brèves décembre 07 mise en forme
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1. au 30 avril contre le 30 janvier jusqu alors de l ann e suivant celle du versement des sommes en cause Droit Immobilier gt Vente d une installation class e champ d application de lobligation d information de Particle L 514 20 du Code de l Environnement Cour de Cassation 3 me Chambre Civile 20 juin 2007 10 L article L 514 20 du Code de l Environnement oblige le vendeur d un terrain sur lequel une installation soumise autorisation a t exploit e en informer l acheteur par crit Il l informe galement pour autant qu il les connaisse des dangers ou inconv nients importants qui r sultent de l exploitation En cas de non respect de cette obligation l acheteur a le choix de poursuivre la r solution de la vente ou de se faire restituer une partie du prix Sur le fondement de ces dispositions une entreprise estimant que le vendeur lui avait dissimul Pexploitation sur le terrain vendu d une installation class e a demand au vendeur des dommages et int r ts correspondant aux frais d enl vement d quipements et d installations pr sents sur le terrain La d cision de la Cour d Appel accueillant cette demande s est vue censur e par la Cour de Cassation au motif que l acheteur n avait pas apport la preuve que les installations qui se trouvaient sur le terrain en cause taient bien soumises autorisation et non seulement d claration Cet arr t vient d limiter l2. l esp ce le dispositif a t d clar nul Attention les entreprises qui entendent mettre en place un syst me d alerte professionnelle doivent le faire en respectant le principe de proportionnalit par rapport aux objectifs poursuivis gt Accord GPEC nouvelles incertitudes Cour d Appel de Chamb ry 18 octobre 2007 Tribunal de Grande Instance de Paris 6 novembre 2007 La premi re incertitude tient la position de la Cour d Appel de Chamb ry sur l articulation d un accord GPEC Gestion pr visionnelle des emplois et des comp tences avec un Plan de Sauvegarde de l Emploi PSE En effet la Cour d Appel rappelle que Particle L 320 2 du Code du Travail relatif la n gociation triennale sur la GPEC n impose pas d engager une telle n gociation avant toute proc dure d information et de consultation du Comit d Entreprise au titre des livres III et IV Elle rappelle en outre que la mise en uvre d une proc dure de licenciement collectif n est pas subordonn e au respect pr alable de la consultation du Comit d Entreprise au titre de l article L 432 1 1 sur l volution et les pr visions d emploi La seconde incertitude porte sur l application et l interpr tation d un accord GPEC Le TGI de Paris rel ve que l accord sign par SFR intitul anticipation d veloppement des comp tences et progression professionnelle pr cise que le cadre d information privil gi du C
3. lintention lib rale des donateurs l Administration ne d montrant pas que ces derniers se sont r appropri les gains de cession des actions pr c demment donn s Dans une seconde esp ce nettement plus discutable donation d membr e avec clause d interdiction d ali ner clause de remploi obligatoire et convention de quasi usufruit le Comit met galement un avis n gatif Il rel ve notamment l existence aux termes de la convention de quasi usufruit d une cr ance du donataire sur le donateur qui tablit selon lui l absence de r appropriation des biens donn s par le donateur Cette analyse particuli rement favorable au contribuable nous appara t tr s audacieuse Elle pourrait cependant tre remise en cause par la juridiction qui aura conna tre du contentieux fiscal Administration ayant d cid de ne pas suivre lavis d favorable du Comit et de porter le litige devant le tribunal gt D claration DAS 2 Modification des informations d clarer Instruction du 24 octobre 2007 13 K 9 07 compter des revenus 2007 d clar s en 2008 seules les sommes vers es sup rieures 600 par an pour un m me b n ficiaire devront tre port es sur la d claration des commissions ristournes honoraires courtages des tiers d clarants non tenus souscrire une d claration de r sultat association but non lucratif notamment dite DAS 2 De plus la date de d p t de cette d claration est report e
