Home

De la bouée à la stab - Bienvenue sur le site de la plongée sous

Contents

1. Plong e successive calcul de la majoration La noyade Notion sur la ph nom ne d essoufflement et conduite tenir Principes de bases de fonctionnement d une r serve et d un d tendeur R gles sur le s curit d une plong e Notions l mentaires sur le respect de l environnement Ecrit ou Oral au choix du Jury Notion de calcul d autonomie Notions de calcul de flottabilit Notions succinctes sur les sympt mes des accidents de d compression et barotraumatiques leurs pr ventions et conduite tenir en cas d accident L acquisition de ce niveau pourra se faire groupe par groupe condition d observer une homog n it p dagogique par groupe d exercices sauf pour le groupe 4 De plus les groupes 1 5 devront tre acquis dans l ordre chronologique Ce niveau pourra galement tre acquis la suite d un examen ponctuel avec le Jury de l ancien 17 chelon et le m me mode de d livrance du brevet REMARQUES D lai maximum de 15 mois pour acqu rir la niveau Ce niveau ne peut tre acquis qu apr s justification de 20 plong es apr s le niveau 1 dont 10 techniques Chaque groupe d exercices lorsqu il est jug satisfaisant doit tre sign par 2 Moniteurs Auxiliaires ou BEES 1 ou 1 Moniteur F d ral ou BEES 2 licenci e et devra comporter galement le cachet officiel du club D livrance du brevet par le Pr sident du Club du postulent ou ventuellement le Pr sident du Cl
2. Pour les niveaux 2 Il est fait mention du SGS dans la comp tence 2 ligne 2 colonne 2 pour la ma trise de la vitesse de remont e Il est galement dans la comp tence 3 derni re exercice et colonne 3 pour la ma trise du poumon ballast Et ensuite mention en est faite dans la comp tence 4 ligne 3 colonne 2 o il est question de l assistance ou du sauvetage l aide obligatoirement du SGS Pour les niveaux 3 La premi re mention de l utilisation du SG S est faite dans la comp tence 3 ligne 4 colonne 1 pour la ma trise de la stabilisation 40 m Dans la comp tence 4 ligne 3 colonne 2 nous avons l utilisation du SGS pour l assistance ou le sauvetage de 40 m Pour les niveaux 4 C est un cas particulier le contenu de formation a t con u apr s les autres niveaux et l examen qui sanctionne la formation est rest en l tat Il a donc fallu adapter tout cela Toutefois l utilisation du SGS a t int gr e dans les comp tences du niveau 4 Il appara t pour la premi re fois dans la comp tence 3 en ligne 4 colonne 1 pour la ma trise de l quilibre Il en est galement fait mention dans le cadre de la comp tence 4 r actions et interventions de guide de palanqu e en ligne 4 colonne 3 pour les r actions butes circonstances n cessitant un sauvetage ou une assistance dans l espace lointain Il nous reste voir rapidement deux cas particuliers Le premier concerne la qualificat
3. la stab g des hommes qui plongent et qu une forme adapt e aux femmes serait la bienvenue Des poches et des logements lest ont t int gr s sur certain gilets Les poches permettent d avoir port e de main et en s curit le petit mat riel dont on peut avoir besoin tout moment durant la pong e tables lampe parachute etc Elles doivent pour ce faire tre suffisamment vastes et avec des soufflets pour ne pas g ner lorsqu elles sont vides Elles sont ferm es l aide de glissi res ou de rabats Velcro pour viter de se vider lorsque le plongeur a la t te en bas Malgr cela il est souhaitable d assurer par un bout fix un anneau solidaire du gilet tous les objets ainsi rang s Les poches doivent tre autodrainantes pour viter les retenues d eau Les logements ou poches lest sont incorpor s certains gilets par les fabricants Ceci am liore surtout le confort du plongeur Mais il est toujours possible d utiliser une ceinture pour porter son lest La r partition de ces poches est un facteur de l quilibre du plongeur Il en existe de deux sortes poches lest largable qui sont munies de commandes permettant de se d barrasser du lest en cas d imp rieuse n cessit uniquement et les poches lest fixe qui sont l pour parfaire la r partition de la flottabilit et donc l quilibre du plongeur mais malheureusement souvent situ es dans les parties dorsales du gilet alors que le po
4. 1 ECHELON Pr rogatives autonomie dans la zone des 20 dans le cadre des normes de s curit encadr dans la zone des 40 m tres Groupe 1 exercice de libre et surface 500 m tres palmes masque tuba 250 m tres tube capel Apn e profondeur 5 m tres sur une distance de 10 m tres Groupe 2 Exercices scaphandre 5 m tres D capelage abandon du scaphandre remont e en surface aller recapeler le scaphandre 5 m tres Echange de scaphandre Exercice scaphandre 10 m tres __ Remont e sans embout de 10 m tres Groupe 3 Exercices scaphandre 20 m tres Saut masque la main vidage du masque sans refaire surface Descente en pleine eau __ Vidage du masque 20 m tres Interpr tation des signes Retirer l embout expirer signe plus d air change d embout avec le Moniteur Remont e deux sur un embout l l ve assiste le Moniteur avec arr t 3 m tres puis continuer la remont e sur signe du Moniteur Groupe 4 10 plong es explo dans la zone des 20 m tres Groupe 5 Stabilisation au gilet de s curit entre 15 et 20 m en pleine eau Remont e d un camarade en difficult l aide du gilet de s curit d une profondeur de 20 m tres Groupe 6 Jean claude Jonac Page 26 De la bou e la stab Utilisation pratique de la table de plong e simple Courbe de s curit Plong es cons cutive Proc dure de remont e anormale
5. Pour conclure nous venons de montrer ainsi que tous les l ments de la bou e collerette se retrouvent sur la stab Sur cette derni re ils ont volu s comme nous l avons vu pr c demment De ce fait la stab n a qu une particularit elle sert de support pour le bloc mono ou bi Il suffit pour s en persuader de lire l extrait ci dessous tir du livre La plong e co crit par G POULET et R BARIN COU Ed 1977 cf p 100 et 101 et sch mas gilets et bou es de s curit qui corroborait d j mes dires Jean claude Jonac Page 23 De la bou e la stab Les moyens LES GILETS ET BOU ES DE S CURIT D ann e en ann e l emploi des gilets de s curit s est d velopp et g n ralis L importance et l utilit de giet avantages demi gonfl ii offre on immermon une r sistance l avancement importante dans les types collerettes une prise au Courant ot en surlace au vent Em 30 Photo copyright G Poulet E R Barincou Jean claude Jonac Page 24 LA BOU E SPIROTECHNIQUE D un volume de 17 L maintenue par une sangle d entrejambe en Y elle comporte une pipette de gonflage buccal et de respiration vec embout A poussoir Son originalit r side dans le syst me de vidange instantan assur par une soupape tar e servant galement de soupape de surprossion ot acvonn e par un cordon de tirage LA BOU E DE COMPENSATION SCUBAPRO D un volume de 17 1 de forme gilet dot
6. l mentaire dans la piscine de ce club J ai r ussi mon premier chelon au centre U C P A de Niolon 13 trois ans apr s En mil neuf cent quatre vingt deux j ai t mut Marseille o j a rejoint DA S P T T section Plong e J ai profit de l enseignement des cadres de ce club pour avoir mon brevet d initiateur et mon deuxi me chelon en mil neuf cent quatre vingt cinq Les hasards de la vie professionnelle me conduisaient nouveau Melun en mil neuf cent quatre vingt dix et titulaire du M F 1 et du B E E S P degr je prenais la direction technique de TU GSM Plong e club de deux cent cinquante licenci s avec une section compos e de cinquante enfants de 8 16 ans L infrastructure du comit I D F et sa commission technique me permettant d avoir une formation structur e avec plusieurs stages je d cidais de passer le MF2 que je r ussissais en septembre mil neuf cent quatre vingt douze Niolon La commission technique du C D 77 ayant besoin d Instructeurs R gionaux j ai t sollicit et j ai demand la qualit d Instructeur R gional I D F deux ans apr s En mil neuf cent quatre vingt seize j ai rejoint le coll ge des Instructeurs R gionaux de PROVENCE Actuellement je souhaite simplement faire partager ce qui est toujours ma passion et renvoyer l ascenseur c est dire permettre au plus grand nombre de b n ficier des structures de la f d ration Voil pourquoi aujourd hui je suis ici dev
7. partant du haut du gilet sur l paule droite ou gauche et l autre extr mit d un embout buccal comportant une valve mise en uvre la main par une pression sur un bouton Il faut viter dans la mesure du possible d utiliser ce mode de gonflage en immersion au moment de la remont e ce type de man uvre pouvant comporter des risques Jean claude Jonac Page 16 D e la bou e la stab 2 1 5 2 GONFLAGE D URGENCE Le gilet tait quip d une petite bouteille auxiliaire contenant de l air comprim Il en existait de diff rentes tailles les plus courantes ayant un volume gal 0 4 litre Elles taient d usage courant lorsque le Direct system n tait pas encore vulgaris Il s agissait essentiellement d un moyen de secours pour regagner la surface rapidement en cas de n cessit Il est noter que le gonflage sur bouteille de CO2 est interdit en France pour viter les dangers que cela pourrait entra ner en cas de respiration sur le gilet La respiration sur le gilet n est plus enseign dans le cadre f d ral 2 1 5 3 DIRECT SYSTEM Ou gonflage m canique un bouton plac D D D Leet ri g n ralement sur l embout buccal permet le gonflage lt R ECS S j 8 Ris Resort de rappel du gilet avec de lair comprim fourni par le scaphandre l aide d un tuyau raccord une sortie moyenne pression MP du d tendeur Ce tuyau comporte son extr mit un embout m tall
8. volutions techniques et l adaptation des m thodes p dagogiques est facteur de s curit Peut tre un dernier d tail je le trouve tr s beau et tr s confortable Je souhaiterais pour conclure donner un coup de chapeau la soci t AIRDIF qui n a jamais h sit pr senter des produits pour lesquels la r sistance au changement naturel des plongeurs pr sentait un risque commercial majeur 1 Souvenez ous des premiers gilets de haut de gamme il n y a pas si longtemps et des ordinateurs dont l usage s est r pandu malgr les pr ventions de la presque totalit des plongeurs Les al as de la vie conomique ont fait r cemment passer la soci t Sea Quest du catalogue d AIRDIF dans celui d AQUALUNG INTERNATIONAL souhaitons pour le plus grand bien des plongeurs que la politique de qualit qui caract risait cette marque ne patisse pas de ce changement 1 NDLR Il est vident que ce coup de chapeau est personnel l auteur et n engage nullement le Syndicat Le Bulletin ne touche aucun subside pour ce type de publicit ENSEIGNER SOUS LA MER num ro 93 Jean claude Jonac Page 55 De la bou e la stab Annexe 6 SAUVETAGE AVEC BOU E Dans notre dernier bulletin j avais publi un article pr cisant la fa on pr conis e par le S N M P apr s d bats et exp rimentation en mer lors du colloque du Syndicat CANNES en novembre 1980 d effectuer une assistance et un sauvetage l aide de la bou e Contrair
9. Le m moire d Instructeur National de Dominique PAPILLON me semble tre un second tournant dans cette volution il est intitul LE STABILIZING JACKET AU BAPTEME ET SON ENSEIGNEMENT AU NIVEAU 2 Il motive le choix de son sujet de la fa on suivante je cite A ujourd hui les stabilizing jadet sont l inondant le march c est un fait D e plus en plus de plongeurs s en quipat et d ajouter Il y a une dizaine d ann es la F F E S S M a adapt e sa progression f d rale en introduisant au premier hdon anden niveau 2 l initiation amp l utilisation du parachute as nsionna parce que mat id jusque l r serv aux seuls deux i me chelon anden niveau 4 est pass dans l usage urant A ujourd hui nous sommes devant le m me ph nom ne en qui once le stab Et voil mon sens le second stade de la d mocratisation du SG S et le passage d finitif au stab Il nous parle d une exp rience tendue sur 3 000 bapt mes effectu s avec le stab terme qu il emploie et qui va passer dans le langage courant du plongeur sous sa version f minine en devenant la stab Je vais transcrire ici une partie de sa conclusion E n ndusion il est noter qu il y a un monde entre le bapt me dassique d lui fait avec la bou e ll rette car elle augmente consid rablement la s curit M algr tout elle a l inconv nient d tre rdativement inconfortable pour l d ve L e bapt me en stab lui regroupe tous les avan
10. l histoire de la fameuse FENZY Cet appareil bien nnu des vieux plongeurs a t mis au point par un ing nieur Fran ais issu de Centrale Maurice FENZY Il cr e sa propre soci t apr s 1945 Il travaille dans le domaine des appareils respiratoires pour les mineurs les pompiers la Protection Civile et la Marine Nationale Sa soci t a construit deux appareils de plong e pour les militaires con us par le G RRG Groupe d Etude et de Recherches Sous marine le D C 55 appareil m lange en circuit semi ferm destin aux plongeurs d mineurs et l Oxygers appareil oxyg ne en circuit ferm pour les nageurs de combat D e ses ateliers sortira donc en 1961 la premi re FENZY nomm e Bou e DA 61 Ce nom est important car il est l origine d une erreur que nous sommes encore nombreux colporter En effet cette bou e tant consid r e comme un engin de sauvetage comme le parachute des aviateurs elle a t commercialis e avec le slogan publicitaire suivant Bou e Fenzy le parachute du plongeur A partir de ce moment la Bou e DA 61 va devenir la P A tout court Avec le temps elle deviendra donc pour la majorit des plongeurs et beaucoup de moniteurs la P A abr viation traduite de fa on erron e par Parachute ascensionnel engin de sauvetage du plongeur par excellence C Q F D Depuis ce temps les noms P A et FENZY sont pass s dans le langage courant
11. mot qui d ailleurs ne se trouve pas dans le dictionnaire car provenant d une d formation de l anglais inflator Les premiers gilets voient le jour aux Etats Unis d Am rique dans les ann es 75 Nous n entrerons pas dans les d tails de leur conception ni de leur volution l amp bas Il existe pour ce faire de la documentation sp cialis e Mais qu est ce qu un gilet Il s agit tout simplement d un mat riel qui r pond la d finition du S G S que nous avons donn e dans notre introduction Il comporte galement tous les l ments que nous avons cit s dans la composition de la Fenzy savoir une enveloppe simple ou double un sanglage un deux ou trois syst mes de gonflage une deux ou trois purges une soupape de s curit En fait c est surtout une norme innovation qui va bousculer beaucoup d habitudes Il s agit donc comme le nom l indique d un mat riel qui s enfile comme un gilet et qui supporte la bouteille Les sangles servent fermer le gilet et fixer la bouteille pour les autres l ments l utilisation est identique Mais en France que ce passe t il Le gilet tel qu il a t con u par les soci t s am ricaines SEA QUEST et SCUBAPRO reste du domaine du confidentiel En 1978 la soci t Airdif pr sente le premier gilet de type A DV Advanced Design Vest en fran ais gilet de conception avanc e C est dire notre ajustable actuelle Plus tard un premier gilet appara t au s
12. passer autour de la robinetterie de la bouteille avant de serrer la sangle de fixation Elle sert donc de s curit mais si elle est r glable elle permet aussi de positionner le gilet quasiment toujours la m me hauteur sur la bouteille ce qui est int ressant pour l quilibre du plongeur dans l eau centre de gravit et facultativement permet d viter des Jean claude Jonac Page 14 D e la bou e la stab lombalgies Elle peut aussi servir de poign e de portage du gilet sans bouteille mais galement pour l accrocher un porte manteau de s chage ou de rangement 2 142 SANGLAGES SUR LE PLONGEUR C est aussi un point important du gilet pour la s curit et le confort il comporte diff rents l ments que nous allons voir 2 1 4 2 1 Bretelles de portage d harnais Que les gilets soient enveloppants ou r glables pour la plupart d entre eux c est l enveloppe m me qui constitue les bretelles de portage Cet tat de chose pr sente plusieurs inconv nients hors de l eau pendant le transport sur le dos la structure souffre beaucoup dans l eau les variations de volume agissent directement sur le maintien de la bouteille et sur la cage thoracique du plongeur donc sur son confort et sur sa s curit essoufflement de plus la flottabilit du gilet est d pendante de la taille de ce dernier Pour ce qui est des gilets r glables peu d am liorations me semblent possibles sauf pour certains dont les points d a
13. qu il stoppe d s le d but de l ascension Gilet du sauveteur le sauveteur glisse une main sous le bras de l assist et saisit le robinet de la bouteille de ce dernier de l autre main il actionne le mode de remplissage de son propre gilet Sauvetage L accident peut avoir l ch son embout il est primordial de le lui replacer et de le maintenir afin de permettre la possibilit respiratoire REMARQUE il est important dapporter un soin tout particulier au maintien ventuel de cet embout Premi re proposition le sauveteur se place face l accident d une main il replace et maintien directement l embout en bouche de l autre il actionne le mode de remplissage du gilet de l accident qu il referme d s le d but de l ascension Position de remont e restant face l accident il l enserre de ses genoux la hauteur des hanches position du sauveteur assise et de l assist debout Deuxi me proposition le sauveteur se place de trois quarts par rapport l assist sa main glisse sous le gilet de l accident et maintient l embout en bouche ventuellement REMARQUE Ces deux propositions restent valables dans les deux cas d utilisation du gilet de l assist ou du sauveteur Rappel aussit t que le plongeur per oit l incident il doit tirer sa r serve d s que l embout a t remis dans la bouche de l accident si besoin est tirer la r serve de ce dernier Jean claude Jonac Page 64 D e la bou e la
