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No 05 L`école entre tradition et modernité

1. L cole entre ef tradition et modernit Guide d outils pratiques pour canaliser la violence E Ouvrage qui s adresse toute personne ou tout professionnel confront r guli rement la violence E Des concepts th oriques clairs E Des cas pratiques illustr s E Des outils efficaces d montr s Les statistiques de la violence Celui qui ne sait pas est un ignorant mais celui qui sait et qui ne fait rien est un criminel Bertold BRECHT Figure 1 Sanctions des mineurs en 2009 Le travail d int r t g n ral est de loin la sanction la plus pris e par les pr sidents l entr e en vigueur de la nouvelle proc dure p nale ni e quelques nouveaut s concernant les e des adultes noter que la capacit de niveau de EH en de le la mativ rale des sta d tre attentif aux eftets du processus de filtrage qui rend sans ol de ces chiffres entre eux ceux ci sancti a employ s publics qui encadrent occi Figure 2 Processus de filtrage des infractions l ex cution d une peine En effet comme le montre le sch ma ci dessus sur l ensemble des infractions commises seul un certain nombre d entre elles sont port es la connaissance de apport du D partement f d ral de justice et police sur la violence 2008 28 Comprendre et d samorcer la violence chez les jeunes Comprendre et d samorcer la violence chez les jeunes 29 La violence e o
2. Un jeu pour mieux les comprendre La Bo te aux motions permet aux enfants de 4 8 ans de prendre conscience par le jeu de leurs sentiments et de les tion Distinguant entre les person nes qui apr s la scolarit obliga toire sont entr es dans la formation professionnelle et celles qui ont opt pour des tudes acad miques il arrive la conclusion que le capital humain du deuxi me groupe r siste mieux l usure du temps Le type d ducation semble selon lui tre plus important que la dur e de la formation Par ailleurs il obtient un taux de d pr ciation annuel de 0 7 en moyenne pour les hommes et de 1 5 pour les femmes Le deuxi me chapitre distingue dif f rents facteurs qui ont une in fluence sur la croissance des revenus d un individu ici l auteur montre que l exp rience g n rale sur le march du travail constitue de loin le facteur le plus important pour la croissance des salaires plus impor tant que l exp rience dans la profes sion ou la fid lit l entreprise Ici encore le type de formation semble tre plus important que sa dur e Le troisi me chapitre traite de ques tions relatives la dur e et la s cu rit des emplois avec la conclusion que l impression r pandue selon la quelle les emplois seraient de moins en moins s rs n est pas confirm e par les chiffres Weber Sylvain On the impact of education on human capital depre ciation wage growth and
3. dence trop peu A titre informa tif les m mes 100 USD plac s en obligations auraient rapport fin 2011 3479 USD A cela s ajoute que les placements pr tendument sans risque en titres d emprunts publics se r v lent tre de plus en plus une entreprise risque infruc tueuse Aux Caisses d en tirer les cons quences Il leur faut exploiter syst matiquement la libert accor d e par le l gislateur dans le choix des v hicules de placement g rer de fa on professionnelle et juste pour tous les assur s les carts par rapport la strat gie long terme s accommodant de d couverts et d exc dents de couverture et faire fi de ces contraintes r guli res li es au court terme et qui exigent des r sultats imm diats CPVAL vient d actualiser sa strat gie pour les trois prochaines ann es Peu de changements ont t intro duits par rapport la strat gie ac tuelle C est sans doute bien une bonne preuve que le travail avait t bien fait il y a trois ans Reste esp rer que les march s se calme ront bient t et fourniront un envi ronnement propice une reprise de confiance et une croissance des r sultats En attendant la Caisse est strat giquement et tactiquement pr te pour affronter l avenir avec comme objectif une recherche de rendement pond r avec un mini mum de risque El R sonances F vrier 2012 e Jemaine d actions contre le racisme La Journ e internationale
4. nancier Etincelles de culture www vs ch ecole culture gt Etincelles de culture Nouvelle mise jour de la liste des professionnels de la culture C Pierre Rosat com dien conteur rosat j Fincelles de Kulturfunken culture l cole in der Schule suisserrant com OU WwWw suisserrant com Bien videmment vous trouverez toutes ces informations ainsi que les pr c dentes sur le site www vs ch ecole culture gt Etincelles de culture 41 Concours es frappadingues de R sonances premiers dessins Le concours de dessin humoristique ou mini BD de 2 5 cases strip avec remise des prix en juin 2012 est lanc Les dessins de plusieurs classes th me 1 du P re No l sont parvenus la r daction Pour rappel le deuxi me th me est le nucl aire Le concours est ouvert de l cole enfantine au secon daire Il g n ral et professionnel en passant bien vi En raccourci Institut fran ais de l ducation Dossier sur l ducation innovante et creative Le paysage ducatif de ces derni res ann es est largement irrigu par les notions de mesure de la r ussite scolaire de poursuite d une meilleure efficacit de d ploiement d valuations des r sultats et de tests tous les niveaux pour s assurer que les l ves atteignent certains standards de performance Pour autant elles coexistent avec les notions de cr ativit et d innovation 42 demme
5. quipe de chercheurs en Onta rio r v le que cette crainte est justi fi e Dans un sondage r cent men 40 e f r 4 i e E tegt z aire DOHommes BFemmes SFT URD 7 co R partition des hommes et des femmes dans l enseignement l exemple du Valais romand aupr s de 223 enseignants du pri maire de la r gion 13 ont d clar avoir t accus s tort d avoir eu des contacts inappropri s avec des l ves Or selon des enseignants interro g s dans le cadre d une des tudes cit es plus haut les enseignants masculins comprendraient mieux les gar ons ils auraient une gestion de classe plus souple moins enca drante ils se montreraient moins contr lants et plus tol rants aux mouvements ou aux bruits dans la classe ils porteraient moins d at tention l am nagement physique de la classe et aux d tails et leur gestion serait plus globale Ces l ments expliqueraient ils leur pr sence plus forte dans le secondaire Et si leur absence des petits degr s contribuait renforcer les difficul t s observ es l cole davantage par les gar ons que par les filles La mixit du personnel d un tablis sement scolaire ne refl te t elle pas la soci t pour les l ves N ont ils pas besoin de mod les masculins La compl mentarit des approches et points de vue des uns et des au tres ne leur est elle pas profitable Enfin si Lacan a affirm que le r
6. Quel conseil pourriez vous don ner aux enseignants Lorsque la classe est agit e on peut prendre deux minutes pour que cha cun arr te son petit v lo mental et se concentre sur l ici et le mainte nant Eteindre pendant quelques se condes son mental en d pla ant son attention sur son corps physique et motionnel limine nombre de ten sions C est simple basique et pour tant r ellement efficace Eteindre son mental facile dire mais pas facile faire Non il ne s agit pas de faire une re laxation mais juste par exemple de porter son attention durant quel ques secondes sur ses orteils en les bougeant Rien que cela permet de rel cher la pression Faut il ensuite parler des sour ces de tension Bien s r cela d pend de la situation mais bien souvent il n est pas n ces saire de verbaliser ensuite On met sur pause quelques secondes puis on reprend le cours Propos recueillis par Nadia Revaz Pour en savoir plus www oge biz gt OGE enfants et ados http programmes france2 fr leurs secrets du bonheur gt Jeanne Siaud Facchin R sonances F vrier 2012 A vos agendas Jusqu au 10 03 2012 M diath que Valais Martigny Exposition Lectures d enfance Cette exposition itin rante pr sente des interviews et les lectures d enfance de 10 personnalit s romandes Elle m le des t moignages et des documents sur tablettes de lecture ainsi que des livres pour enfants et p
7. bourses d tudes et celui de l aide sociale Un projet lanc il y cinq ans a permis environ 1400 jeunes adultes de commencer une formation professionnelle a relev Philipp M ller secr taire g n ral adjoint du D partement vaudois de la sant et de l action sociale Au total 65 d entre eux ont poursuivi leur formation ou obtenu un dipl me de fin d apprentissage Un an apr s avoir r ussi leur CFC la plupart ont trouv un emploi Et 600 jeunes adultes ont pu sortir de l aide sociale Le Canton de R sonances F vrier 2012 Vaud pense que ce programme permettra moyen terme d conomiser quelque 10 millions de francs par an au niveau de l aide sociale L Hebdo 3 01 2012 B Association Ados Job Jobs d tudiants plus durs trouver Pour la premi re fois en dix ans les petits jobs ont enregistr deux mois de recul cons cutifs la fin de 2011 L association Ados Job r f rence romande sur le march des emplois tudiants signale une baisse de 10 en novembre et de 30 en d cembre Camille Angelo Aglione pr sident d Ados Job esp re que l effet est saisonnier Le march des petits jobs est un bon indicateur pr coce de la conjoncture Nous savons par exemple qu avec le franc fort l industrie du tourisme grosse pourvoyeuse de petits jobs embauche moins cet hiver a t il indiqu dans un communiqu En raison d une fin d ann e en net recul l offre d emplois publ
8. menius au XVII si cle ou un P re Girard au XIXe Y a t il une sup riorit des syst mes traditionnels C est la suite des premi res enqu tes du PISA Pro gramme International pour le Suivi des Acquis des l ves depuis 2000 r sultats en 2003 que Fribourg et Valais ont t soudain promus meilleurs l ves de la Romandie alors qu ils taient consid r s au XIX si cle comme les cancres du pays en comparaison intercan tonale des examens p dagogiques des recrues Mais que ce soit aujourd hui pour leur r ussite ou autrefois pour leur chec la raison invoqu e est rest e la m me ces deux cantons se caract risent par une instruction publique attach e la tradition Ainsi la modernit scolaire passe pour une source de progr s au XIX et d chec aujourd hui SH Dans le domaine scolaire que reste t il de moderne lorsqu on a limin tout ce qui a t repris EH Est ce qu on ne se tromperait pas d indicateur Il faut constater que l essentiel de l explication des retards sco laires du XIX repose sur des facteurs structurels tels fr quentation ou statut des instituteurs sup rieure et meilleur respectivement dans les cantons en voie d in dustrialisation tandis qu au tournant du XXI si cle c est plut t l h t rog n it des populations scolaires par le taux d l ves allophones entre cantons urbani s s et cantons p riph riques Cette composante est d aille
9. 2011 E France L cole pour chacun Le sur mesure ducatif pr n par le Minist re r ussira t il l o l galitarisme a chou La sociologue Agn s Van Zanten en doute Car il risque de favoriser les l ves qui en ont le moins besoin au d triment des autres Il faut personnaliser l ducation r p te Luc Chatel l actuel ministre de l Education Derri re ce terme on trouve des initiatives tr s diverses s adressant de fa on s lective 48 Revue de presse un petit nombre d l ves et qui s opposent aux politiques universalistes mais aussi l action prioritaire men e dans les zones et des tablissements sp cifiques En rempla ant l objectif d une cole pour tous par celui d une cole pour chacun et en d pla ant la responsabilit de l Etat vers les individus ce discours rompt pourtant significativement avec les valeurs qui ont anim les politiques ducatives depuis l apr s guerre L Express 7 12 2011 m L cole fran aise Transform e en machine d sint grer Selon Philippe Meirieu dans le petit jeu des annonces gouvernementales qui s emballent l approche des lections le rep rage des enfants risque et haut risque en maternelle est tr s repr sentatif d une conception tout fait coh rente de l enseignement fond e sur des principes simples m dicalisation d tection et d rivation On investit l essentiel de notre nergie rep rer les dysfonctionn
10. RYCHNER Antoinette Petite collection d instants fossiles L H be SEIGNE Aude Chroniques de l Occident nomade Paulette URECH Marie Jeanne Les valets de nuit l Aire est encore plus motivant C t l ves il a toujours l impression que ce type de projets un peu sp cial stimule leur curiosit litt raire Au d but de l aventure ils taient n anmoins inquiets craignant de manquer certaines parties du pro gramme explique le professeur convaincu par ce type d action vi tion de deux classes d un m me tablissement scolaire l change sant leur faire d couvrir d une autre mani re la litt rature Historique du projet Fabienne Althaus Humerose enseignante Gen ve est l origine de cette aventure visant montrer aux jeunes que la litt rature s crit ici et mainte nant et pas seulement en France Pour Fabienne Althaus Humerose pr si dente de l Association l objectif est de permettre aux l ves de traverser des univers litt raires tr s diff rents les uns des autres pas forc ment destin s a priori aux lyc ens mais refl tant la production litt raire contemporaine ro mande Et d ajouter Pour les professeurs c est aussi un temps de libert dans le programme qui ouvre d autres perspectives Le prix litt raire Roman des Romands G n ration Nouvelle qu elle a cr s est tendu depuis son lan cement en 2009 Toutes les classes du post obligatoire secondaire Il g n
11. anmoins actifs II y a ceux qui valorisent une discipline les ICT le plus souvent ou qui mettent en avant une approche p dagogique ceux qui privil gient l imperti nence ceux qui pr f rent l humour crayonn Certaines pages sont aliment es r guli rement d autres moins Difficile de pouvoir dire que ceux pr sent s ci apr s sont les meilleurs mais ils valent le d tour m me si l on ne partage pas l en semble des points de vue ce qui en soi est logique en raison du ton personnel de ces pages R sonances F vrier 2012 http lIpear lylY vf Carnet Eduveille s articule autour des recherches en ducation et en formation http eduveille hypo theses org Veille et analyse TICE le blog de Bruno Devauchelle propose de partager d battre et apprendre wwWw brunodevauchelle com blog Histoire lyonelkaufmann ch raconte l histoire sous l angle d un profes seur la HEP Vaud et concocte r guli rement des revues de presse cibl es http Iyonelkaufmann ch histoire blog P dagopsy est l incontournable site de Jacques Nimier sur les facteurs humains dans l enseignement et la formation d adultes qui contient des milliers de pages class es par dossier tout en privil giant l inter disciplinarit www pedagopsy eu Chronique Education tel est le nom du blog de Philippe Watrelot qui contient une riche revue de presse de toute l actualit p dago gique partir des quotidiens fran ais h
12. autre moiti Dans nos vieilles v rit s et nos vieilles habitudes tout n est pas digne d tre conserv Henri Roorda 1870 1925 in Le p dagogue n aime pas les enfants Mille et une nu ts 2012 Querelle des Anciens et des Modernes Une certaine p dagogie est en vogue Elle nous vient d Italie de Belgique On est Decrolyen Montessorien ou p dagogue traditionaliste Que faut il penser de ces nouveaux syst mes d ducation Certains trop press s ou les connaissant insuffisamment les rejettent en bloc Je ne crois pas qu il soit opportun de partir en guerre au nom des Anciens contre les Modernes Si ceux ci se trompent rappelons nous qu il y a dans toute erreur une parcelle de v rit et recherchons la M Hamayon in Ecole primaire anc tre de R sonances 1943 1944 R sonances F vrier 2012 Wans le r troviseur et l horizon de Dani le P risset La th se de Dani le P risset in titul e Vocation r gent insti tutrice jeux et enjeux autour des Ecoles normales du Valais ro mand 1846 1994 et publi e en 2003 dans les Cahiers Valle sia portait pour partie sur la dy namique entre tradition et mo dernit travers les instituts de formation des enseignants du canton D s lors il semblait int ressant d avoir son avis sur cette volution propos de l Ecole va laisanne aujourd hui d autant que son parcours dans le do maine de l ducation est riche e
13. aux demandes de ren seignements de la population et de groupes d int r t en mati re de d veloppement durable Bonne r flexion et surtout bon en gagement dans cette ducation au d veloppement durable Animation EP E Gurru AA T COLE U Zei Di ds sites qu b cois et internationaux dont des adresses suisses class s th matiquement pour r ussir l cole et se mettre en route vers l cole du futur Un magazine riche en liens ducatifs d couvrir aussi sur le site du magazine de l cole et de la famille d aujourd hui www ecolebranchee com 45 a s lection du mois m Se servir de l actualit en classe Ce petit opuscule incite faire un d tour par l actualit en classe pour former des comp tences citoyennes et construire des connaissances disciplinaires L auteur offre des pistes concr tes que chaque enseignant peut s approprier sa mani re Alain Dalongeville Un projet pour se servir de l actualit en classe Paris Delagrave 2011 DELAGRAVE nn gt Citation extraite de l ouvrage Etudier l actualit l interroger en r alit cela devrait signifier aller au del de cette position de consommateur d une pens e pr t porter Et cela sans tomber dans l illusion que l information pourrait tre une relation simple de faits bruts sans commentaires m Mobiliser les l ves sur l orthographe Pour int resser les l ves sur l orthog
14. but du XX si cle parce que ce qui tait in dit alors para t aujourd hui banal L histoire est un excellent apprentissage de l humilit C est important de reconna tre ce que l on doit nos pr d cesseurs notamment ceux de l ducation nouvelle qui ont laiss une empreinte importante dans notre cole La m thode Montessori comme celle de Freinet seraient inapplicables telles quelles aujourd hui dans l cole publique N anmoins on y puise sans toujours en avoir conscience des pistes p dagogiques pertinentes et adapt es au contexte actuel La recherche n aurait elle pas un plus grand r le jouer pour une meilleure connaissance histo rique en mati re p dagogique Oui mais le d ficit de la recherche en ducation en histoire mais aussi dans les autres domaines c est sans doute l aspect de la vulgarisation A part les Philippe Meirieu Philippe Perrenoud Walo Hutmacher ou Mi reille Cifali tous professeurs m rites pr sent que nous avons beaucoup entendus ces derni res an n es et j en oublie certainement la voix de la re Le dossier en citations Assumer la diversit des l ves Enseigner au XXI si cle implique de renoncer certaines m thodes qui ont pu s duire autrefois parce que l cole fonctionnait selon le mod le d exclusion et liminait impitoyablement tous ceux qui n entraient pas dans le moule Assumer r solument la diversit des l ves d aujourd hui suppose des v
15. coll ge www2 cndp fr Revuetechno Chiffre du mois B T f partition hommes femmes dans l enseignement 1 des enseignants de l cole enfantine et plus de 60 au secondaire II sont des hommes en Valais en 2011 Les majorit s d hommes et de fem mes dans l enseignement en Valais s inversent avec la progression dans la scolarit Que cela soit dans le Valais romand ou en Haut Valais on ne rencontre que 1 d hommes en 2011 dans le degr pr scolaire et ils sont en majorit dans le secon daire Il Qu en est il de l volution au cours du temps Au niveau suisse l OFS recensait par exemple 68 de fem mes enseignant dans les degr s pri maires en 1994 79 4 en 2006 82 1 en 2011 et en pr voit 85 4 en 20207 Un renforcement de la sur repr sentation des femmes dans l enseignement primaire est donc pr vu ces prochaines ann es Ce ph nom ne dans le primaire ne se limite pas notre pays Ainsi les en seignants masculins sont par exem ple en voie de disparition au Qu bec Une recherche montre les rai sons de ce d sinvestissement Cette profession per ue comme un do maine f minin ne jouit pas d un bon statut social aux yeux des hommes Ils se per oivent stigmati s s dans cet emploi qu ils consid rent sous pay et surcharg de tra vail L argument le plus troublant qu ils voquent est la crainte que la soci t se m fie d un homme qui aime travailler avec des enfants Une
16. en Institution de la petite enfance au travers de deux pratiques contras t es de lecturel criture Gen ve th se de doctorat l Universit de Gen ve Facult de psychologie et des sciences de l ducation 2011 196 p th se FPSE 471 Annexes dans un fichier s par de 119 p Th se et annexes peuvent tre t l charg s en format PDF http archive ouverte unige ch unige 14864 No de r f rence CSRE 11 086 R sonances F vrier 2012 Les effets de l ducation sur la d pr ciation du capital humain la croissance des revenus individuels et la dur e des emplois Cette th se de doctorat est consa cr e diff rents aspects du march du travail d pr ciation du capital humain croissance des revenus dur e des emplois et analyse de fa on approfondie leur relation avec le niveau de formation des travailleurs Les donn es utilis es pour les analyses statistiques pro viennent de l Enqu te suisse sur la population active ESPA Le premier chapitre consid re la d pr ciation du capital humain Quels sont les liens entre la formation par courue et la durabilit de la valeur de ce qu un individu a appris Les re cherches existantes sont arriv es des conclusions peu homog nes bien que la question n ait pas re u beaucoup d attention Dans cet ou vrage au lieu de se focaliser sur la dur e de la formation l auteur a tudi l impact du type de forma En raccourci Les motions
17. fr quent aka cfa en CR por n GONG Ge out Ch ALE at maiti eine dactiques de la Di lecture va matemeleo l universit Cekeel Roland Goigoux et Marie Christine Pollet dir Didactiques de la lecture de la maternelle l universit Presses universitaires de Namur collection de l AIRDE 2011 gt Citation extraite de l ouvrage La didactique de la langue doit int grer fonctionnelle ment la technologie faute de quoi les jeunes seront d habiles technologues et de faibles lecteurs sur les divers supports num riques Il ne s agit pas que de domestiquer une n o culture dont les jeunes sont d j friands mais d adapter l cole un univers socio culturel de plus en plus exigeant et polymorphe qui r clame que l on forme des sujets aptes des productions et interpr ta tions diff renci es et critiques sur des sujets complexes R sonances F vrier 2012 Monique Lebrun et Nathalie Lacelle D velopper la comp tence la lecture et l expression multimodale gr ce une didactique de la litt ratie m diatique critique o Nuage ne se sent pas la hauteur payiri farasi P PET Nuage ne as sent Nuage se sent nul il ne sait Ge la hauteur pas voler aussi haut que le majestueux Etoile et il n est pas aussi rapide que le vif Eclair Quand son tour arrive l entra nement c est avec terreur qu il regarde le ciel Il a la t te qui