4. peut n anmoins demander l entreprise qu elle fournisse tous les l ments d informations susceptibles de justifier la r alit et la valeur des prestations ou des biens acquis Cependant cette demande d information ne transfert pas la charge de la preuve de PAdministration sur le contribuable En effet l absence de r ponse ou l insuffisance des l ments fournis par le contribuable ne suffit pas elle seule fonder la r int gration de la d pense litigieuse d s lors que la charge de la preuve continue peser sur l Administration L Administration doit tre en mesure de fournir des l ments suppl mentaires permettant d tayer son redressement Il n en demeure pas moins que les charges ainsi d duites doivent tre appuy es de justifications permettant l administration de v rifier leur existence et leur montant gt Contr le fiscal rel vement 4 500 du seuil au dessous duquel le sursis de paiement est accord de droit D cret n 2007 1584 JO n 260 du 9 novembre 2007 modifiant l article R 277 7 du Livre des Proc dures fiscales En cas de r clamation faisant suite l mission d un avis de mise en recouvrement Administration fiscale exige en principe du contribuable qu il constitue des garanties pour pouvoir b n ficier valablement du sursis de paiement Cependant le d biteur est dispens de constituer des garanties lorsque les droits r clam s sont inf rieurs 3 000
5. sociaux Institutions repr sentatives du personnel n gociation collective am nagement des plans de travail accords collectifs Gestion pr visionnelle des emplois et des comp tences Relations individuelles du travail Brigitte BEZIAN 58 ans titulaire du DEA de Droit Priv G n ral et du DEA de Droit Social Ma tre de Conf rence l Universit de Paris X Nanterre a cr e son propre cabinet le Cabinet B zian avant d int grer le Cabinet LAMY LEXEL en 2000 en qualit d associ e du d partement Droit Social de Paris Brigitte BEZIAN est responsable du d partement Droit Social de Paris constitu de 5 collaborateurs Elle est une sp cialiste des diff rentes dimensions du Droit Social Tant sur le domaine du conseil que du contentieux elle assiste les cadres dirigeants et les DRH de grandes PME de 500 600 salari s et de groupes d entreprises de plus de 1000 salari s issus de secteurs tr s divers comme la t l communication la banque l industrie chimie la m tallurgie l h tellerie restauration le b timent ou encore les services sur leurs probl matiques sociales li es au d veloppement de leurs activit s la d l gation et la formation Elle b n ficie d une exp rience reconnue en mati re de Restructurations douce et agressive plan sociaux Formation professionnelle Externalisation Gestion pr visionnelle de l emploi et des comp tences N gociation d accor
6. Br ves Lamy Lexel D cembre 2007 Ils sont l pour vous accompagner Afin que vous nous conna issiez mieux autant d un point de vue humain que purement technique nous vous pr sentons r guli rement les avocats du cabinet Lamy Lexel qui accompagnent votre entreprise dans ses volutions participent votre r flexion strat gique vous aident faire aboutir vos projets Marie Christine AGAL 49 ans titulaire d un DEA de droit social obtenu l Institut des Etudes du Travail et de la S curit Sociale en 1991 a d but sa carri re au cabinet Lexel Conseil devenu LAMY LEXEL en 1998 et n a depuis cess d voluer au sein de l quipe Droit Social de Lyon Elle est entr e au cabinet en novembre 1990 en qualit de conseil juridique stagiaire puis est devenue avocate en 1994 apr s avoir pr t serment au terme de son stage Elle a alors exerc en tant que collaboratrice avant d tre nomm e associ e du Cabinet en 2001 Elle pass avec succ s sa sp cialisation en droit social en 2005 Marie Christine AGAL s est sp cialis e dans la gestion des relations collectives du travail elle accompagne les dirigeants et les DRH dans la conduite des op rations de restructuration d externalisation dans la n gociation des accords d entreprise mais galement dans la n gociation de transactions importantes Elle intervient ainsi principalement dans les domaines suivants Restructurations Plans
