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Annexes 1 - Bibliothèque Centrale Université de Ouargla

1. Mois vaporation en mm Janvier 116 F vrier 147 Mars 185 Avril 213 Mai 263 Juin 374 Juillet 346 Ao t 350 Septembre 218 Octobre 191 Novembre 126 D cembre 130 Moy mensuelle 221 58 Source I N C Tab n 15 l intensit de vents de la r gion Mois Vents forts M S Janvier 3 F vrier 2 9 Mars 3 1 Avril 3 5 Mai 3 7 Juin 4 1 Juillet 2 3 Ao t 2 4 Septembre 2 9 Octobre 3 Novembre 3 2 D cembre 2 8 Moy mensuelle 3 Source I N C Annexes 2 les Icones structur es dans les diff rents unit s de production mena y i X Gg er gh Ke Annexe 3 Guide d enqu te EXPLOITATION DE MR PERIMETRE Date des entretiens Age de la personne interrog e Autres personnes pr sentes lors de l entretien Voisins Amis Cat gorie de la personne interrog e Sexe Exploitation IN cole Lieu d habita exploitation Bibliographie de l exploitant interrog e Scolaire Type d tudes Diplomes Professionnelle Quelle profession Dipl me et exp rience professionnelle Histoire des professions exerc es Type d activit Socio conomique salaire Exploitation agricole habitat Description de l exploitation Superficie totale de l exploitation Cultiv non cultiv village ville Nombre de palmiers arbres fruitiers Espace r
2. _ G rer convenablement la dynamique de l eau par une organisation rationnelle des diff rents param tres de l irrigation savoir doses fr quences des irrigations _ Opter pour des syst mes d irrigation convenablement en affinit avec le climat sol et v g tation Travailler l esprit psychologique des exploitants par le choix judicieux d un syst me d irrigation par rapport un autre Vulgariser dans le temps et dans l espace le ou les syst mes d irrigation aptes tel sol ou un tel peuplement v g tal 4 les outils d investigation Les outils essentiellement importants utiliser sont d ordre bibliographique social exp rimentation mod le calage Bibliographie r cente Questionnaires style direct et indirect questions ouvertes ou ferm es Personnes exp riment es dans la dynamique de l eau Th ses articles site internet sur le sujet de la dynamique de l eau M thodologie de travail 5 L approche de travail de notre recherche Notre approche laquelle nous avons li notre probl matique de recherche est celle de la syst mique Ca syst mique nous permettra d tudier et d analyser structure par structure les diff rentes ossatures de notre th me de recherche savoir climat sol eau plante p rim tre exploitation parcelle PARTIE 1 La repr sentativit des diff rentes param tres d crivant les es
3. in Revue M diterran e tome 99 2002 pp 107 110 Dersigny Ch 1997 Pour une agriculture performante et respectueuse de l environnement irrigation Plaquette 6 p CG de l Oise CG de l Oise Doorenbos J et Kassam AH 1987 R ponse des rendements l eau bull FAO d irrigation et de drainage 33 FAO Rome Ducrocq M 1987 Les bases de l irrigation Coll Techniques agricoles m diterran ennes Tex amp Doc Lavoisier Paris et ESU Beyrouth Durand JH 1958 Les sols irrigables tude p dologique dir de l Hydraulique et de l Equipement rural et dir de l Agriculture Alger Fontaine J Infrastructures et oasis relais migratoires au Sahara alg rien Annales de G ographie n 644 2005 pp 437 448 Fontaine J Les population sahariennes Universit de Tours URBAMA URA 365 Les Cahiers d Urbama n 12 et Universit de Franhe Comt Les Cahiers de Universit ouverte n 7 1996 pp 33 34 Ghomari A Dynamique urbaines dans les grandes villes le cas d Oran Magister urba univ de technologie Oran 1998 Gras et Al fonctionnement de l exploitation agricole I N R A App Paris Guillard E 1995 Mieux g rer les probl mes d h t rog n it d aspersion en conditions vent es M m f t ESAP Toulouse Henin S 1968 Evaluation de la stabilit de la structure du sol Paris 514P Hilled D 1974 L eau et le sol principes
4. BOUAMER Brahim p rim tre de ZEHIRAT 70 V 1 5 Exploitation N 5 BOUAMER Abd Rahmane p rim tre EL FERD 70 V 1 6 Exploitation N 6 BOUAMER Belkacem p rim tre EL FERD 73 V 1 7 Exploitation N 7 LAOUAR Ahmed P rim tre de CHAAB LARKOUB 73 V 1 8 Exploitation N 8 DIKAOUA Fodil P rim tre de CHAAB LARKOUB 76 V 1 9 Exploitation N 9 Ben SANIA Mbarek p rim tre ELDJDID 76 V 1 10 Exploitation N 10 TOILBE Chikhe p rim tre ELDJDID 76 V 2 La Parcelle comme unit d cisionnelle 80 V 3 La mise au point du fonctionnement d une parcelle 81 Chapitre VI la description des types VL 1 la description des types 83 Conclusion 86 Partie 3 mod lisation Introduction 88 Chapitre VII l ossature du mod le VIL 1 l ossature du mod le 90 VIL 2 Explication du mod le 92 Chapitre VIII Application du mod le VIIL 1 Les m thodes pour la mise au point du mod le de la dynamique de l eau sur le terrain 95 VIIL 2 La m thode du diagnostic et de la recherche action 96 VIIL 3 L chelle de valeurs du mod le 96 VIIL4 Organigramme des diff rentes phases de la mise au point du mod le sur le terrain 97 Conclusion 99 Conclusion g n rale 101 INTRODUCTION G N RALE Introduction g n rale Introduction g n rale Notre travail de recherche pr sent dans ce document est destin mieux comprendre et mieux cerner la dynamique de l eau dans les
5. p riode hivernale et s talant sur un tempestif de trois mois D cembre janvier f vrier second par une temp rature minimale de 0 c avec un seuil ne d passant pas 4 c Le cycle bioclimatique de la r gion enregistre une moyenne en temp rature de 11 91 C e LA TEMPERATURE d chelle haute ou de p riode chaude dite de longue ch ance d une dur e s talant du mois de Mai Septembre La moyenne enregistr e en cette p riode est d un potentiel de 41 07 C cette temp rature fluctue d une ann e une autre Les amplitudes de temp rature entre le jour et la nuit sont caract ris es par des carts plus au moins grands Tab n 12 temp rature en c B Temp rature en C Moy Max B Temp rature en C Moy Min E de Es Source O N M 2010 Fig n 10 Temp rature Max et Min de la r gion 26 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles e LES PRECIPITATIONS L analyse de la nature du climat est r alis e travers l tude du r gime annuel et mensuel des pr cipitations Les formes pluviales sont des pluies se pr sentant sous des pluies rares et irr guli res dont la valeur moyenne est situ e 41 8mm en 2010 Tab n 13 A travers cette donn e existent des variations interannuelles l exemple des donn es 2004 ou l on a enregistr une intensit de 170 mm au contraire de l ann e 2001 ou l intensit a t d un faible potentiel gal
6. A N R H Agence Nationale des Ressources Hydrauliques O N M Office National de M t orologie Cv Cheval Vapeur D P A T Direction de Planification et d Am nagement du Territoire U Unit P production Liste des figures Figures Titres Pages 1 localisation g ografique de la r gion de GHARDAIA 13 2 limites administratives de la r gion de GHARDAIA 14 3 peuplement de wilaya par commune 15 4 superficie de wilaya par commune 15 5 limites administratives de SEBSEB 22 6 vue g n rale de SEBSEB 22 7 vue g n rale de SEBSEB 22 8 carte de l oasis de SEBSEB 23 9 image satellitaire de Oued SEBSEB 24 10 Temp rature Max et Min de la r gion 26 11 pluviom trie en mm de la r gion 27 12 vaporation en mm de la r gion 28 13 intensit des vents de la r gion 28 14 Milieu physique de r gion d tude 31 15 sch ma de l exploitation de BEN SAHA Atala 66 16 sch ma de l exploitation de OULED EL HADAR Ahmed 67 17 sch ma de l exploitation de DJKAOUA Le Faleh 69 18 sch ma de l exploitation de BOUAMER Brahim 71 19 sch ma de l exploitation de BOUAMER Abd Rahmane 72 20 sch ma de l exploitation de BOUAMER Belkacem 74 21 sch ma de l exploitation de LAOUAR Ahmed 75 22 sch ma de l exploitation de DJKAOUA Fodil 77 23 sch ma de l exploitation de Ben SANIA Mbarek 78 24 sc
7. Les cultures maraich res exploit es sont la tomate l oignon la citrouille le piment la carotte La vente de ces cultures se fait sur champs et d une pratique ancestrale adopt e par les grands commer ants l gumiers l int rieur des p rim tres Dans la plupart des exploitations les syst mes d irrigation sont la submersion et le goutte goutte dont les proportions d utilisation sont variables d un p rim tre un autre avec tout au moins en grande partie la submersion 40 d occupation Le syst me goutte goutte est utilis au niveau des serres et pour une certaine p riode de l ann e octobre mars Pour raison le fort degr de temp rature estim durant la p riode estivale et dont les causes portent sur les canalisations fabriqu es en PVC ne peuvant pas s adapter et devenant cassants Ce qui attrait des pertes normes d eau 63 CHAPITRE V Typologie des exploitations Chapitre V Typologie des exploitations IL 1 Les exploitations agricoles Dans nos enqu tes nous avons proc de un nombre d exploitations gal 10 Ce dernier a t pris en compte par la norme statistique qui stipule qu il faut prendre le 1 10 de tout chantillon caract risant des ph nom nes d tude IL 1 1 Exploitation N 01 BEN SAHA Atala P rim tre de LAHRITE La premi re exploitation est g r e par espace agraire de superficie 2 ha acquis dans le cadre de la mise
8. espace et avoir une bonne manutention L ossature de l exploitation est contourn e par deux parties exploit es l une par trois pivots plac s sous une forme g om trique triangulaire et la deuxi me partie se trouve irrigu e en aspersion d cartement 6 6 m Ce syst me par aspersion est compos par une canalisation principale et une secondaire portant les asperseurs de d bit 1 5 Us et couverture totale Le point d alimentation de ces deux syst mes est un forage de d bit 30 l s et fonctionnant en permanence Mais d faut dans certaines zones plac es juste cot se trouvent dans le dilemme de fonctionnement en intermittence Car ce sol est argileux et la difficult r side dans la faible perm abilit du sol qui ne laisse pas beaucoup transiter l eau d une couche une autre Il est soulever que malgr qu il dispose d un mat riel ad quat destin l irrigation les gammes de cultures sont d un degr d intensification tr s faible Pour d amples renseignements ou rencontre comme cultures oignon carotte et une faible superficie exploit e en cultures condimentaires 68 Chapitre V Typologie des exploitations Exploitation N 3 re L gende Brise vent ew ASsperseurs Ba Pivot Bassin d eau G i Forage Fig n 17 sch ma de l exploitation de DJKAOUA Le Faleh 69 Chapitre V Typologie des exploitations V 1 4 Exploitation N 4 BOUA
9. 49 mm Dans la r gion de SEBSEB il est remarquer qu il n existe v ritablement pas de pluies saisonni res Car les pluies interviennent n importe quel moment et surtout sous forme d orage ou bien sous forme de crachin d une dur e de un deux jours Pluviom trie en mm E Pluviom trie en mm Source O N M 2010 Fig n 11 pluviom trie en mm de la r gion e L EVAPORATION Ce potentiel est inversement proportionnel au gradient de l humidit relative La plus haute valeur dans la r gion est enregistr e au mois de juillet avec une moyenne mensuelle de 221 58 mm tandis que la plus faible valeur est l gitim e la p riode hivernale d une valeur 116 mm entre l intervalle compris entre d cembre et janvier Le total annuel moyen est situ 2658 96 mm Tab n 14 ce qui est norme Ce qui conforme une nette tendance l aridit La quantit ainsi inscrite peut atteindre 3 m tres ce qui indique que cette valeur est non en affinit avec les intensit s de pluie qui deviennent n gligeables Finalement c est un climat d sertique car les r sultats donn s par l vaporation l emportent sur les pr cipitations 27 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles vaporation en mm E vaporation en mm Source O N M 2010 Fig n 12 vaporation en mm de la r gion s LES VENTS Les vents dominants ont une direction Nord Ouest D
10. argile marnes LP DJEBEL d une morphologie diff rente est constitu de roches de dimensions en hauteur et en volume tr s importants Le groupement d un ensemble de djebels forme ce qu on appelle le MAHSSAR gt IL 2 5 2 3 Hamada Pour en terminer avec le contexte g omorphologique la Hamada est une autre structure composant la zone de SEBSEB couvrant la partie Est du territoire Sa description est fonctionnelle par un vaste terrain en formes d ondulation d un caract re doux et ample avec une l g re pente form e l Est de la zone d tude et ou se caract risent toutes les vall es rassembl es dans la dite SEBKHA et sans ramifications La HAMADA se trouve compos e d une superficie de 1800 km2 soit environ 32 de l espace g ographique de SEBSEB 30 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles Ghardaia ATLAS 2004 Pr sentation g n rale de la wilaya WILAYA DE GHARDAIA MILIEU PHYSIQUE WILAYA LAGHOUAT WILAYA OUARGLA L GENDE TT Collines calcaires depressions EME Chebka EM Dalle hamadienne WILAYA LL ERG TAMANRASSET Source Atlas 2004 Fig n 14 Milieu physique de la r gion d tude 31 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 2 5 3 Syst mique g ologique Dans le cadre g ologique la zone de SEBSEB est situ e du point de vue formation au quaternaire continental Les lits d oueds avec les d
11. d eau dans la dynamique de l agriculture de SEBSEB De ce notre premi re partie sera fonction de l organisation et du fonctionnement des agro syst mes qui sont analyses et appuy s par les point suivants La monographie d crite par les l ments physique agronomiques hydriques et surtout par le social qui englobe les agriculteurs r sultante principale de la dynamique agro hydrique Chacune de ces structures se fera voir dans la dichotomie qualitative et quantitative que nous allons consid rer travers les volutions des diff rentes sp culations agricoles finalisant ainsi l obtention en degr plus ou moins des rendements H Dans toute r ponse notre sujet d tude l approche monographico hydrique est la seule qui puisse nous amener juger de la dynamique de l eau dans l ensemble g ographique de SEBSEB ce que nous allons traiter dans ce qui suit CHAPITRE I Les dilf rents concepts d tude Chapitre I Les diff rents concepts d tude L 1 Les diff rents concepts appropries la g rance de l eau dans les agro syst mes Pour juger des qualit s de la g rance de l eau il nous a paru tr s utile de transiter par un certain nombre de concepts n cessaires Ces derniers nous permettent de passer d un ensemble de questions concr tes une ou plusieurs notions abstraites utiles pour la compr hension de la g rance de l eau et ce au niveau des diff rents syst mes d
12. fourrag res et c r ali res Ces diff rentes cultures du cot potentialit ont v ritablement augment et ce depuis la loi et l application de la mise en valeur Dans un contexte plus g n ral les donn es concernant la Wilaya de GHARDAIA la Da ra de METLILI et la r gion de SEBSEB sont d une mani re plus au moins faibles Car les donn es ont t obtenues par des sondages non conformes aux r gles statistiques Les questionnaires utilis s n ont pas t fa onn s sur les styles de formes directe ou indirecte ou l on peut juger la dynamique des unit s de productions phoenicicole 25 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 2 5 La syst mique g n rale dans le contexte climat sol eau plante IL 2 5 1 Le bioclimatique et les facteurs d pendants Le bioclimat de SEBSEB et de type saharien dont la s cheresse et la chaleur sont les premiers ph nom nes prendre en consid ration dans les tudes de fonctionnement des cosyst mes Les donn es informatives qui conditionnent le climat sont enregistr es durant la p riode allant de l ann e 1998 2010 La r gion est fonctionnelle par l existence d une seule station m t orologique qui est celle de Noum rat Qui se trouve situ e 30 kms vers le Nord de SEBSEB La r gion de SEBSEB est sujette deux saisons avec tout au moins les p riodes ph m res transitoires La p riode o les temp ratures se trouvent basses
13. gion d tude la production agro pheonicicole a pris de plus en plus de l importance Scenario n 2 la mise en valeur et les produits agricoles Depuis 1980 date de la premi re application de la mise en valeur un certain nombre d efforts sont consentis pour y rem dier la raret de certains produits agricoles L eau tant un facteur limitant vis vis des unit s de production agricole de la r gion qui sont tr s sensibles aux conditions climatiques La r sorption du d ficit en produis agricoles surtout destin s l autoconsommation est partie int grante de l utilisation rationnelle des disponibilit s en eau acquises par les diff rentes nappes Scenario n 3 le forage des puits et les syst mes d irrigation Les forages des puits permettent l utilisation de l eau qui s tend sur des p riodes assez longues et demandent d normes capitaux ne permettant pas d aboutir une solution dans l imm diat La seule solution en vue est l utilisation et la mise en uvre des syst mes d irrigation ad quats une bonne conomie d eau Scenario n 4 les objectifs des plans de cultures et l irrigation Les objectifs trac s au niveau des diff rents plans de la mise en valeur un grand nombre de points est consacr l irrigation et ce au niveau de l alimentation en eau de la culture du palmier dattier et des cultures sous jacentes Scenario n 5 le blocage de la dynamique par l a
14. indiquent l application de la politique nationale d ajustements entre les diff rentes structures de l conomie et entre autre la lib ration des prix La sensibilit de l conomie est remarqu e travers l augmentation des couts des semences et des engrais min raux Le changement conomique attribu la mise en valeur avait des effets sur la dynamique de l eau d irrigation et sans doute sur la vie quotidienne des exploitants travers les prix des intrants qui se forment d une fa on tr s exorbitante La dynamique de l eau n a pas connu des effets positifs sur les diff rents rendements des cultures par le fait que ces derniers n ont pas progress dans le temps et m me dans l espace o le paysan travers nos enqu tes n est pas sorti de son pessimisme La dynamique de l eau dans son essor est entrain de se d velopper par l utilisation de m thodes archa ques et ce au niveau de choix des syst mes d irrigation et du mat riel s y adaptant Certes les nouveaux programmes de la mise en valeur d crits et soulignes surtout au niveau de la r habilitation des exploitations par la cr ation de forages de puits avec mise en force des nouveaux syst mes d irrigation pivot goutte goutte joints ces projets la construction de bassins de r serve d eau la dynamique de l eau est rest e stagnante Par le fait du fort prix des intrants second s par la facture de prix d nergie l
15. la plus grande surface avec une distribution de l eau qui se fait par canaux s guias et planche fort d bit Le goutte goutte est utilis dans les serres avec une structure d crite par des canalisations principales secondaires et tertiaires et sur lesquelles sont mont s les goutteurs faible d bit de 0 3 0 5 Us Du point de vue superficie l occupation spatiale se fait de plus en plus grande Finalement les exploitants sont fortement sensibilis s pour ce syst me car ils sugg rent qu il est plus conomique et que les manutentions appliqu es sur ce syst me sont faciles et ne demandent pas beaucoup d effort de travail surtout du point de vue d placement du mat riel Comparaison faite avec le syst me aspersion dont le fonctionnement se trouve activ et accentu par plusieurs t ches l exemple de l ouverture et de la fermeture des vannes avec d branchements des canalisations secondaires qui se font pratiquement toutes les 3 6 heures en moyenne par jour 61 Chapitre IV Typologie des p rim tres Les sources d eau se font par l utilisation des nappes d ordre phr atique ou moi plioc ne Les d bits des puits varient entre 10 15 1 s avec des profondeurs variant entre 15 20 m ce qui s explique par la position de la nappe dite phr atique qui se trouve non loin du sol H Ces puits sont creus s par les exploitants et sp cifique chaque exploitant et demeurent une propri t
16. pluviale thermique Ce qui attrait une accentuation de l aridit et une vaporation des doses de pluie tomb es tr s courtes L hiver avec une fraicheur plus au moins grande indique qu il s agit d un climat saharien hiver temp r Dans notre tude de recherche sur la zone de SEBSEB les donn es climatiques restent insuffisantes et ce en ce qui concerne la mise en valeur l exemple de syst me d irrigation de drainage et de la mise en place des cultures l int rieur des unit s de production phoenicicole Finalement le climat g r par les unit s de production phoenicicole pr sente des conditions particuli res dans le fonctionnement des cosyst mes oasiens Toutes les composantes de la mise en valeur en sont intimement li es afin de donner un sens syst mique agraire des cosyst mes d crivant la zone d tude SEBSEB IL 2 5 2 Les repr sentativit s de la syst mique g omorphologique La g omorphologique de la r gion est structur e en trois parties diff rentes La figuration g omorphologique est d crit d un facies compos et dispos en bonnes adjacents de direction Ouest Est Le plus remarquer r side dans les diff rentes parties composants la zone d tude o l on peut les r sumer travers les espaces occup s par la sebkha occupant la partie centrale du territoire Parall lement dans la partie Est on y rencontre une hamada tandis qu l Ouest une haute plaine est a
17. quasiment totale la leur La distribution de l eau se fait suivant les conditions naturelles du terrain Par pompage dans le cas ou la pente est ascendante et dans le cas contraire par coulement dit libre o la pente du terrain est descendante G n ralement le temps de fonctionnement de ces puits est en moyenne 2 4 h par jour durant les p riodes automnale et printani re et de 10 14 h durant la p riode estivale Ces puits sont utilis s pour les irrigations de compl ment par rapport au forage de puits aliment s par la nappe du mio plioc ne dont les d bits les fr quences et les tours d eau se font par partage quitable entre les diff rents exploitants et suivant la r gle de la proportionnalit des surfaces Et dont le d bit fictif critique de pointe est le m me c est dire standard d une unit de production une autre Les temps de fonctionnement de ces forages sont variables et d termin s par le syst me des paliers Dans le premier palier c est l espace o les irrigations se font peu c est dire entre 5h et 10h de la matin e Pour le deuxi me palier c est la fourchette de temps o les irrigations se font partir de 17h de l apr s midi jusqu 4h du matin c est la p riode o les irrigations se font outrance pour la simple raison c est que le prix de l nergie lectrique est de faible co t Tableau n 26 La repartions des terres dans le p rim tre de EL HARI
