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TABLE DES MATIERES A. PREFACE A.1.Introduction au

1. L 5 3 L utilisation de l arm e ou des Escortes Arm es pour les Convois Humanitaires En r gle g n rale les convois humanitaires ne doivent pas utiliser d escortes arm es ou militaires Exceptions Crit res Les exceptions la r gle g n rale sont envisag es en dernier recours et seulement quand tous les crit res suivants ont t remplis e Souverainet Le pouvoir souverain ou l autorit de contr le locale refuse ou n est pas capable de garantir un environnement s r sans utiliser d escortes militaires ou arm es e N cessit le niveau des besoins en aide humanitaire est si lev que l absence d aide humanitaire entra nerait des souffrances humaines inacceptables et cependant l aide ne peut tre fournie sans faire usage d escortes militaires ou arm es e S curit Des escortes militaires ou arm es peuvent tre fournies de mani re constituer une dissuasion cr dible n cessaire pour renforcer la s curit du personnel humanitaire et la capacit apporter l aide aux b n ficiaires auxquels elle est destin e sans compromettre la s curit des b n ficiaires et d autres populations locales e Durabilit L utilisation d une escorte militaire ou arm e ne compromettrait pas la capacit long terme de l organisation accomplir sa mission de mani re s re et efficace Exceptions proc dures A l int rieur du syst me des Nations Unies il appartient normalement au responsabl
2. viter les surprises Aucun participant une r union n aime se trouver dans l embarras parce qu il ne sait pas quelque chose qu il devrait savoir ou que d autres savent L quipe UNDAC doit donc rencontrer et informer les intervenants en dehors des r unions officielles pour les tenir au courant de la situation ou de son volution rapide des modifications des ressources ou de la venue de visiteurs importants D l guer C est un lieu commun mais il faut essayer de prendre en charge le moins de choses possible Pour qu un centre de coordination puisse fonctionner long terme il est pr f rable qu un nombre maximal de t ches soit pris en charge soit par les autres organisations soit par le personnel local du centre Si quelqu un d autre veut et peut faire un travail donn confiez le lui La plupart du temps il y a toujours plus faire que ce qui peut l tre En d l guant vous vous lib rez pour d autres t ches Remercier les gens pour leur contribution Rendre hommage la participation est un important moyen de susciter l action en faveur du processus de coordination Lorsque les organisations ont fait du bon travail chang leur programme ou fait des efforts particuliers pour faire passer les besoins des autres avant leurs propres besoins il faut les en remercier publiquement Le sentiment d tre valoris est l un des rares facteurs qui incitent accro tre encore la participation la co
3. D veloppement du programme de couverture vaccinale Probl me si la couverture est inf rieure 85 Pr valence du VIH Donn es actuelles sur la pr valence Tuberculose Existe t il une politique nationale de lutte contre la tuberculose Existe t il un programme de traitement de courte dur e sous surveillance directe Infections sexuellement transmissibles Existe t il des protocoles de traitement Sant g n sique L acc s des services de ce type ou des informations dans ce domaine est il g n ralis Existe t il d autres maladies end miques Description Evaluation de l tat de sant mental des personnes affect es par la catastrophe Les syst mes de soutien sont ils toujours pr sents Par exemple les familles le r seau spirituel social les pouvoirs publics etc Les personnes touch es sont elles en mesure de reprendre des activit s normales Sont elles engag es activement dans d autres activit s Eau et assainissement Sources d information e Minist re de la Sant Minist re de l eau Cliniques locales Communaut s Observation Guide SPHERE Autorit locale charg e de la gestion de l eau Organisations humanitaires nationales et internationales Domaine Informations de r f rence Niveau de destruction des syst mes de distribution d eau et d vacuation Etat des installations des quipements d
4. 2 Interface militaire et civile nationale Les forces militaires ont elles un r le l gal ou constitutionnel en mati re de sauvetage et de reconstruction Quel rapport y a t il entre commandants et gouverneurs militaires r gionaux Qui fournit les centres de coordination ou d op rations nationaux locaux Les forces arm es sont elles les fournisseurs exclusifs de ressources cl telles que les h licopt res Quel rapport y a t il entre les forces militaires et la police Les forces militaires contr lent elles des unit s de d fense civile ou de protection civile Les minist res ou organismes civils cl sont ils dirig s par des militaires en activit ou retrait s Certaines parties du pays sont elles sous contr le militaire direct ou soumises la loi martiale Les forces arm es sont elles responsables des op rations de recherche et de sauvetage a riennes ou maritimes L arm e g re t elle des installations m dicales L arm e dispose t elle d quipes de recherche et de sauvetage ayant re u une formation sp ciale Un groupe ethnique particulier est il majoritaire au sein de l arm e Certains groupes sont ils oppos s l arm e la police ou ont ils peur de ces institutions Existe t il un rapport entre l arm e et certains prestataires de services civils L arm e a t elle un r le de renseignement au niveau national 3 Interface militaire nationale et civile internationale Les force
5. La vaccination contre la fi vre jaune est exig e par certains pays pour entrer sur leur territoire conform ment aux r glements sanitaires internationaux selon le point de d part et l itin raire du voyageur Certaines vaccinations sont recommand es T tanos Poliomy lite H patite A H patite B Typho de M ningite D 2 4 Liste de contr le du chef d quipe Le chef d quipe doit v rifier que les dispositions suivantes ont t prises correctement par la FCSS Point de regroupement Mandat Mat riel d information Articles sp cifiques pour l information de l quipe Attestations de voyage Contrats des membres de l quipe Visas Tous les membres en possession des certificats de l ONU Dossier de presse brochures et tracts du BCAH de la FCSS Habilitation de s curit ONU pour tous les membres de l quipe Passeport SOS et autres polices d assurance Indemnit s journali res de subsistance quipement de l quipe UNDAC et ou d ploiement du module d appui de l UNDAC Documents douaniers pour l quipement de l quipe UNDAC Assurance de l quipement transport Liste des points de contact adresses num ros de t l phone etc Si possible fonds de caisse pour l quipe UNDAC Ordinateur avec version actualis e du logiciel des missions de l UNDAC D 3 Donn es initiales sur la zone de la mission Avant le d part de l quipe UNDAC il est e
6. La zone est sillonn e de pistes de chameaux Les pistes relient g n ralement les sources d eau dont d pendent divers villages G n ralement les routes et les pistes suivent le relief du pays sauf lorsque des itin raires plus courts sont n cessaires pour se rendre aux sources d eau La plupart des pistes du d sert sont bien d finies lorsqu elles sont utilis es sinon elles sont rapidement effac es par les vents de sable Pour survivre il faut profiter le plus possible de toute ombre existante s assurer une protection contre le soleil r duire les d perditions d humidit et limiter les activit s aux heures les plus chaudes de la journ e Lorsqu il existe de grands carts de temp rature entre la nuit et la journ e la condensation qui se forme constitue une source d eau Lorsque la pluie survient des ann es peuvent passer sans qu il en tombe elle peut tre diluvienne et cr er des inondations clair avant d tre rapidement absorb e La poussi re ou les temp tes de sable 15 r duisent la visibilit Une protection est n cessaire pour emp cher le sable de p n trer dans chaque orifice Q 6 2 Eau L eau est vitale Si l on en dispose il faut la rationner imm diatement Si l on se trouve immobilis par une d faillance m canique pendant une travers e du d sert il est esp rer que l on aura planifi son itin raire en sachant o se trouvent les oasis les puits et les point
7. Sert allouer des fonds aux agences op rationnelles de l ONU pour r pondre des besoins humanitaires cruciaux sur la base de priorit s tablies sous la direction du CR CH sur le terrain chaque demandeur doit justifier le besoin de financement en prenant en compte d autres ressources disponibles Si l engagement d un donateur est attendu le m canisme de pr t doit tre utilis e M canisme de pr t 50 millions de dollars US disponibles Sert accorder des pr ts aux agences des Nations Unies pour des programmes d urgence dans l attente d un financement de donateur Les pr ts doivent tre rembours s dans les six mois Utilis essentiellement comme m canisme de tr sorerie permettant aux agences de l ONU de disposer de fonds rapidement en attendant le transfert des contributions des donateurs Une quipe UNDAC doit assister le Coordonnateur r sident Coordonnateur des op rations humanitaires CR CH dans sa t che de classer par ordre de priorit les besoins sur le terrain en lui fournissant des donn es et des analyses appropri es et doit galement conseiller l quipe pays du Comit permanent interorganisations IASC sur les modalit s de demande de financement du CERF Pour obtenir des informations compl mentaires sur ce processus consultez le site suivant http ochaonline2 un org Default aspx tabid 7951 K 3 4 Entrep t de mat riel de premi re n cessit Le BCAH dispose d un stock permanen
8. criture du rapport de mission I 5 6 Administration de l quipe UNDAC Il faut accorder une attention quotidienne aux t ches administratives en particulier garder une trace des frais des notes et des factures Chaque mission DRP doit disposer d un membre du personnel des Nations Unies connaissant les proc dures administratives Des formulaires simples sous forme de liste de contr le doivent tre cr s pour noter les l ments et questions traiter d s le premier jour Les probl mes administratifs li s par exemple la facturation des h tels doivent tre clarifi s avec la direction de l h tel d s le d but pour viter la confusion et les retards I 6 Pr sentation du rapport de mission Le rapport de mission UNDAC est le produit de la mission le succ s de celle ci sera d termin dans une large mesure d apr s la qualit du rapport La pr sentation propos e du rapport de mission est d taill e ci dessous mais elle peut varier selon le pays valu et les types de risques de catastrophes et de capacit s Chaque rubrique propos e est suivie de quelques aspects pouvant tre trait s Le rapport de mission UNDAC doit tre pr par imprim et distribu dans le pays avant le d part de la mission 1 Message e Du CR CH ou du chef de l autorit gouvernementale de gestion des catastrophes 2 R sum e Contexte de la mission e Vue d ensemble du mandat de la mission UNDAC Il faut expliquer
9. 4 Exemples de ce que le syst me UNDAC peut faire pour aider les autorit s du pays touch En cas de catastrophe le CR CH et le gouvernement peuvent approuver le recours aux quipes UNDAC pour e Renforcer le centre de coordination du gouvernement pour la coordination internationale e Renforcer le centre de coordination des autorit s comp tentes sur le lieu de la catastrophe e Soutenir les actions suivantes Coordination du processus d valuation des besoins humanitaires d urgence Gestion et communication de l information destination de la communaut internationale et des donateurs Mobilisation des ressources internationales Accueil et orientation des quipes internationales USAR Dans le domaine logistique la gestion est assur e par le gouvernement tandis que le Programme alimentaire mondial PAM et le Centre commun de logistique des Nations Unies UNJLC assurent g n ralement le r le d agence chef de file et agissent au nom du syst me des Nations Unies Le syst me UNDAC si n cessaire peut apporter son aide aux op rations logistiques en mettant en place une plate forme de coordination adapt e Quand il ne s agit pas d une catastrophe e Coordonner le recrutement de candidats aux quipes UNDAC pour garantir l efficacit du syst me UNDAC travers le monde e Former les nouveaux membres s lectionn s par les gouvernements nationaux et les organisations internationales au co
10. 4 Le Mobilisant les ressources pour accomplir les t ches de mani re coordonn e et syst matique Fournissant les services communs et de coordination de base Soutenant le partage des ressources entre les diff rents acteurs de l aide humanitaire d veloppement de la coordination passe principalement par les phases d intensification de l interaction d taill es ci dessous Partage de l information Approbation de la r partition des t ches et responsabilit s entre les parties prenantes Objectifs et programmes communs B 3 Les fonctions de coordination sur le terrain Pr sentation L objectif du BCAH est d am liorer l impact des op rations sur le terrain gr ce une plus grande coordination Cette derni re est fix e par l Assembl e g n rale dans le but de renforcer l action des Nations Unies sans pour autant repr senter un obstacle bureaucratique suppl mentaire la prise de d cisions L am lioration des op rations sur le terrain le cas ch ant est visible sur le plan de l efficacit de l efficience et de l impact L efficacit inclue les progr s qui permettent de fournir des services au co t le plus faible possible et avec le minimum de ressources tandis que l efficience augmente quand les organisations d aide humanitaire parviennent atteindre les objectifs de leurs programmes Enfin l impact montre dans quelle mesure la qualit de vie dans son ensemble
11. Composition de P quipe e Nombre de participants e Parit e Repr sentation d autres agences sp cialistes des secteurs concern s R partition des t ches e Personne charg e de la direction de l quipe proc dant l valuation e Diff rentes t ches en fonction des secteurs e Autres responsabilit s par exemple logistique communication information m dias etc Objectifs principaux e Objectifs g n raux e A quelles questions est il n cessaire de r pondre e Qui d tient les informations n cessaires e Format des donn es fournir Questions li es la collecte des donn es e Observation Entretiens tudes Listes de contr le chantillonnage Indicateurs et normes Hypoth ses Logistique et organisation e Transports et plan de d placement e H bergement e Communication e Fournitures e Equipement S curit e Habilitation de s curit e Respect des normes minimales de s curit op rationnelle G 3 Mission d valuation G 3 1 M thodes utilis es dans les valuations rapides ou initiales Dans une valuation initiale rapide les valuateurs sont tenus de rechercher les sch mas et les indicateurs annon ant d ventuels probl mes L quipe devra prendre une d cision rapide concernant la pertinence des donn es qualitatives et quantitatives Celle ci d pendra dans une large mesure du but de l valuation et de ses premiers utilisateurs Les utilisateurs pr cisero
12. Les initiatives prises individuellement par des familles doivent tre encourag es le plus possible pour r pondre aux besoins en mati re d h bergement notamment par la fourniture de mat riels de base les programmes d auto assistance etc L h bergement et notamment les difices communs doivent tre construits par les survivants eux m mes dans la mesure o le mat riel n cessaire est fourni Ainsi les logements peuvent r pondre leurs besoins particuliers et tre culturellement acceptables Cette participation peut galement att nuer le sentiment de d pendance des survivants et r duire les co ts de mani re consid rable Les logements temporaires g n ralement pr fabriqu s doivent tre vit s Dans les faits ces logements sont rarement remplac s Les unit s construites reviennent souvent tr s cher et absorbent des ressources qui pourraient tre utilis es dans des projets de reconstruction Ces unit s et ou les sites choisis pour les construire se sont souvent r v l s inadapt s aux modes de vie des familles et aux traditions Sant Dans les catastrophes naturelles comme les s ismes il peut exister initialement au sein de la population un besoin en soins curatifs et notamment en soins traumatiques Il peut galement tre n cessaire d vacuer des patients hors de la zone si les services de sant se trouvent dans l impossibilit de faire face au flux de cas ou la gravit des blessures
13. e Entrep t de transfert e Point de stockage final La mise en uvre des op rations suivantes doit tre facilit e par des installations et du mat riel adapt s e Gestion Soutien central Approvisionnement D douanement dans les ports Entrep t stockage Transport Programmation Communications Contr le des marchandises Contr le de la distribution P 3 Logistique des secours en cas de catastrophe Planification des programmes de logistique en cas de catastrophe La planification et l anticipation sont les fondements d une bonne logistique et s appuient entre autres sur des connaissances dans les domaines g ologique technique politique et physique Il est important d tablir un plan ex cutif et un plan op rationnel Le premier d crit les t ches n cessaires pour cr er le syst me en incluant les liens l encha nement les ressources engag es et les m thodes de mesure des progr s effectu s Le second le plan op rationnel doit fixer les objectifs et les responsabilit s pour la distribution de l aide proposer un calendrier des objectifs atteindre et d crire les moyens op rationnels du syst me de contr le La logistique tant int gr e une op ration de secours en cours tous les plans de logistique doivent tre coordonn s avec les plans des autres secteurs de l op ration Les op rations logistiques soutiennent les objectifs de la communaut humanitaire Des perturbations peu
14. haute fr quence pour tout le personnel international et le personnel national s lectionn et du film anti souffle pour tous les bureaux des Nations Unies Les co ts du syst me commun prennent en compte le centre de communication ses op rateurs et son quipement Les d penses impliqu es par les MOSS pour une agence unique prennent en compte des radios haute fr quence pour le personnel de cette agence et le film anti souffle pour les bureaux de cette seule agence Assurance contre les actes de malveillance Les souscripteurs de l assurance contre les actes de malveillance MAIP ont constat que les Nations Unies se conforment aux MOSS Le non respect des mesures MOSS pourra donc tre utilis par les souscripteurs pour justifier un refus ou une r duction d indemnisation dans le cas d un incident impliquant le personnel des Nations Unies laboration L laboration des MOSS sp cifiques un pays doit tre pr c d e d une valuation des risques s curitaires d taill e et exhaustive men e par une autorit comp tente en coop ration avec la SMT Pour proc der une valuation officielle des risques s curitaires les autorit s comp tentes doivent tre des membres du personnel de s curit du DSS des CSA des agents de s curit SO des agences des Nations Unies des agents chefs de s curit CSO du D partement des op rations de maintien de la paix ou toute autre personne sp cifiquement
15. j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc les 15 07 2008 10 07 ne S 2 Caract ristiques des communications par radio et satellite Type Description Communication par radio VHF UHF Unit s de base portatives ou mobiles La taille de l antenne la puissance de transmission et le terrain ont un effet sur la port e optique qui peut varier de 1 30 km La port e peut tre augment e en utilisant un r p teur Applications coordination sur le terrain s curit des personnes communications individuelles HF ondes courtes Stations fixes et mobiles La port e d pend de la fr quence de l heure et de l antenne utilis e Utilisation transmission de donn es 2 4Kbps communications r gionales et internationales Communication par satellite Thuraya T l phone portable satellite avec GSM et Thuraya GPS int gr s Fournit des donn es voix un fax et un service de donn es de 9 6Kbps Zone de couverture Afrique du Nord et centrale Europe Moyen Orient et Asie Iridium T l phone portable satellite fournissant voix ridium fax et un service de donn es de 2 4Kbps Couverture mondiale y compris les zones polaires Mini M T l phone satellite fournissant voix fax et un Inmarsat service de donn es de 2 4Kbps Dimension d un ordinateur portable Couverture mondiale l exception des zone
16. main Il ne faut pas oublier de pr voir suffisamment de temps pour les contr les de s curit aux points de transit et viter de transporter des objets tranchants dans les bagages main D 5 Arriv e et premi res d marches D 5 1 Plan d arriv e Un plan d arriv e doit tre mis au point avant l arriv e dans le pays l initiative du chef d quipe ce plan tant ensuite mis en uvre au fur et mesure que l quipe se regroupe dans les a roports de transit Ce plan doit pr voir au minimum les points ci apr s Ressources et organisation de l quipe e Compr hension des comp tences et du savoir faire langues comp tences sectorielles etc Compr hension des ressources de l quipement de l argent liquide etc Modalit s de compte rendus et responsabilit s Mise au point du plan initial du plan de communication et du plan de s curit Attribution des t ches et plan pr liminaire de r partition du travail et des t ches m dias organisation de l quipe liaison rapports communications etc valuation de la situation Mandat objectifs de la mission r sultats attendus Documents d information r seau virtuel du Centre local de coordination des op rations syst me d alerte rapide en cas de catastrophe Reliefweb etc Comptes rendus de situation et autres informations importantes Situation s curitaire phase ONU g n ralit s dangers dus aux effets de la catastrophe A
17. par exemple lunettes lentilles de contact appareils dentaires et le mat riel d entretien n cessaire pour ces produits e Pr parer tous les documents de sant personnels n cessaires e V rifier les risques sanitaires dans le lieu de d ploiement et commencer prendre des traitements prophylactiques tels que les antipaludiques et autres pr parations par exemple des comprim s de purification de l eau O 1 3 Lors du d ploiement d une mission UNDAC Mode de vie Les premiers jours le nouvel arrivant n est pas habitu aux conditions de vie et au climat sa r sistance est donc plus faible M me si lors de la plupart des missions UNDAC les moments de repos sont rares il est important de prendre le temps de dormir et de se d tendre r guli rement Rappelez vous qu un membre malade repr sente un handicap et non un atout pour l quipe Alimentation Elle doit tre quilibr e Les plats lourds doivent tre vit s et les boissons alcoolis es exclues ou consomm es avec mod ration et seulement le soir D autre part il faut boire suffisamment pour compenser les pertes d eau dues la transpiration il peut s av rer n cessaire d augmenter la consommation de sel en cas de transpiration abondante La dysenterie amibienne et d autres infections ent riques souvent tr s r pandues dans les r gions tropicales se transmettent par la consommation d aliments crus d eau contamin e ou lorsque vous n
18. r elles varieront en fonction de l altitude de la temp rature de l air ambiant et de la quantit de carburant disponible bord D partement de la traduction j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc sis 15 07 2008 10 07 5 S 4 Caract ristiques des h licopt res pouvant tre utilis s pendant les op rations de sauvetage en cas de catastrophe Type d h licopt re Type de Vitesse de Charge utile habituelle Charge utile Nombres de si ges carburant croisi re autoris e en vol habituelle autoris e passagers n uds stationnaire en effet de en vol stationnaire sol kg Ib hors effet de sol kg lb A rospatiale SA 315B Lama Jet 80 420 925 420 925 4 A rospatiale SA 316B Alouette II Jet 80 526 1 160 479 1 055 6 A rospatiale SA 318C Alouette I Jet 95 420 926 256 564 4 A rospatiale AS 332L Super Puma Jet 120 2 177 4 800 1 769 3 900 26 Bell 204B Jet 120 599 1 20 417 920 11 Bell 206B 3 Jet Ranger Jet 97 429 945 324 715 4 Bell 206L Long Ranger Jet 110 522 1150 431 950 6 Bell 412 Huey Jet 110 862 1900 862 1 900 13 Bell G 47 Aviation 66 272 600 227 500 1 Bell 47 Soloy Jet 75 354 780 318 700 2 Boeing H 47 Chinook Jet 130 12 210 26 918 12 210 26 918 33 Eurocopter MBB BO 105 CB Jet 110 635 1 400 445 980 4 Eurocopter BK 117A 4 Jet 120 599 1 320 417 920 11 MI 8 Jet 110 3 000 6 6139 3 00
19. vacuation et ou rapatriement m dical envoi d un m decin sp cialiste de SOS prise en charge locale du patient sous contr le de SOS garantie des d p ts hospitaliers envoi de m dicaments Tous ces services sont accessibles par l interm diaire du Centre d alerte SOS qui doit toujours tre contact avant de prendre une mesure quelconque En cas d urgence m dicale le membre de PUNDAC doit imm diatement e appelez le centre d alerte SOS le plus proche 24 heures sur 24 7 jours sur 7 Gen ve 41 22 785 6464 T l copie 41 22 785 6424 Igvaposmed internationalsos com Philadelphie 1 215 942 8226 T l copie 1 215 942 8297 phlopsmed internationalsos com Singapour 65 6338 7800 T l copie 65 6338 7611 sin medical internationalsos com Le Centre d alerte SOS indiquera qui contacter dans le pays pour obtenir l aide recherch e e Soyez pr t fournir les informations suivantes Pr nom et nom Num ro de passeport SOS qui figure sur le passeport SOS le r seau virtuel du Centre local de coordination des op rations ou au BCAH de Gen ve La situation actuelle du membre de l quipe son num ro de t l phone La nature du probl me e Informez le BCAH Gen ve aussi rapidement que possible D 8 1 Blessure ou d c s d un membre de l UNDAC En cas de blessure ou de d c s d un membre de l UNDAC en mission suivre la proc dure indiqu e ci apr s
20. Ai je connaissance de la des directive s qui s applique nt dans le contexte de la situation d urgence CMCS BACH Gen ve Agent CMcoord de l ONU Suis je suffisamment inform des relations entre les forces militaires nationales et internationales Forces militaires de secours nationales Forces militaires de s curit nationales Forces militaires de secours internationales Suis je suffisamment inform des relations entre les forces militaires et civiles nationales Autorit s locales de gestion des urgences LEMA R seau CMcood de l ONU Forces militaires de secours nationales Suis je suffisamment inform Equipe pays de des relations entre les forces militaires nationales et civiles internationales l ONU UNCT BCAH Agent CMcoord de l ONU Suis je suffisamment inform des relations entre les forces militaires internationales et civiles nationales Affaires civiles CIMIC Coop ration civilo militaire Autorit s civiles LEMA Suis je suffisamment inform des relations entre les forces militaires internationales et civiles internationales Agent de CMcoord de l ONU Centres de Coordination humanitaire UNCT BCAH Existe t il une interface appropri e entre organisation civile et militaire BCAH Equipe pays des Nations Unies UNCT Est il besoin d tablir des directives sp cifiques par pays pour la coordination civilo m
21. L effondrement soudain des infrastructures dans une communaut peut engendrer un risque d pid mie aggrav Il est important d avoir conscience de ce fait d s le d but de la catastrophe et de rechercher des indicateurs de ce cas de figure Afin de pr venir une pid mie des services de sant pour personnes d plac es doivent tre mis en place pour dispenser des soins de sant primaires Eau et assainissement Les gens peuvent survivre plus longtemps sans nourriture que sans eau L approvisionnement en eau doit tre mis en uvre imm diatement Une quantit suffisante d eau salubre est pr f rable une plus petite quantit d eau pure Le traitement de l eau doit tre vit dans la mesure du possible Des quantit s suffisantes d eau salubre doivent tre disponibles aussi pr s que possible des lieux d habitation Un stockage de l eau s curis doit tre assur au niveau des communaut s et des foyers La disponibilit sera g n ralement le facteur d terminant dans l organisation de l approvisionnement en eau salubre Une valuation de la disponibilit des sources d eau doit tre faite par des sp cialistes Si ces sources sont inadapt es il conviendra de trouver de nouvelles sources ou de fournir de l eau En situation d urgence il faut agir d abord et am liorer plus tard Les syst mes temporaires r pondant des besoins imm diats pourront tre am lior s ou remplac s plus ta
22. Un RDC peut tre structur en trois composantes fonctionnelles Leur personnel provient de l quipe UNDAC et b n ficie du soutien additionnel des officiers de liaison des quipes arrivant dans le pays Gestionnaire du Centre de r ception et de d part Superviser la mise en place et le fonctionnement du RDC Assurer la liaison avec les autorit s responsables et fournir des informations sur l objectif et la capacit du RDC par exemple aider les autorit s a roportuaires g rer les quipes internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain pour faire en sorte qu elles soient affect es rapidement et de la mani re la plus appropri e dans la zone touch e par la catastrophe Pr voir une s rie de postes afin d assurer le traitement rapide des quipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain l arriv e il s agit notamment de l immigration des douanes de l enregistrement de l information de la logistique et du transport sur le site Superviser les activit s du personnel du RDC pendant toute la dur e de l op ration Veiller l change des informations entre le RDC et les autorit s nationales comp tentes et s assurer que l OSOCC est mis en place et op rationnel Coordonnateur de la logistique du Centre de r ception et de d part Faciliter l appui logistique aux quipes internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain leur arriv e en coop ration avec
23. e vitez les gla ons sauf si vous tes s rs qu ils ont t pr par s avec de l eau salubre La glace provenant de sources apparemment propres comme les machines gla ons des h tels n est pas toujours salubre e Les boissons telles que le th chaud ou le caf le vin la bi re les boissons gazeuses ou les jus de fruits conditionn s en bouteille ou sous d autres formes peuvent g n ralement tre consomm es sans risque e Faites bouillir le lait non pasteuris avant de le consommer e Il est presque toujours possible d acheter des bouteilles d eau propre Il est recommand d acheter et d utiliser de l eau en bouteille chaque fois que c est possible m me pour se laver les dents O 4 Stress Introduction Le travail dans un contexte de secours d urgence expose les membres UNDAC un certain nombre de situations et de conditions g n ratrices de stress et peut entra ner une r action de stress Les situations qui se r v lent stressantes pour un individu peuvent ne pas l tre pour un D partement de la traduction Ai j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 8 autre et le type de r action au stress de m me que les strat gies permettant de le surmonter varient d une personne l autre D une certaine mani re les pressions subies dans un environnement de catastrophe sont utiles Elles permettent de focali
24. le personnel de l OSOCC personnel de liaison volontaires traducteurs les points de contact au sein du gouvernement ou des organismes de secours les emplacements les r unions pr vues etc ne sont pas mises Jour ni contr l es syst matiquement au sein de l OSOCC De ce fait le personnel de l OSOCC n est pas toujours au courant de l tat de l op ration en cours E 3 Liste de contr le des fonctions de coordination Le tableau ci apr s pr sente un ensemble d actions possibles pour orienter la conception et la mise en uvre de la strat gie de coordination de l quipe UNDAC qui met en place un OSOCC Toutes les fonctions ne seront probablement pas utiles dans toutes les situations d urgences La liste de contr le doit servir de point de d part l quipe au moment o elle fixe ses priorit s Les missions doivent tre class es en coh rence avec la structure de POSOCC elles doivent tre utiles dans les cas o un centre OSOCC ou un centre de coordination n a pas t mis en place et ou la participation des partenaires tels que le Centre logistique commun des Nations Unies le Service a rien d aide humanitaire des Nations Unies etc Fonction Chef de l quipe UNDAC Mission Repr sentant officiel du BCAH il ou elle doit tablir des contacts au plus haut niveau possible avec les autorit s nationales le CR CH et les organismes de secours afin de garantir que l quipe UNDAC
25. publient tous les jours Pas vous e Il n y a pas de secrets Partez du principe que tout ce que vous dites ou faites sera diffus ou publi e Si vous faites des d clarations officieuses cela ne veut pas dire que les m dias ne vont pas les imprimer et vous les attribuer e Ne faites aucune supposition Il est possible que les journalistes soient mal inform s ou peu comp tents en ce qui concerne votre profession Expliquez tous les termes pour tre s r qu ils sont compris e Faites simple Clarifiez et r sumez les points essentiels et distribuez un Suivi compte rendu r dig des faits et des donn es Parlez en anglais dans un style informel destin aux non initi s et non des experts du sujet vitez le jargon et les acronymes rappelez vous que vous vous adressez au grand public Fournissez aux journalistes une bonne histoire crire Ils risquent d en inventer une que vous n aimerez pas et de l crire si vous ne leur en donnez pas une Soyez attentif aux tendances qui ressortent des questions pos es Le journaliste pose t il des questions de fond A t il des id es fausses sur le sujet Proposez d apporter des claircissements ou de r orienter l entretien Traitez les journalistes avec professionnalisme et respect et entamez des conversations officieuses R pondez toujours leurs appels en temps voulu Laissez un mot dans votre bureau pour indiquer l endroit o vous vous rendez af
26. quipe et de les faire respecter Il est de la plus haute importance de garder l esprit que le chef d quipe est toujours responsable de la s ret de son quipe Il est donc toujours autoris refuser des t ches qui menaceraient la s ret de l quipe Le niveau de risque dicte le niveau des mesures de s ret et de s curit prendre Il ne sera donc pas toujours n cessaire de prendre toutes les pr cautions mentionn es ci dessous Les mesures seront prises d apr s les informations re ues entre autres du DO du CSA FSCO des autorit s et des organisations humanitaires de la r gion ainsi que des services de renseignement de la police et de l arm e s il y a lieu Quelques conseils sont pr sent s ci dessous pour aider l quipe et le chef d quipe tablir des proc dures de s ret et de s curit r alistes et appropri es G n ralit s e Les mesures de s ret et de s curit doivent tre r alistes et ne doivent pas tre un niveau plus lev que ne l exige la situation Mais il est souvent vrai que les personnes arrivant d autres pays en particulier de pays s rs et s curis s ne prennent pas au s rieux les menaces pour la s ret et la s curit Cependant il est essentiel que les mesures de s ret et de s curit ne soient pas prises la l g re e Tous les membres de l quipe doivent conna tre les mesures de s ret et de s curit e En ce qui concerne les
27. quipes USAR Les signaux doivent tre clairs et concis Les membres de l quipe doivent r agir imm diatement tout signal d alarme Des sir nes d alarme ou d autres dispositifs d appel doivent tre utilis s pour mettre les signaux appropri s comme suit Evacuation 3 signaux brefs d une seconde chacun de mani re r p t e jusqu ce que le site soit vid Cessation des op rations Silence 1 signal long de 3 secondes Reprise des op rations 1 signal long 1 signal bref I MISSIONS UNDAC DE PREPARATION A L INTERVENTION EN CAS DE CATASTROPHE L 1 Introduction L 2 Demande et mandat pour les missions de pr paration l intervention en cas de catastrophe DRP L 3 S lection des membres de l quipe UNDAC I 4 Actions pr alables la mission 1 4 1 Discussion sur le r seau virtuel de l OSOCC 1 4 2 Responsabilit s des membres de l quipe et des sous quipes 14 3 Garantir la pr paration dans le pays pour les activit s de l quipe UNDAC 14 4 Le plan du rapport de mission 1 4 5 R union au point de regroupement I 5 Actions dans le pays 1 5 1 tablir une base pour l quipe L 5 2 Premi res r unions et r unions suivantes L5 3 Visites de terrain L5 4 Gestion de l information L 5 5 R unions internes quotidiennes de l quipe UNDAC L 5 6 Administration de l quipe UNDAC L 6 Pr sentation du rapport de mission L 7 La pr paration du rapport de mission L7 1 Pr sent
28. tre utilis s dans la trousse de soin individuel Le livret de l OMS intitul Voyages internationaux et sant fournit la description des conditions et des instructions d utilisation du contenu R f rences utiles e Site Internet www who ch e Voyages internationaux et sant vaccinations n cessaires et conseils de sant OMS Gen ve 1999 0 2 Aliments salubres pour les voyageurs O 2 1 Aliments salubres au cours du d ploiement L une des deux raisons pour lesquelles les voyageurs tombent malades est qu ils consomment des aliments sans prendre en compte certaines r gles simples Le respect des r gles nonc es ci dessous devrait permettre au voyageur d viter de nombreux d sagr ments court terme et des maladies graves long terme O 2 2 Pr paration avant le d part Demandez votre m decin des conseils sur les diff rentes maladies auxquelles vous risquez d tre expos sur les vaccinations n cessaires et les autres mesures pr ventives Assurez vous que votre trousse de soins contient des sels de r hydratation orale SRO et des comprim s pour la d sinfection de l eau O 2 3 Pr cautions prendre apr s l arriv e Manger sans risques Les recommandations suivantes s appliquent dans toutes les situations pour les stands de nourriture dans la rue comme pour les restaurants chers des h tels e Les aliments cuits qui ont t maintenu temp rature ambiante pendant plus
29. uvre de leurs programmes e Faciliter des r unions individuelles ou de groupe r guli res sur demande en vue de la planification de la coordination et de l change d information e Servir de point focal pour toutes les organisations nouvellement arriv es et faciliter leur enregistrement et leur reconnaissance par les autorit s nationales et locales e Soutenir les missions de visite et d information effectu es par les donateurs e Aider l laboration de propositions de projets et faciliter l largissement de la pr sence des ONG aider les ONG d livrer leur aide e Contribuer au renforcement des capacit s locales en facilitant des partenariats internationaux et nationaux e Assurer la liaison avec les contingents militaires internationaux dans la zone pour contribuer aux op rations humanitaires R sultat attendu change d informations syst matique entre l quipe UNDAC et les diff rentes organisations Fonction Presse Mission Traiter toutes les relations avec la presse et pr parer une fiche signal tique sur les activit s de l UNDAC ainsi qu une mise jour des statistiques pour diffusion aux m dias Liste de contr le e Fn coop ration avec le chef de l quipe UNDAC le CR CH et le gestionnaire d finir des lignes directrices pour les relations avec la presse e Servir de point focal pour les m dias e Identifier les m dias pertinents et entretenir des c
30. 1 Port e d une valuation de l UNDAC Dans la plupart des cas le travail d une quipe UNDAC consiste d abord valuer rapidement la situation initiale le plus t t possible apr s l impact d une catastrophe inattendue Une valuation de l UNDAC doit aider d terminer l tendue d une catastrophe et son impact sur la population ainsi que les besoins en mati re d aide internationale au cours de la phase de secours d urgence Au cours de cette phase des mesures exceptionnelles r pondant aux besoins des survivants notamment la recherche et le sauvetage en milieu urbain l aide m dicale l eau et l assainissement les besoins alimentaires imm diats et l h bergement d urgence peuvent tre prises Evaluation initiale rapide Une valuation initiale rapide consiste valuer la situation les ressources disponibles et les besoins lors de la premi re phase critique la suite d une catastrophe et permet de d terminer le type d aide imm diate apporter L valuation fournit des informations concernant les besoins les strat gies d intervention possibles et les ressources n cessaires et vise identifier e l impact d une catastrophe sur une soci t et ses infrastructures et la capacit de cette soci t y faire face e les segments les plus vuln rables de la population qui doivent recevoir une aide e le niveau de r ponse du pays touch sa capacit interne faire f
31. Abri et feu Trouver imm diatement de l ombre Dans la fra cheur de la soir e se construire un abri Ne pas rester dans un v hicule en m tal ou un avion L utiliser pour soutenir un abri ou profiter de l ombre fournie par une aile d avion Entasser des pierres pour fabriquer un coupe vent et utiliser les parois des oueds sauf si des crues clair semblent probables Utiliser la technique de la double couche pour favoriser l a ration Si l on se sert de tissu laisser les bordures inf rieures relev es et l ches dans la journ e pour am liorer la circulation de Pair Les lester de pierres la nuit Eviter de s allonger m me un sol chaud l air peut circuler sous un lit sur lev Un feu sera n cessaire pour b n ficier de chaleur la nuit et faire bouillir de l eau La fum e sera utile pour mettre des signaux La broussaille de d sert est s che et br le facilement Si le sol est totalement aride le carburant et l huile d un v hicule m lang s du sable dans un r cipient br leront Les d jections animales sont galement inflammables Q 6 4 V tements Les v tements aident r duire les pertes de fluides et assurent une protection contre les coups de soleil et les piq res d insectes ainsi qu une chaleur la nuit Les v tements devraient tre l gers et amples avec un espace d a ration entre les habits et le corps Copier les v tements flottants plusieurs couches du monde arabe Les
32. F les tremblements peuvent s arr ter La victime a des mouvements d sordonn s et peut pr senter des signes de confusion mentale marmonner se comporter de mani re irrationnelle Il ne suffit pas de placer le patient dans un endroit chaud pour soigner les cas graves Retirez tous les v tements humides ou serr s placez le patient dans un lit pr chauff ou un sac de couchage et placez des bouteilles d eau chaude PAS br lante autour du torse Si vous ne disposez pas d eau chaude un ou plusieurs sauveteurs dont le corps est sec et chaud peuvent se placer dans le lit ou le sac de couchage pour fournir de la chaleur Si le patient est suffisamment conscient pour prot ger ses voies a riennes donnez lui des boissons chaudes 38 45 C ou 100 115 F telles que de la limonade ou du Tang Elles D partement de la traduction Te j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 17 fournissent du carburant sucre facile absorber et apportent de la chaleur l int rieur du corps NE donnez PAS de caf de th ou d autres stimulants ni d alcool sous aucune forme Le patient a perdu sa capacit produire de la chaleur et celle ci doit lui tre fournie de l ext rieur M me s il s agit d une blessure due au froid l hypothermie se produit plus fr quemment lorsque les temp ratures sont sup rieures 0 C et que les conditions sont
33. G n ralit s Vivres et boissons pour les 72 premi res heures de la mission si rien n est disponible au d part Range tout c est dire un sac qui peut servir de sac dos V tements au moins 2 changes et solides chaussures de marche adapt es au lieu l altitude la p riode de l ann e et la dur e pr vue de la mission habituellement 2 4 semaines Veste et cravate pour les r unions avec les responsables locaux en tant que de besoin Les membres f minins de l UNDAC doivent avoir des v tements adapt s y compris des v tements manches longues et des foulards si les coutumes locales l exigent e V tement de pluie veste et pantalon e Sac de couchage doubl e Taie d oreiller e Matelas de camping e Lunettes de rechange lentilles de contact d conseill es e 2 paires de lunettes de soleil au cas o vous en perdriez une e quipement d identification de l UNDAC veste brassard et casquette e Masques poussi re e Po le l ger et bouteille d un litre pour le combustible vide durant le transport a rien e Quart assiette couverts e N cessaire de toilette e Serviette e V tements n ayant pas besoin d tre repass s e Papier hygi nique e Bouchons d oreille e Torche avec ampoule et piles de rechange e Couteau de poche multi usages de type arm e suisse Leatherman etc ne doit pas rester dans le bagage main e N cessaire couture
34. Le syst me d valuation et de coordination des Nations Unies en cas de catastrophe UNDAC a t con u pour aider les Nations Unies subvenir aux besoins internationaux en mati re d information rapide et fiable lors de la premi re phase d une catastrophe impr vue et pour coordonner l afflux d aide internationale au niveau du pays et ou sur le lieu de la catastrophe Son objectif est de permettre le d ploiement du personnel et des experts n importe o dans le monde en un tr s court laps de temps 12 24 heures de fournir des conseils et de renforcer les capacit s d intervention nationales et r gionales Le syst me UNDAC se compose de quatre l ments 1 Personnel Des professionnels exp riment s de la gestion des situations d urgence d tach s par leurs gouvernements ou leurs organisations aupr s des missions UNDAC en collaboration avec le personnel du Bureau de coordination des affaires humanitaires BCAH Les membres des quipes UNDAC sont sp cialement form s et quip s 2 M thodologie Des m thodes de coordination pr d finies incluant la collecte et la gestion de l information l valuation de la coordination et ses structures lors de la premi re phase d une catastrophe ou d une situation d urgence La m thodologie du syst me UNDAC peut s adapter toutes les catastrophes survenant dans le monde 3 Proc dures de mobilisation Des syst mes de mobilisation et de d
35. arriv e de l quipe UNDAC Derni res informations sur les contributions les engagements les subventions d urgence en esp ces du BCAH etc e Mat riel de r f rence Dossier d information BCAH FCSS Rapports sur les catastrophes ant rieures dans la zone Liste des biens disponibles l entrep t de Brindisi Quelques uns des formulaires les plus courants de l UNDAC Logiciel de la mission D 3 2 Information compl mentaire emport e par le chef d quipe e Avance sur frais de voyage indemnit s journali res de subsistance e Passeport SOS et autres informations et documentations sur l assurance e Coordonn es des bureaux de l ONU dans le pays des ventuels contacts dans la capitale minist res ambassades ONG h tels agences de voyage etc Liste des num ros de t l phone et de t l copie du personnel du BCAH Gen ve et New York y compris num ros personnels D 4 Voyage international Documents de voyage Pour les membres de l quipe partant d un point autre que le si ge du BCAH le billet d avion est g n ralement d livr par la compagnie l a roport de d part Si pour une raison ou une autre ce billet n est pas disponible les membres de l UNDAC doivent prendre contact imm diatement avec la FCSS Les membres de l quipe doivent se rendre l a roport le plus t t possible afin d avoir le temps de r gler les ventuels probl mes de voyage Outre le bi
36. cette quipe peut travailler en soutien au gouvernement du pays affect et ou au RC RH du pays concern B 3 1 Les fonctions de coordination du BCAH sur le terrain Pour parvenir coordonner les strat gies le BCAH assure en g n ral les fonctions suivantes e Coordination des op rations et des programmes favoriser un d roulement coordonn complet et coh rent des op rations et programmes d aide pour satisfaire les besoins humanitaires dans les situations d urgence e Collecte et communication de l information collecter regrouper analyser fournir et publier les donn es concernent la situation d urgence ses cons quences les besoins de ressources et leur disponibilit les interventions les objectifs atteints et les besoins non encore satisfaits e Coordination des quipes de Recherche et de sauvetage en milieu urbain USAR en cas de situation d urgence r sultant de l effondrement d un b timent conform ment la r solution de l Assembl e g n rale 57 150 du 16 d cembre 2002 intitul e Renforcement de l efficacit et de la coordination des op rations de recherche et de sauvetage en milieu urbain le BCAH peut d p cher une quipe UNDAC pour aider les autorit s locales coordonner les quipes USAR internationales sur le terrain B 3 2 Les services communs Pour parvenir coordonner les op rations le BCAH peut solliciter ou soutenir les services communs des Nations Unies s
37. ciales Q 3 R gions polaires Les temp ratures hivernales y sont bien inf rieures 0 C et des vents d ouragan peuvent soulever la neige 30 m tres dans les airs Un vent de 32 km h peut abaisser une temp rature de 14 C 5 F une temp rature r elle de 34 C 30 F Les jours passent d une obscurit int grale au milieu de l hiver une lumi re du jour durant 24 heures sur 24 au milieu de l t Q 3 1 Transport e Installer un abri aussi pr s que possible de l avion ou du v hicule Ne d m nager que si un sauvetage est improbable Le froid att nue les facult s de raisonnement Dresser des plans pendant qu il est encore possible d avoir les id es claires e Sur un terrain sans relief la navigation est difficile et les d placements sont dangereux Ne pas circuler par temps de blizzard En t la glace marine se transforme en bouillie neigeuse et la toundra est mar cageuse e Nepas installer son abri pr s de l eau l habitat tant constitu de mouches noires de moustiques et de mouches chevreuil Se couvrir la peau porter un filet sur la t te et faire br ler du bois vert pour les loigner Q 3 2 Navigation e Les boussoles ne sont pas fiables pr s des p les par cons quent s orienter en fonction des constellations et voyager de nuit e Ne pas utiliser les icebergs ou des rep res distants pour d terminer la direction les bancs de glace se d placent constamment et
38. clairement que la mission traite seulement de la pr paration l intervention en cas de catastrophe et pas de l att nuation des effets des catastrophes e Vue d ensemble des comp tences de l quipe UNDAC M thodologie suivie par l quipe UNDAC et zones trait es Vue d ensemble rapide des conclusions recommandations 3 Table des mati res Plan num rot de chaque section et sous section 4 R sum des recommandations Chaque recommandation doit indiquer clairement le paragraphe du rapport duquel elle est tir e 5 Vue d ensemble du pays et de la nature des catastrophes subies Conditions g ographiques g ologiques et climatiques du pays Indiquer les types de risques auxquels le pays est expos Vous pouvez inclure des exemples de catastrophes qui ont t subies et la mani re dont le pays y a fait face en tenant compte de la r ponse internationale et tous les enseignements importants qui en ont t retir s 6 Gestion des catastrophes dans le pays Cadre gouvernemental de gestion des catastrophes existant dans le pays Cadre l gislatif pour l intervention et la gestion des catastrophes D finitions importantes utilis es dans le pays Syst mes de coordination de la gestion des catastrophes en place M canismes facilitant l aide internationale Attribution des ressources pour la gestion des catastrophes 7 Capacit nationale et locale d intervention en cas de catastrophe Protocoles de prises
39. des ONG Concision L appel clair doit tre bref afin d tre lu et de susciter une r action rapide des donateurs Soyez concis et employez un langage simple Les lecteurs repr sentants du gouvernement donateurs agences des Nations Unies Mouvement de la Croix Rouge ONG m dias etc ont besoin de savoir ce qui s est pass et de conna tre les cons quences humanitaires les projets humanitaires et les co ts Dix pages suffisent g n ralement Utilisez des sch mas et des tableaux pour expliquer les probl mes quand c est possible Proc dure 1 1 jour Appel clair d clench par le CR CH des Nations Unies en concertation avec l quipe pays de l IASC Comit permanent interorganisations Le gouvernement du pays touch est consult 2 3 jour de crise l quipe pays des Nations Unies pr pare l appel clair dans les 48h suivant le d but de la crise en s appuyant sur les meilleures informations disponibles ce moment Le bureau du CR CH soumet la version finale de l appel la Section de la Proc dure d Appel global CAP du BCAH 3 4 jour de crise La Section CAP transmet cette version au si ge de l agence IASC pour un examen de 24h Le bureau incorpore ses commentaires 4 5 jour de crise La Section CAP v rifie le style formate et enregistre les projets d appel dans le syst me de suivi des flux financiers et les imprime vers 13h Apr s 13h l appel est offi
40. dicale sauf pour les cas b nins car les cas les plus graves comportent toujours un risque de septic mie ou de gangr ne puisement d la chaleur En g n ral le patient transpire abondamment est moite au toucher peut se plaindre de maux de t te ou de naus es tre d sorient et se sentir faible Si vous suspectez un puisement d la chaleur mais que le patient ne sue pas reportez vous au coup de chaleur d crit ci dessous loignez le patient de l exposition directe au soleil et rafra chissez le en appliquant des compresses froides et en l ventant S il est conscient donnez lui des SRO et de l eau pure Si le r tablissement n est pas imm diat demandez un avis m dical Coup de chaleur La peau du patient est chaude et s che sa temp rature bien au dessus de la normale Cette situation met en danger la vie du patient et doit tre trait e imm diatement et nergiquement Dans les cas les plus avanc s le patient perd conscience et peut convulser loignez le du soleil et placez le dans un endroit frais D shabillez le et immergez le dans de l eau froide PAS glac e jusqu l apparition de tremblements Demandez un avis m dical Vous devez imm diatement faire chuter la temp rature du corps sans quoi le patient risque de mourir Hypothermie Le patient tremble dans les premiers stades de l hypothermie mais une fois que la temp rature centrale du corps est descendue au dessous de 32 C 90
41. e ses objectifs Ces objectifs sont les suivants 1 Garantir la coordination du programme d aide humanitaire et sa mise en uvre compl te par La cr ation d un cadre et d un m canisme ou d une plate forme et le soutien actif la prise de d cision strat gique et la consultation L identification des besoins fondamentaux et l affectation des ressources ces besoins L acc s aux populations risque La conception et l adoption d une approche commune qui permette d liminer les lacunes et les doublons La r partition ad quate des responsabilit s permettant une prestation de service rationalis e et coh rente L obligation de rendre compte gr ce au contr le et l valuation de l information L aide d urgence base de la relance et du d veloppement long terme La promotion des principes et des questions humanitaires ainsi que la s curit des travailleurs humanitaires 2 Garantir un flux d information r gulier et fiable pour la prise de d cision en Surveillant les v nements les situations et les tendances pour d clencher les alertes suffisamment t t pour que l intervention se d roule temps Mettant en place et p rennisant la collecte des informations leur analyse et communication ainsi que la possibilit de cr er un centre d change dans un souci d efficacit 3 Fournir des ressources suffisantes pour mener bien les programmes d cid s en
42. e de ces quipements Premi re prise de contact L une des premi res mesures que l quipe doit prendre est d informer le CR CH et l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes de ses capacit s Les grandes lignes des informations fournir figurent en D 5 3 Si l quipe arrive dans la capitale ou en un point o le CR CH est repr sent l quipe est normalement attendue l a roport et conduite son premier point de contact dans le pays touch Ce n est cependant pas toujours le cas Si l quipe n est pas attendue l a roport en fonction de la situation l une des mesures suivantes est recommand e 1 Prendre contact avec le CR CH par t l phone et demander des instructions 2 Organiser un transport local jusqu au bureau du CR CH ou en dehors des heures d ouverture de ce bureau jusqu un h tel o l quipe pourra tablir sa base 3 Prendre contact avec le BCAH et demander des instructions Si l quipe arrive en un point o il n existe pas de repr sentation du CR CH elle doit imm diatement tablir sa base op rationnelle et prendre contact avec les autorit s nationales tablir la base de l quipe Dans la capitale la base op rationnelle de l quipe est normalement le bureau du CR CH Si cela n est pas possible l quipe peut tablir sa base en dehors de ce bureau en consultation avec le CR CH et le BCAH Cette base peut tre un h tel
43. es non seulement pour les raisons cit es ci dessus mais galement cause d ventuelles cons quences sanitaires graves N 5 Plan d vacuation Le chef d quipe est g n ralement charg d tablir les plans d vacuation qui doivent tre coh rents avec ceux du DO Les plans d vacuation peuvent tre divis s en 1 Evacuation partielle au cas o il est n cessaire de r duire le personnel une quipe minimale 2 vacuation compl te lorsque l on dispose de suffisamment de temps pour vacuer toute l quipe correctement en emportant tout le mat riel les v hicules etc 3 vacuation d urgence lorsque l quipe a seulement le temps d emporter le mat riel et les v hicules les plus indispensables 4 R installation l int rieur du pays ou plans de survie in situ lorsqu il est soit trop tard soit trop dangereux de se d placer parfois appel s Plan d hibernation ou Plan Bunker Les recommandations inclure dans ces plans sont les suivantes gardez toujours une somme d argent suffisante l vacuation gardez toujours une r serve de carburant pour les v hicules utiliser d terminez les v hicules utiliser lors d une vacuation d urgence tablissez des itin raires potentiels pour quitter la r gion si possible passez pr alablement des accords avec les autorit s les postes fronti res les ONG etc Annexe Tableaux concernant la r
44. et dispositions douani res Pr cisez l tat des routes menant aux a roports et les proc dures de circulation des marchandises Des entrep ts et les installations de stockage sont ils disponibles Taille tat appartenance capacit et quipements de chargement d chargement A qui reviendra ou qui prendra la responsabilit des marchandises distribu es dans la zone Pr ciser les b n ficiaires Produits disponibles localement Pr cisez la disponibilit du combustible des mat riaux de construction en donnant une estimation des quantit s qui peuvent tre obtenues Domaine Informations de r f rence Capacit de transport locale Pr cisez la disponibilit des v hicules et les prix de location Communications Existe t il des syst mes t l phone et ou radio Sont ils fiables utiles est elle disponible Si oui quel est le syst me utilis Par exemple acc s intersyst me ou disponibilit de cartes G 5 Analyse et partage des informations Analyse L analyse est le processus qui consiste synth tiser des informations provenant de diff rentes sources afin de pouvoir r pondre aux questions pos es dans le sch ma de vuln rabilit et de capacit voir G 3 1 Il convient d analyser les informations de mani re continue tout au long du processus d valuation N attendez pas la fin de la mission d valuation pour proc der l
45. gaze l h morragie risque de reprendre e Si vous connaissez les points de compression appliquez une pression sur l art re avec un ou les deux pouces Une fois que l h morragie est ma tris e posez un pansement compressif sur la plaie e Si vous ne parvenez contr ler l h morragie par aucun moyen et que les secours professionnels risquent de mettre plusieurs heures arriver posez un garrot sur l extr mit touch e Il existe un grand risque de perdre le membre surtout si les secours professionnels ne sont pas disponibles imm diatement Cette solution ne doit tre utilis e qu en dernier recours e Pour une h morragie au torse la seule m thode efficace est la pression directe sur la blessure Il peut tre utile d effectuer une l vation et d utiliser de la glace si elle est disponible en quantit suffisante e Une h morragie la t te peut g n ralement tre ma tris e par une pression directe une l vation l application de glace ou la combinaison des trois m thodes Ne posez pas de garrot Br lures Les br lures peuvent tre de trois types principaux chimiques lectriques et thermiques Il existe un traitement sp cifique pour chaque type mais dans tous les cas il faut galement traiter le choc traumatique Br lures chimiques Elles peuvent r sulter du renversement d un liquide par inadvertance lors du maniement de produits chimiques du contact avec des produits et des r si
46. ger Vous pouvez galement consommer des jus de fruit dilu s avec de l eau salubre et de la soupe Les produits laitiers sont proscrire car ils peuvent parfois aggraver la diarrh e Le corps perd de l eau des sels en particulier le sodium et le potassium des vitamines solubles dans l eau et d autres oligo l ments importants lors de fortes diarrh es Afin de compenser ces pertes et de restaurer l nergie du malade le m lange suivant a fait ses preuves lors des missions UNDAC e Fau e SRO correctement dilu s e Dose lev e de vitamine C effervescente au moins 1000 mg condition que le patient n ait pas d ant c dent de gastrite e Dose lev e de multivitamines contenant le complexe B par exemple du Supradyn e Calcium 600 1000 mg recommand s Buvez une tr s grande quantit de ce m lange au cours de la diarrh e Il est recommand d en boire au moins 3 litres dans les 3 premi res heures et de continuer s hydrater ensuite Conseils g n raux sur la quantit de liquide ou de SRO consommer Si la diarrh e dure plus d un jour pr parez et buvez la quantit suivante de solution de SRO et continuez de manger normalement e Enfants de moins de 2 ans 1 4 2 verre 50 100 ml apr s chaque selle e Enfants g s de 2 10 ans 2 1 verre 100 200 ml apr s chaque selle e Enfants plus g s et adultes quantit illimit e Pour savoir si la consommation de liquide est s
47. id al il comprendra plusieurs salles s par es pouvant servir de bureaux Il doit disposer d une zone publique pour recevoir et enregistrer les visiteurs de pr f rence dans une pi ce agr able dot e par exemple d une machine caf Il faut galement une pi ce pour les r unions g n rales dot e de tables et de chaises en nombre suffisant pour accueillir 12 15 personnes voire plus si possible Il faut des bureaux priv s o des discussions confidentielles peuvent avoir lieu Le b timent doit tre suffisamment grand pour faire cohabiter le personnel du gouvernement national et celui d autres organismes souhaitant travailler au sein de l OSOCC L quipement de communication doit se trouver dans une salle de communication s curis e Des quipements de bureau comme des photocopieuses doivent tre accessibles mais ne doivent pas tre plac s dans les espaces de r union publics Il sera g n ralement utile de r fl chir au contr le de la circulation des personnes lors de la conception de l am nagement physique de l OSOCC Certaines zones devront tre s curis es et ne seront pas accessibles au public ni m me aux intervenants Certains espaces serviront pour des r unions publiques Les espaces priv s et publics doivent tre bien s par s Site camp de logement des Nations Unies Pour les op rations grande chelle un camp pour le logement et les bureaux des organismes des Nations Unies peut tre re
48. l quipement se trouvant dans la trousse d urgence de bureau UNDAC que transportent eux m mes les membres de l UNDAC lors de leur d part en mission L quipement des modules de soutien est adapt la mission sp cifique afin d optimiser l aide apport e l op ration de l UNDAC L quipement fourni par les modules de soutien de l IHP n est pas livr directement par les fournisseurs il s agit d quipement totalement install et test qui a pu tre utilis lors de formations ou de missions d urgence pr c dentes Chaque fois qu un quipement est d ploy dans une zone o une phase de s curit des Nations Unies est mise en uvre il doit tre compatible avec les normes minimales de s curit op rationnelle Pour davantage de pr cisions sur les normes minimales de s curit op rationnelle cf chapitre N S ret et s curit Module de soutien TIC Le module de soutien TIC est rapidement d ployable il est accompagn d un membre du personnel de soutien Le module se d ploie aux c t s de l quipe UNDAC afin de lui apporter un soutien technique dans son travail dans des situations o elle risque d en avoir besoin ou bien si l quipe UNDAC a besoin d un soutien technique son arriv e Les l ments sont pr lev s sur les modules de base Bureau et t l coms et adapt s au type de situation d urgence et la zone d op rations Modules de base Les modules de bas
49. l aide m dicale et les autres aides d urgence soient fournies de mani re appropri e C est pourquoi des informations de base relatives la situation avant la catastrophe sont essentielles afin de pouvoir comparer la vuln rabilit avant et apr s la catastrophe identifier l impact des v nements et faire la diff rence entre les besoins chroniques et les besoins li s l urgence Importance des hypoth ses Dans une valuation initiale rapide il est important d mettre des hypoth ses lorsque l on manque de temps sur le terrain Ces hypoth ses peuvent au mieux tre qualifi es de mod r es il s agit d ailleurs qu elles soient les plus mod r es possibles Les hypoth ses sont fond es sur les exp riences pass es de catastrophes similaires et la connaissance de la zone touch e Vos connaissances pr alables et vos d ductions concernant ce que vous tes susceptibles de rencontrer peuvent faciliter votre travail mais il est prudent d tre clair sur le fait qu il s agit d hypoth ses et il vous faut tre pr t y renoncer si elles s av rent inexactes Acceptfation culturelle et participation de la communaut L aide doit tre culturellement acceptable et adapt e aux besoins de la population touch e La participation de la communaut au d veloppement et la mise en uvre de la r ponse est essentielle Les syst mes d aide doivent tre con us de mani re pouvoir tre mis en
50. l information de mani re ind pendante 2 Confirmation par une autre source des parties essentielles de l information fournie Les images a riennes entrent dans cette cat gorie 3 Une enqu te concernant un fait ou une action relat e n a pas apport de nouvelles informations l information tant toutefois compatible avec les actions pr c dentes ou les informations g n rales disponibles 4 Information qui diff re d une information relat e et valid e pr c demment 5 Information qui contredit une information relat e et valid e pr c demment 6 Information r cemment relat e qui ne peut tre compar e avec une information provenant d une autre source Mention utilis e lorsque les mentions 1 5 ne peuvent tre appliqu es Il est pr f rable d utiliser la mention 6 plut t qu une mention impr cise entre 1 ets Ces bar mes n indiquent pas des degr s d exactitude progressifs ils permettent seulement d officialiser la cr dibilit des informations re ues Le syst me n est donc pas infaillible Les lettres et les chiffres sont ind pendants et donnent une valuation g n rale de l information Par exemple une source non fiable E peut fournir une information exacte confirm e par d autres sources et donc obtenir la mention El De plus un rapport valu F6 peut se r v ler enti rement exact et ne doit pas tre syst matiquement ignor Collecte La str
51. par le PAM Les r fugi s secteur g r par le HCR L enseignement secteur g r par UNICEF L agriculture secteur g r par la FAO Cette approche adopt e par l IASC fonctionne deux niveaux D une part au niveau mondial son objectif est de renforcer la pr paration et les capacit s techniques d intervention en cas de situation d urgence humanitaire en identifiant les agences t tes de file des secteurs humanitaires qui garantissent une r ponse inter agences fiable et efficace dans le secteur concern D autre part au niveau du pays le but est d am liorer la coordination et les capacit s d intervention en mobilisant les secteurs des diff rentes agences organisations ou ONG pour agir dans des domaines ou des secteurs d activit s particuliers chaque secteur humanitaire ayant un chef de file bien identifi et approuv par le CR CH et l quipe pays IASC Pour garantir une meilleure visibilit ces objectifs doivent dans la mesure du possible tre en ad quation avec les d cisions prises pour le secteur l chelle internationale Le BCAH se charge de la mise en place du syst me des secteurs humanitaires en cas de catastrophes soudaines et assure la coordination entre les secteurs la gestion et la surveillance du processus dans son ensemble ainsi que la promotion du travail effectu par les secteurs Mandat des agences chef de file Les agences chef de file ont des mandats type Ceux ci so
52. permanent interorganisations IHP Partenariat humanitaire international INSARAG Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage LEMA autorit locale de gestion des urgences OFDA Bureau de l assistance aux pays trangers en cas de catastrophe Etats Unis OIM Organisation internationale pour les migrations OMS Organisation mondiale de la sant ONG Organisation non gouvernementale OSOCC Centre local de coordination des op rations PA plan d action PAM Programme alimentaire mondial PHAP Partenariat humanitaire Asie Pacifique PNUD Programme des Nations Unies pour le D veloppement PNUE Programme des Nations unies pour l environnement RMPC Ressources militaires et de la protection civile RSSG Repr sentant sp cial du Secr taire g n ral SGA Secr taire g n ral adjoint SMT Equipe de coordination du dispositif de s curit des Nations Unies dans le pays SRSA Agence su doise des Services de Secours TIC Technologies de l information et de la communication D partement de la traduction j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc nee 15 07 2008 10 07 10 Sigle anglais ou fran ais Forme d velopp e TOR mandat UE Union europ enne UNCT Equipe pays des Nations Unies UNDAC Evaluation et coordination en cas de catastrophe BCAH UNHAS Service a rien d aide humanita
53. prot ger les principes humanitaires d harmoniser les activit s entre organisations militaires et civiles et s il y a lieu viser des buts communs L 2 Evaluer l environnement civilo militaire L valuation de la CMcoord doit commencer d s que l agent UNDAC la CMcoord de l ONU a conscience de la possibilit de la mission Dans de nombreux cas une partie des informations utiles l valuation est plus ais ment disponible en dehors de la mission en raison du syst me de communications et d un acc s plus facile aux personnes comp tentes Le membre UNDAC doit se concentrer sur trois l ments essentiels e Inventaire des acteurs civilo militaires des missions militaires et des mandats militaires e Analyse des relations civiles et militaires e Structures et m canismes de coordination civilo militaire Inventaire des intervenants missions et mandats Cette phase de l valuation a pour objet principal de d terminer qui sont parmi les acteurs cl du c t militaire ceux qui vont contribuer l efficacit de la coordination humanitaire civilo militaire En font partie tous ceux qui peuvent contr ler l acc s aux b n ficiaires avoir un impact sur la s curit ou la logistique de l op ration de secours fournir des ressources suppl mentaires en particulier en cas d urgence ou proposer leurs bons offices pour aider acc l rer les secours et r gler des probl mes Identifier les acteurs e Intervenants militaires et
54. rationnels sont les suivants Survie L ensemble du soutien logistique ces altitudes doit tre principalement ax sur la survie dans un milieu extr mement hostile en pr voyant des v tements ad quats des rations ayant une valeur nutritive lev e et des abris s rs et confortables Le taux d accidents corporels dus aux conditions environnementales est tr s important Motivation psychologique Ceux qui poss dent une connaissance du milieu s y pr parent convenablement et l abordent dans un esprit positif survivront et obtiendront de bons r sultats dans cet environnement Une motivation psychologique tr s approfondie et positive est essentielle Formation Pour le milieu sp cifique que constituent les hautes altitudes une formation pr liminaire est imp rative Logistique Un plan logistique judicieux pour soutenir l quipe affect e au milieu est imp ratif Celui ci doit int grer toutes les ressources logistiques et pr voir des marges de s curit ad quates afin de parer aux interruptions dues des p riodes de mauvais temps prolong es et d autres risques environnementaux tels que les avalanches Acclimatation Il est imp ratif que tous les personnels op rant haute altitude s acclimatent Il n existe aucun rem de pour des maladies de haute altitude telles que l d me pulmonaire sauf de faire descendre la personne une hauteur inf rieure 3 000 m tres Soutien logistique a ri
55. re de clarifier les param tres de la coordination est d avoir des discussions franches et ouvertes sur les objectifs de cette coordination et les besoins des diverses organisations y compris le BCAH dans ce domaine crire Certains r sultats du processus de coordination issus des discussions bilat rales ou en groupe seront suffisamment concrets pour tre repris dans un document crit par exemple un plan de pr paration ou un plan op rationnel Tous ces accords devront tre mis jour en fonction de l volution de la situation et m me dans le meilleur des cas constituer une intention d agir ou un accord de principe Dans tous les cas mettre par crit les conclusions ou les points d accord permet de mieux suivre le processus et d en rendre compte Assurer le suivi Il est essentiel de faire preuve d un certain dynamisme dans la coordination pour pr server l int r t et l engagement cet effet il faut notamment rendre compte rapidement des informations nouvelles ou actualis es Les d cisions prises dans le cadre du processus de coordination doivent tre tay es par des proc s verbaux de r unions ou des aides m moire et largement diffus es Plus important encore le suivi des d cisions doit tre assur Ne pas appliquer les conclusions ne peut que provoquer le cynisme quant au processus et porter atteinte la cr dibilit de l quipe Pour garder la dynamique des efforts de coordination il faut mai
56. rences quotidiennes entre le chef d quipe et tout autre membre suppl mentaire de l quipe choisi par le chef d quipe et ces deux points de contact qui doivent tous deux tre pr sents lors des t l conf rences Le mode et la responsabilit de l enregistrement de ces t l conf rences doivent tre fix s au d but de la mission Il faut toujours conserver une trace des actions de suivi qui ont t sollicit es ou ont fait l objet d un accord Autres parties du BCAH Le Bureau et la FCSS sont responsables du suivi lorsque des actions ou des informations sont sollicit es par l quipe UNDAC Toutefois l quipe peut entrer en contact direct avec d autres parties du BCAH L quipe peut tre contact e par d autres parties du BCAH qui souhaitent obtenir des informations en particulier par la Section de Coordination civilo militaire CMCS le Groupe conjoint de l environnement PNUE BCAH le bureau du Coordonnateur des secours d urgence ERC ou les porte parole du BCAH Gen ve et New York L quipe peut tre en contact direct avec les syst mes d information du BCAH pour faciliter la diffusion de l information aupr s des donateurs des agences et du public en compl ment des rapports de situation du BCAH Ces syst mes sont les suivants e Reliefweb le site Internet d information humanitaire du BCAH qui publie les informations fournies par tous les partenaires humanitaires en plus d
57. rience du communautaire en place avant la catastrophe d placement des produits et des programmes Capacit de la communaut locale participer la distribution de nourriture et mani re de faire face aux besoins Logistique Sources d information e Autorit s charg es des transports e Entit s militaires e Observation e Communaut e Entreprises de transport Domaine Informations de r f rence Quel est l tat des routes reliant la zone touch e aux principaux centres d approvisionnement D crivez l tat des routes en pr cisant les facteurs saisonniers les temps de trajet et les types de v hicules appropri s Goulots d tranglement ventuels Ponts glissements de terrain tunnels intersections dans les agglom rations etc Proposez des itin raires secondaires Existe t il des zones inaccessibles par la route Enum rez les lieux concern s et proposez des moyens de transport alternatifs O se trouvent l a roport le port et la gare ferroviaire les plus proches Localisation coordonn es GPS et nom tat actuel altitude op rationnel ou non 24h 24 et 7j 7 longueur et tat des pistes utilisables type d avions utilisables quipements de navigation et de communication op rationnels quipements de manutention chariots l vateurs fourche camion l vateur ciseaux chariots de manutention camions avec chauffeurs et ouvrage manuel
58. s en mati re d affectation des ressources dans le pays touch garantir la fonctionnalit de la structure de l quipe USAR qui assure une intervention op rationnelle s re et efficace garantir que seules les quipes poss dant les capacit s op rationnelles ad quates sont d ploy es au niveau international Seules les quipes USAR qui remplissent les exigences du syst me de classification des quipes USAR seront enregistr es dans l annuaire USAR de l INSARAG Niveaux de classification des quipes USAR Toutes les quipes USAR quels que soient leur classification de capacit et leur engagement op rationnel doivent comprendre les l ments suivants Gestion Logistique Recherche Sauvetage Soins Les quipes USAR ont t class es selon leurs capacit s op rationnelles en diff rents groupes quipes USAR l g res Elles ont la capacit op rationnelle d aider les recherches de surface et de porter secours imm diatement apr s une catastrophe Les quipes USAR l g res proviennent g n ralement des pays touch s ou des pays voisins Il n est pas recommand de d ployer les quipes USAR l g res au niveau international quipes USAR moyennes Elles ont la capacit op rationnelle pour les op rations techniques de recherche et de sauvetage lors de situations d urgence impliquant des effondrements structurels Les quipes USAR moyennes sont capables de casser de pe
59. une quipe UNDAC peut avoir entreprendre au cours des diff rentes tapes d une mission UNDAC sont d taill es ci dessous et vont de la pr paration au bilan des le ons tir es Son objectif est de fournir aux membres des quipes UNDAC une check list leur permettant d anticiper les actions qu ils devront entreprendre au cours de la mission Ces actions ne sont pas toujours applicables toutes les situations cette liste n est donc pas D partement de la traduction Su j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 08 07 A un mod le suivre mais un guide que les membres des quipes UNDAC peuvent utiliser en fonction de leurs besoins A conna tre avant le d part en mission environnement international des catastrophes cons quences des inondations des s ismes des mouvements de r fugi s principaux acteurs et leurs missions droit humanitaire international ressources internationales proposant des informations utiles sites Internet r seau virtuel de POSOCC consulter r guli rement mission de coordination du BCAH et les raisons de l existence du syst me UNDAC Section de soutien la coordination sur le terrain FCSS v rifier r guli rement que les coordonn es et les donn s personnelles ont t mises jour Pr paration personnelle vaccins visite m dicale carnet de vaccinations jour famille pr
60. uvre dans la dur e avec le minimum d implication de la communaut internationale Prise de conscience des pressions subtiles L quipe charg e de l valuation doit tre sensible la situation et aux pressions politiques et conomiques propres au pays touch L quipe doit structurer ses questions afin que de ne pas cr er d attentes Le r le de l UNDAC doit tre connu des autorit s tous les niveaux L quipe charg e de l valuation doit galement avoir conscience des pressions qu elle subira de la part des responsables du pays touch et d autres personnes pour identifier les besoins qui d clencheront la fourniture d aide Il convient de recommander une absence de besoin d aide suppl mentaire si une visite sur le terrain r v le que la catastrophe est moins grave que ne le laissent para tre les rapports r dig s par des tiers et la couverture des m dia Recouper les informations afin d obtenir confirmation Il est toujours pr f rable de recouper vos informations aupr s d au moins deux sources diff rentes Si un survivant vous dit qu il y a une pouss e de paludisme informez vous aupr s de la pharmacie afin de conna tre les traitements utilis s Rejet de l valuation Un ph nom ne de rejet peut avoir lieu lorsqu une r gion a t valu e plusieurs fois par diff rentes quipes d valuation Les personnes interrog es se sentent frustr es car elles doiven
61. 4 KATRE 5 CINQUE salasi j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing r doc 15 07 2008 09 07 6 SISSE 7 SETE 8 HUITE 9 NEUFE Les chiffres sont g n ralement transmis unit par unit sauf les multiples exacts de cent et de mille qui sont prononc s comme tels Quelques exemples de prononciation 12 DOUZE 44 KATRE KATRE 90 NEUFE ZERO 136 UN TROUA SISSE 500 CINQUE CENT 7000 SETE MILLE 16 000 UN SI MILLE 1478 UN KATRE SETE HUITE 19A UN NEUFE ALPHA R 2 2 Termes de proc dure On trouvera ci apr s une liste des termes de proc dures utiliser les plus courants et leur signification Termes de proc dure Signification ACKNOWLEDGE ACCUSEZ RECEPTION Confirmez que vous avez re u mon message et faites l aper u AFFIRMATIVE NEGATIVE AFFIRMATIF NEGATIF Oui Correct Non Incorrect ALL AFTER ou ALL BEFORE TOUT APRES ou TOUT AVANT Tout ce qui a t transmis par vous ou par moi apr s mot cl Tout ce qui a t transmis par vous ou par moi avant mot cl CORRECT C EST CORRECT CORRECT C EST CORRECT Ce que vous avez transmis est correct CORRECTION Une erreur a t faite dans la transmission Celle ci continuera avec le dernier mot groupe correctement transmis j undac team handbook undac handbook 2007 fran
62. BCAH Ne pas discuter des financements qui seront fournis par le BCAH sauf si vous en tes certain D 6 Plan d action Le plan d action de la mission de l UNDAC doit tre arr t le plus t t possible Il doit traduire les informations disponibles sur la situation d urgence les objectifs de la mission et les activit s envisag es de l quipe UNDAC en fonction de sa composition et des moyens disponibles Il est labor en deux temps Dans un premier temps les grandes lignes sont d finies la lumi re des informations disponibles avant le d part C est le chef de l quipe UNDAC qui est charg de l laboration du plan d action Le chef d quipe doit faire appel aux comp tences des membres de l quipe pour l laboration du plan Il est galement tenu d informer le BCAH et le CR CH du plan d action et au fur et mesure de toutes les modifications qui y sont apport es Dans un second temps le plan d action r sulte de la consolidation du plan d arriv e des premi res mesures prises et des r unions d information avec le CR CH et l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes Lors de la mise jour du plan d action l quipe UNDAC doit prendre en compte les points suivants Consolidation e Se mettre d accord sur un bilan de la situation des besoins des capacit s des lacunes et du r le de l quipe R viser le mandat et les objectifs de la mission Fournir un ra
63. Inondations raz de mar e temp tes ouragans typhons et cyclones D bordement des eaux us es et d versements chimiques en provenance des routes des fermes et des usines produits chimiques domestiques endommag s par les eaux peinture pesticides solvants sources d eau insalubres Feux de for t Perte de biodiversit et d habitats cologiquement sensibles Pollution a rienne due aux fum es et aux brouillards polluants S cheresses Destruction de l habitat et des r coltes Eruptions volcaniques Produits toxiques provenant des ruptions Glissements de terrain D g ts caus s aux habitations Dans la plupart des situations d urgence environnementale notamment en cas de d versement ou de risque de d versement de mati res dangereuses dans l environnement une action imm diate est requise pour att nuer les effets sur l air le sol l eau et la population J 5 Collecte de l information Interroger les bonnes personnes en posant les bonnes questions est une m thode essentielle pour identifier les effets graves sur l environnement dus une situation d urgence environnementale Les bonnes personnes sont souvent les autorit s locales de gestion des urgences comme les services de police et les pompiers les administrateurs locaux les autorit s municipales ou les repr sentants du secteur de l environnement G n ralement ils disposent des connaissances les plu
64. La plupart des blessures dues aux mines arrivent parce que les personnes n ont pas vu les mines qui sont g n ralement enterr es camoufl es ou couvertes par la v g tation ou simplement parce que la victime regarde dans la mauvaise direction tre attentif et savoir observer certains signes ne vous permettra pas de traverser les zones min es en toute s curit mais cela rendra votre travers e plus s re Voici certains indices que vous devez chercher pour viter les mines e Des formes et des couleurs inhabituelles dans la nature lames aiguis es objets ronds ou rectangulaires surfaces de couleur rouille couleurs m talliques et surfaces en plastique Les mines sont g n ralement rondes cylindriques ou rectangulaires et peuvent tre en m tal en plastique ou en bois e C bles pars tendus partiellement enterr s ou enchev tr s lignes de p che etc Les c bles peuvent tre reli s aux mines et ne doivent jamais tre touch s e Piquets poteaux etc en particulier s ils sont reli s des c bles Ils peuvent tre raccord s des mines e Indicateurs de la pr sence de mines r sultant de d tonations par exemple des restes d animaux des morceaux de chaussures etc e Signes indiquant que des combats ont eu lieu dans la zone travers e bunkers fils barbel s armes casques v hicules d truits munitions etc e B timents ayant peut tre t occup s ou utilis s lors des combats e Apr s de fort
65. Parfois cet tat n existe tout simplement pas ou son autorit et sa capacit d action sont limit es Le cas chant l application des principes de la r solution 46 182 aux situations d urgence complexes se r v le probl matique et l engagement envers les victimes prime alors sur l engagement vis vis de l tat Toutefois pour mener bien son travail de coordination le BCAH devra reconna tre la l gitimit des autorit s en concurrence en d veloppant et p rennisant de v ritables relations avec l tat mais aussi avec ses d tracteurs et les partis de l opposition Calendrier Les besoins humains fondamentaux tels que la s curit l alimentation l acc s l eau le logement et les traitements m dicaux sont les m mes dans le cas des catastrophes naturelles ou des situations d urgence complexe cependant la pr sence des quipes UNDAC lors de catastrophes naturelles est de plus courte dur e En effet dans ce cas la rapidit de l intervention est essentielle et doit se mesurer en heures et en jours tout particuli rement dans le cas d un s isme o les victimes ne peuvent survivre plus de trois ou quatre jours si elles ne sont pas secourues Au contraire pour la plupart des situations d urgence complexes la pr sence et la coordination du BCAH sont n cessaires pendant une p riode plus longue et les besoins g n r s deviennent chroniques cela affecte in vitablement la concept
