Les modes d`évaluation de l`enseignement et de
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1. l ments de r flexion Olivier Bouba Olga dans Sciences sociales quand les instruments et les mod les formels supplantent les objets d tudes Antoine Destemberg dans Les racines historiques du syst me fran ais d enseignement sup rieur et de recherche Les modes d valuation de l dans Les modes d valuation de l enseignement et de la recherche pisode 1 Articles sur la recherche dans Mondes sociaux Science et Soci t dans Les modes d valuation de l enseignement et de la recherche pisode 1 Ga lle Van Ingelgem dans Le luxe sujet pol mique au Si cle des Lumi res Les figures de migrants paysans en Chine Mond dans Les figures de migrants paysans en Chine Les figures de migrants paysans en Chine Mond dans Les figures de migrants paysans en Chine Marie Lourde et C dia hypersexualisation 101 Pearltrees dans Porno chic amp m dias choc MOTS CL S Afrique Airbus A ronautique Banque Capitalisme Communication Crise Dispositifs Entrepreneuriat Entreprise Europe France Genre Histoire Industrie Industries culturelles Innovations March s Mondialisation M dias M moire Num rique Parcours Patrimoine scientifique Politique Pratiques sociales Premi re Guerre mondiale Publicitt Recherche R gulation R seaux R seaux sociaux R sistance Sant Savoirs Science Sciences Sociales Sexe Territoire Toulouse Tourisme Transmigration Universit Ville conomie PR SENTATION DU MAGAZINE MONDES SOCIAUX MODE D EMPLOI2. COMIT DITORIAL MONDES SOCIAUX EN CHIFFRES FAVORIS Freakonometrics Humanistica Isidore Web2 converted by Web2PDFConvert com La vie des id es Liens Socio Maison des Sciences de l Homme et de la Soci t de Toulouse Observatoire des Pratiques Socio num riques OPSN Olivier Bouba Olga Passeur de sciences Question de m thode R seau D mocratie lectronique DEL Sciences Humaines Socio Penser global PR SENTATION DU LABEX SMS Le labex SMS Structurations des Mondes Sociaux est porteur d un magazine de vulgarisation des Sciences Humaines et Sociales ouvert tous les chercheurs qui souhaitent partager leurs r sultats leurs d marches et leurs questionnements Fi NI S sks STRUCTURAT KONS DES MONDES SOCIAUK PR SENTATION DE QUESTION DE M THODE Question de m thode est une collection de textes de r flexion m thodologique r dig s par les membres du labex Structuration des mondes sociaux L tude des mondes sociaux implique un travail empirique approfondi des formes rigoureuses de construction et d analyse des donn es ainsi qu une r flexivit permanente des chercheurs sur leurs outils A CHERCHEURS DE SMS EN LIBRAIRIE STRUCTURATIONS DES MONDES SOCIAUX SMS Conf rence flash du LDI chercheurs europ ens face la crise conomique Repr sentations quotidiennes et constructions m diatiques Date limite rendu des dossiers 2 me semestre 29 05 15 Appel communicatio
3. SUIVEZ NOUS SUR TWITTER 0241903 SUR FACEBOOK S ABONNER GRATUITEMENT MONDES SOCIAUX DERNIERS OU AVEC UN FLUX RSS DERNIERS BILLETS Le luxe sujet pol mique au Si cle des Lumi res Les modes d valuation de l enseignement et de la recherche pisode 1 Les recettes du d veloppement conomique local par l innovation Quand la publicit enl ve le bas Web2 converted by Web2PDFConvert com Les recompositions de l exploitation agricole familiale Les figures de migrants paysans en Chine la table de Plutarque Quand un conomiste fran ais fascinait les gestionnaires allemands 1868 1914 Le sexisme bien temp r du Canard Encha n March s et controverses morales Google la possibilit d un biais Rolande Tremp une historienne dans son si cle Effets boules de neige Murano Sciences sociales quand les instruments et les mod les formels supplantent les objets d tudes O vit la science Quelles nuits pour quels territoires Jean Baudrillard Quand l v nementiel l emporte Industries cr atives et territoires p riph riques La course de taureau entre repli identitaire et culture populaire G ographie de la France en mutations Protection sociale et in galit s sociales de sant La ville durable la norme et ses limites Questions de recherche autour des serious games Bernard Maris Un humaniste un penseur critique de l conomie domi