14. que le plongeur peut d placer lui m me D eux tuyaux relient le r servoir au casque l un am ne l air comprim par un soufflet qui fonctionne gr ce un ressort remont dont la d tente doit durer peu pr s une heure L autre tuyau permet le rejet de l air dans le r servoir Il nomme son engin machine Hydrostatergatique et il l essaie Paris dans 5 m d eau dans la Seine Jean claude Jonac Page 6 D e la bou e la stab g Il poursuit ses travaux au Havre et modifie la machine en 1776 en fixant le r servoir sur le dos du plongeur avec le m me principe du ressort et en plus un tuyau reliant le r servoir la surface permettant l aspiration de l air non vici sans discontinuer Les travaux de l auteur sont consign s dans un trait sur la machine hydrostatergatique document dans lequel apparaissent des gravures dont une a attir e l attention de Patrice BO URD ELET par sa l gende dans laquelle nous finissons par lire Ce r servoir les soutient et les aide nager De l penser qu il s agit d une allusion un syst me d quilibrage hydrostatique facilitant l volution des plongeurs il n y a qu un pas que l auteur de vingt mille bou es sous les mers a franchi all grement Par la suite en d cembre 1828 un chirurgien dentiste M LEMAIRE D AUGERVILLE r sidant Paris d pose un brevet d invention et de perfectionnement concernant une machine d nomm e appareil pneumaton
15. quilibrage et la remont e avec la bou e qui seront enseign s la le on 2 le on 2 deux l ves maximum avec un moniteur d Etat 30 minutes d explications pr ala bles 40 minutes dans l eau devant le ponton 10 minutes de d briefing d but 10 m tres et si tout va bien fin de la le on 20 m tres Programme saut droit sans la bouteille pal mage la surface au tuba saut droit avec la bouteille purge de la bou e et descente 3 m en descente lente le long du fond 10 m o l l ve se tient un mur au dessus d un fond de 12 m environ devant le mur sans se tenir ct en maintenant la profondeur de 10m par le palmage retirer l embout compter 10 secon des expirer reprendre l embout le purger et inspirer retirer l embout et le lancer derri re soi Compter 10 secondes se pencher en avant t te en bas reprendre l em bout souffler et inspirer retirer ke masque le remettre et le vider remom e sans embout de 10 m tres 3 m tres remont e sans embout de 10 m tres la surface parcours de 100 m tres la surface avec le tuba passage tuba embout et descente en phoque 10 m tres puis en suivant le fond 15 m tres signe je n ai plus d air etremon Ve en respirant altermativement sur l embout du moniteur descente 15 m tres en pleine eau t te en bas en suivant le moniteur remont e en donnant de
16. Difficult pour doser la vitesse de remont e qui sera ou trop lente ou trop rapide amenant un arr trop t t ou impossible Risque d accident de d compression D e la bou e la stab Annexe 9 ASSISTANCE D UN PLONGEUR QUIPE A L AIDE DU GILET DE S CURIT A DEFINITION Cet exercice consiste porter secours un plongeur en difficult le remonter en surface l aide du gilet de s curit vitesse contr l e en fonction des circonstances C est une des preuves des brevets de plongeur Niveau 2 3 et 4 B ORGANISATION MATERIELLE _ Baiser une zone d activit Installer un pendeur suffisamment lest muni d une bou e C PR VENTION DESINCIDENTSET ACCIDENTS POSSIBLES Pr voir sur la zone d exercice une surveillance efficace Programmer cet exercice en d but de plong e et jamais en fin S assurer que les l ves ma trisent l utilisation du gilet de s curit D AVANT L IMMERSION D PEDAGOGIE PRATIQUE e D finir l exercice et en expliquer les motivations e Expliquer et d montrer sec l approche la prise les tenues en fonction de la morphologie des participants ainsi que du mat riel 2 TECHNIQUE D eux situations possibles gilet de l assist ou du gilet du sauveteur Gilet de l assist le sauveteur se place face l assist d une main il saisit l arrondi en bas de la collerette du gilet de ce dernier sous le menton l autre main man uvrant le mode de remplissage
17. G n ralement il en existe une seule par gilet sauf Wings avec deux vessies Il s agit d une valve mise en oeuvre l aide d un bouton situ sur le combin Direct system Embout buccal l extr mit du tuyau annel Donc en appuyant sur ce bouton et en levant l embout le plus haut possible nous arrivons bien vider le gilet Toutefois en levant plus ou moins haut le bras il est possible d ajuster plus finement sa flottabilit mais cela n cessite un entra nement certain Je pense que cette purge est dite lente car c est sa mise en uvre qui est lente mais son d bit n est pas toujours inf rieur une purge dite rapide En revanche elle permet de beaucoup mieux vider le gilet de l air r siduel notion de remont e bulle constante 2 1 6 1 2 Purgerapide C est une commande manuelle d une soupape de s ret qui est dispos e sur la partie haute du gilet droite ou a gauche Elle est situ e dans certain cas la m me hauteur que l orifice de fixation du tuyau annel avec le m me filetage ce qui permet au plongeur de placer indiff remment la purge lente avec le combin droite ou gauche et inversement pour la purge rapide La commande se fait l aide d un cordon muni d une petite poign e pouvant avoir diverses formes mais se rapprochant la plupart du temps d une sph re Il s agit donc d une purge de mise en uvre rapide Il faut par contre faire attention au dosage dans l usage de cette purge p
18. carbonique serait il donc seulement mortellement toxique pour les plongeurs professionnels et pas pour les plongeurs sportifs A quoi je ne peux m emp cher de r pondre Le gaz carbonique serait il donc seulement mortellement toxique pour les plongeurs sportifs fran ais et pas pour leurs homologues am ricains canadiens australiens anglais n o z landais japonais etc Trop de plongeurs fran ais moniteurs compris ignorent tout du mat riel tranger et en sont encore consid rer le mat riel de l hexagone comme le seul valable parfois m me comme le seul existant Il faudrait que tout ce petit monde se r veille et s informe la bou e au C02 repr sente environ 75 du march mondial de la bou e de s curit Il y a donc actuellement plus de plongeurs utilisant ce type de bou es que de plongeurs utilisant la bou e bouteille d air et les statistiques d accidents ne permettent pas d affirmer qu un mod le est plus dangereux que Annexe 1 Si le nombre ne fait pas loi il permet quand m me de s interroger Une organisation qui se veut repr sentative donc s rieuse devrait r fl chir un tant soit peu avant de classer d finitivement les La plong e est un vaste domaine se d veloppant sans cesse et il est vident que les 3 4 des plongeurs du globe dans la cat gorie des candidats au suicide Ce serait faire preuve ann es passant un moniteur ne peut plus ma triser compl tement tous les domaines Il y aura
19. comme une r gle d finie et accept e unanimement par le SN MP alors qu ils ne sont que le reflet de la pens e d un seul de ses membres Jean claude Jonac Page 50 Je forme bien entendu des v ux pour que Cette situation s am liore l avenir et surtout je ne voudrais en aucun cas que cette mise au point d courage ceux qui ont quelque chose dire Prenez votre plume et couchez sur le panier ce que vous avez dans la t te Ne nous laissez pas croire qu elle est vide crivez crivez il en restera toujours quelque chose Amiti s De la bou e la stab Annexe 4 J UTILISE LA BOUEE DES LE BAPTEME par Philippe MOLLE Apr s avoir ouvert mon centre de plong e MOOREA en Polyn sie Fran aise le 15 f vrier 1986 j ai modifi de fa on importante ma m thode de formation afin de m adapter au site Ici les plong es peu profondes de 3 10 m et en eau calme donc dans le lagon pr sentent peu d int r t En revanche je dispose d une quinzaine de lieux diff rents o la zone des 20 25 m tres est riche de poissons de toutes sortes et de toutes tailles la client le Elle est en effet compos e 90 de touristes pour la plupart Am ricains qui ne restent que 4 5 jours MOOREA Il m a donc fallu b tir un nouveau programme de formation qui permette un d butant de faire pendant son bref s jour au moins une ou deux belles plong es tout en assurant pleinement sa s cu
20. concernant la pratique ou l enseignement de la plong e LE S N M P N EXERCE AUCUNE CENSURE Les articles reproduits dans cette tribune libre sont publi s sous la seule responsabilit de leurs auteurs et n engagent en rien celle du SN MP 00000000000 Patrice BOURDELET Les Godins de St Sulpice 60430 NOAILLES Philippe MOLLE Pr sident du SN MP 6 rue de 1 lsly 75008 Paris St Sulpice le 10 Novembre 1983 Cher Pr sident Tu as re u il y a quelque temps mon m moire sur la bou e de s curit pour plongeur autonome Je doute que tu aies d j eu le temps de le lire Moi j ai re u et lu le num ro 67 du bulletin dans lequel tu demandes au nom du Syndicat l interdiction pure et simple des bou es cartouche C02 Je suis vraiment d sol de voir le syndicat se lancer de cette fa on dans ce genre de croisade Je croyais le Syndicat compos de gens sens s comp tents et honn tes c est pourquoi vous avez mon adh sion mais je me demande en cette occasion si je ne me suis pas tromp Je pense qu en l occurrene toutes les vraies questions n ont pas t pos es et que la d cision a t prise trop rapidement et surtout sans consultation aupr s de gens comp tents en la mati re Toi qui te plains longueur de bulletin que certaines d cisions sont prises sans consultation de toutes les parties int ress es tu devrais me comprendre Te basant sur le d cret du 11 Juillet 1974 article 25 tu conclus le gaz
21. de sa l thargie En effet selon ses propres termes il imagine et bricole une collerette de s curit sous marine Mais il ajoute une fonction en effet dans sa premi re description il pr cise Si au cours de la remont e bou e collerette gonfl e le besoin de respirer se faisait imp rieux on pouvait respirer l air s chappant de la bou e SIC Y Jean claude Jonac Page 7 D e la bou e la stab g Cette bou e DUMAS dont je ne ferais pas la description voir photo a t donn e comme appareil de sauvetage pour les quipages de sous marins fran ais A partir de ce moment le d veloppement de la plong e sportive va permettre d acc l rer l volution de la collerette de s curit Ainsi fin 1958 va appara tre la bou e AFRAZUR La soci t A razur travaillait pour l aviation militaire et produisait des embarcations pneumatiques Elle a donc d cid e de s int resser la fabrication de bou es de s curit pour plongeurs autonomes en s inspirant pour ce faire de la forme des gilets de sauvetage destin s aux pilotes de l a ronavale fran aise Si la bou e P A 59 AERAZUR a encore beaucoup de d fauts elle n en est pas moins utilis e par des grands noms de la plong e alors moniteurs dans les centres de vacances du Club M diterran e et repr sente une tape importante dans l volution de la plong e Un petit d tail bou e P A 59 signifie en langage militaire bou
22. du vieux plongeur en effet beaucoup de nouveaux plongeurs ne connaissent que la Stab bw fe d d D ei fm H o L Ze Le Wescher se ten vu p de io boss Photo copyright 20 000 bou es sous les mers La bou e Fenzy P A 61 Jean claude Jonac Page 9 D e la bou e la stab La FENZY quelque soit son mod le est compos e des l ments suivants e une enveloppe simple ou double e un sanglage e un deux ou trois syst mes de gonflage e une deux ou trois purges e une soupape de s curit au moins et si nous observons bien nous constatons que tous les gilets actuels poss dent ces m mes l ments de base d clin s de fa ons diff rentes en fonction des volutions technologiques et des choix des constructeurs 2 EVOLUTION DU MATERIEL DANS LES VINGT DERNIERESANNEES Plongeur depuis 1976 j ai pu constater l volution du mat riel en g n ral et plus particuli rement du S G S comme nous devons l appeler maintenant En travaillant sur ce m moire et sans pour autant tre au fait de toutes les nouveaut s je me suis rendu compte que le monde de la plong e tait au moins aussi vaste que la surface occup e par les oc ans sur notre plan te bleue Je me cantonnerai donc notre Hexagone sans pour autant avoir la pr tention d tre exhaustif Pensez donc qu un m moire complet a t fait sur une seule des composantes du gilet savoir l inflateur
23. e Plongeur Autonome mod le 59 de l ann e 1959 Ce petit d tail a une importance anecdotique pour la suite de l volution de la d nomination de nos bou es D ans ces ann es des plongeurs inventifs vont avoir des id es pour perfectionner et faire voluer ce produit industriel que va devenir la bou e Nous n allons pas les d crire simplement en citer quelques unes e La combinaison bou e de Rom o et Antoine LAFRATTE qui imagine une enveloppe gonflable solidaire de la combinaison 1959 aucune trace de commercialisation e Le syst me de gonflage automatique de Pierre DURAND syst me de s curit complexe s il en est qui peut tre un peu dans l id e de pr curseur de notre direct syst me 1959 be 7 Ee 2 HA Jh N THE A eg d nl we Di L Lt Ferien bar ES ge als ep eg E M d sn L 3 J E e f D L Photo copyright 20 000 bou es sous les mers Jean claude Jonac Page 8 D e la bou e la stab e La bou e FRANCOIS de Marcel FRANCOIS qui n a pas fait l objet d un d p t de brevet par son inventeur mais par une soci t industrielle pour le m me type d appareil l g rement am lior et cela en 1963 e Il y eu aussi le gilet PENEAUD le SIS Calypso E SIS Moniteur le v tement Barnier la ceinture d quilibrage d Yves NORMAND etc qui quasiment tous ont t peu connus du commun des plongeurs par opposition la FENZY Nous arrivons donc
24. es en annexe II du pr sent arr t Art 4 Un groupe de plongeurs qui effectue une plong e pr sentant les m mes caract ristiques de Jean claude Jonac Page 57 D e la bou e la stab g Annexe 7 dur e de profondeur et de trajet constitue une palanqu e Une quipe est une palanqu e r duite deux plongeurs Art 5 Le guide de palanqu e dirige la palanqu e Il est responsable du d roulement de la plong e et s assure que les caract ristiques de celle ci sont adapt es aux circonstances et aux comp tences des participants Art 6 Les plongeurs acc dent selon leur comp tence diff rents espaces d volution d finis selon la profondeur espace proche zone des 5 m tres espace m dian zone des 20 m tres espace lointain zone des 40 m tres Art 7 Les pratiquants ont leur disposition sur les lieux de plong e le mat riel de premier secours adapt aux risques de l activit un inhalateur et un insufflateur d oxyg ne avec une r serve de ce gaz En outre ils disposent d une source d air de secours quip e ainsi que d un jeu de tables de plong e pour les plong es se d roulant au del de l espace proche Art 8 Sauf dans les bassins dont la profondeur n exc de pas six m tres le guide de palanqu e est quip d un syst me de s curit gonflable au moyen d une r serve de gaz comprim lui permettant de regagner la surface et de s y maintenir ain
25. l air au moniteur nouvelle descente en pleine eau jusqu 15 m tres puis en suivant le fond jusqu 20 m tres quilibrage avec la bou e Le but est de tenir en quilibre sans bouger un m tre au dessus du fond promenade 20 m tres avec poids apparent nul gonflage de la bou e et remont e la vitesse des toutes petites bulles avec arr t 3 m tres palier statique 3 m tres en pleine cau au moins 3 minutes retour l chelle en suivant le moniteur et en maintenant la profondeur de 3 m tres d briefing le on de th orie d une heure portant sur la pr vention de tous les accidents et la discipline en plong e Nota Plus de 75 des l ves r ussis sent les le ons 1 et 2 en deux s ances Environ 15 ont besoin de 3 s ances et 10 de 4 s ances Le programme de ces deux le ons peut paraitre dense Il serait effectivement impossible tenir avec les groupes de 4 l ves et plus pratiqu s dans la plupart des coles de plong e Mais il ne pose aucun probl me avec deux l ves seule ment et fortiori avec un seul Si lorsque nous avons deux l ves l un r ussit faci lement et l autre prouve d importantes difficult s nous ramenons ce dernier l chelle terminons la le on avec le premier qui ne dure alors que 30 minutes ct reprenons ensuite le plus mauvais pendant 30 autres minutes Le on 3 deux l ves plus deux plongeurs d
26. le pr c dent 4 14 INSTRUCTION MINISTERIELLE DU 30 SEPTEMBRE 1987 Cette instruction mane du Secr tariat d tat aupr s du Premier Ministre charg de la jeunesse et des sports Direction des Sports Bureau des Affaires Communes Elle porte le num ro 87 163JS et elle a pour objet Instruction relative aux garanties de technique et de s curit pour l enseignement et l organisation des activit s subaquatiques sportives et de loisirs en plong e autonome l air Comme le pr cise la circulaire elle a pour but de fixer un certain nombre de recommandations en ce qui concerne la s curit de tous les pratiquants de la plong e sportive et de loisirs Notons ici en apart du sujet qu appara t pour la premi re fois la notion et la d finition du directeur de plong e et que le chef de palanqu e est remplac par le guide de palanqu e En ce qui concerne la bou e elle appara t toujours sous la d nomination bou e de s curit gonflable au moyen d un gaz comprim et elle est obligatoire pour les N2 N3 et N4 plongeant en autonomie dans le cadre de leurs pr rogatives Dans le titre deux de cette instruction minist rielle dont l extrait est retranscrit ci dessous nous remarquons que la bou e de s curit devient obligatoire en piscine ou en bassin exploit comme tel s ils d passent plus de cinq m tres de profondeur La r daction de ce paragraphe Jean claude Jonac Page 35 De la bou e la stab est dif
27. ma Clapet de i connaissance ce non retour syst me a disparu en France peut tre ailleurs aussi vraisemblablement pour des raisons mercantiles Le dernier gilet que j ai vu vendu neuf avec ce type de purge est le S B C Prestige de la Spirotechnique Selon la norme les gilets doivent avoir un syst me d vacuation de l eau qui a pu s y introduire Cela ce fait g n ralement par l utilisation de la purge basse qui doit tre situ e le plus bas possible sur le gilet 2 17 LES SOUPAPES DE SURETE La soupape de s ret est un dispositif de protection automatique contre toutes formes de surpression pouvant endommager l enveloppe et ou la vessie En surface elle agit en cas d une trop longue utilisation du Direct System En immersion elle prot ge des effets de la loi de Mariotte si jamais le plongeur ne s en est pas rendu compte Le plus souvent les soupapes de s ret sont des purges rapides La pr sence d au moins une soupape est indispensable et pr vue Jean claude Jonac Page 19 De la bou e la stab par la norme Il est noter que la soupape de s ret tenant lieu de purge basse devrait tre plus sensible que les autres ce qui faciliterait le drainage en immersion 2 1 8 LES COMBINES Ce que nous appelons combin s sont les bo tiers qui r unissent de fa on ergonomique diff rentes commandes comme le gonflage la bouche le gonflage au Direct Syst m purge lente et parfois ce
