Le mécénat
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1. Te sug Les moyens pa la maison des associations Recherche d entreprises m c nes individuelles e Contact individuel et relations bilat rales faible visibilit ext rieure gt Souvent au niveau du plus haut responsable au sein du porteur de projet e Contreparties n gocier e Importance capitale du r seau personnel des dirigeants pr sident tr sorier e Importance de la visibilit du projet et des centres d int r t de la DG de l entreprise e Travail de longue haleine e Risque de remise en cause selon l ments conjoncturels Cr ation d un club d entreprises m c nes e Nomination d un responsable d di en charge des relations avec les entreprises e Contreparties affich es et n gociables e Animation en r seau avec rencontres et v nements p riodiques gt dynamique de prospection et double int r t des membres e Visibilit forte du club cf relations presse e Valorisation plus importante des entreprises partenaires cf contreparties e Travail de longue haleine mais r sultats plus rapides e P rennisation des soutiens facilit e Grandvoile 15 04 2014 Ce gie La m thode F la maison des associations D finir sa strat gie en interne e l identit de l association qui nous sommes nos r gles du jeu notre thique notre projet nos publics notre zone de rayonnement notre plan de communication notre budget nos contreparties e son positionnement ce qui nous2. M c nat et parrainage Des motivations de l entreprise aux pistes d action pour les porteurs de projet Grandvoile re 15 04 2014 CESSE 0 o la maison des associations M c nat connaitre le contexte M c nat et don philosophie et enjeux du m c nat Rappels techniques et r gles du m c nat et du parrainage M c nat et la strat gie de communication M c nat et pistes de strat gies pour les porteurs de projet Parrainage diff rences et similitudes d approche 1 2 3 4 D 6 Grandvoile 15 04 2014 CEE G 0 2 0 u ol D finitions F la maison des associations 1 Le parrainage sponsoring Vecteur de communication qui consiste pour une entreprise parrain sponsor contribuer financi rement mat riellement et ou techniquement logistique une action sociale culturelle ou sportive l entra nement d un sportif dans l optique commerciale d accroitre sa notori t et ventuellement d am liorer son image Il s accompagne souvent mais pas n cessairement d une op ration de communication publicitaire parall le visant faire connaitre cet engagement l ensemble de la cible des produits de l entreprise 2 Le m c nat Contribution financi re et ou technique discr te une action culturelle scientifique sociale ou d int r t g n ral qui permet d entretenir ou d am liorer moyen long terme l image de l entreprise m c ne I
3. e les TPE et PME majoritaires 14 des m c nes sont des PME 20 99 salari s et 79 des TPE partir d 1 salari 11 des TPE pratiquent le m c nat contre 14 des PME et 28 des ETI GE En 2014 12 des entreprises fran aises sont m c nes soit 159 000 entreprises Part d entreprises m c nes par cat gorie d entreprise 145 i il TPE PME ik ETI GE NB TPE absentes du 18 sal 10 249 sal 250 sal et barom tre Admical E Base ensemble n 1019 201 2 Grandvoile AAE TINO COMMUMICATION 15 04 2014 es 7 P d i N A D Eee al d S p la maison des associations e les ETI GE contributeurs majoritaires du budget global le budget m c nat des ETI GE repr sente 79 du budget m c nat global les PME m c nes repr sentent 19 532 M et les TPE 25 700M de ce total TPE PME ETI GE 1 9 sal 10 245 sal 250 sal et 19 19 19 CEE E Part d entreprises m c nes EE pE Part dans le budget du m c nat NB TPE absentes du barom tre Admical 2012 Grandvoile Sterne E COMMUNICATION 15 04 2014 CEE iG argol la maison des associations e les motivations des entreprises m c nes L int r t g n ral vient avant l image de l entreprise pour les TPE et les PME L illustration des valeurs de l entreprise arrive en t te chez les ETI GE cf int gration dans la strat gie de l entreprise Les TPE m c nes so
4. Base enfrenrses m c mes n 207 M c nat R financier E 86 M c nat en nature Loo ii 10 M c nat de mi 15 49 comp tences Base entreprises m cenes n 201 Le m c nat de comp tences reste un dispositif qui n cessite une certaine ing nierie interne donc plus facilement g r par les ETI GE 31 Les TPE utilisent le plus le m c nat en nature 36 contre 18 des PME m c nes et 33 des ETl grandes entreprises m c nes Grandvoile 15 04 2014 ed gi la maison des associations Territoires d intervention Part d entreprises m c nes engag es aux diff rents niveau g ographiques AN TPE cb PME HR ETI GE 1 9 81 10 249 sal M 250531 ot Local ou PET gen M RS e N ES T N o 22 International 20 H 10 D 42 Base entreprises m cenes n 25 TPE n 121 PME n 60 ETIGE TE Le m c nat d entreprise demeure un m c nat de proximit avant tout Les TPE et PME agissent de mani re quasi exclusive au niveau local plus de 70 d entre elles sont engag es sur ce niveau contre moins d un tiers pour les autres niveaux Grandvoile 15 04 2014 CRE Te ET ogol la maison des associations e M c nat et r seaux Le m c nat s organise e SOUS la pression des baisses de subventionnement e selon les tendances soci tales d veloppement durable sensibilisation des responsables d entreprise leur environne
