Collège Royal des Médecins Collège Royal des Médecins
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1. min rale osseuse chez des femmes en post m nopause ayant re u du raloxif ne 60 mg j ou un placebo pendant 2 ans MEDECINE Les antioxydants v ritables boucliers du corps humain Au d but des ann es 1990 des chercheurs ont d couvert que les antioxydants jouaient un r le dans la pr vention des maladies dites de civi lisation La difficult juguler les agresseurs de macromol cules que sont les radicaux peroxyle hydroxyle superoxyde exprime l authentique complexit de la gestion du stress oxydatif Notre organisme a besoin de radi caux libres lls sont indispensables la synth se des prostaglandines et sont les moteurs de la Phagocytose composante des d fenses cellu laires Dans 2 4 des cas cepen dant le syst me s emballe et les m canismes de d fense sont sub merg s L alimentation occidentale nous oblige revoir la hausse les apports journaliers recommand s en antioxydants Effectivement notre consommation de fruits de l gumes d ol agineux et de produits c r aliers complets les plus grands pour voyeurs naturels ne cesse de dimi nuer au profit notamment des ali ments d origine animale Le d fi est donc haletant mais les connais sances actuelles sont limit es et l id e de d terminer des doses opti males fait encore figure d utopie O situer l intervention et quelles doses Les tudes pid miologiques supportent l hypot2. vue purement esth tique ceux qui me parurent les plus r ussis taient les chevaux Les bip des ou bommes et les chevaux vivaient en assez bonne entente et presque sur pied d galit mais les bommes prirent l habitude de s as seoir sur les chevaux for mant ce qu on appelait des cavaliers ou des chevaliers qui prenaient une part Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise i l LE redoutable la guerre poursuivant les chars et les automitrailleuses de l Empire du Mal et les d truisant l aide de lance flammes Mais certains che vaux supportaient mal le poids de l homme et S en d barrassaient en faisant de brusques ruades beau coup d hommes moururent de cette fa on et on dut se r soudre remplacer les chevaux par des engins blind s conventionnels Le cours des op rations militaires devint alors tres favorable et la nouvelles nous parvint bient t que l Empire du Mal tait vain cu De nombreux hommes avaient t perdus soit au cours des op rations offen sives soit du fait de la trahi son des chevaux La produc tion industrielle reprenait petit petit et je me rappelle que d s 1946 en voyant se dresser fi rement une petite usine avec sa longue et belle chemin e qui talait brave ment un ruban de fum e odorante dans le ciel je compris que la paix tait revenue Les bombardements les engins blind s les canons la vie elle m me allaient di
3. al patrio tique comme Membre de l Arm e Secr te section ambulance Apr s 6 ann es pas s es l Universit il exerce enfin la p diatrie en priv sp cialit qu il pratique toujours ce jour avec le m me enthousiasme Docteur Andr Merlin au nom du Coll ge des M decins nous vous adressons toutes nos f li citations et toute notre reconnaissance Le docteur Jacques Fran ois Le docteur Jacques Fran ois est n Etterbeek le 17 juin 1924 En juillet 1948 titulaire d un dipl me de docteur en m decine fraichement acquis il entame une sp cialisation en cardiologie qu il m ne de pair avec une pratique de m decine g n rale Reconnu sp cialiste en cardiologie avec la plus grande distinction il devient secr taire de la Commission de la Soci t Belge de Cardiologie et d fend activement ce qui est devenu une vidence de nos jours savoir la r adaptation cardiaque pr coce dans le post infarctus Agr comme m decin du travail il sera dans le Service de Sant Administratif de l Etat garant de la sant de quelques 800 000 fonc tionnaires avant de termi ner sa carri re comme Directeur G n ral de Administration de la M decine Sociale Le docteur Fran ois fut Co Pr sident du Comit M dical de la Croix Rouge et ce n est que r cemment qu il quitta ce poste pour ne plus se consacrer aujourd hui qu la fonda tion De Cooman Pour cette b
4. avoir t au Moyen Age le phare de l Anjou Angers fut rattach e au Royaume de France par le Trait de Paris 1259 Dans la cath drale on peut voir de tr s beaux vitraux et de riches tapisseries Mais les plus c l bre sont sans nul doute les Tapisseries de l Apocalypse conserv es au ch teau et que nous aurons le plaisir d admirer Dessin es par Hennequin de Bruges elles furent r alis es par Nicolas Bataille la fin du XV me si cle Leurs dimensions sont impressionnantes Apoth ose de notre voyage ces tapis series taient l origine longues de 168m sur 5m de haut Une centaine de m tres en a t conserv e et restaur e On peut s y extasier devant plus de 68 sc nes Quant au fort d Angers il fut difi sur les ordres de Saint Louis en 1256 Ne perdons pas de vue que l Anjou est aussi un vignoble Etendue sur 14 000 hectares si l on y joint le Saumurois cette r gion vinicole nous livre des breuvages d une tr s grande vari t On y trouve des vins blancs autant que des rouges sans oublier les ros s bien connus comme le Cabernet d Anjou et le Ros d Anjou Selon les Connaisseurs la vocation de vignoble remonte pour l Anjou au Vi me si cle au moins Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise A h AVANT LA GUERRE Dr Bouckaert Prix litt raire Pierre Dustin 22m prix b Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise H Eh a m Avant la gu
5. bardiers C est cette poque que j entendis parler pour la premi re fois du myst rieux projet Manbattan Quelque part dans un labo ratoire souterrain une arme secr te tait en voie de r alisation Sa mise au point durerait peut tre des ann es ou des si cles nul ne le savait mais cette arme terrifiante mettrait fin la guerre La phase a rienne avait d ailleurs pris fin perte de vue le paysage tait absolument plat et couvert de cendres Nous tions cach s dans des trous car de grands bulldozers militaires parcouraient encore le pays avec mission d craser tout ce qui bougeait d bpassait du sol ou tait simplement beau et bien con u En juin 1944 la rumeur de l aboutissement du pro jet Manhattan commen a se r pandre ainsi que le nom de cette arme terrible Ce nom tenait en trois lettres la vie Dans les cor nues et les incubateurs du plus secret des laboratoires militaires un assemblage de mol cules avait t irradi aux ultraviolets Avec d autres conditions exp ri mentales encore tenues secr tes ces mol cules mon traient un pouvoir singulier elles taient capables de pro duire leur propre copie Ces mol cules s entouraient d autres mol cules et for maient des cellules Et ces cellules elles m mes consti tuaient les unit s de base d tres enti rement nou veaux les tres vivants Et comme ces tres vivants res taient capables de
6. bien m rit apr s une agr able soir e autour d une bonne table Week end du Futoroscope de Poitiers du vendredi 29 au dimanche 31 octobre 1999 PROGRAMME 7h30 D part en car du Coll ge des M decins Petit d jeuner libre en route 13h D jeuner Chartres Caves de la truite qui file 14h30 1 6h Visite guid e de la cath drale et petit tour dans la vieille ville 19h Arriv e Chasseneuil 3 km du Futuroscope H tel Ch teau du Clos de la Ribaudi re s jour en demi pension D ner l h tel Journ e consacr au Futuroscope repas libre Retour et diner l h tel 8h30 D part 10h Visite de l Abbaye de Fontevraud 12h30 Angers D jeuner 4h 1 6h Visite guid e du Ch teau mus e et des c l bres tapisseries de lApocalypse 100 m de long sur 5 de haut datant du XIVe si cle Prix sur base de 25 personnes 13 500 frs pour les membres 15 500 frs pour les non membres Prix comprenant Voyage en car de luxe 1 2 pension l h tel repas du midi Paller et au retour visites guid es Chartres et Angers entr e au Poitiers toute proche tait une tape d impor tance sur le chemin de Compostelle C est que les reliques de son v que Saint Hilaire faisaient elles m mes l poque d j l objet d une grande v n ration Mais cette ville ne fut pas seulement celle des p lerins et des saints bien des batailles portent son nom aurions nous le front de r
7. d Ecosse m apprit bien plus tard qu il tait celui d une biblioth que juridique d Edimburgh Fig 2 Quel parcours pour un livre cossais de se retrouver au N pal Et puis il y a mes passions toutes les ditions du Voyage dans les royaumes de Siam de Cambodge de Laos d Henri Mouhot ce naturaliste Fran ais envoy par la Soci t Anglaise de G ographie parti de Bangkok en 1858 qui r v la au monde les ruines des temples d Angkor et s en fut mourir de la malaria Luang Prabang en 1860 Ses notes publi es d abord dans le Tour du Monde en 1863 suscit rent un tel int r t que son r cit abr g fut repris dans la biblio th que rose Fig 2 SISLIOP IILIE Ou encore les livres crits par les mission naires j suites au XVII et XVIIle si cles firent conna tre l Europe l Asie de Inde la Chine et que Voltaire d fendit lors de la querelle des rites Les j suites deux si cles en avance sur le Concile de Vatican Il en 1953 avaient accept le culte des anc tres sans le taxer d ido l trie Et enfin les livres aux cartonnages somptueux du si cle dernier qui entra naient l imagination dans les mondes inconnus Fig 3 4 5 d Asie et d Afrique Ce sont l mes passions Mais la bibliophilie semble bien tre une passion individuelle qui ne se transmet pas souvent de g n ration en g n ration Combien de biblio th ques somptueuses n ont elles pas t
