La prothèse de disque Le médicament générique
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1. Deux temps d valuation sont pr vus avec les quipes concern es en f vrier et juin prochains Bien s r les ajustements p da gogiques et organisationnels se feront au fil des besoins La pr sence d un instituteur dans les murs hospitaliers offre aux enfants l assurance que l hospitalisation ne les loigne pas de leur vie quotidienne Elle peut parfois faire porter un autre regard l enfant sur le syst me scolaire ou sur une question de cours qu il n avait pas compris L hospitalisation devient alors source de progr s et de confiance en soi EEH MANIFESTATION Octobre rose mm Octobre le mois international de lutte contre le cancer du sein 47 000 nouveaux cas par an en France et une femme sur 9 de concern e Ces statis tiques ont une fois de plus motiv les agents du service de chirurgie gyn cologique infir mi res aides soignantes sages femmes accompagn s de Sandrine Avigdor chirurgien gyn cologue du centre de s nologie des femmes relais sant du quartier de l Argonne des l ves IDE des b n voles retrait s du CHR pour informer et inciter les femmes pratiquer le d pistage la mammographie oe ir le 14 octobre au CHR 2 stands dynamiques de pr vention un dans le hall de HLS l autre dans le hall du b timent m re et enfant d cor s en rose ont vendu des bougies des pin s des roses roses Le b n fice sera revers la ligue r gionale de lutte contre le2. Le di t ticien peut parfois partager la respon sabilit de certaines unit s sp cifiques cuisine di t tique biberonnerie cuisine th rapeutique Il applique les recomman dations nutritionnelles en participant au param trage des outils de gestion infor matique comme le logiciel de prise de commande des repas Il est tr s impliqu dans l laboration du cahier des charges le choix et l utilisation des produits di t tiques Activit de formation Il peut assurer des enseignements en di t tique dans les instituts de formation para m dicaux et dans certains lyc es Il m ne des actions de formation et d information aupr s du personnel et du grand public Activit de recherche Il peut galement tre associ des actions de recherche clinique pid mio logique ou concernant les pratiques professionnelles ES Marie Odile HOURY Responsable de la Cellule Nutrition Restauration Direction des Achats et de la Logistique Prix national de nutrition ENTRETIEN Patricia Fleureau di t ticienne au CHR Chroniques Quel est votre parcours de formation Depuis combien de temps travaillez vous au CHR Patricia Fleureau Dipl m e de l universit de Tours DUT Biologie Appliqu e option Di t tique apr s quelques remplacements centre de r ducation cardiologie pneumologie diab tologie j entre au CHR en 1981 l h pital Porte Madeleine o la fonction de di t ticien n exista
3. Cela a t une petite r volution dans les mentalit s les menus la d fini tion des r gimes l ouverture de nouveaux concepts en d finitive un enrichissement mutuel Les services de soins ont galement d couvert l univers de la di t tique et de la nutrition au travers de ces di t ticiennes appel es quelquefois en ce temps l esth ticiennes Leur culture de soignante tay e par de solides connaissances scien tifiques et une exp rience l AP HP leur furent d une aide pr cieuse dans le travail de collaboration qu elles instaur rent rapi dement avec les m decins et le personnel soignant L quipe s est rapidement toff e la demande de prise en charge di t tique des patients devenant de plus en plus importante Des di t ticiens ont t recrut s sur les 2 sites formant 2 quipes distinctes avec 2 cuisines diff rentes et des services de soins h bergeant une popu lation aux besoins sp cifiques L volution du service Restauration avec la construction d une UCPA Unit Centrale de Production Alimentaire sur le site de La Source la centralisation de la produc tion la gestion d un m me outil informa tique ont contribu la r organisation du service de di t tique rebaptis Cellule Nutrition Restauration dont les objectifs s inscrivent dans le projet logistique de l tablissement en relation directe avec la Direction des Soins LE R LE DU SERVICE A L H PITAL Dans l int
4. actes et des soins r alis s r f rence 44 du manuel les actes risques r f 45 ainsi que les principales pathologies ou probl mes de sant r f 46 Enfin le d cret du 14 avril 2005 en appli cation de la loi du 13 ao t 2004 est venu compl ter le dispositif d valuation des pratiques en mettant en place l valua tion individuelle des m decins obliga toire pour tous les m decins lib raux ou salari s des tablissements publics de sant compter du 1er juillet 2005 sous peine de sanctions disciplinaires la commission r gionale de la Formation M dicale Continue peut saisir le Conseil R gional de l Ordre 06 Chroniques 83 D cembre 2005 L ensemble des m decins a donc l obliga tion de satisfaire une valuation tous les 5 ans en lien avec la formation m dicale continue Un bar me commun la forma tion m dicale continue et l EPP d cret en cours d tude en Conseil d Etat pr voit que l ensemble des m decins lib raux et hospitaliers devra cumuler 250 cr dits sur une p riode de 5 ans Au CHR deux structures proposent les projets d valuation des pratiques qui sont mis en uvre par les quipes en lien avec le m decin responsable de ERR la Direc tion des Soins et la Direction Qualit Usagers et Gestion des Risques Le Comit d Evaluation des pratiques m dicales et la Commission des services de soins infir miers d terminent actuellement un Accr ditation des m de
5. cembre 2005 Chroniques 83 19 SPECIAL FONCTIONNAIRES ET ASSIMILES Allez plus loin avec votre banque d couvrez une relation hors du commun Financer vos envies des conditions tr s attractives M Valoriser votre pargne en accumulant des r ductions sur vos futurs cr dits M B n ficier de tarifs privil gi s sur nos services Et profitez de nombreux avantages sp cialement r serv s pour vous mVoyages mH tels mGastronomies mCulture W Loisirs Renseignez vous un conseiller est votre disposition dans les 24 agences Banque Populaire Val de France dans le Loiret Association X G ACEF Direct pour le Cr dit Pr e et l Epargne d 0810 633 637 des Fonctionnaires Prix d une communication locale BANQUE POPULAIRE
6. r t du patient il agit en pluri professionnalit il coordonne le soin nutri tionnel et travaille en troite collaboration avec l ensemble des professionnels de sant et de la logistique Il a plusieurs axes de travail Activit th rapeutique et d ducation ou r ducation th rapeutique La prise en charge sp cifique et individua lis e concerne des patients ayant des besoins nutritionnels pr cis Elle s effectue partir d une prescription m dicale et d un bilan di t tique comportant une enqu te alimentaire qui aboutit un diagnostic di t tique lequel permet de d finir des objectifs de soins n goci s avec le m decin et le patient La prise en charge di t tique est formalis e dans le dossier du patient et participe une prise en charge globale Activit de pr vention aupr s des patients professionnels Le di t ticien dispense des conseils de pr vention en lien avec les Programmes nationaux de sant aupr s du personnel mais aussi des patients PNNS Plan National Nutrition Sant Activit d laboration et de suivi de la qualit alimentaire R f rent en alimentation et nutrition il assure l quilibre et la qualit nutrition nelle au travers de la prestation alimen taire et traduit les prescriptions m dicales en plats En collaboration avec le personnel de restauration il participe toutes les tapes de la cha ne alimentaire Activit de gestion et de coordination
7. s diversifi e puisqu on y retrouve la quasi totalit des r gimes prescrits chez les adultes ajout s aux r gimes sp cifiques p diatriques L adaptation est indispensable Les repas vont du biberon au plateau de l adolescent en passant par la texture mix e et les petits morceaux avec nombre et horaires de repas vari s La prescription est de plus adapt e au poids de l enfant Le volet relationnel et le volet ducatif prennent une place importante ILest n cessaire de s adapter la compr hension de l enfant de contacter tous les adultes dont d pendent les repas de l enfant parents famille d accueil restauration scolaire afin d viter une exclusion sociale et am liorer la compliance Chroniques Vous avez gagn un prix national de nutrition Pouvez vous nous en dire plus PF J ai eu l opportunit de pr senter un concours la partie di t tique du travail r alis en H pital de Jour avec l quipe r f rente du diab te de l enfant Au cours de la journ e o les enfants diab tiques viennent pour leur bilan annuel je propose une ducation nutritionnelle ludique adapt e l ge des groupes accompagn e d un repas original surprise appr ci e des enfants D D cembre 2005 Chroniques 83 15 SS TD ES gt s UJ lt LL D ESP RANCE DE VIE La fili re g riafrique au sein du CHR d Orl ans sm Au del de 75 80 ans la maladie aigu ou les maladies
