordonn es Ces informations sont d tenues par les services centraux la direction des ressources humaines DRH C est parce que le num ro de t l phone comme l adresse du domicile rel ve de la vie priv e que la DRH ne les divulgue pas aux cadres charg s de la confection des emplois du temps des infirmi res En principe ces coordonn es sont conserv es pour chaque soignant l int rieur d une enveloppe ferm e qui n est 93 Revue europ nnee du droit social d cachet e qu l occasion d une catastrophe sanitaire laquelle aura contraint le pr fet d ployer un plan blanc ou un plan rouge Dans la pratique les autres infirmi res et le cadre de sant d tiennent le num ro de t l phone de chacun C est d ailleurs souvent une autre infirmi re qui son initiative ou la
283. pla ants Pourquoi Parce qu un agent de passage se contente de se r f rer ses coll gues pour ceci ou pour cela Il sait que lendemain il officiera ailleurs Au contraire la personne du service se pr occupera des produits et mat riels prochainement utiles Elle veillera les commander de fa on ne point en manquer Plus g n ralement l investissement la projection se projeter dans l avenir manque de la part de l agent d plac Concr tement se sachant sur le d part il se consid rera comme un bouche trou et h sitera solliciter des modifications dans le fonctionnement du service Au fond comment s impliquer dans un projet de service ou dans des groupes de travail aux r sultats attendus dans des mois En cons quence le rempla ant se contente de remplir sa fonction mais pleinement En sens inverse une affectation trop longue appara t critiquable Sinon le soignant pourrait devenir blas et sans motivation Pour sa part le service a besoin de sang neuf et de perception renouvel e de l organisation et du service Il semble que la bonne dur e soit comprise entre trois et cinq ans C est l avis d une auxiliaire de pu riculture qui apr s plus d une vingtaine d ann e aux m mes fonctions en p diatrie est devenue infirmi re apr s des tudes en IFSD Cela tant le personnel hospitalier ne consacre pas toute sa vie l h pital Mais un autre soignant qui devait normalement travailler
284. pr s de 10 des effectifs industriels 12 Revista european de drept social C est galement le cas dans le secteur de l industrie pharmaceutique Il s agit d un secteur dynamique qui cr e pr s de 2 000 postes par an et se targue d environ 10 000 recrutements annuels pour r pondre un turnover important D apr s Emmanuelle Garassino directrice de l observatoire des m tiers au Leem Les Entreprises du M dicament d importants besoins en sp cialistes de maintenance industrielle d automatisme et lectricit ou de contr le qualit sont n cessaires mais les offres ont du mal pourvoir nos demandes On note qu c t de la maintenance industrielle il existe aussi la maintenance de parcs d engins de transport de l immobilier d infrastructures qui repr sente un volume d offres d emplois aussi grand que la maintenance industrielle Dans le b timent et les travaux publics il faut galement faire face aux d parts la retraite Les besoins sont valu s 50 000 70 000 recrutements uniquement pour renouveler les effectifs Les formations de la maintenance des engins et des automobiles offrent des d bouch s importants La maintenance des mat riels g n re 104 000 emplois directs en France dont 52 000 d di s la maintenance technique Elle regroupe des entreprises de toutes tailles dans des secteurs tr s diversifi s constructeurs concessionnaires entreprises de distribution de location de ser
285. pr servation de la sant des travailleurs d autre part dans la perception que les travailleurs ont de leur propre capacit vouloir pouvoir se maintenir durablement en emploi A ce sujet selon la derni re enqu te europ enne sur les conditions de travail d EUROFOUND moins de 60 des travailleurs interrog s r pondent tre en mesure de faire le m me travail l ge de 60 ans Aujourd hui il apparait clairement que les enjeux qui se jouent travers le d bat sur les fins de carri re ne se limitent pas aux aspects conomiques productifs et institutionnels du march du travail L ouverture du d bat sur l allongement des 2 GUILLEMARD A M 2003 L ge de l emploi Les soci t s l preuve du vieillissement op cit 62 Revista european de drept social carri res aux questions du travail et de sa soutenabilit constitue de ce fait un enjeu fondamental si l on veut ne pas renforcer davantage les in galit s sociales d j pr sentes sur le march du travail Au niveau soci tal d une part l enjeu est de taille s agit il de prolonger la carri re de tous les travailleurs y compris les travailleurs us s qui ont t expos s pendant plusieurs ann es des conditions de travail prouvantes En posant la question nous relayons l id e que le d bat sur cet enjeu de soci t serait premier ce qui ne rend pas obsol tes les n cessaires discussions sur l quilibr
286. que la part du salariat ouvrier dans la population active est de toute vidence plus faible qu ailleurs et ce depuis plus de 40 ans Les constats pour l ann e 2009 s inscrivent donc dans une longue tradition locale loign e du monde industriel et ouverte Padministration publique et aux activit s commerciales La communaut d agglom ration poitevine se caract rise la fois par une implantation industrielle tardive et tr s mod r e et par une population ouvri re peu importante relativement celle de la France d une part celles du d partement et de la r gion d autre part Ainsi R Favreau historien et sp cialiste de l agglom ration poitevine explique t il Peut il exister quelque originalit dans les activit s professionnelles des habitants d une ville moyenne telle que Poitiers Ceci ne fait pas de doute concernant notre ville et il semble m me que cette structure originale soit fort ancienne Son constat est tranch Poitiers n est pas et ne fut jamais une ville prol tarienne et usini re La d marche peut donc para tre priori surprenante pourquoi s int resser aux ouvriers de l industrie dans un territoire o cette cat gorie est largement sous repr sent e C est pr cis ment cette caract ristique sp cifique qui nous int resse alors que les ouvriers ont longtemps t tudi s par les sociologues dans les bastions industriels fran ais St phane Beaud et Michel Pialo
287. que tous les autres membres Cependant ils participent plus souvent dans les activit s pr caires et non rentables Il est plus facile d observer une jeune femme au ch mage que salari e De plus les femmes qui ont leurs charges leur m nage ont plus les profils d aides familiales Tr s souvent elles sont partag es entre les trois alternatives notamment Aide familial Ch mage et Travailleur ind pendant Les femmes en couple ont aussi des strat gies d occupation tr s proches de celles qui sont la t te d un m nage Le fait d tre alphab tis e pour une femme n est pas suffisant pour qu elle volue comme employ e L application la population camerounaise du mod le de participation a montr que cette variable n a pas un impact significatif si l on dispose des donn es sur les niveaux d instruction En outre les r sultats trouv s dans la sp cification des comportements d offre de travail des femmes au Mali poussent s interroger sur le r le de l alphab tisation dans la participation l activit conomique et la qualit des activit s des employ s En effet il ressort que les femmes alphab tis es ont moins de chances de travailler comme employ es que les femmes analphab tes Le profil d aide familial est plus celui des femmes pauvres que les autres Cependant telle qu approch e la pauvret ne permet pas d expliquer les choix d occupation des femmes pour les deux autr
288. ques Internet et le march du travail une red finition de l activit professionnelle Le rapport entre offre et demande d emploi s est transform au fur et mesure que les TIC se sont diffus s dans les diff rentes strates de la soci t et au fur et mesure que celles ci se les sont appropri es chacune selon ses ressources propres Par ailleurs Internet a non seulement transform les modes d acc s un travail mais a aussi chang pour les entreprises elles m mes les mani res de communiquer sur leurs propres offres formations etc Par ailleurs les entreprises n affichent pas toujours explicitement des volont s de recrutement Certains grands groupes s emparent du web dans des strat gies de valorisation de la marque s adressant des partenaires potentiels plus qu de futurs employ s Les entreprises peuvent certes s approprier Internet dans une d marche op ratoire lorsqu elles visent le recrutement au travers de la diffusion d annonces ainsi que la cr ation de partenariats avec des clients identifi s Cependant elles participent plus globalement aux changements sociaux concernant la construction d une certaine image de l activit professionnelle et du monde du travail Ainsi Christian Bessy et Emmanuelle Marchal soulignent bien la complexit du r le d Internet dans ce ph nom ne Le web offre aux entreprises la possibilit d un contr le accru sur l ensemble des dimensions de la communication prof
289. qui aboutit l acte de 4 Bessy et Marchal 2006 14 16 5 Pin on et Pin on Charlot 2007 123 Revue europ nnee du droit social candidature pour un poste est complexe et comprend diff rentes tapes au cours desquelles m thodes formelles et informelles peuvent la fois tre mobilis es successivement et simultan ment Ainsi l information sur un poste vacant peut transiter par un canal formel une annonce par exemple mais l acte de candidature s appuyer sur une m thode informelle le candidat a un contact dans l entreprise qui recrute et fait relayer sa candidature par ce dernier pour accro tre ses chances ou inversement De m me une r ponse formelle une annonce peut s accompagner d une d marche informelle visant faire jouer son r seau de relations Loin de se substituer aux interm diaires traditionnels du march du travail les sites de r seaux sociaux professionnels s inscrivent dans un processus d clatement des acteurs de la r gulation de l emploi L apparition successive de r seaux sociaux professionnels RSP entre 2004 et aujourd hui des plus g n ralistes Viad o LinkedIn aux plus sp cialis s Xing pour le march germanophone Resotour pour le tourisme culturel s est ajout e la liste des structures aptes r guler l offre et la demande d emploi Ainsi Patricia formation universitaire en tourisme culturel niveau Master expliquait la mani re dont el
290. qui vont vite s adapter au bout de deux jours ce sera bon Moi je pense qu il m en faudrait un petit peu plus quoi Donc aller ponctuellement comme a Ainsi quand le service de chirurgie a ferm pour les grandes vacances pour le nettoyage les filles de chirurgie sont venues ici Et il y en avait vraiment qui stressaient beaucoup Elles n taient pas bien moralement a n allait pas du tout Je pense que c est difficile de changer de discipline Bon c est vrai que la chirurgie c est carr ment diff rent de la m decine Je pense que c est normal d avoir plus d appr hension Une insuffisance professionnelle se r v le plus facilement quand l agent change de service Il ne s adapte pas dans le service destinataire Par exemple l infirmier jusque l efficace va se r v ler pi tre cadre de sant Ou bien alors qu il 95 Revue europ nnee du droit social brillait dans son service de chirurgie il a d sormais beaucoup de mal aux urgences Quand le probl me est d cel lors du stage qui pr c de le changement de cat gorie il suffit de ne pas titulariser l agent Elle retournera ses fonctions inf rieures d antan Si l agent est d j titulaire et que les solutions de reclassement recherch es ne suffisent pas ou ne conviennent pas il faut se s parer de l agent Sa r vocation pour insuffisance professionnelle exigera le respect des m mes garanties l gales que dans les sanctions disciplinaires San
291. r Amen ABIASSI directeur de l iscid qui nous accueilli pendant une partie de ces journ es montrant ainsi que la synergie entre son tablissement et le n tre ne se limite pas de belles paroles Les pr sidents de commission qui ont eu la lourde t che de faire respecter scrupuleusement des horaires parfois bien courts par rapport au contenu et la profondeur des interventions et des d bats les rapporteurs qui dans des d lais courts et m me records pour certains ont r ussi nous fournir des synth ses de si grandes qualit s pour les commissions que c tait comme si nous y avions particip 137 Revue europ nnee du droit social nos tudiants pour leur coute attentive et leur participation et parmi sp cialement Sabrina Allain Barbara Dirda Joeffrey Bertand benjamin Scott qui avant et pendant le colloque se sont d penser sans compter pour que la profondeur de nos r flexions ne soient pas troubl es par les problemes d organisation Thierry Drancourt responsable du Crous dont on se demande comment il a pu faire pour r ussir avec les faibles moyens qui lui ont t octroy s accompagner nos nourritures spirituelles de nourritures terrestres d une si grande qualit l ensemble des enseignants du gaco et ceux des autres d partements de liut qui ont tous largement contribu au succ s de ce colloque Jeane marie Wailly et Hedi benrabbah qui m ont aid soutenu dans l organisation Eric Hau
