Home

La lettre de l`AFSE

Contents

1. co nomie du sport ainsi que les points de vue des cher cheurs les plus r put s sur les questions restant pour l heure sans r ponse Il aborde successivement 1 La macro conomie du sport y compris la comp tabilit nationale du sport l industrie et le com merce mondial d articles de sport 2 La demande de sport de pratique sportive de spectacle sportif et de retransmissions t l vi s es 3 L analyse avantage co t appliqu e aux effets du sport sur la sant l emploi le b n volat et l im pact conomique des grands v nement sportifs J O Coupe du Monde 4 La gouvernance priv e CIO f d rations et ta tique du sport permettant de distinguer diff rents mod les anglo am ricain europ en post sovi tique des pays en d veloppement de r gulation du sport 5 L analyse conomique des sports individuels l aide de la th orie des tournois 6 L analyse conomique la plus labor e ce jour des ligues de sports collectifs profession nels leur financement la fonction de produc tion des clubs leurs fonctions objectifs et le march du travail des sportifs professionnels 7 Les dysfonctionnements conomiques du sport la discrimination raciale et par genre le dopage et la corruption Pr alablement les deux coordonnateurs de l ou vrage introduisent une br ve histoire des analyses en conomie du sport jusqu son institutionnali sation r cente Wl
2. adaptation et d innovation constitue un enjeu pour leur p rennit Ces activit s continuent cependant d tre per ues n gativement en termes d innovation tant par la presse quotidienne que dans certaines tudes conomiques Leur capacit d innovation est souvent m connue ou reste encore limit e l introduction de syst mes techni ques en provenance du secteur industriel Cet ouvrage propose de rendre compte du potentiel d innovation des services publics marchands Il met en vidence la diversit des modalit s d inno vation de ces activit s ainsi que leurs trajectoires d innovation Il tablit la tendance de ces activit s voluer progressivement d un mod le d innova tion de type industriel vers un mod le d innovation dans lequel les aspects cognitifs et de relation de service prennent de l importance L auteur s ap puie sur une tude empirique d taill e de l innova tion La Poste et donne des pistes de r flexion sur la strat gie d innovation de l ensemble des services publics marchands dans le but de maintenir la coh sion sociale Ce livre s adresse aux cher cheurs mais aussi aux d cideurs publics 23 C line Merlin Docteur en Sciences Economiques est enseignante l Universit des Sciences et Technologies de Lille et l IESEG Elle poursuit des recherches sur le th me de l innovation dans les ser vices publics au sein du laboratoire CLERSE IFRESI Universit
3. http www gate cnrs fr afse jee Croissance convergences et int gration europ enne Economie et Pr vision n 173 2006 2 Les 26 et 27 mai 2003 s taient d roul es a Lille les Journ es de Association Fran aise de Sciences Economiques consacr es au th me Croissance convergences et int gration europ enne organis es par le M d e M canismes europ ens conomiques et dynamiques des espaces europ ens devenu EQUIPPE en 2006 Le num ro 173 d Economie et Pr vision consiste en une s lection d articles pr sent s dans une version pr liminaire lors de ces Journ es Ces articles t moignent de l intensit de la recherche dans ces domaines et de la diversit des contributions qui y ont t pr sent es Nous pro posons un extrait de la pr sentation g n rale r dig e par Etienne Farvaque et Hubert Jayet Les Journ es de l AFSE se sont tenues en 2003 Lille La localisation et la personnalit de l quipe organisatrice M d e imposaient que le th me de ces journ es soit europ en En outre au del de la position g ographique de la ville h te la fois le renouvellement intense de sa sp cialisation pro ductive et de son image et les v nements mar quants ayant marqu le processus d int gration europ enne ces derni res ann es ont fait naturelle ment merger des th mes de r flexion plus ax s sur les questions li es au traitement des h t rog n it s de la zone en cour
4. Dans ces conditions il est n cessaire de savoir sur quelles alliances sociales reposent les quilibres politiques pour savoir si les r formes structurelles sont indispensables au renouvelle ment du bloc social dominant L analyse des enqu tes post lectorales fran aises r alis e par Elvire Guillaud et Stefano Palombarini r v le l clatement des blocs de gauche et de droite et sugg re l appari tion d un nouveau bloc social le bloc bourgeois favorable aux r formes structurelles telles que pr co nis es par l OCDE ou la Commission La lettre de l AFSE n 67 Le r le des croyances et des id ologies dans l conomie politique des r formes Gilles Saint Paul Paris Sciences conomiques et Universit de Toulouse I Depuis des d cennies nombre d conomis tes se r vent dans le r le de conseiller du prince et pr nent des mesures de bon sens qui am lioreraient le fonctionnement du march du travail Malgr leur implication croissante dans la vie publique l volution de ce march n est gu re favorable Le ch mage se stabilise un niveau relativement lev Sa dur e est importante et il frappe particuli rement les jeu nes et les personnes g es La flexibilit du march du travail se heurte une opposition politique importante Les der ni res mesures r ellement favorables la flexi bilit remontent l abolition de l autorisation administrative de licenciement
5. Martin Chick H Viv Nelles Presses de Sciences Po 117 boulevard Saint Germain 75006 Paris T l 33 0 1 45 49 83 64 Fax 33 0 1 45 49 83 34 13 La lettre de l AFSE n 67 Ou va histoire des entreprises 7 SCIENCES PO Librairie 30 rue Saint Guillaume 75007 Paris librairie sciences po fr Tel 01 45 48 36 02 T l copie 01 42 22 56 89 Heures d ouverture du lundi au vendredi de 11h a 18h30 Order online www pressesdesciencespo fr Or return the enclosed form with your payment directly to Presses de Sciences Po 117 boulevard Saint Germain 75006 Paris France T l 33 1 45 49 83 64 Fax 33 1 45 49 83 34 Marketing et communication Graziella Niang 01 45 49 83 32 resses sciences po fr Abonnements info presses sciences po fr SCIENCES PO LES PRESSES La lettre de l AFSE n 67 REVUE ECONOMIQUE Revue bimestrielle publi e avec le concours du Centre national de la recherche scientifique de l Ecole des hautes tudes en sciences sociales et de la Fondation nationale des sciences politiques In memoriam Yves Ullmo Jeanne Marie Parly Co ts de transaction quilibres multiples avec ch mage et concurrence monopolistique un r examen du mod le WS PS Ludovic A Julien Nicolas Sanz Firm Specific Learning and the Nature of the Firm Why Transaction Costs May Provide an Incomplete Explanation Geoffrey M Hodgson Thorbj rn Knudsen Incer
6. conomie de march On montre d abord dans le contexte de l conomie politique des r formes du march du travail qu un groupe d int r t peut vouloir manipuler les croyances dans une direction syst matique alors m me qu il ne dispose d aucune information priv e L id e est que ces croyances affectent les d cisions publiques d une fa on qui sera favorable au groupe d in t r t consid r ind pendamment des param tres r els qui r gissent le fonctionnement de l conomie Ainsi des travailleurs dont la qua lification les situe au dessus du SMIC mais qui sont substituables aux travailleurs pay s au SMIC auront toujours int r t la marge ce que celui ci augmente car une telle hausse r duit l emploi au niveau du SMIC ce qui aug mente leur propre salaire Pour coopter les smi cards dans leur coalition ils auront int r t ce que se propage la croyance selon laquelle le SMIC d truit peu d emplois Un autre m canisme est fond sur l autos lection des clercs en fonction de leurs per ceptions sur l conomie de march L id e est qu il est conomiquement rationnel pour un individu qui a une opinion n gative sur l co nomie de march de chercher un emploi dans La lettre de l AFSE n 67 un secteur prot g des forces du march donc en particulier dans la fonction publique o officient les enseignants En d autres termes la formation de
7. conomiques dans l Union mon taire Ouest Africaine Le premier chapitre tudie les canaux de la transmission internationale de la politique bud g taire en Union mon taire ainsi que le signe des externalit s g n r es par celles ci Le second cha pitre value la pertinence des arguments li s aux externalit s structurelles de demande l aide d une mod lisation Var ainsi que ceux de la disci pline et de la cr dibilit du policy mix dans le contexte de l UEMOA Le troisi me chapitre va lue le processus de convergence macro conomique mis en uvre dans la zone apr s la d valuation du Franc CFA en 1994 et s interroge sur le type de r gles budg taires adapt es la zone UEMOA Le dernier chapitre proc de une analyse empirique de l impact des r gles limitant l endettement des pays de la zone sur la soutenabilit de leurs politi ques budg taires Mots cl s Politique budg taire union mon taire coordination convergence soutenabilit UEMOA E mail felwine sarr tiscali fr Mouhamadou Fall Assurance et tests g n tiques Date de soutenance 28 novembre 2006 Laboratoire Laboratoire d Economie d Orl ans Universit Universit d Orl ans Directeur de th se Anne Lavigne Jury Patrick Villieu Franck Bien R gis Breton Meglena Jeleva rapporteur Bertrand Villeneuve rapporteur Les tests g n tiques suscitent actuellement des craintes car les individus pensent que leur
8. instabilit finan ci re internationale Date de soutenance 7 d cembre 2006 Laboratoire Laboratoire d Economie d Orl ans Universit Universit d Orl ans Directeurs de th se Jean Paul Pollin Jean Baptiste Desquilbet Jury Andr Cartapanis rapporteur Olivier Jeanne Dominique Lacoue Labarthe rapporteur Patrick Villieu Dans cette th se nous menons une r flexion th o rique empirique et r glementaire sur trois aspects majeurs de l instabilit financi re induite par l ou verture des march s et la d r glementation dans les pays mergents crises jumelles co mouvement des march s d sajustements de maturit s et devi ses Nous proposons un cadre g n ral pour tudier les liens entre crises bancaires et de change inspir de la crise asiatique Sur le march des changes la d valuation est le r sultat de l arbitrage du gouver nement en pr sence de garanties implicites du sec teur bancaire Sur le march des capitaux le pas sage l quilibre de crise d pend de l volution du ratio de liquidit internationale Nous d veloppons ensuite un mod le de transmission internationale des chocs sp cifiques globaux afin de caract riser l attitude des investisseurs vis vis des titres mergents de dette et identifier les sources poten tielles de risque de contagion Nous appliquons ce sch ma aux pisodes majeurs de volatilit accrue de 1997 2005 Malgr l att nuatio
9. l mergence de nouveaux acteurs tant civils que publics ou parapublics et la mise en place de nouveaux instruments ou de nouvelles proc dures d centralisation contractua 30 La lettre de l AFSE n 67 lisation ou transcommunalit s accompagnent et forcent ces changements Le colloque sera l occasion de confron ter les analyses des chercheurs et les exp riences de d cideurs locaux de nombreux pays du Nord et du Sud sur le r le la place et les conditions dans lesquelles la variable acteur public intervient dans le processus de d veloppe ment Organisation Diana Raulier diana raulier fucam ac be CALL FOR PAPERS Research in International Economics and Finance RIEF The 2nd RIEF conference will be held at Universita Tor Vergata Rome Italy on May 11th and 12th 2007 The confe rence invites submissions of papers in all subject areas of International Economics The deadline for paper submis sion is February 28th 2007 Paper must be submitted in pdf format by email to Ms Michela Carnevali at michela carnevali uniroma2 it Further information on http rief univ paris 1 fr CALL FOR PAPERS The sixth edition of the Journees Louis Andre G rard Varet Marseille June 14 15 2007 This conference aims at encouraging production and diffusion of high quality research in Public Economics with a special emphasis toward results which clearly contribute to shed light on various aspects of real world pub
10. 50 R daction 54 Boulevard Raspail 75006 Paris Tel 01 49 54 25 65 Fax 01 45 44 93 11 Revue Economique ehess fr http www ehess fr html html 735 html SCIENCES PO LES PRESSES La lettre de l AFSE n 67 THESES THESES THESES THESES Akli Berri Dynamiques de la motorisation et des d pen ses de transport des m nages Analyses sur don n es individuelles et semi agr g es Date de soutenance 20 d cembre 2005 Laboratoire TEAM Universit Universit de Paris 1 Panth on Sorbonne Directeur de these Francois Gardes Jury Joyce M Dargay Francois Gardes Marc Gaudry rapporteur Jean Loup Madre Philip Merrigan rapporteur Patrick Sevestre Les comportements de transport des m nages sont examin s sur donn es d enqu tes r p t es pour en comprendre les dynamiques et en appr hender les cons quences pour l volution future des parcs et de la circulation automobiles ainsi qu en termes d in galit s sociales L quipement automobile et son usage sont analys s avec une approche bas e sur le suivi de cohortes Des projections long terme sont r alis es pour les parcs disposition des m nages dans plusieurs pays ainsi que pour le trafic automobile des m nages en France Les d penses de transport des m nages fran ais sont consid r es conjointement avec celles du loge ment Les in galit s de consommation et les effets redistributifs des taxes su
11. a adopter les pr f rences du citoyen moyen qui supporte le parti et les que opportunistes d ter minent leurs positions en maximisant leur probabi lit d tre lu Suivant Roemer 2004 l quilibre de Nash d unanimit endog ne est d fini Il consiste en des propositions politiques partisanes telles que ni dans un parti ni dans l autre tant donn la poli tique propos e par l autre parti les factions inter nes ne peuvent se mettre unanimement d accord sur une d viation de la politique propos e et l id o logie du parti est donn par les pr f rences du citoyen moyen qui soutient le parti On passe alors une analyse dynamique pour tudier la stabilit Le premier processus dynamique est comme pr c demment la dynamique d affiliation des oppor tunistes Le second processus coupl au premier est le processus d ajustement id ologique des mili tants leurs lectorats La lettre de l AFSE n 67 LIVRES LIVRES LIVRES LIVRES Handbook on the Economics of Sport Wladimir Andreff and Stefan Szymanski Edward Elgar Cheltenham 2006 ISBN 1 84376 606 6 150 00 830 pages Les 86 principaux sujets de la nouvelle discipline Economie du sport sont trait s en autant de chapi tres par 65 conomistes originaires de quatre conti nents soit une majorit des chercheurs les plus actifs dans ce domaine L ouvrage recense les principaux r sultats obtenus dans la litt rature consacr e l