4. ing nierie manag riale une partie de son vocabulaire performatif allocations de ressources r f rentiel production qualit indicateurs de performance faisabilit pilotage tableaux de bord ch ances livrables mais pas tout son vocabulaire En effet elle utilise aussi les mots la mode Web2 converted by Web2PDFConvert com ainsi qu une partie du lexique de l valuation traditionnelle On est donc davantage en pr sence d un sabir langue vernaculaire compos e de plusieurs langues entrem l es que du novlangue du romancier George Orwell fond sur une simplification lexicale et syntaxique destin e favoriser la parole officielle et emp cher l expression de pens es subversives ou seulement h t rodoxes Enfin l imp ratif gestionnaire s incarne dans des instances des normes des proc dures des grilles des indicateurs qui tant t se substituent aux anciens tant t se juxtaposent eux ou les infl chissent Et si les pairs sont toujours sollicit s le cadre dans lequel ils voluent ainsi que la philosophie g n rale les dispositifs et la boite outils de l valuation se sont s rieusement transform s Si l ancien n a pas compl tement disparu le nouveau est bien l Pour reprendre le slogan publicitaire d une c l bre banque Et a a change tout Ou presque La suite au second pisode Les instances de l valuation de l AERES au HCE RES Cr dit bandeau Cam
5. r gime d valuation de la recherche scientifique EHESS Ogien A 2009 Politiques de l valuation l valuation comme principe politique s minaire Les politiques de la science EHESS De l valuation coll giale Qu on la nomme coll giale par les pairs ou plus simplement professionnelle l valuation pr sente six traits majeurs e Inscription dans une double tradition D abord une tradition ancienne sch matiquement celle de l auto organisation et de l autocontr le de la communaut scientifique qui s affirme d s le Web2 converted by Web2PDFConvert com 17 me si cle avec l av nement de la science moderne et de certains deses corollaires institutionnels tels les Acad mies scientifiques ou symboliques comme la R publique des Lettres dans cette perspective l valuation coll giale est une mani re de faire exister le sens de la communaut scientifique dans les dispositifs d valuation Dodier 2009 Ensuite une tradition plus r cente la protection et la r glementation par un tat r publicain d autant plus bienveillant et respectueux mais h las radin vis vis On a Vcament reoluit del P O Maximum hos e l enseignement sup rieur dti R a T et de la recherche qu il les a d o rig s en services publics 49 na 49 On peut d ailleurs lire dans l valuation coll giale fran aise une mani re de concilier deux registre
6. OpenEdition 7 LL y E i j De nn SOCIAUX EN D H l i Masse sn CP 2 7 ner Ti Humaines ei SOS P CIE SUMENA NC Mondes Sociaux TRIBUNE LES MODES D VALUATION DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE EPISODE T 12 05 2015 ROBERT BOURE 4 COMMENTAIRES L valuation renvoie non seulement une notion travaill e depuis longtemps par les Sciences humaines et sociales mais aussi des pratiques sociales diversifi es et des dis positifs multiples A partir des ann es 1990 elle s installe dans de nombreux domaines am nagement sant action sociale diplomatie police culture enseignement recherche et pour toutes les cat gories d acteurs collectivit s publiques entreprises associations De sorte que l on est fond parler d valuation g n ralis e et riger l valuation en imp ratif cat gorique En m me temps elle est pr sent e comme un fondement essentiel de la prise de d cision et plus g n ralement de l action L action est interrog e partir de dispositifs se voulant rigoureux et m thodiques de crit res quantitatifs et qualitatifs objectifs et toujours sous plusieurs angles compl mentaires int r t pertinence effectivit efficacit coh rence viabilit En fait l valuation est devenue un outil de r flexion de gestion de r gulation et de l gitimation au service de la modernisation des appareils publics et priv s Web2 conve