292. r guez J M 2010 Responsabilidad social universitaria Del discurso simb lico a los desaf os reales En Cuesta M Cruz C y Rodr guez J M 2010 Responsabilidad social universitaria La Coru a Netbiblo Instituto de Estudios Europeos 2002 La realidad de la cooperaci n al desarrollo de la Uni n Europea desde la perspectiva Espa ola Madrid Ministerio de Educaci n 2011 La responsabilidad social de la Universidad y el desarrollo sostenible Schramm J B El talento est ah fuera En Bornstein D 2005 C mo cambiar el mundo Los emprendedores sociales y el poder de las nuevas ideas Barcelona Debate Valls N dir Borison A Cr ixams C y Font A 2007 Aprendizajes en el movimiento educativo en el tiempo libre de la participaci n juvenil al mercado laboral S ntesis de la investigaci n Papers de investigaci n OTS 11 VNU Programa de Voluntarios de las Naciones Unidas 2011 Informe sobre el estado del voluntariado en el mundo Valores universales para alcanzar el bienestar mundial Dinamarca VNU 152 Revista european de drept social Zurdo A 2004 El voluntariado como estrategia de inserci n laboral en un marco de crisis Cuadernos de Relaciones Laborales n 22 2 pp 11 33 VVAA 2010 Los j venes con discapacidad en Espa a Informe de situaci n 2010 Madrid Cinca VV AA 2011 Profundizar en el voluntariado Los retos hasta 2020 Madrid Plataforma del voluntariado de Espa a
293. r s vers des strat gies de survie qui sont observ s Ainsi l objectif de participation des femmes tend s atteindre mais la question fondamentale qui surgit est celle de la qualit de leurs occupations dans ces march s du travail en pleine mutation 116 Revista european de drept social Malgr le d calage temporaire l avantage du Mali les individus sont plus actifs au Cameroun Aussi les r sultats des estimations sur le cas du Mali pourront tre am lior s une fois les donn es sur les niveaux d instruction seront renseign es Mais il faut souligner l inefficacit des programmes d alphab tisation sur le positionnement des maliens dans l activit conomique Recommandations Il ressort un certain nombre de canaux pouvant permettre de rendre effectif une plus grande insertion des femmes dans les activit s les plus rentables pouvant accroitre les conditions de vie de ces derni res Pour cela il s agira de Maintenir les femmes au Cameroun dans le circuit scolaire jusqu la fin des tudes secondaires Faire une valuation ou une r vision des programmes multipli s d alphab tisation au Mali Am liorer les conditions de vie dans les zones rurales par la cr ation d activit s plus rentables dans ces zones Mettre en place des politiques d expansion du secteur priv de fa on g n ral dans les deux pays Bibliographie AYNAOUI Jean Philippe Participation choix occupationnel et gain
294. r pour observer les modifications de la structure des march s du travail camerounais et malien sur la p riode 2001 2006 Elle permet d appr cier l hypoth se de la relative stabilit du march du travail camerounais entre 2001 et 2006 L tude sur la population camerounaise est plus compl te En effet dans les tudes de participation l absence de l information relative au niveau d instruction est une limite suppl mentaire qui n cessite d tre mentionn e L absence des donn es sur le niveau d instruction pour le Mali est prise en compte dans l analyse mais cette variable est capitale pour la mesure du capital humain En outre l alphab tisation apparait comme une variable qui permet d approcher l ducation au Cameroun bien qu elle n est plus significative lorsqu on introduit le niveau d instruction Sur la population malienne cette variable n est pas significative Nous sommes amen s nous questionner sur l importance et l impact des campagnes d alphab tisation tr s r pandues au Mali sur la participation des individus au march du travail Dans la m me veine l introduction de la pauvret mon taire dans cette tude pourrait am liorer les r sultats En effet seule la dimension non mon taire de la pauvret est consid r e dans cette tude Les r sultats obtenus sont li s la qualit des donn es Les donn es sur la population camerounaise montre qu il y a une colin arit
295. ra m me souvent une mobilit forc e Le facteur d terminant de la mobilit forc e des infirmi res est leur sous effectif chronique dans les tablissements de sant Une insuffisance qui s explique d une dizaine de fa ons Par exemple la s lectivit des concours d entr e aux instituts de formation en soins infirmiers IFSI la pr carit du statut contractuel des d butantes la modicit des r mun rations l agressivit des patients et ou de leurs accompagnants le non remplacement des d parts la retraite les rappels des soignants en repos pour une reprise impromptue du travail l accomplissement d sormais en 35 heures du travail jadis effectu en 39 heures C est ainsi que faisant le compte de l absent isme dans son unit un cadre de sant a t il pu noter que pas loin de 15 chez les aides soignants ce qui fait trois aides soignants en moins toute l ann e Et chez les infirmi res on tourne 10 donc deux infirmi res en moins tous les jours de l ann e Quelque part on a un absent isme cons quent qui nous pourrit la vie Plusieurs questions assaillent l esprit Premi rement la mobilit pratiqu e l h pital consiste t elle en un changement de fonctions ou en un changement de poste En effet l infirmi re pourrait devoir accomplir des activit s plus ou moins loign es de ses comp tences au lieu d avoir simplement exercer son m tier d un endroit l autre Certes
296. ravailleurs g s Cette orientation et plus particuli rement la notion de vieillissement actif sera rappel e dans le rapport de la Conf rence pour l emploi de 2003 En 2004 le gouvernement trace les grandes lignes d une r flexion intitul e Le vieillissement et une politique d un march du travail en fonction de l ge qui aboutira quelques mois plus tard la Conf rence sur la fin de carri re L ann e suivante 2005 le Pacte de solidarit entre les g n rations marque d finitivement la volont des pouvoirs publics de mettre en place une politique de vieillissement actif M me si la demande des interlocuteurs sociaux des mesures relatives la formation professionnelle continue aux restructurations d entreprises l emploi des jeunes et au financement de la s curit sociale ont t ajout es nous retiendrons l importance du volet vieillissement actif articul autour d objectifs g n raux limiter le retrait pr coce du march du travail stimuler les travailleurs salari s rester actifs plus longtemps ou retrouver plus facilement du travail en cas de perte d emploi stimuler les employeurs garder plus longtemps les personnes plus g es voire les engager rendre moins attrayant tant pour l employeur que pour le travailleur salari le retrait anticip du march du travail Parmi les nombreuses mesures quelques unes pr sentent un v ritable
297. rel est aussi particuli rement important pour la sauvegarde et la perception de la valeur de notre patrimoine Il permet les changes intellectuels et favorise l panouissement de la diversit culturelle Il offre un large champ d accomplissement personnel et repr sente un moyen fondamental de cr ation d emplois et d investissements Le pr sent article a pour but d analyser et commenter les dimensions du tourisme culturel dans le contexte de sa future position de leader sur le march touristique global L auteur soutient que le tourisme culturel est un type de tourisme extr mement int ressant et passionnant qui permet un regard vers le pass et la connaissance de l histoire La r trospective qu il offre transforme un voyage ordinaire en v ritable aventure D finition du tourisme culturel Le tourisme culturel existe depuis l poque de l historien grec H rodote qui vers 440 av J C dressa la liste des Sept merveilles du monde antique Au XIXe 23 Revue europ nnee du droit social si cle la culture tait le principal motif de voyage consid r comme partie essentielle de l ducation La seconde moiti du XXe si cle est l poque laquelle le tourisme culturel a marqu sa plus grande avanc e l chelle mondiale Le tourisme culturel ou tourisme de d couverte est consid r depuis longtemps comme un type de tourisme distinct Il repose sur le potentiel historico culturel de la destinat
298. res administratives et douani re doivent tre consolid es et acc l r es pour tre parachev es 2 4 Les exportations hors hydrocarbures un handicap de taille Le niveau des exportations hors hydrocarbures illustre parfaitement le manque de comp titivit de l conomie alg rienne Le d mant lement tarifaire pr vu dans l accord d association conna tra sa phase cruciale au cours de cette ann e Du coup en raison du sch ma de d mant lement retenu baisse progressive de la 165 Revue europ nnee du droit social protection tarifaire des biens de consommation durable les entreprises nationales doivent exploiter les premi res ann es de l accord pour se pr parer faire face la concurrence sur le march int rieur des produits industriels europ ens L entreprise alg rienne n arrive pas conqu rir le moindre march ext rieur mais plus encore elle perd chaque jour un peu plus ses parts du march int rieur Celles qui sont capables de glaner des parts de march l ext rieur se comptent sur les doigts d une seule main Le niveau des exportations hors hydrocarbures de l Alg rie ont atteint 2 15 milliards de dollars en 2011 en progression de 41 par rapport 2010 ann e durant laquelle elles ont connu une importante hausse de 52 1 52 md USD selon les Douanes alg riennes Malgr cette hausse ces exportations restent faibles repr sentant seulement 2 93 du volume global des expor
299. respectivement indicium promesse unilat rale pour la restitution d un objet perdu 3 P Etat de droit avec le totem unificateur correspondant c est dire une ordre juridique panth iste et abstrait inflexible d shumanis e et immuable et toujours respect e comme les lares et les p nates d antan en un mot un tat de droit transform selon les int r ts politiciennes du moment d un simple instrument d antan cr contre tout pouvoir absolu dans un but en soi un tat de la tyrannie du droit c est pour cela que les tyrans aiment tant cette id e fallacieuse de l tat de droit messianique accablant et d shumanis en oubliant la d mocratie co participative et les hommes r els ceux qui sont les b n ficiaires du droit pas les soumis d une ordre qui doit tre bien au contraire toujours adaptable toujours relationnelle Exempli gratia l hyperinflation l gislative vivement critiqu e par Jean Carbonnier dans son ouvrage Flexible droit et Sociologie juridique inflation des solutions Addendum primus exempli gratia voir en ce sens les suivantes J Carbonnier Summum jus summa injuria Une le on de Cic ron http expocujas univ paris1 fr Carbonn html voir toutes les bizarreries juridiques voir Justice excessive devient injustice Cic ron Trait des Devoirs comble de droit comble d injustice voir son pendant Dura lex sed lex La loi est dure
300. rit des sites Ils recensent les zones risques Ces nouvelles comp tences int gr es la maintenance devraient par ailleurs attir es d avantage les femmes tr s minoritaires dans ce secteur 2 2 Les entreprises Malgr la crise de grands groupes industriels continuent embaucher On peut par exemple citer Alstom g ant du transport et de l ing nierie Safran sp cialiste 13 Revue europ nnee du droit social de l a ronautique et de la d fense Total pour la production p troli re Areva pour l nergie De nombreux pays mettent en chantier des centrales et ach tent notre technologie C est une sp cialit fran aise dop e par les imp ratifs environnementaux de r duction d mission de gaz effet de serre Ces nouveaux imp ratifs engendrent des contraintes r glementaires auxquelles sont soumises les entreprises et tout cela est cr ateur d importantes opportunit s d emplois dans ces domaines Ainsi et malgr une conjoncture conomique maussade les entreprises industrielles continuent d embaucher et notamment par des contrats dur e ind termin e CDI Cela concerne en particulier la maintenance industrielle dans des entreprises importantes qui proposent chacune un nombre important d embauche en CDI telles que par exemple SNCF 9 000 EDF 4600 Sodexo 1 670 dont 1 500 Renault Automobile 1 200 Spie nergie 500 Neurones Informatique bureautique 350 Apave Ing nierie et bureau d tudes 350
301. rite c est le temps de privatiser la vie individuelle et de faire revivre les id aux de la vie collective en renon ant ce traitement rebours des nos valeurs c est id al du principe de la subsidiarit pr n par le Trait de Maastricht le plus exemplaire traite de l histoire du de l Europe 36 GESTION PREVISIONNELLE MERITES DES AGENTS OUVERTURE DES RECRUTEMENTS LES EVOLUTIONS EN COURS DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES LOCALES AU REGARD DU MARCHE DU TRAVAIL Denis LARRIBAU Procureur financier Chambre r gionale des comptes de Nord Pas de Calais Picardie Abstract Local public sector represents 12 of total jobs in the country Local administrations are developing new methods of human resources HR management The chambres r gionales des comptes as supreme audit institutions SAI on local administration set out a severe opinion on the efficiency of HR policies and suggest major improvements Planning of human resources management is mainly unsuccessfully according to a 2012 country progress report Human resources management is not usually connected with the global objectives of the administration and is restricted to the existing situation Recommendations are also to share manpower within public entities which are particularly numerous and to increase training courses to improve skills in accordance with needs Staff recruitment do not take part into global policies and often consist in the satisfaction
