Bibliothèque février 10
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1. BIRCH Joanne LJ A comparative analysis of nineteenth century pharmacopoeias in the southern United States a case study based on the Gideon Lincecum Herbarium In Economic botany 63 4 427 440 Bibliogr p 438 440 Mots Cl s herbier collection plante m dicinale utilisation Lincecum Gideon Etats Unis http www springerlink com content j1117u42825403t1 fulltext pdf Southeast Asian Studies 47 1 Cote PR22 SOU 09 47 1 RAKYUTIDHARM Atchara Making of community in a commercialized community in northern Thailand In Southeast Asian studies 47 1 89 110 Bibliogr p 109 110 Mots Cl s agriculture commerce aire prot g e Karen Thailande Techniques et culture 51 Cote PR34 TEC 08 51 http tc revues org 4510 GOSSELAIN Olivier ZEEBROEK Renaud DECROLY Jean Michel Dir Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles Paris Ed de la Maison des sciences de l homme 2008 N de Techniques et culture 51 275 p Bibliogr Se 7 wm on fin d art GOSSELAIN Olivier ZEEBROEK Renaud DECROLY Jean Michel Des babioles des bricoles et quelques consid rations plus s rieuses In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de Techniques et culture 51 10 17 GOSSELAIN Olivier ZEEBROEK Renaud DECROLY Jean Michel Les tr2. partir d une tude des cha nes op ratoires de pr paration de distribution et de consommation de la viande l auteur montre comment une s rie d inversions que justifie la mort d un humain se retrouve jusque dans les techniques de pr paration de distribution et de consommation de la viande de la soupe offerte au repas des fun railles soupe rev tant une forme toute particuli re partir d un cas particulier observ l auteur retrace sur la base d une tude des techniques culinaires les volutions des pratiques fun raires mongoles et les croyances qui leur sont attach es Les croyances populaires chamaniques pr bouddhiques et bouddhiques relatives l me et son devenir post mortem n ont pas t compl tement radiqu es ni par trois si cles de politique anti chamanique du clerg bouddhique ni par un demi si cle de politique antireligieuse du parti politique communiste Les Mongols consomment une viande non ordinaire fraiche mais techniquement d graiss e et r tie et semblent s en accommoder en contexte fun raire tandis qu ils seraient offens s de se la voir offrir et de devoir la manger au quotidien Ne serait ce pas l une mani re de nourrir l me du mort d une viande r tie comme la pratique chamanique pr bouddhique le pr conisait au XIIIe si cle travers le sacrifice animal MIEVILLE OTT Val rie HERMIER R mi ROQUE Olivier Concilier logiques d leveurs entretien du territoire et viabi
3. Michel Decroly N de Techniques et culture 51 180 213 Bibliogr p 212 Mots Cl s apprentissage savoir th orie pratique math matique Liberia R sum Il est courant d aborder les propri t s des nombres sous un angle universaliste Une enqu te ethnographique d taill e des pratiques math matiques chez les tailleurs vai et gola du Liberia offre une opportunit de reconsid rer le caract re universalisant et diffusionniste des th ories relatives aux dynamiques culturelles et de d velopper une approche qui appr hende ces derni res comme parties int grantes du processus de transformations des relations socio historiques Plusieurs tentatives la fois ethnographiques et exp rimentales entreprises sur une p riode de cinq ans afin d explorer les pratiques de calcul des tailleurs ont d bouch sur une tude intensive du d roulement des activit s dans les choppes de tailleurs Les conclusions de ce travail montrent que les relations de quantit sont inextricablement li es la fabrique du social chez les tailleurs et contribuent lui donner sens Parall lement les relations de quantit n acqui rent de signification qu en tant qu l ment d une pratique continue En consid rant la dynamique culturelle des pratiques math matiques dans les choppes de tailleurs vai et gola cet article aborde aussi la question de la dynamique culturelle des pratiques mises en ouvre par les ethnologues BENFOUGHAL Tatiana