28. on tan dis que le premier palme c t de lui La phase bapt me proprement dit dure ainsi environ 5 6 minutes maximum Puis promenade de 10 minutes entre 3 et 5 m tres Cette promenade est l occasion e de montrer quelques poissons de corriger le palmage de faire prendre conscience des appuis dans l eau Commencent ensuite les exercices que le moniteur d montre avant de les faire ex cuter Ces exercices se font sur un fond de 5 m tres Chaque groupe de 3 ou 4 exercices est entrecoup d une courte promenade Chaque exercice nouveau n est abord qu apr s bonne ex cution du pr c dent l cher l embout compter 5 secondes reprendre l embout et souffler avant d inspirer l cher l embout compter 10 secondes expirer reprendre l embout et le faire fuser avant d inspirer le moniteur met un peu d eau dans le masque Vidage le moniteur met de l eau jusqu aux yeux Vidage le moniteur remplit doucement tout le masque Vidage e l l ve remplit son masque et le vide l l ve met son masque sur le front effectue plusieurs cycles respiratoires puis remet son masque et le vide l l ve retire compl tement son mas que le remet et le vide l l ve suit le moniteur en pleine eau en maintenant la profondeur de 5 m tres au dessus d un fond plus important s l l ve suit le moniteur en pleine eau met son masque sur le front continue de suivre le moniteur et au
29. plong e l ancre quand l aiguille indique 50 bars Nous enseignons l l ve pr venir un essoufflement et comment se com porter si malgr tout il en ressent un Mais nous ne lui enseignons pas assister un plongeur ayant un essouffle ment partant du principe que ce n est pas un plongeur de ce niveau inter venir mais au moniteur Nous n enseignons pas le canard car avec une bouteille le phoque est pr f rable tous points de vue notamment un meilleur quilibrage des oreilles Nous remettons nos l ves ayant suivi cette formation le hreveL CMAS 1 Jean claude Jonac ves du 1 chelon C est toujours comme si l on attendait qu un l ve sache d j bien nager pour lui mettre une ceinture en li ge Si quelqu un peut se passer d une bou e c est un tr s bon plongeur capable de s quilibrer au seul poumon ballast de remonter et de se maintenir la surface en palmant Plus le plongeur est d bu tant plus il a besoin d une bouge A condition bien s r qu elle soit munie d un direct sys tem et non d une petite bouteille qui la gonfle trop vite rendant donc l interven tion du moniteur impossible ou difficile en cas de gonflage intempestif que l l ve apprenne tr s t t s en servir Et il n est pas n c ssaire de sortir de Polytechnique pour cela D s le bapt me la bou e permet l l ve d avoir plus confiance Il comprend qu en cas de probl me il est
30. s r de flotter t te hors de l eau au moniteur de beaucoup mieux contr ler la des cente en utilisant la bou e de l l ve qui DAuLAVOIN ED nermanence une flottahilit Page 53 mon centre avec des bou es tradition nelles autour du cou mais avec direct system et non avec des stabilizing jacket pourtant tr s la mode partout dans le monde pour les raisons suivan tes la bou e est moins ch re clle s abime moins vite Depuis 2 ans d utilisation quotidienne mes bou es Scubapro simple enveloppe sont encore comme neuves Alors qu en Septembre 1985 apr s 4 mois d utilisation 40 des stabilizing jac ket Scubapro simple enveloppe du club Med de Moor a taient hors d usage clle prend moins de place sur le bateau et dans le local port e gonfl e d s l embarque ment ct jusqu au retour au quai par chaque plongeur elle est une s curit suppl mentaire en cas de naufrage ou de chute En revanche je reconnais que le stabi lizing jacket est plus confortable Je profite de cette occasion pour vous recommander les hon es ou les stahn De la bou e la stab Annexe 4 TU SAISCE QU ILTE DIT MON PETIT VOLUME ou Une petite travailleuse vaut mieux qu une grosse fain ante Pris depuis plusieurs mois entre les feux des tenants du tout poumorrballast genre la bou e c est pour les plongeurs assist s et ceux du tout gros volume genre faut bien pour souleve
31. scaphandre en surface Perte de la verticalit 24 12 86 Jean claude Jonac Page 67 De la bou e la stab g BIBLIOGRAPHIE Guy POULET Robert BARIN COU DENOEL La plong Ed 1977 Philippe MOLLE BEES 3 degr E ns gner d organiser la plong e AMPHORA septembre 1985 Commission Technique N ationale F F E S S M L easaignement de la plong d cembre 1986 Patrice BOURDELET BEES 2 degr V ing mille bou s sous les mes LIBRAIRIE DES PLONGEURS Ed 1989 Commission Technique Nationale F F E S S M Les dossi s de CTN INFO 1994 d p t l gal avril 95 LE BELUGA A S Bourg la Reine L initiateur de plong Ed G AP 2 me dition Janvier 2000 Commission Technique Nationale F F E S S M Le Manue de Moniteur mise jour Janvier 2003 Plusieurs auteurs sous la direction de Jean Pierre MALAMAS E ncydop die de la plong Ed VIGOT 1993 Dominique PAPILLON Le Stabilizingjacket au bapt me d son ensimement au nivau 2 m moire d instructeur national du 26 septembre 1991 SITESINTERNET CONSUITES SCUBA TEKTAHITI http wan chez com scubatek SCUBAPRO France http www scubapro uwatec com fr prods bcd bcd_idx htm Jean claude Jonac Page 68 D e la bou e la stab REMERCIEMENTS Cette page est d di e comme son nom l indique aux remerciements mais qui remercier D abord ceux qui je dois d avoir me trouver devant cette feuille blanche e Guy ZONBERG pour m avo
32. 4 L6 ARRETE DU 22JUIN T0 nation 37 4 2 LES NORMES EUROPEENNE ET FRANCAISE sessesesseseeseseeseseesessereeseseoseseesessee 38 LSLES TEXTES FEDERAUXR msn anse mnt 39 43 1 L ENSEIGNEMENT DE LA PLONGEE C T N 1986 39 4 3 2 LES CONTENUS DE FORMATIONS C T N T janvier 1999 40 SYNTHESE rate tunis adenninenaianaranniancitetifse 43 RR 44 Jean claude Jonac Page 3 D e la bou e la stab PREAMBULE L ors de l tablissement de mon dossier de candidature j ai remis un Curriculum Vitae Je ne vais donc pas le reprendre ici mais lors de mes stages certains d entre vous m ont demand de leur donner mes motivations et de me pr senter Donc avant que vous commenciez lire ce m moire je vais le faire succinctement Enfant et adolescent j tais dans l eau chaque fois que possible j ai un peu pratiqu la natation puis habitant Marseille j ai aim la mer En r gion parisienne comme chacun le sait il n y a pas la mer Un concours de circonstances m a fait rencontrer un plongeur j ai fait un bapt me piscine la passion est venue petit petit J ai voulu la faire partager et j ai d couvert l enseignement Avec le temps je me suis rendu compte que j avais b n fici d un syst me fiable compos de passionn s la F FE S S M J ai d but la plong e scaphandre en mil neuf cent soixante seize dans un club d Ile de France du C D Seine et Marne TU SM Plong e Union Sportive Melunaise J ai pass mon brevet
33. E GRAND aurait exp riment e l gende ou r alit Pendant plus de mille ans la plong e restera le fait d apn istes m rites Il faut attendre 1538 une exp rience effectu e en pr sence de Charles QUINT dans les flots du Tage Tol de pour que l on parle de nouveau de la cloche plongeur Cloche plongeur am lior e aux alentours de 1700 par Edmund HALLEY l homme des com tes qui a pens alimenter la cloche en air respirable l aide de petits tonneaux pleins d air comprim et munis de robinets Mais pour l instant toujours pas de plongeur autonome En 1715 un anglais John LETHBRIDGE invente un tonneau de deux m tres de long dans lequel un homme couch ayant simplement les bras dans l eau peut travailler vingt m tres de fond environ Lest de deux cent cinquante kilos suspendu un c ble l engin est remont toutes les demi heures pour renouveler l air Pourtant en 1775 appara t pour la premi re fois le mot scaphandre et ce dans un trait crit par l abb de La CHAPELLE Ce mot est form de deux radicaux grecs et signifie tymologiquement bateau homme ou homme bateau Ce scaphandre ne permet pas de descendre sous l eau il s agit en fait du premier gilet de sauvetage Dans le m me temps un autre fran ais bourgeois de Paris Monsieur FREMINET invente un appareil original compos d un habit de cuir suiff et rigidifi d un casque avec un hublot et d un r servoir d air comprim
34. LESSOUPAPES DE SUTER Eeer 19 2 1 8 LES COMBIN ES sssssissssesssssssssvivsssisissesvesssssosossssvesssoivossse tsssvovessossssserssioses sesi sisse 20 2 LILES ET iidiananonmnnmnannanoaaintitniGnon 21 AaLESDIPFERENCES eene 22 2 2 1L ENVELOPPE ET LA MEET 22 2 2 2 LE BAGKPAC ET 22 223 RRE EE 22 2 2 4 LES SYSTEMES DE GONELAGE sesesesssssssssssesesosososossssssssssssesesesesesesesesosesesesese 22 229 LES PURGES ssoimanasenianiienmdnneandannnenatnannndune 23 2 2 0 LESSOUPAPES ECH NN E 23 2 27 LES COMBINES nan abaodiaanianiate 23 2280 ACCESSOIRE minimes 23 3 EVOLUTION DEST KI Regeerung 25 3 1UTILISATION DU SGS PAR LES PREMIERS ECHELON ss 25 3 2 UTILISATION DU DIRECT SYSTEM essssssssssssssessssssssssssssssssesesesesesesesesesosesosese 28 3 3 LE BAPTEME AVEC TLESGS nn Eed 30 3 4 L UTILISATION DU SGS AU NIVEAU UN esssssssssssssssssssssssssesesesesesesesesesososesesososes 31 3 9 SYNTHESE DE CETTE EVOLUTION nn neue reines 31 Jean claude Jonac Page 2 D e la bou e la stab GENOLHEION DANS LESTEXTES esesesseseesesseseeseseoseneesessoreoseseoseoeeseseneoseseoseneeseosereosese 32 HEES TEXTESREGEEMENTAIRE egener 32 4 L1ARRETE DU SO JUIN 1972 essessssessesesseseeseseoseseeseserceseseonereseoseveoseseoseneeseosereesese 32 4 1 2 ARRETE DU 5JUIN Eege EU 32 4 L3 ARRETE DU 26 EN E 34 4 1 4 INSTRUCTION MINISTERIELLE DU 30 SEPTEMBRE 1987 35 LIS ARRETE DU 20 SEPTEMBRE 199L eesesessessesesseseesessoreneeseosercoseseosereeseoseseesese 37
35. P aP J instuctorat national de plong e sous marine Let HENDAYE ne Copyng t G Poulet amp R B rincou Jean claude Jonac Page 1 De la bou e la stab SOMMAIRE HISTORIQUE anonaiennanemmahonmnnaninemennintonnaninnereate 6 2EVOLUTION DU MATERIEL DANS LES VIN GT DERNIERES ANNEES 10 2 1LE SYSTEME GONFLABLE DE STABILISATION SGS ms 11 NR a ENER sn nie tre unnntanmnnttaoniannenlnue 1 2L LA VESSIE sisessessorissoeriisinrsiiinsisiasoriiesresiirs iinr siiis sesa 2 2 L3 LE BACK PACK tegen 2 2 1 4 RE EE siss 83 2 1 4 1 FIXATION DE LA HEEL Eeer ege eege 13 ZA LT e 13 E RETENU le 14 E RE Ee ss nn en he tn en Eee eee ni een 14 2 1 4 1 4 Sangle de s ret et de positionnement ssseessssesessssessereresrersersrrseresreseeee 14 2 1 4 2 SANGLAGES SUR LE PLONGEUR en ne 15 2 1 4 2 1 Bretelles de portage et harnais stisininssnsiennte 15 2 1 4 2 2 La c int re bdomin le sisisi ssia i ngianati 15 214 2 3 L Eet 16 2 14 24 La sangle de poitrine 22e ins ne donnerais 16 2 1 4 2 5 Les boucles de connexion rapide 16 2 15 LES SYSTEMES DE GONFLAGE eege emer Eege 16 2 1 5 1 GONFLAGE BUCCA Lynnin nasie E AA RA 16 2 1 5 2 GONFLAGE D URGENCE i unanime 17 21 53 DIRECT SY STEM EE 17 ZCO LESPURGES E 18 2 1 6 PURGES HAUTES mancen onnessani ea aaa aA e aR aaa 18 2 16 11 P rg lente innii iian nes nor ester ae nt 18 20 1 2 P rge rapide ee deeg dee E a E E a 18 2 1 6 2 PURGES BASSES autant disait 19 2 L7
36. RES ALIARRETE DU 30 JUIN 1972 Il s agit l du premier texte r glementaire dont j ai pu avoir connaissance Il mane de la Direction de l Education Physique et des Sports Sous direction des Activit s Sportives Il est relatif aux garanties de technique et de s curit dans les clubs les centres et les coles de plong e subaquatique Il stipule dans son article 2 exactement les m mes obligations pour le port de la bou e de s curit que l arr t qui suivra 10 ans plus tard en 1982 Mais Guy POULET alors pr sident de la Commission Technique Nationale pr cise dans un courrier transmis aux Pr sidents de Clubs dat de d cembre 1977 dans un paragraphe IT je cite l arr t du 30 juin 1972 rdatif aux garanties de technique et de s curit dans les dubs les ntres et les coles de plong e subaquatique est plac sous le r gime de la loi N 63 807 du 6 ao t 1963 r glementant la profession d ducatur physique d les coles ou ablissment o deep tte profession Cet arr t s impose donc ex dusivement aux_ tablissaments but lucratif ayant pour objet l esaignement de la plong e subaquatique Nous commenterons donc l arr t suivant qui s appliquera tous les clubs et qui reprend exactement les m mes termes pour d finir notre SGS 4 1 2 ARRETE DU 5 JUIN 1982 Ce texte est un arr t du Minist re du Temps Libre Jeunesse et Sport en date du 5 juin 1982 paru au journal officiel de la R publique Fran aise
37. a remont e il faut vider ses poumons pour augmenter son poids apparent et offrir le plus de r sistance possible l eau Il est imp ratif de pouvoir s arr ter et se stabiliser la profondeur d sir e A pr s un ou plusieurs exercices de gilet qui il faut le rappeler ne doivent jamais tre faits en fin o imm diatement apr s une plong e il faut appliquer la r gle des demi profondeurs et se conformer une vitesse de remont e normale Apr s ces explications le moniteur impose une convention de langage pour l exercice Expose l organisation du groupe et sa Jean claude Jonac Page 61 De la bou e la stab Annexe 8 discipline de man uvre V rifie l organisation de la surveillance en surface et le respect des consignes de s curit 2 EN IMMERSION S tant bien assur que tous les l ves ont d j fait des remont es sur expiration depuis la profondeur d exercice et qu ils ont fait preuve d une aisance parfaite dans leur r alisation le moniteur fait ex cuter la progression suivante D ans l eau en surface le gonflage du gilet et vidange Descendre les l ves et les stabiliser group s 10 m tres Le moniteur descend 20 m tres et d montre l exercice D monstration Le moniteur commence par ex cuter une d monstration lente qui permettra l l ve de percevoir les temps forts de cette technique qui consiste gilet rempli laisser la purge tendue l horizontale en position ouverte laissa
38. alon Nautique de Paris Jean claude Jonac Page 10 De la bou e la stab en 1980 mais pour une raison d alimentation par cartouche de CO2 ce gilet sera un chec commercial cf annexel revue SNMP N 68 de janvier 84 En fait apr s bien des tergiversations dans les ann es 84 85 les premiers gilets apparaissent sur le march fran ais D onc vingt ans apr s c est dire maintenant l volution a fait son uvre et c est notre bonne Fenzy qui redevient un objet de curiosit mais plus pour les m mes raisons Au d but seuls les Am chelon minimum la portaient fi rement adul s qu ils taient par tous les plongeurs d butants A l heure actuelle celui qui porte une bou e collerette est regard comme une b te curieuse beaucoup de plongeurs n en ayant jamais vu Il semblerait que la Marine Nationale utilise encore un d riv de la bou e collerette l O c ane produite au d part par la marque CAVALERO et reprise par BEUCHAT ensuite Certaines unit s de sapeurs pompiers utilisent encore la bou e collerette Durant cette vingtaine d ann es nous sommes pass s doucement de la bou e au gilet Mais ce fameux gilet Qui est il Comment a t il volu D s le d but le gilet est distribu en France sous deux formes simultan ment Enveloppante ou Ajustable A D V et chacun choisi celui qui lui convient Par la suite l ensemble gilet accessoires change rapidement Je ne parle pas d vo
39. an merre Pendaur owu AATE de LUS MELUN Cervi Ee que NORME DE a AHA AUS EC bt L epuue ol Aaen Ae PA leary 17 Voil ma connaissance la premi re d mocratisation du SG S un premier chelon avec le droit d utiliser une bou e de s curit comme elle tait appel e cette poque En effet ce mat riel tait essentiellement d volu la s curit du plongeur toutefois certains commencent penser au confort il est agr able de ne pas tre toujours tre coll au fond et de pouvoir remonter au prix d un effort moindre Mais nous allons voir que la vulgarisation de ce mat riel ne va pas aller sans entra ner certaines pol miques L utilisation de la bou e par les premiers chelons d tre une des Jean claude Jonac Page 25 D e la bou e la stab premi res mais je n en ai pas entendu parler j tais trop jeune plongeur et je n ai trouv a ce jour aucun crit ce sujet Cependant un terme a t mis celle ci en octobre 1982 par la publication du nouveau contenu du brevet de premier chelon qui pr voit un contr le continu Le futur premier chelon devait acqu rir six groupes d exercices dont le cinqui me tait l valuation de sa capacit g rer son SGS la bou e de s curit dans le texte seul d une part et la remont e d un camarade en difficult l aide du m me mat riel d autre part Nous allons en voir le contenu ci dessous tir d une publication de l poque
40. ant vous Jean claude Jonac Page 4 D e la bou e la stab INTRODUCTION Le choix de ce sujet m a sembl particuli rement int ressant car si l volution globale des mat riels au cours de ces vingt derni res ann es a t importante il me semble que celui qui a eu le plus d impact tant au niveau de l enseignement que de son utilisation est le Syst me Gonflable de Stabilisation Lors de la r daction du sujet j ai nomm l accessoire objet de ce m moire syst me gonflable de stabilisation s agit il d une d nomination satisfaisante En tout cas il s agit de celle que nous trouvons actuellement dans les contenus de formation f d raux Nous verrons par la suite que ce mat riel a port au fil du temps plusieurs patronymes plus ou moins bien adapt s Or pour pouvoir parler d une invention et de ses d veloppements il me semble n cessaire de la d finir correctement Apr s quelques recherches j ai trouv une d finition qui me parait satisfaisante car tr s compl te Il s agit de la d finition que donne Monsieur Patrice BO URD ELET dans son livre VINGT MILLE BOUEFES SOUS LES MERS Accessoire individuel dont le but est de modifier le poids apparent du plongeur par les variations de volume d une enveloppe souple provoqu e indiff remment par insufflations buccales ou lib ration d un gaz pr alablement comprim contenu dans un r servoir annexe J ai donc d couvert au travers de ce livre que notre fa
41. appel Certains plongeurs ach tent aussi des sifflets fonctionnant avec un tuyau moyenne pression ne pas placer entre le embout et l about du Direct System voir m moire de H Villalba Certains gilets sont aussi quip s de petites sangles lastiques parfois hauteur des paules pour recevoir une lampe clat utile en immersion mais surtout en surface pour le rep rage Jean claude Jonac Page 21 De la bou e la stab Voil donc en conclusion pour ce mat riel nous sommes pass s de la bou e collerette la stab sans nous en rendre compte Toutes les deux ont les m mes composants Seule change la forme et la fa on de la positionner sur le plongeur puisque l une supporte le bloc l autre pas Nous allons voir ces diff rences plus en d tail 2 2 LES DIFFERENCES 2 2 1 L ENVELOPPE ET LA VESSIE Nous pouvons regrouper ces deux l ments car ils sont d pendants l un de l autre si l enveloppe change de forme il en est de m me pour la vessie Cette demi re se rar fie En effet les mod les de stab dit double enveloppe sont de moins en moins courants sur le march ce niveau l seuls change la forme et le volume 2 2 2 LE BACK PACK Sur la bou e collerette le back pack n existe pas l exception de l O c ane difficilement classable dans l une ou l autre des cat gories sur laquelle il peut parfois tre adapt 2 2 3 LES SAN GLAGES Sur la bou e collere
