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No 02 Qualité et-ou quantité - Serveur suisse de documents

1. Jean Charles Pettier Pascaline Dogliani et Isabelle Duflocg Un projet pour apprendre penser et r fl chir l cole maternelle Paris Delagrave 2010 a R ussir apprendre sour s art de Le d fi des enseignants c est ETAN O RAKA bien de r ussir faire apprendre autant de choses que possible des l ves tous tr s diff rents tous les l ves qu ils soient bons ou en difficult s d un milieu social favoris ou non l ves motiv s ou l ves difficiles L objectif est parfois bien ardu atteindre Ga tane Chapelle et Marcel Crahay proposent dans leur ouvrage co crit par des chercheurs en ducation une analyse de la situation en se fondant sur les recherches scientifiques actuelles La premi re partie s interroge sur les causes scolaires de l chec L int r t r side dans le fait que les enseignants accusent souvent les parents sans tre forc ment conscients de leurs propres responsabilit s L le doigt est mis sur les possibilit s de surmonter les difficult s qui surviennent en classe La deuxi me partie s attelle d cortiquer les obstacles les plus fr quents relations sociales en classe motivation mais aussi les pi ges contenus dans les disciplines de base lire crire compter La troisi me partie dresse un portrait sp cifique des troubles affectant certains l ves et de leurs besoins particuliers les handicaps les troubles d apprentissage les l ves haut poten
2. tudes sur la th orie du discours faites la FPSE Uni GE ont d bou ch en Suisse romande et notam ment en Valais sur des travaux re latifs aux difficult s des l ves en r daction fran aise et sur des pro positions de rem diations Je ne peux donc que m inqui ter de voir cette association HEP UNI remise en cause paradoxalement par tel res ponsable scolaire dans la pr sente revue Je ne pense pas en effet qu il faille dans ce domaine garder une certaine distance d avec l Univer site Au contraire il s agirait en mati re de recherches en sciences de l ducation de rapprocher les pr tendus dieux de l Olympe acad mique des besoins des prati ciens ici bas La recherche appliqu e est particu li rement valoris e si elle est large ment diffus e et exploit e C est ce que vise depuis peu 2006 le rap port quadriennal L ducation en Suisse du Centre suisse de coordi nation pour la recherche en duca tion sur mandat de la Conf d ra tion et des cantons Son but est en effet avant tout de faciliter la prise de d cisions au niveau admi nistratif et politique mais aussi d alimenter le d bat public sur le syst me ducatif Double objectif ambitieux qui se heurte malheu reusement plusieurs obstacles notamment en ce qui concerne la s lection scolaire Le rapport en Regards sur l cole Daniel Bain ain un parcours nt et de chercheur D
3. veloppement et de th ra pie de l enfant et de l adoles cent CDTEA mais aussi plu sieurs autres unit s Absolument l Office ducatif itin rant OEI a f t l ann e pass e son 40 anniversaire et dans ce secteur aussi l volution a t importante A l OEI l accompagnement du jeune enfant souffrant d un handicap et le soutien qu il convient d apporter ses parents est assur par des p dagogues sp cialis s Cet Office joue par ailleurs un role important de collaboration et de coordination avec les cr ches et avec les coles classes enfantines premi re pri maire L Office de la protection de l en fant OPE assume des mandats of ficiels confi s par les autorit s ci viles judiciaires et p nales en pro posant des mesures de protection et de pr vention Les situations probl matiques li es aux divorces l adoption ou toutes les autres situations humaines difficiles sont nombreuses et dans ce contexte le travail de l OPE est essentiel Tout le secteur des instituts d edu cation sp cialis e est galement R sonances Octobre 2010 important Notre canton dispose au jourd hui de 220 places dans ce do maine Bien gue le placement d un enfant dans une institution speciali s e n est jamais un acte banal nous consid rons cette ressource comme indispensable et compl mentaire aux ressources ambulatoires Je tiens aussi mentionner l excel lent travail accompli par le d
4. 2010 donn de l assurance pour ensei gner l environnement et d velop per les capacit s transversales des l ves m me si j ai encore des doutes par rapport aux connais sances transmises En classe reprenez vous tous les aspects exp riment s Bien s r que non car pour mon m moire j ai voulu tester de nom breux aspects En ayant trait les concepts int grateurs de mani re d taill e je sais qu il faut faire des choix Je me sers de ma check list sans la reprendre dans les d tails L valuation reste par contre diffi cile m me apr s ce travail Propos recueillis par Nadia Revaz Note 1 Les r sum s de tous les m moires r a lis s jusqu maintenant la HEP Vs sont disponibles sur http moodle hepvs ch cliquer sur M moire Di plomarbeiten se connecter en tant qu invit Un certain nombre de m moires peuvent tre consult s en ver sion lectronique dans les locaux de la M diath que Valais Quelques uns d entre eux sont accessibles en int gralit dans la biblioth que num rique http doc rero ch La didactisation du conte Ga lle Ballestraz Quelle utilisation possible du conte en 2 enfantine L auteure observe et compare deux modes d exploitation du conte poursui vant des objectifs de fran ais un mode spontan impliquant une lecture du conte et un par tage autour de ce dernier sans planification ni valuation d exer cices visant un o
5. 2010 l une de nos grandes r ussites dans le domaine de la pr vention Quel est votre avis le plus grand d fi pour l avenir du SCJ Les activit s du Service cantonal de la jeunesse tant extr mement va ri es les d fis sont d s lors tr s dif f rents d un secteur l autre Par exemple pour l accueil la jour n e dans certaines r gions peu peupl es il va falloir trouver des r ponses encore plus importantes via les mamans de jour Des solutions tr s pragmatiques et flexibles doi vent encore tre trouv es dans plu sieurs secteurs et il s agira assur ment d adapter certaines structures aux besoins de la soci t actuelle Du c t de l cole tout en d velop pant la politique int grative il faut maintenir et peut tre sp cialiser davantage l offre des institutions En ce qui concerne la collaboration entre le CDTEA et l cole une com mission mixte a t mise en place pour la renforcer Il est vident qu un psychologue doit pouvoir in tervenir dans un d lai de deux jours id alement le jour m me face toute situation probl matique de fa on pouvoir poser un diagnostic rapidement mais l nous devons malheureusement faire face un manque de ressources humaines Autre point d am lioration je suis d avis qu il faut renforcer la colla boration avec la Haute Ecole p da gogique Les futurs enseignants devraient tre mieux inform s des dysfonctionnements dans le d ve l
6. Q ia sp is olg QT 1 m 2 OR p ENIG a Ia ta gi f s Ma SZ O LAL TIA O ZIZ Le md ke 4 lo as pe se nas Technop le 3960 Sierre Ct T l 027 452 25 25 info schoechli com cl S abonner Les abonnements pour les tarifs cf impressum peuvent se faire Ci par courriel resonances admin vs ch D par courrier DECS SFT R sonances rue de Conthey 19 cp 478 1951 Sion Pour des raisons administratives cen tralisation des fichiers il est imp ratif que tous les abonnements et les chan gements d adresse se fassent par cour riel ou par courrier et non par t l phone avec indication du degr d en seignement enfantin primaire CO secondaire Il Merci toutes et tous pour votre compr hension os Pour consulter les archives de R sonances www vs ch sft gt R sonances mensuel de l Ecole valaisanne SCHOECHLI IMPRESSION amp COMMUNICATION SA Impressum M R sonances La revue R sonances qui fait suite L Ecole valaisanne parue de 1956 1988 et L Ecole primaire publi e de 1881 1956 est dit e par le D partement de l ducation de la culture et du sport DECS M Edition administration r daction DECS SFT R sonances Rue de Conthey 19 Case postale 478 1951 Sion T l 027 606 41 59 www vs ch sft gt Les domaines du SFT gt Publications p dagogi
7. R sonances Octobre 2010 Z Festival d erreurs incitait les enfants se tromper pour mieux apprendre Contre toute attente ils ont appris qu une balle de tennis et une boule de p tanque tombent la m me vitesse Ouest France fr 7 09 zi Education Quand l cole investit en amont Face une r cession mondiale qui continue de peser sur l emploi l ducation constitue un investissement essentiel pour r pondre des volutions technologiques et d mographiques qui redessinent le march du travail a d clar le secr taire de l OCDE Angel Gurria en pr sentant le rapport 2010 Regards sur l ducation Fort bien Sauf que la ui m me publication rappelle que dans la plupart des pays de l OCDE les enseignants sont toujours moins bien pay s que d autres professionnels qualifications gales De plus le hasard fait qu en France pays h te de l OCDE le gouvernement a supprim quelque 40 000 postes d enseignants depuis 2008 Parall lement il annon ait l ouverture d tablissements de r insertion scolaire o des jeunes perturbateurs de 13 16 ans seront fortement encadr s au prix de 15 350 euros par l ve et par an trois fois plus que le co t d un l ve du premier degr Le Temps 8 09 Etude britannique Effets du stress Des chercheurs de l Universit de Kent en Grande Bretagne en collaboration avec le Teacher Support Network ont trouv que les enseignants qui veulen
8. Vouvry Fabbro Ma lle Chesi res VD Felley Thomas Martigny Fleury Nathalie Vex Fournier Emilie Sion Fournier Fabrice Basse Nendaz Fournier Fr d rique Sion Frioud Samuel Baar Nendaz Germanier Sarah Aven Gerosa Laetitia Crans Montana 1 Gremaud Tiana Muraz Hennard Johanne Aigle VD H ritier Floriane Savi se Julen Florence Sierre Lavanchy Marc St Maurice Luyet Fanny Savi se Magnin Val rie Massongex Mayor C line Monthey Morisod Joanna Lavey Village Pianelli Florence Sion 22 Les dipl m s de la formation initiale R sonances Octobre 2010 Pignat Ang lique Monthey Pillet Christina Conthey Pralong Jean Fran ois Sion Rouvinez Camille Uvrier Rouvinez J r mie Vevey Schaller Chlo Monthey Th taz Fabrice Monthey Tschupp Guillaume V rossaz Vouillamoz Ana s Is rables Prix Oberwallis Bumann Vonlaufen Naomi Brig Glis Grand Rebekka Erschmatt Gysel David Saas Grund Julen Manuela Zermatt Juon Jasmine Eyholz Koppel Silvia Guttet Feschel Lauber Raffaella Zermatt Pfaffen Melanie Brig Ritler Mirella Brig Schnyder Isabelle Giswil Stoffel Lydia Unterb ch Straub Saskia Ried M rel Stucky Josianne M rel Studer Sabrina Glis Zeiter Nathalie Naters Dipl me FP Sec I Sec II Bonvin Pianelli Val rie Sion Bornet Maryse Haute Nendaz Borter Niklaus Sion Deslarzes Bianca Martigny Ehret Christelle Jongny Emery Carlen Vanessa Sion Les nouveaux
9. c est pour mieux atteindre les objec tifs Bien s r on ne recommandera pas cette prise de R sonances Octobre 2010 L enseignant travaille t il pour les meilleurs l ves distance aux debutants tous les enseignants n ont pas ou pensent ne pas avoir l expertise n cessaire pour s loigner du rail propos par l institution Il importe aussi qu un enseignant sache rep rer les composantes du programme qui jouent un role ma jeur dans l valuation et dans la s lection scolaire et celle dont le poids est n gligeable Cela n autorise pas ipso facto les n gliger Si c est possible un ensei gnant a pour t che d enseigner l ensemble du pro gramme Mais lorsqu il faut all ger autant sacrifier ce qui ne porte pas cons quence L all gement des programmes n est pas une fin en soi encore moins une vertu Il faut le mettre en balance avec le nombre d l ves qu on laissera sur le bord du chemin si l on parcourt tout le programme grande vi tesse Il ne s agit donc pas de donner libre cours aux pr f rences ou r ticences de l enseignant par rapport tel ou tel chapitre mais de lui donner le droit d alle ger le programme lorsqu il a l impression que cela per met un plus grand nombre d l ves de suivre Ce qui veut dire qu il a besoin de comp tences pour valuer le niveau de d part de sa classe et adopter un rythme de progression qui n exclue pas la majorit de ses l ves Comment fixer une proporti
10. de pays ou d Etats Bien que les noms suppl mentaires ne soient pas apprendre l apprentissage s est av r plus 10 difficile pour les cartes surcharg es De plus on observe dans les cartes surcharg es que certains l ves decrochent et apprennent de moins en moins bien ils sont d courag s Non seulement la surcharge est n faste l apprentissage mais elle est dangereuse pour les l ves en difficult Alain Lieury Mais o est donc ma m moire D couvrir et ma triser les proc d s mn motechniques Paris Dunod 2005 Mieux apprendre 1 les capacit s apprendre d un tre humain sont bien sup rieures ce que l on consid re habituellement comme normales et tout apprentissage doit tenir compte des opinions restrictives des l ves sur leurs capacit s et de celles des enseignants sur les capacit s de leurs l ves 2 apprendre est un processus qui met en uvre l ensemble de la personne en particulier le conscient et l inconscient le corps et les motions 3 une meilleure connaissance du fonctionnement du cerveau permet d am liorer la qualit d un apprentissage l environnement d apprentissage environnement physique motionnel social mental joue un r le important dans la qualit de l apprentissage 4 il n y a pas d intelligence absolue qui serve de r f rence travers des tests pour mesurer l intelligence d un tre humain 5 on peut consid rer l intelligence d
11. doutent bien qu ar river en fin d ann e en ayant couvert les deux pre miers tiers du programme n est pas une bonne id e Ils entrevoient une alternative passer tr s rapidement sur des aspects secondaires du programme voire les oublier compl tement pour avoir plus de temps pour travailler les aspects centraux Mais imaginer cette tac tique est une chose la mettre en uvre bon escient en est une autre qui suppose une certaine exp rience et une certaine confiance dans son propre jugement La construction de ce jugement prend du temps C est une d marche relativement solitaire puisque nul n est cens faire des coupes dans les programmes Ce th me n est donc pas abord ouvertement en formation ini tiale ou en formation continue On peut m me craindre que la formation en particulier lorsqu elle est dispens e par des sp cialistes des disci JE S LECTIONNE plines d enseignement tienne le discours selon lequel tout est important dans les programmes et stigmatise tout all gement Je ne connais pas de recherche extensive sur l ampleur des coupures et la mani re dont les enseignants les font Une telle recherche permettrait de comprendre de quelles normes un professeur doit se lib rer pour oser all ger le sacro saint programme On peut faire une premi re hypoth se un en seignant qui coupe sereinement dans le programme a compris que les ann es sco laires ne constituent pas un difice ration
12. du Jura bernois d Emmental de Bienne ou de bien plus loin Leur point commun est d afficher une immense motivation pour relever le d fi de faire tourner un office de poste uniquement entre jeunes en formation dans un environ nement bilingue Les apprentis ne sont pas enti rement livr s eux m mes Deux coaches sont l en permanence Le but de cette formation est que les apprentis apprennent se d brouiller Le Journal du Jura 28 08 Enseignement La prof d cole c est maman De plus en plus de parents optent pour les cours la maison Dans le canton de Vaud 80 enfants ont fait leur rentr e la maison Ce chiffre peut para tre faible mais ils n taient que vingt il y a huit ans Ailleurs en Suisse romande ce chiffre est stable et proportionnel au nombre d l ves 19 Gen ve 8 dans le Jura une dizaine en Valais 17 Neuch tel 7 francophones et 5 germanophones Fribourg En Suisse cette alternative est choisie par plusieurs centaines de familles invoquant la violence des pr aux des raisons religieuses id ologiques ou un niveau scolaire en baisse Dans la majorit des cas ces l ves r int greront l cole publique avant la maturit pour obtenir un dipl me Au Tessin l cole la maison est interdite En Suisse al manique certains cantons exigent que les parents aient une formation d enseignants Rien de tout cela en Romandie En g n ral l enseignement est de qualit la
13. en classe Pour se rendre compte distance des principales tapes de l change linguistique individuel suivons six tudiantes parmi les 34 jeunes ayant particip cette aventure entre GroBkrotzenburg petite ville alle mande situ e dans le Land Hessen et le Valais Jeunes de GrofRkrotzenburg en Valais Les tudiants de GroBkrotzenburg ont s journ en Valais du 26 mars au 3 avril 2010 Ces deux semaines d change ont t largement ap pr ci es par Sophia Charlotte et Natascha tudiantes venues d Alle magne ainsi que par H l ne Ma non et Joana leurs trois correspon dantes des lyc es coll ges s dunois Pour les Allemandes il n a pas tou jours t facile de s adapter aux longues journ es d cole et aux exi gences scolaires Charlotte a trouv la plupart des cours plus difficiles Sophia a constat que dans son pays les enseignants taient nette ment moins s v res et Natascha 13 tait puis e le soir en raison du rythme plus dense de sa jour n e d tudiante valai sanne Etait ce mieux ou moins bien Les trois jeunes filles ne se pro noncent pas estimant juste enrichissant de conna tre des mani res tant t similaires et tan t t diff rentes d appren dre et de vivre Toutes trois ont appr ci les mo ments pass s en famille les bains de Saillon le shopping en ville de Sion la visite du lac souterrain St L onard ou d autres balades en terre valais
14. ensemble le record du monde Equipe de huit max Arrivent ls en se passant un Maintiens ta balle en quilibre et essaie avec diff rentes parties du corps 7 R ussit i maintenir r quibre durant S Anticipe t les mouvements du ballon Maintiens la balle qui tourne en Contr le ta balle pendant qu elle roule le long de tes bras La bale part elle d une main ot arrive t ollo dans l autre 9409 La bole passe t olle au niveau du co Et derri re la t te 4 quilibre sur un doigt 4 La balle toume t ete assez rapidement a 1 sur elle m me Suite ces d cisions les anima teurs et le didactitien HEP r dac teurs produiront les textes et les images pour les fiches venir Ils produiront galement les do cuments annexes planification annuelle et planifications periodi gues ainsi gue les fiches explica tives didactiques ou th oriques Nous vous tiendrons r guli rement au courant de l volution de ce dos sier L Ecole cantonale d art du Valais ECAV a concoct un programme de cours du soir pour se familiariser avec les approches de la sculpture contemporaine reconna tre les diff rentes techniques d impression exp rimenter les techniques de base du langage audiovisuel mieux comprendre la culture contemporaine de l image acqu rir les bases de l animation stop motion www ecav ch 36 S exercer avec une position souple sans raide
15. essaie de maintenir le cap d une certaine autorit dans l cole estimant qu un minimum de discipline en classe est n cessaire pour permettre aux l ves d apprendre R sonances Octobre 2010 Activer les mesures a l interne de la classe Prendre les d cisions Activer les mesures internes l tablissement Proposer des mesures l enfant la classe et l enseignant Proposer des mesures et les ventuelles d cisions Jean Fran ois Favre Les deux sont le plus souvent li s puisque les l ves qui ont un comportement difficile ont la plupart du temps t largu s au niveau des r sultats scolaires Leur attitude inadapt e est fr quemment une r action ce d crochage Quel est votre bilan sur la struc ture mise en place au CO pour la 3 ann e Danny D fago Dans l ensemble on peut dire qu il est plut t tr s positif Jean Fran ois Favre Nous n avons pas toujours des informations sur le suivi de l l ve Certains enseignants donnent des nouvelles d autres pas Danny D fago Si l on n est plus ap pel dans l cole en question on en d duit que tout se passe bien Quel regard portez vous sur l ex p rimentation en enfantine et au primaire d une structure hor mis la classe relais largement bas e sur celle mise en place au co Jean Fran ois Favre C tait logique de commencer par le CO car c est cet ge que les probl mes sont les plus cri
16. groupe de pilo tage compos des six enseignants de Dani le Tissonnier collaboratrice Danny D fago Chantal Dorsaz et Jean Fran ois Favre l quipe pour le CO R sonances Octobre 2010 scientifique du Service de l ensei gnement de Jean Daniel M trailler repr sentant des inspecteurs de la scolarite obligatoire et de Made leine Nanchen representante des conseillers p dagogiques se r unira r guli rement pour faire le point sur le fonctionnement des struc tures mises en place et faire mer ger les besoins en formation conti nue ou en soutien Structure renforc e au CO Au niveau du CO la structure exp riment e d s 2008 qui se d cline en des mesures internes une unit can tonale et une classe relais est p rennis e Lorsque la direction doit faire face des troubles du compor tement qu elle n arrive pas resou dre en interne Chantal Dorsaz et Danny D fago peuvent apporter leur aide Si la situation le n cessite une unit cantonale compos e de conseillers p dagogiques de l ensei gnement sp cialis et selon les be soins et demandes de l inspecteur d arrondissement et ou d un sp cia liste du CDTEA Centre pour le d veloppement et la th rapie de l en fant et de l adolescent ou de l OPE Office pour la protection de l en fant peut compl ter le dispositif Les enseignants ressources ont pour 45 t che d analyser d intervenir de conseiller de soutenir
17. les changements du SCJ depuis les ann es 70 Il y a trente ans on a assist la cr ation de structures sp cialis es pour les enfants ayant des pro bl mes sp cifiques On parlait deja alors d int gration mais il ne s agissait en r alit que d une int gration g ographique permettant certes l l ve ayant des troubles ou des retards d apprentissage res pectivement de d veloppement de fr quenter une classe r guli re mais dans laquelle il ne b n ficiait pas d une structure d aide adapt e ses besoins comme c est le cas au jourd hui er a pass pr s de tre du Service canto Le d but de mon parcours profes sionnel se situe la charni re de deux mod les explicatifs La psy chologie de l enfant tait ses d buts fortement impr gn e par l ap proche psychanalytique pour qui la compr hension et le traitement des sympt mes n cessitent un travail centr presque exclusivement sur l individu Vers le milieu des ann es 80 la vision est devenue cosyst nte ans la t te nal de la jeunesse gencontre mique les sympt mes ne r sultant pas uniquement de l quation indi viduelle des patients mais pouvant tre galement consid r s comme l expression de dysfonctionnements dans les syst mes dans lesquels ils sont impliqu s Dans cette nouvelle perspective le probl me est d fini comme r sul tant de la rencontre entre des varia bles de nature individuelle a