12. analyser l volution des liens financiers entre les pays de la Communaut Economique et Mon taire de l Afrique Centrale CEMAC et l conomie mon diale et d autre part d valuer empiriquement les effets macro conomiques des flux de capitaux ext rieurs dans ces pays et de montrer les bienfaits potentiels d une ouverture financi re accrue Dans une premi re partie nous analysons l extension de la globalisation financi re aux pays mergents en d veloppement et en transition et faisons ressortir la marginalisation de l Afrique Subsaharienne en g n ral et de la CEMAC en particulier dans les processus de globalisation financi re et d int gra tion financi re internationale IFI Dans la deuxi me partie de la th se nous recourons dif f rentes techniques conom triques pour d termi ner l impact de l IFI sur la croissance conomique et v rifier si cette relation d pend des performan ces conomiques et du niveau de d veloppement financier Pour tester cette relation l analyse empi rique est r alis e sur les 3 pays de la CEMAC Cameroun Congo et Gabon pour la p riode 1970 2003 Globalement ces tests ne permettent pas de faire ressortir une relation significative entre l IFI et la croissance conomique m me sous certaines conditions conomiques et financi res L tude analyse galement le degr de volatilit ou d instabilit des flux de capitaux destination de ces pa
13. au noir La compl mentarit ou la substituabilit du travail au noir par rapport au travail l gal Les analyses conomique et conom trique des d terminants de I offre de travail au noir Les analyses conomique et conom trique des d terminants de la demande de travail au noir en prenant en compte aussi celle de la part des employeurs particuliers Vincidence des nouvelles technologies sur l offre de travail au noir L analyse des politiques publiques de r duction du travail ill gal Projet de communication en anglais ou en fran ais R sum en fran ais ou en anglais d une page accompagn le cas ch ant de l article complet envoyer avant le 23 mars 2007 a eco informelle cee recherche fr 26 La lettre de l AFSE n 67 CALL FOR PAPERS ESNIE 2007 European School on New Institutional Economics Institut d Etudes Scientifiques de Carg se Corse 21 au 25 mai 2007 La Nouvelle Economie Institutionnelle NET se consacre l analyse de la coordination entre les agents conomiques et tudie les impacts conomiques des dispositifs de coordination que sont les contrats les organisations et les ins titutions L objectif de l Ecole est de permettre aux chercheurs int ress s par ce champ d analyse de se mettre jour sur les d veloppements r cents de se familiariser avec les outils d analyse propres ce champ de d velopper des r seaux de coop ration scientifiques fran ais europ ens et internatio
14. aux deux adresses suivantes Lahsen Abdelmalki univ lyon2 fr et Msadni jallab uneca org APPEL A COMMUNICATIONS 6 Colloque International sur l Economie de la Chine Le d veloppement de la Chine est il soutenable CERDI IDREC Universit d Auvergne Clermont Ferrand 18 19 octobre 2007 Le CERDI IDREC organise tous les deux ans un colloque international sur l conomie de la Chine avec pour objectif de renforcer les contacts et la collaboration scientifique entre les centres de recherche internationaux Ce colloque vise donc r unir des universitaires et des sp cialistes de grands organismes internationaux Le th me sera centr sur la soutenabilit du d veloppement de la Chine Le dynamisme de l conomie chinoise et son int gration l conomie mondiale ont t parmi les ph nom nes conomiques les plus marquants de ces vingt derni res ann es Malgr la spectaculaire performance de la croissance chinoise la question de sa soutenabilit sur le long terme reste ouverte tout autant que ses cons quences sur le bien tre de la population dans son ensemble Lors de ce colloque seront ainsi trait s un grand nombre de sujets comprenant la vuln rabilit macro conomique la d gradation de l environnement la fragilit du syst me bancaire les in galit s croissantes de revenu l accroissement de la corrup tion Les sujets discut s couvriront Les disparit s g ographiques et de revenu Les sources d nergie et l e
15. des pos tes de responsabilit et ayant des perspectives de mobilit professionnelle n en voient pas la n cessit Il n est donc pas surprenant que l on observe des cli vages fond s sur la distribution du revenu menant des vues divergentes sur les bienfaits des r formes structurelles Par ailleurs l tude empirique de l of fre politique dans une vingtaine de pays d velopp s sur trois d cennies partir des programmes des par tis politiques laisse voir une structuration de l espace politique qui ne conforte pas les th ses de la moder nisation Les clivages politiques sont bien repr sen t s par un axe droite gauche fond principalement sur des oppositions d ordre conomique libre entreprise contre justice sociale Par ailleurs la diff renciation partisane exerce un effet significatif sur les politiques men es lorsque les partis arrivent au pouvoir En valuant la position des partis sur un axe gauche droite avec les donn es issues du codage des programmes lecto raux il est possible d valuer l impact de la position partisane d un gouvernement donn Il ressort d esti mations faites sur un panel de 18 pays de l OCDE entre 1980 et 2003 que soumis un m me choc co nomique un gouvernement diminuera d autant plus la g n rosit du syst me de protection sociale qu il est situ droite alors qu un gouvernement l aug mentera d autant plus qu il est situ gauche
16. et de travail collectif de la part de leurs salari s Elles supposent de nouvelles formes d engagement dans le travail et n cessitent la mise en place de nouveaux modes d valuation et d incitation des salari s Bas es sur les r sultats de la seconde dition de l enqu te statistique Changements organisationnels et informatisation C O I les contributions de ce num ro de la Revue Economique dressent un tat des lieux des r organisations des entreprises industrielles fran aises dans les ann es 1990 et de leurs effets sur les employeurs et les salari s 11 La lettre de l AFSE n 67 PARUTION janvier 2007 SCIENCES PO REVUE ECONOMIQUE Rd A Vol 58 N 1 JANVIER 2007 O va l histoire des entreprises Sous la direction de Dominique Barjot Disciplines conomie histoire Situ e l intersection de l histoire de la gestion de l conomie de la sociologie et de la psychologie l histoire des entreprises s est affirm e comme une sous discipline majeure du domaine Ce num ro de la Revue Economique fait le point sur diff rentes approches de l histoire des entreprises et les principaux chantiers en cours strat gie et des structures des firmes europ ennes utilisation des archives bancaires et apports de l analyse comptable tude des cheminements technologiques et de l innovation des districts industriels et rapports entre micro et macro conomie d entreprise Les principaux chantiers de re
17. l ne Rey Valette fvhr wanadoo fr Special Session New rural systems territories and regional development This special session is devoted to the analysis of the relation between regional development and the evolution of the new rural territories The question of the compatibility between agricultural rural processes and environmental dimension is also at stake The contributions will possibly combine social sciences and bio techniques approaches and innovate in the field of territorial and regional development Interdisciplinary researches and cooperation with local actors are privileged Organized by Andr Torre UMR SAD APT Paris France and Antoine Bailly Geneva University Contact Andr Torre torre inapg inra fr Special Session Entrepreneurship and the Region This special session will accommodate papers related to Entrepreneurship in which the Local or Regional dimension is explicitly taken into account and interpreted Expected contributions are both theoretical and empirical The fol lowing emphases are particularly welcome Entrepreneurship and the local market dynamics The effect of regional conditions on start up activity Regional analysis of the new firm survival New firms and regional economic growth Entrepreneurship and the creation of regional specific assets Local policy and entrepreneurship Organized by Jean Bonnet U Caen France Marcus Dejardin U Namur Belgium Michael Fritsch U Jena Germany and Georg
18. travail quelles cons quences pour l emploi des salari s g s Patrick Aubert Eve Caroli Muriel Roger Changement technologique et formation tout au long de la vie Luc Behaghel Les nouvelles technologies ont elles modifi la trajectoire et la r mun ration des jeunes et des qualifi s dans les ann es 1990 en France Une tude partir de donn es appari es entre individus et entreprises Thomas Heckel Quels effets des r organisations sur la date de passage des entreprises aux 35 heures une tude sur donn es individuelles d entreprise Fabrice Gilles Les modes de communication et leurs combinaisons compte toujours Sylvie Charlot Gilles Duranton quand l espace Les in galit s spatiales dans l adoption des TIC le cas des firmes industrielles fran aises Dani le Galliano Pascale Roux Presses de Sciences Po 117 boulevard Saint Germain 75006 Paris T l 33 0 1 45 49 83 64 Fax 33 0 1 45 49 83 34 10 R organisations changements au ravail et renouvellement des comp Ventes et abonnements Commandez en ligne www pressesdesciencespo fr ou renvoyer le bon de commande avec votre paiement aux Presses de Sciences Po 117 Bd Saint Germain 75006 Paris France T l 33 1 45 49 83 64 Fax 33 1 45 49 83 34 info presses sciences po fr Abonnements 2006 6 num ros par an France Etranger Institutions 127 137 Particuliers 79 91
19. valuation empirique des opinions sur les r formes qui met en vidence la persistance des clivages sociaux traditionnels Sur cette base il a critiqu le Manifestations 664 p 26 programme de Lisbonne qui est selon lui susceptible de remet ASSOCIATION FRAN AISE DE SCIENCE CONOMIQUE COMIT DIRECTEUR Pr sident Jean Pisani Ferry BRUEGEL Bruxelles et Universit Paris Dauphine Premier Vice Pr sident Wladimir Andreff Universit Paris 1 Second Vice Pr sident Jean Michel Charpin INSEE Secr taire G n ral Pierre Malgrange CNRS CEPREMAP et Direction de la Pr vision Secr taire G n ral adjoint Pascal Le Merrer ENS LSH Lyon Tr sorier Guy de Monchy i Chef de mission de Contr le d Etat Membres Maurice Basl Universit de Rennes 1 Bresson Georges Universit Paris 2 Dominique Bureau Minist re de Equipement Andr Cartapanis Universit de la M diterran e Gilbert Cette Banque de France Eric Chaney Morgan Stanley Annie Cot Universit Paris 1 Claude Crampes Universit de Toulouse Antoine d Autume Universit Paris 1 et pr sident sor tant Michel Dietsch Universit de Strasbourg Brigitte Dormont Universit Paris Dauphine Jacky Fayolle INSEE Lionel Fontagn CEPII et Universit Paris 1 Jean Olivier Hairault Universit Paris 1 Hubert Kempf Universit Paris 1 Anne Lavigne Universit d Orl ans Florence
20. 81 donc notre analyse concernant les agr g s n est pas fauss e si on omet la hors classe de m me qu elle n est pas faus s e si on omet les retraites dans la mesure o celles ci sont proportionnelles au dernier salaire Ces mesures d acc l ration des ann es 90 ne compensent probablement qu imparfai tement pour les certifi s la baisse de 20 de la valeur r elle de leurs traitements car elle est tout de m me massive Pour appr cier pr cis Voir la version r vis e au 31 janvier 2007 de l article de B Bouzidi T Jaaidane et R Gary Bobo sur le site Telos http www telos eu com ou sur le site personnel de R Gary Bobo La lettre de l AFSE n 67 ment ce qu il en est il faudrait faire des calculs de revenu permanent c est dire de valeur esp r e et actualis e des salaires en s appuyant sur des informations sur les probabilit s de passage l chelle hors classe les taux de pro motion Il semble difficile de se procurer ces informations qui seraient pourtant n cessaires pour faire ces calculs Reste l argument des primes officiellement les indemnit s Nous n en avons pas tenu compte volontairement et nous l avons crit Mais on sait justement qu elles sont faibles dans l enseignement 10 au mieux des traite ments dans le secondaire la fameuse prime d orientation et de suivi c est 100 euros par mois peu pr s et ces primes se d
21. 98 repose sur l analyse de la lib ralisation des prix et des transactions les programmes de stabilisation et d ajustement la r allocation des ressources et la restructuration conomique la privatisation l aide de diverses m thodes le d bat entre th ra pie de choc et gradualisme la d sint gration co nomique internationale de l ancien espace sovi tique l ouverture l conomie mondiale Cette phase fut ponctu e de surprises de la transi tion d volutions inattendues ou pas avec une telle amplitude d sorganisation de l conomie pro fonde r cession ch mage de longue dur e d mo n tisation expansion de l conomie informelle et du crime conomique Une seconde phase de transition institu e s ouvre partir de 1999 o la priorit est donn e aux probl mes de gouvernance de l entreprise et de l Etat au d veloppement des petites entreprises du secteur priv aux nouvelles institutions et r gulations co nomiques au r le de l Etat dans l conomie la r forme du syst me bancaire et des march s finan ciers mergents la gestion des co ts sociaux de la transition Elle s appuie sur des analyses non standard plus institutionnelles de la transition et rep re plusieurs variantes de capitalismes est euro p ens en gestation Cette phase a pr par la convergence et permis l adh sion de dix pays d Europe centrale et orientale l Union eur