18. rise en premier lieu une prospection sur le terrain Nous avons proc d aussi des contacts avec la Direction des Services Agricoles Nous nous sommes entretenus avec les diff rents chefs de p rim tres afin de pouvoir disposer de renseignements pr cis O dans un deuxi me temps nous avons entam nos diagnostics et nos enqu tes et ce ou niveau des p rim tres et des exploitations Lors de nos sorties sur le terrain les contacts avec les agriculteurs ont t plus ou moins difficiles car la plupart du temps ils ne se trouvaient pas dans leur exploitation Aussi dans la mesure o un sentiment de m fiance se d gageait 49 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique I 6 La probl matique et l intitul du th me D apr s ce qui a t d crit au paravent et qui retrace les principaux probl mes dont l utilit a pour profit la mise en lumi re du titre de notre th me d tude Qui est ni plus ni moins notre probl matique d finie par l explication et la mise en exergue des diff rents scenarios et aussi par l outil recherche action Finalement l intitul de notre titre de recherche 2 Dynamique de l eau d irrigation dans le p rim tre agricole de SEBSEB r gion GHARDAIA 50 Conclusion Conclusion De puis la cr ation de la mise en valeur dans la r gion de SEBSEB l environnement social n a pas encore connu comme les d crets l
19. tre ELDJDID L cosyst me visit est de petite envergure du point de vue potentialit en v g tal qui se d crit par un nombre de palmiers gal 100 pieds et du m me nombre en ce qui concerne l arboriculture fruiti re La superficie de 2 ha et est attribu e dans le cadre de la mise en valeur Le v g tal du sous adjacent est la culture maraich re exploit e sur une superficie de 1 ha L irrigation se fait sous la forme mono syst me et de type seguia L ensemble du v g tal est irrigu partir d un puits de profondeur gal 23m et d un bassin plac en amont V 1 10 Exploitation N 10 TOILBE Chikhe p rim tre ELDJDID Cette exploitation que nous avons consid r e comme t moin se trouve dans une m me monolithique que l exploitation pr cit e C est dire d crite par les m mes types de cultures savoir palmier dattier au nombre de 100 et 50 pour les arbres fruitiers Les syst mes d irrigation et leur annexe sont de la m me description que l exploitation d crite 76 Chapitre V Typologie des exploitations pO D L 9 di ge x LH L gende Palmier dattier Arbre fruit e Pui Brise vent dur de l exploitation de DJKAOUA Fodil sch ma Fig n 22 77 Chapitre V Typologie des exploitations Exploitation N 9 E Eak ek ek e ke ke ke ke E ke k ek ek e ke ke ke ke E ko ke ke ke ke ke ke ke
20. tre hydraulique disques LTHE Grenoble ANNEXE 1 Annexes 1 Tableau n 1 Densit de peuplement de la wilaya par commune Au 31 12 2010 ae Population Superficie Km Densit Habitants km Ghardaia 114003 3 371 47 06 47 Mansoura 3141 4 812 55 0 65 Total 405015 84 660 12 478 Source D P A T tableau n 2 superficie en km de la wilaya par commune Communes Superficies Km Communes Superficies Km Gharda a 306 47 Zelfana 1 946 23 El M n a 23 920 68 Daya 2 234 94 Bounoura Berriane 2 609 80 Mel 5 010 12 pen 3 382 27 El Atteuf 717 01 Total 84 660 12 Source D P A T Tableau n 12 la temp rature max et min 2010 Mois Temp rature en C Moy Max Moy Min Janvier 19 8 2 F vrier 10 8 Mars E Avril 16 3 Mai I un ER EE Juillet 28 4 soi a EE Septembre 22 9 Octobre 16 6 Novembre 11 5 D cembre 19 6 8 6 Total annuel 206 2 Moy mensuelle 29 26 17 18 Source I N C Tableau n 13 pluviom trie en mm de la r gion Mois Pluviom trie 2010 Pluviom trie en mm Jours de Pluie Janvier 7 3 7 8 18 28 F vrier Av Mai Juin wi A Septembre 2 2 1 2 7 24 Octobre Novembre D cembre Total annuel Moy mensuelle KSE 3 48 2 42 Source I N C Tableau n 14 l vaporation de la r gion d tude
21. un quartier un autre et d un p rim tre un autre La maitrise de l irrigation dite de compl ment qui se trouve incluse de juin octobre n est pas encore prise tude de fond chez les irrigants Les volumes d eau faire attribuer aux plantes palmier dattier et cultures sous jacentes se trouvent non au point chez les cadres techniques et les exploitants Les soldes d eau entre les disponibilit s et les besoins sont de loin analyser et entrepris chaque campagne agricole La r partition de l eau suivant les diff rents cycles v g tatifs des plantes se fait dans l anarchie et dans un d sordre dont les r sultats sont la d sorganisation l int rieur de l cosyst me finalis e par conomie plong e dans une r gression p cuniaire Les responsables des cosyst mes du point de vue durabilit de leurs am nagements n ont pas compris que l irrigation est un investissement lourd et incertain auquel il faut se donner une garantie par une dynamique volutive dans le temps et dans l espace L organisation des irrigations qui se pratique actuellement au niveau de la parcelle n est pas du tout conforme aux conditions impos es par le climat et les param tres hydrodynamiques du sol Les r les que exploitants optent dans leurs travaux quotidiens sont d une part non g r s par des conceptions formant le couple th orie pratique Et d autre part les formes pratiques dont les exploitants font part
22. 6 les relations entre le milieu social et le milieu cologique Les techniques mises au point la fois dans les relations avec le social irrigant et le milieu cologique ne rel vent pas du simple processus Hydro Agricole mais essentiellement des pratiques et des interactions entre les diff rentes structures du mode d emploi et du suivi de l eau par les outils de pilotage l int rieur des parcelles l exemple Du calcul du bilan hydrique la parcelle avec tous les param tres utiles pour le fonctionnement de tel ou tel syst me d irrigation Des diff rentes r serves en eau RFU RU Des caract ristiques physico chimiques du sol De l vapotranspiration De la contribution de la nappe 10 Chapitre Les diff rents concepts d tude Des pertes par drainage Des outils pris en compte pour la conduite de l irrigation l exemple des tensiom tres de la sonde neutrons De la localisation des sites dans les syst mes d irrigation dans les parcelles irrigu es suivant le mode d irrigation Quand et comment irriguer Les conseils prendre en consid ration pour l estimation des investissements l entreprise de tel ou tel syst me d irrigation Concept 7 l alimentation en eau des plans de culture L inqui tude chez la plupart des exploitants est celle qui prend souci sur les insuffisances en eau d irrigation durant les p riodes de pointe Ce qui a fina
23. GE GE GE GE SE GE Monographie des d Ke m mea ES D MES EE SE EEE EEE EIRE De SC EE EE EE dy EE See tres H Les p rim Agricoles Q LAHRITE ELBORDJ ADMINISTRATIF ites de l oasis Im pa 2 L Quart ELBORDJ Een SE SECH EES BEE DEE GE NEE SE GE GEES D es COOL x E Net EE Ka Ee EE KEE Ce SEH SE SEH Quartier LR KEE CS SE S EE E SEN SEN ED e Ge D ege dE ee TERRES LITE SR RES GE RE SE QUARTIER CHAABES EL ARGOUBE Quartier LAHRITE EL ARGOUBE Oued SEBSEB Cours d ions t era E Agglom ZHIRATE tres agricole erime P Vers la RN de SEBSEB oasis carte de l Fig n 8 23 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles JASTAS PO ep enemrores Feun 6 0 SIA Oase 24 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 2 3 r partition des terres occupation des sols mise en valeur La r gion de SEBSEB fait partie de la grande Oasis du GHARDAIA qui regroupe 13 autres Oasis Aussi par son climat elle fait partie du Sahara septentrional caract ris par une aridit et une chaleur excessive surtout durant la p riode estivale Autant dire que le d ficit en eau sujet ce climat a des r percussions trop importantes sur la mise en cultures des cosyst mes caract ris s par l tablissement des coum nes De cette s c
24. L eau est emmagasin e dans la nappe phr atique et au niveau de la nappe mioplioc ne o les am nagements de petite hydraulique agricole sont possibles Entre autre dans cette r gion et dans l tat actuel des connaissances agronomiques et en pr sence des nappes pr cit es ci haut permettant l irrigation et l utilisation outrance de la biodiversit v g tale culture maraich re culture c r ali re culture fourrag re et dont la culture principale est le palmier dattier resteront encore longtemps les principales activit s agricoles Finalement cette zone de grande superficie est destin e mieux permettre de localiser les productions en fixer les proportions de surface et les niveaux d intensit d exploitation Ce choix pris en consid ration est soulign par la facilit de D terminer les ressources du milieu dans leur tat actuel compte tenu de la variabilit du sol de l eau et des cultures D tudier les possibilit s d extension partir de cet tat D laborer un mod le g n ralisable dans l espace en fonction des scenarios d utilisation de l espace agricole De localiser sur des cartes les am nagements correspondants 40 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique Cette zone permet de proc der l quilibre des autres zones du point de vue conomie Celles ci bas es sur la compl mentarit entre les di
25. concernant l utilisation de l eau en l ad quation avec les syst mes d irrigation adaptables aux conditions climatiques du milieu Les attributions des fourchettes ont t d finies sur deux faces Pour l une la repr sentation de 14 des terres en superficie de 3560 ha ont fait l objet de la distribution endog ne aux diff rents p rim tres par contre pour l autre face la distribution de 86 du restant des terres ont fait l objet de l exog ne aux p rim tres 17 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 1 6 La repr sentativit de la typologie des unit s de production phoenicicole La typologie des exploitations agricoles dans la Wilaya de GHARDAI A est d crite dans le tableau ci dessous Tableau n 4 typologie des exploitations agricoles dans la Wilaya de GHARDAIA REGION 01 02 ha 03 05ha 06 10ha 11 20ha 20ha 6285 1321 384 213 413 HEROAN 14 15 6 04 1 5 4 9 Source D S A On remarque que les deux premiers rangs du tableau d crivent un fort pourcentage du nombre d exploitations et au niveau du syst me traditionnel Au contraire du nouveau syst me qui occupe de faibles proportions cela s explique par le faible nombre de personnes demandant s introduire dans la mise en valeur Le recensement de l attribution des terres au niveau de la concession agricole est d crit dans le tableau ci dessous Tableau n 5 nombre de
26. dans leurs taches quotidiennes ne se trouvent enserr es dans un ordre o la dynamique est la centrale de leur conomie d eau subsistante au niveau de la parcelle de l exploitation Les approches d termin es par les exploitants au cours des cycles v g tatifs des plantes et par lesquelles la dynamique de l eau est bas e est de loin de se faire par l tude de bilan hydrique journalier hebdomadier et mensuel Effectivement l approche par le bilan hydrique au niveau de la dynamique de l eau fait progresser dans le cycle annuel agricole la rentabilit des cultures favorisant une plus value importante 80 Chapitre V Typologie des exploitations V 3 La mise au point du fonctionnement d une parcelle La parcelle est un syst me d crite par un certain nombre de structures fonctionnelles sous l gide des entr es et des sorties Ces entr es et sortes se trouvent sous contr le d un certain nombre d appareils destin s la mesure de l eau l exemple du bilan en eau organis suivant les gains pluie RFU RU Geier des pertes tels que l ETP et le drainage Chaque param tre est occup par des outils partir desquels l irrigant se trouve en possession de donn es Pour ce faire les acteurs irrigants sont dans l optique obligatoire de manipuler e Labo anglais d crit par les thermom tres les barom tres le piche etc e Au sol il y a implantation des tensiom tres pour le contr le de l
27. eau de mani re a avoir une id e sur la capacit au champ le point de fl trissement Les pi zom tres pour le contr le de la contribution en eau de la nappe aux diff rents moments de l ann e L obtention de ces diff rentes donn es associ es au mat riel appropri chaque param tre nous font donner une repr sentativit du fonctionnement de la parcelle consid r e comme syst me L entr e en t te de la parcelle sera occup e en permanence par le mat riel d crit ci dessus et qui est destin la mesure de la dose et ce pour calculer la fr quence et le tour avec le module d bit par la source d eau et la vanne La sortie est organis e sous le m me mat riel que pour l entr e Pour essentiel entre l entr e de la parcelle et sa sortie sera d fini le fonctionnement de l unit d cisionnelle la parcelle du point du vue dynamique de l eau La parcelle consid r e comme syst me sera traduite dans le temps et dans l espace par un mod le avec toutes ses dimensions bas es sur des exp rimentations scientifiques L o les diff rences entre les donn es obtenues au niveau de l entr e et la sortie de la parcelle avec tout syst me d irrigation confondu sont des solutions pour mettre sur rail la mod lisation d une parcelle implant e en palmier dattier et cultures sous jacentes Et d une mani re g n rale la mise en lumi re de la dynamique de l eau dont l cosyst me est intimement li
28. en valeur Elle est situ e dans le p rim tre LAHRITE et en sa p riph rie loin du centre de SEBSEB une distance plus ou moins gale 7 km La personne responsable est de Nom BES SAHA ATALLAH g e de 69 ans et originaire de METLILI Pour sa situation sociale il se trouve retrait et sa premi re profession est commer ant propri taire d une quincaillerie L exploitation est dot e de la sp culation traditionnelle le palmier dattier en grande proportion DEGLET NOUR et le reste en vari t locale GHARS La densit par hectare de pieds de palmier dattier est de 120 unit s L arboriculture introduite est de nature orange abricot citron et grenadier se trouve en intercalaire pour certaines lignes et en quinconce pour d autres L image donne une vue de biodiversit agraire rationnelle du point de vue occupation du sol caract risant bel et bien le syst me intensif L exploitant pratique l intensif dans le but de chercher une biodiversit ad quate de cultures et d avoir une plus value positive d terminant une dynamique de l eau d irrigation tr s appr ciable Cette exploitation pratique l levage ovin d un nombre gal 8 et conduit en syst me de cl ture Les circuits sont limit s par une porte menant l ext rieur La surveillance est assur e par un ouvrier dont la mesure o l espace occup par le cheptel est plac proximit de son logement Les sources d eau expl
29. est constat au niveau de la maitrise de l eau attrayant une dynamique agricole n gative Scenario n 15 les m thodes d irrigation et leur utilisation En effet les m thodes d irrigation les m thodes de bien suivre le palmier dattier et les cultures sous jacentes ne r pondent pas seulement et tr s souvent aux pr dispositions du point de vue savoir et savoir faire de l agriculteur Mais d une mauvaise coordination entre les diff rentes actions faire mener l int rieur des unit s de production Un certain nombre de facteurs concoure cet tat de fait dont par exemple le niveau de subvention de l tat vis vis de tel ou tel am nagement le mode de comportement de l agriculteur et ses diff rentes motivations Au niveau de la fourniture du mat riel pour assurer les diff rents am nagements la plupart des agriculteurs se plaignent de la qualit du produit compromettant leurs objectifs assign s durant toute la campagne agricole C est le plus souvent l histoire des moto pompes qui tombent la plupart du temps en panne et la facture de l lectricit qui se trouve avec une charge insupportable Sur le plan de la production et de la commercialisation proprement dit du palmier dattier et des cultures sous jacentes la p nibilit des travaux surtout dans les dunes de sable o les brises vents ne tiennent pas toute l ann e L agriculteur demeure de plus en plus sujet une dynamique r trogr
30. irrigation employ s dans les Agro Syst mes de la r gion d tude Dans ce chapitre nous pr sentons trois groupes de concepts permettant d analyser les faits techniques de la g rance de l eau dans les Agro S yst mes li s l activit agricole 1 1 1 les caract ristiques internes des unit s de production du point de vue agro syst me g rance et appropriation de l eau Concept 1 dichotomie plante milieu technique La conception agricole de la g rance de l eau li e aux caract ristiques internes des U P L Agronome HENIN 1968 a soulign dans plusieurs documents le caract re de l agronomie qui se d veloppe par l apparition et la mise en uvre massive du couple HYDRO AGRICOLE Cette dichotomie propose une construction syst mique fond e sur des structures d ensemble plante milieu technique Elle d gage un point de vue sp cifique sur le fonctionnement d un Agro S yst me Elle est fond e sur les sciences agronomiques l exemple de la p dologie la physiologie v g tale la bioclimatologie et l eau HENIN d finit l irrigation et tout son ensemble comme une cologie appliqu e l agriculture et l am nagement des unit s de production agricole Concept 2 peuplement et l environnement D une mani re g n rale la g rance de l eau d irrigation est li e au peuplement v g tal et l environnement Si l on se r f re la d finition de SEBILIOTE qui
31. l acteur agricole pilote ses syst mes d irrigation Cette question traduit un largissement de la solution la probl matique soulign e dans notre th me d tude L optique de notre th me de recherche vise prendre la diversit des rendements et des techniques dans le territoire de SEBSEB Wilaya de GHARDAIA Nous projetons par l application des m thodes d enqu te le r le jou par les facteurs du milieu H naturel en relation avec les carts de rendements observ s travers les diff rents syst mes d irrigation 1 1 3 les probl mes m thodologiques rencontr s par les agriculteurs du point de vue mise au point d un tel ou tel syst me d irrigation et ce au niveau de leur unit de production Concept 5 les pilotages des syst mes d irrigation par les diff rentes techniques L acteur agriculteur en tant que responsable du pilotage des syst mes d irrigation l int rieur de son unit de production est appel examiner la mise en uvre des techniques concernant eau syst me d irrigation et rendre en transparence ses choix sur la mise au point de tel ou tel syst me d irrigation Il ne s agit pas seulement de prendre en consid ration l emploi de tel ou tel syst me d irrigation par un choix judicieux mais le plus important est de mesurer la dynamique de l eau surtout en ce qui concerne la mise en valeur et ce par le biais des interventions tant physique qu conomique Concept
32. l eau dont les principaux param tres ont t fonction de l intitul de la probl matique d finie priori par un ensemble de scenarios seront suivis p riodiquement lors de la mise en place de notre mod le Par l approche syst mique et la mise en uvre de la typologie nous avons essay de mettre en esquisse une mod lisation de la dynamique de l eau Les assises de ce mod le que l on projette de le g n raliser court et long terme est compos de trois phases O chacune d elles est compos e de diff rents points d taillants les structures et les sous structures permettant une rationalisation du fonctionnement des unit s de production Notre approche en question qui transite du g n ral au particulier et qui permettra de nous int resser diff rents degr s de fonctionnement du p rim tre jusqu la parcelle va nous permettre de mettre au point notre mod le Et qui se g n ralisera court et long terme par la recherche action Dans la deuxi me partie dite exp rimentale est d une mani re g n rale tr s importante quant la d finition de l ossature du mod le Pour renforcer ce dernier nous avons pens faire inculquer une autre approche classique qui est celle du calage du mod le o dans une m me r gion ou une autre figurent des donn es qui nous permettent de faire g n raliser le mod le L inconv nient de notre mod le traitant la dynamique de l eau est que toutes
33. l on peut mesurer leur influence directe sur tel ou tel syst me d irrigation et en conclure quel est l impact de la dynamique de l eau sur le syst me de production agricole Mais l exploitant se trouve dans une situation marginale il nous a paru int ressant d interroger directement les acteurs politico conomiques Cependant il nous parait plus opportun d interroger directement les hauts responsables agraires D une part ces derniers connaissent toutes les opinions et attitudes voire de tous les exploitants D autre part pour notre tude de recherche les donn es recueillies sont priori disparates L id al nous semble en particulier de r aliser une tude qui lie les acteurs politico conomique et les diff rents exploitants agricoles Les d clarations des exploitants quant leur r ponse peuvent tre en partie au moins v rifi es par les hauts responsables agraires Les hypoth ses mises dans ce travail n cessitent une mesure des carts entre les divergences des d clarations des exploitants et celles des hauts responsables agraires Nous avons not que les divergences des r ponses nos questions donn es par les diff rents responsables de la mise en valeur taient trop nombreuses et parall lement celles donn es par l ensemble des exploitants taient d une fa on g n rale convergente Entre exploitants le param tre qui est toujours mis en exergue est celui de la demande excessive des su
34. les mesures des param tres sont fond es sur des situations o les acteurs politico agraires et les exploitants ne se trouvent particuli rement pas sur un travail o les strat gies et les objectifs se concentrent pour l optique d une bonne rationalisation de l conomie d eau aboutissant une dynamique positive de l eau 101 R F RENCES BIBLIOGR APHIQUES R f rences bibliographiques R f rences bibliographiques Anonyme 1996 Dictionnaire technique multilingue des irrigations et drainage ICID CIID New Delhi Arrouays D Chossat JC et Houdusse M 1995 Dynamique de dess chement des eaux d irrigation et rendement du mais grain Zea Mays sur des sols du Tursan Sc du Sol 31 3 109 124 Auriscote a propos de quelques observation sur 8 leveurs ovins laitiers Paris 55p Ballif J L 1998 Dynamique de l eau et irrigation en champagne ditions Johanet Paris Bassez J et Dubalen J 1987 Mat riel et installations d irrigation par aspersion IGER BCMER tome 1 Cemagref Montpellier Bebatia F L appropriation de l espace Alger depuis 1962 Alger Ed Sned 1978 Bendjelid A Brule J C et Fontaine J Am nageurs et am nag s en Alg rie Paris L Harmattan 2004 419p Bendjelid A L organisation urbaine des Bassins int rieurs oranais Th se Paris 1 Paris 1990 416 p Bendjelid A Planification et organisation de l espace en Al