5. sultat ni l autre associ ni les salari s de l entreprise ne se sentent concern s par ces acquisitions et consid rent au mieux quil s agit l d une lubie au pire d un gaspillage au d triment des salaires et des quipements sociaux M c nat 15 04 2014 AAC TINO A SOVUNUNICATION CRE Te pue la maison des associations Question Faut il proscrire le don de la part du chef d entreprise R ponse Non mais il faut chercher le transformer de m c nat uniquement profitable au porteur de projet en m c nat galement utile l entreprise e r pond une r flexion strat gique e ob it des r gles m thodologiques e pr sente des r sultats qualitatifs valuables gt recours une strat gie de m c nat e formalisme exprimant les objectifs attendus par les deux parties cercle vertueux e d finit les r les et les engagements de chacun des partenaires e p rennise la relation au del d une simple action ponctuelle pue 15 04 2014 TES Te pue la maison des associations Int r t pour le b n ficiaire e soutien ext rieur fort financier mat riel en comp tences e moyens suppl mentaires au service du fonctionnement ou de projets e choc culturel b n fique amenant reconsid rer son mode de fonctionnement e remise en cause et professionnalisation de certaines pratiques e ouverture vers le monde de l entreprise notion de r seau partenariats div
6. des associations environ 29 des collectifs environ 11 des individus environ 5 des artistes et des porteurs de projet e les actions sont essentiellement locales et r gionales locales dans pr s de 62 des cas r gionales dans 31 des cas pr s de 38 des entreprises ayant des actions rayons multiples y compris national et international e la d cision est le fait du dirigeant dans 67 des cas e trois formes diff rentes de m c nat plus de 68 d actions de m c nat financier plus de 42 d actions de m c nat en nature plus de 14 d actions de m c nat de comp tences Grandvoile 15 04 2014 RAACTINQ h e des budgets r v lateurs Budget annuel consacr au m c nat en 2007 34 Moins de De 1000 De20004 DeS000 De10000 20000 euros 1000 euros 2000 euros 5000 euros 10 000 euros 20 000 euros et plus Budget m c nat inclus dans le budget communication Grandvoile AACTINO amp COMMUMICATION CREER 2 aol la maison des associations 15 04 2014 CEE 0 o la maison des associations Conclusion 1 Le m c nat se porte moins bien 2 Il reste encore et toujours sous utilis en tant que moyen strat gique e insuffisamment connu e r duit sa d finition fiscale e confondu avec le don e souvent li aux centres d int r t personnels du dirigeant TPE PME appartenant le plus souvent la sph re de d cision du seul dir
7. n ficiaire Grandvoile 15 04 2014 AACTINQG amp CRE iG pef Des l ments de comparaison eel la maison des associations Les b n ficiaires du parrainage Toutes les associations peuvent b n ficier du parrainage gt pas de possibilit de d livrer de re u fiscal ouvrant droit r duction de lIS seules les associations d int r t g n ral peuvent le faire Les domaines associatifs concern s e le sport e la culture e la solidarit gt n y a pas de domaine exclu a priori du parrainage Les types de parrainage e financier e en nature e mat riel e technologie e en comp tence Grandvoile 15 04 2014 AEC TINO A COUN I CRE la maison des associations e Aucune contrepartie e Contrepartie imp rative e R duction d imp t n 1 e Aucune r duction d imp t e Peut tre int gr e Doit tre int gr e dans une strat gie dans une strat gie Illustre les valeurs de l entreprise Recherche la notori t et doit illustrer les qualit s de l entreprise e Souvent la base Eas d une communication interne En principe d abord la base d une communication externe e Investissement sur le long terme avec capitalisation des effets R sultat quantifiable li un et r sultat non quantifiable v nement cf taux de notori t Grandvoile 15 04 2014 au Une approche strat gique comparable la maison des associations L identifi