18. les besoins vitaux Transfert dans une nouvelle institution Le transfert dans une nouvelle ins titution est le cas classique de chan gement d employeur et de libre passage La prestation de sortie est vers e directement par la caisse a l institution de pr voyance du nou vel employeur gui utilise cet ap port pour financer les prestations du plan Si l apport est insuffisant pour fi nancer l entier des prestations pr vues dans le r glement de la nou velle institution l assur entrant peut effectuer un rachat en vue d am liorer sa pr voyance hauteur des prestations r gle mentaires Si l inverse son apport est plus important que ce qui serait n cessaire pour financer les prestations r glementaires l ex c dent peut tre plac sur un compte ou une police de libre passage ou tre utilis pour fi nancer d ventuelles augmenta de sortie de la caisse tions de prestations r glementaires hausse future du salaire assur compte de retraite anticip e par exemple Maintien de la pr voyance sous une autre forme Si l assur cesse toute activit pro fessionnelle et donc n est pas affi li une nouvelle institution de pr voyance lorsqu il quitte la caisse il ne peut pas disposer librement de sa prestation de sortie Celle ci doit tre transf r e sur un compte de libre passage bloqu dans une banque ou sur une police de libre passage d une assurance La prestation est ains
19. les uns aux autres et ap profondit leurs rapports comme cela tait le cas dans la Gr ce an tique des liens entre les disciplines sco laires pour donner chacune tout son sens Ainsi la musique alit e deviendra la musicalit Bernard Oberholzer Jean Maurice Delasoie Note 1 Le Service de l animation musicale est votre disposition R sonances Octobre 2010 a BEL changes linguistiques Un change linguistique c est une d couverte langagi re g ographi que et culturelle qui se d roule en plusieurs tapes Lorsqu il est indivi duel par opposition aux changes de classe il y a bien s r en premier lieu ce petit d clic pour franchir le pas et l acceptation de partager la vie d une famille d accueil puis d accueillir dans sa propre famille un tranger deux semaines ou davantage Une d cision qui im plique les jeunes mais aussi leur en tourage Cependant c est pr cis ment ce partage familial propre l change la diff rence du s jour linguistique unilat ral qui enrichit l immersion de part et d autre Premi re tape il y a l accueil du correspondant chez soi enfin le plus souvent de la correspondante puisque les filles sont nettement plus nombreuses participer des changes linguistiques individuels ou le d part vers l inconnu qui constitue la premi re phase de l change Avec la deuxi me
20. naissent d j leurs par tenaires d change Elles sont deux avoir gard le contact depuis avril via Facebook le chat ou des mails Reste qu elles ont tout de m me la sensation de partir l aventure avec ce qu il y a de grisant et de flippant Avec leurs correspondan tes elles ont en com mun des pans de cul R sonances Octobre 2010 ture anglophone mais se r jouis sent de d couvrir des morceaux de musique ou des films allemands car au coll ge c est l apprentissage de la langue qui est privil gi Regards d l ves du Valais sur l Allemagne Pour Manon m me en s entendant bien avec sa correspondante il n est pas facile de ne plus tre avec sa famille et ses amis Quant H l ne elle confirme les observations relev es par sa correspondante So phia lci en Allemagne la vie est bien diff rente Dans sa famille d accueil on mange tout le temps et l cole les relations entre l ves et professeurs sont nette ment plus d tendues Sa conclu sion elle aime bien l Allemagne mais pr f re sa bonne petite Suisse Le point de vue de Joana est assez similaire mais ce qui l a en outre particuli rement tonn e c est le nombre d activit s extra scolaires ce qu elle a trouv pui sant Preuve que c est davantage le changement de rythme qui puise puisque sa correspondante tait fa tigu e par les longues journ es des tudiants valaisans Joana H l
21. ne et Manon estiment que participer un change linguistique est une oc casion formidable pour parler la langue trang re apprise en classe et pouvoir rencontrer d autres per sonnes tout en appr ciant le re tour dans leur environnement fa milial et scolaire quotidien Avis aux jeunes int ress s par un change individuel Les int ress s un change indi viduel devraient s inscrire d j dans le courant du mois d octo bre novembre 2010 pour pouvoir faire un change en t 2011 Pour plus d infos Corinne Barras responsable du Bureau des Echanges Linguis tiques t l 027 606 41 30 bel bsa admin vs ch www vs ch bel R sonances Octobre 2010 A vos agendas Du 10 au 13 octobre 2010 Pratiques pr judiciables et droits humains Chaque ann e des millions d enfants sont victimes de ce que nous appelons des pratiques traditionnelles pr judiciables ayant des cons quences diverses dans le domaine de la sant de l ducation de la survie et du d veloppement qui sont souvent violentes et qui peuvent causer de grandes souffrances voire m me parfois la mort Un s minaire organis par l Institut international des Droits de l Enfant IDE abordera cette th matique l Institut universitaire Kurt Bosch Bramois www childsrights org Me 15 octobre 2010 La Caravane des 10 mots Le 15 octobre une drole de Caravane transformera la cour de la M diath que en un vrai carav
22. plut t qu aux l ves moyens ou faibles Les r dacteurs des pro grammes le savent parfaitement ils ne recherchent pas la surcharge mais ils l assument plus ou moins lu cidement parce qu elle a deux vertus majeures Elle apaise le d bat car si l on dit oui chacun chaque proposition il n y aura pas de perdants et on trouvera plus facilement un consensus entre r dacteurs et plus largement dans le cercle des per sonnes et des institutions consult es avant la mise en vigueur d un programme Elle pr munit contre l accusation de brader la cul ture ou d abaisser le niveau Les enseignants qui travaillent dans les quartiers diffi ciles ou ne se r signent pas dans les quartiers ordi naires r gler la marche de la classe sur le rythme des Je S LECTIONNE choisir les l ves meilleurs l ves sont donc plac s devant un dilemme soit tenter de couvrir tous les chapitres du programme en laissant des l ves sur le bord du chemin soit all ger de mani re clandestine pour avancer avec tous Couvrir tous les chapitres donc avancer rapidement c est ne prendre aucun risque par rapport l institu tion Les jeunes enseignants sujets une valuation plus serr e seront tent s de tout faire pour bien faire donc de privil gier la quantit Sans doute aussi parce qu ils ne savent pas encore comment all ger le programme intelligemment Ils se
23. quoz R sonances Octobre 2010 ICT Mathieu Carruzzo personnel cours 7 52 permet d ac qu rir les comp tences demand es par le D partement Le monde de l informatique vo lue vite et de nouvelles ver sions de logiciels paraissent r guli rement C est la rai son pour laquelle d s jan vier 2010 nous propose rons encore quelques cours techniques sur les nouveau tes Windows 7 par exem ple Serge Rappaz une preparation crite destin e l oral de contenus issus de l en semble des branches enseign es un projet r ellement inter et pluridisciplinaire Dor navant le sec teur multim dia de la HEP propose aux enseignants ce type d activit s pour leur classe ou pour leur tablissement sco laire Nicolas Pierroz Radiobox La radio en classe pourquoi faire C est sur une id e de la HEP Vaud que le pro jet a d marr et se propage petit petit en Suisse romande La radio est un outil p dagogique moti vant Les enjeux li s une production radio r ellement diffus e font tout de suite prendre conscience aux l ves de leur responsabilit quant la r ussite de l mission Une production radio cr e les con ditions cadres une exp rimentation en situa tion d un travail d quipe exi geant r le central de la pr pa ration de l organisation une entr e pragmatique d ducation aux m dias contraintes et fonctionneme
24. scolaire Tout se passe comme si l cole se voyait ou se croyait obli R sonances Octobre 2010 g e de v rifier tout moment que l l ve est bien sa place dans son degr ou dans sa fili re voire de pr parer la prochaine tape de la s lection scolaire en amor ant un classement des l ves C est ainsi que certaines classes se voient infli ger en une ann e une bonne cen taine de contr les de diverses sortes Mais le peuple r clame des notes comme le montre notamment une votation Gen ve en 2006 On peut comprendre que les parents sous la pression de la s lection sco laire soient soucieux de suivre par ce moyen les performances de leurs enfants Par ailleurs des preuves externes preuves communes preuves de reference viennent renforcer les dispositifs valuatifs internes avec souvent la pr tention de fournir un diagnostic qui devrait aider l ensei gnant mieux g rer son enseigne ment Une enqu te s rieuse sur ce point montrerait probablement que ces contr les sont rarement ex ploit s en classe cette fin Mes propres recherches montrent en outre que ce type d preuves n a gu re la fiabilit n cessaire les diff rents domaines abord s sont couverts par un trop petit nombre de ques tions pour qu on puisse identifier avec assurance que telle notion est ac quise et que telle autre ne l est pas En conclusion je r ve d une cole o l en seignant pra
25. son activit d ensei gnant dans la classe relais et Su zanne Fink Canossa enseignante primaire a une d charge de 20 pour mettre en place un projet dans l tablissement scolaire o elle en seigne savoir Saxon et celui ci pourrait ensuite tre transpos dans d autres coles du canton Les au tres sont enseignants ressources temps partiel Chantal Dorsaz 50 arrondissement l Il Ill sauf le CO de Ste Jeanne Antide Martigny et Danny D fago 57 7 arrondis sement IV V VI CO Ste Jeanne An tide interviennent au niveau du CO tandis que Brigitte Demuth 100 arrondissement IV V VI et Jean Paul Fai 80 arrondissement Brigitte Demuth Jean Paul Fai et Suzanne Fink Canossa l quipe pour les classes enfantines et primaires l Il IlI sont les deux enseignants res sources nomm s pour le primaire La r partition des t ches se fait a priori par arrondissement tout en laissant place une certaine sou plesse en fonction des disponibili t s et des domaines de comp tence de chacun La structure est une manation des r flexions de la Commission canto nale pour les l ves au comporte ment inadapt pr sid e par Ren Salzman et jusqu sa nomination au poste d adjoint du DECS par Marcel Blumenthal Les six ensei gnants sont rattach s pour l aspect p dagogique au Service de l ensei gnement via l Office de l enseigne ment sp cialis et son responsable Michel D litroz Un
26. sont prioritairement responsables de l ducation de leurs enfants c est la loi scolaire qui rappelle cette r alit Il s agit d une mission difficile qui porte sur les choix ducatifs dont ils sont responsables mais aussi sur la n cessit de faire grandir les enfants dans l amour Des enfants heureux sont plus m me d apprendre de s int grer dans un groupe et de gagner en autonomie La t che des parents est d aider l cole faire de l enfant une personne responsable capable de se r aliser dans sa vie d adulte Migros Magazine 23 08 E Unit sp ciale Petites terreurs en enfantine Souvent mal duqu s ils s ment la pagaille en classe au point de faire craquer leur enseignant Le canton du Valais r agit Des enseignants avec vingt ans de m tier craquent Ils font un burnout cause d enfants qui n ob issent pas du tout jettent tout par terre parlent sans arr t et n coutent rien Un seul de ces enfants perturbateurs peut g ner toute une classe confirme Jean Fran ois Lovey chef du Service valaisan de 42 Revue de presse l enseignement Face cette situation le canton a cr pour cette rentr e scolaire une unit mobile d intervention en primaire et en enfantine comme cela existe d j au CO Lorsque des probl mes de comportement graves sont signal s sur appel de la direction un num ro unique des enseignants sp cifiquement form s sont charg s d
27. tences d gageant des points cl et pariant sur ce d sir d apprendre qui est cultiver de fa on permanente Tout cela est moins ais certes que ce gu indiguent les programmes scolaires toujours si parfaits et parfois bien loin des r alit s de nos l ves Notes 1 Voir ma critique du livre de Ang lique del Rey A l cole des comp tences www cahiers pedagogigues com spip php article6636 2 Voir par exemple sa postface au livre Travail par comp tences et socle commun coordonn par JM Zakhartchouk et R Hatem CRDP d Amiens et CRAP 2009 3 Dans le num ro 439 des Cahiers p dagogiques notamment quel socle commun www cahiers pedagogigues com 4 Discours de Jules Ferry au congr s p dagogique des institu teurs de France du 19 avril 1881 5 Mis par exemple au c ur du programme de g ographie en cinqui me deuxi me ann e du coll ge ce qui est une pe tite r volution Jean Michel Zakhartchouk enseignant et r dacteur aux Cahiers p dagogiques l auteur R sonances Octobre 2010 e dossier en citations Probl me du trop ou du pas assez Nous devons faire en sorte que l on cesse de confondre enseigner et apprendre Ce n est pas parce que l enseignant fait beaucoup de cours et fait faire beaucoup d exercices que les enfants apprennent Donc en classe le danger ne vient pas du trop d tude Il vient du pas assez L urgence c est d aider
28. 1998 Cote 37 014 5 GAZI GLASSER W Enseigner l cole qualit Cheneli re Didac tique Partenariat et leadership Montr al etc Chene li re McGraw Hill 1997 Cote 371 31 GLAS 9 les arts et tout particuli re ment la musique sont des vecteurs d apprentissage particuli rement riches et importants 10 le mouvement est un vecteur d apprentissage important que l on peut utiliser dans de nombreuses occasions d apprentissage 11 les motions jouent un r le essentiel dans tout apprentissage comme source d nergie et de motivation elles favorisent la m moire long terme 12 le travail en coop ration facilite et enrichit tout apprentissage Bruno Hourst www mieux apprendre com index php z 6 Le trop c t enseignant Ma tre professeur instituteur animateur ing nieur coach Chaque figure est videmment sujette critique selon le credo p dagogique adopt Mais que se passe t il en r alit De l aveu m me des praticiens et comme le mon trent les multiples recherches au quotidien l enseignant se coiffe souvent de plusieurs de ces casquettes magistral pendant un laps de temps il va ensuite devenir animateur d un travail de groupe ou coach pour r pondre des demandes individualis es selon les activit s les besoins de la classe et des l ves et aussi pour respecter les contraintes institutionnelles finir un cours l heure boucler le progr
29. 4 html PER Plateforme en ligne La plateforme est d sormais ouverte au public l occasion de la formation des personnes charg es de la mise en uvre du PER plan d tudes romand dans les cantons romands La navigation se fait par domaine par discipline par cycle par th matique ou par objectif www plandetude ch R sonances Octobre 2010 incite les auteures se demander notamment quelle est la place de la lecture oblig e dans le temps de lecture des l ves Cet ouvrage est pour reprendre les mots de Philippe Meirieu infiniment pr cieux plus d un titre Edm e Runtz Christan et Nathalie Markevitch Frieden pr face de Philippe Meirieu Lire l adolescence R alit s et strat gies de lecture Paris Chronique sociale 2010 Un projet pour apprendre penser l cole l mentaire La collection Un projet pour s enrichit r guli rement de nouveaux titres Apr s un projet pour philosopher l cole enseigner le travail de DELAGRAVE groupe travailler l image et les m dias associer jeux et apprentissages voici Un projet pour apprendre penser et r fl chir l cole maternelle Eh oui pratiquer des activit s vis e philosophique l cole maternelle c est possible Dans ce petit ouvrage on y trouve des pistes pour savoir comment se lancer comment favoriser l engagement de l enfant comment nourrir sa r flexion etc
30. A soutient les enseignants lors du traitement du sujet de la c cit et de la malvoyance avec leurs l ves www sbv fsa ch R sonances Octobre 2010 f faut potentiel et hyperactivit L Association de parents d enfants haut potentiel AVPEHP c l bre en cette ann e 2010 ses 10 ans d acti vit Notre but premier est de Faire conna tre la probl matique des enfants haut potentiel et de soutenir les parents pour faciliter une bonne int gration scolaire de leur enfant accessoirement de sensibiliser le personnel enseignant aux difficult s auxquelles sont con front s l enfant et sa famille Le DECS a reconnu officiellement d s 2002 l int r t de prendre en compte la situation particu li re des enfants haut potentiel intel lectuel Des condi tions cadres ont t mises et des docu ments publi s citons pour exemple l excel lent www vs ch NavigData DS_312 M6702 fr Information_a_l_inten tion_des_enseignants pdf A cet gard de notables avanc es ont t r alis es et nous sommes recon naissants aux autorit s du DECS pour leur collaboration et leur soutien En raccourci Les r seaux sociaux et l cole Vid os Mais des progr s restent accom plir dans la reconnaissance et la prise en charge de ces l ves au fonctionnement particulier Dans ce but notre association pour suit son travail d information et de collaboration pour que la pr
31. CPVAL A ue se passe t il en cas Patrice Vernier Lorsqu un assur actif quitte la caisse une prestation de sortie ou prestation de libre passage est cal cul e Elle est vers e soit directe ment l assur soit une autre ins titution en fonction de la nouvelle situation professionnelle de l assur Prestation de sortie Chaque assur est li l institution de pr voyance de son employeur pour les enseignants CPVAL mais la fin de l activit d enseignant ou du contrat de travail ne doit pas le priver de son pargne accumul e En quittant la caisse il a droit une prestation de sortie Celle ci doit lui permettre de maintenir le but de pr voyance dans une nouvelle insti tution ou sous une autre forme La prestation de sortie peut tre transf r e dans une nouvelle insti tution elle peut tre vers e sur un COMMENT SORTIR DE CETTE CAISSE Pl 20 compte ou une police de libre pas sage ou elle peut tre vers e en esp ces La tentation peut tre grande de partir sous les tropiques avec son 2 pilier apr s avoir averti sa caisse d un d part d finitif de la Suisse ou de se mettre son compte en utili sant l pargne accumul e comme fonds propres de sa nouvelle entre prise Mais attention la gestion du capital de pr voyance qui peut ra pidement diminuer et mettre en p ril le niveau de vie futur d autant plus que le 1 pilier AVS ne couvre que
32. Canada et bien s r de Suisse En tout une dizaine de nationalit s dif f rentes taient repr sent es Classement des Valaisans Paris Cat gorie CM 39 concurrents Queloz Aur lien 2 Rausis Emilie 14 Masseraz Sheldon 18 Michel Christophe 20 Voide Marie 32 Berthod Adrien 37 Memic Dinel 38 Cat gorie C1 49 concurrents Fournier Elie 14 Seixas Roberto 24 Rausis Romain 26 Gilgen Simon 30 Gremaud Lo c 46 Cat gorie C2 42 concurrents Wildi Julia 31 Orsinger Jonathan 35 Cat gorie L1 30 concurrents Rossier Alain 8 B hler Virginie 14 30 r unis Paris Gr ce au concours des l ves valaisans ont d couvert les multiples richesses de la capitale fran aise Photo Olivier Rausis Changer une mauvaise image Ce concours a t lanc pour po pulariser les maths explique Mi chel Criton pr sident de la F d ration internationale des jeux ma th matiques L association aimerait changer la mauvaise image de cette mati re On veut la rendre ludique noncer les probl mes sous forme d nigmes ou de d fis poursuit l organisateur Le con cours propose huit cat gories des tin es tous les ges de 4 la pri maire jusqu aux adultes La d couverte de Paris comme r compense Calculer mesurer d duire imagi ner Quelle d bauche d nergie durant les deux s ances du con cours Heureusement une partie plus r cr at
33. IQUE De nov 2010 mai 2011 Concerts scolaires Orchestre du Conservatoire et du Petit Orchestre du Conservatoire Programme sur www vs ch ecole culture gt Etincelles de culture gt Agenda 44 Degr primaire z sb M Jean Maurice Delasoie veja Ce HEP 027 606 96 23 jean padli maurice delasoie hepvs ch pu A Degre CO M Claude Eric Clavien HEP 027 321 12 28 claude eric clavien hepvs ch Degr Lyc e Coll ge Mme Maria Cordoba Conservatoire 027 322 25 82 events conservatoirevs ch SCIENCES Du 6 octobre au 24 novembre Nourrir l animal manger la viande Du 6 octobre au 24 novembre la M diath que Valais Sion accueillera l exposition du CREPA Nourrir l animal manger la viande Tout public cette exposition retrace le parcours de la viande de l animal notre assiette Visite comment e pour les enseignants le mercredi 6 octobre 16 h Inscriptions jusqu au lundi 4 octobre et renseignements aupr s de nadine michelet mediatheque ch M diath que Valais Sion avenue de Pratifori 18 www mediatheque ch Jusqu en octobre 2010 Jardin Flore Alpe En 2010 les rosac es sont en f te Flore Alpe C est l une des familles botaniques les plus riches du monde v g tal Une visite guid e du jardin en compagnie de l animatrice permet d initier les l ves au monde exceptionnel de la botanique et d en approfondir certains aspects Un guide p dagogique est disposition
34. Il y a galement le couloir des mots avec mots dou ble sens mot c ur mot cri ou mot dit et des lingots avec des mots qui sauvent d autres qui aguichent etc Citons encore le parachute dor qui ouvre sur les jeux de mots compris des seuls initi s ce qui ne signifie pas que ce soit un d lit pour au tant et la salle des coffres qui re gorge de tr sors avec un tiroir par lettre tel un dictionnaire g ant On y d couvre par exemple le milieu du dictionnaire le fait que Nicot qui a donn son nom nicotine tait un lexicographe ou l volu tion de la d finition de la femme depuis 1694 Des colonnes propo sent des vid os du linguiste Ber nard Cerquiligni d entrer presque tactilement dans l paisseur des mots ou voquent l art des mots L exposition est riche de mille et un mots dor s lire couter et voir pour en discuter A l vidence les l ves qui visiteront cette banque auront une meilleure id e de la valeur des mots sur le march d hier et d aujourd hui et les parta geront avec plus de conscience et de plaisir R sonances Octobre 2010 Les dessous de la bangue Agn s Jobin et Fran oise Vonlanthen travaillent depuis de longues ann es en semble dans le cadre de leur Association les Semaines de la lecture Avant Pour tout l or des mots elles avaient d j con u avec l aide de Vincent Dar bellay ainsi que de pr cieux conseillers Habiter la lecture e