22. Etudiants 58 sur pr sentation CE Librairie 30 rue Saint Guillaume 75007 Paris librairie sciences po fr Tel 01 45 48 36 O2 T l copie 01 42 22 56 89 Heures d ouverture du lundi au vendredi de 11h 18h30 Prix au num ro 21 50 R daction 54 Boulevard Raspail 75006 Paris Tel 01 49 54 25 65 Fax 01 45 44 93 11 Revue Economique ehess fr http www ehess fr html html 735 html Ley SCIENCES PO LES PRESSES PARUTION le 28 novembre 2006 REVUE ECONOMIQUE Vol 57 N 6 NOVEMBRE 2006 nNeorganis changements ISSN 0035 2764 ISBN 2 7246 3039 4 978 2 7246 3039 8 Format 23 7X15 3 Prix 21 50 http wwwpressesdesciencespo fr La lettre de l AFSE n 67 SCIENCES PO LES PRESSES Num ro sp cial R organisations changements du travail et renouvellement des comp tences Sous la direction de Nathalie Greenan et Jacques Mairesse Quels sont les changements qu entra ne la diffusion de l informatique et des nouveaux outils de gestion dans l organisation de l entreprise Aplatissement des organigrammes transversalisation des organisations recentrage sur le m tier ne sont pas les seules cons quences de cette r volution Face aux contraintes accrues de d lai et de qualit les entreprises modifient leurs comportements sur les march s et leurs performances conomiques Elles exigent plus d autonomie de polyvalence de flexibilit
23. La lettre de l AFSE n 67 Mars 2007 LE MOT DU PR SIDENT URGENCES C est un th me tr s actuel l conomie politique des r formes que l AFSE a consacr ses entretiens annuels qui se sont tenus le 20 f vrier au S nat Ces entretiens ont rappelons le pour vocation de provoquer sur un sujet d int r t public une discus sion inform e par les acquis de la recherche conomique Journ es de l AFSE Organis s par Wladimir Andreff les entretiens 2007 ont la fois mis en vidence l apport de l analyse conomique et la 23 25 Mai 2007 diversit de points de vue qu elle autorise On trouvera ci apr s une synth se des deux contributions autour desquelles s est organis e la discussion celle de Gilles Saint Paul PSE et Adh sion Toulouse 1 et celle de Bruno Amable Paris D Je voudrais seu lement r sumer ici les points saillants de la discussion Adh rez Saint Paul a centr sa contribution sur la n cessit pour com 7 prendre la situation fran aise de s carter des mod les tradi et faites adh rer tionnels mettant en avant les int r ts des diff rents groupes sociaux Ceux ci ne rendent en effet pas compte de la diff rence d attitude entre l opinion fran aise et celle d autres pays sur des questions comme l conomie de march ou la mondialisation S appuyant sur la th orie des cascades informationnelles il a expos deux approches qui visent a rendre compte
24. Legros CEPII et Universit Paris 9 Val rie Mignon Universit Paris 10 Lise Rochaix Universit de la M diterran e Henri Sterdyniak OFCE Alain Trannoy EHESS Marie Claire Villeval CNRS GATE Vittori Jean Marc Les Echos Responsable de la Lettre Sonia Paty Universit de Lille 1 et INRA E mail sonia paty univ lille1 fr Directeur de la Publication Jean Pisani Ferry AFSE Universit PARIS II 5 7 Avenue Vavin 75006 PARIS T l 01 55 42 50 22 Fax 01 55 42 50 25 tre en cause les compromis qui forment la base du mod le social europ en Dans sa discussion Jacques Delpla BNP Paribas a regrett que Bruno Amable suppose l existence d un mod le social europ en et prenne trop au s rieux l agenda de Lisbonne alors que celui ci est sans grand effet sur le politiques nationa les Les panelistes Jorge Braga de Macedo Universit Nova de Lisbonne Karoly Attila Soos Acad mie des Sciences de Hongrie et Thierry Pech R publique des Id es ont chacun apport un clairage compl men taire la discussion Braga de Macedo a insist sur la compl mentarit entre des r formes conduites dans des domaines diff rents comp titivit et formation retraites et march du travail Soos a soulign la per sistance en Hongrie et dans d autres pays europ ens d un cart consid rable entre ambitions et capacit s redistributives et Pech a insist sur l instabilit poli t
25. adimir Andreff Department of Economics University of Paris 1 Pantheon Sorbonne France and Stefan Szymanski Tanaka Business School Imperial College London U 22 L conomie institutionnelle Bernard Chavance Editions La D couverte ISBN 2707144924 8 50 119 pages L conomie est un processus institutionnalis tel est le consensus qui semble s tablir depuis une quinzaine d ann es Admettre l importance des ins titutions pour l tude de l conomie repr sente tou tefois une rupture avec le courant dominant de la pens e au XX si cle Ce livre retrace l histoire des th ories conomiques qui composent la grande famille de l conomie institutionnelle A partir de positions doctrinales et m thodologiques parfois oppos es elles ont toutes tent de comprendre la nature le r le l origine et le changement des insti tutions et apport une contribution majeure la r flexion contemporaine Parmi les grands th mes de la pens e institutionnaliste figurent les relations entre continuit et changement le rapport entre comportements individuels et r gles sociales l im pact des institutions sur la dynamique ou les per formances de long terme des conomies la place respective du pouvoir et de l efficacit dans les volutions historiques Bernard Chavance est conomiste professeur l universit Paris VII Ses recherches portent sur l analyse comparative des syst mes et des institu tions conomiqu
26. cherche en cours tels que la ISSN 0035 2764 question de l lectrification globale l am ricanisation des Format 23 7X15 3 entreprises la perc e de la firme mondiale la concession de Prix 21 50 service public et la probl matique des nationalisations et des privatisations y sont pr sent s http wwwpressesdesciencespo fr SCIENCES PO LES PRESSES BON DE COMMANDE renvoyer Presses de Sciences Po 117 boulevard Saint Germain 75006 Paris Quantit Prix Sous total REVUE ECONOMIQUE x 21 50 Volume 58 Num ro 1 janvier 2007 10 ou plus x 20 21 Frais de port France x 3 00 Union europ enne x 6 30 Autres x 8 60 TOTAL Je r gle aujourd hui la somme de l ordre des Presses de Sciences Po par ch que ci joint payable aux Presses de Sciences Po par mandat par carte bancaire n expire fin ccc ceeeeeeee eee eeees par virement a la banque CIC D Paris Bac compte n 30066 10041 00010554901 68 NOTE Eee ee ne ee en nee mme eue nee eee ee ee ec ee P NOM ES ONE ANR M d Institution de rattachement ou entreprise Adresse personnelle Presses de Sciences Po 117 boulevard Saint Germain 75006 Paris T l 33 0 1 45 49 83 64 Fax 33 0 1 45 49 83 34 12 SCIENCES PO LES PRESSES O va l histoire des entreprises Sous la direction de Dominique Barjot Introduction Dominique Barjot Diff
27. ciales et les conditions historiques et politiques de la distribution des ressources conomiques elle n implique pas la dissolution des contradictions consubstantielles a la diff renciation des soci t s modernes mais exige que la contestation soit int gr e dans une position mino ritaire dans l espace de la repr sentation politique et ou ma tris e par l usage de la violence l gitime Le crit re de viabilit d un mod le conomique est alors politique au sens o le conflit social est r gul lorsqu un nombre suffisant d acteurs sociaux estime que la configuration socio conomique existante cor respond leurs attentes Cette position n o r aliste s oppose certai nes th ses de la modernisation qui supposent la disparition de la base sociale d un mod le conomi que fond sur la redistribution la protection sociale et la prise en compte de la repr sentation collective des travailleurs En examinant certains l ments empiriques relatifs aux demandes exprim es par les individus donn es issues de l European Social Survey il ressort que les personnes les moins du qu es les moins riches ayant des opportunit s de carri re ou de reconversion faibles et des risques le v s de perte de revenu en cas de perte d emploi met tent des demandes en faveur de la redistribution et ou de la repr sentation collective des salari s A l in verse les individus duqu s ais s occupant
28. cio spatiale de la ville d termine de nouvelles conditions de d pla cement et de qualit environnementale Ainsi la structure sociale de la ville non seulement influence les conditions et la structure de d place ments et la qualit environnementale mais elle peut tre galement le r sultat long terme de ces deux facteurs Dans ce contexte la d cision du pla nificateur ne doit pas tre limit e une perspective de court terme parce que ces choix peuvent trans former radicalement la structure enti re de la ville et des effets inattendus peuvent appara tre Mots cl s Economie urbaine Transports Urbains S gr gation Sociale Pollution Urbaine Localisation In galit s Congestion E mail tivadarmihai yahoo com Christophe Chauvet Les apports de Jeremy Bentham l analyse conomique de l Etat Pr lude une th orie de la bureaucratie Date de soutenance 13 d cembre 2006 Laboratoire CRIISEA Universit Picardie Jules Verne Directeur de th se Nathalie Sigot Jury Gilles Dostaler rapporteur Pierre Garrouste Marco Guidi Andr Lapidus rappor teur Yorgos Rizopoulos Cette th se d montre que Bentham est l auteur d une uvre qui porte en germe cette orientation typique de l analyse conomique d velopp e par l cole du Public Choice mais qu il est galement le porteur d orientations alternatives En effet si La lettre de l AFSE n 67 Bentham anticipe par l
29. d clairer les conditions de l utilisation des math matiques dans les Recherches en repla ant cette d marche dans le cadre de questions th oriques propre l conomie politique classique et en apportant galement un clairage pist molo gique Cette th se montre que loin de constituer une rupture avec la th orie conomique dominante la d marche des Recherches traduit au contraire l attachement de Cournot au concept classique de valeur caract ris par la coexistence de plusieurs La lettre de l AFSE n 67 registres d valuation hi rarchis s et articul s entre eux Cette th se montre en outre l originalit de la posture pist mologique de Cournot et la mani re dont il con oit l intervention des math matiques dans la connaissance Mots cl s Cournot Economie math matique Th ories de la valeur E mail fessler univ paris1 fr Gabriel Mougani Globalisation financi re et int gration finan ci re internationale handicaps et opportunit s pour les pays de la Communaut Economique et Mon taire de l Afrique Centrale CEMAC Date de soutenance 11 juillet 2006 Laboratoire Laboratoire d Economie d Orl ans Universit Universit d Orl ans Directeur de th se Michel Lelart Jury Dhafer Saidane Henri Fran ois Henner rapporteur Jean Mathis rapporteur Francoise Le Qu r Georges Gallais Hamonno Lobjectif de cette these est d une part d
30. d by a collective publication either in a special issue in a refe reed journal or in a collective book Updated information about this workshop will be available at the following URL http perso univ rennes1 fr eric darmon floss For any information please feel free to contact us by e mail dominique torre gredeg cnrs fr eric darmon univ rennes1 fr APPEL A COMMUNICATIONS XXIII Journ es du D veloppement de l Association Tiers Monde L Etat malgr tout acteurs publics et d veloppement Facult s Universitaires Catholiques de Mons Institut d Etudes du D veloppement UCL Pr ludes et BETA CNRS Universit Nancy 2 MONS Belgique 14 16 mai 2007 www fucam ac be ATM Les Journ es du d veloppement de Association Tiers Monde se d roulent chaque ann e dans un pays du Nord ou du Sud en partenariat avec une universit Le th me de ces XXIII Journ es porte sur L Etat malgr tout Acteurs publics et D veloppement Dans le cadre actuel de ces pays apr s le tout par l Etat d s les ann es 1980 s impose un tout au march d niant l Etat comp tences efficacit et moyens Les comp tences des acteurs publics se transforment l organisation publique locale r gionale ou nationale subit une mutation de ses missions voire la cr a tion de nouvelles fonctions L enchev trement des chelles d action et de d cision l ambivalence des r les par exemple les r les locaux et internationaux des ONG
31. de Lille 1 La m thode Colbert Ou le patriotisme conomi que efficace Olivier Pastr Librairie Acad mique Perrin ISBN 2262025223 33 30 223 pages Les p rip ties Mittal Arcelor l imbroglio Suez Gaz de France l avenir d Euronext ou des banques fran aises ont remis la mode le patriotisme co nomique Manque de chance il est caricatur en protectionnisme arbitraire en incantation ou en substitut de la ligne Maginot Si l on ne veut pas que l conomie fran aise se dissolve dans la mon dialisation il est donc temps de penser et d agir Bref d inventer une m thode Or Colbert peut nous aider Parce qu il a compris les enjeux d une politi que industrielle et que celle ci ne pouvait exister sans un Etat fort capable de cr er des r gles et des proc dures favorables l expression de l initiative industrielle Colbert doit nous servir de guide pour esquisser ce que serait l heure de la mondialisa tion une conomie ma tris e Olivier Pastr pr sident d IM Bank Tunis et mem bre du Conseil scientifique de l Autorit des March s Financiers est professeur d conomie l universit de Paris VIII Il est chroniqueur France Culture La lettre de l AFSE n 67 Vers un droit la mobilit pour tous In galit s territoires et vie quotidienne Dominique Mignot et Silvia Rosales Montano La Documentation Fran aise ISBN 2110061995 15 97 pages A une poque o la mob
32. de la vitesse relative des dynamiques de l change et des dynamiques volutionnistes sur la stabilit des quilibres du mod le de Kiyotaki et Wright Les chapitres 3 et 4 traitent de la comp tition lectorale entre deux partis politiques compos s chacun d une faction opportuniste et d une faction mili tante suivant Roemer 1999 Les candidats opportunistes ont pour seul objectif de rempor ter les lections ou de maximiser le nombre de voix pour b n ficier du prestige et de la puissance alors que les candidats militants ont des pr f rences id ologiques Dans le chapitre 3 on suppose que les militants sont inflexibles et repr sentent une id ologie fixe tandis que les opportunistes d terminent leurs positions en maximisant leurs probabilit s d tre lu Suivant Roemer 1999 l quilibre de Nash d unanimit du parti est d fini Il consiste en des propositions politiques partisanes qui sont Nash dans le sens suivant ni dans un parti ni dans l autre tant donn la politique propo s e par l autre parti les factions internes ne peu vent se mettre unanimement d accord sur une d viation de la politique propos e On tudie alors la question du choix d affiliation des politiciens opportunistes en leur permettant de changer de parti politique et en endog n isant cette d cision Le chapitre 4 traite de l aspect dynamique de l id ologie du parti On suppose que les militants tendent