18. le plus faible Comment s expli quent ces carts Les analyses faites dans le cadre de cette recherche soulignent tout d abord que le prin cipe le plus structurant des in gali t s scolaires est l origine socio co nomique des l ves et que ces in galit s n ont pas la m me ampleur dans chaque canton Elles montrent ensuite que les diff rences de scores moyens entre cantons sont en grande partie li es l ge moyen des l ves en classe de 9 tr s varia ble d un canton l autre Lorsque cette dimension est neutralis e par 38 Felouzis Georges Charmillot Sa muel Fouquet Chauprade Barbara Les in galit s scolaires en Suisse et leurs d clinaisons cantonales l ap port de l enqu te Pisa 2003 Revue suisse de sociologie 37 ann e 1 2011 pp 33 55 No de r f rence CSRE 11 083 Impl mentation de la litt racie mergente en Institution de la petite enfance au travers de deux pratiques contrast es de lecture criture Cette th se de doctorat accept e par la Facult de psychologie et des sciences de l ducation FPSE de l Universit de Gen ve met en lu dans des activit s dirig es de lecture interactive o il est consid r comme un partenaire actif pr sente plus d ai sance avec le monde de l crit tant au niveau du d veloppement lexi cal oral qu au niveau de l acquisi tion de la langue crite Navarro William Edeline Impl men tation de la litt racie mergente
19. lib rer et au lieu d atten dre que la soci t change voluons nous m mes sa chant que quand on bouge tout bouge Un seul stage est il suf fisant pour permettre aux jeunes stagiaires d am lio rer leur bien tre Les stages ne n cessitent aucun pr requis et aucun suivi r gulier Le but n est pas d aller vers une qu te impossible du bonheur permanent mais d apprendre davantage couter ses envies et vivre l ins tant pr sent sans jugement sans comparaison dans le respect de soi et des autres Oser tre soi ne signi fie videmment pas que l on puisse tout se permettre Comment se d roule un stage Nous n avons pas de formule toute faite puisque nous partons des be soins des individus Seule constante l intervenant ne se met jamais dans la posture de celui qui sait comment r soudre les probl mes mais est dans le r le de celui qui accom pagne vers l autonomie R sonances F vrier 2012 Vos interventions se font elles parfois en contexte scolaire Nous sommes intervenus dans quelques coles priv es au niveau du primaire et dans une cole pu blique du secondaire pour le mo ment En discutant avec les ensei gnants il semble que les principaux probl mes de leurs l ves sont la confiance en soi la concentration et la motivation L nous travaillons d velopper des outils pour que les enseignants puissent leur tour les transmettre leurs l ves sans notre interm diaire
20. lopper des projets avec Di dapages 2 Basic Deux conditions sont toute fois demand es tre ensei gnant de l cole obligatoire valaisanne et accepter de suivre une introduction de deux heures pour ma triser l application Nous disposons pour l heure de 50 comptes enseignants Chaque ensei R sonances F vrier 2012 7 out asi arr ta ph retable gnant peut ensuite cr er un compte pour chacun de ses l ves afin qu ils utilisent le logiciel Didapages 2 Basic C est un service g r par les animateurs ICT du canton du Valais Quelques pistes p dago giques possibles d utilisation Cycle 1 BH Imagiers de la classe de l cole E Cahier num rique des comptines de la classe CO Histoire collective CO R alisation en arts visuels Cycle 2 CO Modes d emploi o Albums de classe textes lus E Album collectif de po sie ou de chants CO Cr ation de contes albums B Cahiers d environnement Cycle 3 CO Cr ation de livres interactifs B Expos s PT LS KEE Ces pari ai vg Lee cutan des ben TT Le chien Chici Quelques d tails 1 T l chargement Didapages 2 Basic est une appli cation qui s int gre sur une page internet et s utilise donc depuis son navigateur Le logi ciel n est donc pas t l chargea ble c est un service en ligne 2 Mac ou PC Il suffit de pouvoir ouvrir une page internet contenant une animation en Fash 7 minimum donc Didapa
21. ospitalit da parte dell instituto scolastico e pi escur Carlotta e Carolina Non essere timidi CT Jean Sapersi adattare alle usanze del paese in cui si sta CT Arianna Affrontare l esperienza con serenit ed impegnarsi affinch l os pite si senta a proprio agio e parte della famiglia O Ariela Scrivere le parole nuove su un quaderno utile per non scordar sele 24 Renseignements pour un change linguistique Bureau des changes linguistiques Planta 1 1951 Sion 027 606 41 30 bel bsa admin vs ch www vs ch bel effet L exp rience de l change est pour tous renouveler C t b mol il y a peut tre le caract re un peu hautain des Valaisans qui au raient tendance se croire meil leurs que les autres Les coll giennes d ici constatent que leurs coll gues italiens com prennent mieux et ont plus de faci lit parler fran ais apr s cette im mersion de quelques jours ce qui les motive partir Bracciano Elles notent que les Italiens ont par contre eu quelque difficult avec le changement de rythme puisque chez eux ils finissent plus t t l cole et ont donc davantage de repos et de loisirs Un d calage plus facile int grer dans le sens Valais ltalie L change versant Italie octobre 2011 Pendant deux semaines en octobre 2011 ce fut au tour du Liceo de Bracciano de recevoir les coll giens en provenance du Valais Corinne Barras a accompagn
22. par contre une diff rence signifi cative entre les deux r gions en ce qui concerne la lecture PISA 2009 Comp tence R sultats de aupr s des OU ands e des jeunes Romands ja quatri me enqu te PISA ves de 9e ann e sas Spa CT SA Gaang LOCH Pisa l enqu te de l OCDE sur les per formances l cole a d montr que les jeunes gens g s de 15 ans enre gistraient de tr s bons r sultats en math matiques et de bons r sultats en sciences naturelles En lecture la Suisse s est nettement distanc e de la moyenne de l OCDE d sormais elle fait partie d un groupe de pays dont les r sultats se situent au des sus de la moyenne Les r sultats de huit cantons al maniques AG AR BE d BL SG SH VS d et ZH de la 50 Principaut du Liechtenstein et de tous les cantons romands sont dis ponibles Les comparaisons inter et intra cantonales permettent d iden tifier les forces et les faiblesses du syst me scolaire valaisan et d initier des mesures cibl es Pour la premi re fois les perfor mances en lecture des jeunes fr quentant les classes de 9 ann e scolaire peuvent tre compar es puisque la lecture tait le th me principal de PISA 2000 et 2009 Au niveau cantonal cette comparai son est possible uniquement pour le Valais romand R sultats 2009 en lecture Le Valais conna t dans les domai nes de la lecture Haut Valais 504 points Valais romand 522 moyen ne fix e
23. peu favorable l utilisation intensive des transports publics Le Canton s engage n an moins soutenir et promouvoir une utilisation diversifi e et ration nelle des diff rents modes de trans port avec en priorit la mobilit douce et les transports publics par tout o ceux ci peuvent tre attrac tifs particuli rement dans les zones touristiques la vall e du Rh ne et les zones urbaines La couverture de l ensemble du canton par le r seau des transports publics de meure un objectif de la politique cantonale Exemples de mesures g Inciter la mobilit douce et l uti lisation des transports publics par une politique tarifaire et fis cale adapt e E Soutenir les initiatives pion ni res tendant r duire les transports inutiles ou tester de nouvelles id es en mati re de d placements professionnels et de loisirs BH Renforcer le r seau des pistes cy clables les itin raires et les voies pi tonni res Domaine 12 Veiller la coh sion sociale par l int gration et le respect Le d veloppement durable se cons truit sur la base d une soci t qui table et solidaire Afin d viter une fracture sociale et en consid rant les valeurs constitu tionnelles le Valais entend encou rager les initiatives favorables la coh sion en visant principalement l int gration de chacun par le res pect et le dialogue la coexistence harmonieuse entre g n rations et groupes sociaux
24. peut n anmoins y avoir de la place pour l innovation Oui m me si cela peut para tre paradoxal Sur le terrain il y a des enseignants novateurs et engag s qui font vo luer leur pratique l int rieur d un cadre structurant Il y a un m lange entre fiert r gionale et ouverture sur le monde et les deux sont bien assum s l int rieur du canton Walo Hutmacher a mis en avant la grande fiert des Finlandais concernant leur identit sp cifique et c est certainement un l ment que nous partageons 7 Nous revendiquons les parts de richesses de nos tradi tions tout en tant dans le m me temps r ceptifs aux adaptations n cessaires actuellement Le changement pour le changement est par contre banni car la menta lit traditionnelle rejette la nouveaut qui ne fait pas sens Cet ancrage et ce cadrage sont des l ments de r ussite observ s dans les recherches p dagogiques Nous avons donc une chance faire valoir dans notre mani re de vivre le pr sent avec un il qui regarde dans le r troviseur pour rester en phase avec la r alit du ter rain et l autre scrutant l horizon du futur pour lorgner du c t des innovations int ressantes importer tout en les adaptant notre terreau et nos particularit s Tradition et modernit semblent donc bien assu m es mais elles sont n anmoins toujours en in teraction voire en tension ici aussi La tradition n existe qu partir du moment o l on
25. plus existentielles Face ce d sarroi pour autant qu il soit av r il nous reste en trer dans leur chambre et les ai der ranger plut t que de baisser les bras ou ronger notre frein C est alors que nous sommes sou vent surpris par une autre forme de d sordre plus fonctionnel celui ci les voir h siter ne sachant par o commencer confondre v tements sales et v tements propres se met tre classer les crayons suivant la 30 couleur et les trombones suivant la taille bourrer un tiroir d objets h t roclites s interroger sur l origine de ceci l utilit de cela Et de nous rendre ainsi compte que le sens du rangement n est pas donn Soigne ton orthographe L analogie appara t vidente il faut donner le sens de l orthographe EE Il faut donner le sens de l orthographe aux l ves E Donner le sens de l orthographe c est la pr senter comme un instru ment mis au service de l activit de production de textes crits Elle doit constituer plus pr cis ment un moment de la r vision textuelle et s inscrire donc dans une dur e qu il s agit d am nager autant que possi ble en dehors des contraintes li es l laboration des contenus et la mise en forme du texte Dans ce sens la dict e favorise ce moment privil gi o l l ve n a d autre souci cognitif que d crire correc tement Cette approche int gr e de l orthographe a l avantage de faire e
26. pour PISA 2009 493 des math matiques Haut Valais 550 Valais romand 553 PISA 497 et des sciences naturelles Haut Va lais 518 Valais romand 525 PISA 501 des r sultats sup rieurs la moyenne suisse lecture 502 ma th matiques 536 sciences natu relles 517 Les r sultats des deux r gions linguistiques du canton sont tr s proches en math ma tiques et en sciences les diff rences sont significatives en lecture En lecture la partie germanophone du canton moyenne de 504 points se situe au dessus de la moyenne nationale la partie francophone 522 points obtient avec Schaff house le meilleur r sultat en com paraison cantonale La proportion d l ves risque l ves capables de lire des textes simples mais dont les comp tences ne suffisent pas pour tirer profit de l offre de formation se situe au des sous de la moyenne suisse 14 8 tant dans le Valais romand 8 que dans le Haut Valais 11 Quant la part d l ves ayant les meilleurs r sultats la partie francophone du Valais enregistre le plus fort pour centage national 10 4 Les facteurs individuels tels que le genre le niveau socio conomique l origine des l ves et la langue parl e la maison ont un fort im pact sur les r sultats en lecture A titre d exemple les gar ons obtien nent un rendement en lecture si gnificativement inf rieur celui des filles Il existe galement une corr lation entre l
27. pour illustrer des propri t s de l eau r unissent le mat riel puis les r alisent nos l ves l exp rien ce consistera donc pre mi rement d crire la r alit non plus par les sens mais par des me sures L apprentissage de la mesure est donc une condition pr alable la r alisation d exp riences Les me sures doivent tre r p tables et ri goureuses Pour cela les l ves vont apprendre utiliser pr cis ment puis r gler et enfin choisir un instrument de mesure La cr ation d instruments de mesure est un bon moyen de comprendre r elle ment l action r alis e Tout cela ex plique bien pourquoi les sciences de la nature et les math matiques ont t regroup es dans le m me domaine disciplinaire en se parta geant MSN 25 Lors de l exp rimentation propre ment dite le premier objectif at teindre sera simplement de savoir lire et appliquer un protocole d marche comparable la lecture d un mode d emploi d une r gle de jeu cf PER L11 21 31 ou d une recette de cuisine PER CM36 L im portant est que l l ve FASSE Les d monstrations d exp rience ne sont pas exclure mais elles ne permettent pas aux l ves de d ve lopper toutes les comp tences en rience La pr paration d une exp rience Lorsque l l ve sait pourquoi il va faire telle exp rience le pari est ga gn Mais pour faire encore faut il d terminer les constantes et la varia ble
28. raccourci Revue Prismes La cr ativit Cr ativit de l espace pour une pens e libre E L enseignant devient observateur s abstenant de toute intervention de quelque nature que ce soit Objectifs g n raux E Stimuler le travail de groupe en classe CO D velopper les capacit s de l l ve travailler en quipe en lui faisant prendre en charge l enti re responsabilit d une preuve Offrir une activit de recherche math matique vari e B Encourager les changes entre les professeurs de math matique H Pr senter une alternative com pl mentaire au concours indivi duel FFJM CO Observer ses l ves voir com ment ils utilisent les concepts math matiques tudi s ant rieurement savoir quelles con naissances ils sont capables de mobiliser correctement quelles erreurs ils commettent E EI PRISMES tel est l intitul du dernier num ro de la revue de la HEP vaudoise Dans ce nouveau Prismes il est question des espaces pour la cr ativit de la cr ativit dans les pratiques enseignantes de cr ativit de formation et de didactique mais aussi des artistes et sportifs au gymnase www hepl ch gt Presse HEP gt Prismes 18 Commission AVECO Renseignements compl mentaires Vous pouvez obtenir tous les ren seignements compl mentaires n cessaires aupr s de Alain Beetschen T l priv 076 565 78 63 Christina Berclaz Fournier T l p
29. ral et professionnel sont invit es participer R sonances F vrier 2012 La c r monie de remise du prix Ro man des Romands a eu lieu le ven dredi 20 janvier 18 h 30 au Th tre Benno Besson d Yverdon apr s une pr s lection de trois titres suite un d bat C est lors de cette soi r e que le roman de Reynald Freu diger a t prim le livre de Marie Jeanne Urech et celui de Douna Loup figuraient dans le tierc apr s les d bats du 17 janvier Compl ments sur internet Pour couter le Caf litt raire anim par les coll giens www mediatheque ch valais ma rie jeanne urech html Pour en savoir plus sur le prix lit t raire le Roman des Romands Www romandesromands ch Pour d couvrir l univers de Ma rie Jeanne Urech wWww marie jeanneurech com 33 Du c t de la HEP VS CD en francoproven al pour les coles valaisannes La HEP VS a pour mission de r a liser des mandats de prestation et quand le talent de p dagogue et de musicienne de Carine Tripet Li vre rencontre un terrain aussi fertile cela d bouche sur un voyage en 16 chansons dans les terroirs musicaux et francoproven aux valaisans avec un r sultat de toute beaut Juste avant No l en pr sence de nombreux autres mu siciens valaisans tels Jo l Nendaz ou Paul Mac Bonvin ce CD p da gogique a t pr sent la HEP VS site de St Maurice afin qu il de vienne partie int grante du p
30. refusant de t moigner parce que mais la soci t dans son ensemble vivant dans la honte n est pas exempte de torts sachant que les facteurs socio conomiques jouent incontestablement un r le majeur dans la spirale de l chec Et en plus le jeune qui d croche n a pas fait les efforts n cessaires afin d obtenir une maturit ou un CFC Le probl me c est que tout ce petit monde a tendance se renvoyer la balle sans assumer sa part de co responsabilit Et comme la solution ne peut tre que syst mique on se M me si les signaux de l cole valaisanne sont bons il est vain de faire l autruche le d crochage scolaire ainsi que le manque de motivation de certains l ves face aux savoirs en contexte scolaire y sont aussi pr sents Nous devons tous collectivement et individuellement nous impliquer pour une institution qui ne laisse personne sur le bas c t sachant que la marge fait partie de la trouve dans une impasse page De nombreux d fis attendent l cole Cette derni re doit conna tre Mais tout d abord qui sont ces jeunes qui d crochent son pass pour l adapter ou r ellement innover afin En g n ral ce sont des chiffres voqu s par les m dias d optimiser son fonctionnement aujourd hui Pour En Suisse selon l Office f d ral de la statistique on reprendre les mots d Andr Giordan L cole du XXI consid re que la part des jeunes de 18 24 ans sans si cle n aurait elle pas ga
31. ruban pied coulisse thermom tres ou de calibres diff rents thermom tres dyna mom tres b chers et de mander de choisir le plus Le Chimiscope s inscrit apr s le Physiscope ouvert en 2008 dans la dynamique de la Facult des sciences d offrir au grand public et aux l ves une approche adapt moderne de la science CT Concours de mesures en classe Au travers de s ances de CT Apprendre le nom du mat visites le Chimiscope propose un clairage attrayant sur les mol cules riel scientifique leurs transformations et leurs applications dans le monde qui nous entoure O Relier des hypoth ses et ou Le Chimiscope fait la part belle l exp rimentation les visiteurs se muant probl mes aux exp rimenta tant t en acteurs tant t en spectateurs La plateforme du Chimiscope est tions correspondantes am nag e de moyens audiovisuels et de mat riel de laboratoire de pointe CT Ordonner les tapes d un pro dont l agencement permet des d monstrations et des projections en lien tocole avec la chimie la biochimie les mat riaux l environnement la science C Faire choisir dans une liste de propositions un dispositif ex p rimental qui permet de r soudre le probl me Donner le mode op ratoire et demander d crire la liste du mat riel n cessaire CO Donner un sch ma de mon tage et demander de r diger la liste de mat riel et le mode op ratoire O Ecrire un bon de comm
32. s ouvrir l autre et aller voir au del de ses fronti res et prendre ce qu il y a de bon sans ris quer de se perdre Je souhaite qu elle s ouvre la di versit sans jamais craindre pour son identit Propos recueillis par Nadia Revaz H l ducation qui fait que si un enfant n obtient pas de certificat il est perdu L cole a d autres objectifs mais garde les m mes outils Interview de Georges Pasquier www hebdo ch si_on_ y apprenait les langues_ca_se_ 140489_ html Echapper aux pressions d en haut Pour beaucoup d enseignants la classe appara t aujourd hui comme un refuge o ils peuvent mettre en jeu leur autonomie se soustraire aux changements qu ils per oivent t l guid s den haut et chapper au moins partiellement aux pressions multiples qui s exercent sur eux Mais en m me temps la classe est aussi la limite de leurs actions et pouvoirs ils sont les rois et ma tres d un royaume bien troit et dont parfois les turbulences apparaissent difficiles contenir Maurice Tardif et Claude Lessard L cole change la classe reste in Eduquer et former Editions Sciences humaines 2011 B j Lagere crois s entre tradition et modernit Comment les enseignants per oivent ils la dynamique entre la tradition et la modernit de l Ecole valai sanne Lara Devanth ry Marie Pierre Dorsaz et Pa trice Fournier ont accept de livrer leurs points de vue Un questionnement particuli rement difficile d
33. tenure Th se Universit de Gen ve Fa cult des sciences conomiques et sociales 2011 155 p en PDF sous http archive ouverte unige ch unige 16682 No de r f rence CSRE 11 091 Toute la recherche en ducation suisse sur votre iPhone ou iPad Procurez vous l app gratuit du CSRE http itunes apple com fr app skbf csre id439678515 mt 8 p dagogiques de toute la Suisse pour la r alisation de leurs projets dans le domaine de l ducation au d veloppement durable Dans ce but il est pr vu de regrouper la Fondation Education et d veloppement et la Fondation suisse d ducation pour l environnement www cdip ch gt Communiqu s de presse Revue Technologie Quelle technologie pour le coll ge interpr ter Une aptitude qui peut se r v ler pr cieuse pour leur d veloppement et pour am liorer leur qualit de vie www emotionshbox ch Education au d veloppement durable Centre national de comp tences d s 2013 Un nouveau centre national de comp tences EDD ducation au d veloppement durable entamera ses activit s partir de janvier 2013 L agence sp cialis e apportera son soutien aux coles et aux hautes coles R sonances F vrier 2012 En France l enseignement technologique conna t WW aujourd hui une profonde mutation L un des changements majeurs est la r novation des programmes de technologie au coll ge La revue Technologie s y adapte en int grant des contenus sur le
34. tielles et cr er des productions diverses Mais un projet doit s inscrire dans une vraie d marche p dagogique c est donc un che minement complet pertinent et tr s pratique que nous propose ce guide Des projets concrets une marche suivre tape par tape des conseils d enseignants des outils fonctionnels et des fiches reproductibles en font un accom pagnant indispensable pour tra vailler par projets L APPRENTISSAGE PAR PROJETS AU SECONDAIRE Gade pigu pus paii Si r alige der proprie me Buck institute for education Lucie Arpin et Louise Capra L ap prentissage par projets au secondaire guide pour planifier et r aliser des projets avec ses l ves Montr al Editions La Che neli re 2011 Daphn e Constantin Raposo enseignante MEDIATHEQUE MEDIATHEK valais wallis Les livres pr sent s dans cette rubrique sont disponi bles la M diath que Valais www mediatheque ch am Le guide de l enseignant Les auteurs ont cr ce guide pratique pour r pondre aux interrogations des enseignants du primaire comment g rer une classe du primaire et asseoir son autorit Comment pr parer une bonne s ance p dagogique cr er une bonne ambiance de travail ou gagner le respect des l ves jean Yvon Lafinesire Yann Cei u ggl imini par e gata G rer 58 classe de prima WT CH mg Autant de questions auxquelles beaucoup d enseignants attendent des r ponses concr te
35. tourne et entend les autres ricaner Selon lui il n a aucune des qualit s qu on attend d un faucon Mais un face face avec un serpent du d sert va lui prouver le contraire Ce livre qui contient un mode d emploi pour aborder ce conte m taphorique dit th rapeutique est une fa on originale de porter attention la confiance en soi par le biais d une fiction Sylvie Sarzaud amp P pinot Nuage ne se sent pas la hauteur Paris Eyrolles 2011 partir de 6 ans gt Citation extraite de l ouvrage Le troisi me quant lui n avait pas de chance de poss der de tels dons Il h sitait tout le temps et semblait m me un peu dans les nuages Alors le fauconnier l avait appel Nuage et faisait souvent suivre ce nom d un soupir d agacement Chaque jour l entra nement se d roulait de la m me mani re au grand d sespoir de Nuage La suggestion d une enseignante L apprentissage par projets au secondaire Plus que la motivation d avoir une bonne note provoquer chez l l ve un r el besoin de savoir est un r ve caress par beau coup d enseignants Ce r ve peut devenir r alisable gr ce l apprentissage par projets Cette fa on de travailler am ne les l ves participer activement un processus de recherche ri goureux formuler un certain nombre de choix d montrer une compr hension approfondie des connaissances et des ha bilet s scolaires requises d velopper des comp tences essen