7. ille Stromboni 1 CES Robert Boure LERASS robert boure iut tise3 fr More Posts CO Web2 nverted by Web2PDFConvert com DIN TONNES CAZNUNTONS CELTN SR QU IAUIE Cein eNi volane ONNIN Ciel en CUVE ARTICLE PR C DENT Les recettes du d veloppement conomique local par l innovation ARTICLE SUIVANT Le luxe sujet pol mique au Si cle des Lumi res 4 R FLEXIONS SUR LES MODES D VALUATION DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE PISODE 1 Ping Les modes d valuation de Ping Modes d valuation du SUP Histoires d universit s Ping Les modes d valuation de Ping Articles sur la recherche dans Mondes sociaux Science et Soci t LAISSER UN COMMENT AIRE Votre adresse de messagerie ne sera pas publi e Les champs obligatoires sont indiqu s avec Nom Adresse de contact Site web Commentaire lt acronym titte gt lt b gt lt blockquote cite gt lt cite gt lt code gt lt del datetime gt lt em gt lt i gt lt q cite gt lt s gt lt strike gt lt strong gt lt embed stye type id height width CO Web2 nverted by Web2PDFConvert com src object gt lt iframe width height frameborder scrolling marginheight marginwidth src gt lt object style height width embed gt lt param name value gt param LAISSER UN COMMENTAIRE M Notify me of followup comments via e mail
8. leur diffusion Cela n exclut pas d autres finalit s r pondant d autres logiques institutionnelles disciplinaires personnelles syndicales r seautiques mais les relativise e Pluralisme la coll gialit l autonomie et le consensus sur la finalit font de chaque membre non seulement un repr sentant d un milieu d une mani re de faire science ou enseignement mais aussi quelqu un dont on attend qu il admette l existence d autres milieux que le sien et d autres mani res de faire que les siennes La n gociation est de facto au poste de commande de sorte que les d cisions strat giques sont souvent le fruit de compromis n goci s et d ajustements successifs Cela revient accepter collectivement plusieurs mani res de penser et de faire et d admettre que l valuation d un laboratoire d une formation ne pr suppose pas un accord complet sur le fond Si aucune instance d valuation coll giale n a fonctionn suivant le mod le id al combinant harmonieusement ces six crit res plusieurs s inspirent plus ou moins largement de sa philosophie g n rale comit s de lecture de revues comit s scientifiques de colloques et congr s sections du Conseil national des universit s CNU comit s et commissions des organismes de recherche CNRS INSERM instances charg es de recruter les universitaires conseils scientifiques des universit s Il faut aussi reconna tre que l Etat a en parall le im
9. n MOREHIST Autour du concept de communaut dans les r seaux Grande conf Innovation vieillissement et perte d autonomie quelles retomb es pour quels publics Assembl e g n rale SMS La fabrique de l ethnicit M moires des luttes Afrique du Sud l apartheid et apr s Web2 converted by Web2PDFConvert com Un blog propos par Web2PDF converted by Web2PDFConvert com