4. pratique Quant aux connaissances acad miques elles ne se mettent pas en oeuvre non plus sans cultiver un art implicite Ni l inculcation ni l application d un mode d emploi ni m me la simple immersion ne suffisent g n rer du savoir faire Au del de l alternative entre un don ou bien une transmission par instruction l apprentissage semble demander une intense activit de mise en compatibilit entre des ingr dients disparates Le milieu social l environnement professionnel la situation de travail sont riches de ressources techniques susceptibles d tre convoqu es dans ce processus Malgr l intensit de cette activit un tel apprentissage ne laisse pas plus de souvenir que des premiers pas ou des premiers mots lorsque cette transformation va sans dire En l absence d enjeu social explicite la connaissance semble s vanouir comme un savoir nul et non avenu En revanche les preuves sociales les valuations les qualifications constituent autant de rep res susceptibles de garder la m moire de tels pisodes et d intervenir dans leur d roulement Ainsi construite la distinction formel informel pourrait si elle est pr sent e comme un ingr dient naturel perturber la formation de comp tences LAVE Jean Fait sur mesure les maths dans la pratique quotidienne de tailleurs lib riens In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean
5. STROOBANTS Marcelle D nouer les ficelles du m tier pour connecter les savoirs formels et informels In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de 7echniques et culture 51 164 179 Bibliogr p 177 178 Mots Cl s apprentissage comp tence savoir savoir faire formel informel R sum La qualification professionnelle et les crit res qui lui sont associ s ont t fortement d pr ci s depuis une vingtaine d ann es sur le march de l emploi et dans les milieux de la formation au nom de comp tences informelles mobilis es au travail Celles ci sont vant es par opposition la simple transmission des connaissances Sur le terrain les gens de m tiers continuent affirmer que le savoir faire ne s apprend pas ou pas comme a qu il s apparente un don se d veloppant par la pratique Des strat gies manag riales des pr occupations p dagogiques des enqu tes sociologiques des t moignages des principaux int ress s concourent donc renforcer l opposition entre savoirs formels et informels Encore faut il envisager le processus qui aboutit distinguer ces deux cat gories de savoirs Car si le savoir faire r siste la formalisation le savoir formel ne r siste pas forc ment au savoir faire Certaines recherches sugg rent ainsi que la formation scolaire peut ouvrir l acc s la
6. Informations Biblioth que n 55 F vrier 2010 Biblioth que d Ethnobiologie eh di ch fe he NR 43 rue Cuvier 19 tage Paris 5 http www ecoanthropologie cnrs fr biba index php lang fr ORLIAC Catherine ORLIAC Michel Rapa Nui l Ile de P ques de Pierre Loti autour de la collection pascuane du Mus um de gl Toulouse Toulouse Les ditions du Mus um de Toulouse 2009 128 p Les Cahiers de la Girafe Bibliogr p 119 121 Mots Cl s collection objet Loti Pierre histoire lle de P ques Cote 5735 DE REZE Thomas Perception et r ception du bambou dans la litt rature scientifique des naturalistes et des botanistes europ ens jusqu l aube du XX me si cle S I s n 2009 270 p M moire de Master II Histoire et civilisations modernes et contemporaines Toulouse II 2009 Mots Cl s bambou introduction botaniste litt rature jardin colonisation Europe Cote M1980 Current Anthropology 51 1 Cote X4 CUR 51 1 SMITH Eric Alden Wealth transmission and inequality among Cument Anthropology hunter gatherers In Intergenerational wealth transmission and inequality in premodern societies N de Current Anthropology 51 1 19 34 Bibliogr p 31 34 Mots Cl s chasseur cueilleur transmission richesse in galit Ache Paraguay Hadza Tanzanie Ju hoansi Bushman Namibie Asie du Sud Est Meriam M lan sie Tsimane Amazonie h