8. rapproche et ce qui nous diff rencie des autres associations par rapport aux attentes de nos publics e ses cibles typologie des entreprises pouvant souhaiter associer leur image une association dans le m me domaine que la n tre Identifier les partenaires e Se tenir inform en identifiant les sources d information de Google aux conseils d ordres du type Experts comptables Notaires en passant par la CCI e tre proactif se constituer un r seau clubs services organismes professionnels solliciter les organismes relais CJD Medef CGPME e S organiser constituer et entretenir un fichier d entreprises diffuser une newsletter intervalles r gulier constituer un dossier de partenariat Grandvoile 15 04 2014 gt Go Les outils de la recherche de m c nat la maison des associations Le dossier de pr sentation e complet e ordonn et coh rent e pr sentant l association son projet son public son mode de fonctionnement ses rythmes son budget e utilisant le langage de l entreprise et mettant en avant la synergie projet associatif int r t de l entreprise e proposant des contreparties dans le respect de la r glementation Le rescrit fiscal Pour faire b n ficier les entreprises m c nes de la d duction fiscale le porteur de projet doit r pondre des crit res sp cifiques cf supra Pour s assurer que ces crit res sont r unis il peut demander la DGIFP un rescrit fiscal
9. 2012 dont pr s de 18 but culturel et 10 but philanthropique Grandvoile 15 04 2014 CEE la maison des associations Loi juillet 1990 sur les fondations d entreprise e principe cr ation des fondations d entreprise e origine entreprises souhaitant consacrer des fonds un projet d int r t g n ral e dur e de vie 5 ans minimum renouvelables par p riodes de 3 ans minimum e nature des ressources dotation en capital op r par l entreprise minimum 150 000 an pendant 5 ans maximum e objet activit d int r t g n ral souvent th matique en rapport avec l activit de l entreprise donatrice e d nomination m me nom que l entreprise cr atrice e limites aucune contrepartie pour l entreprise donatrice e avantages fiscaux les m mes que pour le m c nat e particularit s de gestion autorisation pr fectorale pr alable administration par un conseil ind pendant activit s et profits sensiblement comparables au statut associatif obligation d un programme d actions pluriannuel PAP Grandvoile 15 04 2014 CRE x e nat ol Les r gles fiscales du m c nat D finition fiscale Le m c nat est le soutien mat riel apport sans contrepartie directe de la part du b n ficiaire une uvre ou une personne pour l exercice d activit s pr sentant un int r t g n ral absence de contrepartie tol rance jusqu 25 de la valeur de l app
10. Sara CPCA en 2010 et 2011 Les sites traitant du m c nat IIS sont tr s nombreux Quelques URL http www admical org http www mecenova org http www developpement durable gouv fr http www ambition mecenat org http www lesentrepreneursmecenes fr http www lerameau fr http www imsentreprendre com Voir aussi le tout dernier guide sorti d but avril 2014 fruit de la collaboration entre le Medef et le Rameau http construireensemble medef fr page 1 mode 2up Grandvoile RAACTINGO amp COMM 15 04 2014 RER Fu la maison des associations 6 Parrainage Diff rences et similitudes d approche Re 15 04 2014 aoge i entale la maison des associations le fondam Jne diff rence fisca Le parrainage art 39 I 7 7e CGI D marche commerciale caract ris e par une forte action publicitaire avec recherche de retomb es conomiques court terme e Prestations de services avec contrepartie en nature ou en esp ces R gime fiscal de droit commun frais g n raux les d penses de parrainage sont assimil es des d penses de nature publicitaire pour l entreprise Le m c nat loi du 1er Ao t 2003 D penses engag es au profit d organismes et d uvres d int r t g n ral apports financiers en comp tences ou en nature ou en technologie Avec un b n fice fiscal nettement plus int ressant mais sans contrepartie directe pour le b
11. c nat pour l entreprise sl la maison des associations e notori t b n ficiaires prescripteurs leaders d opinion pouvoirs publics grand public indirectement le plus souvent e image clients financiers pouvoirs publics fournisseurs presse grand public e coh sion personnel cadres responsables d agence e motivation distributeurs importateurs force de vente Grandvoile 15 04 2014 Ce LA LA LA Go La strat gie du m c nat pour l entreprise SF la maison des associations e en coh rence avec l activit de l entreprise musique chant criture Fender Orange La Poste e en coh rence avec le positionnement global de l entreprise proximit solidarit sant Caisse d Epargne Virbac e en recherche de r quilibrage d image protection de l environnement recherche m dicale Tiers monde Total Rh ne Poulenc Shell France Kronenbourg e en illustration d une volution aide l enfance sport lien social EDF Diversiterre gt faire du projet une illustration caract re objectif d une valeur phare pour l entreprise d monstration et non simple affirmation gt passer du parler de soi au faire parler de soi par les autres notion d objectivit et d information N B Plusieurs dimensions possibles Cf projet culturel articul sur un projet social Grandvoile 15 04 2014 EEE Rechercher l entrepr