66. Repr sentants Envoy s sp ciaux aalas j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing r doc 15 07 2008 09 07 Victor Whisky X ray R serv aux ONG Yankee R serv aux ONG Zulu R serv aux ONG Par exemple le personnel BCAH travaillant Muzaffarabad utiliserait Delta Oscar comme les deux premi res lettres de leur signal d appel Le premier chiffre du signal d appel indique la poste au sein de l agence Chiffre Service 1 Responsables de gestion et autres 2 Finance Administration 3 Logistique 4 Programme 5 Personnel de s curit gardes 6 Agences sp cifiques T Chauffeurs 8 Personnel de soutien technique par ex T l coms TI etc 9 Visiteurs Agence sp cifique Le ou les deux dernier s chiffre s indiquent les diff rentes personnes dans le service Par exemple le chef de l UNDAC Muzaffarabad Delta Oscar 1 l adjoint Delta Oscar 11 j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing r doc 15 07 2008 09 07 S REFERENCES S 1 Conversion syst me m trique syst me anglo saxon S 2 Caract ristiques des communications par radio et satellite S 3 Caract ristiques des avions pouvant tre utilis s pendant les op rations de sauvetage en cas de catastrophe S 4 Caract ristiques des h licopt res pouv
67. abaisser la poitrine de la victime de 2 5 cm pour un adulte Comptez voix haute jusqu cinq de mani re r guli re vous devez aller l g rement plus vite qu une compression par seconde 80 100 compressions minute Effectuez 30 compressions thoraciques au total 8 Continuez la respiration artificielle Vous devez continuer oxyg ner la victime par le bouche bouche Donnez deux insufflations Recommencez 9 Alternez compressions et insufflations Effectuez 30 compressions thoraciques puis deux insufflations tablissez un rythme r gulier en comptant voix haute V rifiez le pouls et la respiration apr s quatre cycles Continuez si possible jusqu l arriv e des secours 10 R aliser la RCP sur un enfant La proc dure est quasiment la m me mais vous n utilisez qu une seule main pour les compressions thoraciques et vous effectuez cinq compressions d affil e Vous effectuez ensuite une insufflation plus doucement que pour un adulte 11 La RCP deux sauveteurs Une personne fournit l assistance respiratoire tandis que l autre r alise les compressions cardiaques un rythme de 80 100 compressions par minute Apr s cinq compressions cons cutives vous pouvez faire une pause pour permettre l autre sauveteur de donner une insufflation Autres situations d urgence Lorsque vous savez que l ABC de votre patient est correct vous pouvez passer l examen des ventuels autres
68. ais par chapitre french handbook for printing r doc aaie 15 07 2008 09 07 Une erreur a t faite dans la transmission La version correcte est la suivante Ce qui suit est la version corrig e en r ponse votre demande de v rification WRONG ERREUR Votre derni re transmission tait incorrecte La version correcte est DISREGARD THIS TRANSMISSION OUT NE TENEZ PAS COMPTE DE LA TRANSMISSION TERMINE La transmission est une erreur N en tenez pas compte Ce terme de proc dure ne doit pas tre utilis pour annuler un message qui a d j t enti rement transmis et dont il a t accus de r ception DO NOT ANSWER OUT NE REPONDEZ PAS TERMINE La les station s appel es ne doi ven t pas r pondre l appel accuser r ception du message ni transmettre ce sujet SILENCE SILENCE SILENCE Cessez imm diatement toutes les transmissions sur le r seau Le silence sera maintenu jusqu nouvel ordre SILENCE LIFTED FIN DE SILENCE La consigne de silence est lev e Le r seau est rouvert au trafic END OF MESSAGE OVER OUT FIN DE MESSAGE TERMINE Ainsi s ach ve le message qui vient d tre transmis de m me que les instructions de transmission d un message officiel END OF TEXT FIN DE TEXTE Le texte d un message officiel est termin Restez l coute pour les instructions de transmission qui vont imm diatement
69. analyse des informations cela ne s applique pas l analyse des informations sp cifiques aux diff rents secteurs Traitement d informations coh rentes Au cours d une valuation on est amen faire face au probl me des informations contradictoires Cela se produit lorsque les personnes interrog es donnent des r ponses diff rentes des questions identiques Exemple e Une personne vous dit que la source d eau est tarie pendant deux mois de l ann e alors qu une autre vous dit qu elle ne se tarit jamais e Une personne vous dit que tous les animaux du village sont morts Et une autre vous dit que la moiti du b tail est en vie et pa t l cart Consid rez les raisons des incoh rences Voici trois explications possibles e La perception Il n existe pas toujours de r ponse exacte L interpr tation des v nements d pend de la situation et du point de vue des personnes interrog es e L acc s aux informations Certaines personnes sont mieux inform es que d autres e La d naturation Il arrive que les personnes interrog es fournissent d lib r ment des informations erron es Il existe une mani re de proc der afin de pr venir les incoh rences et de r duire leurs Une couverture pour les t l phones cellulaires effets Etudiez la teneur des informations mesure que vous les collectez Cela vous permettra d identifier les contradictions Posez vous les questions s
70. applicables l ensemble du syst me et sont g r es par le DSS R f rence MOSS Un document de r f rence MOSS a t tabli gr ce au dialogue et la coop ration entre le DSS les DO et les repr sentants des agences des programmes des fonds et d autres organisations des Nations Unies L objectif des MOSS est d tablir des crit res standard bas s sur le terrain pour des dispositifs de s curit minimaux permettant d am liorer la s curit du personnel de r duire les risques et de soutenir les op rations de terrain Cette r f rence MOSS est un document g n rique qui d finit les normes de s curit op rationnelles pour les op rations de terrain des Nations Unies dans leur ensemble Conform ment la politique de gestion de la s curit des Nations Unies tous les DO et leur SMT quelle que soit la phase de s curit d clar e dans leur pays doivent tablir et mettre en uvre des MOSS sp cifiques au pays en utilisant la r f rence MOSS comme orientation Responsabilit Selon le rapport du Secr taire g n ral dat du 28 ao t 2002 et intitul Mesures de s curit inter institutionnelles Cadre de responsabilit pour le syst me de gestion de la s curit sur le terrain des Nations Unies les MOSS sont du ressort des dirigeants sur le terrain et dans les si ges d agence et impliquent donc leur responsabilit Variations de la r f rence MOSS Il faut souligner que les MOSS on
71. aussi le Chapitre L La coordination civilo militaire B 5 5 La coordination des ONG Toute situation d urgence peut entra ner l arriv e de nombreuses ONG qui peuvent se regrouper au sein d organes de coordination pour subvenir leurs besoins collectifs et int grer leurs activit s afin d optimiser l impact de leur action Cette coordination peut tre g r e par le Conseil international des agences b n voles CIAB InterAction le Comit directeur pour les interventions humanitaires SCHR ou toute autre organisation regroupant des ONG Les activit s de ces organes doivent tre int gr es au travail de coordination global du BCAH B 5 6 La coordination des donateurs Dans certains situations d urgence les donateurs peuvent cr er un organe de coordination leurs propres fins Ces organes sont plut t cr s au plus fort de la crise quand les donateurs ont besoin d informations fiables rapidement et qu ils ne parviennent pas les obtenir individuellement Ces activit s peuvent aussi se poursuivre pendant la phase de r habilitation et de reconstruction B 6 Catastrophes naturelles et situations d urgence complexes principales diff rences Si chaque situation d urgence est unique l environnement et la gestion de l intervention sont pour un certain nombre de points similaires dans le cas d une catastrophe naturelle ou d une situation d urgence complexe n anmoins des diff rences si
72. bord L OSOCC doit tenir un journal de bord dans lequel sont consign s tous les messages t l phoniques et radio re us et envoy s ainsi que les actions entreprises Le journal doit comporter les rubriques suivantes Num ro de s rie Heure de r ception d envoi De Contenu du message Mesure entreprise et Initiales Tout message re u ou envoy doit tre not dans le journal Celui ci doit galement contenir tous les v nements d int r t g n ral La mise jour exacte du journal permettra l quipe de l OSOCC d en tirer les avantages suivants e Les actions informations sont consign es de mani re continue ce qui permet au personnel revenant OSOCC apr s une absence de se mettre jour e Une base pour les r unions d information et les rapports de situation est disponible tout moment e Une base est disponible pour les rapports de mission et les r unions sur les enseignements tir s permettant de revenir sur les v nements et de rappeler ce qui est arriv quand o et avec qui Pensez commencer le journal de bord d s votre arriv e Sinon il sera difficile une tape plus avanc e de retrouver les v nements manquants et de vous rappeler ce qui s est pass Cela risque de faire prendre du retard POSOCC Cartes d information L information visuelle est un excellent moyen de pr sentation et permet galement l quipe de garder une vue
73. cessit de d signer un responsable national charg de centraliser tous les domaines li s la catastrophe notamment l att nuation des effets et la r ponse et d am liorer la capacit r agir de l ONU PNUD dans les pays M 2 4 Haut Commissaire aux r fugi s des Nations Unies HCR La majorit des programmes du HCR sont lanc s en r ponse un type particulier de situation d urgence savoir un flux soudain de r fugi s La r ponse du HCR a pour but d apporter une protection aux personnes dont la situation pr occupe l organisation et de veiller ce que l aide n cessaire leur parvienne temps En ce qui concerne l aide mat rielle l objectif du HCR est la survie des r fugi s en assurant un apport suffisant de nourriture de base et compl mentaire des soins m dicaux l h bergement l approvisionnement en eau et les installations sanitaires les v tements et les services communautaires essentiels Une grande part de l aide mat rielle du HCR passe par ses partenaires pour la mise en uvre du projet c est dire le Gouvernement du pays d accueil et les ONG D finitions et principes fondamentaux relatifs l aide du HCR aux r fugi s Aux termes du Statut du HCR adopt en annexe la r solution de l assembl e g n rale 428 de d cembre 1951 un r fugi est Toute personne qui craignant avec raison d tre pers cut e du fait de sa race de sa religion de sa nationalit ou de ses opinions politiques s
74. curit dans le pays DSA Indemnit s journali res de subsistance DSS D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies ECHO Service d Aide Humanitaire de la Commission europ enne Union europ enne EGC quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes ERC Coordonnateur des secours d urgence des Nations Unies D partement de la traduction aa j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc 15 07 2008 10 07 9 Sigle anglais ou fran ais Forme d velopp e ESB Services des situations d urgence BCAH FACT Equipe de Coordination et d Evaluation de Terrain FICR FAO Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture FCSS Section de soutien la coordination sur le terrain BCAH FICR F d ration internationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge FIS Section d information sur le terrain BCAH FNUAP Fonds des Nations Unies pour la Population FRF Finn Rescue Force Finlande FSCO Coordonnateur des mesures de s curit sur le terrain DSS des Nations Unies GDACS Syst me d alerte rapide en cas de catastrophe HAZMAT mati res dangereuses HCNUDH Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l homme HCR Haut Commissariat des Nations Unies pour les r fugi s IASC Comit
75. d ensemble de l op ration Sur un mur de l OSOCC affichez des cartes d information couvrant la zone des op rations humanitaires Sur ces cartes plastifi es indiquez les informations suivantes e Localisation des diff rentes organisations humanitaires Pour les op rations de recherche et de sauvetage en milieu urbain USAR indiquez galement les secteurs op rationnels de chaque quipe e Localisation des principales autorit s locales de gestion des urgences LEMA brigades de pompiers commissariats de police centres de communication et tats majors e Localisation de l OSOCC e Localisation des principales installations logistiques a rodromes et ou gares e Tout incident li la s curit e Autres informations pouvant faire l objet d un affichage Sur les marges de la carte vous pouvez noter la liste des num ros de t l phone des principaux partenaires de l op ration humanitaire Encouragez les membres des diff rents organismes venir l OSOCC pour mettre jour les informations affich es sur la carte concernant leur organisation respective Si cette carte est r guli rement mise Jour vous vous apercevrez bient t qu il existe tr s peu d endroits o toutes les informations mentionn es ci dessus sont affich es Cette carte d information deviendra rapidement un p le tr s attractif pour les travailleurs humanitaires Les cartes peuvent tre fournies par UNOSAT ou Reliefweb s
76. d un conflit e Veiller ce que les secours contribuent au d veloppement futur et que les plans de d veloppement incluent des mesures d att nuation de planification pr alable et de pr vention des catastrophes e Soutenir et renforcer les capacit s des pays en mati re d intervention d urgence B 2 2 But et objectifs du BCAH sur le terrain But sur le terrain Le but de la coordination humanitaire est de garantir que les acteurs de l aide humanitaire intervenant en cas de catastrophe ou dans une situation d urgence travaillent dans la m me optique la m me conception strat gique fournissent leur aide de mani re compl mentaire en fonction de leurs missions et capacit s respectives et adaptent leurs activit s aux d cisions communes concernant les modifications de la situation et donc des besoins Les exigences de la coordination humanitaire sont doubles strat giques et op rationnelles ces deux aspects tant interd pendants La coordination strat gique La coordination strat gique prend en charge la direction du programme humanitaire dans son ensemble Elle d finit les objectifs du programme en menant une analyse strat gique commune du probl me affecte les t ches et les responsabilit s en fonction des missions et des capacit s et s assure que cette organisation est d taill e dans un plan strat gique Par ailleurs elle comprend la promotion des principes de l aide humanitaire et v rifie que
77. d une valuation initiale des moyens disponibles dans la zone touch e Le module renforc est d ploy sur le terrain quelques jours apr s la demande initiale Selon les conditions d acc s et de transport la section de coordination civilo militaire du BCAH et l unit de soutien logistique peuvent tre amen es fournir des capacit s de transport Le module doit arriver avec du personnel de soutien en nombre suffisant pour faciliter l op ration durant les 5 6 premi res semaines La liste des quipements figurant dans ce module ne comprend pas les besoins en kits personnels ou l administration du personnel de soutien du ou des pays qui fournit les ressources Acc s Internet L acc s Internet est fourni par T l coms sans fronti res TSF dans le cadre d un accord permanent avec le BCAH D 7 2 Partenariat humanitaire Asie Pacifique PHAP Le Partenariat humanitaire international a t pr sent la r gion Asie Pacifique et fournit l quivalent du module TIC Le PHAP comprend l Australie la Chine le Japon la R publique de Cor e la Nouvelle Z lande et Singapour Ces pays se sont officieusement divis la r gion entre eux l Australie et la Nouvelle Z lande s occupant des pays de la r gion Pacifique et les autre pays de la r gion Asie D 7 3 La r gion des Am riques Dans la r gion des Am riques le module TIC est fourni par TSF en partenariat avec l Agence des Etats Unis pour
78. dans une note commune du 26 avril 1999 publi e par le Coordonnateur des secours d urgence et le PNUD Le BCAH autorise habituellement le CR CH exposer les d penses pour le compte du BCAH dans une certaine limite notamment pour le co t des d placements l int rieur du pays y compris la location de v hicules si n cessaire et le recrutement de personnel local conducteurs et interpr tes en tant que de besoin Le chef de l quipe UNDAC est inform du montant autoris pour chaque cas En r gle g n ral il transporte la lettre d autorisation depuis Gen ve Le BCAH peut galement apporter un soutien direct la mission en tant que de besoin D 7 1 Le Partenariat humanitaire international quipement des modules de soutien L objectif des modules de soutien de l UNDAC est d assurer le d ploiement rapide dans les 24 heures suivant la demande d un soutien adapt flexible et tr s mobile aux missions de l UNDAC Les modules de soutien apportent l quipe UNDAC des quipements sp cifiques l appui de l op ration et du personnel form qui peuvent galement servir des t ches plus g n rales de la mission La Section de soutien la coordination sur le terrain s efforce de mobiliser et de d ployer des modules de soutien toutes les missions de l UNDAC il s agit habituellement de modules de technologies de l information et de la communication TIC pris en charge par une ou deux pe
79. de l information a des relations avec le public La cellule de gestion de l information de l OSOCC doit se trouver dans un endroit calme qui n est pas accessible au public Au sein de la cellule de gestion de l information toutes les informations provenant des centres de r ception et de d part des secteurs des missions d valuation et des autres sources sont compil es analys es et pr sent es sous la forme n cessaire aux fins de diffusion bases de donn es rapports de situation graphiques courriels fiches synth tiques La cellule de gestion de l information est la composante cl de l OSOCC Le personnel du module d appui de PUNDAC n est pas int gr dans l OSOCC Il doit tre inclus dans la conception et la gestion de l OSOCC et se voir confier des missions concr tes en fonction de son exp rience valuation gestion de l information et logistique au del m me de l emplacement physique de l OSOCC Absence de ma trise des foules L OSOCC doit mettre en place un syst me de ma trise des foules par exemple un bureau d accueil l entr e ou en dehors du centre sous un auvent afin d viter toute relation non ma tris e avec le public Relations avec les autorit s nationale locales Les relations avec les autorit s nationales locales sont tablies trop tard Le chef de l quipe UNDAC doit prendre contact d s que possible avec les autorit s civiles et militaires locales qui intervienn
80. de production d lectricit du syst me commun ind pendante et fiable qui garantit le fonctionnement du mat riel de communication la disponibilit tout moment de l clairage de s curit et la possibilit de maintenir les activit s essentielles m me en cas d arr t de l approvisionnement en lectricit fourni par la ville ou par une entreprise Dans tous les cas une r serve de carburant d urgence est n cessaire pour ces quipements Un plan d urgence pour l approvisionnement du mat riel de la phase I doit tre tabli Le DSS fournit certains quipements courants au CSA FSCO T l communications Des radios sont n cessaires l tablissement de la phase I ou de PECS car elles repr sentent un moyen de communication ind pendant que n offrent par les t l phones mobiles portatifs et par satellite Dans la phase I PECS est renforc par un r seau de radio UHF VHF et ou HF compl tement op rationnel et ind pendant L ECS en phase I doit tre contr l 24h 24 ce qui garantit l efficacit de la prise en charge des appels d urgence Un syst me simple d identification des agents de permanence peut tre n cessaire des fins de contr le De cette mani re un lien de s curit est maintenu entre tous les responsables charg s de la s curit sur le lieu d affectation Enfin il est n cessaire d tablir et d quiper un centre de communication une salle radio co
81. de s curit et de nommer des ASC selon les besoins Chaque quipe pays doit tablir des proc dures op rationnelles permanentes POP pour divers sc narios d urgence Tous les b timents doivent disposer d un plan d vacuation d urgence Le personnel doit tre inform de mani re exhaustive du contenu de ces documents et avoir acc s tous les documents pertinents des Nations Unies concernant la s curit op rationnelle Tous les membres du personnel des Nations Unies doivent prendre connaissance du contenu du CD ROM Basic Security Awareness Les coordonnateurs des mesures de s curit doivent fournir une formation et organiser des r unions d information pour l ensemble du personnel et les membres charg s de la s curit Les CSA FSCO doivent suivre ces formations et le DSS peut apporter des ressources suppl mentaires Des plans d urgence pour la phase I doivent tre tablis quipement Tous les v hicules des Nations Unies peuvent tre utilis s dans toutes les r gions du pays quelles que soient les phases de s curit Tous les conducteurs des Nations Unies doivent tre munis des documents appropri s permis de conduire national et ou certification appropri e des Nations Unies Tous les v hicules des Nations Unies doivent pouvoir tre identifi s tout moment et tre correctement enregistr s et assur s dans le pays L approvisionnement d urgence en lectricit est une source
82. de secours et les autorit s nationales e Suivre et valuer l efficacit et l impact des op rations et recommander des mesures de suivi R sultat attendu Plan d int gration des activit s de coordination et de secours Fonction Gestion de l information Mission Compiler et analyser les informations provenant de sources ext rieures centres de r ception et de d part rapports d valuation rapports de situation presse etc et les convertir dans le format ad quat pour diffusion aux intervenants rapports de situation bases de donn es diagrammes etc L officier de gestion de l information travaille en troite coop ration avec toutes les autres membres de l quipe Liste de contr le e Collecter compiler analyser et diffuser des informations sur toutes les activit s des ONG des donateurs des m dias des institutions des Nations Unies et des autres organismes de secours internationaux et nationaux e D cider quelle information doit tre obtenue de l quipe sous quelle forme et la fr quence laquelle cette information doit tre communiqu e e Pr parer des rapports de situation e Mettre en place et tenir jour un registre central des organisations y compris des informations sur les capacit s et les op rations men es e Coordonner la pr paration et la r alisation d enqu tes communes d valuation de questionnaires et d autres mesures de coll
83. des annonces sur les op rations humanitaires les r unions de coordination les missions d valuation etc Ce panneau permet d harmoniser les besoins et les ressources des organisations humanitaires tout en facilitant la diffusion de l information R unions de coordination d information Organisez r guli rement des r unions de coordination g n rale que vous pr siderez et auxquelles tous les partenaires sont convi s LEMA ONG locales et internationales militaires et organisations de secours internationales C est une occasion id ale pour changer des informations Organisez galement des r unions avec les dirigeants des organismes des Nations Unies et des agences chef de file Ces agences doivent organiser des r unions de coordination qu elles pr sideront dans leur secteur sp cifique Il vous faudra peut tre leur fournir un soutien important en convoquant les r unions en les organisant et en tablissant des rapports sur les secteurs dans les premiers jours de la crise Lorsque l agence chef de file prend le relais essayez d assister aux r unions entre les secteurs aussi souvent que possible et ou assurez vous que les proc s verbaux sont tablis et mis disposition POSOCC L quipe UNDAC doit galement assister aux r unions de coordination organis es par les autorit s locales Un calendrier des r unions doit tre mis jour et affich l OSOCC Le r sultat de toutes ces r unions vou
84. des maladies respiratoires L eau La pollution de l eau peut tre critique dans les situations o les sources d eau potable sont contamin es La vie aquatique peut tre mise en danger lorsque des masses d eau sont pollu es Les populations humaine et animale sont menac es moyen ou long terme car elles consomment souvent des types de poissons connus pour accumuler les substances toxiques Le sol La pollution du sol et de la v g tation ne constitue g n ralement pas une menace imm diate pour la population et l environnement Cette pollution peut cependant g cher les ressources alimentaires et avoir un effet sur les r serves d eau souterraines si elle p n tre suffisamment profond ment dans le sol Effets court et long terme Bien qu ils ne soient pas imm diatement visibles lors de la phase d intervention la suite d une catastrophe les effets long terme sur l environnement finissent par se concr tiser sous la forme de modifications dans les cosyst mes Certaines formes de v g tation peuvent voir leur croissance stopper les insectes et les animaux peuvent quitter la Zone la vie aquatique peut tre menac e et les zones humides essentielles la pr servation des eaux souterraines des poissons et de l habitat de la faune peuvent tre d truites Symboles de transport de l ONU Ci dessous figure une liste des symboles de PONU pour le transport des produits dangereux Ces symboles p
85. douleur et un engourdissement suivis d une perte de sensation La gravit de la gelure d pend de la dur e de l exposition et de la temp rature et au pire elle peut aboutir une perte des membres Q 4 3 Effets des basses temp ratures Les temp ratures estivales des altitudes lev es varient de 10 C 20 C La fourchette moyenne de temp ratures hivernales va de 15 C 35 C Parfois les temp ratures tombent jusqu 55 C Conjugu au facteur de refroidissement du vent cela entra ne des effets et des causes polaires extr mes dus au froid e Un grand nombre de victimes de l sions dues au froid Il est indispensable de disposer de v tements sp ciaux prot geant contre un froid extr me et d abris sp ciaux pour un milieu de ce type e Les d faillances d quipements tels que des radios en raison de pannes dues au froid Un quipement sp cial adapt des temp ratures hivernales extr mes est n cessaire e Les pannes de v hicules pouvant se d placer sur la neige en raison d un gel du syst me Cela requiert des abris sp ciaux des proc dures de maintenance et une expertise du maniement de ce genre de v hicule e L incapacit des h licopt res disponibles entreprendre une mission avant la fin de la matin e en raison de l incapacit de l quipe technique au sol assurer l entretien avant le vol Q 4 4 Imp ratifs op rationnels En haute altitude les imp ratifs op
86. e rapports de mission objectifs public quipe UNDAC centre de coordination quipes de PONU dans les pays gouvernement national bureau du BCAH donateurs e format identique pour tous les rapports et introduction leur r daction au cours de la mission e quel volume c est dire combien de temps et quelle somme de travail y consacrer Sch ma des comp tences essentielles du syst me UNDAC R unions pr sidence participation compte rendus N gociations avec les autorit s et l ONU Premiers secours Utilisation des moyens de communication modernes Technologies de l information Gestion du temps Gestion de l quipe Gestion du personnel rapports appels D partement de la traduction j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc Planification Bilan Connaissance des questions de s curit Connaissance de la culture om p tences n cessaires Connaissance aux missions des m dias UNDAC F Gestion du stress Interviews interroger et couter Analyse gestion de l infor mation R daction Pr sentation pr sentation graphique de l information 14 07 2008 08 07 D MOBILISATION ET MISSION D 1 Proc dure type de mobilisation D 1 1 Mobilisation D 1 2 Message de suspension M3b D 1 3 Fin de la mission D 1 4 Test test MI et test M2 D 1 5 Autre proc dure de mobilisation virtuelle D 2 Pr parati
87. efficace et coordonn e soit apport e au niveau du pays par le syst me des Nations Unies en cas de catastrophe L quipe doit assurer un programme syst matique et int gr d aide des Nations Unies au Gouvernement b n ficiaire en termes de r habilitation de reconstruction et d att nuation des effets d une catastrophe L quipe doit coordonner toutes les activit s de secours les conseils techniques et l aide mat rielle fournie par les agences des Nations Unies ainsi que prendre des mesures en vue d viter le gaspillage que repr sentent le double emploi des ressources ou la concurrence pour celles ci de la part des agences des Nations Unies L EGC s associe galement l quipe de gestion des secours en cas d urgence du Gouvernement b n ficiaire dont un repr sentant peut pour des raisons pratiques tre int gr l EGC Dans la pratique il est vital que les mesures prises par l EGC soient li es celles qui sont approuv es par le Gouvernement Il ne faut pas oublier que pendant une catastrophe le CR CH et l EGC font rapport au Coordonnateur des Secours d Urgence de l ONU ERC Il appartient galement l EGC d assurer une capacit ad quate r agir en cas de catastrophe L EGC doit se r unir r guli rement dans les pays expos s au risque de catastrophes et a galement pour t che de planifier l organisation des secours d appoint en cas de catastrophe Dans certains pays l EGC peut tre largie des repr sent
88. effort important pour une quipe de secours Pour pr voir cette possibilit une formation compl mentaire des membres de l quipe de secours peut tre n cessaire de m me que l acquisition d quipements suppl mentaires Il est essentiel qu au fur et mesure de l arriv e des quipes de secours internationales celles ci se montrent dispos es appuyer les besoins de POSOCC en termes de personnel et d quipement quipement de l OSOCC Les besoins de l OSOCC en termes d quipement varient en fonction de la nature de la catastrophe et du niveau auquel l OSOCC intervient Un module d appui de l UNDAC est g n ralement d ploy en m me temps que l quipe UNDAC qui transporte l quipement essentiel n cessaire la mise en place d un OSOCC En outre le chef de l quipe UNDAC doit galement transporter une partie de l quipement Cf galement chapitre D Mobilisation et mission Il est parfois n cessaire que des quipes de secours internationales contribuent l quipement et l approvisionnement de l OSOCC partir de leurs propres quipements et approvisionnements Il se peut que la premi re quipe de secours qui arrive qui peut mettre en place l OSOCC et le RDC doive partager une partie de ses ressources pour permettre l OSOCC de fonctionner D veloppement de l OSOCC L OSOCC doit tre cr avec suffisamment de souplesse pour s adapter l ampleur et
89. en cas de situations de Catastrophe de l USAID DART Le Bureau de l assistance aux pays trangers en cas de Catastrophe OFDA de l Agence des Etats Unis pour le d veloppement international USAID peut d ployer un quipe DART de mani re fournir une aide de r action rapide des situations de catastrophes de grande ampleur et urgentes et ou quand une aide prolong e est n cessaire Une quipe DART est compos e de sp cialistes form s diff rentes comp tences en mati re de secours d urgence en cas de catastrophes et assiste la Mission USAID ou l Ambassade des Etats Unis dans la gestion de la r action du Gouvernement des Etats Unis la catastrophe Une quipe DART fournit des effectifs op rationnels de l USAID capables de mener bien des activit s d aide soutenues pouvant consister en ce qui suit e Apporter une aide technique l Ambassadeur des Etats Unis dans l laboration et la r alisation d actions appropri es du Gouvernement am ricain en r action une catastrophe e D velopper et mettre en uvre la strat gie de r ponse de l USAID e Poursuivre les valuations et les comptes rendus sur la situation de catastrophe et recommander des actions de suivi notamment des niveaux de financement propos s e _ Coordonner le mouvement et l exp dition des colis d aide humanitaire e Analyser la capacit actuelle de l infrastructure et des organismes de secours fournir une r ponse appropri e et effi
90. espace de chargement de l avion peut ainsi tre augment mais la s curisation du chargement peut se r v ler plus difficile En outre le chargement en vrac ralentit le chargement et le d chargement le tri la distribution et les proc dures douani res e Chargement sur palettes Le chargement est d abord plac sur des palettes maintenu en place par des filets des sangles ou des cordes et ensuite charg dans l avion Cette m thode est souvent utilis e pour d placer des marchandises du Bureau de l assistance aux pays trangers en cas de catastrophe OFDA Etats Unis L OFDA utilise habituellement des avions de l arm e de l air des Etats Unis pour l aide d urgence et la m thode de chargement privil gi e par l arm e de l air am ricaine est l utilisation de palettes et de filets Les avions commerciaux utilisent galement des palettes Les palettes militaires 463L mesurent approximativement 2 20m x 2 70m p sent environ 160 kg et sont en aluminium Les palettes charg es p sent entre 900 et 2700 kg Ces palettes sont r utilisables et doivent tre retourn es Faites en sorte de ne pas les laisser pas sur place Elles sont utilis es sur les CBS les CB17 les CB141 les CB130 et sur certains avions commerciaux A des fins de programmation logistique lorsque vous chargez les palettes limitez leur hauteur environ 2 40 m dans ces avions moins que le chef d quipage ne vous autorise entrepose
91. est plus facile de d gager les voies respiratoires si le patient est debout Mettez vous derri re lui serrez un poing et placez le sur son abdomen le pouce vers le patient entre le nombril et le bas de la cage thoracique Saisissez votre poignet avec l autre main Compressez l abdomen d un coup vif vers l int rieur et vers le haut R p tez jusqu ce que les voies a riennes soient d gag es Si la personne s est vanouie est trop imposante pour que vous puissiez l entourer ou si elle ne peut tre mise debout allongez la sur le dos tournez sa t te sur un c t et effectuez une pouss e sur l abdomen deux mains comme pour la compression thoracique de la RCP Continuez de surveiller ABC et soignez la pour le choc s il y a lieu Si vous avez r ussi d gager l obstruction mais que le patient ne recommence pas respirer pratiquer le bouche bouche qui constitue une partie de la r animation cardio pulmonaire RCP 1 Positionnez la victime Placez la victime sur le dos Agenouillez vous et placez vous avec une inclinaison correcte par rapport au corps de la victime vos genoux perpendiculaires au cou et aux paules de la victime 2 Inclinaison de la t te l vation du menton Placez votre paume sur le front de la personne et poussez le doucement vers l arri re en mettant le majeur et l annulaire de l autre main le long de la m choire de la victime en inclinant la t te et en soulevant
92. et pendant la dur e de celle ci il informe l ERC qui est aussi le Sous secr taire g n ral aux affaires humanitaires c est dire le responsable de BCAH Le Coordonnateur humanitaire des Nations Unies CH Si la situation d urgence prend trop d ampleur tant en termes de taille que de complexit PERC en collaboration avec les agences de l ONU peut d signer un CH S il en a les comp tences le CR est d sign comme CH si ce n est pas le cas un CH ou un nouveau CR assurant les deux fonctions sera d sign Dans les pays o le risque d apparition d une situation d urgence complexe ou d envergure est significatif l Administrateur du PNUD s efforce de trouver par le biais d une formation sp cifique ou d une rotation acc l r e sur le poste un CR qui poss de les comp tences humanitaires appropri es Les fonctions du CH se terminent normalement avec la fin de la situation d urgence Quand la coordination est assur e par une agence chef de file Quand une seule agence des Nations Unies assure l crasante majorit de l aide humanitaire de PONU le Comit permanent interorganisations IASC peut d signer cette agence comme Agence chef de file et son repr sentant comme CH celui ci travaillant sous l autorit de PERC et l informant des questions de coordination B 4 2 Les unit s de coordination du BCAH sur le terrain Dans le cadre des situations d urgence le BCAH s assure q
93. f rence MOSS Les tableaux suivants sont cumulatifs les exigences de la phase 0 sont valables pour toutes les phases suivantes c est dire que la phase III comprend toutes les exigences des phases 0 I et IL No Phase T l communications Le syst me de communications d urgence ECS garantit l tablissement d une structure d un lien de communication fiable entre le personnel des Nations Unies charg de la s ret et de la s curit c est dire les DO le CSA FSCO les membres de la SMT les personnes relais les ASC et le personnel s lectionn L ECS est un l ment structurel et proc dural des MOSS renforc par la radio dans la phase I L ECS est bas sur des moyens appropri s et disponibles permettant de garantir des communications de s curit s ret fiables entre les membres de la SMT les personnes relais et les ASC Il peut s agir d une combinaison de t l phones mobiles ou fixes de messagerie lectronique ou de radios selon les besoins Les t l phones mobiles par satellite sont n cessaires pour garantir le maintien des communications entre le CSA FSCO et le DO et le DSS ou d autres organisations Plan de s curit et personnel Un plan de s curit bas sur une valuation officielle des risques s curitaires est n cessaire pour tous les lieux d affectation des Nations Unies Le FSH recommande d inclure un dispositif relais op rationnel pour les questions
94. fugi s et aux personnes d plac es L UE a donn pour mission l ECHO de fournir une aide et des secours d urgence aux victimes de catastrophes naturelles ou de conflits arm s hors de l Union europ enne L ECHO a pour t che de veiller ce que les marchandises et les services parviennent rapidement aux zones touch es Ces marchandises peuvent inclure des produits de premi re n cessit des denr es alimentaires sp cifiques de l quipement m dical des m dicaments et du carburant Les services peuvent inclure des quipes m dicales des quipes de purification de l eau et un soutien logistique L ECHO a de nombreux bureaux de terrain dans le monde entier avec du personnel qu il peut d ployer rapidement vers une zone touch e par une catastrophe afin d valuer la n cessit de lancer des projets soutenus par l ECHO L ECHO ne fournit pas d aide humanitaire de mani re directe mais les marchandises et services parviennent aux zones victimes d une catastrophe par l interm diaire de partenaires ex cutants Le M canisme Communautaire de Protection Civile Le M canisme Communautaire de Protection Civile a t cr en 2001 pour faciliter la mobilisation du soutien et de l aide des Etats membres en cas de situations d urgence majeure l int rieur de l Union Au c ur du m canisme se trouve le Centre de Suivi et d Information de la Communaut MIC Le MIC re oit les alertes et les demandes d aide directement du pays f
95. informations soient biais es va de pair avec les valuations La distorsion peut tre intentionnelle par exemple la v rit peut tre exag r e pour cr er une fausse impression Elle peut d couler naturellement du point de vue de l valuateur par exemple un sp cialiste de l eau assainissement aura tendance se concentrer sur les probl mes li s l eau assainissement Elle peut tre contextuelle ainsi si vous vous rendez un point d eau t t le matin vous pourrez sans doute y constater une forte affluence de survivants alors que si vous vous y rendez au milieu de la journ e il se peut que vous n y trouviez personne Elle peut tre le r sultat de diff rences culturelles linguistiques de sexe religieuses ou sociales entre l valuateur et les personnes tudi es La distorsion ne peut pas tre compl tement limin e mais ses effets seront r duits gr ce un dialogue franc entre les membres de l quipe Distinction entre les besoins li s l urgence et les besoins chroniques Presque tous les pays en d veloppement ont des besoins chroniques de longue date dans la plupart si ce n est tous les secteurs Il est important de concevoir une valuation qui permettra de distinguer les besoins chroniques des besoins li s l urgence Les valuateurs doivent savoir faire la diff rence entre ce qui est habituel pour le lieu et ce qui a lieu en raison de la catastrophe afin que l aide alimentaire
96. informations suivantes Informations actuelles sur la situation d urgence et rapports correspondants mis jour tablir les besoins prioritaires du pays touch enregistrer les informations des membres arrivants inscrites sur la fiche signal tique de l quipe USAR voir logiciel de mission de l quipe UNDAC identifier les sites potentiels pour la base op rationnelle obtenir une carte de la zone affect e tablir la proc dure de passage de relais aux survivants identifier la localisation des grues des chargeurs des chariots l vateurs des camions des produits p troliers du bois d uvre des gaz comprim s des interpr tes et des guides et tablir la proc dure d acc s ces ressources organiser le transport du personnel et du mat riel vers et depuis les sites de travail tablir des structures de coordination et des renseignements concernant les r unions tablir un plan pour traiter les probl mes de s ret et de s curit e Aider la LEMA affecter les ressources USAR et autres selon les informations mentionn es ci dessus e Enregistrer et informer le personnel arrivant e Solliciter des membres suppl mentaires des quipes arrivantes pour renforcer l OSOCC si n cessaire e R unir et consigner les informations provenant du formulaire de planification de POSOCC voir logiciel de mission UNDAC pour Analyser les besoins prioritaires du pays touch en relation avec les r
97. infrastructures telles que les installations industrielles et ou l impact sur l environnement naturel Les urgences complexes pr sentent un ensemble unique de d fis environnementaux N anmoins ce chapitre est consacr uniquement aux effets graves sur l environnement la suite de catastrophes naturelles Le Groupe conjoint de l environnement PNUE Bureau de la coordination des affaires humanitaires est le dispositif d intervention d urgence des Nations Unies permettant de fournir et de mobiliser l aide internationale destination des pays traitant des effets sur l environnement et est int gr aux Services des situations d urgence J 2 Champ d action et r le de l quipe UNDAC L ensemble des membres de l quipe UNDAC a un r le important jouer dans l identification des effets sur l environnement Certaines missions UNDAC peuvent inclure des sp cialistes de l environnement qui mettront en uvre rapidement une valuation des effets sur l environnement Dans le cas o des membres de l quipe UNDAC constatent des effets graves sur l environnement il est essentiel qu ils fassent part de cette donn e au sp cialiste en question Toutefois certaines missions ne comprendront pas de sp cialiste de l environnement Ce chapitre est destin aux quipes UNDAC d ploy es sur des missions sans sp cialiste de l environnement au cours desquelles l quipe UNDAC doit collecter des informati
98. jour un plan de gestion de la presse en d finissant une politique g n rale de relation avec les m dias en identifiant les m dias pertinents en organisant des conf rences de presse et en publiant des communiqu s de presse Pr parer et actualiser des brochures d information pour la presse non ant notamment les objectifs et les responsabilit s la situation et les activit s ainsi que les statistiques des op rations de l OSOCC Suivre et analyser la presse nationale et internationale et faire des recommandations la direction de l OSOCC Officier de s curit de l OSOCC Assurer la liaison avec l Officier d sign des Nations Unies ou l Officier de PONU charg de coordonner la s curit sur le terrain Cr er et mettre en uvre un syst me de notification rapide concernant les questions de s ret et de s curit l intention du personnel de l OSOCC et des intervenants internationaux laborer et mettre en uvre un plan d vacuation pour l OSOCC Fournir des donn es de s ret et de s curit actualis es pour l OSOCC et les intervenants internationaux assorties de pr visions m t orologiques si n cessaire Administration de l OSOCC G rer le syst me d enregistrement de l OSOCC G rer la base de donn es des coordonn es y compris les listes de diffusion et les invitations des manifestations particuli res G rer un calendrier des rencontres et des comptes rendus Mettre en p
99. l quipe UNDAC dans les interventions USAR H 3 1 tablissement de l OSOCC et du Centre de r ception et de d part RDC H 3 2 Planification des interventions USAR H 3 3 D mobilisation des quipes USAR H 4 Marquages de l INSARAG au cours d une intervention USAR H 1 Introduction Le dispositif international de recherche et de sauvetage en milieu urbain USAR constitue une forme d intervention complexe et rapide de l aide internationale normalement apport e lorsqu un tremblement de terre affecte une zone urbaine ou semi urbaine Les quipes internationales USAR sont pr par es pour r agir dans de brefs d lais elles commencent leurs pr paratifs pour le d ploiement imm diatement apr s la publication de l annonce de la situation d urgence sur le r seau virtuel de POSOCC et interviennent dans la zone sinistr e d s qu une demande d aide internationale a t mise par le pays touch Dans certains cas les quipes peuvent mettre en uvre les accords bilat raux d crits ci dessous avec le pays affect Les interventions USAR sont donc souvent largement entam es l arriv e de l quipe UNDAC La coordination d une op ration USAR dans ces circonstances diff re peu de la coordination de l aide humanitaire dans d autres phases d une situation d urgence cependant tout volue plus rapidement et des connaissances sp cialis es pour les interventions USAR sont requises pour une coordi
100. l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes et de l Equipe de coordination des Nations Unies par l quipe UNDAC G n ralit s L information initiale du CR CH et de l quipe de gestion des catastrophes et de l quipe de coordination des Nations Unies par l quipe UNDAC est extr mement importante car c est la premi re occasion qui est donn e l quipe UNDAC d affirmer son r le son utilit et sa cr dibilit Il ne faut pas oublier que l quipe UNDAC est une quipe non pas de g n ralistes mais de gestionnaires sp cialis s dans les situations d urgence Pr paration de la r union d information Une r union d information bien pr par e est la marque du professionnalisme Les points suivants doivent tre examin s par l quipe UNDAC dans la perspective de cette r union e D cider qui dirige la r union habituellement le chef d quipe e D cider qui r pond aux questions sp cialis es en fonction des comp tences des membres de l quipe UNDAC e Pr parer les grandes lignes de la r union d information br ve pertinente et concr te cf ci apr s e Pr parer en nombre suffisant des copies des documents distribuer brefs CV des membres de l quipe mandat de l quipe UNDAC liste des missions r centes effectu es par l quipe UNDAC un plan d action dans ses grandes lignes s il est pr t les cartes professionnelles des membres
101. l avez re ue I READ BACK JE COLLATIONNE Ce qui suit est ma r ponse votre demande SAY AGAIN REPETEZ R p tez la totalit de votre derni re transmission Suivi de TOUT APRES TOUT AVANT MOT APRES MOT AVANT etc cela signifie r p tez ce qui est indiqu ISAY AGAIN JE REPETE Je r p te ma transmission ou la partie indiqu e SEND ENVOYEZ Proc dez votre transmission SEND YOUR MESSAGE ENVOYEZ Proc dez votre transmission je suis pr t e VOTRE MESSAGE l couter SPEAK SLOWER PARLEZ PLUS LENTEMENT R duisez la vitesse de votre transmission I SPELL J EPELLE J pelle le mot ou le groupe suivant ou l quivalent phon tiquement N est pas utilis lorsque l on transmet uniquement des groupes cod s j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing r doc nali 15 07 2008 09 07 RELAY TO TRANSMETTEZ A Transmettez le message suivant tous les destinataires ou l adresse qui suit imm diatement RELAY THROUGH TRANSMETTEZ Envoyer ce message au moyen de l indicatif PAR d appel Exemple de conversation radio 1 1 ALPHA ICI CHARLIE MESSAGE PARLEZ 2 ICI ALPHA ENVOYEZ PARLEZ 3 ICI CHARLIE ATTENTION AUX CHUTES DE PIERRES SUR ROUTE BIRKET J EPELLE BRAVO INDIA ROMEO KILO ECHO TANGO BIRKET PARLEZ 4 ICI ALPHA APERCU TERMINE Exemple de messa
102. la coordination des op rations internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain Cette r solution soutient les directives INSARAG qui servent de r f rence l intervention internationale de recherche et de sauvetage en milieu urbain Les directives INSARAG ont t pr par es conjointement par les intervenants USAR du monde entier afin d orienter les quipes internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain et les pays expos s aux catastrophes dans leur intervention apr s l effondrement d un b timent lors d une catastrophe urbaine majeure Les directives sont susceptibles d voluer mesure que des le ons sont tir es et des bonnes pratiques identifi es par l valuation des interventions de recherche et de sauvetage en milieu urbain Objectif Les directives INSARAG visent fournir une m thodologie au pays touch par une catastrophe impr vue causant un effondrement structurel grande chelle ainsi qu aux quipes USAR intervenant dans le pays touch Elles d finissent galement le r le que jouent les Nations Unies dans l aide la coordination locale apport e aux pays touch s Les directives consid rent les op rations internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain selon un cycle comprenant les phases suivantes e Pr paration intervalle entre les interventions de secours au cours duquel les apprentissages tir s des exp riences pr c dentes sont an
103. la mobilisation des ressources pour le programme est men e de mani re r pondre aux priorit s pr alablement d cid es Enfin elle contr le et value la mise en uvre globale du programme pour veiller ce que les modifications des situations et des contraintes soient identifi es et trait es de fa on concert e Ainsi elle peut s occuper de questions qui semblent relever du domaine op rationnel quand ces derni res ont un impact sur le programme dans son ensemble La coordination op rationnelle La coordination op rationnelle doit r pondre deux exigences La premi re est la n cessit dans le cadre de la strat gie du programme humanitaire d une coordination significative dans les domaines d activit sp cifiques de l aide humanitaire pour des zones g ographiques d intervention ou des groupes de b n ficiaires sp cifiques L objectif est de s assurer que dans chacun des secteurs les missions des diff rents acteurs sont men es de mani re compl mentaire et selon la strat gie convenue La seconde exigence concerne les services fournis aux acteurs humanitaires la coordination strat gique fait en sorte que les aspects tels que la s curit la communication ou la logistique soient g r s pour s adapter au mieux aux modifications des exigences sur le terrain Les objectifs sur le terrain Le BCAH a d fini une liste d objectifs essentiels une coordination sur le terrain efficace durable et adapt
104. le d veloppement international USAID D 8 vacuation m dicale Pour chaque mission de l UNDAC le BCAH contracte une assurance m dicale vacuation rapatriement aupr s de SOS Assistance S A pour chacun des membres de l UNDAC participant la mission Chaque membre re oit un passeport SOS comme preuve de son assurance Ce num ro de r f rence doit tre mentionn lors de tous les contacts avec SOS Assistance S A Le BCAH de Gen ve fait figurer ce num ro de r f rence sur le r seau virtuel du Centre local de coordination des op rations pour chaque mission de l UNDAC L assurance intervient en cas d urgence m dicale ou d incident de voyage selon les conditions g n rales du programme type de service m dical de groupe de SOS dont un exemplaire figure sur le r seau virtuel du Centre local de coordination des op rations L assurance est valable d s r ception de la demande du BCAH par SOS assistance S A Les num ros de passeport SOS pour chaque membre assur de la mission sont communiqu s imm diatement ou en dehors des heures d ouverture des bureaux le jour ouvrable suivant SOS Assistance dispose d un r seau mondial d alerte de service et de centres m dicaux qui peuvent tre joints par t l phone par t l copie ou par courrier 24 heures sur 24 7 jours sur 7 Ses services comprennent les prestations suivantes orientation vers des services m dicaux l tranger conseils m dicaux distance
105. les autorit s nationales Cela implique d identifier les besoins logistiques l arriv e de ces quipes de prendre les dispositions n cessaires en la mati re en accord avec les autorit s nationales et d informer les quipes nouvellement arriv es en cons quence Si POSOCC ou les autorit s nationales demandent au RDC de l aider trouver des contributions internationales c est au responsable de la logistique du RDC qu est confi e cette t che Administration du Centre de r ception et de d part Veiller la mise en place concr te du RDC en particulier de postes pour le traitement rapide des quipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain leur arriv e Assurer la mise en place et le fonctionnement des quipements lectroniques n cessaires sa mission notamment ordinateurs courrier lectronique acc s Internet et communications au sein du RDC Collecter des informations sur les quipes de secours qui arrivent des postes de r ception sp cifiques Mettre en place un syst me d enregistrement et de sauvegarde de documents lectroniques de mani re r guli re Enregistrer les coordonn es des partenaires nationaux et internationaux cr er des listes de diffusion et fournir cette information POSOCC et d autres intervenants Structure de l OSOCC L OSOCC peut tre structur en neuf composantes fonctionnelles Toutes les composantes ne sont pas n cessaires dans chaque situat
106. liste des causes possibles de stress cumulatif e Probl mes concernant les besoins l mentaires inconfort du logement manque d intimit alimentation manque de vari t faible qualit eau propre en quantit s insuffisantes e Retards lors des voyages e Manque de s ret et de s curit risques sanitaires e Immobilit inactivit manque d exercice e Probl mes chez soi absence de la famille et des amis e Fait d assister des violences trag dies v nements traumatiques e _Incapacit percevoir une volution pas de progr s apathie parmi les intervenants et les survivants e Environnement bruyant et chaotique e Mauvais fonctionnement du mat riel e Pas de p riodes de repos d tente e T ches peu claires changeant constamment attentes irr alistes vis vis de soi m me ou de la part des autres e Attention des m dias e Absence de reconnaissance du travail hostilit aux efforts entrepris e Obligation de r ussite e Coll gues sup rieurs au caract re difficile qui n apportent pas de soutien e Anxi t vis vis de la mission des r alisations des responsabilit s des comp tences Manque de ressources contr le limit de la situation e Diff rences culturelles et linguistiques D partement de la traduction ie j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 e Loide Murphy Sig
107. logistique g n ralement dirig e par le PAM UNJLC Lorsqu une op ration d aide humanitaire est coordonn e entre plusieurs groupes d organisations travaillant dans les diff rents secteurs de l activit humanitaire le PAM est d sign comme organisme dirigeant du groupe logistique Sa mission consiste g n ralement soutenir les efforts du gouvernement en mati re de logistique Le Coordonnateur r sident Coordonnateur humanitaire des Nations Unies CR CH doit tre pr t nommer un groupe de soutien logistique transport charg du d douanement dans les ports et les a roports du tra age et de la programmation des marchandises de l approvisionnement local en biens et en mat riel de l affectation de la gestion et de l entretien des v hicules de l assistance et de la r mun ration des chauffeurs et du stockage Les proc dures d approvisionnement externe sont g n ralement trait es par les institutions comp tentes tandis que les proc dures internes doivent tre fix es avant les crises par les organisations des Nations Unies comp tentes Il est important que tout le personnel connaisse le syst me de classement et que la manipulation de num raire soit syst matis e de mani re op rationnelle qui ne pose pas d obstacles inutiles sur le plan op rationnel Le personnel des Nations Unies du pays concern conna t g n ralement les proc dures douani res locales et peut apporter son aide sur ce plan List
108. membres de la population locale travaillant pour les Nations Unies les proc dures relatives leur vacuation doivent tre trait es avec le DO e Essayez de ne pas cr er de routine quotidienne il sera ainsi plus difficile pour un agresseur potentiel d laborer un plan d action e Pendant les heures de travail l quipe doit conna tre tout moment la localisation de chaque membre et l horaire de retour pr vu au si ge de l quipe par exemple Il pourra tre utile de cr er des feuilles de route d crivant l itin raire de chacun e Il pourra tre n cessaire que toute l quipe vive dans le m me immeuble ou si ce n est pas le cas qu elle prenne des nouvelles des membres lors de leurs jours de repos par exemple par radio par t l phone etc Une organisation en bin mes pas de personne non accompagn e permettra d am liorer la s curit la base La situation s curitaire l int rieur du pays doit tre valu e Cette valuation peut tre effectu e par le chef d quipe gr ce aux informations disponibles avant la mission et celles communiqu es l arriv e par exemple par le DO le CSA FSCO les autorit s nationales le Comit international pour la Croix Rouge CICR la F d ration internationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge FICR les organisations non gouvernementales ONG et d autres organisations de la r gion Un ensemble de r gles de
109. mes pour les s curiser contre les vents forts et les souffles d air des h lices d h licopt re Gravier Lorsque vous montez les tentes sur de l herbe ou de la terre il vous faudra une base de graviers afin d emp cher la d composition du sol et une mauvaise odeur dans le camp Localisez un endroit proche o vous pouvez vous procurer ce gravier et le transporter sur le site du camp V rifiez quelles dispositions logistiques doivent tre prises dans ce but avant l arriv e du module Drainage Les moussons tropicales peuvent d verser des quantit s d eau normes en un tr s court laps de temps Pr voyez un drainage efficace du site autre raison pour laquelle une zone en dur peut poser un probl me Prenez galement des dispositions pour le drainage des douches et des points d eau e Chemins Des chemins en gravier seront trac s entre les tentes Une autre solution consiste installer un ponton en bois mais le module n est pas quip cet effet e Parc de stationnement L quipe vient avec de nombreux v hicules D autres institutions des Nations Unies auront galement leurs v hicules Pr voyez un parking avec 30 emplacements sur le site Les v hicules des visiteurs ne doivent pas tre autoris s sur le site e G n rateurs Un ou deux gros g n rateur s sera seront apport s sur le site Placez les aussi loin que possible des chambres et des bureaux mais facilitez le ravitailleme
110. mission Mise en uvre 1 Assistance au CR CH et travail sous son autorit e mandat et r le du CR CH dans des situations d urgence sp cifiques e responsabilit r le et pouvoir de l ERC 2 Participation aux quipes pays de EGC ou de l IASC e participants e proc dures de travail e responsabilit s vis vis du pays touch en tant que plate forme de coordination D partement de la traduction a j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 08 07 3 Coordination principaux acteurs intentions exprim es et possibles ordres du jour d finition de la coordination entre les diff rentes parties prenantes ou agences plan ou mod le pr tabli et viable de coop ration identification des ventuels conflits d int r t identification de ce qui fonctionne ou non dans la situation recherche et analyse des forums de coordination pour leurs points forts et points faibles 4 Soutien transsectoriel la coordination de l information et de l intervention e d finition quelles sont les t ches et les activit s ce qu elles impliquent e comment accomplir ces t ches activit s e identification et obtention de l aide n cessaire modules de soutien Ressources militaires et de la protection civile RMPC 5 Lancement participation et coordination des valuations communes de la situation de l intervention et des besoins en s
111. missions Les membres UNDAC sont s lectionn s afin de garantir une exp rience diversifi e au sein de l quipe pour les trois domaines g n raux de ce type de mission e Cadre d intervention en cas de catastrophe e Services d urgence e Alerte rapide et sensibilisation du public Dans la mesure du possible les membres sont originaires de la r gion g ographique du pays demandeur Chaque quipe doit disposer d au moins trois personnes ayant de bonnes comp tences de r daction et de r vision d un membre du personnel administratif et d un membre poss dant des connaissances juridiques Il est souhaitable que le bureau r gional et le Conseiller r gional pour l intervention d urgence RDRA en charge du pays participent la mission pour assurer le suivi Il faut enfin envisager l implication des membres associ s de la F d ration internationale des soci t s de la Croix rouge et du Croissant rouge FICR des organisations non gouvernementales ONG et du Bureau pour la pr vention des crises et la reconstruction BCPR du Programme des Nations Unies pour le d veloppement PNUD I 4 Actions pr alables la mission L quipe UNDAC doit profiter de l intervalle de quelques semaines qui s pare la s lection des membres de la mission proprement dite pour s y pr parer Le bureau r gional doit diriger cette pr paration I 4 1 Discussion sur le r seau virtuel de POSOCC La FCSS ouvre une discussion
112. moptysie et un gonflement des pieds et du visage s accompagnant d une diminution du d bit urinaire Mal des montagnes chronique se limite en g n ral aux hommes jeunes ou d ge moyen et notamment parmi les fumeurs Les sympt mes pr coces et dominants se situent au niveau du syst me nerveux central les maux de t te la somnolence les pertes de m moire les vertiges la paresth sie et les sympt mes neuropsychiatriques tant les plus courants Parmi les autres sympt mes on peut citer une intol rance l effort des manifestations h morragiques et par la suite galement une l g re insuffisance cardiaque Maladies de haute altitude sans lien avec l acclimatation R tinopathie de haute altitude Une proportion d environ un tiers presque la moiti de ceux qui ont t expos s des altitudes extr mement lev es sont susceptibles d tre atteints d h morragies r tiniennes Bien que la cause exacte en soit inconnue le d bit sanguin r tinien augmente s accompagnant d une vasodilatation En outre de brusques hausses de la pression sanguine en cas d effort peuvent aggraver ou pr cipiter l h morragie r tinienne Elle peut se r gler spontan ment Ophtalmie des neiges elle est moins courante qu on ne le croit et est provoqu e par l exposition aux rayons ultraviolets qui est relativement plus forte ces altitudes ainsi qu la r verb ration accrue de ces rayons manant de la
113. munis des documents n cessaires M decine pr ventive Les membres UNDAC doivent tre pr ts se d ployer dans des zones o le paludisme pr sente un danger Les traitements disponibles dans le commerce tels que la perm thrine doivent tre appliqu s sur les v tements port s lors du d ploiement en apportant une attention particuli re aux v tements d ext rieur et aux moustiquaires Une trousse m dicale doit tre pr par e et v rifi e p riodiquement afin de maintenir l tat correct du contenu Des renseignements sur la trousse m dicale sont fournis en O 1 5 Le livret intitul Hygi ne personnelle doit galement tre consult par tous les membres UNDAC O 1 2 Activation d une mission UNDAC Au moment de l activation d une mission UNDAC les membres doivent suivre les tapes suivantes e valuer leur tat de sant S ils pensent tre malades ou bless s les membres doivent en aviser directement le Bureau de la coordination des affaires humanitaires BCAH e V rifier que leur trousse m dicale personnelle est pr te et empaquet e Elle doit D partement de la traduction ee j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 3 comprendre les m dicaments vendus sur ordonnance et les fournitures utilis s par le membre et risquant de ne pas tre disponibles sur le lieu de d ploiement e Pr parer des r serves de produits de sant
114. ne doit pas rester dans le bagage main e Cirage et brosses e Lessive utilisable avec de l eau froide e Ficelle e Sacs plastique e Allumettes e Bougies e Bouteille d eau filtre de purification Climat chaud Moustiquaire Anti moustiques Chaussures pays chauds Climat froid Blouson d hiver Doublure amovible Chaussures d hiver imperm ables Chaussettes de laine gants mitaines sous v tements isolants et bonnet de laine Produits m dicaux et sanitaires Cf galement chapitre O Sant personnelle Trousse de premiers soins couvillons humides couvillons secs Bandes assorties Bandes de gaze Couverture de survie Gants de protection Masque poussi re couvillons de nettoyage Ciseaux ne doivent pas rester dans le bagage main Facultatif Antalgiques en vente libre M dicaments prescrits pour la dur e pr vue du s jour Comprim s ou gouttes pour la purification de l eau cran solaire 30 ou plus Prot ge l vres Carte de groupe sanguin Masque respiratoire pr vention Divers sels min raux et vitamines pour suppl ment nutritionnel en cas de diarrh e Facultatif T l phone mobile personnel Appareil photo Compas R veil Enregistreur microcassettes Jumelles de poche Adaptateur lectrique Plaque d identit nom nationalit et groupe sanguin Cl USB Ordinateur portabl
115. niveaux tant op rationnel que politique tous moments Les organisations humanitaires ne doivent pas ex cuter de t ches au nom de l arm e non plus que repr senter ou mener bien leurs politiques Les conditions fondamentales requises comme la libert de mouvement pour le personnel humanitaire la libert de r aliser des valuations ind pendantes la libert du choix de personnel la libert d identifier les b n ficiaires de l aide sur la base de leurs besoins ou le libre flux des communications entre les agences humanitaires ainsi qu avec les m dia ne doivent pas tre entrav es S curit du personnel humanitaire L id e que des acteurs humanitaires aient pu se rattacher l arm e dans une situation donn e pourrait avoir un impact n gatif sur la s curit du personnel humanitaire et sur sa capacit avoir acc s aux populations vuln rables Toutefois les acteurs humanitaires agissant dans une situation d urgence doivent identifier l approche la plus rapide efficace et s re pour assurer la fourniture de l aide vitale aux populations cible vuln rables Cette approche ne doit pas faire oublier le souci premier d assurer la s curit du personnel et de r fl chir tout rattachement r el ou suppos l arm e La d cision d opter pour une s curit fond e sur l arm e pour les travailleurs humanitaires doit tre consid r comme une solution de dernier recours lorsque d autres m canismes de s curit
116. organisations de secours internationales Chefs religieux Personnel national des Nations Unies tablissements de sant Centres d vacuation Bureau d enregistrement des naissances d c s Au niveau de la capitale Autorit s nationales CR CH et ou EGC Agences des Nations Unies Instituts g ographiques Service de m t orologie hydrologie etc Agences bilat rales ONG Ambassades BCAH s il y a un bureau dans le pays Fiabilit et cr dibilit des sources d information Il faut valuer la fiabilit des sources et la cr dibilit de l information collect e Le syst me suivant a t test il pourra vous tre utile si vous l appliquez de mani re coh rente Il a t d velopp par des militaires et est largement utilis par les forces arm es et les services op rationnels travers le monde ainsi que par d autres intervenants humanitaires par exemple les quipes d valuation des besoins et de coordination FACT de la FICR Les membres UNDAC peuvent utiliser ce syst me pour traiter l information Le syst me identifie la fiabilit des sources et ensuite s par ment la cr dibilit des informations fournies En appliquant cette m thode de fa on constante les membres de l quipe peuvent valuer l importance accorder aux rapports re us en leur attribuant un degr de confiance Fiabilit de la source Cr dibilit de l information A Compl tement
117. pantalons assurent plus de protection contre 16 les insectes et prot gent contre les coups de soleil importants sur les jambes Se couvrir la t te et les pieds Rester couvert Outre les risques de graves coups de soleil un corps qui n est pas couvert perdra de la transpiration par vaporation Faire en sorte que les v tements restent amples avec une couche d air isolante La transpiration rafra chira alors plus efficacement Casque protecteur Un chapeau dot d un morceau de tissu attach l arri re assurera une protection mais mieux encore copier les couvre chefs arabes froisser un mouchoir au dessus de la t te plier en diagonale un morceau de tissu d environ 120 cm le placer sur le mouchoir le bord long l avant et fixer avec une ficelle attach e autour de la t te Cela retient les poches d air et prot ge du sable L enrouler autour du visage pour la chaleur la nuit Protection des yeux Les lunettes de soleil ne seront peut tre pas suffisantes La suie provenant d un feu tal e sous les yeux diminuera les blouissements Se prot ger les yeux contre les reflets et le sable transport par le vent l aide d une bande d toffe D couper des fentes troites pour voir travers Chaussures Ne pas marcher nu pieds tant que les pieds ne sont pas endurcis sinon ils souffriront de br lures et d ampoules Ne pas laisser le haut des pieds expos Un rev tement sur les jambes emp
118. paration physique avant pendant et apr s la mission bagages quipement personnel et de l quipe disponibilit op rationnelle passeport valide pour au moins six mois Mobilisation UNDAC e Conna tre le syst me les diverses tapes les formulaires et proc dures au niveau national Gen ve e Prendre des dispositions concernant assurance la responsabilit la pr paration la r mun ration les personnes contacter la dur e de la mission les indemnit s journali res de subsistance les certifications le statut d Expert des Nations Unies en mission le rapatriement en cas de blessures ou de maladie graves la possibilit d un d c s D ploiement e mandat e objectifs de la mission en collaboration avec le CR CH et le BCAH de Gen ve e information t ches attentes m thodes dossiers de presse Plan d action initial D partement de la traduction j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 afia 08 07 8 e comp tences de l quipe points forts et points faibles des membres d un point de vue individuel ou collectif r le et responsabilit s du chef d quipe contexte culturel de la r gion ou du pays conditions climatiques sur le lieu de la catastrophe conditions de s curit phase et d gagement Arriv e dans le pays e personnes
119. ploiement des quipes UNDAC qui ont fait leurs preuves les quipes arrivent sur le lieu d une catastrophe ou d une situation d urgence n importe o dans le monde en moins de 24 heures 4 quipement Un quipement personnel et adapt la mission est fourni aux quipes UNDAC pour assurer leur ind pendance mat rielle une fois sur le terrain Valeur ajout e La pr sence d une quipe UNDAC est un atout en cas de situation d urgence internationale et impartiale elle est compos e de sp cialistes de la gestion des situations d urgence dot s de comp tences diverses qui interviennent dans un d lai tr s court en outre elle n a aucun co t pour le pays qui en b n ficie Les quipes UNDAC peuvent tre affect es d s que la situation d urgence se produit ou aux premiers signes avant coureurs Elles sont demand es par le Coordonnateur r sident Coordonnateur humanitaire des Nations Unies CR CH et travaillent sous son autorit ou selon la demande sous l autorit du gouvernement du pays touch Elles apportent des comp tences internationales en mati re d valuation transsectorielle de l urgence de coordination des secours et de gestion de l information D partement de la traduction Ee j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 08 07 3 En cas de s isme les quipes UNDAC mettent en place un Centre local de coordi
120. plus Les appareils sont bi bande 900 1800 tri bande 900 1800 et 1900 ou quadri bande 900 1800 800 et 1900 Les t l phones tri et quadri bande sont privil gier tant donn qu ils couvrent une zone plus importante Les op rateurs de r seaux GSM doivent passer des accords d acc s entre eux pour que les appareils puissent fonctionner sur les r seaux trangers UMTS Universal Mobile Telecommunications System galement appel commun ment 3GSM Con u pour succ der la norme GSM Service de donn es dont les vitesses d passent 1920Kbps CMDA TMDA R seaux cellulaires num riques utilis s dans les Am riques et dans certaines parties de l Asie Le TDMA est progressivement remplac par les r seaux CDMA GSM La zone de couverture satellite devrait s tendre l avenir D partement de la traduction ailas j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc 15 07 2008 10 07 S 3 Caract ristiques des avions pouvant tre utilis s pendant les op rations de sauvetage en cas de catastrophe Type d avion Vitesse Masse de fret Taille des soutes Lx1xH Taille de la Volume de Quantit de Longueur de de maximum en cm porte IxH chargeme palettes 224 x 318 piste n cessaire croisi re tonnes 2 200 Ib cm
121. plus de personnel certaines fonctions telles que la gestion le fonctionnement la logistique et la communication Au d but d une mission UNDAC lors d une situation d urgence n cessitant des interventions USAR l quipe peut tre en sous effectif pour accomplir ces t ches Plusieurs agents de liaison de l quipe USAR ont suivi la formation OSOCC et peuvent tre incorpor s l quipe pour assurer le fonctionnement de l OSOCC L quipe UNDAC ne doit pas h siter employer ces agents de liaison car ils poss dent souvent les comp tences sp cifiques et l exp rience requises pour coordonner une intervention USAR II sera peut tre galement possible de r aliser une plate forme efficace pour la coordination et le partage de l information les intervenants tant impliqu dans le processus d s le d but Les mesures suivantes doivent tre prises par l OSOCC lors d une intervention USAR pour coordonner les activit s avec la LEMA e D terminer le r le de l OSOCC concernant la coordination des intervenants et des secours internationaux e tablir un processus d change de l information entre la LEMA et POSOCC e Identifier un site convenable pour l OSOCC garantissant la visibilit pour les ressources arrivants par exemple au moyen de drapeaux de panneaux de direction etc e tablir d s que possible un lien de communication entre le RDC et le r seau virtuel de l OSOCC e R unir les
122. pr pay l a roport de d part Le BCAH Gen ve prend une assurance couvrant l vacuation m dicale pour tous les membres retenus cf D 8 pour plus d informations ce sujet NOTE toutes les autres assurances n cessaires sont la charge du membre retenu ou de son tat organisation Le BCAH Gen ve adresse un message d envoi M3a aux centres nationaux de mobilisation avec copie par m l aux membres retenus faisant tat de sa d cision d envoyer une quipe et pr cisant les modalit s de transport pour chaque membre de l quipe 5 Les centres nationaux de mobilisation informent imm diatement les membres retenus de la d cision du BCAH Gen ve 6 Les centres nationaux de mobilisation informent galement le point focal national responsable de l UNDAC ainsi que les membres non retenus de la d cision du BCAH Gen ve 7 Les membres retenus accusent r ception du message d envoi aupr s du BCAH Gen ve et du Centre national de mobilisation Les membres retenus partent en mission pour l UNDAC D 1 2 Message de suspension M3b 1 Le BCAH Gen ve prend la d cision de suspendre l quipe UNDAC en fonction de l volution de la situation 2 Le BCAH Gen ve adresse un message de suspension M3b tous les centres nationaux de mobilisation avec copie par m l aux membres retenus 3 Les centres nationaux de mobilisation transmettent ce message tous les membres et au point f
123. priv e sur le r seau virtuel de l OSOCC accessible seulement aux membres de l quipe UNDAC s lectionn s Ces derniers doivent utiliser cet espace pour toutes les discussions pr mission et les autres pr paratifs tels que l change d informations utiles sur le pays Une importante quantit de mat riel peut tre obtenue par Internet De plus les membres s lectionn s doivent se familiariser avec les rapports finaux des missions DRP pr c dentes disponibles sur le r seau virtuel de POSOCC et le logiciel de mission UNDAC I 4 2 Responsabilit s des membres de l quipe et des sous quipes Il est recommand que le chef d quipe UNDAC divise l quipe en trois sous quipes chacune dot e d un chef s occupant chacune de l un des trois domaines principaux cit s en I 3 en utilisant les comp tences individuelles respectives des membres de l quipe Les parties du mandat doivent galement tre r parties entre les sous quipes Chaque membre pourra ainsi se concentrer sur le secteur pour lequel il est le mieux qualifi Les sous quipes doivent pr parer une liste de questions poser dans le pays concernant les parties du mandat dont ils sont charg s Il est galement recommand que le chef d quipe UNDAC nomme un chef d quipe adjoint pour tablir une structure de direction claire Il est souhaitable que deux membres ayant de bonnes qualit s de r daction en anglais soient d sign s
124. quipe les secondes au niveau individuel et les troisi mes concernent la protection des ressources indispensables telles que le mat riel les v hicules et le carburant Le chef d quipe UNDAC est responsable de la s ret de son quipe UNDAC Tous les membres UNDAC doivent obligatoirement suivre sur CD ROM le cours de s curit et de s ret de base sur le terrain N 2 S curit des Nations Unies Comme l quipe UNDAC travaille sous l gide du bureau des Nations Unies du pays concern il est essentiel que les membres de l quipe comprennent le fonctionnement du syst me de s curit des Nations Unies Dans chaque pays le gouvernement local est responsable de la s curit et de la protection des membres du personnel des Nations Unies et des personnes leur charge Pour traiter les questions de s curit et de protection les Nations Unies se r f rent trois manuels 1 Manuel de s curit sur le terrain des Nations Unies FSH 2 Manuel des op rations de s curit des Nations Unies 3 Directives de s curit des Nations Unies Le FSH est inclus dans le logiciel de mission de l UNDAC Syst me de gestion de la s curit des Nations Unies La s curit aux Nations Unies est la charge du D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies DSS des Nations Unies dirig par un Secr taire g n ral adjoint Toutes les organisations participant au syst me de gestion de la s curit des Nati
125. r pondre ces besoins L valuation de ces besoins doit tre ind pendante et l aide humanitaire doit tre fournie sans discrimination n gative d aucune sorte ind pendamment de la race de l ethnie du sexe de la religion du statut social de la nationalit ou des appartenances politiques des b n ficiaires Elle doit tre fournie de mani re quitable toutes les populations qui en ont besoin Distinction civilo militaire dans l action humanitaire A tous moments une distinction nette doit demeurer entre combattants et non combattants c est dire entre ceux qui sont activement engag s dans des hostilit s et les civils et autres qui ne participent pas ou plus au conflit arm y compris les malades les bless s les prisonniers de guerre et ex combattants qui sont d mobilis s Le droit international humanitaire prot ge les non combattants en pr voyant l immunit d attaque Ainsi les travailleurs humanitaires ne doivent jamais pr senter leur travail ou eux m mes comme faisant partie d une op ration militaire et le personnel militaire doit viter de se pr senter comme des travailleurs humanitaires civils Ind pendance op rationnelle de l action humanitaire Dans toute coordination civilo militaire les intervenants humanitaires doivent garder le premier r le pour entreprendre et diriger les activit s humanitaires L ind pendance de l action humanitaire et de la prise de d cisions doit tre pr serv e aux
126. s curit et actualisation p riodique des informations en mati re de s curit Fonction Administration Mission Organiser le travail interne de l quipe UNDAC et veiller ce que l ensemble du personnel soit en permanence tenu au courant des informations concernant les activit s le personnel les contacts les r unions etc Lors de la cr ation d un OSOCC mettre en place un bureau d accueil des badges etc pour une ma trise efficace des foules Liste de contr le Cr er une cellule d administration Pr voir les besoins administratifs Enregistrer et classer les messages l arriv e et au d part Instaurer des syst mes et proc dures administratifs y compris pour l enregistrement et le classement G rer le soutien financier aux activit s de l UNDAC Fournir et g rer les services d interpr tation Organiser les modalit s de recrutement et le statut du personnel de l UNDAC Fournir des cartes des tableaux de la papeterie et tout autre mat riel n cessaire l quipe UNDAC Pr voir du personnel et de l quipement de soutien administratif en tant que de besoin Mettre en place pour les organismes de secours un point focal pour la r ception et la diffusion des courriels et l information R sultat attendu Organisation interne de l quipe UNDAC Fonction Informatique communications Mission Cr er et maintenir des communications
127. s ret et de s curit doivent tre tablies dont notamment S curit de base UNDAC par exemple le besoin de gardes qui peuvent tre des membres de l quipe ou de la population locale selon la situation de proc dures d admission etc Si un identifiant est utilis il faudra le changer de temps en temps En cas de conflit arm il pourra tre n cessaire de d signer un abri en sous sol contre les bombardements les raids a riens etc ou de creuser des trous destin s servir d abris Il pourra galement tre n cessaire de renforcer les b timents existants par exemple avec des sacs de sable et ou d appliquer du ruban adh sif sur les fen tres afin d att nuer l effet des projections d clats de verre caus es par les explosions tablir une proc dure de contr le des membres de l quipe par exemple en utilisant des appels radio Les mesures de s curit concernant les v hicules l quipement etc peuvent consister par exemple dresser une liste du mat riel et la comparer r guli rement au mat riel pr sent garder le mat riel et les v hicules sous cl lorsqu ils ne sont pas utilis s toujours verrouiller les portes des v hicules et d signer des gardes e Pour des raisons de s ret le carburant doit tre stock loin des lieux d habitation et de travail et loin des v hicules Il est important de surveiller les quantit s de carburant et de verrouiller les lieux de sto
128. s principalement fournir gratuitement des articles de secours un pays frapp par une catastrophe Equipes USAR Annuaire des quipes USAR internationales enregistr es aupr s de l INSARAG K 3 10 Ressources militaires et de la Protection civile RMPC Le BCAH peut mobiliser et coordonner le d ploiement des ressources militaires et de la protection civile RMPC d un certain nombre de pays et d organisations multinationales Le plus souvent en cas de catastrophes majeures le pays touch mobilise ses propres ressources militaires et de protection civile pour accro tre sa capacit de r action aux catastrophes nationales Dans certains cas toutefois les besoins en ressources suppl mentaires et ou sp cialis es d passent les capacit s du pays touch A cet effet le BCAH a d velopp un syst me pour la mobilisation des ressources internationales par le truchement de la Section de Coordination civilo militaire CMCS Au sein du BCAH la CMCS sert de point de contact pour l utilisation de ressources militaires et de d fense civile protection civile en cas d urgences humanitaires de toutes natures Elle peut tablir un centre local de coordination pour l emploi de cette aide au niveau de plusieurs organismes En cas de catastrophes naturelles et d urgence environnementale notamment d accident technologique les ressources militaires et de la protection civile sont fournis conform ment aux proc dures convenues Directives d
129. se r unir chaque semaine quipement Un quipement sp cialis doit tre identifi et fourni pour les v hicules de terrain selon les besoins par exemple des pneus de rechange suppl mentaires des r serves de carburant un clairage de secours des b ches antiprojectiles etc Un quipement de protection sp cialis doit tre fourni et install Des bunkers des tenues de protection des b ches antiprojectiles et du film anti souffle ne sont n cessaires que si l valuation des risques s curitaires du pays de la r gion a r v l un risque de bombardement et ou des conditions de guerre et que celle ci a t approuv e par une autorit comp tente Le DSS conserve les normes minimales n cessaires pour les bunkers les b ches antiprojectiles et le film anti souffle pour les vitres Les v hicules de terrain doivent tre utilis s pour toutes les missions Des GPS doivent tre fournis aux ASC et tous les bureaux nationaux L approvisionnement d urgence en lectricit doit tre effectu aupr s de tous les bureaux des Nations Unies ainsi que l approvisionnement en carburant d urgence et en pi ces de rechange Les stocks alimentaires d urgence pour les plates formes de regroupement sont obtenus et g r s conform ment au FSH Phase IV T l communications Pas de changement par rapport la phase III Plan de s curit et personnel Pas de changement par rapp
130. sur une ligne directrice concernant les m dias Si un membre de l quipe est contact par les m dias il doit tre autoris donner des informations sur le travail sp cifique qu il effectue actuellement F 4 3 R gles concernant les m dias Pr paration e Pr parez un dossier de presse UNDAC pour fournir aux repr sentants des m dias des informations g n rales sur le BCAH l UNDAC et la situation actuelle e Essayez d tre les premiers fournir des informations afin que les m dias consid rent l quipe comme une source utile e Essayez d avoir une description jour des activit s des Nations Unies en mati re de crise que vous pouvez fournir aux m dias e Sachez ce que vous voulez dire et ce que vous ne voulez pas dire avant de vous exprimer e Ne favorisez pas un m dia en particulier tous ont droit au m me traitement e Sachez qui vous vous adressez Tenez un r pertoire des m dias nom du journaliste ou du journal du magazine de la station de radio cha ne de t l vision qu il elle repr sente adresse sur place ou num ro de t l phone e S il y a un OSOCC il peut devenir un centre d information essentiel aupr s duquel les journalistes savent comment obtenir des informations e _ Fournissez r guli rement des informations exhaustives et exactes Comportement suivre avec les journalistes e Ne vous disputez jamais avec les journalistes ils passent l antenne ou