42. aussi mis sur le march des gilets sans tuyau annel 5 avec commandes de gonflage et de purge sur le m me bo tier sans pour autant s avoir des purges pneumatiques Ze Le gonflage la bouche est assur par un tuyau en silicone de section beaucoup plus fine que le tuyau annel quip d un clapet anti retour Ce tuyau est g n ralement dissimul dans une poche ce qui rend cette derni re difficilement utilisable pour le plongeur De plus a mon avis le gonflage la bouche en immersion est tr s fortement d conseill pour raison de s curit Je ne sais pas dans quelle mesure le m me gonflage est r alisable en surface tellement le tuyau est fin et souple Jean claude Jonac Page 20 De la bou e la stab Certains combin s offrent aussi la possibilit d tre utilis s comme un deuxi me tage de d tendeur en secours utiliser pour soi compte tenu de la faible longueur du tuyau annel Il s agit de l Air II de Scubapro et de l Air Source d Aqualung En revanche la marque Sherwood a commercialis un vrai deuxi me tage avec sur le tuyau moyenne pression une d rivation comportant un embout fixer sur l about du bo tier de Direct System 2 19 LES ACCESSOIRES Je d nomme accessoires tous les l ments qui ont t ajout s au gilet avec l volution de la plong e Ils peuvent tre utiles mais pas obligatoirement indispensables au plongeur Ils se sont multipli s avec la vulgarisati
43. autique qui n est autre qu un nouveau scaphandre autonome Trois semaines plus tard il compl te ce brevet par l addition d un accessoire destin faciliter les volutions du plongeur D ans sa description d utilisation de cet accessoire mis part la date et le style il y a de grandes similitudes avec le mode d emploi d une bou e moderne variation du volume d air d une poche emport e par le plongeur l aide d un petit r servoir d air comprim Dix ans apr s en novembre 1838 le docteur en m decine Manuel Th odore GUILLAUMET obtient un brevet d invention de perfectionnement et d importation formule en vigueur l poque pour un appareil l aide duquel on peut vivre marcher et travailler sous l eau Le but de ce chapitre n tant pas de rentrer dans les d tails ni de plagier l auteur du livre de r f rence je vous renvoi la lecture de ce document En tous cas pour Patrice BOURDELET enthousiaste cette invention d crit la fois le gilet stabilisateur l inflateur et le back pack int gr le tout avec un si cle et demi d avance Photo copyright 20 000 bou es sous les mers Apr s ce coup d clat il semblerait donc que notre bou e soit oubli e et plonge durant 120 ans environ dans le monde du silence C est en 1950 qu un E A certain Fr d ric DUMAS agent contractuel du Groupe d Etudes et de Recherches Sous marines G E R S de la Marine Nationale sort cette invention
44. cations du d roulement de l exercice et choix de la prise Explications techniques ordre chronologique des entra nements V rification de la compr hension des explications et des gestes ex cuter Convention du langage pour le d roulement de J exercice Organisation du groupe et son ordre d ex cution Jean claude Jonac Page 66 D e la bou e la stab g Annexe 10 EN IMMERSION Au d part 3m V rification du lestage gilet vide Au fond 10 15m D monstration de la prise Remarque la prise effectu e sur un l ve est per ue par les autres mais difficilement par lui m me r p tition sur un l ve diff rent Points prendre en compte dans l ex cution dur e de l observation de l intervention contr le du geste contr le de la chronologie aspect de l encha nement aspect de l efficacit PROGRESSION Contr le de la remont e A une profondeur sup rieure 1 5m s quilibrer en pleine eau et ex cuter l exercice pr c dent EN FINALE Le moniteur fera ex cuter l exercice la profondeur maximale d finie les deux l ves sont quilibr s pour cette profondeur Les l ves auront acquis cet exercice lorsqu ils seront capables la demande de l ex cuter avec leur gilet ou celui du moniteur PR CAUTIONS Ne jamais larguer votre ceinture de lest ou celle de votre partenaire Cons quences Modification du lestage d o modification de la vitesse ascensionnelle Risque de d capeler le
45. contre r mun ration et la s curit des activit s physiques et sportives Vu l arr t du 17 juin 1986 relatif la composition et au r le de comit consultatif de l enseignement sportif de la plong e subaquatique Vu l arr t du 4 octobre 1989 relatif la d claration d activit et d ouverture pr vue aux articles 3 et 4 du d cret no 89 685 du 21 septembre 1989 relatif l enseignement contre r mun ration et la s curit des activit s physiques et sportives Arr tent Art ler Les tablissements mentionn s l article 47 de la loi du 16 juillet 1984 susvis e qui organisent la pratique ou dispensent l enseignement des activit s subaquatiques sportives et de loisir en plong e autonome l air pr sentent les garanties de technique et de s curit d finies par le pr sent arr t Art 2 Les niveaux techniques et de pr rogatives des plongeurs figurant l annexe I du pr sent arr t sont d finis par le ministre charg des sports apr s avis du comit consultatif de l enseignement de la plong e subaquatique Art 3 La pratique de la plong e est plac e sous la responsabilit d un directeur de plong e Celui ci fixe les caract ristiques de la plong e et organise l activit Il s assure que les garanties de s curit et de technicit d finies par le pr sent arr t sont respect es L encadrement des pratiquants est assur par du personnel titulaire des qualifications mentionn
46. e de deux poches par une Ceinture abdominale et une sangle d entrejambe elle comporte une soupape de sur pression et un tuyau avec embout pour le gonfisge buccal et le vidage rapide Elle est aliment e en air comprim par un inflateur branch sur le promior tage du d tendeur et connect l embout buccal gale ment command par un bouton poussoir distinct LE CONTROL PACK SCUBAPRO Si son quipement et son principe de fonctionnement infimeur sont les m mes que ceux de la bou e de compensation de la m me firme son emploi g n ral et surtout sa place diff rent de tous les autres mod les Cette bou e s installe en effet sur le back pack du bloc bouteille dont elle est solidaire Cette solution ongnale permet notamment un habillage facile en surface le bloc attendant le plongeur bou e gon N e De m me d capol le bloc bouteill constitue une sorte de radeau flottant Dans l habillage du plongeur le gilet de s curit implique qu il soit endoss saut videmment le type Control Pack avant les autres accessoires dont le langage est envisageable notamment la ceinture de lost sous laquelle les sangles du gilet devront ventuellement passer ll fout pr ciser aussi que du point de vue des man uvres et de la gymnastique d utilisation absence d une normalisation du mat nel fait que es tuyaux embout buccal des gilets comme les d tendeurs sont pr vus tomt t droite tant t A gauche C
47. e directeur des ports et de la navigation maritimes T LEHUEROU KERISEL Nota Les annexes du pr sent arr t seront publi es dans un prochain Bulletin officiel de la jeunesse et des sports qui sera disponible aupr s du CN DP B P 107 05 5224 PARIS CEDEX 05 au prix de 20 F le num ro Jean claude Jonac Page 60 De la bou e la stab Annexe 8 APPRENTISSAGE DE L UTILISATION DU GILET DE SECURITE PREAMBULE Cet exercice s adresse des plongeurs ayant acquis une technicit suffisante apr s le Brevet Niveau d A DEFINITION Cet exercice consiste remonter l aide du gilet de s curit une vitesse aussi proche que possible de la normale d une part et s quilibrer en immersion ou se maintenir en surface B ORGANISATION MATERIELLE Baliser une zone d activit Installer un pendeur suffisamment lest muni d une bou e S assurer que le gilet de chaque l ve est en bon tat que le syst me d insufflation fonctionne correctement et qu il contient une quantit d air suffisante pour remplir le gilet la profondeur laquelle va tre ex cut l exercice V rifier le fonctionnement des purges rapide ou lente contr ler le sanglage gilet gonfl sangles l g rement tendues S assurer du bon fonctionnement de la soupape de s curit et v rifier que le bouchon de vidange est bien ferm C PR VENTION DESINCIDENTS ET ACCIDENTS POSSIBLES Pr voir sur la surface de la zone de travail une sur
48. e est encombrant et lourd de ce fait pour faciliter le transport la plupart des fabricants disposent une poign e de portage escamotable ou non sur le back pack Il existe des mod les diff rents pour les blocs simples et pour les bi bouteilles Pour les hi il est souvent n cessaire d avoir des pi ces d adaptation changer le dosseret changer de sangle de fixation changer de fixation kit bi Scubapro compl tement Les plaques dorsales ont surtout t mises au point pour la plong e Tek de fa on rapprocher le centre de gravit quilibre r duire l encombrement et surtout mieux r partir les lourdes charges tant sur l enveloppe que sur le dos du plongeur Elles sont essentiellement en acier inox ou en alliage d aluminium 2 L4LES SANGLAGES Nous allons faire la distinction entre les sanglages de fixation de la bouteille et ceux de mise en place du gilet sur le plongeur 2 1 4 1 FIXATION DE LA BOUTEILLE C est un l ment essentiel du gilet Il existe de nombreux dispositifs mis au point par les fabricants La plupart du temps on trouve une sangle pour les mono bloc et une ou deux sangles pour les bi Certains mod les sans back pack destin s au voyage faible encombrement poss dent normalement toujours deux sangles pour un meilleur maintien de la bouteille s curit et confort 2 1 4 1 1 Tendeur simple Il s agit l de la fixation la plus courante le serrage de la sangle se fait gr ce
49. e qui peut amener dissociston r union Ou croisements qui sont d faut d une rationalisa ton dans l achat une saison suppl mentaire d oacqu nr une bonne ma trise gestuelle de son quipement Ea piwa de son r le dans le s curit le bou e est un l ment de confort indispensable au photographe lui assurent un gusk rage convenable chaque instant De la bou e la stab 3 EVOLUTION DE L USAGE A mes d buts en 1976 je ne voyais les SGS sous forme de bou es uniquement port es par des Jm chelon et plus moniteurs auxiliaires et moniteurs nationaux Tous les autres brevets l mentaires et premiers chelons n avaient droit qu leurs poumons pour se stabiliser J ai souvenir d avoir t en admiration devant ces supers plongeurs et je n tais pas le seul Pourtant nous aussi les brevets l mentaires nous allions 40 m mais ce moment l nous savions pourquoi nous devions avoir le moins de lest possible et nos moniteurs n avaient pas nous le d montrer en nous le faisant ressentir 3 1UTILISATION DU SGS PAR LES PREMIERS ECHELON En 1979 j ai pass le premier chelon et je n ai toujours pas eu le droit d utiliser la bou e collerette et pourtant je conduisais des palanqu es Il a fallu que j attende 1982 pour voir en derni re page de mon carnet passeport de plong e une petite mention m autorisant utiliser la P A d nomination courante de la bou e collerette Beurre SALOME Se
50. e s curit ART 15 Le responsable d une palanqu e doit obligatoirement tre quip des moyens de contr le de la profondeur et de la dur e de la plong e il doit tre en mesure de d terminer la dur e des paliers ventuels Le port d une bou e de s curit gonflable au moyen de gaz comprim est obligatoire L utilisation par le chef de palanqu e d un scaphandre quip d un double d tendeur est recommand Jean claude Jonac Page 34 De la bou e la stab Le port de la bou e de s curit n est pas obligatoire dans le cas d un enseignement en piscine classique ou en bassin naturel d limit ne d passant pas 6 m de fond et dont les points d appui pouvant soutenir des plongeurs en difficult en sont pas distants entre eux de plus de 20 m Dans cette arr t nous notons galement que le chef de palanqu e est d fini comme tant un plongeur de niveau 4 L article 15 rend le port de la bou e de s curit obligatoire pour ce dernier Mais changement important le texte ne pr cise plus air comprim mais gaz comprim ce qui permet maintenant aux bou es utilis es sur le territoire national de pouvoir tre dot es de syst mes de gonflage fonctionnant avec du CO 2 Ce texte beaucoup plus pr cis que le pr c dent est souvent consid r comme le premier texte encadrant la plong e sportive dans les tablissements sportifs dispensant l enseignement de la plong e subaquatique Par contre il n abroge pas
51. ement au Syndicat Francis IMBERT Pr sident de la C T N enseigne et fait enseigner l utilisation de la bou e de l accident et non de celle du sauveteur Je ne veux pas entamer une pol mique sur ce sujet mais seulement vous informer que j en ai d battu avec Francis IMBERT Nous sommes tomb s d accord pour demander aux moniteurs qui font passer cette preuve d examen de laisser le candidat libre de choisir la m thode qu il pr f re Le seul crit re de jugement devant tre l efficacit remonter vitesse contr l e un plongeur en difficult ou en syncope en se servant d une bou e P A Pour l instant tout au moins chaque moniteur est donc libre d enseigner la m thode qui lui semble la plus s re mais il ne peut l imposer lors d un examen Jean claude Jonac Page 56 De la bou e la stab H Annexe 7 J O n 258 du 5 novembre 1991 page texte n TEXTES GENERAUX MINISTERE DES DROITSDESFEMMES Arr t du 20 septembre 1991 relatif aux garanties de technique et de s curit dans les tablissements organisant la pratique et l enseignement des activit s subaquatiques sportives et de loisir en plong e autonome l air NOR MJSK9170124A Le ministre de la jeunesse et des sports et le secr taire d Etat la mer Vu la loi no 84 610 du 16 juillet 1984 relative l organisation et la promotion des activit s physiques et sportives Vu le d cret no 89 685 du 21 septembre 1989 relatif l enseignement
52. ent la bouteille d air comprim INCONVENIENTS Le principal inconv nient que l on puisse trouver ce syst me c est le pr l vement d air effectu sur la capacit de la bouteille Effectivement si la man uvre quilibrage au direct syst me purge se fait fr quemment au cours de la m me plong e celle ci peut influencer sur la dur e de la plong e de quelques minutes mais lorsque le plongeur ma trise parfaitement la man uvre ce n est plus perceptible COMMENT L ENSEIGNER A VOSELEVES Condition N 1 Le moniteur a une bou e quip e d un direct syst me Condition N 2 Le moniteur utilise le direct syst me et ma trise bien sa technique cf Guy POULET on ne peut enseigner que ce que l on ma trise parfaitement Condition N 3 L l ve ma trise parfaitement toutes les autres utilisations de la bou e purge rapide purge lente gonflage oral gonflage bouteille de 0 4 1 remont e rapide remont e contr l e etc Jean claude Jonac Page 47 De la bou e la stab Annexe 2 Condition N 4 L l ve quipe sa bou e d un direct syst me ou s en fait pr ter une quip e Le moniteur apr s s tre assur de l aisance de son l ve de son niveau de sa ma trise des autres utilisations de la bou e d montre en immersion 3 5 m suffisent l utilisation du direct syst me Il a pris la pr caution auparavant de s tre lest lourd inflation l g re au direct syst me g
53. era t elle chacun de ses moniteurs le choix de son enseignement ou donnera t elle une directive dans un sens ou dans l autre de fa on ce que ce ne soit pas les juges qui d cident sa place Il me semble que certains constructeurs ont d j fait leur choix en utilisant des combin s qui permettent la suppression de l embout buccal en le rempla ant par un tuyau fin et souple dissimul dans les poches du SGS Je n ai pas fait l essai mais il me semble en th orie que ce nouveau syst me ne permet pas le gonflage en immersion en raison de son diam tre qui me para t trop petit et aussi de sa grande souplesse qui permet la formation de nombreux coudes qui rendrons difficile voir impossible le gonflage la bouche en immersion mais qui sera uniquement utilisable en surface normes CE essais a sec Jean claude Jonac Page 29 D e la bou e la stab 3 3 LE BAPTEME AVEC LE SGS Apr s quelques recherches que je ne pense pas exhaustives j ai retrouv un crit fran ais concernant le bapt me l aide du SG S et publi dans la revue du GN M P ENSEIGNER SOUS LA MER de mai 1988 il s agit d un article crit par Ph MOLLE qui relate sa pratique des bapt mes la bou e dans les lagons polyn siens cf Annexe4 A partir de ce moment une nouvelle pol mique est lanc e et nous nous trouvons comme dans les domaines autres que la plong e une fois encore devant l terndle querdle des andens et des modernes
54. es celles de l initiation et de la premont e P A ont t prises PR VENTION DESINCIDENTSET ACCIDENTS POSSIBLES Pr voir en surface de zone de travail une surveillance efficace Ne jamais programmer cette le on en fin de plong e Dans le cas o l exercice n est pas suivi d une plong e appliquer la r gle de s curit pr vue pour les remont es rapides S assurer que les l ves contr lent parfaitement le gilet et l assistance qu ils ont d j volu la profondeur o se d roulera l exercice en final 20 30 40m P DAGOGIE PRATIQUE Pr sentation des diff rents types de mat riel et v rification ou explication de leur fonctionnement Description de la prise en fonction des cas suivants Un partenaire dispose du gilet Les deux partenaires disposent du gilet a Proc dure partir de son propre gilet b Proc dure partir du gilet de son l ve c Observation du ou des gilets en immersion cas du plongeur d j quilibr d Profondeur suffisante pour effectuer la prise 10 1 5m Apprentissage et contr le de la vitesse profondeur mat rialis e sur pendeur avec arr t de stabilisation 5m 3m mat rialis sur pendeur N B Le pendeur donne la notion de verticalit et les marques effectu es tous les 5 3m donnent une notion de vitesse rep res visuels Avant de plonger le moniteur fait v rifier le bon fonctionnement des moyens de remplissage et de la purge ou des purges Expli