33. de la repro duction des croyances reposant l une sur la manipulation de ces croyances par des groupes d int r t et l autre sur la persis tance d id ologies dans le syst me ducatif en raison de ab sence d apprentissage exp rimental et de l endog n it des SOMMAIRE choix de carri re Dans sa discussion Romain Duval OCDE a cependant soulign que ni l conomie politique classique ni l approche d velopp e par Saint Paul ne rendaient compl te ment compte de l opposition aux r formes et il a sugg r aux conomistes de s carter de l utilitarisme plus pr cis ment du D bats et opinions 0 0 p 1 cons quentialisme pour comprendre les motifs d ordre moral de l opposition a certaines r formes comme le CPE votre laboratoire Si Saint Paul s est consacr au cas fran ais Amable a cherch Vie de PARSE sa p 6 a analyser le d bat europ en sur les r formes autour de la ques tion de l agenda de Lisbonne Refusant une approche normative qui pr suppose la n cessit conomique des r formes et regarde THESES na p 15 comme irrationnelles les oppositions que celles ci suscitent il a d velopp une analyse positive des mod les sociaux comme r sultant d une interaction entre id ologie institutions et m dia tion politique Appliquant cette grille aux discussions sur les LIV TCS ech amer p 22 ee ae r formes en Europe il a pr sent une
34. dy enacted reforms How the existing tools for long run growth forecasting can help in eva luating different options in social reforms calibrated general equilibrium models overlapping generations models etc Which empirical tools should be used to evaluate the already enacted reforms in the labour markets How do the different European social models perform Abstracts should be submitted by e mail before 12 March to stefania tomasini prometeia it and catherine mathieu ofce sciences po fr 2ND CALL FOR PAPERS TENTH EUROPEAN WORKSHOP ON EFFICIENCY AND PRODUCTIVITY ANALYSIS JUNE 27 30 2007 LILLE WWw cwepa org The EWEPA X workshop is organised by GAPEM www gapem org in Lille at IESEG School of Management www ieseg fr from June 27th to June 30th 2007 The scientific committee welcomes theoretical and empirical papers on productivity production theory and efficiency measurement in the fields of economics management science and public administration APPEL A CONTRIBUTIONS Colloque interdisciplinaire sur l conomie informelle et le travail au noir F d ration de recherche TEPP travail emploi politiques publiques Universit Marne La Vallee 17 septembre 2007 http www cee recherche fr colloque_tepp eco_informelle Sept themes seront au coeur de ce colloque L analyse des fronti res du travail au noir d finition questions juridiques La description ethnographique et l valuation statistique du travail
35. e constat qu il dresse la m thode qu il utilise et les th mes qu il aborde l cole de Virginie en revanche il arrive des conclusions tr s diff rentes l Etat doit selon lui intervenir dans la promotion du plus grand bon heur pour le plus grand nombre Le principe d utilit est utilis par Bentham comme le seul cri t re d valuation pertinent pour r soudre le pro bl me du conflit entre l int r t priv de chaque fonctionnaire et l int r t g n ral qu il doit repr senter Nous avons donc recherch pr sent et ana lys les propositions de Bentham visant r soudre ce probl me en d montrant comment selon lui un Etat fort pouvait se r v ler efficace pour maximi ser l utilit collective Dans une premi re partie nous avons donc cherch d finir quels devaient tre selon lui les champs d intervention de l Etat c est dire les missions revenant exclusivement de la sph re publique et celles devant tre confi es au march Dans une seconde partie nous nous som mes pench s sur les moyens de s assurer selon Bentham que l aptitude des agents publics puisse tre maximale sans pour autant que cela n engen dre des co ts trop lev s pour la collectivit Enfin dans une troisi me partie nous avons examin ses propositions concernant l organisation optimale que devaient avoir les institutions publiques Au terme de ce travail la figure de Bentham peut tre rep
36. ement conomique 9 Taux de change et politique mon taire en conomie ouverte 10 Taux de change changes commerciaux et flux de capitaux 11 Syst me mon taire international et crises financi res 12 Finance de march march s des assurances 13 Histoire mon taire et financi re http www ecomofi org fr activites journees RONA ae 31 La lettre de l AFSE n 67 APPEL A COMMUNICATIONS Enjeux conomiques sociaux et environnementaux de la lib ralisation commerciale des pays du Maghreb et du Proche Orient 19 20 octobre 2007 Rabat Maroc Les propositions de communications peuvent porter sur les th mes suivants Int gration r gionale bilat ralisme multilat ralisme ouverture commerciale accords de libre change acc s privil gi n gociations au sein de POMC etc La dimension environnementale des strat gies de lib ralisation enjeux et impacts environnementaux de ces stra t gies nouveaux instruments de politique publique d di s l environnement contentieux environnementaux r gio naux etc Lib ralisation et d veloppement Lib ralisation commerciale croissance conomique et bien tre IDE lib rali sation et pauvret soutenabilit sociale de l ouverture etc Date limite de soumission du r sum de projet de communication le 20 avril 2007 Les r sum s des projets de communications doivent tre adress s par email en anglais ou fran ais au plus tard le 20 avril 2007
37. en 1986 mesure dont certains affirment que ses effets furent pervers dans la pratique en renfor ant le pouvoir discr tionnaire des tribunaux Depuis on assiste des tentatives souvent infructueu ses de flexibiliser le march du travail la marge Ces tentatives se heurtent une opposi tion violente CIP CPE L id e d un contrat unique plus flexible que le CDI actuel est louable mais aucun homme politique ne s aventure la proposer Si la r forme du march du travail est plus difficile en France qu ailleurs c est en grande partie cause de perceptions populaires n ga tives sur l conomie de march Il existe un syst me de croyances qui augmente les r sis tances aux r formes Ces croyances se repro duisent par le biais des institutions le syst me ducatif et la presse En 2006 un sondage international a demand des ressortissants de vingt pays d velopp s et en voie de d veloppe ment leurs opinions sur l conomie de march On constate que la France a t le seul pays o une majorit de sond s se d claraient hostile celle ci L chantillon comprenait pourtant des pays comme l Argentine ou le Br sil qui ont p ti de mouvements brutaux de capitaux ou la Russie qui a v cu une transition difficile vers l conomie de march Dans cet article nous essayons de com prendre la persistance de croyances potentiel lement biais es notamment l encontre de l
38. ence Enfin dans notre dernier cadre d analyse nous tenons compte du manque de fiabilit de certains tests et montrons que les agents non porteurs du g ne sont plus p nalis s par l erreur sur le test que les porteurs Mots cl s Tests g n tiques antis lection al a de moralit contrats dynamiques E mail mouhamadou fall univ orleans fr Faouzi Boujedra La prise en compte du risque pays dans le choix d implantation des investissements directs trangers en direction des pays en d veloppe ment Analyse th orique et empirique Date de soutenance 4 d cembre 2006 Laboratoire Laboratoire d Economie d Orl ans Universit Universit d Orl ans Directeurs de th se Philippe Saucier Messaoud Boudhiaf Jury Samir Maktouf rapporteur Bernard Guillochon rapporteur Jean Bernard Chatelain Cette these propose une analyse th orique et empi rique de la prise en compte du risque pays dans le choix d implantation des investissements directs trangers IDE dans les pays en d veloppement PED L analyse du risque pays n cessite de mani puler de nombreux facteurs et de mobiliser une importante base de donn es quantitatives et quali tatives Ce travail de recherche complete les m thodes traditionnelles d valuation du risque La lettre de l AFSE n 67 pays en int grant les l ments fondamentaux ados s s la th orie En d pit du risque de circularit tautologique des va
39. ent du syst me scientifique et technique en Alg rie les relations entre les activit s scientifi ques et techniques et performances conomiques et d esquisser une analyse des relations entre acti vit s technologiques innovation et croissance dans les PME alg riennes La th se est structur e en deux parties de port e th orique et empirique Dans la premi re nous examinons la place des PME dans la production et le changement techni que Tout d abord il s agit de d couvrir le secteur de la petite et moyenne entreprise puis le r le de ces entreprises dans la croissance conomique en alg rie Nous verrons alors que les PME alg rien nes ne jouent pas encore leur r le dans la cr ation d emplois et dans l activit Ensuite il s agit de faire une analyse sur les PME et les activit s d in novation et notamment sur les facteurs favorisant ces activit s savoir les r seaux d innovation la La lettre de l AFSE n 67 proximit et le financement Dans la deuxi me partie nous ferons une analyse de la croissance et l innovation dans les PME alg riennes En premier lieu nous d couvrons la modernisation des PME et son impact sur la croissance Cette d monstration est men e notamment pour montrer l action des pouvoirs publics alg riens en mati re de science de technologie et d innovation Ce faisant elle fait tat des difficult s de l Alg rie pour d velopper les activit s scientifique
40. es Il a notamment publi Les R formes conomiques l Est 1992 La Fin des syst mes socialistes 1994 capitalisme et socia lisme en perspective dir en collab 1999 Les Incertitudes du grand largissement L Europe centrale et balte dans l int gration europ enne dir 2004 La lettre de l AFSE n 67 Lexique de sciences conomiques et sociales Jean Paul Piriou et Denis Clerc Editions La D couverte ISBN 270715086X 8 50 126 pages La pr cision l ampleur la clart et la rigueur scien tifique des quelque 1 400 entr es de ce lexique en font un instrument de travail aujourd hui sans qui valent Jean Paul Piriou 1946 2004 tait ma tre de conf rences en conomie l Universit Paris I Panth on Sorbonne Denis Clerc agr g d conomie et de gestion agr g de sciences sociales est aujourd hui conseiller de la r daction du mensuel Alternatives conomiques qu il a cr Il est par ailleurs pr sident de l association conomie amp Humanisme Les services publics en mutation La Poste innove C line MERLIN Editions L Harmattan collection L esprit conomi que S rie Krisis ISBN 2296019528 24 284 pages Dans un univers de globalisation des changes les services publics marchands sont forc ment expo s s la concurrence mondiale Ils poursuivent leur mission de service public accessible tous et au b n fice de toute la population Leur capacit d
41. exion autour des diff ren tes d rives sectaires contemporaines 3 Une analyse des politiques d administration des religions et du risque reli gieux Envoyer vos propositions le texte complet avec vos coordonn es l adresse suivante ereia univ artois fr avant le 31 mai 2007 CALL FOR PAPER International Workshop The diffusion of FLOSS and the Organisation of the Software Industry From Social Networks to Economic and Legal Models Nice Sophia Antipolis France May 31st and June 1 2007 Over the past few years the development of Free Libre Open Source Software FLOSS has attracted the attention of academics practitioners and policy makers These OS initiatives were primarily launched by communities of motivated user developers building original social networks For FLOSS to last the OS must be diffused to new populations of users individuals businesses government agencies The motivation of these populations to adopt FLOSS may however differ from those of initial user developers Besides such an evolution questions the architec ture of the whole software industry and the cooperation and competition between the FLOSS model and the tradi tional model of Software production and development The objective of this workshop is to study the consequences of the transition between the two phases and aims to build an active European research network dedicated to this issue which could lead to a second workshop followe
42. ge au dollar ou au yen et m me une monnaie commune asiatique apparaissent comme autant de solutions alternatives la lumi re des th ories relatives aux zones mon taires optimales et l aide des outils conom triques mesurant la sym trie des chocs macro structurels la th se exa mine et compare l int r t relatif de ces options afin de chercher les meilleures solutions du point de vue de chaque pays d Asie ainsi que du point de vue de leur ensemble ASEAN Chine Japon Cor e La th se conclut de mani re g n rale qu une union mon taire asiatique accompa gn e d accords de libre change intra asiatique se pr senterait comme l option la plus appropri e pour la stabilit et le d veloppement conomique de l ensemble des pays d Asie Mots cl s Int gration r gionale union mon taire r gime de change zone mon taire optimale convergence chocs structurels Asie E mail kslee free fr La lettre de l AFSE n 67 Felwine Sarr La coordination des politiques macro conomi ques en Union mon taire le cas de l Union mon taire Ouest africaine Date de soutenance 17 novembre 2006 Laboratoire Laboratoire d Economie d Orl ans Universit Universit d Orl ans Directeur de th se Patrick Villieu Jury Gilbert Colletaz Jean Louis Combes rap porteur Jean Paul Pollin Marc Raffinot rappor teur Gervasio Semedo Cette th se tudie la coordination des politiques macro
43. hnical instruments that shaped and still shape the uses of general equilibrium within theoretical and applied economics as well as outside economics The conference should be of interest to social scientists working in the history of eco nomic thought but also in the fields of applied economics science studies history of applied mathematics socio logy social and political philosophy Information on the conference can be found at http ge2007 univ paris1 fr For any additional information please send your request to ge2007 univ paris1 fr 28 La lettre de l AFSE n 67 SUMMER SCHOOL ON FISCAL FEDERALISM Tax Competition and Urban Public Finance Barcelona June 25 29 2007 The Barcelona Institute of Economics IEB is pleased to announce its I Summer School on Fiscal Federalism The objective of the Summer School is twofold The first objective is to offer a one week intensive training programme for PhD students on Fiscal Federalism With this aim this year the Summer School will offer two 10 hour courses on the topics of Tax Competition and on Urban Public Finance The second objective is to provide young scholars with the opportunity to discuss their own ongoing research ideas with leading researchers in the field in a relaxed and open atmosphere To accomplish this purpose the students will have the opportunity to present their research work at sessions attended both by the invited lecturers and by IEB s researcher