12. cation des entreprises parrains potentiels e par le domaine d activit transport recyclage nergie protection e par les valeurs exprim es performance comp tition rigueur services e par la position institutionnelle service public d l gu banque assurance fonds d investissement e par la similitude des cibles amateurs d un sport b n ficiaires d un service CSP comparables par la proximit g ographique m me public local ou r gional e par les centres d int r t du des dirigeants Grandvoile 15 04 2014 RAABTING amp COMNML CESSE Eu la maison des associations La cr ation d un dossier orient parrain potentiel e pr sentation du porteur de projet et du projet e pr sentation du public concern et mise en avant de ses caract ristiques socio d mographiques g ographiques et de ses centres d int r t en relation avec ceux de l entreprise approch e e pr sentation du budget du projet et besoin repr sent financier mat riel de comp tences e offre de contreparties concr tes places organisation d un v nement d di etc parrainage sans limite autre que celle de la n gociation gt attention la pr sentation n cessairement professionnelle gt attention au d lai et la saisonnalit des d cision p riode budg taire d lais longs Grandvoile 15 04 2014 AABTING amp C TES Te ET ogol la maison des as
13. dation sous gide abrit e fondation d entreprise abrit e dans la Fondation de France avec d l gation de gestion e Fonds de dotation structure d initiative priv e jouissant des m mes privil ges qu une RUP ou une AUP avec moins de contraintes e Club d entreprises m c nes mutualisation de fonds de plusieurs entreprises au service d une action commune CNIPAL la Filature Mus e d Unterlinden Les Musiciens du Louvre Grandv RAACTINOG amp oile 15 04 2014 ES iG pef La r glementation du m c nat ago la maison des associations Cadre l gal e 23 juillet 1987 loi sur le d veloppement du m c nat e 4 juillet 1990 loi sur la cr ation des fondations d entreprise e 26 avril 2000 instruction fiscale vient pr ciser la distinction m c nat et parrainage e 4 janvier 2002 loi sur les Mus es de France e 1er ao t 2003 loi relative au m c nat aux associations et aux fondations Elle am liore le r gime fiscal du m c nat et le statut des fondations e 4 ao t 2008 loi sur les fonds de dotation Grandvoile 15 04 2014 CEE la maison des associations Loi ao t 2003 loi Aillagon principe d duction fiscale hauteur de 60 entreprises ou 66 particuliers des dons des personnes morales habilit es e limites 0 5 du CA annuel HT entreprises avec report possible sur 5 ans des exc dents 20 du revenu imposable particuliers avec report ident
14. de proximit la recherche soutien d organismes de recherche m dicale par le biais de fondations RUP ou d organismes ayant mission RUP par arr t pr fectoral CeeD Grandvoile NACTINO amp COMNML 15 04 2014 CRE P P la Eier Les formes du m c nat ye la maison des associations Quatre formes le m c nat financier cotisations subventions apports en num raire le m c nat en nature quipement prestation de service marchandise en stock moyens techniques le m c nat technologique mise disposition du m tier de l entreprise de savoir faire le m c nat de comp tences mise disposition de salari s volontaires pour accompagner des projets selon leurs comp tences Grandvoile 15 04 2014 CEE G Q 2 2P u Les structures du m c nat pi la maison des associations R gie directe e M c nat individuel l entreprise d cide et agit seule directement sans support particulier R gie indirecte e Fondation RUP fonds suffisants cause d int r t g n ral dotation de fonctionnement et patrimoine importants 3 coll ges d administrateurs Fondation de France Nicolas Hulot Aide toute d tresse e Fondation d entreprise financ e par l entreprise qui lui donne son nom fonctionnement par budget annuel minimum 150 000 euros dur e de vie de cinq ans renouvelables Fondation Danone Fondation des Brasseries Kronenbourg e Fon