36. veut freiner les effets de la modernit Dans l action l on n a pas conscience du c t traditionnel de ce que l on fait sauf lorsque l on folklorise Dans une cole du bon sens les risques de d rives des d marches p dagogiques sont encadr s Il s agit dans tous les cas d aller chercher les l ves l o ils sont pour les amener l o l enseignant a d cid de les emmener L l ve n est donc pas dans la d tresse d aller l o il veut pour reprendre les mots d une chanson de William Scheller puisque tout en prenant en compte ses diff rences on lui dit clairement Viens A la HEP des tu diants de la fili re du secondaire ont fait un magnifique compliment l cole en disant que toutes les ap proches p dagogiques y taient pr sent es avec leurs avantages et inconv nients inh rents sans endoctrine ment Gr ce au bon sens les formateurs n ont pas peur de pr senter la vari t des d marches possibles pour ai der les l ves apprendre Ainsi le mod le transmissif Le dossier en citations Le changement dans la continuit Pourquoi la soci t ou une organisation changent elles Et pourquoi ne changent elles pas Ces deux nigmes sont au c ur des sciences sociales Les soci t s et les organisations changent mais en conservant une identit une structure une culture alors m me que les acteurs se renouvellent voluent apprennent L on peut s tonner aussi bien de l volut
37. y avait celles de Corrado Bee et de Pierre Fran ois Mettan tous deux enseignants au coll ge de l Abbaye de Saint Maurice Dans le cadre de ce projet visant lire le meilleur li vre parmi une s lection de neuf ti tres choisie par des professionnels du livre et des enseignants ces deux classes ont anim en commun un Caf litt raire la M diath que Valais avec Marie Jeanne Urech comme invit e La rencontre d bat portait sur son roman Les Valets de nuit une uvre fictionnelle pleine de fantaisie en lien avec la crise des subprimes Gr ce au Roman des Romands Ma rie Jeanne Urech a pu rencontrer des jeunes de toute la Suisse ro mande via un certain nombre d coles inscrites au concours Pour elle c est toujours un plaisir de voir s additionner l imaginaire du lec teur celui de l crivain qui y met son monde L int r t premier de ce prix est de favoriser ce lien entre Nadia Revaz Le commentaire de Melissa l une des coll giennes J ai beaucoup appr ci le caract re dynamique de cette participation au Ro man des Romands L enseignant d couvrait en m me temps que nous les li vres et n avait donc aucun pr jug ce qui donnait une autre dimension son cours Nous avions peu pr s une semaine par livre aussi je regrette de n avoir pas pu les travailler autant que je l aurais souhait N anmoins la lec ture de ces livres nous offre une bonne vision de la litt rature d ici et d
38. 08 2010 2011 2011 2012 UI N N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d cembre N 5 f vrier N 6 mars N 7 avril N 8 mai N 9 juin N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d cembre N 5 f vrier N 6 mars N 7 avril N 8 mai N 9 juin N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d cembre N 5 f vrier N 6 mars N 7 avril N 8 mai N 9 juin N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d cembre N 5 f vrier N 6 mars N 7 avril N 8 mai N 9 juin N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d cembre Infos 2007 2008 Ecole Culture Regards crois s sur la diff renciation Raisonner les peurs Les dessous des grilles horaires Partenariat Ecole Famille Cr ativit amp Logique 1 2 Cr ativit amp Logique 2 2 L cole en route vers l EDD Infos 2008 2009 Les volutions de l cole Informatique math matiques Les outils de l valuation La gestion des l ves difficiles Exp rimenter le savoir Le temps de l cole A l cole de l interculturalit Briser les id es re ues sur l cole Infos 2009 2010 Droits de l enfant Citoyennet Structuration de la langue de la pens e La verticalit 1 2 La verticalit 2 2 Les personnes ressources de l Ecole valaisanne 1 2 Les personnes ressources de l Ecole valaisanne 2 2 L humour l cole Entraide entre pairs Infos 2010 20
39. 11 Quantit et ou qualit Sciences techniques technologies Eveil r veil de la curiosit Comprendre le monde environnant Dyslexie dysorthographie Les 10 ans de la HEP VS R ussite scolaire et norme L image de l enseignant Eclairage 2011 2012 M tier d l ve Les intelligences multiples en classe Le d but du cycle 1 La citation L intelligence esta capacit de r soudre des probl mes nouveaux Edouard Clapar de En raccourci Revue l Ecole num rique Primaire et num rique A l cole primaire les nouvelles technologies se sont peu peu install es dans les classes et les usages se diversifient Quelle est la plus value v ritable du num rique pour les principaux apprentissages l cole primaire Comment les nouvelles technologies peuvent elles favoriser l acquisition des comp tences du socle commun Ce num ro de l Ecole num rique aborde les usages et pratiques du num rique l cole maternelle la formation et de l exp rimentation autour d un espace num rique de travail collectif le dictionnaire des coliers La bo te OuTices de cette dition s ouvre sur la visioconf rence Plusieurs articles sont en ligne dont un article sur l cole num rique l horizon 2021 www cndp fr ecolenumerique Revue Parole L aventure Ricochet Parole la revue francophone de l Institut suisse Jeunesse et M dias propose dans son dernier num ro 20
40. 11 non pas une th matique mais des points d interrogation et des questionnements En premier lieu comment est n le site Ricochet Rencontre entre deux figures de la litt rature jeunesse Etienne Delessert interroge Janine Despinette propos de cet incontournable site qui s installe lentement en Suisse Autre question o l Oulipo a t il fait des mules parmi les acteurs de la litt rature pour la jeunesse Plusieurs articles dont la rubrique As tu lu sont accessibles en ligne www jm arole ch R sonances F vrier 2012 SAATCHI CH el abonner Les abonnements pour les tarifs cf impressum peuvent se faire CT par courriel resonances admin vs ch 1 par courrier DECS SFT R sonances rue de Conthey 19 cp 478 1951 Sion Pour des raisons administratives cen tralisation des fichiers il est imp ratif que tous les abonnements et les chan gements d adresse se fassent par cour riel ou par courrier et non par t l phone avec indication du degr d en seignement enfantin primaire CO secondaire ll Merci toutes et tous pour votre compr hension Pour consulter les archives de R sonances www vs ch sft gt R sonances mensuel de l Ecole valaisanne R sonances fait parler de vous Mensuel de l Ecole valaisanne n BHE e A D Aan F ne ne AA S k Ai i cest deg e Pour vos annonces CEI CHOECHLI Technop le 3960 Sierre DEA impression communica
41. 2 25 25 info schoechli com E Impression exp dition Schoechli impression amp communication SA Technop le 3960 Sierre T l 027 452 25 25 info schoechli com e Zoccrocherpourroccrocher les d crocheurs Nadia Revaz Accroche ton chariot une toile difficult s qu ils peuvent rencontrer Reste que lorsque Ralph Waldo Emerson plusieurs de ces d crocheurs s expriment on prend alors la mesure des carences du syst me Envoy sp cial Pourquoi tant de jeunes d crochent en abandonnant mission de France 2 a r cemment diffus un poignant l cole sans dipl me La r ponse est videmment reportage sur ces jeunes qui quittent l cole sans aucun complexe et multifactorielle L cole n a s same enfin selon nos crit res Force est de constater vraisemblablement pas su veiller leur curiosit n a pas que leur courage et leur envie de s en sortir sont grands t capable de leur proposer un mod le d apprentissage mais si peu r compens s Assur ment certains de ces adapt a fait des erreurs d aiguillage lors de jeunes s inventeront un chemin qui les conduira la l orientation scolaire et professionnelle Certes mais r ussite professionnelle apr s un ventuel retour la l cole n est pas seule responsable Il y a galement la case cole toutefois la journaliste raconte qu elle a famille qui a manqu d autorit qui rencontr nombre de d crocheurs n a pas assur le lien Bon d accord
42. 2 et cycle 3 on se dit que cette estime r ciproque va encore se renforcer l cole obligatoire Esp rons juste que ce resserrement des liens se fera aussi au del car le m tier a besoin d union pour la force Nadia Revaz 37 Actualit s La derni re s rie d informations sur la recherche en ducation en Suisse num ros 11 081 11 100 pour l ann e 2011 est accessible l adresse suivante www skbf csre ch fr recherche en education information informa tions recentes Les in galit s scolaires en Suisse et leurs variations cantonales l apport de l enqu te PISA 2003 Trois chercheurs membres du Grou pe genevois d analyse des politiques ducatives GGAPE ont voulu en savoir davantage sur l ampleur et les sources des in galit s scolaires en Suisse Afin d y arriver ils se sont pench s sur les donn es de l en Recherche une analyse multiniveau le canton perd une grande partie de sa capa cit explicative et les performances compar es des cantons sen trou vent nettement boulevers es Enfin la recherche a montr que les in galit s scolaires sont fortement cor r l es l ampleur de la s gr gation sociale dans les fili res de chaque syst me ducatif cantonal Felouzis Georges Charmillot Sa muel Fouquet Chauprade Barbara Syst mes ducatifs et in galit s sco laires en Suisse Une analyse de l en qu te PISA 2003 Gen ve Univer sit de Gen ve GGA
43. 4 GUNT enregistrement vid o documents Nee j DVD R infrarouge SI MONS N Les standards en mentionn s si i ga Wee TSR prod 2010 ducation dans le monde ui giel Cote 37 014 3 494 RETO francophone une analyse disponibles la siii 1 M diath que Les grandes mutations qui transforment l ducation Paris OCDE Comparative IRDP Institut Valais Saint Maurice cf 2010 Cote 37 014 GRAN ER EE EE cotes indiqu es et pour documentation Que fait la sociologie dans la formation des enseignants Formation et pratiques d enseignement en questions revue des HEP de Suisse romande et du Tessin no 10 2009 Neuch tel p dagogique Neuch tel Institut de recherche et de documentation p dagogique certains Sion galement Coordonner collaborer coop rer de nouvelles Conf rence des directeurs des hautes coles p dagogiques et 2006 Cote 37 012 MONS D D s BEE GE institutions assimil es de Suisse romande et du Tessin 2009 E ee Cote 37 015 4 OUER STATIUS P De l ducation Perspectives en ducation amp EE Core oo formation Bruxelles De CONNAC S Apprendre avec les p dagogies coop ratives z NT la crise de l cole l ge Boeck 2007 d marches et outils pour l cole P dagogies Outils Issy les i e d mocratique Recherches Cote 37 013 COOR Moulineaux ESF d 2009 Cote 371 38 CONN et Innovations sur et pour L enseignement aujour
44. La classe de Corrado Bee 32 La classe de Pierre Fran ois Mettan R sonances F vrier 2012 Marie Jeanne Urech lors du Caf litt raire profond ment subversif Quant Florent il voque un roman sur prenant qui avec son ton l ger permet de toucher plusieurs types de lecteurs Ce Caf litt raire fut d un riche ar me avant le partage autour d un vrai caf Pour les enseignants ce type de projet apporte un r el b n fice aux tudiants Corrado Bee sou ligne que les l ves ont eu beau coup de plaisir ces d couvertes litt raires Il ajoute que ces ren contres avec les auteurs sont pr cieuses pour permettre aux tu diants de modifier leur perception sur les livres Pierre Fran ois Met tan est du m me avis que son col l gue et ajoute que pour sa part il a particuli rement appr ci le dia logue qu ils ont eu autour de ce projet commun Avec la participa MEDIATHEQ MEDIATHEK E wi valais wallis KI SION MARTIGNY ST MAURICE LE BRIG li mma L une des tudiantes ayant anim le Caf litt raire La s lection 2011 2012 du Roman des Romands BOVARD Jacques Etienne La Cour des grands Campiche FREUDIGER Reynald Angeles L Aire FRIEDRICH Alexandre Ogrorog Ed des Sauvages KRAMER Pascale Un homme branl Mercure de France LOUP Douna L embrasure Mercure de France MASSEREY Eric Le retour aux Indes Campiche
45. PE 2009 39 p Working Paper en PDF sous www unige ch fapse ggape Documents WorkingPaper_10 2009 pdf CSRE mi re travers l analyse microg n tique d un dispositif didactique le fait que la construction des con naissances de l enfant en institu tion de la petite enfance passe par l laboration progressive et paral l le d un espace de significations partag es ou de l action conjointe de l ducatrice et des enfants et est d pendante d une zone de com pr hension commune Elle tudie de mani re comparative l impact de deux pratiques diff rentes de lecture criture observ es en insti tution de la petite enfance avec des enfants de 3 4 ans sur l en tr e dans l crit en premi re ann e du cycle scolaire l mentaire Ge n ve Elle cerne les interactions ver bales et gestes professionnels de l ducatrice dans la struc turation de son activit en situation et confronte ce cheminement dans sa tem SKBF CSRE qu te PISA 2003 Celle ci s tait concentr e sur les math matiques elle avait poralit Les r sultats met tent en vidence que l en fant lorsqu il est engag entre autres montr que les performances des l ves de 9 varient d une ma ni re non n gligeable entre les can tons si en moyenne les adoles cents suisses avaient obtenu 535 points on a constat une diff rence d approximativement 50 points en tre le canton le plus fort et le can ton
46. a pr paration de cette audi tion qui obtint un vif succ s tant au niveau des l ves que des en seignants Malheureuse ment les deux s ances pr vues ont t r duites une repr sentation faute d int r t de cer taines classes ou com munes Ce mois de d cembre pass tait certainement trop charg en offres et activit s diverses R flexions A l vidence ces actions culturelles et p dagogiques semblent peu de Education musicale chose si l on tient compte de la quantit de classes susceptibles d tre int ress es On pourrait sou haiter une meilleure participation d autant plus que l ensemble des di rections scolaires taient inform es Il faudra s rement du temps pour que les liens entre l cole et les insti tutions musicales cantonales s affer missent Cependant sans aller jusqu faire appel aux dites institutions rappe lons que B dans chaque classe il y a des l ves pratiquant un instrument ou de la danse B dans chaque classe il y a s re ment des l ves faisant partie d un ensemble musical B dans chaque collectivit on trou ve un ensemble instrumental ou vocal avec lequel un projet pour rait tre r alis dans la simpli cit et l efficacit C est cette volont de rendre votre classe et votre centre scolaire musi calement dynamiques que nous vous souhaitons en 2012 Bernard Oberholzer Jean Maurice Delasoie Notes mT 1 Organisme com
47. aisan du Lyc e Col l ge de la Planta de Sion et du Col l ge de l Abbaye St Maurice ont d couvert le Liceo scientifico Ignazio Vian de Bracciano pr s de Rome L avant change enmars 2011 L change linguistique ce n est pas seulement le temps d accueil de son correspondant tranger et le s jour dans un lieu diff rent pour d couvrir une autre langue c est aussi une longue pr paration et une fois termin l tablissement ou non de contacts durables avec la r gion et ou ses habitants Pour le Bureau des changes linguistiques l change individuel implique un accompagnement chaque tape de la premi re rencontre jusqu l valuation bilan Au fil des ans Corinne Barras responsable du BEL a pu am liorer ce suivi tout en sa chant que l alchimie ne fonctionne jamais 100 car il ne s agit pas de traiter des dossiers mais de travailler avec des humains et leur caract re Lors du premier entretien en vue d un change linguistique indivi duel Corinne Barras essaie toujours Nadia Revaz Donatella Bonifazi enseignante Bracciano Corinne Barras responsable du BEL et Cinzia Maschietto enseignante et responsable des changes linguistiques au lyc e coll ge de la Planta de bien cerner les motivations pro fondes du jeune histoire d tre s re que ce ne soit pas juste la volont des parents tant donn que m me s ils doivent s impliquer en particu lier lors de l h bergemen
48. aisses ont elles chapp la crise financi re et ses r percussions parfois im portantes sur les capitaux de pr voyance qu elles se trouvent confront es de nouveaux d fis Bon nombre d conomies abaissent leurs taux d int r t et donc les rendements Des Etats qui en leur qualit de gros d biteurs sont largement repr sent s dans les portefeuilles des Caisses se trouvent au bord de la faillite Les organes res ponsables ont donc fort faire voluant tant bien que mal sur le grand huit des attentes des assur s des employeurs et des milieux politiques CP P Depuis que la LPP permet tous les salari s de Suisse de percevoir une rente ou un capital la retraite une pluie de critiques s est abattue sur le syst me conditions d acc s excluant les bas salaires absence de transparence avoirs de vieil lesse chelonn s qui nuisent aux travailleurs g s sur le march de l emploi frais de gestion et d admi nistration excessifs et enfin inca pacit s adapter l volution d mographique Mission et objectifs D un bout l autre de l Europe seuls la Suisse et les Pays Bas misent r solument sur le syst me de capi 28 RS PER talisation par opposition celui de l AVS appel r partition pour la constitution de capitaux de vieil lesse personnels servant assurer le financement des rentes Dans le syst me de capitalisation l aug mentation de l esp ran
49. anction plus classique comme du travail d int r t g n ral s il estime que le jeune lui faisant face saura tirer profit d une telle exp rience Il fait appel aux b n voles de l association des Rendez vous en biblioth que Leur mission aider les jeunes justiciables souvent en d licatesse avec l cole retrouver leurs rep res gr ce des entretiens individuels men s dans le cadre feutr d une biblioth que de leur r gion Le livre devient vecteur de r int gration sociale et viatique pour un nouveau d part La Libert 7 01 2012 B Pol mique Des bonnes notes pour les minces Le c l bre nutritionniste Pierre Dukan propose en France d attribuer des points bonus aux l ves qui restent sveltes Et si les tudiants pouvaient choisir l option minceur au baccalaur at Ils se verraient attribuer des points suppl mentaires s ils r ussissent conserver un indice de masse corporelle IMC situ entre 18 et 25 durant les trois ann es avant le bac C est ce que propose pour lutter contre l ob sit le c l bre nutritionniste L cole ailleurs et ici Nouvelle plateforme High Tech Un iPad pour chaque lyc en un lyc en pour chaque iPad C est le r ve un peu fou vers lequel Apple a fait un pas en d voilant son offensive sur le front des livres scolaires Comme pr vu l entreprise lance un outil d dition gratuit sur Mac baptis iBook author pour cr er en quelques clics des livres lectroniques i
50. ande de mat riel pharmaceutique et les sciences de la Vie www chimiscope ch Revue H misph res Dossier Ralentir pour progresser La revue suisse de la recherche et de ses applications dit e par la Haute Ecole sp cialis e de Suisse occidentale HES SO propose un dossier passionnant sur une th matique d actualit Ralentir pour progresser Les articles abordent la O Donner la liste du mat riel et th matique sous l angle historique philosophique conomique social demander d crire le mode artistique A lire tout particuli rement l interview du philosophe Harmut op ratoire Rosa auteur d Acc l ration en lien avec l utopie de la modernit d c l r e O Mimer le d roulement d une tant convoit e Comme pour le premier num ro le dossier s accompagne exp rience et faire crire le d un bulletin qui propose une exploration panoramique de la recherche protocole aux l ves appliqu e en Suisse Dans cette deuxi me dition il est par exemple O Ecrire un protocole pour un question du studio d enregistrement de la Fondation Tibor Varga ou du autre groupe dernier ouvrage de l ing nieur et glaciologue valaisan Am d e Zryd O R aliser le protocole d un au www revuehemispheres com tre groupe classe O R crire ensemble un proto L aventure du livre cole O Remplir une fiche d valua Parcours tion de protocoles par d au de la biblioth que tres l ves num rique O Pour des id es d
51. ant toutes les tapes de la cr ation du livre Dans la cr ation d un livre Dida pages de nombreuses comp tences PER sont au programme Leur ac quisition se fait tout naturellement Apprendre utiliser des outils in formatiques et multim dias cy cle I fanfreluche va Sa raconter l histoire de Hansel et Grethel version 209 Didapages permet d laborer j Iti des livres mU au format flash sans erer Sen informatique particuli re m dias interactifs aissance B Savoir produire une r alisation m diatique cycle 1 CO Savoir diff rencier les supports de communication cycle 1 E Savoir utiliser de mani re auto nome et pertinente des outils in formatiques et des appareils au diovisuels cycle Il CO Ma triser les bases de la dactylo graphie cycle Il E Savoir rep rer s lectionner et utiliser des productions m dia tiques et des ressources num riques de mani re autonome cycle III D autres comp tences peuvent tre cit es bien s r Didapages permet d ailleurs de bien exploiter au ni veau de l enseignant et des livres pr parer pour les l ves les ap ports des ICT aux branches Plu sieurs projets sont d ailleurs en cours tant en compr hension de la lecture que des arts visuels Il n est pas vraiment n cessaire de proposer des liens dans cette pr sentation car le net en regorge Les livres r alis s par des classes sont l gion Une petite rec
52. at D un num ro l autre R sonances Ch Didapages orme efrancoprovenc al Pisa 50 52 R sonances F vrier 2012 tre D ne Et nm EE be rg modernit int ressant de regarder dans le r troviseur avant de regarder l horizon Reste que l cole est aussi le temps du pr sent et de l imm diatet 4 A fuir la modernit scolaire P P Bugnard Dans le r troviseur 1 et l horizon de Dani le P risset N Revaz Regards crois s 1 0 entre tradition et modernit N Revaz La bibliographie 1 2 de la Documentation p dagogique E Nicollerat fuir la modernit scolaire A fuir la modernit scolaire on risque de retomber sur une vieille nouveaut qu on rige en tradition La modernit c est forc ment de la nouveaut en voie d exp rimentation du latin modernus r cent Et si la modernit fait courir un risque de rupture d chirante la tradition au contraire offre l apparence d une continuit rassurante Ainsi lorsqu un syst me fonctionne mal on pr f re sou vent revenir la tradition L historien britannique Hobsbawm l a montr nous inventons continuel lement des traditions pour nous rassurer en ar rangeant des l ments tir s du pass en r formes Ainsi pour toute l histoire de l architecture Gom brich n a relev que trois modernit s d cisives les styles gr co romains le gothique le Bauhaus Tout le reste