8. sis glissement d un corps vert bral l ost o porose la fracture vert brale une tumeur ou une infection du rachis l ob sit morbide En outre les proth ses de disque sont con ues pour tre implant es par une approche chirurgicale ant rieure via l ab domen pour la proth se lombaire Si une pr c dente chirurgie abdominale ou si l tat des gros vaisseaux aorte et veine cave augmentent le risque de complication l in dication peut tre r cus e Si la douleur est la cons quence d un disque bless ou d g n ratif pour traiter cette douleur des solutions alternatives la proth se de disque existent les traitements m dicaux au long cours ou l arthrod se fusion des vert bres Il est admis que la chirurgie discale en dehors de l urgence neurolo gique n est envisager que si la douleur a t invalidante pendant une p riode prolong e parfois plusieurs mois et que si le patient a re u des traitements adapt s et jug s inefficaces Les proth ses de disque sont con ues pour restaurer apr s la chirurgie une mobilit aussi normale que possible Par le pass le traitement chirurgical de la douleur chronique discale tait l arthro d se fusion des vert bres On estimait alors qu en enlevant le disque et en limi nant le mouvement la douleur serait sensi blement r duite Mais un rachis sain permet le mouvement de chacun des disques Et comme pour toutes les autres articulations qui
9. tant de m me qualit que celles de la sp cialit de r f rence les choix se font donc vers le produit le moins cher EN CONCLUSION La probl matique du g n rique l h pital on l a vu est plus complexe qu il n y para t Sa pr sence d pend du nombre de labo ratoires g n riques potentiels de leur stra t gie de vente en fonction des parts du march ville et h pital 0 165 IL n en reste pas moins que le d veloppe ment du g n rique en ville n a pas encore atteint sa vitesse de croisi re en France qui se situe au milieu des pays europ ens 0 02 0 16 0 117 loin derri re les pays du Nord mais devant 0 02 les pays du Sud A l h pital de nombreux 0 032 m dicaments vont dans les ann es venir 0 0767 0 126 0 089 perdre ech brevet et pouvoir devenir g n riquables les prix indiqu s sont les prix unitaires TTC du sachet du comprim du flacon Les prix indiqu s dans la colonne g n riques pour le CHR sont ceux de tous les g n riques qui nous ont t propos s pour le Groupement de commandes du Loiret 2005 2007 On peut voir sur cet exemple Les prix obtenus par le CHR sont toujours inf rieurs ceux des prix de ville que ce soit pour les m dicament de r f rence ou pour les g n riques Les prix des m dicaments de r f rence sont l h pital en g n ral moins lev s que les prix des g n riques quelques exceptions pr s Molsidomine
10. Michel Coville Jean Fran ois F ron Catherine Gautier Philippe Minster V ronique Morin Patricia Ollivier Sylviane Pangaud Anne Marie Rispal 18 Chroniques 83 D cembre 2005 Le patrimoine iconographique Les t moignages Des interviews de personnes l habillement Le mat riel m dical Les oeuvres d art L architecture chapelle et cour d honneur La vie du personnel log l h pital POURQUOI FAIRE Identifier et s curiser le patrimoine hospitalier Exposer au Mus e des Beaux Arts Editer un catalogue Cr er une salle mus e de l h pital Mettre en place des expositions inter m diaires en interne dans le self par exemple autour de l histoire de la prise en charge de l enfant et de cartes postales retra ant la vie de l h pital LA VIE HOSPITALI RE SE CONJUGUE TOUS LES TEMPS L atmosph re de travail de ce comit est r jouissante chacun tr s motiv souhai tant mettre en commun ses connaissances dans le domaine patrimonial La premi re t che est de faire un tat des lieux des r pertoires existants car ils exis tent m me si les chercheurs du service de Inventaire auront une mission assez ample Lorsque Fran oise Jouanneaux chercheur d butera sa recherche en priorit dans les services qui vont bient t quitter l h pital Porte Madeleine dans le but d accompa gner ce d part in vitablement des t moi gnages du v
11. Orl ans et Saint Jean de Braye qui prennent en charge des patients en perte d autonomie relative n cessitant cependant une aide pour certains actes de la vie quotidienne Les SLD et les maisons de retraite sont des lieux de vie des animations par exemple OPI Clown sur Paul Gauguin et des sorties sont ainsi organis es D Dr F DUPRIEZ PH Centre de M decine G natrique Coup de c ur livre L Art de la joie sde Goliarda SAPIENZA V Hamy 2005 Nous vous proposons l histoire de la vie d une femme dont la force vitale fascine envo te L Art de la joie est un r cit d apprentissage dans l histoire tragique de la premi re moiti du XX me si cle un hymne la vie la libert Il fallait tre libre profiter de chaque instant exp rimenter chaque pas de cette promenade qu est la vie Un grand livre marquant sensuel psychologique politique mE La M diath que d Orl ans Kirikou et les b tes sauvages Ze film d animation de la saga Kirikou r alis par Michel Ocelot et B n dicte Galup 1h 15min 2004 Film tous publics partir de 5 ans Le grand p re tr nant dans sa grotte bleue explique L his toire de Kirikou et la sorci re tait trop courte On n a pas eu le temps de rapporter tout ce que l enfant avait accompli Et il a vraiment accompli de belles et bonnes actions qu il ne faudrait pas oublier Alors je vous les raconte Et il nous dit comment l inv
12. aujourd hui disparu D s cette poque les pharmaciens hospi taliers en charge des achats de m dica ments mirent en concurrence les quelques m dicaments g n riques commercialis s amoxicilline spironolactone methyldopa lors des appels d offres En 1987 la part de march des m dicaments non prot g s par un brevet tait estim e 20 En 1997 avec le d veloppement des g n riques leur part de march l h pital repr sentait 7 7 en valeur et 32 en nombre d unit s En 2003 l AP de Paris les g n riques repr sentaient 14 des m dicaments achet s en valeur pour 47 en quantit unitaire Le g n rique l h pital a donc beaucoup progress malgr quelques difficult s persis tantes Les gammes de pr sentations 1 m di cament 1 forme 1 dosage ne sont pas toujours superposables entre le m dica ment de r f rence et les g n riques ce qui peut amener pour un m me prin cipe actif la coexistence de noms de sp cialit s diff rentes au sein d un tablis sement Les noms des m dicaments sont indi qu s en D nomination Commune Inter nationale DCI ex Cefotaxime au lieu de CLAFORAN ce qui peut compliquer la gestion des m dicaments par les utili sateurs Les fabricants de g n riques pr f rent se tourner vers le march de ville car le prix de vente des m dicaments y est plus lev qu l h pital Les conditionnements des m dica
13. de nos jours proposerait une soudure de la hanche ou du genou pour traiter les douleurs li es l usure si on peut faire autrement D autre part la technique de fusion du rachis force les disques adjacents porter plus de charge et subir plus de mouve ments Ceci a comme cons quence plus d usure Les proth ses de disque peuvent de mani re significative r duire ce risque sur les disques voisins Enfin un avantage potentiel des proth ses de disque est un retour plus rapide aux activit s normales Un des buts des proth ses de disque tant la restauration du mouvement les patients sont encourag s reprendre leurs acti vit s assez t t et il faut m me quel quefois les freiner Pour le service de neurochirurgie Dr Thierry DUFOUR Neurochirurgien des h pitaux D cembre 2005 Chroniques 83 11 PHARMACIE myfhe ou r alit Le Minist re de la Sant m ne une politique dynamique envers le d veloppement du g n rique En ville cette politique commence porter ses fruits m me si la France est encore en retard par rapport aux pays du Nord de l Europe Allemagne Royaume Uni pays scandinaves Mais l h pital qu en est il Un m dicament g n rique d un m dica ment de r f rence poss de la m me composition qualitative et quantitative en principe actif la m me forme pharma ceutique et les m mes propri t s que le m dicament de r f rence Il peut tre c
14. moins cher que le CORVASALS qui n a pas t retenu par la Commission d appels d offres Les prix des m dicaments de r f rence en ville sont toujours plus lev s que le prix des g n riques La pr sence des g n riques a un impact ind niable sur la baisse des prix des m di caments Pourquoi cette diff rence Cela rel ve d une strat gie industrielle qui pour g n rer des prescriptions de ville avec sa sp cialit de r f rence la sortie du patient de l h pital fait des efforts cono miques pour l h pital Les contrepoids cette strat gie sont soit la prescription en DCI par les m de cins pour les ordonnances de sortie soit l utilisation du droit de substitution par les pharmaciens officinaux M DICAMENTS PUREMENT HOSPITALIERS Prenons quelques exemples entrants du dernier groupement de commandes du Loiret Les g n riques l h pital ne sont donc pas un mythe que ce soit par leur pr sence r elle ou par leur impact sur les prix des produits princeps DS Pierre PLOCCO Pharmacien Chef Pharmacie Centrale G n riques Princeps 1 S 3 4 5 DOBUTAMINE 250 mg inj EE O07 T076 402 65 DOPAMINE 50 mg inj 0 3125170 200 21 0 28 El CEFOTAXIME 1 g inj 1 50 0 74 077 1 10 FA CARBOPLATINE 450 mg inj 95 97 18 10 19 88 21 50 23 00 26 00 SI OFLOXACINE 200 mg comp 0 43 0 40 OFLOXACINE 200 mg inj 4 20 3 89 Les prix indiqu s sont les prix pr