302. ritique l oubli de l humanisme juridique et des id aux supr mes de toujours libertas aequitas bona fides et officium pietatis era proximos la faveur d un l galisme formaliste et uniformis rassurant S curitaire fortement ironis et critiqu par les astuces des Franz Kafka Eugen lonesco Aldous Huxley et George Orwell On a renonc apparemment aux id alismes r alistes avec les concepts correspondants de ceux animiste tot mistes de notre travail dans cette ordre l occupation principale la paix sociale la r gn de la loi d Emmanuel Kant la faveur des concepts abstraits anim es simples instruments conceptuels dou s d une me presque ancestrale fonctionnant implacablement comme ceux trois qui forment notre cible philosophico juridique 32 Revista european de drept social Dans les soci t s communistes on a beaucoup parl de ces id aux schizo des qui ont eu la force de masquer la r alit en nous projetant dans un avenir presque certain par la force d un f l ologisme forc r invent 1 places de travail pour tout le monde accompagn es m me par des punitions pour ceux qui ne travaillaient pas m me si les fruits du travail n taient pas demand s par personne le march r pondant d une mani re n gative tout inflation de produits devenus un but en soi exempli gratia illusion de l loignement des risques de n importe quel
303. rm diaires Nous faisions l hypoth se que le d veloppement de ces r seaux favorisait l entrelacement entre la sph re professionnelle et la sph re priv e En effet la grande majorit des jeunes dipl m s interview s tendent int grer leur r seau en ligne les membres de leur promotion leurs enseignants etc Leur r seau professionnel en ligne serait donc en partie une reproduction d un r seau d j affirm en contexte de face face mobilisant donc d autres m dias en dehors de la plateforme mails t l phone etc Cette redondance peut expliquer et renforcer le sentiment d entrelacement des sph res sociales dans le sens o les membres composant chaque r seau plateforme o l individu s engage pr sentent un statut ambivalent entre camarade de promotion potentiellement en concurrence professionnelle et relation de sociabilit Par ailleurs ce contexte peut aussi expliquer la place que le r seautage occupe dans l imaginaire des jeunes dipl m s outre le fait qu ils aient int rioris les discours manant de leurs structures de formation ou de professionnels les stages et autres contrats de professionnalisation que ces derniers trouvent passent r guli rement par leur appartenance un r seau plus ou moins institutionnalis Le caract re publicis des r seaux sociaux professionnels peut laisser penser un r le effectif de la plateforme alors que de tout autres voies ont t mobilis
304. ropa la pobreza de los j venes de 15 a 24 a os est asociada a la situaci n econ mica y de pobreza de las familias de origen y la precariedad laboral m s que con el proceso de transici n a la vida adulta ya que la mayor a de estos j venes viven con sus padres en estos pa ses Moreno A 2012 99 100 En Espa a se han alcanzado tasas de paro hist ricas que desbordan cualquier previsi n anterior a estos a os alcanzando en las mujeres menores de 25 a os el 51 67 y en los hombres el 52 93 Cifras que reclaman una actuaci n urgente por parte de todas las instituciones relacionadas con el sector de la juventud con el fin de evitar el riesgo de exclusi n social y pobreza de solemnidad en este sector de la poblaci n En Espa a la actividad juvenil por edad y sexo aumenta en relaci n a la edad produci ndose un incremento en la actividad seg n aumenta la edad no obstante la tasa de actividad de las mujeres es siempre inferior a la tasa de actividad de los varones El informe realizado por el Consejo de la Juventud indica que existen dos 1 El Parlamento y el Consejo consideran juventud al per odo de la vida que se extiende entre los 15 y los 25 a os de edad para el Programa Juventud Seg n datos facilitados por el Instituto Nacional de Estad stica 144 Revista european de drept social grupos de edad significativos en los cuales se produce un aumento de la actividad laboral en los j venes entre los 20 y los 29 a
305. rs dont il dispose montre l vidence que l inaptitude de l Alg rie relancer son conomie est la cons quence d une mauvaise gouvernance caract ris e par un manque flagrant de strat gie de courage et de pr voyance 5 Rapport de la conjoncture conomique et sociale du pays 2003 164 Revista european de drept social Sans vision long terme et sans strat gie de d veloppements adoss s des principes politiques clairement affin s les institutions les administrations et les entreprises auxquelles choit la mise en uvre du d veloppement conomique et social sont videmment r duites fonctionner au jour le jour La r forme du secteur public qui a connu pas moins de quatre versions en contradiction les une par rapport aux autres avanceront le moins et dans certains cas perte d autonomie de gestion des EPE aucune action d terminante n a ainsi t d gag e en vue de doter le pays des l ments structurants qui fondent l conomie de march march boursier march de change march foncier march immobilier Au regard des r sultats plut t mitig s pour ne pas dire insignifiants r alis s dans ces domaines durant la derni re d cennie on peut affirmer sans se tromper que les r formes conomiques devant doter le pays de m canismes essentiels de l conomie du march sont en panne En d pit de progr s accomplis en mati re de r forme structurelle la r forme dans les secteurs cl s reste limit
306. rtiel sous un statut contractuel pendant plusieurs d cennies notamment dans les services li s aux activit s scolaires au m pris de la l gislation Les raisons avanc es sont pour les cadres et les sp cialistes la difficult recruter des travailleurs exp riment s en les int grant un niveau de carri re et de r mun ration lev et la difficult se s parer d un agent insuffisamment performant la facult pour l employeur de non titulariser de fonctionnaires stagiaires une ou deux ann es apr s leur embauche tant rarement mise en oeuvre Cette politique parfois explicitement assum e traduit l inadaptation des statuts aux yeux de nombreux d cideurs lus ou fonctionnaires Le statut de la fonction publique qui avait initialement pour objet de garantir la qualit et l ind pendance des agents est souvent consid r comme excessivement contraignant en mati re de recrutement La fonction de prise en charge de l int r t g n ral ne permet pas aux administrations locales de se comporter sur le march du travail comme des acteurs quelconques ce qu elles ne sont pas mais l volution des pratiques de recrutement et de gestion marque des similitudes avec celles des acteurs priv s Il n est pas rare d voquer un rapprochement avec les m thodes en vigueur dans le secteur priv malgr les diff rences de finalit s entre les deux secteurs 11 Performance efficience le personnel de la fo
307. s 10 Lieux de d tente d int r t particulier actifs et passifs jeux et sports traditionnels centres de sant et SPA installations de plein air 11 Nourriture et boissons 12 Itin raires et sentiers th matiques culturels chemins gastronomiques et d gustation 13 Culture populaire moderne cin ma t l vision parcs th matiques Principes du tourisme culturel Le caract re complexe du tourisme culturel engendre des difficult s d application et d appr hension de tous les principes de ce type de tourisme C est avant tout une question d quilibre sp cifique d couvrir pour chaque activit et site concern Les principes essentiels du tourisme culturel sont e La prise de conscience de l importance des sites historiques Une grande partie des activit s touristiques rel ve de sites d importance naturelle locale et historique La prise de conscience de leur valeur fait partie des pr occupations li es la sauvegarde du patrimoine de ces lieux d histoire 7 Council of Europe Sustainable Cultural Tourism in Historic Towns and Cities 2010 pp 1 12 27 Revue europ nnee du droit social e Conservation du site historique La sauvegarde des lieux historiques garantit le maintien des actifs culturels longue ch ance Le but de la sauvegarde est de pr server la valeur naturelle et culturelle des sites e D veloppement de partenariats mutuellement avantageux Le d veloppement
308. s elle affecte galement la qualit de la gestion des finances publiques a travers le rel chement du contr le fiscal L action conjugu e de ces facteurs favorise l essor de la corruption la fuite fiscale la recherche de la rente et sape par la m me la productivit L Alg rie est un cas d cole en la mati re La volatilit des prix du p trole affecte les finances gouvernementales Les pouvoirs publics des Etats rentiers pi g s par la disproportion entre les pr visions budg taires et les d penses sociales recourent l endettement pour combler les carts entre les revenus attendus et les revenus effectifs La dynamique du secteur des hydrocarbures provoque indirectement le d clin de l agriculture et de l industrie qui perdent leur comp titivit et tombent sous la d pendance du p trole 159 Revue europ nnee du droit social Ce ph nom ne est connu sous le nom de la maladie hollandaise Dutch diseace d o le faible niveau de d veloppement humain atteint par ces Etats L investissement constitue le principal facteur de croissance d une conomie Bien videmment une croissance conomique de qualit repose sur un investissement productif c est dire un investissement qui produit des richesses des marchandises et des emplois La croissance en Alg rie repose essentiellement sur la d pense publique qui finance un investissement public dans la nomenclature suivante routes coles h pitaux ad
309. s facteurs suppl mentaires y aident Pourtant le cadre de sant contribuerait la mobilit dans son service en allant le pr senter aux personnels d autres services Il expliquerait les soins y ma triser De m me parler favorablement du service voisin semble une pratique recommandable Car bien souvent le cadre conna t les autres services du p le d activit s D ailleurs il existe une mobilit des cadres au sein du p le Concr tement quand l un est absent un des autres s occupe de son travail en souffrance On va dans le service de l absent pour ajuster ses plannings et y faire remplacer les infirmi res annon ant ne pouvoir occuper leur poste maladie deuil etc La substitution est encore plus simple dans les p les o les cadres tablissent les horaires ensemble sous la supervision du cadre sup rieur Ce dernier centralise les cong s annuels apr s en avoir fait le calcul en prenant en consid ration le p le tout entier et non pas service par service Les cadres de sant ne se contentent pas de r fl chir la mobilit des infirmi res au moment m me o il faut la pratiquer En amont ils agissent de fa on plus ou moins concert e C est ainsi qu ils tabliraient le profil technique et psychologique des agents susceptibles d tre sollicit s Une pareille anticipation de la p nurie des soignants ressort des explications donn es par un cadre propos des remplacements du p le m decine au p
310. s actives et stimule une plus grande responsabilisation du travailleur va agir comme catalyseur des d bats belges sur la fin de carri re en 2005 D s 1999 l orientation du d bat sur la fin de carri re va se centrer sur l offre de travail qu il s agirait d augmenter pour faire face aux d fis du vieillissement avec un double objectif celui d une part d accro tre l emploi des travailleurs g s d autre part de diff rer la sortie du march du travail On remarque aussi qu cette poque la notion d tat social actif est un concept mobilisateur de la politique de l emploi en Belgique La th matique de l activation et ses l ments constitutifs investissement dans les personnes passage des d penses passives des d penses actives centration sur les taux d activit et d emploi conciliation emploi et protection sociale sont bien pr sents dans le programme du gouvernement Diverses mesures pour augmenter le taux d activit sont alors envisag es par le gouvernement qui pr cise aussi qu une r glementation plus souple de fin de carri re pour les m tiers lourds et contraignants doit tre envisag e La loi du 5 septembre 2001 visant am liorer le taux d emploi des travailleurs aborde aussi l emploi des seniors et concr tise la lente maturation qui est l uvre lagenda politique belge droit l outplacement pour les travailleurs licenci s de 45
311. s agents Elle d pend des choix en mati re d actions et d organisation La mise en place d une gestion pr visionnelle des ressources humaines permet de d passer le r le d administration des agents et de recrutements la demande des services traditionnellement assign aux services des ressources humaines en int grant pleinement la fonction dans la politique de la collectivit La d marche prospective requiert l analyse de la structure existante et future de la population d agents en fonction des objectifs strat giques de la collectivit La r alisation de ces objectifs est ensuite d clin e dans le domaine de la gestion des ressources humaines en effectifs en m tiers et en comp tences afin de d terminer les besoins futurs en identifiant notamment les facteurs cl s d volution des m tiers notamment pour les plus sensibles La mise en regard de ces deux s ries d l ments permet un diagnostic d cart qui peut d boucher sur des plans d action globaux ou sectoriels par services ou par m tiers 1 1 La d termination d objectifs strat giques constitue un pr alable une gestion pr visionnelle Pour le d partement de la Moselle comme pour la ville de Lyon la fixation d orientations claires et d un calendrier r aliste la bonne connaissance initiale de l existant la d termination d objectifs mesurables la diffusion de la d marche dans les directions et l association de tous les acteurs