44. i Cette th se s int resse une facette relative ment peu tudi e de l architecture financi re caract risant les conomies en transition savoir le march des acquisitions De mani re g n rale les r sultats de notre tude d v nement men e sur le march roumain des acquisitions ne concordent pas avec ceux report s dans la litt rature finan ci re les rentabilit s anormales r alis es par les La lettre de l AFSE n 67 soci t s cibles ne sont pas en moyenne significa tivement diff rentes de z ro Nos r sultats sugg rent que la r gulation des acquisitions joue un r le de gouvernance crucial dans les syst mes cono miques caract ris s par des structures concentr es de propri t Ce r le potentiel est examin dans le cadre d une tude comparative de l effet de la concentration du capital sur la performance cono mique des entreprises croates et roumaines L effet asym trique que nous mettons en vidence peut s expliquer en voquant les principales diff rences caract risant la r gulation des acquisitions applica ble dans chacun des deux pays la d claration de franchissement des seuils et la r gle d offre publi que obligatoire Ces r sultats empiriques nous am nent enfin focaliser notre attention sur le ph nom ne de concentration des structures de pro pri t et sur le d clin des march s financiers dans les pays en transitions Lapproche th orique q
45. i a t effectu par l ENS de Lyon sont disponibles sur www afse fr La lettre de l AFSE n 67 D BATS ET OPINIONS D BATS ET OPINIONS La fin du mod le europ en Bruno Amable Universit de Paris 1 CEPREMAP et PSE Un discours fr quemment r pandu aux sujets des r formes structurelles nonce 1 qu elles sont indispensables et ii qu il n est pas sage de s y opposer M me s il est parfois admis que les r for mes remettent en cause certains int r ts le pr sup pos le plus commun est qu il est juste et bien qu il en soit ainsi et qu en s opposant aux r formes les int r ts menac s font preuve d go sme ou d irres ponsabilit Ce discours est tonnamment asym tri que dans les qualit s qu il pr te aux agents d sint ressement et hauteur de vue du c t des parti sans des r formes malignit voire b tise crasse du c t des opposants Pour sortir d un discours id ologique sur les r formes 1l est pr f rable de pr ter aux agents le m me degr de rationalit et de concevoir les r for mes structurelles comme le r sultat de compromis provisoires un conflit politique L analyse du chan gement institutionnel impose alors d int grer la logi que politique dans l analyse conomique Selon une analyse n o r aliste on peut consid rer que la vali dation politique des structures sociales d pend du rapport entre l volution des attentes so
46. ie sur le th me choisi Ils pren nent la forme de deux rapports pr sent s par des conomistes faisant l objet de commentai res directement sur les deux rapports par deux discutants suivis d une discussion amor c e par les remarques des pan listes Les deux rapports sont destin s proposer un tat des savoirs et des acquis de l analyse co nomique sur diff rents aspects du th me contenu et acceptabilit des r formes degr de compl mentarit entre elles choix entre paquet coh rent de mesures et gradualisme facteurs de r sistance et blocages institutionnels va luation du r sultat de r formes pass es Ils prennent appui sur les enseignements des poli tiques conduites dans d autres pays principale ment en Europe en vue d en tirer des implications pour la France Il ne s agit vi demment pas de proposer un catalogue de mesures ni une strat gie politique mais une analyse conomique des d marches de r forme mettant en vidence les contraintes d cono mie politique et diff rentes r ponses possibles La lettre de l AFSE n 67 JOURNEES DE L AFSE ET D ECONOMIE EXPERIMENTALE Nous vous rappelons que nous organisons les Journ es jointes de l AFSE et d Economie Exp rimentale sur le th me Economie comportementale et exp rimentation qui auront lieu les 23 24 et 25 mai 2007 Lyon Vous pouvez retrouver les informations relatives aux Journ es l adresse suivante
47. ilit g n ralis e est la norme l existence d in galit s en mati re de d pla cements devient en enjeu crucial pour les politi ques publiques La plupart des tudes quantitatives et qualitatives montrent que les m canismes g n rateurs des in galit s sont complexes et imparfaite ment connus Pr ciser leur traduction dans le domaine des transports et plus concr tement concernant la mobilit au sein des modes de vie quotidiens a t un des objectifs majeurs de cet ouvrage Ce livre tente ainsi de clarifier des notions et des faits pour contribuer la construc tion d une transition durable du droit aux trans ports au droit la mobilit pour tous Silvia Rosales Montano urbaniste l Agence d ur banisme pour le d veloppement de l agglom ration lyonnaise est charg e des analyses et des recher ches transversales en mati re de transports urba nisme modes de vie et prospective territoriale Dominique Mignot est professeur l cole natio nale des travaux publics de l tat et directeur adjoint du Laboratoire d conomie des transports unit mixte de recherche ENTPE universit Lumi re Lyon 2 CNRS 24 Les s gr gations de la ville m tropole am ricaine Sylvette Puissant L Harmattan ISBN 2 296 01551 4 21 222 pages Plus que jamais on constate que les discrimina tions n apparaissent pas au hasard et avec des intensit s al atoires Aux tats Unis pour des rai sons histor
48. ios Fotopoulos U Patras Greece Contact lt mailto marcus dejardin fundp ac be gt CALL FOR PAPERS International Conference on Regional and Urban Modeling Free University of Brussels June 1 2 2007 The goal of the conference is to promote and stimulate the exchange of ideas in the field of modeling techniques applied to regional and urban issues You can submit your paper on the conference management website http www ecomod org Details are available on http www ecomod net Deadline for submission of full papers is March 31 2007 CALL FOR PAPERS International Conference General Equilibrium as Knowledge From Walras Onwards Paris 6 8 September 2007 P le d Histoire et d Analyse des Repr sentations Economiques et Groupe de Recherches pist mologiques et Socio conomiques PHARE GRESE Universit Paris 1 Centre d tudes interdisciplinaire Walras Pareto CWP Universit de Lausanne Centre Alexandre Koyr en Histoire des Sciences et des Techniques EHESS The aim of this conference is to gather contributions on general equilibrium its spread and its uses since Walras General equilibrium is considered here as knowledge i e as a combination of theoretical references technical stan dards and economic and social representations The goal of the conference is not to provide yet another history of general equilibrium as a theoretical object It is more about pointing out the interpretative contexts and the tec
49. ique d un pays divis entre une France de la stabilit une France de l ind pendance et une France de la pr carit Les Journ es 2007 les 24 et 25 mai Lyon sur le th me de l conomie exp rimentale seront le pro chain moment fort de la vie de notre association L tape suivante sera naturellement le Congr s des 19 20 et 21 septembre la Sorbonne Le comit de pro gramme a t constitu et l appel communications reproduit dans cette lettre a t lanc avec pour date limite le 21 avril Comme les ann es pr c dentes des sessions th matiques seront organis es dont certaines en collaboration avec d autres associations Cette lettre publie enfin un article qui a d j donn lieu beaucoup de d bats de Robert Gary Bobo et Touria Jaaidane sur l volution depuis 45 ans des salaires des enseignants C est une pi ce importante vers e au d bat sur la politique salariale de l Etat qui met en vidence les effets de long terme des choix budg tai res et les arbitrages le plus souvent implicites en l es p ce entre salaire et effectifs qui y sont associ s Les questions que posent nos deux coll gues quant la pertinence de ces choix sociaux sont de celles dont on aimerait qu elles nourrissent l occasion des ch an ces lectorales un d bat politique de qualit Jean Pisani Ferry l Les papiers pr sent s aux entretiens et l enregistrement video des d bats qu
50. iques la croissance l talement la recomposition des espaces urbains sont marqu s par l origine raciale ou ethnique des r sidents la population blanche les minorit s afro am ricaine hispanique et asiatique ont dessin les contours des m tropoles et la structure de leurs quartiers Cet ouvrage fond sur un recueil important de don n es explore les disparit s de s gr gation selon les minorit s la taille et la localisation r gionale des villes et il en montre la persistance L auteur ana lyse ensuite des facteurs susceptibles d expliquer les fragmentations des espaces m tropolitains am ricains population diversit langage vio lence pauvret emplois revenus norme familiale statut des logements et de leurs occupants mobilit Une d marche statistique mesure les influences majeures et conjointes Finalement la m tropolisa tion de l conomie des modes de vie et des valeurs accroitrait les niveaux de s gr gation r sidentielle les in galit s entre minorit s et surtout leur isole ment social et leur regroupement spatial aujourd hui des villes de plus en plus m tropolitai nes seraient des villes de plus en plus s gr g es L ouvrage s adresse aux enseignants chercheurs aux acteurs pr occup s par la ville l urbain et les politiques urbaines tous ceux qui vivent la ville m tropole et que la culture am ricaine int resse Sylvette PUISSANT m ne ses recherches l Universit Montes
51. it Lille 2 Les relais dans chaque institution sont respectivement Etienne Farvaque Catherine Refait Alexandre Dhafer Sa dane et Pascal Grandin Cet axe souhaite mettre en avant les probl mes mon taires bancaires et financiers tant micro conomi ques que macro conomiques induits par la construction europ enne Etienne Farvaque univ lille1 fr p grandin esc lille fr dhafer saidane univ lille3 fr catherine refait univ lille2 fr 29 La lettre de l AFSE n 67 APPEL A CONTRIBUTION Le risque religieux Arras 13 juin 2007 Bien qu au XX si cle plusieurs sectes se soient manifest es par des actes de violence meurtri re de masse Etats Unis Japon France Arabie c est sans conteste le 11 septembre 2001 qui a hiss au premier plan des risques de masse le risque religieux Depuis lors le discours et la pratique politiques ainsi que nombre de recherches univer sitaires ont mis ce risque religieux au centre de la r flexion contemporaine Aujourd hui cing ans apr s l abondance des v nements et analyses peut permettre de formaliser un certain nombre d approches Le laboratoire EREIA de l Universit d Artois a de ce fait tenu son s minaire annuel 2006 2007 autour du th me Religion I souhaiterait cl turer cette s rie par une journ e d tudes le 13 juin 2007 autour du th me Le risque religieux Trois grands axes de r flexion sont pr vus 1 Une approche historique entre religion et violence 2 Une r fl
52. lac e dans l histoire des id es conomiques comme l auteur d une th orie de la bureaucratie r solument moderne Mots Clefs Bentham Utilitarisme Public Choice Etat Bureaucratie Fonctionnaires Institutions Organisations E mail christophe L chauvet laposte net Bilge Ozturk Essais en Economie Evolutionniste Date de soutenance 8 juillet 2005 Laboratoire Laboratoire d Econom trie Universit ou Ecole Ecole Polytechnique Directeur de th se Jean Francois Laslier Jury Bernard Walliser Seyfettin G rsel Andr Orl an Remzi Sanver Vincent Merlin Dans cette th se trois mod les en conomie volu tionniste sont tudi s Apr s un chapitre introduc tif le chapitre 2 pr sente une version volutionniste du mod le de l mergence de la monnaie de Kiyotaki et Wright 1989 Ce chapitre a deux objectifs Le premier objectif est d analyser les cons quences de l introduction d asym tries 21 entre agents dans le processus d appariement et d tudier la relation entre l hypoth se d apparie ment al atoire et le r sultat d mergence d un moyen d change Cette tude nous permet de retrouver les conditions de stabilit pour les quili bres d finis dans Kiyotaki et Wright 1989 Le deuxieme objectif est d tudier des dynamiques de d s quilibre pour lesquelles la distribution des stocks n est plus suppos e avoir toujours sa valeur d quilibre temporaire et de d terminer l effet
53. lic deci sion making In this sense this conference is in the spirit of the project of developing the Institut d Economie Publique IDEP to which Louis andr G rard Varet devoted the last years of his life The Journ es Louis Andr G rard Varet are open to all fields of public economics both applied and theoretical Submissions which should at least take the form of a two pages abstract and preferably of a version of the complete paper must be received no later than March 15 th 2007 by the scientific committee A decision will be communicated to submitters no latter than April 15th 2007 Scientific Coordination nicolas gravel csh delhi com APPEL A COMMUNICATIONS 24 Journ es d Economie Mon taire et Bancaire Rennes Jeudi 14 et vendredi 15 juin 2007 Les 24 journ es d conomie mon taire et bancaire organis es par le GDRE auront lieu l Universit Rennes 1 France les 14 et 15 Juin 2007 Elles porteront sur le th me suivant Convergence et divergence en Europe Monnaie Banque et Finance 1 Politique mon taire Politique budg taire et politique mon taire financement des retraites Th orie mon taire demande de monnaie et prix Stabilit et risques bancaires r glementation prudentielle Concurrence fusions et co ts bancaires taux d int r ts Gouvernance et financement des entreprises non financi res Cr dit prix d actifs et cycles conomiques Syst mes financiers croissance et d velopp