131. surface de la neige Hypothermie est diagnostiqu e lorsque la temp rature interne corporelle tombe en dessous de 35 C et est mortelle en dessous de 25 C Jusqu 33 C les premiers signes sont subtils et les frissons diminuent A mesure que la temp rature interne continue de baisser l individu ne se pr occupe plus de ses v tements ce qui engendre un cercle vicieux Il devient peu coop ratif sa m moire est affect e une somnolence survient menant la stupeur au coma et finalement la mort Quelques l sions dues au froid e Engelures Cette l sion de la peau survient des temp ratures se situant juste au dessus de 0 C La r gion affect e est rouge et d clenche de fortes irritations e Pied des tranch es Cette l sion se produit lorsqu un membre a t en contact prolong avec un froid humide tel que de l eau ou de la boue des temp ratures sup rieures Z ro Les sympt mes sont une perte de sensibilit et un engourdissement de la r gion concern e pouvant durer plusieurs jours apr s l exposition e Gelures La plus grave de ces l sions survient g n ralement des temp ratures inf rieures z ro et est provoqu e par un gel du fluide extracellulaire accompagn de la formation de cristaux de glace Cela est aggrav par le gel de l eau contenue dans les cellules et l inhibition des syst mes enzymatiques Les premiers signes sont g n ralement insidieux se manifestant par une
132. terminer la capacit et les actions de l tat et de l ONU Recenser les secours sur place et dont l arriv e est pr vue Capacit s logistiques Identifier le point d entr e des secours D 5 2 Premi res mesures Les premi res 24 heures suivant l arriv e de l quipe UNDAC dans le pays sont cruciales pour asseoir sa cr dibilit et son fonctionnement ult rieur Les mesures prendre durant ces premi res 24 heures doivent tre r fl chies tr s s rieusement et anticip es aussi soigneusement que possible Cela est particuli rement vrai pour la premi re r union de l quipe UNDAC ou du chef d quipe UNDAC avec le CR CH ou l entit gouvernementale nationale Immigration et douanes D s son arriv e dans le pays touch l quipe doit effectuer les proc dures d immigration et de d douanement n cessaires En fonction de la situation dans le pays il est possible que des quipements tels que les moyens de communication par satellite doivent tre d clar s l entr e Les instructions cet effet sont g n ralement donn es au chef d quipe avant le d part apr s consultation avec le CR CH Si aucune instruction n a t donn e il convient de consid rer qu aucun d douanement n est n cessaire Le CR CH est toujours inform des quipements de communication transport s par l quipe et doit normalement prendre les dispositions n cessaires aupr s du pays concern pour permettre l entr
133. terrain dicteront le choix du mode d chantillonnage Les enqu tes doivent tres mises au point et conduites par des personnes qualifi es en sciences sociales et en recherche Un type sp cifique d enqu te crite appel enqu te par panel constitue une autre m thode d valuation Cette m thode consiste cr er un panel d experts que l on soumet un questionnaire Le questionnaire peut tre ferm comme dans les cas d crits pr c demment ou ouvert comme c est le cas de la m thode d enqu te Delphi Il est possible d adresser une s rie de questionnaires diff rents sur une p riode donn e afin de pr ciser les r sultats de l valuation Sch ma de vuln rabilit et de capacit G 3 2 Principes g n raux par secteur Ci apr s sont d crits diff rents domaines qui peuvent tre d velopp s en priorit lors de la phase d urgence d une catastrophe Recherche et sauvetage en milieu urbain USAR Une aide internationale de recherche et de sauvetage en milieu urbain qui fait habituellement suite un s isme peut tre requise dans les cas suivants e Une zone urbaine importante est touch e e Des h pitaux et d autres immeubles de plus de deux tages se sont effondr s e Lorsque ce type de b timents construits en b ton arm ou dans d autres mat riaux laissent des espaces permettant des victimes prises au pi ge de survivre pendant plusieurs heures La recherche et le sa
134. test M2 au Centre de mobilisation nationale en dressant la liste des membres qui ont r pondu et en indiquant l heure de r ception de leur r ponse au BCAH Gen ve 7 Le Centre national de mobilisation informe l autorit nationale responsable de PUNDAC des r sultats du test 8 Fin du test D 1 5 Autre proc dure de mobilisation virtuelle Parall lement au syst me de mobilisation susmentionn la mobilisation sera effectu e sur le r seau virtuel du Centre local de coordination des op rations En raison de l absence d acc s Internet dans certaines parties du monde le syst me M0 M3 constituera la principale proc dure de mobilisation D 2 Pr paration personnelle Les v tements et l quipement n cessaires pour une mission de l UNDAC varient en fonction du lieu de la catastrophe du climat et de la culture de la zone touch e de la saison de l tendue des d g ts et d autres facteurs Les membres de l quipe sont suppos s tre constamment pr ts partir en mission tr s bref d lai et tre totalement ind pendants et auto suffisants pendant toute la dur e de la mission en ce qui concerne leurs v tements et effets personnels Sensibilit culturelle Lorsqu ils pr parent une mission tous les membres doivent tre conscients des ventuelles caract ristiques culturelles dans le pays touch par la catastrophe et de la mani re dont celles ci peuvent affecter leur mission La situ
135. tous les aspects des op rations internationales USAR Pour plus de d tails voir galement chapitre H Recherche et sauvetage en milieu urbain K 3 6 T l communications d urgence Le BCAH peut aider tablir et coordonner des t l communications s res et fiables pendant la phase de r ponse d urgence En liaison avec un Centre local de coordination des op rations OSOCC et en cas de n cessit le BCAH peut fournir un quipement de t l communications par satellite et radio ainsi que des techniciens exp riment s afin de mettre en place des canaux de t l communications fiables tant au niveau international qu entre une capitale et une zone sinistr e tout comme l int rieur de la zone sinistr e A la suite de l Enqu te sur les Interventions humanitaires de 2005 le BCAH a t nomm gestionnaire du processus pour les t l communications d urgence K 3 7 Ressources techniques et logistiques Le BCAH peut aider identifier les besoins et acc der aux ressources techniques et logistiques pour am liorer la coordination sur le terrain Le BCAH a conclu des accords stand by avec des Gouvernements et des organisations humanitaires en vue de l acc s aux ressources de soutien la coordination sur le terrain savoir soutien administratif transport t l communications infrastructure de centre de coordination etc Si n cessaire dans des situations d urgence grande chelle le BCAH peut aider mobiliser d p
136. types de terrain C est le cas en particulier lorsqu on utilise des v hicules chenill s ou semi chenill s Les v hicules roues ou la cat gorie des quatre roues motrices peuvent aussi tre utilis s sur la plupart des terrains d sertiques condition que les conducteurs soient bien entra n s Toutefois les zones de sable mou et celles qui recueillent l eau de pluie deviennent impraticables pour la circulation certaines p riodes 14 Les dunes de sable peuvent mesurer de 70 100 m tres de haut et 3 5 kilom tres de long La distance entre les dunes peut varier de 400 1 200 m tres La section escarp e d une dune de sable est g n ralement d sign e comme son articulation et la section douce comme ses doigts Il est essentiel de bien comprendre la configuration des dunes de sable Les zones de dunes de sable constituent le plus gros obstacle la mobilit Affleurements rocheux Ces affleurements peuvent mesurer de 50 100 m tres de haut et de 3 5 kilom tres de long Ils sont g n ralement constitu s de rochers rod s d origine s dimentaire et de gravier dur Ce dernier constitue le principal mat riau de construction routi re dans ce secteur Les d placements dans ces zones sont g n ralement ais s Plaine d argile Ce sont des plaines ouvertes que l on trouve dans des d pressions en raison des d p ts d argile r sultant de l coulement des eaux de pluie Les d placements dans ce sect
137. une part importante des moyens d existence e Les activit s pratiqu es peuvent tre ill gales par exemple le commerce petite chelle sans autorisation et les personnes impliqu es h sitent alors fournir des d tails des trangers De la m me fa on ces personnes ne parleront pas d activit s comme la prostitution le vol et la vente de produits illicites e Il est possible que les personnes interrog es dissimulent volontairement des informations pour que leur situation paraisse pire qu elle ne l est en r alit dans l espoir que cela encouragera la communaut internationale leur venir en aide e Cela renforce le besoin d une approche nuanc e Les questions directes ne sont pas appropri es Il convient en revanche d approfondir les sujets en posant les questions de diff rentes mani res et en cherchant des compl mentarit s et des contradictions dans les informations que vous obtenez Faites preuve de sensibilit si les personnes que vous interrogez se sentent mal l aise cause de vos questions n insistez pas Enfin et ce conseil s applique toutes les situations soyez curieux Enqu tes crites Une autre mani re de collecter des informations pour valuer une situation est de recourir des enqu tes crites Ces enqu tes peuvent tre prises en charge par les membres de l quipe ou directement compl t es par les personnes interrog es Les enqu tes sont l occasio
138. union d information sur le stress traumatique est une m thode structur e labor e pour permettre aux premiers intervenants lors d un incident d analyser une exp rience stressante Elle doit faire partie d un syst me g n ral de gestion du stress traumatique et est con ue pour tre men e en groupe Ce n est pas une forme de th rapie Il existe peu de preuves que cette r union emp che les troubles mentaux Une personne identifi e comme ayant des troubles de stress post traumatique TPST doit consulter un sp cialiste de la sant mentale Les l ments suivants doivent permettre de fournir une orientation pour l organisation d une r union d information sur le stress traumatique Choisissez un lieu informel et priv La r union n est pas obligatoire mais plus efficace si tous participent Personne n est oblig de prendre la parole L organisateur fournit une feuille de route Partagez vos points de vue sur les acteurs les lieux les actions Partagez vos perceptions et r actions Ne cherchez pas les erreurs expliquez les faits Identifiez les causes facteurs de stress La plupart des r actions sont normales et acceptables coutez mais ne jugez pas 0 5 Urgences m dicales et premiers soins Cette partie contient des informations de base sur les urgences m dicales et les premiers soins La plupart des situations m dicales de terrain que vous rencontrez ne repr sentent pas un danger de mort im
139. 0 6 6139 20 30 Sikorsky S 58T Jet 90 1 486 3 275 1 168 2 575 12 18 Sikorsky S 61N Jet 120 2 005 4 420 2 005 4 420 Sans objet Sikorsky S 64 Skycrane Jet 80 7 439 16 400 7 439 16 400 Sans objet Sikorsky S 70 UH 60 Black Hawk Jet 145 2 404 5 300 1 814 4 000 14 17 Notes 1 A utiliser lorsque les zones de d collage et d atterrissage sont relativement plates et que le chargement n est pas largable La charge utile r elle varie en fonction de l altitude et de la temp rature de la quantit de carburant et d autres facteurs 2 A utiliser pour les missions de transport de charge l lingue le chargement est plac dans un filet ou suspendu par un cordage et lev et d plac par l h licopt re au moyen d un crochet et les terrains difficiles zones d atterrissage situ es sur des cr tes escarp es ou jouxtant des falaises ou les conditions climatiques d favorables La charge utile r elle varie en fonction de l altitude et de la temp rature de la quantit de carburant et d autres facteurs D partement de la traduction ue j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc 15 07 2008 10 07 6 S 5 M thodes de chargement et de d chargement des avions Les avions peuvent tre charg s de quatre mani res diff rentes e Chargement en vrac Le chargement est plac sur le sol et maintenu en place par des filets des sangles ou des cordes L
140. 005 http reliefweb int rw RWB NSF db900SID EVOD 6H3FY4 OpenDocument amp rc 3 amp emid EQ 2005 000174 PAK Annexe Instructions des Nations Unies concernant les communications avec la presse M morandum interagences Tous les chefs de d partements Date 28 avril 1999 Du Secr taire g n ral Objet Relations du Secr tariat des Nations Unies avec les m dias 1 Veuillez trouver en pi ce jointe les orientations concernant les relations du Secr tariat des Nations Unies avec les m dias Elles ont t r vis es la lumi re des discussions du Conseil de direction du 31 mars 2 J aimerais que vous gardiez ces orientations l esprit lorsque vous communiquerez avec les m dias Veuillez prendre note du point trois du paragraphe 6 qui num re les repr sentants autoris s s exprimer sur des sujets sensibles Si vous ne l avez pas encore fait vous pouvez d signer des membres de vos d partements selon les besoins Je vous remercie Cc Membres du Conseil de direction RELATIONS DU SECRETARIAT DES NATIONS UNIES AVEC LES MEDIAS L orientation suivre 1 Les Nations Unies s engagent faire preuve de franchise et de transparence dans leurs relations avec la presse Il est de notre int r t de communiquer rapidement et honn tement avec les m dias et d tablir une strat gie de communication coh rente bas e sur ces principes Nous ne devons pas seulement r agir aux v nements mais le
141. 1 Contacter imm diatement le Centre d alerte de SOS Assistance le plus proche afin d organiser l vacuation m dicale le rapatriement du membre concern de l UNDAC vers la capitale l a rodrome le plus proche l tablissement m dical le plus proche selon le cas 2 Contacter le CR CH dans le pays et lui demander de communiquer un rapport au BCAH de Gen ve et aux services d appui au d veloppement New York Nations Unies si besoin Demander conseils et assistance si n cessaire 3 Contacter le BCAH Gen ve qui informera le point de contact dans le pays du ou des membres de l UNDAC afin d informer les parents du membre de l UNDAC concern 4 Commencer un journal des mesures prises et des r ponses re ues 5 Informer l ambassade du membre de l UNDAC concern dans le pays si elle existe 6 Veiller ce que les autorit s locales soient tenues inform es v rifier quelles formalit s sont n cessaires au niveau local rapport de police certificat de d c s etc car cela peut avoir des implications juridiques par la suite 7 Pr parer un bref communiqu de presse non ant les circonstances de l incident l intention de la presse locale et internationale si n cessaires 8 valuer les circonstances de l incident et d cider en concertation avec les membres de l quipe le CR CH et la FCSS s il y a lieu de modifier de poursuivre ou de terminer la mission D 8 2 Indemnisation en
142. 57 150 du 16 d cembre 2002 de l Assembl e g n rale des Nations Unies sur le Renforcement de l efficacit de la coordination des op rations de recherche et de sauvetage en milieu urbain la cr ation d un centre local de coordination des op rations est l une des missions que l quipe UNDAC sera fr quemment amen e assumer La taille et le r le de ce centre varie en fonction de la situation d urgence Toutefois sa structure de base est d crite ci apr s L quipe UNDAC doit la modifier pour tenir compte de la situation Un centre local de coordination des op rations a trois objectifs principaux 1 Fournir un syst me de coordination et de direction des op rations de secours international sur le site d une catastrophe ou dans une situation d urgence en particulier en cas de s isme pour coordonner les activit s des quipes internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain 2 Fournir un cadre ou un programme de coop ration et de coordination entre les organisations humanitaires internationales sur le site d une catastrophe ou dans une situation d urgence 3 Servir de lien entre ces organisations et les autorit s du pays concern s G n ralit s Un Centre local de coordination des op rations DSOCC est destin faciliter la coordination de la communaut des secours internationaux en cas de catastrophe ou de situation d urgence Cette notion a t mise au point l origi
143. AC doit tenter de d tecter les tendances et les indices r v lateurs de probl mes et de relier l information aux mesures recommand es Diffusion En plus des rapports de situation UNDAC r guliers l quipe doit diffuser l information disponible aupr s de la communaut humanitaire pr sente sur place de mani re appropri e structur e et en temps utile Cette diffusion peut s effectuer par listes de diffusion lors de r unions par le Centre local de coordination des op rations OSOCC et par le r seau virtuel de l OSOCC Une diffusion efficace aura un effet positif sur la coordination de l quipe c est un gage de transparence et d engagement en mati re de services fournis aux agences d aide humanitaires et aux ONG F 3 2 Pr sentation de l information dans l OSOCC L information pr sent e par l OSOCC doit tre claire et facile comprendre par tous les visiteurs Si l affichage des informations est bien organis et accessible l OSOCC sera consid r comme une source fiable et cela vitera que les membres de l quipe UNDAC aient r pondre plusieurs fois aux m mes questions Si POSOCC permet d obtenir facilement des renseignements utiles il deviendra un p le tr s attractif pour les travailleurs humanitaires qui s y rendront r guli rement favorisant ainsi la coordination Pour r unir et pr senter les informations il est conseill d utiliser les outils suivants 2 Journal de
144. Activit s humanitaires qui peuvent avoir commenc ou qui sont propos es et peuvent tre mises en place dans la p riode couverte par l appel clair 6 mois maximum R sultat attendu Tableaux d crivant les projets selon le mod le ci dessous faites un tableau par projet et laissez de l espace entre chaque tableau complet SECTEUR par exemple ALIMENTATION USD NOM COMPLET DE Titre du projet Montant L AGENCE DES requis en USD AGENCES par exemple Objectif Programme alimentaire o mondial PAM B n ficiaires Nombre total Femmes Enfants Partenaires Classez les en plusieurs cat gories acteurs gouvernementaux Nations Unies Croix Rouge ONG 4 R les et responsabilit s 1 5 pages Cinq lignes maximum pour expliquer comment l intervention est coordonn e et qui est responsable au sein du gouvernement et des Nations Unies Tableau indiquant les principaux acteurs humanitaires gouvernement Nations Unies Croix Rouge ONG intervenant pour r pondre la crise dans les r gions touch es par secteur F 5 3 Exemple d Appel clair en cas de catastrophe naturelle Des appels suite des catastrophes naturelles pr par s avec l aide de l quipe UNDAC sont consultables par les membres UNDAC sur le site dont l adresse est indiqu e ci dessous On y trouve un exemple d Appel clair pr par apr s le tremblement de terre qui a eu lieu en Asie du Sud Est en 2
145. D 9 Fin de la mission D 9 1 Fin de la mission au plan national Avant de mettre fin une mission la d cision doit en tre prise Il faut pour cela un accord avec le CR CH et avec le BCAH Gen ve Une fois la d cision prise l quipe doit avant de partir faire un bilan avec le CR CH si possible l quipe des Nations Unies et le cas ch ant les autorit s nationales Une strat gie de d part doit avoir t pr vue dans le plan d action initial cf D 6 Si le CR CH d cide de demander une prorogation du mandat de l quipe UNDAC dans le pays cette demande doit tre examin e par la FCSS en termes de planification prospective c est dire si les membres de l UNDAC dans le pays sont disponibles pour prolonger leur mission ou s il faut proc der leur remplacement en envoyant une nouvelle alerte de l UNDAC D 9 2 Passation des responsabilit s dans le pays Il est essentiel pendant la mission et la fin de la mission que l quipe UNDAC proc de la passation de ses fonctions de ses ressources et de ses proc dures L quipe UNDAC doit commencer tudier sa strat gie de passation tr s t t durant la situation d urgence En outre l quipe UNDAC doit pr parer une note de transmission pr cisant ce qui fait l objet de cette passation et qui afin d assurer une bonne pr paration et une transition en douceur Les fonctions ressources et proc dures peuvent tre transmis une
146. DAC e L quipe de coordination du dispositif de s curit SMT Le DO est charg de constituer cette entit compos e de repr sentants des agences des programmes et des fonds des Nations Unies sur le lieu d affectation elle est responsable de la gestion et de la coordination de la s curit au niveau inter institutionnel et doit donc garantir la mise en uvre d un plan de s curit fonctionnel et efficace tablir les Normes minimales de s curit op rationnelle MOSS et s assurer de la disponibilit des moyens n cessaires l ex cution des mesures autoris es e Conseiller pour la s curit CSA Il s agit d un professionnel de la s curit recrut au niveau international nomm par le DSS Il conseille le DO et la SMT dans tous les domaines li s la s curit Il est le haut responsable de la s curit sur le lieu d affectation et doit directement rendre compte de son travail aupr s du DSS Le DO est charg de la gestion quotidienne du CSA mais pour les affaires plus importantes le CSA fait un rapport simultan au DO et au DSS e Coordonnateur des mesures de s curit sur le terrain FSCO Sur les lieux d affectation plus importants des FSCO recrut s au niveau international peuvent tre d ploy s afin d aider le CSA en travaillant sous sa tutelle e Coordonnateur de secteur s curit Leurs responsabilit s sont similaires celles des DO Ils sont nomm s dans des pays relativ
147. En cas de fracture ouverte quand l os d chire la surface de la peau vous devrez certainement contr ler l h morragie en utilisant les points de compression plut t que la pression directe Surveillez l apparition des sympt mes de choc traumatique chez le patient Traitez syst matiquement le choc en cas de fracture de l un des os principaux et de fractures ouvertes Demandez une aide m dicale pour les fractures ouvertes Gelures Les tissus gel s vous sembleront froids au toucher et para tront engourdis ou douloureux au patient Dans les cas extr mes les tissus deviennent blancs et durcissent N essayez pas de d geler les tissus gel s tant que vous ne pouvez garantir qu ils ne g lent pas nouveau imm diatement Il vaut mieux retarder le traitement de quelques heures que de geler nouveau des tissus qui ont d j t gel s Pour le traitement r chauffez doucement les zones touch es dans un espace chauff utilisez de l eau ti de lorsqu il est possible d immerger la partie affect e Faites boire au patient des boissons chaudes et soyez attentif aux signes de choc Un r chauffement trop rapide peut causer des probl mes circulatoires et aggraver les l sions tissulaires Si des cloques apparaissent vitez de les percer et couvrez la zone touch e avec un pansement de gaze s che Emp chez les frottements des doigts et orteils atteints en les isolant l aide de compresses de gaze Demandez toujours une aide m
148. En coop ration avec la LEMA l l ment op rationnel des quipes USAR doit tre incorpor la proc dure de planification car elles poss dent les meilleures connaissances pour intervenir dans les zones urbaines o des effondrements de b timents se sont produits La zone affect e peut avoir t subdivis e en secteurs op rationnels par la LEMA pour faciliter la coordination Il est recommand que la cellule de coordination des interventions USAR OSOCC dresse un tableau simple pour effectuer un suivi de l utilisation et de la disponibilit des quipes USAR dans chaque secteur op rationnel Cela s ajoute la carte standard des interventions USAR indiquant le d ploiement de l quipe USAR et la base op rationnelle Un exemple est donn ci dessous Un tableau similaire peut galement tre utilis par l OSOCC pour d crire les d ploiements sectoriels si n cessaire Secteur A quipes disponibles quipes occup es Chine Norv ge Singapour Inde Allemagne tats Unis Fairfax Tendance Sites d j fouill s Baisse de l intensit des interventions H pital Centre commercial Immeuble 4 L quipe UNDAC doit faciliter le processus de planification pr senter des informations consolid es les repr senter sur des cartes servir de liaison avec la LEMA etc mais les renseignements op rationnels doivent tre laiss s aux quipes USAR elles m mes Rappelez vous que ce n est pas le
149. HE G 1 Introduction G 2 M thodologie et programmation G 3 Mission d valuation G 4 Listes de contr le pour l valuation G 5 Analyse et partage des informations H RECHERCHE ET SAUVETAGE EN MILIEU URBAIN H 1 Introduction H 2 Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage INSARAG H 3 Fonctions de l quipe UNDAC dans les interventions USAR H 4 Marquages de l INSARAG au cours d une intervention USAR l MISSIONS UNDAC DE PREPARATION A L INTERVENTION EN CAS DE CATASTROPHE l 1 Introduction 2 Demande et mandat pour les missions de pr paration l intervention en cas de catastrophe DRP l 3 S lection des membres de l quipe UNDAC I 4 Actions pr alables la mission l 5 Actions dans le pays l 6 Pr sentation du rapport de mission l 7 La pr paration du rapport de mission SITUATIONS D URGENCE ENVIRONNEMENTALE J J 1 Introduction J 2 Champ d action et r le de l quipe UNDAC J 3 D finitions J 4 Identification des effets J 5 Collecte de l information J 6 Comment contacter le Groupe commun de l environnement PNUE BCAH J 7 S curit des personnes Annexe K RESSOURCES D AIDE DU BCAH K 1 Introduction K 2 Ressources humaines K 3 Services fournis par le BCAH L COORDINATION CIVILO MILITAIRE DE L ONU CMCOORD L 1 Introduction L 2 Evaluer l environnement civilo militaire L 3 Liste de contr le UNDAC CMcoord L 4 R le des agents de la CMcoord de l ONU e
150. Le tableau suivant pr sente une liste non exhaustive des sigles les plus utilis s dans ce manuel Les sigles sont toutefois crits dans leur forme d velopp e lorsqu ils sont mentionn s pour la premi re fois dans un chapitre Sigle anglais ou fran ais Forme d velopp e AG Assembl e g n rale des Nations Unies ASC Coordonnateur de secteur s curit DSS des Nations Unies BCAH Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies CAP Proc dure d appel global CERF Fonds central d intervention d urgence CIAB Conseil international des agences b n voles CICR Comit international de la Croix Rouge CIH Centre d information humanitaire BCAH CMcoord Coordination civilo militaire CMCS section de coordination civilo militaire BCAH CMOC Centre des op rations civilo militaires CR CH Coordonnateur r sident Coordonnateur de l action humanitaire des Nations Unies CRD Division de la coordination et des interventions BCAH CSA Conseiller pour la s curit DSS des Nations Unies DART quipe d intervention en cas de catastrophe Etats Unis DCPEP Direction de la protection civile et de la planification des interventions d urgence Norv ge DEMA Agence danoise de gestion des situations d urgence DFID minist re du D veloppement international Royaume Uni DO Responsable d sign charg des questions de s
151. N anmoins ils sont influenc s par leur nature m me et l valuateur doit tenir compte de ces partis pris potentiels Le parti pris concerne la fois les entretiens individuels et les groupes L effet du groupe sur les personnes qui participent ajoute une dimension suppl mentaire de parti pris concernant les choses que le groupe pense et les sujets sur lesquels il est possible de discuter dans le cadre du groupe La plupart des entretiens en groupe et individuels sont bas s sur la vuln rabilit et le sch ma de vuln rabilit et de capacit voir ci dessous Vous devez conna tre les difficult s que les gens rencontrent et les moyens avec lesquels ils y font face Certains probl mes sont vidents comme des habitations d truites par une inondation par exemple d autres comme les mauvais traitements inflig s aux civils en temps de guerre le sont moins M me des questions qui semblent videntes au premier abord peuvent se r v ler complexes si on les examine de plus pr s Il faut s efforcer de mettre les personnes interrog es l aise lorsque l on proc de un entretien semi structur Posez les questions de votre liste de contr le mais n h sitez pas rechercher d autres informations Posez vos questions de diff rentes mani res afin de recouper les informations que vous obtenez Commencez par une conversation g n rale au sujet de la vie dans la r gion des choses que vous voyez autour de vou
152. On y trouve une vari t d exp rience et d expertise par ex en mati re de gestion et coordination des urgences de secours de logistique de sant de nutrition de sant publique et d pid miologie d eau et d assainissement de finance d administration de soutien psychologique de restauration des liens familiaux ainsi que nombre de capacit s linguistiques Les t ches principales sont la coordination des activit s de la F d ration internationale l valuation et en particulier la consolidation l analyse et l change des valuations et la cr ation d un plan de l op ration notamment l tablissement et le lancement de la mise en uvre des programmes sectoriels La FACT a aussi pour mission de coop rer et de collaborer avec des intervenants hors du Mouvement de la Croix Rouge et du Croissant Rouge notamment l ONU et en particulier l quipe UNDAC chaque fois que c est possible et dans le respect du mandat et des principes fondamentaux du Mouvement L quipe FACT travaille avec des homologues de la Soci t nationale locale des quipes r gionales de r ponse aux catastrophes RDRT des membres des d l gations r gionales et nationales de la F d ration les Soci t s nationales participantes aidant la Soci t nationale locale ainsi que le CICR A la fin de la mission les r les de la FACT sont repris par la Soci t nationale h te la d l gation et les d l gu s recrut s pour l op ration Equipe r gi
153. Oslo mai 1994 Les RMPC comprennent une grande vari t d quipements sp cialis s de comp tences et de personnel pour des op rations de secours en cas de catastrophe Exemples d urgences dans le pass avions ailes fixes h licopt res bateaux de sauvetage contr le a rien contr le de la s curit a rienne installations de d contamination biologique chimique et nucl aire NBC d tection chimique h pitaux de terrain construction et r paration de ponts r paration de voies rapides purification et distribution d eau et fourniture d abris construction et s curit des camps Ces ressources sont fournies en principe gratuitement par un certain nombre de pays donateurs sur la base d arrangements et de proc dures existants au sein du BCAH La CMCS tient une banque de donn es des RMPC qui conform ment aux indications des pays donateurs sont potentiellement disponibles en cas d urgence humanitaire Pour avoir des informations sur cette banque de donn es consulter le site Internet du BCAH http ochhaonline un org webpage asp Page 990 Demandes de RMPC La CMCS n introduit jamais de demande de ressources de sa propre initiative mais seulement sur la base de la demande d une organisation ou d une agence humanitaire responsable L quipe UNDAC peut recommander au BCAH par l interm diaire du CR CH et en accord avec le pays touch par la catastrophe que la CMCS soit pri e de mobiliser les RMPC si ces derni res sont
154. TABLE DES MATIERES A PREFACE A 1 Introduction au manuel A 2 Contacter le BCAH B LE R LE DU BCAH DANS LA COORDINATION B 1 La coordination un point primordial B 2 Coordination sur le terrain mission et objectifs B 3 Les fonctions de coordination sur le terrain B 4 Les infrastructures de coordination du BCAH dans les pays B 5 Forum de coordination B 6 Catastrophes naturelles et situations d urgence complexes principales diff rences C LE SYST ME D VALUATION ET DE COORDINATION DES NATIONS UNIES EN CAS DE CATASTROPHE UNDAC C 1 D finition C 2 Mandat type du syst me UNDAC approuv en novembre 2002 par ERC C 3 Cycle d une mission UNDAC D MOBILISATION ET MISSION D 1 Proc dure type de mobilisation D 2 Pr paration personnelle D 3 Donn es initiales sur la zone de la mission D 4 Voyage international D 5 Arriv e et premi res d marches D 6 Plan d action D 7 Soutien de la mission D 8 vacuation m dicale D 9 Fin de la mission E COORDINATION SUR LE TERRAIN E 1 Techniques de coordination et d intervention E 2 Structure et mise en place d un Centre local de coordination des op rations E 3 Liste de contr le des fonctions de coordination Annexe F GESTION DE L INFORMATION F 1 Introduction F 2 R daction de rapports et rapports de situation UNDAC F 3 Traitement de l information F 4 Contact avec les m dias F 5 Pr paration des appels de fonds Annexe G EVALUATION EN CAS DE CATASTROP
155. WN STATION STATION INCONNUE L identit de la station d appel ou de la station avec laquelle j essaye de communiquer est inconnue VERIFY VERIFIEZ V rifiez tout le message ou les parties indiqu es avec le destinataire et envoyez la version correcte utiliser uniquement par le destinataire de la demande I VERIFY JE VERIFIE Ce qui suit a t v rifi votre demande et est r p t A n utiliser qu en r ponse VERIFIEZ WAIT WAIT WAIT ATTENDEZ ATTENDEZ ATTENDEZ Je dois faire une pause de quelques secondes WAIT OUT ATTENDEZ TERMINE Je dois faire une pause plus longue et je vous rappellerai quand je serai pr t e WORD AFTER MOT APRES Le mot du message auquel je fais r f rence est celui qui suit WORD BEFORE MOT AVANT Le mot du message auquel je fais r f rence est celui qui pr c de WORDS TWICE MOTS DEUX FOIS La communication est difficile Transmettez chaque phrase groupe deux fois Ce terme de proc dure peut tre utilis comme ordre demande ou information OUT TERMINE C est la fin de ma transmission pour vous Aucune r ponse ni aucun accus de r ception n est attendu OUT TO YOU TERMINE POUR VOUS Ne r pondez pas je n ai plus rien pour vous Je vais maintenant appeler une autre station du r seau READ BACK COLLATIONNEZ R p tez moi la toute la transmission suivante exactement comme vous
156. a force les affaires humanitaires par un CH des Nations Unies et les activit s de d veloppement par un CR des Nations Unies En outre un Repr sentant sp cial du Secr taire g n ral RSSG peut tre pr sent Un RSSG peut tre d sign pour agir au nom du Secr taire g n ral dans le cas d une situation d urgence complexe ou d une ampleur exceptionnelle en r gle g n rale quand des n gociations politiques de premier ordre sont en cours et ou que des forces de maintien de la paix de ONU sont d ploy es Le RSSG assure la coordination et les actions du syst me ONU dans sa totalit Par ailleurs le s coordinateur s du BCAH est sont tenus d informer le RSSG tout comme l ERC B 5 Forum de coordination B 5 1 Autorit s locales Dans la plupart des situations d urgence et particuli rement quand celles ci apparaissent soudainement l homologue de l ONU dans le pays est le gouvernement Celui ci d signe dans la majorit des pays un ministre sp cial ou une entit en charge de la coordination globale de l aide humanitaire gouvernementale et de la collaboration avec les organisations humanitaires internationales Si une telle structure existe elle sera un alli de taille pour le personnel de l ONU en charge de la coordination humanitaire Parmi les minist res avec lesquels le BCAH peut tre amen travailler on compte le minist re des Affaires trang res le minist re de l Int rieur pour ce qui conc
157. a visibilit est r duite Il est facile de perdre son sens de l orientation et difficile de se faire rep rer par les sauveteurs Jungle secondaire Le long des berges des rivi res et aux lisi res de la jungle la lumi re p n tre jusqu au sol et la v g tation est abondante Le sous bois atteint une hauteur de 3 m tres en un an Les d placements sont lents il est difficile de se frayer un chemin l aide d une machette For ts sub tropicales humides Situ es dans un rayon de 10 de l Equateur ces for ts connaissent une saison de pluviosit r duite voire de s cheresse avec des cycles de mousson Les arbres caducs y croissent en plus grand nombre et le sous bois est dense For ts de montagne Situ es des altitudes sup rieures 1 000 m tres la cha ne du Ruwenzori en Afrique centrale est typique un paysage ressemblant un crat re tapiss de mousse entre des cimes recouvertes de glace La v g tation est clairsem e les arbres sont rabougris et tordus Les branches inf rieures rendent les d placements difficiles Les nuits sont fra ches les jours chauds et brumeux La survie est difficile descendre de la montagne en direction de la for t tropicale humide Marais d eau sal e Dans les r gions c ti res sujettes des inondations les arbres de mangrove prosp rent atteignant une hauteur de 12 m tres Leurs racines entrem l es constituent un obstacle au dessus et en dessous de la s
158. ac s l int rieur de leur propre pays et les prot ger contre la malnutrition et la maladie pendant les premiers jours dangereux et chaotiques des situations d extr me urgence en leur donnant acc s des services de sauvetage et d aide vitaux e Assurer la protection contre la violence l exploitation les mauvais traitements le viol intentionnels et le recrutement dans l arm e e Aider la r insertion et au rel vement de personnes et de communaut s au moyen d actions de d veloppement destin es r tablir la sant psychologique et sociale les soins m dicaux pour les m res et les enfants reconstruire les coles la distribution d eau et les syst mes d assainissement e Promouvoir des solutions durables en cr ant et en renfor ant les capacit s d auto assistance aux niveaux de la famille et de la communaut et en aidant les femmes prendre part la mise en oeuvre et la gestion de ces solutions Strat gies globales Aide la famille Dans ses actions de secours d urgence l UNICEF reconna t qu il incombe en priorit aux parents et aux familles d assurer le respect des droits et le bien tre des enfants Son objectif g n ral est de renforcer la capacit des familles fournir des soins appropri s aux enfants et r unir les familles s par es en soutenant les syst mes et institutions d aide nationaux et locaux publics et non gouvernementaux dont d pendent les familles L o ces dern
159. ace la situation et le niveau de r ponse de la communaut internationale e Jes besoins en aide les plus urgents et les m thodes possibles pour y r pondre efficacement e les m canismes de coordination e les contraintes politiques culturelles et logistiques majeures Elle permet galement e de formuler des recommandations d finissant et fixant des priorit s concernant les actions et les ressources n cessaires une r ponse imm diate e de mettre en vidence les pr occupations existantes concernant l volution de la situation e attirer l attention sur les Zones g ographiques secteurs importants n cessitant une valuation approfondie G 2 M thodologie et programmation G 2 1 El ments cl s pour une valuation r ussie Qu il s agisse de coordonner les valuations ou de les mener bien leurs principes restent les m mes Plusieurs facteurs participent la conception d une valuation r ussie et rigoureuse Coop ration avec les autorit s nationales locales L quipe UNDAC s assure du maintien d une coordination troite avec les services nationaux et les autorit s locales Les quipements les ressources et les structures organisationnelles existants doivent tre utilis s autant que possible La somme d informations obtenue des autorit s locales est en principe importante Implication des agences de PONU Au sein du syst me des Nations Unies un certain nombre d agences
160. acles les lacunes les doubles emplois et les besoins non satisfaits Au d but de la mission l quipe UNDAC devra d terminer avec le Coordinateur r sident Coordinateur humanitaire des Nations Unies CR CH l tendue des responsabilit s de l quipe dans la gestion de l information Les t ches relatives la gestion de l information incombant l quipe UNDAC peuvent comprendre tout ou partie des activit s suivantes e Etre le point de contact pour toute l information concernant les activit s humanitaires d velopper et maintenir une relation avec les autres sources d information telles que l autorit locale de gestion des urgences LEMA la F d ration internationale de la Croix Rouge et du Croissant Rouge FICR les responsables d agences d information et les agents de liaison de l information militaire classer l information selon sa vraisemblance et sa fiabilit e tablir des r seaux rapides et efficaces de r daction de rapports d velopper des syst mes de communication lectronique et favoriser les dispositifs de communication interne e tablir et mettre jour l tat des lieux de la situation humanitaire par secteur organisation zone g ographique faciliter la transmission de l information depuis et vers les bureaux de terrain surveiller et contr ler en temps r el les incidents n cessitant une aide humanitaire e Collecter rassembler analyser et diffuser les informa
161. adobe brique blocs de b ton pierre Structures de b ton renforc charpentes avec remplissage en brique charpentes avec murs porteurs en ma onnerie murs porteurs structures en pr fabriqu Charpentes en acier Structures en bois Toiture par exemple tuiles amiante l g re ciment plaques de m tal etc Nombre ou pourcentage de constructions Pas de d g ts significatifs d truites D g ts importants structures non habitables besoins de r paration importants Type de destruction et tendue des d g ts B timents publics par exemple sites selon les constructions religieux coles centres communautaires etc Habitations abritant plusieurs familles Habitations abritant une famille B timents industriels cliniques h pitaux D g ts impliquant des mati res dangereuses Pr sence de gaz de produits chimiques ou HAZMAT autres substances l tales R ponse Combien d quipes nationales et ou internationales sont sur place et o travaillent elles Quelles zones ne sont pas couvertes par les quipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain H bergement et produits personnels m nagers Sources d information e Observations a riennes e Autorit s locales e Communaut s e Observation e Guide SPHERE e Liste de contr le pour la recherche et le sauvetage en milieu urbain Domaine Informations de r f rence Besoins en mati re d h bergement Facteurs c
162. agan les quipes UNDAC peuvent tre envoy es dans ce pays e Situations d urgences complexes Quand une situation d urgence appara t ou devient tout coup plus complexe ce qui entra ne souvent un besoin impr vu en coordination internationale suppl mentaire Dans chaque cas le d ploiement et les t ches confi es l quipe UNDAC sont convenus avec le RC CH et ou le gouvernement du pays L quipe reste en g n ral entre deux et quatre semaines dans la zone touch e c est dire la dur e de la phase d intervention initiale C 1 1 D claration approuv e du Groupe de travail de l IASC sur le syst me UNDAC La d claration du Groupe de travail du Comit permanent interorganisations IASC sur le syst me UNDAC faite en 2002 formule les recommandations suivantes pour l utilisation et la mise en place de ce syst me G n ralit s Le syst me UNDAC fait partie du BCAH et ce titre n est pas une organisation ind pendante Son r le principal est de fournir PERC les comp tences n cessaires pour aider un tat membre touch par une situation d urgence en apportant des prestations techniques sous la direction du CR CH Les principales prestations techniques fournies par le syst me UNDAC sont la coordination sur le terrain et la communication des informations D partement de la traduction afia j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for print
163. age la maintenance des v hicules les op rations a riennes l g res et la gestion des aires d atterrissage e Coordonner les services communs vitaux tels que le transport a rien les vols d vacuation m dicale et les ponts a riens e Faciliter la mise en place du groupe de coordination logistique e S assurer des proc dures existantes relatives au passage en douane aux pi ces justificatives n cessaires sur place et aux imp ts et taxes et si n cessaire mettre en place et publier ces proc dures e Faciliter la coop ration et la mise en commun d installations d approvisionnements et d quipements e Avec les autorit s locales assurer le suivi et la hi rarchisation des envois de secours en fonction des priorit s de mani re ce que les colis vitaux soient trait s rapidement R sultat attendu Soutien logistique l quipe UNDAC et liens officiels avec toutes les entit s logistiques de l op ration de secours Fonction Liaison Mission tablir un change d informations officiel entre l quipe UNDAC et les diff rentes organisations et participer aux r unions correspondantes Liste de contr le e Communiquer r guli rement avec les quipes de recherche et sauvetage en milieu urbain les ONG les donateurs la presse les institutions des Nations Unies et d autres organismes internationaux de secours et leur fournir les information n cessaires la mise en
164. ain FCSS envoyer un message d information MO au centre national de mobilisation de tous les pays participant l UNDAC 2 Il n est pas n cessaire d envoyer une confirmation ou une autre forme de r ponse au BCAH Gen ve 3 Un message d information n entra ne pas automatiquement d autres messages de l UNDAC Alerte M1 1 Le BCAH Gen ve envoie un message d alerte M1 au Centre national de mobilisation de tous les pays participant l UNDAC Un message d alerte n est pas habituellement pr c d d un message d information 2 Les centres nationaux de mobilisation transmettent le message aux membres nationaux de l quipe UNDAC selon les modalit s pr d finies Les centres nationaux de mobilisation adressent une copie du message d alerte au point focal national responsable de l UNDAC Les membres accusent r ception du message d alerte aupr s des centres nationaux de mobilisation Les membres r pondent directement au BCAH Gen ve r ponse M1 en indiquant s ils sont disponibles leur lieu de contact l a roport le plus proche de l endroit o ils se trouvent et quelle date ils peuvent tre l a roport pr ts partir pour le lieu de la catastrophe Parall lement l envoi d un message M1 par t l copie la FCSS adresse un message d alerte par courriel et SMS aux membres de l UNDAC concern s et met le message sur le r seau virtuel du Centre local de coor
165. ajectoires de vol doivent viter si possible de passer au dessus du camp L h liport sera id alement situ sur une surface en b ton La zone d limit e doit tre de 40m x 80m une distance de 80m est pr f rable pour les trajectoires d approche et de d part et tre clair e Envisagez l utilisation d un manche air ou d un autre indicateur pour le vent fum e par exemple e Retour la normale Envisagez ce que deviendra l espace que vous utilisez au moment o les choses vont rentrer dans l ordre Cet espace sera t il requis par exemple coles stades jardins publics etc Essayez d avoir un impact minimal afin d acc l rer le retour la normale Construction du camp Lorsque le module et l quipe arrivent ils vont couter vos remarques concernant l am nagement du camp et les adapter en fonction des limites de leur quipement et du site choisi Choisissez un point de contact de pr f rence le chef d quipe IHP et soyez r guli rement en contact avec cette personne D lai Les camps ne se construisent pas en une nuit pour un camp de 80 90 membres des Nations Unies vous devez pr voir au minimum 3 4 jours de construction D chargement Au total environ 7 chargements complets de mat riel seront livr s et d charg s Dans l id al ils seront d charg s sur une surface dure imm diatement adjacente l aire de construction Un monte charge sera utilis s il est util
166. al a l intensit et la lisibilit suivante sale j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing r doc 15 07 2008 09 07 JE VOUS LIS Indication de la force de la transmission LOUD FORT GOOD BONNE WEAK FAIBLE VERY WEAK TRES FAIBLE NOTHING HEARD RIEN ENTENDU Indications de la lisibilit CLEAR CLAIRE READABLE LISIBLE DISTORTED DEFORMEE WITH INTERFERENCE AVEC INTERFERENCES NOT READABLE ILLISIBLE Exemple de contr le radio Votre transmission est forte Votre transmission est bonne Je ne vous entends qu avec difficult Je ne vous entends qu avec grande difficult Je ne vous entends pas du tout Excellente qualit Bonne qualit aucun mal vous lire J ai du mal vous lire J ai du mal vous lire en raison d interf rences J entends que vous transmettez mais je ne peux pas vous lire du tout ALPHA ICI CHARLIE CONTROLE RADIO PARLEZ ICI ALPHA VOUS ETES FORT ET CLAIR PARLEZ ICI CHARLIE VOUS ETES FORT ET CLAIR AUSSI TERMINE R 3 signaux d appel standards des Nations Unies Les Nations Unies ont d velopp un syst me d attribution de termes de proc dure qui est applicable dans le monde entier Il requiert un minimum d administration est facile utiliser et d finit uniquement les stations et les utilisateurs Le syst me est applicable aux agences des Nations Unies comme aux ONG La cellu
167. al qui d termine la disponibilit d une unit militaire et son aptitude accomplir des t ches humanitaires car elle joue sur la question de savoir si elle sera per ue ou non par les autres comme neutre et impartiale e Missions en temps de paix elles incluent entra nement et exercices dans la r gion sans intention hostile e Op rations de maintien de la paix sous commandement de l ONU Elles comprennent des missions sous les auspices du Chapitre VI ou VII de la Charte des Nations Unies e Autres op rations missions de maintien de la paix Elles incluent une s rie de t ches entreprises par des forces militaires qui ne sont pas sous le contr le de l ONU notamment de maintien de la paix d imposition de la paix d instauration de la paix et autres op rations de maintien de la paix dans lesquelles les forces sont d ploy es selon des param tres op rationnels exigeant un recours minimum n cessaire la force e Missions de combat Celles dans lesquelles l objectif principal de l op ration est la d faite de l ennemi d sign L organisation des principes appara t dans le tableau ci apr s Il permet de d cider s il y a lieu ou non de faire usage des RMPC Type R le de Temps de paix Maintien de la Imposition de la Combat d aide l arm e paix paix Aide directe Peut tre Peut tre Non Non Aide indirecte Oui Peut tre Peut tre Non Aide aux Oui Oui Peut tre Peut tre infrastructures
168. alement tendance se sp cialiser dans un ou deux domaines ou cibler leurs efforts en direction d un groupe de population vuln rable Elles offrent habituellement un personnel qualifi une capacit de d ploiement rapide si elles ne se trouvent pas d j dans la r gion une souplesse op rationnelle et des ressources qui ne seraient peut tre pas disponibles autrement en cas d urgence Les ONG locales se sont elles aussi multipli es ces derni res ann es Elles peuvent tre un partenaire essentiel en mati re de r ponse aux catastrophes parce qu elles sont connues localement et qu elles connaissent elles m mes la r gion la culture la population etc Dans de nombreux cas elles travaillent en collaboration avec des ONG internationales l ONU et d autres Elles sont des atouts qui doivent tre utilis s Secteur des entreprises Dans les cas de catastrophes naturelles comme dans des situations d urgence complexes les milieux d affaires internationaux interviennent de plus en plus soit de leur propre initiative soit en tant que sous traitants mandat s Ces intervenants posent un probl me pour la coordination de l aide humanitaire car ils ne sont int gr s dans aucun processus de coordination d ensemble par des voies officielles Des efforts sont en cours au niveau mondial pour tablir des r seaux et des normes pour l aide humanitaire en cas de catastrophes fournie par les milieux d affaires M 5 L Equipe d intervention
169. alys s et des modifications et am liorations utiles sont apport es aux Proc dures op rationnelles permanentes POP une formation est organis e et les interventions futures sont planifi es e Mobilisation op rations n cessaires imm diatement apr s la catastrophe et pr paration d une quipe USAR pour aider le pays touch e Op rations toutes les actions requises lorsqu une quipe internationale USAR arrive au Centre de r ception et de d part RDC s enregistre POSOCC adresse un rapport la LEMA et r alise les op rations USAR jusqu ce qu elle re oive l ordre de cesser ces op rations e D mobilisation actions requises lorsque l quipe USAR a re u l ordre de cesser les op rations USAR de commencer son d sengagement de coordonner son d part par le biais de POSOCC et de quitter le pays touch par le biais du RDC e _ Post mission actions requises lorsqu une quipe internationale USAR est rentr e et doit compl ter et soumettre un rapport post mission et effectuer une analyse des enseignements tir s pour am liorer l efficacit g n rale des interventions lors des prochaines catastrophes La version compl te des directives INSARAG est disponible dans le logiciel de mission UNDAC H 2 2 Syst me de classification des quipes USAR Les catastrophes affectant dans le monde entier les zones urbaines haute densit de population vivant et travaillant dans des b timen
170. an traitant l intervention humanitaire dans son ensemble id alement la coordination entre les secteurs humanitaires est prise en charge depuis le Centre par l agence chef de file de chaque secteur En cas de catastrophe naturelle le Centre est g n ralement appel Centre local de coordination des op rations OSOCC et se trouve sur le site de la catastrophe Des OSOCC secondaires peuvent tre cr s aux autres sites touch s par la catastrophe Voir aussi le Chapitre E La coordination sur le terrain B 4 4 Le m canisme de coordination r gionale Si la situation d urgence touche plusieurs pays ou est susceptible de le faire PIASC et PERC peuvent adopter un m canisme de coordination r gionale Fonctionnant sous l autorit de PERC il favorise l ad quation entre des politiques des diff rents pays aux probl mes d aide humanitaire l chelle locale notamment le cas chant l harmonisation des accords r gissant les op rations transfrontali res et l apport d un soutien logistique incluant des r seaux de t l communications interr gionaux B 4 5 Les missions int gr es des Nations Unies Les agences des Nations Unies sur le terrain sont parfois simultan ment impliqu es dans des op rations humanitaires de s curit et de d veloppement Dans ce cas il est possible que trois cha nes de commandement distinctes coexistent les forces de maintien de la paix sont supervis es par un Commandant de l
171. ansport ou hiss Caract ristiques de la culture militaire Les entit s militaires peuvent avoir certaines caract ristiques Nombre d entre elles sont destin es am liorer le travail collectif de l unit ou de la force militaire ventuellement au d triment de l individu ou d autres organisations Signes distinctifs d identification uniforme et insignes Une fiert collective qui fait que l individu est subordonn au groupe Accent mis sur la performance collective S paration d avec d autres groupes et des civils Loyaut Culture forte L 6 1 Structures de l tat major Organisation militaire L clatement d une unit militaire en sous unit s se pr sente habituellement comme suit Groupe Taille Commandant Section D tachement 8 12 hommes Caporal Sergent Peloton Troupe 2 4 sections Lieutenant Compagnie Escadron 3 4 pelotons Capitaine Major Bataillon R giment 3 4 compagnies Lieutenant Colonel Brigade R giment 3 6 bataillons Colonel Brigadier Division 3 6 brigades Major G n ral Corps 3 4 divisions Lieutenant G n ral Il existe toutefois de grandes variations dans la pratique Il importe en outre de faire observer qu aux forces militaires correspondent de nombreuses et diff rentes attributions et il ne sert rien de demander une unit de renseignements de fournir une patrouille de s curit une unit m dicale de fournir des marchandises ou
172. ant tre utilis s pendant les op rations de sauvetage en cas de catastrophe S 5 M thodes de chargement et de d chargement des avions S 6 Liste des sigles et acronymes S 1 Conversion syst me m trique syst me anglo saxon Syst me m trique gt syst me anglo saxon syst me anglo saxon gt syst me m trique Longueur 1 cm 0 394 inches 1 m 39 4 inches 1 m 3 28 feet 1 m 1 09 yards 1 km 0 621 miles Longueur l inch 2 54 cm 1 foot 30 5 cm 1 foot 0 305 m 1 yard 0 914 m 1 mile 1 609 km Masse 1 g 0 035 ounces 1 kg 2 2 pounds 1 tonne 2200 pounds 1 tonne 0 984 tons Masse 1 ounce 28 3 g 1 pound 454 g 1 pound 0 454 kg 1 ton US 1 02 tons Surface 1cm2 0 155 sq in 1 m2 10 76 sq ft 1 m2 1 2 sq yd 1 ha 2 47 acres 1 km2 247 acres 1 km2 0 386 sq miles Surface 1 sq inch 6 45 cm2 1 sq foot 929 cm2 1 sq foot 0 093 m2 1 sq yard 0 836 m2 1 acre 0 405 ha 1 sq mile 2 59 km2 Volume 1 cm3 0 061 cu in 1 m3 35 3 cu ft 1 m3 1 31 cu yd 1 ml 0 035 fl oz 1 1 1 76 pints 1 1 0 22 UK gal 1 US gal 0 833 UK gal Volume 1 cu inch 16 4 cm3 1 cu foot 0 028 m3 1 cu yard 0 765 m3 1 fl once 28 4 ml 1 pint 0 568 1 1 UK gal 4551 1 UK gal 1 2 US gal Temp rature Celsius x 1 8 32 Fahrenheit Fahrenheit 32 x 0 555 Celsius D partement de la traduction
173. ants des donateurs de grandes ONG et au Mouvement de la Croix Rouge du Croissant Rouge Dans ces cas elle est souvent d nomm e Equipe pays du Comit permanent interorganisations IASC L EGC peut aussi tre appel e Equipe pays des Nations Unies UNCT M 2 2 Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies BCAH Conform ment la R solution 2816 de l Assembl e g n rale des Nations Unies XX VD et 46 182 l ERC a t tabli par le Secr taire G n ral Le BCAH est le Bureau de l ERC qui est galement le Secr taire G n ral Adjoint SGA des Nations Unies aux Affaires humanitaires Le Bureau fait partie du secr tariat de l ONU et l USG aux Affaires humanitaires l ERC fait rapport directement au Secr taire G n ral L Assembl e g n rale a pour but de renforcer la coordination de l aide humanitaire au sein des Nations Unies La R solution expose les principes fondamentaux de la fourniture de l aide humanitaire par l organisation et recommande des mesures sp cifiques pour faciliter une r ponse prompte et coordonn e aux situations d urgence complexes et aux catastrophes naturelles et caus es par l homme L ERC est charg par l Assembl e G n rale de coordonner et de diriger l ensemble de la r ponse internationale en cas de catastrophe Le BCAH est situ New York Gen ve et dans de nombreux bureaux de terrain Le Bureau de New York permet au BCAH d assister le Secr taire G n ra
174. ar cons quent des l ments de relief de moindre importance tels que des falaises et des chutes d eau sont souvent pr sents terre mais ne sont pas indiqu s sur la carte Les cartes sont souvent inexactes en ce qui concerne les limites des cultures dans la jungle les routes pistes villages et clairi res car ceux ci sont soumis de perp tuels changements e Photographies a riennes Compl ment utile aux cartes et souvent le seul moyen d actualiser une carte ou d obtenir une couverture des zones non cartographi es Elles sont toutefois d une utilit tr s limit e dans des secteurs recouverts par la jungle e La boussole la boussole est le moyen le plus pr cis de conserver son orientation Dans certaines zones il peut exister des carts magn tiques en raison de la pr sence de min raux Se fier la boussole et se garder de la tentation de recourir son sens de l orientation Aucun groupe ne devrait tenter de se d placer dans la jungle sans boussole sauf si cela ne peut tre vit et en cas d urgence La distance parcourue variera en fonction de la condition physique et de la volont de l int ress L erreur courante est de surestimer la distance parcourue mais le temps est une 13 mesure plus commode du trajet Les indications suivantes peuvent tre consid r es comme un guide sommaire pour la distance parcourue en une heure e A travers une jungle primaire 1 000 2 000 m tres contourneme
175. at gie de collecte doit tre tablie d s le d but de la mission pour viter la perte d information Les membres de l quipe collectent des informations sur de nombreux sujets Un membre de l quipe peut tre d sign pour rassembler les informations concernant un sujet particulier et les autres sujets peuvent tre trait s par le reste de l quipe Regroupement Le regroupement des informations est essentiel pour l quipe UNDAC Toutes les informations doivent tre class es dans un ordre structur pour simplifier les recherches les comparaisons et les analyses Essayez de classer l information en version lectronique et papier N utilisez si possible qu un seul ordinateur pour le classement des versions lectroniques effectuez toujours une sauvegarde Ce processus doit tre mis en place d s le premier jour car il s av re ensuite tr s difficile de retrouver les informations manquantes lorsque les divergences et les contradictions deviennent difficiles d tecter Analyse L analyse exhaustive de l information collect e est une tape essentielle du processus de gestion de l information L quipe UNDAC doit veiller enregistrer et rapporter les faits aussi objectivement que possible En effectuant l analyse il faut tenir compte de la situation du pays ainsi que du contexte de la catastrophe des moyens traditionnels de r action et de l volution possible de la situation L quipe UND
176. atastrophe UNDAC est un outil qui est mobilis la demande du gouvernement du pays concern ou du Coordonnateur r sident et Coordonnateur de l action humanitaire CR CH ou du Coordonnateur des secours d urgence ERC s il le juge n cessaire Une quipe UNDAC est mobilis e lors d une catastrophe impr vue ou en cas d alerte pr coce concernant une catastrophe d s lors que les premi res indications portent penser qu une quipe UNDAC pourrait tre n cessaire Lorsqu une catastrophe est imminente ouragan par exemple PERC peut d cider de pr positionner une quipe UNDAC dans le pays La mobilisation s effectue selon un sch ma habituel en 4 phases e MO Information e MI Alerte e M2 Mise en r serve e M3 Envoi La proc dure de mobilisation de l UNDAC peut tre interrompue tout moment par la transmission d un message de suspension M3b Deux num ros de t l phones affect s aux communications avec le Bureau de la coordination des affaires humanitaires BCAH Gen ve serviront durant les phases de mobilisation et d alerte d une quipe UNDAC T l copie 41 22 917 0023 T l phone 41 22 917 1600 M l undac alert un org D 1 1 Mobilisation Information M0 1 En cas d urgence de grande ampleur ou si des informations ont t communiqu es l quipe UNDAC le BCAH Gen ve peut par l interm diaire de la Section de soutien la coordination sur le terr
177. ation culturelle politique et ou religieuse en vigueur dans un pays peut avoir une influence sur l approche qu aura l quipe de son mandat et doit tre prise en compte par chacun des membres de l quipe Il faut tre pr t s adapter aux coutumes locales de mani re ce que le comportement individuel n offense pas les partenaires locaux Ainsi le foulard peut tre obligatoire pour les femmes les manches courtes et les shorts peuvent ne pas tre accept s la consommation de certains aliments interdite etc Lorsque cela est possible le chef d quipe informe les membres de son quipe des coutumes et traditions du pays en question avant le d ploiement D 2 1 Documents e Passeport de pr f rence lisible en machine ainsi que des copies du passeport et des photographies d identit suppl mentaires Certificat de l ONU Attestation de voyage concernant la mission re ue de la FCSS Certificat international de vaccinations et plusieurs copies Cartes imprim es partir d Internet Monnaie locale ou dollars des tats Unis en esp ces carte de cr dit ou ch ques de voyage Porte bloc papier crayons bille et papier Manuel UNDAC D 2 2 Biens personnels et de l quipe Les l ments figurant dans la liste ci apr s sont recommand s par la FCSS Chaque membre doit faire preuve de bon sens en pr parant ses bagages pour une mission mais ne doit pas emporter plus que ce qu il peut porter lui m me
178. ation du rapport L 1 Introduction L quipe UNDAC est constitu e d individus poss dant une grande vari t de sp cialisations de comp tences et d exp riences li es aux interventions en cas de catastrophe Le syst me international ne poss de pas d autre entit pouvant rassembler une quipe dot e de comp tences aussi multiples con ue pour les situations sp ciales d intervention en cas de catastrophe Si l quipe UNDAC est principalement destin e aux interventions en cas de catastrophe son exp rience et ses comp tences peuvent galement tre employ es lorsque l quipe n est pas en intervention d urgence pour conseiller les pays en d veloppement afin d am liorer leurs syst mes nationaux d intervention en cas de catastrophe I 2 Demande et mandat pour les missions de pr paration l intervention en cas de catastrophe DRP Les missions UNDAC de pr paration l intervention en cas de catastrophe DRP doivent faire l objet d une demande aupr s du coordonnateur des secours d urgence ERC par le gouvernement du pays concern avec l accord et l approbation du Coordonnateur r sident Coordonnateur humanitaire CR CH des Nations Unies dans le pays Une fois que la mission UNDAC est approuv e par l ERC le mandat de la mission doit tre finalis en collaboration avec le gouvernement le CR CH le bureau r gional et le bureau de la Division de la coordination et des interventio
179. ation sur le terrain de mobiliser les modules de soutien aux c t s de l quipe UNDAC Les modalit s de d ploiement des quipes de soutien sur le terrain sont pr vues sur la base de la coop ration entre les pays qui ont r pondu et la Section de soutien la coordination sur le terrain Personnel Le personnel des modules de soutien est constitu de sp cialistes du ou des pays qui apportent leur soutien Ces membres du personnel ont re u une formation sp cifique au fonctionnement et la maintenance de l quipement Outre leurs comp tences techniques les membres du personnel de soutien ont tous re u une formation UNDAC qui les rend m me de participer l op ration du Centre local de coordination des op rations et aux missions d valuation Les membres du personnel de soutien ont tous vu le CD rom des Nations Unies sur la s ret et la s curit de base et portent sur eux leur certificat personnel lors du d ploiement Les membres du personnel de soutien sont quip s outre leur module d quipement de leur propre quipement personnel afin d tre op rationnels quipement Sauf indication contraire dans le mandat de la mission le module de base doit tre autosuffisant pendant dix jours avec possibilit de r approvisionnement et capable d apporter un soutien total une quipe UNDAC de six personnes au maximum L quipement fourni par les quipes de soutien doit tre pleinement compatible avec
180. ations approfondies ou sectorielles ce sont g n ralement le gouvernement du pays les agences des Nations Unies ou des membres comp tents de l IASC qui se chargent des valuations sectorielles d envergure N anmoins le syst me UNDAC peut aider mobiliser les comp tences si la catastrophe a un impact sur l environnement e Acheminer l aide humanitaire le syst me UNDAC ne fournit que des documents relatifs la coordination la gestion de l information ou la mobilisation des ressources e Jouer le r le de sp cialiste de domaines autres que ceux de la coordination de la gestion de l information ou de la mobilisation des ressources e Assurer la coordination entre les secteurs celle ci tant prise en charge par les ministres concern s et au sein du syst me ONU par l agence d sign e comme chef de file du secteur humanitaire en question e Coordonner les entit s nationales ou locales c est en effet la responsabilit du gouvernement C 2 Mandat type du syst me UNDAC approuv en novembre 2002 par PERC Le syst me UNDAC fait partie du BCAH et est mobilis apr s qu un pays touch PERC ou le CR CH en a fait la demande Il apporte son soutien au CR CH et l quipe pays UNCT EGC ou l quipe pays de l IASC en fournissant des services techniques principalement en mati re de coordination sur le terrain et de communication des informations Son objectif est de relier troitement les interventio
181. ations d urgence et qui est disponible pour un d ploiement court terme pour aider les pays touch s par des situations d urgence dans le monde entier La Division des Approvisionnements de l UNICEF bas e Copenhague est le point central d sign pour assurer une r action rapide dans des situations d urgence en mati re d approvisionnement La Division des Approvisionnements dispose de trois plates formes r gionales Duba Johannesburg et Panama pourvues d un stock renouvelable des fournitures d urgence les plus couramment demand es pour un nombre moyen de populations touch es respectivement 100 000 100 000 et 20 000 personnes Les Services d achats remboursables de la Division des Approvisionnements de l UNICEF peuvent tre utilis s aussi par d autres organisations et agences M 2 6 Programme Alimentaire Mondial PAM Dans une situation d urgence le PAM peut en fonction des besoins e Fournir aide et conseils au Gouvernement et d autres institutions et autorit s locales concern es pour valuer les besoins ventuels en aide alimentaire d urgence et pour planifier et g rer les actions d aide alimentaire appropri es e Fournir une aide alimentaire pour r pondre aux besoins alimentaires urgents sous r serve de la disponibilit des ressources et des besoins valu s en aide alimentaire internationale e Aider mobiliser et assurer la coordination dans la planification et la fourniture d aide alimentaire
182. ats Unis disposent bien souvent d un Centre des op rations civilo militaires CMOC charg entre autres des liaisons humanitaires Dans l id al ces fonctions militaires de liaison devraient tre utilis es pour soutenir le r le de coordination du BCAH Toutefois et parce que la disponibilit et le type de ressources et de comp tences diff rent selon les situations il est impossible d tablir un mod le g n rique de lien entre le op rations de maintien de la paix et la structure de coordination du BCAH D un point de vue organisationnel l l ment de soutien militaire peut se limiter un poste de la cellule de liaison ou au contraire assumer un poste plus actif dans d autres cellules Les installations militaires disponibles pour les actions humanitaires doivent tre int gr es ou tout du moins li es la structure de coordination du BCAH N anmoins il est important que les fonctions militaires de liaison qu elles aient la forme d une cellule humanitaire ou d un CMOC viennent en soutien de la coordination humanitaire principale et n agissent pas de mani re parall le ou pr minente Le BCAH de Gen ve dispose d une Section de coordination civilo militaire CMCS qui peut aider la mise en place d une interface entre militaires et civils La CMCS a form un grand nombre de personnes la CMCoord qui peuvent jouer le r le d interm diaire tous les niveaux de la structure de coordination Voir
183. au acceptable de s curit sociale et conomique et de dignit humaine La F d ration coordonne et dirige l aide internationale aux victimes de catastrophes naturelles et technologiques aux r fugi s et dans des situations d urgence sanitaire Elle associe ses activit s de secours un travail de d veloppement en vue de renforcer les capacit s des Soci t s nationales et travers elles des individus L unicit du r seau et de la coop ration des Soci t s nationales rend la F d ration mieux m me de d velopper les capacit s et d aider les plus touch s et permet aux communaut s de prendre part l laboration la mise en uvre et au suivi des programmes Outils de r action de la FICR en cas de catastrophe Dans un environnement de catastrophe multiples facettes complexe et de plus en plus exigeant la F d ration s emploie depuis de nombreuses ann es renforcer et utiliser d importants moyens en mati re de gestion de catastrophes afin de r agir de mani re appropri e rapide et efficace A cet effet la F d ration dispose d une s rie d outils de r action internationaux en cas de catastrophe Ces outils sont d ploy s pour soutenir la Soci t nationale concern e et renforcer ses moyens de r action Au nombre de ces outils on peut citer Appel d urgence Un appel qui peut tre lanc dans les heures suivant la survenue d une catastrophe et qui est habituellement mis jour au fur et mesu
184. austive certaines questions n cessitent un travail d valuation approfondi afin de collecter des informations primaires et ou secondaires mais il est possible que l quipe d valuation n ait pas les comp tences ou la capacit d effectuer un tel travail pr alable Cependant il est possible que les informations n cessaires existent d j il peut s agir par exemple de donn es secondaires et la t che de l quipe consiste alors seulement reprendre les informations rassembl es par d autres et en valuer la pr cision la pertinence et l exhaustivit Une quipe d valuation peut galement juger utile de concevoir de nouvelles questions ou d en d velopper certaines afin de collecter les informations n cessaires concernant des catastrophes sp cifiques et ou se r f rer certains points de la liste uniquement Dans tous les cas les listes de contr le constituent un point de d part la r flexion sur le type de donn es collecter Pour certaines catastrophes des formulaires sp cifiques d valuation peuvent tre n cessaires L quipe UNDAC est alors responsable de leur mise au point et de leur diffusion Si un Centre d information humanitaire CIH est mis en place il se charge naturellement de mettre au point les diff rents formulaires d valuation et de traiter les informations provenant des valuations Les formulaires d valuation habituellement utilis s sont inclus dans l
185. aut d abord identifier les menaces pour la s ret et la s curit Ces risques hors ceux engendr s par les catastrophes naturelles sont g n ralement li s au banditisme aux troubles ou aux conflits civils arm s et aux mines Il peut s agir de vols d enl vements de tirs crois s selon les conditions de s curit du lieu d intervention Il faut pr ciser d embl e qu il sera impossible d obtenir une s ret et une s curit totales On peut toutefois atteindre un niveau satisfaisant dans ce domaine G n ralement un quilibre doit s tablir entre les exigences de s curit les ressources disponibles et la mission accomplir la s curit ne doit pas devenir une entrave l accomplissement de cette mission Naturellement les missions ne comportent pas toutes des menaces pour la s ret et la s curit loin de l Ce chapitre aborde donc les missions comportant un risque de s ret ou de s curit pour l quipe Les suggestions qui vont suivre concernant la s ret et la s curit sont des mesures optimales Dans certaines situations une partie de celles ci sera impossible mettre en uvre d autres situations ne n cessiteront pas l utilisation de toutes les mesures La d cision ou co d cision du niveau de s curit doit tre prise en fonction de la situation Trois types de pr cautions peuvent tre prises afin de r duire les risques les premi res sont prendre au niveau de l
186. auvetage en milieu urbain Elles donnent des orientations l quipe UNDAC et aux autres organisations qui arrivent les premi res sur le site d une catastrophe pour tablir une structure de coordination La structure de coordination doit tre con ue pour aider les autorit s nationales et locales coordonner et faciliter le travail des intervenants internationaux Les directives d crivent le fonctionnement du centre de r ception et de d part et de POSOCC expliquent quelles sont leurs responsabilit s et sugg rent une m thode de travail La m thode de travail envisag e pr voit de s appuyer sur des mod les pour traiter l information et recommande des proc dures de r partition de la charge de travail avec d autres composantes l int rieur ou l ext rieur de l OSOCC Il est essentiel que tous les membres du personnel de OSOCC y compris le personnel de liaison ext rieur comprenne parfaitement les responsabilit s de chacune des composantes fonctionnelles de POSOCC et les relations entre elles Les directives de l OSOCC sont accessibles dans le logiciel de mission de l UNDAC ainsi que les nombreux formulaires et tableaux destin s faciliter le travail de POSOCC et du RCD E 2 2 Structure de l OSOCC Le tableau ci apr s met en vidence les fonctions de POSOCC et leurs relations avec les autres entit s Autorit s Centre de r ce
187. aux organismes qui en ont besoin Nommez les zones de votre site Si vous disposez d une unit de cartographie demandez leur de tracer un plan du site Ce plan sera utile pour la gestion 1l permettra par exemple de savoir dans quelle tente se trouve tel membre quelles sont les voies d vacuations etc F GESTION DE L INFORMATION F 1 Introduction F 2 R daction de rapports et rapports de situation UNDAC F 2 1 0rientation F 2 2 Syst me de r daction des rapports F 2 3 Rapport de situation UNDAC F 2 4 Pr sentation des rapports de situation UNDAC F 3 Traitement de l information F 3 1 G n ralit s F 3 2 Pr sentation de l information dans l OSOCC F 3 3 Contact avec le si ge du BCAH F 4 Contact avec les m dias F 4 1 G n ralit s F 4 2 0rientation F 4 3 R gles concernant les m dias F 5 Pr paration des appels F 5 1 Mobilisation de la communaut internationale F 5 2 Appels clair li s aux catastrophes naturelles F 5 3 Exemple d Appel clair en cas de catastrophe naturelle Annexe Relation du secr tariat des Nations Unies avec les m dias F 1 Introduction L une des responsabilit s primordiales de l quipe UNDAC est de collecter rassembler analyser et diffuser les informations concernant la situation d urgence Elle doit communiquer des informations g n rales sur les cons quences humanitaires de la crise les besoins et la disponibilit des ressources les interventions les r alisations les obst
188. av rer tr s probl matique s il existe une situation de conflit dans dont le Gouvernement est d faillant Points discuter e Les arrangements de liaison entre la communaut humanitaire et l arm e doivent ils tre conclu confidentiellement ou en toute transparence e Si ces arrangements de liaison taient de notori t publique quels seraient les effets sur la perception de la neutralit et de l impartialit des activit s humanitaires e Comment assurer la transparence des arrangements de liaison civilo militaires tout en pr servant la nette distinction entre acteurs militaires et humanitaires e Comment emp cher les perceptions et conclusions erron es concernant la nature et l objet des arrangements de liaison civilo militaires e Dans quelles circonstances des arrangements de liaison officiels sont ils n cessaires Quand est il pr f rable de maintenir des contacts sur une base ad hoc e Quelles sont la taille et la structure appropri es de la composante de liaison civilo militaire e Les agents de liaison des communaut s humanitaire et militaire doivent ils cohabiter dans les m mes locaux et si tel est le cas quel moment L 3 Liste de contr le UNDAC CMcoord Activit Mission Question R ponse OUI NON Qui contacter si la r ponse est NON Un agent de CMcoord est il affect dans notre quipe Section de soutien la coordination sur le terrain FCSS BCAH Gen ve
189. avec les forces militaires Ce dialogue doit tre ouvert d s que possible Outre l change d informations cruciales l agent de CMcoord est cens d fendre la communaut internationale Aider l laboration et la diffusion de directives pour l interaction entre la communaut humanitaire et les forces militaires et les intervenants arm s Les directives sp cifiques d urgence ou du pays fournissent un cadre l interaction avec les forces militaires et autres intervenants arm s Ces directives doivent tre examin es et mises jour si la situation change Mettre au point un m canisme pour la coordination de l interaction humanitaire de l ONU avec les forces militaires et autres intervenants arm s Ce m canisme doit faire en sorte que les informations n cessaires soient chang es et que les intervenants comp tents soient tenus inform s des activit s et des probl mes Surveiller les activit s d aide entreprises par les forces arm es Les activit s de secours et de reconstruction des forces militaires peuvent avoir de fortes implications sur les activit s humanitaires Les agents de CMcoord doivent encourager l int r t qu il convient de porter ces activit s promouvoir leur coordination et le respect de normes agr es dont l approche Do no harm ne faire aucun mal Aider au r glement des probl mes dans des domaines cl de la coordination L agent de CMcoord de l ONU sera souvent appel n gocier des sol
190. b timents et lorsque les quipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain sont en action L objectif est d aider ces autorit s faire face aux besoins techniques de coordination des quipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain 6 Mettre en place sur demande du gouvernement de l ERC ou du CR CH un OSOCC pour favoriser une int gration et une utilisation efficace de l aide internationale l appui des autorit s nationales comp tentes pour la gestion des catastrophes 7 Se d ployer et fonctionner dans le cadre des capacit s d intervention d urgence du BCAH sur demande du gouvernement du CR CH de PERC ou de PUNCT en cas de situations d urgence complexes et travailler en troite collaboration et en coordination avec les agences des Nations Unies en action 8 Maintenir des liens avec PERC l UNCT EGC et l IASC et les informer r guli rement des progr s de sa mission et ce tout au long de celle ci 9 Fournir r guli rement dans le cadre d un travail commun pour am liorer la coordination du syst me des rapports sur ses missions et son d ploiement sur le terrain au Comit consultatif de l UNDAC et au Groupe de travail de l IASC comme il en a t convenu C 3 Cycle d une mission UNDAC Une mission d intervention en cas de situation d urgence prend de mani re g n rale la forme d un cycle op rationnel Les principales caract ristiques des actions qu un membre d
191. bler un tr s grand nombre d informations dans un laps de temps tr s court Elle permet de ressentir la situation travers des sons des odeurs et des impressions visuelles Ainsi on peut commencer l valuation en faisant le tour des lieux Au cours de l valuation saisissez toutes les occasions d observer Si vous vous occupez de l eau demandez voir la source d approvisionnement en eau Si on vous parle d un aliment que vous ne connaissez pas demandez voir de quoi il s agit Vous pouvez apprendre beaucoup de choses en passant du temps dans les lieux de rencontre communautaires par exemple les caf s les salons de th etc Observez ce qui se passe autour de vous et parlez aux gens L observation est utile pour recouper les informations Vous apprenez par exemple que tout le b tail a disparu dans une inondation et peu de temps apr s vous voyez un grand troupeau de ch vres Ce fait ne contredit pas n cessairement les informations que vous avez obtenues de nombreuses explications sont possibles mais il permet de se poser les questions suivantes A qui ces animaux appartiennent ils Comment ont ils surv cu aux inondations Se d placer dans la zone avec des locaux facilite la discussion L ambiance est informelle et les questions sont induites par les choses que vous voyez Cette d marche est plus naturelle que celle consistant se r f rer une liste de contr le pr par e Les d placem
192. bres de l quipe Les responsabilit s de base de l quipe sont r parties entre l information valuation et compte rendu les op rations liaison avec les entit s ayant apport une r ponse apr s la catastrophe gestion par secteur la logistique transport h bergement et nourriture et le soutien administration et t l communications Cela comprend aussi la r partition des responsabilit s sur le terrain et dans la capitale et la d cision du lieu d tablissement de la base de l quipe PNUD h tel base de campagne etc Programme de travail D crire dans le d tail si possible les actions pr vues pour atteindre les objectifs de la mission ainsi que le calendrier d ex cution de ces actions Dans les premiers temps de la mission il ne sera sans doute possible d indiquer que la date de d but souhait e pour chacune des activit s Logistique et ressources Informations concernant les arrangements logistiques mis en place ou requis par l quipe logement transport ainsi que les ressources la disposition de l quipe quipement de t l communications kits de soutien la mission mat riel de bureau et fonds de caisse La logistique et les ressources doivent galement comprendre les ressources disponibles pour des action des secours telles que les subventions d urgence en esp ces du BCAH Soutien la mission Informations sur les mesures prises pour assurer le soutien du BCAH
193. bureau T l phone 41 22 917 3484 Fax 41 22 917 02 57 ochaunep un org Services disponibles 24h 24 et 73 7 Num ro d urgence BCAH 41 22 917 20 10 Fax d urgence BCAH 41 22 917 00 23 J 7 S curit des personnes Sur chaque mission la s curit des membres de l quipe UNDAC est une pr occupation de la plus haute importance Souvenez vous que le r le du responsable des situations d urgence environnementale est de d terminer s il existe ou non un risque environnemental grave et d en informer le Groupe conjoint de l environnement et non pas d apporter une solution au probl me ou d att nuer ses effets Des tentatives en ce sens pourraient faire courir un risque au responsable et ou l quipe tout enti re Toutes les situations d urgence environnementale pr sentent des dangers et doivent tre trait es par des sp cialistes form s Les accidents li s aux mati res dangereuses doivent notamment tre trait s avec attention Si vous vous trouvez dans la zone d une situation d urgence environnementale prenez soin de NE PAS MARCHER SUR DES MATIERES DEVERSEES et de NE PAS Y TOUCHER Tenez vous l cart des gaz fum es et vapeurs et positionnez vous dans le sens contraire du vent m me s il n y a pas d odeur particuli re Soyez attentif aux changements des conditions m t orologiques et aux changements de direction du vent Ne faites pas fonctionner d appareils lectroniq
194. c handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 08 07 10 configuration contenu autoris ou non place du BCAH comme appui leur pr paration mise en uvre dans le pays et traitement Gen ve pratique des comp tences n cessaires l mission d appel par la lecture la r daction et la critique d appels 8 Liens avec le bureau de la Division de la coordination et des interventions CRD FCSS c est dire les proc dures op rationelle permanentes POP pour e la r gularit des contacts e les rapports lignes et pr visions e les proc dures administratives de gestion du personnel Phase de consolidation e discussion franche sommes nous sur la bonne voie e les bonnes personnes sont elles affect es au poste ad quat e A t on besoin de soutien ou de mat riel suppl mentaire e analyse de la r partition de la charge de travail faut il adopter une rotation des postes Phase de d sengagement des quipes UNDAC e strat gies de d part qui doit tre int gr e la strat gie initiale de l quipe c est dire le Plan d action e expliquer aux partenaires que le syst me UNDAC n est pas sur place pour toujours mais seulement pour une p riode limit e faisant partie d un processus plus long e d cider qui prend les d cisions et sur la base de quelles autorisations et besoins Indicateurs de retrait e retrait total
