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Obligations 2006

1. gt Examen des plans et sch mas e v rification de l existence des plans et sch mas 10 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 v rification de la coh rence avec les notes de calcul Examen de la documentation technique e v rification partir de leurs documentations ou de leur fiche signal tique de l ad quation des mat riels aux caract ristiques de l installation et de son environnement b Examen sur site e v rification de la conformit des ouvrages r ali s s avec les plans et sch mas tablis v rification de la conformit de la mise en uvre des mat riels lectriques Cette v rification est r alis e par l examen visuel avec d montage si n cessaire et possible c Essais et mesurage v rification de mise la terre de tous les appa reils basse tension de la totalit des appareils d clairage et des prises de courant de tous les mat riels fixes autres que les appareils d claira ge et les prises de courant etc e v rification des mesures d isolement en basse tension e essai des dispositifs de protection courant dif f rentiel r siduel en basse tension e v rification des machines 4 Etendue de la v rification Lorsque la v rification ne porte pas sur la totalit des installations soit la demande du chef d tablisse ment soit par suite d impossibilit mat rielle impos sibilit
2. R gle 5 10 mesures cons cutives se trouvent d un m me c t par rapport la valeur de r f rence Chaque violation d une r gle est affect e d un r sultat gal 1 Le r sultat global appel score de Shewhart s appr cie par la somme des r sultats issus de l appli cation de chaque r gle R gle de Cusum La r gle du Cusum est aussi une r gle statistique utili s e pour v rifier la stabilit des mesures successives de la DMO au cours du temps Deux param tres font l ob jet d un suivi le Cusum positif Sx i et le Cusum n gatif Su i Pour la mesure de DMO de rang i ces param tres sont calcul s comme suit Xi s Sn i maxo a Sen 1 et A Gu X _ S i max 0 0 005 0 5 S i 1 O u est la valeur mobile de r f rence de la DMO X est le r sultat de la i mesure de la DMO 16 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES OSTEODENSITOMETRES Les valeurs S 0 et SH 0 sont gales 0 La valeur de base de I est gale po Dans le cas o le Cusum positif ou le Cusum n gatif d passe 5 u est recalcul e de la mani re suivante J si la Valeur mesur e de la DMO est sup rieure la valeur mobile de r f rence la nouvelle valeur mobile de r f rence y est gale u y 0 005 y 0 5 Sui Inai o p est la derni re valeur mobile de r f rence et Nx i le nom
3. e du bon tat et du bon fonctionnement du g n rateur des accessoires et des dispositifs de s curit et d alar me propres l appareil ou li s l installation et d une mani re g n rale de toutes le parties m ca niques de l appareil y compris des dispositifs de sus pension et d quilibrage de l efficacit des dispositifs de protection collective contre les rayonnements ionisants e des conditions de maintenance de l appareil et de ses accessoires par rapport aux prescriptions r glementaires et par rapport aux recommandations du fabricant ou four nisseur et de leur connaissance par l op rateur e de la conformit des conditions d utilisation et d en tretien du g n rateur aux r gles applicables et aux modalit s tablies par le fabricant de l exposition sur la dur e du poste de travail Le relev des mesures doit tre accompagn d un plan dat et identifi de la disponibilit d un d tecteur appropri de type Babyline pour d celer d ventuelles fuites de rayonnements Remarque les radiologues doivent exiger un contr le d ambiance r alis par le technicien du constructeur ou de la soci t de maintenance apr s chaque intervention sur la gaine et ou les diaphragmes situ s en sortie de tube v rification d un remontage correct de la signalisation de la source mettant des rayon nements ionisants de la pr sence et du bon fonctionnement d une signalisation per