35. a grille horaire augmentation de 60 90 minutes dans les degr s 1 4P diminution de 60 45 minutes en 5 6P A ce su jet gu on nous permette de rappe ler gue globalement le temps im parti la musique dans la scolarit obligatoire n a pas chang D autre part plusieurs enseignants trouvent que 90 minutes c est trop d autres regrettent la sous dota tion des 5 6P il y eut aussi au mo ment de la decision peu de reac tions de la part des interesses Enfin il nous semble que la qualit des le ons donn es est plus impor tante que le temps imparti Pression sur l cole On ne peut nier que la pression conomique et sociale sur l cole est grande Il faut de meilleurs r sultats en sciences en maths en fran ais en allemand en anglais entre autres Grande est la tenta tion de l enseignant primaire de ne point r sister cette pression et de ne plus reconna tre l importance 12 Jean Oberholzer de la musique pour le d veloppe ment de l l ve Il y a effective ment de quoi tre d stabilis AO V o auche et Ber nard s notes ice Delasoie 9 Mauri droite au secours de Motivation Nous osons affirmer et d autres l ont fait avant nous Si l ensei gnant est motiv la classe le sera la musique sera vivante dans les classes et les r sultats scolaires des branches dites essentielles seront loin d tre en p ril Car les moyens d enseignement sont nombreu
36. a lecture envisage de faire la part belle la fiction si indispensable dans nos vies sans que l on sache toujours tr s bien pourquoi L id e d une deuxi me exposition sur les mots sous d autres aspects est aussi voqu e A suivre De gauche droite Agn s Jobin et Fran oise Vonlanthen conceptrices de l expo au pays des mots En zigzag Un mot qui adoucit Agn s Jobin Je suis d ue au lieu de dire Je suis en col re Un mot qui fait r ver Fran oise Vonlanthen Ouagadougou ou Tombouctou Le dernier auteur francophone que vous avez lu Fran oise Vonlanthen Leonara Miano auteure camerounaise Agn s Jobin Philippe Jacottet Un auteur coup de c ur qui a le talent des mots Fran oise Vonlanthen Camille Laurens et Marie Treps Agn s Jobin Alberto Manguel 29 concours Des accrocs aux chiffres Un concours pour faire aimer les maths L ambiance est studieuse en ce d but d ann e scolaire dans les salles de la cit universitaire Paris XIV arron dissement C est l que s est d rou l e les 25 et 26 ao t la finale interna tionale de la 24 dition du Cham pionnat des jeux math matiques et logiques Parmi les 2500 concurrents valaisans qui se sont lanc s dans l aventure au mois de novembre 2009 16 participants ont t retenus et ont eu l honneur de repr senter notre canton ce concours D autres se sont d plac s de Pologne d Italie du
37. ais www mediatheque ch Sous la direction de Ga tane Chapelle et Marcel Crahay R ussir apprendre Paris Puf 2010 Portfolio europ en des langues Le PEL III pour adolescents partir de 15 ans et adultes est le premier Portfolio des langues suisse soutenu par le site internet www portfoliolangues ch partir de sa r dition en 2010 ditions Schulverlag Le site internet apporte une aide pour remplir le Portfolio des langues et permet d utiliser toutes les fonctions du PEL III Le site donne aussi acc s l Europass passeport europ en des langues Portfolio europ en des langues PEL lil Schulverlag plus AG 2010 Les frappadingues de R sonances concours Pour rappel R sonan ces lance pour l ann e scolaire 2010 2011 son concours de productions d l ves version humour cf dition de septem bre p 37 Blague ou dessin humoristique ou 3 5 cases sont atten dus avec curiosit Des questions reson sances admin vs ch ou 079 429 07 01 41 run num ro l autre L Ecole Les enfants heureux apprennent mieux A la t te de la Conf rence suisse des directeurs cantonaux de l instruction publique CDIP la conseill re d Etat fribourgeoise Isabelle Chassot plaide pour une cole aussi bien exigeante qu humaniste Selon elle L cole est depuis toujours la caisse de r sonance des probl mes de la soci t Les parents
38. amme Marguerite Altet souligne de son c t combien les comp tences requises pour enseigner sont devenues aujourd hui multiples diverses composites h t rog nes C est peut tre l la cause du malaise qui se manifeste parfois chez les enseignants Jean Claude Ruano Borbolan www scienceshumaines com index php lg fr amp id_article 22076 R sonances Octobre 2010 Ariane Mudry News ICT Quelques informations sur la for mation et sur 2 nouveaux outils ICT Nouveaux conseillers multim dias Depuis la rentr e de cet automne six nou veaux conseillers multim dias ont pris leur fonction et viennent com pl ter l quipe ac tuelle Ce sont Ariane Mudry et David Ev quoz de Sion Mathieu Car ruzzo de Leytron Nicolas Pierroz de Martigny Jean Paul Fai du Bouveret et Sa muel Perrin de Val d Il liez Bienvenue ces nouveaux collaborateurs qui ne seront pas de trop pour former les ensei gnant e s du Valais ro mand essentiellement en int gration des ICT dans les branches Cours ICT Nous rappelons que les cours tech niques de base N 7 01 7 06 se ront encore propos s jusqu la fin de l ann e 2010 Le point fort du projet ICT sera ensuite port sur les cours d int gration cours m tho dologiques et didactiques A ceux qui h si tent lors de leur choix de cours nous rappelons galement que la solu tion d experimenter un projet ICT David Ev
39. aniel B d enseigna question dans son dition 2010 r sume ce propos de nombreuses recherches faites tant en Suisse qu l tranger Un processus de s lection pr coce et un nombre im portant de cursus diff renci s ten dent d savantager les l ves issus des milieux moins privil gi s C est l un grave probl me du point de vue de l galit des chances car l orientation retenue pour le secondaire 1 d termine les possibilit s de formation au del de la scolarit obligatoire op cit p 88 Les recherches men es pen dant plusieurs ann es par le centre de recherche du CO genevois sur le tronc commun de 7 ont montr que cette innovation structurelle avait pour avantages de retarder la s lection de favoriser les contacts sociaux entre l ves de diff rents niveaux scolaires et socio cono miques sans avoir d impacts n ga tifs sur leurs performances Ces constats n ont pas emp ch le re tour prochain au CO genevois d une structure sections multiples pas tr s loign e de celle mise sur pied dans les ann es 60 Et l opi nion publique a pes d un poids certain sur cette d cision En effet R sonances Octobre 2010 en 2001 le peuple genevois rejetait une nette majorit 64 un pro jet instaurant un tronc commun en 7 et en 2009 il ent rinait la propo sition de fili res homog nes aux de gr s 7 9 Pourtant lorsqu on inter rogeait en 1999 les parents d
40. anne et romande Bien s r elles n ont pas tout saisi pen dant les heures en classe et au fil des conversations mais elles ont su se d brouiller avec leur bagage lin guistique prenant de l assurance au fur et mesure de leur s jour Observatrice attentive Sophia note cinq diff rences entre nos syst mes scolaires RV ec JZ E Y t jJ I JJJJ Regard d une l ve de GroRkrotzenburg sur le Valais De retour en Allemagne Sophia a pris la peine de r diger une sorte de carnet de bord depuis son d part en car de Gro krotzenburg Sion puis Ardon dans sa fa mille d accueil jusqu son retour chez elle Elle y a note ses pre mi res impressions ses difficult s pour com prendre et se faire com prendre apr s seulement une ann e et demie d ap prentissage de la langue de Moli re l cole sa d couverte du fran ais fa 14 De gauche dans le car les co droite Sophia auche Deg devant Joana Charlotte milier ses progr s linguistiques ses souvenirs inoubliables et sa recom mandation faite d autres jeunes de tenter une telle exp rience Ob servatrice attentive elle a relev cinq grandes diff rences entre nos deux syst mes scolaires savoir l enseignement frontal la sonnette les longues journ es de classe le nombre d examens et l tude Erstens Der Unterrichtsstoff wird ausschlie lich durch Frontalunter richt an die Sc
41. ans rail Profitez des vacances scolaires et venez d couvrir des artistes venus de 18 pays rassembl s autour de 10 mots De 10h 17h de nombreux ateliers et des projections vous seront propos s Puis 20 h la salle du TOTEM un grand spectacle cl turera le passage de la Caravane M diath que Valais Sion avenue de Pratifori 18 www mediathegue ch www caravanedesdixmots com Ve 22 octobre 2010 Enseignement de l orthographe Un colloque sur l ensei gnement de l orthographe fran aise des apprenants allophones est organis par l Institut de langue et civilisation fran aises de l institut FLE de l Universit de Neuch tel le 22 octobre 2010 http www auf org IMG pdf FRAMONDE_1er_ septembre_2010 pdf Du 22 au 24 octobre 2010 Sommet de la francophonie Montreux accueille la XIIIe dition du Sommet de la francophonie www francophoniemontre ux2010 ch Je Sa 11 13 novembre 2010 Collogue Gen ve organise les Journ es francophones de recherche en ducation musicale JRFEM www asrem ch jfrem2010 Jusqu au 20 nov 2010 Expo en lien avec les droits de l enfant GenevaWorld l IDE Institut international des droits de l enfant ANILEC Productions et la Commune de Veyras pr sentent 191 regards d enfants sur le monde Dans le langage universel de l art des enfants de chacun des 191 Etats membres de l ONU g s de 6 16 ans ont r pondu l appel de GenevaWorld pour exprim
42. ants toutefois si l on sou haite viter les probl mes il faut in tervenir d s l enfantine et aussi da vantage travailler sur l axe de la pr vention Danny D fago l largissement de la structure r pond une demande et permet cette pr vention d une ag gravation des situations Propos recueillis par Nadia Revaz 47 il suffit quelquefois d un je ne sais quoi ou d un presque rien pour faire basculer l apprentissage Les dossiers Jean Pierre Astolfi La citation N 1 septembre Infos 2006 2007 En raccourci A N 2 octobre Promouvoir la lecture Q N 3 novembre Maturites et passerelles 500 sites web pour r ussir l cole A N 4d c janvier G n ration zapping N 5 f vrier Les langues trang res Un guide incontournable N 6 mars Enseignants technophobes philes 500 sites web pour AN N 7 avril Projets p dagogiques 1 2 r ussir l cole est N 8 mai Projets p dagogiques 2 2 un guide annuel N 9 juin Harmonisations tat des lieux qu b cois qui recense les meilleures adresses N 1 septembre Infos 2007 2008 de la Toile class es par 5 N 2 octobre Ecole Culture discipline scolaire et N 3novembre Regards crois s sur la diff renciation par degr Ce num ro S N 4 d cembre Raisonner les peurs sp cial du magazine Re N 5 f vrier Les dessous des grilles horaires Ecole branch e propose N 6 mars Partenariat Ecole Famille
43. as possible de faire rentrer dans ce cadre les riches connaissances notamment tech niques ou th oriques qu ils ont partager D autres personnes estimeront quant elles que c est trop Elles avanceront qu il est trop ambitieux de pr tendre gu un e futur e ensei gnant e va developper au cours de En raccourci Y a d la physique partout Brochure OSL Tous les ph nom nes qui nous entourent sont li s la physique m me si nous n en sommes pas toujours conscients voir boire faire du v lo se tenir en quilibre couter de la musique Les exp riences d crites dans cette brochure permettent d explorer la physique la base de tous ces ph nom nes 26 sa formation 13 comp tences telles que Mettre en place un cadre de travail qui favorise l apprentissage la socialisation des l ves et struc ture les activit s et les interactions ou Construire un partenariat effi cace avec les diff rents acteurs concern s lorsqu on sait combien elles entra nent derri re elles de savoir tre de savoir faire de sa voirs qu il s agit de mobiliser en suite dans des actions maitri s es Pour faire avancer la r flexion autour de la probl matique des r f rentiels de comp tence il est utile de se souvenir qu une comp tence se situe sur un conti nuum du plus simple au complexe qu elle consti tue une finalit qui d passe le temps de la for mation initiale d une part et de sa v
44. bjectif de fran ais et une exploitation plus li n aire et formelle comprenant une planification et une valua tion d exercices de production et de compr hension de l oral par rapport un conte lu http doc rero ch Im php url 1000 41 12 20080129131313 PV gaelle ballestraz pdf R sonances Octobre 2010 R sum du m moire de Sabine Debons L histoire probl me et l influence de ses principes d enseignement sur l apprentissage des l ves d une classe de 5 primaire La recherche men e s int resse l histoire enseign e et plus particuli rement l ad quation possible de celle ci l histoire scolaire et l histoire savante L enjeu r side dans cette coh rence et vise l introduction du mode de pens e historique en classe d histoire Sabine Debons s est pench e sur la r alit de la classe pour d gager des prin cipes th oriques qui pourraient soutenir les pratiques enseignantes Ainsi elle est remont e l histoire savante afin d en r aliser les intentions mises Celles ci se r f rent l cole des Annales et pr nent notamment la probl matisation du pass au travers de l histoire probl me qui remplace l histoire r cit Forte des principes de l histoire probl me l auteure a construit un dispositif d intervention et l a test dans une classe de 5P Cette exp rimentation sur le terrain visait investiguer trois l ments principaux la mani re d organiser une action didactique
45. c pp 287 315 Perrenoud Ph 2002 Les cycles d apprentissage Une autre organisation du travail pour combattre l chec scolaire Sainte Foy Presses de l Universit du Qu bec Perrenoud Ph 2008 P dagogie diff renci e des intentions l action Paris ESF 4 ed Philippe Perrenoud Facult de psychologie et des sciences de l ducation Universit de Gen ve Courriels Philippe Perrenoud unige ch Internet www unige ch fapse SSE teachers perrenoud Laboratoire Innovation Formation Education LIFE www unige ch fapse LIFE l auteur R sonances Octobre 2010 LA yo Joins mais mieux ou plus mais vraiment J M Zakhartchouk Mieux vaut moins mais mieux T te bien faite vaut mieux que t te bien pleine halte l inflation des pro grammes on connait ces slogans qui sugg rent que la formation scolaire est trop ax e vers la quantit des sa voirs et qu elle sacrifie le qualitatif Et il est vrai que rebours de tout ce que nous dit la psychologie de l ap prentissage avec la notion de surcharge cognitive le fantasme de l encyclop disme reste dominant dans l cole Ou bien on est dans cette conception si na ve ment exprim e un jour par un stagiaire lors d une for mation Je leur explique beaucoup de choses chacun retiendra la mesure de ce dont il est capable Cependant il convient de ne pas nous enfermer dans une dichotomie trop simpliste quantita
46. cher des recettes en mati re d ducation Il n y ena irr m diablement pas Arr tons d envisager des voies royales voire des panac es il n y en a pas Est ce dire qu il n y a plus d espoir Cer tainement pas Des strat gies efficaces sont trouver dans la gestion de la complexit de l acte d apprendre Andr Giordan Apprendre Paris Belin 1998 Ah le programme terminer Cela vous est d j arriv et VOUS arrivera votre progression tait trop serr e les impond rables inh rents la vie de l tablissement la conduite d un projet ambitieux des obligations professionnelles tous ces facteurs ont grignot le temps imparti au traitement du programme On br le un cierge sainte Rita patronne des causes d sesp r es et on prend des bonnes r solutions Fran ois Muller Manuel de survie usage de l ensei gnant m me d butant Paris l Etudiant 2004 Le trop c t l ve Bien que certains professeurs pensent que plus on en met et plus on retient des exp riences montrent que l apprentissage est plus lent s il y a surcharge Par exemple dans une de nos exp riences de g ographie des l ves devaient apprendre en cinq essais une carte d Am rique avec vingt quatre villes Dans une classe la carte n tait pas surcharg e tandis que dans les autres classes on ajoutait de deux jusqu vingt quatre noms suppl mentaires noms
47. contre une destruction des savoirs quoi conduirait l cole des competences Car faire acqu rir des comp tences faire apparaitre les connaissances comme des ressources indispensables d s lors qu on mobilise ces comp tences dans des situa tions complexes cela est vraiment comme le dit Phi lippe Perrenoud prendre les savoirs au s rieux chapper au gigantesque quizz qu est trop souvent l cole avec des savoirs clat s sans liens les uns avec les autres Et la comp tence baptis e apprendre ap prendre on peut choisir d autres noms si on veut qui apparait dans les huit comp tences cl du Parle ment europ en renvoie cette possibilit de g n rer de multiples connaissances par tir d une m thode de concepts cl qui donnent les codes d acc s indispensables Si on apprend par exemple mener une bonne re cherche sur internet efficace et conomique dans la gestion du temps alors que de savoirs vont s ouvrir Ils pourront d ailleurs tre tr s pointus s ils sont au ser vice d un projet d un objectif de production Dans le cadre d un r cit historique avec de jeunes coll giens j ai pu ainsi travailler sur des petits d tails ce que lisaient les enfants de la noblesse au Moyen Age les activit s de Char lemagne dans son palais d Aix la Chapelle car ils nourrissaient la narration Un travail en langue trang re peut conduire une ac quisition d un vocabulaire tr
48. d couverte un module p dagogique www lamap fr decouvertes Publication hors s rie CDIP Promotion de l activit physique id es et ressources La promotion de l activit physique englobe toute une s rie de concepts projets mesures et activit s favorisant le mouvement enseignement du sport cole en mouvement sport scolaire facultatif promotion de la rel ve participation aux activit s des clubs sportifs chemin de l cole actif et s curis etc Les acteurs extrascolaires qui collaborent dans ce domaine apportent leur soutien et assument des responsabilit s sont donc tr s nombreux du bpa la soci t de gymnastique Sans oublier bien s r les parents qui jouent un r le essentiel La publication de la CDIP Promotion de l activit R sonances Octobre 2010 physigue a pour objectif dans ce domaine a la fois vaste et complexe de rendre accessibles les informations disponibles et le savoir faire existant de clarifier les comp tences et les responsabilit s que doit assumer l cole que ne doit elle pas assumer et d orienter les diff rents acteurs sur les possibilit s de soutien mutuel Pour t l charger la publication en format pdf www edk ch dyn 21580 php S rie de la CDIP Etudes rapports 31B Enfants migrants de 0 6 ans quelle participation pour les parents Lorsque les parents suivent et soutiennent le parcours scolaire de leurs enfants cela a un impact positif sur leur r ussite scola
49. d accompa gner les l ves les enseignants et les directions concern s par des en fants ou adolescents aux comporte ments particuli rement perturba teurs Ils ont galement un r le jouer dans le cadre de la pr ven tion Une troisi me fonction leur est d volue savoir assurer la coordi nation entre les diff rents parte naires scolaires impliqu s les autres membres de l unit cantonale les entreprises qui acceptent les jeunes comme stagiaires et la classe relais pour la gestion g n rale des l ves au comportement inadapt Jean Fran ois Favre enseignant de la classe relais fonctionne plein temps dans cette structure organi s e sur les cinq jours ouvrables mercredi apr s midi compris Ou tre les t ches de gestion et d ensei gnement il est responsable de la coordination avec les tablisse ments de provenance de mise en place d activit de pr vention et du suivi Quatre apr s midi par se maine sont consacr s des stages professionnels en entreprise et l l enseignant doit g rer la prise de contact le financement etc Des mesures adapt es exp riment es en enfantine et au primaire Pour la scolarit enfantine et pri maire le principe de la mise en place de mesures internes aux ta blissements scolaires et la mise disposition d une unit cantonale par r gion linguistique se calquent sur le mod le introduit au CO avec Brigitte Demuth et Jean Paul Fai comme e
50. dans une perspective d histoire probl me les incidences d une telle action sur les conceptions que les l ves ont de l attitude et de la m thode historique et les apprentissages qui peuvent tre r alis s durant une telle s quence Pour atteindre cette intelligibilit plus fine de l histoire et de son enseignement Sabine Debons s est appuy e sur deux p les li s d une part son action didactique et de l autre l apprentissage historique Les donn es r colt es en situation par rapport ces deux p les ont ensuite t analys es Cette tape a permis d expliciter la pr paration la conduite ainsi que l valuation de la s quence puis de valider la concordance des mo dalit s pratiqu es avec l histoire probl me Une mise en mouvement des conceptions des l ves a t constat e diff rents niveaux et degr s Finale ment les apprentissages r alis s par les l ves taient satisfaisants et ont tou ch l ensemble des dimensions d finies sous la notion d apprentissage histo rique attitude m thode langage et connaissances Ces l ments r unis ont permis de conclure la faisabilit la raison d tre ainsi qu aux bienfaits de l introduction du mode de pens e historique en classe d histoire Diff rence tol rance int gration quels b n fices pour les l ves ordinaires L image de la Suisse au travers des manuels d histoire valaisans Thomas Caillet Ce m moire s attache t
51. des th rapies se r percutent sur le d ve loppement de l enfant ou de l ado lescent en tant qu l ve Certains l ves sont aujourd hui suivis par plusieurs sp cialistes 38 N y a t il pas selon vous parfois un exc s d interventions ex ternes sp cialis es en raison principalement d un certain manque de coordination Lorsqu on participe certaines s ances de r seau on peut en effet constater qu un enfant est la fois suivi par un p diatre un logop diste un psychologue et que ce m me enfant b n ficie d un appui p dagogique l cole tout en sui vant des s ances chez un th ra peute d un courant alternatif Un l est important d viter des aides et des prises en charge aveugles parent peut tre suivi pour une af fection psychiatrique et l autre pa rent qui souffre d une addiction par la Ligue valaisanne contre les toxi comanies Cette situation caricatu rale bien que rare peut exister Il ne fait pas de doute qu il faut d fi nir une gestion conomique du nombre d intervenants et une coor dination efficace des mesures Le nouveau concept pour la p dago gie sp cialis e en Valais actuelle ment en consultation fixe un cer tain nombre de priorit s en mati re d valuation des besoins des en fants et des jeunes ce qui permet tra de mener une politique plus claire et plus efficace dans ce do maine Je souhaite souligner com bien il est i