53. atives cantonales ou intercan tonales A noter aussi que ce qui se d roule hors temps scolaire en bi blioth que scolaire dans le cadre de lectures interg n rationnelles interculturelles etc fait aussi par tie de notre p rim tre d int r t R sonances F vrier 2012 Vous pouvez par ailleurs nous faire part de vos attentes et besoins en mati re de promotion de la lecture aupr s des enfants et des jeunes Merci par avance pour votre pr cieuse collaboration Pour annoncer vos actions et pro jets de promotion de la lecture na dia revaz admin vs ch 027 606 41 59 079 429 07 01 ANIMATION TH TRE ET CRITURE ATELIER POUR LES CLASSES 17 Semaine de la langue fran aise et de la francophonie mars 2012 www siff ch En partenariat avec la Ferme Asile la SLFF propose aux l ves du se condaire I et Il un atelier centr sur le plaisir des sons et des mots L atelier donne go ter la saveur d un fran ais inat tendu la langue du th tre contemporain de la franco phonie de la po sie sonore ou du slam Dans un second temps l animateur invite les En raccourci Bourse d tudes Initiative et concordat Annonces l ves d lier leur expression ex plorer d autres voix et voies Les textes ainsi produits seront en suite mis en voix et en musique avec les l ves volontaires dans la journ e du vendredi 30 mars la Ferme Asile en vue d un con cert du grou
54. atri moine de chaque enseignant Carine Tripet Li vre de la HEP VS rend le patois si accessible EEEE Dans son mot d introduction le di recteur Patrice Clivaz souligna la dis ponibilit de l institution qu il dirige pour des mandats qui permettent de LE TOUR pu EK ROMAND EN 16 CHANSONS Un CD ave d velopper les approches p dago giques de qualit Avec ce CD les en seignants disposent d un instrument tr s facile et parfaitement construit fait de chants faciles soigneusement choisis et m me d entrer tr s faci lement dans l oreille des petits et des grands Bernard Bornet pr si dent du Conseil du patois manda taire du travail insista sur ce par cours qui de Randogne Troistor rents a permis Carine Tripet Li vre de choisir les couplets les plus abor dables de les compl ter musicale Bernard Bornet pr sident du Conseil du patois Jean Albert Ferrez pr sident du Grand Conseil Carine Tripet Li vre professeur la HEP VS Patrice Clivaz directeur de la HEP VS en compagnie de participants ce vernissage dont Marcel Thuerler pr sident des patoisans gruy riens Paul Mac Bonvin et Jo l Nendaz musiciens 34 c 16 chansons en patois HEP VS ment et de les appr ter de fa on les rendre partie int grante d une capacit collective issue des racines de ce canton capacit collective qui peut tre fertilis e par l cole alors qu au d but du si cle pas
55. au jourd hui Pour chacun des romans les avis n taient pas unanimes et ce qui tait appr ciable c est que nous avions davantage de libert au niveau de la critique Nous avons parfois d d passer le caract re herm tique de certains textes pour essayer de les comprendre mais globalement la s lection nous a plu Pour les tudiants le plus motivant c est de pouvoir rencontrer les au teurs surtout pour les classes litt raires La litt rature devient ainsi plus acces sible Je suis heureuse de d couvrir que l on peut vivre de ce m tier en 2012 des jeunes et des auteurs puisque chaque classe inscrite au concours accueille de mani re al atoire deux crivains formidable occasion d voquer leur livre ainsi que leur parcours professionnel Lors du Caf litt raire organis Saint Maurice le 29 novembre der nier une tudiante a pr sent une biographie bibliographie de Marie Jeanne Urech une autre a r sum le livre pour le public qui ne l aurait pas encore lu avant un premier temps de questions r ponses au quel l crivaine s est pr t e avec simplicit et enthousiasme Dans un deuxi me temps deux jeunes ont fait part de leur critique de l ou vrage un autre en a lu un passage avant de conclure sur un change avec l auteure Pour Isaac l un des critiques Marie Jeanne Urech est parvenue unir un monde imagi naire un monde bien r el en ca chant entre les lignes un discours
56. ce de vie joue un r le beaucoup moins im portant que la productivit sa voir le rendement net des place ments Ce rendement est cens garantir des rentes constantes durables Autrement dit les Caisses doivent rester ma tresses de leurs co ts et de leurs revenus long terme Il d coule de cette mission que de bonnes prestations requi rent des int r ts suffisants d pen dant de revenus distribuables Ces derniers ne sont envisagea bles qu au prix de placements en valeurs r elles Evolution des march s d investissement D un point de vue macro cono mique les Caisses devraient placer la totalit de leur fortune en ac tions Elles satisfont en effet aux conditions du long terme Comme les Caisses ont des besoins de place ment grandissants et peuvent sup porter les variations temporaires de leurs actifs la d tention d ac tions se justifie pleinement 100 USD plac s en 1899 en actions au raient rapport 157 596 USD fin 2011 et ce malgr de fortes pertes boursi res Il est toutefois vrai que les fluctuations des placements en actions requi rent des nerfs solides et doivent parfois pouvoir tre sup port es sur de longues p riodes D o l importance de ne pas c der Patrice Vernier des vents de panique mais bien au contraire de conserver ses place ments et de r investir sans cesse les revenus Que faire Les engagements en obligations ou en cr dit rapportent de toute vi
57. ces inno vations ce qui fait que certains enseignants se croient novateurs alors qu ils ne font que remettre jour les id es de p dagogues du pass d il y a 100 ans Toute innovation suit un processus long et complexe elle commence de mani re isol e avant d tre reprise par une majorit qui la transforme puis l habitude fait qu on oublie quelle question r pond l innovation de venue pratique ordinaire C est donc une bonne chose d aller voir du c t de l histoire pour avoir conscience des r manences historiques un concept cher Pierre Philippe Bugnard de l Universit de Fribourg En la mati re on se dit que la perspective histo rique n a pas beaucoup d importance dans un canton qui se targue d tre traditionnel Je discute r guli rement avec mes tudiants la HEP pour dater ce qu ils croient tre des nouveaut s de la p dagogie et qui n en sont pas L l ve au centre R sonances F vrier 2012 votre avis de quand est ce que la formule date Re gards perplexes C est ancien Ah bon 10 15 ans Plus 20 ans De fait la formule est de Clapar de 1905 Personne ne songe remonter si loin dans le temps En visionnant le film Home Chez Nous film tourn par Adolphe Ferri re dans les ann es 1920 sur les hauts de Lausanne pour soutenir ses conf rences internationales sur l Education nouvelle ils ne per oivent pas d embl e ce qui est innovant dans ces ann es du d
58. che Quelle som me contiendra t elle alors Des polygones quirapportent Ce matin le prof de math a com menc son cours en donnant les consignes suivantes Prenez une feuille rectangulaire Par un coup de ciseaux rectiligne d coupez la en deux polygones Pre nez un des deux polygones et d un second coup de ciseaux rectiligne partagez le en deux Prenez ensuite vo tre rapporteur Me surez tous les angles des trois polygones obtenus et calculez la somme de toutes ces mesures Tous les l ves ont effectu les mani pulations d crites par l enseignant Si certains d entre eux ont t inat tentifs d coupant des m andres ou obtenant quatre polygones au total Manu et Lisa ont respect scrupuleu sement les consignes donn es Et pourtant ils obtiennent des r sultats diff rents Manu a trouv la plus petite des valeurs possibles et Lisa la plus grande des valeurs pos sibles a Quelle valeur Manu a t il obtenue r ponse en degr s b Quelle valeur Lisa a t elle obtenue r ponse en degr s E 19 P y ettre en valeur vos r alisations avec Didapages Nous pr sentons ici la version 1 de Didapages la version gratuite que vous pouvez t l charger l adresse de www didasystem com Celui ci est gratuit pour une utilisa tion p dagogique Didapages per met d laborer des livres multim dias interactifs au format flash sans connaissance informatique particu l
59. ciaux cette mise en lien est facilit e Les coll giennes va laisannes avant de participer l change avec l Italie avaient donc rempli toutes ces conditions Laura avait par exemple expliqu que ce pouvait tre une occasion id ale d enrichir ses connaissances linguis tiques tout en d couvrant une au tre culture L change versant Valais ao t 2011 Les tudiants en provenance du ly c e Vian de Bracciano sont venus en Valais du 22 ao t au 3 septem bre accompagn s par leur ensei gnante de fran ais Donatella Boni fazi afin d avoir l occasion de ren contrer la signora dello scambio Sion ainsi que ses coll gues qui enseignent l italien en Valais L change c t enseignants Rencontre avec Donatella Boni fazi Cinzia Maschietto et Corinne Barras le 24 ao t pour parler de l change des am liorations ap porter etc Pour l enseignante de fran ais en Italie les premi res im pressions sont largement positives Elle trouve bien de d velopper les changes avec d autres r gions francophones que la France L en seignante Cinzia Maschietto con sid re que les changes constituent un enrichissement linguistique et culturel important Et Corinne Barras d ajouter que c est un bel largissement des points de vue sur un pays et ses habitants Parmi les am nagements apporter il y a l int gration scolaire des jeunes tant ici que l bas sachant qu il n est pas facile d arrive
60. cl s du succ s de la pers v rance scolaire Dans le contexte actuel o les probl matiques scolaires sont multiples bon nombre d l ves semblent peu pr occup s par l atteinte d objectifs ou l accomplissement de leurs t ches La persistance ne trouve plus sa place dans leur agenda charg Dans un monde o l on a tendance vouloir tout obtenir sur le champ les strat gies propos es visent apprendre aux l ves persister dans leurs apprentissages L ouvrage alterne aspects th oriques l ments de r flexion et applications pratiques Alain Caron Etre attentif c est bien Persister c est mieux Strat gies pour d velopper la persistance dans la t che des l ves Montr al Cheneli re ducation 2011 Un c d rom e Laurence Darcourt 100 Dolto Paris Eyrolles 2011 e Farid Haroud A deux carreaux de la marge Mon prof et moi souvenirs de Magyd Cherfi Philippe Claudel Juliette et les autres Paris Autrement 2011 e Michel Fabre Eduquer pour un monde probl matique Paris PUE 2011 interactif Suis ton chemin accompagne l ouvrage et une version en ligne moyennant un code est disponible tre attentif c est Be Persister cest mieux gt Citation extraite de l ouvrage Bref l attention l autocontr le et la persistance dans la t che peuvent s acqu rir m me si des facteurs neurologiques sont de nature en ralentir le d veloppement Face aux difficult s
61. contre la discrimination raciale mise sur pied par l ONU a traditionnellement lieu le 21 mars Cette date comm more ce jour de 1960 o Sharpe ville Afrique du Sud la police a ouvert le feu et tu 69 personnes lors d une manifestation pacifique contre l apartheid Depuis plusieurs ann es de nom breuses villes et r gions du monde organisent des actions contre le ra cisme et les discriminations durant la semaine pr c dant ou suivant le 21 mars Cette semaine th matique permet de parler du racisme et des diff rentes formes qu il peut prendre dans la soci t actuelle et de chercher des pistes pour le combattre Pour la troisi me ann e con s cutive le Canton du Valais met sur pied une semaine d actions sur ce sujet en col laboration avec les communes de Monthey Martigny Bagnes Sion Sierre et du Haut Valais Pour l dition 2012 ces organi sateurs souhaitent impliquer et sensibiliser la jeunesse sur le th me de la multiculturalit avec comme slogan La diversit une valeur suisse A l image de notre monde contemporain la Suisse est fond e sur l id e m me de diversit en conjuguant diff rentes cultures langues et religions Cette ann e la semaine d actions valaisanne aura lieu du 21 au 28 mars 2012 et s inscrit dans le cadre d une campagne romande contre le racisme Afin de permettre aux l ves de participer activement cette semaine d actions un concours leur est pro
62. d hui FORSTER S L cole et ses r formes Le savoir suisse 50 des enseignants et des forma contextes socio politiques Soci t Lausanne Presses polytechniques et universitaires teurs Paris l Harmattan Formation et pratiques romandes 2008 Cote 37 014 3 494 FORS 2009 Cote 37 01 STAT LE BLED SUR TABLETE INFORMATIQUE AVEC DES DESSINS DE TITEUF LA TRADITION DANS LA MODERNITE AU GC KE 1 2 R sonances F vrier 2012 Promotion lecture et Animation th tre et criture PROMOTION DE LA LECTURE Annoncez vos actions et projets Le Service de la culture rattach au D partement de l ducation de la culture et du sport du canton du Valais m ne actuellement un tra vail de r flexion et de compilation autour des actions et projets de promotion de la lecture fiction nelle et ou documentaire support papier mais aussi support num rique Pour enrichir cette collecte d informations n h sitez pas an noncer les actions men es avec vos l ves tudiants apprentis ainsi que vos projets encore en chantier Tout ce qui marche aupr s des enfants et des jeunes pour leur don ner le go t de la lecture nous int resse afin d avoir la vision la plus globale possible de l cole enfan tine jusqu au tertiaire et ce d un bout l autre du canton Les actions ou projets l chelle de votre classe de votre tablissement ont autant d importance que les initi
63. e 1956 1988 et L Ecole primaire publi e de 1881 1956 est dit e par le D partement de l ducation de la culture et du sport DECS Edition administration r daction DECS SFT R sonances Rue de Conthey 19 Case postale 478 1951 Sion T l 027 606 41 59 www vs ch sft gt Les domaines du SFT gt Publications p dagogiques R daction Nadia Revaz nadia revaz admin vs ch Conseil de r daction Florian Chappot AVEP Daphn e Constantin Raposo SPVAL Elodie Lovey CDTEA Adrienne Mittaz AVECO Zoe Moody HEP VS St phanie Mottier Fontannaz AVPES Marie Jos e Reuse Ass Parents Photographe CT ISSN Jacques Dussez 2235 0918 www editionslep ch E Donn es techniques Surface de composition 170 x 245 mm Format de la revue 210 x 280 mm Impression en offset en noir et une teinte vive photolithos fournies ou frais de reproduction factur s s par ment pour les documents fournis pr ts la reproduction CT Parution Le 1 de chaque mois sauf janvier juillet et ao t CT D lai de remise des textes et des annonces D lai pour les textes 5 du mois pr c dant la parution D lai pour les annonces 15 du mois pr c dant la parution CT Abonnements Tarif annuel Fr 40 Prix au num ro Fr 6 Tarif contractuel Fr 30 T l 027 606 41 59 resonances admin vs ch R gie des annonces Schoechli impression amp communication SA Technop le 3960 Sierre T l 027 45
64. e OGE et elle d couvre une d marche avec laquelle elle se sent 26 priv C cile r expr imer I la tristesse Dans son cabinet a des peluches po la joie ou l aise Conquise elle se forme pour devenir th rapeute et inter venante En 2009 la demande de parents le concept OGE a com menc tre repens pour s adap ter aux enfants et adolescents De puis des stages ont t organis s dans le canton de Vaud sous forme d une initiation d un apr s midi pour les 5 8 ans et deux jours sur des week ends pour les 9 12 ans et les 13 16 ans C cile Dufour quel est l atout de la m thode OGE pour les en fants et les adolescents Le concept OGE vise travers une approche globale et modulaire leur donner des outils simples pour qu ils puissent entretenir leur bien tre et g rer leurs motions de ma ni re autonome Les plus jeunes re Dufour a col re partent par exemple avec un coussin des motions qu ils ont fabriqu eux m mes L objectif est de leur apprendre vivre le moment pr sent sachant que cela contribue diminuer leurs peurs li es des tensions ou des motions non canalis es Chacun a de l intuition et de la cr ativit mais parfois ces richesses sont vite oubli es avec les angoisses les culpa bilit s ou les remords du pass et les craintes de l ave nir et cela d s le plus jeune ge Plut t que d touffer notre potentiel il s agit de le
65. e d adultes qui ne souffrent pas de troubles particuliers suivent des for mations pour leur d velop pement personnel afin de se lib rer de certaines an goisses du quotidien Pour les enfants et les adoles cents il n existe que peu d approches pr ventives en lien avec leur panouisse ment personnel Dans l mis sion Leurs secrets de bonheur diffus e sur France 2 Jeanne Siaud Facchin psychologue cli nicienne et psychoth rapeute connue pour ses ouvrages sur les troubles d apprentissage pr sente des activit s simples et amusantes pour aider l pa nouissement des enfants et ces derniers semblent appr cier la d marche Par curiosit il parais sait donc int ressant d en savoir plus sur une approche d velop p e non loin de chez nous Ge n ve et d aller la rencontre de C cile Dufour qui a adapt pour les enfants et les adolescents la m thode OGE de son p re le Dr Da niel Dufour chirurgien de guerre reconverti dans le d veloppement personnel en Suisse et au Canada L approche propos e se veut pra tique ludique et cr ative mais ce n est pas de la th rapie En tant bien dans son corps et dans sa t te il s agit de pr venir la violence l cole la consommation d alcool et de drogues C cile Dufour se voyait co tho logue puis th rapeute questre et effectue une formation de psycho logue avant de devenir socio du catrice Un jour son p re l invite un stag
66. e l avis des interview s mais au travers des r ponses fournies certes partielles on mesure bien la diversit des per ceptions sur le terrain Lara Devanth ry enseignante primaire Ch teauneuf Des traditions conserver supprimer r introduire M me si je n ai pas beaucoup d exp rience profes sionnelle je constate que certaines fiches propos es aux l ves en 2012 ne sont plus vraiment d actualit et ne l taient du reste d j plus lorsque j tais l ve Je trouve aussi que certaines parties du programme de vraient tre modernis es Avec l introduction du nou veau plan d tudes romand nous aurons certaine ment bient t des moyens d enseignements correspon dant la r alit environnante et je m en r jouis Du c t des traditions conserver je pense qu il est im portant de ne pas abandonner la notion de discipline m me s il faut l aussi un peu l adapter en tenant compte de l volution de la soci t enfin jusqu une certaine limite Ainsi ce n est pas parce que des en fants n ont pas d aide la maison pour les devoirs qu il faut les supprimer mais on peut par contre davantage les responsabiliser dans la gestion des t ches domi cile Des modernit s appr ci es viter ajouter Lorsque j tais l ve l cole nous avions peu d ordi nateurs et aujourd hui dans le centre scolaire o j en seigne nous avons une salle d informatique ce qu
67. e la culture SLFF Projets musicaux scolaires B Oberholzer amp J M Delasoie La d marche a s apprend L exp rimentation 4 8 A Bardou S Fierz amp C Keim Espace math matique dition 2012 Commission AVECO Espace math matique exemples d activit s Commission AVECO Mettre en valeur vos r alisations avec Didapages C Mudry Les vacances autrement GO amp BEL Valais Italie les tapes d un change linguistique N Revaz OGE l envers de l GO avec C cile Dufour N Revaz A vos agendas R sonances La baisse des rendements n est pas une fatalit P Vernier Semaine d actions contre le racisme C Exquis amp J P Pralong Respect de l orthographe P Roduit Blogs p dagogiques et sites personnels N Revaz Caf litt raire des coll giens avec Marie Jeanne Urech N Revaz CD en francoproven al pour les coles valaisannes HEP VS DVD R documentaires les suggestions du mois M diath que Valais St Maurice Val rie Granges Jordan le go t des projets N Revaz Estime entre enseignants N Revaz Actualit s CSRE R partition hommes femmes dans l enseignement SFT URD A la d couverte des tambours Bat A Cristina Les frappadingues de R sonances premiers dessins El ves Sport ducation physique et EDD 2 2 N Nanchen G Schroeter amp L Saillen La s lection du mois R sonances amp D Constantin OGE L Y vac nees SC math matiques B
68. e niveau socio conomique et les r sultats en lec ture un indice socio conomique faible a une influence n gative sur les r sultats alors qu un indice lev les affectera positivement PISA 2009 a d montr que l enga gement dans la lecture et les stra t gies d apprentissage peuvent avoir une influence sur les perfor mances Les diff rences entre la partie germanophone et franco phone du Valais peuvent en partie tre expliqu es sur la base du fac teur de la joie ou du plaisir de lire Dans le Haut Valais la proportion de ceux qui ne lisent pas pour leur plaisir est beaucoup plus lev e que dans la partie francophone De plus la proportion de ceux qui li sent pour leur plaisir dans le Haut Valais en comparaison nationale est faible Dans les deux parties linguistiques du canton il existe une corr lation entre la joie ou le plaisir de lire avec le genre Les filles lisent plus R sonances F vrier 2012 souvent pour leur plaisir que les gar ons qui eux ne le font pas vo lontairement Champs d action dans le canton du Valais L int gration des enfants de langue trang re et de ceux de familles de conditions socio conomiques mo destes reste un d fi majeur Le sou tien des plus faibles et la r duction des groupes risque constituent une priorit absolue En r sum un certain engagement en lecture ainsi que la connaissance et l utilisation r guli re des strat gies d apprentis
69. e projet avec un spectacle chantant Cette rencontre annuelle permet aux acteurs de faire con naissance avec un autre lieu avec d autres personnes et avec d autres approches musicales Chaque ensei gnant 4 5 6P peut se procurer les documents y relatifs la Centrale cantonale des moyens d enseignement CECAME ou aupr s de l animation musicale Les prochaines rencon tres chorales l maniques auront lieu en juin 2012 Gingins VD Concerts ducatifs Sous l gide du Conservatoire can tonal de musique ainsi que du DECS diff rents ensembles ont of fert diverses possibilit s de nourrir musicalement les l ves Les th mes choisis ne pouvaient qu encourager les enseignants y participer 1 4 B La symphonie dans tous ses tats avec le grand orchestre sympho nique OCC E Sp cial No l ou le plaisir de chan ter avec un orchestre POC et OCC Dans ce dernier projet plusieurs classes ont pu chanter avec ces or chestres Ce furent des moments biens mouvants Pour 2012 sont programm s EH Son et mouvement avec un en semble de percussions et un grou pe de danse B Musiques de film de Charlie Cha plin Harry Potter Concerts de l Orchestre de la Suisse romande En lien avec la Loterie romande l OSR a offert un concert au th tre du Martolet de St Maurice Casse Noisette de Tcha kovsky tait au programme ce 2 d cembre 2011 Un dossier p da gogique permit l
70. e que l objectif prioritaire de l EDD est d assurer l quit entre les nations les g n rations et les individus l int grit cologique et l efficacit conomique En d autres termes assurer l quit sociale veut dire permettre la satis faction des besoins essentiels des communaut s humaines pour le pr sent et le futur au niveau local et global et l am lioration de la qualit de vie conserver l int grit de l environnement signifie int grer dans l ensemble des actions sociales culturelles et conomi ques la pr occupation du maintien de la vitalit de la diversit et de la reproduction des esp ces et des cosyst mes naturels terrestres et marins enfin derri re am liorer l efficacit conomique se cache l objectif de favoriser une gestion optimale des ressources humaines naturelles et financi res afin de permettre la satisfaction des be soins des communaut s humaines Indicateurs cl s Comp tences des jeunes en lecture Bien tre psychique Transport de Consommation de mati res Consommation marchandises d nergies fossiles Aide au d veloppement Pauvret S curit Egalit Ch mage Revenus Innovation et technologie Investissements Dette publique Concr tement voici quelques indi cateurs en lien avec les trois do maines Pour expliciter concr tement ces indicateurs nous allons utiliser