54. n de l organi sation Il nous semble bien clair en d finitive que le GVT n est qu un cran de fum e qui a servi faire passer la pilule de la d sin dexation des fonctionnaires Rien de plus Le gouvernement modifie tr s peu les chelles indiciaires laisse le point d indice se d valori ser et joue sur les passages la hors classe comme soupape de s curit pour calmer les revendications en distribuant des promo tions aux plus g s Le degr d engagement de long terme du gouvernement a diminu puis que les vannes des promotions la hors classe peuvent tre referm es tr s facilement d une ann e sur l autre Par ailleurs cette politique est peu lisible de l ext rieur Enfin ces faits posent la question pineuse du r le des syndicats dans cette affaire Ils n ont pas d fendu de facto le pouvoir d achat des enseignants c est le moins que l on puisse dire Pourquoi C est une bonne question et nous avons notre petite id e l dessus En dire plus exigerait des d veloppements nuanc s et la mise jour de faits qui d passent le cadre de cet article Les syndicats ont d fendu les postes et les conditions de travail ils ont obtenu certaines compensations Ils sont prisonniers comme d ailleurs les gouvernements successifs et leur administration jusqu ici d un jeu institutionnel d une logique laquelle il serait souhaita ble de r fl chir pour la
55. n des effets d amalgame nous montrons qu actuellement un groupe de pays demeure particuli rement vuln ra ble a des chocs externes Finalement nous propo sons une grille d interpr tation du double d sajustement de l endettement international la dette de court terme permet de pallier les insuffi sances du cadre r glementaire domestique alors que l endettement en devises r sulte de l incerti tude qui p se sur le comportement des Autorit s mon taires Nos mod les th oriques et r sultats empiriques sugg rent que les r gimes de change mon taires et le cadre institutionnel macro micro conomique ont un impact significatif sur l ampleur du biais structurel de l endettement Mots cl s Crises financi res internationales instabilit financi re crises jumelles quilibres multiples contagion pure co mouvement des mar ch s march s mergents de la dette d sajuste ments de maturit s et devises panique bancaire flux de capitaux dollarisation E mail irina bunda univ orleans fr Diana Miclea Pop La gouvernance d entreprise dans les pays en transition l exp rience du march roumain des acquisitions Date de soutenance 8 d cembre 2006 Laboratoire Laboratoire d Economie d Orl ans Universit Universit d Orl ans Directeur de th se Xavier Gali gue Jury Jean Bernard Chatelain Gilles Chemla rapporteur Michel Dietsch rapporteur Jean Paul Pollin Constantin Tula
56. nal de la recherche scientifique de l Ecole des hautes tudes en sciences sociales et de la Fondation nationale des sciences politiques Num ro sp cial R organisations changements du travail et renouvellement des comp tences Sous la direction de Nathalie Greenan et Jacques Mairesse Introduction Un quipement de recherche pour observer et analyser les r organisations d entreprises Nathalie Greenan Jacques Mairesse Les changements organisationnels l informatisation des entreprises et le travail des salari s un exercice de mesure partir de donn es coupl es entreprises salari s Nathalie Greenan Jacques Mairesse R organisations des entreprises et travail collectif dans l industrie la diversit des formes de coop ration Miha Dinu Gheorghiu Fr d ric Moatty Renouvellement de la main d uvre et modernisation des entreprises Emmanuelle Walkowiak Changements organisationnels technologiques et recours la formation dans les entreprises industrielles Philippe Zamora L employeur le salari et la cat gorie socioprofessionnelle une exploration des d terminants de la qualification du travail partir du double codage de la PCS dans lienquite C O Gilles Crague Renouvellement des g n rations pr carit de l emploi des jeunes et dynamique technologique des entreprises Marc Arthur Diaye Nathalie Greenan Claude Minni Sonia Rosa Marques Nouvelles technologies et nouvelles formes d organisation du
57. naux L Ecole s adresse la fois aux doctorants post docs et chercheurs int ress s organisation est coordonn e par Eric Brousseau Universit Paris X EconomiX Date limite d inscription 8 avril 2007 Les modalit s d inscription sont d taill es sur le site www esnie org CALL FOR PAPERS 63 Congress of the International Institute of Public Finance University of Warwick UK August 27 30 2007 We invite submissions of papers and abstracts in any field of public finance and public economics for the 63 Congress of the IIPF to be held in the University of Warwick The special theme for the conference is Global Public Goods and Commons Theoretical and Policy Challenges for a Changing World Samuelson s famous 1954 paper drew economists attention to the notion of a public good as a broad class of market failures Since then a vast lite rature has grown up that examines the presumptive inefficiency of decentralised public good provision and has explored the prospects of designing superior resource allocation mechanisms There has also been growing concern at the prospective overexploitation of open access resources The concepts of public goods and open access resour ces provide a fruitful framework for thinking about many of the problems now facing mankind Examples include global warming depletion of natural resources pollution and congestion phenomena policies to deter terrorism the monitoring and control of infectious di
58. nist re de l Education a envoy au journal Le Monde un texte qui nous critique et dont seules les cita tions du Monde sont connues de nous mais qui n a pu pointer que des omissions de d tail dans notre travail D s le 31 janvier 2007 une version r vis e de notre texte avait t rendue publique tenant compte d un certain nombre de remarques mais le message central du papier est rest absolument le m me La v rit est l le point d indice qui permet de calculer le traitement de base de tous les fonctionnaires s est d valoris de 15 en valeur r elle de 1981 2004 C est irr futable tous les chiffres utilis s pour ce calcul sont officiels l indice des prix la consommation de I INSEE est utilis comme d flateur Ceci explique que les traitements bruts associ s aux chelons de toutes les carri res d enseignants se soient d valoris s peu pr s de ce pourcen tage les traitements bruts un chelon donn ont donc perdu environ 15 Si on ajoute la hausse de la CSG et des autres charges depuis 1981 on arrive une baisse d environ 20 en valeur r elle des traitements nets entre 1981 et 2004 sauf pour les instituteurs pour lesquels la baisse est moindre Les fonctionnaires remontent un escalator qui descend lente ment cause de l inflation Le r sultat est donc qu moins d une acc l ration de car ri re qui permettrait de remonter plus vite l es calat
59. nviron nement L volution du syst me social Le march du travail et le ch mage Le syst me financier La corruption L impact de l ouverture chinoise sur le reste du monde Les propositions version provisoire ou r sum d velopp de la communication devront tre envoy es en format lectronique china conference2007 cerdi org avant le 15 mai 2007 Pour tout renseignement compl mentaire consulter le site du CERDI IDREC _http www cerdi org idrec ou s adresser china conference2007 cerdi org 32 Membres institutionnels de PAFSE Membres bienfaiteurs Centre Cournot pour la Recherche en conomie Fondation Banque de France pour la Recherche IXIS Corporate amp Investment Bank Pour la Recherche Scientifique conomique Financi re et Sociale Institut National de la Statistique et des tudes conomiques INSEE Mission Scientifique Universitaire du Minist re de la Recherche Universit Paris II Assas Membres institutionnels de l AFSE Secteur banque finance F d ration du cr dit Mutuel Centre Est Europe Membres institutionnels de l AFSE Autres secteurs d activit Editions De Boeck ditions Economica Membres institutionnels de P AFSE Secteur des tudes et de la recherche conomique Association de la Conf rence des Doyens des Facult s de Sciences Economiques Bureau d conomie Th orique et Appliqu e BETA Chambre de c
60. o p enne moins avanc e dans la CEI elle y provo que une transition divergente Wladimir Andreff est professeur d conomie a l uni versit Paris I Panth on Sorbonne directeur hono raire du ROSES CNRS et pr sident de l International Association of Sport Economists La lettre de l AFSE n 67 MANIFESTATIONS MANIFESTATIONS CALL FOR PAPERS 4TH EUROFRAME CONFERENCE ON ECONOMIC POLICY ISSUES IN THE EUROPEAN UNION Towards an Ageing and Globalising Europe Challenges for the European Social Model s Friday 8 June 2007 Bologna Italy The EUROFRAME group of research institutes CPB DIW ESRI ETLA IfW NIESR OFCE PROMETEIA WIFO will hold its fourth annual Conference on Economic Policy Issues in the European Union in Bologna on 8 June 2007 The aim of the conference is to debate on economic policy issues relevant in the European context The call for papers focuses this year on policy challenges for the European Social Model s in the contexts of ageing and globalisation Contributions should address in particular issues related to The impacts of demography ageing and immigration and globalisation both on macroeconomic behavioural functions on macroeconomic equilibrium and on the different specific models the countries have adopted for social protection What reforms and what governance for European social protection systems pensions unemployment health exclusion family long term care what lessons from the alrea
61. ommerce et d industrie de Paris CCIP COE Centre d Analyse Strat gique Centre d conomie de l Universit Paris Nord CEPN Centre d Etudes Prospectives et d Informations Internationales CEPII Centre Etudes et Recherche sur le D veloppement International CERDI Centre d Economie de la Sorbonne Direction de l animation de la recherche des tudes et de la statistique DARES D veloppement et Insertion Internationale DIAL INRA Nantes LERECO Institut de recherches conomiques et sociales IRES Laboratoire d Economie d Orl ans LEO Laboratoire d Economie de la Production et de l Int gration Internationale LEPID Laboratoire d conom trie de l cole Polytechnique PREG CECO M canismes Economiques et Dynamiques de l Espace Europ en MEDEE EconomiX Universit Paris X Centre de Recherches pour l Expansion de l conomie et le D veloppement des Entreprises REXECODE CLOITRE Imprimeurs 02 98 40 18 40
62. or soit d une mani re d terministe anciennet soit d une mani re al atoire pro motion au choix les carri res entendues comme valeurs actualis es esp r es des salai res futurs un moment et dans un poste donn se sont d valoris es de 20 en pouvoir d achat entre 1981 et 2004 Pour obtenir ce r sultat on a bien videmment tenu compte de toutes les modifications de la grille indiciaire des carri res consid r es Qui a subi de plein fouet cette baisse Les pro fesseurs des universit s et les agr g s du secondaire qui n ont b n fici que de mesures mineures d acc l ration de carri re Pour les instituteurs et les professeurs certifi s le juge ment doit tre plus nuanc car ce sont ceux qui ont le plus b n fici des mesures de revalorisa tion de Lionel Jospin en 1990 Les instituteurs qui ont t reclass s dans le nouveau corps des professeurs des coles y ont gagn ceux qui n ont pas t reclass s ont perdu du pouvoir d achat mais nettement moins que les agr g s Les certifi s aussi ont b n fici de l acc l ration offerte par Jospin partir de 1990 pour l essentiel cette revalorisation s appuie sur l ouverture d une chelle hors classe qui n existait pas avant 1990 La hors classe des agr g s avait t cr e en 1979 et elle s est donc d valoris e en termes r els dans les m mes proportions que leur classe normale depuis 19
63. oted to the Analysis of Urban Quality of Life QOL The focus for papers is on the measurement of Urban QOL and modelling the dimensions of subjective perceived QOL and the spatial patterns of characteristics of urban QOL The special sessions are organized by Robert Stimson University of Queensland r stimson uq edu au and Robert Marans University of Michigan marans umich edu Contact J B Traversac jean baptiste traversac inapg inra fr with Analysing Urban Quality of Life as subject Special Session Concepts et outils de gouvernance territoriale La session vise a rassembler des chercheurs de diff rentes disciplines conomie g ographie sociologie sciences de gestion agronomie qui travaillent sur la gouvernance territoriale et le d veloppement durable en agriculture Les 27 La lettre de l AFSE n 67 interventions porteront plus sp cifiquement sur les outils et dispositifs de gouvernance territoriale dans des situa tions qui mergent avec la prise en compte du d veloppement durable Il s agit d une part d clairer la capacit qu ont ou non les acteurs concern s piloter le devenir de l agriculture laborer et mettre en uvre cet effet des actions de d veloppement durable et d autre part interroger la fa on dont ces dispositifs g n rent de nouveaux modes de gouvernance des territoires Contacts Eduardo Chia chia supagro inra fr Sylvie Lardon lardon engref fr et H
64. qui sont la cons quence du fait que nos conomies sont aujourd hui pres que totalement urbanis es et que de ce fait leur fonctionnement conomique se traduit directement dans les structures conomiques et sociales de leurs villes En cons quence l objectif principal de cette th se est d tudier les liens entre les fonda mentaux conomiques urbains demande d espace des m nages nature et importance des co ts objec 20 tifs et per us des diff rents modes de transport les structures urbaines et l impact cologique de la ville en d bouchant sur une analyse du r le des am nageurs publics et des politiques urbaines qu ils mettent en place Les politiques urbaines d clenchent des m canismes complexes qui provo quent des effets diff rents court terme et long terme Les effets court terme passent par un changement des conditions et des co ts de chaque mode de transport Les habitants vont r agir par une modification des comportements de d place ment ce qui implique des impacts sur les niveaux de congestion et de pollution Mais ces effets peu vent tre plus profonds qu une simple modification de l intensit d usage des transports urbains A long terme les modifications des co ts de d place ment et de l attractivit de la ville conduisent de nouvelles d cisions de localisation ce qui peut affecter fortement la structure de la ville En retour la modification de la structure so