312. s biens d quipement Sur le Mali les projections obtenues opposent deux groupes de modalit s selon les donn es sur l habitat principalement Il apparait une relative opposition entre les modalit s traduisant une condition de vie appr ciable et celles renvoyant la situation oppos e Cette logique d interpr tation est utilis e pour les autres facteurs retenus pour l analyse 1 2 2 Classement des individus A la suite de ACM il est possible d affecter les individus selon les deux classes homog nes souhait es Pour le Cameroun Les classes form es sont presqu galement r parties La Classe 1 repr sente 46 59 de la population totale Apr s la d composition de cette inertie sur les 10 premiers axes l inertie la plus lev e est celle de la classe 1 Par cons quent on pourrait dire que la Classe 2 est le groupe relativement le plus homog ne La premi re classe est relativement la moins homog ne form e en majorit des personnes disposant d lectricit 21 de t l vision de r frig rateur etc La plupart des individus de ce groupe utilise des mat riaux de construction diff rents du bois 9 des 10 personnes qui vivent avec toilette moderne sont dans ce groupe C est donc la classe des mieux lotis en mani re d quipement et d habitat Les individus de ce groupe auront pour la variable PNM la modalit Non pauvre soit donc le groupe des non pauvres en conditions de vie En int grant cette vari
313. s en mati re de strat gie sectorielles de programmation des d penses d ex cution et des gestion des programmes de contr le et d valuation afin de s assurer que les investissements vont g n rer plus de croissance et de d veloppement et d viter les risques accrus de gaspillage La mauvaise performance des d penses d investissement est troitement li e aux carences en mati re de gestion des d penses Les d ficiences observ es dans le processus budg taire et les goulets d tranglement ont syst matiquement entra n une mauvaise ex cution des programmes d investissement Toutes ces insuffisances aboutissent une mauvaise programmation la sur valuation des d penses et de retards dans les projets De nombreuses d cisions de projet ne sont pas fond es sur les analyses socio conomiques En effet seules les projets financ s par des institutions internationales font en g n ral l objet d analyses conomiques Des tudes sont rarement effectu es sur les options de projet La r gle imposant des r sultats du processus d appel d offres est fr quemment ignor e L on a couramment recours des bureaux d tudes pour effectuer des tudes techniques mais les carences constat es dans ces tudes ont entra n dans bien de cas un accroissement substantiel des co ts pendant la mise en uvre et des demandes pr visibles de march s compl mentaires Il n existe aucune valuation posteriori
314. s ferreux et non ferreux 508 millions de dollars ont t r alis s par 6 entreprises publiques du secteur de l nergie et des mines portant sur neuf produits Parmi les contraintes l exportation on peut noter L absence d une organisation de pr sence commerciale sur les march s trangers qui repr sentent les int r ts des op rateurs conomiques nationaux L absence des entreprises et des personnes qualifi es dans les m tiers de l exportation et la faible pr gnance de la culture d exportation Une offre nationale qui demeure tr s r duite en termes de qualit et de co ts Enfin une absence de coordination intersectorielle concernant les questions li es l exportation Il est noter que plus de 60 des importations de Alg rie proviennent de l union europ enne De m me 60 de ces importations conna tront un d mant lement rapproch 7 ans L adh sion 1 OMC ne se traduit pas l inverse de l accord avec PUE par Pinstauration d une zone de libre change Il s agit de consolidations tarifaires assorties le plus souvent de p riodes de convergence Il s agit de s engager sur des niveaux plafonds de droits de douane ne jamais d passer sauf cas de mise en uvre de mesures de sauvegarde d ment justifi es par des enqu tes conomiques Il est galement important de noter que l accord d association est b ti sur les m mes r gles qui r gissent l OM
315. s les r gions du nord parmi les projets lanc s figure une centrale photovolta que de 10 Kwc connect e au r seau Sonelgaz une station de services de Naftal aliment e en nergie solaire d une puissance de 7 Kwc et des installations pilotes au profit de la gendarmerie nationale comprenant l alimentation en nergie photovolta ques de postes de surveillances routi res Une r flexion profonde est entam e aujourd hui afin d identifier les contraintes qui p sent sur le d veloppement des nergies renouvelables ainsi que sur les meilleures m thodes qui favorisent la synergie entre les diff rents acteurs dans ce domaine L association des diff rents acteurs est fortement souhait e Outre le secteur de la recherche et d veloppement qui est appel apporter sa contribution pour une ma trise des technologies li es ces nergies qui ont pour corollaire une ma trise des co ts y aff rents et la mise disposition des solutions innovantes qui contribueraient leur promotion les secteurs de l agriculture l industrie l habitat les services A l heure o l Europe et leur t te les pays scandinaves comme la Norv ge qui est producteur de p trole incontournable affiche une volont politique de 20 d utilisation d nergies renouvelables d ici 2020 Alg rie qui a ratifi le protocole de Kyoto vise un objectif d int gration de 5 des nergies renouvelables dans le bilan nerg tique national d
316. s nul doute la mobilit c est toujours se remettre en question aller dans un nouveau service qu on ne conna t pas D apr s les soignants en allant pour une journ e on d barque on ne conna t pas les patients et puis on doit agir comme n importe quelle infirmi re Il n emp che que certains soignants condamnent l immobilisme Une autre infirmi re confie qu elle ne pourrait pas travailler en g riatrie par exemple car c est toujours les m mes et c est une routine la fin Conclusion La flexibilit est en place dans les tablissements de sant sous l appellation de mobilit Les infirmi res ne s en plaignent que tr s peu tant par professionnalisme que par esprit de sacrifice Par cons quent la perp tuation du dispositif ne fait pas de doute au regard de ses avantages pour l h pital D ailleurs les infirmi res y trouvent parfois aussi leur compte N anmoins quelques obstacles persistent propos de la r alit de la polyvalence et de la disponibilit sans limite des infirmi res D o la question de savoir si les conomies poursuivies valent finalement pris par institution l gard de son personnel et de ses usagers les patients 96 PARTICIPATION DES FEMMES SUR LE MARCH DU TRAVAIL UNE ETUDE COMPARATIVE SUR LE CAMEROUN ET LE MALI Franck Armel MBA EYENE El ve Ing nieur Statisticien Economiste Abstract Carrer endings have a major impact on the future of social polic
317. s probl me Selon un cadre de sant aux urgences le patient ne fait que passer ou reste tr s peu de temps ou alors il ressort avec peut tre des soins Elle dit c est beaucoup d accueil on s occupe tr s vite du patient puis apr s il part dans un service ou son domicile On n a pas de continuit on ne sait pas trop ce qu il devient Et a lui manquait beaucoup Un autre cadre de sant d un h pital voisin rapporte que certains de ses soignants se plaignent de deux choses contraires a sonne de trop et c est trop calme trop calme par rapport leur service o il y a peut tre beaucoup plus de bruit Selon les soignants le facteur temps joue un r le dans l efficacit de la mobilit Cette question de la dur e peut tre regard e l gard du patient l gard de l agent et l gard de l institution En ce sens quel d lai faut il une infirmi re pour tre compl tement op rationnel et donc profitable aux patients du service ou elle arrive S il fallait se pr occuper de l int r t de l infirmi re itin rante on se demanderait si elle serait satisfaite si le remplacement durait plusieurs mois plut t que des semaines Un soignant t moigne que remplacer pour une journ e a c est pas bien vous arrivez vous d barquez vous ne connaissez pas les patients le lendemain vous n tes plus l Faut un minimum de deux trois jours pour conna tre un peu les patients Selon
318. s que le transport et les soins hospitaliers Selon le minist re de l industrie la progression annuelle des besoins a t estim e 13 de 2000 2010 ce que semblent confirmer les observations de l AFIM Association Fran aise des Ing nieurs et responsables en Maintenance Il en va de m me chez nos voisins belges qui ne poss dent pas de formations quivalentes aux n tres Malgr une situation conomique difficile et l image d une d sindustrialisation en France plusieurs secteurs disposent encore d un potentiel de croissance important La diversification possible des march s le d veloppement de l innovation le dynamisme de la demande des pays mergents ou encore le d fi environnemental relever constituent des opportunit s pour les entreprises de la m tallurgie D apr s une tude men e par l Observatoire Prospectif des M tiers et des qualifications de la M tallurgie d ici 2020 les entreprises envisagent entre 115 000 et 128 000 recrutements par an dont 30 40 de jeunes dipl m s de tous les niveaux op rateurs qualifi s techniciens ing nieurs notamment dans la maintenance Parmi les offres d emplois propos es on note des sp cialistes de l organisation de la production de la s ret de fonctionnement de la gestion de la qualit de la maintenance On estime qu en France environ 400 000 professionnels en maintenance industrielle interviennent directement sur l outil de production soit
319. s v rifiables pose des questions d thique et ventuellement juridiques Conclusion Comme nous avons t ch de le montrer au fils de cet article nous pensons que l analyse des mutations du march du travail doit articuler deux dimensions D abord il est n cessaire de d passer les prescriptions d usages concernant les RSP formul es par les professionnels et autres consultants Il convient bien s r de les prendre en compte mais comme un discours ancr dans un contexte d nonciation et motiv s par certains objectifs parfois financiers et ainsi les consid rer comme un 17 LECECIL 2012 133 Revue europ nnee du droit social type de discours parmi d autres Il convient donc d acc der ces autres dans leur h t rog n it usagers profanes usagers assidus professionnels du recrutement et candidats en situation de primo entrant etc Seulement alors la recherche sera en mesure d analyser les non dits les repr sentations contradictoires que chaque profil d acteur a sur l autre quand bien m me ils sont engag s dans le m me type d interaction le processus de recrutement Ainsi il appara t que les mutations du march du travail prennent des formes tr s diff rentes selon les profils En effet si la crise de l emploi touche bien toutes les strates de la soci t certaines d entre elles continuent d tre prot g es relativement De ce point de vue les r seaux sociaux professionnels en l
320. sence ou non des femmes dans l activit conomique par rapport aux hommes analyser les facteurs d terminants des diff rents choix d occupation Salari employ Travailleur ind pendant et Aide familial 1 Caract risation des populations en ge de travailler Il convient de former deux classes d individus relativement homog nes avec les donn es sur l habitat et les biens d quipement Ainsi l approche de la pauvret par les conditions de vie est introduite dans cette tude selon les r alit s de chacun 97 Revue europ nnee du droit social des deux pays Une analyse descriptive des caract ristiques des actifs occup s est aussi pr sent e Elle insiste sur les ressemblances observ es entre les individus qui sont class s dans un m me type d occupation 1 1 Situation du travail au Cameroun 2001 et au Mali 2006 On s int resse la structure des populations camerounaise et malienne en ge de travailler La population d int r t est l ensemble des individus d ge compris entre 15 et 65 ans soit la main d uvre potentielle Ce choix mane de la volont de mesurer la participation de la main d uvre potentielle mais il est surtout conforme aux normes internationales fix es par le BIT 1 1 1 Niveaux de participation et zones d habitation Le tableau 1 de la page suivante pr sente la r partition des populations de jeunes camerounais et maliens selon le genre La population malien
321. sent la mobilit interne L id e de base est qu il est impossible de faire annuler par le tribunal administratif la r organisation qu un 84 Revista european de drept social responsable de service apporterait ce service En d autres termes la mobilit interne est toujours possible Sans compter par ailleurs que les droits individuels des fonctionnaires doivent c der le pas devant l int r t du service public Ainsi le soignant est oblig de travailler au poste que lui d signe son h pital Du reste ce poste peut ne pas tre le m me tous les jours Exceptionnellement les fonctions m mes remplir changent au point d aboutir une d qualification ou une surqualification Un cadre de sant tient ce discours quand j ai des nouvelles arriv es d embl e je leur dis vous tes affect e un service mais vous appartenez un p le C est dit d embl e aux entretiens d embauche et aux arriv es dans le service C est dit au niveau de l embauche en DRH Son coll gue du m me h pital attire l attention sur le fait que les soignants sont normalement affect s un service et plus pr cis ment une unit Mais en pratique ls ne savent m me pas dans quelle unit ils sont affect s part sur leur fiche de paie Du point de vue du management les agents ne sont pas pris en tra tres Car dans leur esprit s est imprim e l id e que on est embauch dans un service mais