7. CE sur la strat gie du groupe ne concerne que les volutions structurelles de ce dernier Le Tribunal en tire comme cons quence que l accord ne contenant aucune d finition de l v nement conjoncturel la cession d un secteur d activit une autre soci t caract risait une telle situation et consacre ainsi la th se soutenue par la direction Les juges ont ainsi estim que l offre de reprise des contrats de travail faite par les soci t s dans le cadre d une sous traitance s analyse comme un v nement conjoncturel au sens de l article 1 3 d s lors qu il n est nullement tabli que cette offre proc de d une d marche moyen ou long terme men e par SFR cette possibilit d pendant largement d offres ventuelles n cessairement al atoires qu il est difficile d anticiper gt Le CNE doit tre rompu avec un motif valable Rapport du 14 novembre 2007 du Conseil d Administration du BIT D j condamn par le fameux jugement du Conseil de Prud hommes de Longjumeau puis par les Cours d Appel de Paris et Bordeaux le Contrat Nouvelle Embauche CNE t d clar non conforme la convention n 158 de POIT qui exige un motif valable de licenciement par le Conseil d Administration du Bureau International du Travail BIT Le CNE n est pas mort pour autant le BIT invite d ailleurs le gouvernement en consultation avec les partenaires sociaux s assurer que les CNE ne peuven
8. ct m me si le formalisme de la loi du 31 d cembre 1975 sous traitant agr e et conditions de paiement accept s par le ma tre de Pouvrage a t respect Formalisme ou non il faut s assurer avant tout que le contrat conclu par le sous traitant entre bien dans le champ d application de la loi gt Faute grave de agent commercial Un agent commercial non exclusif repr sente les produits et services concurrents sans en avoir inform son mandant La Cour de Cassation qualifie sa conduite de faute grave en violation de lobligation de non concurrence l gale de l agent fond e sur la loyaut articles L 134 3 et L 134 4 alin a 2 du Code de Commerce Rappelons que la qualification de faute grave prive l agent commercial de son indemnit de fin de contrat L agent m me non exclusif aura tout int r t solliciter par crit et pr alablement Pautorisation du mandant pour repr senter des produits ou services pouvant tre concurrents Attention aux faits de tol rance ou silence du mandant une r ponse crite m nagera un l ment de preuve gt Emploi obligatoire de la langue fran aise La Loi Toubon du 4 ao t 1994 impose l emploi de la langue fran aise dans la d signation l offre la pr sentation le mode d emploi ou d utilisation la description de l tendue ou des conditions de garantie d un bien produit ou service Un importateur de jouet avait partiellement traduit le mode d emp
9. ds collectifs Gestion des institutions repr sentatives Marie Christine AGAL et Brigitte BEZIAN avocates de Droit Social ont co anim r cemment des petits d jeuners d bats organis s autour du th me de la GPEC gestion pr visionnelle des emplois et des comp tences La GPEC dont la n gociation a t rendue obligatoire m ne les entreprises anticiper leurs volutions strat giques adapter leurs moyens humains et accompagner le changement Ces v nements avaient pour vocation d aider les dirigeants d entreprises et les directeurs des ressources humaines dans la mise en place des n gociations obligatoires mener sur ce sujet Elles ont amen des r ponses aux questions qu ils se posaient telles que quand comment et avec qui n gocier quels l ments faut il inclure l accord Nos avocates interviennent aux c t s des dirigeants et des DRH pour mettre en uvre une politique de ressources humaines en ad quation avec leurs strat gies Pour les contacter mcagal lamy lexel com 33 0 4 72 74 53 00 bbezian lamy lexel com 33 0 1 55 27 24 00 Droit des Affaires gt Sous traitance d un march public de travaux Le Conseil d Etat vient de juger qu une entreprise qui se contente de livrer des fournitures au cas d esp ce approvisionner un chantier en b ton pr t l emploi et qui ne r alise pas un v ritable contrat d entreprises ne b n ficie pas du droit au paiement dire
10. e domaine d application de Particle L 514 20 du Code de P Environnement en en faisant une interpr tation stricte En pratique seuls sont concern s par cette obligation d information les vendeurs de terrains sur lesquels des installations soumises autorisation avaient t pr alablement exploit es 11