8. de ces ustensiles qui trouvaient naturellement leur place aux pied des bars dans les saloons des westerns Un mod le collectif est notamment visible Gand au mus e pour la fondation Jan Palfyn LA TROUSSE D ESCULAPE UN CRACHOIR CHINOIS Crachoir chinois Sang de boeuf XVIII Si cle Coll priv e Photo P LOUIS hi Il tait utilis l Hospice de la Byloke lors de traitements de den tisterie et par les malades phti siques qui s journaient en salle commune Lors de l exposition organis e par l Association Belge pour l Hygi ne Hospitali re Montigny le Tilleul en 1998 de charmants et pr cieux crachoirs individuels taient expos s qui avaient t fabriqu s dans toutes les mati res SANG DE BOEUF fonte tain cuivre et argent porcelaine et faience verre et opaline On vo quait leur propos l origine moyen geu se de ces objets et l explosion de leur usage apr s l irrup tion du tabac que lon prisait et chi quait avant de fumer comme aujourd hui Ainsi furent ils parti culi rement abon dants du XVl me au XIX me si cle La forme individuelle doit rappeler l enton noir Il est form d un r servoir sur mont d un bord tr s vas ces deux parties tant s pa r es par un goulot assez resserr En Europe on trouve galement une autre forme toute diff rente mais assez r pandue qui ressemble une peti te casserole sorte de cendr
9. filaire parasite qui se nichent dans le tissu conjonctif sous cutan Arriv s maturit les vers pondent de nouvelles larves les microfilaires qui peuvent se d placer sous la peau Elles provoquent un prurit insupportable Elles peuvent gale ment p n trer dans l il et y infecter la corn e Si elles infestent la r tine elles provoquent la c cit L Organisation Mondiale de la Sant a lanc en 1974 un program me de grande envergure pour com battre la c cit des rivi res Cela a commenc par l pandage d insecti cide sur les foyers de d veloppement de la mouche noire Depuis les ann es 80 l Union europ enne s occupe via l European Partners Blindness Prevention Program de la distribution du m dicament MectizanR mis gratuitement sa disposition par MSD Plus r cemment ce programme de donation le plus vaste au monde vient d tre tendu la filariose Ilym phatique Cette affection souvent TRANSMISSION CYCLE OF ONCHOCERCIASIS S appel e l phantiasis est une mala die parasitaire majeure qui gr ve lour dement les structures sociales et conomiques des pays o elle s vit Ll Organisation mondiale de la Sant estime que pr s d un milliard de per sonnes r parties dans 73 pays cou rent un risque de contracter la filario se lymphatique et que plus de 120 millions de personnes sont infect es Pr s d un tiers des personnes infec t es vivent en I
10. livre constitue une uvre d art part enti re et cha cune des expositions organis es la Biblioth que univer sitaire Moretus Plantin taye cette affirmation Le catalogue de lexposition ainsi que ceux des pr c dentes est en vente l accueil de la biblioth que ainsi que ceux des expositions pr c dentes livres d animaux livres de fruits images de jardins Mar chal de Framme i Term de CHERE Informations disponibles au service d accueil de la biblio th que 081 72 46 46 Biblioth que universitaire Moretus Plantin 19 rue Grandgagnage 5000 Namur O Langelez Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise i R Fi VI MEDSZGINE Traitement hormonal substitutif de la m nopause la bonne voie Les connaissances acquises ces der ni res ann es par la biologie mol culai re sur les m canismes de fonctionne ment des r cepteurs aux oestrog nes permettent d sormais de s parer les effets b n fiques et les risques long terme du traitement hormonal substitu tif de la m nopause ce qui n exclut pas la n cessit d une surveillance Le concept de sp cificit tissulaire Les connaissances acquises ces derni res ann es par la biologie mol culaire sur le m canisme d action des oestrog nes se sont largement tendues Elles concernent l existence de deux r cepteurs diff rents alpha et b ta leur distribution tissulaire et le mode d in duction de la transmissio
11. traitement Or assez ironiquement certaines publications qualifient cette situation de succ s clinique Si suc c s et chec deviennent synonymes il est difficile de tirer des conclusions fiables de la masse de donn es Il est sans nul doute sens de gar der ces consid rations l esprit en tant que clini cien lorsque on est confront aux chiffres tir s de la recherche mycologico cli nique La mani re la plus s re d valuer l effi cacit clinique est de passer globalement en revue tout le mat riel de recherche clinique fiable Et c est ce qu a fait le professeur canadien Gupta un des papes de la myco logie clinique Le fluconazole s est r v l plus faible que les deux autres bien qu on en ait utilis une dose double Et comme il s agissait exclu sivement d tudes sur les dermato phytes Gupta ajoute avec insistance Bien que des dermato phytes soient impliqu s dans peut tre 90 des onychomycoses des pieds il est certes judicieux de choi Sir un antimycosique disposant d un large spectre d action in vivo afin de b n ficier d une chance maximale de r ussite quel que soit l organisme tiologique De m me il manifeste une pr f rence marqu e pour le syst me inter mittent ne serait ce que pour la charge syst mique moindre la sub stance dispara t pendant des semaines de la circulation sanguine alors que pendant tout ce temps elle continu
12. vers l ext rieur aussi les passants occasionnels peu vent ils y s journer plus longtemps De surcro t ces organismes ne font pas le poids face des m canismes de d fense immunitaire sains ce qui explique en partie pourquoi ils ne jouent pratiquement aucun r le dans les dermatomycoses habituelles Mais dans le milieu ungu al ils sont pour ainsi dire hors de port e de ces m canismes de d fense Les m thodes d examen avanc es comme l histopathologie l immuno histochimie et la microscopie confo cale in vitro ont permis d apporter la preuve de leur pr sence dans les ongles en tant qu agents infectieux Il n est pas rare non plus de retrouver la fois des dermatophytes et des moisissures Un laboratoire de mycologie n a donc pas la t che facile Il se voit dans l obligation de fixer des r gles strictes pour distinguer avec une grande chance d exactitude les contaminants des pathog nes Et c est en effet un point faible Le pro fesseur li geois et autorit mondiale en la mati re G rald Pi rard pr tend que 20 de cultures en fait positives sont d clar es n gatives car les champignons cultiv s sont erron ment pris pour des contaminants Pr s de la moiti de ces champi gnons sont des moisissures Il est un fait qu une certaine pro portion d onychomycoses encore une fois surtout des orteils sont pro voqu es par des moisissures D aucuns estiment cette proportion 25 mai
13. 0 000frs M decin int ress ma ifestez vous au 374 9 7 00 AVIS IMPORTANT le Coll ge des M decins a obtenu la garde m dicale au Th tre le PUBLIC M decins int ress s manifestez vous au 374 97 00 Pour touteSMles activit s du Coll ges R servations Uniquement Par inscription t l phonique q STAO Met par communicationderyotre num ro de carte VISA et de d date diexpiration Journ es d automne du 8 au 10 octobre 1999 consacr es la photographie La comp tition s adresse un large public m dical et aussi aux conjoints qui ont la passion de la photo L exp rience du pass nous porte ne faire aucune exclusive concernant les th mes propos s par les participants portraits paysages sc nes de genre sont autant de sources d inspiration qui seront les bienvenues L important est de nous envoyer la quintessence de votre art et peut tre aurons nous la bonne surprise de d couvrir un nouveau Cartier Bresson ou un Doisneau inattendu ou encore un autre Salgado Prix du Coll ge des M decins pour vos plus belles photos Les conditions d inscription au concours La comp tition est accessible tous les m decins et aux conjoints des m de cins membres du Coll ge Photos noir blanc format minimum 30 cm x 20 cm Photos couleurs idem Chaque participant doit choisir une seule cat gorie et proposer 3 oeuvres au maximum remettre au plus tard le 30 sep temb
14. DLLUIL 7 D LUIQWUL ES Twe aandeljks Ge a sherenhuis Louizastraat 8 2000 Antwerpen Toele ng gesloten erpaking B 24 H ne Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Afgiftekantoor TOURNAI Bureau de d p t TOURNAI Th n 975 Avril Mai 99 e Agenda Culturel Journ es d automne e M decine c cit des rivi res e La trousse d Esculape Prix Pierre Dustin 2 prix Avant la guerre Dr A Bouckaert Pages II VI Voir notice l gale en page 3 L e mot de la R dactrice n ch Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise Vous avez re u notre premi re Revue nouvelle formule natio nale et comme nous le pensions bien vos r actions de surpri se voire de d sappointement furent vives et vous nous les avez communiqu es oralement et par crit parfois Notre Revue ancienne mani re n tait plus viable et c est apr s de longues et souvent p nibles discussions au sein des Comit s Directeur et de R daction que nous sommes arriv s la conclusion que seule une Revue Nationale avec pages locales pouvait nous tirer d une situation d sesp r e Nous avons charg le Docteur Andris de la mise au point de ce projet et il s en est fort bien tir mais au prix de lourdes co nomies in vitables qui se traduisent bien s r par une pr sen tation plus modeste et un papier plus l ger Toutefois nous res tons optim
15. NE LES ON Y CHOMY COSES Les onychomycoses sont importantes sur le plan quantitatif Dans la classe d ge moyen par exemple 15 20 des personnes en sont atteintes En tant que praticien on n a pas toujours une vue tr s nette sur la situation I n est pas rare que les informations sur le diagnostic et le traitement soient contradictoires et qu elles s ment d s lors la confusion En outre l heure actuelle on ne doit plus penser uniquement d un point de vue m dical mais aussi co nomique et en mati re d onychomy coses cela m ne des conclusions surprenantes L tiologie En cas de paronychie affection fr quente au niveau des ongles des doigts on se trouve g n ralement en pr sence d une levure Candida habituellement mais pas toujours du type albicans Par contre les agents tradition nels de lonychomycose sont g n ralement une poign e de dermato phytes avec en t te de liste Trichophyton rubrum Trichopyton interdigitale Epidermophyton flocco sum On rencontre galement ces noms dans les affections nomm es tinea De plus en plus souvent on constate cependant que les agents ne sont ni des dermatophytes ni des levures Les plus connus sont Scopulariopsis brevicaulis et Scytalidium dimidiatum Dans le pass ils taient automatiquement catalogu s comme contaminants Contrairement la peau normale un ongle ne transpire pas et n a qu un mouvement limit