4. semestrielle Dose d livr e et d bit de dose contr le r alis avec les 2 formats de potter si les conditions cliniques avec le potter 24X30 cm sont diff rentes de celles utilis es avec le potter 18X24 cm semestrielle Facteur de Bucky Salle de lecture des clich s en cas de changement de la grille anti diffusante k as d di s la mammographie semestrielle semestrielle Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES Contr le de qualit des installations de mammographie analogique DISPOSITIONS GENERALES Les radiologues exploitants mettent en ceuvre le contr le de qualit des installations de mammographie analogique selon les modalit s de cette nouvelle d ci sion partir du 1 mars 2006 Le radiologue doit tenir jour un inventaire comportant les informations relatives l installation de mammographie analogique qu il poss de c est dire la marque le mod le le num ro de s rie et la date de premi re mise en service du g n rateur et du tube rayons X de mammographie du syst me de d veloppement du ou des n gatoscopes utili s s pour l activit de mammographie analogique la marque le mod le la date de premi re mise en service et le num ro d identification des cassettes et de leurs crans la marque et le mod le de la chimie utilis
5. 80000 Amiens Sud Est Pr vention 24 avenue Joann s Masset 69009 Lyon gt Arr t du 22 d cembre 2005 parution au J O n 303 du 30 d cembre 2005 CONTROLES ELECTRIQUES ACPF ZI La Guignardi re 25 rue Pierre et Marie Curie 45430 Chevy Cabinet Fontan 3 rue Sainte Alo se BP 150 67028 Strasbourg cedex Daniel Moulin 6 rue du Port 92110 Clichy QUALICONSULT Exploitation France Nord ZI de Dorignies rue Becquerel 59500 Douai QUALICONSULT Exploitation Ile de France 24 rue des petites curies 75010 Paris QUALICONSULT Exploitation Rh ne Alpes 40 rue Laure Tiebold 69009 Lyon QUALICONSULT Exploitation Sud Ouest 16 bou levard Vincent Auriol 31170 Tournefeuille QUALICONSULT Exploitation Sud Est 494 rue Maurice Schumann 30000 N mes Sud Contr le BP 102 89954 Lagarde cedex Sud Loire Pr vention La Potardi re BP 03 49750 Saint Lambert du Lattay VERITECH 2 avenue du mar chal Joffre 10000 Troyes Organismes agr s jusqu au 31 d cembre 2007 gt Arr t du 22 d cembre 2004 parution au J O n 304 du 31 d cembre 2004 BTCS Bureau Technique Contr le S curit M Verollet chemin de la plaine BP 14 73491 La Ravoire Cedex BTP Consultants immeuble central gare 1 place Charles de Gaulle 78180 Montigny le Bretonneux Bureau Veritas 17 bis place des Reflets La D fense 2 92400 Courbevoie CETA 2 route de la petite plai
6. Densitom tre et cache radio opaque 3 Modalit s du contr le Apr s avoir plong la chambre noire dans l obscurit inspecter visuellement la pi ce la recherche d une source de lumi re Poser le film vierge sur la paillasse et ou sur le plateau de chargement de la machine d velopper en en recouvrant la moiti avec le cache radio opaque Attendre 2 minutes puis d velopper le film Mesurer la densit optique DO des parties prot g e et non prot g e du film Dans le cas d un syst me de d veloppement char gement manuel effectuer un second test en utilisant un film pr expos dont la DO est voisine de 1 voile de base compris La DO est mesur e dans les m mes conditions que pour le film vierge Un film expos des 2 c t s oppos s avec un sensito m tre peut tre utilis pour r aliser ces 2 tests simulta n ment 4 Crit res d acceptabilit La diff rence de DO doit tre lt 0 02 sur le film vierge et 0 10 sur le film pr expos dans le cas d un syst me de d veloppement chargement manuel Si ces crit res ne sont pas respect s refaire les mesures en teignant l clairage inactinique Des valeurs sup rieures aux valeurs exig es dans lun ou l autre cas n cessitent la remise en conformit d s que possible C Syst me de d veloppement Sensitom trie 1 P riodicit du contr le Chaque jour o l installation est utilis e 2 Mat riels
7. QUI EFFECTUE LE SUIVI DOSIMETRIQUE Les mesures de l exposition externe dosim trie passive sont effectu es par l Institut de Radioprotection et de S ret Nucl aire IRSN ou par un organisme agr e LCIE Landauer Fontenay aux Roses COMET France Lognes Il convient de s assurer que l organisme rete nu est en capacit de mesurer les rayonnements ioni sants r v l s par l analyse des postes effectu e par le chef d tablissement et que les dosim tres utilis s sont compatibles avec les conditions de travail envisag es La surveillance individuelle de l exposition par dosim trie op rationnelle est mise en uvre par la Personne Comp tente en Radioprotection PCR sous la respon sabilit du chef d tablissement La PCR exploite les r sultats des dosim tres op rationnels et transmet au moins une fois par semaine sous forme nominative tous les r sultats individuels de dosim trie op ration nelle l IRSN DOSIM TRIE PASSIVE La dosim trie passive consiste en une mesure en temps diff r de l exposition externe partir de dosim tres pas sifs individuels et nominatifs L identification du porteur doit exclure toute quivoque Le dosim tre est obligatoi rement port la poitrine ou en cas d impossibilit la ceinture et sous les quipements individuels de protec tion L quivalent de dose individuel ainsi mesur est assi mil la dose efficace re ue par le corps entier Hors du