35. ma de l exploitation de BOUAMER Brahim 71 Chapitre V Typologie des exploitations ation D D 0 D Zei Zeg EX age d EELER D 7 Te i E d Se OC EI a kk kk kk kk kk a a a a a g a a a a Palmier dattier Brise vent lsatore Arbre fruit e Brise vent dune Puits Pivot Ruche Logeme Bassin d eau Fig n 19 sch ma de l exploitation de BOUAMER Abd Rahmane 72 Chapitre V Typologie des exploitations V 1 6 Exploitation N 6 BOUAMER Belkacem p rim tre EL FERD Cette exploitation est consid r e comme t moin car elle est d crite par plusieurs syst mes agricoles savoir du point de vue e V g tale palmier dattier les arbres fruitiers e L eau pour l irrigation il y a 2 puits creus s l int rieur de l exploitation et fonctionnant par l interm diaire de 2 moto pompes de puissances gale 2 CV Les syst mes d irrigation sont la submersion et le goutte goutte Le fonctionnement de la m thode d irrigation est la s miotique du couple confondu submersion goutte goutte e L levage la consid ration pour l exploitant est donn e l aviculture fonctionnant sous deux b timents dont les superficies varient entre 8 12 m V 1 7 Exploitation N 7 LAOUAR Ahmed P rim tre de CHAAB LARKOUB Cette exploitation est de type polycultu
36. place d un puits privatif de mani re survenir au d ficit en eau des cultures et augmenter leur superficie en terre Dans le p rim tre EL FRED la population agricole cherche s aligner sur une ligne plus dynamique en tentant de m caniser certains travaux tout en essayant de se sp cialiser dans les cultures de rente l exemple de la culture des arachides destin es la fabrication des huiles Dans certaines exploitations les exploitants s int ressent l levage du camelin avec un faible taux d aviculture Cette derni re est second e par l installation de quelques tables destination bovine Les cultures sous serres se pratiquent d une fa on appr ciable Les grandes cultures tels que le bl les cultures fourrag res sont aussi en progression Dans l ensemble des p rim tres le probl me se pose au niveau du gaspillage d eau o la plupart des canalisations sont l tat d fectueux Les exploitants se trouvent toujours face la recherche d une solution leur permettant de bien rationnaliser les d bits d eau provenant des forages L Etat pratique le retour aux exploitations acquisent dans les premiers temps de la promulgation de la mise en valeur o elles taient abandonn es par certains agriculteurs qui n arrivaient pas joindre les deux bouts d crits par l introduction de nouvelles cultures telles que l arachide l arboriculture fruiti re et surtout l oliver
37. pressions et les dunes constituent sa description La plus ancienne formation g ologique et celle du plateau constitu de roches appartenant au secondaire Dont sa repr sentation est le cr tac moyen ou bien le TURONIEN Cette derni re forme g ologique est le cr tac sup rieur ou dit marin le SENONIEN Brul 2004 A l Est et l Ouest de la Hamada on rencontre les poudingues de constituant calcaires lacustres situ s dans l tre du pliog ne continental Brul 2004 IL 2 5 4 Syst mique p dologique Dans la zone de SEBSEB le cadre p dologique est form de rochers calcaires ou de formes dolomitiques et dont le sous sol est en quantit tr s riches en formation de marne Les Hamadas de nature constitu es de pierres forment de vastes tendues Les bas fonds sont form s de Daya et de lits d oueds d une dimension assez large Les horizons rencontr s sont d crits sous trois types Au niveau de l oued et dans son axe le sol est constitu de sable grossier et dont les l ments fins sont lessiv s par le ruissellement des crues Au niveau du cot Sud le sol est couvet de sable fin sous forme de nappe mass e par l rosion olienne L ar ne variant entre 10 cm 1 m Le sable se trouve dans un tat vif dont la mesure o le sol est diminu d humidit Et d un autre caract re le sol par sa couleur jaun tre indique qu il ya pr sence de gypse Dans la rive Nord le sol se tr
38. quasiment ordonn e la mise en valeur g r e par le cadre de l APFA En ce qui concerne l hydro agricole le nombre de forages destin s l irrigation est au nombre de 02 Forages La profondeur moyenne de ces forages est de 420 m le fonctionnement de la distribution de l eau la t te des exploitations se fait g n ralement par les moto pompes dont la puissance se trouve gale 60 Cv avec un rendement gal 0 9 L alimentation du syst me moto pompe est assur e par un contacteur disjoncteur fonctionnant sous une tension de 320 v D une fa on g n rale les organisations des irrigations sont de plus en plus complexes Les fr quences et les tours d eau des irrigations se font d une mani re anarchique surtout dans les p riodes de grandes chaleurs o la demande en eau est importante On assiste dans la plupart des exploitations la vente des tours d eau qui se pratique souvent entre un exploitant et un autre Les manutentions l int rieur des unit s de production et ce au niveau des parcelles sont de plus en plus difficiles par le fait que les param tres dimensionnels des diff rentes structures des diff rents syst mes d irrigation sont trop restreintes et ne permettent pas une rationalisation du travail Les circuits adapt s l int rieur des unit s de production et l ext rieur du p rim tre ne sont pas en ad quation Surtout ceux concernant les r coltes des cultures en affinit a
39. r colt es Rendements moyens Cultures r alis es r colt es en Qx Ha en ha en ha Cultures wii lm lm om 1900 1900 366700 2666 2666 400000 76 76 3237 3237 117600 Atlas 2009 Du point de vie analyse la production agricole est orient e vers le palmier dattier principale sp culation dans le cadre du fonctionnement des agro syst mes pour les cultures sous jacentes La priorit est donn e aux cultures maraich res de superficie exploit e gale 2666 ha finalisant un rendement de 150 Qx ha Ces sp culations sont d une importance capitale pour l obtention d un gain lucratif de la part du bilan p cunier annuel et ce pour redevance en partie des changes Pour les autres cultures on d gage un faible int ressement de la part de la population agricole car leur optique en partie n est pas d introduire un cheptel d animaux surtout en ce qui concerne le gros b tail 20 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 1 9 Hydraulique Les potentialit s hydriques dans la wilaya ont volu d une fa on lente On enregistre comme volumes et suivant l ordre des nappes Tableau n 11 potentialit s hydriques de la wilaya Volume m Souterraine 747700 Superficielle 671575 Source A R N H Les r partitions d eau sont ordonn es par un pourcentage de 54 occup s par l irrigation 21 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agri
40. rents syst mes IIL 4 la caract risation des syst mes cologiques La r gion de SEBSEB est compos e de 15 p rim tres Le nombre de p rim tres pris en consid ration pour notre tude est gal 5 Et de superficies comprises entre 185 ha et 571 ha Ce nombre a t d termin par la norme statistique gale 1 10 La randomisation est de notre premi re pratique Effectivement le nombre de p rim tre gal 15 dont leur situation se trouve non loin du centre de la zone test et par rapport aux p rim tres restants se situant longue distance dont nous n avons pas pu les visiter par manque de moyens dans ces conditions nous avons pris initiative d augmenter le potentiel de p rim tre gal 5 42 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique gt Les cinq diff rents p rim tres 1 P rim tre ZEHIRAT Le p rim tre en question occupe une superficie de231ha Il est situ au nord ouest de la r gion de SEBSEB 2 p rim tre EL FERD Le p rim tre de FERD est situ 05 km au sud ouest de la zone de SEBSEB Ce p rim tre couvre une superficie de 250 50 ha 3 P rim tre CHAAB ARKOUB Le p rim tre se situe au centre de la zone de SEBSEB avec une superficie gal 571 70 ha 4 P rim tre ET DJEDID La situation du p rim tre se trouve 08 Km par rapport la zone de SEBSEB et d une superficie de 549 ha 5 P rim tre de ELHARITTE Le p rim tr
41. sa mise en forme par des hypoth ses servant la faire v rifier Ce qui a donne notre recherche un plan qui r sume tous les probl mes sous un seul tenant et ce par un ensemble de scenarios qui se font par la structuration d un nombre important de points et qui sont 38 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique Lors d un inventaire des probl mes d finis travers les sc narios par les discours entre les agriculteurs g rant les unit s de production agricole nous avons consid r notre travail sur le terrain sous deux aspects de compr hension et de l expression par e La capacit des agriculteurs assimiler ce qui est leur dit d une part e L aptitude des agriculteurs restituer l information qu ils souhaitent nous transmettre d autre part Les agriculteurs sont orient s vers les questions relatives l utilisation et la gestion de ses ressources et de l espace auricoste1985 Chercher connaitre les fa ons dont les d cisions sont prises les questions entre contraintes diff rentes et leurs r percussions agronomiques suppose un bon contact avec les agriculteurs Le choix des personnes incluses dans l tude Le souci de recueillir les informations les plus fiables possibles conduit s interroger sur l identit des responsables agricoles dans notre chantillon Les exploitants peuvent tre soumis des questionnaires o
42. tres et les unit s de production est la typologie formul e travers 5 types De ce notre point de d part pour mettre en relief le mod le en question est formul par trois phases dont chacune d elles regroupe un certain nombre de points et dans l espace par la recherche action Pour en prendre r sum de ce mod le nous avons d crit ces trois phases tout en prenant comme pr caution qu il doit y avoir une pluridisciplinarit entre touts les acteurs et surtout une interaction entre les diff rentes chelles d crivant ce type de mod le en question La typologie que l on a mie au point va nous permettre de r sumer les trois phases que nous avons pris en consid ration en t te de notre mod le 92 Chapitre VII L ossature du mod le phase 1 la phase est vue sous langle d analyse de la coh rence des actions sectorielles en rapport avec les ressources en eau La structure de cette phase en question regroupe les param tres g n raux de lecture savoir Le rep rage de la cause de la faiblesse des rendements des cultures tels que le palmier dattier et les cultures sous jacentes De ce point pris comme essentiel pour le mod le seront organis es les enqu tes sur l exploitation fonction des syst mes de production La r sultante entre le rep rage et le mode d analyse des enqu tes est la fonction interpr tative des r sultats que nous essayerons d interpr ter par les techniques d i
43. unit s de production phoenicicole de la r gion de SEBSEB Le d crit de ce travail est organis suivant deux tapes savoir 1 La repr sentativit des unit s de production par le biais de la monographie 2 Mesures des stations sous l appellation agro syst mes o par lesquelles nous obtenons certaines donn es et analyses afin d aboutir la typologie principale t che de notre tude La caract risation des diff rents agro syst mes n est autre que la description quantitative et qualitative des unit s de production composant l agriculture de la r gion de SEBSEB Les outils avec lesquels nous avons men notre tude se limite la prise en consid ration de nombreux relev s savoir plan de cultures hydrologie sol irrigation caract ristiques physico chimiques du sol L approche par laquelle nous avons labor notre t che est celle de la syst mique de la zone de SEBSEB Ce type d approche l avantage de mieux comprendre les relations entre structures et structures et surtout pour en avoir une synth se typologique fonctionnant sous diff rents types Les types en question sont li s diff rents param tre dont les plus importants sont d ordre climatique l volution dans le temps et dans l espace de diff rentes sp culations des ressources en eau dans le sol Dans un premier temps ces diff rents param tres ont t recens s par le biais de la monographie des
44. vise tablir des sch mas synth tiques permettant de comprendre comment s tablit le rendement d une culture on comprend que la g rance de l eau est essentiellement li e au peuplement v g tal le climat et le sol soumis l action de l agriculteur en vue d une production Concept 3 la g rance de l eau et ses fonctions La g rance de l irrigation par l eau est fonction de deux types de t ches Celle d utiliser une th orie Agro Hydraulique et celle d agir au niveau de la production agricole par des pratiques sur le terrain L efficience de la g rance de l eau par les diff rentes m thodes de calculs des rendements pr cisent la notion de l emploi de tel ou tel syst me d irrigation comme finalit d analyse des Agro Syst mes OASIENS GRAS et AL 1971 soul vent d j le Chapitre Les diff rents concepts d tude r le des diff rents param tres socio conomiques essentiels la mise en lumi re d une ligne de conduite de la g rance des Agro Syst mes d crits Et Suivant les lignes directrices pour mener bien la g rance de l eau par le biais des diff rents syst mes d irrigation I 1 2 les caract ristiques li es au contexte de la prise de d cision des exploitants agricoles vis vis de l adoption d un tel ou tel syst me d irrigation Concept 4 pilotage des syst mes d irrigation La question qui se pose au niveau de la g rance de l eau est comment
45. y a accumulation de sable l int rieur et l ext rieur des exploitations Cette accumulation de sable s explique par la pr sence de touffes de v g tations spontan es v g t es l ext rieur et proximit de la p riph rie des diff rents types d exploitation Ce qui a donn un style d obstacle ne permettant pas un d gagement facile de l accumulation de sable se mesurant en grande quantit En g n ral d autres contraintes notamment l rosion olienne et l appauvrissement des sols limitent l accroissement de la production compos e en partie par le palmier dattier les cultures maraich res c r ali res fourrag res et arboricoles Cette production est destin e l autoconsommation et en partie la vente qui se pratique dans les centres commerciaux de SEBSEB 57 Chapitre IV Typologie des p rim tres Du point de vue irrigation bien que la r partition de l eau soit bas e sur un principe de proportionnalit entre les d bits et les superficies il y a en r alit une cause importante de diff renciation conomique Les d bits et les superficies ne sont pas en affinit Certaines exploitations sont situ es sur des sols tendance sableuse forte infiltration et d autres sont favoris es par la pr sence d une nappe phr atique faible profondeur Le rapprochement de la nappe phr atique m me sol permet certains exploitants de proc der la mise en
46. 0000CCGCCO00COC0CCG00 GOOO nn 4 00000000 00 00 00 0 000 0 0 nn 4 D D OOOO OOO OOG OO TO OOG OOG Go O D a E a kk GG 0 000 0 000 0 0 0 60 O0 0 D opoopoopopoppopoopooopo0o0o0o0o0p oooo D Ki E Ki S Ki Ki kk k kk kk kkk E 4 t CEEE EE NN 4 MEME HG NO tudi s MELLE TELL PETER TEST ptet tu tu hdd state tata EE EE EE EE A A EA de de me de de SRE Ge 6 6 6 de HT mt tu tu tu tt ts ktat tata tttttttttH kta ta tetat kAEEEEEEEI eue se okok aak kakak k tttttttt CRETE TSI EITIT TTTT L gende Brise vent sanini Brise vent lsstorel Palmier dattier Brise vent dur Arbre fruit e Pivot Asperseurs Oliver Logement Bassin d eau table Fig n 15 sch ma de l exploitation de BEN SAHA Atala 66 Chapitre V Typologie des exploitations V 1 2 Exploitation N 02 OULED EL HADAR Ahmed P rim tre de LAHRITE Pour avoir des donn es sur le fonctionnement du p rim tre nous avons jug utile de proc der une exploitation t moin Le type auquel nous avons appliqu notre analyse est du genre abandon Pour cause l exploitant se trouve dans l impossibilit de subvenir aux charges fixes et variables d gag es dans son unit de production agraire Dans le travail qui suit et dans l optique de mettre en place notre mod
47. 500 ha Les cultures pratiqu es se d crivent avec une forte proposition en palmier dattier associ des cultures en plein champ avec un syst me arboricole assez appr ciable IL 1 5 La mise en valeur et la typologie des exploitations agricoles La S A U exploit e par l agriculture l int rieur de la Wilaya est d une valeur de 1 340 539 hectares y compris les pacages parcours et les terres improductives recens es 172 ha R ellement la S A U exploit e ne repr sente que 0 31 de la superficie totale de la wilaya Le ratio habitant par rapport la S A U est gal 0 08 avec prise en consid ration d un potentiel de 396 452 habitants L accession la propri t financi re agricole les assises juridiques ont t promulgu es par la loi n 83 18 du 13 juillet 1983 Que l on puisse dire que cette action juridique agricole a eu une double fonction dans un premier temps elle a fait voluer la surface agricole S A U et dans un deuxi me temps le social ouvrier agricole subi des changements locaux professionnels importants Comme toute action juridique le premier pas de la mise en uvre de cette action a t biais par le manque de technicit chez les ouvriers exploitants agricoles et aussi par le manque de l utilisation d un mat riel agricole ad quat aux zones sahariennes Les tudes de la mise en place des am nagements hydro agricole n ont pas fait l objet d tudes s rieuses et ce
48. AIA 14 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 1 1 Densit et peuplement La wilaya en question est compos e en priorit par une densit en population de 4 78 ha km Avec une population de 404015 habitants Hassi El Gara S Mansoura 5 Population 1 Hassi El F he Bounoura 1 Sebseb 9 Metlili 0 11 El M n a 10 Daya Berriane 3 8 Source D P A T Fig n 3 peuplement de la wilaya par commune IL 1 2 Les rythmes de la croissance agricole des terres La Wilaya de GHARDAIA est dot e de 8 466 012 hectares et se r partit sur deux types de structures Surface agricole totale 1 370 911 ha Terres improductives non affect es l agriculture est de 7 095 101 ha Superficie par commune Mansoura Ghardaia 5 68 0 36 El M n a 28 25 Hassi El Gara 32 72 Daya 2 64 Berriane 3 08 Metlili 5 92 Hassi El F hel Guerrara 8 12 Bounoura Sebseb Zelfana L El Atteuf 4 00 0 92 5 16 2 30 0 85 Source D P A T Fig n 4 superficie de la wilaya par commune 15 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 1 3 structures agricoles de la wilaya La superficie agricole totale couvre un espace de 1 370 911 hectares avec une surface agricole utile S A U de 30 200 ha Parall lement on rencontre les pacages et parcours d une superficie gale 1 330 539 ha et jointe celle ci une superficie de 172 ha consid r s com
49. E kakak oe k e ke ke ke ke E x D Li D E D D EY D EY D D KEY P KEY k ok ok ok oke ko ko ke E ko ko ko ko ko E L gende Palmier dattier Arbre fruit e Puits Brise vent sstorel Bassin d eau Logement Fig n 23 sch ma de l exploitation de Ben SANTA Mbarek 78 Chapitre V Typologie des exploitations Exploitation N 10 Ay FINE D D D D D D D D ko bk ek ek e ke Es rs Es K kb ok ok ok eko ko koko E ko ke ko ke ke ko ko ke Senenenenile ene ko ko ko ko ke ko ko ke E KE ok ok ok oke ke ke ke ko ke ke ke ke ke ke ke E k ok ok ok eko ko koko E k ok ok ok eko ko koko E Palmier dattier Arbre fruit e Puits Brise vent sstorel Bassin d eau Logement Fig n 24 sch ma de l exploitation de TOILBE Chikhe 79 Chapitre V Typologie des exploitations V 2 La Parcelle comme unit d cisionnelle Au niveau de la dynamique de l eau la parcelle repr sente l unit essentielle pour l irrigant et surtout pour le d veloppement de l cosyst me Les besoins en eau des cultures d irrigation n ont pas fait jour jusqu pr sent Car les repr sentants de la mise en uvre des diff rents syst mes d irrigation n ont pas rationnalis leurs savoirs et savoirs faire sur la maitrise des doses des fr quences et des tours d eau Les besoins d eau sont diff rents d une parcelle une autre d
50. MER Brahim p rim tre de ZEHIRAT A titre d exploitation en rubrique t moin nous avons consid r son espace form par une presque totalit des esp ces v g tales adaptables dans les syst mes oasiens Les cultures exploit es se trouvent organis es p le m le l int rieur de l exploitation La formule adapt e par l exploitant est le solde positif qu il est sens de tirer de son exploitation et d une mani re positive Dans le temps et dans l espace la difficult r sidera sans doute au moment o les rotations des cultures doivent se faire rationnellement L exploitant n a aucune id e de la rotation des cultures par preuve qu il ne respecte par la division de son territoire organisant la s rie des cultures annuellement mettre en place L organisation des irrigations dans ce dit territoire ne pr sente aucune affinit avec les cultures o les fr quences et les tours d eau sont norm ment prendre en consid ration Ces derni res se font deux fois par semaine En plus cet cosyst me pr sente une forme trop complexe du cote de la gamme des cultures Les syst mes d irrigation utilis s sont le goutte goutte occupant la totalit de l espace avec en suppl ment la submersion et le syst me pivot Pour l levage les seuls types sont l aviculture et l aquaculture qui se fait d une fa on dite en aisance V 1 5 Exploitation N 5 BOUAMER Abd Rahmane p rim t
51. Prog APFA e Totale wilaya Anc palmeraies ha Ha ha CDARS GCA ha ha 21173 945 4936 3146 30200 Source D S A Le tableau indique bien que l attribution des terres du point de vue mise en valeur se trouve au plus de 50 des terres occup es par le syst me ancienne palmeraie La mise en valeur progresse d une fa on remarquable par rapport au r gime ancienne palmeraie IL 1 7 La typologie de tout l ensemble de la wilaya des diff rentes unit s de production phoenicicole Tableau n 8 La typologie des diff rentes unit s de production phoenicicole Type Ancienne palmeraie APFA A E concession d exploitation o sa FAT EAP 0 02ha 3 5ha 6 10ha 11 20ha 20ha 0 5 1 0 5 2 Total 4328 1070 4 4893 862 133 427 400 13635 19 Source D S A Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 1 8 Production v g tale Avec tout espace confondu la production v g tale occupe une superficie de 9559 ha Dans ces espaces agraires les diff rentes cultures sont dessin es dans le tableau suivant Tableau n 9 production de palmier dattier du wilaya Nombre total d Dies Se SE Nombre de palmiers en rapport Production Qx palmiers Total wilaya 1191110 913100 390000 Atlas 2009 Tableau n 10 production des cultures sous jacentes du wilaya Superficies Superficies E E e E E Quantit s