16. a de loin le plus novateur dans ce domaine 7 i p T k a m ga is LAE p Lu F P i Aide de eamp da M a gril AU travers des dizaines d ouvrages pr sent s l ex position c est non seulement une r trospective strat gique et martiale mais aussi un aper u de l volution des ue Ten ei kj Core F N E em A Pascal Histoire de l arm e 1847 1850 1I1 p 307 techniques d impression et d illustration que l on a pu admirer Aux planches na ves se succ dent des essais de repr sentation en trois dimen sions Parfois erron es et dis proportionn es elles ne figu rent plus des carr s symboles arbitraires de milliers d hom mes mais bien ces derniers ce qui permet de montrer des merveilles de d tails Chaque unit poss de en effet des l ments caract ristiques Les d corations des armes diff rent les coiffes l habit et les grades sont reconnaissables constituant une mine d infor mations historiques Dans cette exposition le livre expose ses titres de noblesse Anc tre des livres actuels et notamment de celui de poche il en reste cependant un illustre repr sentant Et contrairement ce dernier le contenu n est pas le seul digne d int r t Il constitue en effet un plaisir des sens que ce soit par une belle couverture qui a illumin les yeux de plus d un connaisseur par ses couleurs sa texture et sa conserva tion o encore par ses dorures Le
17. a fois en de hauts lieux du pass et dans un temple des technologies du futur Chartres sera notre premi re halte sur ce che min de d lectation Haut lieu de p lerinage cette cit est avant tout connue pour sa cath drale Charles P guy a c l br sa silhouette alti re dres s e au mileu des bl s Notre Dame de Chartres nous racontent les guides touristiques aurait exau c les voeux les plus divers parait m me que c est son intervention au d but du XIV me si cle que fut sign e la paix avec douard d Angleterre qui renon ait ainsi au Royaume de France C est aussi Chartres que Henri MV fut sacr apr s sa conversion au catholicisme La cath drale de Chartres tr s homog ne car difi e en trente ans marque le passage de l architecture et de la sculp ture du roman au gothique En admirant ses superbes vitraux et en visitant le mus e voisin du vitrail nous aurons un large aper u de l art du XII me si cle Plus loin s tale la vieille vile dans laquelle nous d ambulerons en petit train au del de l v ch de ses jardins et surtout de l Eure qui n est sans doute pas trang re la r putation de grenier de la France que s est taill e la Beauce Nous laissant bercer par le paysage et la route NOUS arriverons ainsi dans un lieu de haute qualit Le Ch teau du Clos de la Ribaudi re Chasseneuil nous accueillera dans son cadre du XIX me si cle o nous prendrons un repos
18. appeler nos doctes lecteurs celle qui marqua la victoire de Charles Martel contre les Sarrasins Futuroscope et assurance annulation Mais notre but essentiel n est il pas le Futuroscope auquel nous pourrons consacrer une journ e enti re si nous le souhaitons Temple de l image et du futur ce site exceptionnel se renouvelle r guli rement Images en trois dimensions pop e dans l espace cran h misph rique image de synth se haute r solution tout ce que la technique de pointe a pu inventer se retrouve l pour notre Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise g El a VOTAG merveillement Parfois aussi pour notre plein de sensa ton car le r alisme de certains spectacles peut tre ce point pouss que l on d conseille aux trop jeunes enfants d y assister La raison n est pas l immoralit du spectacle mais l immersion dans un monde plus vrai que r alit Au retour un arr t en matin e nous permettra de visiter la tr s belle abbaye romane de Fontevraud C est le plus grand ensemble monastique de l Occident Sa construc tion a d but en 1101 et il fallut la R volution pour arr ter sa progression en 1789 Son fondateur serait un certain Robert d Arbrissel pr tre breton qui s effor ait de soutenir la r forme gr gorienne visant remettre le clerg dans le droit chemin de la spiritualit et lui faire abandonner entre autres les b n fices eccl siastiques et la sim
19. consistant en 1 jour de traitement par semaine pendant environ 1 an avec le flucona zole Ces directives s appliquent l atteinte des ongles des orteils Pour les ongles des doigts on peut consi d rer qu en r gle g n rale les 2 3 de la dur e de traitement suffisent Tant sur le plan de lefficacit que de la pharmaco conomie les deux pre miers m dicaments doivent tre consid r s comme sup rieurs N anmoins dans les tudes cli niques encore une fois portant sur les ongles des orteils les non derma tophytes sont souvent oubli s ce qui laisse supposer que dans la pra tique on obtient un taux de r ussite un peu plus lev gr ce au spectre d action plus large de l itraconazole Dr T Goossens Sources Arrese J E Fraiture A L Pi rard Franchimont C Pi rard G E Onychomycosen van diagnose tot behandeling met aandacht voor de farmaco economische aspecten in Belgi Skin 1 37 1998 De Doncker P Communication personnelle 1997 Gupta A K Pharmacoeconomic analysis of oral antifun gal therapies used to treat dermatophyte onychomycosis of the toenails Pharmacoeconomics 13 243 1998 Odds F Communication personnelle 1996 Pi rard G E Communication personnelle 1995 Vanden Bossche H Communication personnelle 1996 Co t pour Prix PINAMI tal a VOYAGE Balade travers le temps Notre prochain voyage nous emm nera au Pays de France l
20. dispers es par des h ritiers indiff rents Cette passion rend maniaque Quand je me rends dans une maison que je ne connais pas et qu il m est donn de passer dans la biblio th que o se trou vent un certain nombre de livres l envers o un tome IV d un ouvrage voisine avec le tome ll d un autre je me dis avec nostalgie que voil une biblioth que morte avec des livres de d coration lins tar de certaines feuilles de papier peint ou encore s il s agit d un meuble biblio th que que a d clara tion de SUCCES sion aura t meuble avec livres anciens comme on en voit dans toutes les foires d anti quaires Le comble aura t pour moi une maison par ailleurs richement d cor e o des reliures XVIIIe si cle avaient t encastr es parses dans un mur sans qu on puis se en faire bouger aucune Le d corateur avait calcul trop chichement l espacement entre les planches et seul un maillet avait eu le pouvoir de ranger les livres Il est vrai que les reliures XVIIIe peuvent s acheter au kilo ou par paquets de trois pour mille francs 25 Euros LETE Fa RE mr Er mie 1 A EL P Awn Et le prix est assez stable Ce qu il adviendra de mes livres apr s ma mort je ne sais mais ils m auront procur bien des joies Ici je me rends compte n avoir parl ni du dentiste qui a accumul plus de 10 000 livres de litt rature ni du ju
21. e agir dans les ongles La pharmaco conomie En se basant sur les m thodes de traitement pr cit es et sur le prix des emballages on peut facilement cal culer le co t du traitement pour le patient et pour la soci t Il s agit une fois de plus de l onychomycose des orteils Dans un ordre croissant et encore en BEF R sum et conclusion Les onychomycoses font partie des maladies infectieuses les plus r pandues Bien que les ongles des doigts soient galement atteints le probl me se concentre sur les orteils peut en effet s y cacher des patho logies plus graves et nombreux sont ceux qui en prouvent galement une g ne subjective propos de l tiologie il existe LES Emballage f 4 Imp a X LR ea Co t Nombre Co t pour par dose de doses _le patient n cessaire MEDZGINE encore une dualit conceptuelle D aucuns continuent affirmer qu en ce qui concerne les ongles des orteils les dermatophytes ont le monopole alors que la recherche moderne a tout de m me d montr l implication tiologique des moisis sures D un point de vue th rapeutique 3 m dicaments entrent en consid ra tion et pour chacun d eux une m thode sp cifique a t mise au point traitement continu pendant 3 mois avec la terbinafine traitement intermittent pendant 3 x 1 semaine et donc dans l intervalle deux fois 3 semaines de pause avec l itracona zole traitement ponctuel
22. e r cepteur ligand semblent tre diff rents de ceux de la voie clas sique L un d eux serait le RRE raloxifen response ele ment en partie impliqu dans les effets du m dicament sur los Un autre l ment de r ponse appel AP1 intervient galement dans la transcription Le complexe raloxif ne r cepteur alpha ne stimule que faiblement le site AP1 Cela pourrait expliquer l absence d effet sti mulateur du raloxif ne sur les organes riches en r cep teurs alpha et pauvres en r cepteurs b ta ou d pourvus de ceux ci Apr s deux ans d j Les premi res ludes cliniques conduites avec le raloxif ne administr par voie orale pendant deux ans ont permis d obtenir une pr vention pr coce de la perte osseuse Delmas et al 1 ont tudi ses effets sur la densit osseuse les taux de lipides s riques et l pais sissement de l endom tre chez 601 femmes en post m nopause Elles ont t r parties par randomisation en groupes recevant respecti vement 30 60 ou 150 mg de raloxif ne ou un placebo pen dant 24 mois Dans chaque groupe de femmes ayant re u du raloxif ne les auteurs ont not une augmentation signifi cative de la densit min rale osseuse par rapport au d but de l tude que ce soit au niveau de la colonne lombaire de la hanche ou pour l en semble du squelette Des effets b n fiques sur le profil ipidique ont galement pu tre mis en vidence Un essai multicentrique de gra