52. des enseignants pour pr parer la visite A Champex jusqu au 3 octobre le jardin accueille galement les sculptures de l artiste vaudois Etienne Kr henb hl laur at du Prix Sandoz 2009 www flore alpe ch Ann e scolaire 2010 2011 Spectacle Gare au loup Spectacle tout public d s 5 ans de th tre d objets et de marionnettes librement inspir du conte des fr res Grimm Le loup et les sept Etincelles de culture l cole Kulturfunken in der Schule chevreaux Un conte traditionnel revisit en thriller moderne et comique qui ne manquera pas de divertir petits et grands Cr ation et jeu Jos Manuel Ruiz et Dani le Chevrolet Musique Fran oise Albelda Avec le soutien d Etincelles de culture www vs ch ecole culture le prix de ce spectacle est de 600 francs par repr sentation Plus d infos jose manuel ruiz petitheatre ch 079 283 03 87 Agenda gcole Culture ou de rencontres Jusqu au 31 octobre 2010 La pr dation la Maison de la Nature Sion L exposition pr sent e la Maison de la Nature de Montorge d cline le th me de la pr dation sous toutes ses formes Dans un espace am nag en jeu de l oie g ant les visiteurs devenus des pions chats ou souris cheminent en jouant les astuces des pr dateurs et de leurs proies Pour compl ter la visite une exposition de Jean Chevallier peintre animalier est pr sent e dans l espace central Personnage de contact Nad ge Ul
53. dry 079 523 87 03 maisondelanature sion ch www maisondelanature ch Jusqu au 19 d cembre 2010 Espace des Inventions Serrures ceintures de s curit roulements billes ou vibreurs de t l phones portables rec lent des tr sors d ing niosit L exposition de l Espace des Inventions Lausanne est une invitation d visser le couvercle ouvrir la bo te soulever le capot avec une curiosit gourmande pour d couvrir avec d lectation les combines fut es et les astuces techniques g niales que cachent ces objets quotidiens Dossier p dagogique t l charger www espacedesinventions ch ET AUSSI DANS CE NUM RO Exposition Pour tout l or des mots la M diath que de St Maurice cf pp 28 29 www mediatheque ch R sonances Octobre 2010 ami L nfant au comportement inadapt des solutions Pour r pondre aux comportements inadapt s de certains l ves au cy cle d orientation une unit canto nale et une classe relais une dans le Valais romand et une dans le Haut Valais ont t test es pour le CO d s 2008 Depuis cette rentr e le dispositif est renforc au CO et des structures vont tre exp rimen t es pour les degr s enfantins et primaires avec valuation en mars 2011 et en mars 2012 Au total six enseignants vont u vrer de diverses mani res pour r duire les graves difficult s de com portement l cole Jean Fran ois Favre poursuit
54. duit l cole Voil quelques in vitations d guis es prendre en compte pour visiter la nature gg S Cueillette de feui Sortir pour apprendre Voici une proposition de sortie sim ple facile g rer qui va permettre l l ve de d couvrir son environ nement proche de vivre son envi ronnement que ce soit en ville ou en campagne Un jardin public un verger un coin de for t seront parfaits pour ce genre d activit Sortir pour capturer les couleurs de l automne Chaque l ve poss de un carton et une bo te de crayons de couleur 18 Iles sur le terrain lt nvironneme i dans un sac port en bandouli re par exemple Sur le terrain l enseignant e aura au pr alable s lectionn un en droit o il sera possible pour les l ves d observer de nombreuses couleurs d automne L l ve cap ture sur son carton griffonne les couleurs qu il voit et v rifie la per tinence de son choix avec les l ments de la nature Il peut selon les indications de l enseignant e pr le ver une plusieurs ou beaucoup de feuilles de chaque couleur Il les transportera dans son sac De retour en classe chaque l ve poss de un mat riel magni fique pour v rifier la v ra cit de ses dires concernant les couleurs observ es A l enseignant e de poser les questions qui vont permet tre l l ve de conscienti ser la richesse des couleurs de l automn
55. e Classer s rier permet l l ve de si prendre conscience de ce 4 gu il a apporte en classe Facile nous de continuer la suite des d couvertes de l automne Que faire avec ce mat riel rapport en classe Un mini tableau pour se rappeler de la sortie Proposer l l ve de com poser un dessin reconnais sable avec les feuilles ou des l ments apport s en classe L enseignant peut soit photographier cette uvre ph m re soit de mander l l ve de les fixer sur une feuille colle blanche pour rapporter la maison D co pour la table Le parcours de la fourmi Poser les feuilles ou objets r col t s sur toute la surface d une feuille dessin Les fixer L l ve trace un ou plusieurs chemins autour des feuilles D co de table Mat riel une pique brochette un pot de yogourt en c ramique Composition pour se rappeler d une sortie R sonances Octobre 2010 de la mousse de fleuriste des feuilles d automne ici des feuilles de poirier des physa lis des capsules de lis L l ve fixe la pique bro chette dans la mousse de fleu riste il enfile les l ments qui lui plaisent jusqu obtenir l ef fet d sir Les id es ne manquent pas Dame Nature est g n reuse pour ceux qui lui rendent visite Profitons de ces sorties pour faire les liens n cessaires la compr hension de l Environnement de nos l ves En raccourci Ensei
56. e cantonale en 2011 Pour ce faire nous vous proposons d entrer en contact avec un artiste valaisan peintre sculpteur artisan plasticien cr ateur ou ayant un lien fort avec le Valais Sur une fiche pr sentant sa personnalit et sa d marche l artiste donnera une impul sion de d part sous la forme d une question d un d fi en lien avec son travail Par exemple un peintre ayant fortement r duit sa palette de couleur pourrait demander une classe de 2 primaire Peut on faire rire en noir et blanc Les l ves partent la d couverte du travail de l artiste de sa d marche ils peu vent le cas ch ant le rencontrer en classe ou dans son atelier pour le questionner Ils se mettront ensuite en production pour fournir une r ponse sous forme de cr ation indivi duelle ou collective Apr s quoi ils poseront leur tour un d fi ou un probl me plastique qui devra met tre l artiste en activit par exemple Pouvez vous faire de la tristesse en couleur Le financement et l organisation de ces rencontres se feront selon les conditions et le cadre pr vus par la structure Etincelles de cul ture mise en place par le D parte ment de l ducation de la culture et du sport DECS via les services de la culture de l enseignement et R sonances Octobre 2010 de la formation professionnelle qui souhaite que la culture illumine un peu plus les classes valaisannes de l cole e
57. e la scolarite obligatoire maturite Ce concours a lieu en dehors des heures de classe GVJM Claude Dubuis Ascenseur souterrain Commentaire didactigue Objectif sol ch invite a une d couverte des animaux qui vivent sous terre du r le du sol pour les plantes etc Le dossier p dagogique en ligne Objectif Sol ch une excursion sous terre offre aux l ves du deuxi me cycle primaire 3 6 ann e la possibilit de d couvrir le sol et ses multiples facettes de mani re ludique Il se fonde sur un logiciel d enseignement assiste par ordinateur un ascenseur virtuel qui emm ne les l ves sous terre et leur fait d couvrir sept stations didactiques Le logiciel est compl t par un d pliant www objectif sol ch 31 frois th mes d actualit Mes activit s professionnelles ant rieures en tant qu enseignant et chercheur au cycle d orientation CO genevois ainsi que responsable d un cours sur l orientation scolaire l Universit de Lausanne m ont incit retenir trois th mes pour ces regards sur l actualit de l cole l implication des enseignants dans la recherche en sciences de l duca tion le retour de la s lection sco laire et le caract re invasif de l va luation dans l enseignement Je r ve d une cole o l enseignant serait reconnu comme expert C est tout d abord pour moi un sujet de satisfaction que de voi
58. e chaque personne comme form e d un faisceau d intelligences qui lui est propre 6 chaque personne a un mode pr f rentiel d apprentissage qu il est important de prendre en compte 7 on apprend mieux lorsque l on est dans un tat de d tente concentr e 8 on apprend mieux lorsque ce que l on apprend a un sens et lorsque l on prend plaisir apprendre Bibliographie de la Documentation p dagogique Le secteur documentation p dagogique de la M diath que Valais Saint Maurice propose quelques suggestions de lec ture en lien avec le dossier pour aller plus loin Tous les do cuments mentionn s sont bien s r disponibles la M dia th que Valais Saint Maurice cf cotes indiqu es et pour certains Sion galement La qualit de l enseignement Paris Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques 1994 Cote 37 013 74 CENT La qualit en ducation pour r fl chir la formation de demain Collection ducation recherche 26 Qu bec Presses de l Universit du Qu bec 2007 Cote 37 011 QUAL DE PIETRO J F Des recherches pour un enseignement de qualit Recherches Institut romand de recherches et de documentation p dagogiques 92 110 Neuch tel Institut romand de recherches et de documentation p dagogiques 1992 Cote 37 012 PIET GAZIEL H Le facteur qualit dans l cole de l an deux mille P dagogie d aujourd hui Paris Presses Universitaires de France
59. e comit de l AVPEHP A BAZINE me m Versaihes eite Los ps sla dasi Sience sur les r seaux sociaux et l cole l une donnant le point de vue de Caroline d Atabekian professeure de fran ais et animatrice de WebLettres et l autre celui de Christelle Membrez professeur de lettres et d un blog Cicla71 com internet sans crainte et d l ves www youtube com watch v SUE hQSZgWs amp feature player_embedded www youtube com watch v rxumooAN1kA amp feature related R sonances Octobre 2010 A l cole en famille au mus e Faisons d couvrir l art aux enfants tel est l objectif du num ro de septembre de la revue Arts magazine Ce dossier sp cial livre quelques pistes scolaires et mus ales pour le pus Ji pone nique japonzs lt EFaisons 2 l art dimer ux enfants sensibiliser les petits l art www artsmag fr 27 al xposition Pour tout Vor des mots 2 Nadia Revaz Hors d mo Or des maux Or des mots Ah ces maudits mots sont in domptables parfois mais c est en partie pour leurs jeux capricieux qu on les aime Agn s Jobin et Fran oise Vonlanthen les deux banqui res b n voles de la banque des mots ont accompagn la visite de Pour tout l or des mots sp cialement organis e pour les ensei gnants du primaire du secondaire et Il le mercredi 15 septembre 2010 Elles ont partag leur amour des mots avec g n rosit au c u
60. e privil gie la qualit la quantit Vous aussi Pour r nover ma cuisine je choisirai sans aucun doute un artisan cuisiniste sp cialis plut t qu une entreprise de construction g n rale qui fait de tout mais qui travaille fa on bricoleur du dimanche Je mise sur la qualit et la durabilit Et vous Quantit ne rime pas forc ment avec qualit Cependant il est un autre monde o la quantit prime o la quantit est un must C est le petit monde de l cole A nos l ves nous donnons le maximum Nous souhaitons qu ils sachent tout surtout le fran ais comme une encyclop die les maths comme un ordinateur qu ils connaissent tout de leur environnement de leur histoire Ils doivent aussi tre artistes et bons sportifs et encore de vrais virtuoses qu ils sachent aussi et surtout les langues l allemand et l anglais pour vivre possiblement partout sur la plan te Mais pour qu ils ne courent aucun danger ces tr sors doivent aussi R sonances Octobre 2010 Daphn e Constantin Raposo Chaque mois la r daction invite une autorit un acteur ou un partenaire de l Ecole valaisanne s ex primer via un dito carte blanche tre pr venus des risques de morsure de chiens d abus sexuels d ob sit ils doivent conna tre les comportements adopter pour tre en bonne sant avoir des dents saines On les duque on les instruit on les chouchoute un co
61. entiellement frontale il est impossi ble de satisfaire tous les l ves La progression sera trop rapide pour les uns trop lente pour les autres Dans une p dagogie diff renci e on peut avoir la ten tation de ne pas fixer les m mes objectifs pour tous Du coup dans le m me temps tous pourront atteindre les objectifs r alistes en fonction de leur niveau de d part et de leur rythme d apprentissage Cette appa rente galit on le comprend vite va creuser les carts assez rapidement Ce n est donc pas une solution L essentiel est de comprendre que le rythme de progres sion d un l ve d pend de l intensit et de la qualit de l encadrement p dagogique et didactique dont il fait l objet Diff rencier c est accorder aux l ves les plus faibles qui sont aussi les plus lents un encadrement plus riche plus intensif plus individualis qu aux l ves en facilit qui sont aussi les plus rapides Ces derniers peuvent en effet progresser sans tre constamment te Prochain dossier Sciences techniques et technologie l cole nus par la main Ils ont une plus grande autonomie dans le double sens d une capacit de travailler longue ment sans aide ni relance et de s inventer des d fis sans que l enseignant ait les sugg rer Dans une p dagogie diff renci e l intelligence et le temps de travail de l en seignant sont distribu s in galement aux fins de favo riser les plus d favoris s A cette c
62. er comment ils voient le monde de chez eux Jusqu au 20 novembre date de la M mento p dagogique Journ e internationale des droits de l enfant le public est invit visiter l exposition de dessins grand format dont le parcours serpente Veyras En lien avec l exposition un jeu de piste gratuit r alis par Katia Boz Balmer permet d aborder la probl matique des droits de l enfant D part de l exposition Mus e Olsommer centre du village rue C C Olsom mer Dur e de la balade artistique env 45 minutes avec le jeu de piste Se procurer les documents du jeu de piste Mus e Olsommer week end ou t l charger sur le site de la Commune www anilecproductions co m fr contents 9 gui sommes nous Me 24 novembre 2010 Colloque sur les enjeux des preuves cantonales La prochaine rencontre de la section suisse de l Association pour le developpement des methodologies d evaluation en education ADMEE se penchera le 24 novembre a Martigny sur les diff rentes pratiques en mati re d preuves cantonales www admee org Je Ve 25 26 nov 2010 Congr s suisse de l change 2010 Le congr s organis Montreux abordera la th matique de l change scolaire en Suisse sous l angle des regards sur la pratique et les perspectives pour la promotion www echange ch 15 J y on projet ART cl s en main ASNES Annick AC amp M v L9urent Pr sentatio
63. ercer mon activit de psychologue et de psychoth rapeute J ai par ailleurs un projet avec l Universit de Berne concernant le d veloppe ment psycho social de jeunes qui ont t plac s dans une institution d ducation sp cialis e Et comme je suis grand p re je me r jouis de pouvoir profiter de ce nouveau r le de mani re plus r guli re no tamment en me promenant avec mon pouse et la petite Sophia Maria dans les ruelles de Vi ge Propos recueillis par N Revaz Pour en savoir plus sur le par cours de Walter Schnyder cf ar ticle paru dans le num ro 1 2010 de Psychologie et ducation la revue de l association intercanto nale des responsables de services cantonaux de psychologie sco laire de l enfant et de l adoles cent www skjp ch fr pue pue index ht ml 39 a s lection du mois Didactique du fran ais pidactique du fran ais Jangue premiere k R dig par quatre didacticiens issus des principaux pays francophones la France le Qu bec la Belgique et la Suisse ce livre pr sente la didactique du fran ais la fois comme une discipline de formation et une discipline de recherche et tente de r pondre aux principales questions que se posent les enseignants de fran ais Le champ de la didactique du fran ais le travail de l enseignant de fran ais les contenus de l enseignement du fran ais et la recherche en Livres didactiques du fran a
64. es l ves des 3 coll ges ayant exp ri ment ce tronc commun leur opi nion tait majoritairement en fa veur de cette structure Doit on donc conclure que le peuple a vot par deux fois en toute m connaissance de cause o alors que les votants apparte naient en majorit une cat gorie de la population visant pour leur enfant une fili re s lective qui les pr serve du contact avec des camarades moins dou s et moins motiv s Cette hypo th se pourrait tre en partie tay e par le refus r cent dans le Land de Hambourg d un projet de prolongement de l cole primaire de quatre six ann es Motif invo qu par certains parents Leurs en fants qui resteraient moins long temps au lyc e seraient handica pes l universit par rapport aux l ves des autres L nder commu niqu de Former sans exclure du 9 09 2010 Les oppositions rencon tr es actuellement dans le canton de Vaud par le projet de suppres sion des fili res au secondaire 1 confirment la difficult de promou voir une cole moins s lective Par ailleurs le discours de chercheurs signalant les bons r sultats PISA d un pays peu s lectif comme la Finlande ne semble gu re avoir d impact sur l opinion publique les politiques ou les d cideurs Cette s lectivit des syst mes de formation sous leurs diverses formes est mettre en relation avec la part de plus en plus enva hissante de l valuation dans la vie
65. es comp tences sont n cessaires pour qu il puisse continuer se former Il n est pas impor tant que le jeune l ve ait vu beaucoup de choses mais qu il soit entr pleinement dans un savoir dans une culture sachant que les portes d entr e peuvent tre diverses m me si certaines sont incontournables En fin de compte qu est ce qui est le plus int ressant Avoir fait comme ces touristes quasiment tous les cha teaux de la Loire en deux jours au pas de course ou en avoir visit un pleinement de fa on approfondie et d avoir envie du coup d en savoir plus et de voir plus tard d autres ch teaux Consid rer que toute suppres sion du moindre chapitre de programme est une v ri table agression barbare contre l humanisme et la civili sation ou distinguer quelques points fondamentaux obligatoires et introduire par exemple des choix possi bles qui peuvent donner lieu d ailleurs un travail in tensif sur une p riode de l ann e Ajoutons que cer tains savoirs autour de la culture technologique et tout ce qui a trait l ducation au d veloppement durable devraient avoir une place plus importante Mais quoi de plus difficile que d tablir la place de quoi car qui dit priorit dit aussi secondarit Le peu de chose finalement qu on retient des appren tissages scolaires ne serait ce parfois que six mois apr s est le meilleur argument en faveur d un ensei gnement prenant davantage en compte les comp
66. evenir un futur citoyen autonome et responsable les programmes doivent ils le prendre en compte ou l Ecole doit elle le laisser la famille et la soci t G rard de Vecchi Ecole sens commun ou bon sens Manipulations r alit et avenir Paris Delagrave 2007 Apprendre ce qu il n est pas permis d ignorer Il ne s agit pas d embrasser tout ce qu il est possible de savoir mais de bien apprendre ce qu il n est pas permis d ignorer affirmait deja Jules Ferry en 1882 G rard de Vecchi Ecole sens commun ou bon sens Manipulations r alit et avenir Paris Delagrave 2007 La surcharge cognitive Nous avons vu quel point les l ves sont souvent en situation de surcharge cognitive c est dire hors d tat d apprendre ce qui leur est propos Cela aussi est prendre en compte pour construire des situations didactiques dignes de ce Jean Pierre Astolfi L cole pour apprendre L l ve face aux savoirs Paris ESF 1992 Le leurre de l approche compl te Comment entrer en une heure de classe dans la pens e de milliers de chercheurs qui ont travaill des milliers d heures pour produire un concept C est le grand leurre de l ducation actuelle le savoir ne peut qu tre d natur par de telles pratiques L l ve doit rencontrer les situations les plus diverses et les exploiter le plus compl atement Cessons de cher
67. ge des diff rents centres scolaires Encadrer le personnel enseignant et veiller la qualit de l enseignement G rer le personnel en charge de l administration du service et de la conciergerie des centres scolaires Profil requis Dipl me universitaire ou formation jug e quivalente Formation et exp rience p dagogiques Comp tences confirm es en mati re de gestion du personnel de projets et financi re Excellentes connaissances des outils bureautiques habituels word ex cel etc Parfaite ma trise de la langue fran aise et pratique de la langue allemande Aisance dans la communication crite et orale Sens de l organisation des responsabilit s et esprit d initiative et de d cision Entr e en fonction 1er mars 2011 ou convenir La personne engag e sera soumise aux statuts du personnel communal disponibles aupr s de la chancellerie municipale Le cahier des charges peut tre consult aupr s de la chancellerie ou sur le site internet de la Ville de Sierre l adresse suivante www sierre ch Les renseignements suppl mentaires peuvent tre obtenus aupr s de l Office du personnel du pr sident de la Ville ou de la pr sidente de la Commission scolaire En cas d int r t le dossier de candidature complet doit tre envoy avant le 15 octobre 2010 l adresse suivante Ville de Sierre Service du person nel Case postale 96 3960 Sierre 35 sa liches EP suite Vous trouvez au d p
68. gnants b n voles qui consacrent Pendant l ann e scolaire les classes comptent entre 70 et 150 l ves 34 sans fronti res environ un mois de leurs va cances d t au stage dans le terrain mais aussi du temps de pr paration indispensable avant le d part Les ressources financi res d esf sont des dons d institutions pu bliques et de quelques m c nes priv s des dons individuels les en tr es r sultant de la recherche de fonds effectu e par les membres conf rences vente d artisanat etc A part des frais de fonction nement tr s minimes en Suisse la totalit des moyens financiers d esf est consacr e directement aux stages sans aucun interm diaire Fonctionnement des stages d esf esf est actif principalement en zone rurale o la formation conti nue des enseignants est tr s peu d velopp e Chaque ann e 40 60 enseignants par stage participent aux forma tions continues d esf Ils viennent de villes et villages dispers s autour du lieu de stage Ils sont entour s d enseignants europ ens mais aussi d animateurs et personnes relais africains qui sont d anciens sta giaires ayant b n fici d une for mation compl mentaire pour faire partie de l encadrement d un stage Chaque stage annuel dure trois se maines et chaque cycle de trois an n es cons cutives permet aux sta giaires d obtenir l attestation d esf Tout au long de l ann e les con naissances et le savoi