322. ses d ges 15 24 ans et 25 34 ans repr sentent respectivement 48 28 et 26 32 de la population active ayant des profils d aide familial Si Pon s int resse la composition du groupe d ges 15 34 ans il convient de remarquer que cette main d uvre est puis e d abord aupr s des enfants 42 4 et des autres membres du m nage23 qui sont parent s aux chefs de m nages 35 7 Ainsi ce sont les jeunes ruraux qui pratiquent le plus les activit s d aide familial mais cette occupation n est pas sp cifique aux hommes ou aux femmes 1 3 2 Les profils des travailleurs ind pendants Dans ces deux pays un groupe d actifs tr s important est celui des travailleurs ind pendants Parmi les actifs occup s les travailleurs ind pendants repr sentent 57 6 au Cameroun et 42 46 au Mali Les travailleurs ind pendants au Cameroun Les hommes et les femmes participent norm ment l activit conomique en cr ant leurs propres activit s En effet la proportion de femmes qui sont propri taires de leurs activit s est de 52 Dans la plupart des cas ces actifs r sident dans des zones rurales 81 12 En g n ral les travailleurs ind pendants ont des niveaux d instruction encore faibles comparativement aux employ s comme on le verra mais leurs niveaux d instruction sont plus lev s que ceux des aides familiaux En effet la moiti de ces actifs ont au moins achev le cycle primaire Les caract r
323. ssement de plans d action tablis par m tiers doit int grer une d marche de formation Le r pertoire des m tiers territoriaux labor par le centre national de la fonction publique recensait en juin 2011 230 m tiers r partis en 35 familles et en 5 grands domaines d activit trouver la meilleure ad quation possible des agents aux m tiers est ainsi un enjeu majeur La premi re tape souvent mise en uvre consiste enrichir les fiches de postes qui doivent d passer l num ration des activit s r aliser Il existe encore des r ticences l laboration de fiches de postes compl tes de la part d agents inquiets d une remise en cause m me indirecte de leur niveau professionnel mais aussi de cadres et d lus entendant conserver une souplesse dans les t ches confi es La ville de Lyon diff rencie les emplois repr sentatifs au sein de la collectivit ou isol s les emplois transverses plusieurs secteurs ou sp cifiques et les emplois sensibles en raison d une volution qualitative n cessitant des comp tences et un profil diff rents de sous effectifs malgr leur caract re strat gique de l absence de perspectives pour les titulaires ou d un risque lev d inaptitude terme 3 Les cahiers hospitaliers avril 2012 Eve Parlier C line Dugast 40 Revista european de drept social La commune de Roubaix met en uvre une d marche m tiers d s
324. ssionnelle http www leem org sites default files Pu8 pdf mai 2005 Emmanuelle Garassino Directrice de l observatoire des m tiers au LEEM Les Entreprises du M dicament cit e dans le nouvel observateur D c 2011 Les m tiers cadre du secteur de la construction Les m tiers de la logistique et du transport Les m tiers de l environnement Les m tiers de l immobilier Les m tiers du secteur de l nergie les r f rentiels des m tiers cadres publication APEC Armel Le Compagnon chef d entreprise et responsable de la commission Formation a la F d ration fran aise du B timent http www maintenancedesmateriels com La chasse aux cerveaux le nouvel observateur Janv 2009 21 Revue europ nnee du droit social Les m tiers en 2020 minist re du travail direction de l animation de la recherche des tudes et des statistiques DARES N 022 mars 2012 63 000 emplois saisir dans 80 entreprises l usine nouvelle sept 2011 Questions Jean Luc Besnard Pr sident de l UIMM P rigord http medef perigord fr uimm questions jean luc besnard president Emmanuelle Garassino Directrice de l observatoire des m tiers au LEEM Les Entreprises du M dicament cit e dans le nouvel observateur f v 2009 Christophe Catoir Adecco Experts cit dans le nouvel observateur f v 2009 Les secteurs qui embauchent le plus en 2012 La tribune mai 2012 http www onisep fr R
325. stem that was born with the arrival of the first humans evolved with society and will cease to exist at the final moment of human society Keywords legal systems general systems theory natural law pozitivism Law emerged as a result of the essential requirements of human society as its existence represents a sine qua non condition for the development of human society In other words legal rules are closely related in their development to socio legal phenomena which generated various theories As it will be shown below Law has an important role in its relations with civilization and culture so that it is necessary to present the development of several legal philosophical ideas The incidence and exertion of law has intrigued numerous scholars from Francois Geny to Friedrich Carl von Savigny Among the schools which influenced the notion of law over time on has to consider the following a school of natural law b historical school of law c organic theory of the law d German idealism and e legal positivism with all its ramifications In the direction of natural law the concepts entered rather early into general juridical thought Old period includes pre Socratic concepts Socrates Plato Aristotle triad and Stoic school Greeks and Romans Medieval conceptions focus on early Christian from St Augustine of Hippo St Thomas Aquinas St Basil the Great as well as some Islamic concepts of employment during the Iberian Peninsula
326. t un cadre de sant rappelle pendant nos tudes on a appris aller dans diff rents stages changer m me si on a notre pr f rence Si on est habitu d s le d but de carri re bouger on sera polyvalent Une infirmi re du m me h pital dit de la mobilit que c est pouvoir aller travailler dans n importe quel service en sachant qu on a un dipl me tous le m me dipl me la base Il ne faut pourtant pas s exag rer la capacit de la nouvelle infirmi re occuper tous les postes de la fonction Car avoue l une en sortant de l cole on est d butant On ne sait pas encore faire les choses Moi j ai appris plein de choses que je n avais jamais faites que je n avais jamais eu l occasion de faire en stage Donc c est une d couverte juste apr s le dipl me on d couvre Le m me aveu est fait par une autre infirmi re laquelle prend comme point de d part le pool Celui ci tant une brigade d infirmi res en majorit novices conduites remplacer les absents Si on le croit quand on est dans le 88 Revista european de drept social pool on n a pas de formation particuli re Donc en sortant de l cole on essaie de s adapter et si a va pas on est vite cong di Le cong diement est d autant plus facile que les nouveaux soignants sont recrut s sur la base de contrats de tres courte dur e successivement renouvel s En pratique la polyvalence est parfois longu
327. t comme ceux mis en place l initiative des centres de gestion de la Les cahiers hospitaliers avril 2012 Christophe Baret Ewan Oiry 42 Revista european de drept social r gion Poitou Charentes Les centres de gestion organisent aussi des bourses locales de l emploi et des campagnes de recrutement Beaucoup de collectivit s donnent d sormais un degr lev de priorit la mobilit interne La proportion d emplois vacants ainsi pourvus a atteint 40 en 2009 dans les services du d partement de la Sarthe qui a mis en place un mouvement annuel de permutation de postes La difficult du recours la mobilit interne tient au fait que de nombreuses collectivit s ne recensent pas p riodiquement et syst matiquement les souhaits de mobilit Elles n effectuent des recherches de candidature interne qu au coup par coup au moment de la vacance d un poste Par ailleurs la collectivit n examine pas syst matiquement en amont examiner s il n existe pas des possibilit s de r organisation du travail du temps de travail des services ou des possibilit s de limitation du temps partiel ou de recours aux heures suppl mentaires Une organisation diff rente du travail et des services vite dans certains cas le recours aux recrutements La mobilit entre fonctions publiques d Etat territoriale et hospitali re est lente merger en d pit de l adoption de dispositions r glementaires facilitantes
328. t rog nes interviennent dans la qualification des usages En prescrivant des usages ces discours contribuent une red finition d une pratique sociale ancienne Cependant ces prescriptions sont elles toutes interpr t es de la m me mani re par l ensemble du public concern par cette pratique ou bien l analyse des usages permet elle d identifier des d calages Les pratiques de r seautage en ligne confirment elles ces recettes connues ou renvoient elle d autres ph nom nes qui n excluent pas n cessairement ces prescriptions Nos recherches indiquent que la cat gorie de r seautage en ligne doit tre approch e avec pr cautions Elle est une cat gorie qui est loin d tre stabilis e son sens et ce qu elle est suppos e d signer sont selon nous ind termin s 11 M sangeau 2012 126 Revista european de drept social Nous avons constat que la relative nouveaut de ces outils contraste avec des discours et les usages des utilisateurs D une part sur une trentaine d utilisateurs rencontr s les RSP ont t int gr s le plus souvent dans les 24 mois qui pr c daient l entretien Ils sont ainsi ajout s aux outils assurant la m diation des interactions quotidiennes entre les utilisateurs et leurs relations professionnelles D autre part de nombreux usages de r seautage se retrouvent sous d autres termes dans les pratiques professionnelles conventionnelles connues de tous
329. t seulement 1 des travailleurs ind pendants appartiennent des m nages o ils sont les seuls enregistr s dans ce groupe d actifs Au Mali en moyenne il y a 5 travailleurs ind pendants dans un m nage et les premiers individus susceptibles d tre dans ce groupe sont respectivement le chef de m nage et sa partenaire De plus si on observe 10 individus dans ces m nages 5 d entre eux sont propri taires de leurs activit s 1 3 3 Caract ristiques des salari s Les populations camerounaise et malienne s ins rent moins dans les secteurs formels Au Cameroun la population des salari s ne repr sente que 21 de la population active En revanche l absorption de la main d uvre par les emplois reglement s et s curis s est plus faible au Mali En fait 14 des actifs sont des salari s au Mali Les salari s au Cameroun Les employ s sont g n ralement des hommes Il ressort que les femmes ne repr sentent que 1 4 des salari s C est donc un profil d actifs largement domin 106 Revista european de drept social par la pr sence des hommes De plus les personnes en couple sont les plus nombreux dans ce groupe Bien que les c libataires soient 37 6 les salari s en couple sont largement repr sent s 57 9 o les femmes en couple sont minoritaires 18 Le niveau d instruction et la condition de vie permettent de mieux cat goriser les salari s 74 des salari s ont des conditions de vie ac
330. t aussi li es l espace o elles voluent Au Cameroun les femmes des zones urbaines qui participent aussi norm ment au march du travail ont un avantage par rapport celles des zones rurales une plus grande vari t d opportunit s de qualit Ainsi il convient de s interroger sur la qualit m me des activit s qu elles exercent dans les zones rurales tant donn les niveaux lev s des taux d activit dans ces r gions Au Mali bien que la taille du m nage ne permette pas d expliquer la situation d activit des femmes elle a une influence sur les choix d occupation A nsi les femmes issues des familles nombreuses sont tr s souvent des travailleuses ind pendantes Ce sont pour la plupart des femmes des zones rurales qui s ins rent 113 Revue europ nnee du droit social comme des aides familiales Dans les zones urbaines il est plus probable qu une femme active soit employ e ou aide familiale Donc si pour une femme des zones rurales participer au march du travail est ce qui est pr f rable la qualit de l emploi qu elle est susceptible d effectuer pose probl me De plus les femmes maliennes issues des m nages les plus pauvres en condition de vie ont moins de chances d ouvrir leurs propres activit s Les choix des occupations Employ et Aide familial ne sont donc pas li s la condition de vie de ces femmes mais la condition de vie est d terminante sur les comportements
331. t et politiques de l emploi Belgique Paris OCDE p 73 GAULLIER X 2002 Retraites pr retraites et temps de la vie Droit social n 2 f vrier p 148 7 JOLIVET A 2003 Partir en retraite plus t t ou plus tard quelles implications d une ouverture des marges du choix individuel Revue de MIRES n 43 3 p 1 21 55 Revue europ nnee du droit social permis en outre de d samorcer les discussions sur l ge de la retraite de r guler les licenciements collectifs et les restructurations de faciliter l int gration des mutations technologiques et organisationnelles celles en particulier li es l informatique en d sengageant des g n rations enti res de travailleurs jug s incapables de s y adapter Si elle a particip l id e d un partage de l emploi les travailleurs g s faisant la place aux jeunes son succ s vient manifestement de ce qu elle est parvenue coaliser plusieurs besoins sociaux 1 2 Changement discursif et normatif A la fin des ann es 1990 on va assister un changement r el de discours en Belgique Celui ci s inscrit dans la vision europ enne du plein emploi qui encourage les tats membres re mettre au travail une s rie de publics prouvant des difficult s retrouver un emploi parmi lesquels les travailleurs g s 55 64 ans Le discours europ en qui insiste sur le passage de mesures dites passives des mesures dite