23. elle carri re le Coll ge vous f licite chaleureusement Le docteur Emile Furnemont Le docteur Emile Furnemont est dipl m de l Universit Catholique de Louvain Apr s son service militaire il se sp cialise en radiologie Louvain Bonn Paris et Lille De 1954 1986 il exer ce pendant 32 ans les fonctions de Chef de servi ce de radiologie la Clinique Sainte Anne Anderlecht o il donne suite page 18 CULTURE Vous tes vous jamais attard sur les expressions famili res Tenir le cra choir c est dire parler sans interruption et tenir le crachoir quelqu un qui cette fois signifie ne pas pouvoir placer un mot Aviez vous observ que ces deux phrases assez proches en appa rence ont un sens diam tralement oppos Peut tre s agit il d une de ces bizarreries telles que si souvent rencontr es dans notre pratique de la langue fran aise Le crachement a tou jours n cessit un instru ment ad quat selon le degr de politesse et d hy gi ne d une civilisation Les affections pulmo naires et sans doute la tuberculose en ont multi pli les motifs de lem ployer On en conna t l usage collectif quand remplis de sable ou de sciure ils sont comme de larges baquets et sont alors pla c s la disposition du public On en voyait autrefois pr s de la sortie des gares Ceux parmi nous qui sont b d philes ou cin philes se souviennent
24. emier Quant au deuxi me il peut tre ma tris moyennant le recours s quentiel un progestatif Dans ce cas le risque pr existant ne semble pas augment par le traitement hormonal substitutif de la m nopause Fig 1 Voies de transcription du signal partir des r cepteurs aux oestrog nes adapt de Mc Donnell et al 1995 Yang et al 1996 Peach et al 1997 glandes mammaires sont surtout porteurs de r cepteurs alpha des oestrog nes tandis que les r cepteurs b ta sont pr sents sur le myocarde l endo th lium et les cellules osseuses Deux voies d action hormonale ont t d crypt es Dans la voie dite clas sique figure 1 la fixation de l hormone et d autres ligands sur l un ou l autre de ces deux types de r cep teurs entra ne leur niveau des modifications structu relles donnant naissance diff rentes formes de com plexe ligand r cepteur Apr s dim risation ce complexe interagit avec des s quences cibles sp cifiques au niveau de l ADN les l ments de r ponse aux oestro g nes FRE estrogen response elements Cela entrai ne la transcription des g nes concern s Des prot ines adaptatives adaptor proteins viennent s ajouter au complexe ligand r cepteur et peuvent elles aussi r gu ler la transcription g nique contribuant ainsi la sp ci ficit tissulaire des effets Dans la voie alterne comme c est le cas pour le raloxif ne les l ments cibles du complex
25. erre on a l impression quand on dit ces mots d acc der une poque tellement fabuleuse tellement peu en concor dance avec la n tre Tout tait diff rent la couleur les bruits familiers les objets C tait une autre pla n te Je me souviens surtout du bruit des roues au petit matin des roues normes qui faisaient jaillir des tin celles des pav s Puis le gr sillement de lautorail d abord tr s l ger comme un cristal vibrant puis s en flant progressivement de plus en plus fort un burle ment lectrom canique Avant la guerre pour qui s en souvient il ny avait que des machines comme mot Tout tait d licieusement programm Une quitable r partition de l nergie lec trique permettait chaque machine de faire son petit trajet quotidien Tchouk ichouk chouk le petit wagon net cherchait du gravier lusine de gravier il escala dait la colline sur ses rails bien lisses Ichouk ichouk et il S immobilisait pr s du chantier o les pelles articu l es venaient le vider de sa cargaison Et il repartait vers lusine Le temps d une charge de ses batteries et c tait le retour au chantier Toujours 14h28 un autre wagonnet empruntait la m me voie mais en sens DA E E I inverse Mais pas de souci pour autant arriv 655 m tres il tait d vi par un aiguillage lectronique sur une voie parall le Et quand les deux wagonnets se croi saient tout ju
26. et de charge pendant la p riode pulse est tr s important car la m me quantit tota le administr e en traitement continu entra ne des concentrations plus faibles dans l ongle Le syst me ponctuel du flucona zole est bas sur la casuistique et sur des tudes pilotes qui sont contes t es par les connaisseurs Quoi qu il en soit l effet clinique n est que mod r Dans la pratique on voit d ailleurs augmenter la dose jusqu au triple de celle pr conis e propos de l valuation de l effi cacit Arrese et al ont formul deux mises en garde importantes La premi re a trait la dualit conceptuelle c est dire que nom breux sont ceux qui admettent que des non dermatophytes sont eux aussi susceptibles d infecter les ongles des orteils alors que d autres s accrochent au dogme qui veut que seuls les dermatophytes soient capables de causer une infection Dans diverses tudes on introduit un biais qui exclut a priori tous les cas qui ne correspondent pas une atteinte par des dermatophytes Les conclusions de ces essais ne peu vent donc pas tre extrapol es sans r serve importante des situations cliniques de routine La seconde mise en garde porte sur les crit res d valuation Les cas que d aucuns pr sentent comme des am liorations partielles ne sont en fait que des checs relatifs qui invariablement deviennent mani festes quelques mois apr s l arr t du
27. eur Iy a s rement un l ment de passion une exaltation quand on d couvre cer tains livres un d sir de possession Mais il ny a pas de collectionneurs sans libraires et les relations qui s tablissent entre eux et nous sont bien agr ables d autant plus qu elles sont suivies et que les libraires sont souvent gens de qualit fort cultiv s et col lectionneurs eux aussi Il y a des livres qui laissent des souvenirs ind l biles L un est devenu mon livre de chevet en 1950 C tait l Anthologie de la po sie fran aise du XIXe au XXe si cle du chanoine Desgranges un livre de classe la couverture rouge Ce livre m a accompagn aux Etats Unis lors de ma formation et au Vietnam dans les ann es 70 C tait un livre f tiche Il est rest dans un bus en Thailande pr s d Aranyaprathet o se trouvait un camp de r fugi s Cambodgiens en 1983 Ce livre sans valeur je ne lai jamais retrouv et le regrette tous les jours Il y a le livre coup de foudre comme les Moeurs Institutions et C r monies des peuples de l Inde de l Abb Dubois un in 8 publi Paris en 1825 trouv Kathmandu au fond d une librairie o les livres pourris saient lentement dans l humidit un livre reli plein cuir avec un curieux cachet armori aux armes de la Society of Writers to the Signet Fig 1 dont un moine b n dic tin le P re Mark Dillworth historien aux archives catho ligues
28. ficile source d checs r p t s Devant ce grand gaspillage puisque de nombreuses pi ces taient rejet es la production de porcelaines de cette couleur avait t abandonn e au point que le secret de fabrication en avait m me t progressivement perdu Ces monochromes base d oxyde de cuivre r apparaissent sous K ang hi plus beaux d un clat et d une profondeur in gal s On applique cette couleur difficile par pulv risation selon un geste qui donne une surface l g rement stri e La difficult de cette applica tion est la nette tendance pour cet oxyde de cuivre couler d border sur le pied fixer la pi ce sur son support Les artisans de cette poque plus habiles viteront cet cueil la couverte est plus mince et s arr te tant la base qu son bord sup rieur laissant la p te appa ra tre Une belle variante de cet oxyde de cuivre est galement connue des amateurs elle a un aspect rouge ros avec des mouchetures et ceci d un grand charme fut sou vent appel peau de p che Par contre le d clin artistique ult rieur apporta des tons plus criards L emploi d oxyde de fer sans additif donna m me une teinte rouge corail ou tomate d un moins bel effet Mais revenons aux notions d hy gi ne et de risque contagieux qui ont peut tre pr sid l usage de pareils ustensiles On sait depuis toujours que certaines affections transmissibles sont due
29. h se que les anti oxydants majeurs jouent un r le b n fique dans le maintien de la sant et dans la pr vention des mala dies chroniques Plus de recherches sont n cessaires pour savoir si des compos s tels que les carot no des et les polyph nols apportent des effets b n fiques similaires De plus on ne dispose que de peu d informa tions quant la toxicologie humaine de ces substances Pour l instant les tudes d intervention avec placebo constituent le gold standard Mais l avenir vont poindre de nouvelles g n rations d tudes bas es sur l valuation et la quantification des biomarqueurs du stress oxydatif Le d veloppement de techniques de mesure d isoprostanes dans le sang am nera par exemple une m thode sp cifique et pr cise capable de fournir un indicateur de la peroxyda tion lipidique dans tout l organisme terme de telles d marches s av re ront utiles pour tablir le r le pr cis et les posologies optimales d antioxy dants dans le maintien de la sant publique Pr venir pour mieux vieillir Les antioxydants permettent sans aucun doute de se pr munir contre l apparition des pathologies du vieillissement et un certain nombre de grandes tudes pid miologiques sont en cours pour tester ces hypo th ses et valuer cette efficacit chez homme Ainsi l tude SUVIMAX surveille depuis pr s de 4 ans main tenant une cohorte de 15 000 per sonnes en bonne