69. gnement sp cialis et MITIC Comment s y retrouver Les logiciels et les produits high tech peuvent aplanir voire gommer les difficult s d apprentissage ou de communication on se le r p te sur tous les tons mais comment s y retrouver dans tout ce que le march nous propose Marketing offensif ou r elle validation scientifique Quelques pistes quelques questions des ouvertures et des liens sont lire dans un floril ge propos par Elvio Fisler dans l dition de juin de la Schweizerische Zeitschrift f r Heilp dagogik http www csps szh ch fileadmin data 1_szhcsps 7_zeitschrift Archiv Fisler 2010 06 pdf Le petit ami des animaux Les marmottes La revue des animaux de toute la famille consacre son dossier d ao t septembre la marmotte Id al pour en savoir plus sur son comportement et sur son long sommeil hivernal www paa ch R sonances Octobre 2010 n e dans votre classe ou l ext rieur je me tiens votre disposition pour le faire Je fonctionne comme anima trice tous les mardis Parta ger avec vous un moment autour de l Environnement sera un plaisir pour moi N h sitez pas prendre contact s Vous pouvez sans autre le Trajet de la fourmi faire par le biais d Educa net2 Un mail de votre part et je prends contact avec vous pour les Si dans le courant de cette ann e modalit s de notre rencontre scolaire vous d sirez observer une s quence d environnement do
70. grative tant pour les l ves handicap s eux m mes que pour les autres l ves Il n en reste pas moins que cette politique qui s est aujourd hui g n ralis e dans tout le canton n est pas toujours fa cile r aliser elle n cessite une for mation sp cifique et pragmatique du corps enseignant une tr s bonne formation des enseignants sp cialis s ainsi qu une information r guli re aupr s des autres ensei gnants des parents et des l ves Dans ce domaine il faut bien ad mettre que le processus mis en place partir de 1985 devra tre renforc pour satisfaire les attentes plac es en lui Un d fi pour la Haute Ecole p dagogique pour le Service cantonal de la jeunesse et pour le Service de l enseignement Au Service cantonal de la jeu nesse le r le des parents est pr pond rant puisque rien ne peut se faire sans leur accord Les structures sp cialis es publiques ou semi publiques ne doivent pas oublier qu elles sont au service de la famille et des parents Chez nous aucune valuation et aucun traite ment ne peut se faire sans l accord des parents l exception des situa tions o la demande provient de l autorit judiciaire ou civile Le conseiller d Etat Claude Roch met continuellement l accent sur le r le central d volu la famille Il faut rappeler que les activit s du SCJ ne se limitent pas au domaine scolaire m me si le probl me peut s y mani fester aussi et m me si les effets
71. h ler vermittelt Also von Gruppenarbeit ist dort nie die Rede Zweitens Beim Klingeln sitzen alle Sch ler diszipliniert auf ihren Pl t zen und sind leise Dies ist laut der Deutschlehrerin der franz sischer Einfluss Klasse ein droite Manon Joan nduisan H l ne Manon et Natascha a et H l ne le 26 juin t GroBkrotzenburg Drittens Es gibt dort sehr lange Schultage 8 00 16 30 Uhr fur letztend lich 7 Schulstunden die uber den Tag verteilt sind Danach kommt man heim und darf noch Hausaufgaben machen bevor man seinen Hobbies nach geht Viertens Die Klassen arbeiten die sich dort examen nennen werden so oft und so viele im Halbjahr geschrie ben wie der Lehrer w nscht so vie le in der Woche wie gebraucht und es nimmt kein Lehrer Rucksicht dar auf ob an dem Tag schon eine Ar beit eingetragen ist Dann schreibt man eben zwei an einem Tag Fiinftens Es gibt eine Pflichtstunde in dem ersten Jahr des Gymnasi ums die sich Etude nennt Dort muss man ein Schulstunde am Tag sitzen und unter Aufsicht lernen Juste avant le d part des l ves pour GroRkrotzenburg Apr s la reprise du cours de la vie le 26 juin est un grand jour puisqu il s agit pour H l ne Joana Manon de quitter le Valais pour re joindre l Allemagne Les visages sont curieux mais il y a aussi un soup on d ap pr hension Petit avan tage les tudiantes des coll ges valaisans con
72. i bloqu e jusqu au minimum 5 ans avant la retraite soit 59 ans pour les fem mes et 60 ans pour les hommes ou de la survenance d un autre cas de pr voyance invalidit d c s L assure a le choix de l institution aupr s de laquelle il souhaite ou vrir un compte de libre passage aupr s d une banque Il est im portant de d finir la couverture souhait e pargne uniquement ou pargne et risques et de com parer les offres Versement en esp ces Le versement en esp ces est une exception la proc dure normale en cas de sortie Ce versement doit tre express ment demand par l assur et n est accord que dans les cas suivants d part d finitif de la Suisse passage du statut de salari au statut d independant montant du capital accumul in f rieur une cotisation annuelle R sonances Octobre 2010 2 Etat des comptes Cotisati i O Cotisations de rappels Achats d ann es de soci tariat O Montant du libre passage Dont avoir de vieillesse selon la LPP O Montant du libre passa Compte de retraite anticip e Retrait anticip L accord crit du conjoint de l as sur est n cessaire En cas de d part l tranger pour un pays de l UE ou de I AELE o l assur continue tre assur pour la vieillesse l invalidit et le d c s seule la part surobligatoire est ver s e Les conditions d octroi d un verse ment e
73. ifi s pour l tape Tu UTiLISES QUELLE FORMULE POUR ESTIMER C1 l ves de 6 et 7 ann es de la scolarit obligatoire C2 l ves de 8 et 9 ann es de la scolarit obligatoire L1 l ves de 10 ann e scolaire et des suivantes jusqu la Adresse Claude Dubuis suivante Ch des Pruniers 7 1967 Bramois T l 027 203 37 40 Cat gories E mail cl dubuis netplus ch Site www gvjm ch En raccourci Institut litt raire suisse Atelier d criture pour enseignants de fran ais L Institut litt raire suisse Bienne une section de la Haute Ecole des arts de Berne ne se limite pas former avec succ s de jeunes auteurs de langue fran aise ou allemande Le programme de formation continue que l Institut litt raire est en train de d velopper suscite galement un vif int r t en particulier son cours Ecrire et faire crire anim par Yves Renaud sp cialiste de l criture cr ative dans le cadre scolaire qui s adresse aux enseignants de fran ais du secondaire Il Deux s ries de cette formation auront lieu durant les p riodes du 2 novembre 2010 au 28 janvier 2011 et du 11 f vrier au 21 mai 2011 le d lai d inscription pour l dition de cet automne hiver est fix au 15 octobre 2010 Plus d informations sont disponibles l adresse www institutlitteraire ch rubrique Formation continue R sonances Octobre 2010 CM l ves de 4 et 5 ann es d
74. intervenir rapidement dans les classes concern es Cette unit mobile est compos e de conseillers p dagogiques de l enseignement sp cialis et selon les besoins de collaborateurs d autres services ou d autorites scolaires Le Nouvelliste 24 08 Qu bec Pas plus d enseignants masculins au primaire Au Qu bec seulement 12 des enseignants du primaire sont des hommes Et si l on ne compte pas les profs d ducation physique ou d anglais le pourcentage d hommes baisse 8 Et la situation n est pas pr s de s am liorer encore cette ann e la proportion d hommes inscrits au baccalaur at en enseignement est faible A l Universit du Qu bec Montr al 241 femmes et seulement 19 hommes taient inscrits au baccalaur at d enseignement primaire en juin soit peu pr s les m mes chiffres qu en 2008 Diff rents facteurs rebutent les hommes qui envisagent une carri re d enseignant le peu de prestige social de la profession la r mun ration insuffisante la perception n gative du m tier d enseignant et le milieu pr dominance f minine La Presse 26 08 L office de poste G r par des apprentis Depuis un mois la poste de M che dans le Jura est g r e par dix apprentis cinq de deuxi me ann e et cinq de troisi me Les jeunes sont responsables de l ensemble des affaires courantes du guichet la direction Parmi eux se trouvent huit jeunes filles et deux gar ons Ils viennent d Ajoie
75. iologie aupr s des professeurs du secondaire Gen ve utilise ces wikis depuis plus de sept ans Mes l ves vont chercher et trier des informations qu ils mettent ensuite dans le wiki pour nous les faire partager Ils produisent leur propre savoir Cela remet totalement en question le rapport ma tre l ves Celui qui enseigne n a pas la science infuse puisque les tudiants eux m mes sont porteurs de comp tences et d id es 90 de ce qu ils apprennent ne vient pas de moi Le Temps 10 09 43 Des id es de sorties Service de la culture Pour des id es de sorties ou de rencontres culturelles avec vos l ves www vs ch ecole culture gt Agenda ARTS VISUELS DESIGN ET ARCHITECTURE Jusqu au 1 nov 2010 Ch teau de St Maurice Exposition Carnets de voyages hier et aujourd hui Le ch teau de Saint Maurice pr sente les uvres parfois m connues de quinze peintres et dessinateurs autour du th me du voyage Un document p dagogique peut tre t l charg pour faciliter la t che des accompagnants http expochateau ch TH ATRE Spectacle pour scolaire Le tour du monde en 80 jours Les com diens du Desperad os Th tro s vous proposent cette adaptation du roman de Jules Verne Le tour du monde en 80 jours avec son livret p dagogique pour des repr sentations scolaires pour la saison 2010 2011 Contact Sylvia Fardel 079 426 53 05 sylvia fardel bluewin ch MUS
76. ire Or tous les parents ne peuvent pas assumer cette t che de la m me fa on La publication n 31 de la s rie Etudes rapports est consacr e aux parents migrants ayant des enfants en bas ge Pour ces parents la connaissance insuffisante du fonctionnement du syst me ducatif suisse ou certaines lacunes au niveau de la langue locale peuvent constituer parfois un v ritable obstacle Pour t l charger la publication en format pdf www edk ch dyn 21754 php 21 Remise des dipl mes 2010 En ce d but d ann e scolaire 2010 2011 la HEP Vs entre dans sa 10 an n e d existence Au cours de cette d cennie elle a progressivement in vesti tous les secteurs de formation des enseignants valaisans du pri maire au secondaire sans oublier l enseignement sp cialis Dans son discours le directeur Patrice Clivaz En route pour les 10 ans de la HEP Vs insista sur les pr paratifs de ce jubil en mettant l accent sur la notion de reconnaissance Celle adress e aux 71 enseignants qui se lancent dans les classes du primaire au se condaire 2 en passant par l ensei gnement sp cialis Celle adress e aux 32 ma tres formateurs qui ga rantissent que la formation HEP Vs soit toujours aussi proche du terrain Celle enfin li e aux commissions in ternationales qui pr sentement tra vaillent sur les dossiers valaisans du secondaire d pos s Berne et la re connaissance adress e aux autori
77. is langue premi re constituent les quatre parties de cet ouvrage qui s adresse en priorit aux futurs enseignants et aux enseignants en exercice qui souhaitent mieux situer et orienter leur pratique Claude Simard Jean Louis Dufays Joaquim Dolz et Claudine Garcia Debanc Didactique du fran ais langue premi re Bruxelles De Boeck coll Pratiques p dagogiques 2010 P dagogie de l int gration La p dagogie de l int gration est une approche curriculaire qui vise la qualit pour chaque l ve chaque tudiant Bas e sur le principe de l int gration des acquis de l apprenant qui am ne celui ci pouvoir faire face des situations complexes elle offre des bases concr tes pour aborder de mani re simple profonde et contextualis e les programmes d tudes l organisation des apprentissages ou encore les dispositifs d valuation Con ue pour tous les niveaux de l enseignement de l ducation pr scolaire l universit elle est bas e sur une m thodologie qui a fait ses preuves dans de nombreux pays que ce soit en termes d efficacit ou d quit C est cette approche que Xavier gi Roegiers deja auteur de Me plusieurs ouvrages en lien avec ta edagogie cette th matique pr sente de integration dans son dernier ouvrage Xavier Roegiers La p dagogie de l int gration des syst mes d ducation et de formation au c ur de nos soci t s Bruxelles De Boeck coll P dagogies en d velo
78. ise en compte des difficult s d apprentis sage dont sont ga lement atteints cer tains enfants haut potentiel soit en core mieux cibl e C est dans cet esprit que nous avons in vit le Dr Olivier Re vol p dopsychiatre Lyon en colla boration avec le Service de l Ensei gnement du DECS venir nous parler de Haut potentiel et hyper activit Ces deux concepts bien distincts sont souvent confondus d autant qu ils peuvent parfois coexister Les Arts magazine L art et les enfants Sur Youtube on peut trouver deux vid os int ressantes conf rence Infos pratiques A l occasion de ses 10 ans d acti vite l AVPEHP en collaboration avec le DECS en presence de Monsieur le Conseiller d Etat Claude Roch a le plaisir de vous inviter la conf rence Haut potentiel et hyperacti vit par le Dr Olivier Revol p dopsychiatre le jeudi 11 novem bre 2010 20 heures Aula du Coll ge de la Planta enfants HP repr sentent 2 5 les hyperactifs 5 des l ves Cet minent sp cialiste va donc nous aider mieux comprendre ces deux notions ainsi que leurs implica tions pour l enfant et son entou rage scolaire et familial II nous don nera aussi des pistes concr tes pour leur prise en charge Il porte un message d espoir pour les enseignants et surtout pour les parents qui assument quotidienne ment un enfant qui souffre par fois de sa singularit L
79. ive tait galement au programme Accompagn s par trois membres du Groupe Valaisan des Jeux Math matiques GVJM les 16 jeunes Valaisans ont d couvert ou red couvert les multiples richesses de la capitale fran aise Durant le trajet du retour tous se sont promis de participer la pro chaine dition du Championnat in ternational des jeux math matiques et logiques 25 Championnat international des jeux math matiques et logiques Informations g n rales But D velopper l esprit de recherche de cr ativit de logique d astuce et d intuition l aide d nigmes m lant humour et rigueur R sonances Octobre 2010 Remarques Ce concours est approuv et encou rag par le D partement de l du cation de la culture et du sport Il est organis dans une quinzaine de pays par la F d ration fran aise des jeux math matiques FFJM En Valais c est un groupe d ensei gnants b n voles GVJM qui s oc cupe de ce championnat Etapes 1 Qualification r gionale le mer credi apr s midi 17 novembre 2010 dans les centres scolaires r gionaux Environ 2500 partici pants 2 Finale valaisanne le samedi 26 mars 2011 au coll ge des Creu sets Sion 500 550 qualifi s 3 Finale suisse Lausanne mai 2011 4 Finale internationale Paris fin ao t 2011 Lors des 3 premi res tapes les pre miers environ 20 de chaque ca t gorie sont qual
80. l la proportion des l ves de la classe que l enseignant veut mener atteindre les objectifs majeurs Il s ensuit logiquement que l tendue des coupes faire dans le programme sera proportionnelle au nombre d l ves ne pas exclure La seule mani re de concilier qualit et quantit est d aller dans le sens d une p dagogie diff renci e M me si l enseignant rep re les parties du programme les moins indispensables il ne sera ni tout fait tran quille ni tout fait heureux des all gements op r s en son for int rieur ind pendamment des ventuelles r actions des parents de coll gues de son chef d ta blissement ou d un inspecteur L id al serait videmment de concilier pour tous qualit et quantit des apprentissages scolaires S il y avait une solution efficace ce probl me sans doute aurait elle d j t mise en uvre dans toutes les classes dont les professeurs ne se f licitent ni d alleger le programme ni d abandonner certains l ves en route On peut n anmoins indiquer une direction de recherche la seule mani re de concilier qualit et quantit des apprentis sages est d aller dans le sens d une p dagogie diff ren ci e donc d une autre organisation du travail scolaire Le temps n cessaire pour qu un l ve assimile l entier d un programme est toujours relatif aux modalit s d enseignement et d apprentissage en vigueur Dans une p dagogie ess
81. l gu la jeunesse pour la promotion de la jeunesse D une mani re tou jours plus importante ce secteur s investit dans les grands pro grammes de pr vention tels que l ducation donne la force 72 heures le lien fait la force Il b n ficie du soutien des diff rentes uni t s du Service des organisations des jeunes et des communes La m diation scolaire est l une de nos plus grandes r ussites en mati re de pr vention Quant au secteur de l accueil extra familial avec les structures d ac cueil la journ e pour les enfants de 0 12 ans il s est rapidement d velopp en quelques ann es En 1998 le budget de mon Service pour ces structures tait de 10 000 francs et aujourd hui gr ce la loi cantonale en faveur de la jeunesse une loi que certains cantons nous envient il a d pass les 7 millions de francs par ann e J estime que le Valais peut tre fier de sa poli tique familiale dans ce domaine Parlons aussi de la m diation scolaire Avec la m diation scolaire le but tait de renforcer l cole en cr ant une force d intervention interne et bas seuil Le m diateur est un en seignant form sous la direction du Service cantonal de la jeunesse et la LVT qui peut venir en aide aux jeunes en difficult ou l orienter vers un sp cialiste si n cessaire Je suis tr s fier de la m diation sco laire valaisanne c est pour moi R sonances Octobre
82. les coll gues mettre leurs l ves au travail un v ritable travail d tude un travail enfin qui leur permette d apprendre Evelyne Charmeux www charmeux frlbloglindex php 2010 05 13 144 mieux etudier a l ecole ou faire en sorte que les eleves y etudient vraiment Choisir l intelligence est Une Plurielle C est une m tisse m lant en elle des qualit s tr s diverses dont certaines semblent r pulsives l une l autre mais dont l association lui est indispensable Elle est ouverte et polymorphe constructive et destructive critique combinatoire articulant ensemble les qualit s intelligentes et ventuellement rotative sachant faire se succ der ces qualit s selon les v nements et les modifications de situation L art de l intelligence c est aussi de savoir choisir intelligemment les moyens intelligents propres traiter sp cifiquement une situation donn e Edgar Morin La m thode 3 la connaissance de la connaissance Paris Seuil 2008 R sonances Octobre 2010 Une culture commune Peut on penser la culture commune ou la reforme de la pens e ind pendamment des pratiques scolaires et des pratiques sociales Une telle question est au c ur de la r flexion ducative depuis longtemps Jean Claude Ruano Borbolan Quels savoirs enseigner in Eduquer et Former Sciences humaines 2001 Apprendre diff remment Ex
83. lques pr cisions sur son fonctionnement A noter que la classe relais depuis son ouverture a accueilli une trentaine d l ves et que les interventions pour apporter des solutions d aide aux coles ont t nettement plus nombreuses Tout d abord comment d fini riez vous la classe relais Danny D fago C est une structure d accueil d localis e Sion sur le site du coll ge de la Planta pour le Valais romand et Vi ge pour le Haut Valais permettant de recevoir temporairement les l ves qui pr sentent de graves difficult s de comportement Les l ves y vont pour une p riode de 4 8 semaines pour r fl chir leurs probl mes et trouver des solutions de rem dia tion avec l objectif de les faire r in t grer leur classe Jean Fran ois Favre Dans la classe le programme est le m me que celui qu ils suivraient dans leur classe d origine pour les branches princi pales par contre on fait l impasse sur les branches ducatives et cultu relles Je suis avec les l ves lors des pauses de midi Quant aux apr s midi ils permettent les stages en en treprise Le mercredi apr s midi est lui consacr au sport l orientation professionnelle ou d autres activi t s La classe relais est une sanction certes cependant pour l l ve ce doit tre per u comme une chance Certains prennent conscience de leur attitude inappropri e et profi tent de ce temps dans la classe relais pour voluer po
84. motivation des parents est telle qu ils mettent les bouch es doubles Le Matin 30 08 Chr tiens fondamentalistes Demandes surprenantes Des chr tiens fondamentalistes font des demandes surprenantes l cole publique ils ne veulent pas d un moyen d enseignement parce que des sorci res y apparaissent ou refusent que leur fille porte un pantalon de ski Dans le canton de Fribourg ces parents causent davantage de difficult s au D partement que les musulmans Dans la liste des dol ances abracadabrantes on trouve des parents qui se battent pour que le sapin de No l ce symbole du paganisme quitte les salles de classe Et interdisent leur enfant d aller couter un concert avec ses camarades sous pr texte qu il a lieu dans une glise Ces parents sont convaincus que leur religion est la seule chance de salut pour leurs enfants Le Matin Dimanche 5 09 E Ils font autrement L cole des cocitoyens Cr er une cole au service de la vie qui a pour vocation de contribuer la formation de R sonances Octobre 2010 citoyens panouis et responsables c tait le pari de Caroline Sost cette jeune femme de 35 ans a ouvert en septembre 2007 Living School une petite cole priv e dans le XIX arrondissement de Paris Cette ann e l cole accueille 68 enfants de la maternelle au CE1 Au programme lire compter crire bien s r mais aussi ducation l environnement a
85. mportant d viter des aides et des prises en charge aveu gles c est dire sans avoir prati quer une valuation clinique appro fondie Dans l valuation et le suivi de grands progr s ont t accom plis mais la communication doit tre encore am lior e notamment aupr s du corps enseignant natu rellement avec l accord des parents Mais parfois la difficult ne provient elle pas pr cis ment du fait que les parents ne par viennent pas reconna tre le probl me que leur enfant ren contre l cole Si l enseignant peut envisager ou accepter qu il est susceptible lui aussi de faire partie du probl me alors les parents pourront consid rer que leur enfant peut lui aussi faire partie du probl me Si le contexte scolaire n analyse pas son fonctionnement et l impact de ce lui ci sur la probl matique signa l e elle accuse en fait la famille d tre la seule cause du probl me Aucune accusation n aide une fa mille ou n importe quel autre sys t me se remettre en question et reconna tre ses responsabilit s Ce que nous pr conisons c est que l cole et les parents acceptent de faire partie du probl me pour en suite co construire la solution Cette posture exprim e ainsi peut para tre simpliste mais elle est es sentielle la construction d un v ritable partenariat entre les diff rents acteurs concern s Le Service cantonal de la jeu nesse c est bien s r le centre de d