11. imple Cour de Cassation Chambre Sociale 15 novembre 2007 S appuyant sur une jurisprudence bien tablie depuis arr t du 18 juillet 2000 rendue par la Chambre Sociale de la Cour de Cassation une salari e demandait en application de l article R 143 2 du Code du Travail le b n fice d une prime d anciennet pr vue par la convention collective de l import export au motif que la mention de la convention collective sur son bulletin de paie valait reconnaissance de son application alors m me que l employeur appliquait une autre convention Par l arr t du 15 novembre la Chambre Sociale affine sa jurisprudence en posant le principe selon lequel l employeur dispose de la facult d apporter la preuve contraire cette mention faite d une convention collective sur les bulletins de salaire En l esp ce l employeur fait tomber la pr somption aux motifs que la seule convention collective applicable son entreprise est celle des vins spiritueux et liqueurs laquelle est d termin e au regard de son activit principale que la convention collective revendiqu e par la salari e n a jamais t appliqu e en tout ou partie dans l entreprise qu une telle mention provenait d une erreur manifeste Par cons quent ne viole pas l article R 143 2 du Code du Travail employeur qui d montre une absence d intention claire et non quivoque de faire une application volontaire de la convention collective mention
12. loi en fran ais en laissant des parties r dig es en allemand La Cour d Appel de Paris 25 octobre 2006 plus cl mente sur ce point que la Cour de Cassation d cide que le mode d emploi est licite car la partie concernant les pr cautions d utilisation et de s curit des jouets avait bien t traduite en fran ais la partie instructions de montage non traduite tait en revanche accompagn e de graphiques et illustrations La Chambre Criminelle de la Cour de Cassation ne limitant pas l application de la loi Toubon aux seules mentions obligatoires et n cessaires l information des consommateurs il est plus prudent de traduire en fran ais l int gralit des notices et modes d emploi Droit Social gt Elections prud homales 2008 nouvelles modalit s d organisation d crets du 30 octobre 2007 Deux d crets en date du 30 octobre 2007 modifient entre autres certaines obligations des employeurs en mati re d lections prud homales notamment la d claration prud homale et la consultation des donn es prud homales Int gration de la d claration prud homale dans la D claration annuelle des salaires DADS ou la D claration trimestrielle des salaires DTS D sormais la d claration prud homale est int gr e dans la D claration annuelle des salaires pour le r gime g n ral et la D claration trimestrielle des salaires pour le r gime agricole Doivent y figurer en outre
13. n e sur les bulletins de salaire gt Le refus du report des cong s pay s la suite d un accident du travail allocation de dommages et int r ts Cour de Cassation Chambre Sociale 27 septembre 2007 En application de l article L 223 9 du Code du Travail il est pr vu la possibilit de reporter des cong s pay s titre exceptionnel Op rant un revirement de jurisprudence la Chambre Sociale de la Cour de Cassation remet en cause le principe selon lequel les cong s pay s non pris en temps utile sont perdus D sormais lorsque le salari s est trouv dans l impossibilit de prendre ses cong s pay s annuels au cours de l ann e pr vue par le Code du Travail ou une convention collective en raison d absences li es un accident du travail ou une maladie professionnelle les cong s pay s acquis doivent tre report s apr s la date de la reprise du travail A d faut employeur est tenu d allouer au salari des dommages et int r ts en r paration du pr judice que lui a caus son refus de lui faire b n ficier du report de ses cong s pay s non pris Pour autant les juges restreignent la solution aux seules absences li es un accident du travail ou une maladie professionnelle Par cons quent hormis cette situation et sous r serve d une extension jurisprudentielle Pemployeur peut encore opposer au salari un refus du report des cong s pay s d s lors que ces derniers n ont pu