30. ier rond et plat poss dant un petit manche de la m me mati re ou d une autre et un large rebord invagin comme celui d une panne Dans la Chine ancienne le mod le classique comme illustr dans cet article est une invention des potiers de l poque Tang peu pres au Vil me ou au Vl me si cle Ceux l nous taient d j bien connus pour avoir laiss apr s eux de fameux objets fun raires comme ces chevaux et ces person nages aux superbes gla ures plom bif res merveilleux objets d art que tous nous avons d j pu admirer De tels crachoirs n existent qu quelques tr s rares exemplaires Certains pensent qu ils ont servi de vase fleurs avant cet autre Usage plus prosai que Son aspect un petit r cipient s largissant en forme de coupe serait cependant assez directement inspir par les crachoirs de l Asie occidentale La pi ce reprise pour cet article remonte une p riode plus tardive au r gne des empereurs TSs ing ou Qing soit au XVII me si cle C est une p riode dite classique pour la porcelaine et qui la faveur d une grande prosp rit permit une pro duction abondante Une des belles r ussites de cette p riode consiste l emploi du rouge monochrome base d oxyde de cuivre Au quin zi me si cle la couleur rouge de cuivre avait connu son heure de gloire avec des couvertes pro fondes et brillantes En pratique il s agissait d une technique dif
31. istes pour lavenir et nous sommes persuad s que la mise sur rail au cours de l ann e de Colmed Info va nous permettre de redresser la situation et de vous offrir une solu tion de rechange presque parfaite et cela bien s r toujours titre gracieux Nous ferons de notre mieux pour am liorer dans un premier temps la qualit du papier en commen ant par la page de couverture Enfin nous ferons remarquer que la valeur intrins que de nos articles est absolument inchang e et que l habit ne faisant pas le moine le contenu de notre Revue nous para t le plus important Nous comptons sur vous chers lecteurs et ch res lectrices pour nous aider par votre compr hension solutionner les probl mes qui se posent nous et qui ne nous rendent pas la t che facile Docteur Marguerite Cambron Editeur responsable amp R dactrice en chef Dr Marguerite Cambron Av du Pic vert 24 1640 Rhode St Gen se T l Fax 358 19 25 P 2 r es locales Maison des M decins Pag Comit Directeur Pr sident Prof Jacques Marin Pr sident d honneur Prof Jean Claude Demanet ler Vice Pr sident Dr Guy P que 2e Vice Pr sident Dr Alain de Mee s d Argenteuil 3e Vice Pr sident Dr Michel Chantraine Secr taire G n ral Dr Albert Jortay Secr taire G n ral Adjoint Prof Monique de Rood Tr sorier Dr Andr Bruyns Tr sorier Adjoint Dr Jean Marie Dalcq Membres Prof Genevi ve Aubert Dr Henri Bond
32. logie doit tre adapt e la s v rit des sympt mes angi neux et l volution de l tat clinique du patient La dose usuelle est de 1 comprim lib ration prolong e de CORVATARD 2 fois par jour 5 3 CONTRE INDICATIONS L administration de CORVATARD est contre indiqu e en cas de choc cardiog nique ou d hypotension grave ainsi qu en cas d allergie connue la molsidomine 5 4 EFFETS INDESIRABLES Des c phal es et exceptionnellement des troubles gastro intestinaux des ph nom nes d hypotension orthostatique et des manifestations allergiques peuvent survenir 6 1 DELIVRANCE Sur prescription m dicale 6 2 DERNIERE MISE A J OUR DE LA NOTICE 02 071997 6 3 NUMERO D ENREGISTREMENT 152 IS 117 F3 AUNOTER Andy Warhol dimanche 5 septembre 1999 10 h 30 Visite euid eLde la r trospective Andy Warhol A factor au Ralaissdes Beaux Arts de Bruxelles Rendez vous Palais des Beaux Arts 10 h 15 Prix membres 450 frs non membres 550 frs Ensor Le dimanche 26 septembre 1999 10h 00 Visite avec audiopuide de l exceptionnelle xposition Ensor au Mus e d Art Ancien de Bruxelles Rendez vous Mus e d Art Ancien 10 h 00 Prix membres 450 frs non membres 550 frs du 29 au 31 octobre 99 Visite du Futuroscope de Poitiers Janvier F vrier 2000 Voyagesde 8 jours sur le lac N ssefbateau deduxe et ausite du ASSOUAN tous les d tails de ce magnifique Vo age da Saleprochain num ro Pboapproximatif 6
33. m decins T l 02 344 41 10 Bureaux A Circulaire 138 1180 Bruxelles Ouvert lundi au jeudi de 9 12h00 lundi au jeudi de 13 17h30 vendredi permanence t l phonique T l 02 374 97 00 Fax 02 375 85 82 E mail comed skynet be Agenda 4 Bibliophilie 5 6 Jubilaire 15 18 M decine MSD contre c cit des rivi res 7 Onychomycoses 8 9 M nopause la bonne voie 10 LI Les antioxydants 12 Transplantation pulmonaire 14 La trousse d Esculape Un crachoir chinois sang de boeuf 16 17 Voyage Voyage Poitiers l Al Prix Pierre Dustin 2 prix Avant la guerre III VI Culture L art de la guerre VII du 29 au 31 octobre 99 Visite du Futuroscope de Poitiers Notice CORVATARD 1 DENOMINATION Nom de la sp cialit CORVATARD Principe actif Molsidomine DCI 2 L TITULAIRE D ENREGISTREMENT THERABEL PHARMA SA rue Egide Van Ophem 110 1180 BRUXELLES 3 COMPOSITION Molsidomin 8 mg Sacchar lact Cellulos microcrist Macrogol 6000 Hydrogen ricin oleum Magnes stearas q s pro tablet compressa una 4 FORMES VOIES D ADMINISTRATION ET CONDI TIONNEMENTS Bo tes de 40 et 80 comprim s lib ration prolong e dos s 8 mg de molsidomine Administration par voie orale 5 1 INDICATIONS Traitement prophyl actique et traitement au long cours de l angine de poitrine NB Les comprim s de COR VATARD ne sont pas adapt s au traitement de la crise d angor 5 2 POSOLOGIE ET MODE D EMPLOI La poso
34. n te chez la plupart des individus Cependant gr ce la t l matique des renseignements pr cieux sur les diff rents arch types alimentaires existant en France sont d sormais accessibles Par ailleurs des r sul tats biologiques seront disponibles en octobre 1999 et les conclusions d finitives sont esp r es pour 2008 Ce n est qu apr s analyse de len semble de ces donn es que l on pourra esp rer mieux comprendre les constatations actuelles Nicolas Rousseau di t ticien D apr s le symposium organis par la soci t Christiaens Pharma du 24 avril 1999 Leuven K U L et consacr aux Radicaux libres et antioxy dants NE DEGINE TRANSPLANTATION PULMONAIRE La premi re transplantation pul monaire chez l homme fut r alis e par le Dr Hardy en 1968 Les r sul tats initiaux furent franchement mauvais la plupart des patients greff s sont d c d s dans le mois qui suivit l intervention Apr s des recherches intensives en laboratoire et gr ce l introduction de la ciclo sporine ces r sultats s am liore rent En 1983 une transplantation de poumon unique pour fibrose pul monaire fut conduite avec succ s Elle fut suivie d une double greffe pour COPD en 1986 Bien que les r sultats se soient nettement am lior s ces derniers temps la trans plantation pulmonaire reste une vaste entreprise dans laquelle une surveillance intensive s impose apr s l intervention Une s lecti
35. n intracellulaire du signal Ces notions ont permis le d veloppement d une nouvelle classe pharmacolo Depuis quelques Esreen Recep ligand gique celle des ann es le souci de IEJ RN modulateurs s lectifs prot ger le squelette Li _e du r cepteur aux oes de la femme apr s la trog nes SERMSs m nopause occupe Selective Estrogen une place grandis Cl pee Receptors sante dans les pr occupations m di ne pe cales Cette attitude a rencontr d autant plus de partisans que l on s est pro gressivement aper es u que le traitement Thessal Path hormonal substitutif ee er x Ce dat Modulators Le 2 EE raloxif ne premi re E xD mol cule non st ro de de deuxi me g n ra tion r pondant ce nouveau concept iermass Response accumule d j des Lorean r sultats prometteurs Ll endom tre et les de la m nopause pouvait en m me temps apporter une protection cardio vasculaire Plus encore on commence aujourd hui suspecter qu elle pourrait peut tre jouer un r le dans la pr vention de la maladie d Alzheimer bien que rien ne soit encore prou v cet gard Mais les discussions furent longues sur les risques d effets secondaires graves long terme d un traitement aux oestrog nes notamment ceux de cancer du sein et de cancer de lendom tre On sait que le traitement oestrog nique de long dur e augmente la probabilit du pr
36. nde envergure est en cours pour valuer la signification clinique et les r percussions de ces modifications sur la mortalit coronarienne et l incidence des infarctus non mortels Quant au risque de cancer il a galement t tudi au cours d un traitement continu de FMscebo Lumbar spin Mean 2SE Percent Change from Base Line Total hip MEDEZGINE deux ans Aucun signe de stimulation endom triale n a pu tre d tect que ce soit par l chographie endova ginale l hyst roscopie la biopsie ou la clinique Et la probabilit de cancer du sein serait diminu e de 50 chez les femmes haut risque Parmi les effets secondaires il faut noter une fr quence des bouff es de chaleur et des crampes des membres inf rieurs l g rement sup rieure celles que l on enregistre sous placebo Le risque de thrombose veineuse profonde est similaire celui de la th rapeu tique substitutive classique o du tamoxif ne et serait surtout marqu dans les six premiers mois Dr J Andris d apr s le symposium A new choice for the postmeno pausal woman Paris avril 1999 R f rence Delmas P et al Effects of raloxifene on bone mineral density serum cholesterol concentrations and uterine endometrium in post menopausal women NEJM 337 1641 1647 1997 60 mg af ralocifene Femoral neck Total body Number of Months Fig 2 Pourcentage moyen de modification de la densit