86. n nicole magnin vs educanet2 ch E I Cat ch se conf rence Ecoute de soi Ecoute de l autre Mardis 26 octobre et 9 novembre 2010 14h 17h30 Descriptif objectifs O Afin d offrir autrui une bonne qualit d coute il est important de commen cer par s couter soi m me avec bienveil lance Notre corps nous li Sculpture d Henri de Miller vre chaque instant une mine d informations Ces renseignements peuvent nous tre r v l s au moyen de tensions dans le corps motions ressentis pens es L coute de soi commence donc d abord par clarifier nos ressentis D Apprendre d couvrir la beaut des sentiments et des besoins dis simul s dans les pens es et les jugements selon le processus de la Commu nication Non Violente d velopp par Marshall Rosenberg D Apprendre par l observation percevoir dans le non verbal ce que la personne ressent CI D couvrir la puissance de l empathie Facult de s identifier quel qu un de ressentir ce qu il ressent pour aider l autre se relier ses senti ments et ses besoins Animation Sylvie Blum Moulin Consultante en ducation formatrice d adultes en communi cation analyse transactionnelle selon Eric Berne Communica tion consciente selon Marshall B Rosenberg Ecoute active se lon Gordon Lieu Notre Dame du Silence Sion Prix Fr 20 pour les deux apr s midi Service dioc sain de la cat ch se 19
87. n angle d attaque 33 Ailleurs Devenez un e enseignant e esf Enseignants Sans Fronti res est une organisation non gouver nementale ONG fond e en Suisse en 1994 Elle organise des stages de formation continue d enseignants en Afrique de l Ouest Jusqu ce jour des stages ont eu lieu au Burkina Faso Gourcy Ouahigouya et Yako au Mali Koro et au S n gal Fa tick Kafountine et Toubacouta esf organise des stages de formation continue en Afrique de l Ouest Le travail d esf est reconnu tant en Afrique qu en Europe En Afrique les stages d esf sont souvent la seule possibilit de formation continue pour des instituteurs L at testation gu esf octroie apr s un cycle de stages de trois ann es cons cutives est reconnue par les autorit s scolaires En Suisse la for mation d esf a t soutenue par la Direction du D veloppement et de la Coop ration de la Conf d ra tion helv tique DDC Ce service a m me effectu une valuation du travail d esf en Suisse et en Afrique et le rapport qui en d coule d montre l utilit et le s rieux des ac tivit s de l ONG A part l antenne originelle d esf en Suisse il en existe une en Belgique mais aussi dans tous les pays afri cains o se d roulent les stages D autres antennes sont en voie de cr ation en Europe en Afrique et aussi au Canada Les membres d esf sont essentiellement des ensei
88. n des quipes d animation p dagogique Arts visuels Didactique et animation mus e Eric Berthod Animation degr s enfantins et primaires Activit s cr atrices et manuelles Agn s Zawodnik Boudet Animation CO Annick Vermot Didactique et animation introduction PER Sandra Coppey Grange Animation degr s enfantins et primaires Danielle Salamin M ller Animation CO Laurent Emery L animation p dagogique Arts vi suels et Activit s cr atrices de la Haute Ecole p dagogique du Valais romand en collaboration avec le Service de l enseignement et le Ser vice de la culture de l Etat du Valais vous pr sente son projet Etin celles de culture Dialogues plas tiques avec les artistes La particularit de ce projet est de provoquer des dialogues artistes l ves travers des d fis plastiques Par cette d marche nous souhai tons offrir la possibilit l l ve de prendre part la r flexion la conception li e la d marche artis tique de vivre toutes les tapes du processus de cr ation Bien souvent les l ves voient le produit fini et reproduisent ce qu on a pens pour eux En mettant l l ve en contact direct avec des artistes et des cr a tions artistiques nous souhaitons le 16 familiariser avec le langage artis tique lui donner le go t de l art le rendre acteur plut t que consom mateur d art et de culture Avos agendas exposition r sonanc
89. n des meil leurs syst mes au monde d couvrait avec stupeur que ses coliers ne figuraient qu en milieu de classement La Libert 2 09 de sant li s au stress comme l puisement professionnel et ont obtenu un indice de bien tre peu lev R seau d information pour la r ussite ducative 8 09 R seaux sociaux Mon prof mon ami Utiliser les r seaux sociaux du Web pour enseigner Demander aux l ves de faire leurs devoirs sur Twitter De Paris Sierre les enseignants lancent des id es in dites En Suisse romande Lyonel Kaufmann sera le premier adopter Twitter dans un cadre scolaire D ici d but 2011 ce professeur d histoire la Haute Ecole p dagogique du canton de Vaud fera travailler ses l ves sur le site Son mod le Le projet mis en place l ann e derni re l Universit de l Utah Etats Unis En 48 heures onze tudiants ont reconstitu sur Twitter la bataille de Gettysburg dit il Chacun devait endosser le r le d un des personnages dont celui de Lincoln Pour cela ils ont d reconstruire les faits trouver des informations et les synth tiser Tr s int ressant Avec des coll gues nous allons donc d velopper un nouveau sc nario en fran ais En Suisse nombre de professeurs optent pour cette alternative Ou pour de simples blogs ainsi que des wikis des sites modifiables par tous les utilisateurs Fran ois Lombard charg d enseignement en b
90. n esp ces sont volontaire ment restrictives afin de prot ger l assur contre lui m me La loi ur l accession la consid re que les risques de gestion de l avoir vieillesse par l assur lui m me sont trop lev s et que le but de pr voyance n est plus assur Calcul de la prestation de sortie La r gle de calcul de la prestation de sortie figure dans le r glement de la caisse La loi sur le libre pas sage LFLP pr voit un minimum l gal afin que l assur sortant ne soit pas l s Les modalit s de sortie et CHF 61 756 45 CHF 1950 45 CHF 203 701 40 CHF 256 751 25 CHF 106 040 00 CHF 43 785 20 CHF 50 000 00 CHF 100 000 00 le calcul de la prestation minimum legale sont decrits de mani re com pl te dans la LFLP et non dans la LPP Le certificat de pr voyance en voy une fois par ann e vous ren seigne r guli rement sur l volu tion de votre prestation chiffre 4 Conclusion N h sitez pas prendre contact avec notre administration en cas de d part Une bonne communication est toujours garante de succ s El En raccourci D couvertes en pays d Islam Un projet La main la p te Le projet Les d couvertes en pays d Islam propose aux l ves de cycle 3 et de coll ge fran ais d tudier une d couverte ou invention scientifique de l ge d or de la science arabe VII XV si cle L espace enseignant d veloppe pour chaque
91. nel dont chaque tage exigerait l ach ve ment du pr c dent Il a compris que cer tains chapitres du programme ne sont la base de rien qu ils ne seront pas repris ou alors bien plus tard par exemple l cole R sonances Octobre 2010 secondaire les professeurs reprenant tout z ro parce qu ils estiment soit que l cole primaire n a rien fait soit qu elle n a pas donn des bases ad quates Cette absence de construction en tage n est pas le signe d un manque de s rieux des auteurs des pro grammes mais la manifestation d une vidence les connaissances l int rieur d une discipline ne s en cha nent pas toujours logiquement Leur ordre logique n est d ailleurs pas n cessairement un ordre chronolo gique Pour s en persuader plus concr tement et jau ger les risques un enseignant a absolument besoin de conna tre le programme des degr s qui pr c dent et qui suivent celui auquel il enseigne Avoir enseign dans les divers degr s du cursus est un atout majeur A d faut une lecture attentive des programmes des au tres degr s et une discussion avec des coll gues qui en ont l exp rience permet d identifier les composantes du programme qui pr parent v ritablement l avenir et celles dont on peut faire l conomie sans grand risque Pour all ger il faut aussi savoir dissocier d une part les objectifs et le programme d autre part le programme et les moyens d enseignement Dans un s
92. nfantine au secondaire Il g n ral et professionnel Vous trouverez toutes les informations utiles cette adresse www vs ch ecole culture gt Etincelles de culture Les productions des enfants et des artistes issues de ces dialogues plas tiques seront pr sent es en juin 2011 dans une exposition r so nance cantonale dans un lieu que nous esp rons attractif sur la sc ne culturelle valaisanne Cette exposi tion sera ouverte aux classes du Valais Vous tes enseignant Vous pratiquez dans le Valais romand dans n importe quel degr de la scolarit obliga toire Ce projet vous int resse Inscrivez vo tre classe sur http animation hepvs ch acm TM au CO En racco P dagolivres Une s lection d ouvrages P dagolivres propose une vaste s lection d ouvrages p dagogiques en Comment a marche Parmi les projets pr sent s choi sissez l artiste et le d fi plastique qui vous int resse ou int resse vos l ves Annoncez vous aupr s de l ani mation pedagogigue 1 classe par projet par artiste Adressez la demande de credit de subventionnement de votre projet aupr s de Etincelles de culture via la direction d cole Avec le soutien de l animation et de l artiste mettez vous en r flexion puis en action pour r pondre son d fi plastique productions collectives ou indi viduelles Bienvenue sur le site de l animation p dag
93. nseignants ressources Par contre la classe relais inappro pri e pour de jeunes l ves est remplac e par un syst me d aides et de relais de proximit propos s ou mis en place par l unit canto nale Il peut s agir notamment d un temps de pr sence ponctuel dans la classe ou l tablissement con cern d heures de soutien non per manent attribu es pour la gestion d une situation particuli re du pla cement momentan ou plus dura ble d un l ve dans une autre classe etc L ensemble du dispositif vise trou ver des solutions rapides et dura bles pour les l ves au comporte ment inadapt l cole et soute nir les actions de pr vention E Prend les mesures internes i Prend acte de la Mandate l enseignant probl matique ressource Prend contact avec le directeur et le titulaire Propose et apporte les mesures n cessaires Enseignant ressource Sollicite au besoin le Conseiller p dagogique et toute autre ressource o Propose et apporte les 1 m Unit cantonale Propose la prise de d cision Inspecteur 46 Le l enseignement Regards crois s de Jean Fran ois Favre et Danny D fago Jean Fran ois Favre enseignant de la classe relais et Danny D fago enseignant ressource de l unit cantonale ont l exp rience de la structure classe relais et unit can tonale test e depuis 2 ans au CO aussi il semblait int ressant de leur demander que
94. nt du m dia radio approche de di vers aspects juri diques une mise en pra tique de comp ten ces langagi res par Jean Paul Fai Renseignements jacques dussez hepvs ch Junior Web Award Nous en avions parl l an pass car 2 classes valaisannes avaient gagn un prix lors de ce concours qui est nouveau propos cette ann e pour les classes et leurs enseignants qui s y int ressent Adresse du concours www juniorwebaward ch Ouelgues dates importantes Inscriptions depuis le 15 juin 2010 Phase de projet du 9 ao t la mi mars 2011 Delai de soumission du site Web 15 mars 2011 Evaluation par le jury avril 2011 Remise des prix fin mai 2011 Nouveau cours Un nouveau cours sur les r seaux sociaux est en pr paration et sera propos au printemps 2011 11 Samuel Perrin We la musique alit e Si l on en croit l opinion publique du moins celle qui est proche des milieux musicaux l ducation musi cale en Valais souffre d une image l g rement corn e Elle aurait besoin de soins cer tains Si l cole enfantine para t plus ou moins pargn e chacun sait qu on n y fait que jouer les autres degr s de la scolarit ne sont point pargn s et plus on monte dans les de gr s plus a se g te Grille horaire On reproche tout d abord la modification de l
95. ogique AC aTM vaissa rare Mon projet ART cl s en main A votre tour d interroger l ar tiste en lui posant un defi L ani mation p dagogique reste vo tre service pour vous aider le formuler si n cessaire L artiste se met au travail puis vient vous pr senter sa r ponse Nous nous chargeons d exposer vos cr ations et celles des ar tistes sous forme de dialogues Nous vous invitons ainsi que les autres classes valaisannes pour une visite d couverte En esp rant vous rencontrer nom breux autour de ce projet qui s tendra sur toute l ann e scolaire 2010 2011 et qui nous tient parti TI Cr Activit s cr atrices amp travaux manuels empire parapri apa apia b P dagogique du Valais romand en oce de le atar de l Etat du Vla vous re parier DO projet http llanimation hepvs chlacm avec le service de l enseignement et le culi rement c ur Pour l animation p dagogique Sandra Coppey Grange Note Le site sera encore en construction en octobre mais vous y trouverez les informations g n rales sur le projet Didier Burkhalter il faut maintenant transposer le concept au plan cantonal La Fondation suisse de cardiologie veut susciter des candidatures autour de 10 projets d impulsion cantonaux pour les coles Son objectif est de diffuser largement les connaissances en secourisme dans la population et d am liorer les chances de s
96. oir d autre part qu un r f rentiel offre des d veloppements pr ci sion de composantes de niveaux de ma trise et fournit d indispen sables rep res compl mentaires Le chiffre du mois Par ailleurs si l articulation des ac tions des formateurs trices et les acquisitions des form e s avec ces 13 comp tences n est pas vidente que cela soit au niveau th orique ou pratique ces derni res ont l avantage d offrir en formation initiale comme en formation conti nue un outil commun permettant notamment de mettre des mots de fixer des priorit s de favoriser l quit et l objectivit dans l va luation de susciter d bats et prises de conscience Enfin loin de tourner le dos aux sa voirs aux valeurs aux postures au bon sens l identit de l ensei gnant e il s agit de dessiner une voie lact e dans le ciel de l ensei gnement et de la formation aidant chacune et chacun se situer Notes 1 Comp tence 7 du r f rentiel de com p tences de la HEPVs 2 Comp tence 13 du r f rentiel de comp tences de la HEPVSs Urban Fraefel Y a d la physique partout Observations et exp riences fascinantes au quotidien uvre Suisse des Lectures pour la Jeunesse 2010 d s 10 ans www osl ch F d ration suisse des aveugles et malvoyants Monsieur Canneblanche arrive dans les coles Avec ses m dias scolaires remis jour la F d ration suisse des aveugles et malvoyants FS
97. on raisonnable L institu tion se garde bien de la fixer puisque cela l obligerait reconna tre l impossibilit de faire suivre le programme tous les l ves L enseignant se trouve donc relative ment seul pour trouver un compromis Dans le meilleur des cas il peut s appuyer sur une ligne de conduite fix e par une quipe p dagogique Peut tre d ailleurs un consensus sur ce point est il le meilleur pr dicteur de la coh rence et donc de la solidit d une quipe p da gogique Se pose alors une question d licate rarement formul e aussi brutalement l enseignant travaille t il en priorit pour les meilleurs l ves disons 30 pour le 40 du milieu de la classe ou pour les l ves les plus d favoris s disons 30 encore Si le professeur tra vaille pour les meilleurs l ves il avancera dans le pro gramme lorsqu il aura l impression qu ils ont compris et tant pis pour les autres S il travaille pour le 40 du milieu de la classe il ne passera au chapitre suivant que si deux tiers au moins des l ves ont compris Cela au risque d ennuyer et de ralentir les meilleurs l ves au grand dam de leurs parents Si l enseignant consid re que son travail est d amener 80 90 des l ves un niveau de ma trise suffisant il ira encore moins vite et donnera aux bons l ves voire aux l ves moyens et leurs parents l impression qu ils perdent leur temps Le rythme de progression sera inversement proportionne
98. ondition si la diff renciation s inscrit dans une organisation du travail per manente il devient imaginable que tous les l ves atteignent les objectifs de fin d ann e ou de fin de cycle en d pit de leurs diff rences Ce sera d autant plus imaginable que l institution con oit des programmes faits pour des l ves moyens dans des conditions ordinaires et non pour d excel lents l ves des beaux quartiers En conjuguant des programmes raisonnables et une p dagogie forte ment diff renci e il est possible d atteindre les objec tifs pour tous donc de n avoir pas choisir entre qua lit et quantit Il resterait mettre la formation des enseignants en accord avec cette politique R f rences Gather Thurler M amp Maulini O dir 1977 L organisation du travail scolaire Enjeu cach des r formes Qu bec Presses de l Universit du Qu bec Meirieu Ph 1990 L cole mode d emploi Des m thodes actives la p dagogie diff renci e Paris ESF 5 d Perrenoud Ph 1994 Curriculum le r el le formel le cach In Houssaye J dir La p dagogie une encyclop die pour aujourd hui Paris ESF 2 dition pp 61 76 Perrenoud Ph 2001 G rer le temps qui reste l organisa tion du temps scolaire entre pers cution et attentisme In St Jarre C et Dupuy Walker L dir Le temps en ducation Re gards multiples Sainte Foy Presses de l Universit du Qu be
99. oppement psychologique les trou bles d apprentissages et du dys fonctionnement au niveau du com portement Il est essentiel que les formateurs de la HEP dans ce do maine disposent en plus de leurs connaissances th oriques dans ces domaines d une exp rience pra tique et clinique solide Enfin de mani re plus g n rale le partenariat entre le canton et les communes est clarifier Que souhaitez vous pour l cole de demain L cole doit absolument rester le territoire des enseignants et non celui des sp cialistes Cependant elle doit pouvoir faire appel aux sp cialistes lorsqu elle ne parvient pas apr s avoir activ toutes les ressources internes g rer cer tains probl mes A mes yeux il se rait important que les enseignants et en particulier les titulaires de classe tout comme les collabora teurs du SCJ puissent d velopper davantage de comp tences entre preneuriales Quel sera votre menu pour la re traite Famille chasse vigne Oui mais je suis et resterai en pre mier lieu pr sident de l EMS de no tre r gion Je veux m investir da vantage dans cette activit c t de cela je me suis inscrit l Institut universitaire Kurt B sch pour sui vre la formation en psychologie ju diciaire J envisage d ouvrir une consultation Vi ge pour conti nuer exercer mon m tier sachant que durant ma carri re de chef de service j ai toujours conserv un petit temps partiel pour ex
100. ors des heures d ouverture du lundi au vendredi contacter evelyne nicollerat mediathe que ch Dossiers d accompagnement pour les jeunes de 11 15 ans disposition l accueil de l exposition ou t l chargeable Plus d informations www mediatheque ch Sur le site de l association Semaines de la lecture www semainesdelalecture org divers documents articles et fichiers audio et vid o permettent de d couvrir par avance quelques p pites de l exposition Renseignements compl mentaires Evelyne Nicollerat evelyne nicollerat mediatheque ch 024 486 11 88 www mediathegue ch 28 pocumen tation p dagogique Far West Cet univers a t choisi pour mettre en valeur la richesse des mots les nombreuses m ta phores bancaires des lexicographes mais aussi pour faire un petit clin d il notre capital helv tique Un d tournement de fonds en quelque sorte Du guichet du capital la salle des coffres Au premier guichet Agn s Jobin et Fran oise Vonlanthen pr sentent un logiciel permettant d valuer Conf rence de Michel Viegnes professeur de litt rature l Universit de Fribourg sur Le Pouvoir incantatoire des mots hier et aujourd hui le mardi 26 octobre de 18 h 45 19 h 45 Depuis les origines le langage a t consid r comme sacr dans presque toutes les cultures con nues et les mots avant d tre de simples signifiants arbitraires se lon le mod le linguis
101. pliquer que l on doit la fois savoir se concentrer mais aussi faire plusieurs choses en m me temps aider mettre des mots derri re la cr ativit ou la simple curiosit et valoriser ces mani res de penser autant d attitudes d ducation qui permettront de rendre ces capacit s aussi famili res que les comp tences du bon l ve d aujourd hui Prise de conscience et valorisation sont donc les premiers leviers de l ducation au traitement de l information Sandra Enlart amp Olivier Charbonnier Faut il encore apprendre Paris Dunod 2010 Le d bat des langues mortes Ne sommes nous pas en train de reproduire les d bats qui ont eu lieu sur l apprentissage des langues mortes largement tomb es en d su tude sauf pour un certain niveau socioculturel celui qui se veut apparent l lite La philosophie et la litt rature sont elles nos langues mortes de demain sous pr texte que tout cela se trouve facilement sur le web Mais d un autre c t quelles sont les formes d apprentissage qui permettront tout un chacun de comprendre l importance de l histoire dans le monde contemporain Sandra Enlart amp Olivier Charbonnier Faut il encore apprendre Paris Dunod 2010 Jusqu o Lire crire compter bien sur mais est ce l l essentiel comme on l entend de plus en plus souvent Et tout le reste ce qui para t indispensable pour vivre en soci t et d
102. potentiel et hyperactivite AVPEHP Doc p dagogique 28 Exposition Pour tout l or des mots 2 M diath que Valais N Revaz Concours 30 Des accrocs aux chiffres r unis Paris GVJM C Dubuis Regards sur l cole 3 2 Trois th mes d actualit D Bain Ailleurs 34 Devenez un e enseignant e sans fronti res ESF Education physique 36 Fiches EP suite Groupe d animation Rencontre 37 Walter Schnyder ou l histoire du Service cantonal de la jeunesse N Revaz Livres 40 La s lection du mois R sonances et D Raposo Constantin Revue de presse 42 D un num ro l autre R sonances Agenda Ecole Culture 44 Des id es de sorties ou de rencontres Service de la culture S OISE ss bin le te Enfant au comportement inadapt des solutions N Revaz 45 Les dossiers de R sonances 48 2 R sonances Octobre 2010 p t d fi hi S sTOo ULPDIJ 53 J1lOPUWUMUO1HD 1 Choisir le programme ou P Perrenoud La quantit n est pas n cessairement une obsession ou une valeur en soi Elle peut tre la cons quence invo lontaire d une incapacit choisir C est vident dans la r daction des programmes sco laires Ces programmes ne peuvent tre int gralement respect s que si l on enseigne des l ves qui ont tous beaucoup de facilit ou dans une classe h t rog ne si l on fixe le rythme d avancement dans le pro gramme en se r f rant aux bons l ves
103. ppement 2010 En raccourci Lire l adolescence Lire l adolescence lecture R ali s er strat gies de Kanade Runtz Christan Jukalje Markevisch Frieden o de poe Miia Ag pa UI S A Caa Li Quels lecteurs Quel acc s Quels livres Quel r le pour l institution Quels projets pour stimuler la lecture des adolescents Telles sont les grandes questions d ouverture des cinq grands chapitres de cet ouvrage sur la lecture des adolescents Pour bien cerner le lecteur type les auteures ont interrog 235 l ves entre 16 et 17 ans En demandant par exemple aux jeunes de nommer les trois derniers livres lus il ressort que deux tiers des titres correspondent des lectures impos es ce qui 40 Rodmoavie Inscriptions pour la tourn e 2011 Roadmovie s ances de cin ma itin rantes au c ur des villages suisses a entam sa tourn e 2010 Pour les coles int ress es il est d ores et d j possible de s inscrire pour 2011 www roadmovie ch Allez savoir Sommet de la francophonie Le Magazine quadrimestriel de l Universit de Lausanne aborde dans sa derni re dition la question des 23 langues en Europe en lien avec le Sommet de la francophonie Un atout ou une folie La linguiste Anne Claude Berthoud tente de d montrer l enrichissement de cette diversit linguistique Il est aussi question de la Suisse pays de Cocagne www unil ch unicom page652