195. cace e Examiner les propositions de programmes de secours et recommander leur approbation ou les approuver si elles ont t habilit es le faire e Aider la coordination des actions de secours du gouvernement des Etats Unis avec le pays touch d autres donateurs et organismes d aide humanitaire et si elles sont pr sentes d autres organisations gouvernementales notamment l arm e am ricaine e Assurer le suivi et l valuation des activit s de secours financ es par l OFDA Les DART coordonnent leurs activit s avec le pays touch les organisations b n voles priv es PVO les ONG les organisations internationales OT les organismes d aide humanitaire de l ONU et d autres pays participant l aide Lorsque les ressources militaires sont impliqu es dans l aide humanitaire apr s une catastrophe l quipe DART travaille en troite collaboration avec les responsables militaires pour assurer une r ponse coordonn e du Gouvernement des Etats Unis M 6 L Union Europ enne UE Avec ses 25 membres et la Commission l Union Europ enne UE est un acteur humanitaire majeur au niveau mondial L Office humanitaire de l UE ECHO est le service de la Commission europ enne responsable de cette activit Depuis 1992 l ECHO a financ l aide humanitaire dans plus de 85 pays Ses subventions qui s l vent un total de plus de 500 000 000 d euros par an couvrent l aide d urgence l aide alimentaire et l aide aux r
196. cas ch ant exprimer le point de vue de l organisation sur les principaux v nements internationaux Cependant nous devons parfois garder des informations secr tes non pour tromper ou dissimuler mais pour prot ger une proc dure diplomatique Notre politique de communication m diatique doit donc trouver un point d quilibre entre le besoin de transparence et le respect de la confidentialit 2 5 S adresser la presse L organisation s exprime principalement par l interm diaire du Secr taire g n ral Il s adresse fr quemment aux m dias que ce soit au si ge ou lorsqu il est en voyage La politique g n rale de relation avec les m dias fait partie int grante de l ensemble du travail de communication et d information de l organisation dirig par le Secr taire g n ral adjoint la communication et l information Le directeur de la communication du Bureau du Secr taire g n ral est charg de coordonner l laboration d une strat gie de communication permettant de transmettre aux m dias internationaux un message coh rent de la part de l organisation Le Porte parole du Secr taire g n ral et son personnel s adressent aux journalistes au nom du Secr taire g n ral tout au long de la journ e Le Porte parole re oit des orientations directes de la part du Secr taire g n ral et des membres dirigeants de son personnel Comme les membres du personnel du Porte parole ne peuvent pa
197. cas de d c s ou de blessure d un membre de l UNDAC dans l exercice de ses fonctions officielles pour le compte des Nations Unies En cas de d c s ou de blessure d un membre de l UNDAC dans l exercice de ses fonctions pour le compte des Nations Unies c est dire dans le cadre d une mission de PUNDAC une indemnisation lui est vers e conform ment l annexe D du R glement du personnel de l ONU y compris si ce membre a la nationalit du pays de la mission cette fin une r clamation doit tre adress e au Conseil d indemnisation ONU New York par l interm diaire du BCAH Gen ve et de l Office des Nations Unies Gen ve En cas de d c s d un membre de l UNDAC cette r clamation doit tre pr sent e au moyen du formulaire P 72 disponible la FCSS et accompagn e des documents suivants copie du contrat formulaire d signation du b n ficiaire original du rapport d accident rapport local et rapport ONU original du certificat de d c s original du rapport du m decin l giste acte de mariage le cas ch ant OS D Ne pas oublier que certains des documents susmentionn s ne peuvent tre obtenus que sur le terrain le chef d quipe UNDAC doit donc prendre des dispositions pour les obtenir avant de quitter la zone d urgence D 8 3 Assurance des membres de l UNDAC en mission Le BCAH contracte aupr s d une compagnie d assurances priv e une assu
198. caution Phase II Limitation des d placements Phase II R installation Phase IV Op rations d urgence Phase V vacuation Au cours des phases I et II une autorisation de voyager doit tre demand e au DO Pour les phases suivantes l autorisation doit tre demand e au DSS New York sur recommandation du DO L autorisation signifie que le DO est inform de la pr sence du membre de l quipe dans le pays et qu il sera inclus dans tout plan d vacuation ou dispositif de s curit L autorisation signifie galement qu aucune raison de s curit n interdit aux membres de l quipe de voyager destination du site A l arriv e les membres de l quipe doivent contacter le DO pour une pr sentation des conditions de s curit Dans le cas du d ploiement d une quipe UNDAC celle ci doit assister une r union d information sur la s curit le plus rapidement possible apr s son arriv e S il n est pas possible l ensemble de l quipe d y assister le chef d quipe doit tre pr sent pour pouvoir orienter son quipe qui ajustera son plan d action en fonction des directives re ues Phase I Pr caution La phase I est d cr t e afin de pr venir les membres de l quipe que la situation s curitaire du pays ou d une partie du pays n cessite le niveau de pr caution Cette d claration comprend une interdiction de voyager sans autorisation pr alable pour les membres
199. ces hautement toxiques et oxydantes Composants lectroniques Solvants alcalis acides fluorure d hydrog ne poxydes m taux surfactants silanes gaz comprim s Toutes les cat gories de risques notamment liquides inflammables corrosifs et toxiques et solides liquides et gaz oxydants Electroplacage Compos s cyanur s acides acide fluorhydrique m taux Substances hautement toxiques et corrosives Explosifs pi ces d artillerie Solvants nitro acides mercure thyl ne glycol solvants composants ammoniacaux hydroxyde de sodium Explosifs inflammables toxiques et corrosifs Fabrication de mousse Isocyanures solvants Inflammables et toxiques Industrie alimentaire industrie de la r frig ration Ammoniac fr ons dioxyde de soufre Corrosifs toxiques Parfum ar me Acides faibles phosphates Inflammables glyc rine sels alcool Stations essences et services Hydrocarbures composants Inflammables automobiles avec plomb acides ac tyl ne oxyg ne thyl ne glycol huiles solvants carburants graisses H pitaux Mercure sources radioactives solvants gaz comprim s substances infectieuses Substances toxiques radioactives inflammables et infectieuses Laboratoires clandestins Acides peroxyde ammoniac solvants Corrosifs inflammables oxydants Ateliers de construction m canique So
200. chaude m me humide Le coton absorbe l humidit et perd rapidement sa chaleur lorsqu il est tremp Des v tements imperm ables ne devraient tre utilis s qu en cas de pluie et s ils sont convenablement a r s Plusieurs couches de v tements sont pr f rables une seule couche paisse La couche externe devrait tre constitu e d un mat riau respirable Gore Tex coton Les mat riaux non respirables maintiennent l humidit et la vapeur d eau pr s du corps Garder ces ma tres mots l esprit Propret Rester propre et laver ses v tements car la salet et la graisse obstruent les espaces d vacuation de l air Chaleur excessive Eviter une chaleur corporelle excessive A rer en cas de transpiration Confort Porter des v tements amples et laisser l air circuler S cheresse L humidit est conductrice de froid et Pair sec isole Rester au sec rester au chaud Q 3 4 Chaussures e Les mukluks bottes d esquimaux les bottes en toile imperm abilis e ou en cuir semelles de caoutchouc sont id ales Elles devaient tre pourvues d un rev tement isolant e Porter plusieurs paires de chaussettes de tailles diff rentes afin qu elles puissent se superposer et ne se plissent pas Pour improviser des chaussures utiliser des couches de tissu Les housses de si ge en toile font de bonnes bottes e Il n y a pas de probl mes pour skier lorsque la neige est ferme mais les raq
201. che le sable de p n trer dans les bottes couvrir ses pieds si l on porte des sandales ouvertes Q 6 5 Nourriture La chaleur provoque une perte d app tit ne pas se forcer manger Les aliments prot in s augmentent la chaleur m tabolique et la d perdition d eau Si l eau est rare limiter les repas au minimum et essayer de ne consommer que des aliments contenant de l humidit par ex des fruits et des l gumes La nourriture s avarie rapidement dans le d sert Une fois ouvertes consommer imm diatement les provisions ou les conserver couvertes et l ombre La v g tation est rare mais les d serts abritent souvent toutes sortes d animaux Les insectes les reptiles les rongeurs et certains petits mammif res s enfouissent ou se cachent durant la journ e la pr sence de gros mammif res indique qu il y a de l eau proximit Q 6 6 Sant e La plupart des maladies du d sert sont provoqu es par une exposition excessive au soleil et la chaleur Elles peuvent tre vit es en gardant la t te et le corps couverts et en demeurant l ombre e La constipation et les douleurs pour uriner sont courantes et les d ficits en sel peuvent provoquer des crampes e Une forte transpiration conjugu e des v tements qui frottent peut obstruer les glandes sudoripares et se traduire par une irritation de la peau inconfortable appel e fi vre miliaire 17 Les crampes de chaleur qui peuvent about
202. ciellement lanc soit par une r union des donateurs sur le terrain ou Gen ve soit par un communiqu de presse il est mis en ligne sur le site Reliefweb et envoy par e mail aux donateurs Contenu de l appel clair 10 pages 1 R sum 1 page Bref r sum de la crise les besoins prioritaires et les plans d action humanitaire les montants n cessaires en dollars am ricains la p riode couverte par cet appel pas plus de 6 mois 2 Contexte et cons quences humanitaires 1 5 pages Contexte e Que s est il pass e O e Que s est il pass depuis la crise par exemple informations collect es accord du gouvernement pour l aide internationale intervention imm diate des agences valuations effectu es etc Cons quences humanitaires e Qui est le plus touch e Quels sont les besoins r sultant directement et imm diatement de cette crise e Quels sont les secteurs prioritaires pour l intervention Les choix peuvent tre faits parmi les secteurs suivants selon l urgence des besoins abris et produits non alimentaires sant y compris nutrition et programmes psychosociaux eau et assainissement nourriture agriculture protection droits de l homme et tat de droit ducation coordination et services de soutien 3 Plans d intervention 1 page Pour chaque secteur choisi par l quipe pays Objectifs pas plus de deux chacun sp cifique et mesurable
203. ckage car le carburant peut tre consid r comme un bien de valeur susceptible d tre vol Il faut fixer un seuil minimum de carburant stocker Il doit toujours rester suffisamment de carburant pour pouvoir effectuer une vacuation Sur le terrain Avant d aller sur le terrain il est important de pr parer le d placement De nombreux points doivent tre examin s et ex cut s avant de partir et une fois sur le terrain La liste suivante sera utile la pr paration et la mise en uvre d un d placement sur le terrain e V rifiez la situation s curitaire avec le DO le CSA FSCO les autorit s et toute organisation de la r gion du d placement Les personnes qui reviennent juste de cette r gion peuvent d tenir des informations inestimables Une habilitation de s curit est obligatoire pour tout membre du personnel se rendant dans une r gion o une phase de s curit est en vigueur Celle ci doit tre obtenue longtemps l avance aupr s du bureau du DO Les proc dures concernant les accidents et les pannes doivent tre tablies avant tout d placement Ces proc dures peuvent diff rer selon la situation mais assurez vous que l quipe de terrain sait comment r agir et que la base UNDAC sera m me de l aider si n cessaire il est important de disposer d un syst me de t l communications reliant l quipe la base Si un accident survient en particulier s il y a des bless s il est
204. contacter e formalit s d entr e formulaires quipements informatiques et de t l communication e aspects logistiques factures transport argent alimentation e niveau de visibilit de l quipe e promotion du syst me UNDAC en utilisant des ouvrages pr sentations et membres ad hoc e personnes cl les identifier et gagner leur confiance au plus vite e communication sur le terrain et avec le BCAH de Gen ve e information du CR CH et ou des autorit s gouvernementales Phase d orientation e abandon des id es pr con ues et adaptation des objectifs la r alit e d but puis poursuite du processus de gestion de l information e identification des questions principales choix d un objectif bien d fini sur lequel on se concentrera e r flexion sur les transitions court moyen et long terme m me si les missions sont de courtes dur es ce qui se passera apr s le d part de la mission UNDAC strat gie de d part envisager d s le d but de la mission e confiance du CR CH et des autres partenaires majeurs gouvernement agences des Nations Unies et valuation de leurs attentes e valuation du niveau de s curit Plan d action e cr ation d un Plan d action en fonction des informations connues dont les partenaires e contenu d lais objectifs e explication des objectifs du syst me UNDAC aux quipes et aux personnes ext rieures e d finition des cibles de la
205. contenu de la trousse de soin Le rangement du contenu en compartiments s par s r partis selon les usages permettra une utilisation plus efficace de la trousse Voici quelques produits m dicaux conseill s e Peau cran solaire baume pour les l vres cr me hydratante talc contenant ventuellement un antifongique pl tres imperm ables de diff rentes formes tailles cr me l hydrocortisone contre les allergies cutan es les piq res d insecte etc cr me antiseptique pour les coupures les raflures etc savon antiseptique Dettol D partement de la traduction ee j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 z e M dicaments cit s titre d exemple contre la fi vre la douleur Parac tamol aspirine etc contre le mal de gorge la toux pastilles contre le nez qui coule et les allergies un antihistaminique chlorph niramine etc contre les douleurs abdominales Buscopan contre les maux d estomacs charbon activ antiacides contre la diarrh e Imodium antipaludiques m floquine antibiotiques rythromycine comprim s pour la purification de l eau e Autres lingettes alcoolis es pansements triangulaires lastiques etc gants chirurgicaux Trousse m dicale de POMS Chaque quipe UNDAC se voit remettre une trousse m dicale de POMS contenant de nombreux articles pouvant
206. de coordination restent identiques les quipes UNDAC jouent un r le sp cifique dans les interventions internationales USAR d fini dans les directives INSARAG Ce r le comprend l installation et la gestion d un RDC et d un OSOCC pour soutenir la LEMA et faciliter l utilisation efficace des quipes internationales USAR H 3 1 tablissement de POSOCC et du Centre de r ception et de d part RDC RDC Le RDC est une extension de l OSOCC au point d entr e dans le pays normalement un a roport Il travaille en troite collaboration avec les services de douane et d immigration et les autres autorit s locales Si l quipe UNDAC n est pas encore arriv e les directives INSARAG stipulent que cette fonction est temporairement assum e par les premi res quipes internationales USAR arriv es Du fait de leur haut niveau de pr paration ce ph nom ne est fr quent L quipe UNDAC devra ensuite reprendre une structure d j existante Ce processus doit s effectuer graduellement afin que le personnel USAR g rant la structure ait suffisamment de temps pour informer l quipe UNDAC Celle ci a besoin de mises jour sur la situation les proc dures et les accords avec les autorit s nationales avant de reprendre la responsabilit du RDC L INSARAG encourage les pays participer l installation la dotation en personnel et la gestion d un RDC dans les plans de pr paration aux catastrophes et de te
207. de d cision pour l activation de l intervention en cas de situation d urgence Salles de travail et postes de contr le diff rents niveaux du gouvernement tat des r seaux de t l communications TIC d urgence tat des services de pompier locaux et nationaux et des autres premiers intervenants valuation des dommages et syst mes d analyse des besoins activ s en cas de catastrophe Responsabilit s et mandats par secteur envisagez l utilisation d un cadre par secteur Capacit s d acheminement des mat riels logistiques et de secours R p tition des plans d urgence 8 Pr paration et sensibilisation aux catastrophes Plans d urgence et syst mes de planification en cas de catastrophe Sensibilisation du public et syst mes d ducation Syst mes de surveillance par exemple m t orologique sismologique etc Syst mes d alerte rapide pour le public Pr occupations sp cifiques par exemple sites de tourisme international Syst mes de formation 9 Calendrier recommand pour la mise en uvre des recommandations Recommandations propos es pour tre mises en uvre court moyen et long terme 10 Conclusion 11 Liste des annexes Mandat de la mission UNDAC Programme d activit s de l quipe UNDAC Liste des personnes consult es par l quipe UNDAC Liste des institutions visit es par l quipe UNDAC Liste des acronymes Copie de la loi nationale sur la gestion des catastrophes 12 R
208. de fournir un cadre pour la mission I 4 5 R union au point de regroupement Tous les membres de la mission UNDAC doivent se r unir au point de regroupement un jour avant leur entr e dans le pays Au cours de cette r union ils doivent discuter du plan du rapport de mission des questions que chaque sous groupe a pr par et de l ordre des op rations leur arriv e dans le pays Cette r union permet de garantir que tous les membres de l quipe UNDAC ont une m me conception de leur mission I 5 Actions dans le pays Une p riode de deux semaines est relativement br ve pour ce type de mission mais si l quipe est bien organis e la mission peut tre accomplie avec succ s dans ce laps de temps Certains des aspects traiter sont d taill s ci dessous I 5 1 tablir une base pour l quipe Il est essentiel pour l quipe UNDAC de disposer d une base partir de laquelle elle peut op rer sans tre d rang e Cette base doit tre suffisamment grande pour permettre aux membres de l quipe de travailler lorsqu ils ne se rendent pas en visites de terrain ou en r unions Il doit galement y avoir suffisamment de place sur les murs pour accrocher des tableaux des cartes etc Le membre administratif de l quipe doit toujours op rer partir de la base de l quipe La base de l quipe doit normalement se trouver dans le bureau du PNUD car il est important qu elle soit proche du CR CH et du personne
209. de l quipe UNDAC o Faire l effort de d terminer qui sont les membres de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes et quelles organisations ils repr sentent Aspects voquer lors de la s ance d information e Les points suivants doivent tre voqu s durant la s ance information e Un bref r capitulatif de l organisation de l UNDAC distribuer la liste des missions r centes des pays membres et des mandats types e Un bref r sum de l exp rience de chacun des membres distribuer les CV e Les missions auxquelles l quipe UNDAC pourrait apporter une contribution utile l appui de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes assurer la gestion g n rale de l information de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes tablir un lien avec les ONG tablir un lien avec les donateurs tablir une relation op rationnelle avec l autorit de locale de gestion de la situation d urgence tablir des modalit s de coordination avec les moyens militaires trangers tablir un point de contact des Nations Unies pour toutes les op rations concernant la catastrophe pour le compte de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes organiser et coordonner une ou plusieurs valuations plurisectorielles favoriser la coordination par secteur Les grandes lignes du plan d action pr par par l quipe UNDAC s il e
210. des appels exp riment pour pr parer l appel F 5 2 Appels clair li s aux catastrophes naturelles Les appels clair pour les interventions en cas de catastrophes naturelles sont pr vus pour couvrir une p riode courte g n ralement 3 mois et peuvent galement couvrir les besoins transitoires afin de combler les lacunes dans les flux de financement entre les besoins urgents et la remise en tat et la reconstruction Un appel clair fournit une vue d ensemble concise dix pages des besoins d urgence vitaux dans un d lai d une semaine apr s le d but de la crise Il traite les besoins vitaux jusqu six mois selon les meilleures informations disponibles au moment o il est r dig L appel clair peut tre transform en appel global si la situation d urgence exc de six mois Parties impliqu es e Le CR CH soutenu par le BCAH est responsable de la production du contenu et de la qualit du document e L appel clair est pr par en concertation avec les principaux acteurs humanitaires repr sentants du gouvernement donateurs agences des Nations Unies Mouvement de la Croix Rouge ONG et autres acteurs comp tents e L appel clair peut contenir des projets provenant des agences des Nations Unies des organisations internationales du Mouvement de la Croix Rouge et des ONG Note les ministres ne peuvent pas lancer d appel mais peuvent tre partenaires des projets des Nations Unies ou
211. des changements dans ce sens elle am liore les r sultats de l op ration et renforce ainsi la transparence Commencer par les besoins des autres Dans l exercice de la coordination il est tentant de dire en tant que BCAH nous avons besoin de telle ou telle information pour pouvoir assurer la coordination Le besoin de coordination se trouve donc au BCAH pas dans les organisations que l quipe est cens e coordonner Cette approche n est pas la bonne L quipe doit commencer par demander aux organisations comment elle peut les aider En commen ant par leurs besoins et en satisfaisant certains d entre eux l quipe montre qu elle est l avant tout pour servir et acquiert ainsi une forte cr dibilit En cherchant identifier les besoins des autres l quipe mettra mieux en vidence les objectifs de la coordination et la mani re dont il faut y associer les autres organisations L quipe doit adopter une approche commerciale en cherchant d terminer les besoins et y r pondre au lieu de leur vendre ce qu elle a proposer Clarifier les param tres et les actions de coordination Lever le voile sur les myst res de la coordination contribuera grandement son succ s Les organisations chercheront viter la coordination si elles ont l impression qu il s agit d une perte de temps dans des r unions interminables ou qu elle fera obstacle leurs plans et activit s La meilleure mani
212. dination des op rations Cela permet de faire face l ventualit o le message M1 ne serait pas parvenu l un ou l autre des membres de l UNDAC par la voie normale Les messages M1 peuvent tre envoy s toute l quipe UNDAC ou ses composantes r gionales en fonction de la situation Mise en r serve M2 5 Le BCAH Gen ve constitue une quipe UNDAC en faisant une s lection parmi les membres ayant indiqu qu ils taient disponibles pour la mission en fonction de l ampleur et du type de catastrophe Le BCAH Gen ve envoie un message de mise en r serve M2 aux centres nationaux de mobilisation en pr cisant le nom des membres retenus Une copie de M2 est adress e directement par m l aux membres retenus Les centres nationaux de mobilisation transmettent cette information tous les membres et au point focal national responsable de l UNDAC Les membres retenus accusent r ception du message de mise en r serve aupr s des centres nationaux de mobilisation et directement au BCAH Gen ve en adressant un formulaire de proposition d assurance d ment sign Les membres retenus se pr parent partir Envoi M3a 1 2 Le BCAH Gen ve prend la d cision d envoyer une quipe UNDAC en fonction de l volution de la situation Le BCAH Gen ve effectue des r servations de vols pour les membres retenus et fait en sorte que ceux ci puissent r cup rer leur billet d avion
213. droit en empruntant le m me itin raire sur la situation de s curit et de s ret Si vous tes quip d un casque et ou d un gilet pare balles utilisez les ils sont efficaces et peuvent vous sauver la vie Lorsque vous vous garez assurez vous de pouvoir repartir rapidement et facilement si n cessaire par exemple ne vous garez pas face un mur ou tout autre obstacle Ne prenez jamais d auto stoppeurs vous ne connaissez ni la personne ni ses intentions vitez en particulier de prendre en stop des militaires ou des policiers ils peuvent tre dangereux ou faire l objet d attaque et vous mettre galement en danger De m me si vous tes isol par exemple cause d une panne etc refusez de vous faire transporter par la police ou l arm e pour les m mes raisons Si vous tes victime d un vol suivez les recommandations suivantes essayez de rester calme ne provoquez pas vos agresseurs ne jouez pas au h ros restez passif et ne parlez que lorsque l on vous adresse la parole ob issez aux ordres soyez coop ratif vitez tout contact visuel et dans la plupart des cas faites comprendre que vous tes un repr sentant des Nations Unies MAIS ne vous d tachez du groupe que si c est appropri Lorsque vous conduisez vitez les nids de poule Il ne s agit peut tre pas de simples nids de poule mais de crat res contenant de l artillerie ou des obus de mortier non explos s ou de
214. du personnel et leur famille Les membres du personnel doivent s assurer que le bureau du DO est inform de leurs d placements De plus le DO prend d autres mesures d crites dans le FSH Phase II Limitation des d placements Lorsque la phase II est d cr t e un niveau d alerte plus lev est impos qui consiste en des restrictions majeures des d placements pour tous les membres du personnel et leur famille Au cours de cette phase tous les membres du personnel et leur famille doivent rester leur domicile sauf instruction contraire De plus aucun voyage destination du pays ou l int rieur de celui ci ne peut tre effectu sans une autorisation sp cifique du DO Comme dans la phase I le DO prend une s rie de mesures d crites dans le FSH La mise en uvre de la phase II doit servir de mesure de transition Phase III R installation Cette phase ne peut tre d cr t e par le DO qu apr s obtention de l autorisation du Secr taire g n ral par le biais du DSS Tout ou partie des mesures suivantes sont prises regroupement temporaire de tous les membres du personnel international et de leur famille r installation de tous les membres du personnel international et de leur famille sur d autres sites l int rieur du pays et r installation hors du pays de tous les membres ligibles des familles du personnel international et ou des membres du personnel international non essentiel Les autres mesures pre
215. du personnel sont indisponibles inad quats ou inappropri s Ne faire aucun mal Do no harm Les consid rations sur la coordination civilo militaire doivent tre inspir es par l engagement du do no harm Les agences humanitaires doivent faire en sorte aux niveaux politique et op rationnel que toute coordination civilo militaire potentielle ne contribue ni prolonger le conflit ni mettre en danger les b n ficiaires de l aide humanitaire ou leur nuire Respect de la culture et des coutumes Le respect de la culture des structures et des coutumes des communaut s et pays o s exercent les activit s humanitaires doit tre pr serv Dans la mesure du possible on trouvera les moyens d impliquer les b n ficiaires de l aide humanitaire et ou le personnel local dans l laboration la gestion et la mise en uvre de l aide notamment en mati re de coordination civilo militaire Accord des parties au conflit Le risque de compromettre les op rations humanitaires en coop rant avec l arm e peut tre r duit si toutes les parties au conflit reconnaissent acceptent ou admettent l avance que les activit s humanitaires peuvent n cessiter une coordination civilo militaire dans certaines circonstances exceptionnelles N gocier une telle reconnaissance implique des contacts avec tous les niveaux de la cha ne de commandement L change d informations avec les forces militaires peut parfois tre n cessaire En particul
216. dus chimiques qui n ont pas t d barrass s correctement ou d actes de guerre chimique prenez des pr cautions pour ne pas vous exposer ces produits et ne pas risquer d tre contamin avant d intervenir Il sera utile de conna tre la nature du produit chimique l origine de la br lure afin de pouvoir d terminer le traitement suivre e Retirez tous les v tements contamin s e Rincez enti rement la victime l eau ti de et propre pendant au moins 20 30 minutes ou plus longtemps si possible e Demandez un avis m dical d s que possible quelle que soit la gravit apparente de la br lure D partement de la traduction ie j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 15 Br lures lectriques Elles proviennent habituellement d un choc lectrique Avant d approcher le patient assurez vous qu il n y a plus aucun risque de blessure Si vous savez que le patient est encore en contact avec la source lectrique et qu il s agit d une source basse tension vous pouvez d placer le c ble ou placer le patient dans une position de s curit l aide d une perche ou d une corde s che Si le c ble est haute tension ou que vous ne savez pas quelle est la tension allez chercher des secours professionnels pour couper le courant ou d placer le c ble Si vous essayez de le faire vous m me vous risquez d augmenter le nombr
217. e car cela peut tre d une maladie contract e au cours du d ploiement Si des membres ont eu des rapports sexuels au cours du d ploiement ils doivent envisager de faire des tests pour les maladies sexuellement transmissibles et le VIH SIDA Les tests du VIH peuvent rester n gatifs jusqu environ 3 semaines apr s l exposition au virus Si des sympt mes de stress persistent les membres UNDAC doivent consulter un sp cialiste des soins de sant mentale Documents Les membres doivent mettre jour leurs dossiers m dicaux personnels s ils d veloppent une maladie suite au d ploiement avec l UNDAC Ils doivent galement en aviser le BCAH qui pourra ensuite pr venir les membres UNDAC des risques sanitaires sur le lieu de d ploiement ou les autorit s sanitaires locales M dicaments Les membres UNDAC doivent continuer leur prise de m dicament suivant les indications tablies par le fabricant du m dicament m me apr s avoir quitt le site de d ploiement Cette information appara t sur la notice du m dicament et s applique en particulier aux antipaludiques O 1 5 Trousse de soins Contenu Chaque membre UNDAC doit avoir sur lui une trousse de soins individuelle pour soigner les maladies ou les blessures mineures Le contenu de la trousse de soins doit porter des indications claires dont le nom des m dicaments et leur posologie Il est conseill d utiliser un conteneur robuste et imperm able pour stocker le
218. e d sign DO pour la s ret et la s curit de d terminer si les crit res sont respect s ou non Voir Chapitre N En ce qui concerne le crit re de viabilit le DO r fl chira la question de savoir si l usage d escortes arm es ou militaires est susceptible d entraver l apport d aide un stade ult rieur par ex si les escortes sont fournies par une force militaire ext rieure ce qu il adviendra si lors du d part de cette force militaire les op rations humanitaires doivent se poursuivre Dans certains cas le DO estime que les crit res de s ret ou de viabilit ne sont pas remplis Il peut alors y avoir lieu de suspendre les op rations ou de se retirer Dans bien des cas les autorit s politiques ont incit les acteurs humanitaires poursuivre les op rations sous escorte arm e ou militaire et le risque tant trop lev pour tre acceptable plut t que de s attaquer aux causes l origine de la crise humanitaire L 5 4 Relations civilo militaires dans des situations d urgence complexes Document de r f rence IASC Ce document sert de r f rence g n rale aux responsables humanitaires c est un outil qu ils peuvent utiliser pour formuler des directives op rationnelles adapt es sp cialement aux relations civilo militaires dans une situation d urgence complexe particuli re Toute s rie de directives sp cifiques exige d tre attentif aux circonstances sp ciales de l op ration en question et doit
219. e formulaire est notamment disponible sur le site Internet http 77ochaonline un org webpage asp Page 645 Du Guide d intervention d urgence qui aidera l quipe identifier les risques chimiques et prendre les mesures appropri es pour isoler la zone et att nuer la menace Bien que ce guide ait t con u et d velopp en Am rique du Nord il est aujourd hui utilis partout dans le monde et contient des informations utiles pendant la premi re phase d une situation d urgence impliquant des mati res dangereuses en attendant l aide de sp cialistes Ce guide est disponible sur le site Internet http hazmat dot gov pubs erg gydebook htm Si une quipe UNDAC a besoin d informations sp cialis es dans le domaine de l environnement le Groupe conjoint de l environnement est le premier point de contact pour obtenir les informations n cessaires Le Groupe conjoint de l environnement peut fournir des orientations sur une s rie de situations auxquelles l quipe UNDAC peut avoir faire face pendant une mission Effets sur l environnement Trois zones peuvent tre touch es par des d versements de mati res dangereuses L air La pollution de l air peut difficilement tre constat e visuellement et impossible ma triser Les substances se dispersent rapidement en fonction des conditions m t orologiques Ce type de pollution est cumulatif et peut causer de graves probl mes long terme tels que
220. e l ONU qui est habituellement le Repr sentant r sident du PNUD et repr sente galement le BCAH L EGC se compose normalement d un noyau constitu des repr sentants nationaux des organisations suivantes e L Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture FAO e Programme des Nations unies pour le D veloppement PNUD e Fonds des Nations Unies pour la protection de l enfance UNICEF e Programme Alimentaire Mondial PAM e Organisation Mondiale de la Sant OMS e Haut Commissaire des Nations Unies aux R fugi s HCNUR s il est pr sent dans le pays Outre ce groupe central la composition de l EGC est d termin e par la prise en compte du type de catastrophe dont il s agit L quipe peut tre largie en adjoignant du personnel issu d agences comp tentes lorsqu une catastrophe se produit Le responsable de l quipe UNDAC devient automatiquement membre de l EGC Le CR CH est responsable de l quipe UNDAC pendant son s jour dans le pays L agent de contact du PNUD pour les catastrophes souvent un agent du pays fait fonctions de secr taire pour l EGC mais le CR CH peut choisir de d signer une autre personne Les r unions de l EGC se d roulent g n ralement dans les bureaux du PNUD qui constituent galement leur support administratif de base ainsi que le support de base des aspects op rationnels de l EGC R le de l EGC L EGC a pour principal r le de veiller ce qu une r ponse prompte
221. e coordination r gionale B 4 5 Les missions int gr es des Nations Unies B 5 Forum de coordination B 5 1 Autorit s locales B 5 2 quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes EGC B 5 3 Le syst me des secteurs humanitaires B 5 4 Interface pour les op rations militaires ou humanitaires B 5 5 La coordination des ONG B 5 6 La coordination des donateurs B 6 Catastrophes naturelles et situations d urgence complexes principales diff rences B 1 La coordination un point primordial L apparition soudaine d une situation d urgence se distingue par les l ments suivants besoins immenses concurrence entre les priorit s infrastructures de transport et de communication endommag es ou d truites arriv e rapide des organismes d aide humanitaire conjugu e un afflux massif d aide de la part des habitants et pressions intenses sur les institutions gouvernementales et non gouvernementales locales Cette vision d une situation d urgence donne rapidement l impression d un chaos La coordination consiste en un ensemble d actions intentionnelles visant harmoniser les diff rentes r actions pour en optimiser l impact et parvenir une synergie c est dire faire en sorte que le r sultat global d passe la somme des efforts individuels La coordination peut tre plus ou moins d velopp e mais de mani re g n rale plus elle est tendue meilleurs sont les r sultats L absence de co
222. e cr dibilit e Les donn es de base sur la zone touch e concernant par exemple les refuges la s curit alimentaire la sant etc e Le temps les conditions climatiques la saison e La logistique nationale par exemple les moyens de transport de communication l appui aux missions qu il soit alimentaire ou m dical etc e Le temps disponible e Les sources d information potentielles dans la r gion e Les facteurs locaux culturels ou sociaux qui pourraient constituer des obstacles pour l valuation e La situation politique par exemple la s curit la libert de circulation l acc s v rifier aupr s des instances des Nations Unies concern es e La pr sence des Nations Unies dans la r gion touch e e La pr sence de toute autre organisation humanitaire internationale Les membres de l quipe UNDAC doivent garder l esprit qu une visite de terrain en vue d une valuation doit tre planifi e en d tail afin d tre efficace et que ses objectifs doivent tre clairement d finis La logistique du d placement doit tre con ue et planifi e de fa on r aliste notamment en termes de temps et de territoire couvrir En fonction des facteurs pr cit s il est possible d laborer un plan d action pour l valuation comprenant les l ments suivants D finition pr cise du d placement sur le terrain e Zone visiter e Lieux e Programmation de l itin raire e Calendrier
223. e de contr le pour l valuation logistique Si l quipe UNDAC doit effectuer une valuation rapide des capacit s logistiques une liste de contr le est fournie dans le chapitre G Evaluation des catastrophes D partement de la traduction is j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing p doc 15 07 2008 08 07 e Toute la gamme des valuations logistiques de l UNJLC rapides et compl tes est disponible dans le Guide des op rations logistiques LOG de l UNJLC consultable sur le site ww unljc org et sur le logiciel de mission UNDAC D partement de la traduction j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing p doc 15 07 2008 08 07 Q Climat et terrain Q L Introduction Q 2 Zones de climat et de terrain Q 3 R gions polaires Q 3 1 Transport Q 3 2 Navigation Q 3 3 V tements Q 3 4 Chaussures Q 3 5 Abri Q 3 6 Feu Q 3 7 Eau Q 3 8 Sant arctique Q 4 R gions de haute altitude Q 4 1 G n ralit s Q 4 2 Effets des hautes altitudes Q 4 3 Effets des basses temp ratures Q 4 4 Imp ratifs op rationnels Q S R gions tropicales Q 5 1 Abri Q 5 2 Feu Q 5 3 Nourriture Q 5 4 Risques encourus en circulant dans la jungle Q 5 5 D placements dans la jungle Q 5 6 Navigation dans la jungle Q 5 7 Sant et hygi ne Q 6 R gions d sertiques Q 6 1 Conditions d sertiques Q 6 2 Eau Q 6 3 Abri et feu Q 6 4 V tements Q 6 5 Nour
224. e de mieux appr hender la nature et l importance de l urgence Les quipes UNDAC n mettront pas d appel tout appel des Nations Unies sera g r par le CR CH et PUNCT D partement de la traduction AR j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 08 07 4 Soutenir le gouvernement du pays touch et l UNCT EGC dans la coordination des premi res valuations de la situation d urgence comme des besoins en secours internationaux induits bien que de nombreuses valuations transsectorielles soient bien souvent men es par le gouvernement du pays les agences des Nations Unies ou des membres comp tents de l IASC dans le cadre de la coordination entre le CR et PUNCT Les objectifs sont e la coh rence de toutes informations pr liminaires sur la nature et l ampleur de l urgence les besoins les plus pressants et les interventions de secours n cessaires e la coordination des infrastructures et de la logistique notamment en vue d un possible d ploiement de l UNJLC 5 Mettre en place sur demande du gouvernement de l ERC du CR CH ou du Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage INSARAG un OSOCC Centre local de coordination des op rations sp cialis en collaboration avec les autorit s locales de gestion des situations d urgence en cas de s isme ou de toute autre situation d urgence entra nant l effondrement de
225. e des pertes Ne le faites pas e D s que vous pouvez le faire en toute s curit contr lez l ABC et continuez de surveiller le patient Les personnes victimes de blessures lectriques souffrent souvent d arr t cardiaque ou respiratoire e Si certaines blessures sont apparentes couvrez les sans serrer avec des pansements st riles e Allez chercher les secours professionnels pour traiter les br lures N appliquez PAS de cr mes ou d onguents pour les br lures Br lures thermiques Elles vont des ryth mes solaires b nins aux br lures graves caus es par une flamme nue un m tal chauff ou de l eau bouillante Les br lures thermiques sont class es par degr Le traitement est adapt la gravit de la br lure e Br lures au premier degr Sympt mes l g re tum faction et rougeur de la zone touch e Appliquez de l eau froide ou des compresses humides d s que possible jusqu ce que la douleur s estompe Laissez la partie br l e expos e N appliquez PAS d onguents ou de baumes Si la douleur r appara t appliquez nouveau de l eau froide e Br lures au second degr Sympt mes nette rougeur de la zone touch e tum faction et cloques Traitez de la m me mani re que pour les br lures au premier degr pendant 15 30 minutes utilisez de pr f rence de l eau st rile Posez un pansement st rile sec levez la partie br l e et traitez le choc traumatique du pati
226. e doivent tre consid r s comme un soutien imm diat l quipe UNDAC lorsque les conditions dans la zone touch e sont jug es inad quates pour le travail de la mission Les modules personnel et quipement doivent pouvoir atteindre la zone touch e dans le m me d lai que l quipe UNDAC et sont donc pr par s de mani re tre transport s sur vols commerciaux Si l ensemble est appel module de base la Section de soutien la coordination sur le terrain peut demander des composantes distinctes savoir une composante subsistance ou une composante t l communications lorsque la situation sur le terrain l exige Le module de base comporte habituellement deux personnes de soutien L quipement du module ne comprend pas les besoins en kits personnels en installations de maintenance ou d administration pour le personnel de soutien L quipement est emball dans des caisses de transport qui peuvent tre transport es manuellement et plac en soute sur des vols commerciaux Module renforc Le module renforc doit tre consid r comme un soutien secondaire aux quipes UNDAC lorsque les conditions ou le soutien dans la zone touch e sont jug s inad quats pour les op rations et lorsque le BCAH a t invit fournir des moyens compl mentaires pour renforcer l op ration humanitaire Ces modules doivent tre adapt s aux besoins et la demande est normalement pr sent e sur la vase
227. e l information du BCAH e Le R seau r gional int gr d information IRIN bas dans trois villes d Afrique Nairobi Johannesburg et Abidjan est une agence de presse humanitaire qui fonctionne par abonnement gratuit par e mail Les rapports IRIN sont galement disponibles sur Reliefweb e Le r seau virtuel de POSOCC gr ce Internet permet aux acteurs humanitaires d changer en continu et simultan ment des informations sur les catastrophes depuis n importe quel endroit du monde Les informations sont enregistr es dans une base de donn e sur Internet ce qui facilite l acc s certains sujets pr sentant un int r t particulier Les utilisateurs peuvent faire des commentaires en temps r el sur l information existante et ainsi discuter des probl mes avec les autres intervenants Le r seau virtuel de POSOCC est un outil efficace qui favorise l change d informations tout au long de l op ration de secours entre les gouvernements et les organisations intervenants La Section d information sur le terrain New York peut fournir de l aide pour la s lection des donn es Le contact avec la Section d information sur le terrain se fera par le biais de la FCSS Dans certaines situations en particulier lors de catastrophes majeures la Section d information sur le terrain peut d p cher des agents de traitement de l information sp cialis e 2 3 personnes pour travailler dans un OSOCC tabli par une q
228. e les informations peuvent tre compar es aux donn es collect es lors d valuations ant rieures et les travaux des diff rentes quipes d valuation sont compl mentaires Objectif de l valuation L objectif principal d une valuation est d aider les pouvoirs publics d un pays touch le Coordonnateur r sident Coordonnateur des op rations humanitaires RC HC et ou l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes EGC identifier et classer par ordre de priorit les besoins en mati re d assistance internationale en cas de catastrophe et de mettre en place les conditions permettant une r ponse appropri e et en temps voulu de la communaut internationale L quipe des Nations Unies pour l valuation et la coordination en cas de catastrophe quipe UNDAC ne devrait pas en th orie avoir faire elle m me des valuations Conform ment la d claration sur l UNDAC faite en 2002 par le groupe de travail du Comit permanent interorganisations IASC Evaluations Les valuations sectorielles approfondies seront g n ralement effectu es par les pouvoir publics locaux les agences de ONU ou les membres comp tents en la mati re de l IASC Une quipe UNDAC peut tre sollicit e afin de fournir une assistance technique en appui au RC HC ou l quipe pays La fonction principale de l UNDAC est de garantir que les diverses valuations men es par les organisations non go
229. e logiciel de mission UNDAC Nature de la catastrophe Sources d information e Autorit s locales de gestion des urgences e _ RC HC et ou EGC e Rapports de situation d autres agences e Agences m t orologiques et autres institutions scientifiques ou de surveillance e Rapports des m dias Domaine Informations de r f rence Ev nement principal Date et heure locale et UTC Dur e Intensit Ev nements cons cutifs et volution attendue R pliques Pr visions m t orologiques Hausse baisse du niveau de l eau Inondation devant s aggraver se r sorber Zone touch e Nom de la r gion province et ou district tenir compte des d nominations locales faisant l objet d un conflit Coordonn es cartographiques et GPS Villes centres urbains villages principaux Superficie approximative de la zone touch e en km Topographie Population Population totale estim e dans la zone touch e Pourcentage estim de la population touch e Caract ristiques socio conomiques rurale urbaine agricole industrielle nomade bas revenu Recherche et sauvetage en milieu urbain USAR e Sources d information e Fonctionnaires de la zone ville touch e e Ing nieurs locaux e Cartes de la ville e Chefs de communaut e Equipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain Domaine Informations de r f rence Mat riaux de construction pr dominants Constructions de ma onnerie
230. e ne pas tre bless son tour par une mine Vous devez tre conscient que l vacuation d une victime hors d un champ de mines est une entreprise tr s risqu e personne n y est donc tenu Une vacuation par h licopt re l aide d un treuil est une possibilit envisager O SANTE PERSONNELLE O 1 Sant personnelle O 1 1 Pr d ploiement O 1 2 Activation d une mission UNDAC O 1 3 Lors du d ploiement d une mission UNDAC O 1 4 Apr s la mission UNDAC O 1 5 Trousse de soins O 2 Aliments salubres pour les voyageurs O 2 1 Aliments salubres au cours du d ploiement O 2 2 Pr paration avant le d part O 2 3 Pr cautions prendre apr s l arriv e O 3 Eau salubre pour les voyageurs O 3 1 Eau salubre au cours du d ploiement O 3 2 Pr paration avant le d part 0 3 3 Pr cautions prendre apr s l arriv e O 4Stress O 4 1 Stress cumulatif O 4 2 tress traumatique O S Urgences m dicales et premiers soins O 1 Sant personnelle O 1 1 Pr d ploiement Surveillance sanitaire bilan de sant Tous les membres UNDAC doivent faire l objet d une surveillance sanitaire et de bilans de sant r guliers pour s assurer qu ils restent au meilleur de leur forme Une telle surveillance permet une d tection pr coce des probl mes m dicaux qui peuvent ainsi tre trait s efficacement La surveillance sanitaire comprend e Examen m dical g n ral tests de sang et d urine e _ Radiographie pulmonai
231. e nettoyage Hypochlorite acides alcalis solvants Corrosifs inflammables Ecoles universit s et centres de recherche laboratoires Grande vari t de produits chimiques notamment solvants oxydants hydrocarbures halog n s m taux acides bases Tous les risques Savon et d tergent Solvants alcalis phosphates Inflammables corrosifs D polissage du verre Fluorure d hydrog ne Hautement toxique Industrie du tannage cuirs Sulfate de chrome trivalent sels de sodium arsenic cyanure sulfate d ammonium acide sulfurique oxyde de calcium aniline Toxiques corrosifs Industrie textile teinte Benz ne naphtal ne acides alcalis chlore brome nitrite de sodium ammoniac sulfure de sodium m taux Substances inflammables toxiques corrosives et oxydantes Industrie textile fabrication Polym res et r sines Inflammables corrosifs Usines de traitement de l eau piscines Chlore solutions hypochlorites acides Substances corrosives toxiques et oxydantes Traitement du bois Cr osote de houille pentachloroph nol chrome cuivre arsenic Hautement toxiques corrosifs Conditions m t orologiques Les conditions et les pr visions m t orologiques sont des donn es importantes en mati re de s curit des personnes Plusieurs l ments dont il vous faut tenir compte sont num r s ci dessous Direction du
232. e personnel GPS personnel Articles pr vus dans l quipement logistique d une mission de l UNDAC Les kits de soutien la mission de l UNDAC sont entrepos s au BCAH Gen ve et ou dans les bureaux r gionaux du BCAH ils sont mis en uvre selon les besoins par les membres du BCAH le chef d quipe et ou le personnel charg de la logistique de l UNDAC quipement de t l communication e Ordinateur portable configur avec le logiciel et les formulaires des missions de l UNDAC Syst me de positionnement par satellite Trousse d urgence de bureau Drapeaux et macarons pour les v hicules Trousse sanitaire type de l OMS comprenant Comprim s d antibiotiques Sels de r hydratation Antidiarrh iques Cr me anti inflammatoire Prophylaxie du paludisme Pr vention des mycoses poudre et cr me R pulsif insecte Poudre insecticide Seringues et aiguilles jetables usage unique D 2 3 Vaccinations Les membres de l UNDAC doivent tre jour de leurs vaccinations qui doivent tre inscrites sur un carnet international de vaccination norme OMS recommand e Il est peu probable qu il y ait suffisamment de temps pour faire faire les vaccinations avant le d part D autres informations sur l hygi ne personnelle dans les zones tropicales et sur les vaccinations figurent au chapitre O Sant personnelle et sur le site Internet de POMS http www who int en
233. e phase d intervention apr s la catastrophe J 4 Identification des effets Une quipe UNDAC ne comportant pas de sp cialiste de l environnement constatera d abord les effets graves sur l environnement caus s par les situations d urgence environnementale Ces effets se divisent en deux cat gories e Les effets sur les infrastructures Pendant un s isme un cyclone un raz de mar e ou autre les infrastructures industrielles sont aussi vuln rables que les infrastructures r sidentielles et commerciales Les effets sur les infrastructures industrielles telles que les installations industrielles ou chimiques d grad es comprennent les incendies les explosions et les fuites de produits chimiques Les barrages sont un autre type d infrastructure pouvant tre d grad au cours d un s isme ou d une autre catastrophe naturelle e Les effets sur l environnement physique Ces effets incluent les glissements de terrain dus aux inondations ou aux s ismes les avalanches et les cendres et la lave des volcans Le tableau suivant num re les effets habituels sur l environnement la suite d une catastrophe naturelle Nature de la catastrophe Effets possibles sur l environnement S isme Fuites de gaz naturel d versements de produits chimiques m nagers ou industriels provenant de conteneurs endommag s D g ts sur des installations industrielles provoquant un d versement toxique
234. e secours internationaux en tant que de besoin e Rester en troite relation avec les autorit s R sultats attendus Veiller ce que le personnel soit utilis le plus efficacement possible et ce que l quipe fournisse les r sultats attendus Fonction Suivi des op rations Mission Pr server une vue d ensemble des activit s de secours en cours et laborer un plan int gr de coordination de la coop ration avec les autorit s nationales et les acteurs internationaux des op rations de secours Travailler en troite coop ration avec la cellule de gestion de l information Liste de v rification e Dans la phase de r ponse imm diate identifier les domaines prioritaires pour le d ploiement des ressources diriger les secours vers les zones qui en ont le plus besoin v rifier les progr s accomplis et ajuster la r ponse en fonction des besoins e Servir de secr tariat de l organe de coordination et fournir en interne des informations sur les op rations en cours e Faciliter et coordonner l valuation du r le des organisations nationales et internationales des ressources des capacit s et des points forts des unes et des autres identifier les lacunes les doubles emplois et les lacunes par secteur domaine programme e Suivre et faciliter les efforts des coordination interinstitutionnels dans chaque secteur e Faciliter la consultation et la communication entre les organismes
235. e sont pas majeurs essayez d y rem dier sans y passer trop de temps Si vous n y parvenez pas mettez un avis et incluez une note ce sujet dans le rapport d valuation Partage de l information Il est important de garder l esprit que chaque action entreprise dans le cadre d une r ponse d urgence peut avoir terme des effets directs sur les modalit s et le co t de la transition de la reconstruction et du redressement Les recommandations faites concernant l aide humanitaire doivent avoir pour but que l aide contribue au d veloppement Les recommandations de l quipe UNDAC peuvent contribuer aux efforts en vue de la transition et du redressement long terme dans un pays touch par une catastrophe Les programmes d aide peuvent pr parer le terrain pour un redressement rapide ou au contraire prolonger la dur e de la p riode de redressement Les recommandations doivent tre simples encourager l utilisation des mat riels et des syst mes locaux et pouvoir tre mises en uvre par le pays touch Voir galement chapitre F Gestion de l information H RECHERCHE ET SAUVETAGE EN MILIEU URBAIN H 1 Introduction H 2 Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage NSARAG H 2 1 Directives INSARAG H 2 2 Syst me de classification des quipes USAR H 2 3 Responsabilit s du BCAH des pays touch s des pays intervenants des quipes USAR et de l quipe UNDAC H 3 Fonctions de
236. e transport dans le pays e Le contexte politique D partement de la traduction she j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing p doc 15 07 2008 08 07 2 e L existence d un conflit civil dans la zone des op rations L organisation efficace des programmes logistiques requiert la fois des plans de mise en uvre et des plans op rationnels ainsi que des syst mes d information et de contr le L engagement international dans les op rations logistiques varie norm ment selon les situations Cependant certaines ou toutes les organisations suivantes s impliquent g n ralement le Programme des Nations Unies pour le d veloppement PNUD le Bureau de la coordination des affaires humanitaires BCAH le Programme alimentaire mondial PAM le Haut commissariat des Nations Unies pour les r fugi s HCR le Fonds des Nations Unies pour l enfance UNICEF l Organisation mondiale pour la sant OMS le Comit international de la Croix Rouge CICR la F d ration internationale des Soci t s du Croissant rouge et de la Croix rouge FISCR les organisations non gouvernementales ONG des entit s militaires et du secteur priv La structure et l organisation de la logistique d urgence La structure et l organisation de la logistique s appuient sur une cha ne d approvisionnement constitu e des l ments suivants e Point d entr e e Premier entrep t
237. e trouve hors du pays dont elle a la nationalit et qui ne peut ou du fait de cette crainte ou pour des raisons autres que de convenance personnelle ne veut se r clamer de la protection de ce pays ou qui si elle n a pas de nationalit et se trouve hors du pays dans lequel elle avait sa r sidence habituelle ne peut ou en raison de ladite crainte ou pour des raisons autres que de convenance personnelle ne veut y retourner Moyens Le HCR a une R serve op rationnelle en provenance de laquelle une aide financi re peut tre fournie aux r fugi s et aux personnes d plac es dans des situations d urgence pour lesquelles rien n est pr vu dans les programmes annuels existants Le Haut Commissaire peut puiser dans la R serve pour r pondre des situations d urgence condition que la somme mise disposition pour une situation d urgence donn e n exc de pas 10 000 000 sur une seule ann e Dans la Section de pr paration aux situations d urgence et d organisation des secours du HCR EPRS 5 agents de pr paration aux situations d urgence et d organisation des secours EPRO se tiennent pr ts diriger des quipes de secours d urgence Ils peuvent tre aid s ou compl t s par une grande vari t d autres moyens humains notamment e Agent administratif pour les situations d urgence et 2 Assistants administratifs pour les situations d urgence pr ts tablir des bureaux en cas d urgence e 30 membres d une quipe d a
238. e un pr l vement peut tre effectu pour fournir la tr sorerie n cessaire la r ponse initiale une situation d urgence Arrangements et responsabilit s institutionnelles au sein de l UNICEF Le Repr sentant de l UNICEF est responsable de la planification et de la gestion de la r ponse de l UNICEF au niveau national Le Bureau des Programmes d aide d urgence EMOPS ayant du personnel New York comme Gen ve a la responsabilit g n rale de coordonner les activit s d aide d urgence de l UNICEF en collaboration troite avec la Division des Programmes de l UNICEF de g rer le Fonds des programmes d aide d urgence et d assurer une bonne coordination inter institutions avec les organisations humanitaires internationales Dans le cadre de sa capacit de r ponse globale aux situations d urgence l UNICEF peut faire appel du personnel qualifi et comp tent issu de bureaux de l UNICEF dans le monde pour venir en aide un bureau national concern par une situation d urgence Il s agit d un personnel de l UNICEF bien form et exp riment dans les domaines de l laboration et de la gestion des programmes d aide d urgence des op rations de l approvisionnement de l information des communications et de la s curit dans des situations d urgence L EMOPS a en outre une quipe de secours d urgence bas e New York compos e de cinq responsables de haut niveau ayant diff rents domaines d expertise en mati re de situ
239. e une large couverture Cela permet de mettre en place le syst me de contr le des mouvements ou pistage des v hicules des Nations Unies n cessaire pour que le DO puisse remplir ses responsabilit s De plus les v hicules de terrain doivent tre identifi s et quip s Il s agit de gros v hicules des 4x4 quip s de radios pour les missions de terrain Phase II T l communications Conform ment au FSH le personnel indispensable doit tre identifi et quip de radios VHF UHF Des t l phones par satellite sont fournis au DO aux chefs d agence aux CSA FSCO et autres responsables Les salles radio sp cialis es doivent pouvoir maintenir des communications 24h 24 7 jours 7 que ce soit par Internet fax ou t l phone par satellite Plan de s curit La phase II est g n ralement consid r e comme une phase de s curit interm diaire durant laquelle la SMT essaye de savoir si l environnement s curitaire est susceptible de se d t riorer davantage possible transition vers la phase IT ou de s am liorer retour la phase D quipement Tous les v hicules circulant dans un environnement de phase II doivent tre quip s de radios UHF VHF et ou HF Un technicien radio du syst me commun est employ Un kit trauma est n cessaire en phase II Il s agit d une trousse de premiers soins perfectionn e contenant un quipement m dical sp cial
240. e vous lavez pas les mains Ces infections provoquent des troubles digestifs aigus ou chroniques qu on peut pr venir en prenant des pr cautions d hygi nes simples L eau doit faire l objet d une attention particuli re Elle peut transmettre de nombreuses maladies infectieuses lorsqu elle est consomm e ou utilis e pour la toilette Il faut absolument traiter ou faire bouillir l eau dont la puret est incertaine la faire bouillir reste la meilleure m thode En cas de probl me buvez l eau sous forme de th ou d eau min rale Lorsqu un filtre est utilis il est primordial de faire bouillir l eau apr s l avoir filtr e Voir galement la section O 2 Hygi ne corporelle L eau utilis e pour l hygi ne buccale et dentaire doit tre purifi e et port e bullition pr alablement m me l eau de mer peut tre contamin e proximit des embouchures de fleuve et la baignade dans des eaux douteuses peut entra ner des infections tropicales A d faut d informations fiables la baignade doit donc tre vit e Protection contre les insectes Certains insectes et en particulier certains moustiques des pays chauds peuvent transmettre des infections telles que le paludisme Lorsque les moustiques sont nombreux dans une zone o le paludisme est end mique toutes les parties expos es de la peau doivent tre trait es avec un anti moustique afin de pr venir les piq res qui sont non seulement douloureu
241. ecours caract ristiques et besoins des parties prenantes o quand et comment mener une valuation conjointe comment le syst me UNDAC peut il soutenir au mieux cette valuation comment obtenir des informations coh rentes comment ordonner les besoins et agir comme arbitre entre les parties prenantes e comment identifier les lacunes les doubles emplois et les r ponses inefficaces ou insuffisantes e comment pr senter les r sultats de l valuation 6 Gestion de l information d finition des priorit s en mati re d information collecte des informations pertinentes synth se des informations collect es consolidation et organisation de l information analyse des informations consolid es et synth tis es recommandation de plans d action aupr s des d cideurs publication et communication des r sultats et des recommandations si n cessaire e Rapports de situation public et objectifs configuration contenu autoris ou non pr paration faire ne pas faire r le du syst me UNDAC dans leur pr paration traitement Gen ve pratique des comp tences n cessaires la r daction des rapports de situation par la lecture la r daction et la critique de rapports de situation 7 Appels e public et objectifs e quand les mettre ne pas les mettre mission dans le pays mission conjointe D partement de la traduction a j undac team handbook unda
242. ecte d informations e Faciliter la pr paration d appels clairs et globaux uvrer combler les lacunes en ressources R sultat attendu Fourniture d informations analys es en temps utile dans le format appropri Fonction Logistique Mission Assurer le soutien logistique de l quipe et tablir des liens avec les entit s logistiques locales et nationales et d autres organisations de secours Liste de contr le Assurer l quipe UNDAC un espace de travail et un logement ad quats Assurer des transports ad quats r pondant aux besoins de l quipe UNDAC Mettre en place un syst me d identification de tous les v hicules D finir un calendrier d entretien et de maintenance Garantir l acc s l atelier pour l entretien Garantir mettre en place pr voir les besoins techniques n cessaires lectricit clairage etc pour faire fonctionner durablement un OSOCC Superviser le soutien logistique l quipe valuer les dommages aux infrastructures logistiques D finir les itin raires disponibles et s rs Identifier les ressources logistiques locales dans le domaine des transports du combustible des services et de la s curit en tant que de besoin Recenser les lacunes en termes de capacit s en quipements et en installations e Garantir la fourniture de services communs tels que le carburant les services au sol sur les aires d atterriss
243. ement vastes qui poss dent des zones sp cifiques s par es de la capitale e Personne relais pour les questions de s curit et son adjoint Ils sont nomm s par le DO pour assurer la mise en uvre correcte des dispositifs de s curit dans des zones pr cises d une ville ou d un tablissement Le plan de s curit est l l ment essentiel la pr paration s curitaire sur le lieu d affectation et est tabli par le DO et la SMT Il d crit les mesures et les dispositifs mettre en uvre en cas de situation d urgence Les catastrophes naturelles peuvent affecter le plan de s curit de telle sorte que les menaces pouvant provenir d activit s humaines sont r duites temporairement mais que les pr cautions de s ret prendre sont renforc es La s curit du personnel des missions de maintien de la paix des Nations Unies rel ve du Repr sentant sp cial du Secr taire g n ral SRSG et ou du commandant de la force N 3 Phases du plan de s curit des Nations Unies Les cinq phases du plan de s curit d crivent les conditions de s curit dans un pays donn ou dans certaines parties d un pays elles constituent une norme pour tous les lieux d affectation et sont incluses dans tous les plans de s curit Les phases peuvent tre mises en uvre cons cutivement ou au moment o la situation le requiert une partie du pays peut se trouver dans une phase diff rente du reste du pays e Phase I Pr
244. emerciements I 7 La pr paration du rapport de mission Lors de la pr paration du rapport gardez l esprit les recommandations suivantes Contenu pr sentation exigences de l imprimeur format La pr paration du rapport doit d buter d s le premier jour Tous les membres doivent comprendre la n cessit de pr parer le rapport d s le d but de la mission et l importance de la collecte de donn es pour remplir les exigences La pr sentation et le format doivent tre discut s avec les imprimeurs et tablis d s le d but Il s agit entre autres de d cider du nombre de photographies et d illustrations en couleur pour fixer les limites budg taires le cas ch ant Le contenu le format et la pr sentation doivent tre affich s clairement sur un tableau blanc ou une feuille de papier pour que tous les membres les visualisent et les comprennent R daction du rapport La r partition des t ches doit tre effectu e d s le d but pour traiter les diff rents chapitres Le rapport doit tre mis jour quotidiennement en particulier pour les domaines les moins dynamiques dans les chapitres o les donn es doivent tre accessibles facilement Lorsque des photographies ou des illustrations sont utilis es assurez vous qu elles correspondent aux probl mes trait s que chacune est l gend e et que les sources sont cit es Le style doit tre positif vitez d tre trop critique Lorsqu une recomma
245. en La survie et la capacit tactique de l quipe d pendent enti rement d un soutien logistique a rien reposant sur une combinaison d a ronefs et d h licopt res Un niveau ad quat d appui de ce type doit tre assur Q 5 R gions tropicales Cette section traite de la survie dans des jungles tropicales Il est improbable que des membres UNDAC se trouvent plac s dans une telle situation mais des connaissances de r f rence sur ces techniques sont jug es souhaitables tant donn que les quipes UNDAC op rent effectivement sous des climats tropicaux Tout prolif re dans la jungle y compris les maladies et les parasites M me satur par la transpiration un v tement apporte une protection contre les piq res et les morsures Sauf en haute attitude les r gions quatoriales et subtropicales se caract risent par des temp ratures lev es une forte pluviosit et une humidit touffante De violents orages peuvent survenir vers la fin de l t En choisissant un site de campement s assurer que l on se trouve au dessus d un lieu d inondation potentielle For ts quatoriales humides La nuit les temp ratures s chelonnent de 30 C 20 C Les arbres de la jungle peuvent atteindre une hauteur de 60 m tres Dans cette jungle primaire la vo te foresti re emp che la lumi re de parvenir jusqu au sol Elle est relativement fra che avec peu de sous bois g nant les d placements mais l
246. en cons quence tre formul e au cas par cas en se basant sur ce document Acc s humanitaire aux populations vuln rables Les agences humanitaires doivent conserver leur capacit obtenir l acc s toutes les populations vuln rables dans l ensemble des zones de la situation d urgence complexe en question et n gocier cet acc s avec toutes les parties au conflit Il convient galement de veiller tout particuli rement assurer la viabilit de l acc s La coordination avec les forces militaires doit tre envisag e dans la mesure o elle facilite assure et entretient l acc s humanitaire et ne l entrave pas Perception de l action humanitaire La fourniture d aide humanitaire toute population en ayant besoin doit tre neutre et impartiale elle doit tre libre de toutes conditions politiques ou militaires et le personnel humanitaire ne doit ni prendre parti dans des conflits ni adopter de positions politiques Cela jouera sur la cr dibilit et l ind pendance des actions humanitaires en g n ral Toute coordination civilo militaire doit aussi veiller ne pas mettre en p ril les r seaux et la confiance que les agences humanitaires ont cr s et entretenus de longue date au niveau local Aide fond e sur les besoins et sans discrimination L aide humanitaire doit tre fournie sur la base des besoins des victimes d une situation d urgence complexe particuli re en tenant compte de la capacit locale d j en place
247. en fonction des circonstances particuli res elle comprend en g n ral des repr sentants des organisations suivantes si ces derni res sont pr sentes dans le pays Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture FAO PNUD Fonds des Nations Unies pour l enfance UNICEF Programme alimentaire mondial PAM Organisation mondiale de la sant OMS et Haut commissariat des Nations Unies aux r fugi s HCR Dans certains pays EGC peut tre largie pour inclure des repr sentants des donateurs des principales ONG et de la Croix Rouge du Croissant rouge le cas chant elle est souvent appel e quipe pays IASC L objectif principal de EGC est de pr parer l intervention d en assurer la rapidit l efficacit et la concertation et de favoriser la coordination de l aide de l ONU au gouvernement pour la p riode de r tablissement apr s la catastrophe aupr s du gouvernement sans toutefois interf rer avec les missions propres de ses membres Lors d une situation d urgence l EGC est le m canisme principal sur place par le biais duquel les agences de l ONU coordonnent leurs actions et leurs programmes d aide humanitaire Voir aussi le Chapitre M Les Nations Unies et les organisations d intervention internationales B 5 3 Le syst me des secteurs humanitaires Les dirigeants de l IASC ont d cid de cr er l chelle mondiale neuf secteurs humanitaires dirig s par une age
248. en provenance de toutes les sources et de tout soutien logistique n cessaire et tous autres apports compl mentaires Gr ce au Syst me d information international informatis sur l Aide alimentaire INTERFAIS le PAM surveille les flux d aide alimentaire en particulier l aide alimentaire d urgence et communique des donn es d taill es la communaut internationale en ce qui concerne les besoins les affectations des donateurs les calendriers de livraison etc en vue d une meilleure planification et coordination Des informations sont galement incluses sur les conditions portuaires et les possibilit s de transport terrestre Bien que le PAM fournisse d importantes quantit s de nourriture et soit la source de la quasi totalit de l aide alimentaire multilat rale il n a ni la charge ni la capacit de r pondre tous les besoins alimentaires d urgence La majeure partie de l aide alimentaire internationale est fournie au niveau bilat ral Le r le du PAM dans la coordination et l organisation rationnelle du calendrier des exp ditions en provenance de toutes les sources dans les efforts en vue d acc l rer les livraisons dans la mobilisation et l apport de soutien logistique et la promotion des mesures et des proc dures appropri es l usage de l aide alimentaire peut tre au moins aussi important que celui de fournisseur d aide alimentaire Le PAM aide galement les donateurs qui en font la demande acheter transpor
249. en traversant une bande de sable mou Ne pas surcharger son v hicule R PROCEDURES RELATIVES AUX COMMUNICATION RADIO R 1 Introduction R 1 1 Pr paratifs de mise en marche du poste R 1 2 Transmission R 2 Proc dures et outils R 2 1 Phon tique et chiffres R 2 2 Termes de proc dure R 2 3 Rapport de r ception R 3 Termes d appel standard des Nations Unies R 1 Introduction Le pr sent r sum des proc dures de radiocommunications permet l utilisateur de minimiser le temps de radiocommunication de le rendre plus efficient et de r duire les erreurs d interpr tation des messages radio Les quipes UNDAC devraient toujours suivre ces proc dures Il est important que tous les utilisateurs du r seau radio appliquent une discipline radio stricte tout moment R 1 1 Pr paratifs de mise en marche du poste e V rifiez qu il existe une source lectrique et quelle est suffisante et veillez assurer la connexion avec le poste radio e V rifiez l antenne et tous les assemblages de c bles afin de veiller ce que les connexions avec le poste soient correctes et bien fix es e Branchez les quipements de phonie et v rifiez que les boutons de marche s lecteurs interrupteurs fonctionnent bien R 1 2 Transmission D cider du contenu de votre message en veillant ce qu il soit clair et bref V rifiez que personne d autre ne parle sur le r seau au moment o vous allez commencer e N oubliez pas de divi
250. ens e Garantir leur autonomie pour toute la dur e de la mission e D ployer des membres de l quipe charg s de la coordination afin d tablir ou de maintenir un RDC ou un OSOCC si n cessaire e Compl ter les documents pour toutes les phases de l op ration et fournir des copies l OSOCC e Maintenir un centre de contact ouvert 24h 24 e Participer aux r unions OSOCC concernant les interventions USAR e Mener les interventions conform ment aux directives INSARAG e Garantir le comportement correct de leurs membres e Apporter un soutien l quipe UNDAC si n cessaire e Coordonner leur retrait avec l OSOCC UNDAC L quipe UNDAC doit e tablir si cela n a pas d j t fait et maintenir un RDC et un OSOCC tout au long de l intervention e Faciliter la coordination de l intervention USAR en troite coop ration avec la LEMA et les quipes USAR voir galement chapitre E Coordination sur le terrain e tablir et maintenir un syst me de gestion de l information entre le terrain le Coordonnateur r sident Coordonnateur humanitaire CR CH des Nations Unies les autorit s nationales et la communaut internationale voir galement chapitre F Gestion de l information e Coordonner les valuations des besoins suppl mentaires voir galement chapitre G Evaluation de la catastrophe H 3 Fonctions de l quipe UNDAC dans les interventions USAR Si les principes
251. ent Allez chercher les secours professionnels e Br lures au troisi me degr G n ralement il s agit de zones de br lure profonde entour es de zones pr sentant les caract ristiques de br lures aux premier et second degr s Elles ont souvent une apparence carbonis e et l aspect du cuir V rifiez l ABC et continuez de le surveillez Traitez le choc traumatique Couvrez la zone br l e avec un pansement st rile non adh sif levez la zone br l e Allez imm diatement chercher les secours professionnels Fractures os cass s G n ralement le patient sait qu il a une fracture Les sympt mes sont les suivants h morragie autour du foyer de la fracture douleur localis e d formation et tum faction Dans le traitement de la fracture l objectif est d immobiliser les extr mit s de l os cass Immobilisez toute fracture avant de d placer le patient C est particuli rement important si vous savez ou si vous pensez que le patient souffre d une l sion de la moelle pini re Lorsque vous placez le membre dans une attelle immobilisez le foyer de la fracture ainsi que D partement de la traduction Fes j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 16 les articulations adjacentes Apr s avoir pos l attelle v rifiez continuellement la circulation dans les membres touch s jusqu au traitement par des professionnels
252. ent dans l op ration de secours afin de les informer du r le de PUNDAC et de l OSOCC Des dispositions doivent galement tre prises pour assurer l change mutuel d informations et la coordination tous les niveaux Relations avec les autres intervenants internationaux Les intervenants humanitaires apprennent trop tard l existence ou le r le de l OSOCC Il est important d informer les intervenants tr s t t et d organiser des r unions informelles avec eux Pour prendre contact avec les acteurs des secours sur le terrain il est parfois utile de faire appel aux entit s nationales par exemple les douanes les militaires les entrep ts etc pour les informer des moyens et des activit s de POSOCC notamment par des r unions quotidiennes et la diffusion de coordonn es Officiers de liaison Les officiers de liaison ne sont pas int gr s dans la structure de l OSOCC Les officiers de liaison qui sont mis disposition par les autorit s nationales ou locales ou par d autres acteurs humanitaires doivent tre int gr s officiellement la structure de POSOCC Cela n cessite un accord avec leur organisation d envoi en ce qui concerne leur utilisation Les officiers de liaison doivent recevoir des missions concr tes dans le cadre des activit s de l OSOCC Mise jour des informations Les informations ne sont pas mises jour ni contr l es Les informations sur les activit s pr vues missions d valuation
253. ents d agences des Nations Unies ou d ONG ayant des relations officielles avec l OMS Une pr sence long terme dans la plupart des pays donne l OMS un avantage comparatif pour comprendre le contexte dans lequel se produisent les crises et leur impact r el sur la sant des habitants et pour faciliter le dialogue avec les autorit s sanitaires nationales De m me la connaissance long terme qu a l OMS des priorit s sanitaires du pays facilite les synergies entre les secours imm diats la reconstruction et le redressement durable L OMS rassemble des analyses et diffuse des informations sur les populations et les pays risque touch s par les crises pour planifier l avance des op rations humanitaires Le site Internet de l OMS www who int hac propose des informations et des conseils relatifs aux catastrophes et est r guli rement mis jour Contributions possibles de l OMS e Equipes d valuation sanitaire rapide de surveillance pid miologique et de coordination de sant publique e Manuel des Op rations d urgence sur le Terrain crit sp cialement l intention des travailleurs humanitaires e Fournitures m dicales d urgence pour combattre les menaces graves et imm diates pesant sur la sant publique e Diff rentes s ries de directives pour les meilleures pratiques m dicales et de sant publique en situations d urgence e Personnel et conseillers sp cialis s pour aider divers aspects de la gestio
254. ents sur place et l observation sont d excellents moyens de recueillir des informations inattendues questions qui n taient pas envisag es En r gle g n rale il est tr s utile d tre accompagn d un interpr te de confiance qui peut vous aider comprendre ce que vous voyez et clarifier vos hypoth ses concernant ce quoi vous pensez assister c est dire savoir si vous comprenez ou non L observation est l approche la plus directe pour valuer la logistique des infrastructures Circuler bord d un v hicule est un moyen s r de d couvrir si les routes sont praticables Entretiens semi structur s Un entretien semi structur est un entretien au cours duquel la personne qui interroge conna t la nature des informations obtenir mais dans lequel les questions ne suivent pas un ordre sp cifique voire ne concernent pas directement le sujet d int r t Les questions ne suivront pas n cessairement le format fig d un questionnaire Ce type d entretien peut tre men avec des survivants des porte paroles de survivants ou des repr sentants majeurs Les entretiens peuvent se d rouler de fa on individuelle avec des familles des groupes de personnes qu ils soient h t rog nes ou homog nes du point de vue du sexe de la classe sociale etc Les entretiens en groupe sont g n ralement appel s groupes de discussion G n ralement les entretiens sont une source d information pr cieuse
255. er de mani re efficace afin d effectuer des op rations de sauvetage coordonn es et performantes Les op rations de l INSARAG sont con ues pour am liorer la pr paration aux situations d urgence en renfor ant la coop ration entre les quipes internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain et l change d information sur les proc dures op rationnelles et les enseignements tir s Groupes r gionaux INSARAG Structure Les groupes r gionaux INSARAG correspondent aux groupes r gionaux UNDAC La Section de soutien la coordination sur le terrain FCSS qui est responsable de la gestion du syst me UNDAC est galement le Secr tariat de l INSARAG Ces diff rentes entit s sont troitement li es H 2 1 Directives INSARAG Depuis 1991 des progr s significatifs ont t r alis s concernant les normes des capacit s internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain et la coordination de la r ponse internationale lors de catastrophes impr vues majeures L INSARAG a r ussi tablir un r seau mondial d intervenants pour les catastrophes entra nant un effondrement structurel et a d velopp les directives INSARAG L engagement des pays et des organisations membres de l INSARAG a galement permis l adoption l unanimit lors de l Assembl e g n rale des Nations Unies du 16 d cembre 2002 de la r solution 57 150 sur le Renforcement de l efficacit et de
256. er en phase I Le syst me MOSS est con u pour garantir dans la mesure du possible une transition logique et fluide d une phase inf rieure une phase sup rieure avec une augmentation minimale des ressources r elles Le passage de la phase 0 la phase I n cessite les ressources les plus importantes Conclusion La r f rence MOSS est un document habilitant qui fournit un niveau de pr paration s curitaire minimal n cessaire pour l ensemble des op rations des Nations Unies L quipe pays doit consid rer le MOSS comme une proc dure habilitante et maintenir l objectif de MOSS Un r sum de la r f rence MOSS est pr sent sous forme de tableau en annexe de ce chapitre Des d tails suppl mentaires sont disponibles dans le FSH inclus dans le logiciel de mission UNDAC N 4 S ret et s curit de l quipe Le chef d quipe UNDAC tant responsable de la s curit de son quipe il est important que chacun connaisse sa co responsabilit pour la s ret et la s curit de l quipe Des failles dans les proc dures de s ret et de s curit peuvent mettre en p ril l quipe ou la mission Il est donc essentiel que tous contribuent au sch ma de s curit tabli De plus il est important que le chef d quipe connaisse pr cis ment ses responsabilit s pour la s ret de l quipe Enfin le chef d quipe est charg d tablir des proc dures et des r gles de s ret et de s curit pour l
257. erne les questions de police et de passage aux fronti res le minist re de la D fense et le minist re de la Protection civile Une quipe UNDAC peut tre appel e pour renforcer les autorit s gouvernementales Dans les faits 1l n est pas rare que les autorit s locales gouverneurs ou commandants militaires aient de grandes responsabilit s et disposent d une certaine ind pendance vis vis de la capitale L une des missions principales des quipes UNDAC sur le terrain est de veiller ce que ces autorit s soient inform es des objectifs des principes et de la mise en uvre de l aide humanitaire qu elle mane de l ONU ou plus largement d autres organisations internationales Lors de certaines situations d urgence complexes l aide de PONU peut tre destin e des personnes qui ne sont pas soumises l autorit du gouvernement mais celle de groupes d opposition Ces groupes peuvent avoir instaur leur propre m canisme de coordination et les quipes UNDAC sur le terrain doivent parvenir travailler efficacement avec eux B 5 2 quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes EGC L Assembl e g n rale a pr vu qu une EGC galement appel e quipe pays des Nations Unies UNCT soit form e dans les pays susceptibles d tre victimes d une catastrophe ou d une situation d urgence C est le CR CH qui est la t te de l EGC Sa composition est adapt e chaque pays
258. es v nements par la presse l quipe UNDAC doit arr ter son message et sa strat gie de communication destination de la presse nationale et internationale L quipe doit d signer un porte parole pour les m dias internationaux habituellement le chef d quipe Dans les situations d urgence o les m dias assurent une pr sence importante il faut chercher d ployer un personnel exp riment dans les relations avec la presse Il peut tre n cessaire de d signer un autre porte parole pour les m dias nationaux si le chef d quipe ne parle pas couramment la langue utilis e sur le site de la catastrophe Cela n interdit pas un membre de l quipe de r pondre des questions de la presse si le porte parole n est pas disponible Lors de la r union d information quotidienne l quipe doit arr ter les points communiquer la presse De mani re g n rale 1l est pr f rable d tre sinc re mod r et respectueux des sensibilit s nationales Pour davantage de pr cisions cf chapitre F Gestion de l information D 6 2 Bilan des op rations r union de l quipe Dans la mesure du possible l quipe UNDAC doit proc der un bilan des op rations quotidiennement lors de r unions r guli res Ce bilan doit tenir compte des modifications apport es au plan d action et du travail pr vu pour le jour et la p riode venir Il doit comprendre volution r cente de la situation C