52. SS w P Be ke ke tot oe to ko to to ke te e ke ke zk e ke ko koko koko ko to ko koko koko ko to to ke ko Ka AE EI EI o EN ka kl A E D D A EI D D A E D E kat ebe to 6 kat oe tot o 6 koa es to to to ko koko koko L gende Palmierdattier Brise vent lsatorel zj Arbre fruit e Sagia das Bassin d eau Logeme amp mi ASDErsSeurs A Fig n 21 sch ma de l exploitation de LAOUAR Ahmed 75 Chapitre V Typologie des exploitations V 1 8 Exploitation N 8 DIKAOUA Fodil P rim tre de CHAAB LARKOUB Pour compl ter notre tude sur l exploitation pr cit e nous avons consid r e celle ci comme double et l tat t moin Les param tres de compl ment sont dans une premi re grande partie l arboriculture d un potentiel gal 1000 arbre et de double esp ce l oranger et le citronnier Tandis que le palmier dattier se trouve une proportion presque de moiti et d un potentiel gal 450 palmiers Comparaison faite avec l exploitation N 7 g n ralement on rencontre les m mes syst mes organis s par la submersion et le goutte goutte avec comme point d alimentation en eau un puits et un bassin d eau Ce dernier faisant quilibre de d bit entre les diff rentes structures de l exploitation V 1 9 Exploitation N 9 Ben SANIA Mbarek p rim
53. TTE Les p rim tres Superficie totale Nombre Superficie Superficie ha d exploitant exploit ha cultiv ha EL HARITTE 185 83 180 105 Source da ra de Metlili On remarque que le plus grand nombre d exploitations est attribu la mise en valeur 62 Chapitre IV Typologie des p rim tres IV 1 2 Conclusion sur les diff rents p rim tres Les diff rents p rim tres qu on a recens s sont compos s de plusieurs formes de syst mes de production En fonction de nos enqu tes aupr s de l ensemble des exploitants composants les diff rentes unit s de production et des crit res de diff renciation nous tions tout au moins en mesure d finir certains types de syst mes de production et ce d une fa on g n rale Les p rim tres au nombre de 5 ont pris part sur la base de la norme statistique gale au 1 10 du nombre total des sujets Les diff rents p rim tres sont de ligne de conduite et d organisation diff rentes Effectivement on rencontre des p rim tres 1 dominance phoenicicole occupant une superficie gale au moins 70 de l espace agricole de tout le p rim tre avec un syst me d irrigation dominant la submersion 2 plusieurs diversit s de cultures dont la plus dominante est le palmier dattier Et vient en seconde place l arboriculture avec les cultures sous jacentes les maraichers et surtout la culture industrielle l arachide
54. UNIVERSITE KASDI MERBAH OUARGLA FACULTE DES SCIENCES DE LA NATURE ET DE LA VIE ET SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS D partement des Sciences de la Nature et de la Vie MEMOIRE DE FIN D ETUDES En Vue De L obtention du dipl me d ing nieur d Etat en Agronomie Sp cialit agronomie saharienne Option Mise en valeur des sols sahariens THEME Dynamique de l eau d irrigation dans le p rim tre agricole Pr sident Encadreur Examinateur Examinateur Examinateur De SEBSEB r gion GHARDAIA Soutenu publiquement par Devant le jury SAKER ML M C A KAHLSEN C M A A BOUAMAR B M A A LADJICI A M A A BERKAL S M A A Ann e Universitaire 2011 2012 Mr BOUAMER Yassine Le 06 2012 U K M Ouargla U K M Ouargla U K M Ouargla U K M Ouargla U K M Ouargla Remerciements Je tiens remercier vivement tous ceux K qui m ont apport un soutien pour l laboration de ce D M moire de fin d tude particuli rement A mon promoteur M KAHELSEN Cherif qui a bien voulu m encadrer durant ce m moire de fin d tudes et qui a assur la direction et l orientation scientifique de ce travail Je lui exprime mes vifs remerciements et ma sinc re gratitude Aux membres du jury qui auront juger et appr cier ce travail A tout le corps enseignant l administration et le personnel de LITAS tous ceux qui ont contribu de
55. Vent Confort l eau quels sont les l ments d impact sur l tat du p rim tre Et de l exploitation Appr ciation sur son exploitation Etre dans son p rim tre et son exploitation Quel est le v cu dans son exploitation Satisfaction Insatisfaction Quels sont les raisons Quel est le r gime de fermeture et d ouverture de l exploitation Avec les acteurs Politico Agraire L exploitation est elle un espace rassurant pour une bonne Rentabilit des cultures La dynamique de la mise en valeur est elle rassurant angoissante Auquelle on travaille avec plaisir ou d plaisir Le travail dans l exploitation Appr ciation de la mise en valeur du point de vue Irrigation drainage Culture projet hydro agricole appr ciation de l environnement autour du lieu L exploitation agr able d sagr able Condition de l exploitation Proximit loignement du lieu d habitation de ville ou du lieux Potentiels en cas de recherche d achat de mat riel de semences Risques et dangerosit particuli re li s aux diff rents am nagements Tension satisfaction l gard de la mise en place des am nagements Et de la mise en valeur Comment se font les manutention l int rieur du P rimetre L exploitation Quels sont le moyens Espace de l exploitation Probl mes Atouts sur le p rim tre la Daira et la Wilaya Qu
56. ad e compromettant son unit de production En effet il a t prouv que 4 exploitations agricoles par p rim tre se trouvent abandonn es dans les 48 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique 15 p rim tres de la r gion de SEBSEB Autrement dit les agriculteurs ont vers beaucoup d argent pour honorer leurs charges qu ils ont investies dans leurs diff rents am nagements mais les r sultats demeurent sans cho quant l obtention d une plus value A notre avis ce caract re a t un l ment objectif du d couragement pour les agriculteurs Les difficult s que nous avons rencontr es ont surtout t d ordre de d placement et de moyen en mat riel Nous tions oblig s de rester au niveau de la documentation incompl te qui nous a t d livr e par certains responsables de Administration agricole situ e dans la r gion de SEBSEB o nous avons proc d une fouille des archives mise notre disposition Scenario n 16 la dynamique de l eau jug e par nos sorties sur le terrain Nous avons effectu plusieurs sorties sur le terrain o nous avons jug que c tait suffisant Dans un premier temps nous avons proc d vue une enqu te sur les m thodes entreprises du point de vue mise en uvre des diff rents am nagements hydro agricole et le comportement des agriculteurs et un certains nombre d autres facteurs Ce premier travail caract
57. aie avec les diff rents am nagements hydro agricoles qui revenaient tr s chers leur installation La r partition des exploitations agricoles est remarquable au niveau du secteur de la mise en valeur dont les donn es sont enregistr es dans le tableau ci dessous Tableau n 23 La repartions des terres dans le p rim tre de EL FERD Les p rim tres Superficie totale Nombre Superficie Superficie ha d exploitant exploit ha cultiv ha EL FERD 250 50 130 244 200 Source da ra de Metlili La faible proportion en superficie est situ e dans les trois secteurs prive EAI EAC Dont les valeurs sont comprises entre 0 5 1 ha 58 Chapitre IV Typologie des p rim tres 1V 1 1 3 P rim tre CHAAB ARKOUB Le p rim tre se situe au centre de la zone de SEBSEB Les sols de ce p rim tre sont tendance sablo argileuse et en son centre et limoneux sableuse en sa p riph rie Les syst mes d irrigation sont ax s sur la submersion avec des seguias ciel ouvert v hiculant de forts d bits Le syst me goutte goutte est utilis par l ensemble des exploitants qui ont finalement compris apr s vulgarisation de plusieurs ann es que c est le syst me qui peut s adapter dans l environnement oasien avec une conomie d eau tr s appr ciable L organisation des irrigations est li e aux doses d eau la fr quence et au tour d eau Les doses d eau sont fluc
58. ances de nos informations sur les unit s de production phoenicicole et auxquelles nous avons tabli une typologie organis e suivant les diff rents types L approche syst mique laquelle nous tions en mesure de d voiler la probl matique est une aide puissante surtout qu elle est bas e sur l approche d ductive Pour notre th me d tude nous avons pr sent les caract ristiques utiles pour notre propos et ce part enti re pour la mise en lumi re de notre mod le en ad quation avec les param tres du terrain Quelques param tres de la mise en place du mod le sont connus l exemple des variables qualitatives et des variables quantitatives Il nous a paru int ressant pour la projection de notre th me de prendre en consid ration deux types de variables que nous avons l intention de suivre sur le terrain Les variables d crivant le milieu un instant t l exemple de la capacit de r tention de sol de la R F U et du point de fl trissement Parall lement ces variables et pour mettre en d finitif le mod le il est d int r t de proc der la prise en consid ration des variables d action l exemple de l tude des flux d eau qui se d termine par les entr es et les sorties de l agro syst me L chelle des valeurs de la r alisation du mod le sur le terrain se trouve l inverse des chelles prises en consid ration dans la d termination de la probl matique et ce en
59. ans la r gion les vents sont d une vitesse tr s importante avec une intensit maximale pouvant atteindre les 36 m S source O N M La p riode printani re est la plus perturb e Tab n 15 intensit des Vents M S 4 1 35 7 3 29 EIN E Vents forts M S Source O N M 2010 Fig n 13 intensit des vents de la r gion s L INSOLATION La dur e d insolation dans la zone est de 07 heures par jour durant toutes les saisons Par contre la dur e d clairement solaire est plus importante au niveau de la p riode estivale qui est gale 12 heures d ensoleillement par jour 28 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles e CONCLUSION SUR LA NOTION CLIMATIQUE DE LA REGION Dans l tude climatique de la r gion les sous param tres qui nous ont int ress s sont la temp rature les pr cipitations et l vaporation Ce sont les param tres essentiels auxquels la mise en valeur des terres est li e et ce dans le but d viter la d sertification Entre autre la faiblesse des pr cipitations de cette zone saharienne indique que finalement les doses d irrigation sont importantes durant les grandes chaleurs O il y a une tr s forte vaporation et de grands carts de temp rature Plusieurs tudes agronomiques sugg rent que la zone d tude est dot e d un climat hyper aride et pr sente une s miotique x rique En plus il y a une continuit
60. ant les acteurs politico agraires et sa famille Vuln rabilit Ressources li es la personnes Handicap age ACCESSIBILITE Structures de la mise en valeur du point de vue am nagement Quels types d am nagement Y a t il absence de recours SOUTIEN SOCIAL Qui peut aider __ Venir en visite pour le domaine de la vulgarisation Quelles sont les personnes les plus proches Quel est l tat du voisinage et ce que l on peut en attendre Quelles sont les personnes ressources sur lesquelles on peut compter En cas de probl mes ECOLOGIE Y a t il quilibre d s quilibre dans les diff rents types D am nagement Quels sont les mat riels utilis s quels sont les diff rents agencements entre eau sol et la plante Et en ce qui concerne les am nagements Hydro Agricole quelle est la production des plantes et des animaux quel est le syst me de r gulation lieu am nager environnement de compensation interne l exploitation CONDITION DE L EXPLOITATION Description Mat riel Observation sur les diff rents travaux Transition entre l espace de l exploitation et l ext rieur ZONE DU PERIMETRE Eat central Etat p riph rique D grad R nov Comment l exploitation va d finir son minimum d am nagement Et ce en ce concerne son espace de mise en valeur L EXPLOITATION Salubrit de son exploitation Orientation
61. au fonctionnement des puits qui se fait difficilement ce qui attrait l obtention des faibles rendements IL 2 6 La syst mique des productions agricoles Dans l tude des espaces implant s par les diff rentes sp culations agricoles nous remarquons qu il y a plusieurs syst mes de production La production agricole est sujette deux facettes L une o une partie est destin e l autoconsommation pour les habitants et l autre partie une finalit de vente dans les centres commerciaux urbains Les syst mes de production sont diff rents d un p rim tre un autre et d une unit de production phocnicicole une autre De fa on avoir une id e sur le fonctionnement des cosyst mes pr sents dans la r gion nous avons cern notre recherche par l approche syst mique o nous avons pris comme d marche fonctionnelle la monographie par iconique descriptive Pour ainsi les principales productions rencontr es sont pr sent es par des tableaux d crits ci dessous Les donn es qu on a pu r colter par le biais des services agricoles de l unit administrative agricole de SEBSEB sont les suivantes ce pour l ann e 2010 2011 IL 2 6 1 phoeniciculture Dans nos enqu tes au niveau de la D S A et des sub structures cette derni re nous avons dans un premier lieu pris en consid ration la sp culation figur e par _ la phoeniciculture Tableau n 16 la production de palmier dat
62. bventions budg taires de la part de l tat qui s expliquent par la chert des produits agricoles et le mat riel dont ils n arrivent pas provenir son achat l exemple de la moto pompe 39 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique II 2 Le Choix de la r gion des p rim tres et des U P L objectif essentiel de notre travail expose les r sultats d une enqu te men e en p riode 2011 2012 et dont la finalit tait de d crire les syst mes de production pratiqu s maintenant que l irrigation est organis e par diff rents syst mes Les r gions organisant la wilaya de GHARDAIA sont au nombre de 13 Notre zone test est celle de SEBSEB d une superficie de 115 083 ha Et est situ e 40 km au Nord Ouest de GHARDAIA D une part le choix de cette r gion a t beaucoup plus ax sur les disponibilit s en ressources hydrique sol agriculture Que les pouvoirs tatiques se m lent en convoitise pour une meilleure mise en valeur dont le but est essentiellement pour la mise en place des am nagements tendance durable Et d autre part au centre de la r gion des basses plaines jalonnent l oued La r gion est soumise une moyenne pression humaine 10 habitants km environ Irr guli rement repartie Les plus importants secteurs d occupation se trouvent proximit du lit d oued o il a possibilit de creuser des puits et des forages d eau
63. coles IIL 2 La commune de SEBSEB IL 2 1 Situation g ographique SEBSEB est situ e dans la wilaya de GHARDAIA 60 km du chef lieu Elle est limit e au Nord par la commune de METLILI CHAANBA au Sud par la commune de AIN BEIDA relevant de la wilaya de OUARGLA l Ouest par la commune de BRIZINA relevant de la wilaya d EL BAY ADH et enfin l Est par la commune de MANSOR AH WILAYA EL BAYADH WILAYA OUARGLA fig n 5 limites administratives de SEBSEB IL 2 2 Origine du nom L origine du nom de SEBSEB tient au fait qu elle se situe dans une r gion saharienne d sertique o poussent des arbustes de mani re clairsem e ceci d une part et d autre part cause des sources d eaux naturelles qu elle renferme jusqu pr sent Ces sources coulent de fa on continue l image de la source de Koufafa Tlilat et de Beni Nakhil Avant de prendre ce nom SEBSEB tait anciennement appel e Oued Mesk en rapport avec l Oued qui la traverse Il s agit d un grand cours d eau entour d arbres et de broussailles typiquement sahariens o vivait grande vari t de gazelles et d o tait le produit notoirement connu appel Tib El Misk fig n 6 vue g n rale de SEBSEB fig n 7 vue g n rale de SEBSEB 22 Chapitre Il les s agrico 2 rentes unit QUARTIER ELBASBASSA ff i BELFESSIAN GARA DE Vers Blkhanfous ise en valeur en cours m EE e E NEEE EED n E
64. constitu par les nouveaux am nagements mis en place l int rieur des unit s de production agricole avec tout le niveau technique qui requi rent pour la production pho nicicole La mise en valeur est un ph nom ne nouveau pour l agriculteur pho niciculteur qui est plus habitu avec des m thodes traditionnelles Le second l ment c est que la modernisation de l agriculture saharienne instaur e l int rieur des unit s de production est g r e par des agriculteurs non vulgaris s dans le domaine de l agronomie saharienne Cet l ment qui peut tre consid r comme une cons quence de l instabilit des cosyst mes du point de vue dynamique nous permet de penser que le choix d un am nagement agricole par rapport un autre ne s est pas ancr sur la base d une syst mique o toutes les structures sont li es en formant une pluridisciplinarit des diff rentes disciplines agricoles Sur le plan de l hydro agricole ce qu il y a le plus remarquer c est l absence totale de la vulgarisation surtout en ce qui concerne les am nagements l exemple des syst mes d irrigation s articulant autour des trois points Les cultures irrigu es Les am nagements des irrigations Le d veloppement des cosyst mes oasiens Le probl me dont souffre l agriculteur c est qu il manque de qualification pour g rer son exploitation et ce dans le domaine de l hydro agricole Le r sultat
65. de SEBSEB 35 19 production des cultures fourrag res 35 20 production d arachide 36 21 R partitions des exploitations agricoles de SEBSEB 55 22 La repartions des terres dans le p rim tre de ZEHIRAT 55 23 La repartions des terres dans le p rim tre de EL FERD 58 24 La repartions des terres dans le p rim tre de CHAAB ARKOUB 59 25 La repartions des terres dans le p rim tre de ET DJEDID 61 26 La repartions des terres dans le p rim tre de EL HARITTE 62 Table de mati re REMERCIMENT DEDICACE LISTE DES ABREVIATIONS LISTE DES FIGURES LISTE DES TABLEAUX INTRODUCTION GENERALE 1 M thodologie de travail 2 Partie 1 la repr sentativit des diff rentes param tres d crivant les espaces agricoles et la probl matique Introduction 7 Chapitre I les diff rents concepts d tude L 1 Les diff rents concepts appropries la g rance de l eau dans les agro syst mes 9 I 1 1 les caract ristiques internes des unit s de production du point de vue 9 agro syst me g rance et appropriation de l eau I 1 2 les caract ristiques li es au contexte de la prise de d cision des exploitants 10 agricoles vis vis de l adoption d un tel ou tel syst me d irrigation L 1 3 les probl mes m thodologiques rencontr s par les agriculteurs du point de 10 vue mise au point d un tel ou tel syst me d irrigation e
66. de l eau dans la r gion de SEBSEB a t fonction de plusieurs param tres d tude savoir sol eau plante La m thode de recherche a t celle de la m thode dite d ductive laquelle nous avons essay de d couvrir la probl matique Cette derni re est consid r e comme laquelle nous devons arriver d terminer l objectif de l action appartenant au mod le ins rer sur le terrain Le mod le demande une unit d cisionnelle au niveau chaque action de mani re progresser dans le temps et dans l espace d une fa on logique et ponctuelle avec des moyens appropri s la dynamique de l eau La probl matique et la mise sur pied du mod le sur le terrain sont dans un rapport inverse mais dans un m me outil de recherche la recherche action 98 Conclusion Conclusion L optique du travail d crit dans cette partie est l aboutissement un mod le sur la dynamique de l eau dans les unit s de production phoenicicole Ce mod le formul partir des donn es obtenues par diagnostic et enqu tes et dont nous l avons organis par une typologie d une s rie de 5 types sera dans notre intention a le faire g n raliser court et long terme travers les diff rentes ondes savoir grande moyenne et microscopique espace Ce mod le se trouvant dans l ossature de la mise en valeur aura une importance capitale quant la mesure de la dynamique de l eau dont les di
67. diff rents sites Finalement cette approche qui va de la grande onde ou du grand espace qui est SEBSEB vers l unit de production nous permettra de nous int resser diff rents degr s l ensemble des unit s de production qui n a autre objectif que e De d voiler la probl matique e De finaliser en derni re tape la mod lisation H Le mod le est dont notre intention de la g n raliser court et long terme par l outil recherche action m thode inductive Axe 2 probl matique finale Feed back M thodologie de travail Structuration de la m thodologie de travail m thode d ductive B Elaboration des questionnaires Echantiuonnage M thode statistique 1 10 de l effectif D limitation de la premi re forme de la robl matique primaire probl matique g n rale de travail eg Corps d hypoth ses Les objectifs de la r solution de la probl matique de travail calage du mod le Axe 1 assimilation ressemblance Mod lisation g n ralisation Les 3 axes Echantionnage Questionnaires Pour chaque point du mod le M thodologie de travail M thodologie de travail 1 Les diff rents segments L tude de recherche sur notre tude la dynamique de l eau se voit cerner par trois segments d finissant les parties 1 partie La premi re partie introduit La repr sentativit des diff rentes para
68. e 81 CHAPITRE VI La description des types Chapitre VI La description des types La description des types Type I Cultures culture maraich re arboriculture palmier dattier Syst me d irrigation goutte goutte aspersion pivot submersion Ce type est d crit par des agriculteurs dont l ge varie entre 40 et 65 ans avec une famille sa charge Son objectif est d avoir un revenu maximum en exploitant plusieurs cultures en syst me intensif Ses strat gies c est de maintenir un syst me palmier dattier plus cultures maraich res lui procurant un b n fice important Tout en limitant les charges et en faisant augmenter les investissements par la recherche d un autre emploi temporaire pour avoir une somme d argent en plus lui permettant de mettre au point ses diff rents am nagements La production totale agricole se divise en deux tranches une partie de sa production agricole est destin e l autoconsommation et l autre la vente Pour les moyens de production l agriculteur se trouve en possession d une superficie comprise entre un a deux hectares de palmier dattier le reste en cultures maraich res La main d uvre est g n ralement compos e par les membres de sa famille fils cousins Les cultures maraich res sont destin es une parie la vente et l autre l autoconsommation Le type en question est r gi par des faibles rendements en palmier dattier et par de