104. praticiens formateurs Fa ss Fr d rique Fully Lugon Yasmine Vernayaz Nanchen Rapha l Sion Putallaz Olivier Sion Raymond Vincent St Maurice Rey Mermet Denis Monthey Dipl me d enseignement sp cialis Bruchez Fran oise Fully Certificat praticien formateur Valais romand Practiciens formateurs Bas Valais Abb Savioz Sabine Mayoux Aymon Dominique Grimisuat De g d Claude Roch chef du D partement Sabine Debons r cipiendaire du prix BCV Meilleurs dipl mes Marc Lavanchy orateur pour les tudiants Lydia Cheseaux r cipiendaire du prix BCV Meilleurs dipl mes et Patrice Clivaz directeur HEP R sonances Octobre 2010 Berset Damien Champlan Berthouzoz Christine Erde Charpin Rey Mathilde Granges Dussez Marie Christine Champ ry Fontannaz Lambiel Sylvie Erde Magliocco Savary Val rie Muraz Sierre Merminod Marie No lle Vouvry Pilet Isaline Martigny Tapparel Danielle Corin Zimmermann Yannick Collombey Zuber Nicole St Jean Certificat ma tre formateur Valais romand Ma tres formateurs Sec I et Sec Il Bas Valais Borgeat Hertig Nadine Vernayaz Carrupt Pitteloud Sylvie Chamoson Di Stefano Scholders Giovanna Chexbres Duarte Gianna Vionnaz Ecoeur Olivier Martigny Frei Grandjean Nicole Villard sur Chamby Gay Naucelle Julie Cho x Gillioz Corinne Sion Luy Rapha l Sion M tral Rapha l R chy Oberholzer Antoine Vouvry Perren Pierre Andr Veyras Per
105. ques BH R daction Nadia Revaz nadia revaz admin vs ch E Conseil de r daction Claude Barras Paris Ass parents Maude Barras AVECO Florian Chappot AVEP Jean Fran ois Dorsaz CDTEA Daphn e Constantin Raposo SPVal St phane Vaucher AVPES Zoe Moody HEP VS M Photographe Jacques Dussez Donn es techniques Surface de composition 170 x 245 mm Format de la revue 210 x 280 mm Impression en offset en noir et une teinte vive photolithos fournies ou frais de reproduction factur s s par ment pour les documents fournis pr ts la reproduction Parution Le 1 de chaque mois sauf janvier juillet et ao t D lai de remise des textes et des annonces D lai pour les textes 5 du mois pr c dant la parution D lai pour les annonces 15 du mois pr c dant la parution Abonnements Tarif annuel Fr 40 Prix au num ro Fr 6 Tarif contractuel Fr 30 T l 027 606 41 59 resonances admin vs ch R gie des annonces Schoechli impression amp communication SA Technop le 3960 Sierre T l 027 452 25 25 info schoechli com Impression exp dition Schoechli impression amp communication SA Technop le 3960 Sierre T l 027 452 25 25 info schoechli com A ualit ou quantit Entre un poulet fermier lev en plein air et un poulet de batterie gav de ma s transg nique je choisis sans h sitation le premier car j
106. r des exigences m thodolo giques favorisant ainsi le d velop pement d une attitude de distancia tion indispensable tout enseignant soucieux d voluer dans sa future profession Nicole Jacquemet 24 Entretien avec Sabine Debons Avant la HEP Vs Sabine Debons a obtenu une maturite en langues modernes a effectu l Ecole suisse de tourisme et a travaill quelques ann es dans ce domaine puis dans un niveau plus administratif en lien avec les langues Apr s un cong sabbatique elle d cide de repren dre une formation pour avoir un job avec des challenges quotidiens C est ainsi qu elle d cide de devenir enseignante Sabine Debons effectue actuelle ment un remplace ment jusqu la fin de l ann e scolaire Salvan en 2 3P Au terme de sa for mation la HEP Vs le choix de son m moire s est impos presque comme une vidence Elle qui n avait pas aim les cours d histoire en tant qu l ve a d couvert la ri chesse de l approche de l histoire probl me la HEP sans comprendre pourquoi les enseignants rencontr s lors des stages n taient pas forc ment convaincus par ce mode d en seignement C est ainsi qu elle s est int ress e ce sujet en se deman dant est ce trop difficile mettre R sonances se propose de pr senter quelques uns de ces tra vaux dans le but de mieux con na tre ce qui se fait la HEP et de d couvrir des recherches int res santes et va
107. r de la M diath que Valais Saint Maurice Pour Evelyne Nicollerat responsable de la Documentation p dagogique la M diath que ac cueillir cette riche exposition cor respond pleinement au public cible en mettant en valeur les tr sors li vresques et en offrant des pistes pour un prolongement en classe Lors de la visite guid e les deux conceptrices ont entra n les ensei gnants dans leur passion de la langue en faisant une d claration d amour aux mots d s l entr e dans la banque aux allures un peu Une exposition interactive et ludique con ue par l association Semaines de la lecture et pr sent e jusqu au 23 d cembre par la M diath que Valais St Maurice Des v nements retenir 13 h 30 18h45 20h15 En marge du XIII Sommet de la francophonie ouverture publique sp ciale le samedi 23 et le dimanche 24 octobre de 14h 17h Conf rence de Michel Viegnes professeur de litt rature l Universit de Fribourg le 26 octobre cf description ci contre Caf litt raire avec Corinne Desarzens le lundi 22 novembre de 12 h 30 Spectacle d Eug ne La Vall e de la Jeunesse le jeudi 25 novembre de Visites comment es publiques les mercredis 29 septembre 13 octobre 10 novembre et 15 d cembre de 16 h 17 h et les samedis 30 octobre et 27 no vembre de 10 h 30 11 h 30 Visite des classes sur inscription les classes peuvent venir en deh
108. r faire acquis au cours du stage de l t doivent tre mis en pratique par l ensei R sonances Octobre 2010 gnant africain et partag s avec ses coll gues au sein d une m me cel lule p dagogique Ce travail fait l objet d observations et d valua tions des antennes africaines d esf avec lesquelles les Europ ens res tent en contact La formation est ax e sur des prin cipes de p dagogie active Elle in t gre les probl mes de sant pu blique et d environnement Elle comporte une partie th orique une partie pratique en pr sence d l ves ainsi que du temps consa cr la fabrication de mat riel di dactique qui fait cruellement d faut dans ces r gions rurales Devenez vous aussi un e enseignant e sans fronti res Si vous tes interess e par l action d esf que vous voulez soutenir son activit et surtout si vous voulez participer un stage en Afrique vous pouvez demander d tre ad mis e au sein de notre association par l interm diaire de notre site www EnseignantsSansFrontieres org ou nous envoyer un courrier esf Enseignants Sans Fronti res route de Sauvabelin 7 1052 Le Mont sur Lausanne Les membres suivants du comit se tiennent galement vo tre disposition Pascal Joris zour netplus ch 079 279 38 53 pour le Valais Marie Vial marievial freesurf ch 076 460 90 75 D autres informations sur internet ou lors d une pr sentation Un pe
109. r se d velopper les activit s des hautes coles p dagogiques HEP dont plusieurs atteignent actuellement leur vitesse de croisi re Dans leurs missions cf leurs sites Internet elles ont notamment pour objectifs d allier dans leur formation th orie et pratique ainsi que de conduire des travaux de recherche appliqu e et de d veloppement dans le do maine de l enseignement En son temps Piaget cf Psychologie et p dagogie d plorait le fait que les enseignants ne contribuaient gu re l avancement scientifique de leurs disciplines La recherche men e ac tuellement par les HEP pourrait tre une r ponse cette critique de par leurs contacts troits avec le terrain dans la formation initiale et conti nue les chercheurs qui y travaillent ont la possibilit de mieux cerner les besoins des praticiens et de les associer la recherche en didac tique Je souhaite d ailleurs qu on fasse un pas de plus et que les en seignants soient plus souvent les commanditaires de ces recherches 32 Mais pour que th orie et pratique soient troitement associ es dans l enseignement et dans la recher che appliqu e des contacts per manents avec l universit s av rent n cessaires selon ma propre exp rience au CO genevois mais aussi celle de chercheurs la HEP Vs La r flexion th orique et la recherche fondamentale permettent un meil leur clairage des probl mes pos s par la pratique C est ainsi que des
110. ravers une analyse de contenu des ma nuels d histoire valaisans et quel ques documents didactiques utili s s par les enseignants tudier quelle s dimension s de la na tion construit uisent l image de la Suisse Il explore par ailleurs l impact du mythe de Guillaume Tell et la mani re de relater l his toire histoire r cit ou histoire probl me sur cette m me image Cette recherche a privil gi la p riode m di vale 1291 1515 http doc rero ch Im php url 1000 41 12 20090514085252 XE Thomas_Caillet pdf Roseline Richoz Les l ves ordinaires d une classe d int gration d veloppent ils une vision plus fine et une meil leure acceptation de la diff rence du fait de c toyer des en fants diff rents au quotidien Pour r pondre ces interroga tions des entretiens et des tests sociom triques ont t r alis s par l auteure qui a compar des l ves d une classe d int gration ceux d une classe qui n avaient jamais c toy d l ves handica p s http doc rero ch Im php url 1000 41 19 20090406140946 KJ Richoz Roseline pdf 25 19 comp tences pour orienter la formation des enseignants SFT URD D aucuns trouveront que c est trop peu que cela ne suffit pas accom pagner un e enseignant e vers une activit professionnelle de qualit optimale Certains formateurs trices sp cialistes d un domaine argumenteront par exemple qu il ne leur est p
111. ri es trois flashes et un zoom Sabine Debons la HEP Vs en place est ce trop difficile va luer Tr s vite elle a opt pour une recherche action et ce n est donc pas un hasard si elle conseille a ceux qui voudraient lire son m moire de commencer par les annexes Qu est ce qui vous a le plus mo tiv e dans la r daction du m moire C est surtout le travail avant l cri ture qui m a enthousiasm e sa voir mettre en place une s quence d histoire et la tester J avais le plai sir d aller en classe ce qui compensait les moments plus p nibles de mise en mots Diriez vous que cela a t un travail forma teur Sans cette obligation de l institution je ne me serais jamais lanc e dans une telle aven ture Je pense que cela permet surtout d avoir un il plus attentif au niveau des lectures professionnelles Parmi vos conclusions quelle est celle qui pr domine Ce qui m a le plus frapp e c est de voir combien les enfants enfin ceux que j ai rencontr s dans le ca dre de la pr paration de mon m moire n taient pas habitu s comparer le pr sent avec le pass Entre le pr test et le post test c est cet aspect qui a le plus volu Avec le recul quel est le princi pal apport de votre travail Je me sens plus l aise avec les concepts int grateurs et je trouve tr s vite une accroche pour que les l ves se prennent au jeu Cela m a R sonances Octobre
112. rps bien fait et une t te bien bien pleine Et si leurs dos se tordent sous le poids de leurs serviettes leurs cerveaux eux ont trouv la parade pour ne pas ployer sous le poids du savoir ils oublient Ils oublient ce qui est inutile inint ressant inefficace inadapt insens mais aussi ce qui ne l est pas Ils oublient parce que trop c est trop parce que l ann e prochaine ils retravailleront les m mes r gles parce que d s l examen pass ils ne reverront jamais les exceptions qu ils ont apprises A notre poque les technologies permettent d crire pratiquement sans faute les ordinateurs calculent en un rien de temps est il alors vraiment n cessaire de tout apprendre avant d tre sec derri re les oreilles En ces temps o l on pense harmonisation et refonte des programmes ne serait il pas aussi utile de s interroger sur la qualit de nos transmissions leurs b n fices dans la vie future et l panouissement de tous les l ves Les milieux conomiques et politiques veulent des g nies se lamentant sans cesse de ne pas trouver la perle rare qui sait tout et poss de en plus une solide exp rience avant la fin sa formation Pourtant le monde tourne volue sans cesse des avanc es extraordinaires arrivent tous les jours sur le march les poches des entrepreneurs sont bien garnies L cole s est mise leur service mais n aurait elle pas oubli que nos coliers ne sont pas des poulets lever en ba
113. ruchoud Nicolas R chy Perruchoud Martine Chippis Rey St phane Sion Saillen Pierre Chessel Sierro Sonia V troz Tyrlik Laure Veyras Vannay Miro Marie Th r se Vionnaz 23 UDTIGU pu c t de la HEP y e m moire de fin d tudes Pour obtenir le titre de Bachelor la HEP VSs les futurs enseignants des degr s l mentaire et moyen doi vent r diger un m moire de fin d tudes La soutenance de celui ci constitue l un des trois volets de leur examen final avec l examen sur le terrain et la pr sentation critique du portfolio Le m moire repr sente un temps de formation d une certaine ampleur puisqu il donne lieu huit cr dits ECTS environ 240 heures de travail Il permet de choisir et d approfondir une th matique en lien avec la pra tique professionnelle puis de la trai ter l aide des outils de recherche Il fournit une occasion de r flexion personnelle qui s appuie sur un tra vail d criture de longue haleine et de lectures crois es ainsi que sur une d marche de recueil de don n es analyser et interpr ter R ali ser un m moire repr sente une op portunit de confronter des aspects th oriques des aspects pratiques de l enseignement ce qui aide une appropriation personnelle des questions p dagogiques ou didac tiques et contribue l acquisition de comp tences professionnelles De plus le m moire impose de se con fronte
114. s sp cifique pour les besoins de la cause Et c t de ce zoom avant en quelque sorte on prendra du champ d au tres moments en laissant de c t de multiples savoirs secondaires Secondaires pas forc ment en soi mais par rapport des besoins et des priorit s Mais cela no tre enseignement a du mal l accepter et on voit par exemple des enseignants de fran ais faire apprendre le vocabulaire de la chevalerie ou la conjugaison du verbe moudre alors que le lexique abstrait par exemple ce qu on appelle la langue de l cole est n glig Il convient de ne pas nous enfermer dans une dichotomie trop simpliste quantitatif qualitatif Travailler par comp tences permet de faire le tri dans un univers satur de savoirs de toutes sortes L re in ternet l impose plus que jamais Et l usage des outils de s lection devient vraiment une comp tence de base Avec une interrogation n cessaire sur la validit de la source et une m thode pour d terminer le degr de fiabilit des informations recueillies Aller l essentiel se concentrer sur les savoirs vraiment utiles fait crain dre qu on appauvrisse les contenus scolaires Et il est vrai que la tentation peut exister dans une conception effectivement r ductrice du socle commun II faut ici reprendre la tr s int ressante distinction qu op re Claude Leli vre entre savoirs rudimentaires e
115. scienceshumaines com N 6 mars Les personnes ressources de l Ecole valaisanne 1 2 Swisstales ON N 7 avril Les personnes ressources de l Ecole Le site Ut Ge des contes a 8 mai L humour l cole et arts de N 9 juin Entraide entre pairs la parole N 1 septembre Infos 2010 2011 Sur Swisstales on trouve quantit d infos S m en rapport avec le conte et les arts de la parole dont un historigue du conte en Suisse La plateforme ouvre o de plus vers de nombreux liens suisses et trangers N Rien que pour cette mise en r seau cette adresse est incontournable www swisstales ch 48 R sonances Octobre 2010 SCHOECHLI IMPRESSION amp COMMUNICATION SA Vous d sirez un travail cr atif professionnel soign Nous mettons votre disposition une technologie de pointe alli e une quipe dynamique Technop le 3960 Sierre T l 027 452 25 25 Donnons aux enfants malades la chance d tre des enfants avant d tre des malades Notre fondation r alise les v ux d enfants malades www makeawish ch MAKE AWISH Schweiz Suisse Svizzera Organiser ma vie e lire des messages y r pondre e noter des rendez vous e trouver des renseignements A N h sitez pas Contactez nous
116. sitivement Afin d viter toute stigmatisation le pla cement n est pas mentionn dans le carnet scolaire R sonances Octobre 2010 Comment se fait le signalement Danny D fago Sur appel de la di rection je vais sur place pour va luer la situation voir le type de me sures prendre Le placement n in tervient que lorsque toutes les autres solutions ont t puis es Et depuis cette ann e les enseignants ressources pourront pauler les en seignants de fa on pouvoir trou ver ensemble les solutions les mieux adapt es au contexte de la classe L une des difficult s pour l en seignant n est ce pas de devoir absolument en r f rer sa di rection et pour celle ci de devoir prendre contact avec l inspec teur Danny D fago J ai le sentiment qu en effet ce n est pas toujours fa cile pour un enseignant de ne pas pouvoir nous appeler directement D un autre c t cela vite la banali sation de notre intervention Jean Fran ois Favre C est somme toute assez logique de devoir en in former la direction puisque cela si gnifie que toutes les ressources in ternes l tablissement ont d j t activ es C est un rempart contre les demandes excessives Il faut viter que chacun consid re de petits pro bl mes de comportement comme ing rables Les l ves plac s en classe relais ont ils seulement des probl mes de comportement ou ont ils a
117. t Le jardin de l orthographe A souligner la qualit de la sc nographie et du d cor Intarissables au sujet des mots et de la langue Agn s Jobin et Fran oise Von lanthen avouent tre de grandes lectrices Elles zigzaguent aussi fr quem ment sur internet afin de se documenter Comme la langue fran aise nous passionne nous avons voulu partager et changer souligne Fran oise Von lanthen qui est par ailleurs enseignante dans un lyc e Bienne et a t ac tive tout comme Agn s Jobin dans le cadre de l Association Lire et crire Les membres fondateurs des Semaines de la lecture ne voulaient plus lutter contre l illettrisme mais pour augmenter la litt ratie tout en sortant les mots du contexte scolaire afin de les rendre plus attractifs lorsqu ils rencon trent des l ves ou des tudiants Si le fond de l exposition est s rieux mais surtout pas jargonnant insiste Agn s Jobin la forme est interactive et joyeuse Et si cette exposition est pr vue pour les jeunes de 11 15 ans un coin pour les plus petits est pr vu avec des coffres remplis d albums que les plus grands et m me les ados red couvrent ou revisitent avec nostalgie Le choix d Agn s Jobin se porte sur Les mots oiseaux sign s Marie Treps et Gwen Ke raval et Fran oise Vonlanthen opte pour Des mots plein les poches de Co lette Jacob et Nathalie Fortier Apr s la lecture l orthographe les mots l quipe des Semaines de l
118. t sa voirs l mentaires 3 C est parce qu on quitte la sph re du seul enseignement et qu on part de l l ve r el et de ce qu il peut savoir ann e apr s ann e qu on peut aborder les choses de mani re plus concr te quels sont les l ments qui vont permettre d apprendre de conti nuer apprendre et y compris apr s l cole En aucun cas il ne s agit de revenir une cole d un simple lire crire compter qui n a nullement t celle du ministre Jules Ferry qui d clarait en 18814 Tous ces accessoires auxquels nous attachons tant de prix que nous grou pons autour de l enseignement fondamental et tradi tionnel du lire crire compter les le ons de choses l enseignement du dessin les notions d histoire natu relle les mus es scolaires la gymnastique les prome nades scolaires le travail manuel de l atelier plac c t de l cole le chant la musique chorale Pourquoi tous ces accessoires Parce qu ils sont nos yeux la chose principale Justement le d bat autour des savoirs et comp tences de base est un vrai d bat de soci t qui conduit d une part un tri entre les savoirs et d autre part s ap puyer sur les recherches en mati re de r ception des connaissances attention memoire Pour s y retrouver et sans doute d passer l opposition facile entre quantit et qualit il convient de partir du point d arriv e quel citoyen du XXI si cle veut on former quell
119. t tre plus heureux ne devraient pas essayer de faire plaisir tout le monde De plus ils devraient tre plus cout s par leurs gestionnaires lors de discussions sur les objectifs atteindre Cette tude men e aupr s de 197 enseignants met en vidence que les objectifs de rendement devraient tre fix s par les enseignants eux m mes plut t que d tre impos s par des coll gues ou des cadres sup rieurs En fait les enseignants qui estiment qu on leur demande plus que ce qu ils sont capables de faire ont un niveau de stress plus lev s que leurs homologues De plus ces enseignants sont plus nombreux souffrir de probl mes L cole en Allemagne L enseignement temps plein est de plus en plus pris en Al lemagne qui ne faisait traditionnellement cours que le ma tin Un mod le pl biscit par les m res c libataires et les fa milles d favoris es En Allemagne l cole rel ve de la com p tence des L nder Programmes cursus nombre d ann es pour aller au bac 12 ou 13 ans selon les L nder nombre d heures de cours par jour tout d pend du Land o on ha bite Le mod le traditionnel de l cole mi temps le matin seulement reste dominant dans le pays C est contrec ur que politiciens et opinion publique ont entrepris de revoir le mod le scolaire mi temps Le choc de l tude Pisa est lar gement responsable de cette remise en question LAlle magne jusqu alors convaincue de poss der l u
120. t s scolaires et politiques valaisannes qui par la HEP Vs s engagent pour une cole valaisanne typique et forte Le chef du D partement M Claude Roch rappela l volution des effectifs avec les forts besoins qui se dessinent en particulier dans la par tie germanique du canton ce qui conforte entre autres l effort lin guistique de la HEP Vs II mentionna l volution r jouissante des effectifs du primaire sur le site de Brig avec 20 d augmentation Le St Mau riard Marc Lavanchy s exprima pour les tudiants en soulignant la qua lit des travaux effectu s sur le b ti ment principal de St Maurice m me si incendie et inondation ont caus beaucoup de soucis au directeur Pa trice Clivaz durant l ann e coul e Quant la conseill re nationale et pr sidente de Brig Glis Viola Am herd elle s est r jouie du d velop pement de la HEP Vs et a appel les Haut Valaisans faire un usage in tensif de leur cole Dipl me enseignement aux degr s pr scolaire et primaire Valais romand Barby Carole Saillon Barmaz No lie Sion Du c t de la HEP y Berthouzoz Nadia Saint S verin Boisset Daniel Martigny Bonvin Yasmine Flanthey Bourgeois Celine Bovernier B tikofer Mathilde Yvorne VD Carchedi Simona Ollon VD Carron Sophie Fully Cheseaux Lydia Saillon Christinat Marie Venth ne Constantin Isabelle Erde Debons Reynard Sabine Savi se D lez Caroline Bramois Dumusc Ma va