332. t le bordel parce qu avant on avait un interlocuteur moi quand j ai commenc l atelier j avais mon responsable et puis c est tout le gestionnaire jamais il d barquait dans l atelier le responsable de machin jamais il venait dans l atelier ils faisaient tout passer par un responsable de service apr s ils ont mis les matrices donc tout le monde d barque l un dit faut faire a l autre dit mais non faut faire a Jean 30 ans technicien Sagem BTS lectronique L imposition de nouvelles normes manag riales implique galement une croissante int gration des pratiques d criture et d autocontr le dans les activit s de travail Le recours l crit s inscrit dans une logique globale de rationalisation et de contr le sur l ensemble des t ches effectu es au sein de l usine Les salari s doivent d sormais s acquitter de t ches nouvelles et fournir les bilans crits de leurs pratiques quotidiennes ou hebdomadaires Chez Schneider Electric par exemple les ouvriers doivent quotidiennement remplir des graphiques faisant tat de leur activit journali re voire de celle de leurs coll gues Cet usage de plus en plus fr quent de l crit dans l activit professionnelle ouvri re renforce vivement le clivage entre les plus dipl m s et les moins dipl m s Ainsi le travail quotidien se voit progressivement reconfigur la d faveur des anciens dont la longue socialisation
333. t les comp tences s appuient la fois sur une bonne connaissance des syst mes automatis s des quipements lectriques et m caniques ainsi que sur la ma trise des m thodes sp cifiques de la maintenance L acquisition continue de ces connaissances fondamentales et aliment e par les comp tences de terrain se confirme par les missions progressives confi es au jeune en entreprise tout au long de son parcours professionnel Par exemple le march de la maintenance a ronautique mondiale s appr te conna tre une forte croissance La flotte civile notamment va passer de 18 500 avions actuellement 27 000 en 2016 Avec une progression mondiale estim e de 5 7 en 2012 ce march continue son envol e illustration du vieillissement et du renouvellement des flottes civiles et militaires Tout cela implique une volution tr s sensible de la maintenance C est un m tier d avenir tr s technique et qui n cessite des comp tences pointues et des approches innovantes compte tenu tant des nouveaux mat riaux utilis s que de la nouvelle donne macro conomique mondiale Une volution de la maintenance a ronautique est en train de s imposer et elle passe par l arriv e de technologies innovantes qui permettent d optimiser les proc dures r duire les cycles de maintenance tout en assurant une s curit une qualit et une tra abilit irr prochables La maintenance a ronautique est une activit indispensable et consubstan
334. t les mobilisations collectives le deuxi me temps de la r flexion sera consacr la mise jour des l ments ayant t propices la naissance de mobilisations ouvri res locales Comment des mobilisations rendues improbables tant par le contexte local que par les transformations du monde du travail ont elles pu voir le jour dans la cit poitevine L analyse portera sp cifiquement sur deux usines tudi es Michelin et Sagem Lors de la fermeture de l usine Michelin en 2006 la majorit des ouvriers manifestent aux c t s des techniciens Quant aux salari s de la SAGEM ils se sont mobilis s en masse fin 2011 pour protester contre le rapprochement des groupes Safran _ auquel appartient l heure actuelle la Sagem _ et Thal s risquant de d boucher sur des pertes d emploi Tableau 1 SCHNEIDER SAFT FEDERAL SAGEN ELECTRIC MOGUL CGT CFDT FO CFTC Trois facteurs nous semblent d terminants dans l mergence de solidarit s et de mobilisations ouvri res la pr sence syndicale dans l entreprise la crainte de la perte d emploi et l existence d un collectif latent 1 Une tradition syndicale et mobilisatrice fragile mais pr sente Partout en France les taux de syndicalisation ont baiss au cours de ces derni res d cennies dans les entreprises publiques comme dans les entreprises priv es Andolfatto Labb 2007 Amoss Pignoni 2006 Dans ce contexte
335. t of aprioristic nature as they are closely related to the existence of human society Almost all the features of public law are based on the principle of irreversibility Moreover public law is a creation of the individuals which make and enforce rules needed for social development It is questionable whether the initial public law emerged as a conservation measure which was subsequently converted into a development tool or from its inception it has been used as a tool in the latter sense In conclusion each of the two current have bases that can be considered real but they should be related to the areas of law in which find application and exertion Any application of these theses to current law divisions that are unfit will lead to erroneous results In addition to the statements above it is necessary to clarify one thing Systemic nature of law is accepted if not stated in most works This finding supports the hypothesis that legal culture and legal systems can be considered as independent systems In the approaches on the law as natural law as stated above there were several researchers that have referred to culture and its relationship to law It would be interesting to analyze what kind of system law could be From the natural law perspective law can only be a relatively closed and static system As such religion and morality have strong influences on the right The existence of immutable and perennial principles do not allow variations i
336. t of the Framework Decision before the European Court of Justice for wrong legal bases The Commission was supported by the European Parliament the Council by eleven European Union states The Court annulled the Framework Decision and held that its Articles 1 7 could have been properly adopted on the bases of Article 175 TEC so that its adoption under the third pillar provisions infringed upon Article 47 of Treaty on the European Union The essential statement was paragraph 48 of the judgment where the Court said However the last mentioned finding according to which generally criminal law is a matter of the European Union Treaty does not prevent the Community legislature when the application of effective proportionate and dissuasive criminal penalties by the competent national authorities is an essential measure for combating serious environmental offences from taking measures which relate to the criminal law of the European Union states which it considers necessary in order to ensure that the rules which it lays down on environmental protection are fully effective 3 This statement involved significant changes for legislation Once the Commission presented the proposal for a new directive on environmental criminal law to replace the annulled Framework Decision this directive was adopted by the European Parliament and the Council of the European Union having regard to the Treaty establishing the European Community and in particu
337. t que telle L acc l ration depuis les deux derni res ann es des r formes conomiques qui ont des retomb es directes sur le commerce ext rieur rend aujourd hui plus imp rative une dynamique de d veloppement des exportations hors hydrocarbures Ainsi la r vision de la politique d exportation devient in vitable la vue des objectifs assign s Le seuil des deux milliards de dollars pr vu d s l ann e 2000 n a jamais t atteint D o la n cessit de revoir les dispositifs existants dans le sens d arriver de meilleurs r sultats L volution statistique de nos exportations hors hydrocarbures ces trois derni res ann es hauteur de 2 Milliards de dollars ne doit pas faire illusion La trop grande d pendance de l conomie l gard des produits nerg tiques fragilise les possibilit s de d veloppement conomique et social pour les ann es venir Cnis 2012 166 Revista european de drept social Ainsi am lioration des performances des entreprises qui il faut le dire restent fragilis es par les dettes la mise niveau de l environnement l harmonisation des textes l investissement dans les ressources humaines pour ne citer que celles l sont autant d actions mener si l on veut bien sur r ussir le pari de s int grer la sph re internationale Les produits export s sont constitu s pour l essentiel de d riv s des hydrocarbures et de d chet
338. t voulu p renne L accompagnement des dipl m s vers l emploi stable reste une probl matique actuelle m me si le ch mage ne les touche pas en priorit Enfin la diffusion massive des r seaux sociaux num riques posent des questions thiques qui appellent une r flexion sur le cadre juridique qui les organisent La tra abilit est un nouvel enjeu qui prendra de l ampleur au fur et mesure que les effectifs de ces plateformes augmenteront Or jusqu quel point peut on exiger des usagers qu ils maitrisent l ensemble du dispositif technique ou suffisamment pour s assurer qu aucune trace ne filtre publiquement Au contraire jusqu quel point peut on exiger des recruteurs qu ils n valuent pas les comp tences professionnelles potentiellement lev es par le prisme des habilet s techniques potentiellement faible En effet la d mocratisation des r seaux sociaux num rique justifie t elle qu on en consid re la maitrise comme une norme sociale au m me titre que les autres normes de pr sentation de soi 134 Revista european de drept social Bibliographie Bahu Marl ne et Fendrich Yannick 2011 Les contrats d aide l emploi en 2009 hausse importante des entr es pour lutter contre la crise Paris Direction de l Animation de la Recherche des Etudes et des Statistiques Adresse http travail emploi gouv fr IMG pdf 2011 018 pdf Consult 8 septembre 2012 Bessy Christian et Marchal Emm
339. tations de l Alg rie Les principaux produits export s sont constitu s essentiellement de d riv s des hydrocarbures et de produits agroalimentaires Il s agit notamment des huiles et produits provenant de la distillation des goudrons qui ont enregistr une hausse de 66 82 pour atteindre 931 58 millions USD en 2011 contre 558 44 millions USD en 2010 D autres produits export s ont galement enregistr d importantes hausses tels que les ammoniacs 91 38 totalisant 375 millions USD en 2011 contre 195 95 millions en 2010 et les alcools acycliques 51 23 soit 41 77 millions USD Du coup il est ais de pr voir les cons quences lorsque le d mant lement tarifaire atteindra la phase de maturation Les entreprises tunisiennes et marocaines pourtant plus aguerries la comp tition commerciale et au libre change travaillent d j depuis quelques ann es d velopper leurs facteurs de comp titivit en appliquant des plans de mise niveau soutenus massivement par l Etat A l vidence l Alg rie ne dispose pas aujourd hui d une strat gie de construction de la nouvelle conomie comp titive et diversifi e Un programme de rattrapage dans P quipement du pays est n cessaire soit il ne saurait remplacer les v ritables politiques structurelles La complexit de la mise en uvre de cet accord international majeur n interroge pas que les performances des entreprises Il concerne galement l administration en tan
340. thodes alternatives d adh sion des agents des projets et de r organisation en cons quence des collectivit s 3 2 Les comp tences ne constituent pas v ritablement un crit re de gestion La gestion des comp tences est l un des objectifs de la loi relative la mobilit et aux parcours professionnels du 3 ao t 2009 qui a instaur notamment un droit au d part et une nouvelle voie de mobilit l int gration directe et qui a renforc l accompagnement professionnel Si l organigramme de nombreuses directions des ressources humaines inclut d sormais une gestion des comp tences et des carri res celle ci se r sume encore souvent une administration traditionnelle du d roulement des carri res La communaut d agglom ration Mulhouse Alsace Agglom ration a men des tudes de classification des postes de ma trise de cat gorie B et de cat gorie A Elles ont pour objectif de mettre en place des volutions de carri re et des r gimes La moyenne nationale s l ve 20 6 jours d absence en 2009 pour cause de maladies ou d accident du travail ou de maladie professionnelle et 3 6 jours pour cause de maternit paternit d adoption ou pour d autres raisons selon le minist re de l int rieur direction g n rale des collectivit s locales Les chambres r gionales des comptes ont relev des niveaux plus de deux fois sup rieurs dans certaines collectivit s d outre mer 2 L influence du m rite sur
341. tielle la croissance du march a ronautique elle devient ainsi strat gique 11 Revue europ nnee du droit social 2 Les emplois pourvoir existent Sur le front de l emploi malgr des chiffres alarmants concernant le ch mage et des plans sociaux qui se succ dent en rafale il existe de bonnes raisons de rester optimiste dans certains secteurs de l industrie tels la maintenance industrielle Les d parts en retraite vont s acc l rer passant de 400 000 par an environ plus de 600 000 Dans certains secteurs la tendance touche parfois jusqu la moiti des salari s Les entreprises devront recruter M me si le gouvernement venait reculer encore l ge l gal du d part en retraite cela ne devrait pas changer la donne Les techniciens de la maintenance notamment devraient b n ficier de cr ations d emplois pour assurer la maintenance d quipements industriels ou non industriels toujours plus labor s Les comp tences d j tr s recherch es sont les profils de technicien et d ing nieur en plasturgie en automatisme en informatique industrielle en conception maintenance ou encore en m canique g n rale 2 1 Les secteurs d activit s Le secteur de la maintenance pr sente actuellement de nombreuses offres d embauches non pourvues dans de nombreux domaines tels que l industrie manufacturi re la production d nergie l agroalimentaire l immobilier mais aussi dans le domaine des services tel