65. quieu Bordeaux IV au sein de l quipe urbaine de l IFReDE IERSO Ses travaux concernent les processus de m tropolisation et leur diversit La lettre de l AFSE n 67 Quelles proximit s pour innover Alain Rallet et Andr Torre sous la direction de L Harmattan ISBN 978 2 296 02647 6 21 222 pages Longtemps d laiss par les conomistes le th me de l innovation est devenu la mode dans les ann es 80 avant de faire la fortune des d cideurs qu il s agisse des technopoles des clusters des p les de comp titivit ou des aides de toutes sor tes Aujourd hui au regard de la formidable concentration spatiale des activit s d innovation et du succ s de zones telles que la Silicon Valley ou Sophia Antipolis on consid re que la proximit g ographique est n cessaire voire essentielle l innovation et la diffusion des connaissances Mais est ce certain Est il r ellement n cessaire d tre proches pour innover Le pr sent ouvrage crit par des conomistes des sociologues et des gestionnaires se penche avec scepticisme sur cette question partir d exemples pris dans diff rentes r gions fran aises L analyse des facteurs de loca lisation des activit s innovantes et des caract risti ques des syst mes localis s d innovation ainsi que l tude des questions de g ographie des connais sances et de leur diffusion locale permettent de relativiser le dogme de la proximit g ographiq
66. r duire la circulation automobile pour en att nuer les nuisances environnementales devraient donc tre con ues en tenant compte de l imp ratif d quit En outre une d marche d ensemble devrait int grer des actions sur le secteur du loge ment de fa on densifier le tissu urbain et att nuer la tendance l talement Mots cl s transports m nages enqu tes auto mobile d penses pseudo panels in galit s indice de Gini d composition par poste de d pense effets redistributifs E mail akli berri inrets fr Damien Fessler Valeur et mesure dans les Recherches sur les Principes Math matiques de la th orie des richesses d Antoine Augustin Cournot Date de soutenance 23 f vrier 2006 Laboratoire GRESE Universit Paris I Panth on Sorbonne Directeur de th se Jan Horst Kepple Jury Richard Arena rapporteur Annie L Cot G rard Jorland rapporteur Andr Lapidus L ouvrage publi en 1838 par Antoine Augustin Cournot 1801 1877 les Recherches sur les prin cipes math matiques de la th orie des richesses est consid r comme un ouvrage pr curseur de l conomie moderne notamment au travers de l influence qu il exer a sur les conomistes margi nalistes partir de la fin du 19 me si cle N anmoins la d marche entreprise par Cournot en 1838 ne saurait tre comprise ind pendamment du contexte intellectuel de son apparition L objet de la th se est
67. r sultat servira aux assureurs lors de la tarification des ris ques pour exclure ceux pr dispos s une maladie Dans notre travail de recherche nous montrons que le march d assurance cesse d exister pour les maladies monog niques En revanche il fonc tionne bien pour les maladies polyg niques A cause de l influence de facteurs environnemen taux les assureurs peuvent offrir des contrats plus adapt s tout en gardant dans leur portefeuille les individus les plus risqu s De plus avec les mala dies polyg niques les individus peuvent r duire leur risque en effectuant de la pr vention En pr sence simultan e d antis lection et d al a de mora lit nous pr conisons aux assureurs tout en respectant la condition d intersection unique d of frir des contrats couverture partielle qui peuvent tre soit s parateurs soit pooling Toutefois l ap parition de la maladie peut annihiler tout effort de pr vention Afin de capter certaines informations que l assureur a du mal percevoir dans un cadre statique nous supposons une r vision des probabi lit s de sinistre des assur s au cours du temps En monopole on montre que la d formation des pro babilit s nuit uniquement aux mauvais risques sinistr s de premi re p riode qui obtiennent une couverture partielle avec une d t rioration de leur utilit A contrario l entr e de compagnies concur rentes annihile leur tarification l exp ri
68. r diff rentes cat gories de biens et services sont valu s avec l indice de Gini d compos par poste de d pense Une comparaison internationale de la motorisation fait ressortir trois facteurs principaux expliquant les diff rences entre pays ou r gions l histoire de la diffusion de la voiture le niveau de d veloppe ment conomique et la densit de population L influence de la densit sur l quipement et l usage est plus manifeste en consid rant des zones fran aises homog nes Les projections de la cir culation montrent notamment que l ampleur de l impact de l talement urbain devrait d pendre de la taille de l aire urbaine L examen des d penses montre sur l exemple de I Ile de France le r le des conditions pr valant sur le march du logement la chert de l immobilier au centre de l agglom ration contraint les plus modestes une localisation en zones p riph riques mal desservies par les transports en commun entra nant des d penses de transport essentielle ment automobiles lev es Par ailleurs il ressort de l analyse des in galit s qu avec la diffusion de l automobile les taxes sur les carburants sont devenues r gressives 1 e elles affectent les pau vres plus que les riches alors que le caract re pro gressif de celles sur les autres biens et services d utilisation des v hicules r parations huiles pneus s est att nu Les mesures visant
69. ravaillant dans le champ de l conomie euro p enne et comme tel il refl te les enjeux de poli tique conomique qui animent leurs r flexions Il r unit huit contributions que l on peut regrouper sous les th mes suivants e Politiques de stabilisation conjoncturelle e Concurrence fiscale et attractivit des territoires e Convergence des r gions et structures europ en nes La lettre de l AFSE n 67 Sommaire du num ro Pr sentation g n rale Etienne Farvaque et Hubert Jayet Un conseil de stabilit pour assurer la soutenabilit budg taire en UEM J rgen von Hagen Asym tries de transmission incertitude additive et stabilisation mon taire en UEM les enseignements d un mod le th orique Paul De Grauwe et Marc Alexandre S n gas Chocs et r gles de politique conomique en UEM Florence Huart Bas van Aarle et Harry Garretsen Comment la compensation internationale des pertes et la r parti tion proportionnelle des revenus imposables peuvent affecter les choix des multinationales et la concurrence fiscale Marcel G rard et Joann Martens Weiner Convergence de l imp t sur les soci t s dans l Union Europ enne Fernando Ruiz Estimation semi param trique de la convergence des r gions europ ennes Th ophile Azomahou Jalal EI Ouardighi Phu Nguyen Van et Thi Kim Cuong Pham Clubs de convergence et effets de d bordements g ographiques une analyse spatiale sur donn es r gionales eu
70. red by some as the best way to reduce waste in government and force politicians to be responsive to the needs and preferences of citizens Depending on which view prevails enhanced cooperation among governments will be seen as more or less advisable These cooperation efforts range from harmonization agreements centralization or regionalisation and the use of grants to fund decentralized spen ding policies The aim of this workshop is to bring together original research papers that cast some light on these issues Both theoretical and empirical papers are welcome Further information on the workshop will be soon available at the webpage of the workshop which could be acces sed through the website of both organizing institutions www pcb ub es ieb and www centrodeestudiosandaluces es APPEL A COMMUNICATION Axe th matique Int gration Mon taire et Financi re Europ enne GDRE Economie Mon taire et Financi re Un atelier sur le th me Restructuration du syst me bancaire europ en sera organis l Universit Lille 2 le jeudi 3 mai 2007 Les propositions de communication sont envoyer avant le 15 mars 2007 Catherine Refait Alexandre catherine refait univ lille2 fr Le nouvel axe Int gration Mon taire et Financi re Europ enne est port par les quipes de recherche en Finance du Nord Pas de Calais EQUIPPE laboratoire commun aux Universit s Lille 1 Lille 2 et Lille 3 et le GERME laboratoire commun l ESC Lille et l Univers
71. rentes approches 1 2 3 The Strategy and Structure of European Firms Franco Amatori Andrea Colli Study of British Banking History A Select Illustration from Bank Firm Relationships Mae Baker Michael Collins L approche comptable Lafarge 1993 2004 ou comment on devient firme mondiale Dominique Barjot Entreprises cheminements technologiques et innovation Laurent Tissot Districts industriels du concept a l histoire Les termes du d bat Jean Claude Daumas Histoire des entreprises et approches convergences Jean Charles Asselain globales quelles Principaux chantiers 1 Global Electrification Multinational Enterprise and International Finance in the History of Light and Power 1880s 1914 William Hausman Mira Wilkins John L Neufeld Contrasting Styles of Foreign Investment A Comparison of the Entrepreneurship Technology and Finance of German and Canadian Enterprises in Barcelona Electrification Peter Hertner H Viv Nelles Economic culture and its transfer Americanization and European enterprise 1900 2005 Harm Schroeter Mondialisation et avantage concurrentiel la perc e internationale de Samsung 1953 1986 Rang Ri Park La concession des services maritimes postaux au XIXe si cle le cas exemplaire des Messageries Maritimes Marie Fran oise Berneron Couvenhes Nationalisation and Privatisation Ownership Markets and the Scope for Introducing Competition into the Electricity Supply Industry
72. riables de risque pays constat e lors des tudes empiriques nous employons la m thode par dires d expert pour cr er des mesu res de risque pays L objectif est d viter le carac t re al atoire des coefficients de pond ration tout en tenant compte des seuils critiques des variables sensibles Les firmes multinationales FMN met tent en oeuvre des jeux complexes et incertains dans leur choix d implantation l tranger Entre lib ralisation et ouverture de march les PED pr sentent un cas d cole pour tudier le risque pays Ce dernier se mat rialise par la volatilit du retour sur l IDE par rapport un investissement domesti que Il affecte le seuil de rentabilit de l IDE Dans ce cadre la prise en compte du risque pays dans le choix d implantation des FMN compl te les autres d terminants traditionnels de l IDE Les tests co nom triques corroborent le mod le th orique et r v lent que le r le des FMN et l impact des flux d IDE sont controvers s Bien que notre contribu tion soit d explorer les facteurs du risque d inves tissement les r sultats nous permettent galement d inf rer des recommandations de politiques co nomiques pour les PED Mots cl s Risque pays IDE commerce interna tional crises financi res capitaux trangers taux de change firmes multinationales E mail faouzi boujedra univ orleans fr Irina Bunda Analyses et r gulations de l
73. rop ennes 1980 1995 Catherine Baumont Cem Ertur et Julie Le Gallo Co ts d ajustement de la demande de travail une comparaison entre la France et la R publique tch que Claude Mathieu et Yann Nicolas PENSEZ A PAYER VOTRE COTISATION AFSE 2007 ET A FAIRE ADHERER VOTRE LABORATOIRE http www afse fr La lettre de l AFSE n 67 56 Congr s de l Association Francaise de Science Economique 20 et 21 septembre 2007 Paris et 19 septembre au soir Appel a communications Date limite de soumission 21 avril 2007 Soumission uniquement via le site http congres afse fr voir mode d emploi sur le site Texte compact recommand 10 20 pages format word ou pdf Comit de programme Pr sident Jean Pisani Ferry Membres Bruno Amable Wladimir Andreff Antoine d Autume Maurice Basl Georges Bresson Eric Brousseau Andre Cartapanis Gilbert Cette Eric Chaney Jean Bernard Chatelain Nicolas Coeurdacier Denis Cogneau Claude Crampes Michel De Vroey Michel Dietsch Brigitte Dormont Jacky Fayolle Lionel Fontagn J r me Gauti Jean Olivier Hairault Anne Lavigne Pascal Le Merrer Etienne Lehmann David Martimort Val rie Mignon Sonia Paty R gis Renault Lise Rochaix Bernard Salzmann B atrice S dillot Henri Sterdyniak Christophe Tavera Alain Trannoy Etienne Wasmer La lettre de l AFSE n 67 REVUE ECONOMIQUE Revue bimestrielle publi e avec le concours du Centre natio
74. s Further information e g courses schedule reading list and programme will be available soon at the IEB webpage www pcb ub es ieb Deadline for the application April 1 2007 First World Meeting of the Public Choice Societies Amsterdam March 29 April 1 2007 The first world meeting of the Public Choice Societies will be held from March 29 to April 1 2007 at the Amsterdam School of Economics Faculty of Economics and Business University of Amsterdam The Public Choice Societies unite scientists from a variety of disciplines who are interested scientific research on the economics and politics of public and non market decision making political economy and the economics of institutions Further information about the conference is available on the conference web site lt http www creedexperiment nl pc2007 index html gt II WORKSHOP ON FISCAL FEDERALISM Competition and Cooperation among Governments Sevilla June 21 22 2007 Competition among governments is often seen as the source of all evils At the national and regional level compe tition bears the blame of driving down tax rates and benefit levels and therefore of threatening the survival of the welfare state At the local level competition among fragmented governments is seen as one of the causes of under provision of regionally valued public services environmentally harmful urban sprawl and unwanted income and racial segregation However competition is also conside