71. e situation ou modifier les constantes ou changer de variable O Utiliser des instruments de mesure aussi travailler proprement viter le gaspillage et finir par ranger comp tences transversales s il en est La gestion de la discipline et le temps sont souvent des obstacles la r alisation d exp rimentations L apprentissage progressif de cha que tape et la r p tition de telles activit s permettent aux l ves de travailler avec habitude et l ensei gnant y gagne en ce qui concerne la discipline et le temps La d marche scientifique n est pas termin e la fin de l exp rience il faudra traiter les r sultats obtenus ce que nous verrons dans le pro chain num ro En attendant aviez vous reconnu en d cembre p 23 les volutes de pollen sur une dalle mouill e Adeline Bardou Animatrice sciences au CO Samuel Fierz et Christian Keim Animateurs environnement au primaire Notes CT 1 Recherche documentaire interview de sp cialistes 2 Pour le CO une liste de mat riel per mettant de r aliser toutes les exp riences des livres Sciences 7 8 9 existe sous http animation hepvs ch sciences de la nature Ph nom nes naturels et techniques gt cycle 3 gt g n ralit s R sonances F vrier 2012 En raccourci Propositions d activit s Chimiscope Plateforme CT Proposer un choix d instru p dagogique ments de mesure de types dif f rents r gle m tre
72. e sp cialis e dit e par la Fondation Centre suisse de p dagogie sp cialis e se veut une plateforme de communication nationale destin e toute personne int ress e par la p dagogie sp cialis e Les th mes abord s sont vari s et vont de l ducation pr coce sp cialis e la formation des adultes en passant par les questions li es l int gration au domaine p dago th rapeutique et l accompagnement des personnes en situation de handicap dans leur quotidien Le deuxi me num ro paru en d cembre dernier s articule autour des concepts d harmonisation de ie de Revut guise p dagogie sp cialis e R sonances F vrier 2012 perm abilit de qualit et d quit A signaler notamment un article de Pierre Andr Doudin sur l cole inclusive projet europ en d envergure www csps ch revue Athl tisme l tisme Une res performance publication SN pour courir vite Un document paru aux ditions EPS Athl tisme culture sensibilit performance pr sente des jeux et des situations d apprentissage afin de permettre aux enfants de 3 12 ans de courir vite longtemps en quipe de sauter le plus haut et le plus loin possible et de lancer le plus loin possible Cette publication riche en informations aborde l organisation de cet enseignement et se veut un outil pour initier m me les tout petits aux joies de l athl tisme gt l Les dossiers 2009 2010 2008 2009 2007 20
73. elles taient les modernit s scolaires pr n es et r ali s es par les lib raux fribourgeois de la Restauration l cole s effor ant de poursuivre sa modernisation amorc e d s les ann es 1770 alors que les r gimes po litiques observent plut t un retour l Ancien R gime Toutes les modernit s scolaires tent es en dix ans Ainsi par l influence de son Conseil d ducation entre 1814 et 1823 Fribourg reprend l essentiel des grandes modernit s p dagogiques con ues entre le XV et le XVIIIe si cle l exp rimentation de la diff renciation la g n ralisation de la m thode simultan e ou p dago gie de l exercice la s cularisation l obligation en Le dossier en citations Mutualiser les innovations Les enseignants innovants se disent souvent isol s marginalis s et se lassent parfois de r inventer la roue longueur de pratique Il est de la responsabilit des autorit s locales et nationales de les soutenir avec bienveillance d aider ces acteurs mutualiser leurs exp riences et de mettre sur la table les moyens pour les reproduire les diffuser voire les g n raliser Julie Chupin Aur lie Sobocinski in Quand l cole innove Editions autrement 2009 Imitation et innovation L ducation doit souvent tre un frein mais il faut d abord qu elle soit un stimulant Si l on n enseignait aux coliers que le respect et l ob issance on ferait une uvre mauvaise L imitation du
74. ements et intervenir au plus t t par la m dication sp cialis e On en revient finalement la vieille conception de l homme machine r parer les pannes individuelles plut t que de cr er les conditions du d veloppement collectif Ainsi ce qu on nous pr sente comme une machine int grer est devenu une gigantesque machine d sint grer Quand il faudrait mettre en place des collectifs taille humaine port s par des quipes d adultes solidaires on fait exploser le syst me en une multitude de professionnels qui se repassent le b b Quand nous aurions besoin d une cole qui unit nous voyons merger sous nos yeux une cole qui fragmente exclut et isole Lib ration 9 12 2011 E Minist re fran ais de l Education Les donn es sur l cole sont jug es peu fiables Quel est le vrai niveau des l ves fran ais A entendre le ministre fran ais de l ducation lire les r sultats des valuations des l ves en CE1 et en CM2 il serait en progression A lire les r sultats internationaux il serait plut t en baisse Deux nouvelles enqu tes l une comparant le niveau de ma trise de la langue entre 2003 et de 2009 l autre entre 1997 et 2007 montrent que les lacunes des plus faibles se sont aggrav es Mais ces deux travaux attendaient dans les tiroirs du Minist re de l ducation depuis le mois de juin Certaines informations sont diffus es avec des mois de retard Quand elles ne g nent plus Aujourd hui la
75. er qu basse al titude l or blanc se fait d sirer Fred et Jamy nous d voilent l in croyable arsenal que les stations de skis d ploient d sormais pour ten ter de lutter contre la surchauffe g n ralis e Entre canons neige et dameuses Fred nous explique comment les stations sculptent litt ralement la montagne pour satisfaire la soif de glisse de leurs clients Il explore galement pour nous l impact que de telles pratiques peuvent avoir sur l environnement orcier D ici 2050 la France pour rait prendre encore 1 2 degr s Est ce que a veut dire pour autant que nos stations risquent de dispa ra tre CPS Emission C est pas sor cier Diffus le 16 04 08 sur FR3 Cote 796 92 SKIE Le grand silence Dix sept heures sous une avalan che Il y a toujours des exceptions qui confirment la r gle pour chap per la mort blanche les statis tiques nous rappellent en effet que tout se joue dans les 20 premi res minutes A l appui de t moignages bouleversants les Jumelles sont al l es ce soir la rencontre des quel ques randonneurs qui ont chapp la mort blanche TSR Emission Passe moi les jumelles Diffus le 24 03 10 sur TSR1 Cote 551 578 48 GRAN Sur le m me sujet sous la Cote 551 578 48 O Avalanches randonneurs et freeriders soyez curieux L antidote Canal 9 1 02 10 CT Avalanches le danger per manent Le doc du lundi TSR2 14 12 09 o L
76. es avalanches neige haut risque C est pas sorcier FR3 25 01 06 35 Rencontre Valerie Granges Jordan le go t des projets Val rie Granges Jor dan enseignante au CO Ste Marie de Mar tigny aime sa profes sion Elle avoue pour tant que c est le m tier qui l a choisie et non l inverse Lors de ses tudes en sciences co nomiques et sociales elle se destinait travail ler dans les ressources humaines Pour gagner un peu d argent elle a comme beaucoup d uni versitaires effectu des remplacements au secon daire I et Il et l ce fut la r v lation Les adolescents ce sont aussi des ressources humaines donc mon m tier actuel n est finalement pas tr s loign de mon projet ini tial lance t elle en riant Ce qui lui a particuli rement plu au CO c est la vision du monde qu ont les ado lescents cet ge et leur capacit d tonnement encore intacte Plus que par la branche Val rie Granges se dit avant tout motiv e par la d marche d enseignement Bien videmment apr s le d clic val rie Granges M rdan enseig de Martigny des remplacements elle a suivi une formation p dagogique en cours d emploi au CRED lui permettant d acqu rir le savoir faire profes sionnel n cessaire Reste que pour elle la meilleure formation passe par l exp rience ainsi que par les discussions et le partage entre col l gues Val rie Granges a le go t des pro jets non p
77. essent dans le bus le tram et le train a gazouille tout va dans les r seaux sociaux les appels commerciaux nous harc lent le c ble nous propose 200 cha nes de t l vision Etre toujours au courant de tout r agir tous les messages Etes vous stress d bord lessiv www mfk ch gt Visites guid es pour les coles Jusqu au 29 juillet 2012 Lausanne Exposition sur le cerveau Laur ate du Prix Expo 2011 de l Acad mie Suisse des Sciences Naturelles l exposition Les doigts dans le cerveau offre une occasion r v e de regarder vos neurones SOUS un nouvel angle et de prendre conscience de l instrument extraordinaire qui s agite entre vos oreilles A d couvrir l Espace des inventions Lausanne Dossier p dagogique en ligne www espace des inventions ch 06 02 2012 M diath que Valais Martigny 13 02 2012 M diath que Valais St Maurice Concert du groupe Via Vallesia Ce spectacle est un voyage une ouverture vers des langues et cultures Carine Tripet interpr te des chansons en 12 langues autour de l exil www mediatheque ch valais vallesia quis 1934 html http mx3 ch play carinetri pet xargatunedroma Et aussi Du 26 au 30 mars 2012 Semaine des m dias www e media ch Du 16 au 25 mars 2012 Semaine de la langue fran aise et de la francophonie www siff ch cf p 13 27 a baisse des rendements n est pas une fatalit A peine les C
78. et la lutte contre la pauvret Carte blanche votre rubrique ON PEUT VRAMENT Y ALERT Vous pouvez collaborer R sonances de diverses mani res Pour rappel la ru brique carte blanche attend vos textes et ou ceux de vos l ves et ou ceux des tudiants de la HEP VS Vous tes galement invit e faire part de vos sug gestions de tous ordres N h sitez pas clapoter pour envoyer un message la r daction indiquer une adresse internet ou un projet que vous aimeriez faire partager Et si vous n tes pas adepte du courriel resonances admin vs ch vous pouvez aussi t l phoner au 027 606 41 59 ou au 079 429 07 01 A4 Exemples de mesures B Soutenir les initiatives ayant pour but l apprentissage du fair play dans le sport B Favoriser l dification de lieux de rencontre et de coop ration permettant des activit s interg n rationnelles B Promouvoir les comp tences lin guistiques et les projets inter culturels notamment entre les espaces francophones et germa nophones l int rieur et l ex t rieur du canton ainsi qu au sein des communaut s migran tes Domaine 14 Promouvoir la sant Le Canton entend mettre en place une politique de la sant ambi tieuse caract ris e par la promo tion et la protection de la sant ainsi que la pr vention des mala dies et des accidents Son but est d encourager les aptitudes des in dividus sur le th me de la sant et de soute
79. exp riences des enfants en lien avec les manuels Sciences 7 8 voir sous Le parcours propos par la http animation hepvs ch biblioth que num rique des sciences de la nature Ph no enfants invite un voyage m nes naturels et techniques travers l histoire du livre gt cycle 3 gt g n ralit s gt pe Comment le con oit on Comment le fabrique t on R ponse tape par tites exp riences tape en 21 activit s interactives http enfants bnf fr parcours livre R sonances F vrier 2012 1 7 e Math matique space math matique dition 2012 Nous vous proposons une s rie de probl mes s adressant aux l ves de 1 ann e du CO issus des domai nes Fonctions Espace Nombres Re cherche et strat gies La Commission de math matique de l AVECO vous invite donc parti ciper avec votre classe de math ma tique cette confrontation origi nale 14 ESPACE MATH MATIQUE Les principes B La classe dispose d un temps li mit 45 minutes 1 p riode pour s organiser rechercher les solutions de 5 probl mes et en pr senter un compte rendu B Les l ves doivent produire un seul compte rendu par probl me de leurs travaux et solutions C est la classe enti re qui est res ponsable des r ponses apport es g Il n y a pas que la r ponse juste qui compte les solutions sont ju g es aussi sur la rigueur des d marches et la clart des explica tions fournies En
80. ges 2 Basic peut tre utilis avec la quasi totalit des ordinateurs existants 3 Inscription des l ves En tant qu enseignant vous avez la possibilit d inscrire jusqu 50 l ves environ Comme les pages des livres peuvent tre fusion n es vous avez la possibilit de faire un vrai travail collaboratif dans la classe 4 Pour votre confort En publiant votre ou vos livres vous pouvez demander ce qu un mot de passe les prot ge 5 Comment obtenir une licence enseignant Il vous suffit d en faire la demande Serge Rappaz serge rappaz hepvs ch Il vous sera demand de sui vre 2 heures de formation pour la prise en main de l application Christian Mudry conseiller multim dia C 21 L es vacances autrement Aimerais tu vivre un change lin guistique avec un camarade ou une camarade en Suisse allemande ou au Tessin As tu envie ensuite d ac cueillir ton tour ton ou ta parte naire d change chez toi Pesaieo ivresniriag Echange szlrrshrel d vastes EPA RA Les vacances autrement Echange linguistique en Suisse allemande ou au Tessin Quand Pendant les vacances une semaine OU deux chacun Qui Les jeunes de la 6 la 9 an n e scolaire Le prix Presque rien tout au plus le billet de train La suite Inscris toi un change linguistique de vacances Pesta lozzi mobilit Echange individuel de vacances l adresse www ch go ch eiv Tu dois enc
81. gner si les curiosit s les formation post obligatoire et qui ne sont plus scolaris s go ts les d sirs de savoir de chaque enfant taient oscille entre 6 et 10 L objectif annonc par la CDIP est mieux entendus D passons le travail la cha ne de ramener ce taux 5 d ici 2015 et pour l heure la pour permettre chacun d apprendre par lui m me tendance est la discr te am lioration avec la r cente partir de ce qu il est L cole ici et aujourd hui a ce mise en place de quelques mesures sp cifiques mais il potentiel de r ussite toutefois il faut qu elle n y a pas de quoi pavoiser Chacun conna t quelques s accroche pour r ellement faire baisser le nombre des uns de ces d crocheurs et a une vague id e des d crocheurs C 1 0 R sonances F vrier 2012 Jommaire e N Revaz 1 ur raccrocher les d crocheurs s accrocher po 4 12 Pisa 2009 r sultats r jouissants du Valais DECS C Les dossiers de R sonances 2 Annonces Education musicale Sciences Math matique Math matique ICT BEL BEL Autour de l cole M mento p dagogique CPVAL A vos classes Fran ais Mise en liens Projet de classes Du c t de la HEP VS Doc p dagogique Rencontre Echo de la r dactrice Recherche Chiffre du mois Etincelles de culture Concours Education physique Livres Revue de presse Promotion lecture et Animation th tre et criture Service d
82. grandissantes observ es chez les l ves il faut se retrousser les manches et travailler la construction de ces habilet s a Didactiques de la lecture Au del de la sp cificit des objets et des enjeux propres aux diff rents degr s scolaires et universitaires la lecture fait l objet d un enseignement continu les savoirs et savoir faire qui fondent la compr hension de textes apparent s des genres dont l ventail ne cesse de s largir tout au long de la scolarit concourent l appropriation d une culture scolaire disciplinaire litt raire ou patrimoniale jamais achev e Cet ouvrage se structure au fil de cette continuit Les premiers apprentissages tout d abord l cole maternelle et l cole primaire Ensuite on constate la diversit des R sonances F vrier 2012 supports et des pratiques d enseignement portant la fois sur des objets relevant de la litt rature ou la culture patrimoniale et sur des objets consid r s comme plus pragmatiques Enfin la troisi me partie traite de la lecture dans l enseignement sup rieur et plus particuli rement gr ce au concept de litt racie universitaire de la question des genres de la discursivit acad mique mettant ainsi l accent sur la n cessaire contextualisation des approches Un ouvrage scientifique pr cieux car apr s un large appel contributions il traite de la lecture tous les degr s ce qui n est pas
83. gue comme un sys t me 2 Pourquoi ce glissement vers une grammaire au sens large Principale ment parce qu elle permet de pren dre en compte tout ce qui touche la r flexion sur la langue en faisant de la grammaire au sens troit de l or thographe de la conjugaison et du lexique des outils mieux reli s entre eux Enseignement apprentissage du fran ais en Suisse romande Orien tations p 43 CIIP Neuch tel 2006 R sonances F vrier 2012 Tr logs p dagogiques et sites personnels Apr s avoir explor quel ques liens de la lecture et de l criture de l appren dre apprendre de la philosophie pour enfants de l cole du futur voici des lianes pour voyager d un blog p dagogique l autre en passant par quelques sites personnels incontournables Mi d cembre Le Matin a pr sent cinq blogs de profs www lematin ch dossiers blogs de profs 0 tout en expliquant que la d mar che est encore sous valoris e en Suisse romande www lematin ch loisirs multimedia blogs de profs une demarche sous valorisee 2011 12 12 Reste que sur la toile les blogs p dagogiques les carnets de recher che et sites personnels en lien avec l cole foisonnent Pas tous d gale qualit il y en a n anmoins pour tous les go ts Il y a les blogs ou sites de profs ceux des journalistes ceux des experts ceux des acteurs de l cole qui ne sont plus en acti vit officiellement mais restent n
84. her che vous offrira un panorama int ressant tous les niveaux d tudes De nombreux ensei gnants cr ent des cours et bien des classes utilisent Didapages comme support De plus les conseillers multim dia http animation hepvs ch ict fr sont votre disposition pour vous aider dans vos pro jets vous suivre et vous don ner des pistes selon vos d sirs R sonances F vrier 2012 D idapages 2 votre disposition C est une application en ligne qui permet de cr er tr s facilement des productions multim dias incluant textes sons images vid os liens hypertextes etc sous forme de li vres num riques Ces productions peuvent ensuite tre diffus es sur le web site www ecolevs ch ou sur tout support nu m rique de votre choix cl usb CD DVD E Les ICT valais mettent votre disposition l application Didapages 2 Basic EE De plus Didapages 2 Basic permet un r el travail collaboratif puisque plusieurs livres distincts peuvent ensuite tre fusionn s pour n en former qu un Tr s simple de prise en main gr ce ses ic nes Didapages 2 Basic est adapt aux jeunes l ves Le rendu visuel des livres num riques donne une forte plus value la pr sentation de vos travaux et de ceux de vos l ves Didapages 2 Basic est une appli cation en ligne accessible depuis n importe quel navigateur l ensei gnant doit disposer d un compte qui lui permettra de d ve
85. i nous permet de travailler les diff rentes disciplines de mani re vari e Sur internet les l ves recherchent par exemple des informations en environnement et comme l approche est plus ludique ils travaillent et apprennent sans s en apercevoir Pour les enfants c est important de rendre le savoir attractif d s lors il est essentiel que les outils soient en phase avec l poque dans laquelle on vit Autre modernit appr ciable c est l attention port e aux l ves en difficult avec le suivi par des psychologues logop distes Du c t des modernit s ajouter je pense qu elles sont surtout technologiques certains centres scolaires ont d j un tableau interactif et cela permet de travailler diff remment avec la classe Marie Pierre Dorsaz enseignante au CO de Monthey Des traditions conserver supprimer r introduire Une tradition qui me semble importante conserver est l apprentissage du savoir vivre Bien s r la mani re de l enseigner ne peut pas tre la m me qu il y a trente ans car la soci t a chang En ce qui concerne ma branche d enseignement les math matiques j estime qu il y a un gain avec l approche par r solution de pro bl mes mais une perte au niveau de la manipulation des concepts Je serais favorable la r introduction R sonances F vrier 2012 des techniques de calcul A mon sens il faudrait com pl ter les moyens actuels par des batteries de pro bl
86. i re Il peut tre utilis plusieurs niveaux H au niveau enseignant pour pr parer ou illustrer un cours en y int grant divers types de supports texte image vid o son anima tion et des activit s interactives g au niveau de l l ve pour pr senter un projet sous forme de li vre raconter un voyage laborer un carnet de bord et pour tout projet d criture et d illustration Didapages peut tre utilis pour diff rents types de pr senta tions int grant des fonctions in teractives plus ou moins avan c es Bien que simple manipu ler ses possibilit s sont puissantes et multiples Cette excellente application a d j trouv sa place dans de nom breuses classes du Valais romand Vous pouvez trouver des exemples au niveau de l environnement de la lecture ou des arts visuels l adresse suivante http didapages ecolevs ch Il ne faut gu re plus de deux heu res pour la prise en main de l appli cation et la formation continue vous offre des cours sur toute l an n e scolaire Les avantages appor t s sont forts int ressants 20 mn Mise en valeur d un travail indi viduel ou de groupe B Utilisation du son de l image du texte et du film sans connais sances particuli res CO Didapages est facile utiliser dans un projet de classe de l cole en fantine au cycle III E Les l ves adorent ce genre de projet rassembleur et sont habi tuellement tr s motiv s pend
87. i s cl ture avec une hausse mod r e par rapport 2010 L association cr e en 2002 par cinq tudiants de la r gion l manique compte environ 64 000 membres de 15 22 ans Elle publie un peu plus d un millier d offres par ann e Le Matin 5 01 2012 B G n ration internet Que se passe t il dans la t te de nos ados num ris s L utilisation permanente de diff rents moyens de communication entra ne des changements tangibles dans la vie psychique des jeunes Mais ces nouveaux outils n ont pas uniquement des cons quences n gatives Hors pathologie R sonances F vrier 2012 av r e ces jeunes savent parfaitement faire le distinguo entre r el et virtuel Beaucoup de jeunes qui il y a quinze ans auraient bascul dans la psychose trouvent gr ce internet des r seaux de suppl ance Ainsi une jeune fille ob se peut se faire passer pour une Lolita et trouver quantit de petits copains virtuels ce qui lui sera b n fique sur le moment en haussant sa confiance en soi Et en l aidant se pr parer la vraie rencontre Le Journal du Jura 6 12 2012 B Justice Lire pour mieux tourner la page Certains jeunes condamn s par le Tribunal des mineurs fribourgeois ont la possibilit d aller purger leur peine en biblioth que accompagn s par des b n voles Dans le jargon judiciaire on appelle cela une prestation personnelle Le juge a la possibilit de l ordonner en lieu et place d une s