15. pour beaucoup de services accueillant des enfants une v ritable r volution en effet des actes douloureux qui se d roulaient aupa ravant dans des conditions difficiles pour l enfant s effectuent d sormais dans des conditions satisfaisantes dans une tr s grande majorit de cas D Dr Marie Aline GUITTENNY D partement de p diatrie La st rilisation centrale comment a marche sn Fin 2004 le CHR a regroup ses 2 st rilisations sur La Source toutes les tapes sont aujourd hui r alis es lavage conditionnement st rilisation lib ration des charges stockage ef mise disposition La st nilisation est un domaine un peu atypique de l h pital Elle est transversale et ce titre sert l ensemble des services de soins LES NOUVEAUX LOCAUX UN ACC S TR S CONTR L Le rez de chauss e est d di la zone de production sur 500 m le premier tage est compos de locaux techniques de bureaux et de vestiaires sur 500 m2 Depuis l tage le personnel acc de la zone tri lavage apr s avoir compl t sa tenue h pital par des accessoires de protection A l autre extr mit l acc s aux zones propres est r alis par deux sas Le cloisonnement entre les zones propres sales est infranchissable Gr ce une circulation banalis e les instru ments sont achemin s et exp di s dans des conditionnements s curis s armoires La Source v hicule adapt pour Porte Made leine Les so
16. prochainement pour prendre leur plein effet sur l ann e 2006 Ils fixeront Les objectifs d activit s organisationnels d am lioration de la qualit et les moyens humains mat riels et financiers d l gu s pour atteindre ces objectifs I Richard BOUSIGES Directeur g n ral adjoint D cembre 2005 Chroniques 83 05 Z U en O Z Z L D L un Z R GLEMENTATION L valuation des pratiques professionnelles des textes la prafique UNE LEGISLATION FOISONNANTE D s 2004 la loi de sant publique pr voit l accr ditation volontaire des m decins ou des quipes m dicales et l Evaluation des Pratiques Professionnelles dans le cadre de la d marche d accr ditation des tablis sements de sant L accr ditation des m decins et des quipes m dicales leur demande concerne les m decins ayant des pratiques risques qui sont soumis une obligation d assurance et qui peuvent b n ficier d une aide la souscription d assurance s ils ont t accr dit s L Evaluation des Pratiques Professionnelles constitue galement un axe majeur de la nouvelle version de l accr ditation orga nis e par la Haute Autorit de Sant HAS Trois r f rences du manuel d accr ditation concernent l Evaluation des Pratiques Professionnelles des soignants et des m decins et concourent l am lioration du service m dical rendu L objectif est d valuer la pertinence des
17. tisme de la face MODE D EMPLOI La pr paration du patient est essentielle Les effets du MEOPA et la r alisation du geste doivent tre expliqu s description des diff rentes phases du geste des diff rentes sensations ressenties distorsion des sons fourmillements r ves euphorie pseudo ivresse en restant le plus pr s possible de la r alit tu ne dormiras pas tu auras moins peur et moins mal On applique un masque sur le visage de l enfant en essayant de le faire accepter spontan ment par l enfant La pr sence des parents est souvent d une aide pr cieuse pour limiter l anxi t des plus jeunes L inhalation est continue et d une dur e minimum de 3 minutes avant le d but de l acte douloureux LES INDICATIONS SONT NOMBREUSES Les recommandations de l ANAES de mars 2000 concernant la prise en charge de la douleur aigu en ambulatoire chez l enfant de 1 mois 15 ans placent l utilisation du MEOPA en premi re ligne dans tous les services m dicaux et chirurgicaux de p dia trie et dans les services d urgences Le MEOPA doit tre propos pour tous les soins provoquant une douleur l g re mod r e Il est donc utilis pour les actes douloureux de courte dur e lt 45 min tels que effrac tions cutan es ponction lombaire ponction veineuse my logramme pansement extrac tion dentaire biopsie r nale sutures EN CONCLUSION L introduction du MEOPA a constitu
18. M Legrand et M Grouard coupant le ruban 08 Chroniques 83 D cembre 2005 Les enfants malades empruntent aussi le chemin des coliers mu Le nouveau professeur des coles est arriv Au travail avec Mme Roger Nomm e par l Education Nationale Madame Josette Roger a pris ses fonctions au CHR le 5 septembre dernier Son temps d une dur e de 50 elle effectue le mi temps compl mentaire au SAPAD Service d Assistance P dagogique A Domicile est r parti comme tel dans les services de soins p diatriques Lundi et mardi apr s midi en p diatrie g n rale Jeudi et vendredi apr s midi en chirurgie p diatrique Apr s une phase de contact et d observa tion sa mission d finie conjointement avec les quipes p diatriques et la responsable de la scolarit du CHR est d accompagner les jeunes hospitalis s en faisant le lien avec les structures scolaires 1er et 2 me degr s d une part et de travailler sur les projets scolaires eux m mes d autre part Elle prend galement directement en charge p dagogique certains enfants du 1er degr Enfin elle est une ressource p dagogique et La r f rence des membres de l associa tion L Ecole l H pital du Loiret Tr s concr tement il s agit pour Madame Roger de maintenir les apprentissages partir des d sirs des enfants hospitalis s Le travail p dagogique s effectue en colla boration avec L Ecole l h pital du Loiret
19. N 83 D cembre 2005 INFO M DICALE MEUMIL ES A LA si nouvel h pital un CU qJ ga CG TU CU EE CH es VC a S OI CU 4 ep un CH L aJ C Se aJ LJ TU CC CH H CU es CH d gpa OI es N CU es CU KS CHR E EN zm ORL ANS Le groupe MACSF l assureur cr par Parce qu ils font comme vous partie de la Famille Les hommes et les femmes de la MACSF Mutuelle d Assurances du Corps de Sant Fran ais vous proposent dans un esprit mutualiste des assurances parfaitement adapt es votre vie priv e et professionnelle sans interm diaire d r mun rer et 9 des prix tr s attractifs gt assurance automobile assurance habitation gt compl mentaire sant gt assurance vie retraite gt assurance Responsabilit Civile PE Professionnelle du Sou M dical air 0 810 40 80 20 rue du Baron 45000 ORL ANS Lundi mercredi jeudi vendredi SCC 12h15 13h45 17h30 marei 9h00 12h00 14h00 17h00 CG D COM MAC avssrances Soct t d Assurance Mutuelle Enireprise r gie par e Code des Assurances Adresse postale 10 cours du Triangle de T sche Th 40000 64919 La Diese Cedex nee H 776 665 EJ Notre soci t se caract rise par la vitesse de son volution ses fortes contingences conomiques ainsi que par une complexification sans pr c dent du fonctionnement des organisations humaine
20. ainsi emprunter des ouvrages en lien avec les textes ou les textes eux m mes que les com diens ont utilis s Les com diens eux ont cr leur biblio th que d sirante elle regroupe les uvres qu ils ont mises en commun en fonction de leurs d sirs de lecture Un programme de lectures rattach des objectifs g n raux Le but de ces lectures plus ou moins th tralis es selon les bin mes et leur sensi bilit artistique est inchang il s agit de faire d couvrir ou renouer avec le plaisir de la litt rature aux patients tout en leur offrant un d rivatif L intervention peut tre assez visuelle avec un personnage et une mise en sc ne ou bien plus discr te selon la personnalit du com dien Notre ambition est de donner l occasion de r unir avec le m me niveau d exigence artistes et soignants autour du patient Ce programme s inscrit dans l objectif exprim du minist re de la culture qui entend favoriser la rencontre de deux milieux artistique et m dical Bravo l quipe de soins L quipe de cardiologie sous l gide de son chef de service et de ses cadres de sant pionni re au CHR dans la mise en place de ce type de programme est exemplaire dans l approche qu elle en a et dans la mise en uvre qu elle effectue Antoine Sterne Micka l Hallouin Anna Vilas Daniel Pinault Cyril Couton Thierry Robard Laur lie Riffault absent de la photo Bastien Crinon D