121. t du mat riel scolaire les nouvelles fiches d EPS Ces documents regroup s dans trois dossiers sont en lien avec les manuels officiels le dossier 4 6 ans avec le manuel N 2 L cole enfantine et les deux autres dos siers 6 8 ans et 8 10 ans en lien avec le manuel 1P 4P Suite la demande des grands de gr s le groupe des animateurs HEP s est mis la t che et r alise actuel lement les fiches 10 12 ans Ce travail de longue haleine a d j port ses fruits puisque le premier jet des fiches pour la p riode sep tembre octobre est en cours de fi nalisation Pour r aliser ce projet des tapes importantes ont t franchies r cemment La CIIP d j ma tre d uvre de la premi re s rie de fiches en collaboration avec le SEPS Ser vice vaudois de l EP a donn son accord pour la nouvelle pu blication Nous rappelons que ces fiches ont t reconnues Moyens officiels d enseigne ment romand La r alisatrice Mme Claudine Borlat responsable des premiers dossiers va poursuivre son tra vail de r daction de graphisme et de coordination En raccourci ECAV Cours du soir 2010 2011 gducatio physigue Adapte ton rythme de course la configuration du terrain Parvient i maintenir un nme de respiration normal quete que soit la variation du parcours monide descente faux plat ascendant Battez
122. tape les r les s inversent celui qui tait rest part et le jeune voyageur re oit dans sa famille son partenaire L change linguistique individuel implique les jeunes et leurs familles mais apporte beaucoup E Apr s cela les souvenirs bons et ou mauvais car il y a parfois aussi des d ceptions par rapport l change linguistique id alis s installent Une fois rentr s la maison la plu part des jeunes ayant v cu un change linguistique individuel di R sonances Octobre 2010 arr ts sur tapes Rencontre le 31 mars au BEL entre Corinne Barras responsable du BEL 4 depuis la gauche et les jeunes participant l change Sion GroBkrotzenburg en 2010 sent avoir appr ci en premier lieu l exp rience sur le plan humain puis au niveau culturel et enfin linguis tique Pour Corinne Barras responsable du Bureau valaisan des Echanges Lin guistiques cet ordre correspond tout fait aux attentes avoir en vers les changes de courte dur e la part linguistique ne pouvant tre pr pond rante que lors d chan ges de moyenne longue dur e Par contre tout comme les l ves et tudiants qui ont exp riment l change linguistique dans le Haut Valais en Suisse allemande en Alle magne en Espagne ou en Italie elle met en avant le r le essentiel jou par une immersion dans le fait de simplement oser s exprimer dans la langue trang re apprise
123. ticien r flexif form la re cherche appliqu e serait enfin reconnu comme un expert dans ses domaines d activit O le temps scolaire serait consacr prin cipalement l apprentissage des connaissances et des comp tences figurant au plan d tudes O les contr les seraient int gr s dans l enseignement m me o l obser vation continue des performances r ussites erreurs ou difficult s des l ves se ferait lors des interactions avec la classe ou lors des exercices propos s permettant l ensei gnant d apporter les r gulations in dispensables sans que l attribution de notes soit n cessaire O enfin la s lection scolaire interviendrait le plus tard possible de pr f rence la fin de la scolarit obligatoire Rubrique Regards sur l cole Cette nouvelle rubrique initi e dans l dition de septembre vise offrir des points de vue distanci s sur l cole valaisanne contemporaine C est en quelque sorte une carte blanche sp ciale VIP que nous ouvrons aux profes sionnels de l cole en retraite qui ont une longue exp rience du terrain ou qui sont totalement externes au monde scolaire pour qu ils apportent la ri chesse de leurs regards qu ils soient critiques admiratifs impertinents ou d cal s aux lecteurs de R sonances Hormis une consigne sur le nombre de ca ract res ne pas d passer aucune autre indication r dactionnelle n est don n e A chaque invit e de choisir so
124. tiel mais aussi les l ves issus de familles migrantes Le but de cet int ressant ouvrage est que le d fi de taille que repr sente l apprentissage soit atteint par tous vraiment tous En raccourci La jeunesse d bat Inscriptions pour la finale 2011 La jeunesse d bat a pour objectif d encourager un maximum de jeunes des degr s secondaire et Il apprendre d battre en classe ou lors d ateliers de pr paration La m thodologie de d bat propos e pr pare les jeunes leur r le de futur e s citoyen ne s Elle vise le d veloppement de comp tences personnelles cognitives et sociales par la pratique de l exercice complet du d bat En outre elle aiguise leur esprit critique Le Championnat de La jeunesse d bat est constitu d preuves liminatoires et de la Finale suisse Il permet aux jeunes de faire preuve en public des comp tences qu ils ont acquises en classe ou lors des ateliers Les tablissements scolaires organisations de jeunesse ou entreprises sont invit s organiser une preuve liminatoire avec le soutien de l quipe du projet Le d lai d inscription est le 31 12 2010 Les places sont limit es En cas d int r t contactez la responsable romande Lucie Schaeren schaeren lajeunessedebat ch Plus d information sur www lajeunessedebat ch R sonances Octobre 2010 MEDIATHEQUE MEDIATHEK valais wallis Les livres pr sent s dans cette rubrique sont disponi bles la M diath que Val
125. tif qualitatif Ce qui est vraiment important c est toujours ce qui est ap pris non ce qui est vu mais ce qui est su non ce qui est enseign mais ce que l l ve s approprie Et d s lors le mode d enregistrement de connaissances nouvelles les entrainements o l l ve est vraiment mis en activit les dispositifs de travail n cessaire pour installer des connaissances nouvelles dans la dur e de la m moire long terme tout cela devient d cisif Allons plus loin si on veut vraiment que les l ves retiennent de multiples CE SOIR POUR VOS DEVOIRS PENSEZ VOUS APPROPRIER LA MATI RE ENTRER EN INTERACTION AVES VOS EXERGLES SOYEZ EXIGEANTS AVEC VOUS SNET AWARE VISEZ LE CENTRE OBTENEZ LE MEILLEUR MSIEUR o PEUT Y ALLER Z CA COHMENCE A TRE LOURO R sonances Octobre 2010 savoirs il faut justement travailler la qualit de la transmission celle ci impliquant l interaction les re formulations personnelles les int riorisations men tales autant de ph nom nes incontournables qui for c ment prennent du temps mais permettent d viter la course la fin des programmes comme seul objectif L approche par comp tences dans le cadre fran ais du socle commun va dans ce sens Quoi de plus absurde que les diatribes dans certains milieux se r clamant pourtant du progr s social et de la d mocratie contre un savoir minimum ou
126. tique fond par Saussure taient des simula cres magiques quasiment qui valents leurs r f rents d o leur pouvoir la fois craint et r v r La modernit semble avoir jet aux oubliettes cette aura mystique des mots pour s en te nir leurs dimensions s man tique motionnelle et pragma tique Pourtant un certain pou voir incantatoire semble avoir surv cu non seulement dans la litt rature mais galement dans l usage courant et le discours pu blic R sonances Octobre 2010 son capital linguistique ou vocabu laire passif ainsi que deux roues de la fortune servant d montrer qu une connaissance accrue de mots peut aider vivre puisque ne pas avoir les mots ajoute parfois la confusion int rieure Ensuite arr t au guichet de l emprunt et du pr t avec les mots voyageurs On y ap prend notamment que le fran ais fait tr s chic et c est du reste ce mot pr cis ment qui est le plus em prunt tandis que nous d consid rons souvent les mots qui passent nos fronti res Agn s Jobin souligne que nombre d exemples de l exposi tion sont inspir s de linguistes dont Marie Treps auteure des Mots mi grateurs Au guichet du change les mots varient au sein de la fran cophonie L exposition c est aussi une invite la lecture compl t e par des ouvrages de la collection de la M diath ques Valais en lien avec la s lection 2011 du Prix du roman des Romands
127. tit tour sur www Enseignants SansFrontieres org permet de d couvrir encore d autres facettes de notre association Enfin nous sommes votre disposi tion pour pr senter esf et notre diaporama lors d une de vos r u nions cantonales ou locales Le comit d esf Enseignants Sans Fronti res R sonances Octobre 2010 Carte blanche votre rubrigue Vous pouvez collaborer R sonances de diverses mani res Pour rappel la rubrique carte blanche attend vos textes et ou ceux de vos l ves et ou ceux des tudiants de la HEP Vs Vous tes galement invit e faire part de vos suggestions de tous ordres N h sitez pas clapoter pour envoyer un message la r daction indiquer une adresse internet ou un projet que vous aimeriez faire par tager Et si vous n tes pas adepte du courriel resonances admin vs ch vous pouvez aussi t l phoner au 027 606 41 59 ou au 079 429 07 01 PUB En raison du prochain d part en retraite de la titulaire la Ville de Sierre met au concours le poste suivant Un e directeur trice des coles Missions principales e Assurer la gestion p dagogique et administrative des coles obligatoires situ es sur la commune env 2000 l ves et 200 enseignants Assurer l interface entre le milieu scolaire et l administration communale tout en collaborant troitement avec l autorit cantonale Conduire une quipe de direction qui collabore au pilota
128. tterie et gaver de savoir Un souffle de modestie permettrait aux enfants en difficult s de mieux respirer un rien de mod ration all gerait les agendas de ministre de nos bambins sans pr t riter la qualit de l enseignement Avec sagesse et efficacit les bases pourraient tre acquises l essentiel grav d finitivement dans chaque m moire et la confiance en soi assez solide pour permettre des apprentissages quotidiens et fort efficients tout au long de la vie Un zeste d humilit en plus et cole rimerait avec regal eI 4 N ma VO m m qi re Qualit ou quantit D Constantin apos 4 10 ICT 1 1 News ICT S Rappaz Education musicale 1 2 De la musique alit e la musicalit B Oberholzer et J M Delasoie BEL 1 3 Echanges linguistiques arr ts sur tapes N Revaz M mento p dagogique 1 5 A vos agendas R sonances AC amp M et AV 1 6 Mon projet ART cl s en main S Coppey Grange Environnement 1 8 Tr sors d automne N Magnin CPVAL 20 Que se passe t il en cas de sortie de la caisse P Vernier Du c t de la HEP Vs 22 Remise des dipl mes 2010 HEP Vs Du c t de la HEP Vs 24 Le m moire de fin d tudes N Jacquemet N Revaz Le chiffre du mois 26 13 comp tences pour orienter la formation des enseignants SFT URD Conf rence 27 Haut
129. u d veloppement durable la citoyennet la sant et surtout apprendre le savoir tre iN et la confiance en soi N L ducation actuelle telle qu elle est propos e ne permet pas de former des citoyens panouis et responsables mais plut t de bons ex cutants au service d un syst me qui reproduit le syst me L cole privil gie encore les savoirs et les savoirs faire mettant de c t ce savoir tre pourtant si important constate Caroline Sost Nouvel Obs com 5 09 Ecoliers fran ais Faites des erreurs c est ce qui fait avancer L erreur a mauvaise presse En classe elle fait craindre la sale note Au bureau le reproche En public elle met son auteur mal l aise Celui qui se trompe est plus souvent d vor par le remords d avoir parl que f licit d avoir au moins tent Et pourtant l erreur c est positif scande Ma lle Lenoir directrice de Paris Montagne L association qui rassemble chercheurs et tudiants des prestigieuses institutions de la montagne Sainte Genevi ve Paris a organis cet t le festival de sciences D trompez vous pour r habiliter ou plut t d dramatiser l erreur L erreur a la m me racine latine que l errance Errer c est sortir des sentiers battus prendre le risque de s garer pour mieux trouver C est la cl de la cr ativit analyse Ma lle Lenoir Organis autour d une dizaine d ateliers le
130. une s lection rigoureuse A N 7 avril Cr ativit amp Logique 1 2 des sites de qualit et N 8 mai Cr ativit amp Logique 2 2 livre des trucs et conseils sur l utilisation des N 9 juin L cole en route vers l EDD technologies en contexte scolaire A noter qu il est possible de s inscrire gratuitement pour consulter les N 1 septembre Infos 2008 2009 liens de l dition pr c dente en ligne N 2 octobre Les volutions de l cole http www ecolebranchee com le magazine 8 N 3 novembre Informatique math matiques a N 4 d cembre Les outils de l valuation Sciences humaines fevrier La gestion des l ves difficiles A quoi pensent les enfants o mars Experimenter le savoir A N 7avril Le temps de l cole La livraison d octobre de Sciences humaines fait le N 8 mai A l cole de l interculturalit point sur ce que l on sait de la pens e des enfants N 9 juin Briser les id es re ues sur l cole Non seulement les enfants sont plus intelligents et plus actifs qu on l a longtemps pens mais ils sont N 1 septembre Infos 2009 2010 plus adultes qu on l a suppos Hors dossier un N 2 octobre Droits de l enfant Citoyennet article aborde la question des performances et des N 3 novembre Structuration de la langue de la pens e in galit s scolaires via une recherche r cente men e N 4 d cembre La verticalit 1 2 par Marie Duru Bellat sociologue fran aise S N 5 f vrier La verticalit 2 2 www
131. ur Respirer calmement et prendre des informations sur la position de la balle Cr er une su e de mouvements pr senter au reste de la classe dem en groupe avec plusieurs Varor les sortes de balon baudrucne plage Travaller lo c t gaucho comme la inventer Sfl rentes trajectoires pour G place la Dale sur son Co pa R aliser les dfl ronts exercices ou une suite d exercices en quillbre sur un pied sur un banc genoux couch sur lo dos Augmenter progressivement la complexit nombre de changement de ballon d ficut d quibre Exemples Fiche Brochure 3 38 Sauter haut Fiche Brochure 5 48 Tour d adresse avec ballon Tests Ces documents non officiels en core doivent tre test s corrig s et valid s Si vous le souhaitez nous vous transmettrons bien volontiers une ou plusieurs fiches essayer avec votre classe Vous pourrez ainsi nous donner des retours pr cis sur leur utilisation leur pertinence ou leur degr de difficult Nous remercions d j tous ceux qui voudront bien nous aider dans no tre t che et vous souhaitons une pratique riche et vari e de l EP gr ce ces nouvelles aides didac tiques Le groupe d animation R sonances Octobre 2010 y Valter Schnyder l histoire du Service cantonal de la jeunesse Monsieur Walter Schnyder aura di rig le Service cantonal de la jeu nesse pendant pr s de trente ans Un ser
132. urvie des victimes d arr t cardiaque tr s faibles aujourd hui fran ais offerte par LibrairePantoute com en collaboration avec l Association des cadres scolaires du Qu bec Le site renvoie aussi des diteurs europ ens www pedagolivres com Help Apprendre a sauver des vies Tout jeune d j on doit apprendre sauver des vies Le nouveau kit d autoformation MiniAnne permet d acqu rir les n cessaires connaissances de base simplement et rapidement Apr s le succ s de la manifestation pilote nationale 100 jeunes en pr sence du conseiller f d ral R sonances Octobre 2010 www swissheart ch La souris curieuse des TICE Un blog original Derri re la souris curieuse se cache un professeur de technologie qui a toujours t passionn e par le partage des savoirs Dans son blog Sylvie Rambour partage ses exp riences et ses d couvertes http lewebpedagogigue com souris blog tice la souris 17 Fricot d automne La rentr e est loin Les petites t tes blondes font d sormais partie de notre quotidien M me si nous sommes encore loin de ma triser parfaitement la gestion du groupe classe il serait fort dommage de ne pas profiter des tr sors que nous offre Dame Nature ces prochaines semaines Les l ves au cours de ces derniers jours ont certainement apport en classe des cailloux des feuilles des fleurs des escargots ou autre mer veille trouv e sur le chemin qui con
133. ussi de tr s faibles r sultats scolaires Michel D litroz responsable de l Office de l enseignement sp cialis Les troubles de comportements l cole p jorent l enseignement et peuvent perturber gravement le travail de l enseignant dans sa classe Chacun peut tre fragilis aussi il n y a pas de jugement de valeur avoir Face aux l ves au comportement inappropri on se renvoie trop souvent la balle entre l cole et les parents L enseignant doit essayer de trou ver des solutions avec l aide des parents si n cessaire et s il ne parvient pas g rer la situa tion la direction doit user de son autorit Il est important d viter de deres ponsabiliser les enseignants et les directions scolaires et de les aider dans la mise en place de mesures de pr vention et d intervention C est l cole de d velopper des ressources l interne par exemple en lien avec le climat de classe ou la solidarit entre coll gues pour g rer ces probl mes de comporte ment et ce n est que lorsque les situations graves n ont pas pu tre r solues V interne de l tablissement que l unit cantonale doit tre appel e D sor mais les coles savent qui s adresser lorsqu elles sont d munies C est en suite l unit cantonale d identifier l instance qui doit prendre en charge la probl matique de fa on assurer un meilleur suivi que jusqu pr sent Le Canton du Valais avec cette structure notamment
134. vec des variables de nature contextuelle A partir de l venir en aide un en fant c est accepter d analyser sa propre participation la probl ma tique ou en d autres termes accep ter de faire partie du pro bl me quand on fait par tie de la solution Dans cette approche le porteur du sympt me n est pas le probl me mais appara t plut t comme le r v la teur de dysfonctionne ments du syst me dans un contexte d termin C est l un des apports importants de l cole de Milan dont Mara Sel vini est une figure mar quante Un peu plus tard nous avons galement eu la chance de profiter de l apport du c l bre psychiatre Gottlieb Guntern origi naire de la vall e de Conches qui son retour des Etats Unis apr s avoir collabore avec les plus grands theoriciens et praticiens de l ap proche syst mique nous a permis de nous familiariser avec ce nouvel outil Le contact avec ces deux personna lit s de renomm e internationale a modifi en profondeur nos pra tiques th rapeutiques en faveur des enfants et des adolescents 37 C est aussi vers 1985 que les coles primaires de Martigny ont ouvert leurs portes aux enfants handica p s la faveur du financement par l Al d enseignants sp cialis s et de divers th rapeutes psychologues logopedistes psychomotriciens ve nus seconder les titulaires de classe Un certain nombre d tudes ont pu d montrer les apports de la poli tique int
135. vice et des unit s qui ont chang d appellation plusieurs reprises et qui ont t rattach s diff rents d partements Finances Sant Affaires sociales et aujour d hui Education culture et sport Comme se pla t le rappeler M Walter Schnyder son parcours a d but au Service m dico p dago gique alors que celui ci d pendait du D partement des finances et qu il tait une unit de l H pital psychiatrique de Mal voz Mon they Progressivement d aventure en aventure les diff rentes unit s de l actuel Service can tonal de la jeunesse se sont d velopp es Un domaine qui lui a tenu et qui lui tient en core tout particuli re ment c ur est celui de la m diation scolaire qui a f t cette ann e ses 25 ans d existence Le con cept de la m diation a d marr au niveau canto nal avec un groupe de tra vail compos de M Jean Pierre Rausis ancien chef du Service administratif du D partement de l ins truction publique l actuel DECS de M Jean Zermatten alors juge des mineurs de M Jean Daniel Barman directeur de la Ligue valai sanne contre les toxicomanies LVT de M Anselme Pannatier du Dr Jo sef Guntern et de M L vy Dubuis anciens chefs de service du Dr Mi chel Vouilloz alors m decin canto nal et de M Walter Schnyder qui deviendra par la suite le pr sident de la commission cantonale R sonances Octobre 2010 Walter Schnyd Walter Schnyder guels sont
136. x particuli rement en ce qui concerne la chanson En registrements accompagnements musicaux textes partitions sont disposition et cela pour un r per toire d une tr s grande vari t R flexion La F te cantonale 2010 qui a r uni 4000 l ves Fully essentiellement des classes primaires prouve que dynamiser sa classe par le chant est possible avec des r pertoires int ressants et bien adapt s Cepen dant beaucoup de choses restent faire La verticalit des apprentissages dans le domaine musical entre les gducation musicale la musicalit diverses ann es de la scolarit obli gatoire reste al atoire Bien trop peu de personnes se r f rent encore au plan d tu des et aux moyens officiels Pour les grands degr s y compris le CO la course aux nouveaut s aux derniers tubes pas toujours chan tables pr t rite souvent une bonne formation mu sicale Une analyse des contenus des cours de musique doit rester une priorit Dans ce sens le PER et ses 4 domaines expression perception technique et culture ap portera un bon recentrage Et une claire distinction entre savoirs sa vants et savoirs enseign s demeure essentielle Souhait De mani re g n rale il serait sou haitable de d velopper une philosophie musicale propre merveiller les l ves par une approche p dagogique conti nuellement renouvel e une culture vivante qui lie les in dividus
137. yst me du catif moderne les objectifs d crivent ce que chaque l ve est cens avoir appris l issue d une ann e sco laire ou d un cycle pluriannuel Ce devrait tre le contrat majeur de l enseignant celui sur lequel on peut lui demander des comptes Le programme est cens lui proposer un chemin standard mais ne de vrait pas le dissuader de diversifier les cheminements pour atteindre les m mes objectifs condition bien entendu qu il ma trise cette individualisation des par cours et ne prenne pas de risques inconsid r s notam ment celui d accro tre les carts Les jeunes enseignants seront tent s de tout faire pour bien faire donc de privil gier la quantit Quant la dissociation du programme et des moyens d enseignement elle est fondamentale En principe les moyens d enseignement sont des aides des offres qui ne sont pas contraignantes Le contrat de l enseignant est d atteindre les objectifs pas de faire remplir toutes les fiches de math matiques ou de ne laisser de c t aucun exercice du livre Mais pour les enseignants les plus anxieux ou les moins qualifi s les moyens d ensei gnement propos s deviennent le programme de r f rence Ils peuvent tre tent s de les utiliser exhaustive ment m me quand les apprentissages sont d j r ali ses Il importe donc que la formation des enseignants les autorise s loigner du programme et des moyens d enseignement si

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