88. i a permis de les mettre en con fiance Ensuite par contre on fait un tournus chacun conna tra donc toutes les tapes du processus de cr ation et de fabrication d une mission de radio Et certains se d couvrent des talents qu ils ne soup onnaient pas J ai pouss une l ve parler la radio en direct qui m a ensuite remerci e parce qu elle tait fi re d avoir surmont sa timidit Qu apprennent les l ves tra vers ce type d approche Un projet c est comme cr er une petite soci t o l on doit se parta ger les t ches Cela fait appel beaucoup de comp tences transf rables insuffisamment exploit es en classe comme l autonomie la collaboration ou l autocritique Le plus important c est d essayer de ne pas couper leur lan Dans le cadre d un projet chan gez vous de r le Pour ma part je me limite tre coach Quatre l ves par mission prennent les r nes et en sont les r dacteurs en chef A eux d avoir l es prit d initiative Parfois ils me de mandent mon arbitrage mais je reste le plus possible en retrait Lorsque cela s av re n cessaire je redeviens la prof de fran ais R sonances F vrier 2012 Certains enseignants optent pour le projet mais le r p tent sur plusieurs ann es qu en pen sez vous Comme le lancement d un projet est gourmand en temps et en nergie je comprends le r flexe de vouloir rentabiliser l effort fourni N anmoins si l
89. il ne doit y en avoir qu une lis ter le mat riel n cessaire d crire les op rations en les ordonnant choisir les instruments de mesure sch ma tiser le montage dommage que cette phase d anticipation soit par fois galvaud e faute de temps ou par manque d organisation Il est n cessaire alors de conna tre le nom du mat riel scientifique utilis S curit lors d exp riences de sciences O Attacher les cheveux longs CT V rifier d avoir compris ce qu il faut faire avant de le faire O Rester calme O Ne pas courir O Ne pas faire de gestes brusques O Ne pas mettre les mains sur son visage O Ne pas toucher les produits avec les doigts O Ne pas go ter ne pas sentir ne pas m langer les produits O Se laver les mains avec du savon avant de partir R sonances F vrier 2012 15 Propositions d activit s O Utiliser ses sens pour mesurer la O Jouer librement avec du mat riel OC Reproduire une d marche donn e par l ensei gnant O Mesurer avec des instruments non standardis s go belet pour les volumes nombre de tours pour les vi tesses etc CT Jouer sur une variable pour faire changer le r sul tat inclinaison d une rampe pour modifier la vi tesse d une boule changer la hauteur de chute pour modifier la forme de la p te modeler O Remettre dans l ordre les tapes d une d marche effectu es pr alablement La r alisation d
90. ion que de l invariance parce que ce sont deux faces d une m me r alit le changement dans la continuit Philippe Perrenoud in Pourquoi et comment rendre les tablissements scolaires innovateurs Bulletin de l UNETP f vrier 2003 www unige ch fapse SSE teachers perrenoud php_main php_2003 2003_06 html Il est important de reconna tre ce que l on doit nos pr d cesseurs comme tout autre mod le n est pas exclure mais il faut en conna tre les limites et les b n fices pour sa voir quel moment il est judicieux de l utiliser Les pa ram tres de la r ussite scolaire sont multiples et les techniques qui marchent en Valais ne pourraient pas tre transpos es Gen ve et vice versa ce qui d mon tre le r le d terminant du contexte C est bien pour cela que toute standardisation doit tre nuanc e car les conditions de la mise en uvre des propositions p dagogiques restent toujours contextuelles L image que vous avez de l Ecole valaisanne est tr s positive Oui De ce que j en connais pr sent travers la forma tion les supervisions et les tudiants de la HEP je vois des personnes tr s engag es et qui sont en constante recherche d am lioration Et donc d innovation Toute am lioration est innovation m me si certaines d entre elles sont anciennes Aujourd hui la recherche valide les intuitions de Maria Montessori ou de C lestin Freinet mais plus personne ne songe dater
91. l cole se trouve face des exigences qu elle ne peut pas assu mer Intuitivement je ferais le pari que le corps ensei gnant est aussi partag que l ensemble de la popula tion sur les savoirs enseigner Le probl me actuel de l cole c est donc moins la tension entre tradition et modernit que la question des crit res et des pro cessus p dagogiques administratifs et d mocra tiques pour op rer des choix Plut t que de juxta poser il faut articuler Le nouveau plan d tudes ro mand r organise en partie les savoirs de l cole tout en laissant un espace pour la coh rence du tout mais le d bat sur ce qui doit tre enseign l cole est sans fin 11 a bibliographie de la Documentation p dagogique Le secteur documentation d enseignement en questions revue des HEP de Suisse romande GUNTERN J L cole p dagogique de la et du Tessin no5 2006 Neuch tel Conf rence des directeurs valaisanne au XX si cle de M diath que Valais Saint des hautes coles p dagogiques et institutions assimil es de l cole de six mois aux hautes Maurice propose quelques Suisse romande et coles sp cialis es et suggestions de du Tessin 2006 universitaires Cahiers de lecture en lien w Cote 37 014 494 ENSE Vallesia Beihefte zu Vallesia avec le dossier ER e 15 Sion Vallesia Archives de e Le retour de l cole de pour aller plus nee l Etat du Valais 2006 loin Tous les ele Cote 371 49
92. l Agenda 21 officiel du canton du Valais et essayer de d gager de mani re non exhaustive quelques exemples que l Ecole par ses direc tions ses enseignants et ou ses au torit s politiques pourrait ins rer dans sa liste d objectifs op ration nels Editeur de l Agenda 21 Etat du Valais Direction op rationnelle A21 c o Service des for ts et du paysage B timent Mutua Place des C dres 1950 Sion T l 027 606 32 00 K Las 16 engagements du canton du ist en Maniy de d ebptenet dutie Wes pr D Valais R sonances F vrier 2012 Par son Agenda 21 cantonal le Va lais entend mettre en uvre un d veloppement quitable et soli daire respectueux de l environne ment et conomiquement efficace Pour cela il s engage relever 16 d fis cl s Domaine 1 Donner l exemple L Etat du Valais s engage adopter un comportement exemplaire en mati re de d veloppement dura ble il d cide d appliquer une ges tion rigoureuse des ressources et un syst me de management in t gr de qualit Il souhaite que l exemple soit ainsi suivi par les or ganisations para tatiques les com munes les coles les h pitaux les entreprises etc Exemples de mesures G rer les ressources de mani re rigoureuse B Sauvegarder l environnement 43 Domaine 10 G rer les d placements autrement Le Valais se caract rise par une ur banisation tendue en grande par tie dispers e et
93. le du p re tait d agir en tant que coupure symbolique permettant l enfant d entrer dans le monde du langage et de la culture les l ves ne b n ficieraient ils pas grande ment de davantage de pr sence scolaire masculine au moment de leurs apprentissages de base Notes CH 1 Plus nettement dans le Haut Valais qu en Valais romand 2 www bfs admin ch bfs portal fr in dex themen 20 05 blank key gleich stellung_und lehrkraefte html 3 www vs ch NavigData DS_13 M5343 fr pyramides des ages 2010 2011 pdf R sonances F vrier 2012 Etincelles de culture A la d couverte des tambours Bat profiter de cette activit une ma jorit d tudiants Rassembl s par une passion commu ne pour les tambours Bat Alexan dre Cristina Stephan Montanger et Gilles Gfeller trois percussion nistes suisses aux parcours profes sionnels clectiques se r unissent pour cr er un concept de pr senta tion participative pour les coles Les ateliers s adressent des jeunes entre treize et seize ans Ire 2 et 3 ann es du cycle d orientation Moyennant quelques adaptations ils peuvent parfaitement convenir des l ves plus jeunes 5 et 6 an Au travers du jeu des tambours n es primaires ou plus g s Bat ils d sirent faire d couvrir une culture Pour permettre d interagir facile Une journ e d ateliers Les percussionnistes se proposent d intervenir dans les coles durant une jour
94. le de Lausanne EPFL va tablir une antenne permanente en Valais Le projet EPFL Valais Wallis cr avec le Gouvernement valaisan pr voit l implantation de onze chaires de recherche et de formation M me si ce premier accord n est que de principe l Etat du Valais et l EPFL sont d termin s aller de l avant dans ce projet Un accord formel sera sign cette ann e encore et les premi res chaires seront inaugur es en 2015 Les quatre autres chaires toucheront aux biotechnologies et la bio ing nierie La pr sence de plusieurs instituts de recherche ophtalmologie intelligence artificielle nergie est consid r e comme un atout L EPFL aura la responsabilit acad mique de cette antenne Elle devrait y placer quatre professeurs ordinaires Le co t global est estim quelque 14 millions de francs par ann e Le financement sera partag entre le Canton l EPFL et des partenaires priv s Le Nouvelliste 11 01 2012 49 Pisa 2009 DECS r sultats r jouissants du Valais Les jeunes fr quentant les classes de 9 ann e scolaire en Valais fournis sent des performances assez nette ment au dessus de la moyenne suisse dans les domaines de la lecture des math matiques et des sciences na turelles On ne rel ve aucune diff rence s rieuse entre le Valais franco phone et le Valais germanophone s agissant des performances en ma th matiques et sciences naturelles Il y a
95. les tudiantes et est rest e quelques jours sur place histoire de mieux conna tre cette nouvelle destination L apr s change novembre 2011 Au retour de l change sonne l heure du bilan Tout d abord les coll giennes de Sion et de St Maurice estiment que deux semaines c est un peu court pour remplir les at tentes initiales tout en reconnais sant que c est toutefois peut tre mieux pour un premier change linguistique Sur le plan humain la satisfaction est de mise avec une R sonances F vrier 2012 Les Valaisannes et leurs correspondants Bracciano petite r serve toutefois Les Ita liens sont tr s accueillants mais ils avaient un peu trop tendance nous juger sur notre style vestimen taire ou notre mani re de nous comporter Avec les familles cela s est tr s bien pass dans l ensem ble Culturellement ce fut r ussi surtout gr ce l enseignante de fran ais de Bracciano qui a orga nis une journ e de visite de Rome Nos correspondants ne compre naient pas notre engouement vouloir photographier le Colis e Toutes auraient appr ci avoir un peu plus de temps pour d couvrir la ville AU niveau linguistique les pro gr s sont satisfaisants cependant nettement moins vidents qu es p r Dans un premier temps il s agit de s adapter au d bit rapide des interlocuteurs qui de plus ont tendance parler en dialecte ex plique Alexane Questionn es sur le
96. ls persuad s que la cl du bien tre social et du progr s politique passe par l essor de l instruction on adopte plusieurs r formes visant bouleverser la tradition scolaire de la petite R publique de 85 000 mes des bords de la Sarine E on renonce au vieux mode d enseignement individuel un l ve la fois passe devant le ma tre r citer son pensum recevoir les coups pour les fautes qu il doit expier pendant que les autres s activent l arri re du local d cole qui est souvent le logis du ma tre B dans le cas o la m thode mutuelle ne peut pas en core tre instaur e on remplace donc le mode indi viduel par le mode simultan les l ves sont ensei gn s en m me temps re oivent l explication font l exercice passent l examen simultan ment ce qui R sonances F vrier 2012 Ces MAIS four cp SUR INFORMATIQUE P Ve S implique le passage des programmes annuels sanc tionn s par une promotion ou un redoublement l issue d un examen ou sous l effet d une moyenne g n rale cela implique de doter les coles de salles de classe ad quates sp cifiques l enseignement de cr er un embryon de formation professionnelle en cole normale de doter l instituteur d un statut entra nant une position sociale mieux reconnue de lui accorder une posture enseignante d tach e de l influence du clerg par la fondation d une cole s cularis e ce
97. mes repris du pass en adaptant bien videmment les consignes la vie d aujourd hui Reste que ce serait aussi ludique de soumettre occasionnellement les l ves des exercices propos s en 1930 ou en 1950 Et plus globalement peut tre qu avec le temps on s in terrogera sur la disparition de la documentation pa pier au profit d Internet mais aujourd hui les cons quences sont difficiles juger Idem pour la m morisa tion qui est de moins en moins sollicit e Des modernit s appr ci es viter ajouter Je pense que l cole doit r fl chir ses orientations avec la nouvelle donne li e aux technologies de l in formation et de la communication L introduction de l ordinateur est int ressante en classe pour la re cherche d informations mais il s agit de mesurer les avantages et les risques du tout informatis Dans la formation des l ves il va falloir d velopper davan tage l esprit critique face aux nouveaux m dias Et si je pouvais prendre quelque chose de largement r pandu dans la soci t mais encore absent de l cole ce serait le d veloppement personnel Pour l instant on s est int ress celui des enseignants et il serait temps d y penser c t l ves Les doter de certains outils pra tiques les aiderait certainement en particulier l ado lescence Patrice Fournier enseignant primaire Nendaz Des traditions conserver supprimer r introduire Les
98. n e enti re et ainsi faire Contact Alexandre Cristina Ch Month olo 30 1870 Monthey 079 381 78 49 cristinaalexandre yahoo fr Etincelles de culture l cole nouveaut s O Spectacle L eau de la vie de Fred Mudry administra teur ciegaspard ch ou www ciegaspard ch Voici quelques projets de professionnels de la culture qui ont r cemment re u un soutien Etincelles ainsi qu un nou vel artiste figurant sur la liste Nouveaux projets de professionnels de la culture CT Un pour la route de Harold Pinter de Armand Delado y armand dela do y bluewin ch ou www crochet a nuages com gO initiation la gravure avec Fran ois Locher ECAV francois locher ecav ch ou www ecav ch R sonances F vrier 2012 ment avec tous les participants les pr sentations sont pr vues pour deux classes par session soit une quarantaine d l ves maximum Durant 45 minutes les l ves ont la possibilit d assister et de partici per une d monstration riche en d couvertes Pr sentation des instruments si tuant le contexte et expliquant leurs origines et leurs fonctions B Exercices rythmiques en mouve ments sur la musique afin de res sentir la pulsation et s impr gner du jeu des Bat B Apprentissage d un chant et mise en place avec les l ves d un Toque typique morceau de musique r unissant le chant la danse et la percussion Ce projet b n ficie d un soutien fi
99. n est que reprises adaptations n o Dans le domaine scolaire que reste t il de mo derne lorsqu on a limin tout ce qui a t repris Actuellement au pr texte que la modernit p dago gique l valuation formative l enseignement inductif et coop ratif la diff renciation aurait entra n un chec du syst me ducatif les adeptes de la tradition r clament un retour int gral la notation scolaire chif fr e un enseignement direct simultan magistral non plus centr sur l l ve voire l uniforme ou m me pour les plus int gristes la gifle domicile si non en classe c est dire aux ch timents corporels Ce faisant ils proposent de retourner un tat de l cole paradoxal tout la fois moderne et vieux La note tait en effet une r forme des Temps modernes visant d passer les pratiques m di vales par l radication des ch timents corporels tout comme la substitution de la m thode individuelle par la m thode simultan e La m thode magistrale Elle est n e au tournant du XX si cle pour renforcer le r le de l enseignant dans les p dagogies de l exercice n es elles aussi aux Temps mo Prochain dossier Les utopies pour faire avancer l cole P P Bugnard dernes Quant l valuation formative les j suites la pr conisaient tandis que les p dagogies dites cen tr es sur l l ve n avaient gu re de secret pour un Co
100. nfants qui payent les effets de mode Propos recueillis par Nadia Revaz Fran ois Rastoldo sociologue chercheur au Service de recherche en ducation SRED Gen ve L cole n est pas une institution ferm e elle est m me tr s perm able tout ce qui est mode inno vation changement ou transformation D s que quelque chose semble important on l ajoute au pro gramme scolaire avec le risque de surcharge que cela comporte On le voit bien avec l introduction des nouvelles technologies de l information et de la communication qui se sont surajout es dans les p riodes d enseignement sans retranchement Et dans le m me temps on s interroge sur un renforcement des sciences face aux langues sur la possibilit de re nouer ici avec le latin l avec le patois Il y a des connaissances nouvelles introduire et d autres ne pas perdre voire r introduire L anglais c est im portant donc il faut en faire l cole Idem pour l informatique la chimie En plus il y a le ph no m ne du c tait mieux avant qui vient se superpo ser alors que le pass est recompos en l id alisant On demande l cole de former de nouvelles g n rations tout un tant une sorte de conservatoire des savoirs et entre ces deux missions il peut y avoir des tensions En fait toutes les disciplines semblent l gi times la formation des jeunes d o la quasi impos sibilit trouver un consensus Au final
101. nim de la volont d entreprendre pour le bien commun La solidarit et la cr ativit permettront de proposer des solutions pragmatiques et innovantes aux d fis que les communes et le Canton choisiront de relever Fort de cet esprit le Conseil d Etat a retenu 16 enjeux ma jeurs qui serviront de guides pour un d veloppement du rable du Valais Assortis de mesures prioritaires et d clin s en actions ces enjeux s inscrivent dans les missions de l ad ministration et la strat gie du Conseil f d ral en la ma ti re Ce document synth tise les engagements pris par le Conseil d Etat et sa responsabilisation face l avenir Il est un prolongement de la Charte du d veloppement durable adopt e en 1998 par le Grand Conseil valaisan et pose les bases de l Agenda 21 du canton Claude Roch pr sident du Conseil d Etat www fddm ch uploads site_conchita 16eng_fr_2009_web pdf n cessaire pour aborder les notions en lien avec le d veloppement du rable Dans le cadre de la mise en place des plans d tudes intercantonaux le Valais s engage int grer pro gressivement la notion de d velop pement durable dans l enseigne ment et la formation Exemples de mesures E Sensibiliser au d veloppement durable au niveau primaire et aux niveaux secondaires et Il g n ral et professionnel en int grant cette pr occupation dans diff rentes mati res g ogra phie histoire math matiques conomie et soci
102. nir les attitudes responsa bles dans ce domaine Exemples de mesures B Encourager les activit s physi ques et sportives par une offre cibl e pour tous les ges et tous les groupes sociaux CO Lutter contre le surpoids par une information et un soutien aux initiatives tendant une meil leure alimentation CO Renforcer la pr vention particu li rement dans le domaine des maladies non transmissibles et psychiques Domaine 15 Former les jeunes aux principes du d veloppement durable L ducation aide la formation de la personnalit et la socialisation des personnes tout en leur don nant les qualifications n cessaires pour une prise de d cision opti male et une am lioration de leur qualit de vie Cet instrument que repr sente l ducation se r v le R sonances F vrier 2012 Introduction aux 16 engagements du Valais A l heure o partout dans le monde les ressources s pui sent l environnement est menac et les disparit s sociales s accroissent il est de la responsabilit de chacun d agir Garant des valeurs qui ont fa onn notre canton et conscient des enjeux plan taires auxquels nous sommes confront s le Conseil d Etat s engage pour le b n fice de tous pr server le cadre de vie des Valaisans et promou voir une conomie visage humain La concr tisation de cet engagement n cessitera l adh sion de tout un chacun Il faudra faire preuve de t nacit et tre a
103. notes et la discipline sont conserver Les parents avant nous aidaient faire tudier les enfants et au jourd hui ce sont les enseignants qui doivent leur de mander davantage d implication ce qui me para t pa radoxal Certains estiment qu avec les calculettes il n est plus n cessaire de faire du calcul mental l cole aussi il nous faut d abord convaincre les pa rents du bien fond de certaines connaissances sco laires Pour ma part je r introduirais volontiers les examens cantonaux la fin de chaque ann e scolaire d s la 2P Des modernit s appr ci es viter ajouter Faut il investir autant dans les quipements informa tiques Personnellement je pense que non car les en fants utilisent d j norm ment les ordinateurs la maison Pour chercher de la documentation ou pour certains enfants ayant des difficult s particuli res l or dinateur est utile mais la tendance actuelle est de R sonances F vrier 2012 croire tort que c est une aide l apprentissage ce qui est faux L cole est l un des rares endroits o les enfants sont encore en groupe et cela me semble quelque chose de fondamental pr server A mes yeux sans tre contre tous les progr s je trouve que l cole aurait int r t tre plus mod r e dans l intro duction des changements souhait s par la soci t Pour ce faire il faudrait davantage couter les ensei gnants Et n oublions pas que ce sont les e
104. nt par le primaire et le CO Vous pouvez retrou ver toutes les infos dans l dition de septembre 2011 p 40 www vs ch sft gt t l charger les revues R sonances ou contacter resonances admin vs ch Adresse d envoi des dessins DECS SFT R sonances rue de Conthey 19 case postale 478 1951 Sion Important chaque produc tion doit tre accompagn e des coordonn es du ou des dessinateurs et de l enseignant Sean Herrington Grimentz cole primaire de Vissoie l ve de 5P Enseignants Adrien Florey et Daphn e Constantin ACM Nicolas Cosset 2e CO de Collombey Muraz Enseignant Pascal B rod qui sont r guli rement invoqu es dans certaines politiques ducatives et dans les documents d orientation d organisations internationales comme l OCDE ou la Commission europ enne Paradoxe Contradiction On aurait pu spontan ment penser que la notion de cr ativit incarne une r sistance culturelle face une modernit uniquement obs d e par les performances conomiques ce qui n a pas l air d tre pr cis ment le cas Olivier Rey et Annie Feyfant proposent un dossier d actualit sur cette th matique http ife ens lyon fr vst R sonances F vrier 2012 Education physique CH port ducation physique et EDD 2 2 Dans le num ro de d cembre nous avons vu les fondements th oriques du d veloppement durable et les enjeux qui se cachent derri re ces concepts En r sum nous pouvons dir