21. auteur de 490 millions d euros l h pital de demain s imagine aujourd hui Orl ans Il s labore jour apr s jour sur le papier en r unions avec les professionnels et les repr sentants de l Etat Sa programmation sera achev e en tout d but 2006 et d s lors trois cabinets d architectes auront pour mission de concr tiser notre r ve L ann e 2005 s ach ve donc impr gn e d un grand lan vers l avenir auquel s additionne notre volont de mettre en place conform ment la r cente loi hospitali re le comit ex cutif qui permettra d associer plus et mieux les m decins aux choix fondamentaux de l h pital les p les de gestion m dico cono miques et la d l gation de gestion qui rapprochera le pouvoir de d cision du terrain J ai conscience du poids et du nombre des projets en cours et de l importance des efforts qui restent consentir C est le prix payer pour que le centre hospitalier r gional d Orl ans puisse continuer assurer sa vocation d excellence r gionale Vous pourrez compter sur moi pour accompagner cette ambi tion collective et pour la conduire vers la r ussite Dans cette perspective je vous souhaite de tout c ur de belles f tes ainsi qu une heureuse et fructueuse ann e 2006 Jean Pierre GUSCHING Directeur g n ral E L D L un Z PROJET Le nouvel h pital LE PROJET M DICAL EST APPROUV ET L OP RATION FINANC E PAR LE MINIST RE Le proje
22. cancer Merci tous et toutes de votre partici pation et surtout Jean Claude et Florence du Relais H qui ont offert sur HPM une boisson chaude pour chaque don ES Utilisation du gaz MEOPA en p diatrie su La premi re utilisation des effets antalgiques et anxiolytiques d une inhalation de MEOPA en dehors du bloc op ratoire remonte 1961 Mais ce n est que le 15 novembre 2001 ou une autorisation de mise sur le march a t d livr e au MEOPA en France et que tout m decin peut prescrire l utilisation de ce m lange Depuis des milliers d utilisations du MEOPA ont t r alis es chez l adulte et chez l enfant sans effet ind sirable s rieux publi EFFETS CLINIQUES L originalit du MEOPA contenant 50 d oxy g ne et 50 de protoxyde d azote associe une action anxiolytique euphorisante gaz hilarant et un effet antalgique Lentra ne une s dation consciente les percep tions sensorielles sont modifi es mais l enfant reste vigile r agit avec l environnement et peut dialoguer avec l entourage La rapidit d action l effet survient en trois minutes et la r versibilit en moins de cinq minutes rendent son utilisation simple et s re Les effets ind sirables sont rares et r versi bles en quelques minutes naus es et vomis sements parfois s dation plus profonde Les contre indications sont exceptionnelles trau matisme cr nien pneumothorax accident de plong e distension abdominale trauma
23. chroniques cr ent un statut pr caire n cessitant le recours une prise en charge adapt e La mise en place de fili res g riatriques t moigne de l adaptation du syst me de sant A l h pital d Orl ans la fili re g riatrique intra hospitali re assure deux missions le soin et l h bergement des patients g s d pendants LE SOIN EST ASSUR PAR LE CENTRE DE M DECINE G RIATRIQUE QUI EST COMPOS DE PLUSIEURS UNIT S Le court s jour g riatrique MAG M de cine Aigu G riatrique situ l H pital Porte Madeleine avec 32 lits d hospitali sation dont le mode d entr e se fait essen tiellement partir des urgences dans 75 des cas Les admissions peuvent aussi tre directes les patients venant de leur domicile adress s par le m decin traitant ou peuvent tre transf r s d un autre service d aigu ou d une structure d h bergement La mission d un court s jour g riatrique est de recevoir des patients g s polypathologiques ou tr s g s haut risque de d pendance ne rele vant pas d une sp cialit d organe pour la prise en charge d une situation aigu Au terme de l hospitalisation et suivant l valuation g riatrique le patient retour nera son domicile ou dans sa structure de d part ou une nouvelle orientation sera propos e au patient et sa famille Il peut aussi n cessiter une prise en charge en SSR Le service de soins de suite et de r adap tation g riatr
24. cins et des quipes m dicales Obligation Individuelle d EPP lt ef Ce dispositif d valuation des pratiques professionnelles tant complexe la Haute Autorit de Sant pr voit des quivalences et des articulations entre les trois types d va luations des pratiques professionnelles L EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES AU CHR Face au d fi repr sent par le d veloppe ment de l Evaluation des Pratiques Profes sionnelles le CHR s est organis pour mettre en uvre un programme d va luation des pratiques professionnelles en vue de la prochaine accr ditation pr vue en 2006 2007 L valuation des pratiques professionnelles consiste analyser ces pratiques en r f rence des recommandations selon des m thodes labor es ou valid es par la HAS LEPP s appuie sur des m thodes telles que la revue de mortalit morbidit la revue de pertinence des soins l audit clinique ou encore la m thode du chemin clinique l ensemble de ces m thodes est d crit sur le site de l HAS L EPP inclut la mise en uvre d actions d am lioration des pratiques puisque son objectif prin cipal est d optimiser le service m dical rendu Elle concerne l ensemble des acti vit s de soins qu elles soient r alis es par des m decins ou par d autres personnels soignants Accr ditation des Etablissements de sant R f 44 45 46 programme d valuation des pratiques en fonction des pr
25. cu historique se grefferont sur la recherche d accessoires m dicaux ou d iconographies etc JE VOUDRAIS TANT QUE TU TE SOUVIENNES Le Comit du Patrimoine se veut tre un passeur de m moire pour faire glisser l h pital d Orl ans vers son avenir de la mani re la plus agr able qui soit en emportant dans ses valises toutes les traces possibles du pass Si vous souhaitez partager vos connaissances et permettre de mener bien ce travail de recherche nous serons ravis de vous accueillir au sein de ce comit Vous pouvez contacter le service culture au 44 658 ER L h pital ouvre ses portes sur son patrimoine m Le 17 septembre dernier le b timent de l actuelle direction de site de l h pital Porte Madeleine a ouvert ses portes au public Les personnels hospitaliers ont eux aussi r pondu en nombre l invitation En tout environ 300 personnes se sont qliss es travers l histoire du CHR durant cette journ e nationale du Patrimoine AU MENU TROIS METS Une exposition L h pital la carte con ue et r alis e par Philippe Minster et Vincent Pasquier avec la collaboration du Cercle des Cartophiles du Loiret A partir de cartes postales anciennes dit es entre 1905 et 1923 le visiteur a pu d couvrir tour tour les salle communes de l H tel Dieu l H pital G n ral la Chapelle St Charles les diff rentes pensions Dubreuil Roux l histoire des deux communaut s de reli
26. e ment une ergonomie particuli re au bloc op ratoire impliquant tous les acteurs IBODE IADE manipulateurs radio cadres de sant sans oublier le service biom dical La qualit de cette journ e riche d changes scientifiques et techniques a t reconnue par tous nos invit s Les chirurgiens des CHU de Nantes et de Dijon le professeur Ralph Rashbaum co directeur du Texas Back Institute et les autres coll gues nord am ricains ont beaucoup appr ci l orga nisation l engagement et le professionna lisme de l quipe au bloc op ratoire et plus globalement l accueil au CHR Ils m ont demand de transmettre leurs f licitations toutes et tous Les indications pour la proth se de disque peuvent varier selon chaque type d implant et sont li es aux discopathies douloureuses r sistantes aux traitements m dicaux Dans ce cas le bilan radiologique classique comp sonf ce jour fr s bons rend une IRM qui confirme l aspect d g n ratif du disque suspect En r gion lombaire la discographie peut tre faite pour recher cher le disque douloureux Le chirurgien va corr ler ces r sultats avec les plaintes all gu es et l examen clinique pour aider d ter miner la source des douleurs Les proth ses peuvent tre implant es apr s une cure chirurgicale de hernie discale ou d embl e dans certains cas Il y a des condi tions qui peuvent cependant contre indi quer cette chirurgie dont le spondylolisth
27. e plateau m dical qui regroupera environ 90 lits soit 3 unit s de soins A cet chelon une aide h teli re sera mise en place les plateaux repas seront reconstitu s les d chets stock s C est aussi ce niveau que se trou vera la gare de livraison du syst me auto matis de charge lourde puisque ce prin cipe est retenu Le p le m dical 250 lits sera le lieu de consolidation des commandes et de gestion des archives Un technicien biom dical sera affect par p le ainsi qu un r f rent radioprotection La plate forme logistique et m dicale sera centralis e pharmacie usage int rieur 04 Chroniques 83 D cembre 2005 quoi va t il ressembler et plate forme actuelle Elle contr lera les stocks et les commandes verra passer tous les produits entrants au CHR et sera le point de d part pour Saran et les maisons de retraite De mani re g n rale la gestion sera en flux tir au fur et mesure de la consommation et non par dotation Ce projet logistique est n cessairement sous tendu par un syst me d information adapt qui permet de suivre l int gralit des flux de fournir des indicateurs de gestion et dont l interface doit tre organis e avec le syst me d information m dicale et de gestion Par ailleurs en mati re architecturale quelques grands principes mergent un fonctionnement m dical par p le avec identification g ographique des p les un plateau technique uniq