7. Qu est ce qu une belle vannerie au Sahara Normes collectives et choix individuels In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de 7echniques et culture 51 216 245 Bibliogr p 244 Mots Cl s vannerie esth tique norme cr ation Sahara R sum Comme tant d autres objets fabriqu s dans les soci t s dites traditionnelles en m me temps qu elles r pondent aux besoins multiples dans la vie quotidienne les vanneries sahariennes sont destin es aussi provoquer un plaisir esth tique chez ceux qui les fabriquent et chez ceux qui les utilisent N anmoins force est de constater que contrairement de hombreuses autres productions africaines telles les poteries les tissages ou encore les parures la vannerie a rarement fait l objet d tude de la part des anthropologues de l art ou des ethnologues Dans ce texte nous nous proposons d analyser les diff rents champs formels par lesquels s exprime la recherche esth tique dans les vanneries sahariennes Nous analyserons aussi la d marche complexe de l embellissement des vanneries d marche toujours individuelle mais qui s inscrit dans les codes collectifs r gissant l ensemble des activit s techniques et artisanales sahariennes RUHLMANN Sandrine Une soupe peu ordinaire analyse du repas des fun railles chez les Mongols In Des choses des gestes des mots
8. ci rel ve d abord du nombre et de l homog n it des pi ces mais galement de leur origine r elle ou suppos e ce qui entra ne une analyse des circuits d approvisionnement partiellement li s aux migrations circulaires et au p lerinage LaMecque La seconde partie de l article aborde les assemblages matrimoniaux dans une perspective historique On voit comment les r cipients maill s se sont progressivement substitu s aux calebasses dans la plupart des populations du Niger et comment cette substitution a accompagn et engendr d importantes transformations dans l conomie matrimoniale le r le des femmes la mobilit sociale et les go ts esth tiques Les auteurs replacent enfin le ph nom ne dans une perspective g ographique plus large qui permet de comprendre pourquoi les assemblages matrimoniaux comportent des r cipients maill s dans une zone tendue d Afrique de l Ouest mais galement pourquoi ces produits ne se sont pas substitu s aux calebasses ou d autres cat gories de biens matrimoniaux dans certaines populations ZEEBROEK Renaud DECROLY Jean Michel GOSSELAIN Olivier Casseroles l gumes et halloween une approche multiscalaire des ph nom nes de diffusion In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de Techniques et culture 51 50 73 Bibliogr p 71 72 Mots Cl s diffusion pa
9. ibulations d une casserole chinoise au Niger In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de Techniques et culture 51 18 49 Bibliogr p 47 48 Mots Cl s r cipient trousseau mariage d coration chambre Niger R sum Partant d une poterie atypique exhib e lors d une enqu te dans le Sud Est du Niger les auteurs tentent de reconstituer le processus qui a vu des r cipients maill s fabriqu s en Afrique de l Ouest et en Asie se substituer progressivement d autres produits dans les trousseaux de mariage pour en venir incarner la richesse des femmes leur urbanit et leurs comp tences esth tiques Ce travail vise collecter des mat riaux qui seront discut s et mis en perspective dans l article suivant Zeebroek et al ce volume lorsqu il s agira d laborer une grille d analyse multiscalaire des dynamiques culturelles Dans la premi re partie de l article la trajectoire des produits maill s est retrac e depuis leur exposition chez les parents de la mari e jusqu leur mise en place et leur exhibition dans la chambre de la nouvelle pouse au domicile du mari Cette trajectoire permet de saisir les enjeux conomiques et sociaux sur lesquels se fondent l accumulation et l exposition de tels produits Les auteurs explorent alors les crit res qui sous tendent la valeur des assemblages matrimoniaux Celle
10. lit des pratiques agricoles l exemple d une filiere viande r gionale en Valais Suisse Extr de Revue d Etudes en Agriculture et Environnement 90 3 327 341 Bibliogr p 340 341 Mots Cl s levage territoire conflit fili re viande Valais Suisse http www raestud eu pagint recherche affiche art php cid 59 Cote T6155
11. n et transformation du vocabulaire technique chez les fondeurs d aluminium au Niger In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de Techniques et culture 51 98 123 Bibliogr p 121 122 Mots Cl s linguistique sociologie aluminium technique hausa Niger BASTIN St phane Diffusion du maraichage f minin et grands espaces de mobilit dans la vall e du Niger In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de Techniques et culture 51 124 143 Bibliogr p 141 142 Mots Cl s femme mara chage diffusion march r seau Niamey Niger R sum Depuis son entr e dans le champ des pr occupations de la G ographie humaine la fin du XIXe si cle l analyse des ph nom nes de diffusion spatiale s est progressivement orient e vers une qu te visant retracer toujours plus fid lement l empreinte spatio temporelle de la propagation D coulant de leur aptitude faire fonctionner les mod les cr s cet effet plut t que d un r el questionnement sur les fondements du processus de diffusion les facteurs ayant acquis une vocation explicative les dimensions multiples de la mise en contact ne sont g n ralement pas explor s L article veut r pondre cette lacune en interrogeant le r cent e