69. e de ELHARITTE est situ au nord West de SEBSEB avec une superficie gal 185 ha gt Les dix exploitations les caract ristiques de fonctionnement 1 Exploitation N 01 BEN SAHA Atala P rim tre de LAHRITE 2 Exploitation N 02 OULED EL HADAR Ahmed P rim tre de LAHRITE 3 Exploitation N 3 DIKAOUA Le Faleh p rim tre de ZEHIRAT 4 Exploitation N 4 BOUAMER Brahim p rim tre de ZEHIRAT 5 Exploitation N 5 BOUAMER Abd Rahmane p rim tre EL FERD 6 Exploitation N 6 BOUAMER Belkacem p rim tre EL FERD 7 Exploitation N 7 LAOUAR Ahmed P rim tre de CHAAB LARKOUB 8 Exploitation N 8 DJIKAOUA Fodil P rim tre de CHAAB LARKOUB 9 Exploitation N 9 Ben SANIA Mbarek p rim tre ELDJDID 10 Exploitation N 10 TOILBE Chikhe p rim tre ELDJDID 43 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique II 5 Nomenclature des scenarios La dynamique de l eau dans la r gion de SEBSEB a des retomb es certaines et particuli rement dans les cosyst mes de la mise en valeur Scenario n 1 les plans de culture et l alimentation en eau Les unit s de productions pho nicicole sont d autant plus touch es par l alimentation en eau des plans de cultures qui prend une allure inqui tante Aussi depuis la cr ation de la mise en valeur dont les zones de la r
70. e de la p riph rie Ouest d Alger Draria Magister sociologie en langue arabe Universit d Alger 2003 Mutin G Am nagement et d veloppement d Alger Bull soc Lang G ographie 2 3 Montpellier 1986 Perarnaud V et Rayand N 1991 Agrom t orologie Cours et Manuels n 4 Ecole nationale de la m t orologie M t o France Direction de la M t orologie Nationale paris Peyremorte P 1983 Des tensiom tres pour am liorer la conduite des arrosages perspectives agricoles 67 42 53 Rebour H et Deloye M 1971 Irrigation les r seaux d irrigation th orie technique et conomie des arrosages Eyrolles Ed Parise RNED HA 1990 Irrigation guide pratique Cemagref Antony Rolland L 1980 La m canisation de l irrigation par aspersion Bull n 35 Irrigation FAO Rome Safar Zitoun M Dynamiques sociales et rigidit s institutionnelles ou la ville confisqu e par l Etat Cahier Discussion paper 4 94 Villes et D veloppement Montr al 1994 Safar Zitoun M Strat gie sociales et patrimonialisation Alger 1962 1992 Paris Ed L Harmattan 1997 Sanchez K 1997 Qualit de la r partition de l irrigation en conditions vent es M m f t ESAP Toulouse Sebliotte M 1974 Agronomie et agriculture essai d analyse des taches de l agronomie Paris 25P Thony J L 1993 Note aux utilisateurs des infiltrom tres TRIMS conductivim
71. e dynamique positive dot e d un solde conomique positif Pour raison c est que les superficies exploit es sont de petite dimension agraire A c t de cette forme d crite existent d autres types o les syst mes sont dits de r novation Les sols sont g n ralement quasiment tr s en mauvais tat Ce qui laisse pr voir beaucoup d investissements et de travail c t de ces deux types le plus faire valoir dans le fonctionnement de ce p rim tre est celui de cr ation nouvelle L exploitant apr s avoir mis ses terres en mise en valeur se trouve en attente dans une phase morte ou de sacrifice En attendant sur un nombre d ann es sup rieur a cinq l entr e en production de sa production datti re et arboricole 60 Chapitre IV Typologie des p rim tres Tableau n 25 La repartions des terres dans le p rim tre de ET DJEDID Les p rim tres Superficie totale Nombre Superficie Superficie ha d exploitants exploit e ha cultiv e ha ET DJEDID 549 80 319 335 400 Source da ra de Metlili Le chiffre attribu dans le cadre de la typologie des exploitations est celui de la mise en valeur Les superficies varient entre 1 20 ha I1V 1 1 5 P rim tre de EL HARITTE Le p rim tre de EL HARITTE est situ au Nord West de SEBSEB La nature du sol de ce p rim tre est de m me nature que celle composant les autres p rim tres savoir limon
72. e par les acteurs politico conomiques dans le cadre de l APFA La surface agricole occup e par le palmier dattier et les cultures maraich res ont progress mais timidement Dans la p riode 2008 2011 le syst me de production dominant associait le palmier dattier l arboriculture en moyenne quantit et surtout les cultures maraich res destin es l autoconsommation et m l es la vente au march Ces derni res ann es proclamant la fin de la mise en valeur plusieurs types de syst mes d irrigation ont t mis en place Il en a r sult un accroissement important des surfaces en cultures maraich res en irrigu Auparavant les cultures taient irrigu es par le syst me par planche ou seguia Les produits agricoles que se soit dattiers ou maraichers sont vendus sur le march local prix moyennement lev et irr gulier et ayant tendance d croitre avec la saturation progressive du march En affinit avec les pr visions l irrigation est utilis e sur le palmier dattier et les cultures sous serres avec tout au moins un faible pourcentage en plein champ Il est remarquer que les rendements des cultures n ont pas progress et demeurent de plus en plus constants L objectif essentiel de notre travail expose les r sultats d une enqu te men e en p riode 2011 2012 et dont la finalit tait de d crire les syst mes de production pratiqu s maintenant que l irrigation est organis e par diff
73. ectrique et du m tre cube d eau dont les exploitants n ont pas pu supporter Ce qui a eu pour cons quence pour certains exploitants l abondant pure et simple de leur terre attribu e par la mis en valeur Afin de comprendre au mieux le d veloppement de la dynamique de l eau nous avons utilise comme outil les questionnaires que nous avons d velopp s travers nos enqu tes et dont les r sultats se recensent dans ce qui suit dans la deuxi me partie dite exp rimentale les diff rent points de nos r sultats se r sument l La M thode 2 Les R sultats 3 L Analyse 51 PARTIE 2 Mat riel et m thode Introduction Chapitre VI Typologie des p rim tres Chapitre V Typologie des exploitations Chapitre IV Descriptions des types Conclusion Introduction Introduction L tude de notre th me sugg r e par la dynamique de l eau l int rieur des unit s de production agricole et organisant l espace de SEBSEB est un imp ratif ce qu il doit tre structur par un ensemble de segments ou dans le premier on a proc d la d couverte de la probl matique avec sa v rification conditionn e par des hypoth ses et des objectifs pour sa r solution dans le temps et dans l espace Par contre dans le travail qui suit et qui traite le deuxi me segment c est en partie l exp rimentation qui se voit d rouler sur un certain nombre d exploitat
74. els sont les atouts ressources qualification du p rim tre de Exploitation de la Daira et de la Ville Le p rim tre et l exploitation par rapport a ce qu ils rapportent Choix des moments de la mise en place des am nagements Emploi du temps et utilisation de l espace destin a la mise En valeur Sensations li es aux capacit s d utilisation de l espace terrien Destin la mise en valeur Vous sentez vous tr s mal a l aise lors de l entretien Mal Bien tr s bien ne sais pas
75. es Durant la campagne agricole il lui arrive qu il ne peut pas subvenir ses travaux agricoles surtout durant les p riodes de pointe Par son faible quipement en mat riel 11 fait recours d autres gains lucratifs Le probl me important c est l alimentation de son cheptel en fourrage dont il ne peut avoir des quantit s importantes Pour raison il se donne l achat dont le prix du quintal est surestim Pour le mat riel d irrigation il se limit l aspersion dont le pivot est le moyen le plus s r pour lui faire valoir son conomie d une fa on plus positive Il projette d quiper son exploitation par l achat en grand nombre de mat riel aratoire Il dynamise beaucoup plus l exploitation des ses cultures maraich res par l introduction de nouvelles vari t s avec l achat d un motoculteur Pour la main d oeuvre il emploie une main d oeuvre temporaire Type IV Cultures palmier dattier arbre fruitier Syst me d irrigation submersion goutte goutte Agriculteur g de 35 50 ans il est muni d une optique dynamis e pour conserver un capital par un petit revenu en limitant les charges en travail Maintien du syst me palmier dattier avec en intercalaire l arboriculture Augmenter les superficies en arboriculture fruiti re et en introduisant beaucoup plus l arachide sp culation du troisi me ordre avec aussi en projection la culture de l oliveraie Il fait recours la do
76. es cycles v g tatifs des plantes Par contre le deuxi me est d ordre lucratif finalit d obtention d une plus value importante et de souci principal vis vis de l exploitant agricole Les superficies occup es par ces cultures sont de 164 hectares La production annuelle en quintaux est de 31150 Qx en l gumes Essentiellement composes en cucurbitac es et en solanac es et autres le potiron le melon la courge la carotte l oignon etc A Actuellement la pomme de terre est introduite sur des petites superficies de fourchette comprise entre 0 7 ha et 1 ha avec comme syst me d irrigation le pivot Le rendement moyen est de 250 Qx ha Ce qui est logique en comparaison avec les normes th oriques et qui sont de 250 Qx ha Tableau n 18 production des cultures maraich res de SEBSEB Type Superficie ha Production Qx Rendement Qx ha Carotte 70 14000 200 Navet 15 3000 200 Oignon 35 7000 200 Ail 05 250 50 F ve 25 5000 200 Petit pois 04 800 200 Epinard 02 300 150 Total 164 31150 Source Da ra de metlili IL 2 6 4 Les cultures fourrag res Malgr que cette culture est primordiale dans la syst mique des exploitations agricoles surtout dans le sens o elle est utilis e pour l alimentation des animaux ch vres moutons chameaux etc Elle est faiblement repr sent e Les principales cultures v g t es sont l orge la luzerne Tablea
77. et processus physiques Vander Ed Louvain Kouzmine Y Les villes sahariennes alg rienne et le d veloppement urbain durable ville r elle ville normative bulletin de la soci t neuch teloise de g ographie 2006 pp 85 103 Kouzmine Y L espace saharien alg rien dynamiques d mographiques et migratoires maitrise G ographie Universit de Franche comt 2003 243p Mathieu C 1982 probl mes agro p dologiques pos s par la mise en valeur hydro agricole des sols des zones m diterran ennes semi arides exemple de la Basse Moulouya au Maroc oriental l Agronomie Tropicale IRAT I 30 50 Paris Mathieu C 1987 Influence du travail du sol sur la structure et les rendements en condition d irrigation au Maroc oriental p dologie XXXVII D 21 41 Gand Mathieu C et Ruellan A 1987 L volution morphologique des sols irrigu s en r gion m diterran enne semi aride l exemple de la Basse Moulouya Maroc Cah ORSTOM s r P dologie XXII D 3 25 Paris Merlin P G ographie de l am nagement Paris PUF 1988 334p Monnier G et Stengel P 1982 La composition granulom trique des sols un moyen de pr voir leur fertilit physique BTL 370 372 503 512 R f rences bibliographiques Mouaziz N L gislation fonci re et r alit s le cas de l agglom ration d Oran Magister urba univ de technologie Oran 1998 Malta L Enjeux fonciers dans une commun
78. euse sableuse argileuse Les surfaces occup es par les cultures sont tendance datti re arboricole fruiti re et maraich re Plus de 80 des exploitants vendent et auto consomment une partie de la production datti re et des cultures maraich res Le reste des exploitants se donnent la vente des arachides et des fruits r colt s au niveau de l oliveraie du grenadier et du citronnier de faible production Pratiquement on rencontre les deux syst mes savoir intensif et extensif et d une mani re d s quilibr e 30 en intensif et 70 en extensif La plus grande partie des exploitants exploite une superficie d environ 1 2 ha de type jardin dont la principale sp culation cultiv e est la luzerne avec en petite quantit les cultures maraich res Dans les exploitations de ce p rim tre les exploitants pratiquent les cultures de faible rente savoir l oignon la tomate les past ques les piments la citrouille dont une partie est destin e l autoconsommation et une partie la vente Les arbres fruitiers rencontr s dans cet espace p rim tral sont des arbres de d but de verger c est dire un stade non encore productif Les esp ces recens es sont le citronnier le figuier le grenadier dont l implantation des pieds se trouve entre les rang es de palmier avec une densit de 80 arbres par hectare L irrigation est assur e par une trilogie de syst mes telle que la submersion occupant
79. ff rentes exploitations du point de vue rente rapport e par la culture du dattier et les cultures sous jacentes Le lucratif rapport par ces derni res est aujourd hui remis en cause au niveau des autres zones et ce en raison d un manque d organisation entre les diff rentes strat gies des exploitants Sans oublier ou actuellement notre zone test est capable de rationaliser les solutions entre strat gie et strat gie par le fait que tous les moyens technico conomiques existent C est partir de cette zone consid r e comme la plus repr sentative en raison de son milieu physique vari de ses potentialit s biotique et abiotique des bouleversements survenus depuis 20 ans dans l utilisation de l espace hydro agricole par les diff rents exploitants et de sa grande sensibilit aux ph nom nes de d gradation et de d sertisation que nous nous proposons d illustrer la m thode diagnostic cologique aboutissant la concr tisation de la typologie des exploitations Et finalement de ce proposer une esquisse de mod lisation en derni re partie de notre tude de recherche IIL 3 m thode syst mique globaliste des unit s de production Les recherches concernant le fonctionnement des p rim tres et les unit s de production phoenicicole de la r gion de SEBSEB diff rents niveaux nous incitent utiliser un diagnostic et des enqu tes Le travail a t r alis en collaboration avec les responsables admin
80. ff rents exploitants sont dans la difficult d organiser leur cosyst me par la mise en place d un ou de plusieurs syst mes appropri s aux conditions p dologiques g ologiques et hydrauliques de l espace ainsi concern par l irrigation Pour sa g n ralisation le mod le sera obligatoirement sujet une quipe pluridisciplinaire qui tudiera de pr s et de loin ses impacts sur les espaces terriens et la panoplie des cultures L outil principal de sa mise en place est la recherche action 99 CONCLUSION G N RALE Conclusion g n rale Conclusion g n rale La dynamique de l eau organis e sous un aspect anarchique n a pas t de fruit sur l ensemble des unit s de production agricole dans la zone de SEBSEB La repr sentativit de l tude et son extension possible sur l eau a t dans une premi re partie ax e sur la caract risation des syst mes cologiques que l on a d nombr s par l outil typologie et qui sont au nombre de 5 Cette valuation a permis la caract risation des syst mes cologiques de la r gion de SEBSEB au moyen de nombreuses questions ou figurent l intensification des cultures et les caract ristiques physiques et hydriques du sol Nous avons pu comprendre les relations entre les diff rentes structures des diverses exploitation Les types par lesquels nous sommes arriv s mettre en exergue le plan de la repr sentativit de la dynamique de
81. g rie Alger O P U 1986 135p Bergsrud F 1979 Selectig a pivot Expension Folder 444 Agr Extension service Univ of Minnessota Bielman B 1999 Maitriser l irrigation IPS Les Aides p dagogiques Jean Massonnaud paris Bisson J Le Sahara entre exploration et ind pendances Universit de Tours URBAMA URA 365 les Cahiers d Urbama n 12 et Universit de Franche Comt Les Cahiers de l Universit ouverte n 7 1999 pp 45 62 Bisson J Les nomades des d partements Sahariens en 1959 Travaux de l Institut de recherches sahariennes Alger T XXI 1962 pp 199 206 carte hors texte Bisson J Le Sahara mythes et r alit s d un d sert convoit Paris L Harmattan 2003 479p Bouthier A et Monnefoy M 1993 C r ales une pratique adapter selon les sols et les esp ces G rer l irrigation en grande culture Optim eau 6 10 ITCF Broumer C Prins K Kay M et Heibloem M 1990 Gestion des eaux en irrigation Manuel de formation n 5 M thodes irrigation FAO Rome Brouwer C Goffeau A et Heibloem M 1987 Gestion des eaux en irrigation Manuel de formation n 1 Introduction l irrigation FAO Rome Brul J C Une carte des espaces v cus vers une cartographie des espaces de r f rence identitaire Am nageurs et am nag s en Alg rie L Harmattan 2004 R f rences bibliographiques Cote M Une ville remplit sa vall e Gharda a
82. gal superficies varient entre Olha et 02 ha 5 pris au hasard et dont les Tableau n 21 R partitions des exploitations agricoles de SEBSEB APFA Re cu la propri t fonci re Re cu PA Ancienne palmerai d PA P Concession S Priv e de EAI BAC de dem 3 de03 a degen Ge plus de deo1a02 T ommunes o5 1 0 5 a110 5 2 02Ha 05Ha 10Ha 20 Ha Ha SEBSEB il i Ea IV 1 1 les diff rents p rim tres les diff rentes repr sentativit s IV 1 1 1 P rim tre ZEHIRAT Le p rim tre en question occupe une superficie de 231 ha Il est situ au Nord Ouest de la r gion de SEBSEB Les sols sur lesquels se trouve le p rim tre est de nature calcareuse dont le sous sol est riche en argile Les cultures pratiqu es dans l ensemble du p rim tre sont la culture du palmier associ l arboriculture fruiti re tels que le pommier la vigne mais d un faible pourcentage et les cultures maraich res L irrigation est en grande partie assur e en fort pourcentage par la submersion en plein champ et le goutte goutte dans les serres et l expansion du syst me pivot qui se fait de plus en plus grande sur les espaces emblav s en c r ale Les points d eau tels que les forages et les puits sont g r s par des chef irrigants qui assurent la distribution en eau pour chaque exploitation Les d bits de fonctionnement sont compris entre 20 l s et 30 1 s Dans l ensemble du p r
83. gorie d arachide faible teneur en huile Elle est actuellement utilis e pour les confiseries Tableau n 20 production d arachide Superficie ha Production Qx Arachide 350 7000 Source Da ra de metlili IL 2 7 la production animale La production animale n est pas pratiqu e d une fa on intense Les principaux levages sont l levage caprin et ovin Ce cheptel est tr s bion adapt dans l environnement de SEBSEB et se trouve d crit par un nombre avec toute esp ce confondue de 368865 t tes L levage occupant la troisi me place est celui de poulet de chair avec un potentiel en unit s gal 3000 unit s Ce qui nous laisse dire que les exploitants s int ressent de peu cette sp culation exigeante en orientation riche en calories et d un entretien permanent vis vis des bandes organisant les poulets l int rieur des b timents 36 C PRE RTS Il co diff rentes options de la mise eu uvre de la probl matique Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique II 1 Approches m thodologiques chantillonnage des unit s de production phoenicicole la m thode de la collecte des donn es La recherche aupr s des acteurs politico conomiques et responsables des unit s de production pho nicicole implique une gamme de choix m thodologique _ Les modalit s de notre recherche Proc dure de la mise e
84. h ma de l exploitation de TOILBE Chikhe 79 25 modalisation de la dynamique de l eau par l approche exp rimentale 90 dans les unit s de production de la zone de SEBSEB 26 Organigramme des diff rentes phases de la mise au point du mod le sur 97 le terrain Liste des Tableaux Tableau Titres Pages 1 Densit de peuplement de la wilaya par commune Annexe 1 2 superficie en km de la wilaya par commune Annexe 1 3 les r partitions par rubrique les situations agraires de la Wilaya de 16 GHARDAIA 4 typologie des exploitations agricoles dans la Wilaya de GHARDAIA 18 5 nombre de p rim tres de la concession g n rale agricole de la wilaya 18 de GHARDAIA 6 Recensement de la situation des p rim tres GGA CDARS de la 18 wilaya 7 les diff rents programmes en p riode 2010 19 8 La typologie des diff rentes unit s de production phoenicicole 19 9 production de palmier dattier 20 10 production des cultures sous jacentes 20 11 potentialit s hydriques de la wilaya 21 12 la temp rature max et min de la r gion d tude Annexe 1 13 pluviom trie en mm de la r gion d tude Annexe 1 14 l vaporation en mm de la r gion d tude Annexe 1 15 l intensit de vents de la r gion d tude Annexe 1 16 la production de palmier dattier de SEBSEB 33 17 les productions arboricoles 34 18 production des cultures maraich res
85. heresse importante les exploitants agricoles se sont mis pied d uvre vers la recherche des points d eau situ s au niveau des eaux souterraines G n ralement au vu de l exploitation des diff rentes nappes la r gion de SEBSEB s est organis e sur un emplacement riche en eau ou il y a naissance d une nappe peu profonde provenant des lits d oued SEBSEB du point de vue situation g ographique est une zone en forme de langue c est dire d crite entre la rive gauche et la rive droite formant la vall e de SEBSEB voire la Fig n 9 Du point de vue g omorphologie son sol est d une structure rocheuse fond sur des escarpements Dans notre domaine de recherche sur les 13 Communes d crivant la Wilaya de GHARDAIA la r gion de SEBSEB est celle prise en consid ration pour conceptionner le mod le projet en fin de notre document La syst mique de notre th me d tude organis e sur la r gion de SEBSEB est d finie par les structures hydro agricoles L analyse des caract ristiques de la commune de SEBSEB est r alis e partir des diff rents facteurs qui interviennent dans la manifestation de la mise en valeur IL 2 4 la s miotique de la r gion d tude L image de SEBSEB est une Oasis saharienne dont les caract ristiques du couvert v g tal sont d crites par une occupation de sol importante du point de vue phoeniciculture et une faiblesse plus ou moins grande en ce qui concerne les cultures l gumi res