342. tional Organized Crime adopted by the General Assembly of the United Nations on 15 November 2000 came into force on 23 September 2003 5 The Council of Europe Convention on action against trafficking in human beings Warsaw 16 05 2005 which came into force on 01 02 2008 Mihaela Aghenitei Retroactivitatea legii penale existenta sau oportunitate in contextul apartenen ei la Uniunea European Dreptul rom nesc n contextul exigen elor Uniunii Europene Comunic ri prezentate la Sesiunea tiin ific a Institutului de cercet ri Juridice 2009 Academia Rom n Institutul de Cercet ri Juridice Andrei R dulescu Ed Hamangiu 2009 p 636 639 The Supplementary Protocol of the Palermo Convention 2000 140 Revista european de drept social b The consent of a victim of trafficking in persons to the intended exploitation set forth in subparagraph a of this article shall be irrelevant where any of the means set forth in subparagraph a have been used c The recruitment transportation transfer harboring or receipt of a child for the purpose of exploitation shall be considered trafficking in persons even if this does not involve any of the means set forth in subparagraph a of this article The international definition of vulnerable victim could now be considered included in the text of the Recommendation concerning the assistance to the victims of crimes adopted by the European Committee on the criminal pro
343. turel Les influences sociales au niveau de la qualit de vie s exercent directement et simultan ment sur les touristes et sur la population locale De surcro t le tourisme culturel est en mesure d am liorer la qualit de vie aussi bien dans les villes que dans les r gions rurales L influence du tourisme culturel est fortement ressentie au cours des festivals culturels sp ciaux Les v nements culturels peuvent g n rer des profits plus long terme simultan ment pour les visiteurs et la population et conduire l am lioration durable du niveau culturel et du confort dans les villes Le tourisme culturel peut galement am liorer le niveau de l ducation L int r t accru a l gard du tourisme culturel provient de la compr hension qu il est capable d assurer des recettes importantes pour la mise en uvre d quipements qui auparavant n avaient aucun rapport avec le march touristique Le tourisme culturel fait l objet de publicit notamment pour ses avantages conomiques En r alit les impacts du tourisme culturel portent non seulement sur l accroissement des revenus mais aussi sur l am lioration de l enseignement de l emploi des infrastructures locales et des services Le r le du tourisme culturel pour le d veloppement de la destination Bulgarie En tant que pays d histoire et patrimoine mill naire l gu par des civilisations antiques la Bulgarie a beaucoup proposer ses vis
344. u travail concernent ceux qui y sont soumis mais aussi ceux qui le r gulent notamment par les recrutements Or si les candidats peuvent tre concern s par ce qu ils laissent comme traces sur le web il revient aussi aux Ressources Humaines de s adapter ces mutations Le discours commun tend affirmer que les responsables du recrutement analysent les publications accessibles propos des candidats qu ils rencontrent Cependant jusqu quel point cette pratique qui reste mesurer est elle effective d une part et jusqu quel point est elle influenc e par les discours m diatiques d autre part Fran ois est un responsable des ressources humaine d une grande banque fran aise Il est aussi en charge de volet web en lien avec le recrutement et est donc particuli rement attentif au r le que les sites de r seaux sociaux peuvent jouer dans le processus Or il rappelle aussi que contrairement ce que la masse de discours publics de consultants notamment peut laisser penser les usages des SNS dans le cadre de l interaction candidat recruteur reste encore peu tendu Fran ois pr cise en effet que le discours ambiant qui est tenu par beaucoup de consultants c est les entreprise sont en retard il faut y aller Mais la r alit c est que les candidats ils sont en retard aussi et ce n est pas la d ferlante sur les r seaux sociaux Tout le monde n est pas sur les r seaux sociaux C est encore continge
345. ue l absence de discussion sur la mobilit ne vient pas forc ment du cadre Car quand il aborde la question dit elle les agents sont agressifs du coup a ne leur pla t pas Donc ils le montrent par une agressivit envers le cadre Elles font tout pour ne pas y aller du coup il n y a pas vraiment de discussion l dessus Sans doute les int ress s s imaginent ils qu en taisant le sujet la mobilit ne surviendra point B Les facteurs de mobilit propres au monde de la sant Le remplacement d une infirmi re par une autre dans le m me service ou dans des services diff rents n est possible que parce que les param dicaux sont polyvalents Cet atout est renforc par l accompagnement et par les protocoles param dicaux La polyvalence des param dicaux renvoie la pluri comp tence Sa cons quence est en principe la possibilit d occuper toutes les fonctions de la profession Une possibilit de mobilit qui n est permise que par une formation g n raliste La polyvalence appara t comme une qualit paradoxale puisque des primes sont vers es aux infirmi res qui se sp cialisent La question suivante risquera parfois de se poser la prime reste t elle due l infirmi re sp cialis e que la mobilit conduite se charger d un poste polyvalent Les soignants admettent volontiers que la polyvalence s inscrit au c ur de leur m tier Ils associent cette notion celle de mobilit D un c
346. ui ont atteint un niveau de connaissance suffisant quivalant une fin d tudes secondaires De plus la poursuite des tudes retardent l entr e des femmes sur le march du travail Mais la proportion de femmes cumulant tudes et emploi n est pas n gligeable Ce sont pour la plupart les plus jeunes qui sont contraintes de mener des activit s subsidiaires des aides familiaux et de continuer leur formation En revanche la mod lisation de l offre de travail sur la population malienne montre que le biais de s lectivit n est pas significativement nul Il existe donc au moins un autre facteur important qui agirait sur les choix d offre de travail de ces femmes et qui n a pas t introduit dans cette mod lisation Tout de m me il existe des caract ristiques qui permettent de pr dire l offre de travail de celles ci L alphab tisation n est pas un bon indicateur de capital humain sur cette population malienne c tait d j le cas avec le Cameroun en pr sence du niveau d instruction En effet ce sont par contre les personnes alphab tis es qui ont plus de chances d avoir le profil d occupation traditionnelle d ind pendant Par contre la poursuite des tudes ne modifie pas le risque qu une femme au Mali soit active dans l un des trois types d occupation 1 4 2 2 Analyse de l offre de travail par les strat gies de survie Les positions strat giques d occupation des femmes camerounaises son
347. une autre on essaie d avoir la m me personne plusieurs jours d affil e pour une continuit des soins et une bonne connaissance du patient A nsi ils suivent et soignent le patient sur la longueur Une infirmi re pr f rerait tre renvoy e pour une semaine plut t que de changer en cours de semaine pour aller dans un autre service Pr cis ment la semaine est la dur e retenue par un des h pitaux de cette tude du moins pendant 92 Revista european de drept social les grandes vacances Car alors la fermeture de lits ou de services lib re des agents susceptibles de se red ployer ailleurs Une autre infirmi re r it re la condamnation des remplacements journaliers et hebdomadaires Elle opte pour le mois Sa justification est que au bout d un mois on ma trise mieux et on est quasiment int gr e l quip La longue dur e rendrait par ailleurs possible l implication volontaire du soignant dans la vie de l institution alors qu une grande itin rance emp cherait de s investir Une infirmi re branle les convictions en demandant si vous restez quinze jours sur la cardiologie quinze jours en m decine et quinze jours sur la m decine B comment voulez vous vous investir en cardiologie En d autres termes l on serait moins impliqu quand on vient en remplacement que quand vous tes dans votre service D s lors aucun service ne devrait jamais fonctionner avec seulement des rem
348. une optique financi re annuelle qui pr vaut la ressource humaine tant de facto consid r e comme une variable d ajustement Les collectivit s formalisent rarement leur politique de recrutement par des proc dures d identification pr alable des besoins et d analyse des meilleurs moyens pour y r pondre Le plus souvent aucune ventilation ou consolidation des besoins par fili res cat gories grades ni par postes m tiers comp tences n est r alis e Les tableaux de bord se limitent le plus souvent suivre la d mographie des agents les effectifs et les flux statistiques d arriv es et de d parts Les recrutements s effectuent encore trop souvent au niveau des services la direction des ressources humaines n intervenant qu en support juridique La centralisation des d cisions de cr ation de maintien ou de suppression de postes au niveau directionnel le plus lev est g n ralement plus favorable une approche pr visionnelle C est le cas pour la commune et la communaut d agglom ration de Quimper et pour le d partement de la Savoie Enfin il existe peu d exemples d valuation de la politique de recrutement par la mission d inspection le service de contr le de gestion de la collectivit ou un cabinet d audit externe Il s ensuit que le recrutement n est pas toujours directement connect aux besoins Par exemple le passage en d l gation de service public de certains services n entra
349. ur e ayant atteint 60 ans pour les hommes et 55 ans pour les femmes La d cennie suivante verra la fin de la pr pension de retraite qui avait t d velopp e pour remplacer la pr pension l gale Supprim en 1991 ce dispositif quivalait pratiquement un abaissement de cinq ans de l ge la retraite pour les hommes avec maintien de l enti ret des droits la pension Si la pr pension conventionnelle a r ussi se maintenir elle va voir son acc s se durcir au d but des ann es 1990 et va faire l objet de critiques diverses incitant financier au retrait anticip incapacit diminuer le ch mage des jeunes d tournement des syst mes existants par les entreprises en cr ant galement des cong s de fin de carri re attractifs des pr retraites maison ou ce qu on a appel en Belgique les pr pensions dites Canada Dry ph nom nes de substitution d veloppement de voies de sortie alternative lorsque l on supprime un dispositif et de cannibalisation pr f rence des b n ficiaires pour un type de dispositif comme le retrait anticip total au d triment d autres voies comme la sortie anticip e mi temps Alors que plusieurs r gimes ont fonctionn en Belgique sous l appellation de pr pension seule la pr pension conventionnelle appel e aujourd hui r gime de ch mage avec compl ment d entreprise RCC subsiste encore Elle aurait 5 OCDE 2003 Vieillissemen
350. ur les fonctionnaires au maintien du mode de fonctionnement d un service public La mobilit interne se d fend juridiquement sur cette base Pourtant le raisonnement appara t insatisfaisant dans les cas o des int r ts individuels sont en jeu Comment d cider quand un int r t g n ral et un int r t individuel se retrouvent en concurrence La r ponse a priori est que l int r t g n ral l emporte En r alit il n en va pas ainsi quand le droit individuel d coule d un texte valeur constitutionnel ou mieux sur un texte communautaire Quand l int r t particulier et l int r t g n ral r sultent de textes comparables l int r t g n ral l emporte Le droit de gr ve des agents ou le droit pour les partenaires conomiques au maintien du contrat peuvent ainsi tre sacrifi s Toutefois une indemnisation sera due par le service public la personne dont le 85 Revue europ nnee du droit social droit aura t spoli Les gr vistes tenus de travailler sont compt s comme gr vistes mais re oivent leur salaire sans d duction pour gr ve et accomplissement d un service minimum La mutabilit des contrats finalement admises au profit de Padministration par les juges administratifs s applique en veillant la pr servation des droits du cocontractant de l administration Convaincre une infirmi re d accepter un remplacement dans son service de rattachement se fait plus facilement que si
351. ur les groupes d ges sont inf rieures 5 De fa on sp cifique aux groupes d ges form s c est une population camerounaise plus participante qui est donc analys e simultan ment celle du Mali De plus la participation est un ph nom ne social plus important pour les plus g s dans les deux pays la fois D une mani re g n rale elle explose dans la soci t pour les hommes au fil des ann es En outre les femmes maliennes participent plus que celles du Cameroun lorsqu elles sont tr s jeunes entre 15 et 24 ans r volus Les maliennes sont moins pr sentes dans l activit Comparativement ce qui est observ au Cameroun dans toutes les tranches d ges 25 65 ans avec un gap de participation plus important pour la classe 55 65 ans de l ordre des 25 selon les donn es Un fait social qui est apparu aussi important dans notre analyse est la pauvret Aussi l analyse int gre des aspects de la pauvret non mon taire soit la pauvret des conditions de vie Il n existait pas de poids individuels uniquement pour le Mali mais les poids des m nages sont disponibles dans la BDMIM Ce d faut d harmonisation de la base pour ELIM ne pourra pas tre corrig au niveau individuel par de simples calculs d obtention du rapport d chantillonnage mais aussi pour ne cr er de corr lations entre le vecteur des variables pouvant cr er de biais dans l analyse Pour y rem dier les poids normalis s