15. des associations e M c nat et social Social choisi par 23 des entreprises m c nes recueille 38 du budget du m c nat d entreprise soit environ 1 064 milliard d euros Le social est plus soutenu par les ETl grandes entreprises 68 et les PME 32 que par les TPE 19 gt choix premier des entreprises m c nes et domaines l mentaires d action dans un contexte de crise conomique et sociale gt S les actions ne sont pas beaucoup plus nombreuses elles sont soutenues plus fortement par les entreprises gt en termes d affichage le social prend parfois le dessus dans les actions men es cf illustration des valeurs sociales des entreprises et de la RSE Grandvoile AACTINGO h 15 04 2014 CRE Te pef ogol la maison des associations e M c nat et environnement Environnement d veloppement durable choisi par 5 des entreprises m c nes il recueille 3 du budget du m c nat d entreprise soit 84 millions d euros gt 36 des ETI GE sont m c nes de l environnement gt 3e domaine de m c nat apr s ceux du social d une part et de la culture et du patrimoine d autre part gt seules 4 des TPE et des PME d clarent soutenir ce domaine Grandvoile 15 04 2014 eds iG argol la maison des associations Modes d intervention Part d entreprises m c nes engag es Part dans le budget dans chaque forme de m c nat du m c nat
16. en utilisant la proc dure et les documents ad hoc cf formulaire de demande de rescrit fiscal Le re u fiscal Document sigl CERFA 1158003 t l charger sur htitp vosdroits service public fr Grandvoile ARETINO amp COL 15 04 2014 CEE 2 CEE Les contrepartie du m c nat rs la maison des associations Le principe instruction fiscale du 26 avril 2000 L administration fiscale reconna t l existence de contreparties dans une op ration de m c nat condition qu il existe une disproportion marqu e entre les sommes donn es et la valorisation de la prestation rendue En pratique La tol rance fiscale admet une valeur totale de la contrepartie hauteur de 25 de la valeur de l action m c ne en num raire comp tence nature technologie Les contreparties en communication mention du nom et du logo communiqu de presse conf rence de presse communication institutionnelle en contreparties mat rielles places billets visites conf rences location d espaces interventions en entreprise gt voir nombreux exemples sur les sites des clubs d entreprises m c nes Grandvoile RAACTINQG A 15 04 2014 CRE 0 o la maison des associations La formation et l information Formation Admical M c nat entreprise mode d emploi gt e 2 jours 5 modules pouvant tre organis e Strasbourg e d j deux sessions organis es par
17. ers envisageables d couvertes de nouvelles techniques e l gitimit renforc e en interne comme l externe Grandvoile 15 04 2014 CRE Os ogol la maison des associations Int r t pour l entreprise m c ne e affirmer son identit e faciliter son implantation territoriale e f d rer son personnel et susciter des attitudes positives en interne fiert d appartenance implication renforc e e choc culturel b n fique amenant l entreprise se sensibiliser d autres th matiques que celles de sa production e moyen de communication original et performant faire parler de soi et non pas parler de soi discours objectif vs discours commercial e opportunit de rencontre dans un nouveau contexte avec l environnement partenaires institutions collaborateurs clients LI 15 04 2014 CE Fu la maison des associations 3 Rappels techniques et r gles du m c nat prandvoile 15 04 2014 CRE 2 L P i la oo Les domaines du m c nat oa la maison des associations Cinq domaines la solidarit ducation sant humanitaire insertion sociale handicap grandes causes la culture uvres d art instruments de musique monuments spectacle vivant l environnement quipements cologiques entretien de sites formations sp cialis es le sport soutien d activit s sportives d int r t g n ral d associations sportives
18. igeant 3 Il reste trop souvent cantonn une approche financi re pure Quelques pr cisions s imposent Grandvoile 15 04 2014 CE Fu la maison des associations prandvoile 15 04 2014 CRE 0 o la maison des associations De M c ne au m c nat bien avant la l gislation fiscale actuelle Ca us Cilinius M cenas 69 8 av JC Rallie les lettr s Auguste pour s attirer les faveurs du pouvoir Laurent de M dicis 1449 1492 M ne une politique culturelle ambitieuse pour l gitimer son pouvoir Rodolphe Il de Habsbourg 1552 1612 Parvient faire de Prague une capitale europ enne en y attirant de nombreux artistes philanthropie d sint ress e ou strat gies bien comprises Grandvoile 15 04 2014 AEC TINO amp COMM CRE Eu la maison des associations Diff rences et similitudes Pour l administration fiscale m c nat et don sont une seule et m me chose e absence de contrepartie e versement en esp ces ou en nature e destination territoriale du versement e caract re d int r t g n ral du b n ficiaire e authentification du don par un re u e r sultat pour l entreprise r duction d imp t r f rence loi du 1 ao t 2003 sur le m c nat les associations et les fondations Grandvoile 15 04 2014 ARBETING amp C MUMICAT CRE Eu la maison des associations Diff rences et similitudes Po