10. nante L activit entrepreneuriale vue par les sociologues Dossier Les usages sociaux du num rique La Guerre de 14 18 racont e aux touristes Les supporters sont ils r ductibles des meutes hyst riques Lutter contre le cancer Load story la logistique pi tonne Toulouse R seaux sociaux contre r seaux sociaux Dossier Il y a cent ans la Guerre Sociabilit s socionum riques l exemple des comm morations en ligne Le tuning pratique populaire stigmatis e La r forme territoriale explosive du Mali EN STOCK Choisir un mois LA LISTE DES AUTEUR E S Web2 converted by Web2PDFConvert com Adrien Doron F1 9 Alain Lefebvre F1 2 Alain Tarrius F1 1 Am rico Mariani F1 1 Andr Tricot F1 1 Anne Sauvageot F1 1 Anne Claire Jolivet F1 1 Annelise Rodrigo et Olivier Loubes F1 1 Antoine Radel 1 Antony Andurand F1 1 B atrice Milard F1 1 Bertrand Faur F1 3 Bertrand Vayssi re 1 C dric Calvignac F1 1 Chantal Zaouche Gaudron FE 1 Clair Juilliet F1 16 Collectif R 1 Corinne Bonnet F1 1 Damon Mayaffre F1 1 Daniel Jacobi et Laure Marchis Mouren 1 Daniel Welzer Lang FE 1 Dominique Trouche FA 1 Emilie Roffidal EF 1 Eric Darras F1 1 Esther Loubradou 2 Fanny Dubois F1 1 Fanny Mazzone EN 1 Fatima Qacha F1 1 Franck Bousquet FA 1 Franck Cochoy Roland Canu et C dric Calvignac FA 1 Fran ois Morin F1 1 Gabriel Colletis F1 1 Guilla
11. pos ici ou l la formule contest e car centralisatrice opaque non contradictoire des inspections Le mod le de la coll gialit et les instances qui s en inspirent ont fait l objet de multiples critiques On passera ici sous silence celles construite par les Sciences Studies pour se concentrer sur gC celles issues des sph res m a gouvernementales Si l on N relativise celles qui d noncent p le m le les crispations Processus de Bologne corporatistes l immobilisme l int r t port plus aux moyens qu aux r sultats les difficult s au demeurant bien r elles Web2 converted by Web2PDFConvert com d appliquer le mod le l valuation des laboratoires des formations et des tablissements il reste deux critiques majeures D une part les formes d valuation traditionnelles seraient des freins la modernisation de l Administration et la r valuation la baisse du r le de l Etat D autre part elles seraient en d calage avec les exigences de la n cessaire construction de l espace europ en de l enseignement sup rieur Processus de Bologne et de la tout aussi indispensable comp tition internationale symbolis e par le classement de Shanghai Ces critiques tirent leur force autant de pour voluer Evaluer mAL FI L esprit du temps la force de l vidence que du pouvoir de ceux qui les portent voire de l esprit du temps En tout tat de cau
12. rted by Web2PDFConvert com Dans l enseignement sup rieur et la recherche sa g n ralisation et l volution rapide de ses formes ont une signification particuli re notamment en raison du r le traditionnellement attribu l valuation par la communaut scientifique Alors que l valuation en tant que principe et pratique communautaires est une constante de la vie acad mique nombre d enseignants chercheurs et de chercheurs ont accueilli avec m fiance celle qui leur est d sormais appliqu e et qui s incarne dans des structures nouvelles comme l Agence nationale de la recherche ANR ou l Agence d valuation de la recherche et de l enseignement sup rieur AERES cr e en 2006 et remplac e en 2014 par le Haut conseil de l valuation de la recherche et de l enseignement sup rieur HCERES Ce qui fait l objet des critiques les plus vives c est moins la contestation de tel ou tel l ment que le cadre g n ral Car selon Nicolas Dodier un r gime d valuation in dit tend aujourd hui s imposer qu Albert Ogien nomme valuation gestionnaire formule laquelle on pr f rera celle d valuation dominante gestionnaire ce r gime composite contenant encore des l ments relevant du mode ant rieur Boure R 2011 De l valuation coll giale l valuation dominante gestionnaire le cas de AERES Communication amp Organisation n 30 41 64 Dodier N 2009 Penser un