14. pour chaque salari les nom et pr nom date et lieu de naissance le domicile le num ro d inscription au r pertoire national d identification des personnes physiques le coll ge la section et la commune d inscription nouvel article R 513 11 du code du travail Organisation de la consultation des donn es prud homales D sormais en application du nouvel article R 513 12 du Code du Travail employeur doit prendre l initiative de la consultation D une part il doit mettre la disposition des salari s de l tablissement des d l gu s du personnel des repr sentants syndicaux et des d l gu s syndicaux les donn es suivantes les nom et pr nom le domicile la section le coll ge et la commune d inscription de chaque lecteur D autre part cette consultation doit tre organis e en 2007 pour les donn es 2006 d clar es d but 2007 en 2008 pour les donn es 2007 d clar es d but 2008 au plus tard le 25 janvier 2008 en cas de D claration trimestrielle des salaires et au plus tard le 15 f vrier 2008 en cas de D claration annuelle des salaires Cette mise disposition permet aux salari s et leurs repr sentants de v rifier les donn es d clar es afin de les fiabiliser Les observations mises sont ensuite directement transmises par Pemployeur au maire de la commune d implantation de l tablissement gt La mention de la Convention collective sur le bulletin de paie une pr somption s
15. sait interdire l utilisation d informations dites usage interne sans autorisation expresse de son propri taire Trop g n rale et impr cise cette clause est jug e contraire l article L 122 35 du Code du Travail et d clar e nulle Syst mes d alerte professionnelle ils doivent tre proportionn s aux objectifs poursuivis article L 120 2 du Code du Travail Le syst me mis en place visait recueillir les d nonciations ou renseignements des salari s sur tout manquement s rieux en mati re comptable financi re ou en mati re de lutte contre la corruption mais aussi en cas de manquements graves aux principes nonc s dans le Code de conduite lorsque est mis en jeu l int r t vital du groupe ou l int grit morale ou physique d une personne notamment en cas d atteinte aux droits de la propri t intellectuelle de divulgation d informations strictement confidentielles de conflits d int r ts de d lit d initi de discrimination de harc lement moral on sexuel Le TGI a jug ce champ d application trop large a notion de manquements graves aux principes d crits dans le code de conduite Jrsqu est mis en jeu l int r t vital du groupe ou l int grit physique ou morale d une personne appara t trop vaste la mise en uvre d un dispositif d alerte doit rester tr s limit e dans la mesure o elle pourrait d g n rer en un syst me organis de d lation professionnelle En
16. seuil d sormais port 4 500 gt Contr le fiscal abus de droit donation de titres suivis d une cession des titres re us Avis rendus par le Comit consultatif pour la r pression des abus de droit BOI 13 L 6 07 du 14 octobre 2007 Affaire 2006 07 Le Comit de R pression des Abus de Droits a publi par anticipation les avis rendus dans les contentieux trait s dans les premiers mois de 2007 apportant notamment un clairage suppl mentaire sur les op rations de donation avant vente deux affaires A titre d illustration le Comit a d velopp le cas suivant Monsieur et Madame F d tiennent la quasi totalit du capital d une soci t 1000 actions Le 27 novembre 2001 Monsieur et Madame F ont fait donation leur fille de 450 actions de cette soci t pour une valeur totale de 1 125 000 Francs soit 2 505 Francs par actions Le 1 d cembre 2001 Monsieur et Madame F ainsi que leur fille ont c d leurs actions pour un montant total de 2 500 000 Francs soit 2 505 Francs par action Le 25 juillet 2002 ils cr ent tous les trois une SCI en vue d acqu rir un terrain b tir Le Comit rend un avis n gatif et consid rent ces op rations comme non constitutives d un abus de droit d s lors qu il constate la libert laiss e au donataire qui n tait ni oblig de c der les titres donn s ni oblig de s associer avec les donateurs pour le remploi des fonds provenant de la cession