55. f rente de celle de l arr t de 83 mais elle ne r duit que d un m tre la profondeur de la piscine ou du bassin E xtrait de l instruction 87 163 JS du 30 09 1987 du sex taire d tat aupr s du premier ministre charg de la jeunesse d des sports direction des sports 2 MAT RIEL ET MOYENS DE SECURITE Le pratiquants doivent avoir leur disposition sur les lieux de plong e une trousse et le mat rie de premiers secours adapt s aux risques del activit un inhalateur d un insufflateur d oxyg ne avec une r serve de gaz de quoi crire et en outre pour les plong es se d routant en dehors de L E SPACE PROCHE une source d air de secours un jeu de tables de plong e Pour les plong es o milieu naturd n ssitant la mise en oeuvre d une embarcation il est reommand d avoir bord de lle un moyen de radio td ommunications LeGUIDE dePALANQU E doit amp re quip d une bou e de s curit gonflable au moyen d un gaz comprim ainsi que des moyens lui permettant de contr ler la profondeur la dur e la plong e et de d terminer la dur e et la profondeur d ventuels paliers de d compression Le port de la bou e de s curit est obligatoire dans le cas d un enseignement en piscine ou en bassin exploit s comme tels lorsqu ils d passent 5 M tres profondeur ou lorsque les points d appuis pouvant soutenir des plongeurs en difficult sont distants entre eux de plus de 20 m tres E n mil
56. ids du bloc en acier a d j tendance d s quilibrer nos plongeurs versus des bouteilles am ricaines en aluminium ce qui explique la conception de ces SGS 2 12 LA VESSIE Certains fabricants ont pens plus ou moins t t s parer la fonction d enveloppe r sistante aux agressions du milieu de la vessie interne dont le r le est d assurer l tanch it Elles sont r alis es dans un mat riau souple le polyur thane Il s agit d une mati re tr s souple et r sistante mais assez difficile r parer Nous pouvons raisonnablement dire qu une bou e avec vessie est th oriquement plus fiable qu une autre simple enveloppe Il semble galement qu il soit moins on reux de changer une vessie que remplacer le gilet complet Je pr cise th oriquement et semble car la plupart du temps on vous propose de changer le gilet plut t que le r parer 2 13 LE BACK PACK C est une pi ce pouvant tre r alis e en mati res diverses et vari es plastique ou m tal de fa on aider le gilet supporter le poids de la ou des bouteilles et am liorer le confort du plongeur Il s interpose entre la bouteille et le dos du plongeur Il peut tre aussi muni d une contre plaque le Jean claude Jonac Page 12 D e la bou e la stab gilet est alors tenu entre ces pi ces pour r partir les charges sur une plus grande surface et donc diminuer l usure et augmenter la r sistance Le gilet coupl sa bouteill
57. ieu natura l utilisation par le GUIDE de PA LA NQUEE d un scphandre quip d un d tendeur double est remmand e Un moyen dfia d non dang eux pam tant de rappder depuis la surfa des plongurs o immersion doit tre pr vu Le embarcations utilis es pour la plong doivent arborer le pavillon impos par la r glementation en vigueur signalant l activit de plong e A vant le d roulement d une plong toutes les mesures d les pr cautions doivent avoir t d finies par le DIRECTEUR DE PLONGEE pour que L embarcation puisse jouer son r le de s curit en surfa C dle d doit notamment tre en mesure d appargl le imm diatement en s d acident afin de pouvoir porter assistance des plongeurs en difficult L e mat riel mis la disposition des pratiquants doit tre en tat de bon fonctionnement et en conformit avec la r glementation en vigueur L a qualit de l air comprim doit pr senter les crit res de qualit d finis par la r glementation en vigueur Jean claude Jonac Page 36 D e la bou e la stab 4 15 ARRETE DU 20 SEPTEMBRE 1991 Cet arr t a t publi au Journal Officiel N 258 du 5 novembre 1991 Il est relatif aux garanties de technique et de s curit dans les tablissements organisant la pratique et l enseignement des activit s subaquatiques sportives et de loisirs en plong e autonome l air cf annexe 7 D ans son article 8 il replace six m tres la barri re d u
58. ion gilet pour les Jeunes plongeurs qui a t modifi e en octobre 2002 C est aussi un r f rentiel de comp tences comme pour les brevets pour adulte Jean claude Jonac Page 41 D e la bou e la stab mais il s agit d une qualification qui peut tre obtenue partir du plongeur de bronze mais obligatoirement en milieu naturel La formation est adapt e aux enfants le second conceme une preuve de l examen de moniteur f d ral degr qui remplace celle qui nous venait tout droit de la plong e militaire Cet exercice a t inscrit dans la liste des preuves de l examen sur le manuel du moniteur en d cembre 2002 Il s agit d une volution notable qui a certainement entra n e de nombreuses discussions pour ne pas dire pol miques son sujet Nous constatons ainsi que nos cursus de formation ont t mis au go t du jour Jean claude Jonac Page 42 D e la bou e la stab CONCLUSION En r digeant ce m moire au fur et mesure de son avancement je me suis rendu compte que les services marketing en concertation avec les bureaux d tudes des constructeurs lancent constamment de nouveaux mat riels sur le march Les plongeurs les ach tent et nos moniteurs sont contraints de s adapter et de trouver de nouvelles d marches p dagogiques au pied lev pour enseigner l usage de ces nouveaut s dans le cadre de notre progression f d rale Ceci est d autant plus vident et valable c
59. ique partie C SSS o femelle permettant sa fixation sur l embout buccal ou combin qui supporte une partie m le l about il se retrouve sur tous les accessoires utilisant la moyenne pression combinaison s che soufflette manom tre moyenne pression L embout quant lui comporte un verrouillage le plus souvent billes command par Photo copyright SCUBA TEK TAHITI une bague pour viter toutes d connexions accidentelles sans l intervention volontaire du plongeur Il comporte aussi un clapet amont pour emp cher l air moyenne pression de fuir lorsque l embout est d connect De ce fait il est prohib de monter un tuyau de Direct system sur un premier tage de d tendeur sans 2 tage Il est galement pr f rable pour diverses raisons de connecter ou d connecter ce tuyau alors qu il n est pas sous pression aisance de la man uvre usure des pi ces Jean claude Jonac Page 17 De la bou e la stab 2 16 LES PURGES Il s agit ici de d crire les moyens mis la disposition du plongeur pour vider son gilet de l air qu il contient plus ou moins rapidement de fa on pouvoir g rer correctement sa flottabilit normalement ou en urgence Il existe plusieurs types de purges Elles se diff rencient par leur localisation sur le gilet et leur moyen de mise en uvre Elles sont hautes ou basses dites lentes ou rapides 2 1 6 1 PURGES HAUTES 2 1 6 1 1 Purg lente
60. ir fait avancer apr s mon premier chelon de plongeur autonome progresses et tu pourras parler e Jean CABARET pour ses encouragements tu l as voulu tant pis pour toi e Alain N EIRI qui s est propos pour me parrainer sachant qu il partait courage fuyons e Pascal MONESTIEZ celui qui connaissant l ampleur du travail qu il aurait fournir a accept malgr tout d tre mon second parrain e Jean Pierre MONTAGNON pour m avoir donn de son temps de sa patience et avoir aid mes recherches de documentation e Dominique PAPILLON pour m avoir amicalement transmis une copie de son m moire sur le bapt me au gilet Ensuite tous ceux qui de pr s ou de loin m ont aid laborer ce m moire en r pondant mes questions en recherchant des documents en fournissant des photographies en me relisant en corrigeant mes fautes en utilisant l outil informatique et j en oublie Qu ils qu elles m en excusent A TOUS MERCI Jean claude Jonac Page 69 D e la bou e la stab LA STAB Jean claude Jonac Page 70 De la bou e la stab
61. it pour le moins incompl te irr prochable Le reconna tre est faire preuve d honn tet Je te prie cher Pr sident d agr er l expression de mes salutations subaquatiques Je crains que le S N M P ne se soit laiss entra ner son insu sous couvert de raison de s curit dans une croisade dangereuse pour son ind pendance Interdire purement et simplement la bou e au C02 sans information honn te c est d une part tromper les adh rents et d autre part privil gier la bou e fran aise donc se rendre esclave de ses fabricants Adieu pluralisme et concurrence adieu honn tet et libert de choix 1 d Je reviens donc au point de d part n y a t il au sein du groupe qui a pris cette d cision que des personnes sens es comp tentes et honn tes Il m a fallu quant moi pour traiter PBOURDELET compl tement du probl me de la bou e travers le monde pas moins de 150 pages 3 ann es de documentation de recherche et de r daction et j y ai de plus inclus toute mon exp rience de responsable technique de la soci t FENZY A ce titre j ai particip comp tence en la mati re Ma ma trise de l anglais ainsi que plusieurs ann es d enseignement dans des pays trangers m ont permis de m informer sur les autres fa ons de plonger et de les comparer objectivement la n tre N tant pas d autre part vendeur de mat riel je peux conserver sur le sujet toute mon ind pendance Jean claude Jonac Page 46 De la bo
62. j brevet s maximum avec un moni teur d Etat 10 minutes d explications pr ala bles 35 40 minutes dans l eau depuis le bateau Programme mise l eau depuis le batcau cape l en bascule arri re purge de la bou e et tenue de la ligne de mouillage 3 m tres descente en tenant la ligne de mouillage jusqu l ancre 10 15 m tres descente 20 m tres en suivant le fond L cher et reprise d embout et vi dage de masque Remont e en donnant de l air au moniteur avec remplissage du masque par surprise pendant cette remont e et vidage calme Descente en pleine eau Explication entre 20 et 25 m tres Contr le du bon quilibrage avec la bou e Remont e le long de la ligne de mouillage en la tenant Contr le de la purge de la bou e Palier de 5 minutes 3 m tres d abord en se tenant la ligne de mouillage puis sans se tenir Contr le du maintien de la profondeur et de la position horizontale Remont e tr s lente de 3 m tres la surface Parcours dorsal la surface 50 m tres environ sans tuba ni embout Reprise de l embout Pr s du bateau apprentissage du d capelage la surface et accrochage de la bouteille un mousqueton D briefing bord Le on effectif idem le on 3 10 minutes d explications pr ala bles 35 40 minutes entre 20 et 25 m tres Programme mise l eau capel en bascule ar
63. l occurrence seul l article 10 qui se trouve dans le titre 4 Equipement des plongeurs va attirer notre attention dans le cadre de ce m moire bien entendu Il pr cise l quipement obligatoire pour les plongeurs autonomes et les guides de palanqu e dans des milieux exc dant 6 m tres de profondeur et d fini le SGS avec les termes syst me gonflable et tout le reste est identique l arr t de 91 Seul le mot s curit disparu Pourquoi J ai obtenu une r ponse qui m a parue satisfaisante Il s av re qu en 1998 la premi re norme C E est apparue pour ces mat riels Jean claude Jonac Page 37 De la bou e la stab Elle les a d nomm s bou es d quilibrage et non de s curit En 1999 une seconde norme est apparue concernant des mat riels r pondant la d nomination bou es d quilibrage et de sauvetage combin es mais toujours pas de s curit D e ce fait le l gislateur n a pas pu rendre obligatoire un mat riel dont la norme n existe pas Nous allons donc par la suite tenter d expliquer simplement ce qu est une norme 42LES NORMES EUROPEENNE ET FRANCAISE Le Petit Robert d fini la norme comme Type concret ou formule abstraite de ce qui doit tre et il renvoie vers les mots canon id al loi mod le principe r gle Nous pouvons dire en r sum que la norme d un mat riel ou d un produit est en quelque sorte un cahier des charges minimum que le constructeur doit scrupuleuseme
64. le 29 juillet 1982 portant sur les garanties de technique et de s curit dans les centres et les coles de plong e subaquatique Il prescrit dans son ART 2 L e responsable d une plong e organis partir d une embarcation doit laisser bord une personne charg e d assurer la s curit capable de man uvrer mie embarcation U n dispositif permettant de rappder ventudlement un groupe de plongeur en immersion doit tre pr Jean claude Jonac Page 32 De la bou e la stab T oute embarcation utilis e pour la pratique de la plong e subaquatique en lac en rivi re ou en mer doit d s que les plongeurs sont en immersion arbore n cessairement le pavillon de signalisation d fini par les r glements de navigation en vigueur Le port d une bou e de s curit ou d un parachute ascensionnel gonflable au moyen d air comprim est obligatoire Pour le moniteur exer ant en immersion Pour tous plongeurs auquel le chef de plong e aura donn une responsabilit de s curit dans le d roulement d une plong e Le port de la bou e n est pas obligatoire dans les piscines les bassins de natation et les fosses de plong e Chaque otre ou cole de plong e doit avoir pris contact avec les autorit locales comp tentes pour assurer l assistance n cessaire en cas d accident en particulier dans l ventualit du transport d un acident L es personnes ou organismes sus ptibles d intervenir en cas d acide
65. le car c est elle qui assure la rigidit de l ensemble Une fois pass e la premi re surprise on se rend compte l essai sec que le syst m e est tr s confortable et que cela permet de r duire tr s sensiblement l encombrement et le poids dans le sac du plongeur A ce stade je d plorerais un seul petit d faut la sangle velcro est un peu juste pour fixer vraiment s rieusement un 15 litres C est donc un gilet que l on monte et enfile avec une grande facilit Le syst me d inflateur et de purge est tr s classique avec sa purge rapide faisant office de surpression en bout de tuyau annel command e par une simple traction sur celui ci La purge rapide est tr s sensible et progressive et son positionnement permet de purger en position ci quasihorizontale Autre petit d faut le tuyau annel aurait gagne a tre un peu plus long de dix cm Venons en maintenant l objet de toutes les controverses le volume de DIX LITRES en taille large J avais commenc utiliser L EXPLORER pour me stabiliser et pour ma s curit par dessus ma combinaison tanche en nylon enduit Le volume s ajoutant celui disponible dans le v tement m a paru suffisant La temp rature de l eau De la bou e la stab Annexe 5 ENSEIGNER SOUS LA MER num ro 93 augmentant dans la saison je me suis mis l utiliser avec ma combinaison humide Il s av re que m me 50 m je n ai jamais eu besoin de plus de 2 litres d air p
66. le gilet est gonfl Elle sert au maintient de l enveloppe autour de la taille du plongeur sans le serrer 2 1 4 2 4 L a sangle de poitrine Chez certains constructeurs on peut remarquer la pr sence de ce genre de sangle plus petite que les autres r glable ou non lastique ou pas avec des boucles connections et d connections rapides Elle est destin e viter le glissement lat ral des bretelles vers l ext rieur des paules D ans tous les cas il est possible au plongeur den rajouter une ou plus dans ce cas il faut faire attention ce qu elles aient une certaine largeur et donc rigidit transversale suffisante pour vriller le moins possible 2 1 4 2 5 Les boudes de opne ion rapide La majorit des sangles de gilet sont quip es de boucles connexion et d connexion rapide avec une seule main Elles peuvent avoir un seul anneau de r glage pour les bretelles ou deux en sym trie pour un r glage bilat ral n cessaire pour les sangles abdominales ou pectorales Elles se tendent en tirant sur les anneaux plac s en bout de sangle l aide des pouces thumbs en anglais et pour cela elle sont dites de type thumbledge Ces extr mit s de sangle peuvent tre des points par lesquels le plongeur peut tre accroch il est donc pr f rable de les ranger 2 15 LES SYSTEMES DE GONFLAGE Un gilet est g n ralement quip de plusieurs syst mes de gonflage 2 1 5 1 GONFLAGE BUCCAL Il est compos d un tuyau annel
67. lution car toutes les volutions ont t faites avant les ann es 80 mais n ayant pas re u un accueil favorable des consommateurs que sont les plongeurs elles n ont pas t commercialis es Tous les composants du gilet changent plus ou moins vite un ph nom ne de mode s instaure pour les formes et les couleurs Voyons maintenant comment ces composants ont volu 2 1LE SYSTEME GONFLABLE DE STABILISATION SGS 2 11 L ENVELOPPE Un SGS se compose essentiellement d un sac gonflable Les volumes sont plus ou moins importants et sont plac s diff remment selon les mod les Le mat riau est g n ralement du Cordura ou du Nylon de 420 1500 deniers Le deniers est une unit qui traduit le poids d une certaine longueur de fil Cela constitue la solidit mais aussi la rigidit du gilet Un autre mat riau base de Kevlar commence arriver sur le march le Bioflex particuli rement r sistant La r sistance des tissus peut tre diff rente selon qu ils sont plac s vers l ext rieur ou pr s du corps L enveloppe est enduite pour l tanch it de plusieurs couches de r sine souple de polyur thane Parfois elles changent de formes de couleurs Certaines sont munies de sandows lastiques de rappel qui les rendent moins encombrantes vides et permettent une purge plus rapide Les constructeurs pensent enfin tardivement mon avis mais bon qu il n y a pas que Jean claude Jonac Page 11 D e la bou e
68. meux syst me gonflable de stabilisation avait un long pass derri re lui remontant bien avant les d buts de l aventure de notre scaphandre autonome actuel Je vais donc tenter de r sumer quelques peu ces si cles d histoire puisque ce n est pas l objet de notre propos Puis ensuite nous parlerons des volutions des mat riels pour ces vingt derni res ann es et des pratiques li es l utilisation de ces S G S par nos plongeurs Il m a sembl int ressant de d velopper ce sujet car la bou e collerette comme la stab sont des SGS et r pondent la d finition pr c dente Le but de cet ouvrage est de vous pr senter le passage de l un l autre avec mon v cu Jean claude Jonac Page 5 D e la bou e la stab 1HISTORIQUE Nous pouvons dire que l histoire de la plong e remonte l antiquit en effet nous y trouvions trois types de plongeurs plongeurs cuei lleurs qui ramassent les coquillages ou chassent les poissons les plongeurs p cheurs qui recherchent les ponges tr s appr ci es l poque Aristote en a parl d crivant m me l hyperventilation de ces plongeurs arrivant a descendre jusqu vingt ou trente m tres comme nos plongeurs polyn siens qui cherchent les perles ou les amas cor ennes puis viennent les plongeurs militaires anc tres de nos nageurs de combat Mais il ne s agit l que de plongeur en apn e Toutefois on parle de la cloche plongeur qu ALEXANDRE L