259. es menaces sp cifiques pesant sur la sant veiller ce que les partenaires de sant nationaux soient int gralement impliqu s dans la fourniture de l aide humanitaire Ces responsabilit s s appliquent dans tous types de crises catastrophes soudaines ou effet prolong naturelles induites par l homme technologiques ainsi qu pid mies Dans certains cas comme les pid mies l OMS est le chef de file des op rations de secours d urgence De m me dans des crises o le r le de chef de file est tenu par une autre Agence l OMS reste responsable de la coordination sanitaire internationale Pr paration aux catastrophes et pr vention des catastrophes L OMS veille en outre ce que les syst mes sanitaires nationaux y compris les b timents etc soient capables de supporter l impact de menaces naturelles et dues l homme Ainsi l OMS encourage la sensibilisation au risque de catastrophe la planification de l tat de pr paration et de la pr vention et le renforcement des capacit s nationales et internationales pour la gestion des situations d urgence A cet gard l OMS organise une formation internationale r gionale et nationale en gestion des situations d urgence sanitaire et collabore avec des institutions s occupant de l impact des catastrophes sur la sant publique Sous r serve de la disponibilit pr alable des fonds l OMS peut acheter des services ou des marchandises au nom et pour le compte de Gouvernem
260. es Nations Unies N 3 1 Normes minimales de s curit op rationnelle MOSS N 4 S ret et s curit de l quipe N 4 1 S ret et s curit du personnel N 5 Plan d vacuation Annexe Tableaux concernant la r f rence MOSS Sensibilisation aux mines N 1 Introduction Ce chapitre concerne la s ret et la s curit en milieux hostiles c est dire dans des zones susceptibles de conna tre des conflits arm s des actes de terrorisme etc On pourrait penser que ces v nements sont uniquement li s des situations d urgence complexes mais il s av re qu un grand nombre de pays expos s aux catastrophes naturelles pr sentent les m mes caract ristiques M me si ce qui suit concerne surtout la s ret et la s curit dans un contexte de violence il ne faut pas oublier les risques engendr s par les catastrophes naturelles ou les situations qui en r sultent On peut citer par exemple les risques accrus de glissements de terrain apr s une inondation ou de fortes pluies les risques de r pliques li s un s isme le risque d insalubrit de l habitat caus par diverses catastrophes le risque de fuite des gazoducs et d exposition des c bles lectriques apr s un s isme une inondation etc Ces risques et d autres doivent tre pris en compte en cas d intervention dans une zone sinistr e Afin de prendre des pr cautions de s ret et de s curit pour pr venir les actes de violence il f
261. es RMPC peuvent tre mobilis es et d ploy es au niveau bilat ral ou dans le cadre d une action internationale coordonn e du BCAH e Les RMPC doivent tre fournies la demande ou avec l accord de l Etat destinataire et en principe sur la base d un appel l aide internationale e Toutes les op rations de secours restent du ressort g n ral de l Etat destinataire et sont compl t es par des RMPC trang res intervenant dans le cadre d une action d aide humanitaire internationale e L aide des RMPC doit tre fournie gratuitement l Etat destinataire sauf accord contraire entre les Etats concern s ou sauf disposition contraire d accords internationaux e Le personnel RMPC en mission de secours en cas de catastrophe op re non arm et rev tu de l uniforme national L Etat b n ficiaire conserve la responsabilit globale d assurer une s curit ad quate au soutien des RMPC e Les co ts des RMPC nationales en mission de secours en cas de catastrophe l tranger doivent tre financ s par des fonds autres que ceux destin s aux actions internationales humanitaires ou de d veloppement Le BCAH tient un Registre central des RMPC Voir chapitre K 3 9 Cette banque de donn es fondamentale permet au BCAH de faire correspondre les ressources et moyens aux besoins occasionn s par des catastrophes sp cifiques L 5 2 L utilisation des Ressources militaires et de la protection civile RMPC dans le Soutien l Action H
262. es de l quipe doivent tre conscients du fait que dans certaines situations il n est pas possible d changer des ch ques de voyage ou d utiliser la carte de cr dit pour obtenir des esp ces l arriv e dans le pays touch et qu il faut donc prendre ses dispositions avant le d part Regroupement Chaque fois que possible le BCAH s efforce de regroupe l quipe au point d arriv e dans le pays touch Il s agit en g n ral d un grand pole international partir duquel les membres de l quipe continuent ensemble leur d placement jusqu au pays touch S il n est pas possible de regrouper l quipe avant l arriv e dans le pays touch c est le premier point d entr e qui sert habituellement de point de regroupement Voyage Il est important que les membres de l quipe utilisent le voyage pour se reposer autant que faire se peut car ils devront commencer travailler imm diatement leur arriv e dans le pays touch En cas d impr vu durant le voyage par exemple en cas de correspondance rat e le BCAH doit en tre inform imm diatement Bagages Comme le voyage jusqu au pays touch peut comporter plusieurs changements d avion les membres doivent faire leurs bagages de telle sorte qu ils puissent transporter en cabine les biens les plus essentiels pour leur permettre de fonctionner leur arriv e Il est recommand d utiliser au maximum le poids autoris pour les bagages
263. es ou diapositives prises participation aux r unions et personnes rencontr es Le BCAH Gen ve photocopie tous les documents y compris le formulaire Voyages pour le membre de l UNDAC et pour le dossier UNDAC du BCAH En mission conservez tous les billets de transport factures re us etc en vue du formulaire Voyages R union d information Apr s les missions de secours en cas d urgence une r union d information peut se tenir avec la participation des pays concern s et ou des institutions des Nations Unies des ONG du personnel du BCAH etc au cours de laquelle l quipe dresse le bilan des activit s men es et des r sultats obtenus en s appuyant sur toues les aides visuelles disponibles par exemple diapositives transparents vid o pr sentation Power Point cartes etc Compte rendu de la mission Un projet de compte rendu de la mission comprenant des rapports de situation un calendrier des actions men es une liste des r unions organis es et des personnes rencontr es doit tre pr par e pour finalisation par le chef de l quipe UNDAC Rapport de mission distinct Certaines missions UNDAC notamment les missions de pr paration l intervention en cas de catastrophe n cessitent un rapport distinct qui est remis au CR CH et ou au gouvernement national selon le cas E COORDINATION SUR LE TERRAIN E 1 Techniques de coordination et intervention E 1 1 Techniques E 1 2 Obstacles la c
264. es pluies ayant provoqu des inondations ou des glissements de terrain des mines peuvent avoir t emport es par le courant faites attention aux zones d inondations ou de glissements de terrain Si le pire arrive Les deux mani res les plus courantes de d couvrir que vous vous trouvez dans un champ de mines sont les suivantes 1 Une explosion se produit 2 Vous d couvrez une mine Si une explosion se produit ou qu une mine est d couverte le premi re chose faire est d arr ter de bouger Tout mouvement risque de d clencher une ou plusieurs mines proches Toute personne dans le voisinage doit tre alert e S il y a une victime il est tr s important qu elle ne bouge pas et que du moins dans un premier temps personne ne se rende dans le champ de mines pour lui venir en aide Les personnes qui se pr cipitent au secours des bless s sont tr s souvent tu es ou mutil es Les premiers soins ne peuvent tre apport s que lorsqu un chemin s r a t d couvert pour acc der au champ L tablissement d un chemin s r pour acc der un champ de mines ou le quitter ne doit tre effectu qu en tout dernier ressort Il est toujours plus prudent d obtenir l aide d un professionnel il peut s agir d un militaire qui a re u une formation sp cifique g n ralement membre d un r giment du g nie ou d un membre d une ONG de d minage Si vous devez trouver un chemin s r sans l aide d un
265. esponsabilit Il est important d analyser la strat gie de mobilisation des ressources ext rieures employ e par le gouvernement afin de renforcer ses capacit s et d tudier la facult du pays mettre en uvre cette strat gie Au cours de la mission le chef d quipe UNDAC doit organiser des r unions p riodiques avec le CR CH et le chef de l autorit nationale de gestion des catastrophes pour les tenir au courant des r sultats et des ventuelles recommandations qui peuvent en d couler Il est galement recommand que l quipe pays des Nations Unies soit tenue au courant des progr s Cela garantit que l quipe UNDAC ne s loigne pas de son mandat et vite les surprises en fin de mission De plus cela permet d impliquer les partenaires principaux dans le travail de la mission Enfin au cours du travail ces intervenants importants peuvent envisager des possibilit s d analyses suppl mentaires I 5 3 Visites de terrain L quipe UNDAC doit organiser des visites de terrain selon les besoins Il est pr f rable de commencer les premi res visites de terrain d s que possible car elles prennent beaucoup de temps La composition de l quipe effectuant une visite de terrain doit inclure un membre de chaque sous quipe pour chaque visite Cela garantit que tous les aspects du mandat sont trait s pour chaque visite de terrain Un interpr te comp tent est indispensable Les visites de terrain de la pre
266. essources disponibles collecter et analyser les informations fournies par les quipes USAR et d autres intervenants d terminer les lacunes dans les interventions et les changements appropri s recommand s consid rer les plans long terme concernant les ressources suppl mentaires et une nouvelle affectation de celles ci e Afficher les informations sur des cartes e Pr parer et faciliter les r unions quotidiennes pour les interventions USAR e Analyser et mettre jour le plan d action bas sur les r sultats des r unions de planification de POSOCC et les autres informations re ues dur e des p riodes op rationnelles pour accomplir les t ches attribu es calendrier des r unions d information e Pr parer la saisie de donn es sur les interventions USAR pour le rapport de situation UNDAC H 3 2 Planification des interventions USAR La planification est indispensable la conduite de tous types d interventions et tout particuli rement pour les interventions rapides pour lesquelles il serait facile et tentant de se pr cipiter sans pr paration appropri e Cependant la planification doit tre effectu e de mani re efficace et rapide afin de sauver la vie des survivants pris au pi ge sous les d combres La planification USAR repose souvent sur un quilibre d licat entre la n cessit de proc der rapidement aux interventions de sauvetage et la patience n cessaire pour planifier correctement
267. essous si vous ne disposez pas d information pour un ou plusieurs points mentionnez le clairement en crivant par exemple Rien signaler Rappelez vous que cette pr sentation standard est une recommandation et qu elle peut varier selon les aspects particuliers d une situation d urgence Le BCAH peut donc fournir une pr sentation adapt e aux besoins sp cifiques des rapports pour les situations d urgence particuli res e R sum Bref r sum du rapport de situation Les probl mes principaux doivent tre mis en vidence e Vue d ensemble de la situation Description g n rale de la situation et de l intervention Inclure les incidents importants qui se sont produits depuis le dernier rapport e Vue d ensemble de la coordination Ensemble des m canismes de coordination en place au niveau national et international R capitulation des horaires et de la fr quence des r unions Obstacles la coordination e Consid rations op rationnelles Point d entr e de l aide humanitaire Obstacles logistiques la livraison de l aide humanitaire Probl mes de livraison de l aide humanitaire par exemple renseignements douaniers etc Probl mes administratifs sp cifiques Probl mes de s curit e Activit s de recherche et sauvetage en milieu urbain RSMU applicables seulement en phase RSMU Nombre d quipes nom et zone pays exp diteur Distinguer les interventions nationales et
268. est charg e de les appliquer Dans le cas contraire la responsabilit incombe l quipe en concertation avec le Coordonnateur r sident et Coordonnateur de l action humanitaire CR CH d valuer les possibilit s et de mettre en place une coordination par secteur du travail de secours Il est souhaitable de demander une institution des Nations Unies ou une organisation non gouvernementale qui est en mesure de le faire de prendre en charge son secteur particulier par exemple l Organisation mondiale de la sant OMS pour la sant le Fonds des Nations Unies pour l enfance UNICEF pour l eau et l assainissement et le Programme alimentaire mondial PAM pour la nourriture etc L institution ou organisation responsable sert alors d institution pilote charg e de la coordination du secteur laissant l quipe UNDAC le soin de coordonner l ensemble du processus Si l quipe a mis en place ces structures un stade pr coce il lui sera plus facile de d l guer E 1 2 Obstacles la coordination Recenser et identifier les obstacles la coordination est la premi re tape pour les surmonter Il s agit notamment e du sentiment que la coordination limitera l autonomie ainsi que la libert de prendre des d cisions et de conduire les programmes de la mani re souhait e e du fait que la participation d un trop grand nombre de d cideurs ou d organisations compliquera le processus un conse
269. et dans certains cas affectera leur protection ainsi que la fourniture d une aide Evitez les campements trop forte densit Il convient de pr voir long terme tant donn que les dispositions dites temporaires durent souvent bien plus longtemps que pr vu L organisation du campement doit s appuyer sur une approche d centralis e bas e sur des communaut s petite chelle respectueuse des sch mas sociaux ant rieurs Impliquez les personnes d plac es qui s installeront dans le campement dans l organisation et la mise en uvre Une expertise peut toutefois tre n cessaire dans les domaines de la g ologie l installation la planification l ing nierie et la sant publique Il est utile de conna tre les conditions locales de la r gion d origine de la population d plac e et du lieu o elle se trouve actuellement tout comme il est important d avoir une exp rience pr alable de situations d urgence semblables G 4 Listes de contr le pour l valuation Les listes de contr le suivantes ont pour but de venir en aide l quipe d valuation pour concevoir et mener une valuation initiale rapide Elles concernent les diff rents grands secteurs de l activit humanitaire Elles sont con ues pour inclure dans la mesure du possible tous les types de questions qui n cessitent une r ponse dans l valuation de diff rents types de catastrophes Afin d obtenir une r ponse exh
270. et plus bas que la partie de l avion aile queue ou porte en position ouverte face laquelle il doit se D partement de la traduction E A j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc 15 07 2008 10 07 7 placer pour r cup rer le conteneur ou la palette e Chargement externe uniquement avec les h licopt res Le chargement est plac dans un filet ou suspendu par un cordage et lev et d plac par l h licopt re au moyen d un crochet G n ralement les h licopt res soul vent et d placent plus de chargements l ext rieur lingage qu en cabine Le chargement ext rieur est plac dans des filets sp cialement con us reli s un crochet de chargement plac sur le ventre de l h licopt re Le chargement peut galement tre suspendu des c bles porteurs Assurez vous que les c bles porteurs et les filets sont adapt s un lingage Les palettes les conteneurs les filets et les c bles porteurs sont r utilisables Il est galement possible de devoir les retourner leur point d origine afin qu ils puissent tre utilis s pour charger plus de fret Pensez toujours en termes de transport de retour pour les r utiliser ou lorsqu ils ne sont plus n cessaires D partement de la traduction A j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc 15 07 2008 10 07 S 6 Liste des sigles
271. eur sont tr s ais s tant qu il est sec En cas de pluie la zone devient impraticable pour tous les types de v hicules durant des p riodes prolong es Climat Le climat des terrains d sertiques pr sente les caract ristiques suivantes e Pluviosit Les pr cipitations moyennes sont tr s faibles De longues p riodes de s cheresse ne sont pas rares e Temp rature Le d sert est g n ralement associ des conditions de temp rature extr mes Durant l t la temp rature maximale d passe 45 alors qu en hiver les temp ratures chutent presque en dessous de z ro Les journ es sont chaudes et peuvent tre agr ables durant l hiver et insupportables en t tandis que les nuits sont g n ralement fra ches tout au long de l ann e e Vent des vents chauds et des temp tes de sable ne sont pas rares Parfois ils peuvent atteindre plus de 40 km h et durer plusieurs heures En cons quence la poussi re et le brouillard sont fr quents et limitent la visibilit tant dans les airs qu au sol L observation devient un probl me majeur dans de telles conditions Toutefois la visibilit est bonne durant les nuits de lune e Eau L eau est extr mement rare La quasi totalit de l eau disponible est saum tre La planification en mati re d eau est donc importante dans l organisation logistique Le stockage et le transport sont des conditions pr alables pour les op rations e Pistes de d sert
272. euvent tre affich s sur les v hicules et sur les conteneurs ke 6 6 4 ROUGE Classe Explosifs Risque Peuvent br ler et ou exploser Exemples Munitions feux d artifice acide picrique moteurs fus e trinitrotolu ne TNT VERT Classe Gaz inflammables Risque Les conteneurs peuvent exploser lorsqu ils sont expos s la chaleur Exemples Azote dioxyde de carbone h lium BLANC Classe Mati res toxiques Risque Les conteneurs peuvent exploser lorsqu ils sont expos s la chaleur Les vapeurs de gaz liqu fi s sont l origine plus lourdes que l air Exemples Chlorure d hydrog ne dioxyde de soufre chlore et m thanol cyanure de sodium t trachlorure de carbone nicotine pesticides ROUGE Classe Gaz ou liquides inflammables Risque Les conteneurs peuvent exploser lorsqu ils sont expos s la chaleur les vapeurs de gaz liqu fi s tant l origine plus lourdes que l air et pouvant former des m langes explosifs dans l air Exemples Gaz propane butane ac tyl ne Liquides benz ne essence ther alcool isobutylique ac tone ROUGE BLANC Classe Solides inflammables Risque Les mati res s enflamment et br lent facilement Exemples Allumettes foin ou paille humide soufre phosphore rouge BLANC ROUGE Classe Mati res spontan ment inflammables Risque Mati res pouvant s enflammer et br ler spontan ment Exemples di thylzinc charbo
273. fiable 1 Confirm e par d autres sources B G n ralement fiable 2 Probablement vraie C Assez fiable 3 Peut tre vraie D G n ralement non fiable 4 Douteuse E Non fiable 5 Improbable F La fiabilit ne peut pas tre 6 La v racit ne peut pas tre valu e valu e Le syst me peut tre d velopp Fiabilit de la source Mention Description A Source qui a fait ses preuves digne de confiance Source extr mement rare r serv e des cas particuliers B Source qui a donn de bons r sultats par le pass mais pour laquelle il subsiste des doutes pour une situation particuli re Cette mention convient aux sources dont l int grit est reconnue agences des Nations Unies entit s militaires certaines ONG importantes etc C Source utilis e occasionnellement par le pass laquelle on peut accorder un certain degr de confiance Cette mention peut tre attribu e des journaux et des ONG D Source utilis e par le pass mais qui s est r v l e plus souvent n tre pas fiable que l inverse Cette mention peut tre attribu e des journaux et des ONG E Source utilis e par le pass et qui s est r v l e n tre pas digne de confiance F Source qui n a jamais t utilis e Cr dibilit de l information Mention Description 1 Une source diff rente de la source originale confirme
274. fin d aider la ventilation Les doubles couches de tissu aideront se prot ger de l eau si elles sont inclin es Q 5 2 Feu Tout risque d tre humide Prendre du bois mort sur pied en raboter la surface et s en servir pour allumer le feu Le bambou sec et les nids de termite constituent un bois adapt Q 5 3 Nourriture Un large ventail de fruits de racines et de feuilles sont disposition La banane la papaye la mangue et les figues sont ais ment reconnaissables mais la profusion d aliments tropicaux peut parfois sembler d concertante Toute une s rie de mammif res reptiles oiseaux et poissons peuvent tre chass s captur s et p ch s Les poissons sont tr s digestes mais sous les tropiques ils s avarient rapidement Les laver tr s soigneusement retirer les entrailles et les consommer aussi vite que possible Ne pas les conserver en les fumant ou les s chant Dans des eaux lentes le poisson peut tre infest de t nia ou d autres parasites humains faites bouillir pendant 20 minutes L eau elle m me peut tre contamin e par des amibes qui provoquent la dysenterie il faut donc la faire bouillir Q 5 4 Risques encourus en circulant dans la jungle Attaques d insectes Les d placements dans la jungle peuvent perturber les nids d abeilles de gu pes ou de frelons Toute peau nue est vuln rable une attaque Courir Ne rien laisser tomber il sera hors de question de faire demi tour p
275. ge officiel Les messages officiels doivent tre transmis dans l ordre suivant Appel pr liminaire 1 Terme de proc dure MESSAGE SUIT ENVOYEZ VOTRE MESSAGE 2 Appel abr g avec instructions de relais et de transmission le cas ch ant par ex COLLATIONNEZ TRANSMETTEZ A etc 3 Ordre de traitement du message priorit normalement URGENT OPERATIONNEL IMMEDIAT PRIORITE ou ROUTINE 4 Date et heure par ex 140630Z AUG correspond au 14 ao t 1430 2 PM GMT 5 Terme de proc dure FROM DE LA PART DE suivi de l indicatif d appel de l exp diteur 6 Terme de proc dure TO A suivi de l indicatif d appel du destinataire 7 Terme de proc dure INFO suivi de l indicatif d appel du destinataire 8 Terme de proc dure TEXTE COMMENCE 9 Classification de s curit normalement l une des mentions suivantes NON CLASSIFIE RESTREINT CONFIDENTIEL SECRET NU 10 L exp diteur et le num ro du message 11 Le texte en lui m me 12 Terme de proc dure FIN DE TEXTE si les instructions finales suivent sinon FIN DE MESSAGE 13 Terme de proc dure TERMINE si aucune r ponse n est attendue sinon PARLEZ R 2 3 Indication de r ception Les phrases suivantes sont utilis es pour poser une question sur l intensit ou la lisibilit du signal ou y r pondre RADIO CHECK CONTROLE RADIO Quelle sont l intensit et la lisibilit du signal pouvez vous me lire YOU ARE I READYOU VOUS ETES Votre sign
276. gneusement tabli afin d viter les p riodes creuses et les goulots d tranglements e En assurant que le RDC est converti en centre de d part et informe les quipes internationales USAR pr tes partir Plusieurs quipes USAR voudront peut tre galement donner leur quipement pour la suite des interventions de secours L OSOCC sera ensuite charg de coordonner la distribution et l utilisation de ces dons H 4 Marquages de l INSARAG au cours d une intervention USAR Il est important que l information li e l identification des b timents aux conditions aux dangers et l tat des victimes soit publi e de mani re standardis e afin de garantir l uniformit et la clart vu que les quipes USAR viennent du monde entier Les directives INSARAG ont labor un format uniformis de marquage des sites valu s et fouill s Les quipes internationales USAR doivent utiliser le syst me de marquage de signaux et d identification de l INSARAG pour communiquer les r sultats d valuation et de sauvetage aux autres intervenants et garantir une communication harmonis e sur le site Une vue d ensemble des marquages est disponible dans les directives INSARAG et dans le logiciel de mission UNDAC mais des extraits utiles sont donn s ci dessous Marquage des b timents Le marquage des b timents doit tre appliqu sur les b timents effondr s valu s par les quipes USAR Le marquage doit
277. gnificatives existent qui sont d taill es ci apr s Notons que les termes catastrophe et situation d urgence ont une d finition largement accept e bien qu elle ne soit pas universelle voir le site Internet de la Strat gie internationale de pr vention des catastrophes des Nations Unie www unisdr org en anglais R le de l tat ou du gouvernement national La souverainet l int grit territoriale et l unit nationale de tout tat doivent tre totalement respect es conform ment la Charte des Nations Unies Dans cette optique l aide humanitaire devra tre fournie avec le consentement du pays touch et en principe la suite d un appel mis par ledit pays La responsabilit premi re de tout tat est l aide aux victimes de catastrophes naturelles ou de toute autre situation d urgence apparaissant sur son territoire Ainsi l tat touch est il au premier plan de l initiative de l organisation de la coordination et de la mise en uvre de l aide humanitaire sur son territoire Ces deux principes nonc s par la r solution 46 182 de l Assembl e g n rale sont le fondement du syst me ONU Si dans la plupart des catastrophes naturelles l tat s av re un partenaire r solu et l gitime et fait appel l aide internationale dans le cas de situations d urgence complexes sa l gitimit et ses fronti res font l objet de discussions souvent violentes
278. habilit e par le DSS pour effectuer cette t che Le DO et la SMT sont responsables de l laboration des MOSS sp cifiques au pays G n ralement une seule version des MOSS est cr e pour chaque pays Voici les cinq tapes n cessaires l laboration de MOSS sp cifiques 1 Mener une valuation des risques s curitaires et d terminer le niveau de risque Confirmer les phases de s curit 2 Comparer les mesures de s curit correspondant chaque phase de s curit avec celles requises dans la r f rence MOSS et d terminer les lacunes le cas ch ant 3 Identifier les mesures suppl mentaires n cessaires en plus des exigences de la r f rence MOSS le cas ch ant 4 Une fois que toutes les exigences MOSS sont remplies et document es le tableau doit tre compl t au format des instructions MOSS La SMT donne ensuite son accord pour les MOSS sp cifiques et les envoie au DSS pour examen 5 Le DSS autorise les MOSS sp cifiques qui peuvent alors tre mises en uvre au niveau du pays obtention et installation de l quipement mise en place des formations et des structures Mise en uvre La mise en uvre des MOSS doit tre effectu e aussi rapidement que possible lors d un changement de phase la planification est donc primordiale Les pays qui sont en phase 0 DOIVENT disposer d un fonds de r serve pour la mise en uvre et l approvisionnement en capitaux et en ressources n cessaire pour pass
279. hangements ventuels apport s aux objectifs de la mission Programme de travail quotidien Modifications ventuelles apport es l organisation de l quipe et la r partition des responsabilit s D placements de l quipe Ressources disponibles et n cessaires Instructions sur les communications Actualisation de l information sur la s ret et la s curit D 7 Soutien de la mission Le soutien la mission sera assur essentiellement par le bureau du CR CH et comprend les arrangements pour l entr e dans le pays touch le logement le transport l int rieur du pays et les relations avec les responsables nationaux et locaux Selon l instruction administrative 93 57 du PNUD en date du 3 septembre 1993 concernant la coop ration entre le PNUD et le D partement des Affaires humanitaires des Nations Unies le coordonnateur r sident apporte son soutien l quipe du BCAH envoy e titre de renfort et d aide au coordonnateur r sident et l quipe de gestion des catastrophes ainsi qu aux autorit s locales de gestion de la situation d urgence afin de recenser les besoins en assistance internationale en cas de catastrophe et si n cessaire de coordonner le travail des quipes de secours internationales arrivant sur le site de la catastrophe Attendu que le BCAH est le successeur du D partement des Affaires humanitaires la disposition qui pr c de demeure applicable comme cela a t confirm
280. humides et venteuses D partement de la traduction j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 P LOGISTIQUE EN SITUATION DE CATASTROPHE P 1 Introduction P 2 Vue d ensemble de la logistique P 3 Logistique des secours en cas de catastrophe P 1 Introduction Les membres UNDAC doivent comprendre les m canismes de la logistique de l aide humanitaire car c est l un des l ments les plus importants dans une op ration de secours Pour qu une telle op ration soit efficace 1l est indispensable de pouvoir fournir les approvisionnements n cessaires dans les bonnes quantit s et dans des conditions optimales l endroit et au moment o ils sont requis Au sein du syst me des Nations Unies le Programme Alimentaire Mondial PAM Centre logistique commun des Nations Unies UNIJLC est normalement charg de coordonner la logistique des op rations humanitaires Ce chapitre vise expliquer aux membres UNDAC l organisation des syst mes logistiques de secours en cas de catastrophe Les op rations logistiques en cas d urgence sont de deux ordres Il s agit d une part de r pondre des besoins sp cifiques fournir des articles m dicaux indispensables du mat riel de communication du mat riel de r paration pour les r seaux d eau d assainissement d lectricit etc et d autre part de d placer des biens en grande quantit comme
281. i par l interm diaire de la FCSS de Gen ve sous l gide du Partenariat Humanitaire International IHP Le BCAH administre un Fonds central d intervention d urgence CERF qui peut tre utilis pour fournir des fonds urgents au CR CH dans des situations d urgence Il dispose galement de subventions d urgence en esp ces pouvant aller jusqu 100 000 U S pour apporter un pays touch une r ponse imm diate en cas de catastrophe voir aussi chapitre K M 2 3 Programme des Nations unies pour le D veloppement PNUD Le PNUD se concentre sur les aspects des catastrophes naturelles li s au d veloppement et vise inscrire la r duction du risque de catastrophes dans les strat gies de d veloppement nationales en fournissant aide technique et renforcement des capacit s afin d am liorer la gestion du risque de catastrophes et d tablir des m canismes d aide la reconstruction apr s une catastrophe Le PNUD entend faire en sorte que les consid rations de r duction du risque de catastrophes soient int gr es des programmes de d veloppement nationaux et r gionaux et que les pays utilisent le processus de redressement la suite de catastrophes comme une opportunit de r duire les risques futurs et la vuln rabilit en 1 Incorporant des mesures de r duction du risque et de pr paration long terme dans les programmes et la planification r guliers en mati re de d veloppement 2 renfor ant les institutions nationale
282. ialis et des quipes de sp cialistes techniques ainsi que de l aide humanitaire de l quipement et des services disponibles au sein du syst me des Nations Unies des Gouvernements des organisations inter gouvernementales et non gouvernementales auxquels l ONU peut faire appel en urgence Le Registre est tenu par le BCAH par l interm diaire de la Section de Coordination civilo militaire CMCS et comprend Annuaire des douanes Correspondants nationaux et l gislation pour faciliter les proc dures douani res en mati re d aide humanitaire internationale d urgence Liste d experts Listes d experts en gestion de catastrophes disponibles au niveau international Annuaire de contact pour intervention en cas de catastrophe Services d intervention d urgence des organisations nationales et internationales Annuaire des donateurs Organisations nationales et internationales r pondant r guli rement par des contributions en nature ou en argent aux appels l aide internationale lanc s par les pays victimes de catastrophes Ressources militaires et de la Protection civile RMPC Expertise capacit s et vari t de services militaires et ou de la d fense civile et ou de la protection civile qui peuvent tre offerts en cas de situation d urgence par des Etats membres et des organisations multinationales de secours en cas de catastrophe Stocks d urgence Stocks d urgence g r s par diverses organisations humanitaires et destin
283. ic du BCAH Reliefweb l adresse suivante www reliefweb int Flux d information COORDONNATEUR DES SECOURS D URGENCE Copie la FCSS Rapport de Situation BCAH Rapport de situation UNDAC F 2 3 Rapport de situation UNDAC G n ralit s Envoyez le premier rapport de situation UNDAC le plus t t possible apr s votre arriv e sur le site de la catastrophe et envoyez les rapports de situation suivants au moins une fois par jour quelle que soit l information disponible ce moment Ne retardez pas l envoi d un rapport de situation parce qu il vous manque une information vous la communiquerez dans le prochain rapport Rappelez vous qu un rapport de situation UNDAC est constitu d informations trait es qui disposent d une cr dibilit tr s importante Il doit tre informatif officiel et disponible en temps utile surtout l heure actuelle o les m dias ont imm diatement acc s aux zones sinistr es Fournissez une liste compl te des besoins non satisfaits dans chaque rapport ou d clarez quels points restent inchang s par rapport au compte rendu pr c dent tout en apportant de nouvelles informations sur d autres sujets Indiquez si les besoins peuvent tre satisfaits au niveau local ou s ils n cessitent une assistance internationale Lorsque vous r digez le rapport mettez vous la place du destinataire et essayez d crire ce que vous aimeriez savoir la mani re dont vous ai
284. icament utile prendre pendant cinq sept jours pour traiter une ventuelle infection parasitaire NE consommez PAS d alcool lorsque vous tes sous antibiotiques car cela risquerait d entra ner des complications et ou des r actions O 3 Eau salubre pour les voyageurs O 3 1 Eau salubre au cours du d ploiement L eau contamin e est la deuxi me cause principale de maladies pour les voyageurs lors de leur s jour l tranger De m me que pour la nourriture il est essentiel de suivre des r gles simples afin de pr venir les maladies dues une eau insalubre 0 3 2 Pr paration avant le d part Comme pour la pr paration concernant la nourriture 1l est important de consulter votre m decin pour obtenir des conseils sur les maladies les vaccinations les mesures pr ventives ainsi que de vous assurer que votre trousse de soins comprend des sels de r hydratation orale SRO et des comprim s pour la d sinfection de l eau Un kit personnel de purification de l eau Katadyn est galement recommand 0 3 3 Pr cautions prendre apr s l arriv e En voyage en cas de doute l eau doit toujours tre consid r e comme tant contamin e Les recommandations suivantes s appliquent donc dans tous les cas e Lorsque la salubrit de l eau potable est douteuse faites la bouillir ou d sinfectez la avec des comprim s de d sinfection fiables lib ration prolong e g n ralement disponibles en pharmacie
285. icule Vous ne devez pas vous arr ter part par exemple aux points de contr le Vous devez conna tre les proc dures suivre aux points de contr le en circulation nocturne vous devez toujours allumer autant de lumi re que possible et garder les portes verrouill es m me lorsque vous roulez e Apr s un d placement il est important que l quipe de terrain fasse un rapport sur la situation s curitaire l tat des routes l tat d esprit de la population locale etc dans les r gions travers es et sur les routes emprunt es Ces donn es peuvent tre conserv es dans des dossiers afin que d autres personnes se rendant dans la m me r gion puissent b n ficier des informations les plus r centes N 4 1 S ret et s curit du personnel De nombreuses recommandations cit es ci dessus sont galement applicables chaque membre de l quipe La liste suivante de mesures de s ret et de s curit peut tre utile dans diff rentes situations risque Soyez conscient de ce qui se passe autour de vous et r agissez en fonction des v nements avant qu une situation devienne dangereuse apprenez tre averti Observez le comportement de la population locale qui peut vous indiquer l imminence de troubles majeurs de bombardements etc il est important d observer les changements dans les habitudes de la population locale Ne transportez pas de grosses sommes d argent Votre argent doit tre d
286. ide quatoriale la for t humide sub tropicale et la for t de montagne ont toutes pour caract ristiques une forte pluviosit et des montagnes rocailleuses dont les eaux se jettent dans de larges rivi res aux courants rapides avec des r gions c ti res de faible l vation constituant des terres mar cageuses Savane Les prairies tropicales que l on trouve en Australie au Venezuela en Colombie au Br sil et en Afrique L herbe peut atteindre une hauteur de 3 m tres Les temp ratures sont lev es toute l ann e L eau est rare mais l o elle est pr sente la v g tation est luxuriante et la faune abondante D sert Le cinqui me de la surface terrestre est d sertique une petite partie seulement tant constitu e de sable et la plupart de gravier plat travers par des cours d eau ass ch s oueds Les temp ratures peuvent tre tr s lev es dans la journ e retombant en dessous de 0 C la nuit La survie y est difficile Montagnes de haute altitude Dans une grande partie de l Asie centrale et de la r gion de l Himalaya ainsi que dans les cha nes de montagnes d Am rique du Sud de nombreuses habitations sont situ es dans des zones montagneuses d altitude lev e savoir plus de 3 000 m tres Pour op rer ces altitudes il faut g n ralement tenir compte des basses pressions atmosph riques et des vents extr mement froids et violents Ces zones exigent des proc dures d acclimatation sp
287. ier les informations susceptibles d avoir un impact sur la s curit des civils et ou des travailleurs humanitaires doivent tre chang es avec les entit s comp tentes L change d informations entre intervenants humanitaires et acteurs militaires appropri s peut inclure Informations relatives la s curit Les informations touchant la s curit des civils et la situation en termes de s curit dans la zone des op rations Lieux humanitaires les coordonn es du personnel et des installations humanitaires l int rieur du th tre des op rations militaires Activit s humanitaires les plans et intentions humanitaires notamment les itin raires et les horaires des convois et des ponts a riens humanitaires afin de coordonner les op rations projet es d viter des frappes accidentelles sur des op rations humanitaires ou d avertir de toute activit de conflit Activit s de minage informations touchant aux activit s de minage Mouvements de population informations sur les grands mouvements de civils Activit s de secours de l arm e informations sur les actions de secours entreprises par l arm e Informations la suite de frappes informations sur la localisation des frappes et les munitions utilis es lors des campagnes militaires pour aider tablir les priorit s et planifier les secours humanitaires et les actions relatives au minage Probl mes se posant relativement l change d informa
288. iers sont faibles ou non existants l UNICEF travaille aussi directement par l interm diaire d organisations non gouvernementales internationales Choix de d veloppement L action de l UNICEF est fond e sur son approche de programmes nationaux long terme et son choix de d veloppement Reconnaissant qu il est essentiel d am liorer les capacit s et l auto suffisance pour une aide efficace et durable et pour r duire la vuln rabilit des enfants d ventuelles situations d urgence l UNICEF entend renforcer plut t que remplacer les ressources et m canismes existant au niveau local A tous les niveaux de l action d urgence de l UNICEF l accent est mis sur l implication maximale des individus des communaut s et des institutions locales et nationales Approche int gr e L UNICEF adopte une approche int gr e pour r pondre aux besoins et d fendre les droits des femmes et des enfants dans des situations d urgence Cette approche prend en compte la complexit des facteurs et l interaction entre s curit physique et motionnelle d veloppement social et cognitif et tat sanitaire et nutritionnel Cette approche int gr e permet d valuer les besoins sp cifiques des enfants et des femmes en situation d urgence et d y r pondre dans une perspective largie Financement des mesures d urgence Les programmes d urgence de l UNICEF sont un prolongement des activit s r guli res dans le cadre des programmes de l UNICEF en r pon
289. ieurs heures repr sentent l un de plus grands risques de maladies li s l alimentation Assurez vous que votre plat a t enti rement cuit et qu il est encore chaud lorsqu on vous le sert D partement de la traduction is j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 6 e vitez de manger des aliments crus part les fruits et l gumes qui peuvent tre pluch s ou d cortiqu s vitez de manger les fruits dont la peau est ab m e Suivez le dicton Cuisez pluchez ou laissez de c t e Les glaces provenant de sources non fiables sont souvent contamin es et peuvent causer des maladies En cas de doute n en mangez pas e Dans certains pays des esp ces de poissons et de crustac s peuvent contenir des bio toxines toxiques m me lorsqu ils sont bien cuits La population locale peut vous conseiller sur ce sujet Que faire en cas de diarrh e La diarrh e est le probl me le plus courant lors des missions de terrain Afin d viter ce d sagr ment lavez vous les mains consciencieusement apportez beaucoup d attention l hygi ne et assurez vous que l eau consomm e est salubre La plupart des crises de diarrh e sont d origine virale gu rison spontan e et passent en quelques jours Il faut viter de se d shydrater D s le d but de la diarrh e buvez davantage d eau en bouteille bouillie ou trait e ou du th l
290. ilisation des escortes arm es pour les convois humanitaires e Relations civilo militaires dans les situations d urgences complexes Un manuel sur les n gociations humanitaires avec les groupes arm s compl te cette s rie de documents L 5 1 L utilisation de RMPC pour les secours en cas de catastrophe Directives d Oslo Les directives d Oslo ont pour but d tablir le cadre de base l institutionnalisation et l am lioration de l efficacit de l utilisation des quipes et de l expertise de d fense civile et militaire trang res dans des op rations de secours en cas de catastrophe Les Directives concernent l utilisation des RMPC dans des situations d urgence naturelle technologique et environnementale en temps de paix Les principes m canismes et proc dures concernant les forces militaires participant aux op rations de paix ou la fourniture d aide humanitaire en cas de conflit arm ne sont pas trait s par ce document Les ressources militaires et de la protection civile doivent tre consid r es comme un outil compl tant des m canismes de secours existants afin de fournir une aide sp cifique en r ponse des besoins sp cifiques Cela est destin combler le foss humanitaire constat entre les besoins en secours et les ressources disponibles pour r pondre ces besoins e Le soutien des RMPC doit tre utilis en toute transparence neutralit et impartialit dans le cadre des op rations de secours e L
291. ilitaire CR CH Equipe pays des Nations Unies UNCT Forces militaires de secours internationales Est il besoin d une note du CR CH sur la coordination civilo militaire CR CH Equipe pays des Nations Unies UNCT Forces militaires de secours internationales La CMCS peut tre appel e donner des conseils g n raux sur les relations civilo militaires car elle est d positaire de certains documents de base et apporte son appui la formation et aux exercices avec un important engagement militaire La CMCS est galement responsable de la formation de la CMcoord de l ONU Ces pr cieux contacts s obtiennent via le r seau virtuel du Centre local de Coordination des Op rations OSCC L 4 R le des agents de la CMcoord de l ONU et domaines d activit Sous la direction du CR CH et apr s accord avec l UNCT le r le de l agent de la CMcoord comprendra normalement les cinq fonctions essentielles suivantes Ces fonctions se concentrent sur les responsabilit s de l agent de la CMcoord en tant que membre du personnel du CR CH L importance relative de ces fonctions ainsi que la fa on dont elles sont accomplies varient selon la situation En outre le CR CH peut mettre les services de l agent de CMcoord de l ONU la disposition d organisations qui sont d pourvues de capacit de coordination civilo militaire ou pr f rent les liaisons indirectes 1 Aider tablir puis entretenir le dialogue
292. important que l quipe ait d cid pr alablement si elle pouvait s arr ter en toute s curit pour dispenser les premiers soins ou s il valait mieux ne pas s arr ter et contacter le premier poste de police point de contr le h pital etc Le mat riel suivant doit tre emport en d placement des r serves de carburant une trousse outils un pneu de rechange ou deux pour un d placement long une pelle une lampe de poche lectrique des batteries de rechange un c ble de remorquage des rations et de l eau pour 24 heures l eau doit tre conditionn e dans un seul contenant afin de pouvoir tre transport e rapidement en cas de besoin une trousse de premiers soins ou un kit trauma de l argent liquide et les documents n cessaires par exemple permis de conduire document d identification du v hicule autorisation d entr e sur le territoire permis de transmission radio attestations d assurance etc En hiver munissez vous galement de v tements chauds de cha nes antid rapantes d une hache d une pelle et d un r chaud avec du combustible pour 24 heures Avant le d placement v rifiez que le v hicule est en bon tat que le r servoir d essence est plein et que vous disposez de tout le mat riel n cessaire Le CSA FSCO devrait si possible organiser une r union d information sp cifique au pays sur les mines l arriv e de l quipe UNDAC D terminez la proc dure suivre a
293. in d tre accessible Ne mentez pas assurez vous que les informations que vous donnez sont exactes Vous n avez pas besoin d adopter un point de vue universel ni de donner votre avis sur tous les sujets un journaliste Avant un entretien d cidez quels sont les sujets que vous pouvez et ceux que vous ne pouvez pas aborder et respectez cette ligne de conduite Utilisez humour pour d samorcer les situations conflictuelles Choisissez soigneusement vos mots car ils peuvent tre rapport s tels que vous les aurez prononc s Si vous savez qu une critique ou une controverse va tre publi e quoi qu il arrive exprimez votre point de vue Rappelez vous que le silence n est pas toujours d or La r p tition est essentielle la m morisation le public se souviendra de ce qu il a vu lu et entendu de mani re r p t e dans les m dias Une fois qu une histoire que vous n aimez pas est rendue publique il est g n ralement trop tard et inutile d essayer de la rectifier Utilisez si possible des sources d information objectives et officielles pour tayer vos d clarations aux journalistes N affirmez que ce que vous tes capable d tayer ou de prouver Essayez d anticiper les questions Si vous ne pouvez ou ne savez pas r pondre retournez voir le journaliste apr s l entretien afin de pouvoir donner une r ponse r fl chie vitez de critiquer le gouvernement ou l action des Nations Unies Inf
294. ines situations d urgence des agents de la CMcoord de l ONU peuvent tre d ploy s l appui du CR CH Ils conseillent les responsables de la communaut humanitaire sur des questions civilo militaires et permettent d tablir d entretenir et de suivre les relations n cessaires entre les acteurs humanitaires et militaires pr sents Selon la situation ils peuvent galement faire office de points de liaison issus de la communaut humanitaire en direction des forces arm es Id alement des agents de la Coordination civilo militaire de l ONU CMcoord doivent tre d ploy s aux c t s de l quipe UNDAC Le r le des forces arm es s est tendu au del des op rations d insurrection et de contre insurrection des missions vis es humanitaires Les forces et les alliances arm es sont devenues des intervenants actifs en mati re de r ponse internationale des situations de crise et les Gouvernements seront de plus en plus nombreux faire appel ces institutions disponibles rapidement L exp rience a montr que dans presque toutes les situations d urgence majeure un minimum de coordination civilo militaire est requis et que l absence de relations civilo militaires efficaces et appropri es peut avoir de graves cons quences tant dans les op rations courantes qu aux stades ult rieurs de la situation d urgence La coordination civilo militaire devrait dans une perspective humanitaire avoir pour objectif de promouvoir et de
295. ing c doc 14 07 2008 08 07 Situations d urgence complexes Les interventions lors de situations d urgence complexes sont bien souvent sensibles du point de vue politique et une collaboration troite avec les Nations Unies est imp rative Le d ploiement des quipes UNDAC dans ce contexte rel ve normalement des capacit s d intervention en cas d urgence du BCAH valuation Des valuations sectorielles approfondies sont en r gle g n rale effectu e par le gouvernement du pays touch les agences de l ONU ou des membres comp tents de PIASC Une quipe UNDAC peut avoir fournir un soutien technique au CR CH ou l quipe pays des Nations Unies Processus de transmission de l information et d appel Le syst me UNDAC n met pas d appel et la transmission d information ne se limite pas l aspect mat riel celle ci a pour objectif de fournir aux gouvernements et autres parties prenantes une vision globale de l ampleur de l urgence Tout appel des Nations Unies est g r par le CR CH et l quipe pays Participation des agences au syst me UNDAC Les agences de l IASC font leur possible pour mettre une partie de leur personnel disposition pour qu il soit form et affect au sein des quipes UNDAC Gouvernance Le syst me UNDAC est g r par le BCAH Un Conseil consultatif UNDAC est cr pour impliquer plus fortement les diff rents partenaires et conseiller PERC sur l volution du syst
296. internationales Zones couvertes non couvertes e Vue d ensemble des secteurs op rationnels Secteurs op rationnels secteurs non encore tablis Vue d ensemble de la coordination l int rieur des secteurs Cr ez de nouvelles rubriques pour chaque secteur op rationnel contenant des renseignements sp cifiques Identifier clairement l intervention nationale dans un secteur Aide fournie ou en cours pour chaque secteur e Intervention nationale Autres interventions nationales non couvertes dans la section du secteur e Intervention bilat rale Contributions mat rielles Contributions financi res e Autres Autres probl mes importants sans rapport avec les rubriques susmentionn es Joindre des tableaux r capitulatifs indiquant qui sont les fournisseurs d aide et quelle est l assistance apport e Conseils pour les rapports e Respectez la pr sentation tablissez des rapports r guliers et fr quents Ajoutez des photos et des tableaux Ne vous r p tez pas Pr sentez des faits pas des hypoth ses Citez vos sources Soyez concis Soyez objectif vitez d utiliser du jargon e Recherchez la simplicit Rappelez vous que le rapport de situation est lu dans de nombreux lieux o des informations provenant d un grand nombre d autres sources sont disponibles Malheureusement cela peut entra ner une surcharge d informations pour certains destinataires C est pourquoi la premi re rubrique inti
297. ion d urgence Selon l ampleur de la catastrophe ou de la situation d urgence et les ressources disponibles certaines composantes peuvent n cessiter plus d une personne tandis que plusieurs autres peuvent tre g r es simultan ment par une personne Gestionnaire de POSOCC Identifier un lieu ad quat en coop ration avec l autorit locale de gestion de la situation d urgence et en superviser la mise en place Assurer une troite coop ration avec l autorit locale de gestion de la situation d urgence durant toutes les phases de l op ration Veiller au fonctionnement g n ral de l OSOCC Assurer l efficacit des changes d information externes et internes comptes rendus calendrier des r unions documents distribuer etc Pr parer une strat gie de sortie et de transmission Fonctionnement de l OSOCC Identifier les capacit s les missions et la disponibilit des ressources internationales En coop ration avec l autorit locale de gestion de la situation d urgence planifier les valuations et prendre une d cision leur gard identifier et affecter les ressources internationales assurer le suivi des r sultats de la mission Assurer l utilisation la plus efficace des ressources internationales Peut tre compos des officiers de liaison des quipes internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain mais un facilitateur doit tre d sign pour assurer une coop ra
298. ion de la coordination et d termine le choix des priorit s R ponse bilat rale des donateurs En cas de catastrophe naturelle la r ponse des donateurs qu elle soit financi re ou en nature est en grande partie bilat rale elle lie le gouvernement donateur et le gouvernement du pays touch La coordination devient dans ce cas encore plus complexe et les personnes qui en sont responsables doivent fournir un effort suppl mentaire pour impliquer les organisations et les gouvernements donateurs dans le processus de coordination Ce d fi est de moindre importance dans le cas des situations d urgence complexes car les dons se font en g n ral de mani re multilat rale R le des militaires L utilisation de moyens militaires pour l aide humanitaire dans le cas d une situation d urgence complexe rel ve d une d cision politique qui n a par le pass pas toujours t possible dans certains pays notamment en Somalie En cas de catastrophe naturelle ce recours est beaucoup plus ais car il a moins d implications politiques C LE SYST ME D VALUATION ET DE COORDINATION DES NATIONS UNIES EN CAS DE CATASTROPHE UNDAC C 1 D finition C 1 1 D claration approuv e du Groupe de travail de l IASC sur le syst me UNDAC C 1 2 Exemples de ce que le syst me UNDAC peut faire ou ne pas faire C 2 Mandat type du syst me UNDAC approuv en novembre 2002 par PERC C 3 Cycle d une mission UNDAC C 1 D finition
299. ion des besoins et des points forts et points faibles de chacun Il est rare que la coordination r sulte du fait qu un seul groupe ou une seule organisation explique aux autres ce qu il faut faire ou comment travailler Il existe certes de tels exemples d une coordination dict e notamment quand les op rations de secours sont dirig es par un gouvernement national fort mais ils restent marginaux Ainsi la personne ou l organisation charg e de promouvoir et d assurer la coop ration travaille t elle dans un contexte o l autorit coordinatrice n a que peu voire pas de moyens de contraindre la coordination C est la raison pour laquelle les agences et les individus doivent voir la participation au processus de coordination comme une valeur ajout e dont les avantages d passent les co ts En effet la coordination un co t elle n cessite du temps et des ressources et peut obliger une organisation perdre de son importance au profit d une autre mettre un terme des op rations dans certaines zones relever des d fis pour lesquels le succ s n est par garanti ou r duire ses ambitions La coordination n est donc pas acquise d avance l organisation coordinatrice dans le cas pr sent le Bureau pour la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies BCAH doit concevoir un processus de coordination poss dant des caract ristiques pr cises Pour obtenir la meilleure coordina
300. ion est consacr aux activit s de secours dans les situations d urgence e L UNICEF a 126 bureaux nationaux et oeuvre dans 150 pays et territoires dans le monde entier e L UNICEF a de nombreux agents temps plein sp cialis s dans la gestion des situations d urgence bas s dans des bureaux r gionaux et au si ge et un certain nombre de bureaux nationaux strat giques ainsi que des points de contact temps partiel dans chaque division pour les situations d urgence e L UNICEF a la responsabilit au niveau de l organisation d assurer une r ponse efficace aux situations d urgence en termes de fournitures de personnel et d autres moyens Buts et objectifs Le but de l UNICEF dans des situations d urgence se d finit bri vement comme suit Dans des situations d urgence qui repr sentent un danger violent extr me et souvent soudain pour la survie la protection et les droits au d veloppement d enfants et de femmes et pour l int grit et la stabilit de la famille l UNICEF s emploie apporter protection et soins aux enfants et aux femmes victimes de ces situations et leur apporte aide de mani re impartiale sans discrimination et en fonction de leurs besoins Les objectifs fondamentaux sont les suivants e Pr venir l exposition des enfants aux risques en s attaquant aux causes profondes du conflit e Assurer la survie des enfants et des femmes les plus vuln rables notamment ceux qui sont d pl
301. ionales dans l attente d une r ponse de la communaut internationale des donateurs Le BCAH peut d bloquer jusqu 100 000 mis disposition par l interm diaire des services du CR CH En outre certains pays donateurs ont d pos l avance des fonds aupr s du BCAH et ont donn ces fonds hauteur du montant approuv pour des secours d urgence pour attribution sans accord pr alable de leur part K3 2 R ception des contributions des donateurs Le BCAH est pr t recevoir rapidement les contributions des donateurs en s appuyant sur des proc dures administratives simples et rapides Les contributions des donateurs en faveur des pays touch s sont g r es par le BCAH conform ment aux proc dures existantes dans le cadre d un sous compte sp cifique du Fonds des Nations Unies pour des secours d urgence en cas de catastrophe Les contributions obtenues par l interm diaire du BCAH serviront couvrir les besoins en aide d urgence identifi s en concertation troite avec le Gouvernement et l quipe des Nations Unies pour la Gestion des Catastrophes du pays concern EGC K 3 3 Le Fonds central d intervention d urgence CERF Le Fonds central d intervention d urgence CERF est un fonds d appoint cr par les Nations Unies pour permettre d apporter une aide humanitaire de mani re plus opportune et plus fiable aux victimes de catastrophes naturelles et de conflits arm s Le CERF a les objectifs suivants e Promouvoir
302. ir un puisement d la chaleur les coups de chaleur et les coups de soleil graves constituent autant de risques Un accroissement progressif de l activit et de l exposition quotidienne au soleil renforcera les d fenses condition de disposer d eau potable en abondance Conserver les parties humides du corps cavit s des aisselles aine et orteils propres et s ches afin de pr venir toute infection M me la plaie la plus anodine s infectera si elle n est pas soign e aussit t Retirez les pines le plus t t possible Lorsque la peau est endommag e une plaie importante et douloureuse peut se former ce qui risque d emp cher la marche Panser toutes les coupures avec des pansements propres et recourir tous les soins m dicaux disponibles Q 6 7 A viter en conduisant dans le d sert Ne pas rompre la continuit de la progression Ne pas acc l rer lorsque les roues ne sont plus en contact avec le sol Ne pas conduire inutilement en premi re Ne pas laisser le moteur surchauffer Ne pas freiner brusquement sur du sable mou mais laisser le v hicule s immobiliser Ne pas doubler sur des bandes sablonneuses Ne pas suivre les traces de v hicules sur des bandes sablonneuses Eviter les virages brusques en pr sence de sable mou Ne pas rouler trop pr s du v hicule qui pr c de Ne pas se porter la hauteur du v hicule de devant enlis au risque de s enliser soi m me Ne pas freiner
303. irables Recherchez galement les dangers potentiels l int rieur du site par exemple un mur qui risque de s effondrer Dans l environnement post catastrophe recherchez les sources de risques secondaires tels que les lignes lectriques a riennes les gazoducs les gros arbres ou les b timents instables Flux de trafic Comment les v hicules entrent ils et sortent ils du site Limitez les aires de virage et pensez aux poids lourds en particulier lors de l installation Flux de personnes Hormis les personnes r sidant sur le site quels visiteurs sont admis Essayez d am nager le site de sorte que les visiteurs puissent acc der la zone de travail de bureaux sans avoir traverser la zone de logement Tentes Pour les bureaux logements cuisines salles manger douches et salles de bain Estimez qu une tente mesure 10m x 8m certaines peuvent tre plus petites pr voyez un espace suppl mentaire de 1 50m 2m qui servira de coupe feu et de passage entre les tentes Les tentes pour la salle manger et la cuisine peuvent tre reli es afin d obtenir un espace de 20m x 8m Pr voyez de la place l arri re de la cuisine pour acc der au r frig rateur Zone herbeuse et plate Les tentes seront dress es sur le site avec des pr paratifs r duits la zone choisie devra donc tre la plus plate possible Les tentes peuvent tre mont es sur une aire en b ton mais cela risque de poser des probl
304. ire des Nations Unies UNICEF Fonds des Nations Unies pour la protection de l enfance UNJLC Centre logistique commun des Nations Unies UNOG Bureau des Nations Unies Gen ve USAR recherche et sauvetage en milieu urbain D partement de la traduction j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc 15 07 2008 10 07
305. is dans l herbe celle ci risque de se transformer rapidement en boue et des orni res peuvent se former Pr voyez environ 180m pour l quipement d charger avant la construction du camp Cette surface n inclut pas les v hicules La surface b tonn e peut tre utilis e pour stationner les v hicules une fois que la construction du camp est achev e si cela correspond aux normes de s curit Alimentation Elle sera livr e en grande quantit et remplira facilement un garage standard au dessus de l espace requis pour le d chargement Dans l id al on disposera d une zone s curis e pour mettre sous cl la nourriture et l eau de pr f rence de la taille d un garage pour deux voitures Autres consid rations La r union de coordination quotidienne rassemblera jusqu 100 personnes pr voyez un espace suffisant cet effet Pensez aux probl mes de chaleur et de pluie Il n est pas recommand d abriter 30 personnes sur le sol d une tente br lante sous une pluie diluvienne apr s avoir dit aux 60 70 autres qu il n y avait pas de place pour eux Le site peut disposer de gardes arm s peuvent ils s abriter du soleil et de la pluie Existe t il un plan d vacuation pour le site Dans quelles conditions et par qui le plan est il activ Vous devez conna tre la situation g ographique du camp Enregistrez le site dans le GPS et faites conna tre l adresse et les coordonn es GPS
306. is permettant de soigner les blessures traumatiques graves Ces soins n cessitent normalement la pr sence d un membre du personnel param dical d un infirmier ou d un m decin Au moins un des membres du personnel des Nations Unies doit tre form l utilisation de cet quipement Des plans d urgence sont n cessaires l obtention et l installation des quipements de communication et des quipements sp cialis s MOSS n cessaires la phase I Phase III T l communications Un centre de gestion op rationnel des crises est n cessaire Tous les v hicules doivent tre quip s de radios VHF et ou HF Les v hicules de terrain doivent tre quip s de t l phones par satellite selon les besoins Tout le personnel international et des membres s lectionn s du personnel national obligatoire pour les conducteurs doivent tre munis de radios VHF et ou HF Plan de s curit et personnel Des formations sp cialis es doivent tre dispens es des membres du personnel s lectionn s dans les domaines suivants e Kits trauma e quipement installations de protection e Utilisation des tenues de protection e Sensibilisation aux mines e Syst mes GPS Des formations continues sp cifiques chaque pays sur la s curit du personnel doivent tre programm es dans l ensemble du pays La SMT doit se r unir chaque semaine et l ASC doit former une SMT locale et
307. isseurs Eloigner ses v tements et ses chaussures du sol afin que des scorpions des serpents ou des araign es ne se glissent pas l int rieur Agiter ses v tements et inspecter ses chaussures avant de les enfiler faire attention en mettant les mains dans les poches Etre vigilant au r veil les mille pattes se nichent dans les parties du corps les plus intimes pour y trouver de la chaleur Se prot ger les aisselles et l aine contre les piq res d insectes attir s par la transpiration Sangsues Leur morsure est d sagr able mais indolore Si elles ne sont pas agress es elles s endorment lorsqu elles sont rassasi es Ne pas tenter de les arracher la t te pourrait se d tacher laissant les m choires dans la morsure qui risquerait de s infecter Retirer avec un peu de sel d alcool ou le bout d une cigarette allum e de la braise ou une flamme Danger dans les rivi res Les rivi res peuvent abriter des esp ces dangereuses telles que des piranhas des pastenagues et des anguilles lectriques Se m fier des alligators ou des crocodiles et prendre des pr cautions en manipulant le poisson chat qui poss de des nageoires et une pine dorsale tranchantes sur les opercules Q 5 5 D placements dans la jungle L observation au sol dans la jungle diff re en fonction de la nature de la v g tation Dans certains types de jungle la couverture foresti re est si paisse qu elle filtre presque toute la lumi re d
308. itaire disposera ainsi d un guichet unique o elle pourra se rendre naturellement pour y trouver les services et l information dont elle a besoin cela facilitera la mission de l quipe UNDAC D autres institutions des Nations Unies souhaiteront probablement tablir leurs propres bureaux proximit du centre le centre peut ainsi lors d une op ration de longue dur e se transformer en site des Nations Unies pour l ensemble des partenaires et ou institutions qui travaillent au m me endroit Cela facilite consid rablement le travail de coordination en rendant plus ais es les relations entre les uns et les autres et en multipliant les possibilit s de rencontres informelles Coordination par secteur humanitaire Durant les premiers jours d une situation d urgence le travail des secours se caract rise souvent par la d sorganisation les doubles emplois et l absence de vue d ensemble Le mandat implicite de l quipe UNDAC est de cr er des structures pour l viter Pour cela il est possible de diviser la r gion en secteurs logiques d action humanitaire et d organiser les organisations de secours par secteur selon les modalit s arr t es en 2005 par le Comit permanent interorganisations Pour plus de d tails voir aussi le chapitre B 5 3 Les modalit s sp cifiques de la coordination par secteur lors d une catastrophe naturelle donn e doivent tre arr t es au niveau du si ge et l quipe UNDAC
309. ivis en petites sommes conserv es dans des endroits s par s Vous devez n anmoins garder sur vous une somme suffisante pour pouvoir payer des services vari s N organisez pas vos journ es de mani re routini re ce qui permettrait des agresseurs potentiels d laborer plus facilement des plans contre vous A la base UNDAC sur les lieux d habitation dans les h tels etc rep rez les issues de secours potentielles pour les cas d attaque ou d incendie Comptez les fen tres de chaque pi ce et notez leur localisation les issues les plus accessibles les meilleurs endroits pour s abriter etc Prenez connaissance du plan de disposition des escaliers de secours ou tablissez en un vous m me Ces pr cautions doivent devenir des automatismes Si vous quittez la base assurez vous que quelqu un de pr f rence le chef d quipe ou un membre nomm par celui ci pour coordonner la s curit sait o vous tes combien de temps doit durer votre d placement et quelle est l heure pr vue de votre retour Si vous circulez r guli rement entre deux points fixes par exemple entre le lieu d habitation et la base essayez de ne pas circuler la m me heure chaque jour et de changer d itin raire Lorsque vous vous trouvez hors de la base UNDAC restez toujours avec un autre membre de l quipe dans la mesure du possible Avant d aller sur le terrain interrogez les personnes qui viennent de se rendre au m me en
310. jug es utiles Les crit res de base doivent tre que les ressources de d fense civile et ou militaire sont n cessaires en raison de l urgence ou de l ampleur de la catastrophe ou parce que l quipement ou les comp tences sp cifiques requis n existent pas ailleurs Une demande faite au BCAH par l UNDAC par l interm diaire du CR CH doit indiquer e La mission accomplir de la fa on la plus d taill e possible e Indication et justification de l urgence e La raison pour laquelle la mission ne peut tre accomplie au moyen de ressources civiles e Le point de contact responsable qui recevra les RMPC demand es Dans le cas o des RMPC sont utilis es grande chelle pour une situation de crise la CMCS peut devoir envoyer un membre du personnel ou une personne form e la coordination civilo militaire CMcoord pour aider la liaison entre les m canismes civils et militaires de coordination de la r ponse en cas de catastrophe Si ni le personnel de la CMcoord ni celui de la CMCS ne sont d ploy s il appartient au demandeur l quipe UNDAC ou le CR CH de veiller ce que les RMPC soient r ceptionn es et dirig es sur le site de leur utilisation Pour plus de renseignements sur la CMcoord voir galement chapitre L Coordination civilo militaire L COORDINATION CIVILO MILITAIRE DE L ONU CMcoord L 1 Introduction L 2 Evaluer l environnement civilo militaire L 3 Liste de contr le UNDAC Cmcoord L 4 R le des agent
311. l administratif Cependant si l espace disponible n est pas suffisant la base peut tre tablie dans l h tel dans lequel s journe l quipe UNDAC ou dans les bureaux gouvernementaux concern s I 5 2 Premi res r unions et r unions suivantes L quipe UNDAC au complet doit d abord rencontrer le CR CH pour s assurer qu elle comprend l environnement politique dans lequel elle va travailler Elle doit ensuite rencontrer l autorit nationale de gestion des catastrophes afin de comprendre son point de vue Puis l quipe UNDAC peut se disperser en groupes plus r duits L quipe UNDAC doit s assurer qu elle rencontre toutes les agences des Nations Unies du pays de pr f rence par le biais du CR CH qui convoque une r union avec l quipe pays des Nations Unies tous les d partements minist riels et institutions qui jouent un r le dans la gestion nationale des catastrophes tous les services d urgence les Soci t s nationales de la Croix Rouge et du Croissant Rouge les ONG principales et les donateurs en particulier celles dont les projets concernent la gestion des catastrophes Il est utile de rencontrer la Banque mondiale et certaines banques r gionales de d veloppement ainsi que les repr sentants du secteur priv s il reste suffisamment de temps Il est vident que tous les membres UNDAC n assisteront pas toutes les r unions mais seulement celles qui correspondent leur domaine de r
312. l et de traiter les aspects politiques et militaires de son travail Le bureau de Gen ve permet au BCAH d tre proche des organismes d ex cution de l ONU et donc d accro tre son efficacit en mati re de coordination de la r ponse de terrain en cas de catastrophe naturelle et de situation d urgence complexe La coordination et la planification des politiques et l alerte rapide sont du ressort de New York tandis que Gen ve sert de point de contact pour l aide op rationnelle d urgence et la coordination de la r ponse en cas de catastrophe La r ponse du BCAH est adapt e au type et l ampleur d une situation d urgence sous tous les aspects allant de l mission de bulletins d information quand aucun appel n a t re u du pays touch jusqu l implication int grale par l envoi d quipes d valuation et de coordination la zone touch e l articulation d actions de secours le lancement d appels conjoints des Nations Unies etc en passant par la publication de Rapports de Situation quand un appel international a t re u en provenance du pays touch Moyens Outre du personnel du BCAH des moyens humains techniques et logistiques sont fournis par les Conseils aux R fugi s danois et norv gien l agence danoise de gestion des situations d urgence l Agence su doise des Services de Secours et l quipe du Service des Conflits et des Affaires humanitaires du Minist re du D veloppement international du Royaume Un
313. la communication ou le Porte parole Aucun membre du personnel ne doit pr tendre s exprimer au nom du Secr taire g n ral ni encore d crire ses opinions sans son consentement explicite Partager l information 9 Pour communiquer efficacement avec le monde ext rieur les Nations Unies doivent tablir un syst me de communication interne performant Les hauts responsables doivent diffuser l information aupr s des membres qui travaillent sous leur direction et se tenir mutuellement inform s de leurs activit s m diatiques R gles de base 10 Tous les repr sentants des Nations Unies doivent normalement s adresser aux journalistes de mani re officielle du moins pour les allocutions qui vont leur tre attribu es Parfois cependant les repr sentants sp cifiquement mandat s pour traiter les sujets sensibles peuvent donner un journaliste une interpr tation plus approfondie d un probl me en s exprimant sur le mode de l attribution indirecte Cependant il est tr s important que le journaliste sache sur quel mode la conversation est men e Officiel Tout ce que je dis peut m tre attribu en mon nom propre Attribution indirecte Ne citez pas ces propos en mon nom propre attribuez les un repr sentant des Nations Unies sans pr ciser mon nom Sans attribution Utilisez mes id es mais pas mes propos ne les attribuez personne 11 Informez le Porte parole du Secr taire g
314. la complexit de la catastrophe Au fur et mesure que l OSOCC s engagera totalement dans la coordination son r le et ses actions risquent de se d velopper pour r pondre aux besoins de la situation ou aux exigences des autorit s et ou des Nations Unies En certaines occasions il est possible que l OSOCC doive se d velopper dans un ou plusieurs domaines sp cifiques dans le cadre de ses responsabilit s fonctionnelles ou structurelles afin de r pondre des demandes op rationnelles compl mentaires manant des autorit s du CR CH et ou des ressources internationales pr sentes sur le site L OSOCC avec ces autres intervenants labore un plan d action op rationnel actualise ses moyens de communication et ses valuations et instaure des syst mes et des proc dures l appui d un engagement prolong Pour r pondre ces besoins sp cifiques l OSOCC aura besoin de ressources suppl mentaires et de personnel sp cialis charg de g rer les imp ratifs propres la situation d urgence Il peut s agir d une r ponse sectorielle apporter par exemple en termes de besoins m dicaux d assainissement et d h bergement d urgence ou du renforcement de l appui en termes de logistique ou de communications dans le cadre d une op ration d urgence Le d veloppement des fonctions de l OSOCC doit s inscrire dans la structure de base de mani re ne pas bouleverser ses proc dures op rationnelles g n
315. la mission ainsi que sur le bureau ou l quipe du BCAH qui g re la situation d urgence au si ge et un ventuel soutien du Partenariat humanitaire international Communications Instructions sur les modalit s de comptes rendus entre l quipe UNDAC et le BCAH pour le Coordonnateur des secours d urgence ainsi qu entre les quipes UNDAC sur le terrain et le CR CH dans la capitale Le premier rapport au BCAH doit toujours tre envoy d s que possible apr s l arriv e dans le pays touch Par la suite l quipe doit envoyer des rapports r guliers sur la situation Si l quipe utilise un quipement de communications radio THF ou HF ce chapitre doit galement comporter les fr quences utiliser les diff rents indicatifs d appel les heures de contact entre la base et les quipes sur le terrain et le cas ch ant les restrictions aux communications pour des raisons de s curit Cf galement chapitre F Gestion de l information S ret et s curit Informations sur la s ret et la s curit dans le pays touch et sur le site de la catastrophe Ce chapitre doit galement comprendre des instructions pour les d placements de l quipe syst me de surveillance mutuelle les rapports et l identification Pour davantage de pr cisions cf chapitre N S ret et s curit Relations avec les m dias internationaux et locaux Dans le contexte actuel de la couverture instantan e d
316. lace et faire fonctionner un accueil G rer le tableau de service de l OSOCC Informatique Communications de l OSOCC Mettre en place et entretenir les communications ext rieures de l OSOCC dans la r gion touch e par exemple avec l autorit locale de gestion de la situation d urgence le CR CH et les intervenants internationaux tels que le BCAH et le r seau virtuel du Centre local de coordination des op rations Mettre en place et entretenir les communications internes de POSOCC Aider l administration de l OSOCC configurer le logiciel de la mission de PUNDAC et la sauvegarde des documents lectroniques Soutien de l OSOCC Bien souvent un soutien est n cessaire sous la forme de ressources humaines et techniques pour que l OSOCC fonctionne efficacement Lorsqu elles sont n cessaires ces ressources doivent dans la mesure du possible tre fournies par des ressources ext rieures l OSOCC fournies par des partenaires cf chapitre D 7 1 Partenariat humanitaire international sous la forme d un module d appui dot de l quipement n cessaire Les principaux domaines de soutien sont l informatique les t l communications le transport et le logement Plusieurs des personnes d ploy es comme personnel d appui de l UNDAC ont une longue exp rience des d ploiements de l UNDAC lors de catastrophes pr c dentes Ces personnes doivent tre int gr es dans l quipe et peuvent bien sou
317. le menton pour lib rer les voies a riennes 3 Subluxation mandibulaire Si vous suspectez une blessure au cou une subluxation mandibulaire sans inclinaison de la t te peut tre pratiqu e Vous devez placer vos mains de chaque c t du visage de la victime mettre vos pouces sur les pommettes sans appuyer et tirer la m choire en avant avec vos index V rifiez nouveau la pr sence de corps trangers dans la bouche Si vous en trouvez effectuez un balayage du doigt pour les d gager 4 V rifiez nouveau la respiration Mettez votre oreille juste au dessus de la bouche de la victime pour couter et sentir l air expir Observez la poitrine de la D partement de la traduction ses j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 13 victime pour voir si elle monte et descend 5 Bouche bouche Placez vous dans la bonne inclinaison par rapport l paule de la victime Utilisez la man uvre d inclinaison de la t te l vation du menton et pincez le nez de la victime en utilisant le pouce et l index Appliquez votre bouche largement ouverte sur celle de la victime en l englobant enti rement Soufflez jusqu ce que la poitrine de la victime se soul ve Reprenez votre souffle et recommencez V rifiez que la poitrine de la victime se soul ve lorsque vous soufflez Si l estomac gonfle l air va dans l estomac et non dans les poumon
318. le radio Nations Unies responsable de la mise en place et de la gestion du r seau met les signaux d appel Un signal d appel comprend deux lettres et un ou deux chiffres indiquant la localisation du r seau l agence et la position dans l agence La premi re lettre indique la localisation du r seau C est la premi re lettre du nom de la localit qui est g n ralement utilis e Si cette lettre est d j utilis e par un autre r seau dans le pays c est la derni re lettre qui est choisie Et ainsi de suite jusqu ce qu une lettre disponible soit trouv e dans le nom de la localit Par exemple le r seau op rant au Pakistan utiliserait Mike pour Multan Delta pour Muzaffarabad et November pour Manshera sales j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing r doc 15 07 2008 09 07 La seconde lettre indique l agence Lettre Organisation NU Fonction Alpha FAO Agriculture Bravo Banque mondiale FMI Banque Charlie UNICEF Enfants Delta PNUD D veloppement Echo UNESCO Education Foxtrot PAM Alimentation Golf Hotel OMS Sant India Juliet Kilo Lima UNJLC Mike OIM Migration Novembre FNUAP Oscar BCAH UNDAC Papa UNOPS Projets Lettre Organisation NU Fonction Quebec EGC Romeo HCR R fugi s Sierra DSS des NU S curit Tango UN HABITAT Uniform Secr tariat NU Bureau des
319. le stress cumulatif et d viter l puisement Il est normal de subir un stress cumulatif au cours d une op ration d urgence et la plupart des r actions au stress sont consid r es comme des comportements normaux Le stress cumulatif peut tre identifi et g r Voici quelques moyens de r duire le stress cumulatif lors d une op ration d urgence e Ayez conscience de vos limites sachez g rer vos attentes et acceptez la situation Reposez vous d tendez vous dormez et faites de l exercice Mangez heures fixes Changez de t ches et de fonctions Identifiez la source de votre stress et agissez sur elle Prenez des jours de repos Cr ez un espace personnel semi priv Contr lez l abus de substances psychoactives Parlez riez pleurez avec vos coll gues Priez m ditez ou pratiquez la relaxation progressive Faites vous plaisir faites des achats lisez chantez dansez crivez coutez ou jouez de la musique adonnez vous un loisir allez au sauna faites la cuisine e Participez une vie sociale hors du travail D partement de la traduction ie j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 10 O 4 2 Stress traumatique Causes de stress traumatique Le stress traumatique peut tre li des incidents traumatiques qui ne font pas partie des exp riences normales Par exemple e Assister des accidents et des destruction
320. les aliments et les logements voire les personnes elles m mes Il faut savoir que de nombreux facteurs repr sentent des contraintes pour la logistique les infrastructures logistiques pr existantes la situation politique le nombre m me des intervenants humanitaires les dommages caus s par la catastrophe et parfois l environnement s curitaire P 2 Vue d ensemble de la logistique Logistique d urgence La logistique d urgence constitue une mise en pratique des syst mes et requiert e La livraison des approvisionnements appropri s dans de bonnes conditions l endroit et au moment voulus e Une vaste gamme de moyens de transport souvent improvis s au niveau local Des livraisons limit es rapides et sp cifiques provenant d un lieu situ hors de la Zone Une hi rarchisation des divers produits import s pour l aide humanitaire Le stockage l affectation et le transfert des biens Le d placement des populations La coordination et la hi rarchisation des moyens de transport utilis s dont le nombre est souvent limit et qui doivent tre partag s par plusieurs organisations e L ventuelle implication de l arm e dans le soutien logistique surtout en cas de conflit civil e Les principaux facteurs de l environnement op rationnel qui influencent l intervention humanitaire sont les suivants e La capacit des infrastructures e La disponibilit et la quantit des moyens d
321. les positions relatives voluent Si la glace c de et si l on est projet vers un autre banc de glace sauter d un point et vers un point situ au moins 60 cm du bord e Observer les oiseaux au d gel le gibier plume se dirige vers la terre ferme les oiseaux marins s envolent vers la mer la journ e et reviennent la nuit e Les nuages surplombant des tendues d eau libre des sols d bois s ou d pourvus de neige semblent sombres vus d en bas et blancs au dessus de glaces marines et de champs de neige Une glace nouvelle met des reflets gris s des reflets mouchet s indiquent une banquise ou de la neige flottante e Suivre les rivi res et se diriger vers l aval en radeau ou sur la glace sauf en Sib rie septentrionale o les rivi res s coulent vers le nord Sur les rivi res gel es rester pr s des rives et de la courbe ext rieure dans les virages Lorsque les rivi res se rejoignent suivre le bord ext rieur ou se diriger vers la rive ext rieure Si la rivi re est tr s sinueuse se diriger vers la terre ferme e Une eau glac e est mortelle Faire une chute dans de l eau glac e coupe la respiration Le corps perd son contr le musculaire la conscience diminue et la mort s ensuit dans les 15 ou 20 minutes Bien r fl chir avant d agir Pour se porter au secours d un coll gue lorsque la glace a c d sous ses pas utiliser une corde A d faut de corde utiliser un long b ton Ne pas essaye
322. lesquelles ces valuations et ces rapports de situation doivent tre r alis s doivent tre expos es en d tails dans chaque Plan d urgence r fugi s du Bureau local Tant que le statut de r fugi de personnes ou de groupes se pr sentant comme tels n a pas t tabli par l Etat partie ou la Convention de 1951 et ou le Protocole de 1967 ils sont consid r s comme demandeurs d asile et ont droit la protection du HCR Il appartient au HCR d accorder protection ces personnes que le Gouvernement du pays dans lequel ils demandent asile ait pr sent ou non une demande officielle en vue de l intervention du Bureau Le Haut Commissaire a le droit d offrir sa protection de sa propre initiative Toutefois l aide mat rielle n est fournie que sur demande officielle Les R solutions adopt es par l Assembl e g n rale et le Conseil conomique et social ECOSOC ont dans certains cas charg le Haut Commissaire de s occuper de personnes d plac es souvent dans le cadre d actions humanitaires des Nations Unies pour lesquelles le bureau peut apporter une expertise particuli re Le Haut Commissaire peut participer de telles actions avec d autres agences des Nations Unies selon les besoins l invitation du Secr taire G n ral de l assembl e g n rale M 2 5 Fonds des Nations Unies pour la protection de l enfance UNICEF Quelques faits propos de l UNICEF et les situations d urgence e Environ 40 du budget de l organisat
323. limatiques n cessit de r sistance la pluie au vent au soleil au froid Etat de l h bergement existant Description pourcentage d h bergements inadapt s en fonction des besoins cf ci dessus Raisons de l inadaptation par exemple d g ts caus s par un s isme h bergement temporaire etc Personnes ne disposant pas d h bergement Nombre de personnes foyers ne disposant pas d un h bergement adapt Articles m nagers de base Part de la population touch e ne disposant pas des produits de base Combustible Les gens ont ils acc s du combustible pour la cuisson et le chauffage D o vient ce combustible L extraction du combustible est elle dommageable pour l environnement Sant Sources d information e Minist re de la Sant Cliniques locales Travailleurs m dico sociaux Population f minine des communaut s Guide SPHERE Organisations humanitaires nationales et internationales Domaine Informations de r f rence Niveau de destruction des services de sant Etat des soins m dicaux installations quipements traitements fournitures vaccins personnel Blessures Type de blessures l tales et non l tales Infections et autres blessures li es la catastrophe Les quipements subsistant dans la zone de la catastrophe peuvent ils permettre de faire face au nombre de personnes bless es Des dispositions ont elles t prises ou sont elles