75. s croyances des nouvelles g n ra tions est confi e une population dont les pro pres croyances refl tent un biais d autos lection relativement la distribution des croyances de l ensemble de la population On montre que ce ph nom ne peut ralentir l apprentissage social des vrais param tres de l conomie si ceux ci impliquent que l cono mie de march fonctionne bien Si le poids de l cole relativement la famille dans la transmission des croyances est lev et si les croyances sont un facteur important dans les choix de carri re alors ces effets peuvent tre suffisamment forts pour emp cher l ap prentissage social des vrais param tres de l conomie Des croyances erron es et hos tiles l conomie de march peuvent dans ce cas se reproduire ind finiment cause des biais du syst me scolaire La lettre de l AFSE n 67 La d valorisation des carri res d enseignant depuis 1981 r sum en forme de mise au point Robert Gary Bobo et Touria Jaaidane En janvier 2007 la presse s est empar e de notre document de travail sur les salaires de fonctionnaires Le document a circul et a t comment par de nombreux enseignants sem ble t il il a visiblement g n le gouverne ment et les grands syndicats irrit le cabinet du ministre de l Education La rumeur disait que l administration pr parait une r ponse Le directeur de la prospective du mi
76. s d int gration Croissance convergence et int gration euro p enne tel tait donc le th me de ces journ es lil loises huit ans peine apr s les Journ es de Nantes d j consacr es au th me europ en Il est rare qu un sujet soit abord deux fois de suite et surtout aussi rapidement dans la tradition des Journ es de l AFSE Mais la cr ation de la zone euro et la perspective l poque de l largisse ment 10 nouveaux membres ouvraient de nouvel les probl matiques soulevaient de nouvelles questions et faisaient merger de nouveaux th mes de recherche Une telle dynamique se retrouve dans les articles r unis dans ce num ro qui tous ont fait l objet d une pr sentation pr liminaire au cours des Journ es de Lille Certes on retrouve des question nements relatifs la politique conomique envisa g e sous son aspect de stabilisation conjoncturelle ce qui tait le th me dominant des Journ es nantai ses Mais il est clairement apparu dans les contri butions pr sent es Lille comme il appara tra la lecture de ce num ro que la plupart des questions abord es ont une vis e de plus long terme signe probablement d une r flexion qui soutenue par les d veloppements institutionnels en cours est dans une certaine mesure parvenue maturit dans ce domaine Ce num ro d Economie et Pr vision est donc riche de la diversit des pr occupations des chercheurs t
77. s et techniques et encourager les activit s de recherche et d innovation dans les entreprises Ensuite nous pr senterons les r sultats d une tude empirique de l innovation dans les PME alg riennes Cette enqu te est bas e sur un chantillon de 100 entreprises en mobilisant le logiciel EVIEWS Les r sultats conom triques ont notamment montr que les PME alg riennes se caract risent par de faibles capacit s d innovation et l absence d un syst me de soutien l innova tion En somme cette recherche d montre la n cessit pour l Alg rie de faire plus d effort en mati re de R D et d octroyer des aides afin d inci ter les PME innover Mots cl s Recherche et D veloppement Innovation Croissance PME Apprentissage Comp tence de l entreprise Comp titivit E mail Redha younes bouacida wanadoo fr Mihai Tivadar Structures Sociales Urbaines et Ville Ecologique Date de soutenance 8 d cembre 2006 Laboratoire EQUIPPE MEDEE Universit Lille 1 Directeur de th se Hubert Jayet Jury Yves Crozet Rapporteur Florence Goffette Nagot Rapporteur Sonia Paty Jean Philippe Tropeano Il y a aujourd hui peu de connexions entre les ana lyses conomiques des structures urbaines d une part et les travaux en conomie des transports et de l environnement d autre part Cependant bien qu en apparence disjoints ces domaines entretien nent des liens substantiels
78. sease dissemination of information concerning potential natural disasters such as tsunamis provision of aid to developing countries maintenance of macroeconomic stability and internatio nal tax co ordination Further details on the Congress are available at www iipf2007 com Congr s commun de l European Regional Science Association 47 congr s et de PASRDLF Association de Science R gionale de Langue Fran aise 44 congr s PARIS 29 Ao t 2 septembre 2007 http sadapt inapg inra fr ersa2007 index php Session sp ciale Innovation emploi et territoires des services Cette session est consacr e l analyse de la dimension spatiale des activit s de services Son objectif est de recon sid rer la relation services et territoires en insistant plus particuli rement mais pas exclusivement sur les questions de l innovation et de l emploi Il est clair que l on ne peut comprendre le comportement spatial des services sans pas ser par l analyse de leur organisation interne ou plus globalement de l organisation productive dans laquelle elles s inscrivent Ainsi l internationalisation l innovation l int gration des TIC sont des facteurs importants d volution et de transformation de ces activit s de service Organis par Faridah Djellal farida djellal univ lille1 fr et Camal Gallouj Camal Gallouj univ lille1 fr Special Session Analysing Urban Quality of Life Three special sessions will be dev
79. titude et opinions diff rentes sur l effet de conomique Daniel Laskar la politique L change et la loi le statut de la rationalit conomique chez Rousseau Christophe Salvat Crit res pour une meilleure r partition des si ges du Val d Oise au sein des structures intercommunales Une application au cas du Val d Oise Fabrice Barth l my Mathieu Martin Les comportements boursiers sont ils eul riens Georges Prat Impacts de l ouverture Nord Sud sur le progr s technique et les in galit s salariales Nathalie Chusseau Jo l Hellier Presses de Sciences Po 117 boulevard Saint Germain 75006 Paris T l 33 0 1 45 49 83 64 Fax 33 0 1 45 49 83 34 14 REVUE ECONOMIQUE VOLUME 58 MARS 2007 PRESSES DE SCIENCES PO Ventes et abonnements Commandez en ligne www pressesdesciencespo fr ou renvoyer le bon de commande avec votre paiement aux Presses de Sciences Po 117 Bd Saint Germain 75006 Paris France T l 33 1 45 49 83 64 Fax 33 1 45 49 83 34 info presses sciences po fr Abonnements 2006 6 num ros par an France Etranger Institutions 127 137 Particuliers 79 91 Etudiants 58 sur pr sentation CE Librairie 30 rue Saint Guillaume 75007 Paris librairie sciences po fr Tel 01 45 48 36 O2 T l copie 01 42 22 56 89 Heures d ouverture du lundi au vendredi de 11h 18h30 Prix au num ro 21
80. transformer Robert Gary Bobo est professeur des universit s en sciences conomiques l Universit Paris 1 Panth on Sorbonne Ecole d conomie de Paris Touria Jaaidane est professeur des universit s en sciences conomiques l Universit de Lille 1 Equippe La lettre de l AFSE n 67 VIE DE L ASSOCIATION VIE DE L ASSOCIATION Entretiens de l Association Fran aise de Science Economique L conomie politique des r formes conomiques en Europe et en France Mardi 20 f vrier 2007 9h 13h au S nat salle Monnerville Gilles Saint Paul Universit de Toulouse 1 Le r le de l id ologie et les croyances dans l conomie politique Discutant Giuseppe Nicoletti OCDE Bruno Amable Universit de Paris 1 La fin du mod le europ en Discutant Jacques Delpla BNP Paribas Discussion en panel anim e par Jean MarcVittori Les Echos avec e Jorge Braga de Macedo Professeur l Universit Nova et Institut de Recherche Tropicale Lisbonne e Karoly Attila Soos Directeur de recherche l Institut d Economie de l Acad mie des Sciences de Hongrie Thierry Pech Secr taire g n ral de la R publique des Id es ancien conseiller la CFDT Les Entretiens de l AFSE visent provoquer la discussion sur une question d actualit ouverte en direction de l ext rieur de l Association y compris les m dias en se fondant sur les acquis de la recherche acad mi que en conom
81. ue et de mettre jour les ressorts spatiaux souvent complexes des activit s d innovation qu il s agisse des multiples canaux de diffusion ou de la possibi lit de rencontres temporaires entre entreprises et organisations innovantes Alain Rallet est professeur d conomie l Universit de Paris Sud X et membre du centre de recherche en conomie ADIS de cette universit Il s int resse plus particuli rement l utilisation d Internet dans la coordination spatiale des individus et des organisa tions Andr Torre est directeur de recherche en conomie a l UMR SAD APT INRA et INA PG Ses domaines de pr dilection sont l tude des relations de proximit et l analyse des conflits Il s int resse au r le jou par l espace dans les relations d interface n cessaires aux processus de cr ation et de diffusion des connaissances et des innovations 25 Economie de la transition La tranformation des conomies centralement planifi es en conomies de march Wladimir Andreff Br al ISBN 978 2 7495 0188 8 27 494 pages Cet ouvrage propose un bilan de la transition et des analyses conomiques qui lui ont t consacr es en distinguant deux phases aussi bien pour ce qui concerne les faits et les politiques conomiques suivies dans les pays post communistes que pour l analyse du changement syst mique La premi re phase de transition n o lib rale sous tendue par le consensus de Washington jusqu en 19
82. ue nous avons privil gi e consiste notamment pro poser une alternative la r gle d offre publique obligatoire le contrat contenant des clauses de garantie de passif repr sentations et garanties Les r sultats de notre mod le contribuent enri chir le d bat autour de la r forme des normes l ga les applicables dans les pays en transition Mots cl s Gouvernance d entreprise march s mergents conomies en transition fusions et acquisitions r gle d offre publique obligatoire actionnaires minoritaires clause de garantie de passif E mail diana pop univ orleans fr H l ne Huber Vieillissement d penses de sant et in galit s de recours aux soins essais de micro conom trie appliqu e Date de soutenance 4 d cembre 2006 Laboratoire EconomiX et LEGOS Universit Universit Paris X Nanterre Directeur de th se Brigitte Dormont Jury Brigitte Dormont Pierre Yves Geoffard Alberto Holly rapporteur Myriam Khlat rappor teur Val rie Mignon Thomas Piketty L objet de cette th se est l analyse des comporte ments de consommation de soins et de leur impact sur l volution et la r partition de la d pense de sant dans la population Nous menons une analyse sur donn es individuelles et mettons en uvre des m thodes originales de microsimulations afin de mettre en vidence les effets de l h t rog n it des comportements au niveau individuel Nous emplo
83. valorisent avec le point d indice qui les indexe L argument du Glissement Vieillesse Technicit GVT a galement t soulev Ce GVT est une notion importante pour les finan ces publiques car les clauses d avancement l anciennet font que la masse salariale des fonctionnaires cro t m caniquement m me sans augmentations des indices en raison du vieillissement des agents effectifs constants et en dehors d un tat parfaitement station naire Le GVT permet donc de calculer une augmentation moyenne des traitements qui tient compte des effets de l anciennet et des mesures de promotion les sauts d chelon Mais cette croissance ne constitue en rien une double indexation c est une erreur conceptuelle de tenir le GVT pour un indica teur de politique des ressources humaines Toutes les organisations publiques ou priv es si elles offrent des carri res leurs agents sont n cessairement confront es au GVT positif ou n gatif Laisser se d valoriser les chelons d un syst me de carri re pour freiner l augmentation de la masse salariale r elle s apparente un seigneuriage en fait c est le reniement d un engagement ou m me presque une r pudiation de la dette vis vis des stake holders Les cons quences strat giques d un tel reniement peuvent tre pr judiciables en termes d incitations l effort et l investisse ment personnel des agents au sei
84. yons les donn es de l Appariement enqu te en population g n rale labor e par l IRDES Un premier chapitre expose les m thodes conom tri ques employ es lors de l estimation d quations explicatives de la consommation de soins sur don n es individuelles Un deuxi me chapitre d ve loppe une m thode originale visant analyser les facteurs de la hausse des d penses de sant et montre que cette hausse est principalement due aux changements de comportements face la maladie et tr s peu due au vieillissement d mographique Un troisi me chapitre propose une m thode nova trice de d composition des in galit s de consom mation de soins par facteur Nous montrons que l in quit observ e est pour moiti due l h t ro g n it des comportements cette h t rog n it n tant pas identifiable dans les d compositions standard Mots clefs D pense de sant Econom trie Micro simulations Vieillissement In galit s E mail helene huber u paris10 fr helene huber dauphine fr R dha Younes Bouacida Politiques Scientifiques et Techniques et aides I Innovation des PME alg riennes Date de soutenance 22 novembre 2006 Universit Paul C zanne Aix Marseille II CAE Directeur de th se Bernard Haudeville Jury Mark Humbert pr sident Christian Le Bas rapporteur Colette Fourcade rapporteur Bernard Haudeville Cette th se se propose d explorer le fonctionne m
85. ys L analyse empirique d velopp e sur le risque de vuln rabilit repose sur les estimations de volatilit en mati re de flux de capitaux offi ciels et priv s Elle montre que celle ci est tr s le v e dans les trois pays quelle que soit la nature des flux officiels ou priv s Enfin dans une troisi me et derni re partie nous proposons un certain nom bre de mesures et politiques de nature r duire les risques associ s la globalisation financi re pour les pays de la CEMAC stimuler et stabiliser l in vestissement tranger et r aliser les gains poten tiels li s une plus grande ouverture financi re Mots cl s Globalisation financi re flux de capi taux int gration financi re internationale Communaut Economique et Mon taire de l Afrique Centrale CEMAC E mail Mougani beac int Kang Soek LEE L int gration mon taire r gionale une appli cation au cas asiatique Date de soutenance 13 novembre 2006 Laboratoire Laboratoire d Economie d Orl ans Universit Universit d Orl ans Directeur de th se Philippe Saucier Jury Antonio Mendon a Bertrand Blancheton rapporteur Gilbert Colletaz Thierry Montalieu Pierre Bruno Ruffini rapporteur Les pays d Asie sont la recherche d un syst me de taux de change et d un march financier commun qui puissent la fois encourager leur commerce s curiser et d velopper leur conomie Le change flottant l ancra

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Consulter la revue  P o sizio n ato re a fo rch e m u ltip  Samsung Galaxy Mini 2 Bruksanvisning  índice  dossier_presse_ensem..  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file