19. ique des exc dents e b n ficiaires les uvres ou organismes d int r t g n ral RUP AUP fondations universitaires fondations d entreprise fonds de dotation associations r pondant aux crit res d ligibilit certains tablissements publics ou priv s d enseignement certains organismes publics ou priv s pr sentant des spectacles vivants expositions festivals sous certaines conditions e crit res d ligibilit des b n ficiaires gestion d sint ress e activit non lucrative Utilit sociale ou r gle des 4 P ne pas concerner un cercle restreint Grandvoile 15 04 2014 CEE 0 pue la maison des associations Loi ao t 2008 loi sur les fonds de dotation e principe fonds de dotation structure associant la souplesse du statut associatif et la capacit juridique et financi re des fondations e cr ateurs du fonds personne physique ou morale pas d autorisation administrative pr alable e nature des ressources dons legs lib ralit s dotation en capital e objet activit d int r t g n ral aide une association une cause ligible e capacit juridique et financi re gestion de capitaux mobiliers d tention et administration de biens mobiliers ou immobiliers de rapport ou non grande libert d action et de d cision dans la limite des statuts dotation en capital consomptible ou non par exemple R sultat plus de 1 200 fonds de dotation fin
20. ise en fonction du projet e mettre en avant la notion d int r t g n ral et d action d sint ress e pour l entreprise cf projets culturels sociaux humanitaires m dicaux scientifiques ducatifs e viser la cr dibilit du partenariat m c ne par rapport au m tier la culture l univers de r f rence aux tendances socio culturelles du moment e se situer en ad quation troite avec le message vis cf positionnement e si possible avec originalit et innovation e pr senter un projet thiquement incontestable pour les salari s de l entreprise Grandvoile 15 04 2014 CE Fu la maison des associations 5 M c nat et pistes de strat gies prandvoile 15 04 2014 CRE N y a al Les pistes emprunt es ee M c nat d entreprise individuel Quelques exemples JMV Strasbourg Caf Sati AAAL Strasbourg S Ideenov Wittelsheim EDF Libre Objet Strasbourg Steelcase gt fait le plus souvent appel principalement la g n rosit des entreprises ou l int r t personnel des dirigeants M c nat d entreprise collectif Quelques exemples le plus souvent en lien avec la culture Fondation du Patrimoine CCI Strasbourg La Filature Mulhouse Le Parlement de musique Strasbourg L comus e d Alsace Ungersheim gt met en avant l int r t bien compris des entreprises Grandvoile AACTING amp COMM 15 04 2014 Ce
21. l doit tre distingu du sponsoring en raison de ses connotations originelles officiellement philanthropiques Il repr sente un service rendu la communaut Grandvoile RAACTINOG amp 15 04 2014 CRE Te pue la maison des associations Sur le plan l gal et fiscal Il n existe pas de d finition l gale du m c nat et du parrainage La terminologie utilis e est celle pr vue par l arr t du 6 janvier 1989 relatif la terminologie conomique et financi re Ce texte d finit le parrainage comme tant le soutien mat riel apport une manifestation une personne un produit ou une organisation en vue d en retirer un b n fice direct Ce texte d finit le m c nat comme tant le soutien mat riel apport sans contrepartie directe de la part du b n ficiaire une uvre ou une personne pour l exercice d activit s pr sentant un int r t g n ral gt Grandvoile 15 04 2014 CE Fu la maison des associations prandvoile 15 04 2014 CES 2 2P g opt Le m c nat en France Lu la maison des associations source barom tre biennal Admical 2014 1 019 entreprises France toutes tailles 3 cat gories TPE PME ETI GE e le m c nat d entreprise en baisse importante le taux global d entreprises m c nes de plus de 20 salari s passe 21 31 en 2012 un budget en baisse 1 8 Md d euros 1 9 Md d euros en 2012
22. ment De nombreux r seaux se mettent en place institutionnels ACFCI AVISE Conseil sup rieur du notariat Ordre des Experts comptables Caisse des d p ts associatifs URSIEA IMS Entreprendre pour la cit R seau Culture 21 entreprises Admical Clubs d entreprises m c nes LE 15 04 2014 Grandvoile ARETINO amp C CRE G 0 P L i Q i Le m c nat en Alsace ya la maison des associations Source enqu te Cimess 2008 400 entreprises alsaciennes de de 20 salari s m thodologie valid e par l Admical cf comparaisons r gionales e m connaissance du m c nat moins de 60 des entreprises en connaissent la d finition fiscale pr s de 45 confondent m c nat et parrainage pratique du m c nat un peu sup rieure la moyenne fran aise pr s de 21 des entreprises ont d j men une ou plusieurs actions de m c nat contre 18 en Rh nes Alpes et 16 en Haute Garonne pr s de 29 des entreprises ont men une ou plusieurs actions de parrainage des actions Domaines d intervention des actions de diversifi es m c nat en 2007 Recherche b 3 6 Environnement sm 8 4 autres bd 12 0 Culture SN 26 5 portes ee a est support de la solidarit see solidarit EN 0 5 15 04 2014 CEE la maison des associations e des b n ficiaires diversifi s pr s de 26 des actions ont des b n ficiaires multiples environ 70