12. ny 63 4 Cote X5 ECO 09 63 4 MUHWEZI O CUNNINGHAM A B BUKENYA ZIRABA R Lianas and livelihoods the role of fibrous forest plants in food security and society around Bwindi impenetrable National Park Uganda In Economic botany 63 4 340 352 Bibliogr p 351 352 Mots Cl s Liveseneriella apocynoides Smilax anceps vannerie for t alimentation Ouganda http www springerlink com content 5k4rp653r284j26p fulltext pdf WINTER Kawika MCCLATCHEY Will C The quantum co evolution unit an example of Awa Kava P per methysticum G Foster in hawaiian culture In Economic botany 63 4 353 362 Bibliogr p 361 362 Mots Cl s co volution plante soci t ethnobotanique quantitative standardisation kava Piper methysticum Hawaii http www springerlink com content m74q67j718833p04 fulltext pdf LIMA DOS SANTOS Lucilene ALVES RAMOS Marcelo IZIDO DA SILVA Suzene FERREIRA DE SALES Margareth PAULINO DE ALBUQUERQUE Ulysses Caatinga ethnobotany anthropogenic landscape modification and useful species in Brazil s semi arid northeast In Economic botany 63 4 363 374 Bibliogr p 372 374 Mots Cl s paysage modification plante utile for t saison ethnobotanique quantitative Caatinga Br sil http www springerlink com content dr7j4835436287 54 fulltext pdf BLANCAS Jos CASAS Alejandro LIRA Rafael CABALLERO Javier Traditional management and mo
13. repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de 7echniques et culture 51 246 271 Bibliogr p 269 270 Mots Cl s alimentation soupe viande fun railles chamanisme bouddhisme Mongolie R sum Aussi loin que l on remonte dans les sources historiques les Mongols apparaissent comme tant des mangeurs de viande Au XIIIe si cle ils consommaient la viande accompagn e d un bol de son bouillon de cuisson Aujourd hui chez les Mongols de la R publique de Mongolie compos e majoritairement de Mongols halhs l l ment principal du repas n est autre qu une soupe de viande Selon la d finition mongole la viande qui nourrit et fait repas est n cessairement fra che et grasse Le mode de cuisson qui conf re la viande ses propri t s nutritives et pr serve ses qualit s requises est le bouilli La fin du XVe si cle date de leur conversion au bouddhisme marque un tournant dans la vie des Mongols commencer par leurs pratiques fun raires ils se voient interdits de sacrifier des animaux et de consommer de la viande l occasion de la mort d un humain En r alit cet interdit bouddhique qui se traduit par des r gles alimentaires concerne la base le partage de la part sacrificielle de viande destin e aux m nes des anc tres cette part qui devait tre r tie pour leur parvenir Le repas des fun railles comporte cependant aujourd hui de la viande
14. rphological patterns of Myrillocactus Cactaceae in the Tehuac n Valley central Mexico In Economic botany 63 4 375 387 Bibliogr p 386 387 Mots Cl s cactus domestication ressource phytog n tique PFNL for t mod le Tehuacan Mexique http www springerlink com content 7762556n4603t15h fulltext pdf FULLER Rebekah J M Using historical linguistics to describe polynesian ethnomycology In Economic bofany 63 4 388 396 Bibliogr p 394 396 Mots Cl s homme plante relation linguistique comparaison ethnomycologie Polyn sie http www springerlink com content l09262055u05477gA fulltext pdf VODOUHE Fifanou G COULIBALY Ousmane GREENE Charlotte SINSIN Brice Estimating the local value of non timber forest products to Pendjari Biosphere reserve dwellers in Benin In Economic botany 63 4 397 412 Bibliogr p 409 410 Mots Cl s PFNL ethnobotanique quantitative r serve de biosph re B nin http www springerlink com content 232738n778g1lx85 fulltext pdf ZIZUMBO VILLAREAL Daniel GONZALEZ ZOZAYA Fernando OLAY BARRIENTOS Angeles ALMENDROS LOPEZ Laura FLORES PEREZ Patricia COLUNGA GARCIAMARIN Patricia Distillating in western Mesoamerica before european contact In Economic botany 63 4 413 426 Bibliogr p 424 426 Mots Cl s distillation pr colombien M soam rique http www springerlink com content a3877m4175667n357 fulltext pdf