28. entif Kirikou est devenu jardinier d tective potier marchand voyageur et m decin toujours le plus petit et le plus vaillant des h ros Ce film sera sur les crans du Cin ma Les Carmes du 7 d cembre 2005 au 10 janvier 2006 Tarifs 7 50 carte CAC 45 5 50 cartes de pr paiement 5 ou 4 50 moins de 13 ans 4 50 Op ration sp ciale soutenue par la Fondation GAN le dimanche 11 d cembre tarif de 2 pour tous aux s ances de 14h et 15 h 30 mE Gagnant du concours d crifure sm Bravo madame Mellion Leroy qui a gagn le premier prix du concours d criture dans la cat gorie personnel Petits fruits juste m rs Pendant ces derniers mois nous vous avions vu grossir Nous avions d gust ces images de vous avec volupt Chaque moment fut exquis Chaque nouvelle sensation un d lice Nous avons savour ces instants succulents avec vous Petits g teaux de bonheur faits de projets d attente D un zeste de malice et de beaucoup d amour Maintenant vous tes bien l et nous vous d vorons des yeux Nous nous r galons de vos odeurs Celle sucr e du lait Le sal sur la peau velout comme une p che L eau de fleur d oranger dans vos cheveux Et ce go t bien particulier chacun Aigre doux pour le premier plein de surprises Piment pour le second nergique et joyeux Bonbon acidul pour la troisi me coquine et c line Et sous nos yeux plein de gourmandise Pour vos joue
29. ers les contrats de p le s inscrit dans un contexte financier novateur Alors que traditionnellement on se tournait vers la Tutelle pour demander des moyens finan ciers compl mentaires c est dor navant l activit du p le qui d terminera son finan cement Le p le peut donc sous certaines conditions adapter ses moyens en fonc tion de son activit A la souplesse de gestion correspond donc une responsabilit accrue dans le domaine de la gestion des p les qui apparaissent comme autant de petites PME C est pourquoi d une part une petite struc ture administrative sera mise en place dans chaque p le avec notamment un cadre administratif charg du contr le de gestion et d autre part une formation idoine des responsables de p le et des cadres sup rieurs sera prochainement organis e O EN SOMMES NOUS AU CENTRE HOSPITALIER R GIONAL D ORL ANS Le conseil d administration du centre hospi talier r gional d Orl ans a arr t les contours de p le 3 d cembre 2003 ainsi que la charte de fonctionnement de ces p les 27 mai 2005 R cemment il a ent nn la d signation de 3 responsables de p le P le chirurgie Dr Didier DORWLING CARTER P le m tiers de l urgence Dr Patrick MARTIN P le biopathologies Dr ric LEGAC et doit se prononcer d ici la fin de l ann e sur les 6 autres Actuellement des projets de contrat sont en cours d laboration qui devront tre sign s
30. eux offrent des lectures aux patients dans leur chambre mais aussi au personnel au d tour d un couloir l entr e d une salle de soins ou sur un palier d ascenseur Les patients sont pr venus de la venue des artistes par voie d affichage dans leurs chambres et au sein du service les prestations leur sont propos es gale ment par le personnel mais jamais impo s es videmment Avant de quitter le service de soins les com diens couchent sur le carnet de bord leur ressenti leurs remarques Leur compte rendu est lu par l quipe qui elle m me r pond et compl te ce cahier par des l ments qui lui semblent impor tants A l int rieur de chaque bin me un com dien r f rent de la semaine pr c dente est toujours pr sent Dans ce contexte o tout change tout le temps le lien vident est le texte Bilans ef prises de recul n cessaires Les com diens se rencontrent tous ensemble une fois par trimestre Les bilans sont de toute fa on pr vus r guli rement avec l quipe de cardio logie et le service culture du CHR IL est envisag par les com diens l avenir de mettre en uvre une lecture commune de tout le groupe cr ant un v nement sp cifique en lien ou non avec une manifestation mise en place dans l h pital Des livres accessibles pour tous Une mini biblioth que est install e au sein du service Les patients et les membres de l quipe de cardiologie peuvent
31. gieuses pr sentes cette poque Cette exposition a t mise en place en amont du 17 septembre et s est poursuivie au del l intention du personnel du CHR Elle sera install e prochainement dans le hall d entr e de l h pital de La Source Une cartoliste recensant l ensemble des cartes postales anciennes dit es sur eg P T n S Gem eeng l h pital est en cours d laboration avec le Cercle Cartophile du Loiret Un film sur l histoire de la protection sociale Orl ans intitul De l H tel Dieu la S curit Sociale Ce film a t commandit par la CPAM du Loiret en 1995 et produit par le CHR afin de marquer le 50 me anniversaire de la S curit Sociale Il relate les formes traditionnelles de la protection sociale qui ont exist du Moyen ge la fin du 19 me si cle Orl ans Il voque gale ment les grandes mutations de l H tel Dieu et de l H pital G n ral devenus Hospices Civils d Orl ans sous la R vo lution avant de devenir le Centre hospi talier r gional d Orl ans au lendemain de la seconde guerre mondiale L appari tion des r gimes de protection sociale et les progr s de la m decine y sont gale ment abord s Une promenade qui a permis de visiter dans la salle du conseil d administration les tableaux de l ancien coll ge de chirurgie de la ville d Orl ans Ces tableaux ornaient au 17 me si cle l ancien coll ge de chirurgie sis au n 5 rue An
32. i talisation est situ e sur l h pital de La Source pr s des Urgences avec un recru tement exclusif partir des urgences La proximit du plateau technique permet des investigations et une initialisation des th rapeutiques rapides entra nant une sortie dans des d lais plus rapides L unit mobile g riatrique UMG compos e actuellement d un g riatre et d une infirmi re met la disposition des services une comp tence sp cifique valuation g riatrique standardis e conseils de prise en charge pour les patients g s pr sen tant des probl mes g riatriques sp ci fiques Elle joue un r le de liaison avec les autres structures g ria triques MAG et SSRG les structures non hospitali res lieu de vie structures sociales L h pital de jour HDJ et de semaine HDS g riatrique avec 6 lits d HDS et 2 lits d HD situ dans les locaux de la MAG l h pital HPM permettant le suivi des pathologies chroniques une valuation g riatrique standardis e L H BERGEMENT EST ASSUR par les services de Soins de Longue Dur e SLD la R sidence Paul Gauguin la Chapelle St Mesmin avec 160 lits et le Centre de cure m dicale Saran avec 200 lits Ces deux tablissements prennent en charge des patients en perte d autonomie importante physique et intellectuelle n cessitant des soins de nursing et une surveillance m dicale g riatrique par deux maisons de retraite Pierre Pagot
33. iorit s nationales ou des enjeux locaux d am lioration des pratiques en terme de qualit ou d efficience Afin de garantir un degr suffisant d en gagement dans les d marches d valua tion des pratiques professionnelles un nombre minimum de projets est exig en fonction du nombre de lits dans l tablis sement Le CHR doit mener 19 projets d valuation de pratiques professionnelles A titre d exemples un audit a t r alis sur la pertinence des poses de perfusions au SAU un audit sur la prise en charge des escarres a t mis en place par la Direction des soins un audit sur la pertinence de la prescription de perfalgan intra veineux ou per os est en cours L ensemble des projets sera propos prochainement la Commis sion M dicale d Etablissement et la CSSI Le d veloppement de l EPP constitue une opportunit pour promouvoir des am lio rations organisationnelles conomiques mais surtout des am liorations de qualit et de s curit des soins dans notre tablis sement EE C line WASMER Directrice qualit usagers ef gestion des risques Dr Sylvie TOUQUET GARNAUD D partement de l information m dicale USAGERS Le repr sentant des usagers mu Le repr sentant des usagers est admis dans les Conseils d administration des tablissements publics de sant depuis une ordonnance de 1996 Il y a d j 9 ans Certains diront que les usagers sont partout et que leurs repr sentants contribue