37. nde un autre tiers en Asie et dans le Pacifique et le dernier tiers en Afrique Etant donn la pr valence de l onchocercose et de la loase dans la partie sub saharienne de l Afrique et les effets secondaires qui peuvent d couler d un traitement la di thylcaroamazine un m dica ment tel que le MectizanR rev t un tr s grand int r t Gonflement des membres La filariose lymphatique est trans mise par des moustiques Les filaires Wucheria brancrofti et Brugia malayi vers parasites filiformes respon sables de la filariose lymphatique vivent presque exclusivement chez l Homme lls se nichent dans le sys t me lymphatique Ils y survivent pendant des ann es produisant des millions de microfilaires immatures qui circulent dans le sang Le cycle de vie de ces microfilaires s ach ve lorsque des moustiques les repren nent et les transmettent d autres personnes Les manifestations cliniques des maladies dues aux filaires se d ve loppent assez lentement Certaines personnes attentes de filariose peu vent tre porteuses de la maladie depuis plusieurs ann es sans en tre conscientes Une l sion r nale peut appara tre par blocage lymphatique La raison pour laquelle la maladie est plus connue sous le nom d l phan tiasis ets qu elle peut provoquer une augmentation de volume particuli re ment importante et invalidante des bras des jambes et des organes g nitaux Dr P Sainjean MEDZGI
38. ni re ce que tout probl me intercurrent soit rapidement pris en charge En cas d atteinte infectieuse ventuelle il ne sera provisoirement plus transplantable Quant la qualit du donneur les exigences sont tr s strictes I ne peut y avoir aucun traumatisme o contusion thoracique ni de sepsis ou d aspiration Une s cr tion manifestement purulente constitue aussi une contre indication La capacit d h matose des poumons doit tre normale Lorsqu un don neur potentiel est annonc un exa men tr s soigneux est entam pour valuer la qualit de ses poumons La proc dure de pr l vement enl ve les deux poumons en bloc apr s perfusion de quatre litres de solution de conservation Eurocollins par l ar t re pulmonaire Entre temps ablation est entam e chez le rece veur La transplantation sera unilat rale ou bilat rale en fonction de l at teinte sous jacente C est ainsi que dans la mucoviscidose les deux poumons sont obligatoirement transplant s en raison des infec tions possibles et des abc dations qui peuvent tre bilat rales Vu la raret des donneurs d organes dont une minorit seulement ont des poumons qui peuvent tre pris en consid ration pour greffe il faut opter si possible pour la transplan tation unilat rale Si besoin est le patient sera plac sous circulation extra corporelle pendant l interven tion En phase postop ratoire le taux d inflation sera mainte
39. nu faible pour viter l oed me de reperfusion au niveau de l organe greff Pour l im munosuppression on utilise les cor ticoides la ciclosporine l azathio prine et les globulines antithymo cytes La prophylaxie des infections virales bact riennes et fongiques est videmment indispensable On s efforcera de faire respirer le patient spontan ment aussi rapidement que possible Des bronchoscopies de contr le seront r guli rement pratiqu es pour valuer l anastomo se bronchique et pour d tecter pr cocement un rejet ventuel Celui ci constitue avec les infections la com plication postop ratoire la plus importante Les rejets aigus exigent de hautes doses de corticoides Les rejets chroniques aboutissent sou vent un syndrome de bronchiolite oblit rante touchant les plus petites voies respiratoires et entra nant des r percussions n fastes pour la fonction pulmonaire Face pareille situation on ne dispose pas encore de traitement ad quat Bien que la transplantation pul monaire constitue un traitement tr s intensif elle repr sente pour cer tains patients souffrant d atteinte respiratoire tr s avanc e une nou velle chance d acc der une qua lit de vie acceptable et de se r in s rer sur le plan social Pr Dr P Van Schil Dienst beelkunde Afdeling thorax en vaatheelkunde UZ Antwerpen LOCALE Jubilaires 1999 Introduction A chaque printemps tradition oblige nou
40. on correcte des rece veurs est indispensable Parmi les crit res g n raux figure un stade terminal avanc de linsuffisance pulmonaire avec une esp rance de vie inf rieure 18 mois La qualit de vie doit tre profond ment d grad e rendant l preuve de la maladie particuli rement p nible En plus de cela il faut que plus aucune alternative ne soit possible et que le patient soit parvenu au maximum des possibilit s de traitement phar macologique Les indications les plus importantes sont heure actuelle l emphys me la mucovisci dose l hypertension pulmonaire pri mitive et la fibrose pulmonaire idio pathique En cas d emphys me la possi bilit de r duction chirurgicale du volume au cours de laquelle les zones les plus affect es de l organe sont enlev es doit tre d pass e Les contre indications la trans plantation sont les cancers les affections graves du foie et des reins le tabagisme et les atteintes majeures du coeur ou du syst me nerveux Les facteurs psychoso ciaux jouent galement un r le tant donn la gravit de l affection et l volution postop ratoire parfois difficile Un receveur potentiel doit subir une valuation internistique compl te au terme de laquelle les r sultats seront discut s par l qui pe pluridisciplinaire de transplanta tion Si le patient est admis la transplantation et inscrit sur la liste d attente il sera suivi troitement de ma
41. onie La dur e de sa construction conf re l abbaye de Fontevrault une tr s grande diversit architecturale dont la cuisine romane octogonale h riss e de hottes et de lantermaux constitue sans doute l l ment le plus c l bre L abbaye tait r partie en plusieurs prieur s dont deux au moins ont fourni en mat riaux les r volutionnaires en mal de pierre de construction Les heurs et malheurs de ce grand monu ment en ont fait une prison de l poque napol onienne Mais parmi ses titres de noblesse figure celui de lieu de repos de Henri Plantagen t et son pouse Ali nor d Aquitaine ainsi que leur fils Richard Coeur de Lion et Isabelle d Angoul me la femme de leur autre fils Jean sans lerre Angers est le Chef lieu du d partement de Maine et Loire et l ancienne capitale de l Anjou Baign e par la Maine elle fut 1 Le Solido 2 Le Pavillon de la Communication 3 Le Cin ma Haute R solution 4 La Gyrotour 5 Le 360 6 L Imax 3D 7 Astratour 8 Le Tapis Magique 9 L Aquascope 10 Le Pavillon de la Vienne 11 Les Paysages d Europe 12 Le Cin Jeu 13 Le Monde des Enfants 14 La Vid o Haute D finition 15 Le Cin ma dynamique 16 Cyber Avenue 17 Le Th tre et son Lac 18 Le Kin max 19 Le Pavillon du Futuroscope 20 L Omnimax 21 Le Cin ma en relief 22 Imagique d abord connue comme le centre principal des territoires occup s par la tribu celtique des And caves Apr s
42. ont toutes ces t ches Un fils m decin une fille infirmi re une autre secr taire m dicale prouvent si besoin en est l enthousias me communicatif avec lequel le docteur Walravens poursuit sa carri re Pour l enthousiasme qui vous a guid tout au long de votre carri re le Coll ge vous f licite chaleureuse ment Le docteur Andr Meynckens Le docteur Andr Meynckens dipl m de l UCL entre dans le service de chirurgie et accidents de travail de la STIB o il restera jusqu en 1962 Il devient alors chef du service de chirurgie la Polyclinique de Laeken activit qu il cumule pen dant trente ans avec les fonctions de chef de servi ce de chirurgie la Clinique Sainte Etienne Pour votre carri re chi rurgicale particuli rement bien remplie le Coll ge des M decins vous adres se toutes ses f licitations Le docteur Andr Delcourt Le docteur Andr Delcourt est dipl m de l ULB en 1948 avec gran de distinction et commen ce la sp cialit de m deci ne interne comme assis tant tranger des h pitaux de Paris et lh pital d Ixelles ensuite o il termi ne comme chef de service de m decine interne avec comme sp cialit la gas tro ent rologie En 1962 nomm agr g de l enseignement sup rieur PULB il est charg de 1978 1993 du cours des maladies du tube digestif Il est l auteur de nom breuses publications con cernan
43. part des propri t s pharmacocin tiques favorables qui leur permettent de se diffuser gale ment dans le tissu ungu al Une m thode de traitement sp cifique a t mise au point pour chacun d eux e La terbinafine agit une posologie de 250 mg 1 x par jour pendant 3 mois Il s agit tout simplement d un traitement continu e itraconazole agit une posolo gie de 200 mg 2 x par jour pen dant 3 x 1 semaine les semaines de traitement tant chaque fois s par es par une pause th ra peutique de 3 semaines C est le traitement intermittent ou traite ment d une semaine e Le fluconazole agit officiellement une posologie de 150 mg 1 x par semaine pendant environ 1 an Ce traitement est dit ponctuel Avec ces traitements la charge totale de principe actif est la suivan te 23 g de terbinafine 4 8 g d itra conazole et 7 8 g de fluconazole Entre parenth ses tous ces chiffres portent sur lonychomycose des orteils Pour ce qui est des ongles des doigts en r gle g n rale les 2 3 de la dur e du traitement suffisent probablement Le syst me de la terbinafine entra ne sans doute l administration d une dose plus forte que n cessai re Arrese et al crivent ce sujet devrait tre remplac par un trai tement intermittent dont les modali t s exactes restent encore d termi ner Le syst me de l itraconazole est bien pens et corrobor par de nom breuses tudes L eff
44. qu il quitte ces lourdes fonctions Pour votre carri re par ticuli rement brillante le Coll ge vous adresse toute sa reconnaissance et ses plus chaleureuses f licita tions Le docteur G rard Laets Au d but le docteur Laets pensait la chimie mais c est de la Facult de m decine de l ULB qu il est sorti dipl m un beau jour de juillet 1948 Apr s quelques ann es de stage pass es l H pital de Schaerbeek l H pital d Ixelles l Institut Pasteur au Therapeutische Instituut d Amsterdam il revient en Belgique pour suivre une licence en chimie orga nique d croch e en 1955 Alors muni de son nou veau bagage il est pen dant 30 ans chef des ser vices de biologie clinique des h pitaux Paul Brien et Disca Comme ma tre de stage il a form des biolo gistes qui se souviennent de lui comme d un ma tre attentionn mais exigeant Pour toutes ces ann es pass es au service d une biologie de pointe le Coll ge des M decins VOUS remercie Le docteur Marie Walravens Le docteur Marie Walravens est l une des 4 consoeurs qui ont re u leur dipl me de m decins PUCL il y a cinquante ans Epouse de magistrat m re de 4 enfants parta g e entre une pratique pri v e les consultations de m decine pr ventive lO N E et en inspection scolaire et des cours l Ecole sociale de la rue de la Poste le docteur Walravens gagna le pari de mener de fr