23. nt 43 ne pas utiliser le dispositif fiscal contre seulement 16 des ETI grandes entreprises TPE PME ETI GE EE MEET 10 749 sal i 250 2al et Exprimer incamer 6 5 Int r t g n ral 1 1 Int r t g n ral 9 6 les valeurs de l entreprise Relations avec 70 Image de 5 2 les acteurs du l entreprise 8 2 Int r t g n ral territoire Exprimer incarner Image de 6 9 les valeurs de Image de l entreprise l entreprise l entreprise 9 1 Base entreprises mecenes n 28 TPE n 121 PME n 50 ETLIGE e un m c nat avant tout de proximit NB TPE absentes du 83 des entreprises agissent au niveau local 79 en 2010 barom tre Admical G a entreprises locales PME agissant localement 2012 randavolle PR 15 04 2014 CEE iG argol la maison des associations e les domaines privil gi s sport social et culture le social est choisi par 38 des entreprises et repr sente 23 du budget global le sport attire le plus d actions de m c nat 56 mais ne recueille que 5 du budget gt confirmation du caract re local des actions manant de TPE et PME locales la sant est pr f r e par 28 des entreprises et totalise 16 du budget la culture patrimoine est privil gi e par 23 des m c nes pour 27 du budget global les entreprises m c nes soutiennent 1 9 domaine en moyenne avec 50 pour 1 seul 1 domaine choisi Spor E 5 isbudget Social ES 55 Sant y com
24. ntreprise en tr sorerie La r duction d imp t att nue cet apauvrissement Pour le dirigeant s il y a retour reconnaissance de la part du b n ficiaire et de son entourage quid des salari s O est l int r t pour l entreprise Apauvrissement de l entreprise au profit du seul int r t personnel du dirigeant le don est la limite de l ABS Grandvoile ARBETING amp C MUMICAT 15 04 2014 CRE Te pue la maison des associations e Aucune contrepartie e Contrepartie strat gique e R duction d imp t n 1 e R duction d imp t n 1 e Origine sensibilit e Int gration dans une strat gie personnelle du dirigeant e Souvent sous l impulsion e Projet choisi pour sa coh rence de l environnement avec le positionnement recherch e Reconnaissance de la part e R ponse des objectifs pr cis du seul b n ficiaire aupr s de cibles identifi es e Action ponctuelle court terme e Investissement sur le long terme m me si r p t e avec capitalisation des effets pue 15 04 2014 Ce G 0 ogol la maison des associations Exemple 1 En 2005 deux chefs de PME du Haut Rhin acceptent de verser chacun 3 800 euros pour la r alisation d un lutrin recueil tactile destin permettre la visite du jardinet gothique du Mus e de l uvre Notre Dame Strasbourg Facteur initial la demande mane d un fournisseur tr s appr ci des deux dirigeants et qui est proche d
25. ort du m c ne instruction fiscale 26 4 2000 domaines d int r t g n ral voir cinq domaines du m c nat uvre ou personne artistes associations collectivit fondation ligibles au b n fice d actions m c nes Soutien mat riel voir quatre formes du m c nat Grandvoile AACTING amp COMM 15 04 2014 CE Fu la maison des associations prandvoile 15 04 2014 oo 7 oa re Les objectifs du mecenat pour l entreprise la maison des associations Vis vis de l ext rieur ce n est pas parler de soi Il s agit ouvertement pour l entreprise e de d montrer un r le citoyen e de transcender sa vocation commerciale e de mettre en uvre des moyens d sint ress s valorisants profitables la communaut cf domaines du m c nat gt notion de discours objectif vs discours partial et int ress Vis vis de sa strat gie ses actions peuvent et doivent pr senter des int r ts directs et clairement identifi s a l ext rieur et l int rieur e notori t aupr s d un public tr s cibl e image aupr s de partenaires privil gi s e coh sion interne aupr s des personnels e motivation implication des partenaires conomiques gt v ritable diversit d objectifs compl mentaires dans le cadre de la strat gie de communication globale Grandvoile RAACTINQG A 15 04 2014 RER la sm Les cibles du m