34. ique SSRG situ Saran dans le b timent du centre de cure avec 56 lits d hospitalisation Les patients sont adress s par les services aigus m dico chirurgicaux essentielle ment du CHR d Orl ans du court s jour et de l UHCD g riatriques Le recrutement se fait plus rarement partir du service des Urgences du domicile La mission du SSRG est l valuation g ria trique globale m dicale et notamment cognitive nutritionnelle psychologique fonctionnelle sociale permettant de cons truire un projet dynamique autour du patient g Le SSRG prend en charge les patients pr sentant des d compensations m di cales multiples dont la dur e de soins est incompatible avec une unit de soins aigus 16 Chroniques 83 D cembre 2005 IL g re les complications et assure la r ducation des patients g riatriques ayant acquis une ou des incapacit s Sa mission est aussi la r insertion sociale avec un projet coh rent de r insertion prenant en compte tous les risques et permettant ainsi de diminuer les r hospi talisations Six lits d di s de Soins Palliatifs ont t accord s au SSRG dont une des missions est aussi l accompagnement et l organi sation de la fin de vie Le SSR est une plaque tournante indispen sable la fluidit hospitali re plac entre le court s jour et le lieu de vie L unit d hospitalisation de courte dur e UHOCD g riatrique avec 14 lits d hosp
35. it pas Les services soignants pr paraient encore leur petite cuisine le seul r gime existant en dehors du repas standard tait le plat fixe steak grill haricots verts Quant la nutrition ent rale j ai d couvert une pr paration artisanale fabriqu e ponctuellement base de lait d uf cru et de sucre Gr ce la forte demande m dicale et l appui de la direction de soins ainsi que de la direction de site j ai pu structurer une organisation de commande de repas des menus adapt s chaque cat gorie de patients de l H pital Porte Madeleine c est dire du nourrisson la personne g e en passant par les jeunes mamans de la maternit J ai ensuite mis en place les r gimes adapt s aux prescriptions m dicales de chaque service de soins avec formation du personnel soignant ainsi que du personnel h telier En parall le un nouveau mat riel de distribution des repas suivi de la construction d une nouvelle cuisine a permis la r organisation de la restauration aux normes d hygi ne laquelle j ai collabor La di t tique avait fait un grand pas en avant L quipe di t tique s est agrandie ma fonction polyvalente est devenue plus sp cialis e et je me suis orient e vers la p diatrie Chroniques Quelles sont vos fonctions au sein du service di t tique au CHR PF Je me suis sp cialis e en di t tique p diatrique A l image des pathologies p diatriques trait es au CHR c est une fonction tr
36. le de pouvoir imaginer son nouvel h pital C est pourquoi j ai tenu tre membre du Comit de pilotage de ce grand projet qui en plus d offrir aux patients des conditions d hospitalisation meilleure permettra galement aux personnels d u vrer dans un cadre plus fonctionnel Je pense aussi que le d veloppement du CHR passe par une coop ration troite en mati re d enseignement et de recherche avec le P le Universit s Centre Val de Loire qui r unit les deux Universit s d Orl ans et de Tours et le tissu conomique r gional notamment certaines entreprises qui sont leaders internationaux dans le domaine de la sant La Journ e Innovations du 28 avril dernier apporte le t moignage de cette dyna mique de recherche qui anime notre CHR Les articles du pr sent num ro de Chro niques le refl tent et illustrent les avanc es r alis es C est dans ce cadre que le Repr sentant des usagers se place Il entend tre un facilita teur au service de la d marche g n rale de progr s engag e Si je compte de mon c t sur votre sens des responsabilit s vous pouvez compter sur ma volont de continuer porter une parole ind pendante de l h pital et des Pouvoirs publics au service des malades EE Jean Claude BOURQUIN Repr sentant des usagers D cembre 2005 Chroniques 83 07 Z Va en O Z P N Ka LL KS LL Ka LL gt TE SANT Les Rendez
37. ls murs plafonds sont en mat riaux lisses sans fissure et sans recoin pour un nettoyage ais Un traitement d air existe au conditionnement et magasin Des pr l vements de particules de l air et de surface sont r alis s trimestriellement par le service hygi ne On observe un gradient de pression positif entre le conditionnement et les zones environnantes d exigences inf rieures UN QUIPEMENT HIGH TECH La st rilisation est quip e de 6 st rilisateurs la vapeur 4 machines laver 1 cabine de lavage double porte pour le lavage des armoires conteneurs bacs L eau osmos e produite pour les autoclaves et le rin age en laveurs est contr l e 1 fois par semaine Les maintenances sont assur es par des agents qualifi s des services techniques de La Source LE TRAITEMENT ET L ENTRETIEN DES DISPOSITIFS M DICAUX Tout dispositif autoclavable est st rilis la vapeur 134 C pendant 20 minutes conform ment la r glementation Les dispositifs renvoy s chez les fournisseurs pour r paration et ceux en pr ts sont st ri lis s avant d part du CHR UN SYST ME D INFORMATION TR S PR CIS Il existe un manuel qualit Le traitement des dispositifs est trac par logiciel OPTIM avec codes barres Les lots sont lib r s de fa on param trique au vu du diagramme du virage des indica teurs de la siccit compl te des emballages de la v rification de la pr sence des filtres et scell s sur conteneu
38. ments g n riques sont souvent moins bien adapt s que ceux des m dica ments de r f rence Notamment il y a assez rarement un conditionnement unitaire o pour chaque unit chaque g lule par exemple figurent le nom du produit la date de p remption et le num ro de lot QUEL EST L IMPACT CONOMIQUE DE G N RIQUE L H PITAL Il faut distinguer les m dicaments dispo nibles la fois en ville et l h pital des m dicaments purement hospitaliers pour lesquels les strat gies de ventes des labo ratoires pharmaceutiques peuvent tre tr s diff rentes Pour illustrer ce propos il suffit de prendre quelques exemples dans l arsenal th ra peutique du CHR M DICAMENTS DISPONIBLES EN VILLE ET L H PITAL Princeps DUPHALAC sachet 0 052 Laculose DUPHALAC flacon 1 90 Lactulose IMODIUM 2 mg g lule 0 0183 Loperamide CORVASAL 2 mg comp 0 10 Molsidomine MOTILIUM 10 mg comp 0 0646 Domp ridone CHR Orl ans Villes G n riques Princeps G n riques 0 074 0 22 0 169 0 080 1125 Sur ces quelques exemples il est facile de s apercevoir que D s qu il y a de la concurrence les prix unitaires s effondrent Le laboratoire qui a d couvert le m di cament reste rarement le moins cher et se d sinvestit de l h pital les marges de b n fices tant effondr es Il faut souligner que les pr sentations des g n riques des m dicaments hospitaliers
39. ns l ducation d 14 Chroniques 83 D cembre 2005 la mise en uvre d une strat gie d inter vention qui vise adapter l alimentation en fonction des besoins pour maintenir ou r ta blir un tat de sant satisfaisant Le di t ticien prend en consid ration au niveau individuel les conditions et modes de vie les souhaits et difficult s des personnes en vue d une modification du comportement alimentaire Au niveau collectif il prend en compte les contraintes organisationnelles budg taires et culturelles pour proposer dans le respect de l quilibre nutritionnel des situations adapt es la collectivit Le di t ticien est le seul professionnel de sant sp cialis dans l application pratique des bases scientifiques de la nutrition PETITE PAGE DE L HISTOIRE DES DIETETICIENS AU CHR C est en 1975 que sont venues les premi res di t ticiennes avec l ouverture de l h pital de La Source M tier nouveau Li T d We de Ga A E ew Ce ew 4 LE Wei r a Bes d 5 t tique puisque cr en 1949 l initiative du Professeur Jean Tr moli res Les 2 di t ticiennes rattach es la Direc tion des Services conomiques eurent la d licate mission de faire conna tre les prin cipes di t tiques dans les services des soins mais aussi au service cuisine de l poque avec toute la diplomatie n ces saire pour promouvoir le changement sans d ranger des habitudes et des automa tismes
40. nt renforcer le sentiment de d fiance vis vis des professionnels de sant et rendre encore plus conflictuelle la relation soignant soign Au contraire Pa Jean Claude Bourquin repr sentant des usagers PETIT RETOUR EN ARRI RE Un simple regard sur l action men e ces derni res ann es par les repr sentants des usagers montre que s ils essaient de rendre l Institution hospitali re plus l coute des patients et de leurs familles ils s efforcent toujours d avoir une atti tude constructive o l am lioration des conditions de travail des personnels est bien au c ur des pr occupations non par pur altruisme il ne faut pas r ver mais parce que tout simplement si le personnel dispose de conditions de vie au travail meilleures son action est de plus grande qualit QUELQUES EXEMPLES CONCRETS La pose d affiches destin es lutter contre l incivisme r alis es sous l gide de la Commission de conciliation pr sent remplac e par la C R U Q Commission des relations avec les usagers et de la qualit de la prise en charge Le choix de construire Le nouvel h pital en respectant les normes HQE Haute Qualit Environnementale meilleure isolation phonique meilleure isolation thermique au profit du patient meilleures conditions de s jour et du personnel meilleures conditions de vie au travail L ACTION DU REPR SENTANT DES USAGERS Ce n est pas tant sur la