105. nteractifs Cuisine voyage mu sique Il s adresse tout le monde et tous les domaines mais Apple a surtout mis l accent sur l ducation avec une mise jour de l app iPad iBook pour accueillir des manuels scolaires M me si les nostalgiques aiment r p ter le refrain Rien ne remplacera l odeur du papier les pages qui se tour nent la joie de transmettre un livre l e Book dispose de nombreux atouts pour se faire une place l cole Exercices interactifs mod les en 3D animations vid os recherche d un passage ou d une annotation des kilos en moins dans le cartable Il est terme amen secouer l ducation 20minutes fr 20 01 2012 Pierre Dukan aux millions de livres vendus mais au r gime hyperprot in tr s d cri Son id e a t balay e par le Minist re fran ais de l ducation et sur les plateaux t l fran ais All docteur On n est pas couch la pol mique est vive Et qu en pense t on en Suisse Lutter contre l ob sit est une bonne chose Et les jeunes ont besoin de motivation note Georges Pasquier pr sident du syndicat des enseignants romandbs Mais c est plut t une affaire d ducation que de bonus malus Selon lui l cole doit faire des jeunes des tres autonomes qui ne fonctionnent pas simplement au b ton et la carotte Le Matin 9 01 2012 E EPFL Valais Wallis 11 chaires de recherche et de formation L Ecole polytechnique f d ra
106. ofes seurs et consid re qu il lui faudra juste un peu de temps pour oublier cette m saventure L valuation des Italiens rejoint sen siblement celle des tudiantes de Sion et St Maurice Globalement positif avec quelques r serves L apport culturel et humain para t globalement sup rieur au b n fice linguistique Pour Corinne Barras cette analyse est logique et r cur rente m me si elle est convaincue que le fait d oser s exprimer dans une langue trang re plus libre ment est d j un acquis consid ra ble Et pour 2012 Certaines coll giennes ont conserv des contacts pas forc ment avec leurs correspondants en Italie mais avec d autres tudiants Toutes m me la coll gienne pour qui tout ne s est pas bien pass sont pr tes renouveler l exp rience d un change linguistique bien s r ail leurs qu Bracciano histoire d lar gir leur horizon ce qui est la preuve d une maturit certaine E DOS LU L erreur pour apprendre rassemblent des propositions construites entre th orie et pratique de niveaux scolaires vari s du CP l universit mais pointent les limites et contradictions en classe pour reprendre l analyse d Yves Reuter relecteur de ce dossier Un num ro qui invite d passer la notion d erreur au profit de celle de dysfonctionnement wWww cahiers pedagogiques com Autour de l cole UGE l envers de l GO avec C cile Dufour Nombr
107. olutions p dagogiques majeures Danielle Alexandre in Les m thodes qui font r ussir les l ves esf 2011 Du XIX au XXI siecle Nous travaillons avec une institution du XIX si cle dont l objectif tait tout autre il s agissait d alphab tiser tout le monde et de d gager une petite lite Idem au d but du XX si cle 60 des gens ne terminaient pas l cole mais il y avait assez de travail manuel pour qu ils se r alisent professionnellement et socialement Aujourd hui nous assistons une surench re de R sonances F vrier 2012 cherche peine se faire entendre Ce qui caract risait ces chercheurs c est qu ils avaient une conscience mili tante tr s pr sente ce qui les poussait aller la ren contre des gens du terrain pour discuter et d battre avec eux de tous les aspects de l cole publique et des d fis qui leur taient pos s Je souhaite que l Ecole valaisanne s ouvre la diversit sans jamais craindre pour son identit EH Comment imaginez vous l avenir de l Ecole va laisanne dans le mouvement d harmonisation actuel En prenant le sc nario positif le terrain et les autori t s vont r ussir traduire des injonctions incontourna bles d cr t es plus haut au niveau supracantonal dans des r alit s localement acceptables Quel serait votre souhait pour qu elle soit en core meilleure Il faut qu elle continue avoir suffisamment confiance en elle pour
108. ombres et des calculs un vrai plaisir www atzeo com Daphn e Constantin Raposo 22 GO amp BEL Responsable cantonale des changes Corinne Barras BEL du canton du Valais Planta 1 1951 Sion 027 606 41 30 bel bsa admin vs ch www vs ch bel D lai d inscription pour ce pro gramme 29 f vrier 2012 responsabilit de l change est as sum e par les parents des jeunes concern s L inscription et le placement sont gratuits Le jumelage des parte naires sera fait sur la base de votre ge et de vos int r ts Oui organise le programme Un groupe d organisation t aide trouver un ou une partenaire d change Le programme est organis et coor donn par B Les responsables cantonaux des changes de la Suisse du Nord Ouest de la Suisse romande et du Tessin B La Fondation ch pour la collabo ration conf d rale Note 1 Pestalozzi mobilit EIV Echange indi viduel de vacances un projet de la CDIP du Nord Ouest Groupe de travail Langues cantons AG BE BL BS FR LU SO ZH et des responsables canto naux des changes de la CIIP cantons FR GE JU NE TI VD VS en collabo ration avec la Fondation ch pour la collaboration conf d rale R sonances F vrier 2012 Vatais ltatie les tapes d un change linguistique Une dizaine de jeunes ont particip un change Valais ltalie en 2011 Les tudiantes car il n y avait que des filles c t val
109. on veut avoir la fra cheur suffisante il me semble mieux de varier les projets Cette ann e les l ves ont ador me voir dans des situations de to tale non ma trise car je ne suis pas une experte dans le domaine de la radio J avais bien quelques no tions th oriques mais il y avait un gouffre avec la pratique et les l ves ont compris qu avec de la curiosit et de la pers v rance on pouvait y arriver ensemble en ayant recours une comp tence externe L expertise de Jacques Dussez responsable multim dia de la HEP VS est pr cieuse et son enthousiasme communicatif Sans son soutien il est probable que j aurai h sit me lancer dans un tel projet L cole dans laquelle vous vo luez semble vous convenir Le syst me me semble bon pour autant que l on y ajoute son en thousiasme Je pense que des pro jets comme celui men cette ann e permettent de confronter un tout petit peu les l ves aux r alit s de la vie Qu ajouteriez vous au CO pour le rendre id al Personnellement je serais pour que l on puisse davantage sortir avec les l ves des murs de l cole afin qu ils connaissent d autres ma ni res de fonctionner En tant que m diatrice scolaire je constate qu ils ont peur de quitter le cocon du CO Rassurer c est bien toute fois il faut aussi leur apprendre prendre des risques Et dans mon cole id ale j abolirais les notes tout en introduisant de nouvelles formes de so
110. ore imprimer et signer le formulaire d inscription et l en voyer la personne responsable des changes de ton canton de r sidence son adresse se trouve dans l encadr ci contre Le d roulement du programme L change est r ciproque et a lieu pendant les vacances scolaires Concr tement tu passes une ou deux semaines ensemble avec ton ou ta partenaire d change dans les deux familles Les dates sont d cid es d un commun accord par chacune de vos deux familles La Une enseignante a test pour vous UN jeu de nombres Calcul As jeu de cartes imagin par St phane Hoeben a pour objectif princi pal de favoriser la visualisation globale des nombres chez les l ves dans un premier temps puis d entra ner les diff rentes op rations en vitant le comp tage un un Ces cartes grises et blanches qui de prime abord paraissent presque aust res sont focalis es sur l action d ap prentissage et ne se perdent pas en couleurs et dessins inutiles Diverses r gles simples sont propos es comme la bataille par exemple et place est laiss e aussi l invention J ai test ces jeux en en fantine et en sixi me primaire Les l ves taient motiv s et en ont re demand Les l ves grands et pe tits ont aim et j ai vraiment l im pression c est le plus important qu ils ont appris int gr les notions travail l es de fa on efficace C est un jeu bien pens pouvant faire des n
111. our adultes L exposition fera halte Sion du 08 06 2012 au 07 07 2012 www mediatheque ch valais lectures denfances html Jusqu au 31 03 2012 M diath que Valais St Maurice Exposition Regard sur l invisible Les techniques d imagerie m dicale ont fait progresser de fa on spectaculaire nos connaissances et nos moyens d intervention Elles nous ouvrent les portes d un monde nouveau d une beaut la fois mouvante et fascinante www mediatheque ch valais regard invisible html 2 4 juillet 2012 Universit de Berne Congr s SSRE sur l in galit et la justice dans l ducation Le congr s SSRE 2012 portera sur l in galit et la justice dans l ducation M mento p dagogique sous l angle des d fis scientifiques et sociaux Des aspects comme l origine de l in galit dans l ducation les cons quences des injustices au niveau de la participation l ducation la migration l origine sociale le sexe le genre la politique et la gestion les structures scolaires et les formes d enseignement la formation des enseignants la formation professionnelle et le march du travail feront l objet de discussions www sgbf kongress2012 unibe ch index php lang fr Jusqu au 15 juillet 2012 Mus e de la communication Berne Attention communiquer nuit Les publicit s s entassent dans nos bo tes aux lettres les spams engorgent notre courrier lectronique les natels nous agr
112. our fuir le programme mais pour y revenir autrement L an n e pass e elle s tait impliqu e Suggestion pratique du mois en partage Une astuce pour motiver les l ves Je pense qu offrir aux jeunes la possibilit de s impliquer dans un projet de classe est un bon moyen de les motiver Avoir parfois recours une nergie qui vient de l ext rieur de l cole me semble pr cieux Dans le cadre d un pro jet les l ves ne travaillent plus pour avoir une note suffisante ou pour ne pas tre punis mais ont juste du plaisir faire quelque chose de bien fait Ils ap prennent autrement et en plus cela soude le groupe En Valais de nombreux projets int ressants sont propos s aux tablissements scolaires donc le plus difficile est de choisir 36 ne au CO Ste Marie dans le projet Lire D lire et cette ann e elle a choisi le concours de slam organis par la M diath que Valais ainsi que le RadioBox propos par la HEP VS Apr s quelques mois d initiation les l ves ont anim une premi re mission en d cembre dernier www radiobus fm Deux autres classes du CO Sainte Marie participent cette aventure radiophonique soutenue par la direction et finan c e par Etincelles de culture l cole Un projet qui de plus est en train de s ouvrir tout l tablisse ment aussi certains l ves de ni veau Il se r jouissent de pouvoir transmettre leurs comp tences des camarades de nivea
113. pass ne constitue que la moiti de l Histoire les droit la formation des ma tres et le statut de fonction naire avec un projet de caisse de retraite ainsi que l galit en droit des chances d acc s au primaire pour les gar ons et les filles Au fond il ne manque la liste que l galit des chances pour les tudes id e qu avan cera Ferdinand Buisson partir du d but du XX si cle et nous aurions pour l cole les modernit s d cisives que Gombrich a tablies pour l histoire de l art Mais voil la modernit peut heurter l opinion lorsque le foss avec les p dagogues est trop large Par crainte des bouleversements le Ciel n ayant jamais requis de donner aux simples une formation qui ne les conduirait qu au d classement social avance t on les j suites sont rappel s au coll ge les lois scolaires cl ricales recon duites l cole pilote de Fribourg ferm e et Girard en voy en retraite anticip e Le canton se replie nou veau sur lui m me pour un si cle et demi Ainsi la modernit scolaire peut tre ici ou l en avance sur son temps signe ses concepteurs seront sta tufi s et les traditions pour lesquelles un retour est r clam en r action signe leurs adeptes y trouvent la cl d une victoire politique des modernit s surann es Pierre Philippe Bugnard professeur d histoire de l ducation aux Universit s de Fribourg et de Rouen l auteur innovations en sont l
114. pe Charlotte parfois le soir m me Date 5 29 mars 2012 Dur e 2 3 p riodes en classe puis pour les l ves int ress s journ e du 30 mars la Ferme Asile soir e de concert D lai d inscription le 15 f vrier 2012 Financ par Etincelles de culture l cole Infos et inscription matteo cap poni ne ch 032 889 89 58 E La CDIP prend acte de l initiative sur les bourses d tudes d pos e la Chancellerie f d rale par l Union nationale des tudiants de Suisse UNES et regrette que cette initiative ne tienne pas compte du renforcement de l harmonisation dans le domaine des bourses pr vu par le concordat qu elle a elle m me pr par en la mati re www cdip ch 13 B Projets musicaux scolaires Qu on nous permette dans ce pre mier num ro de l ann e 2012 de porter un regard r trospectif sur quelques moments musicaux qui ont demand un investissement particulier aux classes et aux ensei gnants qui y ont particip et qui ont permis une ouverture sur des formes musicales diff rentes Ce sera aussi l occasion de rappeler que l offre reste ouverte et que le d veloppement de la musique l cole m rite d tre poursuivi Rencontres chorales l maniques Depuis de nombreuses ann es sous l gide du Conseil du L man 5 classes pr parent durant l ann e scolaire un certain nombre de chan sons et se r unissent durant 3 jours dans un lieu ad quat afin de fina liser c
115. pos Sont concern s les R sonances F vrier 2012 classes et les l ves des cycles d orientation cat gorie A et des tablissements du secondaire II ca t gorie B E Participez au concours de projets Pour participer ce concours un l ve un groupe d l ves ou une classe enti re peut pr senter un projet qui aura t d velopp en classe ou hors classe Les projets r alis s peuvent tre de nature diverse r alisation de pho tographies ou de dessins composi tion d un chant ou d un morceau de musique production d un clip vid o etc Ce projet doit illustrer la richesse que repr sente la diversit pour notre pays souligner les atouts d une soci t multiculturelle et mixte plut t que repli e sur elle m me De plus les projets propo s s doivent pr senter des qualit s artistiques et tre d pos s avant le 15 mars 2012 l adresse qui figure ci contre A vos classes Un jury compos de repr sentants du D partement de la s curit des affaires sociales et de l int gration du D partement de l ducation de la culture et du sport d un d l gu l int gration d un repr sentant de l Ecole cantonale d art du Valais et de la Ligue internationale contre le racisme et l antis mitisme choi sira les projets gagnants Pour chacune des deux cat gories un prix d un montant de Fr 500 sera remis l auteur ou aux auteurs du meilleur projet Un p
116. prenant les d parte ments de l Ain et de la Haute Savoie ainsi que les cantons de Vaud Gen ve et Valais www conseilduleman org 2 Par Etincelles de culture www vs ch ecole culture 3 Orchestre du conservatoire cantonal dirig par Richard M trailler 4 Petit Orchestre du conservatoire di rig par J rg Lingenberg gt Dossier disponible aupr s de l anima tion musicale R sonances F vrier 2012 ta d marche a s apprend L exp rimentation 4 8 Plusieurs moyens de Grue echt TE dunes He trant en jeu dans une recherche peuvent Exp riences sur l eau eiiiai phase d exp rimenta tre utilis s pour trou tion manipulation HT GEMAN ver une solution un Dogs he caigas E padat collaboration rigueur probl me Nous nous von minatan scientifique limiterons ici au mode de recherche exp ri mental caract risti que des sciences de la nature Une exp rience scien tifique pr sente deux caract ristiques elle va E A pot pal due A TE at da Aag delent e L eau d mal sa L objectif viser sera que l l ve cr e lui m me une exp rien wa ampe ce en r ponse la Sg question Comment pourrait on faire pour v rifier mon hypo th se On arrive ainsi deux tapes la pr paration et la r a lisation d une exp doit tre reproductible et pr senter des don n es mesurables Pour Des l ves de 3P imaginent des exp riences
117. qui implique aussi l introduction de l obligation scolaire un programme ne pouvant plus se r aliser la carte comme dans l enseignement individuel mais uniquement gr ce la fr quentation g n rale et r guli re de l ensemble des l ves l utilisation de manuels permettant l apprentissage de la lecture et de la grammaire en passant de son patois au fran ais en m thode semi globale ce n est pas tout on charge des coles pilotes d ex p rimenter la m thode mutuelle en gradation ju g e plus efficace dans l id e de la g n raliser les l ves progressent par niveaux non plus en fonction gt des tapes du calendrier comme disait le P re Girard charg de la r forme mais leur rythme sous le contr le d un camarade plus avanc qui vient renfor cer ses connaissances en enseignant lui m me B ce qui implique un espace p dagogique moderne tel celui de la c l bre cole des gar ons de la ville de Fri bourg de 1819 un espace con u par Girard lui m me pour l application de sa m thode Les l ves ont l im pression que leur progression dans les apprentissages se mat rialise par leur avancement simultan au sein de l ing nieuse disposition du mobilier ad quate pour accueillir de gros effectifs d l ves de toutes conditions sociales occupant des locaux vastes clai r s et a r s dans un b timent scolaire en dur de style noble palais scolaire pour les enfants du peuple T
118. r le devient crivait Simone de Beauvoir dans son amp xl me sexe Ilen va de m me pour la violence on ne na t t inn e et ait partie du d veloppement normal r ivit Pckssus es lschlascent Si ces passages sont mal g r s agressivit iokrice erer ilutilise d s lors l agressivit et la Force pour r gler ju pour obtenir ce qu il souhaite et elunsignal d alarme prendre en compte arousse encyclop diques est issu du latin soit attacjuer et est utilis pour quelqu un qui est naturel St provocateur OU encore pour quelqu un qui cherche dires ni borne ni mauvaise elle est Sa qualit d pendra du Soc i t portera son gard yles tentent d expliquer lagressivit nel es tiawa ux du p re tondateur de a psychanalyse Sigmund i ichien e r ponse la frustration sion de mort thanatos dirig e vd volumes Ed Larousse 1982 lab MaF iraa Comprendre et d samorcer la violence chez les jeunes Dante Paie pimai pas r gege La rari reni a Comprendre et d samorcer la violence chez les jeunes Violaine Martinella Grau 17x24cm 148 pages R f 935036 2 s Compre ndre ai d samercer h violence chez les jeunes Comprendre et d samorcer La violence chez Les jeunes 43 ISBN 978 2 606 01394 3 Prix CHF 24 Lep Editions Loisirs et P dagogie Impressum EH R sonances La revue R sonances qui fait suite L Ecole valaisanne parue d
119. r dans une classe sans bien comprendre le con tenu des cours Bref tout n est pas encore perfetto mais c est d j molto bene L change c t tudiants Rencontre avec les tudiants venus d Italie lors d un go ter organis par le Bureau des changes linguis tiques le 31 ao t l ambiance est joyeuse et anim e Jean Vittoria Carlotta et Ariela appr cient le lieu l accueil dans les familles et dans les coles tout en relevant un certain nombre de diff rences L organisa tion de l cole est meilleure plus moderne mais les profs sont beau coup plus s v res qu en Italie Re grettent ils de n tre pas all s plu t t en France pour apprendre le fran ais Le non est unanime et les montagnes semblent avoir fait leur Qualit s n cessaires pour l change et conseils pratiques O Camille il est pr f rable d tre sociable ouverte et sans difficult s int grer CT Laura ll faut s adapter et ne pas tre go ste et enfant g t E E dant e E E E L sioni da poter fare insieme L Coralie ll faut avoir l envie de conna tre de nouvelles choses Alexane lIl faut tre toujours de bonne humeur avec son sa correspon Sylvia ll faut tre capable de s adapter un autre mode de vie Xezal Il faut de la volont de la patience et du respect Valentina Essere socievoli mettere a proprio agio il corrispondente Vittoria Migliorare
120. raphe dont la complexit n est plus ni e aujourd hui l ouvrage coordonn par Dominique Senore pr sente dans sa premi re partie quatre 46 Livres pratiques p dagogiques le toilettage de textes la lettre cach e une dict e cibles ainsi que l laboration d un cahier outil sur les homophones La deuxi me partie du livre consiste en un croisement de regards de chercheurs Dani le Cogis Catherine Chabrun pour compl ter ces pratiques et proposer d autres rep res Mobiliser les l ves sur l orthogr ap he p dago giques Prariques t rep res Centre Dominique Senore Dominique Senore coordl Mobiliser les l ves sur l orthographe Pratiques et rep res p dagogiques Lyon Chronique Sociale 2011 gt Citation extraite de l ouvrage L orthographe demeure le domaine qui r siste le plus toute tentative rationnelle de faire le point sur les acquis La seule voie possible est alors l observation attentive des premiers jets des textes libres pour noter les progr s accomplis Catherine Chabrun Orthographe et p dagogie Freinet m Etre attentif c est bien Persister consiste fournir un effort soutenu malgr les distractions pour parvenir un but Un l ve qui apprend mener bien ses t ches et ses projets au quotidien sera mieux outill pour pers v rer dans ses tudes et viter le d crochage La persistance dans la t che est assur ment une des
121. retenue de certains r sultats doubl e d un transfert de comp tences jette une v ritable suspicion sur tous les chiffres que le Minist re laisse sortir Le Monde 13 12 2011 C Caen La philo en vogue Boulanger infirmier ou ch meur ils sont un millier assister chaque lundi au cours que donne Michel Onfray pour la dixi me ann e l universit populaire de Caen Nord Ouest de la France destin tous ceux qui n taient pas sociologiquement programm s pour la philosophie Lanc e en 2002 cette universit gratuite non reconnue est la r ponse du philosophe Michel Onfray l arriv e du candidat d extr me droite Jean Marie Le Pen au second tour de l lection pr sidentielle la m me ann e Le cours est ponctu de quelques r f rences l actualit Outre la contre histoire de la philosophie de Michel Onfray une vingtaine de professeurs b n voles proposent au public des conf rences vari es de la musique ancienne aux math matiques 20minutes fr 18 12 2011 C Formation Bourses d tudes au lieu de l aide sociale Deux tiers des jeunes qui b n ficient de l aide sociale n ont pas de dipl me professionnel Pour leur faciliter l acc s la formation la Conf rence suisse des institutions d action sociale CSIAS demande aux cantons de leur fournir des bourses d tudes qui couvrent le minimum vital Le Canton de Vaud a os et r ussi harmoniser le syst me des
122. riv 027 322 24 21 Michel Dorsaz T l priv 027 746 20 42 Herv Schild T l priv 027 398 42 53 Jos Teixeira T l priv 027 744 25 53 Les dates importantes B D lai d inscription 2 mars 2012 B Passation de l preuve durant la semaine du 12 au 16 mars 2012 EH Corrections et r sultats le mercredi apr s midi 28 mars 2012 Prix Aux classes gagnantes de chaque ca t gorie N1 S et N2 G ainsi qu aux classes tir es au sort Inscriptions Le formulaire d inscription est remplir en ligne www aveco ch d s le 1 f vrier 2012 0 R sonances F vrier 2012 e Math matique space math matique exemples d activit s rs ann e du CO Mars 2011 Pour tous les exercices des explications claires et lisibles sont demand es Si un exercice comporte plusieurs solutions toutes les solutions doi vent tre mentionn es pour obtenir le maximum de points Le marathon Guillaume est convaincu que seul un coureur portant un dossard avec le chiffre 3 qui porte bonheur selon lui peut esp rer gagner un marathon Supposons que Guillaume ait rai son Dans ces conditions a Lors d une course r unissant 99 concurrents avec des dossards num rot s de 1 99 combien de concurrents peuvent esp rer gagner b M me question pour une course r unissant 999 concurrents avec des dossards num rot s de 1 999 Premier d Sur les six faces d un d on a cri