352. uraux sont affect s la classe des pauvres En effet 80 des jeunes ruraux maliens sont class s en 1 pourtant l activit conomique est plus intense dans les zones rurales Ce r sultat permet d envisager une relative importance d offre de travail dans les zones rurales pour des orientations professionnelles faible revenu concernant en majorit les aides familiaux Une fois de plus ce sont les femmes qui sont les plus expos es la pauvret En fait 54 des personnes de la classe 1 sont des femmes Il y a plus de 80 des femmes rurales qui entrent dans ce groupe Donc la localisation g ographique est un facteur important de la typologie des femmes maliennes Les r sultats obtenus 102 Revista european de drept social pour les hommes ne sont pas tr s loign s de ceux des femmes Il est donc toujours plus difficile apr s de telles analyses de trouver des caract ristiques individuelles ou familiales qui distinguent nettement les comportements de participation des femmes par rapport aux hommes Les femmes sont l g rement plus repr sent es dans la classe des non pauvres Les maliennes sont un peu plus nombreuses dans ce cas malgr leur faible participation face aux hommes De plus le taux d alphab tisation pour les groupes d ges concern s tant de 73 16 sur l ensemble du territoire c est moins de la moiti des alphab tis s 33 64 seulement qui sont affect s dans ce groupe Ainsi les
353. urs par exemple Selon le fondateur de Viadeo l introduction des r seaux num riques aurait si ce n est r volutionn les pratiques permis d en am liorer l efficacit Les informaticiens n ont pas r invent la roue Le Web c est avant tout une toile qui relie des hommes travers des machines Les r seaux sociaux num riques c est l am lioration du syst me l utilisation de recettes qui fonctionnent dans la vie physique et transcrites dans la sph re Fondeur et Lhermitte 2006 p 103 124 Revista european de drept social yi e Internet Or nous pouvons nous interroger sur la composition de ces recettes lorsqu elles sont report es dans la gestion des relations en ligne Le cadre d usage encadrer le r seautage en ligne Les diverses documentations accompagnant les usages des RSP proposent une version planifi e et s lective de la mise en relation Les bonnes pratiques renvoient par exemple un usage mod r de l invitation entrer en contact Elles renvoient aussi l id e que le r seautage en ligne est un exercice r flexif o Pusager doit s apparier sur un mode optimis comme nous pouvons le voir sur l illustration ci dessous tir e de l un de ces documents circulant sur Internet tape n 2 pensez aux contacts qui peuvent vous aider atteindre votre objectif Pensez votre objectif et demandez vous quelles interlocuteur dans le monde a
354. us ils ont un syst me informatique qu il faut maitriser au pr alable En l occurrence il y a un syst me d informatisation du dossier de soins avec des codes qu elles les rempla antes ne connaissent pas Elles disent que faire les soins ne les d range pas mais ce PC informatique Dans cet h pital les infirmiers de passage qui n avaient pas le code d acc s Pordinateur faisaient les soins et un collegue du service donnait son code pour valider dans le PC Mais en l occurrence qui attribue t on le m rite de la r alisation de l acte Plus encore quel est alors l int r t d attribuer un code secret et personnel chaque soignant Des stratag mes sont d velopp s par les soignants pour conserver leurs rep res au moins temporairement Une infirmi re renseigne sur l une des courantes pratiques au sein de son service en ces termes au niveau des secteurs on a une planification qui est faite par les cadres Mais quand on voit que a nous change trop souvent de secteur alors qu on peut s arranger avec la coll gue alors on essaie de s arranger en en parlant au cadre Comme excuse cette volont de permanence une infirmi re signale que une m me personne plusieurs jours d affil e les patients a les satisfait aussi sauf si c est quelqu un qu ils n aiment pas mais ca L infirmiere habituelle constitue naturellement un r f rent De fait la relation avec les patients pose parfoi
355. us ont d velopp des habilet s autant sociales que techniques En effet prendre en compte le web comme un espace public norm est une chose pouvoir s approprier la plateforme pour ma triser les param tres de confidentialit en est une autre Ainsi l observation en ligne r v le parfois une asym trie entre ce que les usagers pensent avoir param tr et les traces qui sont effectivement accessibles de l ext rieur Cette dimension de l enqu te est paradoxale En effet d un c t les jeunes dipl m s t moignent s tre conform s aux injonctions des discours d accompagnement sur ce que ceux ci appellent la e r putation D un autre quand bien m me ils t moignent d habilet s sociales l gitimes ils montrent aussi parfois un manque d habilet s techniques Aussi peut on s interroger sur ces traces sources potentielles de jugement pour des recruteurs s int ressant la pr sence en ligne de leurs candidats Jusqu quel point est il possible de limiter des pratiques qui peuvent tre discriminantes et qui ne fondent pas le processus de d cision sur des comp tences mais sur d autres dimensions externes Au contraire jusqu quel point peut on consid rer que le recrutement peut tre per u non comme l valuation de savoir faire mais aujourd hui explicitement sur l valuation de savoir tre Apprendre ne pas regarder de l thique des Ressources Humaines Les mutations du march d
356. ux Sochaux Montb liard Jean No l Reti re sur les ouvriers de Lanester Oliver Schwartz sur le Nord Pas de Calais ou encore le Lersco sur les ouvriers nantais nous souhaitons interroger les effets de cette sp cificit locale sur ses ouvriers 3 Favreau R dir Histoire de Poitiers 1985 Privat Toulouse p 400 4 Reti re J N Identit s ouvri res histoire sociale d un fief ouvrier en Bretagne 1909 1990 Paris d L Harmattan 1995 5 Schwartz Oliviver Le monde priv des ouvriers Presses Universitaires de France Paris 1990 Laboratoire d Etudes et de Recherches Sociologiques sur la Classe Ouvri re 70 Revista european de drept social Dans les lieux ou la tradition industrielle est ancienne il semble s tre cr e un habitus ouvrier et militant inclinant la solidarit l entraide la vie collective et les revendications autour du travail Cet habitus transmis de g n ration en g n ration se voit aujourd hui et depuis quelques d cennies mis mal en raison des profonds bouleversements du travail ouvrier Alors que nous interrogeons Ren ouvrier chez Michelin et repr sentant syndical de la CGT sur la difficult mobiliser ce derier voque de lui m me l absence de tradition ouvri re locale comme facteur de la faiblesse des mobilisations des ouvriers Michelin La relative importance de l industrie dans le bassin d emploi poitevin constitue donc un frein l existence
357. valuation pr vue de ses effets a donn lieu une guerre de communiqu s au sujet des donn es r elles prendre en compte le sort r server aux mesures reste en suspens puisque pour la F d ration des Entreprises de Belgique FEB l un des premiers objectifs du Pacte l augmentation du taux d emploi des plus de 55 ans n a pas t atteint alors que pour les syndicats bien Pour rappel l valuation du Pacte pr vue par la loi devait v rifier si le taux d emploi des travailleurs de plus de 55 ans avait connu apr s 2005 une hausse une fois et demie sup rieure la hausse moyenne enregistr e dans les pays europ ens Dans le cas contraire la loi pr voyait un durcissement suppl mentaire de l acc s la pr pension Aujourd hui encore l valuation du Pacte reste lettre morte On peut galement questionner de la port e r elle de ce Pacte en termes de nouvelles mesures voir encadr et de leur impact sur le comportement des acteurs du march du travail Notre objectif n est pas de rendre compte de mani re exhaustive de l ensemble de ces mesures et des dispositifs mais de rappeler d une part que malgr l objectif du Pacte des g n rations de rendre plus restrictif l acc s aux d parts anticip s il n a finalement pas supprim les dispositifs permettant un retrait pr coce du march du travail d autre part que si le Pacte des g n rations d bouche sur des mesures nouvelles c
358. vice et de maintenance de mat riels artisans services mat riels d entreprises du BTP ou de travaux agricoles entreprises ou collectivit s utilisatrices des mat riels etc Les collectivit s territoriales se sont vues attribu es de nouvelles contraintes de plus en plus fortes durant cette d cennie et doivent g rer un patrimoine immobilier technique en perp tuelle volution en termes de construction de r novation d quipement et de maintenance De plus elles doivent prendre en compte toute la gestion technique des op rations li es ce patrimoine qu elle soit financi re technique ou r glementaire Pour y faire face les collectivit s offrent des emplois orient s sur l tablissement des dossiers techniques relatifs la gestion des b timents les op rations de mise en s curit les v rifications r glementaires la r alisation des diagnostics techniques la programmation pluriannuelle des travaux de maintenance l tablissement du document unique etc Enfin nouvelles obligations environnementales obligent les entreprises sont en qu te de dipl m s dans le domaine de la qualit de la s curit et de l environnement ou encore des experts en gestion des d chets Notamment dans la chimie le p trole la m tallurgie observe Martine de Maintenant Directrice de Mercuri Urval Ils occupent des postes de consultants et r alisent des audits en milieu industriel Ils analysent les aspects li s la s cu
359. vit Elle n cessite un traitement d taill des informations fournies par les agents de terrain et par les correspondants formation A Quimper les entretiens professionnels individuels r alis s annuellement sont l occasion de recenser les besoins de formation en m me temps que les informations n cessaires au d veloppement des comp tences individuelles et collectives Les fiches de postes les r pertoires des m tiers les plans de recrutement et de mobilit et les synth ses des valuations individuelles doivent alimenter les plans de formation Or beaucoup de collectivit s n ont pas labor de plan de formation malgr l obligation fix e par la loi du 12 juillet 1984 r it r e par la loi du 19 f vrier 2007 Lorsqu ils existent beaucoup de plans consistent en une simple addition des demandes individuelles sans d finition d objectifs ni mise en coh rence avec les projets et les besoins r els de la collectivit et de chaque service Trop de plans de formation ne constituent pas des outils manag riaux mais plut t des catalogues la disposition des personnels qui effectuent librement leur choix En g n ral ils restent organis s par type de formation techniques management bureautique examens et concours par exemple et non par nature de formation par m tier ou par projet Peu de parcours pluriannuels de formation sont identifi s La loi du 19 f vrier 2007 a galement institu une validation des acquis d
360. xp rience communicationnelle sp cifique qui recouvre non seulement la connaissance des codes de la technique et l acquisition d habilet s op ratoires mais aussi l laboration de modes de faire particuliers L exp rience communicationnelle traduit les processus selon lesquels l usager s adonne a des op rations mentales et pratiques dans son emploi de l outil mais aussi fabrique de fa on empirique ses fa ons propres d utiliser la technique Ainsi conceptualis le processus d appropriation tend nuancer ce qui est pris comme une vidence par les discours de consultants et par les repr sentants de ces plateformes m me si les usagers peuvent se conformer aux prescriptions d usages int grant les codes de fonctionnement des dispositifs et apprenant en ma triser les ressors techniques ces derniers peuvent aussi d velopper d autres habilet s plus coh rentes avec leurs intentions ou leurs habitudes d usage Parmi les modes d appropriation des RSP s cartant de l objectif premier affich par les concepteurs l articulation entre les diff rentes charges symboliques d une pr sence publique et l gitime et d une pr sence priv e potentiellement discr ditante est un des enjeux c ur de l usage du web par les jeunes notamment Ainsi comme l enqu te par observation des profils Viad o le montre le compte Facebook des jeunes dipl m s usagers de ce dispositif est trouvable dans 40 des cas sur 1000 co
361. y and solidarity The purpose of this article is to show three methodological issues relating to the work of 45 year old and more First the question of the distribution of status on the labour market will be discussed Then we ll deal with the issue of atypical work and its impact on age Finally we will briefly focus on the question of generations As a conclusion we show the importance of understanding the impact of these three components on international comparisons We will also see how concepts such as path dependence innovation and convergence can serve the analysis of international comparisons about retirement Keywords labour market retirement international comprisons work generations La probl matique de la participation des femmes est complexe en Afrique sub saharienne et plusieurs facteurs sont susceptibles d interf rer dans le choix de leurs statuts d activit Ainsi cette tude vise mettre en exergue les facteurs qui conditionnent la participation des femmes camerounaises et maliennes au march du travail et leurs choix d occupation professionnelle Objectifs de l tude L objectif g n ral de cette tude est de voir les facteurs qui influencent l entr e des femmes aux march s du travail camerounais et malien et de d gager les particularit s comportementales des populations camerounaise et malienne De mani re sp cifique nous voulons analyser les facteurs qui pourraient expliquer la pr

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