69. mon avis d un peu de bon sens d sormais en plong e comme en m decine g n ralistes et sp cialistes C est pourquoi par pur bon sens et afin d viter toute pol mique fratricide au sein du Syndicat par l interm diaire du Le probl me de la bou e au C02 est un probl me d information comme je l explique dans mon bulletin je vous propose votre convenance une r union d information sur le sujet Farouche m moire Pratiquement tous les plongeurs fran ais ignorent comment et pourquoi ellea t d fenseur du S N M P et des minorit s opprim es en g n ral du droit la diff rence et la con ue et par cons quent comment l utiliser A appareil diff rent utilisation diff rente et pluralit en particulier je n aimerais pas voir l organisation laquelle j appartiens tax e enseignement diff rent Le reconna tre serait faire preuve de comp tence Par contre d ignorance et de partialit comparer les deux types d appareil sur un m me plan d utilisation est une erreur fondamentale et ne pourrait tre interpr t que comme un manque total d objectivit destin Nous avons d j trop de mal faire admettre des positions irr prochables d battons discr diter un mat riel et tromper le public pour des raisons de strat gie commerciale Les fond des probl mes avant de prendre une d cision trop tranch e bas e sur une information bou es trang res C02 vendues en France sont tr s bon march pour une qual
70. ncrage des sangles sur le devant peuvent coulisser lat ralement meilleur adaptation la morphologie du plongeur ou de la plongeuse le r glage en hauteur se fait toujours en tirant sym triquement sur les extr mit s de ces sangles En revanche pour certains gilets enveloppants et r cemment pour les volumes dorsaux les fabricants ont plac des harnais ind pendants de l enveloppe La fa on dont le back pack est fix sur l enveloppe est un facteur important du confort et de la solidit du gilet Les bretelles devraient tre fix es au Back Pack pour rendre l enveloppe ind pendante lors du gonflage 2 1 4 2 2 La c inture abdominale Elle maintient le gilet solidaire du plongeur C est g n ralement une large bande de nylon se fermant avec du Velcro Elle doit tre ajust e sans serrer l enveloppe du gilet doit tre coulissante sur celle ci en effet le plongeur ne devrait pas sentir de diff rence de pression sur son abdomen gilet gonfl ou non Quelque soit l anatomie du plongeur les deux parties supportant le velcro doivent bien se recouvrir c est pourquoi presque tous les gilets ont des r glages de la longueur de la ceinture de chaque c t du Back Pack Jean claude Jonac Page 15 D e la bou e la stab 2 1 4 2 3 L a sangle abdominale Le plus souvent une sangle r glable avec une attache rapide est superpos e la ceinture elle ne doit pas tre tendue pour ne pas g ner lorsque
71. ndant la remont e L l ve doit s assurer qu il remonte surtout par le contr le de l environnement et des bulles et non par le profondim tre D ans la zone des derniers m tres le moniteur rappelle par signe l l ve le contr le de surface en effectuant un tour complet Si le nombre d l ves est trop important il est pr f rable d organiser la le on avec trois moniteurs un restant au fond un se stabilisant demi profondeur le troisi me accueillant les l ves en surface Jean claude Jonac Page 62 De la bou e la stab g Annexe 8 ERREURS A VITER Insufflation nulle ou insuffisante Bouchon de vidange ouvert Sanglage trop serr Sanglage du gilet par dessus la ceinture Syst me d insufflation non stopp Syst me de purge coinc ou inaccessible Blocage respiratoire Non contr le de la profondeur ou manque d entrainement Ex cuter les exercices en fin ou imm diatement apr s une plong e ou non respect de la r gle des demi profondeurs 19 12 86 Jean claude Jonac Page 63 CONS QUENCES Le gilet ne se gonfle pas ou pas assez Eau dans le gilet et fuite de gaz Compression du plongeur et du gilet qui perd de son volume utilisable En cas de n cessit de largage celle ci reste accroch e L arriv e de gaz dans le gilet risque d emp cher l arr t et ventuellement de l eau p n tre dans la bouteille Arr t avant la surface impossible Surpression pulmonaire
72. ng e est d pourvue de courants et pr sente une visibilit verticale au moins gale la profondeur Aucun point de cette zone ne doit tre loign de plus de trente m tres d un point fixe d appui Art 14 Cette zone est surveill e en surface par deux personnes dont l une poss de au moins le niveau 3 d encadrement et l autre un niveau 4 de plongeur au minimum pr tes intervenir tout moment l aide d une embarcation moteur Un des deux surveillants e tient en permanence quip et par plonger Un m me groupe de deux surveillants ne peut prendre en charge plus de cinq quipes Art 15 Les plongeurs de niveau 2 sont sur d cision du directeur de plong e autoris s plonger entre eux dans l espace m dian Art 16 Les plongeurs de niveau 3 5 peuvent plonger entre eux en exploration et fixer les param tres de leur plong e En l absence d encadrement ils en choisissent le lieu Art 17 Les plongeurs de niveau 2 5 plongeant entre eux sont quip s d un syst me de s curit gonflable au moyen d une r serve de gaz comprim leur permettant de regagner la surface et de s y maintenir ainsi que des moyens de contr ler personnellement les caract ristiques de la plong e et de la remont e Art 18 Lorsque la plong e se d roule en bassin le directeur de plong e est titulaire au minimum du brevet d initiateur ou du brevet d aspirant f d ral correspondant respectivement au ni
73. nt le gaz en exc dant s chapper au cours de la remont e Mariotte ce qui permet d avoir une vitesse de remont e constante En levant la purge le gaz s chappe plus vite en l abaissant on stoppe l vacuation du gaz L l ve doit constater alors visuellement la variation du d bit de la purge et contr ler auditivement celui ci Ayant au pr alable indiqu chaque l ve en fonction de sa morphologie et du type d appareil utilis la profondeur approximative Cie purge descendre 10 m tres G onflage partiel le moniteur restant c t de l l ve remont e test de prise de contact avec le mat riel et de prise de conscience des sensations ressenties Application Man uvre du gilet l l ve remplit son gilet sous le contr le proche du moniteur qui le maintient par une sangle jusqu au terme de son ascension Il ex cutera une remont e rapide de 20 m tres afin de sentir la progressivit du d collage et l efficacit de l arr t Ensuite faire ex cuter une remont e lente de 20 m tres 10 m tres Le moniteur pendant ces remont es surveillera la vitesse la ventilation r guli re de l l ve Gilet faire ex cuter une remont e de 20 m tres jusqu la surface le moniteur accompagnant nouveau son l ve Dans cette nouvelle ascension le moniteur surveillera tout particuli rement la vitesse de remont e dans la zone des dix derniers m tres o le contr le s av re beaucoup plus difficile Pe
74. nt respecter afin de pouvoir le commercialiser Le marquage de la norme se fait sous la responsabilit et aux frais du constructeur apr s v rification faite par un organisme certificateur ind pendant Actuellement l Europe commerciale tant un fait la norme Europ enne et la norme fran aise se confondent C est pourquoi nous trouvons en intitul sur les documents normatifs norme europ enne NF EN 1809 Janvier 1998 norme fran aise indice de classement S 52 352 Donc voil nos SG S norm s pour l Europe Il existe a ce jour deux normes pour ceux ci class es dans les Accessoires de plong e Bou es d quilibrage NF EN 1809 Janvier 1998 indice de classement S 52 352 ICS 97 220 40 Bou es d quilibrage et de sauvetage combin es NF EN 12628 septembre 1999 indice de classement S 52 353 ICS 97 220 40 Jean claude Jonac Page 38 D e la bou e la stab La diff rence essentielle entre ces deux normes se trouve dans le point 4 de chacune d entre elles intitul Exigences Il a t ajout la seconde norme un paragraphe 4 6 avec pour d nomination Position de flottaison dans lequel sont d crites les exigences et les conditions de r alisation la bouche et le nez doivent tre maintenus hors de l eau en position de flottaison dans les 10 secondes qui suivent la remont e ceci est r alis pour un plongeur ayant perdu connaissance Il faut savoir que des litiges portant sur les normes peu
75. nt sdon les arconstances sont notamment L e ntre r gional d organisation de secours et sauvetage C R 0 S S Les moyens de transports rapides sapeurs pompiers SA MU direction d partementale de la s curit avile h licopt res gendarmerie police et ambulances priv es U n centre de rempression L h pital L es m dedns de plong e L es m decins L es adresses d les num ros de t phone des s personnes ou organismes doivent tre affich s en bonne pla Nous voyons donc que cet article regroupe la plupart des obligations de s curit et notre SGS y est mentionn sous deux appellations Bou e de s curit ou parachute ascensionnel d nomination erron e voir dans l historique Toutefois nous notons que cette bou e doit tre gonfl e au moyen d air comprim ce qui exclu de facto les SG S cartouche de CO 2 Cet article Jean claude Jonac Page 33 De la bou e la stab impose le port de la bou e non seulement au moniteur mais aussi tous les plongeurs qui le chef de plong e aura donn une responsabilit de s curit dans le d roulement de la plong e Nous notons ici l apparition de deux notions importantes dont les niveaux et les pr rogatives ne sont pas d finies par le texte celle de directeur de plong e et celle de guide de palanqu e Il n est fournie aucune pr cision compl mentaire sur ce mat riel 4 13 ARRETE DU 26 MAI 1983 Un an apr s ce premier arr t
76. on de la plong e souterraine et ou plong e Teck Il s agit d anneaux de fixation de mousquetons et de clips de fixation Pour les premiers les anneaux de fixation les fabricants les ont ajout sur la plupart des gilets car il servaient l origine accrocher les bouteilles suppl mentaires de nos plongeurs sp cialistes Ils sont utilis s maintenant par tous les plongeurs pour assurer ce qui se trouve dans les poches et pour accrocher tout ce qui ne peut pas y entrer et qu il est souhaitable d avoir port e de main Le plus souvent ils sont en acier inoxydable ou en plastique techno polym re et leur forme ressemble un D majuscule Pour les seconds savoir les mousquetons et clips de fixation ils sont ajout s et fix s par les plongeurs aux anneaux car ils sont facile d utilisation et permettent de rendre les mat riels qu ils supportent amovibles tant en surface qu en immersion Il serait souhaitable de les choisir avec un merillon pour viter aux dragonnes de s entortiller et faire des n uds facilit et s curit d usage des ces mat riels Les clips de fixation sont les petits mousquetons essentiellement en mati re plastique qui permettent de fixer les tuyaux des manom tres d tendeurs de secours et autres tout en permettant de les lib rer facilement d une simple traction Nous trouvons aussi sur la plupait des gilets plac s sur le tuyau annel des sifflets simples mais utiles pour diffuser un
77. oncernant l enseignement de l utilisation du SG S puisqu il existe de nombreux mod les r pondant aux diverses pratiques de la plong e souterraine arch ologie photographie plong e Tech etc et aux diff rentes morphologies des pratiquants De quelles fa ons nos moniteurs doivent appr hender l enseignement de la stabilisation de l assistance et du sauvetage aux l ves qui se pr sentent avec un SG S volume dorsal ou sans tuyau annel avec gonflage et purge automatique sur le m me combin ou encore avec une bou e collerette Il serait peut tre opportun de modifier le processus et de faire en sorte que les constructeurs et notre f d ration se concertent en amont de la commercialisation des nouveaux mat riels non pas pour une valuation qualitative mais bien dans l objectif de faciliter l approche p dagogique de nos moniteurs Il s agit simplement dans cette d marche de leur permettre de ne pas tre surpris d une part et d viter les cueils d un enseignement amenant un usage non optimis de ces mat riels en constante volution Jean claude Jonac Page 43 D e la bou e la stab g ANNEXES Jean claude Jonac Page 44 D e la bou e la stab Annexe 1 TRIBUNE LIBRE 00000000000 Nous vous rappelons que tout lecteur du bulletin du S N M P et plus forte raison tout moniteur peut utiliser les pages d cett rubrique pour exprimer librement son opinion sur un sujet
78. ont crit pour me faire savoir qu ils n taient pas d accord sur mon analyse Voici l opinion de Philippe MO LLE et de Patrice BO URD ELET C est en engageant de tels d bats que l on fera progresser l enseignement de la plong e Ph MOLLE MOOREA Je ne suis pas d accord avec J L AVEROUS propos du direct system il vaut mieux l enseigner AVANT le gonflage avec la petite bouteille car le gonflage tant plus lent avec le D S il est plus facilement ma tris et pr sente moins pour ne pas dire aucun de risque de remont e rapide Jean claude Jonac Page 49 Patrice BO URD ELET SNMP Jean Louis AVEROUS St Sulpice le ler Novembre 1985 Mon cher Jean Louis J ai lu avec beaucoup d int r t ton article p dagogique sur l apprentissage et l utilisation du direct system Je te remercie d avoir pris cette initiative et je t en f licite comme tu t en doutes puisque je suis moi m me et depuis fort longtemps un adepte que dis je un adepte un ap tre de cette pratique trop longtemps boud e par les plongeurs fran ais et surtout par les moniteurs Ne revenons pas sur ses multiples avantages je renvoie mon tude d taill e sur les bou es ceux qui n en seraient pas encore convaincus Si tes conseils aidant tu convertis les derniers irr ductibles ils n auront malgr tout pas beaucoup plus de dix ann es de retard A ce rythme l ils endosseront leur premier gilet stabilisateur dans un laps de temp
79. ou e bouteille consid r e comme le signe distinctif qui fait reconna tre le bon du mauvais plongeur Un plongeur poss dant une bou e munie uniquement d un direct system n est pas un sous plongeur un nabot un minus c est un plongeur qui sait adapter le niveau de son mat riel ses besoins propres et il n a pas en rougir On n ach te pas une Rolls si l on n a besoin que d une R 5 soyons logique Par cons quent pour cette raison encore je dis que l apprentissage du direct system doit se faire avant celui de la bouteille auxiliaire Pour terminer r fl chissons sainement devant tout nouveau probl me devant tout nouveau mat riel afin de replacer son utilisation et son apprentissage au niveau logique dans nos progressions p dagogiques existantes Certes le direct system fait son apparition en France alors que nous sommes depuis longtemps familiaris s avec le gonflage par bouteille auxiliaire et alors Ce n est pas une raison pour l ajouter la suite de notre progression p dagogique R fl chissons d abord pour l ins rer la meilleure place afin de l exploiter au maximum et en faire profiter le plus grand nombre En cons quence de quoi je regrette une fois encore que les sujets techniques amenant une prise de conscience g n rale ne soient pas d battus de fa on plus approfondie par le Bureau ou l Assembl e avant que de para tre dans le Bulletin L s articles qui en traitent risquent d tre interpr t s
80. our ajuster sa flottabilit Pour les utilisateurs de gilets ajustables attention lors de la mise en place de ce dernier ce que le cordon de la purge haute ne soit pas coinc entre le gilet et l paule et pour les moniteurs bien v rifier ce d tail sur leurs l ves bapt mes N1 et N2 qui peut tre dommageable en immersion Jean claude Jonac Page 18 D e la bou e la stab 2 1 6 2 PURGES BASSES Il s agit d une purge rapide semblable celle d crite ci dessus mais situ e dans le bas du gilet au niveau du dos droite ou a gauche Pour les volumes dorsaux dit en fer cheval il est souhaitable d en avoir deux une de chaque cot pour viter toutes bulles r siduelles lorsque le plongeur se trouve t te en bas Remarques On peut remarquer que la surface des clapets de purges peut varier d un fabricant un autre le rapport peut aller de 1 4 1 4 5 6 cm Le drainage norme CE La mise en uvre des purges maintenues plus que n cessaire entra ne des entr es d eau Selon l utilisation il est possible d avoir jusqu un litre d eau dans le gilet ce qui ob re d autant sa flottabilit et Photo copyright SCUBA TEK TAHITI augmente le poids sur le dos du plongeur qui n a pas besoin de a Certains fabricants utilisaient sur leurs gilets des pi ges eau n tant pas autre chose que des clapets anti retour qui laissaient passer l air en emp chant l eau d entrer
81. our me stabiliser Cela m en laisse encore 8 pour remonter quelqu un II me semble que cela est amplement suffisant pour remonter un plongeur en difficult aux conditions suivantes que je me fais un devoir de respecter depuis que j enseigne professionnellement Je plonge avec des palmes il semblerait que certains de nos camarades oublient cette vidence Je n emm ne plus de plongeurs non quip s de gilet et certainement pas des BE sans bou e 40 m comme cela se voit trop fr quemment conformant ainsi au cursus de FEFP du SNMP et de toutes les autres organisations dans le monde exception faite de la FFESSM et de ses manations Pour ceux qui roulent encore en 4CV et d marrent la manivelle le matin pour aller travailler rappelons quelques points si ni p 1 es de physique amusante L utilisateur de gilet bien form c est souvent le probl me est quasiment en permanence en flottabilit nulle car c est cela que sert entre autre un gilet stabilisateur Or par la magie d Archim de et de Mariotte b nis soient leurs saints noms m me en panne d air un utilisateur de gilet donnant un coup de palme va amorcer sa remont e charge pour lui ou son chef de palanqu e de g rer sa vitesse de J enseigne mes l ves l usage correct de la remont e bou e d s les premi res le ons me CONCLUSION J en conclus donc que le d bat sur le volume des bou es est un faux d bat et que seule la prise en compte des