17. t e Coups de projecteurs sur o Les nouveaux avantages octroy s aux personnes physiques o La relance des d penses de recherche et d veloppement o Un contr le renforc de l administration fiscale sur les entreprises o L all gement des contraintes pour les PME o De nouvelles r gles importantes en mati re de TVA e Les d cisions jurisprudentielles les plus significatives e Les tendances actuelles de l administration fiscale Pour vous inscrire rendez vous sur notre site Internet www lamy lexel com gt Imp t sur les soci t s charge de la preuve pesant sur le contribuable et sur PAdministration Conseil d Etat 3 et 8 sous sections 21 mai 2007 n 284719 min c Soci t Sylvain Joyeux Le Conseil d tat vient de clarifier les obligations qui p sent sur le contribuable et PAdministration en mati re de preuve d une charge d duite l appui d une facture Il rappelle qu il appartient l entreprise de justifier le montant des charges d duites et le principe m me de leur d ductibilit Ces obligations sont r put es satisfaites par la production d une facture r guli re relative un achat de biens ou de services dont la d ductibilit par nature n est pas contest e par PAdministration et qui correspond une d pense r ellement support e Ainsi la production d une facture r guli re constitue une pr somption de d ductibilit de la charge qui lui correspond L Administration
18. t tre rompus en l absence d un motif valable Dans ces conditions quelle proc dure les employeurs doivent ils appliquer en cas de rupture du CNE Pour la Cour d Appel de Paris le CNE doit tre requalifi en un CDI de droit commun Cour d Appel de Paris 18 Chambre 6 juillet 2007 Cependant les conditions l gales organisant les conditions de rupture du CNE sont toujours en place En cons quence doit on respecter non seulement les r gles applicables en mati re de rupture de CNE en particulier le versement de l indemnit de rupture gale 8 du montant total de la r mun ration brute due au salari depuis le d but du contrat en m me temps que faire application des r gles relatives au licenciement de salari s embauch s sous CDI de droit commun motivation de la lettre de rupture et tenue d un entretien pr alable afin de garantir une proc dure contradictoire Droit Fiscal Les dispositions de la Loi de Finances font chaque ann e couler beaucoup dencre et de salive D importantes r formes sont en cours tout particuli rement en mati re de fiscalit Il est donc primordial d tre sensibilis aux nouvelles r gles Nous vous proposons donc d en examiner les aspects essentiels lors d une demi journ e d information gratuite afin de mieux comprendre les volutions clairer les questions pratiques et analyser les opportunit s comme les risques A l ordre du jour de cette rencontre notammen
19. tre pris pendant la p riode pr vue cet effet gt Chartes d thique et alertes professionnelles Tribunal de Grande Instance de Nanterre 19 octobre 2007 Un r cent jugement du Tribunal de Grande Instance de Nanterre vient d apporter un l ment nouveau la construction d un r gime juridique applicable aux chartes d thique ou codes de conduite et aux syst mes d alertes professionnelles ou alertes thiques mis en place dans les entreprises afin de lutter contre la corruption Chartes d thique attention la requalification en adjonction au r glement int rieur article L 122 39 du Code du Travail D s lors que le code de conduite en cause instaure des r gles g n rales et permanentes en mati re de discipline il constitue une adjonction au r glement int rieur L employeur est alors tenu de respecter les r gles relatives la mise en place et la modification du r glement int rieur en lesp ce le Comit d Entreprise et le Conseil d Hygi ne de S curit et des Conditions de Travail n avaient pas t consult s sur l un des textes en cause lequel est d clar nul linterdiction d apporter des restrictions aux droits des personnes et aux libert s individuelles qui ne seraient pas justifi es par la nature de la t che accomplir ni proportionn es au but recherch article L 122 35 du Code du Travail en l esp ce le TGI a censur une disposition qui vi
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