86. ich res 35 IL 2 6 4 Les cultures fourrag res 35 IL 2 6 5 L arachide 36 IL 2 7 1a production animale 36 Chapitre III les diff rent options de la mise en uvre de la probl matique II 1 Approches m thodologiques 38 II 2 Le Choix de la r gion des p rim tres et des U P 40 IIL 3 m thode syst mique globaliste des unit s de production 41 IIL 4 la caract risation des syst mes cologiques 42 II 5 Nomenclature des scenarios 44 IIL 6 La probl matique et l intitul du th me 50 Conclusion 51 Partie 2 mat riel et m thode Introduction 53 Chapitre IV typologie des p rim tres IV 1 La Typologie des p rim tres 55 IV 1 1 les diff rents p rim tres les diff rentes repr sentativit s 55 IV 1 1 1 P rim tre ZEHIRAT 55 IV 1 1 2 Le p rim tre EL FERD 57 IV 1 1 3 P rim tre CHAAB ARKOUB 59 IV 1 1 4 P rim tre ET DJEDID 60 IV 1 1 5 P rim tre de EL HARITTE 61 IV 1 2 Conclusion sur les diff rents p rim tres 63 Chapitre V Typologie des exploitations V 1 Les exploitations agricoles 65 V 1 1 Exploitation N 01 BEN SAHA Atala P rim tre de LAHRITE 65 V 1 2 Exploitation N 02 OULED EL HADAR Ahmed P rim tre de LAHRITE 67 V 1 3 Exploitation N 3 DIKAOUA Le Faleh p rim tre de ZEHIRAT 68 V 1 4 Exploitation N 4
87. im tre les unit s de production ont t l origine mises en place dans le cadre de la mise en valeur Les fourchettes agraires de distribution sont g n ralement comprises entre 2 ha et 5 ha Le social des exploitants est de nature h t rog ne on rencontre des ouvriers originaires de tous les coins du pays Les responsables des diff rentes unit s de production sont des retrait s des enseignants et des commer ants Le nombre total des exploitants dans le p rim tre est variable d une exploitation une autre Il est d environ de 13 par rapport au total des exploitants exer ant dans l onde de SEBSEB Tableau n 22 La repartions des terres dans le p rim tre de ZEHIRAT Resa Superficie totale Nombre Superficie Superficie P ha d exploitants exploit e ha cultiv e ha ZHIRATE 231 69 220 193 Source da ra de Metlili 55 Chapitre IV Typologie des p rim tres On remarque que la r partition des exploitations se trouve en plus grand nombre dans la rubrique de l APFA exploitations et dont les superficies varient entre O1 et 20h hectares Les autres fourchettes d attribution dans les autres structures telles que les EAI et les EAC le nombre d exploitations se trouve en petit nombre avec des superficies comprises entre 1 ha et 2 ha Les superficies d crites dans concession sont de surfaces comprises entre 1 2 ha Noun remarquons que l attribution des terres est
88. ions dont on a essay de mettre au point certains types favorables une mise au point de notre mod le dont on essaye de le sch matiser en troisi me segment Ce travail faisant charni re entre le premier segment et le troisi me segment est d autant plus orient vers l analyse de fonctionnement des unit s de production que vers la mise au point de la dynamique de l eau qui se fait quotidiennement hebdomadairement mensuellement et annuellement Ce travail se caract rise par la mise au point des diff rents types de production agricole qui nous permettent de nous rendre compte du comment se fait l volution des p rim tres et les exploitations agricoles par un rapport entre les strat gies et les objectifs des exploitants qui demeurent en propositions permanentes Et ce en ce qui a t confirm par nos diagnostics et nos enqu tes L essentiel c est que la mise en forme des r sultats trait s dans cette partie nous font faciliter la concertation entre les diff rents acteurs responsables du fonctionnement du mod le et dont l intention est de le faire g n raliser court et long terme par l outil la recherche action 53 CHAPITRE IV Cypologie des p rimeties Chapitre IV Typologie des p rim tres IV 1 La Typologie des p rim tres La r gion de SEBSEB est compos e de 15 p rim tres La typologie des syst mes de production est compos e d un nombre de p rim tres
89. istratifs tels que ceux travaillant la D S A avec les responsables des p rim tres et les exploitants agricoles de la r gion de SEBSEB en question Il est compar avec les diff rents cosyst mes rencontr s par le biais de nos enqu tes Les comparaisons portent sur un certain nombre de structures Structure dimension agraire superficie Structure sociale exploitant ouvriers agricole Structure production agricole cultures surfa age Structure hydrodynamique d bit perm abilit dose Structure relief topographie Structure sol p dologie g ologie Structure sociale ge profession origine Il pr sente les r sultats de l enqu te effectu e depuis novembre 2011 mai 2012 dont l objectif est de d crire les syst mes de production agricole dans la zone test La m thode employ e est celle d crite par CAPILLON et MANICHON utilisant une approche globaliste au niveau de l exploitation int gr e dans l cosyst me oasien 41 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique L agriculture de cette r gion a subi depuis 20 ans les transformations importantes Les reformes fonci res dot es par l APFA de la mise en valeur ont organis le partage des grands domaines fonciers et install s une agriculture de rente et familiale La surface moyenne des lots d attribution a t de quelques hectares 2 ha en moyenne fourchette attribu
90. l de cette dynamique de l eau l int rieur des unit s de production phoenicicole En r sum le mod le en question ne sera mis sur ses assises que dans la mesure o il y aura intervention des diff rents acteurs sous forme d quipes pluridisciplinaires Et o il y aura aussi concertations au fur et mesure que les actions se d terminent et se fassent dans un climat de comp tence Et de fa on rendre positive la dynamique de l eau l int rieur des p rim tres et des unit s de production phoenicicole de la r gion de SEBSEB 93 CHAPITRE VIII Application du modele Chapitre VIII Application du mod le VIIL 1 Les m thodes pour la mise au point du mod le de la dynamique de l eau sur le terrain L ensemble des proc des par lesquels nous sommes appel s mettre sur terrain notre mod le sont nombreux ce qui justifie la prise en consid ration de l outil recherche action La m thode que nous avons d finie dans les chapitres pr c dents a t fond e par l approche syst mique dont les structures de fonctionnement ont t celles de la zone la commune le p rim tre l exploitation et la parcelle Cette structuration a t l organe principal de l tude de la dynamique de l eau d termin e par les param tres climat sol eau plante L exp rimentation a t bas e sur les enqu tes et les diagnostics par lesquels nous avons pris connaissance des insuffis
91. l de type bovin ovin ou caprin Mais son probl me r side dans l alimentation du b tail par le manque d affouragement Il emploie tous les syst mes d irrigation avec une panoplie se r sumant la submersion le goutte goutte l aspersion et le pivot De ces diff rents syst mes il cherche investir dans le syst me pivot 83 Chapitre VI La description des types Type HI Cultures culture maraich re culture fourrag re levage Syst me d irrigation pivot aspersion Agriculteur dont l ge varie entre 30 50 ans avec une famille charge Il cherche comme pour les types I et H un revenu assez important et d une s curit pour son cosyst me Il proc de l introduction des cultures maraich res en irrigu sup rieures a un hectare Maintien du troupeau et du palmier dattier par souci de s curit Il fractionne ses cultures maraich res en proc dant l autoconsommation d une valeur gale au 1 3 de toute sa consommation agricole Pour les moyens de production il projette de proc der lachat du mat riel en aspersion tel que le syst me par pivot Le troupeau animale est plus important que le type I et H En tout cas il cherche progresser dans l extension de ses superficies et de ses cultures en introduisant une main d oeuvre importante Pour l levage caprin et ovin il projette de faire fonctionner son exploitation en augmentant son cheptel de 20 30 t t
92. le Chapitre VIII Application du mod le Conclusion Introduction Introduction Dans le but de mieux tudier les r actions des cosyst mes oasiens en place aux divers probl mes de la dynamique en eau et les endossements auxquels ils peuvent tre sujets selon les divers scenarios de la mise en valeur et ce concernant la mise en place des am nagements hydrauliques un mod le a t sugg r et va tre mis en uvre dans la zone test de SEBSEB Tout au cours de la simulation il sera possible de suivre les tendances volutives de la dynamique de l eau ou de l am lioration de la r gion consid r e par l outil recherche action et cela en fonction de chaque scenario d am nagement hydro agricole propos L identification et l tude de la typologie d finie par les types tels que nous les avons d finis ci dessus correspondent la mise en uvre d une approche syst mique qui domine les unit s repr sentatives de la plupart des ressources naturelles de l espace de la r gion d tude savoir v g tation sol eau productions population humaine ainsi que leurs possibilit s d volution Cette derni re est fond e sur les repr sentatives de la g n ralisation du mod le que nous allons essayer de le dynamiser court et long terme et ce par le biais des unit s de production agricole 88 CHAPITRE VII a L assatare du modele Chapitre VII L o
93. le il est imp ratif ce que l on tienne compte de cet espace dit abandonn les caract ristiques de description de cet cosyst me oasien se trouve dans la m me s miotique Exploitation N 2 H tre HR ULI EL o Soe E o o o o Se o E Ena E Ka a E Kai a a o o o o o bo o o o bo o o o o o o o to ko o Brise went sstore XY Bassin d eau Puits Palmier dattier Orange Fig n 16 sch ma de l exploitation de OULED EL HADAR Ahmed 67 Chapitre V Typologie des exploitations V 1 3 Exploitation N 3 DIKAOUA Le Faleh p rim tre de ZEHIRAT L entretien effectu dans cette exploitation s est fait avec les responsables vivants en m nage Les grands travaux sont assur s par la femme savoir op ration labour entretien du sol et de la v g tation en place Pour le mari ses actions se trouvent attribu es dans les relations ext rieures au p rim tre l exemple des op rations d achat de mat riel La surface occup e par cette exploitation est d environ 4 ha sa situation est de direction Est West par rapport au Nord Les circuits internes et externes sont facilit s par la route d partementale situ e gauche de l exploitation et une piste situ e sa p riph rie qui est utilis e aussi par les exploitants dans les p riodes de grands travaux ou 1l s agit de d canter l
94. le comprise entre 0 5 ha forme de jardin 2 ha contribution la mise en valeur La forme de l agriculture pratique est l agriculture dite en Etages qu on rencontre de part et d autre du transect NORD SUD Dans un premier site le palmier dattier avec l arboriculture implant s dans les sites altitude plus au moins haute 16 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles Dans un deuxi me site viennent les cultures fourrag res c r ali re avec les l gumes exploit es en intercalaire et particuli rement des niveaux de faibles d altitudes Les deux syst mes de la mise en valeur Au contrainte des caract ristiques d finissant l ancien syst me dit traditionnel le syst me dit nouveau ou de mise en valeur est d fini par l extension des anciennes palmeraies et sous une forme am lior e avec une densit assez r guli re On adopte pour cette forme d agraire le terme exploitation agricole bien structur e avec une taille en superficie allant de 2 10 ha Aussi dans un contexte plus juridique la mise en valeur on adopte l intitul mise en valeur peri oasienne vu dans un autre contexte d appellation mise en valeur d entreprise Dans cette rubrique de mise en valeur il y a une forme de mobilisation en investissement car elle est bas e sur les structures fonci res importantes et d une dimension faisant acte de propri t allant jusqu
95. lis le fonctionnement des U P par un d ficit p cuniaire dont les exploitants demeurent tre subventionn s par l tat et ce au niveau de l achat de tel ou tel syst me d irrigation d option conomie positive et durable de l exploitation Concept 8 les nappes et les productions agricoles Les puits d une utilisation continuelle se trouvent dans une situation o la nappe phr atique en des p riodes de pointe est en basse profondeur O les d bits v hiculer sont difficiles extraire et faire transiter dans les parcelles Concept 9 les rendements et l utilisation rationnelle de l eau Dans la pratique et d une fa on g n rale la courbe de l volution des rendements n est pas en relation avec les quantit s d eau attribu es chaque cycle v g tatif de la plante Ce qui a donn une d sorganisation l int rieur des unit s de production Concept 10 la mise en valeur et la dynamique de l eau La dynamique de l eau n a pas t tout moment un facteur pr pond rant pour le bon fonctionnement et la mise en uvre de la mise en valeur Des freins existent l int rieur et l ext rieur des unit s de production par des agents dont le r le est l application des d crets de mise en place de la mise en valeur Ce qui a donn un effet de r trogradation du d veloppement durable des cosyst mes 11 CHAPITRE II Monographie des diff rentes u
96. m tres d crivant les espaces agricole et la probl matique engendr e Le P rim tre ou l exploitation Agricole sont des niveaux privil gi s pour identifier et interpr ter la rationalit de l utilisation de l eau d irrigation dans les Agro S yst mes Un syst me d irrigation s intercale entre celui de la parcelle ou s labore la production v g tale et le p rim tre qui constitue en quelque sorte son environnement Le suivi sur le terrain de l utilisation de l eau d irrigation pose un ensemble complexe de questions pour r pondre ces derni res il faut un organigramme organis par le biais des structures et des m thodes de travail 2 partie La seconde partie pr sente des l ments les plus essentiels de cet organigramme Mat riel et m thode H De ce il y a insertion des dimensions spatiales et temporelles travers lesquelles s organise le suivi sur le terrain d fini par les travaux entrepris travers les diff rents syst mes d irrigation 3 partie modalisation Cette partie d veloppe les notions sp cifiques permettant d analyser la dynamique de l eau en terme de fonctionnement de l exploitation agricole dans ses extensions et ses impacts sur le p rim tre ou la zone mettre en valeur Ainsi dans cette partie 1l y a lieu de proc der l analyse des attitudes de l exploitant et de ses m thodes de g rance de l eau au niveau de la mise au point de
97. m tres de la r gion de SEBSEB Les forages de puits en nombre suffisant ont permis d augmenter les quantit s d eau et par cons quent ont fait doubler en quelques ann es les superficies en palmier dattier et en cultures maraich res De m me l volution appr ciable des forages et des puits a donn un nouveau visage la gestion de l eau par des m thodes rationnelles l int rieur des unit s de production et ce en ce qui concerne les fr quences et les tours d eau La mobilisation de l eau a donn tout au moins une certaine assurance chez les exploitants par le fait que ces derniers ont suivi un rythme convenable que se soit du c te tatique comme celui du c te responsable des forages d eau Dans la plupart des cas les exploitants cherchent m caniser certains travaux Certains se sp cialisent dans les cultures industrielles telles que les arachides destination fabrication d huile d autres d veloppent l levage de tout genre Les cultures maraich res d une fa on g n rale sont exploit es par l ensemble des p rim tres Dans ce p rim tre l agriculture s adapte aux conditions du milieu mais d une fa on ralentie Le probl me r side au niveau des co ts des facteurs de production qui deviennent de plus en plus exhorbitants Les syst mes de production agricole sont de plusieurs formes On rencontre ceux dits en situation perverse o les exploitants ne sont pas arriv s avoir un
98. me des terres improductives organis es l int rieur des exploitations agricoles l exemple des b timents des chemins et de pistes Dans tout l espace de la wilaya on recense une superficie de 7 285 089 ha de terres improductives non affect es l agriculture s expliquant par les couvertures des agglom rations en b timents voies de communications et les terres non susceptibles d tre cultiv es ou transform es en parcours Tableau n 03 les r partitions par rubrique les situations agraires de la Wilaya de GHARDAIA Superficies ha Superficie agricole utile 30 200 S A U Terres Pacages et parcours 1 330 539 utilis es par L agriculture Terres improductives des 172 exploitations agricoles S total terres utilis es par l agriculture 1 370 911 S A T Autres terres Terrains improductifs non 7 095 101 affect s l agriculture Superficie totale de la Wilaya 8 466 012 Source D S A IL 1 4 Les donn es agricoles diff rentes chelles des espaces occup s par des unit s de production phoenicicole La wilaya de GHARDAIA occupe une superficie agricole utile de 30 200 ha Comme tous les secteurs OASIENS du Sahara septentrional on rencontre deux types de syst mes Le syst me traditionnel caract ris par une agriculture ancienne dont les plantations sont en forte densit mal structur es et d un morcellement assez caract ris par des unit s de production agrico
99. n uvre des chantillonnages la m thode de mise en relief des donn es et protocole exp rimental sont pr sent s et expliqu s travers la r gion de SEBSEB prise part enti re dans la wilaya de GHARDAI A Les diff rents points d tude de la mise en relief de la probl matique et les diff rentes approches _ Les approches m trologiques et les communications avec les diff rents responsables agricoles Dans notre tude de recherche nous avons proc d dans un premier temps mettre en vidence les principaux sc narios que soul vent les unit s de production pho nicicole et les difficult s d adaptation conomique auxquelles sont soumises ces derni res Trois probl mes importants sont r soudre e La proc dure de la collecte des donn es la mieux adapt e au th me de recherche et la population agricole tudi e e Les degr s de mesure qu il convient de s lectionner pour restituer au mieux les attitudes et intentions des agriculteurs e Les acteurs conomiques et les exploitants qui paraissent les plus qualifi s pour fournir l information requise pour la validation des hypoth ses de recherche et aupr s desquelles il faudra les solliciter Les scenarios d terminants la probl matique lies aux attitudes de la population tudi e La probl matique que l on a engag e dans notre th me de recherche et dont il s agit de la dynamique de l eau a pour finalit de sugg rer
100. nit s agricoles Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles Les diff rents espaces d tude Dans toute recherche tendance agricole la meilleure fa on de faire est de proc der l tude par onde ou espace dans un ordre d croissant La m thode est dite en tronc de c ne o la structuration de l espace se fait suivant les chelles suivantes IL 1 La wilaya de GHARDAIA La wilaya de GHARDAIA est situ e au centre de la partie Nord du Sahara Elle est issue du d coupage administratif du territoire national de 1984 Elle est limit e Au Nord par la wilaya de Laghouat Au Nord Est par la wilaya de Djelfa A PEst par la wilaya de Ouargla Au sud par la wilaya de Tamanrasset Au Sud Ouest par la wilaya d Adrar A l Ouest par la wilaya d El Bayadbh Elle compte 13 communes r parties sur 3 da ras et couvre une superficie de 86560 km Source INC Fig n 1 localisation g ografique de la r gion de GHARDAIA 13 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles WILAYA DE GHARDAIA LIMITES ADMINISTRATIVES WILAYA WILAYA DIELEA LAGHOLAT WILAYA EL BANADU WILAYA UUARGLA Hien TELLLS Pisu FMis WILAYA Y ADRAR e LEGENDE Limite Wila Limite Dara Limit conmune Ce hel Hen de Wilaya WILAYA thellesia baba TAMANRARSET Oct bies br Comana Source UNO Fig n 2 limites administratives de la r gion de GHARD
101. nnes de forage et de dysfonctionnement fr quents au niveau des diff rents r seaux d irrigation Les canalisations souterraines m me le sol sont sujettes des fuites d eau dont les agriculteurs n arrivent pas subvenir leur entretien Ce n est que depuis l introduction de la mise en valeur accompagn e de forages de puits que les quantit s d eau disponibles au niveau de chaque cosyst me permettent de couvrir les besoins des cultures mises en place Il est noter que certaines unit s de production ont travers une p riode de p nurie d eau qui a profond ment abim leur syst me de production agricole et ont t sujettes l abandon des terres de leur cosyst me D une fa on g n rale la question hydrique reste la principale pr occupation des agriculteurs et la source de pas mal de probl mes induits dans les cosyst mes du p rim tre IV 1 1 2 Le p rim tre EL FERD Le p rim tre d EL FERD est situ 05 km au Sud Ouest de la zone de SEBSEB Ce p rim tre couvre une superficie de 250 50 ha Il occupe la partie centrale de la vall e de l oued SEBSEB dont le sol est compos de sable grossier provenant de la nappe olienne form e de dunes et situ e proximit de la p riph rie du p rim tre en question La terre arable est d une profondeur variant entre 10 cm 1 m Dans l ensemble le p rim tre pr sente une surface globalement plane sauf en sa p riph rie o il
102. nt On pourra constater aujourd hui que d autres types d am nagements hydro agricoles l exemple de l irrigation o les syst mes prennent de l ampleur avec le goutte goutte et le syst me pivot sont entrain de ravir la premi re place et ce au niveau du d veloppement de la dynamique de l eau Nous mettons l accent sur l importance de la dynamique de l eau dans les syst mes oasiens qu elle soul ve par rapport aux conditions hydro agricoles Scenario n 13 analyse diachronique Durant l ann e 2011 2012 nous avons essay de nous int resser au fonctionnement des unit s de productions pho nicicole dans la r gion de SEBSEB Les unit s que nous avons bross es sont caract re agricole et commercial et que nous avons consid r es comme entreprise Leurs objectifs sont g r s par les assises des d crets de la mise en valeur et sont la fois agricole production des l gumes et des dattes et sociaux bien tre des exploitants A travers les actions men es par les exploitants agricoles de la r gion d tude nous avons tent de rep rer un certain nombre de probl mes qui expliquent en sorte plus ou moins l chec ou l abandon de la mise en valeur tout en nous appuyant sur l hydro agricole 47 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique Scenario n 14 les am nagements hydro agricoles et les mise en valeur Le premier l ment est