123. rix coup de c ur du jury d un mon tant quivalent sera gale ment distribu La remise des prix aura lieu le mercredi 28 mars 2012 Martigny dans le cadre de la derni re jour n e de la semaine d actions valaisanne contre le racisme et en pr sence de repr sen tants du jury et d autorit s politiques Pour obtenir le r glement du concours d poser un projet ainsi que pour toute autre information vous pouvez con tacter Jacques Rossier coordinateur cantonal de l int gration Avenue de la Gare 39 1950 Sion T l phone 027 606 55 85 Email jacques rossier admin vs ch Plus d informations sur la campagne romande contre le racisme Www semainecontreleracisme ch C line Exquis d l gu e l int gration de la Ville de Monthey et Jean Pierre Pralong directeur adjoint de la FDDM 5 29 B T l espect de l orthographe L l ve respecte l orthographe des textes qu on lui dicte et ou qu il produit PER L1 36 Attentes fondamentales p 51 Range ta chambre Une telle injonction ne se discute pas avoir de l ordre est une valeur ducative c est faire preuve de res pect pour soi m me et pour son environnement Pourquoi est elle alors si souvent la bouche des parents Sans doute nos jeunes adolescents ne savent ils encore pas tr s bien qui ils sont ni quelles relations ils entretiennent avec leur entourage et qu ils se trouvent ainsi confront s des exi gences d ordre
124. s cette derni re a malheureusement pr t la main l radication des patois Carine Tripet Li vre inter pr ta ensuite de sa voix magique la plupart des chansons insistant sur le caract re oral de la tradi tion patoisanne et de la facilit d abord qui peut passer par une approche la diversit linguistique dans le sens de m thode d veil aux langues telle qu EOLE Le CD peut tre obtenu la HEP VS ou aupr s de la Fondation du Patois E En raccourci Education l environnement Plateforme suisse qui fait peau neuve La plateforme suisse d ducation l environnement EE a fait peau neuve Si vous recherchez une activit p dagogique r aliser avec votre classe dans le domaine de l nergie une animation vivante sur le climat partager avec vos l ves ou un moyen d enseignement de qualit sur la biodiversit n h sitez pas la consulter En quelques clics vous acc dez directement aux bonnes pratiques et ressources didactiques que les acteurs ducatifs mettent disposition des enseignants et praticiens des diff rents cycles scolaires www educ envir ch R sonances F vrier 2012 Doc p dagogique ILND R documentaires les suggestions du mois Les DVD R sont disposi tion des enseignants et des tudiants dans les deux sites de Sion et St Maurice Par le biais du ca talogue online de la M diath que Valais RERO Va lais ceux ci peuvent tre r serv
125. s R ponse en douze le ons avec des conseils vidents mais qu il est parfois bon de se rappeler Jean Yvon Lafinestre et Yann Cou del illustr par Cabu Le guide de l enseignant G rer sa classe au primaire Paris Fabert 2011 http le guide enseignant blogspot com gt Citation extraite de l ouvrage Attisez la curiosit de vos l ves pour les veiller au monde qui les entoure 47 run num ro l autre E Sciences Le robot quir ve d envahir l cole L Ecole polytechnique de Lausanne a d velopp un petit robot truff de capteurs et compatible avec des pi ces Lego Il est destin aux coles Il a t pr sent des enseignants vaudois et ressemble un puck blanc mont sur roues Mais Thymio Il est bien plus que a Truff de capteurs il d tecte les objets chocs ou sons Il mesure les acc l rations la temp rature son orientation peut parler changer de couleur a une bonne m moire Et est tr s ob issant Nous voulions d velopper un robot pour l ducation proche d un jouet Qui peut servir d s 6 ans pour une initiation ludique la robotique Les enfants peuvent le personnaliser se l approprier comprendre comment il prend ses d cisions Puis plus grands le programmer d taille Fanny Riedo en charge du projet au sein du Laboratoire de syst mes robotiques Pr s de 90 Thymios se baladent dans les coles vaudoises Le Matin 6 12
126. s am liorations envisager pour d autres changes de ce type leur vision rejoint spontan ment celle des enseignantes Dona tella Bonifazi et Cinzia Maschietto En effet il semble que ce soit du c t de l int gration l cole qu il faille en priorit faire des efforts pour que tous se sentent l aise et que les tudiants accueillis ne d crochent pas trop vite Un constat valable des deux c t s de la fronti re mais peut tre encore un peu plus c t R sonances F vrier 2012 valaisan En Italie comme le cadrage scolaire est moins strict le temps consacr faire connaissance a t un peu plus important m me si vrai semblablement encore insuffisant Nos coll giennes seraient partantes pour r it rer l exp rience sauf une qui a eu des soucis relationnels Je regrette que ma correspondante m ait manqu de respect parce que je devais r viser mes cours com mente l tudiante approuv e par ses camarades qui ont constat cette intol rance Qu aurait il fallu faire pour viter ces difficult s Ap paremment rien car l change lin En raccourci Cahiers p dagogiques L erreur pour apprendre Quatorze ans apr s la parution du livre de Jean Pierre Astolfi sur le statut de l erreur les Cahiers p dagogiques guistique doit composer avec l hu main pas toujours pr t vivre le changement d habitudes Reste que notre jeune coll gienne chaud e n en veut ni au BEL ni aux pr
127. s et retir s dans l un des 3 autres sites de la M diath que Valais moyen nant un d lai d au minimum 72 heures jours ouvrables Leur emprunt est strictement r serv des fins p dagogiques pour une dur e de 14 jours avec possibilit de 5 prolongations tant que le document n est pas r serv par un autre lecteur Les enseignants peuvent exprimer leurs souhaits d enregistrement pour le jeudi midi pr c dant la se maine de diffusion de l mission l adresse suivante documentation pedagogique mediatheque ch Tous la neige Fred Jamy et Sabine sont Chamo nix et reprennent leurs meilleures maquettes sur la montagne et sur le ski Quelle diff rence y a t il entre la neige naturelle et la neige artifi cielle Comment glisse un ski MEDIA MEDA gn lie iAP UTAS i Dr ds R sonances F vrier 2012 OM MNT LL bk D ba i est pas S Tous la neige avec C est P A quoi sert le fartage Comment fonctionne un t l ph rique Qu est ce qu une avalanche CPS Emission C est pas sorcier Diffu s e le 5 02 10 sur FR3 Cote 551 578 48 TOUS Ski et r chauffement climatique Les hivers sans neige ce n est pas nouveau Il y a 50 ans on les con naissait d j Mais avec le r chauf fement climatique l enneigement se fait de plus en plus incertain Si les sommets de nos montagnes de meurent parfaitement enneig s force est de constat
128. sage peuvent r sor ber les diff rences entre les genres De m me les d savantages li s un faible niveau socio conomique un statut migratoire et une langue trang re peuvent tre r duits L engagement en lecture et la con naissance des strat gies d appren tissage sont influenc s par le con texte social et culturel mais peu vent tre travaill s et encourag s dans le cadre de l cole A l avenir il est donc important d accro tre au NIVEAUX BC a DIFFERENCE SIGNIFICATIVES INFLUENCES NEGATIVES STRATEGIE D APPRENTISSAGE pr s des l ves la joie ou le plaisir de lire ainsi que l int r t dans les di verses mati res scolaires en parti culier aupr s des l ves qui appar tiennent une cat gorie risque Le rapport Pisa 2009 concernant le canton du Valais est le fruit d une collaboration entre la Haute Ecole FACTEURS INDIVIDUELS C EST BIEN BEAU MAIS LE VALAS ON EST PREMIER ou BIEN PAS 7 p dagogique du Valais et la section Unit de recherche et de d velop pement du Service de la formation tertiaire Le rapport peut tre t l charg sous www vs ch sft gt infor mations gt recherche sur le syst me de formation gt PISA le communi qu de presse de la CDIP sous www edk ch dyn 24410 php E En raccourci Revue suisse de p dagogie sp cialis e Au sommaire du deuxi me num ro La Revue suisse de p dagogi
129. t etc CO Prendre une part active aux pro jets de la Conf d ration et de l UNESCO pour lever le niveau de comp tence professionnelle au d veloppement durable B Assurer une animation p dago gique aupr s des enseignants et leur proposer des th mes de tra vail des situations concr tes avec la m thodologie qui les ac compagne B Assurer des cours de formation la d marche du d veloppement durable pour les tudiants fr quentant la HEP R sonances F vrier 2012 Domaine 16 inciter les communes les entreprises et la population appliquer concr tement les principes du d veloppement durable Le d veloppement durable est l af faire de tous de lui d pendent la qualit de vie au niveau local et l avenir de la plan te Le Valais en tend encourager les citoyens entre prises et communes prendre des initiatives permettant de concr tiser les objectifs du d veloppement du rable notamment par l laboration d Agendas 21 locaux et de plans d actions tenant compte des prin cipes du d veloppement durable En raccourci R ussir l cole 500 sites L cole branch e propose son guide annuel de 500 x Exemples de mesures B Accorder une aide m thodolo gique aux communes et aux en treprises souhaitant mettre en place un Agenda 21 E Sensibiliser les acteurs de la so ci t civile au r le actif qu ils peuvent jouer en mati re de d veloppement durable R pondre
130. t les six plus petits nombres premiers un nombre premier diff rent sur chaque face Le d est pos sur une table de telle fa on que An dr a Beno t et Claire pla c s trois sommets de la table voient chacun exac tement trois faces cf illus tration ci contre La somme des points vus par Andr a vaut 27 celle R sonances F vrier 2012 dl A des points vus par Beno t vaut 21 celle des points vus par Claire vaut 25 Quelle est la valeur de la face en contact avec la table Ah la vache Gilles est n d un p re suisse et d une m re fran aise Ses anniver saires sont toujours f t s alternati vement en Suisse et en France Pour son premier anniversaire il a re u de son p re une tirelire en forme de vache contenant un franc Pour ses trois ans trois francs ont t mis dans la vache et pour ses cinq ans cinq francs y ont t plac s Et toute sa vie cela a continu ainsi un anniversaire sur deux a t f t en Suisse et ce jour l Gilles a mis dans la vache un nombre de francs gal son ge Il n a jamais retir d argent de cette tirelire ni ajout d autres sommes que celles indiqu es ci dessus a Aujourd hui Gilles vient de met tre 99 francs dans la vache Quelle somme contient elle au total Commission AVECO b Par testament Gilles a demand que la tradition se poursuive jus qu l ann e o l on versera 9999 francs dans la va
131. t pas seulement au niveau can tonal De plus Dani le P risset donne le cours d histoire de l ducation la HEP VS de St Maurice ce qui la rend l gitime pour voquer le posi tionnement de notre cole publique dans cette dyna mique m lant pass pr sent et futur Dani le P risset aux yeux de la Suisse l Ecole valaisanne se situe tr s clairement du c t de la tradition L est elle autant qu on le croit On la d crit comme traditionnelle et pourtant les en seignants sur le terrain ont v cu de nombreux change ments ces derni res ann es I n emp che que la tradi tion a laiss une empreinte de bon sens et c est peut tre cela l un des atouts de l Ecole valaisanne actuelle Le Valais est rest un petit pays ouvert sur le monde tout en conservant une identit r gionale forte L Ecole valaisanne a t elle beaucoup chang ces derni res ann es Tout d pend de la mani re dont on regarde l volu tion Si l on se focalise sur une tr s courte p riode on ne per oit pas le changement car il se fait progressive ment chaque jour de mani re presque imperceptible Lorsque l on examine l histoire sur plusieurs si cles le temps du changement oscille plus amplement En se r f rant aux dix derni res ann es il ne fait aucun doute que les changements ont t importants Mais en Va lais en particulier le politique cantonal parvient encore imposer un rythme acceptable pour le terrain par rapport a
132. t du corres pondant ils ne sont que partenaires de l aventure Si le jeune n est pas pr t ou n a pas envie inutile de le forcer assure la responsable des changes linguistiques qui par ex Le Valais vu d Italie O Vittoria Je suis contente d avoir connu un pays diff rent du mien CT Ariela Nous nous sommes bien amus es Nos correspondantes sont tr s gentilles et sympas et Sion est une tr s jolie ville O Carlotta Pendant le cours d histoire nous avons d parler de l Italie et pendant le cours d italien nous avons d parler d un monument de Rome et j ai choisi le Panth on R sonances F vrier 2012 p rience sait qu il faut tre partie prenante dans la d marche pour qu elle soit b n fique Son travail consiste ensuite trouver des cor respondants pour chaque jeune en tenant compte dans la mesure du possible des go ts communs Dans le cadre des changes avec l Italie Corinne Barras peut compter sur le soutien de Rossana Errico la responsable de l Agence consulaire d Italie Sion ainsi que sur l appui de G raldine Seppey Maret et de Cinzia Maschietto respectivement responsable des changes linguis tiques au coll ge de l Abbaye de St Maurice et au coll ge de la Planta de Sion Une fois que les jeunes sa vent qui sera leur correspondant Corinne Barras leur sugg re de cr er le contact pour raccourcir le temps d acclimatation Avec internet et les 23 r seaux so
133. tion sa Donnons aux enfants malades la chance d tre des enfants avant d tre des malades Notre fondation r alise les v ux d enfants malades www makeawish ch Lx MAKE N WISH Schweiz Suisse Svizzera info schoechli com T l 027 452 25 25 Vous d sirez un travail cr atif professionnel soign T 4 e E SE _ ea E E EN En E m lt Ee mMM e _ r a Ech ti mnt A FE e e TT E CE a be E _ eegend TN _ Ech ke e rg Ech e El Ee q St Wl Al Technop le 3960 Sierre T l 027 4522525 Fax 027 452 25 22 e mail info schoechli com www schoechli com
134. ttp philippe watrelot blogs pot com Mise en liens Nadia Revaz Sur Educavox on peut no tamment se r galer avec les propos mis en d bat par Pierre Frachowiak www educavox fr _Pierre Frackowiak_ Anae est le blog de la re vue du m me nom qui porte sur l Approche Neu ropsychologique des Ap prentissages chez l Enfant Wwww anae revue org Parmi les blogs de journa listes citons celui d Em manuel Davidenkoff http blog educpros fr emmanueldaviden koff celui de Luc C delle http education blog lemonde fr ou ce lui de Natacha Polony http blog lefigaro fr education Et pour sourire les dessins de Jack sur l cole mais attention il n y a pas de danger de surconsommation http dangerecole blogspot com Pour d couvrir ces blogs ou sites et bien d autres le plus pratique est de vous rendre sur http pear ly Y vf afin de cliquer directement sur les lianes pour en avoir un aper u E En raccourci La Classe maternelle Kamishibai A travers la description d taill e d exp riences men es en classe le num ro de f vrier veut montrer les multiples possibilit s offertes par le th tre d images d origine japonaise www laclasse fr 31 Projet de classes af litt raire des coll giens avec Marie Jeanne Urech Cette ann e 28 classes de Suisse romande ont particip au prix litt raire Le Roman des Romands qui en est sa 3 dition Parmi elles il
135. u l Val rie Granges comment g rez vous vos ressources humai nes Les ados ne sont pas pleinement autonomes et ont besoin d un ca dre et d un suivi Cependant du moment que l on parvient instau rer un climat de confiance la rela tion est assez facile avec eux Cette relation de confiance suf fit elle susciter la motivation H las non R ussir motiver tout le monde tout le temps cela me sem ble utopique Toutefois dans le ca dre d un projet si la plupart sont motiv s ceux qui ne le sont pas fi nissent par suivre le mouvement ou par tre mis l cart Si un l ve d cide d tre marginalis il peut en tout temps r int grer le groupe car la porte est toujours ouverte R sonances F vrier 2012 n anmoins j attends qu il fasse un pas C est aussi une mani re de lui faire comprendre le respect des r gles de toute vie en soci t Un projet de radio scolaire cela doit tre passionnant mais puisant En s investissant dans ce type de projets l on gagne ensuite en con fort Les l ves sont contents de voir qu on croit en eux et du coup ils sont pr ts faire des efforts dans le cadre du projet mais aussi dans l ensemble des branches La d marche par projet ne ris que t elle pas de renforcer seu lement les comp tences exis tantes Pour la premi re mission de radio les l ves ont choisi la t che dans la quelle ils se sentaient le plus l aise ce qu
136. une exp rience Lors de la r alisation la compr hension d un sch ma de montage et sa mise en uvre r elle l obser vation et la prise de mesures font partie des savoir faire pratiques travailler en science Les questions de collaboration de r partition du travail dans le groupe seront aussi d velopper L apprentissage du travail selon des normes de s curit tablies et apprises sera un apport des sciences au d part dans le monde professionnel Beaucoup d exp riences peuvent tre r alis es avec du mat riel de r cup ration Et les l ves devront 16 Apprendre manipuler r ellement n est pas le moindre atout de la r alisation d exp rience par les l ves Sch matiser une ou deux tapes de l exp rience tout un apprentis sage pour l l ve du cycle 1 mais aussi plus tard et Propositions d activit s CVCcLE CT Proposer des situations probl mes chaleur la rugosit l humidit le sal le sucr etc Imaginer des exp riences pour prouver par exemple o est pass e l eau de la gouille qui tait l ce matin ELLES dans la cour Anticiper le mat riel n cessaire et les outils de me sure indispensables Lister les phases de l exp rimentation Sch matiser quelques phases Remettre de l ordre dans les tapes d une exp rience Attribuer un mat riel donn la bonne exp rience Essayer de reproduire l exp rience en l adaptant une autr
137. urs en train de s estomper ce qui entra ne que la modeste diff rence observ e en 2003 et 2006 par exemple en litt ratie entre Gen ve ou Vaud et Fribourg ou Valais autour de 30 points sur 600 soit quelque chose comme deux trois dixi mes sur l chelle des notes 1 6 s est encore sensiblement amenuis e sur dix ans Fribourg est m me le seul avoir r gress les populations scolaires des cantons dits traditionnels ayant tendance rejoindre les niveaux d h t rog n it des cantons dits avanc s Modernit et tradition ser vent donc surtout dans l opinion relay e par la plupart des m dias focaliser l attention sur des explications r cup rables par la politique R sonances F vrier 2012 Un cas embl matique d opposition tradition modernit Historiquement comment traiter de la question Je n ai la place que pour un seul exemple Le tournant des ann es 1820 Fribourg peut tre consid r dans l his toire de l cole comme un moment embl matique de l opposition tradition modernit v cu par maintes r gions d Europe Une histoire scolaire fribourgeoise dif f rente sur ce point de celle du Valais canton qui ne manifeste alors qu une vell it de lib ralisation sco laire partir de 1841 autour d un projet de s cularisa tion partielle d ailleurs refus de justesse par le peuple Que s est il donc pass Sous l gide d une part clair e du patriciat et d intellectue
138. utien Propos recueillis par Nadia Revaz E Echo de la r dactrice Estime entre enseignants Le monde professionnel n est pas celui des bisounours Dans notre soci t comp titive avec certes des lots collaboratifs ce n est pas tonnant Entre professions le d nigrement est aussi fr quent Tous des nuls sauf mon m tier sous entendu moi Une vraie fausse estime de soi affich e en bouclier Le monde scolaire serait il meilleur M me si l cole met des notes c est l endroit o l on s int resse le plus la progression individuelle o l on respecte le mieux les diff rences L enseignant essaie au quotidien d introduire la coop ration dans sa classe alors peut tre qu il lui en reste quelque chose dans son comportement En tant que lieu des valeurs par excellence on peut esp rer Et je crois que cette esp rance n est pas vaine Tandis que l enseignant a vu son image se d grader dans la soci t le respect entre coll gues des divers ordres d enseignement semble augmenter Depuis quelques ann es j entends de plus en plus souvent des enseignants du CO admirer le travail de leurs coll gues du primaire ou d enfantine ou des enseignants du secondaire Il voquer avec bienveillance le voisin m tier des coll gues de l cole obligatoire Bonne nouvelle la verticalit am lior e pour les l ves aurait des incidences pour les enseignants Avec l effet langagier des cycle 1 cycle
139. ux changements pr conis s par le national R sonances F vrier 2012 Dani le P risset enseigne la HEP VS voire l international ce qui me semble tre une autre preuve de ce bon sens Au Mis si cle l Ecole valai sanne tait la cancre de la classe alors qu aujourd hui elle figure sur le podium des meilleurs dixit les r sultats PISA Comment expliquer cette volution Suite aux r sultats catastrophi ques obtenus par les cantons du Valais et de Fribourg lors des examens que l on faisait passer aux recrues dans la derni re partie du XIX si cle des actions ont t men es au niveau f d ral pour contraindre lesdits can tons prendre des mesures En Valais notamment l Ecole normale a t annualis e et la formation l enseignement au degr primaire ten due deux ans Les examens de recrue ont cess d tre organis s lorsque les cantons les plus faibles dont le Valais ont rejoint la moyenne nationale au d but du XXe si cle HarmoS parach ve aujourd hui ce qui a t entrepris au XIX si cle sur le plan politique Mais les conditions sociales et conomiques ont fondamentale ment chang et ce qui tait un d faut au XIX la forte identit cantonale et l attachement aux valeurs ru rales est peut tre devenu une qualit au XXI si cle EH La tradition a laiss une empreinte de bon sens dans l Ecole valaisanne C R Dans un cadre traditionnel il
140. xercer l habilet segmen ter le texte et la phrase avant le groupe et le mot ce qui induit des comp tences en mati re de compr hension de l crit Elle permet aussi de v rifier la mobilisa tion en situation des acquisitions sp cifiques Donner le sens de l orthographe c est aussi et surtout la faire voir comme un syst me certes com plexe mais dont les principales ca Fran ais ract ristiques peuvent se d couvrir progressivement par l observation des textes Cependant plut t que de pr senter les objectifs de struc turation travers le prisme du d cloison nement tout prix il s agit de construire avec les l ves pas pas la composante orthographique et son corollaire la com p tence de r vision textuelle pour que se tissent sous leurs yeux les liens troits qu elle entretient avec la grammaire de la phrase le vocabulaire et la conju gaison L exemple d une construction pos sible de cette grammaire au sens large en tant que composante or thographique du processus r dac tionnel est d pos sur le site de fran ais En voici le chemin http animation hepvs ch francais gt Cycle 3 gt Accompagnement gt 9 gt Guide orthographique Philippe Roduit Animation p dagogique Cycle 3 Notes CT 1 Nous pensons en effet que d cloison ner pour d cloisonner ne produit qu une atomisation des contenus de structuration qui emp che l l ve de percevoir la lan

No 05 L`école entre tradition et modernité

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