41. ommercialis l expiration du brevet du m dicament de r f rence Il est en g n ral commercialis sous le nom de la D nomination Commune Interna tionale du principe actif associ au nom du laboratoire ou bien sous un nom fantaisiste Exemple Amoxicilline G Dupont 500 mg g lules g n rique de CLAMOXYL 500 mg g lules ou Di Algo G g n rique du DIANTALVIC Le m dicament g n rique est surtout moins cher que le m dicament de r f rence car il n a pas n cessit toutes les phases de recherches cliniques gal niques qui repr sentent la principale part du co t de revient des sp cialit s pharma ceutiques Le march des g n riques en ville s accro t r guli rement du fait des fortes incitations gouvernementales Il suffit de regarder les volutions des chiffres des derni res ann es pour s en rendre compte 12 Chroniques 83 D cembre 2005 2001 6 8 3 2002 78 3 99 2003 14 1 Evolution des parts de march des g n riques en ville En 2004 le montant des ventes en ville atteignait 1 2 milliard d Euros A fin juillet 2005 le march fran ais des g n riques repr sentait 1 3 milliard d Euros A titre de comparaison au Danemark Royaume Uni et Allemagne en 2003 les g n riques repr sentaient plus de 50 des quan tit s vendues pour 20 environ en valeur D s le d but des ann es 1980 est cr en France le Laboratoire Fran ais des Produits G n riques
42. opos s au CHR pour le groupement de commandes du Loiret 2005 2006 Avant les g n riques le CLAFORAN 1 g IV co tait 3 81 Avant les g n riques le CARBOPLATINE 450 mg IV co tait 250 Avant les g n riques l OFLOCET 200 mg comprim co tait 1 173 Avant les g n riques l OFLOCET 200 mg Injectable co tait 10 97 D cembre 2005 Chroniques 83 13 Z O KS mi gt m NUTRITION Profession di t ticien QU EST CE QU UN DI T TICIEN Le di t ticien acteur de sant agit au carre four de l alimentation et de la sant et prend en compte l acte alimentaire dans sa globalit en int grant sa dimension h doniste et socioculturelle Son objectif est l am lioration de l tat nutritionnel la pr vention du risque de maladie l optimi sation de l tat de sant et de la qualit de vie des personnes de tout ge Il dispense des soins curatifs sous la responsabilit du m decin et des soins pr ventifs de Sant publique QUEL EST SON R LE Son domaine d action est vaste il couvre tous les tats de sant dits normaux et pathologiques pour lesquels l alimenta tion est en jeu ob sit diab te cancer maladies cardio vasculaires d nutrition grossesse allaitement sport et ce tous les ges de la vie Il participe l valuation de l tat nutri tionnel d une personne il d termine et assure Le e e Kee Sat H La pr sentation a son importance da
43. otage commun passe par la signature d un contrat interne d objectifs et de moyens entre le directeur g n ral le pr sident de la commission m dicale d tablissement et les responsables des p les m dico conomiques LE CONTRAT INTERNE R VOLUTION CULTURELLE Cette contractualisation interne est une r volution culturelle dans la gestion de nos h pitaux Au del du suivi budg taire et de l affir mation de donner plus de pouvoir aux m decins et aux cadres soignants dans le domaine de la gestion et de la mise en uvre du projet m dical son int r t prin cipal r side dans le rapprochement de la prise de d cision au niveau le plus d con centr possible encore compatible avec la politique globale de l tablissement Loin d tre l origine d une balkanisation de l h pital l institution de p les doit permettre en effet de faciliter la mise en uvre des projets m dicaux inscrits dans le projet d tablissement vot par le conseil d administration et approuv par l Agence R gionale de l Hospitalisation du Centre Ces projets de p le seront donc en coh rence avec la d marche institutionnelle l institution devant garder dans un certain nombre de cas la ma trise globale du pilo tage du Centre hospitalier r gional d Or l ans notamment dans le domaine des investissements importants nouvel h pital achats d quipements lourds Cette souplesse de gestion recherch e trav
44. qualit de l acte m dical qui va de soi que peut se porter l action d un repr sentant des usagers que sur la qualit des prestations h teli res repas hygi ne am nagement des locaux confort qui tude services divers t l vision t l phone demain d faut d aujour d hui acc s Internet coffre fort indivi duel code par lit etc Ainsi que sur la qualit des relations sourire d s l accueil et jusqu la sortie mots r confortants informations compr hensibles donn es r guli rement Le patient tr s fragilis est inquiet Les parents pour leurs enfants et les enfants pour leurs parents g s le sont lt lt L objectif d un repr sentant des usagers c est inciter l accroissement de la qualit de la prestation offerte pour une meilleure prse en compte des attentes des patients A3 souvent encore plus L attention perma nente port e au patient et ses proches est une des clefs d une bonne image de notre tablissement de sant Faire de la qualit c est faire preuve de bon sens en tant vigilant et en se deman dant tout instant ce qu il convient de faire pour r pondre au mieux aux attentes du patient tout simplement en se deman dant si j tais sa place qu est ce que je souhaiterais de son entourage et de l h pital en terme de s curit d hygi ne UN COUP D OEIL SUR NOTRE FUTUR J estime que le CHR a une chance excep tionnelle cel
45. que bio polym re Ces mat riaux ont t employ s dans le corps humain depuis des ann es et sont tr s bien tol r s Des proth ses lombaires ont t pos es en Alle magne et en France depuis la fin des ann es 1980 titre exp rimental Certaines n ont que deux plateaux au contact des plateaux des vert bres sus et sous jacentes Les proth ses de technologie tr s r cente comme Mobidisc et Mobi C ont un noyau plastique mobile entre ces plateaux Ces dispositifs permettent les mouvements sur des surfaces lisses habituellement incur v es respectant la biodynamique naturelle A la lumi re des premiers r sultats lombaires nous avons con u une proth se de disque pour le rachis cervical la Mobi C Elle est utilis e depuis tr s peu de temps et subit actuellement une valuation par la FDA aux Etats Unis Parmi ces nouvelles proth ses Mobi C est la seule qui permette de restaurer une mobi lit anatomique avec un noyau semi contraint c est dire mobile mais pas trop Nous sommes au CHR d Orl ans les premiers avoir mis cette proth se il y a un an et les r sultats sont ce jour tr s bons Cette proth se imagin e et test e par un groupe de chirurgiens fran ais dont nous faisons partie est fabriqu e Troyes par la Soci t LDR m dical Elle rencontre un tr s vif succ s international et les premiers r sultats cliniques d une tude multicentrique confirment les b n fices attendus pour le
46. rs ou des soudures conformes des gaines ou sachets ER Dr Isabelle HERMELIN JOBET Pharmacien Responsable st rilisation centrale D cembre 2005 Chroniques 83 09 zZ T O ES mi gt E m INNOVATION un nouveau mat riel Dour une technique spectaculaire Une proth se de disque est un mat riel implant entre deux vert bres pour imiter les fonctions biom caniques d un disque normal supportant la charge et permet tant les mouvements de la colonne vert brale On l appelle aussi arthroplastie du rachis ou disque artificiel Le disque intervert bral est la structure molle v ritable petit amortisseur situ e entre les corps vert braux Il est fait d une partie externe de cartilage l anneau et d une partie interne le noyau plus molle En l absence de pathologie les disques sont assez flexibles pour permettre au rachis une grande souplesse IL y a deux types de disque artificiel La proth se totale de disque et le noyau arti ficiel Pour le noyau artificiel le centre du disque est enlev et remplac par un implant La partie externe du disque est laiss e en place Cette technique est encore tr s peu utilis e car peu fiable Pour la proth se de disque la majeure partie du disque est enlev e et la proth se est 10 Chroniques 83 D cembre 2005 eg implant e dans l espace entre les 2 vert bres Les proth ses de disque sont faites d un sandwich de m tal et ou de plasti