103. oit es proviennent de la nappe s nonienne se trouvant une profondeur de 25 m tres Le nombre de puits exploit est de 2 fonctionnant par un syst me pompe d une puissance gale 2 CV Un bassin de compensation d quilibre de d bit est construit juste proximit de la p riph rie de l exploitation dont le but est de rationnaliser les circuits d appropriation de l irrigation qui se font par un syst me lectrique command par un contacteur disjoncteur plac juste en aval de l exploitation Les syst mes d irrigation se trouvent actuellement dans l appropriation de l aspersion pivot occupant une superficie de 0 8 ha jum le avec le syst me par aspersion rotatif irrigant 0 3 ha L occupation de l espace de ce type de mat riel est de 60 Le reste de l espace agraire est occup par le goutte goutte dont l occupation est d environ 30 Dans une partie de l exploitation de petite superficie l agriculture se donne un mariage entre le syst me par submersion et le syst me goutte goutte 65 Chapitre V Typologie des exploitations Les fr quences d irrigation sont limit es une fois par semaine durant la p riode hivernale contrairement en p riode estivale qui sont estim es 2 3 fois par semaine Exploitation N 1 rim tre LAHI Atallal DOOOOOOOO0OOOOO0OOO0O GOO OO OOOO GOO TOO OOOO ODO OO GOOO OO O0 EC D O D D O G O O O D O O a D O O a a O a a nn nz DO000
104. on tenant compte de l hydro agricole Un autre regard est constitu par la rentabilit du syst me d irrigation utiliser et faire lier aux co ts des facteurs de production Dans ces conditions le phoeniciculteur doit disposer d un mat riel d irrigation moindre co t afin de couvrir ses charges d exploitation globalement et pour que l hydro agricole puisse trouver un cho favorable Il doit tre accompagn de mesures d incitation vis vis des syst mes d irrigation mettre en place 46 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique Scenario n 11 la dynamique de l eau travers l hydro agricole Les cons quences de l chec de certains cosyst mes oasiens ont t les probl mes hydro agricoles qu ont connu depuis quelques ann es les unit s de production phoenicicole Aussi ces derni res ont elles entrepris des actions d envergure favorable en ce qui concerne la mise en place des syst mes d irrigation et cela ayant recours aux technologies de pointe Paradoxalement la rentabilit des cultures n a pu tre analys e jusqu ce jour Car le volume de la production agricole ne suit pas du tout le volume en eau utilis et ce par le biais des syst mes d irrigation Ce qui a donn par cons quent des utilisations de plus en plus importantes en dose d eau Et donc une g rance des syst mes d irrigation de plus en plus aigu au nivea
105. on du mod le VIIL 3 L chelle de valeurs du mod le Le diagnostic est une fonction directe de la recherche action Ce couple est soulign par un examen rigoureux au fur et mesure de la mise route de l action l une par rapport l autre A l exemple de la dose attribu e au sol tout en tenant compte de tous les param tres hydrodynamiques du sol en faisant appel aux connaissances disponibles du point de vue th orie et pratique Le champ d hypoth ses est d autant important qu il faut a chaque fois en faire illusion de mani re fructifier le mod le par la recherche action La dynamique de l eau est caract ris e par une s rie de mesures et ce concernant surtout le climat sol en liaison avec les syst mes d irrigation A chaque mise au point d une action nous serons appel s formuler des hypoth ses que nous v rifierons dans le temps et dans l espace par diff rents outils Dans certains cas de l tude de la mise en place du mod le plusieurs actions peuvent avoir les m mes points en commun Dans ce cas on fait appel au diagnostic diff rentiel nous permettant de proc der la s paration d une action par rapport une autre La dynamique de l eau est trop complexe dans son sens Ce qui nous pousse pour progresser dans l installation du mod le prendre en consid ration d autres informations en passant des techniques d investigation plus pouss es L approche par le diagnostic es
106. outes ses grandes structures devant avoir pour premi re id e une augmentation des rendements pour un prix de revient du m tre cube d eau par hectare tr s faible Par cons quent dans les unit s de production agricole situ es dans la r gion d tude la conception et la mise en place des diff rents syst mes d irrigation ont provoqu des effets pervers en favorisant un gaspillage d eau du fait de l inadaptabilit du mat riel d alimentation en eau des cultures Scenario n 8 les questions pour une bonne rationalisation de la dynamique de l eau Pour l tude sur la dynamique de l eau on se pose les questions suivantes la culture du palmier dattier et des cultures sous jacentes telles qu elles sont institu es permettent elles un largissement des structures du point de vue rationalisation des syst mes d irrigation Autrement dit le prix du m tre cube d eau a production permet il de subvenir au prix de revient de la mise en place d une culture Ne serait ce que dans des conditions moyennes d emploi et d utilisation des diff rents syst mes d irrigation En effet le taux lev de l emploi du syst me traditionnel dit par submersion un syst me qui date depuis plusieurs d cennies n est pas l heure actuelle l image des r alit s agricoles des cosyst mes oasiens Ce syst me existe en grande partie dans la plupart des unit s de production C est qu il ne s am liore pas du poin
107. ouve dans un m lange compact de terre fine et de cailloux et c est ce qu on appelle REG En g n ral le sol pr sente une surface plane sauf les zones de ruissellement et aupr s de certains obstacles favorisant l accumulation de sable l exemple des cl tures les touffes de v g tation spontan e les pistes et les constructions Le profil p dologique pr sente son horizon inf rieur une texture fine dite TKOURI avec un m lange de sable et d l ments fins Parall lement le profil est constitu de minces couches angilo limoneuses L argile se trouve en grande quantit dans les d pressions et les sites d pandages de crue et d une paisseur variant entre 30 cm et 1 m avec une couche tr s dure Sur l axe de la vall e l paisseur de l horizon est d environ 7 m o il y a apparition de la roche m re peu alt r e sa surface 32 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 2 5 5 Syst mique hydrique La g rance de l eau avec le quantificatif en volume m sont r sum s par les d bits compris entre 30 s et 60 Us et un surfa age en superficie s chelonnant sur des fourchettes comprises entre 30 et 180 ha L origine des sources est faite sur l image des puits traditionnels que les exploitants utilisent durant tous les cycles v g tatifs des cultures Le probl me est soulev par les exploitants et ce essentiellement dans l organisation des irrigations li e
108. p rim tres de la concession g n rale agricole de la wilaya de GHARDAIA Superficie en ha E E Superficie Jo Nombre de r r ellement D signation Ee CR b n ficiaires p rim tres totale attribu e j mise en valeur install s ha Wilaya 48 7152 5926 1096 4318 Source D S A Nous remarquons qu il y a une dynamique positive et ce travers la superficie attribu e de valeur 5 925 ha et la superficie r ellement mise en valeur de potentiel de 4 318 ha Presque les deux chiffres se rejoignent entre la superficie attribu e et la superficie r ellement mise en valeur Tableau n 6 Recensement de la situation des p rim tres GGA CDARS de la wilaya nombre de Superficie ha Nombre de a a ae Sa p rim tres Totale Attribu e b n ficiaires a Sg valeur 63 8204 6843 1348 5235 Source D S A Nous remarquons qu il y a une dynamique positive par l apport des superficies attribu es et celles r ellement mise en valeur Les donn es sont presque les m mes ou il y a 6843 ha d attribuer et 5235 ha r ellement de r aliser 18 Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricoles La situation de ces 63 p rim tres a fait l objet d un certain nombre de programmes et ce l chelle des 13 Communes g n ralisant la Wilaya de GHARDAIA Tableau n 7 les diff rents programmes en p riode 2010 Prog concession
109. paces agricoles et la probl matique engendr e Introduction Chapitre I Les diff rents concepts d tude Chapitre II Monographie des diff rentes unit s agricoles Chapitre III Les diff rentes options de la mise en uvre de la probl matique Conclusion Introduction Introduction La r gion de SEBSEB est sujette actuellement des effets n fastes au sein des unit s de production phoenicicole Parmi les probl mes qui r gissent ces derni res nous avons pu d celer le plus soucieux et le plus prendre en consid ration est celui de la dynamique de l eau d irrigation l int rieur des exploitations agricoles Jusqu ce jour les acteurs politico conomiques ont mis l accent sur le d veloppement de la syst mique des syst mes d irrigation int gr s dans l ensemble des plans de cultures bas s essentiellement sur la phoeniciculture et les cultures vivri res Les composantes d une fa on g n rale au sein de la dynamique de l eau est soulign e par l tude de l organisation des potentialit s en eau savoir la structure des forages en nombre peu important organis s par les d bits variant entre 30 et 60 Us irrigant des superficies de fourchettes comprises entre 30 ha et 180 ha De ces donn es toute analyse sur l affinit de ces d bits en relation avec les diff rentes superficies nous permet de dire que finalement il y a insuffisance remarquable
110. pport financier Paradoxalement le rendement de cet ensemble de cultures ne suit pas du tout le volume financier consacr aux programmes d utilisation de l eau dont le prix du m tre cube d eau par hectare est quasiment lev De ce nous sommes dans l obligation de nous poser un certains nombre de questions pour arriver comprendre ne serait ce que dans un cadre minimum o se situe ce blocage Il nous semble que les causes de ces insuffisances sont multiples et notre optique serait de tenter d apporter des r ponses celles ci 44 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique Scenario n 6 l chec de la mise en valeur Dans le cas o il ya chec de la mise en valeur cela peut tre expliqu par la mauvaise application de ses d crets de la part des acteurs politico conomiques et agraires ou simplement par l irrationalit des relations entre les diff rentes structures mettant en exergue la dynamique de l eau Dans la r gion de SEBSEB les structures de la dynamique des diff rentes unit s de production n ont pas permis d atteindre les diff rents objectifs fix s par les axes de d veloppement en mati re de d veloppement agricole durable Scenario n 7 les syst mes d irrigation et les unit s de production agricole La conception des syst mes d irrigation est une op ration qui consiste tudier touts les unit s de production agricole dans t
111. pr s ou de Loin ma formation D dicaces Je rends un grand hommage travers ce modeste travail en signe de respect et de reconnaissance en vers D abord mon p re pour ces conseils son soutien mat riel et moral et pour tout ses efforts qui m ont donn la volont de r aliser et de finir ce travail A ma m re pour son soutient immense ainsi que les conseils qu elle me prodigue J avoue que sans elle je ne serai pas ce que je suis aujourd hui Une sp ciale d dicace pour A mes s urs Nour el Hoda Amal A mes fr res Mbarek Chouaib Younes Ismail Faicel A mon neveu et mes ni ces Mohamed Laila Ibtissam A mes amis Hamza Hachem Ismail Rachid Abd Raouf Moustapha Hmaida sancho Abd Malek Voucef Slimane Yassin Brahim Omar Mohamed Abd Allah A mes copines d tude Soumaia Majda Nassira A mes amis d tude Brabim Ossama Abd Aah Taher Badr Massoud Ossama Badr Allah En un mot toute ma famille mes amis de PITAS et tous ceux qui ont contribu de pr s ou de loin ma formation YASSINE Abr viations Abr viations Ha hectare Km kilom tre S A U Surface Agricole Utile S A T Surface Agricole Totale A P F A Accession la Propri t Financi re Agricole G C A Concession G n rale Agricole C D R AS Centre de D veloppement des R gions Agricoles Sahariennes E A I Entreprise Agricole Individuelle Qx quintaux
112. re EL FERD Lors de notre visite sur l exploitation recouvrant 8 ha nous avons recens 150 palmiers avec l arboriculture travaill e en intercalaire L ensemble de cette gamme de cultures est irrigu par trois pivots irrigant chacun 1 ha Les sources d eau sont aliment es par la nappe de s nonien avec comme nombre de puits gal 4 de profondeur 22 m tres L quilibre de d bit entre les puits et les parcelles se fait par l interm diaire de 4 bassins d un volume de 100 m chacun L aspiration et le refoulement de l eau vers les parcelles se fait par l outil moto pompe de puissance 2 CV Les types de syst me d irrigation employ sont le goutte goutte avec l aspersion qui se fait par le pivot et quelques asperseurs L levage assur par l exploitant est stabulation libre est de type caprin et ovin Entre autre l exploitant pratique l apiculture compos e de 13 ruches Celles ci plac es proximit de l arboriculture et du palmier dattier de mani re ce que les abeilles bitument non loin de l exploitation et permettent d assurer un contr le efficace de la productivit du miel 70 Chapitre V Typologie des exploitations 4 OD N Ion bell IO Well lo Ex 44444444444 444 E e e e e e e e e e e e FE 5 SS SS SS SS SS SS SS 77 Bassin d eau Logement Brise vent sapin Palmier dattier LLL E fruit e Arbre Fig n 18 sch
113. re d finie par un nombre important de cultures qui se r sument au palmier dattier d un nombre de 200 pieds et les arbres fruitiers au m me nombre auxquels il y a un rajout de l exploitation des cultures maraich res qui se font petite dimension et se pla ant en adjacement Pour l irrigation les syst mes organis s l int rieur de son exploitation sont pour le fonctionnement en sous pression le goutte goutte et l aspersion second s par le syst me s guia se pratiquant ciel ouvert Les sources d eau employ es sont un puits d bitant 15 Us et fonctionnant de pair avec l installation d un bassin de volume gal 100 m Les heures d irrigation sont d un tempestif de 3h jour et ce pour une superficie de 0 5 ha Ce qu il y a soul v c est que l exploitant ne pratique aucun levage Ce qui a donn l exploitation le titre d un cosyst me dit manquant 73 Chapitre V Typologie des exploitations Exploitation N 6 Palmier dattier Arbre fruit e Puits Engarde poule Bassin d eau Brise vent sstorel Fig n 20 sch ma de l exploitation de BOUAMER Belkacem 74 Chapitre V Typologie des exploitations o ke ko ko ko ko We ke te tot o to o te tot o to He to to te to ko bo ko ko ko ke 6 ko ko ko Lo toetotoate ze 6 ko ko ko ko be ko Ke ke ko bo ko ko ko e e Ke es ke o ko ko koko ko ko ko SSSR E
114. rrigation la repr sentativit des relations entre la pratique des irrigations et la dynamique de l eau dans le fonctionnement des exploitations agricoles Ce qui nous permettra de proc der la classification des donn es partir des activit s des syst mes d irrigation introduites dans les unit s de production phoenicicole _ la phase 2 Importante du c te des activit s de l exploitant dans la mesure o elle concerne la mise au point des comp tences techniques que l on d finit par l exp rimentation Dans cette derni re on proc de la restructuration des donn es hydro agricoles par l apport des activit s des exploitants Ces activit s sont l organisation des structures du point de vue sol eau plante climat et celles ci valu es par le biais des moyens en ressources hydrique et v g tale Le plus important est de dominer la phase 1 et 2 par l analyse des carts qui conditionnent bel et bien notre probl matique Les carte sont les erreurs de fonctionnement des unit s de production la phase 3 cette phase fait figurer essentiellement la c te psychologique sur le quel s appuie les acteurs technico conomiques de fa on rendre acceptable les projets d am nagement par les diff rents exploitants agricoles De ce la finalit du projet en sera d duite par la maitrise de la dynamique de l eau et de proc der son transfert C est dire la g n ralisation du mod le fonctionne
115. s rendements acceptables en ce qui concerne les cultures maraich res d une fa on g n rale L exploitant est d muni d un mat riel agricole important l exemple d un tracteur de deux ou trois pivots pour pouvoir irriguer toutes ses parcelles Dans la p riode s che il y a probl me de rationalisation entre les fr quences et les tours d eau Les syst mes d irrigation sont employ s dans leur totalit Mais l inconv nient l agriculteur n arrive pas faire tourner tous ses syst mes La plupart du temps l agriculteur ne se trouve pas sensibilis dans les grands syst mes l exemple du pivot Type IX Cultures palmier dattier culture maraich re arboriculture et culture fourrag re Syst me d irrigation pivot aspersion goutte goutte et submersion Les exploitants responsables sont d un ge variant entre 35 60 ans avec une famille charge Son objectif est de rechercher des sp culations maraich res remportant une marge b n ficiaire importante Du m me point de vue que celles du type I mais sur une plus grande superficie Pour les moyens de production il cherche pratiquer l extension de ses terres en demandant aux autorit s locales une autre acquisition de superficie plus ou moins gale sa premi re attribution 2 3 ha Pour la culture de palmier dattier il proc de son extension par d autres vari t s Il opte pour agrandir son cosyst me introduire un chepte
116. s agriculteurs s y donner d avantage pour maximiser leurs revenus partir des d bits conomiques dont ils disposent au niveau des sources d eau li es aux diff rentes nappes Toute la politique agricole de la mise en valeur s inscrit dans ce cadre Cependant la production agricole oasienne n est possible que dans certaines conditions techniques d irrigation Et c est l o interviennent les facteurs conception rationalisation et mise en uvre des syst mes d irrigation tudi s travers l analyse des solutions d terminant les probl mes hydro agricoles En effet l hydro agricole est d autant plus important qu il s av re tre la condition de r ussite de la mise en valeur Les syst mes d irrigation fond s sur les conditions hydro agricoles a cependant des limites Autrement dit on peut mettre en valeur tous les syst mes d irrigation possibles mais tant que certaines conditions ne sont pas rendues la mise en valeur ne d bouchera sur rien de consistant Scenario n 10 le choix des syst mes d irrigation L un des l ments constituant une unit l hydro agricole se trouve tre le besoin propre exprim par les agriculteurs phoenicicoles O leur v u est d adopter tel ou tel syst me d irrigation en dehors de toute contrainte ext rieure Il faudrait que l agriculteur phoeniciculteur trouve son compte dans les sp culations dans lesquelles se fait tel ou tel syst me d irrigati
117. s de cultures tablis au niveau de chaque campagne agricole D autres types d cosyst mes sont recens s dans le p rim tre en question C est ce que nous allons d crire en conclusion sur l ensemble des p rim tres de la zone de SEBSEB Tableau n 24 La repartions des terres dans le p rim tre de CHAAB ARKOUB Les p rim tres Superficie Nombre Superficie Superficie totale ha d exploitant exploit e ha cultiv e ha CHAAB 571 70 224 567 370 ARKOUB Le nombre d exploitations en grand nombre est enregistr dans le domaine de mise en valeur et dont la fourchette d attribution est comprise entre 1 et 20 ha Source da ra de Metlili 59 Chapitre IV Typologie des p rim tres Parall lement le nombre d exploitations pr sentes dans le domaine de la concession est faible Dans la r gion de SEBSEB les terres attribu es dans le cadre de la concession sont diff rentes du point de vue superficie et se trouvent comprises entre une fourchette de 1 2 ha Il est remarquer que le nombre d exploitations inscrit dans la concession dans cette r gion est fluctuant d une r gion une autre IV 1 1 4 P rim tre ET DJEDID La situation du p rim tre se trouve 08 Km par rapport la zone de SEBSEB et d une superficie de 549 ha Le sol sur lequel est implant le p rim tre est de nature sablo limoneuse et argilo limoneuse au m me titre que les autres p ri
118. s diff rentes ressources hydro agricoles qui permettent de cr er la mise en place des am nagements des r bles possibles des possibilit s d am liorer la phoeniciculture et aussi les cultures interm diaires telle que l arboriculture et le maraicher qui lui est adjacent L tude trait e dans cette deuxi me partie et traitant les types de syst me d exploitation est essentielle quant au mod le que nous allons proposer en patrie en SUS L approche m thodologique que nous venons de mettre en exergue pour la mise a point de 5types est destin e a permettre de localiser au mieux les productions agricoles dans les espaces ou nous sommes appel s a tudier les diff rents am nagements possibles cr ant une dynamique positive dans les diff rentes unit s de production Et d en fixer les proportions en surface et les niveaux d intensit d exploitation Le probl me est de tirer le maximum possible des ressources naturelles de la zone de SEBSEB en liaison avec le capital sol et v g tation et sans acc l rer les ph nom nes de d sertisation L essentiel c est gr ce au diagnostic cologique par nos diff rentes enqu tes que les donn es tant acquises et que sur ces bases Il est facile de construire un nouveau mod le correspondant plus exactement aux options d tenues pour sa dynamique dans le temps et dans l espace 86 PARTIE 3 Mod lisation Introduction Chapitre VII L ossature du mod