26. pris recherche 28 m dicale EN 16 ee D Culture Patrimoine EN 23 Education enseignement et RE 27 formation E 5 dat i naa BE 15 Solidarit internationale ENA Recherche scientifique et W 6 Part d entreprises enseignement sup rieur EE 12 engag es Environnement d veloppement W 5 Part dans le budget durable i 5 du m c nat Grandvoil AACTINCO k COMMUMICATION 15 04 2014 TES Eu la maison des associations e Commentaires Admical Toutes tailles d entreprises confondues les 3 domaines les plus choisis sont le sport la sant y compris la recherche m dicale et l ducation les 3 domaines les plus soutenus financi rement sont le social la sant et la culture gt La sant s impose comme un enjeu de soci t que les entreprises m c nes souhaitent soutenir gt Le sport reste un domaine o le nombre d entreprises m c nes est majoritaire mais pour lequel la part du budget est tr s faible Grandvoile 15 04 2014 CREER Te APT ogol la maison des associations e M c nat et sport Le sport est choisi par 56 des entreprises m c nes et recueille 5 du budget du m c nat d entreprise soit environ 140 millions d euros gt La part des TPE dans ce type de m c nat est un des facteurs d explication de ce r sultat cf m c nat de proximit Grandvoile RABTING amp COMMUMI M 15 04 2014 CRE Te pue la maison
27. sociations Une n cessit le r seau e les contacts doivent se faire de pr f rence au plus haut niveau pr sident directeur e le relationnel est le premier atout du porteur de projet e un r seau se construit sur le long terme et en permanence il faut savoir se montrer et fr quenter the places to be e les media privil gier sont ceux de l information prioritairement la communication e les r seaux sociaux sont essentiels condition de savoir les utiliser gt formation indispensable Grandvoile 15 04 2014 AABTING amp COMMUMICA CRE Te pef ogol la maison des associations Conclusion br ve gt quelle que soit la tendance et la conjoncture le parrainage comme le m c nat sont possibles condition de conna tre les m canismes de pratiquer la bonne m thode d approche de soigner son r seau de s entourer des conseils des partenaires associatifs experts Grandvoile AABTING amp OC MUMICAT 15 04 2014 Grandvoile AAETING amp COMMUMICATION RER Fu la maison des associations Merci de votre attention Place vos questions 15 04 2014
28. u b n ficiaire de l action Facteur d cisif l op ration est men e via une association bas e Strasbourg qui sert de relais support l op ration pour permettre de b n ficier de la r duction d imp t R sultat l argent est vers une soir e v nement est organis e ult rieurement dans le cadre de l inauguration du dispositif et r unit tous les partenaires de l action Mais aucune suite n est donn e du c t des deux entreprises l action aucune tentative de r cup rer et prolonger l action en interne aucune volont d int gration la communication interne ou externe aucun r sultat en terme d image pour les entreprises Question quel est le b n fice r siduel pour ces deux entreprises M c nat ou don Grandvoile HAE TIMNOQ PA POR 15 04 2014 Grandvoile CRE iG argol la maison des associations M P L l l A c nat et do Exemple 2 Un des deux associ s d un gros laboratoire de proth ses dentaires en Alsace est f ru d art contemporain et entretient des relations amicales avec diff rents artistes connus Il ach te r guli rement des uvres d art qu il expose de mani re permanente dans l entreprise profitant des avantages fiscaux pr vus par la loi d duction sur le r sultat du total de l achat durant 5 ans dans les limites de 0 5 du CA HT annuel Aucune valorisation autre que l exposition de ces uvres n est faite en interne R
29. ur le sociologue le don est un acte social qui suppose que le bonheur personnel passe par le bonheur des autres e sous entend des r gles donner recevoir rendre e cr ateur de lien social et bas sur une r gle de sociabilit primaire la r ciprocit cf contre don Seule exception le don chr tien et musulman la charit chapperait cette r gle puisqu il serait par essence asym trique et sous entendrait l impossibilit de r ciprocit Mais m me celui l attendrait un retour dans l au del Grandvoile 15 04 2014 AABTING amp C CRE Te ET ogol la maison des associations Diff rences et similitudes Pour l entreprise don et m c nat sont de nature diff rente e le don est une motivation personnelle manant du dirigeant motiv e par l int r t individuel la passion l motion et facilit e par une att nuation d ordre fiscal de la contrainte financi re e le m c nat est une motivation strat gique manant de l entreprise et affectant la forme d une contribution ouvertement d sint ress e mais qui vise des objectifs pr cis d termin s en direction de cibles bien d finies valoriser l image de l entreprise susciter en interne des attitudes positives mat rialiser un positionnement etc Grandvoile AACTINO A DOMMUMI 15 04 2014 CRE Te pef ogol la maison des associations Diff rences et similitudes Le don est un apauvrissement de l e
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