13. s de Cr dit Patrick Mignard l ethos celui de la science et j celui du service public galit d mocratisation d vouement vocation e Coll gialit le principe de base veut que les pairs se r unissent entre eux pour laborer des r gles de fonctionnement et des crit res d appr ciation Il s agit in fine de construire un tiers partag interne c est dire des r f rents communs relativement stables publics et acceptables Les membres ne sont pas des permanents ils ont un mandat ils disposent du temps n cessaire l accomplissement de leurs taches et ils sont amen s se revoir r guli rement Enfin chacun est plac directement sous le regard des autres membres et indirectement sous celui de la communaut i RENE ET R union coll giale de pingouins Cr dit http fr forwallbaper com e Autonomie relative des instances d valuation d coulant de la relative autonomie de l activit scientifique elle est garantie par l tat et elle s exprime notamment travers la cooptation et l lection ou la pr sence d lus m me si les tutelles ont souvent cherch injecter des doses de nominations e Finalit ultime globalement partag e par les valuateurs Web2PDF converted by Web2PDFConvert com favoriser la production et la transmission des connaissances ce qui revient valuer la contribution que les individus et les institutions apportent leur construction et
14. se elles d bouchent sur des exigences nouvelles Et exigences nouvelles r gime d valuation nouveau A l valuation dominante gestionnaire Dans sa philosophie et ses dispositifs techniques cette valuation est diff rente des modes dont l enseignement sup rieur et de la recherche s tait et avait t dot D abord elle est pour une part id ologiquement et techniquement fond e sur le New Public Management et plus pr cis ment sur le contr le de la performance par l appr ciation du r sultat travers une d marche se Benchmarking de l ESR voulant objective dans ses conditions d exercice transparence neutralit technicit professionnalisme ses crit res de mesure ses outils comme le benchmarking comparaison par la performance facilitant les classements Elle met aussi tr s fortement l accent sur la responsabilit la qualit l apprentissage organisationnel et l efficacit Mais c est souvent davantage l efficacit des d penses publiques qui est appr ci e que celle des missions dont ces d penses garantissent l exercice Dans ces conditions le pair expert est largement plac dans la position du g om tre arpenteur qui pour mesurer doit mettre en uvre des m thodes des techniques et des indicateurs la d finition desquels il n a pas ou peu particip Ensuite comme de nombreux dispositifs elle emprunte la gestion la gestion de projet et plus g n ralement l
15. ume Sire FA 1 Ir ne Gaillard EN 1 Ivan Ivanov EN 1 Jacob T Matthews FA 1 Jean Marie Bodt FA 1 Jean Michel Cazenave Jean Pascal Fontorbes F1 1 Jean Pierre Albert F1 1 Jens Thoemmes F1 1 Jessica Soler F1 1 Laurent J gou FA 1 Laurent Mac F1 1 Laurent Solini F1 1 Lu Shi F1 1 Luc Marco F1 1 Malika Hattab Christmann et Anne Isla F1 1 Marc M quignon et Jean Pierre Mignot FA 1 Marcel Drulhe f 1 Marie Th r se Duffau J 1 Marjorie Guillin 1 Marl ne Coulomb Gully f 1 Micha l Llopart 1 Michel Grossetti FE 11 Michel Lavigne F 1 Mohamed Gafsi FA 1 Muriel Lefebvre f 2 Nahema Hanafi F1 1 Nathalie Chauvac F1 1 Nathalie Paton et Julien Figeac F1 1 Nicolas Adell F1 1 Nicole Pradalier F1 1 Nikos Smyrnaios F1 1 Philippe Steiner et Marie Trespeuch F1 1 R gis Missire J 1 Robert Bouref 6 Robert Boure et Muriel Lefebvre E 2 Robert Boure et Pierre Mignot GJ 1 Samuel Chall at Pierre Olivier Dupuy R mi B nos 1 Sandra Vera Zambrano 1 S bastien Mazou FA 1 S verine Bonnin Oliveira 1 Sylvain Racaud FA 1 Sylvie Chaperon 1 Tristan AuvrayE 1 DERNIERS COMMENTAIRES Les modes d valuation de l dans Les modes d valuation de l enseignement et de la recherche pisode 1 Modes d valuation du SUP Histoires d universit s dans Les modes d valuation de l enseignement et de la recherche pisode 1 Guerre entre conomistes
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