45. re 1999 Chaque oeuvre doit pourvoir tre facilement accrochable une cimaise Exposition des photos Dans le show room des Quatre Saisons rue de la Cuve 20 1050 Bruxelles du 8 au 10 octobre 1999 La soir e de vernissage de l exposition aura lieu le vendredi 8 octobre soir dans le show room des Quatre Saisons endroit particuli rement agr able et sera agr ment d un cocktail Remise des Prix de Photographie aux Quatre Saisons le samedi 9 octobre Le samedi le Jury remettra le Prix du Coll ge qui consistera en un bel objet ayant trait videmment la photographie Un 2e Prix et un 3e Prix seront galement attribu s Un Prix du Public r compensera l oeuvre prim e d apr s un gallup effectu aupr s des visiteurs de l exposition PE Formulaire de participation n T Le la soussign e a l intention de participer l exposition photos des Journ es d automne du Coll ge des M decins les 8 et 9 octobre 1999 NOM nnrrnrrrrerresnssenesnne PF NOM nr Adresse nnrrrnrrnrrne sure ensemesnne nee sneeenesemesnesneesnesnnesesesneesncesnesn ee D Pour les conjoints exposant nom du conjoint m decin Signature renvoyer au Coll ge des M decins le plus rapidement possible SISLIOP IILIE J ai quelque chose pour vous Monsieur Binard P E C est ainsi que tout a commenc Monsieur Binard ing nieur g nial cr ateur du poste Scarab e avait une passion l Antiquit
46. ris te qui a vou Napol on tout le temps qu il ne consacre pas son pouse ni de tous ceux qui rassemblent des incunables des Ires ditions ou des livres de g n alogie ni omission e t t grave des collectionneurs de bandes dessin es et de leur lite les tintinol tres Mais ainsi va la vie La richesse de l Esprit humain est telle que m me des jumeaux homozygotes dans la mesure o ils ont des femmes diff rentes ont des col lections que ne se ressemblent pas Docteur Christian Charles Dupuis MEDEZGINE MSD contre l onchocercose et l l phantiasis La firme MSD bien connue sur la place fait don de m dicaments pour traiter des millions de personnes La c cit des rivi res onchocer cose est l une des principales causes de perte de la vue dans les pays en voie de d veloppement Dans les villages o r gne la maladie environ 15 de la population sont touch s Pire encore bien souvent les personnes atteintes d onchocer cose n ont m me pas quatre ans La morsure de la simulie C est surtout en Afrique de l Ouest et en Afrique centrale que la c cit des rivi res fait des ravages L affection contraint des familles enti res quitter les terres fertiles proches des rivi res Dans les zones humides jouxtant les cours d eau rapides s vit la mouche noire Simulium qui transmet l infection aux humains La morsure de Simulium introduit dans l organisme les larves d une
47. s des petits organismes parasites consi CULTURE d r s comme trop petits pour tre discern s et diss min es par ceux ci Ainsi accusait on des miasmes v hicul s par l air ou des animal cules virulents et pathog nes Les anciens savants en ont eu souvent l intuition qui n a pu se v rifier qu avec les progr s de la microsco pie et surtout de la science micro biologique Cette id e est facilement illustr e par l une ou l autre citation comme l exemple tir de Marcus Terentius Varron c l bre encyclop diste et contemporain de C sar Il con oit existence probable d animaux minuscules qu on ne peut voir mais qui passent par la bouche et les narines et qui causent de graves maladies dans l organisme atteint animalia quaedam minu ta quae non possunt oculi conse qui et per a ra intus in corpus per os ac nares perveniunt atque effi ciunt difficiles morbos extrait de Rerum rusticarum de agricoltura Dr Alain de Mee s d Argenteuil LOCAL suite de la page 15 galement des cours de nursing Auteur de plusieurs dizaines de publications en radiologie particuli rement en radiologie digestive il d cide en 1988 de prendre les fonctions de Directeur M dical dans le m me tablissement Au cours de ces dix derni res ann es il r alise la fusion Sainte Anne Saint Remi et pr pare le fusion avec la Clinique Sainte Etienne C est seulement en juin dernier
48. s para tre et tout serait comme avant Avant la guerre Mais cela ne s est pas pro VE E i duit Le projet Manbattan portait sur des tres capables de se reproduire et cela seule la fi vre de la guerre les en avait provisoirement emp ch s D s la paix reve nue les bommes ne S occu p rent pratiquement plus que de leur reproduction Ils proc daient de fa on syst matique et implacable environ la moiti d entre eux d une forme l g re ment diff rente et mettant notamment des sons un peu plus aigus les femmes pro c daient des cultures de cellules qui en neuf mois se transformaient en un nou vel tre bumain bomme ou femme de taille r duite Apr s quelques ann es cet tre devient lui m me capable de se reproduire Quant aux humains qui lont mis au monde ils peuvent continuer se reproduire ce qui je le r p te constitue leur occupation quasi exclu sive Mais pourquoi Dans quel but Les humains eux m mes n en savent rien Longtemps j ai cru que leur destin comme le n tre tait r gl par un organi gramme Mais quoi pour rait correspondre un tel organigramme Tous ces tres humains s autod trui sent apr s environ 60 ans et sont donc litt ralement des condamn s mort en sur sis Leur activit principale ce qu ils appellent le sexe consiste mettre d autres tres bumains au monde pour un temps tout aussi ph m re Comme
49. s nous r unissons pour f liciter les Confr res et Consoeurs qui pen dant 50 ou 60 ans se sont d vou s cette vocation et cette pro fession dont l unique objet est l homme malade Certains n ont pu se joindre nous aujour d hui pour des motifs de sant ou autres qu ils ne soient pas oubli s pour autant Ce sont les docteurs Antoine Bremer Jean Brihaye d c d r cemment Pol Gillet Henri Maisin Jean Vermeylen et Serge Ysaye Je vais donc tenter en quelques minutes d voquer la carri re de chacun d entre vous Vous qui f tes nos ain s nos maitres nos guides Le docteur Andr Merlin Dipl m de l Universit Libre de Bruxelles le docteur Andr Merlin entre d s 1938 au service militaire apr s avoir t accept comme assistant au service de p diatrie du Professeur Cohen Apr s la campagne de 18 jours arr t par les Allemands en tentant de passer en France il est envoy comme m decin dans un camp de prison niers en Pom ranie l infirmerie de ce camp il pratique avec un coll gue polonais de la chi rurgie ayant fait deux ann es de stage pendant ses tudes et r alise des prouesses chirurgicales avec les petits moyens de l poque pour venir en aide aux prisonniers bles s s ou atteints d une pathologie chirurgicale infectieuse le plus souvent Lib r en 1943 il com mence les stages de p diatrie tout en restant fid le son id
50. s des sp cialistes comme Gupta s en tiennent un minimum de 10 Il est remarquable qu un certain nombre de scientifiques et de clini ciens continuent nier ce ph nom ne ce qui a des r percussions en recherche pharmaceutique clinique Il n est pas rare en effet que cette recherche exclue de la s lection toutes les onychomycoses caus es par des non dermatophytes Le traitement En ce qui concerne l onychomy cose on peut affirmer que le traite ment topique appartient au pass Les r sultats taient trop faibles pour une part peut tre parce que la peau environnante restait une source per manente de r infection L re de la gris ofulvine est r volue elle aussi Actuellement on opte pour un traitement exclusivement oral Les r sultats sont bons et la toxicit ou les effets ind sirables en g n ral ne posent plus de probl mes Les para m tres biologiques ne doivent plus tre contr l s qu en cas d ant c dents de trouble h patique Les inter actions avec d autres m dicaments peuvent tre vit es Celles de litra conazole sont d j connues ne pas associer aux antiallergiques ast mi zole et terf nadine ni au procin tique cisapride Quant celles de la terbi nafine et du fluconazole elles seront certainement d finies dans un proche avenir Et ainsi sont nomm s les trois protagonistes Ils poss dent d une part une bonne activit antimyco sique et d autre
51. sant r parties dans toute la France et suivies m di calement par des unit s mobiles Les volontaires de 35 60 ans pour les femmes et de 40 60 ans pour les hommes re oivent en double aveugle soit un placebo soit un cocktail d antioxydants dosage 30 mg de vitamine E 120 mg de vitami ne C 6 mg de b ta carot ne 20 mg de zinc 100 ug de s l nium Les auteurs de l tude pr nent la syner gie d action existant entre antioxy dants en utilisant des doses supra nutritionnelles Ceci devrait permettre d viter les effets paradoxaux obser v s dans les tudes de suppl menta tion r alis es notamment avec de fortes doses de b ta carot ne Ainsi si la vitamine E ne pose que tr s peu de probl mes de toxicit la vitamine C et le b ta carot ne peuvent se m tamorphoser en pro oxydants De plus il s est av r que bombarder d antioxydants les radicaux libres aurait pour effet de nuire au syst me immunitaire Enfin les associations se r v lent plus efficaces et stimulent les synergies car leur action est situ e des niveaux un antioxydant est sp cifique d un radical libre et des endroits diff rents la mitochondrie pour le s l nium et la vitamine E le cytosol pour la vitamine Pour l heure les r sultats initiaux de l tude n ont pas permis d obser ver d effet th rapeutique majeur tout au plus voit on clairement une aug mentation de la capacit antioxyda