82. ours d ascension mauvais contr le NOTA Dans une situation r elle le sauvetage se fera l aide du gilet de s curit Il est bon que tout plongeur confirm soit susceptible de l effectuer dans ces conditions D ans ce cas rien n est chang la m thode d intervention d crite ci dessus jusqu au chapitre remont e si ce n est la prise qui peut varier Il est important en effet la vitesse de remont e tant plus rapide de noter que dans le cas d un plongeur paniqu mais conscient ne courant aucun risque imm diat il est n cessaire de contr ler sa remont e l aide du syst me de purge afin de diminuer les risques d accident de d compression Jean claude Jonac Page 65 De la bou e la stab g Annexe 10 SAUVETAGE P A Situation de l ensemble Plongeur Niveau 2 3 4 OBJECTIF Remont e d un camarade en difficult d une profondeur de 20 30 40m en fonction du niveau vitesse normale en maintenant l embout de J accident Ce type d exercice demande 1 Connaissance du mat riel utilis 2 Une ma trise de ce mat riel la profondeur de l exercice 3 Une technicit de la prise permettant un r sultat rationnel le plus efficace possible 4 Un contr le permanent face aux diff rentes situations durant la remont e et l approche en surface ORGANISATION Zone de travail sur des fonds de 3 40m Installer un pendeur S assurer que le gilet est en bon tat et que les pr cautions identiqu
83. pour les moniteurs aussi pour les l ves de fa on ce qu ils sachent ce que le moniteur attend d eux Il suffit pour eux de lire les diff rents tableaux qui mat rialisent les six comp tences communes au trois premiers niveaux avec quelques petites diff rences Il s agit effectivement d un r f rentiel de comp tences Chaque tableau est compos de trois colonnes Connaissances savoir faire et savoir tre Commentaires et limites Crit res de r alisation Les six comp tences sont N 1a Utiliser son mat riel N 1b Comportements et gestes techniques en surface N 2 Immersion et retour en surface N 3 Ma trise de la ventilation en plong e N 4 R actions aux situations usuelles N 5 Accession progressive la plong e en quipe sur 10 m maximum facultative N1 Autonomie de plong e dans l espace m dian pour les N2 Autonomie dans l espace lointain pour les N3 N 6 Connaissances th oriques Jean claude Jonac Page 40 D e la bou e la stab Pour les niveaux 1 nous trouvons l enseignement du SGS dans la comp tence 2 ligne 4 colonne 1 o il appara t comme facultatif Il est demand de s quilibrer avec le direct system de ne pas faire de remont e contr l e ni d intervention de savoir purger le gilet avant la descente de savoir gonfler et purger pour se stabiliser Aucune r f rence l utilisation de ce mat riel n est faite dans les autres comp tences
84. r les 8 kg de plomb en maillot de bain j ai d cid un beau matin de prendre mon destin bras le corps pour trouver mon chemin dans le labyrinthe des gilets et de leur volume Fort de la constatation toute simple du peu d air qu il me semblait mettre dans mon gilet aux diverses profondeurs o me m ne mon sacerdoce j ai pouss la flemme jusqu essayer le dernier n de la gamme SEA QUEST L EXPLO RER Vous savez le gilet qui en a fait rire plus d un par ses caract ristiques techniques Il est vrai que sortir sur le march fran ais un gilet sur lequel il est impossible de fixer Lin Bi et dont le volume dans la taille Large est de 10 litres rel ve du pari Moi j aime bien les paris Pour ceux qui n auraient pas eu le regard attir chez leur revendeur favori par la ligne et les couleurs de ce peu ordinaire engin de flottabilit d crivons le succinctement Ce qui frappe tout d abord c est son avant pr sentant comme seul sanglage une grosse patte en velcro et deux bretelles fines et non r glables Si on le retourne on trouve un dr le de sanglage pour le solidariser la bouteille En effet la sangle de fixation est situ e en bas du dos au niveau des lombaires et passe dans la seule partie rigide du gilet un Jean claude Jonac Page 54 par Fr d ric MIQUEL petit dosseret d environ 25 10 cm Plus haut au niveau des paules passe une sangle velcro dont l unique but est de plaquer le gilet le long de la bouteil
85. res pol miques sur les diff rents SGS et les mani res de les utiliser petits ou gros volumes cf annexes sur les assistances ou sauvetage au SG S cf annexe6 et il en existera certainement encore beaucoup d autres n est ce pas ce qui fera avancer les choses D ailleurs un dicton le concr tise de la discussion jaillira la lumi re Nous constatons dans ce qui pr c de que l utilisation du SGS dans ses d buts a t attribu e et limit e au seul usage des deuxi mes chelons niveau 4 actuels puis l usage aidant aux premiers chelons niveau 2 actuels ensuite nos bapt mes en ont b n fici et maintenant nos niveaux 1 ne peuvent plus s en passer Cette volution s est tal e sur vingt ans environ Nous remarquons d ailleurs dans les contenus de formation actuels que l utilisation du SGS n est pas obligatoire pour tre titulaire d un niveau 1 mais nous notons aussi qu il existe une qualification gilet dans les contenus sp cifiques plong e enfant Nos sommes maintenant dans les textes Jean claude Jonac Page 31 D e la bou e la stab 4 EVOLUTION DANS LESTEXTES Les textes ce mot englobe plusieurs cat gories d crits qui concernent notre sujet les textes r glementaires les textes f d raux et enfin les textes normatifs En remontant dans les vingt derni res ann es nous allons voir ci dessous les diff rents textes qui ont r git notre pratique sportive AILES TEXTES REGLEMENTAI
86. ri re Mais ne pas faire surface Des cendre aussit t 3 m tres en expirant et purgeant la bou e descente le long de la ligne de mouillage l cher etreprise d embout Vidage du masque Exploration Arrachage du mas que par surprise remont e pr s du bateau mais pas le long du mouillage contr le de la purge de la bou e Palier de 3 minutes 3 m tres en pleine eau D capclage la surface D bricfing bord Nota 90 des l ves r ussissent les le ons 3 et 4 en deux s ances 10 d entre eux ont besoin d une 3 s ance Observations La temp rature de l eau est telle qu une combinaison n est pas n ces saire Le probl me du lestage est donc tr s simplifi puisqu avec une bouteille acier sauf rare exception l l ve n a besoin d aucun plomb Le site permet un tel programme le ons 1 et 2 dans la baie o l eau est toujours calme le ons 3 et 4 dans des sites de ENSEIGNER SOUS LA MER REVUE DU SNMP ii Jean claude Jonac Page 52 De la bou e la stab Annexe 4 plong e facile pas de courant mer peu agit e cau claire Tous nos d tendeurs sont quip s d un manom tre Les signes j ai bais s ma r serve et je ne peux baisser ma r serve deviennent donc inutiles Le plongeur montre son manom tre au moniteur e quand celui ci le lui demande pour mieux programmer le circuit au fond et tre certain de finir la
87. rit Voici le programme que j ai mis au point je reviendrai ult rieurement sur les avantages de l utilisation de la bou e d s le bapt me Le on 1 deux l ves maximum avec un moniteur d Etat 30 minutes d explications pr ala bles 40 minutes dans l eau devant le ponton 10 minutes de d briefing d but 3 metsi tout va bien fin de la le on 10 m Programme mise l eau depuis une margelle au ras de l eau sans la bouteille et tenue d une chelle par l l ve le moniteur capelle la bouteille sur l l ve et l carte du bord bou e de l l ve gonfl e puis le moniteur face l l ve le tient par une main et de l autre lui purge progressivement sa bou e Au moindre probl me oreilles anxi t etc il regonfle la bou e l g rement avec le direct system La descente 3 m tres se fait ainsi en douceur arriv 3 m tres le moniteur tient les deux mains de l l ve avec ses deux mains en nageant sur le dos sous l l ve et toujours en le regardant Il l initie ainsi tr s rapidement au palmage Apr s une vingtaine de m tres ainsi parcourus le moniteur peut l cher l l ve qui palme c t de lui Au besoin il lui gonfle un peu sa bou e pour qu il soit parfaitement quilibr si deux l ves suivent la le on le moni teur revient sous l chelle avec le pre mier et remonte chercher le second avec lequel il proc de de la m me fa
88. s quivalent et ils pourront alors effectuer leurs plong es avec un confort in gal S ils ne sont pas bien s r atteints par la limite d ge l arthrite ou la s nilit Mais revenons tes conseils et ta fa on de voir les choses Je regrette insist sur le fait que la bouteille ne doit pas tre utilis e pour l quilibrage mai stipules condition n 3 que l l ve doit parfaitement ma triser toutes les autres dont le gonflage bouteille avant d tre initi au maniement du direct system Cel fondamentale plus d un titre Tout d abord le maniement du direct system moins dangereux que celui de la bouteille auxiliaire Par cons quent il me sem avant ce dernier d autant plus qu ainsi il servirait d tape vers la ma trise du o Ensuite ta proc dure implique que l l ve ait d j une bou e munie d une bouteil system Or on constate De la bou e la stab Annexe 3 Actuellement que dans les bou es propos es bon nombre sont vendues en version direct system avec adjonction ult rieure ventuelle d une bouteille Cela est d au fait et je l ai pr cis dans mon tude que pour la majorit des plongeurs pratiquant leur activit avec encadrement la bou e munie du seul direct system est largement suffisante Suffisante mais pr cisons le bien indispensable pour leur confort et leur s curit et celle du moniteur Il faut aussi au cours de cette initiation faire tomber le mythe de Jo b
89. s combin s ont d autres fonctions comme une purge dite rapide appel e aussi Fenstop C est un m canisme qui permet de commander une purge haute situ e sur le gilet et laquelle se fixe le tuyau annel vu pr c demment Un cordon passe l int rieur de ce dernier et actionne le levier de la purge lorsque le plongeur tire sur le combin La plupart du temps ce syst me n a pas de pi ge eau sauf l ancienne S B C Prestige Il existe maintenant un syst me pneumatique le combin air trim de Mares Le tuyau du D irect System est inclus dans le gilet Le tuyau annel n existe plus Le bo tier de commande est fix directement sur l enveloppe du gilet port e de main du plongeur Il est de ce fait toujours la m me place La commande de gonflage est un bouton poussoir qui actionne un clapet comme dans les syst mes classiques l embout du tuyau du direct syst me est connect sur l about du combin La commande de deux purges pneumatiques une haute et une basse est r alis e l aide d un bouton poussoir situ sur le m me bo tier et de deux petits tuyaux prot g s par l enveloppe qui actionnent simultan ment la purge haute et basse Cela permet la purge du gilet quelque soit la position du plongeur Une purge rapide normale a t conserv e sinon le gilet ne pourrait pas tre purg en l absence d une bouteille le syst me ne fonctionnant pas sans air comprim A D autres fabricants ont
90. si que des moyens de contr ler personnellement les caract ristiques de sa plong e et de sa remont e En milieu naturel le guide de palanqu e est quip d un scaphandre muni de deux d tendeurs Art 9 En milieu naturel un moyen permettant de rappeler depuis la surface les plongeurs en immersion est pr vu Art 10 L organisation des plong es en milieu naturel est assur e conform ment au tableau figurant en annexe III du pr sent arr t Le directeur de plong e est sur les lieux de plong e titulaire au minimum du niveau 3 d encadrement en cas d enseignement de la plong e subaquatique ou du niveau 5 de plongeur en cas d exploration Il faut entendre par exploration la pratique de la plong e en dehors de tout enseignement des Jean claude Jonac Page 58 De la bou e la stab g Annexe 7 techniques de s curit Art 11 Une palanqu e constitu e de d butants ne peut voluer que dans l espace proche En fin de formation technique conduisant au niveau 1 de plongeur ceux ci peuvent voluer dans l espace m dian Art 12 L activit de plong e est mat rialis e selon la r glementation en vigueur Art 13 Une palanqu e de plongeurs de niveau 1 ne peut voluer au del de l espace m dian A l issue d une formation adapt e le directeur de plong e peut autoriser les plongeurs de niveau 1 plonger en quipe dans une zone n exc dant pas dix m tres Cette zone de plo
91. signe am ple de celui ci remet son masque et le vide tout en palmant remont e sans embout de 5 m tres la surface avec tour d horizon 3 m tres nouveau tour d horizon la surface et palmage de sustentation pendant 1 2 minutes Reprise d embout et descente en phoque 5 m tres Descente lente le long du fond jusqu 10 m tres r vision d un l cher reprise d em bout et d un vidage du masque e puis le moniteur sort d un rocher une bouteille en verre et introduit de l air mi hauteur Il montre alors son bathy m tre l l ve ou aux 2 l ves et conserve un doigt sur la bouteille la limite at eau Ensemble ils remontent verticalement Le moniteur montrant bien l augmentation du volume d air Descente en phoque le moniteur mon trant la diminution du volume d air Au fond 10 m tres le moniteur retire de l air de la bouteille en tatonnant jusqu ce qu elle ait un poids apparent nul Puis il la pousse l g rement vers le haut et l l ve suit des yeux sa remon t e acc l r e Retour l chelle que l on re monte quip Apprentissage du d s quipement sur le ENSEIGNER SOUS LA MER REVUE DU SNMP Jean claude Jonac Page 51 De la bou e la stab Annexe 4 ponton D briefing au cours duquel le moni teur insiste sur la relation entre l exp rience de la bouteille et e l expiration en remontant e le poumon ballast l
92. stab Annexe 9 3 PENDANT LA REMONT E Le sauveteur doit surveiller e qu il remonte environnement e la vitesse de remont e en actionnant la purge et en contr lant ainsi l ascension e le confort de l accident en v rifiant sa ventilation et en observant son regard l approche de la surface en effectuant un tour complet pemmettant le contr le de la surface 4 EN IMMERSION Faire ex cuter la progression suivante aide d un plongeur d un niveau suffisant le moniteur ex cutera une d monstration de fa on pr senter l exercice complet permettant de souligner les temps forts de la remont e Faire ex cuter l exercice par l l ve le moniteur reste proximit assistant l l ve dans le d roulement Une fois l exercice parfaitement ma tris pour une profondeur de moins de 20 m tres le faire ex cuter de moins 30 m tres en fonction du niveau du plongeur ERREURS A VITER CONSEQUENCES Mauvais r glage du sanglage Arrachage de l embout Ne pas passer les r serves Plus de difficult s de les passer en cours de remont e et risque de manque d air Fermeture d insufflateur oubli R duit l efficacit de la purge Mauvaise prise ou maintien Le sauveteur devra se replacer en cours de remont e mauvais contr le Syst me de purge non pris en main Ascension rapide absence de contr le Pas de contr le de l environnement Risque d accrochage ou de choc L cher l accident Reprise en c
93. t avec l arr t Deuxi mement un guide de palanqu e encadre des niveaux un ou des niveaux deux une panne de direct system survient un de ses plongeurs ce sera lui seul de d cider d arr ter ou de continuer la plong e et pour ce faire il devra s assurer que les conditions mat rielles et techniques sont favorables Je veux simplement dire qu il prendra alors un risque qui pourrait lui tre reproch par la suite R ponse deux en enseignement il me semble possible dans le cadre du perfectionnement du poumon ballast d apprendre nos l ves plongeurs gonfler leur gilet la bouche en sachant que la technique se fait toujours en d but de plong e et en leur donnant un maximum d l ments de s curit comme vider l embout de l eau en soufflant avant d actionner le bouton permettant le gonflage proc der par petites expirations sans se vider compl tement et ne pas pratiquer cette man uvre en phase ascendante mais a l arr t comme nous le demandons pour la remise en bouche de l embout dans le cadre d une R S E C par tapes successives Nous pouvons de cette fa on l leur faire ressentir le transfert de volume de leurs poumons vers le gilet En effet un moment donn en prenant une inspiration ils vont se rendre compte qu ils d collent et devoir purger pour continuer respirer sans d buter une remont e Je ne voudrais pas me faire l avocat du diable mais dans ce cas de figure pr cis la F d ration laiss
94. t l ger soulagement nouvelle inflation au direct syst me gt idem S go P gt le moniteur s l ve doucement apr s un temps de latence purge si la remont e est trop forte avec l inflateur buccal gt attendre le r sultat stopper la remont e puis repurger si n cessaire avec la purge rapide dite chasse d eau par petits coups secs en tirant sur la cordelette gt l aussi attendre le r sultat entre chaque traction sur la cordelette avant d en effectuer une autre Faire r aliser l exercice aux l ves en faisant r p ter jusqu ce que la pes e neutre soit obtenue sans n cessit de purge ceux ci peuvent tre faits au d but des plong es explo suivantes Nous n voquerons pas le gonflage avec direct syst me et la remont e rapide l aide de la bou e car c est la m me d marche que celle o le gonflage est obtenu par l ouverture de la bouteille CONCLUSION Le direct syst me existe depuis des ann es d j Bien peu de plongeurs en sont quip s Est ce un probl me de prix 350 F environ ou un probl me de r sistance aux nouveaut s Il faut en tout cas reconna tre l vidence du confort apport et sa simplicit d utilisation Pourquoi s en priver Jean claude Jonac Page 48 De la bou e la stab Annexe 3 P DAGOGIE A PROPOS DE L UTILISATION DU DIRECT SYSTEM Suite 1 article que j avais crit dans le N 75 sur l utilisation du direct system d autres moniteurs
95. t de niveau 1 3 plan Objectif Evolution d un plongeur autonome dans la zone des 20 m encadr dans la zone des 40 m Chapitre 30 37 Obtention du brevet de niveau 2 Ans plan Objectif Evolution d un plongeur autonome dans la zone des 40 m Chapitre 38 43 Obtention du brevet de plongeur autonome niveau 3 en cours de plan et obtention du plongeur autonome niveau 4 2 chelon la fin du plan 4 Jean claude Jonac Page 39 De la bou e la stab Nous trouvons dans cette progression trois le ons sur l utilisation du SGS La premi re se situe dans le plan 3 au chapitre 36 sous la d nomination Utilisation du gilet de s curit cf annexe8 La suivante est dans le plan 4 et porte le num ro 38 elle s intitule A ssistan P A d un plongeur o difficult cf annexe9 La derni re dans le m me plan est num rot e 42 et se nomme Sauvetage PA cf annexel0 Nous remarquons que ces trois chapitres sont en fait chacun en ce qui le concerne le d roulement complet d une le on qui devait se r p ter et s adapter jusqu son acquisition par l l ve 4 3 2 LES CONTEN US DE FORMATIONS C T N T janvier 1999 Aujourd hui nos formations sont r gies par les nouveaux contenus de formations mis en application depuis le 1 janvier 1999 pour les niveaux 1 2 et 3 le quatre ayant t finalis plus tard Ceux ci ne sont plus l pour dire au moniteur comment conduire sa le on Ils sont