324. llet ils doivent tre porteurs des documents suivants passeport national certification de l ONU attestation de voyage cf ci apr s certificat international de vaccination Cf galement D 2 1 Une attestation de voyage sera envoy e par t l copie ou par courriel tous les membres de la mission en m me temps que le message d envoi de l UNDAC pr cisant que la personne en question voyage dans le cadre d une mission de secours de PONU et que les visas s ils sont n cessaires seront d livr s l arriv e par le repr sentant local des Nations Unies Cette attestation demande galement l assistance pour faciliter le voyage du membre de l quipe Aspects financiers Lors des missions de l UNDAC l indemnit journali re de subsistance pour tous les membres de l quipe qui ne partent pas du si ge du BCAH est vers e par l interm diaire du bureau local du Programme des Nations Unies pour le D veloppement ou transport e par le chef d quipe sous la forme de ch ques de voyage qui seront remis au point de regroupement Outre l indemnit journali re de subsistance 1l est galement conseill tous les membres de l quipe d avoir sur eux des esp ces en petites coupures dans une limite acceptable d termin es par l int ress pour des raisons de s curit dans une monnaie acceptable dans le pays concern dollars US habituellement ou autres grandes devises internationales Les membr
325. loyer et g rer ces ressources pour la cr ation d un Centre de Coordination et d autres services communs K 3 8 Urgences environnementales Le BCAH peut galement tre appel aider les pays g rer les aspects environnementaux des situations d urgence notamment les accidents industriels non couverts par les accords existants En particulier selon les circonstances le Programme des Nations Unies pour l Environnement PNUE l Unit du BCAH pour les Urgences environnementales e Servira d interm diaire pour faciliter les liens directs et rapides entre les correspondants dans les pays demandeurs et les fournisseurs d expertise et d quipement et si n cessaire contribuera aux modalit s pratiques de l assistance e Servira de centre d change d informations pour permettre d acc der rapidement aux organismes nationaux existants et aux sources d information et de conseil internationales sur l intervention n cessaire e Facilitera l valuation initiale et ou l analyse post catastrophe en tablissant des contacts entre les pays demandeurs et les experts d sign s ou les organismes internationaux et en organisant des missions d valuation sur demande Pour de plus amples informations voir aussi chapitre J Urgences environnementales K 3 9 Registre central des capacit s de gestion des catastrophes La r solution de l AG des Nations Unies 46 182 charge l ONU de cr er un registre central de l ensemble du personnel sp c
326. lvants hydrocarbures halog n s acides alcalis m taux Inflammables toxiques et corrosifs Appr tage Acides cyanures m taux Corrosifs toxiques inflammables Bases militaires Hydrocarbures explosifs acides Inflammables explosifs et corrosifs Centrale nucl aire Combustible nucl aire Radioactif combustible non irradi et puis Peinture et pigments Solvants plomb dioxyde de Inflammables titane m taux Pesticides Ammoniac solvants t trachlorure de carbone cyanure d hydrog ne mercure acides phosg ne Hautement toxiques corrosifs Raffineries de p trole ol oducs r servoirs de Hydrocarbures de p trole sulfure d hydrog ne m taux Inflammables toxiques corrosifs inflammables stockage diph nyle polychlor PCB spontan ment acides et alcalis Produits pharmaceutiques Solvants Inflammables Plastiques polym res gomme r sines et Hydrocarbures hydrocarbures halog n s acrylonitrile Inflammables toxiques et corrosifs lastom res styr ne ac tate de vinyle chlorure de vinyle poxydes silicones Imprimeries Solvants alcalis Inflammables corrosifs Usines de p te et de papier Acides et alcalis chlore Corrosifs oxydants Carri res et sites miniers Carburants explosifs m taux nitrate d ammonium Inflammables explosifs toxiques Produits d assainissement et d
327. m diat Ces quelques situations peuvent tre trait es par quiconque ayant des notions de base pour les premiers soins et une approche rationnelle Restez calme et vigilant La panique risque de causer ou de contribuer une r action de choc chez la victime et peut galement entra ner des r actions irrationnelles chez les autres personnes Face une urgence m dicale vous devez d abord d terminer si vous tes ou non capable de porter assistance la victime de mani re efficace et s re Ne la d placez pas sauf s il en va de sa ou de votre s curit Une fois que vous tes certain de ne pas tre en danger et d avoir plac la victime dans un lieu relativement s r allez chercher de l aide si vous en tes capable Avertissement Les liquides biologiques du patient peuvent pr senter un danger pour la personne qui dispense les premiers soins Ceux ci comprennent le sang le mucus l urine et autres s cr tions Prenez les dispositions n cessaires pour vous prot ger avant de tenter de soigner le patient Utilisez des gants chirurgicaux si vous en avez Il est galement recommand d utiliser un dispositif de protection pour la r animation cardio pulmonaire RCP si vous pratiquez le bouche bouche Un masque facial permettra galement de r duire les risques d infection pour le sauveteur D partement de la traduction ss j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for pri
328. manque de rigueur peut entra ner une perte de marchandises la structure ayant t construite avec des moyens improvis s Il est donc important si vous faites partie des premiers tre sur place d viter de mettre en place une structure mal organis e ou si vous arrivez plus tard d organiser l op ration de mani re plus ferme et plus responsable Distribution La distribution aux individuels et aux familles est une op ration tr s diff rente du reste de la cha ne logistique elle est de plus l origine des plus gros probl mes de d tournement de l aide humanitaire L efficacit de la distribution d pend du choix et de l identification des b n ficiaires Les personnes charg es de cette t che doivent toujours prendre en compte sa complexit et les aspects extr mement politiques qu elle comporte Les organisations charg es de la distribution doivent avoir une exp rience consid rable dans ce domaine et tre ind pendantes politiquement La distribution finale est souvent effectu e par les autorit s D partement de la traduction Te j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing p doc 15 07 2008 08 07 nationales ou des ONG Autorit s nationales Comme pour d autres aspects du travail humanitaire une troite relation avec les autorit s nationales est indispensable pour mener bien les op rations logistiques Les l ments suivants se sont r v l
329. me UNDAC Les gouvernements et les agences de l IASC y participant sont invit s rejoindre le conseil qui est pr sid par le BCAH Le BCAH informe r guli rement le Groupe de travail de l IASC du fonctionnement du syst me UNDAC et consulte le Groupe pour toute proposition d action importante C 1 2 Exemples de ce que le syst me UNDAC peut faire ou ne pas faire Exemples de ce que le syst me UNDAC peut faire pour aider le CR CH en cas de catastrophe e Soutenir et faciliter le travail du CR CH de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes EGC et ou de l quipe pays de l IASC en mati re de coordination de l aide internationale e Informer le CR CH de l volution de la situation d urgence et fournir toute autre information pouvant tre contenue dans les rapports de situation sur le terrain et ceux du BCAH rapports qui seront distribu s aux organisations de secours et la communaut internationale e Soutenir l EGC et ou l quipe pays de l IASC dans la coordination des diff rentes valuations de la situation d urgence et dans l analyse des besoins en aide e Favoriser une gestion et une communication coordonn es de l information sur l intervention humanitaire internationale au nom du syst me des Nations Unies dans le pays D partement de la traduction j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 08 07
330. meriez le voir pr sent Soyez explicite et pr cis et v rifiez deux fois les chiffres Pensez citer vos sources lorsque vous pr sentez des chiffres Essayez d anticiper les ventuelles questions des donateurs et r pondez y dans le rapport Ne r p tez pas des informations qui ont d j t envoy es si une rubrique sp cifique ne comporte aucune information nouvelle d clarez le clairement vitez les termes et les expressions vagues et ambigus Une affirmation telle que 5 000 personnes sont touch es n explique pas de quelle mani re elles sont touch es ni dans quelle mesure ni ce qui a d j t fait ni le nombre total de personnes se trouvant dans la zone L expression 5 000 maisons endommag es apporte peu d information Le dommage peut tre minimal partiel ou total Utilisez les lignes directrices donn es dans la liste de contr le pour l valuation voir chapitre G valuation des catastrophes Lorsque vous tablissez un compte rendu des dommages et des besoins estim s sp cifiez votre source d information Relisez le texte final avant de l envoyer et demandez une autre personne de le relire F 2 4 Pr sentation des rapports de situation UNDAC Pr sentation La pr sentation du rapport de situation UNDAC d taill e ci dessous doit tre suivie en utilisant les parties utiles pour chaque mission Le rapport de situation UNDAC doit comprendre tous les points mentionn s ci d
331. mi re semaine de mission sont g n ralement de type exploratoire tandis que les visites de terrain de la deuxi me semaine sont des visites de confirmation puisque ce stade une importante quantit d informations doit avoir t obtenue L quipe doit essayer d effectuer la derni re visite de terrain au moins deux jours avant de pr senter le rapport de mission afin de pouvoir incorporer toutes les informations dans le rapport Toutes les visites de terrain doivent tre effectu es conform ment aux r gles de s curit existant dans le pays Des informations sur les conditions et les phases de s curit actuelles sont fournies la mission avant son d part par la FCSS en collaboration avec le D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies le DSS des Nations Unies et le CR CH I 5 4 Gestion de l information D s le d but des directives simples doivent tre tablies pour faciliter la collecte de l information en vitant des positions rigides Un format simple pour la gestion des donn es doit tre tabli et respect par tous les membres et contenir les informations suivantes e R union et calendrier des entretiens principaux Date heure lieu agence personnes rencontr es dont le meilleur point de contact qui s adresser pour obtenir des donn es suppl mentaires ou d autres renseignements utiles Probl mes principaux identifi s lors d une visite d agence Observations g
332. mi res valuations effectu es par l quipe UNDAC porteront donc principalement sur les lieux o sont n cessaires la recherche et le sauvetage leur port e et leur dur e voir galement le Chapitre H Recherche et sauvetage en milieu urbain Dans le cas d un s isme la possibilit de r pliques pouvant causer des d g ts est une menace persistante En vue de pr parer l intervention de l UNDAC et celle des quipes de secours internationales il convient d valuer la s curit et la s ret qui constituent des facteurs importants H bergement L h bergement d urgence peut tre une priorit lors de la premi re phase d une catastrophe Toutefois la reconstruction doit tre favoris e le plus t t possible voir les normes du projet SPHERE concernant les appareils m nagers l habillement et l habitat Les contributions financi res pour effectuer des achats l chelle locale ou r gionale de fournitures traditionnelles pour l habitat dans des h bergements d urgence sont souvent pr f rables aux contributions en nature l achat de tentes de mat riels pour logements pr fabriqu s ou d autres solutions inadapt es au contexte local Dans la mesure du possible le mat riel fourni doit pouvoir tre r utilis plus tard pendant la reconstruction Il convient d utiliser au maximum le mat riel qui peut tre r cup r des constructions ayant subi des d g ts La pose de toitures est prioritaire
333. mmuns et un centre de gestion des crises dans la capitale et sur chacun des sites ext rieurs la capitale Ces installations n ont pas besoin de fonctionner 24h 24 mais elles doivent tre efficaces Plan de s curit et personnel Des proc dures d habilitation de s curit conformes au FSH doivent tre tablies et mises en uvre Elles comprennent des proc dures d autorisation de voyager sp cifiques chaque pays Les SMT doivent se r unir au moins une fois par mois Un plan d urgence pour la mobilisation des quipements n cessaires en pr vision de la phase II et des phases suivantes doit tre mis en place Des directives sont donn es tout le personnel concernant les dispositifs de s curit et le plan de s curit des Nations Unies Tous les membres du personnel doivent pr parer des paquetages individuels d urgence Les sacs ont une contenance maximale de 15 kg et sont con us pour une r installation ou une vacuation rapide Ils contiennent uniquement des objets indispensables et des documents d identification En Phase I le DO doit conna tre la localisation de chaque membre du personnel des Nations Unies tout moment Un syst me efficace et fiable est n cessaire pour contr ler leur localisation De plus tous les v hicules doivent disposer de moyens de communication efficaces et fiables On peut utiliser un syst me de t l phonie mobile dont la fiabilit est av r e et qui poss d
334. moment d avoir des r unions de coordination avec de longues discussions et des d cisions prises par consensus L quipe UNDAC peut vouloir assumer un type de direction et d autorit plus ferme que dans les autres phases du travail de secours dans les situations de catastrophe Dans les situations op rationnelles de ce type les quipes internationales ont besoin d orientations et de t ches claires et pr cises Organisation des valuations USAR Les valuations USAR doivent tre organis es par l quipe UNDAC en coop ration avec la LEMA et les quipes USAR et se concentrer sur e La situation g n rale e L intervention e L tendue de la zone affect e e Le type de b timents effondr s e Les mati res dangereuses e Les risques secondaires e Les dispositions logistiques e La pr sence d quipements et de mat riaux lourds dans la r gion pouvant tre utilis s par exemple des bulldozers des excavatrices du bois pour l taiement etc En ce qui concerne la planification des interventions et la dotation en personnel de POSOCC les quipes USAR doivent tre utilis es pour valuer la situation les priorit s et les besoins d une intervention USAR Les quipes USAR doivent tre encourag es effectuer les op rations d valuation en m me temps que les interventions dans leur zone d attribution Leurs observations doivent tre rapport es l quipe UNDAC pour le trai
335. mples Mati res dangereuses pour l environnement d chets toxiques K Ressources d aide du BCAH K 1 Introduction K 2 Ressources humaines K 3 Services fournis par le BCAH K 3 1 Aide d urgence K 3 2 R ception des contributions des donateurs K 3 3 Le Fonds central d intervention d urgence CERF K 3 4 Entrep t de mat riel de premi re n cessit K 3 5 Equipes internationales de Recherche et de Sauvetage en Milieu Urbain USAR K 3 6 T l communications d urgence K 3 7 Ressources techniques et logistiques K 3 8 Urgences environnementales K 3 9 Registre central des capacit s de gestion des catastrophes K 3 10 Ressources militaires et de la Protection civile RMPC K 1 Introduction Plusieurs instruments pr sents au Bureau de la coordination des affaires humanitaires BCAH peuvent tre utiles en cas de catastrophe et servir de compl ment d aide une quipe UNDAC des Nations Unies pour l valuation et la coordination en cas de catastrophe Le pr sent chapitre expose en quoi consiste le syst me de r action du BCAH et ce que ces ressources peuvent fournir L aide fournie par le Partenariat Humanitaire International IHP figure au chapitre D Mobilisation et Mission K 2 Ressources humaines Le BCAH dispose d un r seau de r dacteurs et d agents de permanence New York et Gen ve Les r dacteurs ont pour mission de rassembler l information et d organiser la r ponse du BCAH une situation d urgence donn e et ils s
336. munication entre membres de familles qui ont t s par s ainsi que retrouver des prisonniers et leur rendre visite prisonniers de guerre ou d tenus de s curit Le CICR coop re avec les Soci t s nationales mais remplit ses propres fonctions et monte habituellement ses propres op rations s par ment Il tablit ses propres bureaux d l gations ou sous d l gations et affecte son propre personnel soit des d l gu s suisses du CICR ou des d l gu s d autres soci t s nationales il y a toujours des d l gu s suisses du CICR dans toute d l gation et habituellement ils y exercent des fonctions cl Des quipes m dicales d autres soci t s nationales peuvent tre affect es sur le terrain sous l gide et les ordres du CICR Le CICR collecte des fonds au moyen d appels internationaux M 4 Organisations non gouvernementales ONG Au sens du pr sent manuel une organisation non gouvernementale ONG est une organisation qui travaille un titre quelconque dans le domaine de l aide humanitaire Les ONG peuvent se diviser en deux cat gories principales savoir les ONG internationales par ex celles qui oeuvrent sur le terrain international m me si elles ne sont pas des organisations internationales au sens strict du terme et les ONG locales c est dire celles qui travaillent l int rieur de leur propre pays Les ONG sont en principe autonomes et relativement ind pendantes des Gouvernements elles son
337. n cela favorise la confiance dans le processus de coordination Fournir des informations et des services utiles Cela se fait partiellement en demandant aux autres quels sont leurs besoins Certaines cat gories d informations sont toujours utiles la majorit des intervenants Si l quipe est d positaire d informations utiles les int ress s viendront les chercher Ainsi les cartes manquent toujours Si vos cartes sont maintenues jour sur la base d informations op rationnelles elles int resseront vos interlocuteurs Par ailleurs le centre de coordination doit tre le lieu id al pour obtenir une photocopie ou des pr visions m t orologiques v rifier ce qui se passe dans un endroit donn s informer de la situation actuelle de la s curit ou tout simplement rencontrer un coordonnateur aimable et souriant pr t prendre quelques minutes pour couter S appuyer sur les points forts des uns et des autres Il est important de demander chacun ce qu il sait faire Trop souvent les gens acceptent des t ches qu ils ne peuvent pas ou ne veulent pas mener bien sous pr texte de consensus ou pour montrer leur esprit d quipe Il faut donc demander aux gens ce qu ils peuvent faire facilement au moins au d but Ne pas h siter leur demander plusieurs fois s ils sont s rs de vouloir s en charger Une fois les relations bien tablies il est possible de leur demander quelque chose de plus difficile
338. n cessaires afin d apporter diff rents types d quipements services traitements dans la Zone sinistr e en provenance d autres centres m dicaux Des quipements m dicaux ou des installations n cessaires au traitement des victimes de catastrophe ont ils subi des d g ts Par exemple des quipements rayons X la suite d un s isme Des actions sont elles entreprises en vue d vacuer des personnes bless es vers des centres m dicaux d urgence hors de la zone sinistr e Si oui pr cisez Acc s aux services de sant par la population touch e Part de la population ayant acc s aux soins m dicaux chirurgicaux gyn cologiques obst triques aux services maternels et infantiles centre de sant le plus proche Groupes individus n ayant pas d acc s aux soins De quelle mani re le syst me de sant national est il organis Existe t il un syst me d ambulances Existe t il un syst me disponible et ou op rationnel Proc dures d vacuation Autres acteurs du domaine de la sant Liste Domaine Informations de r f rence Disponibilit des m dicaments La vente de m dicaments est elle r glement e Les m dicaments sont ils en vente libre Quelles sont les cons quences en mati re de s curit Traitement de la rougeole Probl me si la couverture vaccinale est inf rieure 90 chez les enfants g s de 6 mois 12 ans
339. n ment accept s instaurent une confiance chez les utilisateurs de l valuation qui consid rent que les conclusions de l valuation sont le reflet de la situation r elle sur le terrain Les indicateurs doivent faire l objet d un accord avant que l quipe ne proc de l valuation Ce pr alable augmentera l efficacit de l quipe en limitant les entretiens superflus en ciblant l enqu te et contribuera de cette mani re indirectement r duire le risque de rejet de l valuation voir ci dessous Les indicateurs qui ne refl tent pas pr cis ment la situation r elle peuvent tre dangereusement trompeurs Ils doivent tre d termin s par des sp cialistes des secteurs concern s Des mat riels de r f rence tels que les publications des agences des Nations Unies de la F d ration internationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge et des textes communs agr s comme le guide du Projet Sph re disponible dans le logiciel de mission UNDAC peuvent fournir des indications importantes concernant les indicateurs appropri s Moment de l valuation Une valuation est l instantan d une situation d urgence un point donn dans le temps Il faut se rappeler que les situations et les besoins voluent parfois de fa on dramatique d un jour l autre Les besoins en mati re d aide sont toujours relatifs mais en r gle g n rale les valuations initiales rapides doivent co
340. n ral des r unions importantes d information g n rale afin d indiquer quelles questions int ressent les m dias 12 Il est imprudent voire parfois contraire l thique de r v ler un journaliste sur quel sujet l un de ses confr res travaille ou de sugg rer qu un journaliste discute d une histoire en cours avec un autre 13 Les repr sentants ne doivent pas se sentir oblig s de r pondre toutes les questions en particulier aux questions hypoth tiques 26 avril 1999 G EVALUATION EN CAS DE CATASTROPHE G L Introduction G 1 1 Port e de l valuation de l UNDAC G 2 M thodologie et programmation G 2 1 El ments n cessaires une valuation r ussie G 2 2 Programmation G 3 Mission d valuation G 3 1 M thodes utilis es dans une valuation initiale ou rapide G 3 2 Principes g n raux par secteur G 4 Listes de contr le pour l valuation G S Analyse et partage des informations 1 2 G 1 Introduction Importance de valuation L valuation est un l ment essentiel la programmation et la mise en uvre d une r ponse Les valuations fournissent les informations partir desquelles la r ponse est con ue et adapt e Tandis que de bonnes informations provenant d une valuation ne garantissent pas une r ponse appropri e de mauvaises informations impliquent en revanche quasi n cessairement une r ponse inadapt e L utilisation de m thodologies standards signifie qu
341. n rales Recommandations points d intervention Exemples de catastrophes tudes de cas pertinentes citer tous les documents collect s lors de la visite de l agence li s l historique ou aux actions utiles entreprises Apr s chaque entretien et chaque visite de terrain un rapport doit tre imm diatement r dig Le rapport doit tre direct et concis et tenir si possible en une page Dans tous les cas l accent doit tre mis sur l analyse des r sultats il faut viter les simples descriptions Un journal calendrier des v nements doit tre r alis et mis jour quotidiennement pour s assurer qu aucun v nement important par exemple des entretiens ou des r unions n est oubli Ce calendrier doit tre mis jour au cours de la r union d information quotidienne I 5 5 R unions internes quotidiennes de l quipe UNDAC L quipe UNDAC doit se r unir deux fois par jour le matin avant d aller travailler et le soir lorsque tout le monde est rentr Cela permet de se tenir au courant des volutions dans tous les domaines puisque la vision d ensemble de l quipe va changer jour apr s jour Les missions de terrain doivent tre contact es par t l phone ou par radio et leurs rapports doivent galement tre re us et consult s chaque jour On n insistera jamais assez sur l importance de ces r unions quotidiennes Le r sultat des r unions du soir fournit la mati re premi re pour l
342. n sanitaire d urgence pour la pr vention l tat de pr paration les secours la r habilitation et le redressement e Principes directeurs pour les dons et achats de m dicaments par des agences s urs ou d autres organisations e Un programme sp cifique de logiciels SUMA pour la coordination des fournitures de secours sanitaire Moyens L OMS a des bureaux dans 149 pays employant du personnel international et national Chaque bureau national a pour mission de prendre des mesures imm diates en cas de crise en a en valuant et en surveillant la situation sanitaire b en suscitant et en soutenant la coordination pour l action sanitaire c en identifiant et en comblant les lacunes graves en mati re de sant publique et d en renfor ant et en r parant les syst mes de sant locaux et nationaux et en renfor ant les capacit s Au cas o les besoins engendr s par la crise exc deraient les capacit s du pays il incombe au Responsable du Bureau de demander des secours d urgence du Bureau r gional de l OMS et ou du si ge Gen ve Le si ge et les Bureaux r gionaux de l OMS peuvent apporter de l aide en ayant recours des m canismes de programmes normaux et des comptes limit s sp ciaux destin s aux catastrophes Le si ge de l OMS dispose d un fonds sur lequel des affectations peuvent tre approuv es en attendant de recevoir des contributions ult rieures de donateurs L OMS peut contacter directement des donateur
343. n ve est imm diatement activ si n cessaire et est sp cialement con u et quip pour mobiliser et coordonner les op rations d urgence internationales en cas de catastrophe En dehors des heures de travail normales le Centre des Op rations du BCAH Gen ve est activ par l agent de permanence qui en cas d urgence peut tre joint tout moment au num ro de t l phone d urgence 4122 917 2010 Point de contact pour la coordination de la r ponse internationale en situation de crise le Bureau r gional comp tent pr pare et diffuse imm diatement des rapports de situation aux services de secours d urgence des Gouvernements donateurs au syst me des Nations Unies aux organisations intergouvernementales et non gouvernementales au total environ 600 destinataires Les pays peuvent adresser des demandes d information et ou d aide internationale en cas de catastrophe naturelle ou de situation d urgence environnementale directement au BCAH ou par l interm diaire du Coordonnateur r sident coordonnateur humanitaire CR CH des Nations Unies du pays touch En cas d urgence le BCAH alerte et mobilise la communaut internationale K 3 1 Aide d urgence Quand la situation l exige et sous r serve de la disponibilit des fonds le BCAH fournit une aide d urgence au pays frapp par la catastrophe Cette aide a pour objet de r pondre aux besoins les plus urgents de la population touch e auxquels ne peuvent pourvoir les ressources nat
344. n activ d chets de cellulo d BLEU Classe Mati res d gageant des gaz inflammables au contact de l eau Risque Au contact de l eau ces mati res g n rent des gaz qui s enflamment facilement Exemples Sodium potassium poudre de magn sium ORANGE Classe Mati res comburantes et peroxydes organiques Risque Mati res contribuant la combustion d autres mati res Exemples Peroxyde d hydrog ne permanganate de potassium chlorite de sodium Peroxyde d ac tyle et d ac tone acide peroxyac tique BLANC Classe Mati res infectieuses Risque Organismes infectieux Exemples Virus Ebola salmonella enterica virus de l h patite B d chets hospitaliers infectieux BLANC Classe Mati res radioactives Risque Peuvent provoquer des d g ts li s leur radioactivit Exemples Uranium solution de nitrate de plutonium c sium iode cobalt souvent au format industriel ou de provenance m dicale Classe Mati res radioactives Risque Peuvent provoquer des d g ts li s leur radioactivit Exemples Uranium solution de nitrate de plutonium thorium BLANC NOIR Classe Mati res corrosives Risque Peuvent provoquer des d g ts irr versibles sur la peau Exemples Acide sulfurique acide chlorhydrique hydroxyde de sodium NOIR BLANC Classe Divers hors symboles de l ONU mais pr sent dans plusieurs pays Risque G n ralement risque li l environnement Exe
345. n d un site pour POSOCC et pour le site camp de logement des Nations Unies S lection du site de l OSOCC Lors du choix du site pour un OSOCC il faut garder certains l ments importants l esprit Tout d abord l emplacement g n ral de l OSOCC doit se trouver proximit de l unit de coordination de la gestion des situations d urgence du gouvernement national ainsi que des autres organismes fournissant une aide humanitaire Cet emplacement d pendra dans une certaine mesure du type de catastrophe de situation d urgence Apr s un tremblement de terre il est pr f rable de situer le centre pr s de l unit locale de gestion des situations d urgence sur place mais en cas d inondation sur une zone tendue il est pr f rable de rester dans la capitale pr s du CR CH et des autorit s nationales L emplacement physique doit permettre une utilisation optimale de l quipement de communication l OSOCC doit par exemple tre situ en hauteur et ne pas tre entour de collines ou d autres barri res naturelles Le site doit tre inclin et permettre un drainage efficace Il doit simplifier les proc dures de s curit n cessaires par exemple faciliter l acc s l vacuation et la garde du p rim tre et se trouver suffisamment loin des conflits arm s r els ou potentiels Le b timent accueillant l OSOCC doit tre solide et ne pas avoir subi de dommages au cours de la situation d urgence Dans l
346. n de d velopper des donn es quantitatives Par le pass les enqu tes crites n ont pas souvent t utilis es par les quipes UNDAC Contrairement aux entretiens semi structur s les enqu tes se composent de questions ferm es et les r ponses sont limit es De nombreux questionnaires ont t con us pour tre utilis s dans l valuation des catastrophes En laborant un questionnaire d enqu te il est essentiel de le tester petite chelle afin de s assurer de sa validit et de sa fiabilit voir la d finition de ces termes Il est toujours utile de tester au pr alable l enqu te sur des individus s lectionn s afin de s assurer que les questions pos es sont formul es ou traduites correctement et couvre l tendue et les types de r ponses que les enqu teurs recherchent Les enqu tes sont attractives car outre leur aspect quantitatif les r sultats peuvent si elles sont con ues et conduites correctement tre g n ralis s un nombre de personnes plus important que celui des personnes interrog es Ceci pose la question de l chantillonnage Il est rarement possible d enqu ter sur la totalit de la population touch e et diff rentes m thodes d chantillonnage sont n cessaires pour pr voir une g n ralisation l gitime En g n ral un chantillonnage al atoire ou une proc dure d chantillonnage al atoire stratifi constitue la meilleure fa on de proc der Les conditions sur le
347. nation des op rations OSOCC coordonnant les quipes internationales de Recherche et de secours en milieu urbain USAR qui aident secourir les rescap s L OSOCC peut aussi intervenir dans d autres types d urgences Si cela est n cessaire les quipes UNDAC peuvent tre assist es par des experts de domaines plus sp cifiques tels que l environnement Les quipes UNDAC disposent de leur r seau de t l communication de base bureaux et personnel propres Les quipes UNDAC r gionales Les quipes UNDAC sont divis es en trois zones g ographiques e Afrique et Europe e Am riques e Asie et Pacifique En cas de situations d urgence d ampleur r gionale ou nationale le syst me UNDAC mobilise ses quipes r gionales compos es de membres originaires de la r gion ou du pays concern Cela permet au BCAH de d ployer une quipe UNDAC de sp cialistes de la gestion des urgences qui connaissent aussi l environnement la langue et la culture locale l ments d clenchant la mobilisation d une quipe UNDAC La mobilisation d une quipe UNDAC par le Coordonnateur des secours d urgence ERC est d clench e est par les l ments suivants e Catastrophes naturelles Quand un pays touch par une catastrophe naturelle sollicite l aide internationale pour g rer cette catastrophe et a besoin d une coordination internationale suppl mentaire ou quand une catastrophe semble imminente par exemple un our
348. nation efficace L quipe UNDAC doit tre consciente des contraintes temporelles sp cifiques aux interventions de sauvetage qui s appliquent aux interventions USAR et adapter son travail en fonction de ces contraintes Du fait de cette complexit les quipes USAR doivent tre dot es en personnel et quip es pour renforcer l quipe UNDAC avec des agents de liaison USAR afin de faciliter la planification des op rations Ce chapitre doit tre lu en parall le avec le Chapitre E Coordination sur le terrain car plusieurs aspects y sont trait s par exemple les modalit s de mise en place et de fonctionnement d un Centre local de coordination des op rations DSOCC H 2 Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage INSARAG L INSARAG a t form en 1991 et r sulte de la coop ration de pays sujets aux tremblements de terre et aux catastrophes pouvant provoquer des effondrements structurels et de pays et d organisations qui fournissent l aide internationale USAR les Nations Unies la F d ration internationale des soci t s de la Croix rouge et du Croissant rouge et d autres intervenants internationaux Au cours des p riodes de catastrophes les pays touch s et les pays intervenants appliquent la m thodologie de l INSARAG qui garantit que les quipes USAR comprennent le r le et les responsabilit s de l autorit locale de gestion des urgences LEMA et sont capables de s int gr
349. nationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant rouge IFRC et e la brochure Charte humanitaire et normes minimales pour les interventions lors des catastrophes du Projet Sph re Le manuel UNDAC a t r dig par la Section de soutien la coordination sur le terrain FCSS des Services des situations d urgence ESB du BCAH La FCSS est enti rement financ e par les contributions volontaires des tats impliqu s Tout commentaire ou proposition d am lioration du manuel doit tre adress la FCSS A 2 Contacter le BCAH A NEW YORK Pendant les heures d ouverture 1 0 212 963 1234 Standard des Quartiers g n raux des Nations Unies S il est connu le num ro de t l phone direct des membres du BCAH peut tre utilis En cas d urgence 1 0 212 963 4962 Fax 1 0 212 963 9489 1312 1040 M l ochany un org Adresse postale Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies 1 United Nations Plaza 10017 New York tats Unis A GENEVE Pendant les heures d ouverture 41 0 22 917 1234 Standard du Bureau des Nations Unies Gen ve S il est connu le num ro de t l phone direct des membres du BCAH peut tre utilis En cas d urgence 41 0 22 917 2010 Le BCAH de Gen ve dispose d un syst me de garde qui fonctionne 24h 24 tous les jours de l ann e Les appels sont enregistr s par un r pondeur Digicall qui transmet le message a
350. nce chef de file L agence chef de file est l organe dirigeant et est charg e de concevoir un m canisme de coordination pour son secteur Voici les neufs secteurs humanitaires d finis Secteur humanitaire Agence chef de file Nutrition UNICEF Eau et assainissement UNICEF Sant OMS Coordination sur le terrain et gestion HCR situations d urgence complexes OIM Organisation internationale pour les migrations catastrophes naturelles H bergement d urgence HCR situations d urgence complexes IFRC F d ration internationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant rouge catastrophes naturelles en tenant compte des obligations et du devoir d ind pendance de l IFRC l IFRC formera les quipes HCR situations d urgence complexes HCR UNICEF HCNUDH Haut commissariat des Nations Unies RO aux droits de l homme d cisions communes sur le r le du CR CH en cas de catastrophes naturelles Logistique PAM BCAH t l communications d urgence et gestion du processus j PIR global T l communications UNICEF donn es communes PAM s curit commune et t l communications Rel vement pr coce PNUD Cette approche est appliqu e ces neufs secteurs par ailleurs quatre autres secteurs ne sont pas soumis ce syst me car ils poss dent d j un organisme chef de file Ces quatre secteurs sont les suivants L alimentation secteur g r
351. ndation est faite dans le corps du rapport elle doit tre crite apr s le paragraphe correspondant en italique et clairement num rot e Une personne doit tre affect e pour taper le rapport sur un ordinateur portable d sign au pr alable Des sauvegardes r guli res doivent tre effectu es sur un syst me de stockage ind pendant par exemple une disquette un CD rom ou une cl USB afin d viter la perte des donn es en cas de d faillance de l ordinateur Avant de finaliser le rapport il est conseill de consulter le CR CH et le chef de l autorit nationale de gestion des catastrophes afin de garantir que les recommandations auxquelles l quipe est parvenue sont comprises et favorisent l engagement local Cela n cessite un suivi e Gardez au moins une demi journ e pour la r vision finale cela ne doit pas empi ter sur la date limite pour donner le rapport l imprimeur e L quipe enti re doit prendre une part active dans la r vision finale du rapport L utilisation d un projecteur cristaux liquides peut tre utile e Gardez toujours l esprit que les co ts d impression augmentent quand les d lais sont courts I 7 1 Pr sentation du rapport Le rapport doit tre pr sent formellement par l quipe UNDAC en copie papier au gouvernement et au CR CH L quipe doit faire une pr sentation de ses r sultats et des recommandations l quipe pays des Nations Unies et l aut
352. ndra sans d lai dans la zone touch e pour commencer ses activit s Identifier les contacts cl s dans la capitale Il s agit notamment e De l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes et de l quipe de coordination des Nations Unies e De l autorit nationale responsable de l intervention d urgence e De l autorit nationale charg e des secours internationaux si elle est diff rente e Des grandes missions diplomatiques repr sentant les pays les plus m me d intervenir dans cette situation d urgence e Des organisations humanitaires internationales y compris des ONG repr sent es dans le pays e Des organisations humanitaires nationales e Des intervenants internationaux arrivant dans le pays Identifier les contacts cl s sur le terrain Il s agit notamment e Des institutions des Nations Unies pr sentes sur le site Des autorit s locales responsables de l intervention d urgence Des organisations internationales pr sentes sur le site Des organisations de secours nationales pr sentes sur le site Des organisations et quipes de secours internationales arrivant sur le site pour faire face la situation d urgence Identifier le point d entr e des secours L quipe doit identifier le point d entr e le plus probable des secours internationaux et d cider s il y a lieu d tablir un centre de r ception et de d part cet endroit D 5 3 Information initiale du CR CH et de
353. ndre sont d crites dans le FSH Phase IV Op rations d urgence L autorisation du Secr taire g n ral de d cret de la phase IV permet au DO en concertation avec la SMT de recommander au Secr taire g n ral par le biais du DSS l vacuation hors du pays de membres du personnel international suppl mentaires L objectif de cette phase est de limiter le personnel un nombre indispensable aux op rations d urgence d aide humanitaire de s curit ou autres interventions jug es essentielles par le Secr taire g n ral Plusieurs mesures d crites dans le FSH sont prises par le DO Phase V vacuation L autorisation du Secr taire g n ral de d cret de la phase V signifie que la situation s est d t rior e un point tel que le d part de tout le personnel international restant est exig sans exception L vacuation sera effectu e selon les plans pr par s pr alablement et en fonction de la situation sp cifique du pays Les quipes UNDAC ne seront normalement d ploy es que dans les conditions des phases I II N 3 1 Normes minimales de s curit op rationnelle MOSS Les MOSS sont un document fondamental pour toutes les op rations sur le terrain des Nations Unies Elles r pondent l exigence des Nations Unies de garantir l tablissement et le maintien de pratiques s curitaires essentielles minimales lors de l apport d un soutien s curitaire au personnel des Nations Unies Les MOSS sont
354. ne par le Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage puis le D partement des affaires humanitaires des Nations Unies devenu par la suite Bureau de la coordination des affaires humanitaires BCAH pour aider les pays touch s coordonner les quipes internationales de recherche et de sauvetage la suite d un s isme catastrophique Toutefois les principes de gestion des situations d urgence qui sous tendent le mandat la structure et les proc dures du Centre local de coordination des op rations constituent un instrument valable dans toute catastrophe impr vue pour laquelle des moyens de secours internationaux sont mis en uvre Le syst me de l OSOCC est con u comme un outil de r action rapide Pour tre efficace il doit tre mis en place imm diatement apr s une catastrophe ou une situation d urgence et avant l arriv e des moyens de secours internationaux ou concomitamment celle ci Un Centre local sous une forme ou une autre devra tre op rationnel durant la phase de secours d une situation d urgence jusqu ce que les autorit s locales ou nationales et ou les structures traditionnelles des Nations Unies puissent prendre le relais de la coordination des ressources internationales ou jusqu ce que les moyens de secours internationaux r pondant la situation d urgence aient t retir s Chaque quipe de secours internationale pr sente sur le site de la catastrophe doi
355. nes de stress cumulatif Il est important de conna tre les signes de stress cumulatif afin de pouvoir les identifier Il est indispensable de savoir les diagnostiquer non seulement sur vous m me mais galement sur vos coll gues Il peut tre utile que chaque membre indique ses coll gues quels sont les signes caract ristiques chez lui d une mauvaise gestion du stress Voici quelques signes Baisse de l attention alt ration du jugement loignement de la r alit D sorientation pertes de m moire Impatience ou agressivit verbale comportement tr s critique Col re rage Comportement d plac sans but voire destructif Hyperactivit Troubles du sommeil Hypersensibilit aux virus affections psychosomatiques Hyper motivit chagrin exaltation sautes d humeur Tension physique maux de t te Abus de substances psychoactives Troubles alimentaires par exemple perte de l app tit hyperphagie Manque d nergie d int r t d enthousiasme Isolement d pression perte du sens de l humour Incapacit effectuer certaines t ches Remise en question des croyances des valeurs fondamentales cynisme Faire face au stress cumulatif L exp rience a montr que les connaissances acquises dans le cadre d une formation sur le stress cumulatif la prise de conscience des signes pr coces et la mise en place rapide d un syst me permettant d y faire face ont permis de r duire
356. ns CRD et la Section de soutien la coordination sur le terrain FCSS du BCAH Gen ve La FCSS ne doit envoyer une mission UNDAC que si elle est convaincue que le mandat est r alisable Il faut toujours se rappeler qu une mission UNDAC de ce type ne concerne que les syst mes de gestion des interventions et non l att nuation des effets des catastrophes La mission UNDAC est fournie gratuitement au gouvernement qui en fait la demande et dure g n ralement deux semaines Dans la mesure du possible la FCSS essaye d envoyer une mission de suivi dans le pays concern un an apr s Cette mission inclura si possible les membres principaux de l quipe d origine et valuera la mise en uvre des recommandations formul es dans le rapport de mission Des exemples de mandats et de rapports de missions effectu es en Mongolie aux Philippines et au Tadjikistan sont disponibles dans le logiciel de mission UNDAC I 3 S lection des membres de l quipe UNDAC Une mission UNDAC DRP est diff rente d une mission UNDAC standard en effet les besoins d une telle mission font g n ralement l objet d une discussion avec le gouvernement pendant une p riode donn e Il est ainsi possible d ajuster la composition de l quipe aux besoins sp cifiques du mandat Le processus normal de publication d un message d information UNDAC MO est utilis pour chercher les membres UNDAC disponibles et volontaires pour assurer de telles
357. ns internationales nationales et r gionales Il fournit une aide pour valuer les besoins en information rapide et fiable concernant la situation et si n cessaire sur la coordination des secours internationaux sur le site de la situation d urgence Les quipes UNDAC travaillent en troite collaboration et en coordination avec les quipes pays de PUNCT de EGC ou de l IASC Les mandats d taill s ci apr s sont les mandats habituels des quipes UNDAC et d finissent le cadre global du d ploiement du syst me UNDAC L ERC peut dans ce contexte modifier les objectifs pour une mission particuli re en consultation avec le CR CH et les quipes pays de PUNCT ou de l IASC sur le terrain si les conditions d une situation d urgence l exigent En mission toute quipe UNDAC doit 1 Assister le CR CH lors des interventions en cas de catastrophe ou de situation d urgence et travailler sous son autorit ce dernier transmettant ensuite les informations PERC Elle soutient et favorise le travail du gouvernement et de l UNCT EGC sur place pendant la phase initiale d intervention 2 Informer le CR CH et l UNCT EGC et leur transmettre les donn es sur l volution de la situation d urgence 3 Fournir et communiquer ventuellement des informations de base sur la dimension mat rielle et humaine de la situation d urgence dans le but de permettre aux gouvernements des pays touch s et la communaut international
358. ns la jungle Etant donn que les conditions climatiques et de terrain peuvent entra ner de notables diff rences quant au temps n cessaire pour effectuer un d placement tous les mouvements dans la jungle devraient tre planifi s en se basant sur le temps n cessaire pour se d placer entre ces deux points et non sur la distance qui les s pare Q 5 6 Navigation dans la jungle La navigation dans la jungle n est pas ais e mais les difficult s sont souvent exag r es sous r serve qu une tude cartographique et des plans m thodiques aient t r alis s accompagn s d une utilisation judicieuse de la carte de la boussole et du rapporteur Les principes de navigation sont de conserver son orientation et de conna tre la distance parcourir La capacit utiliser les aides suivantes en tant qu outil collectif permettant de naviguer dans la jungle ne s acquerra qu avec une pratique continuelle e Une montre tout navigateur dans la jungle doit poss der une montre fiable et tanche indiquant l heure exacte e Cartes Celles ci peuvent tre raisonnablement pr cises en ce qui concerne le relief par ex les collines et les ruisseaux Il convient toutefois de garder l esprit que la plupart des cartes sont tablies partir de photographies a riennes qui lorsqu elles sont prises au dessus de certaines parties d une jungle indiquent la forme de la couverture foresti re mais non la formation du sol P
359. nsus ou un accord tant alors difficile trouver e de la diversit des attentes ou convictions sur ce qui est important prioritaire ou ce qu il faut faire dans une situation donn e e de l absence de ressources consacrer la coordination ou du fait que la coordination n est pas consid r e comme prioritaire en raison du manque de temps ou de ressources e d un pouvoir de d cision limit sur le terrain si bien qu aucune d cision ne peut tre prise sans l accord su si ge ce qui entra ne des d lais ou risque de remettre en question l accord e de la rotation du personnel lorsque le nouveau personnel n a pas la volont de s int resser la coordination ou n est pas au courant des accords de coordination e d actions unilat rales qui ne prennent pas en compte les m canismes de coordination tablis par les donateurs ou les organisations membres e d une coordination inefficace ou inadapt e par exemple lorsque l organe de coordination fait preuve d autoritarisme ou impose ses d cisions en dehors de tout processus transparent de participation e d un processus de coordination qui ne fonctionne pas bien dont les objectifs ne sont pas clairs qui est consid r comme une perte de temps et n apporte aucun b n fice ceux qui y participent E 2 Structure et mise en place d un Centre local de coordination des op rations E 2 1 Introduction Conform ment la r solution
360. nt e Toilettes Utilisez des sacs noirs usage unique jetables ou des toilettes chimiques Dans un cas comme dans l autre un minimum de quatre toilettes sera requis hommes femmes personnes atteintes de diarrh e et infirmi res cuisiniers L vacuation des d chets doit tre tudi e Des lavabos devront tre mis disposition pr s des toilettes afin de pouvoir se laver les mains e Approvisionnement en eau Une petite installation de traitement de l eau d une superficie d environ 1 50m x 3m sera mise en place avec l unit Une seconde unit citerne d environ 2m x 4m est galement n cessaire pour l approvisionnement en eau La seconde unit devra tre plac e au dessus du sol sur le toit d un b timent ou sur un chafaudage le module n est pas n cessairement quip pour lever la citerne au dessus du sol Assurez vous que la citerne pos e au sol ne repr sentera pas un danger en cas de tremblement de terre Rappelez vous le poids en jeu 1m d eau p se une tonne Pr voyez un acc s pour que les camions puissent remplir le r servoir d eau si aucune autre source n est disponible e _ H liport Pr voyez si possible un h liport avec un acc s et une sortie d gag s au sol et pour le d collage et l atterrissage L h liport doit tre facile s curiser lors des p riodes op rationnelles Il doit tre situ aussi loin que possible des tentes au moins 150 200m Les tr
361. nt A travers une jungle primaire 700 1 000 m tres transversal A travers une jungle secondaire 500 800 m tres A travers des mar cages 100 200 m tres A travers des herbes hautes 500 1 000 m tres Q 5 7 Sant et hygi ne Dans la jungle les mesures sanitaires et l hygi ne personnelle sont primordiales Les maladies intestinales sont g n ralement transmises par des aliments contamin s ou de l eau impure La contamination de la nourriture peut tre provoqu e par l utilisation d ustensiles malpropres par des mouches ou autres insectes de ce type et par ceux qui manipulent les aliments Les maladies hydriques peuvent tre caus es par de l eau impure utilis e pour la boisson la cuisine et la toilette Des exemples de ce type de maladie sont la dysenterie le chol ra etc Les maladies caus es par des insectes ou des animaux sont transmises directement par des piq res d insectes h matophages telles que les moustiques et les tiques Les maladies de ce type sont le paludisme la fi vre jaune la filariose et le typhus La maladie fongique m rite une attention particuli re car le climat dans la jungle favorise la croissance de plantes microscopiques appel es fungi qui g n rent ces maladies Une peau tremp e de sueur incite le fongus attaquer Les principales maladies fongiques sont la dermatophytose et le pied d athl te Chacun est responsable de sa propret personnelle et de celle de son environnemen
362. nt en r sum les suivants e Garantir l ad quation et la fiabilit de la pr paration et de l intervention ce qui n est possible qu avec les acteurs et agences ad quats poss dant les comp tences et les capacit s n cessaires ce secteur e Sur le terrain soutenir les CH qui font appel aux agences chef de file pour l aide dont ils ont besoin e L agence chef de file ne m ne pas elle m me ces actions mais veille ce qu elles soient men es et agit en dernier recours La liste compl te des mandats de chaque secteur humanitaire est t l chargeable depuis le site Reliefweb www reliefweb int ou peut tre envoy e par le BCAH B 5 4 Interface pour les op rations militaires ou humanitaires Quand une mission de maintien de la paix de l ONU est d ploy e ou quand il existe une pr sence militaire internationale l int rieur d un pays elle peut disposer de ressources d une valeur inestimable pour les op rations humanitaires En effet au del de la s curit des op rations humanitaires des ressources telles que la logistique les t l communications et le soutien technique remise en tat des routes des ponts ou d autres sites peuvent s av rer utiles voire essentielles Ainsi une mission de maintien de la paix de l ONU peut disposer d une cellule ou de liaisons humanitaires tandis que les op rations de l arm e am ricaine ou celles de forces multilat rales g r es par les Et
363. nt quel type d informations est n cessaire et sous quelle forme celles ci doivent tre transmises Il existe diff rentes mani res de proc der Les valuations sont souvent bas es sur une combinaison d observations et d entretiens semi structur s Ces deux m thodes n cessitent d excellentes capacit s d coute et sont men es bien par des quipes de plusieurs personnes les entretiens et l enregistrement des donn es sont attribu s l avance des avis multiples sur les faits observ s ou rapport s sont partag s et la meilleure interpr tation est retenue Les erreurs souvent commises consistent collecter des informations anecdotiques et non substantielles ou g cher un temps pr cieux collecter des informations d taill es lorsque des donn es repr sentatives seraient tout aussi utiles Les rapports d valuation doivent sp cifier si l information provient d un fait observ rapport par un informateur cl si elle a t collect e au moyen d une enqu te sur un chantillon de population si les cat gories dans lesquelles sont class es les informations sont le r sultat d une liste de contr le sp cifique etc Les informations seront plus significatives pour ceux qui les interpr teront notamment dans les rapports contradictoires si une source est mentionn e Observation En tant que source d informations l observation est souvent sous estim e L observation peut permettre de rassem
364. nt utile pieds n uds m3 AN 12 15 1300x350x250 310x250 100 Sans objet Sans objet AN 22 60 3300x440x440 300x390 630 Sans objet Sans objet AN 26 5 9 1060x230x170 200x160 50 Sans objet Sans objet AN 32 6 7 1000x250x110 240x120 30 Sans objet Sans objet AN 72 74 10 1000x210x220 240x150 45 Sans objet Sans objet AN 124 450 120 3300x640x440 600x740 850 Sans objet 10000 A300F4 100 40 3300x450x250 360x260 320 20 8200 A300F4 200 42 3300x450x250 360x260 320 20 8200 A310 200F 38 2600x450x250 360x260 260 16 6700 A310 300F 39 2600x450x250 360x260 260 16 6700 B727 100F 16 2000x350x210 360x260 112 9 7000 B737 200F 12 1800x330x190 350x210 90 7 7000 B737 300F 16 1800x330x210 350x230 90 8 7000 B747 100F 99 5100x500x300 340x310 525 37 9000 B747 200F 490 109 5100x500x300 340x310 525 37 10700 B747 400F 113 5100x500x300 340x310 535 37 Sans objet B757 200F 39 3400x330x210 340x220 190 15 5800 B767 300F 55 3900x330x240 340x260 300 17 6500 DC 10 10F 56 4100x450x250 340x260 380 23 8000 DC 10 30F 70 4100x450x250 340x260 380 23 8000 IL 76 430 40 2500x330x340 330x550 180 Sans objet 2800 L 100 275 22 1780x310x260 300x280 120 6 Sans objet L 100 20 275 20 1780x310x260 300x280 120 6 Sans objet L 100 30 280 23 1780x310x260 300x280 120 6 Sans objet MD 11F 90 3800x500x250 350x260 365 26 Sans objet Note Les capacit s de chargement et les vitesses de croisi re r pertori es dans ce tableau sont des moyennes pour chaque type d avion Les capacit s
365. ntenir les personnes en relation les unes avec les autres et utiliser pleinement tous les moyens de communication y compris le cas ch ant en sortant des sentiers battus pour trouver les bons interlocuteurs Respecter le temps et le calendrier des autres Il ne faut pas que les r unions de coordination soient seulement une r union de plus Veiller ce que les r unions soient indispensables et ce qu il y ait un travail essentiel accomplir Ne pas h siter annuler une r union p riodique si l ordre de jour est insuffisant Rendre public un ordre du jour pour la r union et s y tenir Essayer de commencer et de terminer les r unions l heure Appliquer les principes de bonne conduite d une r union Faire en sorte que chacun ait la possibilit de s exprimer et qu un petit groupe de personnes ne monopolise pas la parole Rem dier aux petites difficult s avant qu elles ne prennent une trop grande ampleur Une petite difficult qu il s agisse d un malentendu d une vexation ou d une susceptibilit peut prendre une ampleur telle qu elle devient un obstacle la communication Vous pouvez donc tre amen dans votre r le de facilitateur de relations constructives intervenir activement dans la gestion des conflits ou restaurer la confiance g n ralement en dehors du processus de coordination officiel Commencer par de petites choses est g n ralement une bonne id e quelle que soit la situatio
366. nternational et multilat ral Toute utilisation de RMPC doit au d but tre clairement limit e en temps et en ampleur et comporter un l ment de strat gie de sortie qui d finisse clairement de quelle mani re la fonction entreprise pourrait l avenir tre assum e par du personnel civil Les pays fournissant du personnel militaire pour soutenir les op rations humanitaires doivent garantir le respect des codes de conduite de l ONU des principes humanitaires et du droit international humanitaire Les partenaires ex cutants et op rationnels et les membres de la soci t civile internationale sont cens s adh rer ces principes fondamentaux Le contexte sp cifique de l urgence d termine quel document de base est applicable la r ponse n est jamais nette et la plupart du temps il faut appliquer des l ments de deux ou plusieurs documents Les quatre documents de base ne sont pas caract re contraignant Le texte int gral de chaque document se trouve l adresse suivante http ochaonline un org cmes guidelines Les documents d orientation sont les suivants e L utilisation des Ressources militaires et de la protection civile RMPC en mati re de secours en cas de catastrophe utile seulement pour les catastrophes naturelles e L utilisation des Ressources militaires et de la protection civile RMPC dans le soutien l action humanitaire des Nations Unies dans les situations d urgences complexes e L ut
367. nting o doc 15 07 2008 08 07 12 L ABC des urgences m dicales premiers soins Les premi res tapes de l valuation de l tat de votre victime et des soins sont les suivantes e Voies a riennes Airway Lib rez et maintenez une voie a rienne ad quate e Respiration Breathing V rifiez la respiration en mettant votre oreille au dessus de la bouche de la victime et en observant le mouvement de sa poitrine e Circulation Circulation V rifiez la circulation en prenant le pouls au poignet la cheville ou la gorge Lorsqu une personne est compl tement inconsciente vous pouvez lib rer les voies a riennes en effectuant un balayage du doigt pour atteindre et enlever un objet visible au fond de la gorge mais faites attention de ne pas enfoncer l objet plus loin Placez la victime sur le dos regardez l int rieur de la bouche et effectuez le balayage du doigt L objet peut se d coincer lorsque la victime perd conscience ou qu elle se d tend Suffocation La victime sera incapable de parler ou de respirer efficacement si ses voies a riennes sont obstru es Si elle tousse ou hal te fortement laissez la seule Si elle est incapable de parler et essaye de s claircir la gorge ou tousse faiblement restez aupr s d elle et surveillez attentivement sa respiration Si la victime est incapable de parler et met ses mains autour de la gorge agissez rapidement c est le signe universel de la suffocation Il
368. ntinuez sonder Il est important de d cider sur quelle largeur vous devez sonder le chemin si le chemin est trop troit quelqu un risque de marcher l ext rieur s il est trop large vous risquez de perdre un temps inutile sonder le terrain ce qui augmentera le risque de d clencher une mine Soyez conscient que cette op ration prend beaucoup de temps qu elle est tr s fatigante et angoissante en particulier pour les personnes non form es 3 Secourir une victime de mine Si un chemin doit tre ouvert pour secourir une victime de mine ceci ne doit tre fait que si la personne est vivante et s il n y a pas de professionnel pour vous aider Lorsque vous avez rejoint la victime par l une des m thodes cit es ci dessus d gagez une zone autour d elle pour avoir la place n cessaire la r alisation des premiers soins Soyez prudent car il peut y avoir des mines non d clench es sous le bless sondez le sol sous la victime Si le bless est hyst rique il est indispensable de le calmer avant de s approcher Cependant les victimes sont souvent trangement calmes cause du choc traumatique qu elles viennent de subir e Quand les recommandations pr c dentes ont t appliqu es dispensez les premiers soins e Lorsqu il est pr t le bless doit tre extrait du champ de mine Vous pouvez le transporter sur vos paules ou le tirer le long du chemin Le sauveteur doit tre tr s prudent afin d
369. nts les besoins humanitaires et les programmes d aide propos s par les diff rentes organisations intervenant sur place doivent tre partag es et examin es par les organisations Le BCAH est charg de r unir r guli rement les organisations pour planifier des interventions int gr es et compl tes faciliter le partage des responsabilit s et prendre les mesures n cessaires pour v rifier que les projets sont mis jour et que les interventions sont men es dans le respect des projets Mobiliser Les ressources n cessaires pour r pondre efficacement une situation d urgence sont cons quentes et d passent bien souvent les pr visions budg taires Le BCAH est responsable du processus d appel de fonds notamment par le biais de la Proc dure d appel global CAP ou d un Appel clair Il doit aussi mobiliser le personnel et le mat riel requis pour soutenir l aide humanitaire Soutenir La coordination d un programme d assistance requiert des informations pr cises et r centes sur la situation humanitaire Le BCAH est charg de coordonner et soutenir les valuations inter agences de veiller ce que tous les types d aide soient tudi s et que dans la mesure du possible les travaux des quipes ne se recoupent pas ni qu aucun aspect important ne soit oubli Voir aussi le Chapitre G l valuation des catastrophes Si les secours sont organis s par secteurs humanitaires logement sant le BCAH app
370. nverser de l essence sur une peau nue celle ci g lera aussit t et endommagera la peau Ne pas diff rer la d f cation cela peut tre cause de constipation Essayer de pr voir un moment opportun cet effet avant de quitter l abri afin de pouvoir vacuer les d chets e L blouissement caus par la neige peut provoquer une c cit Se prot ger les yeux avec des lunettes ou une bande de tissu dot e de fentes troites pour les yeux Se noircir le dessous des yeux avec du charbon de bois pour att nuer encore les reflets e La temp rature interne corps et t te est d une importance vitale Lorsque le corps g le il draine du sang des membres pour r chauffer le centre La t te est l endroit o le corps humain perd le plus de chaleur lorsqu il est expos de faibles temp ratures Ne pas oublier le vieux dicton Si les orteils sont gel s il faut se couvrir la t te e Manger et boire plus que r guli rement car le corps consomme plus d nergie dans les climats froids que dans les climats temp r s La nourriture devrait tre riche en graisses et en prot ines afin de restaurer les calories qui sont br l es plus rapidement pendant que le corps s efforce de conserver sa chaleur Q 4 R gions de haute altitude Q 4 1 G n ralit s Il est possible que les missions UNDAC am nent se trouver des altitudes de plus de 2 700 m Celles ci sont consid r es comme des r gions de haute altitude et il c
371. objets qui peuvent tre consid r s comme des souvenirs etc Ne passez pas par les trous faits dans les haies car il peut y avoir des mines reli es des fils pi ges Si vous pensez qu une zone ou un b timent risque d tre min faites demi tour Lorsque vous traversez des zones min es haut risque vous ne devez le faire qu en cas d absolue n cessit si vous tes en voiture n empruntez que des routes et des pistes tr s utilis es et si vous tes pied n empruntez que des chemins tr s utilis s vitez les zones o la terre est fra che sur les routes les pistes et les chemins Il est galement important de savoir que des zones tr s passantes peuvent avoir t min es nouveau pendant la nuit Lorsque vous avez besoin d uriner ou de d f quer ne sortez jamais de la route de la piste ou du chemin faites le en plein air ou attendez Les zones remplies d excr ments humains frais ne sont g n ralement pas min es N approchez jamais des mines des munitions ou des objets suspects car cela peut la fois tre dangereux et repr senter un mauvais exemple pour la communaut locale Ne maniez ni ne touchez jamais les explosifs non explos s ni aucun objet qui vous semble suspect aussi inoffensif qu ils puissent para tre Si vous remarquez des mines ou des explosifs non explos s notez leur localisation et si possible leur type mine obus bombe etc et faites un rapport Soyez vigilant
372. ocal national responsable de l UNDAC 4 Tous les membres accusent r ception du message de suspension aupr s du Centre national de mobilisation et directement du BCAH Gen ve D 1 3 Fin de la mission D s lors qu une quipe UNDAC est dans le pays et a achev sa mission la d cision de mettre fin cette mission est prise par le BCAH Gen ve en concertation avec le CR CH et le chef d quipe D 1 4 Test test M1 et test M2 Les proc dures de mobilisation susmentionn es sont test es intervalles r guliers selon la proc dure ci apr s 1 Le BCAH Gen ve envoie un message de test M1 au Centre national de mobilisation de tous les pays participant l UNDAC 2 Parall lement l envoi d un message test M1 la FCSS adresse un message d alerte par m l et SMS aux membres de l UNDAC concern s et met le message test M1 sur le r seau virtuel du Centre local de coordination des op rations Cela permet de faire face l ventualit o le message test M1 ne serait pas parvenu l un ou l autre des membres de l UNDAC par la voie normale 3 Les centres nationaux de mobilisation transmettent le message aux membres selon les modalit s pr d finies 4 Les centres nationaux de mobilisation adressent une copie du message test au point focal national responsable de l UNDAC 5 Les membres r pondent directement au BCAH Gen ve test M1 6 Le BCAH Gen ve envoie un message de r ponse
373. on BCAH qui apportent la communaut internationale les renseignements utiles Tout de suite apr s une catastrophe des rapports de situation BCAH sont fr quemment envoy s de Gen ve pour fournir la communaut internationale la meilleure information possible d s qu elle est disponible Le BCAH recoupe les informations avec les si ges des autres agences des Nations Unies et les donateurs dans la mesure du possible Le rapport de situation du BCAH s appuie largement sur des informations provenant du terrain ou du CR CH L quipe UNDAC est galement une source d information tr s importante pour les rapports de situation Les rapports incluent et prennent galement en compte les informations re ues par le BCAH provenant d autres sources dont les appels et les bulletins d information r alis s par le Comit international de la Croix Rouge CICR et la FICR Les rapports sont envoy s directement aux capitales des pays donateurs et aux si ges des agences des Nations Unies aux organisations inter gouvernementales par exemple l Union europ enne et aux ONG principales ainsi qu aux Missions Permanentes aupr s des Nations Unies New York et Gen ve des pays touch s Ils sont g n ralement distribu s plus de 300 destinataires impliqu s dans la prise de d cision pour l aide humanitaire internationale et l assistance Les rapports de situation sont galement mis en ligne sur le site d information publ
374. on civilo militaire doit respecter les directives d finissant les relations civilo militaires au cours d une intervention humanitaire voir L S et expliquer quand o et comment le dialogue et l interaction civilo militaires auront lieu Il y a normalement quatre options fondamentales s agissant de cette interaction avec une force militaire donn e Ces options sont les suivantes e Cohabitation Les m canismes de coordination civils et militaires sont situ s et travaillent ensemble dans le m me b timent ou centre de coordination e Echange au niveau de la liaison Les personnels de liaison civil et militaire sont chang s et se rencontrent de mani re informelle e Visites de liaison Des visites caract re officiel sont pr vues et effectu es diff rents niveaux d autorit e Interlocuteur Les entit s civiles et militaires co existent sur le m me th tre reconnaissent mutuellement leur existence et changent des informations par les voies tablies et officielles La relation qui s tablit avec des entit s militaires varie selon la situation et le type de mission militaire Dans une situation il peut tre souhaitable d tre c te c te avec les militaires dans une autre il serait inappropri d un point de vue humanitaire d avoir des contacts un tant soit peu troits Par exemple s il est possible de cohabiter en temps de paix dans un Etat o un gouvernement stable est en place cette cohabitation peut s
375. on des ressources Le PNUD aide aussi valuer les besoins et la formulation ult rieure de plans et de cadres provisoires notamment le d ploiement rapide d experts en reconstruction Un volet sp cial de financement est consacr l aide aux activit s de redressement imm diat en particulier la conception l essai de nouvelles initiatives fournissant des liens en aval au d veloppement long terme Il s agit notamment de faire en sorte que les mesures de r duction du risque soient prises le plus t t possible apr s une catastrophe et soient incluses dans les plans de r habilitation et de reconstruction pour fournir une base solide au d veloppement durable Modalit s pratiques Le PNUD travaille en troite collaboration avec le Gouvernement h te et collabore avec d autres partenaires du d veloppement pour veiller ce que toutes les entit s charg es de planifier des programmes de d veloppement aient connaissance de tous risques connus ou potentiels et de leurs effets probables et que ces derniers soient d ment pris en compte dans le programme pays En cas de catastrophe le Repr sentant r sident mobilise le personnel et les assistants techniques du PNUD ainsi que d autres moyens et collabore avec l Equipe pays de l ONU UNCT pour r pondre aux besoins de la situation en particulier pour pr parer le sauvetage rapide Le PNUD doit envisager dans tous les bureaux de terrain des pays expos s au risque de catastrophes la n
376. on personnelle D 2 1 Documents D 2 2 Biens personnels et de l quipe D 2 3 Vaccinations D 2 4 Liste de contr le du chef d quipe D 3 Donn es initiales sur la zone de la mission D 3 1 Mat riel d information de l UNDAC D 3 2 Information compl mentaire emport e par le chef d quipe D 4 Voyage international D S Arriv e et premi res d marches D 5 1 Plan d arriv e D 5 2 Premi res mesures D 5 3 Information initiale du CR CH et de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes et de l quipe de coordination des Nations Unies par l quipe UNDAC D 6 Plan d action D 6 1 Contenu D 6 2 Bilan des op rations r union de l quipe D 7 Soutien de la mission D 7 1 Le Partenariat humanitaire international D 7 2 Partenariat humanitaire Asie Pacifique PHAP D 7 3 La r gion des Am riques D 8 vacuation m dicale D 8 1 Blessure ou d c s d un membre de l UNDAC D 8 2 Indemnisation en cas de d c s ou de blessure d un membre de l UNDAC dans l exercice de ses fonctions officielles pour le compte des Nations Unies D 8 3 Assurance des membres de l UNDAC en mission D 8 4 Assurance contre les actes malveillants D 9 Fin de la mission D 9 1 Fin de la mission au plan national D 9 2 Passation des responsabilit s dans le pays D 9 3 Fin de la mission BCAH Gen ve D 1 Proc dure type de mobilisation L quipe des Nations Unies pour l valuation et la coordination en cas de c
377. onale de r action aux catastrophes RDRT Les RDRT sont un m canisme r gional co t mod r d aide aux secours en cas de catastrophes dot d un personnel issu exclusivement des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge Le Syst me est pr vu pour mobiliser du personnel et des volontaires de la Croix Rouge et du Croissant Rouge en r action des catastrophes survenant dans leurs r gions Les RDRT r alisent des valuations avec la Soci t nationale du pays touch et en sus d assurer les actions de secours relatives la nourriture l eau la sant et l h bergement les RDRT peuvent galement contribuer aux interventions en mati re de s curit alimentaire de nutrition de construction de m dias et d autres domaines sp cialis s Quand la FACT et la RDRT participent la m me op ration les quipes sont fondues en une seule FACT RDRT leurs responsabilit s se compl tant Groupes de R action d Urgence ERU Les ERU sont des outils de r action rapide en cas de catastrophe qui consistent en modules d quipement normalis s et pr conditionn s et de personnel form l avance Les ERU doivent tre auto suffisants pendant un mois et peuvent tre d ploy s sur 4 mois maximum Ils sont parrain s par les Soci t s nationales qui fournissent galement l quipement le stockent et l entretiennent et fournissent le personnel n cessaire dont elles assurent la pr paration et la comp tence au moyen d une f
378. onn sont conserv s pour aider le personnel Le HCR conserve sous contr le central un stock d entrep ts pr fabriqu s de couvertures d quipements de cuisine de r serves d eau et d quipement d assainissement et de feuilles de plastique Ce mat riel est stock dans des entrep ts r gionaux ou sont en attente chez des fournisseurs tablis garantissant une livraison rapide Le HCR a galement des arrangements avec des stocks ext rieurs hors du syst me de l ONU tels que l Office su dois de Secours et est entrain de n gocier des arrangements similaires avec des ONG qui ont leurs propres stocks Les repr sentants du HCR peuvent consacrer une quantit limit e de moyens notamment financiers mat riels et techniques une situation d urgence concernant des r fugi s quand une op ration est d j en cours dans le pays Proc dures pour le personnel au niveau des pays concernant les valuations et la communication d informations la suite de catastrophes Il incombe au personnel de terrain du HCR d effectuer des valuations des besoins moyens en secours d urgence souvent avec l aide de personnel et de techniciens experts EPRS du si ge Des directives g n rales pour les tudes d valuation sont disponibles dans le Manuel pour les situations d urgence du HCR Le si ge est tenu inform au moyen de rapports de situation dont un mod le figure galement dans le Manuel pour les situations d urgence du HCR Les modalit s selon
379. onnues sur la catastrophe les d g ts la r ponse nationale la r ponse internationale et l volution pr vue de la situation d urgence y compris les risques secondaires e Objectifs de la mission Mandat g n ral de l UNDAC objectifs sp cifiques de la mission en fonction des instructions du coordonnateur des secours d urgence de la situation d urgence et des besoins d aide dans le pays Les objectifs de la mission doivent pr ciser l objectif principal de la mission par exemple l valuation la gestion de l information la mise en place du Centre local de coordination des op rations les liaisons etc ainsi que la base pr vue pour la mission par exemple dans la capitale avec des d placements sur le terrain ou sur le site de la catastrophe en liaison avec la capitale Les objectifs de la mission doivent galement comporter une estimation de la dur e de la mission Homologues sur le terrain Mentionner le CR CH sous l autorit duquel l quipe travaille dans le pays touch ainsi que d autres partenaires au sein du syst me des Nations Unies notamment l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes et l autorit nationale de gestion de la situation d urgence Organisation de l quipe Pr voir l organisation de l quipe en sous quipes en fonction des objectifs de la mission et du programme de travail ainsi que la r partition des responsabilit s entre les diff rents mem
380. ons Unies assument collectivement la responsabilit de la s ret et de la s curit du personnel des Nations Unies ind pendamment du niveau de leur participation Les frais engag s sur le terrain ou directement destin s fournir un soutien op rationnel du si ge aux antennes de terrain seront partag s entre les organisations participantes N 2 1 Entit s des Nations Unies concern es par la s curit e D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies DSS Il rend compte directement au Secr taire G n ral et sert de D partement de coordination au si ge des Nations Unies Sa mission consiste formuler les directives et les recommandations faire face aux situations d urgence coordonner les programmes de s ret inter agences et prendre des d cisions relatives la r installation l vacuation des membres de l quipe e Responsable d sign charg de la s curit DO Il s agit g n ralement d un Coordonnateur r sident Coordonnateur des Nations Unies CR CH Le DO est charg des dispositions concernant la gestion de la s curit du syst me des Nations Unies Il est directement responsable aupr s du Secr taire g n ral par le biais du DSS pour garantir la s ret et la s curit de tous les membres de l quipe et des personnes leur charge sur le lieu d affectation Dans certaines situations le chef d quipe UNDAC peut tre d sign comme DO responsable de son quipe UN
381. ons relatives des effets graves sur l environnement et les rapporter au Groupe conjoint de l environnement Les membres de l quipe UNDAC n ont pas pour mission de fournir des conseils techniques sur l environnement ou de mettre en uvre des solutions aux effets sur l environnement Leur r le se limite identifier les effets graves sur l environnement afin que des mesures de suivi puissent tre prises Il est galement important de noter que les accidents nucl aires et radiologiques n entrent pas dans le champ d action des membres UNDAC lors de l identification des effets sur l environnement Ces types d accident rel vent de la responsabilit de l Agence Internationale de l Energie Atomique AIEA J 3 D finitions e L urgence environnementale est une catastrophe impr vue ou un accident r sultant de facteurs naturels ou artificiels ou d une convergence des deux causant ou mena ant de causer des d g ts s rieux l environnement ainsi que des pertes de vies humaines et de biens e Les mati res dangereuses sont des substances qui constituent ou pourraient constituer une menace pour la communaut sant publique biens et environnement en raison de leurs caract ristiques telles que la toxicit et les propri t s physiques et chimiques e Les effets graves pr sentent un risque actuel ou imminent pour la vie et le bien tre des personnes et doivent tre trait s lors de la premi r
382. ont au m me titre que la Section de soutien la Coordination de Terrain FCSS les points de contact Gen ve pour une quipe des Nations Unies pour l valuation et la coordination en cas de catastrophe Le BCAH fonctionne vingt quatre heures sur vingt quatre avec des agents de permanence qui peuvent tre contact s en particulier hors des heures de travail et pendant les week ends et les vacances Si une quipe des Nations Unies pour l valuation et la coordination en cas de catastrophe souhaite contacter le BCAH Gen ve en dehors des heures de travail elle sera mise en relation avec l agent de permanence Si une quipe des Nations Unies pour l valuation et la coordination en cas de catastrophe souhaite discuter de probl mes techniques elle doit s adresser directement la FCSS du BCAH Gen ve K 3 Services fournis par le BCAH Conform ment la R solution de l Assembl e g n rale des Nations Unies n 46 182 le BCAH Gen ve a mis au point un syst me de r ponse en cas de situation d urgence pour coordonner les mesures prises par la communaut internationale la suite de catastrophes naturelles et de situations d urgence environnementale notamment d accidents technologiques Le BCAH est le point de contact de la communaut internationale pour mobiliser et coordonner la r ponse internationale en cas de catastrophe et peut tre contact vingt quatre heures sur vingt quatre Le Centre des op rations du BCAH Ge
383. ontacts avec eux pour promouvoir l action en faveur de l op ration de secours e Fn coop ration avec le responsable de la fonction de gestion de l information pr parer les informations pertinentes pour la presse R sultat attendu Une relation constructive avec la presse nationale locale et internationale Fonction S curit Mission Assurer le suivi de la situation en mati re de s curit et tablir des changes d informations r guliers avec le fonctionnaire de PONU charg des questions de s curit et avec les officiers de s curit des organismes de secours Informer r guli rement le personnel de l quipe UNDAC et les organismes de secours de la situation en mati re de s curit laborer un plan de s curit pour l quipe UNDAC y compris plan d vacuation si n cessaire Liste de contr le e En coop ration avec le D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies d finir un plan de s curit pour le personnel et le mettre jour en tant que de besoin e Assurer le suivi de la situation en mati re de s curit et des phases de s curit des Nations Unies Communiquer les proc dures de s curit toutes les parties concern es Contribuer et veiller aux plans et mesures de pr paration Faciliter les proc dures de mise en uvre des mesures de s curit e Si n cessaire faciliter l vacuation R sultat attendu Plan de
384. onvient de prendre un soin particulier de sa sant dans ces secteurs Q 4 2 Effets des hautes altitudes En termes m dicaux on s accorde g n ralement sur le fait qu une altitude lev e est une hauteur sup rieure 2 700 m tres et les conditions m dicales qui en r sultent sont li es ces altitudes Par ailleurs une altitude extr me est consid r e comme tant une zone situ e au dessus de 5 500 5 800 m tres Bien que des humains aient surv cu et v cu des altitudes extr mes il n existe pas d acclimatation r ussie et permanente ces altitudes Un manque d oxyg ne dans l air rar fi de haute altitude impose certaines pressions au corps humain Si l on r ussit surmonter ces changements physiologiques perceptibles l acclimatation sera satisfaisante Si tel n est pas le cas la vie peut tre menac e Outre le froid et l atmosph re rar fi e d autres facteurs de maladie sp cifiques aux altitudes lev es sont la faible humidit les rayonnements solaires et ultraviolets Bien qu il n existe pas ce jour de classification universelle des probl mes m dicaux survenant haute altitude l exp rience accumul e ces hauteurs permet d tablir une bauche de liste Si le processus d acclimatation devait tre affect de quelque mani re que ce soit les maladies pourraient tre de divers degr s d aigu s chroniques e Mal aigu des montagnes MAM une c phal e f
385. oordination E 2 Structure et mise en place d un Centre local de coordination des op rations E 2 1 Introduction E 2 2 Structure de l OSOCC E 2 3 Erreurs ne pas commettre lors de la mise en place de l OSOCC E 3 Liste de contr le des fonctions de coordination Annexe S lection d un site pour l OSOCC et pour le site camp de logement des Nations Unies E 1 Techniques de coordination et intervention Une quipe UNDAC n a pas seulement besoin d un mandat Elle doit fournir quelque chose que d autres veulent et dont ils ont besoin y compris informations installations comp tences quipement cr dibilit et autres si possible une combinaison de tous ces l ments dans une configuration attractive qui offre un lieu de rencontre un centre de coordination local des op rations ou un centre de coordination ouvert d autres Certaines comp tences dans le domaine faciliteront le processus de coordination Figurent ci apr s les techniques utiles pour assurer la coordination et les obstacles les plus fr quents cette coordination E 1 1 Techniques Promouvoir la compr hension des organisations participantes L quipe UNDAC doit d abord faire la connaissance des diff rents intervenants Ce n est qu en comprenant le mandat des diverses organisations leurs intentions et leurs capacit s ressources en mat riel et en personnel que l quipe pourra les associer utilement et attendre d elles des r sultats
386. ordination Utiliser les moments informels Il y a peu de temps disponible durant une mission UNDAC mais les occasions se pr sentent toujours de rencontrer la communaut des intervenants durant le temps libre repas ou moments de d tente Il ne faut pas manquer l occasion de b tir des relations efficaces dans ces moments l L change d informations sur ses loisirs ses quipes de sport pr f r es la famille etc contribuent l estime personnelle qui encouragera la participation au processus de coordination Proximit L quipe UNDAC a une occasion essentielle d agir sur le processus de coordination lors du choix du site et de l tablissement du centre de coordination Plusieurs fonctions prises en charge l origine par l quipe seront bient t transf r es ou assur es simultan ment par d autres entit s des Nations Unies le Centre logistique commun des Nations Unies et le Service a rien d aide humanitaire des Nations Unies pour la logistique et le transport le Centre d information humanitaire pour la gestion de l information le D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies pour la s curit etc Ces organisations offrent des services utiles de ce fait la communaut humanitaire voudra rester proximit L quipe doit veiller ce que ces organisations tablissent leur bureau l int rieur du centre de coordination ou le plus pr s possible La communaut human
387. ordination se traduit par des lacunes dans les services fournis aux populations touch es des doubles emplois une aide inadapt e une utilisation peu efficace des ressources des goulets d tranglement des obstacles une faible r activit aux changements de situation ainsi qu une frustration ressentie par les secours les autorit s et les rescap s la situation d urgence n est donc pas trait e de mani re satisfaisante Au contraire quand elle est optimale la coordination favorise l humanit la neutralit et l impartialit de l aide l am lioration de l efficacit de la gestion une conception commune de la meilleure issue possible une situation une vision harmonieuse de la prestation de services et la confiance des donateurs Cette derni re se traduit par l obtention des ressources n cessaires aux r sultats souhait s c est dire r duire le plus possible la souffrance des populations et les dommages mat riels retrouver au plus vite des conditions de vie normales et reprendre les progr s en mati re de d veloppement La coordination d bute par le d veloppement de relations entre les partenaires et le partage r gulier d informations puis au fur et mesure de sa progression on constate une modification de la mani re dont les secours mettent en uvre leurs programmes d aide Du fait de cette coop ration les individus et les organisations adaptent leurs actions en fonction de l volut