52. se repro duire par des op rations dont la complexit d passait tout ce que le monde avait connu il tait impossible de les liminer Le premier tre vivant que je vis tait un grand bip de de couleur noire v tu et casqu de kaki Il m chon nait un morceau de caout chouc et son casque portait deux inscriptions nigma tiques un GI lavant et OK l arri re Il tait fami li rement assis Sur un petit engin tous terrains qui sem blait lui ob ir compl te ment Il se faisait ob ir tout aussi parfaitement par une mitraillette un lance flammes et par un objet plus petit dont je ne compris pas tout d abord la destination mais dont je finis par com prendre qu il lui servait blanchir ses denis au moyen d une substance p teuse et lubrifiante il tirait son car burant d une bo te cylin drique on me dit que c tait du corned beef D autres tres vivants de ce genre envabirent alors le pays et la v rit finit par tre connue sur ce fameux corned beef Il s agissait l aussi d un produit d riv de la vie constitu en r ali l par de petits morceaux d un tre vivant d un autre type mais plus grand et d aspect assez diabolique avec de grande cornes mais d un naturel plus paisible que les bip des Nous vimes ainsi d filer un flot innom brable d tres vivants d une vari t aussi grande d abord puis plus grande que celle des machines D un point de
53. si n ayant pas le temps ou pas les moyens d accomplir leur destin ils taient vou s par une esp ce de mal diction li e tout ce qui est sorti du projet Manbattan transmettre la vie d autres tres qui seront tout aussi incapables d accomplir ce destin Enfin le cancer de la Surproduction avait pro bablement gagn le projet Manhattan lui m me car le nombre d tres bumains pour des raisons videntes ne cesse d augmenter Un homme et une femme ayant la possibilit de mettre au monde quatre enfanis en vingt ans point n est besoin d un coprocesseur math matique pour se rendre compte que leur nombre est multipli par deux tous les sept ans On imagine ce que peut devenir la plan te dans de telles conditions Mais quoi bon sonder l avenir Ne vaut il pas mieux essayer de retrouver pour le court moment d un r ve la splen deur tranquille et le rythme des jours d antan des jours d avant la guerre Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise CULTURE L ART DE LA GUERRE Dans la lign e des expositions consacr es derni rement aux livres d animaux de fruits de jardins et galement de muscin es une pr sentation d ouvrages sur l art de la guerre de Machiavel Clausewitz vient de se d rouler dans la salle Alfred de Limminghe de la Biblioth que universitaire Moretus Plantin L art de la guerre tait le sujet de la derni re exposition pr sen
54. ste au m me moment leurs sir nes sonores se saluaient en signe de ras surante courtoisie Elles semblaient dire je roule je suis heureux je suis utile rien ne m arrive jamais Et lautre lui r pondait sur un ton rendu plus grave par leffet Doppler bonheur le bonheur Tout en baut de lorgani gramme quelque chose s est alors d r gl Je me souviens d un ciel particuli rement gris en 1936 avec une odeur comme celle du fil lectrique br l Une sourde inqui tude s tait empar e des r cepteurs radio Un gratte ciel s tait effondr New York le crash de la bourse Tout n tait donc pas r gl de fa on infaillible La surproduction S installait comme un cancer dans les usines des montagnes de briques de verre de carton mais aussi des voitures des locomotives des maisons pr fabriqu es et m me des engins bizarres sans desti nation apparente s entas saient dans des d p ts Ces d p ts devenaient toujours plus grands s croulaient sur les routes comblaient les rivi res et les vall es enva bissant les for ts Ils par taient sombre masse de fer insens e lassaut du ciel il parut alors vident qu il faudrait tout d truire et que ce serait la guerre L activit devint de plus en plus f brile C tait je me rappelle au printemps 1938 que deux signes avant cou reurs me le firent com prendre de fa on tr s claire Pour la premi re fois les trains qui se Ss
55. t e la Biblioth que uni versitaire Moretus Plantin Ce fut l occasion d admirer les tr sors que regorge la r serve pr cieuse de cette biblio th que ceux ci tant rehaus s s par quelques armes et l ments de costumes authen tiques fournis par le Mus e de l Arm e Conjointement s est d roul un colloque international intitul Pens e strat gique et huma nisme de Polybe Raymond Aron et anim par le profes seur Bruno Colson Professeur de Politique internationale FUNDP Ce colloque fut l occasion de resituer cet art issu des mod les gr co romain et chi nois et qui bien qu intrins que ment violents s opposent l instinct destructeur la strat gie requ rant discipline hi rarchisation et r flexion C est que cet art a bien volu Au d but l habitu de tait de placer de mani re sym trique les arm es qui n taient compos es que d un seul corps Tout tait codi fi et le sens du Courage et de la Courtoisie tait en vigueur Au fur et mesure les strat gies se sont affin es les mouvements de troupes se sont diversifi s C est que le relief ne respecte pas la rigueur rectiligne des rangs L arm e se divise par la suite en corps Ceux ci peuvent se coordonner pour prendre lennemi revers De guerre en bataille de Rois Empereur l art guerrier s labore ainsi et c est un certain Napol on Bonaparte qui par ses grandes campagnes ser
56. t la fonction pan cr atique En 1978 il devient Pr sident de la Soci t Royale Belge de Gastro ent rologie Du temps o il tait chef de service de m decine interne il fut l un des initia teurs d un enseignement de formation continue adress aux m decins g n ralistes Pour votre carri re cen tr e sur la gastro ent rolo gie pour ce travail de pion nier le Coll ge des M decins vous adresse tout particuli rement ses f licitations
57. toute l Antiquit de Sumer Rome Tous les dimanches 8 h du matin il sortait sa vieille Opel Rekord du garage et partait au march aux puces II me prenait avec lui si j tais l mais n attendait jamais Nous tions voisins ses fils et moi prenions le tram ensemble pour aller au coll ge Saint Michel C tait en 1950 J avais 13 ans la passion de la lecture un mur de ma chambre de 3 m sur 3 pr destin accueillir des centaines de livres et 20 francs en poche tous les dimanches assez pour en acheter 4 Monsieur Binard garait sa voiture dans la rue Blaes ll tait grand et marchait vite D s le coin du march aux puces il tait accueilli par Monsieur Chevallier avec deux phrases invariables Bonjour Monsieur Binard je n ai rien pour vous aujourd hui ou J ai quelque chose pour vous Monsieur Binard Monsieur Binard s int ressait surtout aux livres anciens moi la po sie Mon admiration pour lui tait grande C tait pour moi un homme connu puisque tous les libraires du march aux puces le connaissaient Et je me demandais si un jour je serais aussi connu que lui Les ann es ont pass Monsieur Binard n est plus Mais quand j entends main i Bg tenant J ai quelque chose pour VOUS Docteur me reviennent les petits matins au Vieux March avec lui Depuis aussi d autres murs de la maison ont t couverts de livres trop entend je dire Qu est ce qu tre collectionn
58. ucc daient sans interruption depuis deux ans et que j avais pris l habitude de voir passer avec leurs longs wagons plats charg s de poutres de turbines et d autres mat riaux inutiles et conster nants taient form s de wagons blind s de couleur kaki avec un petit canon point vers le ciel Les fen tres des wagons taient le plus souvent tr s troites et ne permettaient pas d en voir l int rieur Mais d autres wagons kakis taient charg s de chars de mor fiers de v hicules amphi bies Le second Signe tr s clair lui aussi c est que ce n tait plus de la fum e qui sortait de la chemin e des locomotives c tait du feu Et le cr pitement des longues flammes qui se succ daient sur la voie ferr e faisait pen ser un immense incendie l incendie du monde L incendie a commenc en septembre 1939 D innom Coll ge Royal des M decins de l agglom ration bruxelloise brables avions venus de l Empire du Mal l est bombardent tout Les ponts et les maisons volaient en clats Les voies ferr es taient coup es les voitures ventr es Il semblait vident que tout allait tr s rapide ment dispara tre non seule ment tout ce qui avait t difi au cours des si cles pr c dents mais m me la substance de la plan te A plusieurs endroits en effet la cro te terrestre avait c d et des torrents de lave ache vaient l oeuvre de destruc tion amorc e par les bom
59. ue Dr Marguerite Cambron Dr Paule Ketelbant Dr Etienne De Keyser Dr Justin Vanatoru Dr Lucien Wamimont D l gu l Entraide Dr Maurice Anckaert D l gu la Mutuelle Dr Justin Vanatoru Maison des M decins Pr sident honoraire Prof Jean Lederer Pr sident Prof Jean Claude Demanet Administrateur G rant Dr Guy P que Administrateurs Dr Marguerite Cambron Dr Henri Bondue Dr Andr Bruyns Dr Jean Robert Fagnart Dr Albert Jortay Prof Jacques Marin D l gu s aux jeune m decins Dr Michel Chantraine Prof Genevi ve Aubert Comit de r daction Professeurs J C Demanet J Lederer J Sternon J Marin G Aubert B Conet J M Dumont A Jortay R Van Laethem A Sibille C M Thiebauld A de Mee s G P que Directrice administrative Me Emmanuelle Wagschal La r daction du bulletin n assume aucune responsabilit dans les offres et demandes contenues dans les petites annonces et dans les pages publicitaires en g n ral Les textes des articles publi s n engagent que leurs auteurs Le droit de copies de tous nos articles originaux est r ser ve Coll ge des M decins Cr dit Communal et caisse d entraide 068 2171659 50 Union professionelle reconnue sous le n 709 Moniteur Belge du 31 12 1903 acte n 5675 R gie publicitaire MEDIAL Mr Alain Mathieu Rue du Prieur 32 1360 Mal ves Sainte Marie Tel 010 88 94 48 Fax 010 88 03 18 Mutuelle du Coll ge des
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