96. tages tant sur le point de vue du CON FORT que sur la FACILITE du d roulement pour le moniteur d surtout ur la SECURITE gr l aisan de retour en surfa d du remorquage amp entud assur par le gonflage au direct system L avenir lui a donc donn raison en revanche il faut noter que l volution a t encore lente le nombre des r ticents a diminu lentement et maintenant je ne vois pas comment un nouveau moniteur pourrait faire un bapt me sans stab il n a connu que cette m thode Je ne pense pas exag rer beaucoup en disant que beaucoup ne savent pas ce qu est une bou e collerette encore moins une P A et aussi un mistral A l heure actuelle cette pol mique est donc close les bapt mes se font avec le gilet Apr s la multiplication des bapt mes avec le SGS devenu maintenant gilet la suite logique a t l utilisation du SGS au niveau UN Jean claude Jonac Page 30 D e la bou e la stab g AALUTILISATION DU SGS AU NIVEAU UN De fait l utilisation du SGS au niveau 1 s est progressivement g n ralis e Les clubs chevilles ouvri res de la f d ration se sont quip s en gilets et non plus en bou es petit petit en fonction de leurs moyens financiers Maintenant presque toutes pour ne pas dire toutes car je n ai pas fait le tour de tous les clubs les formations de niveau 1 se font avec le gilet d s le d but de la progression 3 5 SYNTHESE DE CETTE EVOLUTION Il a exist bien d aut
97. tilisation pour les guides de palanqu es d un syst me de s curit gonflable et ici pour la premi re fois nous voyons appara tre ce terme qui se rapproche de notre SGS car il englobe bou es et stabs et ce SSG est toujours gonflable au moyen d une r serve de gaz comprim Mais le l gislateur ajoute un l ment nouveau je cite lui permettant de regagner la surface et de s y maintenir Pour la premi re fois le terme s curit pour un plongeur est transcrit en deux actions regagner la surface et s y maintenir Notre second point d int r t dans ce texte est l article 17 Il confirme l autonomie des plongeurs de niveaux deux quatre en fonction de leurs pr rogatives avec les m mes obligations que dans la circulaire et donc entre autres que tous soient quip s d un syst me de s curit gonflable au moyen d une r serve de gaz comprim leur permettant de regagner la surface et de s y maintenir 4 L6 ARRETE DU 22 JUIN 1996 Il a t publi au J O du 11 juillet 1998 et modifi par l arr t du 28 ao t 2000 paru au J O du 6 septembre 2000 Il est relatif au r gles techniques et de s curit dans les tablissements organisant la pratique est l enseignement des activit s sportives et de loisirs en plong e autonome l air C est cet arr t qui r gie encore ce jour la pratique notre sport Je pense donc qu il est inutile de l annexer ou de retranscrire ici les articles qui nous int ressent En
98. tion pour savoir quand le plongeur devra utiliser cette m thode R ponse une en exploration s il y a un disfonctionnement du direct system entra nant une panne d alimentation en air ou une arriv e d air non contr l e en exc s dans cette derni re situation je vais neutraliser le combin et donc me retrouver dans le premier cas Certain arguerons qu il n est pas n cessaire de gonfler la bouche car th oriquement le plongeur est quilibr donc un petit coup de palme suffit pour revenir en flottabilit positive donc en position d assurer sa remont e De plus admettons que malgr cette avarie notre palanqu e d cide de continuer la plong e l encore deux cas Premi rement il s agit d une plong e entre autonomes cette palanqu e ne se trouve plus en r gle par apport l arr t du 22 juin 1998 qui dit dans son article 10 Sauf dans les piscines ou fosses de plong dont la profondeur n exc de pas six m tres les plongeurs voluant en Jean claude Jonac Page 28 D e la bou e la stab autonomie et les guides de palanqu es sont quip s chacun d un syst me gonflable au moyen de gaz comprim leur permettant de regagner la surfa et de s y maintenir ainsi que des moyens d ntr ler personnellement les caract ristiques de la plong e et la remont e de leur palanqu amp Il faut donc que cette palanqu e remonte sous peine de se retrouver en infraction car l un de ses membres n est plus en conformi
99. tra nant une remont e rapide avec un risque de surpression pulmonaire ou encore certains parlaient de gaspillage d air Les seconds insistaient sur la difficult de trouver un quilibre en faisant varier le poumon ballast pour gonfler le gilet et pr conisaient donc le gonflage au direct system Paris ne s tant pas fait en un jour les partisans de la solution enseignons l quilibrage au direct system en priorit en prenant toutes les pr cautions de s curit pour ce faire eurent gain de cause avec le temps En effet il fallait permettre au plongeur en formation de ressentir sa flottabilit en respirant sur son volume courant ensuite lui apprendre utiliser le poumon ballast pour affiner celle ci Cela nous semble vident maintenant mais en son temps ce n tait pas le cas J ai d ailleurs un exemple de pol mique crite entre deux moniteurs vous soumettre J ai trouv ces crits dans les revues du SN MP portant les N 75 et 76 je vous les livre en annexe cf annexe2 octobre 85 et annexe3 d cembre 85 Aujourd hui le direct syst me est utilis d s le d but de la formation Il semble aussi que beaucoup de moniteurs n enseignent plus le gonflage du SGS la bouche pour raison de s curit les m decins d conseillent cette man uvre car elle pr senterait les m mes dangers qu un Valsalva la remont e Allons nous vers une nouvelle pol mique Quelle argumentation pouvons nous trouver Posons nous d abord la ques
100. tte il n existe aucune fixation bouteille Par ailleurs le positionnement sur le plongeur se fait l aide de deux sangles se croisant perpendiculairement dans son dos Partant toutes deux de la collerette l une verticale passe entre les jambes l autre horizontale autour du thorax Un autre syst me moins courant existait et tait compos de deux sangles d entre jambes 2 2 4 LES SYSTEMES DE GONFLAGE Le gonflage buccal existe sur les deux types de SGS avec quelques diff rences de mise en ouvre pour les derniers mod les Le gonflage d urgence par bouteille d or comprim d appoint ou de CO 2 est rarement utilis A ce jour sauf omission certains corps constitu s gendarmerie pompiers utilisent encore ce syst me Jean claude Jonac Page 22 De la bou e la stab Le direct syst me peut se trouver sous toutes ses formes sur les deux types de SGS sauf les combin s actuels gonflage et purge pneumatique r unis 2 2 5 LES PURGES Elles existent sur les deux types de SGS l exception de celles pneumatiques que nous ne trouvons pas sur les bou es collerettes 2 2 6 LES SOUPAPES DE SURETE Elles existent sur les deux types de SGS 2 2 7 LES COMBINES La plupart des combin s peuvent tre adapt s aux bou es collerettes sauf ceux qui ont pour cons quence de supprimer le tuyau annel de l embout buccal 2 2 8 ACCESSOIRES La grande majorit des accessoires sont adaptables aux deux types de SG S
101. u e la stab Annexe 2 PEDAGOGIE Par Jean Louis AVEROUS Mais d abord qu est ce qu un direct syst me DEFINITION Moyen permettant de gonfler volont la bou e de s curit l aide de l air comprim pr lev sur le scaphandre COMMENT En raccordant un tuyau moyenne pression sur une des sorties MP d un d tendeur 2 tages d une part et sur le raccord pr vu cet effet sur la bou e soit sur l embout buccal le plus courant soit sur l enveloppe de la bou e d autre part UTILISATION Apr s avoir raccord le direct syst me Il s agit pour le plongeur de faire varier sa pes e cf principe d Archim de appliqu au plongeur en augmentant son volume dans l eau donc en augmentant la pouss e d Archim de Pour cela on injecte gr ce un bouton poussoir voir photos et dessins l air comprim dans l enveloppe de la bou e soit lorsque le plongeur veut viter de racler le fond soit tout simplement lorsque le plongeur d cide de remonter l aide de la bou e Il est n cessaire de doser la quantit d air inject d attendre que l effet de pouss e se fasse sentir soit il y en a de trop ce moment le plongeur purge un peu d air soit il n y en a pas assez le plongeur r appuie sur le bouton poussoir du direct syst me AVANTAGES Le plongeur n a pas besoin de quitter son embout de la bouche pour expirer dans l embout buccal de la bou e il n a pas non plus besoin d utiliser heureusem
102. ub o seront effectu s les derniers exercices JUIN 1982 C est cette extension de comp tence qui mon avis est l origine de la diffusion du SGS dans le monde de la plong e les nouveaux plongeurs du moment avaient tendance devenir des plongeurs loisirs et non plus des plongeurs sportifs form s l cole de la plong e militaire L aspect confort va prendre de plus en plus d importance dans le choix d un SG S et pour cela le gilet a tous les atouts pour satisfaire ces nouveaux plongeurs D ailleurs l heure actuelle le confort dans l eau en passant aussi par la facilit de mise en place et d utilisation est devenu un argument de vente plus important que la s curit puisque tous les SGS sont th oriquement des mat riels de s curit r pondant des normes mais tous n ont pas le m me confort et la m me ergonomie Jean claude Jonac Page 27 De la bou e la stab 3 2 UTILISATION DU DIRECT SYSTEM Par la suite apr s tre devenu initiateur j ai connu un nouveau sujet de discussion pour ne pas dire de discorde entre moniteurs au sujet de l enseignement de l utilisation du SGS encore bou e ce moment l Il s agissait de savoir comment enseigner l utilisateur n ophyte du SGS la meilleure mani re de s quilibrer avec ce mat riel en priorit la bouche ou au direct system Les partisans du gonflage la bouche argumentaient sur les dangers d un gonflage mal ma tris au direct system en
103. ujours la m me bouteille syst me Cinch Band Scubapro 2 1 4 1 3 T endeur pneumatique C est un bo tier mont sur la sangle de fixation de la bouteille Le serrage est assur par un syst me pneumatique Pour ce faire le bo tier supporte un about qui permet la connexion avec le tuyau du Direct System Cet about est muni d une bague qui permet d actionner un clapet par lequel l air moyenne pression pousse le syst me qui assure la tension de la sangle Un syst me de valve anti retour interdit au m canisme de revenir en arri re une fois le serrage effectu Pour monter la bouteille sur le gilet il suffira d enfiler la bouteille dans l anneau pr constitu par la sangle de fixation de connecter le Direct System sur la fixation puis d enclencher la commande de serrage Ne pas oublier de reconnecter le D irect System sur le gilet Un bouton poussoir permet de purger le syst me pour lib rer de sa tension la sangle afin de d solidariser le bloc du gilet Ce syst me Air Lock de Mares est adaptable sur d autres gilets 2 1 4 1 4 Sangle de s ret et de positionnement Il arrive parfois que la fixation de la bouteille l che c est essentiellement d une mauvaise mise en place du sanglage De ce fait la bouteille va tirer en arri re le d tendeur ce qui est tr s inconfortable et dangereux La plupart des fabricants rem dient cet inconv nient en installant sur leurs gilets une petite sangle
104. une boucle plastique permettant le passage de celle ci dans plusieurs intervalles Il faut ensuite num roter les intervalles Nous remarquons que la boucle en comporte trois On num rotera 1 l intervalle c t pivot et 3 l intervalle c t libre de la boucle Ensuite il faut se souvenir de 213 syst me m mo technique vitant dans la plupart des cas les erreurs La boucle doit tre en position ouverte gt 4 sur la bouteille Passer l autre extr mit de la sangle en 2 puis 1 et tout en Photo copyright SCUBA TEK TAHITI Jean claude Jonac Page 13 De la bou e la stab revenant vers le 3 pomper une ou deux fois passer dans le 3 une fois obtenue la tension voulue Fermer la boucle et utiliser le velcro pour fixer le restant de sangle libre 2 1 4 1 2 Tendeur pr r gl Comme son nom l indique il s agit d une fixation qui se r gle une seule fois en fonction du diam tre de la bouteille utilis e D un cot un anneau m tallique fix la sangle r glable par velcro z de l autre cot une boucle m tallique servant crocheter l anneau situ l autre extr mit de la sangle faisant levier galement r glable en distance sur la sangle Une fois le sanglage adapt au diam tre de la bouteille utilis e un simple mouvement de la boucle levier dans laquelle l anneau est accroch et le bloc est fix Ce syst me est tr s avantageux lorsque l on utilise pratiquement to
105. veau 1 et au niveau 2 d encadrement Art 19 Le directeur de plong e autorise les plongeurs de niveau 1 ayant re u une formation adapt e plonger entre eux dans un bassin dont la profondeur n exc de pas six m tres La plong e dans un bassin dont la profondeur exc de six m tres est soumise aux dispositions relatives la plong e en milieu naturel Art 20 Les dispositions du pr sent arr t ne sont pas applicables la plong e arch ologique et souterraine Art 21 L arr t du 5 juin 1982 fixant les garanties de technique et de s curit dans les centres et les coles de plong e est abrog Art 22 L arr t du 26 mai 1983 fixant les garanties de technique et de s curit dans les Jean claude Jonac Page 59 D e la bou e la stab g Annexe 7 groupements sportifs constitu s conform ment la loi du ler juillet 1901 dispensant l enseignement de la plong e subaquatique est abrog Art 23 Le directeur des sports et le directeur des ports et de la navigation maritimes sont charg s chacun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique fran aise Fait Paris le 20 septembre 1991 Le ministre de la jeunesse et des sports Pour le ministre et par d l gation Par emp chement du directeur des sports Le chef de service J DERSY Le secr taire d Etat la mer Pour le secr taire d Etat et par d l gation L
106. veillance efficace Un petit bateau de s curit restera en permanence en vue des bulles Ne jamais programmer cette le on la fin ou imm diatement apr s une plong e D ans le cas o l exercice n est pas suivi d une plong e appliquer la r gle de s curit pr vue pour les remont es rapides S assurer que les l ves ont d j effectu avec une aisance parfaite des remont es sur expiration depuis la profondeur de l exercice Faire un rappel des risques de surpression pulmonaire D PEDAGOGIE PRATIQUE D AVANT L IMMERSION Pr sentation du mat riel et explication de son fonctionnement Explication sur la fa on de la sangler Description du d roulement de l exercice Man uvre du gilet en surface d tendeur en bouche acquisition du rythme de remplissage du gilet D s que le gilet a t gonfl s assurer que l apport de gaz comprim a t stopp et qu il est possible d utiliser le syst me de purge d s que cela est souhaitable En cours de remont e le plongeur doit veiller au libre cours de sa ventilation pulmonaire pour viter la surpression son niveau d immersion en lisant son profondim tre mais sans tre obnubil par celui ci car il doit aussi regarder ce qui se passe autour de lui prendre en main avant le niveau de purge son syst me de vidange de gaz Le niveau de purge varie en fonction des facteurs suivants type du gilet profondeur de d part poids apparent du plongeur Afin de freiner au maximum s
107. vent d pendrent de la juridiction civile simplement et p nale parfois dans le cadre de la loi relative aux fraudes et aussi en cas d atteinte l int grit corporelle cons cutive l utilisation d un produit ou d un mat riel Nous avons tent de faire un tour aussi complet que possible des diff rents textes r glementaires concernant l utilisation de notre SG S dans la pratique de notre activit 43 LES TEXTES FEDERAUX 43 1L ENSEIGNEMENT DE LA PLONGEE C T N 1986 A ma connaissance le premier document f d ral sur l enseignement de la plong e donnant une chronologie et une articulation de l enseignement de la plong e date de 1986 et porte le titre L Enseignement de la plong e sous la signature Commission Technique Nationale Il se d compose en 43 chapitres r partis en 4 plans Il est pr cis que chacun des chapitres peut repr senter suivant le cas une ou plusieurs le ons qui seront construites par chaque moniteur en fonction de sa personnalit des conditions mat rielles de travail des conditions m t orologiques des effectifs et du niveau des l ves Il est pr cis que les diff rents brevets f d raux se situent dans cette progression qui commence par le bapt me puis plan Objectif ma trise du petit mat riel par le d butant Plong e libre Chapitre 1 10 Apr plan Objectif Evolution d un plongeur encadr dans la zone des 5 m A vec s aphandre Chapitre 11 29 Obtention du breve
108. voici le suivant et la bou e de s curit est mentionn e dans deux articles le 9 et le 15 ART 9 Les pr rogatives des plongeurs de niveau 3 sont limit s l exploration Ces plongeurs sont capables d voluer en s curit au sein d une palanqu e compos e de trois plongeurs de ce niveau chacun d eux tant quip d une bou e de s curit des moyens individuels de contr le de la profondeur de la dur e de la plong e et tre en mesure de d terminer la dur e des paliers ventuels A ce niveau l enseignement ne peut tre dispens que par une personne titulaire d un brevet d encadrement de niveau 3 minimum Dans ce texte nous assistons la reconnaissance officielle de nos plongeurs de niveau 3 et surtout nous assistons la cons cration officielle des niveaux 1 2 3 et 4 qui vont remplacer nos brevets l mentaires premiers chelons plongeurs autonomes et deuxi mes chelons Nous remarquons aussi dans cet article que l autonomie de nos autonomes est soumise diverses obligations dont le port de la bou e de s curit Il est noter que l encadrement est aussi classifi par niveau avec des pr rogatives diff rentes pour chaque niveau L article 10 de ce m me arr t n a pas t reproduit ici car il est similaire l article 9 mots pour mots La seule diff rence est qu il s applique au niveau 4 plongeant entre eux et qu ils ont donc les m mes obligations entre autres le port de la bou e d

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Human Sebocytes Manual - Zen  schema elettrico  IRM-102  リモコン取扱説明書  1203-5.5, Bulletin 1203 Serial Communnications  取扱説明書 - 株式会社電匠    L`environnement sur mon chantier» (Version 2016)»  Auto SureFloat™  Sílica Cristalina Respirável. Guia de Medidas Preventivas.  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file