388. orit nationale de gestion des catastrophes Les modalit s de mise en uvre de ces recommandations doivent tre n goci es en collaboration avec les deux parties J SITUATIONS D URGENCE ENVIRONNEMENTALE J 1 Introduction J 2 Champ d action et r le de l quipe UNDAC J 3 D finitions J 4 Identification des effets J 5 Collecte de l information J 6 Comment contacter le Groupe conjoint de l environnement J 7 S curit des personnes Annexe Cat gories de mati res dangereuses par industrie Conditions m t orologiques Outils d information Effets sur l environnement Symboles de transport de l ONU J 1 Introduction Les catastrophes importantes ont des effets n gatifs sur l environnement dont certains peuvent constituer une menace pour la vie et le bien tre des personnes Une aide humanitaire efficace consiste en grande partie s assurer que ces effets sur l environnement soient identifi s et que des actions soient entreprises pour les att nuer Certains effets sont graves et doivent tre trait s imm diatement d autres plus durables peuvent tre trait s pendant les phases de redressement et de reconstruction Au cours des missions UNDAC il s agit d identifier les effets qui pr sentent le risque le plus imm diat pour la vie et le bien tre des personnes afin que des mesures soient prises Les effets des catastrophes naturelles sur l environnement comprennent g n ralement l impact sur les
389. ormation Les ERU fournissent des services essentiels aux victimes d une catastrophe et comblent les lacunes des services quand les installations locales ne peuvent faire face tous les besoins ou ont t d truites Des normes minimales relatives l quipement et la formation garantissent un niveau correct et pr visible de qualit et de compatibilit des groupes et de leur performance Les ERU sont constitu s comme suit e Logistique faciliter la r ception d articles de secours et d autres ERU e TI T l communication faciliter les communications entre les diff rents partenaires de la Croix Rouge et du Croissant Rouge e Traitement de l eau et voie d approvisionnement le traitement et le stockage de l eau potable aux normes Sphere et de l OMS pour fournir jusqu 600 000 litres jour 40 000 b n ficiaires e Distribution et camionnage de l eau le syst me de stockage et de distribution d eau potable pour des zones recul es fournissant jusqu 75 000litres jour e Assainissement collectif l assainissement de base et les interventions sanitaires environnementales promotion de l hygi ne pour jusqu 40 000 b n ficiaires construction de latrines traitement des d chets solides et enterrement de cadavres e Eau sp ciale fournit une eau potable s re et un assainissement de base des centres de sant et 15 000 b n ficiaires Traite et fournit 120 000 litres jour e Soins m dicaux de base fo
390. ormez le CR CH si vous tes chef d quipe ou le chef d quipe si vous tes le point de contact de l quipe avec les m dias ou un membre de l quipe apr s un entretien Si les propos d un membre de l quipe ont t cit s de mani re incorrecte le CR CH doit tre contact imm diatement pour pouvoir faire une nouvelle d claration aupr s des m dias Cependant d s qu une histoire a t publi e 1l est g n ralement trop tard pour la rectifier aupr s du public mais les m dias doivent tout de m me tre inform s de l erreur commise F 5 Pr paration des appels F 5 1 Mobilisation de la communaut internationale Lorsque le gouvernement du pays touch demande la communaut internationale d apporter de l aide lors d une situation d urgence le BCAH peut lancer un appel clair l aide internationale et l quipe UNDAC peut tre exceptionnellement charg e de l aider dans sa pr paration L appel clair couvre normalement les besoins du syst me des Nations Unies et de ses partenaires humanitaires pour l aide d urgence En cas de catastrophes naturelles graves ou tendues il peut galement couvrir les besoins de plusieurs pays dans une r gion du monde L quipe UNDAC sera normalement impliqu e dans la pr paration des appels li s aux catastrophes naturelles mais pas aux situations d urgence complexes Le BCAH Gen ve envoie g n ralement un agent de pr paration
391. ormulaire utiliser pour le compte rendu de la mission se trouve dans le logiciel de la mission de l UNDAC Questions administratives Tous les membres doivent compl ter le formulaire Voyages des Nations Unies d s que possible apr s leur retour de mission dans les 3 jours afin de permettre un remboursement rapide Pour contribuer cette proc dure la liste des documents n cessaires figure galement dans le mat riel d information fourni l quipe au moment du d part e Autorisation de voyage des Nations Unies e Originaux des billets d avion utilis s y compris cartes d embarquement et souches des billets et originaux ou photocopies des billets de prolongement de parcours d livr s dans le pays e Originaux des justificatifs de d penses par exemple re us de taxi communications t l phoniques officielles etc Les Nations Unies ont une politique tr s restrictive en mati re de remboursement des d penses qui n ont pas t autoris es explicitement au pr alable sur l autorisation de voyage Il convient donc de consulter le chef d quipe et ou le BCAH Gen ve avant d exposer de telles d penses Si les communications t l phoniques officielles sont pass es depuis un h tel ou un t l phone portable personnel une facture d taill e des num ros appel s et des dates doit tre r clam e l h tel et ou l op rateur e Journal de tout les d placements dans le pays notes sur les photographi
392. ort la phase III Equipement Pas de changement par rapport la phase III Phase V T l communications Proc dures sp ciales d habilitation en mati re de s curit et de ressources n cessaires dirig es par le DSS Plan de s curit et personnel Proc dures sp ciales d habilitation en mati re de s curit et de ressources n cessaires dirig es par le DSS Equipement Proc dures sp ciales d habilitation en mati re de s curit et de ressources n cessaires dirig es par le DSS Sensibilisation aux mines Dans un grand nombre de pays dont certains sont expos s aux catastrophes naturelles il reste des mines suite divers conflits Il est indispensable que les membres des quipes UNDAC se rendant dans ces pays aient une connaissance minimale des moyens d viter les mines et sachent comment r agir si le pire arrive Dans ce manuel il n est pas possible d entrer dans les d tails concernant les pr cautions prendre contre les mines Il est donc recommand de demander des informations suppl mentaires par exemple l une des ONG cr es au cours des derni res ann es pour traiter ce genre de risque Les recommandations suivantes expliquent les choses faire et celles ne pas faire viter les mines Tout d abord il est conseill de solliciter des informations locales aupr s des autorit s des Nations Unies et des ONG sur la localisation po
393. ort de produits d aide alimentaire depuis les points d entr e jusqu aux d p ts r gionaux Ces actions ne sont en grande partie possibles que si des contributions suffisantes en nature ou en argent sont mises disposition cet effet par les donateurs Moyens Le PAM g re la R serve alimentaire internationale d urgence IEFR qui en principe comprend l quivalent d au moins 500 000 tonnes de c r ales par an mais est souvent exc dentaire et g re un ensemble s par de ressources que les donateurs s engagent fournir titre d aide des op rations prolong es en faveur de r fugi s et de personnes d plac es En outre des dotations annuelles sont mises de c t en marge des ressources g n rales du PAM 15 000 000 de dollars pour l aide d urgence plus 30 millions de dollars pour l aide prolong e Un compte en esp ces appel Compte de R ponse imm diate IRA a t cr en 1992 il fait partie int grante de l IEFR pour l achat et la livraison de nourriture pour permettre de r agir le plus rapidement possible de nouvelles situations d urgence avant l arriv e de denr es alimentaires par les voies habituelles Les achats se font localement si c est possible ou bien r gionalement ou internationalement selon ce qui est jug le plus rationnel et compatible avec une arriv e en temps utile Un fonds en esp ces de 30 000 000 de dollars libre de restrictions est aliment sur la base du volontariat par le
394. orte son soutien l agence chef de file de chaque secteur il peut par ailleurs organiser au tout d but de l intervention une r union entre les diff rents secteurs D s l apparition d une situation d urgence humanitaire notamment dans le cas d une catastrophe naturelle qui n cessite des actions de recherche et de sauvetage le BCAH identifie les zones d action prioritaires et coordonne les secours internationaux sur le terrain en collaboration avec les autorit s nationales et locales Relier Dans le cas d une situation d urgence de grande ampleur nombre d entit s proposent une aide humanitaire gouvernement du pays agences de l ONU organisations internationales ou non gouvernementales ONG Le BCAH est alors charg d assurer la liaison entre les diff rentes parties prenantes et la coh rence globale de l aide Ainsi le BCAH garantit il la p rennit des contacts pour favoriser la programmation int gr e et les changes r guliers et efficaces d information Surveiller Avec l volution de la situation de nouveaux besoins apparaissent certains autres sont satisfaits ou deviennent moins urgents et de nouveaux partenaires se joignent aux efforts humanitaires Le BCAH assure la surveillance de la situation d urgence des besoins et de l aide d j fournie pour identifier au plus vite les nouveaux besoins les carences ou au contraire les doublons dans les interventions et les progr s enregistr
395. otection de l enfance UNICEF M 2 6 Programme Alimentaire Mondial PAM M 2 7 Organisation Mondiale de la Sant OMS M 3 Le Mouvement de la Croix Rouge et du Croissant Rouge M 4 Organisations non gouvernementales ONG M 5 L Equipe d intervention en cas de situations de Catastrophe de l USAID DART M 6 L Union Europ enne UE M 7 Le Partenariat humanitaire international IHP M l Introduction Lorsqu elle est en mission une quipe UNDAC travaille au sein d un environnement d aide humanitaire qui englobe toute une s rie d organisations oeuvrant au m me objectif Celles ci vont des autorit s nationales et locales d crites dans une autre partie de la pr sente brochure des organisations d aide humanitaire internationales et locales en passant par des organisations des Nations Unies Les membres UNDAC doivent conna tre ces organisations et doivent tre capables de travailler en collaboration avec elles de mani re efficace en faisant souvent office de catalyseur de la coop ration au sein de la communaut humanitaire Les organisations avec lesquelles une quipe UNDAC a le plus de chances de coop rer sont bri vement d crites au pr sent chapitre M2 Le syst me des Nations Unies M 2 1 Equipe des Nations Unies pour la Gestion des Catastrophes EGC Une quipe pour la gestion des catastrophes EGC doit tre pr sente dans chaque pays expos des catastrophes L EGC est convoqu e et pr sid e par le CR CH d
396. ou le bureau d une autorit nationale Si l quipe arrive directement sur le site d une catastrophe o le CR CH n est pas repr sent elle doit trouver une base telle qu un h tel un bureau ou tout autre site partir duquel elle peut op rer de pr f rence aussi proche que possible des autorit s nationales charg es de g rer la situation Premier rapport D s qu elle a tabli sa base l quipe doit communiquer au BCAH ses coordonn es ainsi que toute information connue sur la situation d urgence et les actions pr vues D finir les priorit s Apr s les premiers contacts avec le CR CH et le premier rapport au BCAH l quipe doit d finir ou red finir ses priorit s imm diates en fonction des informations disponibles sur la situation d urgence et des possibilit s dont elle dispose Une information sur la s curit doit tre donn e l ensemble de l quipe le plus vite possible apr s l arriv e Si cela n est pas fait l initiative du bureau du CR CH l quipe doit le demander Dans certaines situations d urgence un officier de s curit du D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies peut tre int gr l quipe UNDAC voir aussi Chapitre N S ret et s curit D placement sur le terrain Si l quipe est arriv e dans la capitale ou en dehors de la zone imm diatement touch e une d cision doit tre prise sur la mani re dont l quipe se re
397. ou partiel qui transmettre les responsabilit s e s assurer que les syst mes sont correctement mis en place pour viter que les structures ne s effondrent apr s le d part de l quipe e quel quipement laisser sur place pour les autres acteurs qui restent sur le terrain e int grer les autres ressources acteurs agences d s le d but de la mission pour faciliter le transfert de responsabilit e collaborer avec les acteurs locaux d s le d but de la mission pour les former Bilan Gen ve avec qui faut il inclure toute l quipe type de bilan format pr sentation e le garder en interne c est dire pr server la confidentialit pour am liorer le syst me et ou le publier pour faciliter la transparence et la confiance vis vis du syst me UNDAC e quand imm diatement apr s la d mobilisation des membres de l quipe et ou suivi de l tat physique et mental des membres Le ons tir es de la mission e objectif boucler la boucle e action corrective pour am liorer les pratiques rectifier les probl mes e outil de promotion du syst me UNDAC am lioration continue dans l optique de futures missions D partement de la traduction se j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 08 07 e renvoi de l information concernant le processus d action corrective aux membres de l quipe
398. ou plusieurs des entit s ci apr s Gouvernement national autorit locale de gestion de la situation d urgence Institution des Nations Unies normalement PNUD ONG internationale Membre s du personnel du BCAH d ploy sp cifiquement cette fin D 9 3 Fin de la mission BCAH Gen ve la fin de la mission tous les membres de l UNDAC rentrent dans leur pays d origine ou passent par Gen ve o ils font rapport et le cas ch ant participent des r unions d information g n rale avec les repr sentants de la communaut internationale et les institutions repr sent es Gen ve S il n est pas possible de faire rapport Gen ve en raison de l implication grande chelle d une quipe nationale ou r gionale de PUNDAC le BCAH Gen ve organise cette r union dans la r gion ou par t l conf rence Compte rendu de la mission Le compte rendu de la mission s effectue avec le r dacteur responsable de la situation d urgence et du personnel de la FCSS Il couvre les points ci apr s et tous les autres points pertinents afin de tirer les le ons de la mission et d enrichir la m moire institutionnelle Pr d part Arriv e dans le pays orientation Activit s de PUNDAC durant la mission Relations avec d autres organisations et entit s durant la mission Questions organisationnelles et administratives durant la mission quipement durant la mission Autres questions commentaires Le f
399. our r cup rer quoi que ce soit Les lunettes prot geront les yeux Les insectes la recherche de sel se pr cipitent vers les parties moites du corps Se prot ger les aisselles et l aine contre leurs piq res douloureuses Protection contre les moustiques Porter un filet ou un T shirt sur la t te en particulier l aube et au cr puscule De pr f rence prendre une bande de tissu de 45 cm de large assez longue pour se l enrouler autour de la t te la d couper pour confectionner une frange de bandes verticales suspendues un bandeau qui se balanceront autour du visage et sur le cou Rester couvert la nuit y compris les mains De 11 Phuile de la graisse ou de la boue tal e sur les mains et le visage peuvent aider repousser les insectes Utiliser du bambou ou un arbuste pour soutenir une tente en v tements et de larges feuilles recouvrant la moiti sup rieure du corps Un feu d gageant de la fum e contribuera loigner les insectes Se couvrir les pieds De bonnes chaussures et une protection pour les jambes sont indispensables Enrouler de l corce ou de tissu autour de ses pieds les fixer afin de se couvrir les jambes pour se prot ger des sangsues et des mille pattes Attention aux chenilles velues Toujours les loigner dans le sens de leur marche sinon de petits poils irritants pourraient demeurer sur la peau et provoquer un prurit susceptible de s infecter avec la chaleur Attention aux envah
400. paramilitaires possibles au niveau national Forces arm es nationales Police nationale r gionale et locale Structures paramilitaires telles que la police des fronti res et des douanes Autres forces militaires ou paramilitaires nationales e Intervenants militaires internationaux possibles Forces internationales stationn es dans le pays ou la r gion Missions de maintien de la paix de l ONU dans le pays ou la r gion Pays disposant d attach s militaires dans le pays Membres d alliances r gionales Nations ayant des accords bilat raux d assistance militaire Interfaces Les questions suivantes visent identifier les interfaces cruciales trouver les structures de coordination importantes et contribuer identifier tous probl mes potentiels susceptibles de nuire la coordination militaire 1 Interface militaire nationale et internationale Quel est le statut des forces militaires internationales Les forces militaires internationales sont elles situ es aux c t s des forces militaires nationales Ont elles des installations ou des bases en commun La force militaire internationale a t elle une libert de mouvement Ces relations s inscrivent elles dans un syst me d alliance r gionale y Les forces militaires ont elles un pouvoir d arrestation ou de d tention Les forces militaires sont elles impliqu es dans des op rations de combat A qui les forces militaires internationales font elles rapport
401. parvenir la r solution demande au Secr tariat g n ral de nommer au sein du Sous secr tariat g n ral pour les affaires humanitaires un Coordonnateur des secours d urgence CSE assist d un secr tariat le BCAH La r solution 46 182 de l Assembl e g n rale reprend la mission confi e par la r solution initiale 2816 XX VD du 14 d cembre 1971 Les responsabilit s confi es au CSE et son secr tariat le BCAH sont principalement la coordination la promotion et l information et elles incluent les l ments suivants e Coordonner faciliter et mobiliser l aide humanitaire du syst me des Nations Unies dans les situations d urgence qui n cessitent une r action coordonn e e Fournir des services qui optimisent l utilisation des ressources allou es l aide humanitaire notamment le renforcement la gestion et la communication de l information par le biais de comptes rendus de situation de donn es d alerte rapide et d valuations des besoins e Mobiliser des ressources par des appels de fonds inter agences g rer les fonds destin s aux interventions et assurer la surveillance financi re des dons e Am liorer la comp tence du personnel gr ce des programmes de formation et autres activit s de perfectionnement e Agir en tant que centre de coordination de la promotion des questions humanitaires des possibilit s d action pr ventive et de la s curisation de l acc s aux victimes
402. pour pr parer le rapport de mission UNDAC I 4 3 Garantir la pr paration dans le pays pour les activit s de l quipe UNDAC Le chef d quipe UNDAC par le biais de la FCSS doit faire en sorte qu un calendrier appropri pour les activit s de l quipe UNDAC soit tabli avant l arriv e de l quipe dans le pays Ce calendrier comprend les r unions avec le CR CH l quipe pays des Nations Unies les entit s gouvernementales li es les ONG les donateurs et les soci t s de la Croix rouge et du Croissant rouge ainsi que les visites de terrain L quipe doit s assurer que les visites de terrain commencent d s que possible apr s son arriv e Il est recommand de r server un jour apr s l arriv e de l quipe pour les premi res r unions avec les autorit s et de pr voir au moins deux jours apr s les visites de terrain pour finaliser le rapport I 4 4 Le plan du rapport de mission En s appuyant sur la pr sentation propos e pour le rapport de mission UNDAC au point I 6 l quipe doit laborer un plan pr liminaire du rapport de mission comprenant les exigences sp cifiques indiqu es dans le mandat de sa mission Cela permettra de garantir que les sous quipes sont totalement concentr es sur les points dont elles sont charg es et que l quipe UNDAC n oublie aucun l ment du mandat dans son rapport final Ce plan pr liminaire peut tre modifi une fois dans le pays mais 1l est essentiel
403. pport d activit r gulier R viser l organisation de l quipe D terminer s il y a besoin d augmenter les d placements de l quipe ou les valuations sur le terrain Recenser les lacunes dans les comp tences de l quipe et les besoins de renforcement des comp tences e D terminer s il y a besoin d organiser d autres r unions e Entretenir des contacts r guliers avec Gen ve e Organiser un repos syst matique des membres de l quipe Contraintes e Soutien capacit s de l quipe de pays des Nations Unies du Gouvernement e Soutien et capacit s logistiques Y compris en mati re d infrastructures lorsque celles ci ont disparu e Sensibilit s et cons quences culturelles jours f ri s diff rences hommes femmes e Non existence d informateurs de base e S curit Tous les membres de l quipe doivent tre inform s au fur et mesure des modifications apport es au plan d action Il faut garder l esprit le fait que le plan d action est un document vivant qui change au cours de la mission au fur et mesure de l volution de la situation D 6 1 Contenu Le plan d action doit rester bref simple et concret et se pr senter sous forme d num rations en style t l graphique de mani re viter des informations trop d taill es qui changeront au fur et mesure de l volution de la situation Les points suivants doivent y tre trait s e Situation Informations c
404. probl mes Si vous avez vu la blessure se produire et que le patient est conscient et capable de communiquer efficacement avec vous cette tape est assez simple Si une barri re linguistique existe ou si le patient est inconscient cette tape est plus difficile Soyez sensible aux diff rences culturelles en particulier si le patient est d une culture d un D partement de la traduction sles j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 14 sexe diff rent Choc La forme de choc la plus courante sur le terrain est le choc traumatique r sultant d une blessure S il n est pas trait il risque d entra ner le d c s Surveillez toujours les signes de choc et traitez le syst matiquement en cas de blessures graves Le patient peut avoir froid et tre moite p le avoir un pouls faible et rapide une respiration superficielle et rapide ou une combinaison de ces sympt mes Except dans les cas de blessures la t te allongez le patient sur le dos et levez ses jambes Couvrez le avec une couverture normale ou chauffante et surveillez ABC H morragie Il existe plusieurs moyens de ma triser une h morragie Ces tapes doivent tre r alis es dans l ordre suivant e Pressez un carr de gaze st rile directement sur la blessure Lorsque l h morragie s arr te fixez la gaze l aide de sparadrap ou autre En enlevant imm diatement la
405. professionnel suivez les instructions suivantes 1 S il existe un chemin s r Si possible trouvez la zone s re la plus proche C est la direction vers laquelle le chemin doit mener Le chemin le plus s r sera g n ralement l itin raire utilis pour p n trer le champ de mines Si plus d une personne est pr sente dans le champ de mines il faut d signer un seul responsable et une seule personne doit bouger la fois Gardez une distance de s curit d au moins 10 20 m tres entre chaque personne L itin raire emprunt pour p n trer le champ de mines doit tre suivi de tr s pr s et la personne en mouvement doit rester vigilante chaque instant Il faut si possible viter de paniquer 2 S il n existe pas de chemin s r Si vous ne vous rappelez pas quel itin raire vous avez emprunt pour p n trer le champ de mines ou si vous trouvez une mine sur l itin raire que vous croyiez s r le seul moyen d avancer est de sonder le sol l aide d un outil par exemple un couteau d au moins 8 10 cm de long pensez vous munir d un tel instrument avant de p n trer sur une zone risque Enfoncez le dans le sol selon une inclination de 30 degr s Chaque centim tre carr du chemin doit tre sond Si vous rencontrez un obstacle d couvrez le pr cautionneusement S il s agit d une mine pr venez les autres et marquez l emplacement utilisez des pierres des morceaux de bois etc et co
406. ption et de d part nationales Services communs Gestion OSOCC ONU ONG TSF MapAction etc Op rations Liaison CR CH quipe Gestion de l information S curit et s ret de coordination des Nations Unies et BCAH Administration Logistique Organisations Informatique Communicaito Presse internationales n annexe OSOCC annexe OSOCC annexe OSOCC Centre de r ception et de d part RDC Bien souvent il sera n cessaire de mettre en place un Centre de r ception et de d part dans le cadre de l OSOCC Ce centre sera situ au point d arriv e des quipes de secours internationales afin de faciliter leur arriv e et leur d ploiement dans la zone de la catastrophe Cela est particuli rement vrai dans le cas de s ismes lorsque l arriv e rapide d quipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain parfois en grands nombres est n cessaire Conform ment aux directives du Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage les premi res quipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain sont responsables de la mise en place et de la dotation en personnel du RDC en attendant que l quipe UNDAC arrive et soit op rationnelle l issue de la phase de recherche et de sauvetage le RDC se transforme en centre de d part et assume les t ches qu il avait l arriv e des quipes de recherche et de sauvetage en milieu urbain Les directives pour le RDC sont incluses dans les directives de l OSOCC
407. qu elles sont capables de fournir L quipe UNDAC doit rencontrer d s que possible les repr sentants des diverses organisations humanitaires intervenant dans cette situation d urgence et s entretenir avec eux L entretien doit suivre la proc dure classique et mettre les conclusions la disposition du centre de coordination dans un dossier de r f rence En principe toute personne devrait pouvoir se pr senter au centre et avoir acc s facilement aux informations descriptives concernant tous les organismes intervenant et les caract ristiques de leurs op rations Ces dossiers doivent tre mis jour r guli rement Lors d une op ration de longue dur e il sera important de d finir qui fait quoi et o et de le mettre par crit pour l information des nouveaux arrivants et des visiteurs tablir les liens Lors des rencontres avec les repr sentants des organisations il est important de d signer la personne avec qui cette organisation doit avoir des relations Cette d signation est fonction de diff rents facteurs tels que le secteur la zone g ographique de l op ration la pr sence ou non d un agent de coordination du gouvernement ou de l opposition etc Les membres de l quipe doivent veiller ce que les liens soient tablis Dans bien des cas cela suppose de prendre contact avec les parties d organiser une r union d accompagner l une des parties et de faciliter la mise en relation des repr sentan
408. quis par le Partenariat humanitaire international IHP Ces camps disposent des installations suivantes chambres bureaux cuisines salles de bain douches etc ainsi que de toutes les infrastructures n cessaires la gestion du camp L quipe UNDAC peut tre charg e de trouver et de s lectionner le site du camp et plusieurs tudes doivent tre r alis es avant de prendre la d cision finale Si possible essayez d tablir un contact avec le chef d quipe du module de camp avant que le module n arrive afin d examiner les exigences exactes du camp pr vu Un contrat pour l utilisation du site doit tre sign avant l arriv e du module de soutien Une fois que l quipe est arriv e les propri taires risquent d avoir des doutes en voyant l activit intense sur le site tude de site Exigences pour la zone Lorsque vous s lectionnez un site pour le camp il existe une r gle simple d exigences minimales pour la taille de la zone Il faut 1000 m pour commencer Cette zone sera ensuite utilis e pour les installations communes par exemple les cuisines salles de bain entrep ts g n rateurs etc A cela s ajoute 15 m par personne log e 10 m par bureau et 15 m par v hicule c est dire qu un camp de 25 personnes avec 10 bureaux et 10 emplacements de parking devra faire 1 575 m S curit La zone doit tre facile s curiser afin d interdire l entr e aux visiteurs ind s
409. r de marcher vers cette personne Approcher l int ress en rampant plat ventre sur la glace de mani re r partir le poids du corps sur la surface la plus large possible En cas de chute se diriger vers le bord de la fissure et se laisser flotter sur le dos Lever la jambe sur la glace puis l paule et essayer de remonter sur la glace en r partissant son poids sur une surface aussi large que possible Progresser vers la terre ferme Se rouler dans la neige pour absorber l eau S abriter et s cher le mat riel aussit t Q 3 3 Habillement Un froid rigoureux g le une peau expos e en quelques minutes Couvrir chaque partie de son corps et sp cialement la t te qui est la plus vuln rable et importante Porter un bonnet de laine et le couvrir d un capuchon couliss la fourrure emp che la respiration de geler sur le visage et d attaquer la peau Si le v tement n a pas de lacet de serrage fixer les manches au dessus des poignets rentrer le pantalon pour emp cher la chaleur de s chapper Si l on transpire desserrer son col ou ses manches ou retirer une couche Les v tements de dessus devraient tre l preuve du vent mais non imperm abilis s ce qui pourrait retenir la vapeur l int rieur les peaux d animaux sont id ales Les couches internes doivent retenir l air pour l isolation La laine est le meilleur mat riau pour les v tements de dessous Elle n absorbe pas l eau et reste
410. r une hauteur plus lev e La taille des palettes commerciales varie mais la plupart du temps elles mesurent approximativement 2 20m x 2 70m ou 2 20m x 3m Elles sont utilis es sur les DCB8 les BB727 les DCB10 et les BB747 et p sent plus de 130 kg Ces palettes sont galement r utilisables On utilise des palettes d approximativement 2 20m x 3m sur les avions commerciaux Hercules Il est possible de charger des palettes bord de l avion mais cela est difficile et prend beaucoup de temps Rappelez vous que le temps de service de l quipage est limit e Conteneurs Le chargement est d abord plac dans des conteneurs ferm s et ensuite dans l avion Cette m thode est utilis e pour charger de grandes quantit s de marchandises de formes et de tailles diff rentes et la charge maximum varie entre 450 et 11350 kg Chaque type de conteneur est con u pour tre charg et d charg en utilisant un syst me de chargement m canis ou un chariot l vateur La mise en conteneur est tr s difficile et prend du temps Il est parfois impossible de charger la main ou de d charger les conteneurs une fois qu ils sont plac s dans l avion Si un chariot l vateur est utilis pour charger ou d charger les conteneurs ou les palettes assurez vous que le chariot peut porter la palette la plus grande qu il est quip de fourches suffisamment longues pour contrebalancer le poids et que le point le plus haut du chariot
411. rales ou sa cha ne de commandement Ce d veloppement ne se produit habituellement qu en cas de situation d urgence complexe et ne sera pas abord en d tail dans le pr sent manuel E 2 3 Erreurs ne pas commettre lors de la mise en place de POSOCC Planification de l OSOCC Pas de gestionnaire de l OSOCC clairement d sign Le gestionnaire de OSOCC doit tre d sign avant la mise en place de POSOCC pas le chef d quipe UNDAC Il a pour mission de pr voir la mise en place de POSOCC et de superviser et soutenir les activit s du personnel de l OSOCC dans l organisation de leur travail La phase de planification de l OSOCC est lud e Il est essentiel de consacrer suffisamment de temps la planification de l OSOCC Les r les t ches et r sultats attendus du travail de ses membres et des relations entre eux doivent tre clairement d finis Tous les membres de l OSOCC doivent comprendre clairement comment celui ci fonctionnera qui joue quel r le et quelle sera sa contribution Les membres de l OSOCC n ont pas des t ches bien d finies Chaque membre du personnel de l OSOCC doit savoir nettement quelles sont ses t ches et quels sont les r sultats qui sont attendus de son travail cf E 3 Chaque membre de l OSOCC doit galement comprendre quelles sont les t ches des autres membres et quelles sont les relations entre les activit s des uns et des autres Mise en place de l OSOCC La cellule de gestion
412. rance Accidents personnels et maladie pour les membres de l UNDAC en mission qui ne sont pas couverts par l assurance de leur employeur ou de leur tat Cette assurance est valable pendant la dur e de la mission de l UNDAC Les membres des institutions des Nations Unies sont couverts par leur assurance ONU Les membres de l UNDAC doivent signer et retourner le formulaire de proposition d assurance qui leur est envoy avec le message de mise en r serve de l UNDAC M2 Le formulaire d assurance sign doit tre envoy la FCSS par t l copie ou par courriel avec signature scann e avant le d part des membres de l UNDAC en mission Pour faire valoir cette assurance le membre de l UNDAC doit communiquer imm diatement un rapport au BCAH Gen ve FCSS qui le transmettra pour examen la compagnie d assurances D 8 4 Assurance contre les actes malveillants la suite des v nements du 11 septembre 2001 les assureurs ont apport des modifications l assurance des Nations Unies contre les actes malveillants il a t demand qu il n y ait jamais plus de 30 membres du personnel des Nations Unies y compris les experts en mission donc les membres de l UNDAC voyager ensemble sur le m me avion Les membres de l UNDAC doivent s assurer du nombre de membres du personnel de l ONU voyageant sur le m me avion en particulier dans les endroits o les Nations Unies op rent leurs propres services a riens
413. rapp par une catastrophe D s qu il est saisi d une demande d aide le MIC en informe imm diatement les autorit s nationales de protection civile Il nomme souvent des experts pour la coordination et l valuation qui se rendent sur les lieux pour identifier les besoins de protection civile et contribuer la livraison et la distribution efficaces de l aide Pour des catastrophes survenant hors de l Union le MIC envoie habituellement une quipe d valuation et de coordination de l UE Cette quipe est compos e de deux ou trois personnes d Etats membres expertes dans la gestion des urgences Son r le est d assurer un bon change d informations entre toutes les quipes europ ennes un partage optimal du travail entre les diff rentes quipes pr sentes sur le site ainsi qu une coop ration ad quate avec l ONU et les autres partenaires pr sents sur le terrain Quand l quipe UNDAC aura tabli un Centre local de Coordination des Op rations OSOCC le MIC de l UE coordonnera ses activit s dans le cadre de l OSOCC M 7 Le Partenariat humanitaire international IHP Pour avoir des renseignements sur le Partenariat humanitaire international IHP et le Partenariat humanitaire Asie Pacifique PHAP voir la section D 7 du Chapitre D Mobilisation et Mission N S RETE ET SECURITE N 1 Introduction N 2 S curit des Nations Unies N 2 1 Entit s des Nations Unies concern es par la s curit N 3 Phases du plan de s curit d
414. rcer et de couper le b ton qu on rencontre g n ralement la p riph rie des villes Les quipes USAR moyennes ne sont pas cens es pouvoir couper casser et percer le b ton arm renforc par de l acier de construction Les quipes internationales USAR moyennes voyageant vers le pays touch doivent tre op rationnelles dans le pays touch dans les 32 heures suivant l annonce de la catastrophe sur le r seau virtuel de l OSOCC quipes USAR lourdes Elles ont la capacit op rationnelle pour les op rations techniques difficiles de recherche et de sauvetage dans les situations d urgence impliquant un effondrement structurel en particulier celui de structures renforc es avec de l acier de construction Les quipes lourdes sont destin es l aide internationale lors de catastrophes impr vues provoquant l effondrement de plusieurs b timents en b ton arm qu on rencontre g n ralement dans les zones urbaines lorsque la capacit d intervention nationale est d pass e ou que le pays ne poss de pas la capacit requise Les quipes internationales USAR lourdes voyageant vers le pays touch doivent tre op rationnelles dans le pays touch dans les 48 heures suivant l annonce de la catastrophe sur le r seau virtuel de l OSOCC Quelques vides espace confin Ci dessus un tableau d utilisation des quipes USAR lourdes moyennes et l g res H 2 3 Responsabilit s du BCAH des pays to
415. rd En cas d inondation dans un pays en d veloppement rappelez vous que le d bordement des sources d eau comme les puits cr e un probl me d eau potable qui doit tre trait imm diatement La mise en place rapide d un syst me de traitement des d chets rudimentaire est pr f rable la fourniture tardive d un syst me perfectionn Les techniques les plus simples doivent tre employ es Alimentation et nutrition Les aliments pr par s sur place avec des ingr dients locaux sont pr f rables aux aliments import s Si des aliments non familiers ou de nouvelles m thodes de cuisson et de pr paration sont introduire une formation l mentaire doit tre dispens e Dans la mesure du possible organisez une distribution de nourriture lyophilis e pour permettre aux familles de pr parer leurs propres repas Les enfants les femmes enceintes et celles qui allaitent les personnes malades et les personnes g es sont souvent les plus vuln rables la malnutrition et ont des besoins sp cifiques Les c r ales doivent tre fournies uniquement au d but d une situation d urgence N incluez pas de lait en poudre ou cr m dans la distribution g n rale de nourriture Gestion des campements Un site appropri et des abris ad quats pour les personnes d plac es sont essentiels au d but d une situation d urgence Le manque de l un ou de l autre portera atteinte au bien tre des personnes d plac es
416. re et lectrocardiogramme ECG EKG e Examen des seins et test PAP frottis cervical pour les femmes e Examen dentaire e Test visuel Vaccinations Une mission UNDAC peut avoir lieu dans une zone d exposition des maladies contagieuses Des conditions de sant publique alt r es par les situations d urgence peuvent accro tre les risques de contracter une maladie En plus de l hygi ne personnelle certaines vaccinations sont recommand es contre e La fi vre jaune obligatoire pour entrer dans certains pays Le t tanos combin avec la dipht rie La poliomy lite Les h patites A et B La typho de Le chol ra faire avant le d part La m ningite Autres vaccinations en fonction des maladies end miques dans la r gion du monde o vous vous rendez par exemple l enc phalite japonaise la rage etc D partement de la traduction ses j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 J Il est recommand de discuter avec son m decin des vaccinations n cessaires afin de r pondre aux besoins et d tablir un calendrier des vaccinations Il est d conseill d effectuer toutes ces vaccinations en une seule fois tant donn le temps n cessaire pour une vaccination compl te et le tr s bref pr avis donn pour les missions UNDAC il est fortement conseill de tenir ses vaccinations jour Il est recommand d utiliser le certifica
417. re que des informations suppl mentaires sont disponibles et que sont cr s davantage de plans d taill s L objectif est de collecter des fonds permettant de r agir aux catastrophes Fonds d urgence pour les secours en cas de catastrophe DREF Le DREF est un fonds servant affecter les moyens financiers n cessaires au d marrage des op rations Il est utilis pour les op rations importantes jusqu ce que des fonds soient disponibles gr ce l Appel d urgence ainsi que dans des situations d urgence mineures pour lesquelles un Appel d urgence n est pas envisag Base de donn es sur la Gestion des catastrophes DMIS La DMIS est un site extranet Croix Rouge Croissant Rouge pour l change d information et la gestion des catastrophes Il couvre notamment la surveillance et la cartographie de catastrophes potentielles la mise en ligne de rapports sur les interventions d urgence directement depuis le terrain des donn es de base sur diff rents pays des informations et des directives et une bo te outils avec formats listes de contact mises jour statistiques etc Equipe de Coordination et d Evaluation de Terrain FACT La FACT peut tre d ploy e rapidement pendant 6 semaines maximum pour aider la Soci t nationale d un pays touch dans sa r ponse aux catastrophes Elle est constitu e d un personnel form et exp riment des Soci t s nationales et du Secr tariat de la F d ration Gen ve et le terrain
418. res et les informations importantes sur les contextes de la coordination pouvant contribuer l efficacit du syst me UNDAC Si les chapitres sont con us comme des documents ind pendants il est toutefois conseill de les appr hender comme un tout car ils font r f rence les uns aux autres L organisation des chapitres suit de mani re g n rale le d roulement classique d une mission UNDAC Le manuel UNDAC a t r dig par le BCAH et par des membres du syst me UNDAC international Les informations sont issues de documents manant de sources diverses dont notamment e les publications du BCAH e les manuels Field Operations Guide et Disaster Assessment Procedures Manual du Bureau de l assistance aux pays trangers en cas de catastrophe de USAID OFDA e le Manuel pour les situations d urgence du Haut commissariat aux r fugi s des Nations Unies HCR ainsi que d autres documents de r f rence du HCR la brochure Food Aid in Emergencies du Programme alimentaire mondial PAM le Manuel sur les situations d urgence sur le terrain du Fonds des Nations unies pour l enfance UNICEF e les modules de formation du Programme de formation la gestion des catastrophes des Nations Unies UNDMTP e ouvrage Legacy of Conflict de Rae McGrath publi par Oxfam e les publications de la Croix Rouge et du Croissant rouge notamment les Lignes directrices pour l valuation des situations d urgence de la F d ration inter
419. rincipal de l action humanitaire est de r duire les pertes en vies humaines les maladies et les handicaps vitables Dans toute crise l OMS en tant qu Agence technique sp cialis e de l ONU a les responsabilit s suivantes e Veiller ce que les besoins sanitaires soient convenablement valu s et contr l s et se refl tent dans les demandes d aide internationale par ex dans les Appels de l ONU ce que les partenaires de la sant se rassemblent autour d une strat gie humanitaire int gr e ce que l aide humanitaire applique les meilleures pratiques sanitaires refl te les priorit s sanitaires du pays et respecte ses capacit s e Fournir des services aux partenaires Communiquer des informations sur le profil pid miologique du pays par ex le risque d pid mies la couverture sanitaire pr urgence identifier les menaces et les facteurs de risques prioritaires et faire en sorte qu ils soient sous contr le Soutenir la coordination sanitaire entre partenaires nationaux et internationaux et fournir des contributions sanitaires la coordination humanitaire g n rale Identifier des lacunes importantes dans les aspects li s la sant publique de la r ponse qu il faut combler sans tarder soit par un effort conjugu de toutes les parties prenantes soit par l OMS elle m me en sa qualit de dernier recours Mobiliser l expertise et ou des marchandises internationales pour r pondre d
420. riture Q 6 6 Sant Q 6 7 A viter en conduisant dans le d sert Q 1 Introduction Ce chapitre ne saurait dispenser un cours de g ographie mondiale il ne peut que r sumer des types de climat et de terrain S il est crucial d tudier les conditions pr valant dans les secteurs o l quipe UNDAC pourrait op rer une connaissance des zones climatiques sera utile si les circonstances vous am nent sur un territoire non familier Les climats temp r s couvrent une grande partie du globe et offrent les meilleures chances d op rer sans comp tences ni connaissances sp cifiques Ces territoires sont galement les plus fortement urbanis s De rudes conditions hivernales peuvent exiger des comp tences en mati re polaire Q 2 Zones de climat et de terrain R gions polaires Les r gions polaires sont notamment l Arctique l Antarctique les territoires du nord de l Alaska le Canada le Groenland l Islande la Scandinavie et certaines parties de la Russie de l Asie centrale et l Himalaya mais des comp tences en mati re de temps froid peuvent tre n cessaires partout ailleurs des altitudes lev es Toundra La toundra se situe surtout au nord de l h misph re mais on en trouve parfois au sud Dans ce type de terrain le sous sol est gel en permanence et la v g tation est racornie For t de conif res du nord Pouvant couvrir jusqu 1 300 km ce terrain se situe entre la toundra arctique et le
421. rivantes pour renforcer le RDC si n cessaire OSOCC L OSOCC est tabli a proximit de la LEMA et aussi pr s que possible du site de la catastrophe dans les limites de s curit Il sert de plate forme de coordination pour les intervenants internationaux et la LEMA L OSOCC est tabli par l quipe UNDAC ou par la premi re quipe internationale USAR arriv e qui passera ensuite le relais l quipe UNDAC lors de son arriv e La fonction principale de OSOCC est d aider la LEMA coordonner les quipes internationales et nationales USAR ainsi que les autres intervenants par secteur par exemple la sant l eau l assainissement l h bergement etc Lorsque les d g ts d une catastrophe couvrent des zones tr s importantes et n cessitent une coordination internationale sur des sites loign s de la catastrophe l quipe UNDAC ou les premi res quipes USAR arriv es dans ces zones peuvent cr er des antennes OSOCC Dans ce cas POSOCC principal sera g n ralement tabli dans un centre national ou r gional majeur et une ou plusieurs antennes OSOCC seront tablies sur diff rents sites selon les besoins Les l ments fonctionnels d un OSOCC sont les m mes que ceux d crits dans le chapitre E Coordination sur le terrain Cependant certaines fonctions peuvent n cessiter plus d attention que les autres Du fait de l arriv e massive et soudaine des quipes internationales il faudra peut tre affecter
422. rofessionnels par exemple des chefs d quipe qui ont une bonne connaissance de la situation l environnement l v nement qui a entra n les r actions de stress Une r union d information peut tre n cessaire m me s il n y a pas de r actions au stress videntes Les r actions au stress peuvent comme on l a dit plus haut tre retard es voire r prim es L exp rience montre qu une r union de groupe structur e organis e dans les premi res 24 48 heures suivant l v nement aide les membres de l quipe faire face au stress Le processus doit tre lanc par le chef d quipe et les membres impliqu s dans l incident On peut esp rer obtenir les r sultats suivants lors d une s ance de d samor age D partement de la traduction EAR j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 l Clarifier les perceptions id es fausses cons quences Reconna tre et accepter ses sentiments et ses r actions R duire les sympt mes et les cons quences personnelles long terme Faciliter le deuil et all ger la peine Renforcer et approfondir l apprentissage tir de v nement S aider mutuellement et am liorer la communication Consolider la coh sion de l quipe Am liorer la capacit de retour l action Identifier les membres vuln rables et les mentionner pour une consultation plus approfondie La r
423. rontale lancinante aggrav e par l effort et notamment le matin est l affection la plus courante Les autres sympt mes sont notamment des malaises une lassitude un manque de motivation au travail une perte d app tit des vomissements et des naus es des essoufflements en cas d effort et des troubles du sommeil A d faut de soins ce mal peut voluer en e d me pulmonaire de haute altitude OPHA principalement provoqu par une ascension rapide le froid la remont e et l puisement il peut tre mortel D butant par des maux de t te des courbatures une toux des essoufflements dus l puisement qui est progressif des douleurs thoraciques non angineuses un manque d app tit des troubles du sommeil des vomissements et des tourdissements Parfois la fi vre peut tre le sympt me inaugural Dans des cas graves elle peut s accompagner de sympt mes d me c r bral de haute altitude OCHA la plus redout e mais aussi la plus courante des maladies de haute altitude Les premiers signes sont les m mes que pour la MAM et l alt ration de la conscience est la caract ristique la plus importante de POCHA Les sympt mes sont des troubles de la vision des vertiges des vomissements qui peuvent voluer vers la stupeur et le coma Hypertension art rielle pulmonaire de haute altitude Les premiers signes sont g n ralement une intol rance l effort une douleur thoracique anginale une h
424. rs entrep ts primaires pr s du point d entr e Elle comprend ensuite des entrep ts de transfert pour le stockage des marchandises et des points d entreposage finaux partir desquels les biens de premi re n cessit sont transf r s des centres de distribution aux b n ficiaires En r gle g n rale plus on avance dans l acheminement logistique plus les moyens de transport utilis s sont petits On utilise d abord des bateaux puis des trains ou des avions des camions remorque ou des semi remorques puis des camions plus petits ou m me des 4x4 encore plus petits Pour une op ration logistique compl te les installations et le mat riel suivants sont n cessaires e Bureaux et mat riel administratif Entrep ts diff rentes tapes R serves de carburant et pi ces de rechange Ateliers Parcs de stationnement V hicules pour la direction Flottes de camions V hicules sp ciaux grues camions citernes engins de manutention Mat riel de communication e Logements Les ressources n cessaires une op ration logistique proviennent g n ralement de diverses organisations de l organisation qui effectue l op ration des autorit s nationales des organisations d aide humanitaire ou du secteur priv Une grande partie de la structure logistique peut tr s bien tre constitu e par une structure inter institutionnelle pr existante peu organis e mise en place au tout d but de la crise Le
425. rsonnes Le Partenariat humanitaire international Les modules de soutien sont fournis par les pays membres du Partenariat humanitaire international IHP actuellement le Danemark la Finlande les Pays Bas la Norv ge la Su de et le Royaume Uni Lorsque des modules doivent tre d ploy s la Section de soutien la coordination sur le terrain consulte les membres de l IHP par l interm diaire de la pr sidence afin de d terminer quels pays de l IHP pourront fournir les modules de soutien dans le d lai requis Les co ts du d ploiement et de l op ration sont sauf accord contraire couverts par le ou les pays qui fournissent le module La mobilisation d pend de l accord des diff rents gouvernements sur le financement Mobilisation Les modules de soutien peuvent tre mobilis s par la Section de soutien la coordination sur le terrain la demande 1 de la direction du BCAH 2 du chef de l quipe UNDAC avant le d part en coop ration avec la Section de soutien la coordination sur le terrain 3 de mani re automatique s il existe un besoin vident d quipement et ou de personnel de soutien une mission de l UNDAC en cas notamment de tremblement de terre ou d autre catastrophe d vastatrice Des accords types analogues ceux utilis s pour le syst me de mobilisation de l UNDAC ont t conclus avec les pays membres de l IHP Ces accords types permettent la Section de soutien la coordin
426. s e Etre bless ou voir un proche bless assister au d c s d un proche d un coll gue d un ami e Se retrouver en danger de mort e Subir une perte physique ou motionnelle extr me Signes de stress traumatique Les signes de stress traumatique peuvent tre s par s en r actions imm diates et diff r es La liste suivante n est pas exhaustive mais pr sente certains des sympt mes les plus courants e R actions imm diates naus es sudation frissons vertiges hyperventilation confusion difficult prendre une d cision r soudre un probl me pertes de m moire peur anxi t col re irritabilit sentiment de culpabilit chagrin d sespoir mauvaises perceptions activit s irrationnelles e R actions diff r es fatigue nervosit abus de substances psychoactives troubles du sommeil baisse de l attention difficult s de concentration probl mes de m moire flash back d pression isolement amertume torpeur Faire face au stress traumatique Une r union d information op rationnelle permettant de clarifier les v nements et de fournir des renseignements sur les r actions normales et les m canismes permettant de surmonter le stress est presque toujours utile La r union d information qui fait suite de tels v nements parfois appel e s ance de d samor age doit tre dans l id al effectu e par des p
427. s tre sp cialis s dans tous les domaines ils peuvent solliciter l assistance des experts des Nations Unies Les experts leur fournissent des informations qu ils peuvent ensuite transmettre la presse ou s adressent eux m mes directement aux journalistes En principe tous les membres du Secr tariat peuvent s adresser la presse une certaine mesure ne parlez que dans votre domaine de comp tence et de responsabilit fournissez des faits pas d opinions ni de commentaires laissez les sujets sensibles aux repr sentants sp cifiquement mandat s pour s exprimer sur ces sujets voir paragraphe 6 ci dessous 6 Te 8 Sujets sensibles Le nombre de repr sentants pouvant s exprimer sur les sujets sensibles est n cessairement limit le Porte parole sur la base des orientations fournies les membres d sign s du personnel du Secr taire g n ral et les chefs de d partement dans leur domaine de comp tence les membres du personnel mandat s par leurs chefs de d partement sur la base des orientations fournies et les directeurs des Centres d information des Nations Unies CINU sur la base des orientations fournies par leur si ge Pour les repr sentants qui s expriment sur des sujets sensibles il peut tre utile de conna tre l int r t pr cis d un journaliste pour les faits trait s De telles informations peuvent g n ralement tre fournies par le directeur de
428. s est am lior e au long de la situation d urgence Pour mener sa mission bien la coordination sur le terrain n cessite certaines fonctions cl s toutefois cette mission de coordination ne signifie pas que le BCAH doive fournir ces l ments mais s assurer qu ils existent Le Coordonnateur r sident Coordonnateur humanitaire CR CH des Nations Unies Certains fonctions requi rent le statut de CR CH celui ci tant le repr sentant d sign du Secr taire G n ral et le Coordonnateur des secours d urgence ERC ces fonctions sont galement troitement li es aux responsabilit s du coordinateur lui m me Si les fonctions de CR et de CH sont distinctes elles sont souvent exerc es par la m me personne ou le m me bureau voir aussi le point B 4 1 Le CR CH est la t te de la coordination humanitaire dans son ensemble il repr sente le syst me ONU aupr s des gouvernements ou d autres autorit s de haut rang et favorise l adoption d accords inter agences ou sur des sujets sensibles Les fonctions propres ce poste sont les suivantes Organiser et pr sider l organe de coordination Favoriser les accords concernant le partage des responsabilit s N gocier l acc s aux zones d urgence pour l ensemble des organisations Promouvoir les questions humanitaires En fonction de l entit qui a demand l ERC une quipe pour l valuation et la coordination en cas de catastrophe UNDAC
429. s Les voies a riennes sont peut tre encore bloqu es V rifiez nouveau les voies a riennes 6 Prenez le pouls Apr s avoir donn deux souffles d air la victime prenez lui le pouls en posant deux doigts sur le c t de la gorge Si la victime a un pouls mais ne respire pas continuez le bouche bouche en utilisant la m me technique de grandes insufflations toutes les 5 secondes 12 fois minute loignez votre bouche entre les insufflations Continuez v rifier les signes de respiration et observez les mouvements de la poitrine Si la respiration de la victime est faible vous devez continuer le bouche bouche en suivant le rythme de sa respiration en effectuant une insufflation au moins toutes les 5 secondes 7 R tablissez la circulation du sang Si vous ne trouvez pas de pouls vous devez commencer les compressions cardiaques pour r tablir la circulation Les compressions doivent tre coordonn es au bouche bouche Agenouillez vous et placez vous dans la bonne inclinaison par rapport la poitrine de la victime Trouvez la base du sternum au centre de la poitrine l o les c tes forment un V Placez le talon d une main sur la poitrine juste au dessus du V posez l autre main sur la premi re main en entrela ant vos doigts D placez votre poids vers l avant afin que vos paules soient au dessus de vos mains tendez les bras et bloquez les coudes Faites passer votre poids dans vos mains afin d
430. s chaque ann e La F d ration internationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge FICR La F d ration internationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge est la plus grande organisation humanitaire au monde elle fournit une aide sans aucune discrimination fond e sur la nationalit la race la religion la croyance la classe sociale ou les opinions politiques Fond e en 1919 la FICR compte 183 Soci t s nationales de la Croix Rouge et du Croissant Rouge membres un Secr tariat Gen ve et plus de 60 d l gations strat giquement situ es pour soutenir des activit s aux quatre coins du monde Le Croissant Rouge est utilis dans nombre de pays musulmans tandis que la Croix Rouge est g n ralement utilis e par toutes les autres Soci t s nationales En 2005 un nouvel embl me le Cristal Rouge a t adopt avec le m me statut que les autres embl mes reconnus par les Conventions de Gen ve Le Cristal Rouge sera utilis par des soci t s nationales qui ne souhaitent pas utiliser la Croix Rouge ou le Croissant Rouge et le sera galement en situation d urgence lorsque l usage de l un ou l autre des autres embl mes peut tre inappropri en raison de divisions l int rieur d un pays ou d une r gion La F d ration a pour mission d am liorer la situation des plus vuln rables les plus expos s des situations mettant en p ril leur survie ou leur capacit vivre avec un nive
431. s d eau Les puits peuvent n cessiter l utilisation d un r cipient suspendu une corde pour parvenir jusqu l eau Les petits points d eau au fond des oueds sont souvent saisonniers Ils sont g n ralement recouverts d une pierre ou de brindilles Si l on se trouve l cart des points d eau connus creuser au point le plus bas de la courbe ext rieure d un lit de ruisseau ass ch ou au point le plus bas entre des dunes Ne pas creuser au moment le plus chaud de la journ e en transpirant on perdra un liquide qu il sera peut tre impossible de remplacer Toujours quilibrer les pertes de fluides avec les gains ventuels L esp rance de vie d pend de l eau disponible et de la capacit limiter sa transpiration au minimum Sans eau on peut tenir 2 jours 48 C 120 F si l on se repose l ombre sans rien faire Si l on doit marcher pour se mettre en s curit la distance parcourue sera fonction de l eau disponible Sans eau avec une temp rature de 48 C en marchant de nuit et en se reposant dans la journ e on pourra parcourir 40 km En marchant dans la journ e on peut parcourir 8 km avant de s crouler A 48 C avec deux litres d eau on peut parcourir 56 km et tenir trois jours Boire 1 5 litre pour 2 litres perdus Moins de fluides ne veut pas dire moins de transpiration Si l on absorbe plus de fluides que n cessaire ils seront excr t s et ne serviront rien Q 6 3
432. s dans la mise en oeuvre du programme Communiquer Le BCAH est le principal organe de collecte et d analyse des donn es sur la situation humanitaire et il est donc charg de communiquer r guli rement les r sultats de ses analyses aux entit s int ress es par exemple les secours les donateurs ou les m dias sous forme de compte rendus de situation et de points de presse B 4 Les infrastructures de coordination du BCAH dans les pays B 4 1 Les repr sentants du BCAH Le Coordonnateur r sident des Nations Unies CR Dans la grande majorit des pays o l ONU est pr sente la coordination des activit s de l organisation rel ve en premier chef du CR en collaboration avec les agences concern es C est en g n ral le Repr sentant r sident du Programme des Nations Unies pour le d veloppement PNUD qui est d sign comme CR Celui ci est charg de la coordination de l aide humanitaire de l ONU Pendant la p riode pr c dant une catastrophe le CR organise des activit s de pr paration et d att nuation des effets des catastrophes recueille les premiers signes d une catastrophe potentielle g re l organisation des secours d appoint en fonction des observations des signes pr coces et est la t te de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes EGC En cas de catastrophe et moins d une d cision contraire le CR continue diriger et coordonner les interventions inter agences de PONU
433. s etc Ne posez pas imm diatement votre interlocuteur des questions directes sur les difficult s qu il rencontre car elles peuvent donner un ton inad quat Il vous faut entendre la fois de choses positives et n gatives sur la vie dans cette communaut Se concentrer sur les probl mes donne l impression que votre but est de d terminer ce que la communaut internationale peut apporter Cette attitude encourage les personnes interrog es pr senter des listes de courses des besoins mat riels Les gens parleront in vitablement de leurs probl mes sans qu il soit n cessaire de les y inviter Dans le cas contraire incitez les parler de leurs pr occupations et des moyens qu ils utilisent pour faire face leurs probl mes Il est normal que les gens trouvent difficile d expliquer les strat gies auxquelles ils ont recours pour faire face leurs difficult s ou qu ils h sitent le faire tant donn que e Certains l ments sont tellement int gr s leur mode de vie qu ils ne les consid rent pas comme des strat gies C est le cas par exemple du partage des ressources entre diff rents foyers e Chaque l ment d une strat gie peut contribuer de fa on tr s marginale la r solution des probl mes et les personnes concern es estiment qu il n est pas important d en parler Pourtant lorsque tous ces l ments insignifiants s ajoutent les uns aux autres ils repr sentent
434. s approfondies sur le sujet et sont sur place au moment de la catastrophe et du lancement des actions entreprises en r ponse celle ci Des informations utiles peuvent galement tre obtenues des organisations non gouvernementales ONG nationales et internationales ainsi que des scientifiques pr sents dans la zone Les repr sentants des pouvoirs publics ainsi que le personnel des Nations Unies sont galement consulter Ci dessous figure une liste de questions poser aux repr sentants locaux 1 La catastrophe a t elle eu des effets secondaires incendies explosions d bordements fuites ou glissements de terrain 2 Y a t il des installations industrielles fabriques usines ol oducs gazoducs d charges d p ts de produits chimiques pesticides dans la zone touch e ou non loin de celle ci Pour plus de d tails voir l annexe 3 Ces sites ont ils t inspect s Si oui quel a t le r sultat des inspections 4 Y a t il des pr c dents en mati re de d bordements fuites incendies industriels d versements de produits toxiques etc 5 Y a t il des pr c dents de cas de victimes dont les blessures sont en contradiction avec les autres blessures directement caus es par la catastrophe naturelle 6 Des glissements de terrain des coul es de boue des inondations secondaires ou des feux de friches importants ont ils eu lieu 7 Y a t il des barrages de r tention ou des barrages lectrique
435. s arm es et de police nationales sont elles en mesure d assurer une s curit ad quate Ces forces sont elles responsables de la s curit de certains b n ficiaires L arm e contr le t elle des installations utiles aux organisations de secours internationales L arm e contr le t elle l acc s des zones o peuvent se trouver des b n ficiaires Comment l arm e contr le t elle l acc s aux zones de s curit L arm e peut elle et est elle dispos e aider les organisations civiles internationales L arm e participe t elle une distribution directe d aide humanitaire Quelle proc dure suivre pour r gler des probl mes ventuels avec des commandants militaires Quelle est l attitude de l arm e en ce qui concerne les femmes et le personnel f minin international L arm e nationale suscite t elle des inqui tudes s rieuses en termes de droits de l homme Des enfants soldats font ils partie de certaines forces militaires nationales 4 Interface militaire internationale et civile nationale Y a t il une force militaire internationale bas e titre permanent dans le pays La force militaire internationale est elle habilit e aider les civils Quelles sont les forces militaires internationales qui ont r agi aux catastrophes dans le pass La force militaire internationale est elle en contact direct avec la population Comment la population locale consid re t elle les forces militaires interna
436. s dans la zone de la catastrophe 8 Ces sites ont ils t inspect s Si oui quel a t le r sultat des inspections Si une fois ces questions pos es il s av re qu un effet grave sur l environnement est constat ou qu il existe un risque il convient de r pondre aux question suivantes 1 Quelle est la nature de l effet grave sur l environnement 2 Quand cela s est il produit 3 O cela s est il produit R pondre en donnant le plus de pr cisions possible par exemple ville village commune tat province coordonn es GPS zone urbaine ou rurale 4 Quel est le nombre de personnes touch es 5 Y a t il une ou plusieurs autorit s locales ou nationales charg es de g rer la situation et y a t il une personne sp cifique au sein de cette autorit dirigeant les op rations avec laquelle le Groupe conjoint de l environnement peut entrer en contact Quelles sont les coordonn es de cette personne Ces informations doivent ensuite tre transmises au Groupe conjoint de l environnement J 6 Comment contacter le Groupe conjoint de l environnement Le Groupe conjoint de l environnement est disponible 24h 24 75 7 et toute l ann e pour mobiliser une aide Il travaille en troite concertation avec d autres services des situations d urgence et organise son action en fonction des informations produites par l quipe UNDAC Coordonn es Du lundi au vendredi pendant les heures de
437. s de guerre les Soci t s nationales aident les populations civiles touch es et soutiennent s il y a lieu les services m dicaux de l arm e Le r seau unique de soci t s nationales qui couvre presque tous les pays du monde est la principale force du Mouvement Gr ce la coop ration entre les Soci t s nationales le Mouvement est mieux m me de d velopper les capacit s et d aider ceux qui en ont le plus besoin Au niveau local le r seau qui s appuie sur les nombreux volontaires form s dans les communaut s locales permet au Mouvement d avoir acc s aux groupes sociaux individuels Les programmes et services de la Soci t nationale sont adapt s aux besoins de chaque pays ils traitent des besoins tant imm diats qu long terme et comprennent e La sant au niveau de la communaut e Formation et activit s en mati re de premiers secours e Contr le et pr vention des maladies e Pr vention du VIH SIDA e Fau et assainissement e H bergement d urgence articles non alimentaires nourriture et m decine e Planification des secours en cas d urgence e Recrutement des donneurs de sang collecte de sang et approvisionnement e Restauration des liens familiaux RLF pour les victimes de catastrophes et de conflits e Activit s de la jeunesse Au total les Soci t s nationales comptent environ 100 millions de b n voles et 300 000 employ s qui apportent une aide quelque 233 millions de b n ficiaire
438. s de la CMcoord de l ONU et domaines d activit L 5 Documents de base sur l interaction civilo militaire L 5 1 L utilisation de RMPC pour les secours en cas de catastrophe Directives d Oslo L 5 2 L utilisation des Ressources militaires et de la protection civile RMPC dans le Soutien l Action Humanitaire des Nations Unies dans les Situations d Urgences complexes Directives RMPC L 5 3 L utilisation de l arm e ou des Escortes Arm es pour les Convois Humanitaires L 5 4 Relations civilo militaires dans des situations d urgence complexes Document de r f rence IASC L 6 Coutumes et courtoisie militaires L 6 1 Structures de l tat major L 1 Introduction Les membres UNDAC jouent un r le important en mati re d interaction civilo militaire Ils sont souvent les premiers coordonnateurs internationaux sur le terrain et apportent une structure aux m canismes de coordination ad hoc Les membres des quipes valuent l environnement civilo militaire et doivent tre capables de b tir des strat gies de coordination conform ment aux documents de base civilo militaires Ils doivent pouvoir conseiller le Coordonnateur r sident Coordonnateur humanitaire de l ONU CR CH concernant l interface appropri entre les organisations de secours militaires et civiles Au sein du BCAHI les activit s de coordination civilo militaire CMcoord de l ONU rel vent de la CMCS de la Branche des Services des Situations d Urgence ESB Dans certa
439. s donateurs au del des engagements envers l IEFR et des co ts connexes de transport et autres Les ressources consistent essentiellement en denr es alimentaires promises par les Gouvernements donateurs Les ressources en esp ces sont limit es et sont r serv es aux achats locaux pour r pondre aux besoins imm diats apr s des catastrophes soudaines et pour couvrir les co ts de transport En cas d urgence extr me le Directeur ex cutif peut autoriser la mise disposition d esp ces prises sur les ressources g n rales du PAM pour servir de financement initial de l aide logistique de base dans l attente de contributions cibl es de la part des donateurs Autorit au niveau des pays Le Directeur des Op rations du PAM peut d cider en accord avec le Gouvernement d acc l rer d adapter les projets de d veloppement en cours aid s par le PAM pour r pondre des besoins urgents sous r serve de certains crit res notamment qu il n y ait pas d augmentation de l engagement du PAM Il elle peut galement acheter localement des marchandises pour un montant de 50 000 dollars maximum afin de r pondre des besoins imm diats si ceux ci sont urgents et ne peuvent tre satisfaits d aucune autre mani re D autres formes d aide notamment l emprunt et l change de produits n cessitent l accord pr alable du si ge du PAM M 2 7 Organisation Mondiale de la Sant OMS L Organisation mondiale de la Sant OMS pense que l objet p
440. s et r gionales qui oeuvrent la r duction du risque et aux syst mes d alerte pr coce 3 fournissant des conseils sur les mesures de r duction et d att nuation du risque dans le cadre de programmes de reconstruction 4 dressant le bilan des dommages caus s par la catastrophe naturelle des zones d j victimes de conflits en valuant l impact combin sur les colonies de r fugi s ou de personnes d plac es 5 permettant aux pays d changer des informations sur les strat gies et meilleures pratiques de r duction du risque et de la vuln rabilit au moyen de r seaux de connaissance r gionaux et sous r gionaux En tant que d positaire du syst me de Coordonnateur r sident de l ONU CR le PNUD fournit une aide administrative et op rationnelle au fonctionnement du CR qui combine souvent les r les de Repr sentant r sident du PNUD et de Coordonnateur humanitaire r sident Moyens Par l interm diaire de ses Bureaux pays le PNUD fournit des subventions d urgence pour aider lancer une intervention imm diate en cas de situations d urgence dues des catastrophes naturelles Ces moyens sont destin s soutenir une action coordonn e de l ONU de la part du CR CH et peuvent inclure le recrutement de personnel de gestion des situations d urgence pour aider le Gouvernement l EGC l UNCT et le bureau pays du PNUD pour aider et contribuer la coordination l valuation du risque la communication et la mobilisati
441. s fondamentaux pour les relations avec les gouvernements et l efficacit des op rations logistiques e Accord sur la forme et le contenu du plan directeur de gestion des marchandises e Accord sur la comp tence des agences contr ler le transport et la distribution des marchandises e Accord sur l installation de r seaux de communication radio t lex et satellite e Dispositions pour voyager vers et dans des zones d limit es e Engagement public pour la s curit du personnel de l institution et l action entreprise en cas d incidents sp cifiques e Utilisation des ressources de l institution pour soutenir les autorit s en cas d urgences sp cifiques e Exemption de droits et de taxes pour tout le mat riel et les produits alimentaires e Proc dures douani res rapides et efficaces pour les produits de premi re n cessit destin s aux b n ficiaires de l aide humanitaire et au soutien logistique pour un usage op rationnel de la part des Nations unies e Taux de change favorables avec les monnaies trang res e Accord pr alable permettant d abandonner progressivement l op ration et de passer le relais aux autorit s nationales Les Nations Unies Les repr sentants des Nations Unies responsables l quipe des Nations Unies pour la Gestion des Catastrophes UN DMT PAM UNJLC HCR UNICEF et autres peuvent tablir ou avoir d j tabli au cours des premiers stades d une crise une structure
442. s fournira une base d informations utile pour les rapports de situation UNDAC Information Qui quoi o Tous les ordinateurs de l quipe UNDAC contiennent une base de donn es simple qui quoi o qui peut produire des listes de contact et des informations g ographiques sur les op rations Copies Fournissez aux intervenants des copies de l information disponible POSOCC proc s verbaux rapports de situation rapports d valuation tableaux de suivi des marchandises listes de contacts etc Ces donn es sont g n ralement class es pour servir de base aux informations affich es mais peuvent tre utiles de nombreuses organisations humanitaires Essayez d tablir un syst me qui pr voit la fois des copies en version lectronique et en version papier F 3 3 Contact avec le si ge du BCAH La FCSS et le Bureau r gional Une fois que la d cision de mobiliser une quipe UNDAC est prise la FCSS d signe un point de contact parmi les membres de la mission pour toutes les questions relatives au soutien de la mission UNDAC De plus le bureau du BCAH pour le pays la r gion concern e servira de point de contact pour toutes les informations essentielles concernant la crise et les actions de suivi correspondantes sollicit es au niveau du si ge du BCAH et avec les si ges des partenaires ext rieurs par exemple les donateurs et les agences Aux rapports obligatoires doivent s ajouter des t l conf
443. s polaires GAN T l phone satellite fournissant voix fax et un Inmarsat service de donn es de 64Kbps Dimension d un ordinateur portable Couverture mondiale l exception des zones polaires BGAN Regional BGAN Modem duplex satellite data modem SDM Inmarsat Thuraya dont les vitesses de transmission varient entre 144 et 492Kbps en connexion partag e Les terminaux BGAN incluent un service voix Dimension d un ordinateur portable Zone de couverture Inmarsat Afrique Europe Moyen Orient Asie certaines parties en Extr me Orient Australie Am riques Voir Thuraya concernant la zone de couverture de Thuraya V SAT Station satellite fixe pour une installation permanente semi permanente antenne parabolique gt 1m Service de donn es 32Kbps mission 128Kbps r ception et plus Peut galement fournir des services voix t l phonie IP Taux mensuel fixe Technicien qualifi n cessaire pour D partement de la traduction ialis j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing s doc 15 07 2008 10 07 Be Communication cellulaire GSM Global System for Mobile Communications R seau cellulaire mondial dont la couverture est assur e en Europe dans la plupart des pays d Asie et d Afrique et dans certains pays des Am riques Le service de donn es GSM de base est 9 6Kbps et ses versions avanc es 14 4Kbps et
444. s potentiels mais ne lance habituellement pas d appels d urgence Elle coordonne g n ralement l valuation dans le secteur de la sant et propose des l ments inclure dans tout appel de l ONU BCAH que sous r serve de l apport des fonds n cessaires l OMS met alors en uvre M 3 Le Mouvement de la Croix Rouge et du Croissant Rouge Le Mouvement de la Croix Rouge et du Croissant Rouge est un partenaire pour le travail de secours qui sera d terminant pour tous les aspects du travail de secours et fait par cons quent partie int grante de l environnement dans lequel travaille une quipe UNDAC Le Mouvement de la Croix Rouge et du Croissant Rouge se compose de trois l ments e Les Soci t s nationales de la Croix Rouge du Croissant Rouge e La F d ration internationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge FICR e Le Comit international de la Croix Rouge CICR La Soci t nationale Les Soci t s nationales de la Croix Rouge et du Croissant Rouge incarnent le travail et les principes du Mouvement de la Croix Rouge et du Croissant Rouge Il n y a qu une seule Soci t nationale dans un pays une Croix Rouge ou un Croissant Rouge Les Soci t s nationales font fonctions d auxiliaires aupr s des autorit s publiques de leur pays dans le domaine humanitaire et proposent un ventail de services comprenant des actions de secours en cas de catastrophes et des programmes sanitaires et sociaux En temp
445. s touch et une copie doit tre envoy e au Coordonnateur des secours d urgence ERC par le biais du BCAH Gen ve Tout rapport doit tre approuv par le chef d quipe Pour les contacts qui ne font pas partie du r seau de r daction des rapports toutes les informations doivent tre v rifi es par l autorit comp tente du pays concern l quipe des Nations Unies pour la Gestion des Catastrophes EGC ou le BCAH Les rapports doivent tre r dig s en anglais dans la mesure du possible F 2 2 Syst me de r daction des rapports Rapports de situation UNDAC Les rapports de situation UNDAC doivent tre envoy s au CR CH et une copie doit tre adress e la Section de soutien la coordination sur le terrain FCSS Dans certains cas lorsqu une situation d urgence volue tr s rapidement la mise jour des informations peut s av rer tellement n cessaire que le ERC et le BCAH Gen ve ou New York peuvent demander directement des rapports oraux ou crits l quipe UNDAC Rapports de situation BCAH Le CR CH tablit un rapport de situation gr ce aux informations collect es partir de diff rentes sources autorit s nationales agences des Nations Unies rapports de situation UNDAC organisations non gouvernementales ONG et autres Ce rapport de situation est ensuite envoy l ERC par le biais du BCAH Gen ve o il sert avec les autres informations disponibles tablir les rapports de situati
446. s zones temp r es Les hivers y sont longs et rigoureux Les arbres et la v g tation prosp rent le long de grandes rivi res se jetant dans l Oc an arctique Le gibier de l lan et l ours aux cureuils et aux oiseaux est abondant La neige fondue cr e des mar cages durant les t s de br ve dur e Les arbres abattus et la v g tation luxuriante rendent les d placements difficiles et les moustiques peuvent constituer un fl au La circulation est plus ais e en hiver Il y a du gravillon le long des rivi res qui sont poissonneuses il est possible de fabriquer un radeau avec du bois mort For t feuilles caduques Le ch ne le h tre l rable et le hicorier sont les principales esp ces que l on trouve en Am rique le ch ne le h tre le ch taignier et le tilleul en Eurasie Le sol fertile nourrit de nombreuses plantes La survie est ais e sauf des altitudes tr s lev es o pr valent les conditions de la toundra ou des champs de neige Prairie temp r e Ces zones se trouvent dans les r gions centrales continentales d Am rique du Nord et d Eurasie Des t s chauds des hivers froids et des pr cipitations mod r es en ont fait de grandes r gions productrices d aliments R gions m diterran ennes Les terres bordant la M diterran e sont semi arides avec de longs t s chauds et des hivers brefs et secs Les arbres y sont rares et l eau peu abondante Jungle tropicale La jungle hum
447. se une situation d urgence et de toutes autres activit s sortant du cadre d un programme national normal Les activit s d urgence sont financ es principalement gr ce des fonds additionnels et un plan d action dans le cadre d un programme d urgence sp cial est mis au point cet effet Le plan d action dans le cadre d un programme d urgence sp cial peut tre planifi lanc et mis en uvre sous l autorit du Directeur ex cutif sans l accord pr alable du Conseil d administration Dans le cas d une situation d urgence majeure ou complexe la programmation est coordonn e entre les institutions moyennant la pr paration d un plan d action humanitaire combin CHAP et un appel inter institutions CAP Afin de pouvoir r pondre de mani re imm diate mais limit e une situation d urgence le Repr sentant de l UNICEF peut pr lever sur un programme national des ressources destin es des actions d urgence jusqu concurrence de 150 000ou 200 000 US en fonction de l importance du budget du bureau national Quand la situation d urgence r duit de mani re significative la pertinence du programme national en cours le Repr sentant de l UNICEF peut reprogrammer des moyens suppl mentaires avec l accord du Gouvernement l autorisation du si ge et le cas ch ant le consentement des donateurs Le Fonds des programmes d aide d urgence EPF de l UNICEF comprend une affectation sur deux ans de 25 millions de dollars sur laquell
448. ser votre attention d augmenter votre concentration de mobiliser votre nergie et de consolider votre volont de r ussite Cependant l incapacit surmonter le stress peut entra ner un d clin des capacit s une baisse de productivit et peut s av rer pr judiciable au fonctionnement de l quipe Il est donc important la fois pour l quipe et pour l individu d admettre ce risque et de se pr parer g rer le stress et ses cons quences d s le d but de la mission afin d viter que les r actions au stress ne deviennent un probl me pour l individu et son quipe Cette partie abordera deux types de stress e Stress cumulatif Stress cr au fil du temps dans les conditions normales d une mission de secours suite une catastrophe qui s il n est pas trait peut affecter les performances de l individu Les membres ne peuvent chapper une certaine forme de stress en cours de mission et en cas d chec du traitement le stress cumulatif peut mener l puisement e Stress traumatique Stress provoqu par un ou plusieurs incidents traumatiques Ce type de stress peut entra ner des probl mes de sant physiques et mentaux qui ne peuvent tre trait s sur le terrain O 4 1 Stress cumulatif Causes du stress cumulatif Ce type de stress se d veloppe dans les situations complexes anormales et souvent fatigantes auxquelles les membres sont confront s en cours de mission Voici une
449. ser votre message en phrases logiques de faire des pauses et de conserver un d bit naturel e Evitez de faire un nombre excessif d appels et de transmissions non officielles e Quand vous tes pr ts transmettre appuyer sur la touche transmission et attendez une seconde avant de parler Quand vous avez fini de transmettre attendez avant de rel cher la touche e Employez une prononciation normale Enoncez bien les voyelles Parlez voix mod r ment forte en vitant de crier ou de parler sur un ton trop aigu e Maintenez une distance d environ 5 cm entre la bouche et le microphone Prot gez le microphone des bruits de fond e Bien se rem morer l ordre des op rations penser appuyer parler et non le contraire sl j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing r doc 15 07 2008 09 07 R 2 Proc dures et outils R 2 1 Alphabet phon tique et chiffres Alphabet phon tique E e e m Prononciation ALPHA BRAVO CHARLIE DELTA ECHO FOXTROT GOLF HOTEL INDIA JULIET KILO LIMA MIKE NOVEMBER OSCAR PAPA QUEBEC ROMEO SIERRA TANGO UNIFORM VICTOR WHISKY X RAY YANKEE Nk X I lt 1 101 10 T012ZI lt RTE Amm aw gt ZULU Chiffres Digit Prononciation 0 ZERO 1 UN 2 DEUX 3 TROUA
450. ses mais galement dangereuses de plus le soir il est utile de porter des v tements qui couvrent les bras et les jambes Il faut rappeler que les moustiquaires ne sont efficaces que dans certaines conditions elles doivent avoir des mailles suffisamment fines tre correctement repli es pendant la journ e et bien ferm es pendant la nuit de mani re ce que les insectes ne puissent p n trer A D partement de la traduction Te j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 4 l int rieur des maisons les insectes doivent tre limin s en pulv risant un insecticide Les produits base de pyr thre ont une action rapide mais de courte dur e Pr vention de la schistosomiase ou bilharziose Il faut tout prix viter le contact avec une eau insalubre dans une zone o l infection a t d tect e vitez absolument de vous baigner dans les rivi res ou d autres cours d eau en l absence d informations fiables car l infestation r sulte de la p n tration de la peau par la larve du parasite O 1 4 Apr s la mission UNDAC Bilan de sant Les membres UNDAC doivent consulter un m decin et subir un traitement rapidement s ils pr sentent des signes de maladie ou de blessure suite au d ploiement Les sympt mes suivants doivent faire l objet d une attention particuli re fi vre persistante toux ou mal de ventre avec diarrh
451. soit accept e et soutenue Liste de contr le e tablir des contacts avec le CR CH l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes et les autorit s nationales e Pr parer et informer l quipe UNDAC et d finir son mandat et arr ter des proc dures de coop ration avec le CR CH les autorit s nationales les organismes de PONU et les ONG e En coop ration avec le CR CH d finir le champ d activit s de l quipe et les priorit s des actions de secours e D finir mettre en uvre suivre r viser et fixer les priorit s du plan d action g n ral de l quipe R sultats attendus Soutien efficace de tous les partenaires Fonction Gestion Mission laborer un plan d action pour l quipe et superviser le travail des membres de l quipe En coop ration avec le chef d quipe UNDAC la cellule de gestion doit faciliter l organisation des ressources pour am liorer l efficacit de l quipe Liste de contr le e R partir les fonctions et les grands domaines de responsabilit entre les personnes e tablir des contacts avec les autres organismes e Organiser des r unions et des r unions d information internes e Fournir la direction les conseils et orientations pour assurer le bon d roulement et l efficacit de l op ration de secours e Organiser des r unions de coordination avec les autorit s et les repr sentants des organismes d