47. s et une hypersp cialisation des savoirs L h pital n chappe pas aux cons quences de ces turbulences et les r formes qui concernent les tablis sements de sant avancent marche forc e La cr ation des agences r gionales de l hospitalisation la nouvelle gouvernance la tarification l activit l accr ditation et l valuation des pratiques professionnelles la gestion des risques et des crises les nouveaux droits des patients sont l origine de multiples textes et instructions qui perturbent l quilibre de nos institutions en raison de leur cadence Notre centre hospitalier r gional rel ve me semble t il dans des conditions honorables tous ces d fis et sa situation quoique fragile encore s am liore pas pas et l quilibre financier est proche En effet parall lement l volution remarquable de notre plateau technique 2 me IRM PET Scanner 3 me acc l rateur de parti cules l activit augmente et la qualit de nos prestations a t r cemment reconnue puisque le centre hospitalier r gional d Or l ans est class 34 me sur 765 au palmar s des meilleurs h pi taux fran ais publi par le journal Le Point en ao t 2005 Mais notre v ritable atout qui fait galement notre force tient au formidable projet collectif qui nous unit celui de la cons truction d un nouvel h pital l horizon 2013 Avec la certitude d sormais acquise de son financement h
48. s patients Cette exp rience chirurgicale et la concep tion r volutionnaire de l implant avec restauration des mobilit s ont convaincu les coll gues chirurgiens du rachis en particu lier Les chirurgiens am ricains du Texas Back Institute venir nous visiter et discuter avec nous des possibilit s th rapeutiques des solutions techniques Nous sommes heureux et fiers pour le CHR d Orl ans d avoir obtenu le label de Centre interna tional de formation en chirurgie du rachis instrument e Le 8 septembre 2005 nous avons d pousser Les murs En fait nous ne pouvions pas accueillir tous les chirurgiens en m me temps au bloc pour des raisons de s curit et d asepsie Nous avons donc gr ce de tr s bons moyens techniques retransmis en direct les interventions depuis le bloc op ratoire du 5e tage jusque dans la salle Nous sommes au CHR d Orl ans les premiers avoir mis cette proth se il y a un an et les r sultats de r union de neurochirurgie au rez de chauss e am nag e pour l occasion Les participants visualisant sur grand cran les images retransmises par r gie vid o pouvaient intervenir tous moments pour poser des questions ou faire des commen taires nous avions un retour son par haut parleurs et tions quip s de micro pour leur r pondre Un coll gue du CHU de Nantes faisait le mod rateur Cet v nement a n cessit quelques centaines de m tres de c blage mais gal
49. s rondes croquer Vous mordez la vie pleines dents alors Petits fruits de notre amour Qu elle vous soit excellente Papa et maman mE D cembre 2005 Chroniques 83 17 au Re CG m as D gt 7 IC pu m PATRIMOINE Regard vers le pass Un h ritage commun Salle Saint Lazare devenue MAG Au moment o nos regards se portent vers l avenir avec la construction d un nouvel h pital la direction g n rale et le service culture du CHR choisissent pour accom pagner ce changement de faire le lien entre le pass et le futur en r pertoriant len semble du patrimoine culturel et histo rique de notre tablissement Un Comit du Patrimoine a donc t cons titu Il r unit des personnes en activit ou la retraite qui souhaitent contribuer cette valorisation de l histoire du CHR d Orl ans Il s ouvre au fur et mesure de son avanc e des partenaires ext rieurs tels le service de l Inventaire de la R gion Centre ainsi que des historiens effectuant des recher ches sur le sujet hospitalier Le classement de ce patrimoine comprend les biens immobiliers et mobiliers les uvres d art les instruments m dicaux les objets religieux et tout document iconographique photographies plans cartes postales PLUSIEURS AXES DE RECHERCHE Ils se sont dessin s d s la premi re r union de ce comit MEMBRES DU COMIT Fran oise Absolu Maud Agier Richard Bousiges
50. t d tablissement 2005 2010 auquel tait annex le projet m dical 2014 a t approuv par l ARH le 18 juillet 2005 Il faut n anmoins pr ciser que cette appro bation ne vaut pas autorisation de fonc tionnement des dossiers sp cifiques devront tre d pos s ni financement d ac tivit Toutefois cette approbation signifie que les grandes orientations que le CHR s est fix en terme de d veloppement d ac tivit sont accept es par l Agence Par ailleurs la suite d une rencontre entre Monsieur Grouard en sa qualit de Pr si dent du Conseil d Administration du CHR et Monsieur Bertrand Ministre de la Sant en juillet 2005 le Minist re s est engag par crit en septembre 2005 financer les surco ts induits par le projet de nouvel h pital recours l emprunt et amortisse ments Dans ce contexte favorable l laboration du programme technique d taill qui servira de cahier des charges l architecte se poursuit Ainsi la soci t HYGEE a t elle achev courant octobre ses r unions avec les utili sateurs pour que ces derniers expriment leurs besoins en terme de locaux D SORMAIS QUELQUES GRANDS PRINCIPES STRUCTURANTS SONT FIX S En mati re logistique les unit s de soins d une trentaine de lits environ seront les lieux de consommation finale des produits h teliers de stockage du linge des r serves de m dicaments l chelon op rationnel retenu pour la logistique sera l
51. toine Petit si ge aujourd hui de la Soci t d Agri culture Sciences Belles Lettres et Arts d Orl ans En tout 15 tableaux Le 16 me de cette collection se trouvant au Mus e des Beaux Arts il repr sente Andr V sale UNE JOURN E EXALTANTE Cette journ e du Patrimoine a permis des espaces et des temps de rencontre entre patients personnels et public ext rieur Elle a t orchestr e par les membres du Comit du Patrimoine Elle a permis de mesurer l int r t que les orl anais porte ces d couvertes patri moniales ES Instant magique la Cour d Honneur de l H pital Porte Madeleine remplie d un public hypnotis s est color e pour un soir de toute la po sie de la musique de Nano invit d honneur des Musicales 2005 SERVICE DE SOINS LES ULM en CARDIOLOGIE Une nouvelle compagnie pour les patients sm Un nouveau groupe de com diens fait son entr e dans le service de cardiologie du CHR Leur nom Les ULM Unit de Lecture Mobile Cette quipe compos e de 8 com diens professionnels ouvre la quatri me saison th trale dans ce service de soins qui a compl tement int gr la pr sence hebdo madaire des artistes dans la prise en charge de ses patients Le soin intellectuel aux c t s des soins physiques et moraux Chaque mardi apr s midi apr s avoir re u de l quipe soignante les transmis sions n cessaires une intervention de qualit les com diens toujours par d
52. ue et un bloc op ratoire unique les n cessaires flexibilit et volutivit de la structure Le noyau central des p les d di la logis tique avec au sein de chaque plateau de 90 lits la gare de livraison des salles de r union et de formation mutualis es par p le des salles de d tente au niveau des unit s de soins pour viter de multiplier les d placements une modulation des plateaux d hospi talisation sur la base de 12 lits bin me IDE et AS 12 24 36 Cependant ce jour un certain nombre de questions demeurent en suspens r utilisation en tout ou partie du b ti ment actuel de La Source dimensionnement de certaines unit s m dicales AVC psychiatrie de liaison Le programme technique d taill devrait tre achev d but 2006 de fa on engager dans les meilleurs d lais le concours de ma trise d uvre pour le choix des archi tectes et diff rents bureaux d tudes WEE Isabelle BRIVET Direction Plan et Strat gie ORGANISATION Les p les m dico conomiques mu La gouvernance hospitali re constitue le 4e volet du Plan H pital 2007 Elle tend donner plus de souplesse d action aux diff rents intervenants La nouvelle gouvernance veuf associer directeurs ef m decins dans un pilotage commun de l tablissement librement organis autour de p les d activit regroupant les moyens techniques et rassemblant les services Ce pil
53. vous de la Sant Le cycle de conf rences organis conjointement par la ville et le CHR d Orl ans a donn son coup d envoi d but septembre comme pr vu A ce jour et comme pr vu dans la programmation ce sont d j 7 conf rences qui ont eu lieu nous sommes donc ravis de cette premi re session qui a d pass nos esp rances tant par le nombre d auditeurs que par la qualit des interventions C est donc bien la preuve que ce cycle de conf rences destin au grand public tait un r el besoin pour la population orl anaise Le calendrier de la 2 me saison des Rendez Vous de la Sant est d j en cours de diffusion Pour les impatients qui ne l auraient pas encore re u vous pouvez contacter le 44 403 afin de l obtenir EM INAUGURATION Inauguration b timents de st rilisation et consultations Les b timents de st rilisation et consul tations de La Source ont t inaugur s le 24 juin dernier en pr sence du maire d Orl ans du directeur de l ARH entre autres personnalit s La st rilisation fonctionne elle depuis presque 1 an tandis que le b timent de consulta tions a vu arriver en plus de la direc tion des travaux et de la maintenance les services de consultations d ORL et d ophtalmologie Les consultations de pneumologie investiront leurs locaux au mois de d cembre Ce b timent est destin l ouverture du nouvel h pital recevoir les services administratifs du CHR E
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