15. rticipation chelle spatiale Niger R sum Revenant sur la trajectoire des produits maill s au Niger et sur les autres tudes de cas pr sent es dans ce Thema nous proposons un cadre d analyse g n ral des ph nom nes de diffusion L article s ouvre sur une critique de la th orie de diffusion des innovations d velopp e par Rogers ROMAINVILLE Michel Les routes africaines de l aluminium In Des choses des gestes des mots repenser les dynamiques culturelles dirig par Olivier Gosselain Renaud Zeebroek et Jean Michel Decroly N de Techniques et culture 51 74 97 Bibliogr p 96 Mots Cl s aluminium marmite artisan apprentissage fonderie transmission Afrique R sum Rapide et de grande ampleur la propagation de la fonte de l aluminium de r cup ration constitue un cas remarquable de diffusion culturelle Introduite vraisemblablement Thi s S n gal au d but des ann es 1940 la technique s est r pandue dans toute l Afrique jusqu Madagascar et aux Comores Quelles sont les raisons de l adoption par les artisans africains d un tel syst me technique Par quels canaux et pour quelles raisons le savoir a t il pu se propager travers le continent Comment a t il t appropri Quelles sont en d autres termes les routes de l aluminium en Afrique Voici quelques unes des questions qui seront abord es dans le pr sent article VAN DER VEKEN Anneleen Transmissio
16. ssor du mardichage f minin dans la vall e du Niger C est qu ayant proc d par densification dans le coeur de la vall e proximit de Niamey plut t que par extension progressive sur ses marges cet essor interpelle moins par sa mise en place progressive que par les questions qu il suscite sur ses raisons d tre Une s rie d enqu tes de terrain r alis es sur l ensemble de la vall e montre que ce ph nom ne de concentration peut amp tre lu comme le produit d une p rennisation de parcours commer ants anciens ceux du petit commerce f minin du vivrier dont l orientation spatiale a guid les potentialit s d coulement des l gumes et avec elles la diffusion du maraichage En effet dans un contexte o la ville de Niamey est le seul v ritable d bouch l essor d une production f minine de l gumes destin e combler le d ficit croissant des greniers du chef de famille on sait la rentabilit du mard chage gag e sur les possibilit s d acc s aux march s de la capitale Or partir du moment o celle ci organise l essentiel de sa collecte l gumi re en dehors de la vall e la diffusion du mard chage n a r ellement pu y prendre place qu l int rieur du bassin de mobilit s pendulaires que le petit commerce du vivrier a tiss avec Niamey Au final s il s av re que ce bassin dispose d un ancrage historique refl tant une hi rarchie des places marchandes h rit es du pass sa p rennisation fait encore d bat
17. ttp www journals uchicago edu doi pdf 10 1086 648530 BORGERHOFF Monique Pastoralism and wealth inequality revisiting an old question In Intergenerational wealth transmission and inequality in premodern societies N de Current Anthropology 51 1 35 48 Bibliogr p 46 48 Mots Cl s pastoralisme levage transmission richesse in galit Datoga Sangu Tanzanie Juhaina arabs Y men Yomut Turkmenistan http www journals uchicago edu doi pdf 10 1086 648561 GURVEN Michael Domestication alone does not lead to inequality intergenerational wealth transmission among horticulturalists In Intergenerational wealth transmission and inequality in premodern societies N de Current Anthropology 51 1 49 64 Bibliogr p 62 64 Mots Cl s horticulteur domestication transmission richesse in galit Dominique Mandinka Gambie Pimbwe Tanzanie Tsimane Amazonie http www journals uchicago edu doi pdf 10 1086 648587 SHENK Mary KJ Intergenerational wealth transmission among agriculturalists foundations of agrarian inequality In Intergenerational wealth transmission and inequality in premodern societies N de Current Anthropology 51 1 65 83 Bibliogr p 81 83 Mots Cl s agriculteur transmission richesse in galit Essex Suffolk Angleterre Su de Allemagne Kenya Turkmenistan Inde http www journals uchicago edu doi pdf 10 1086 648658 Economic Bota
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