452. sp cialis es sont charg es et ou ont la capacit de proc der une valuation sectorielle d taill e des besoins conform ment leur mandat et leur exp rience op rationnelle L quipe UNDAC doit travailler en troite coop ration avec les repr sentants et le personnel charg des projets de ces agences Identification des informations essentielles pour les utilisateurs Les utilisateurs d une valuation de l UNDAC sont g n ralement les pouvoirs publics d un pays touch le RC HC l EGC le BCAH de Gen ve le Coordonnateur des secours d urgence les d cideurs et les responsables op rationnels fournisseurs de l aide d urgence internationale Dans la mesure du possible l quipe doit d terminer le type d informations n cessaires aux parties prenantes et dans quelle mesure celles ci doivent tre d taill es afin d tre utiles Utilisation d une terminologie de normes et de proc dures reconnues Pour fournir une base l valuation de l information l quipe UNDAC doit s attacher suivre des m thodes reconnues d analyse et de collecte de donn es d crites au chapitre G 3 et utiliser la terminologie et les normes pr vues par les mat riels de r f rence sectoriels Application de normes et d indicateurs Les indicateurs sont des l ments observables et mesurables destin s permettre l quipe de tirer des conclusions concernant une situation Des indicateurs commu
453. ssentiel de collecter toutes les donn es pertinentes pouvant tre utiles l ex cution de la mission Comme il n est pas Possible d informer tous les membres de l quipe Gen ve le r dacteur et la FCSS tablissent un dossier d information pour les membres de l quipe UNDAC durant la phase de mobilisation de l quipe Dans certains cas de d ploiement urgent il n y aura pas toujours le temps de pr parer le mat riel d information avant le d part Les membres des quipes sont pri s de suivre l volution de la situation sur le r seau virtuel du Centre local de coordination des op rations et ou l aide d autres sources disponibles D 3 1 Mat riel d information de l UNDAC Le mat riel d information peut comporter des informations tr s diverses En voici une liste recommand e Contenu e La situation Informations et rapports sur la catastrophe Derniers rapports des m dias Mandat Autres informations par exemple F d ration internationale des Soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge FICR etc e Informations sur le pays Profil pays Autres informations disponibles sur le pays par exemple dossier documentaire de la CIA Rapports des m dias Informations politiques par exemple questions sensibles e Cartes Carte de l ensemble du pays Carte de la zone concern e grande chelle e Correspondance Demande d assistance Annonce au CR CH de l
454. st pr t pr cisant notamment comment instaurer une relation de travail troite avec les autorit s locales Une br ve information sur le concept de Centre local de coordination des op rations si cela est pertinent pour la catastrophe en cause Un r capitulatif des instruments de financement et d appel la disposition de l quipe pour apporter son aide Que faire ou non lors de la s ance d information de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes et du CR CH Souligner le fait que l quipe UNDAC est l pour aider l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes en am liorant sa capacit traiter la situation d urgence Souligner le fait que l quipe de PUNDAC est un outil sp cialis de gestion des situations d urgence et qu elle a t envoy e par le coordonnateur des secours d urgence pour aider Pr ciser que l quipe ne g re pas de programmes de secours qu elle est donc consid r e comme neutre par les donateurs et les ONG Pr ciser que l quipe aidera renforcer la cr dibilit de la collecte des fonds au niveau international Souligner le fait que l quipe UNDAC est autonome et ne pr l vera pas de ressources des membres de l quipe des Nations Unies pour la gestion des catastrophes Ne pas laisser parler plus d un membre de l quipe la fois Ne pas montrer de signe d impatience ou d irritation Ne pas prendre d engagements au nom du
455. ster ces l ments par des exercices pratiques et syst matiques de pr paration aux catastrophes Le RDC est tabli afin de coordonner les activit s avec les autorit s a roportuaires et la LEMA Il faut e Identifier un lieu convenable pour le RDC e S assurer que le RDC est visible et bien indiqu pour les quipes arrivantes par exemple l aide de drapeaux de panneaux de direction etc e tablir une zone d attente pour les quipes arrivantes afin de d congestionner le RDC e tablir d s que possible un lien de communication entre l OSOCC et le r seau virtuel de l OSOCC e Recueillir des informations utiles pour le personnel arrivant concernant les questions d immigration et de douanes li es aux visas aux vaccinations au mat riel de communication l quipement m dical et de secours _ la logistique a roportuaire relative la manutention des cargaisons et au stationnement des avions le transport du personnel et du mat riel sur le site de la catastrophe l acc s aux produits p troliers et aux gaz comprim s l acc s aux informations mises jour concernant la situation d urgence les structures de coordination et les coordonn es des contacts LEMA OSOCC les probl mes de s curit et de s ret la possibilit de disposer de cartes d interpr tes de guides e Enregistrer et informer le personnel arrivant e Solliciter des membres suppl mentaires des quipes ar
456. streinte d urgence qui ont diff rents niveaux de qualification et d exp rience et qui sont post s dans le monde entier mais doivent pouvoir se lib rer imm diatement pour tre d ploy s en situation d urgence La composition de cette quipe d astreinte change p riodiquement afin de garantir un haut niveau de pr paration et de disponibilit du personnel e Un arrangement avec le Conseil danois pour les R fugi s DRC le Conseil norv gien pour les R fugi s NRC et les Volontaires des Nations Unies UNV pour fournir diff rentes cat gories de personnel bref d lai en vue d un d ploiement d urgence 500 personnes environ composent ce personnel mobilisable en urgence e Une quipe de techniciens conseils ext rieurs dans divers secteurs tels que la sant l eau l assainissement la logistique et l h bergement des r fugi s e Un arrangement avec une s lection d ONG en vue d un d ploiement rapide pour mener des activit s d aide dans diff rents secteurs comme la sant l assainissement la logistique et les services sociaux Tout ce personnel peut recevoir du soutien en vertu d un arrangement avec l Agence su doise de Services de Secours SRSA qui peut tablir un camp et un bureau de base dans des conditions extr mes dans un d lai de 48 heures Des stocks suppl mentaires de v hicules d quipement de t l communications d ordinateurs d quipement personnel de terrain et d quipement de bureau pr conditi
457. suivre FETCH ALLER CHERCHER Je voudrais parler cette personne par radio SPEAKING A L APPAREIL La personne demand e est au bout du fil FIGURES CHIFFRES Des chiffres ou des nombres vont suivre Ce terme de proc dure n est pas utilis pour les indicatifs d appel heures rel vements gisements distances etc en particulier dans les formulaires de rapport ou de compte rendu FROM DE LA PART DE Ici l appareil L exp diteur de ce message officiel est indiqu par son nom qui suit imm diatement TO A Les destinataires dont le nom suit imm diatement peuvent donner suite ce message officiel OVER PARLEZ C est la fin de mon tour de transmission Une r ponse est attendue A vous THROUGH ME PAR MOI Je suis en contact avec la station que vous appelez je peux servir de station relais MESSAGE PASSED TO MESSAGE TRANSMIS A Votre message a t transmis ROGER RECU J ai bien re u votre derni re transmission ROGER SO FAR RECU JUSQU ICT Avez vous bien re u cette partie de mon message WILCO APERCU J ai re u et compris votre message et donnerai j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing r doc aaie 15 07 2008 09 07 suite utiliser uniquement par le destinataire RECU et APERCU ne sont jamais utilis s ensemble UNKNO
458. t t cr es pour garantir des normes minimales absolues en mati re d quipement de structures et de proc dures n cessaires chaque lieu d affectation sur le terrain La r f rence MOSS indique ce que vous devez avoir et non ce que vous souhaiteriez avoir afin de r duire les risques et de mener en toute s curit les op rations de terrain Des circonstances et des conditions vari es peuvent obliger les SMT augmenter les exigences de la r f rence MOSS lors de la mise en uvre de leurs propres normes sp cifiques au pays Cette d cision appartient l quipe pays et est financ e par celle ci De m me et seulement dans des cas exceptionnels l quipe pays peut demander r duire les exigences de la r f rence MOSS Si cette mesure extraordinaire est n cessaire une justification d taill e doit tre envoy e au DSS pour examen Implications financi res La mise en uvre des MOSS entra ne certaines implications financi res et de ressources au niveau du pays Le financement demeure la charge de l quipe pays le DSS ne dispose pas de fonds pour financer la mise en uvre des MOSS Toute implication financi re comporte deux aspects 1 La demande inter agence ou syst me commun de financement conjoint 2 La demande d une seule agence pour l quipement d une agence Exemple Des MOSS sp cifiques un pays peuvent n cessiter un centre de communication 24h 24 7j 7 des combin s
459. t De fr quentes inspections corporelles doivent tre effectu es pour viter les poux ou les piq res de tiques Les v tements impr gn s de DBP r pulsif pour insectes destin aux v tements sont tr s efficaces contre les piq res d acariens et r duisent l incidence du typhus Toutes les gratignures et les blessures doivent tre soign es un stade pr coce Une chaleur et une humidit excessives cr ent des conditions de moiteur et de transpiration propres favoriser l infection des gratignures Le corps devrait tre prot g contre les piq res d insectes en utilisant des r pulsifs pour insectes ou des filets de protection contre les moustiques A chaque fois que possible le corps devrait tre baign et expos au soleil et l air Les v tements devraient tre amples propres et secs Dans la mesure du possible les bottes devraient tre retir es et les pieds mass s et recouverts de poudre pour les pieds Les bottes devraient tre retir es avant de dormir 06 R gions d sertiques Q 6 1 Conditions d sertiques Le d sert est une vaste terre inculte aride abritant une v g tation rare et une population clairsem e Il est g n ralement d pourvu de relief mais comporte des dunes de sable des affleurements rocheux et des plaines d argile Il n est donc pas impossible ni difficile de vivre dans le d sert sauf dans certaines bandes Les d placements sont g n ralement ais s sur presque tous les
460. t et renouvelable de mat riel de secours en cas de catastrophe ayant fait l objet de dons l entrep t humanitaire de l ONU Brindisi Italie g r par le Programme alimentaire mondial PAM On y trouve essentiellement des articles non alimentaires et non m dicaux comme des tentes des couvertures des g n rateurs dons de divers Gouvernements que le BCAH peut faire parvenir imm diatement aux zones sinistr es moyennant l accord du donateur et sous r serve de la disponibilit des articles en stock En cas de besoin l entrep t peut servir de centre de rassemblement pour la communaut internationale des op rations de secours Les marchandises et le transport sont offerts gratuitement au pays sinistr K 3 5 Equipes internationales de Recherche et de Sauvetage en Milieu Urbain USAR En tant que Secr tariat du Groupe consultatif international de la Recherche et du Sauvetage INSARAG le BCAH alerte et coordonne les quipes USAR des diff rents pays en cas de besoin notamment si un tremblement de terre majeur touche des zones urbaines En collaboration avec l INSARAG le BCAH maintient des contacts troits avec les acteurs des principales quipes internationales USAR et a constitu un annuaire des quipes USAR r pondant aux crit res op rationnels reconnus pour les op rations internationales Les directives de l INSARAG ent rin es par la R solution de l Assembl e g n rale des Nations Unies GA 57 150 traitent de
461. t de vaccination international de l OMS comme moyen d enregistrement et de v rification de vos vaccinations De plus il faut noter la recrudescence de la tuberculose TB dans le monde Les membres UNDAC doivent d terminer leur tat relatif la tuberculose et suivre les conseils de leur m decin pour une ventuelle vaccination BCG Documents Les membres UNDAC doivent emmener avec eux leurs dossiers m dicaux contenant les informations importantes qui pourront servir aux prestataires de soins partout o ils se rendront Ces informations doivent inclure les l ments suivants Dates et r sultats des bilans de sant dont les bilans dentaires et visuels Maladies et m dicaments prescrits Allergies en particulier des m dicaments Vaccinations Informations personnelles comme le groupe sanguin Renseignements concernant l assurance maladie Nom et coordonn es de votre prestataire de soins habituel par exemple votre m decin g n raliste ou un sp cialiste Tous les certificats et les documents de sant officiels utiles doivent tre inclus Ces informations doivent tre mises jour et emport es par le membre UNDAC partout o il est envoy Les membres UNDAC doivent galement se munir du guide de l OMS intitul Voyages internationaux et sant Assurance maladie Pour leur tranquillit d esprit les membres UNDAC doivent s assurer qu ils ont souscrit une assurance maladie appropri e et sont toujours
462. t domaines d activit L 5 Documents de base sur l interaction civilo militaire L 6 Coutumes et courtoisie militaires M LES NATIONS UNIES ET LES ORGANISATIONS D AIDE HUMANITAIRE INTERNATIONALES M 1 Introduction M 2 Le syst me des Nations Unies M 3 Le Mouvement de la Croix Rouge et du Croissant Rouge M 4 Organisations non gouvernementales ONG M 5 L Equipe d intervention en cas de situations de Catastrophe de l USAID DART M 6 L Union Europ enne UE M 7 Le Partenariat humanitaire international IHP N S RETE ET SECURITE N 1 Introduction N 2 S curit des Nations Unies N 3 Phases du plan de s curit des Nations Unies N 4 S ret et s curit de l quipe N 5 Plan d vacuation Annexe O SANTE PERSONNELLE 0 1 Sant personnelle 0 2 Aliments salubres pour les voyageurs 0 3 Eau salubre pour les voyageurs 0 4 Stress 0 5 Urgences m dicales et premiers soins P LOGISTIQUE EN SITUATION DE CATASTROPHE P 1 Introduction P 2 Vue d ensemble de la logistique P 3 Logistique des secours en cas de catastrophe Q CLIMAT ET TERRAIN Q 1 Introduction Q 2 Zones de climat et de terrain Q 3 R gions polaires Q 4 R gions de haute altitude Q 5 R gions tropicales Q 6 R gions d sertiques R PROCEDURES RELATIVES AUX COMMUNICATION RADIO R 1 Introduction R 2 Proc dures et outils R 3 Termes d appel standard des Nations Unies S REFERENCES S 1 Conversion syst me m trique syst me anglo saxon S 2 Caract ris
463. t financ es par des particuliers ou des groupes priv s comme par des Gouvernements Les ONG commencent tre financ es de plus en plus par des gouvernements d habitude leurs propres gouvernements ou des organisations inter gouvernementales OIG par ex l Union europ enne La communaut des ONG prend de l importance dans le monde humanitaire La p riode allant des ann es 1980 jusqu au d but des ann es 1990 a t appel e juste titre la d cennie des ONG Dans les ann es qui ont suivi la seconde guerre mondiale le nombre des ONG internationales s est mis d coller de 832 en 1951 elles sont pass es 9398 en 1981 Ces ONG englobent tous les aspects des secours humanitaires Dans les ann es 80 le nombre d ONG internationales a presque doubl passant 16208 en 1990 Sur celles ci 500 environ sont directement impliqu es dans l aide humanitaire Les ONG travaillent dans tous les domaines de l action humanitaire et fournissent les principaux moyens internationaux pour mener bien les op rations de secours sur le terrain Il est par cons quent important de mener une interaction avec elles car on peut trouver et fournir une aide et des informations pr cieuses Il est courant qu une ou plusieurs ONG aient des op rations dans la Zone concern e par la situation d urgence avant pendant et apr s l impact et elles auront donc des informations et une exp rience uniques aupr s des populations touch es Les ONG ont g
464. t parfois sombre et a un go t saum tre mais la v g tation qui y pousse lui conserve sa fra cheur Toutefois les eaux courantes sont toujours meilleures que les eaux stagnantes En cas de doute faire bouillir En hiver faire toujours fondre de la glace et de la neige Ne pas absorber de glace concass e ou de neige cela risquerait de provoquer des l sions buccales et d accentuer une d shydratation La glace non d gel e ou la neige feront baisser la temp rature interne et refroidiront le corps surtout si l on a d j froid et ou si l on est fatigu S il n y a aucune autre option pour faire fonde de la neige mettre un peu de neige dans une bouteille d eau et la tenir pr s de son corps jusqu ce qu elle fonde Sant arctique Les gelures l hypothermie et l ophtalmie des neiges constituent les principaux risques Les mesures prises pour viter les courants d air l int rieur de l abri peuvent entra ner un manque d oxyg ne et un empoisonnement par le monoxyde de carbone Les facult s de r flexion peuvent s affaiblir Rester vigilant et actif mais viter de se fatiguer et conserver son nergie pour des t ches utiles Dormir le plus possible on ne meurt pas de froid en dormant sauf si l on est puis au point de ne plus pouvoir compenser les d perditions de chaleur Exercer ses doigts et ses orteils afin d am liorer la circulation Prendre des pr cautions contre les gelures Eviter de re
465. t pas t atteints e Utile Le processus de coordination doit engendrer des produits processus ou r sultats utiles par exemple la mise en place d une plate forme de d cision la possibilit de partager les ressources le choix d un moyen pour remercier et soutenir les donateurs ou la cr ation d un lieu convivial o partager ses probl mes et trouver de nouvelles id es B 2 Coordination sur le terrain mission et objectifs B 2 1 Mission du BCAH Le BCAH est responsable de la coordination en cas de catastrophe ou de situation d urgence cette responsabilit a t d finie par le pass et lui a t confi e La mission du BCAH n est pas de fournir l aide mais de s assurer que l aide apport e est efficace La premi re mission du BCAH l occasion d une catastrophe naturelle a t d cid e par la r solution 2816 XXVI du 14 d cembre 1971 de l Assembl e g n rale des Nations Unies qui l autorise mobiliser diriger et coordonner l aide internationale En d cembre 1991 l Assembl e g n rale reconna t dans sa r solution 46 182 la n cessit de renforcer le travail collectif en mati re d aide humanitaire et d en augmenter l efficacit Cette r solution pr conise le renforcement du r le du Secr taire g n ral dans le but de garantir une meilleure pr paration et une r action rapide et coh rente aux catastrophes naturelles et autres situations d urgence Pour y
466. t r pondre plusieurs fois aux m mes questions souvent sans r sultat visible Elles se lassent des valuations humanitaires Dans de telles circonstances une valuation risque de ne pas produire de nouvelles informations utiles Article II Sch ma du processus d valuation aluaton pr liminaire des information NON us penser Mettre fin au processus OUI Processus de planification d informations sp cifiques chaque secteur G 2 2 Programmation La pr cision de l valuation d pend d une programmation d une conception et d une pr paration minutieuses La majorit des besoins en information peuvent tre identifi s l avance Lors de la phase de programmation il convient de tenir compte des l ments suivants e Taches sp cifiques de l quipe adapt es au travers des discussions avec le RC HC et les autorit s nationales locales e Taille et composition initiales de l quipe et par cons quent prise en compte de ses comp tences et de ses limites La situation la suite de la catastrophe e Type de catastrophe et cons quences attendues e Connaissances pr alables sur la r gion par exemple superficie densit et topographie e Calendrier de la mission en fonction de l volution de la situation e Les suites ventuelles de la catastrophe e Les informations disponibles provenant de sources secondaires et votre opinion concernant leur fondement et leur degr d
467. t se sentir responsable de l efficacit du fonctionnement de l OSOCC et de la coordination de ses op rations avec les moyens de secours nationaux et locaux ainsi qu avec ceux d autres quipes internationales Dans de nombreuses catastrophes les institutions et bureaux de l ONU et les ONG offrant des services communs se d ploient parall lement l quipe UNDAC c est le cas notamment du Centre logistique commun des Nations Unies du Centre d information humanitaire du D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies de T l com sans Fronti res et de MapAction Ces entit s disposent d une expertise consid rable et l quipe UNDAC doit chercher coop rer avec elles le plus troitement possible Ces entit s sont souvent mieux plac es pour prendre en charge les l ments fonctionnels que l on rencontre habituellement l OSOCC Lors de catastrophes qui s tendent sur une zone tr s vaste il peut tre n cessaire de cr er une ou plusieurs annexes de l OSOCC dont la structure sera semblable celle du Centre lui m me Directives de l OSOCC Les directives de l OSOCC ont t labor es par le BCAH en sa qualit de secr tariat du Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage en coop ration avec la F d ration internationale des soci t s de la Croix Rouge et du Croissant Rouge l quipe UNDAC et les experts des quipes internationales de recherche et de s
468. taire doit donc tre unique en nature ou opportunit de d ploiement et ne doit tre utilis e qu en dernier recours Une op ration militaire utilisant des ressources militaires doit conserver sa nature et son caract re civils Si les ressources militaires demeurent sous contr le militaire l op ration doit rester sous l autorit et la direction g n rales de l organisation humanitaire qui en est responsable quels que soient les arrangements sp cifiques de commandement qui s appliquent la ressource militaire Dans toute la mesure du possible la ressource militaire doit op rer non arm e et avoir une apparence civile Le travail humanitaire doit tre effectu par des organisations humanitaires Dans la mesure o des organisations militaires ont un r le jouer dans l aide au travail humanitaire ce r le ne doit pas autant que possible inclure une aide directe afin de conserver une distinction claire entre les attributions normales des intervenants humanitaires et des acteurs militaires Les pays fournissant du personnel militaire pour aider aux op rations humanitaires doivent garantir le respect du code de conduite et des principes de l organisation humanitaire responsable de ce d ploiement L implication grande chelle de personnel militaire dans la fourniture directe d aide humanitaire doit tre vit Toute utilisation de ressources militaires doit garantir que l op ration militaire conserve son caract re i
469. techniques par courriel et t l phone satellite et g rer tous les aspects techniques des communications internes radios THF tenir jour une liste des contacts et un plan de communication de l quipe UNDAC et des organismes de Secours Liste de contr le Fournir l quipement de t l communications n cessaire qui n est pas encore mis disposition et si n cessaire le transporter dans le pays Fournir mettre en place et entretenir l quipement de t l communications pour POSOCC et le RDC Mettre en place et entretenir un LAN avec un nombre suffisant d ordinateurs tablir des communications internationales Tenir jour un registre des communications entrantes et sortantes laborer et mettre en uvre un plan de communications de l UNDAC Suivre analyser et valuer l ensemble des communications Assurer la compatibilit et l unit du syst me de communications de s curit avec les autres institutions des Nations Unies les ONG et les partenaires de la mise en uvre Fournir des mises jour des positionnements GPS des emplacements et missions Cl s Fournir une formation permanente et une assistance technique sur l installation le fonctionnement et la maintenance de l quipement de t l communications R sultat attendu Mise en place physique des communications internes et externes et tenue d une liste de contacts et de plans de communications Annexe S lectio
470. tement et la diffusion de l information Voir galement le chapitre G valuation des catastrophes pour les listes de contr le H 3 3 D mobilisation des quipes USAR La d cision de mettre fin une intervention de sauvetage et de recherche en milieu urbain doit tre prise par la LEMA En s appuyant sur les recommandations des quipes USAR l quipe UNDAC doit conseiller la LEMA sur le moment appropri pour mettre fin cette phase mais doit laisser la LEMA prendre la d cision Cette d cision est souvent difficile prendre pour la LEMA car elle comporte g n ralement des cons quences politiques pour les autorit s locales L quipe UNDAC et l OSOCC doivent aider la phase de d mobilisation de PUSAR e En tablissant un calendrier de d part Les quipes USAR doivent fournir POSOCC les informations n cessaires cet effet sur un formulaire standardis concernant les demandes et les informations sur leur d part Ce formulaire est disponible dans le logiciel de mission UNDAC ainsi que dans les directives INSARAG e En d terminant les exigences logistiques des quipes En coop ration avec la LEMA l OSOCC doit organiser le dispositif logistique d acheminement des quipes de la zone affect e vers leur point de d part Comme de nombreuses quipes seront pr tes partir en m me temps cela risque de provoquer une pression importante sur les moyens de transport locaux Un calendrier doit tre soi
471. tendus l int rieur du pays Les d lais de livraison des produits d aide alimentaire issus de dons sont n anmoins longs habituellement de 3 5 mois parfois m me davantage La capacit livrer des produits rapidement pour r pondre aux besoins initiaux en secours d pend le plus souvent de la disponibilit dans les pays de stocks ad quats pouvant tre emprunt s ou achet s La grande majorit des besoins en nourriture la suite de catastrophes soudaines sont satisfaits par des emprunts Les types et quantit s de marchandises susceptibles d tre fournis par le PAM dans toute situation d pendent des besoins valu s et des ressources en produits et en argent dont dispose le PAM ce moment Toutefois le PAM s efforce de fournir les produits de base n cessaires correspondant une ration quilibr e et ad quate sur le plan nutritionnel d un niveau calorique reconnu comme suffisant Les rations affect es par le PAM dans le cadre des op rations de distribution de nourriture d alimentation dans des situations d urgence comprennent normalement une c r ale ad quate une huile ou graisse alimentaire et un aliment riche en prot ines l gume sec par exemple Le cas ch ant le PAM peut galement fournir quelques denr es pour des programmes d alimentation compl mentaires En sus de puiser dans les ressources dont il dispose le PAM peut aider mobiliser et coordonner la livraison d aide alimentaire d urgence interna
472. tenir les visas et les autorisations d entr e sur le territoire pour le mat riel sp cial mat riel de communication chiens de recherche m dicaments d urgence et quipement technique sp cialis pour les op rations de recherche et de sauvetage Fournir un soutien logistique l quipe USAR par exemple des interpr tes des guides du carburant des moyens de transport de l eau des cartes la localisation de la base d op rations etc Garantir la s curit du personnel du mat riel et des installations Renforcer la LEMA pour g rer la catastrophe Maintenir une repr sentation au RDC et POSOCC pour garantir la coordination de l intervention et la r ponse aux priorit s nationales D clarer la fin de la phase d intervention USAR Pays intervenant Le pays intervenant doit Maintenir un centre de contact ouvert 24h 24 Assumer tous les frais li s au d ploiement international Mettre en uvre des proc dures de transport pour un d ploiement rapide des quipes UNDAC Publier des informations concernant le d ploiement des quipes USAR sur le r seau virtuel de l OSOCC Fournir tout le soutien logistique et administratif qui peut tre requis par l quipe au cours de la mission y compris la capacit de r approvisionnement si n cessaire quipes USAR Les quipes USAR doivent e Conserver les documents de voyage n cessaires tenir jour les vaccinations pour tous les membres et les chi
473. tentielle des mines Il existe peut tre m me des cartes indiquant les zones dangereuses M me si vous avez obtenu des informations sur la localisation des mines celles ci doivent seulement servir d indication car il peut y avoir d autres mines ailleurs Soyez conscient qu une carte pr sentant une vue d ensemble des champs de mines peut donner un sentiment de s curit qui n a pas lieu d tre Ne vous rendez jamais dans des champs de mines apparents ils peuvent tre signal s par des mines dispers es la surface par une cl ture cernant le champ de mines ou par des signes indiquant la pr sence d un danger Soyez conscient que les champs de mines qui ont t d min s peuvent avoir t min s nouveau Il arrive que des terrains soient d min s pendant la journ e et min s nouveau la nuit suivante Si des combats ont t men s dans une zone il est vraisemblable que des parties de cette zone aient t min es Les terrains qui entourent des positions militaires ou d anciennes positions et les terrains qui offrent une zone de d fense aux troupes ennemies pr s des positions militaires sont tr s susceptibles d tre min s Les b timents qui se trouvent dans les zones de combat risquent galement d avoir t min s ou pi g s Les pi ges peuvent tre reli s aux portes cach s sous les tapis sous des corps tre raccord s la nourriture ou l quipement m dical et de premiers soins des
474. ter et ou surveiller la distribution de certains colis d aide alimentaire bilat rale De nouveaux arrangements de travail ont t d cid s d un commun accord entre le PAM et le HCR en 1991 Dans les situations impliquant des r fugi s le PAM collabore avec le HCR et le Gouvernement et les aide pour l valuation des besoins en aide alimentaire et la mobilisation fourniture d un certain nombre de produits sp cifiques et des moyens de les livrer et de les distribuer Le PAM a pour t che de mobiliser des produits alimentaires de base c r ales l gumes secs haricots ou autres aliments riches en prot ines huile ou graisse alimentaire sel du sucre et des aliments compos s ainsi que les moyens financiers pour couvrir la totalit du co t du transport ext rieur et de transport int rieur d entreposage et de manutention TIEM et les co ts annexes aff rents ces produits Le HCR est charg de mobiliser tous autres produits n cessaires ainsi que les moyens financiers s y rapportant Fourniture de denr es d aide alimentaire Les produits peuvent tre fournis par les ressources d urgence dont dispose le PAM voir ci apr s sous r serve de crit res sp cifiques et condition qu une demande soit pr sent e par le Gouvernement Apr s approbation les denr es sont fournies sous la forme d un don remis aux points d entr e Dans le cas de pays en d veloppement la livraison est parfois pr vue certains points de livraisons
475. tion Si le nombre de cas est en augmentation pr cisez le groupe d ge et la zone concern s Incitez les autorit s isoler la zone Vecteurs de microbes pathog nes mouches moustiques poux de corps rongeurs Ces vecteurs sont ils pr sents Existe t il des aires de reproduction eaux stagnantes d tritus Alimentation et nutrition Sources d information e Minist re de la Sant Etudes sur la nutrition Etudes d mographiques sur la sant Cliniques locales Organisations humanitaires Communaut s notamment les femmes e Guide SPHERE Domaine Informations de r f rence Mode d alimentation D crivez le mode d alimentation habituel de la population touch e pr cisez s il existe des aliments inacceptables Disponibilit march stocks vari t prix et volution des tarifs Une distribution est elle assur e par les pouvoirs publics ou des agences Les foyers sont ils en mesure de pr parer les aliments pour les repas de la famille ou les enfants Donn es sur la nutrition Voir le guide SPHERE concernant les indicateurs Risque de malnutrition d des soins Changement dans la composition des foyers inad quats par exemple nombre important d enfants s par s ou d orphelins Mode d alimentation des nourrissons habituel biberon allaitement aliments compl mentaires manufactur s Intervention nutritionnelle ou appui Mission actions et exp
476. tion efficace avec l autorit locale de gestion de la situation d urgence et l int rieur de la composante Gestion de information de l OSOCC G rer l information li e la situation d urgence Collecter les informations Mettre en place un syst me de suivi des informations Cr er un syst me de diffusion et d change des informations au sein de la communaut humanitaire Faire en sorte que des experts sectoriels valuent et analysent les informations collect es Instaurer des mesures pour clarifier les informations manquantes ambigu s ou erron es R diger des rapports de situation Coordonnateur de la logistique de l OSOCC Assurer le soutien logistique l OSOCC Assurer la liaison avec les entit s nationales et internationales charg es de la logistique Faciliter le soutien logistique aux acteurs internationaux D finir des arrangements logistiques par exemple en mati re de transport et de carburant et en arr ter la liste Officier de liaison de l OSOCC Assurer l change d informations syst matique avec les intervenants nationaux et internationaux Faire des recommandations la direction de l OSOCC sur l change d officiers de liaison avec les intervenants nationaux et internationaux Veiller ce que les officiers de liaison ext rieurs au sein de OSOCC soient inform s et utilis s de mani re ad quate Attach de presse de l OSOCC laborer et tenir
477. tion possible ce processus doit tre e Participatif La coordination na t de la l gitimit acquise par l engagement Elle doit tre mise en place au sein d une structure et dans le cadre de processus approuv s et soutenus par les acteurs des situations d urgence L organisation coordinatrice doit acqu rir puis conserver la confiance des autres acteurs pour cr er un contexte de respect et de bonne volont Les diff rentes organisations doivent participer aux d cisions concernant les politiques d action les proc dures les strat gies et les plans qui les toucheront directement e Impartial Le processus de coordination ne doit pas tre consid r comme l octroi d un r le pr pond rant une organisation au d triment d une autre mais comme l identification des comp tences propres de chacun des acteurs La coordination doit promouvoir l impartialit c est dire une aide fournie sans distinction de race de religion d appartenance politique de sexe ou d ge par les acteurs les plus susceptibles d obtenir les r sultats souhait s e Transparent La confiance est n cessaire la coordination et cette confiance repose sur la transparence la libre transmission d informations des processus de d cision ouverts et sur des logiques de d cision honn tes sinc res et communiqu es tous Cela signifie donc reconna tre ses erreurs ou tout du moins admettre que les objectifs n on
478. tionale en provenance de toutes les sources et de produits non alimentaires qui sont essentiels la mise en uvre ad quate des programmes d aide alimentaire planifi s en particulier de l quipement logistique et l utilisation de la nourriture par les b n ficiaires par exemple des broyeurs des ustensiles et ou du combustible pour cuisson Aide la logistique dans les pays Le PAM collabore l valuation d taill e des syst mes et des capacit s logistiques et si n cessaire dans une situation d urgence majeure survenant dans un pays pauvre il peut fournir une aide technique et mat rielle et aider la formation du personnel d entreposage et autre Il peut en cas de besoin apporter son aide intervenir aupr s des Gouvernements des pays de transit pour faciliter et acc l rer le passage de marchandises de secours destination de pays enclav s frapp s par une situation d urgence Dans une situation d urgence alimentaire majeure le PAM peut titre exceptionnel Fournir un certain soutien logistique mat riel pour des op rations de TIEM par ex unit s de transport quipement et expertise en stockage et manutention si c est absolument indispensable la mise en uvre des programmes d aide alimentaire pr vus Aider soit directement soit par contacts avec d autres organisations comp tentes tablir et g rer de grandes unit s de transport et de logistique en particulier pour organiser le transp
479. tionales La force militaire internationale s est elle engag e dans une campagne visant gagner les c urs et les esprits Les forces militaires internationales sont elles impliqu es dans des projets d aide directe 5 Interface entre forces militaires internationales et forces civiles internationales Les organisations d aide civiles sont elles associ es certaines forces militaires Quels sont les rapports entre les organisations non gouvernementales ONG et l arm e d un m me pays Les commandants et personnels militaires ont ils d j travaill avec l ONU ou des ONG L arm e a t elle une doctrine pour entretenir des rapports avec les intervenants civils e L arm e a t elle des ordres explicites pour aider ou prot ger les humanitaires Apr s que des r ponses auront t apport es toutes ces questions et que les ambigu t s auront t lev es il devrait tre possible de d terminer en quoi doit essentiellement consister la coordination civilo militaire Structures et m canismes de coordination La communaut internationale de l aide humanitaire dans ses composantes civile et militaire a mis au point plusieurs types d interfaces civilo militaires Les plus r pandues sont les suivantes e Le Centre des op rations civilo militaires CMOC e Le Centre de coop ration civilo militaire CIMIC e Le Centre des op rations humanitaires HOC Tout projet de structures et de m canismes de coordinati
480. tions e Quel type d informations doit peut tre chang avec qui et quand e Comment diff rencier les informations qui peuvent tre importantes des fins humanitaires de celles qui sont politiquement militairement ou conomiquement sensibles e Comment d terminer quelles informations peuvent servir des objectifs autres que ceux qui sont strictement humanitaires Par exemple comment garantir que les informations sur les mouvements de population ou les b n ficiaires de l aide ne seront pas utilis es abusivement des fins militaires e Des informations chang es avec un groupe militaire doivent elles tre chang es galement avec tous les autres groupes militaires et ou politiques Comment faire en sorte de ne favoriser aucune partie aux d pens de l autre tout en tant attentif aux sensibilit s qu implique l information e Quand et comment v rifier les informations fournies par l arm e L 6 Coutumes et courtoisie militaires Les coutumes et courtoisies militaires rel vent d une longue tradition Ce sont des marques de respect n es d un besoin d ordre et d un sens de la loyaut et de l honneur existant au sein du personnel militaire Elles vont au del de la politesse de base et font partie int grante de la discipline du moral de l esprit de corps et de l efficacit de la mission Il est bon qu un civil amen c toyer l arm e ait une connaissance l mentaire de certaines coutumes et courtoisies A
481. tions concernant les plans les op rations les stocks les renseignements n cessaires et les besoins actuels de l aide humanitaire e Contr ler les contributions des donateurs et les ressources fournies e tablir et maintenir un syst me d information une base de donn es permanent e sur la situation d urgence qui servira de m moire institutionnelle e Pr parer et soumettre des rapports p riodiques sur la situation humanitaire et d autres rapports en fonction du plan d action e Fournir des informations aux m dias et aux agences de presse contr ler les rapports des m dias organiser et convoquer des conf rences de presse tre en liaison avec les porte parole du Bureau de la coordination des affaires humanitaires BCAH e Organiser des r unions d information pour les membres de la direction les dignitaires en visite et les missions de donateurs e Organiser le passage de relais des syst mes de gestion de l information aux agents de gestion de l information du BCAH arrivants au Centre d information humanitaire CIH ou d autres organismes comp tents F 2 R daction de rapports et rapports de situation UNDAC F 2 1 Orientation L tablissement de rapports est l une des fonctions les plus importantes d une quipe UNDAC Les rapports doivent tre clairs concis pr cis et professionnels Tous les rapports tablis par une quipe UNDAC doivent tre adress s au CR CH dans la capitale du pay
482. tiques des communications par radio et satellite S 3 Caract ristiques des avions pouvant tre utilis s pendant les op rations de sauvetage en cas de catastrophe S 4 Caract ristiques des h licopt res pouvant tre utilis s pendant les op rations de sauvetage en cas de catastrophe S 5 M thodes de chargement et de d chargement des avions S 6 Liste des sigles et acronymes A PREFACE A 1 Introduction au manuel A 2 Contacter le BCAH A 1 Introduction au manuel L objectif du pr sent manuel du syst me des Nations Unies pour l valuation et la coordination en cas de catastrophe UNDAC est de constituer un ouvrage de r f rence facilement accessible aux membres des quipes UNDAC avant et pendant une mission en cas de catastrophe ou de situation d urgence Ce manuel ne pr tend pas faire autorit sur le sujet il s agit plut t d une somme d exp riences institutionnelles des processus et proc dures de coordination envisag s dans l optique du mandat du syst me UNDAC II se concentre sur l aspect mode d emploi de la coordination et propose aussi des informations suffisantes conf rant l utilisateur une connaissance de base du mandat du Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies BCAH En outre il offre des conseils sur les fonctions et les structures de coordination tout en aidant surmonter les obstacles qui peuvent se pr senter Enfin il d taille les ressources les partenai
483. tre plac pr s du point d entr e qui offre le plus de visibilit l ext rieur du b timent effondr Tous les r sultats d valuation doivent tre imm diatement communiqu s l OSOCC Le marquage est constitu e D un carr d Im A l int rieur du carr e Autorisation ou interdiction d acc s e Identification de l quipe e Date et heure de d but e Date et heure de fin A l ext rieur du carr e Information sur les dangers en haut e Personnes disparues en bas e Victimes vivantes d gag es gauche e Victimes d c d es d plac es droite Informations suppl mentaires e Lorsque l quipe USAR a achev son travail sur le b timent selon ses possibilit s un cercle est trac autour du marquage entier e Apr s l ach vement complet du travail sur le b timent et la confirmation de l information qu il n existe plus de possibilit s de sauvetage une ligne horizontale est trac e en travers du marquage entier INFORMATION SUR LES DANGERS ACC S AUTORIS IN TERDI NOMBRE DE VICTIMES no yane nE MVANTES D C DLES GAG ES IDENTIFICATION DE L QUIPE Signaux e Des signaux d alarme efficaces sont essentiels pour la s curit du personnel de l quipe USAR intervenant sur un site sinistr Tous les membres des quipes USAR doivent tre inform s sur les signaux d alarme Les signaux d alarme doivent tre identiques pour toutes les
484. trous contenant des mines Faites particuli rement attention aux petits trous qui peuvent tre le trou d entr e d un obus Ce n est pas parce qu un v hicule est pass sur un nid de poule que celui ci ne contient pas de munitions non explos es elles peuvent supporter le passage de 35 v hicules et tre d clench es par le 36 Si vous poss dez un appareil photo ne l utilisez pas n importe o Ne prenez jamais de photos en pr sence de soldats d une activit militaire ou aux points de contr le Pour tre pr t une vacuation vous devez toujours garder un sac contenant vos objets personnels des v tements chauds un suppl ment de nourriture et d eau une trousse de premiers soins un casque et un gilet pare balles s ils vous ont t fournis Gardez toujours sur vous vos documents d identification des Nations Unies et votre passeport Il pourra tre utile de pr senter une copie du passeport la place de celui ci si des fonctionnaires vous le demandent Un duplicata du passeport pourra m me tre utile Les pratiques culturelles des populations locales tablissant les convenances en mati re de relations personnelles peuvent diff rer de celles des membres UNDAC Pour ces raisons et d autres encore il est d conseill de lier des relations personnelles troites qui risqueraient d affecter la s curit Les relations intimes avec des personnes du sexe oppos doivent g n ralement tre vit
485. ts un ou plusieurs tages en b ton ou b ton arm augmentent le besoin de perfectionnement des capacit s de recherche et de sauvetage en milieu urbain Les avanc es technologiques ont am lior la capacit localiser secourir et fournir des soins aux victimes prises au pi ge De nombreux pays ont d velopp un r seau USAR et peuvent en cas de besoin envoyer des quipes d experts USAR bien form s pour aider les pays touch s par des catastrophes provoquant des effondrements structurels grande chelle Si le d ploiement des quipes internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain a t tr s profitable aux victimes prises au pi ge et aux pays touch s les enseignements tir s ont r v l le besoin pour les quipes USAR intervenantes d tre int gr es au sein d un syst me bien coordonn pour assurer une utilisation optimale des ressources USAR disponibles Il faut classer les quipes internationales de recherche et de sauvetage en milieu urbain selon leurs capacit s op rationnelles afin d assurer que seul le personnel USAR qualifi et appropri est d ploy en situation d urgence Le syst me de classification permettra aux pays touch s aux pays donateurs intervenants et aux ONG de coordonner l intervention d une quipe USAR appropri e lors d une catastrophe r pondre aux exigences de gestion appropri es pour une quipe USAR y compris la d finition des priorit
486. ts des organisations Il est possible que certains liens importants et utiles aient d j t tablis La communaut des secours d urgence est relativement restreinte et il est tr s probable que certaines personnes se connaissent d j ou aient d j travaill ensemble lors d une situation d urgence pr c dente Ces relations pr existantes peuvent faciliter grandement l tablissement des relations Cependant l effet inverse est galement possible lorsque les relations ant rieures n ont pas t satisfaisantes Promouvoir la transparence Lorsqu une organisation agit dans la transparence il est possible de comprendre comment et pourquoi les d cisions sont prises Les r ticences dans ce domaine sont li es diff rents facteurs crainte de d saccord d un vol des id es d une monopolisation des ressources d une limitation de la libert d action ou de la capacit changer de cap En favorisant la transparence sans effets n gatifs le centre de coordination pourra peut tre r duire la tendance naturelle des organisations dissimuler leur processus de d cision La transparence doit commencer par soi m me L quipe UNDAC doit donc montrer l exemple de la transparence dans son propre fonctionnement Pour cela elle peut valuer p riodiquement le fonctionnement du processus de coordination et les moyens de l am liorer En expliquant comment l quipe peut mieux faire son travail et en r alisant
487. ttendez vous tre escort partout o vous allez sur une installation militaire Soyez ponctuel Les r unions militaires commencent l heure le plus souvent Soyez en avance de 10 15 minutes sur le lieu de la r union Pr voyez un temps suppl mentaire pour le passage de la grille d entr e Quand un officier sup rieur fait son entr e dans la pi ce s il a un grade sup rieur tout autre militaire pr sent les personnes pr sentes dans la pi ce se mettent au garde vous Vous devez rester au garde vous jusqu ce que l officier soit assis ou dise repos ou asseyez vous Tout le personnel militaire est appel par son rang ou titre Un membre de l arm e peut se pr senter par son pr nom et nom de famille mais en pr sence d autres militaires on les appelle toujours par leur grade et leur nom de famille Quand on vous pr sente un officier sup rieur vous pouvez l appeler par son grade et nom de famille grade seul ou monsieur ou madame selon le cas L officier sup rieur doit quitter la pi ce le premier entrer dans une pi ce en g n ral le dernier tre le premier descendre d un v hicule et le dernier y entrer Si vous marchez c t d un officier sup rieur celui celle ci doit tre votre droite Si vous tes pr sent quand on joue l hymne national de l arm e h te restez debout immobile et jusqu l arr t de la musique Il en va de m me si le drapeau national de l h te est tr
488. tul e R sum est essentielle car ce sera peut tre la seule information retenue voire lue F 3 Traitement de l information F 3 1 G n ralit s La gestion de l information par l quipe UNDAC comprend les tapes suivantes Collecte de l information y compris l valuation Regroupement et organisation de l information valuation analyse de l information e Diffusion de l information Il faut faire la distinction entre les termes donn e et information Les donn es sont des nombres et autres caract res L information est une donn e utile Les donn es deviennent des informations lorsqu elles sont utiles significatives pertinentes et adapt es des personnes particuli res des endroits et des moments particuliers pour des objectifs particuliers Voir galement le chapitre G valuation des catastrophes Collecte de l information L information est collect e partir d entretiens avec diff rentes sources informateurs d terminants au sein du gouvernement dans les organisations b n voles priv es les ONG les organisations internationales et les groupes particuliers de personnes touch es et leurs dirigeants Parmi les sources d informations utiles Au niveau r gional local Autorit s r gionales locales Chefs locaux anciens des villages Police Arm e Service d incendie Services de secours ONG Protection civile FICR CICR quipes
489. u mat riel nombre de personnels Quantit et qualit de l eau Minimum requis 15 litres par personne et par jour Dans les situations extr mes 5 litres par personne et par jour pour la boisson et la pr paration des aliments Renseignements concernant les ressources sont elles contamin es L eau est elle trait e et ou chlor e Transport et stockage de l eau Moyens de transport et de stockage est il possible que l eau soit contamin e Distance et temps pour se rendre au point d eau moins de 500 m de marche Stockage individuel de l eau Disponibilit dans les institutions publiques D f cation et urination Existe t il des toilettes Y a t il des traces de d f cation pr s des habitations Pas plus de 20 personnes par latrines ou toilette pas plus de 50 m de distance des habitations Utilisation par les femmes des quipements communs Est elle s re et ou culturellement acceptable Pr cisez Installations pour se laver les mains et le corps Ces installations existent elles Sont elles utilis es Du savon est il disponible La s curit et l intimit des femmes et des filles sont elles assur es 50 personnes maximum par installation Cas de diarrh e Nombre habituel en augmentation en diminution Domaine Informations de r f rence Diarrh e aqueuse et ou sanglante aigu Nombre habituel en augmentation en diminu
490. u membre du bureau du BCAH de garde qui se charge ensuite de rappeler les personnes concern es Fax 41 0 22 917 0023 T lex 414242 OCHA CH M l Adresse postale Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies Palais des Nations CH 1211 Gen ve 10 Suisse Mobilisation et missions UNDAC Une quipe UNDAC est mobilis e par la FCSS du BCAH de Gen ve Lors des p riodes de mobilisation ou de mission UNDAC deux lignes t l phoniques distinctes sont ouvertes par la FCSS et sont exclusivement destin es la communication avec les quipes UNDAC Fax 41 0 22 917 0023 T l phone 41 0 22 917 1600 M l undac_alert un org Autres aspects Pour tout autre aspect ou quand aucune quipe de l UNDAC n est en action la FCSS est le dispositif contacter B LE R LE DU BCAH DANS LA COORDINATION B 1 La coordination un point primordial B 2 Coordination sur le terrain mission et objectifs B 2 1 Mission du BCAH B 2 2 But et objectifs du BCAH sur le terrain B 3 Les fonctions de coordination sur le terrain B 3 1 Les fonctions de coordination du BCAH sur le terrain B 3 2 Les services communs B 3 3 Les principales activit s de coordination sur le terrain B 4 Les infrastructures de coordination du BCAH dans les pays B 4 1 Les repr sentants du BCAH B 4 2 Les unit s de coordination du BCAH sur le terrain B 4 3 Le centre de coordination des op rations B 4 4 Le m canisme d
491. u soleil et l observation au sol est donc limit e environ 20 m tres Dans une jungle o la v g tation secondaire est enchev tr e l observation au sol est parfois limit e 5 m tres ou moins Dans d autres types de jungles la visibilit peut varier de 15 20 m tres jusqu 100 m tres L observation peut tre consid rablement restreinte durant la p riode de mousson et les mois d hiver en raison de fortes pluies et de brouillard au sol qui dans les vall es peuvent persister plusieurs heures apr s le lever du soleil 12 Les cr tes et les collines permettent une observation l g rement am lior e car en hauteur la v g tation est moins dense que celle qui cro t dans les vall es Les d placements dans la jungle tant pied qu en transport m canique constituent un processus lent et laborieux en raison de la boue engendr e par les pluies et de la difficult s loigner de la piste Les d placements pied en particulier posent un certain nombre de probl mes pineux L itin raire doit tre choisi avec soin afin d viter des escalades et descentes inutiles et d avoir se frayer un passage la machette travers l pais feuillage de la jungle Le voyageur est galement expos aux inconv nients d une forte humidit notamment en traversant des for ts de bambou et de joncs Il existe une tendance sous estimer le temps n cessaire pour se d placer entre deux points da
492. uch s des pays intervenants des quipes USAR et de l quipe UNDAC La division des responsabilit s lors d une intervention USAR a t d finie dans les directives INSARAG suivant les diff rentes phases des interventions internationales USAR voir H 2 1 Un r sum de ces responsabilit s est pr sent ci dessous BCAH Le BCAH doit Activer le r seau virtuel de POSOCC et fournir des mises jour permanentes concernant la situation les proc dures d entr e les demandes d aide sp cifiques les informations de base sur le pays touch etc Collaborer troitement avec le pays touch pour garantir la publication en temps utile de la demande d aide internationale Communiquer avec les repr sentants des Nations Unies du pays touch D ployer une quipe UNDAC si n cessaire Demander des modules de soutien UNDAC si n cessaire Apporter un soutien l quipe UNDAC si n cessaire Demander des modules de soutien du Partenariat humanitaire international IHP suppl mentaires si n cessaire Pays touch Le pays touch doit valuer la situation et les besoins imm diats identifier les priorit s et les communiquer la communaut internationale par le biais du BCAH et du r seau virtuel de l OSOCC Si n cessaire faire la demande d aide internationale d s que possible Mettre en place des proc dures pour recevoir les quipes internationales USAR sur les lieux par exemple les aider ob
493. ue le CR CH re oit le soutien n cessaire pour assumer ses responsabilit s Si cette situation s tend dans le temps ou prend de l envergure le CR CH a besoin d une aide significative sous forme d une quipe de sp cialistes et d un personnel exp riment s et dynamiques ainsi que d un soutien logistique administratif et financier appropri Cette aide peut prendre la forme d une quipe de coordination sur le terrain FCU sp cifique B 4 3 Le centre de coordination des op rations Dans des situations qui impliquent un grand un nombre d acteurs de l aide humanitaire et qui voluent rapidement n cessitant ainsi une coordination op rationnelle en temps r el de grande envergure la coordination sur le terrain du BCAH peut tre organis e au sein d un Centre de coordination des op rations Ce centre est l entit charg e de la coordination des activit s op rationnelles mises en place par les organisations humanitaires intervenant dans la situation d urgence notamment les agences des Nations Unies le gouvernement et les ONG Il joue le r le d un centre de coordination clairement identifi mais aussi celui d interface entre les organisations qui assurent ou soutiennent l intervention humanitaire Le Centre se concentre sur une valuation transsectorielle de la situation des acteurs et des interventions Il veille ce que la coordination entre les secteurs soit int gr e et mat rialis e par un pl
494. ues radios t l phones cellulaires etc dans un rayon de 500 m Quittez imm diatement la zone Faites part de l urgence aux repr sentants locaux charg s de traiter les situations d urgence ou aux chefs de communaut afin qu ils puissent isoler la zone Annexe Cat gories de mati res dangereuses par industrie Installation Industrie Mati res dangereuses Risque Adh sifs Solvants isocyanures Inflammables peuvent cyanoacrylates poxydes galement tre toxiques et ou corrosifs Agriculture Pesticides herbicides Les pesticides sont hautement ammoniac toxiques L ammoniac est hautement corrosif Ateliers de carrosserie automobile Hydrocarbures acides peintures poxydes polym res ac tyl ne oxyg ne ac tone ammoniac carbone t trachlorure oxyde nitreux hydrocarbures halog n s solvants Inflammables toxiques liquides et gaz corrosifs Installations de valorisation des batteries Acide sulfurique m taux Hautement corrosifs Constructions sites de construction mini re Amiante acides solvants carburant Inflammables et corrosifs Conteneurs de marchandises Pesticides Hautement toxiques Cosm tiques produits de soin Acide benzo que hexylate de m thyle c tone alcool benzylique acide st arique glyc rine Substances inflammables corrosives et toxiques Nettoyage sec Hydrocarbures halog n s Substan
495. uettes sont pr f rables pour de la neige molle Lever chaque pied sans l incliner en maintenant la raquette aussi plat que possible sur le sol Les deux m thodes exigent un entra nement suffisant avant d tre utilis es Q 3 5 Abri Q 3 6 S loigner du vent Rechercher un abri naturel am liorer mais viter les sites o l on risquerait d tre enseveli sous un banc de neige une avalanche ou une chute de rochers Eviter les arbres charg s de neige des branches pourraient tomber sauf si les branches inf rieures sont soutenues Ne pas obstruer chaque orifice pour se prot ger des courants d air Il faut disposer d une a ration notamment s il y a un feu dans l abri Feu Les sources de combustible sont limit es Le bois flottant la graisse de phoque et d oiseau le combustible provenant d paves en cas de froid extr me vider le carter de son huile avant qu elle ne cong le Elle peut tre utilis e l tat solide si elle est vidang e au sol Un carburant octane lev peut demeurer dans les r servoirs Sur la toundra on peut trouver des saules des bouleaux et du geni vre La Cassiop e est une plante basse et tal e semblable de la bruy re et dot e de feuilles minuscules et de fleurs blanches en forme de cloche Elle contient tant de r sine qu elle br le m me lorsqu elle est humide Q 3 7 Eau Q 3 8 L eau est abondante en t L eau d un tang para
496. uffisante au cours de la diarrh e il suffit de surveiller la diur se c est dire la production d urine qui doit tre d environ 60 ml h Guettez les signes de d shydratation s v re et de d s quilibre lectrolyte sel et eau faible production d urine crampes dans les jambes vertiges et vanouissements Les comprim s de charbon activ par exemple Ultracarbon peuvent tre consomm s pour r duire l irritation et absorber les ventuelles toxines dans le tractus gastro intestinal Les antidiarrh iques par exemple le lop ramide ne doivent pas tre utilis s syst matiquement et une surveillance m dicale est recommand e en cas de diarrh e s v re afin de calmer les sympt mes tout en conservant une consommation de liquide appropri e Les antidiarrh iques D partement de la traduction fees j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing o doc 15 07 2008 08 07 SE ne doivent JAMAIS tre utilis s chez les enfants sans l avis et la surveillance d un m decin Quand la diarrh e devient elle pr occupante Consultez un m decin si du sang appara t dans les selles ou en cas de fi vre et de vomissement Une diarrh e de plus de trois jours requiert galement un avis m dical Lorsque aucun m decin n est disponible et qu il y a du sang dans les selles une cure de 5 jours au cotrimoxazole peut tre suivie Le m tronidazole Flagyl est galement un m d
497. uipe UNDAC F 4 Contact avec les m dias F 4 1 G n ralit s D s qu une situation m rite d tre signal e les m dias sont pr sents Un membre d une quipe UNDAC peut donc tre contact par les m dias tout moment Les membres des quipes UNDAC jouent un r le essentiel en aidant les m dias lors d une catastrophe car un cho important dans la presse peut permettre de faire prendre conscience de la gravit de la situation et servir de catalyseur pour la collecte de fonds Il est donc essentiel que les quipes UNDAC informent les m dias Les bonnes relations avec les journalistes ont souvent d bouch sur des reportages de qualit De plus lorsque les secours ne sont pas facilement disponibles les journalistes n h sitent pas apporter leur aide Les membres des quipes UNDAC doivent cependant tre conscients des d calages qui peuvent exister entre la pr sentation d une catastrophe par les m dias et la r alit F 4 2 Orientation Le chef d quipe fixe les orientations pour les relations avec les m dias G n ralement un membre de l quipe normalement le chef d quipe est d sign comme contact avec les m dias Les relations avec les m dias concernant la mission UNDAC dans son ensemble doivent par la suite passer par cette personne L information donn e aux m dias doit correspondre celle fournie par le CR CH le chef d quipe UNDAC et le CR CH doivent se mettre d accord
498. uivantes e Cette nouvelle information est elle en contradiction avec les donn es secondaires ou fondamentales e Les informations collect es aupr s d une m me source sont elles coh rentes ou contradictoires les unes par rapport aux autres e Les informations collect es par les diff rentes personnes proc dant l valuation sont elles compl mentaires Existe t il un lien logique et coh rent entre ces donn es Ces informations sont elles pertinentes Le fait de vous poser ces questions vous am ne r fl chir d autres questions poser ou chercher des sources d informations alternatives afin de clarifier la situation La triangulation est essentielle En r gle g n rale essayez de v rifier les donn es importantes en comparant les informations provenant d au moins trois sources diff rentes Ces sources doivent tre aussi diverses que possible Si plusieurs sources fournissent la m me information cette information est probablement exacte Parlez r guli rement de vos r sultats avec les autres membres de l quipe Prenez r guli rement le temps au cours de la mission d valuation de comparer les informations de parler des incoh rences et de convenir de modifications du calendrier des entretiens Une fois le travail de terrain termin l quipe se r unit pour r diger des conclusions D terminez si les incoh rences affecteront les conclusions de l valuation Si les d calages n
499. uivants le Centre d information humanitaire CIH le Centre logistique commun des Nations Unies UNJLC le D partement de la s ret et de la s curit des Nations Unies DSS la Coordination civile et militaire CMCoord le Service a rien d aide humanitaire des Nations Unies UNHAS les Technologies de l information et de la communication TIC La responsabilit premi re de BCAH est de veiller ce que ces services soient accessibles et suffisamment pr sents B 3 3 Les principales activit s de coordination sur le terrain Pour atteindre les objectifs d taill s ci dessous le personnel du BCAH et ou les quipes UNDAC sont impliqu s dans les activit s suivantes valuer analyser valuer signifie recueillir les informations les analyser et en d duire une valuation de la situation Les membres des quipes UNDAC commencent l valuation d s qu ils ont connaissance de la catastrophe en consultant les m dias et les sources Internet Cette valuation se poursuit pendant le transport vers le pays l arriv e et pendant le trajet jusqu la capitale et ou le site touch Toute interaction permet de brosser un tableau de la situation c est dire recenser les options dont on dispose pour agir et prendre les bonnes d cisions quant l affectation de ressources rares Planifier Les informations sur la solidit et les finances des institutions l tat de sant et les biens des surviva
500. umanitaire des Nations Unies dans les Situations d Urgences complexes Directives RMPC Ces directives couvrent l utilisation des RMPC de l ONU ressources militaires et de la protection civile requises par les agences humanitaires de l ONU et d ploy es sous contr le de l ONU sp cifiquement pour soutenir les actions humanitaires et les ressources militaires et de la protection civile ventuellement disponibles Aux fins de ces Directives l aide humanitaire peut tre divis e en trois cat gories selon le degr de contact avec la population touch e Ces cat gories sont importantes parce qu elles permettent de d finir quels types d activit s humanitaires il peut tre opportun de soutenir par des ressources militaires condition que toutes les parties concern es aient t amplement consult es pour expliquer la nature et la n cessit de l aide e Aide directe C est la distribution directe de biens et services e Aide indirecte elle est loign e d un degr au moins de la population et comprend des activit s telles que le transport de biens de premi re n cessit ou de personnel de secours e Soutien aux infrastructures Il inclut la fourniture de services g n raux tels que r paration de routes gestion de l espace a rien et production d lectricit qui facilitent les secours mais ne sont pas forc ment visibles ou destin s exclusivement la population touch e La mission d une force est le facteur princip
501. une unit d infanterie de fournir du transport Cela dit il est courant de regrouper tactiquement les forces ou de les organiser selon les missions de mani re obtenir un assortiment de capacit s adapt es la mission militaire dans nombre d unit s Organisation de base du personnel Les domaines d int r t communs et les abr viations pour les sections de personnel auxquelles ils correspondent sont e Personnel G 1 e Renseignements G 2 e Op rations et entra nement G 3 e Logistique G 4 e Coop ration civilo militaire CIMIC G 5 e Commandement contr le communications et op rations informatiques C4OPS G 6 e Responsable des informations sur les op rations G 7 Corps divisions et brigades s lectionn es seulement e Gestion des ressources RM Le rang du commandant d termine s il s agit d un personnel G ou d un personnel S Les organisations command es par des g n raux ont des personnels G les autres organisations des personnels S M LES NATIONS UNIES ET LES ORGANISATIONS D AIDE HUMANITAIRE INTERNATIONALES M l Introduction M 2 Le syst me des Nations Unies M2 1 Equipe des Nations Unies pour la Gestion des Catastrophes EGC M 2 2 Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies BCAH M 2 3 Programme des Nations unies pour le D veloppement PNUD M 2 4 Haut Commissaire aux r fugi s des Nations Unies HCR M 2 5 Fonds des Nations Unies pour la pr
502. une action et une r ponse rapide et r duire les pertes en vies humaines e Am liorer la r ponse aux besoins d une urgence critique e Renforcer les l ments fondamentaux de la r ponse humanitaire en cas de crises sous financ es Le CERF sera dot d un m canisme de subventions et de pr ts Le CERF est financ par des contributions volontaires du monde entier d Etats membres des Nations Unies d entreprises priv es de fondations et de particuliers Le Fonds est g r par le Coordonnateur des secours d urgence ERC au nom du Secr taire G n ral des Nations Unies et permet l ONU de r agir imm diatement en cas de catastrophe Le CERF est cens compl ter et non remplacer les m canismes de financement humanitaire existants tels que la Proc dure d Appel Global des Nations Unies CAP Le CERF fournit des fonds d amor age pour lancer des op rations importantes et financer des programmes vitaux non encore couverts par d autres donateurs Les m canismes de subventions et pr ts Les Nations Unies et leurs fonds programmes et agences sp cialis es peuvent tout comme l OIM remplir les conditions requises pour la fois les aides et les pr ts Les deux composantes ont plusieurs caract ristiques e M canisme d aide jusqu 450 millions de dollars US selon les contributions volontaires re ues Il permet l ERC d assurer le financement de programmes vitaux quand les fonds ne sont pas fournis par d autres sources
503. ur demande sp ciale aupr s du centre de cartographie La Section de soutien la coordination sur le terrain FCSS garantira que des cartes soient mises la disposition de l quipe UNDAC La FCSS v rifiera galement aupr s de la Section d information sur le terrain New York la disponibilit ventuelle de donn es suppl mentaires par l interm diaire de l quipe d appui pour l information g ographique GIST un r seau inter agences qui collecte et analyse les donn es lectroniques La GIST peut fournir des estimations concernant la population touch e et des images satellite Casiers Des casiers ou un autre syst me de classement pour les exemplaires papier des rapports de situation provenant des autres organisations des proc s verbaux des r unions et d autres informations envoy es par les partenaires humanitaires doivent tre plac s pr s de l entr e de l OSOCC Plus vous diversifiez vos sources d information plus l OSOCC deviendra un lieu int ressant pour les travailleurs humanitaires Annuaire Un OSOCC doit disposer d un annuaire facilement accessible contenant une fiche d information sur chaque agence humanitaire Cette fiche d information doit contenir les points de contact les zones d op ration les noms des membres principaux et les ressources Panneau d affichage Pr s de la carte d information placez un panneau d affichage sur lequel les organisations humanitaires peuvent laisser
504. urface de l eau La visibilit est r duite et la travers e difficile Parfois les voies d eau sont assez larges pour un radeau mais g n ralement on progresse pied On ne mourra pas de faim poissons mollusques animaux aquatiques et v g tation 10 sont abondants mais c est un milieu hostile abritant des sangsues aquatiques des ca mans et des crocodiles L o les bras de la rivi re croisent le marais il sera peut tre possible de confectionner un radeau Si l on est contraint de demeurer dans un marais d terminer le niveau de mar e haute en fonction de la trace du sel et des d bris sur les arbres et installer un lit sur lev Se couvrir pour se prot ger des moustiques et des araign es Marais d eau douce Situ s dans des zones int rieures de faible l vation leurs sous bois pineux rendrent la circulation difficile et limitent la visibilit mais la survie y est ais e et les marais sont souvent parsem s d les en sorte que l on n est pas continuellement plong dans l eau jusqu la poitrine Les voies navigables et les mati res premi res pour se confectionner un radeau ne sont pas rares Q 5 1 Abri Il y a largement assez de mat riaux pour construire un abri dans la plupart des r gions tropicales L ou les temp ratures sont lev es et les abris expos s au soleil construire un toit constitu de deux strates s par es par un espace d vacuation de lair de 20 30 cm a
505. urnit des soins m dicaux imm diats essentiels curatifs pr ventifs et communautaires 30 000 b n ficiaires e Hospitalisation H pital de district fournissant des soins m dicaux et chirurgicaux une zone de population comptant jusqu 250 000 b n ficiaires e Secours identifier les besoins en secours s lectionner les b n ficiaires et les enregistrer effectuer une distribution rapide des secours assurer le suivi des distributions et faire rapport surveiller et valuer Le Comit international de la Croix Rouge CICR Le CICR est l organe fondateur du mouvement de la Croix Rouge et l instigateur des Conventions de Gen ve et de leurs protocoles additionnels les deux concernant le traitement du personnel militaire des prisonniers de guerre et des populations civiles dans les conflits internes et internationaux bless s et malades Il s agit d une institution ind pendante et priv e et neutre aux plans politique id ologique et religieux Le Comit est lui m me compos de 25 membres maximum dont tous sont statutairement ressortissants suisses L organisation dont le si ge est Gen ve agit en cas de conflit interne ou international afin de e Faire en sorte que les Conventions de Gen ve soient respect es par les parties au conflit e Garantir fournir protection soins m dicaux et secours mat riels aux victimes du conflit e Organiser des services de tra age pour identifier et r tablir la com
506. urs d un stage de 12 jours e R actualiser les comp tences des membres des quipes UNDAC lors de stages de 4 jours organis s chaque ann e pour toutes les quipes UNDAC r gionales e Informer en permanence les membres des quipes UNDAC et les centres de liaison UNDAC au sein des gouvernements ou des agences sur le syst me UNDAC et ses missions annexes e Repr senter le syst me UNDAC lors d v nements ou de sessions de formation dans le monde e R aliser des missions de pr paration l intervention en cas de catastrophe la demande de pays susceptibles d en tre victimes Voir aussi le Chapitre I Les missions UNDAC de pr paration l intervention en cas de catastrophe En fonction des ressources disponibles e Promouvoir les exercices de simulation mettant en sc ne la coordination de l intervention lors d une catastrophe qui ont une importance pour le r le du syst me UNDAC ou y participer e Promouvoir les formations traitant de la coordination de l intervention lors d une catastrophe qui ont une importance pour le r le du syst me UNDAC ou y participer e Promouvoir des sessions de familiarisation avec le syst me UNDAC et le r le du BCAH ou y participer D partement de la traduction is j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing c doc 14 07 2008 08 07 5 Exemples de ce que le syst me UNDAC ne peut pas faire e R aliser des valu
507. utions pour des probl mes du c t soit civil soit militaire de l interface de la CMcoord Ces probl mes touchent normalement la dimension politique de domaines tels que la s curit les transports les communications l vacuation sanitaire etc Un guide de terrain pour l agent de coordination civilo militaire est disponible sur http ochaonline un org cmes cmcoord handbook L 5 Documents de base sur l interaction civilo militaire Le personnel UNDAC doit avoir une connaissance parfaite des documents labor s au niveau international guidant le travail civilo militaire dans une perspective humanitaire La partie ci apr s donne un aper u explicatif de ce qui doit tre pris en compte lorsque des forces militaires nationales et internationales font partie de la communaut d aide humanitaire en se fondant sur les documents de base Des principes g n raux guident l utilisation des ressources militaires pour les op rations humanitaires Les demandes de ressources militaires de l ONU doivent tre faites par le CR CH non par les autorit s politiques et doivent se fonder sur des crit res humanitaires La d cision d accepter des ressources militaires doit maner d organisations humanitaires non d autorit s politiques ou militaires et doivent se fonder exclusivement sur des crit res humanitaires Les ressources militaires ne doivent tre mobilis es que s il n existe aucune alternative civile comparable La ressource mili
508. utres quipes d valuation dans la zone Impr vus et effets secondaires Se mettre d accord sur le message aux m dias Compr hension des Nations Unies des relations bilat rales et des gouvernements Statut des institutions des Nations Unies sur place et pr vues Missions ant rieures de l UNDAC dans le pays R le du Gouvernement et environnement politique M canisme de coordination Autres r ponses bilat rales et internationales Mesures prises l arriv e Informer Gen ve tablir la base des op rations base de l quipe tablir la capacit de communiquer radio t l phones internet Mettre en uvre le plan de communication tablir le plan de traitement de l information Mettre en place le soutien personnel h bergement nourriture transport etc valuation de la s curit Obtenir des cartes Traducteurs interpr tes Recenser les m dias Organiser des r unions avec quipe de pays des Nations Unies et CR CH Gouvernement autorit de coordination autorit de gestion de la catastrophe minist res comp tents Soci t s locales de la Croix Rouge ou du Croissant Rouge ou FICR donateurs Mettre au point des dossiers types pour les r unions Qu est ce que l UNDAC o mandat de l quipe o capacit s Que pouvons nous faire pour vous o Recenser les besoins les capacit s les lacunes o Recenser et coordonner les intervenants o Elaborer et r viser les plans D
509. uvernementales ONG les agences de PONU et les intervenants internationaux soient coordonn es et organis es de mani re syst matique en vitant les lacunes et les doubles emplois et que tous les secteurs de l action humanitaire soient correctement valu s En outre l quipe UNDAC s assure que les informations obtenues sont rassembl es et mises la disposition de tous Dans les premiers temps d une situation d urgence notamment concernant les activit s de recherche et de sauvetage en milieu urbain une quipe UNDAC peut devoir proc der une valuation par ses propres moyens Une valuation de l UNDAC n est pas destin e supplanter les valuations sectorielles sp cialis es Dans les premiers temps d une situation d urgence une analyse compl te est n cessaire pour identifier les principaux probl mes et les personnes touch es L quipe UNDAC peut couvrir une large zone dans un court laps de temps et est con ue pour d finir rapidement les conditions sur le terrain les besoins en aide et les contraintes existantes Ce chapitre a pour but d aider les quipes UNDAC collecter des informations concernant la situation globale et les secteurs cl en augmentant leur flexibilit et en r duisant les d lais et les d penses Il ne s agit pas d liminer le besoin en mati re d valuations sectorielles mais plut t de fournir une base en vue de la mise en uvre cibl e de ces valuations G 1
510. uvetage spontan s sont g n ralement mis en uvre par des survivants et des quipes de secours locales et permettent de secourir les personnes ne n cessitant pas des quipements importants ou des intervenants qualifi s L aide internationale est par cons quent consacr e des actions intensives pour localiser et extraire les victimes prises au pi ge en ayant recours des quipements de d coupe et de levage ainsi qu des techniques sophistiqu es et intensives pr vues pour les sauvetages difficiles Des qualifications en m decine de catastrophe sont requises pour superviser l extraction des victimes et y participer et leur procurer des soins imm diats Gr ce des proc dures d alertes pr tablies comme le centre virtuel de coordination des op rations sur le terrain de nombreuses quipes internationales de recherche et de sauvetage auront connaissance de l urgence et seront pr tes se d ployer en m me temps que l quipe UNDAC En raison de l urgence li e au temps le besoin de ressources pour organiser les recherches et le sauvetage seront bas es sur les valuations initiales effectu es par les autorit s nationales du pays touch ainsi que sur toute information de base qui pourra tre obtenue partir d autres sources Par cons quent des quipes de recherche et de sauvetage arriveront sur les lieux et d buteront leurs op rations en m me temps que l quipe UNDAC ou avant elle Les pre
511. uvrir le plus d l ments possible et d terminer les sch mas et les tendances g n raux Des informations plus d taill es peuvent tre fournies ult rieurement l occasion d valuations sectorielles approfondies Il est toujours important d organiser et de mener des valuations dans l attente que les r sultats seront mis jour et examin s mesure que la situation d urgence volue D autres intervenants pourront choisir d utiliser vos outils et vos ressources D termination des meilleures sources d information Il existe souvent plusieurs sources d information possibles sur les situations d urgence Chaque source a ses avantages et ses inconv nients et peut tre partiale C est pourquoi il est important lors de la pr paration de l valuation de d terminer clairement quelles sources vous souhaitez utiliser Danger de la g n ralisation Une situation d urgence peut concerner une vaste zone g ographique Il peut s av rer impossible de couvrir l ensemble de la zone il est donc important pour l quipe de s assurer que les zones valu es donnent une vision pr cise des besoins des m thodes pour faire face aux difficult s et des priorit s Soyez attentif au fait que ce que vous n avez pas pu constater peut tre d une importance critique et gardez vous de g n raliser une situation l ensemble de la zone de catastrophe La majorit des informations est biais e Le fait que les
512. ux points de contr le Il faut disposer d un contact radio entre les quipes de terrain et la base UNDAC avec de fr quents contr les radio C est l une des mesures de s curit les plus importantes et elle ne doit pas tre n glig e Des vies peuvent tre sauv es si l quipe reste tout moment en contact radio avec la base L utilisation d un syst me simple de codes faisant r f rence des situations pr cises permet de signaler qu un membre de l quipe se trouve en difficult sans veiller de soup ons e Lorsque vous partez en d placement sur le terrain tenez un journal de bord contenant tous les d tails du voyage en utilisant par exemple des feuilles de route avant le d part et tablissez des horaires d appel pour les contr les radio e Si l quipe de terrain utilise plus d un v hicule il faut tablir un contact radio entre les v hicules e En r gle g n rale vous devez afficher clairement votre appartenance aux Nations Unies au moyen d autocollants et de drapeaux sur les v hicules etc e Dans certaines situations cependant les Nations Unies peuvent tre la cible d attaques Dans ces cas l la recommandation pr c dente ne doit bien s r pas tre prise en compte e La circulation nocturne doit tre vit e en r gle g n rale S il s av re n anmoins indispensable de voyager de nuit il doit y avoir plus d une personne dans le v hicule et plus d un v h
513. vent Vitesse du vent Type de pr cipitations Temp rature Couverture nuageuse Le temps peut tre un facteur d terminant dans une situation d urgence Par exemple Si la temp rature est lev e les produits chimiques auront tendance s vaporer plus rapidement que s il fait froid Des vents forts disperseront gaz vapeurs et poudres Les pr cipitations peuvent tre probl matiques si une substance r active l eau s est d vers e mais elles peuvent galement pr senter un avantage car elles ralentissent la dispersion des mati res en suspension dans l air et r duisent leur zone d effet Outils d information Un certain nombre de documents de r f rence est int gr au logiciel de mission UNDAC afin d aider l quipe identifier les menaces et les effets sur l environnement et valuer la dimension environnementale des situations d urgence Il s agit notamment Du formulaire de notification d urgence demande d aide internationale qui permet de demander officiellement une aide environnementale sp cialis e Ce formulaire ne constitue pas simplement une demande d aide officielle il permet galement de pr ciser la nature de l expertise et des quipements sp cialis s n cessaires pour r pondre la menace Dans une telle situation il convient de remplir le formulaire et de le transmettre au Groupe conjoint de l environnement par le biais des points de contact identifi s C
514. vent assumer la responsabilit d une ou plusieurs composantes fonctionnelles de l OSOCC Personnel de l OSOCC Le personnel de POSOCC vient de l quipe UNDAC et ou du BCAH Il peut aussi venir d institutions des Nations Unies des quipes de recherche et de sauvetage d urgence et d ONG Chaque quipe de secours internationale doit identifier en son sein une personne qui assurera la liaison avec l OSOCC de mani re ce que toutes les quipes contribuent la coordination de l intervention d urgence Le nombre de personnes n cessaires pour remplir les fonctions de l OSOCC d pend du volume et de la complexit des activit s de l OSOCC et du RDC ainsi que du nombre quotidien d heures de fonctionnement de l OSOCC La charge de travail peut exiger un fonctionnement 24 heures sur 24 Par cons quent dans le calcul du nombre de membres des quipes de secours n cessaires en compl ment du personnel de POSOCC il faut pr voir au moins deux quipes qui travailleront en roulement pour couvrir les 24 heures Cela peut impliquer de doubler au moins le nombre de personnes remplissant les diff rentes fonctions de l OSOCC Le personnel de l OSOCC doit tre compl t par du personnel compl mentaire au fur et mesure des possibilit s par exemple lorsque du personnel qualifi arrive sur le site de la catastrophe L acceptation et la volont de fournir du personnel et de l quipement un OSOCC peut repr senter un
515. vent survenir pour des raisons diverses les plans doivent prendre en compte cette donn e et tre aussi flexibles que possible D partement de la traduction es j undac team handbook undac handbook 2007 fran ais par chapitre french handbook for printing p doc 15 07 2008 08 07 3 Toute planification logistique doit donc contenir des syst mes d information et de contr le car la responsabilit et le contr le des performances selon des normes r alistes et continuellement valu es sont importants pour le succ s de l op ration et pour les donateurs Dans ce but des proc dures doivent tre tablies pour enregistrer et rapporter les donn es suivantes la quantit la localisation et l tat des marchandises la destination et la date de leur prochain transfert et les personnes responsables des marchandises chaque tape Ces proc dures n cessitent un ensemble de formulaires de demandes d achat r c piss s fiches de stock et formulaires de rapport Un syst me de tra age des marchandises doit permettre de disposer d une vue d ensemble de l acheminement des biens de premi re n cessit du transport la distribution en passant par le stockage dans le pays Structure de la logistique de l aide humanitaire La structure logistique type de l aide humanitaire s organise partir des pays producteurs ou donateurs en direction d un ou plusieurs points d entr e terre mer ou a roports et d un ou plusieu

TABLE DES MATIERES A. PREFACE A.1.Introduction au

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