119. say de formuler un mod le dont nous avons l intention de le faire g n raliser dans le temps et dans l espace par l outil la recherche action Notre approche intitul e sous la rubrique syst mique c est dire structur e par diff rents domaines savoir P dologique sol agricole plan de cultures r gi par diff rentes sp culations de caract res autoconsommation et lucratif hydraulique soumissionn e par les disponibilit s en eau des forages par les besoins des cultures durant tout le cycle annuel est d autant prise en consid ration surtout dans le domaine de la d finition de la probl matique v rifi e par des hypoth ses et solutionn e par les objectifs La probl matique en question a t fonction des quatre espaces savoir le choix de la zone la plus repr sentative parmi les 13 communes d crivant la commune de SEBSEB Le choix du p rim tre et de l exploitation dont on a fait le choix par la m thode randomisante le choix de la parcelle dont toutes les ressemblances sont dans un tat de l identique par rapport aux autres parcelles Donc la parcelle se fait par rapport l environnement de l exploitation sans pour autant faire de complication du point de vue choix Toutes les parcelles sont identiques Car elles sont cultiv es en g n ral par les m mes cultures et se trouvent dans la m me forme du parcellaire La liaison que nous avons pli d gager entre les p rim
120. serv au culture C M autres Espace r serv au pivot nbre autres levage nbre ovin bovin aviculture apiculture Ressources en eau Forage public puits nbre Bassins d eau nombre capacit Qualit de l eau bonne assez bonne m diocre Syst me de pompage Syst me d irrigation Mode d irrigation Submersion Gouttes gouttes espace Aspersion pivot autres Trajectoire r sidentielle o D o vient la personne Autres Wilaya Autre Daira A toujours habite Seb Seb Histoire de l acc s la mise en valeur Oo Oo O espace caprin nbre prof o Rapprochement familial o Pourquoi ce p rim tre o Quien a d cid o Date du commencement d am nagement Caract ristique de l exploitation o Taille de l exploitation o Nombre de personnes qui y travaillent La citoyennet o L exploitant appartient il une association politique amicale de quel type quel poste CARTE DES RESSOURCES Dans le p rim tre quels sont les lieux consid r s comme essentiels la mise en valeur du point de vue am nagement lieux positifs devront etre am lior s prot g s par les am nagements de la mise en valeur quelles sont les qualifications quels sont les rep rages sont elles compens es quelles sont les contributions des services publics et municipaux PROBLEMES LIES AUX DIFFERENTS AMENAGEMENTS Au cours de la mise en valeur pour l exploit
121. ses plans de cultures diagnostic analyse des syst mes d irrigation mis en place simulation exp rimentation enqu te En conclusion notre recherche sur la conduite des syst mes d irrigation bas e sur le fonctionnement de la g rance de l eau nous permettra de mettre en uvre une d marche qui s tablira au niveau de la repr sentativit des Agro Syst mes Dans ces conditions il nous parait utile de montrer une sp cificit de la g rance de l eau en pr sentant des tudes de cas par des exemples tablis sur des unit s de production Phoenicicole TYPE et ce dans la r gion d tude SEBSEB Wilaya de GHARDAIA M thodologie de travail 2 Les hypoth ses Nous avons limite notre travail trois hypoth ses qui ont pour but de v rifier notre probl matique Hyp 1 la dynamique de l eau est elle finalement li e la g rance et au d veloppement durable des cosyst mes Hyp 2 la dynamique de l eau a t elle un impact durable sur la mise au point des cultures Hyp 3 la dynamique de l eau par son tude est t elle une fonction de conception importante pour la mise en place des am nagements hydro agricole 3 Les objectifs Nous savons qu un objectif la m me d finition qu une probl matique L objectif sert r soudre la probl matique cern e par les diff rents scenarios que l on a d voil e par les questionnaires et les diagnostics Nous avons limit nos objectifs
122. son issu anonyme 1960 IL 2 5 2 1 plaine La g omorphologie de la zone de SEBSEB dite zone de Sahara septentrionale est d crite par un ensemble de dayas formant une zone steppique o le climat se trouve cern entre celui du Sahara et celui du versant m ridional de l atlas La superficie qui couvre cette partie appel e encore LA PLAINE DE L OUEST est de 2400 km Elle est parcourue par des vall es composant les oueds Zergoune et Mehaiguen Certains g omorphologues la d crivent comme une cuvette du fait que les eaux des monts Ksours du djebel Amour sont r cup r es par leur rencontre Bebatia 1962 29 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 2 5 2 2 LA CHEBKA La zone en question couvre environ 1440 km2 repr sentant le 14 de la superficie communale la falaise du plateau d Oum el Hassiane constitue sa unit en se terminant par la route nationale n O1 l Est suivant le M ridien qui la mat rialise La Chebka pr sente un relief tr s model par des ramifications abruptes fa onn es par des oueds Brul 2004 Le nom de GAADA est donn e au plateau rocheux qui surplombe les vall es joint celui ci d autres formes morphologiques d crivant les diff rents massifs l exemple LA GARA est d crite comme un monacale peu lev dont son sommet est d une forme plate et de peu de dimension La GARA son sommet est d une structure compos e de roches et d
123. ssature du mod le Le mod le projet dans le tempe et dans l espace pour le fonctionnement des U P Choix de la zone repr sentative parmi les 13 communes E Choix du p rim tre i Choix de l exploitation Choix de la parcelle Typologie pour chaque type faire l tude l analyse suivant les trois phases Mise au point des Analyse psychologique Analyse de la coh rence des actions sectorielles en rapport avec les ressources en eau Lo Phase 1 t Zeneeeee nf Lecture des param tres g n raux Le rep rage causes des faibles rendements palmier dattier cultures sous jacentes Analyse enqu te sur l exploitation et sur les syst mes de production Interpr tation les techniques d irrigation repr sentativit g ographique sur les relations entre pratique des irrigations et la dynamique de l eau dans les fonctionnements des exploitations agricoles Classification des donn es partir des activit s de l irrigation qui permettent le choix d un syst me et sa structuration du point de vue condition physique et chimique du sol pente structure texture salinit R flexion et auto valuation portant sur les syst mes en place comp tences techniques par l exp rimentation ebeeeeeee H Za Phase2 D Seeeeeeee Production exp rimentale structuration des donn es hydrauliques agricoles dans les activit s des exploitants par L organisation des
124. structures sol eau plante climat Evaluation des moyens en ressources eau sol v g tal Rep rage et analyse des erreurs de la phase 1 par rapport la phase 2 90 des diff rents acteurs Phase 3 WR D Zeeeeegeueg Analyse sur le plan hydro agricole et surtout psychologique du c t fonctionnement et acceptation parles diff rents exploitants Maitrise plus transfert dans d autres domaines Calage et g n ralisation Chapitre VII L ossature du mod le Construction d un corpus Donn e des r sultats sur G n ralisation du fonctionnant sur l existant et les chaque syst me pour la mod le besoins en syst me d irrigation des g n ralisation du mod le syst mes futurs mettre en place La dynamique sociale des acteurs politico conomique agraires et exploitations pour l appropriation d un syst me d irrigation a l int rieur d un p rim tre d une exploitation d une parcelle Fig n 25 modalisation de la dynamique de l eau par l approche exp rimentale dans les unit s de production de la zone de SEBSEB 91 Chapitre VII L ossature du mod le VIL 2 Explication du mod le La dynamique de l eau dans la r gion de SEBSEB est dot e d une mise en forme qui ne se trouve pas en affinit avec une organisation rationnelle l int rieur des unit s de production phoenicicole Dans cette optique de rationalisation de l eau nous avons es
125. t ce au niveau de leur unit de production Chapitre Il Monographie des diff rentes unit s agricole IL 1 La wilaya de GHARDAIA 13 IL 1 1 Densit et peuplement 15 IL 1 2 Les rythmes de la croissance agricole des terres 15 IL 1 3 structures agricoles de la wilaya 16 IL 1 4 Les donn es agricoles diff rentes chelles des espaces occup s par des 16 unit s de production phoenicicole IL 1 5 La mise en valeur et la typologie des exploitations agricoles 17 IL 1 6 La repr sentativit de la typologie des unit s de production phoenicicole 18 IL 1 7 La typologie de tout l ensemble de la wilaya des diff rentes unit s de 19 production phoenicicole IL 1 8 Production v g tale 20 IL 1 9 Hydraulique 21 IL 2 La commune de SEBSEB 22 IL 2 1 Situation g ographique 22 IL 2 2 Origine du nom 22 IL2 3 r partition des terres occupation des sols mise en valeur 25 IL 2 4 la s miotique de la r gion d tude 25 IL 2 5 La syst mique g n rale dans le contexte climat sol eau plante 26 IL 2 5 1 Le bioclimatique et les facteurs d pendants 26 IL 2 5 2 Les repr sentativit s de la syst mique g omorphologique 29 IL 2 5 2 1 plaine 29 IL 2 5 2 2 LA CHEBKA 30 IL 2 5 2 3 Hamada 30 IL 2 5 3 Syst mique g ologique 32 IL 2 5 4 Syst mique p dologique 32 IL 2 5 5 Syst mique hydrique 33 IL 2 6 La syst mique des productions agricoles 33 IL 2 6 1 phoeniciculture 33 IL 2 6 2 Arboriculture 34 IL 2 6 3 Les cultures mara
126. t compos e par l enrichissement de l exp rimentation au sens de l observation de l adaptation de tel ou tel syst me d irrigation de d duire et d induire savoir pond rer d une action par rapport une autre de mani re en avoir plus d l ments favorables pour la mise en place du mod le sur le terrain et au niveau de l tude d une action ins rer sur le terrain et appartenant au mod le dans la mesure o l objectif est connu de l tude et par l outil recherche action 96 Chapitre VIII Application du mod le A chaque fois il est de prime Identifier classer et d nombrer les l ments importants de l action D terminer les liaisons int grant tout l ensemble de l action Progresser pour la mise en place du mod le en identifiant les intrants et les extrants d crits dans les chapitres pr c dents VIIL 4 Organigramme des diff rentes phases de la mise au point du mod le sur le terrain Parcelle induction du probl me JL Surface du sol Infiltration d eau Evaporation Ruissellement en surface R servoir sol r serve en eau Plan de cultures D finir les esp ces Consommation en eau Bilan hydrique D bit fictif critique de pointe Dynamique de l eau Fig n 26 Organigramme des diff rentes phases de la mise au point du mod le sur le terrain 97 Chapitre VIII Application du mod le L tude de la mod lisation
127. t de vue structure A l exemple des param tres dimensionnels Longueur section des seguias qui sont d pendants du module d eau faire v hiculer qui est lui m me fonction de la superficie irriguer Ce qui se passe r ellement chez les agriculteurs c est sans doute la m fiance vis vis d un processus technique qu ils ignorent l exemple du syst me goutte goutte et du syst me pivot 45 Chapitre IlI Les diff rents scenarios de la mise en uvre de la probl matique Scenario n 9 les progr s de l utilisation des syst mes d irrigation La mauvaise diffusion des progr s techniques sur la mise en uvre de ces deux syst mes permet d expliquer qu il y a chec dans le sens de l conomie d eau L eau d irrigation est trop gaspill e les doses d eau sont trop estim es Comme on le sait la phoeniciculture comme les cultures sous jacentes cultures fourrag res c r ali res maraich res dites cultures vivri res et de rente sont consid r es comme exemple de premier appoint d tude Ces cultures vivri res peuvent procurer un revenu mon taire aux agricultures plus ou moins appr ciable En effet c est le cas qui est recens actuellement dans les unit s de production sujettes la mise en valeur pour encourager l augmentation de la production agricole Les acteurs politico agraires ont proc d la subvention des syst mes goutte goutte et aspersion Cela am ne le
128. tier de SEBSEB Type de palmier Nouvelles plantations Nombre total Nombre productif Daglet noor 2000 29000 22000 El gars 1050 11100 8200 AZarza 150 29150 27000 Tfzuin 40 1540 1300 Adala 70 570 500 Timjohrt 100 2100 1200 Total 3410 73460 60200 33 Source da ra de metlili Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles Le potentiel en pieds de palmier dattier recens en la p riode s talant de 2010 2011 est de 73460 pieds Dans la r gion nous pouvons sugg rer que les syst mes de production sont dans la d terminante ligne de conduite appel e syst me de production en intensif Cette intensification s explique par le fait que les agriculteurs composant les unit s de production phoenicicole appliquent une forme g om trique entre palmiers d intervalle de 10 m Ce qui a donn par calcul un nombre de gal a 100 palmiers Jha A lors que dans l ensemble de la r gion du point de vue nombre nous pouvons supposer qu il y a une pr dominance de certaines cultures appelles cultures sous jacentes IL 2 6 2 Arboriculture L arboriculture secteur de second ordre par rapport la phoeniciculture est d une structure compos e de deux formes La premi re en potentiel d un nombre de 51000 Arbres dits arbres en phase de production Et la deuxi me forme dits arbres en renouvellement dont le nombre d arbres est actuellement inconnu par fa
129. tuantes d une p riode de l ann e une autre A l exemple de la p riode estivale o la demande en eau est tr s importante et par cons quent les fr quences et les tours d eau se trouvent surestim s A pr sent les agriculteurs utilisent l eau provenant de la nappe du mio plioc ne avec quelque que fois la strate du s nonien L eau est pomp e par un groupe de moto pompe fonctionnant par l nergie lectrique et partir d un contacteur disjoncteur de tension 320v Dans le p rim tre les exploitants ont des attitudes de r agissement diff rentes Et ce en fonction des conditions financi res dont ils disposent Les strat gies mises par la plupart des exploitants sont soulign es par les diff rentes activit s agricoles Leur procurant une plus value importante avec une programmation des investissements qu ils projettent d entamer dans tel ou tel am nagement Surtout en ce qui concerne l irrigation et ce par l introduction des nouveaux syst mes tels que le goutte goutte ou l aspersion assur e par le syst me pivot Les exploitations cr es l int rieur de ce p rim tre sont de divers types A l exemple des cosyst mes de petites superficies de fourchette comprise entre 0 5 ha et 1 ha et qu on appelle jardin G n ralement pour ce type les conditions de sol et d irrigation ne sont pas d un fort investissement ce qui attrait un faible revenu d gag par les syst me
130. u des cosyst mes dits oasiens Et pourtant depuis la mise sur rail des instances de la mise en valeur tous les axes de d veloppement insistent sur la priorit des priorit s que constitue l hydro agricole et ce en ce qui concerne le d veloppement des syst mes d irrigation malgr les normes investissements r alis s Il semble bien aujourd hui que la situation des unit s de production agricole se trouve dans un effet pervers Si nous nous r f rons aux r sultats obtenus et ce au niveau des rendements des cultures plusieurs hypoth ses ont t mises pour expliquer cet tat de fait Notons aussi que les probl mes engendr s dans les syst mes oasiens de la part de l hydro agricole les plus grandes difficult s manent des conditions climatiques qui s av rent tr s difficiles surtout durant la p riode estivale Scenario n 12 la mise en valeur et les dynamiques de l eau La d marche que nous allons entreprendre va consister d placer la mise en valeur dans le contexte de la syst mique des p rim tres agricoles Afin de mieux saisir pourquoi H cette nouvelle politique de la mise en valeur d finie travers les am nagements hydro agricoles est l tat du traditionnel Cela s explique par le fait que le syst me traditionnel n a pas connu de son jour l exemple de l irrigation par submersion qui demeure de premi re priorit chez les exploitants C est dire que c est un syst me stagna
131. u n 19 production des cultures fourrag res Cultures Superficie ha Production Qx L orge verte 350 175000 Luzerne 03 1500 Totale 353 176500 Source Da ra de metlili 35 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles IL 2 6 5 L arachide Cette sp culation fait partie de la culture ancienne de la population de SEBSEB La population agricole dans sa presque totalit pratique cette culture et se trouve au d liant des autres gammes de cultures Les superficies exploit es par les arachides s av rent de plus en plus en progression A titre d exemple pour l ann e 2010 2011 les valeurs sont 350 ha La production moyenne en quintaux est de 7000qx avec une qualit du produit tr s appr ci e par le public L arachide doit tre prise en consid ration dans les diff rents plans de culture des exploitations agricoles L alimentation des superficies vis vis de cette sp culation a pour raison d tre dont la mesure o il y a deux facies qui doivent pr occuper les exploitants Savoir La mise penser urgente de l arachide tendance industrielle o l on finalise le produit pour l obtention de l huile Ce qui demande la cr ation d usine avec bien la cr ation d emploi Parall lement cette arachide d huilerie il faut mener de pair celle de l arachide de bouche qui occupe un faible pourcentage en superficie Cela s explique par la cat
132. uble activit Sa strat gie est d introduire par petite quantit en t tes l levage d esp ces ovine et caprine Avec emploi des salari s permanents Une partie de sa production en cultures maraich res est destin e l autoconsommation Probl mes techniques pour la conduite du maraichage 84 Chapitre VI La description des types Type V Cultures palmier dattier arboriculture Syst me d irrigation la submersion Agriculteur g de 30 65 ans avec une famille charge Son objectif est d avoir un revenu suffisant malgr que son exploitation est d crite par un syst me de cultures de faibles sp culations Son objectif est d introduire des cultures maraich res en grande superficie de fa on dynamiser son conomie avec un gain plus lucratif malgr une faible superficie L exploitant se trouve avec un surfa age faible en arboriculture Il projette d introduire le goutte goutte avec la mise en place des serres et le pivot pour l irrigation des grandes surfaces emblav es en c r ales Manque de main d oeuvre Il se base sur l introduction de l arachide destin e la fabrication de l huile 85 Conclusion Conclusion L tude de recherche que nous avons progress e dans le temps et dans l espace nous a fait renseigner sur un certain nombre de points traitant le fonctionnement des unit s de production phoenicicole dans les p rim tres de SEBSEB Compte tenu de
133. ute de visite de responsables au niveau des vergers L interaction phoeniciculture arboriculture est r gie par la dominance deglet nour et certaines vari t s arboricoles o l on trouve principalement les agrumes compos s de pommier et de la vigne avec un effectif r duit en poirier grenadier et olivier Dans le syst me traditionnel domin par l irrigation par submersion les espaces entre palmiers sont plant s en figuier arboricoles La production annuelle en nombre de quintaux est valu e 3397000 Qx Tableau n 17 les productions arboricoles ann e 2010 2011 Type Nombre Production kg Rendement kg d arbres Orange 10000 700000 70 Mandarine 5000 400000 80 Citrons 6000 480000 80 Raisin 3000 90000 30 Pomme 10000 600000 60 Abricot 6000 360000 60 Grenade 4000 320000 80 Figue 1700 119000 70 poire 1000 70000 60 P che 300 18000 60 N fle 4000 240000 60 Total 51000 3397000 Source Da ra de metlili 34 Chapitre H Monographie des diff rentes unit s agricoles 11 2 6 3 Les cultures mara ich res Les cultures maraich res pratiqu es dans la r gion sont d une grande importance dans l optique des agriculteurs D une fa on g n rale ces cultures pratiqu es en plein champ ou en syst mes sous serres ont un double objectif Le premier est d occuper une main d uvre importante par le grand nombre de travaux effectu s durant l
134. vec l axe de la mise en vente qui se fait par les gros engins mobiles et dont l organisation ne se fait que de peu actuellement e La dynamique de l eau l int rieur du p rim tre La mise en valeur des terres dans le p rim tre de ZEHIRAT a permis d augmenter consid rablement les quantit s d eau pour l irrigation des terres Les progr s techniques employ s par l emploi des nouveaux syst mes d irrigation se sont accompagn s de changements radicaux au niveau de la gestion de l eau Les forages d eau assez profonds ont t exploit s collectivement par les diff rents exploitants et dont la g rance en fr quences et tour d eau sont assur s par l ensemble des exploitants 56 Chapitre IV Typologie des p rim tres Malgr que les modalit s th oriques de distribution de ces derni res sont peu respect es le fonctionnement et le dynamisme l int rieur des diff rentes exploitations demeurent positifs Les impay s en ce qui concerne la facture de l lectricit sont de premi re contestation de la part des agriculteurs Ces derniers se plaignent des normes d ouverture et de fermeture des forages d eau impos es par les services hydrauliques car ils n arrivent pas suivre convenablement l organisation des irrigations surtout du point de vue tour d eau qui dans la plupart des cas se pratique dans la p riode nocturne Les agriculteurs soul vent le probl me des pa
135. vue de son l insertion Notre m thode sur la mise au point de notre mod le sur le terrain est celle dite m thode par induction qui se fait a l inverse de la m thode d ductive avec laquelle noue avons d fini notre probl matique Pour la mise en emplacement de notre mod le sur le terrain nous avons pris en consid ration la parcelle qui est l unit d cisionnelle de l cosyst me et que nous l avons consid r e comme syst me 95 Chapitre VIII Application du mod le G n ralement la mise au point du mod le par l outil recherche action est d une fa on adepte des indicateurs qui jouent un r le particulier dans l ossature de la structuration du mod le Ces indicateurs lors de la mise au point d une structuration du mod le par rapport une autre structuration servent aussi de rep res pour prendre une d cision d finir une attitude porter un jugement sur le r sultat d une action entreprise sur le d roulement technique du mod le et ce l int rieur de la zone la plus repr sentative de toute la zone d tude VIIL 2 La m thode du diagnostic et de la recherche action Dans le domaine le l agro syst me et ce au niveau de la dynamique de l eau le diagnostic des actions entreprises au fur et mesure de l avancement du mod le sur le terrain est compliqu e Par le fait d obtenir rapidement les analyses ou les mesures compl mentaires justifiant la g n ralisati

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