8. de cesser l ex ploitation du dispositif d ost odensitom trie P riodicit du contr le Le contr le externe de la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface est mensuel selon un calendrier fix d un commun accord entre l exploitant et l organisme de contr le externe Cas du r talonnage du dispositif d ost odensitom trie En cas de r talonnage du dispositif le logiciel de contr le de qualit personnalis doit tre reparam tr par l organisme de contr le externe Un nouveau calen drier de contr le est adopt son point de d part tant la date d acc s par l exploitant au logiciel personnalis reparam tr C Contr le de la dose de rayonnements ionisants d livr e But du contr le S assurer de l absence de d rive dans le temps de la dose de rayonnements ionisants d livr e aux patients Mise en uvre du contr le L organisme de contr le externe mesure la dose d li vr e par le dispositif l aide d une chambre d ionisation plate ou d une sonde plac e sur la table d examen face de mesure en direction du tube rayons X L ost odensitom tre est utilis dans le mode dit rachis courant le plus irradiant Les conditions de mesure de la dose mode d acquisi tion utilis noms des mod les de chambre d ionisation et d lectrom tre coefficients d talonnage appliqu s caract ristiques et dimensions du balayage du faisceau sont consign es dans le rap
9. de mise hors tension inaccessibilit etc les parties de l installation non v rifi es et les motifs pr cis de non v rification doivent tre clairement signa l s et r capitul s en t te du rapport VERIFICATION PERIODIQUE 1 P riodicit La p riodicit des v rifications est fix e un an le point de d part de cette p riodicit tant la date de la v rification initiale Toutefois le d lai entre deux v ri fications peut tre port deux ans par le chef d ta blissement si le rapport pr c dent ne pr sente aucu ne observation ou si avant l ch ance le chef d ta blissement a fait r aliser les travaux de mise en conformit de nature r pondre aux observations contenues dans le rapport de v rification Le chef d tablissement informe l inspecteur du tra vail par lettre recommand e avec accus de r cep CONTROLES ELECTRIQUES tion accompagn e des l ments prouvant qu il n y a pas de non conformit ou que les non conformit s ont t lev es Cet envoi doit comprendre le cas ch ant l avis des membres du CHSCT ou des d l gu s du personnel 2 Qui r alise la v rification Le chef d tablissement doit faire r aliser les v rifica tions p riodiques par des personnes appartenant ou non l tablissement et poss dant une connaissan ce approfondie dans le domaine de la pr vention des risques dus l lectricit et des dispositions r gle mentaires qui y son
10. res 33520 Bruges T l 05 56 57 75 35 D cision du 29 d cembre 2003 parution au J O n 24 du 29 janvier 2004 28 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES ASSOCIATION ARCADES Monsieur Patrice HEID CHU TIMONE B timent F Rue Saint Pierre 13385 Marseille cedex 5 T l 04 91 38 76 96 Fax 04 91 94 52 08 D cision du 27 f vrier 2004 parution au J O n 66 du 18 mars 2004 SOCOTEC Les Quadrants 3 avenue du Centre Guyancourt 78182 Saint Quentin en Yvelines cedex T l 01 30 12 82 19 Fax 01 30 12 84 30 D cision du 27 f vrier 2004 parution au J O n 68 du 20 mars 2004 APAVE PARISIENNE 13 17 rue Salneuve 75017 Paris T l 01 40 54 59 61 Fax 01 40 54 57 99 D cision du 2 mars 2004 parution au J O n 68 du 20 mars 2004 ASSOCIATION PAQA Monsieur Andr COSTA 93 avenue Georges V 06000 Nice T l 04 92 03 12 79 Fax 04 92 03 15 94 D cision du 19 avril 2004 parution au J O n 105 du 5 mai 2004 APAVE ALSACIENNE 2 rue Thiers BP 1347 68056 Mulhouse cedex T l 03 89 46 43 11 Fax 03 89 66 31 76 D cision du 25 juin 2004 parution au J O n 158 du 9 juillet 2004 CETE APAVE SUD Avenue Gay Lussac Zl 33370 Artigues pr s Bordeaux T l 05 56 77 27 27 Fax 05 56 77 31 76 l Contr le externe partiel changement
11. vant cette non conformit persiste l organisme de contr le la signale l AFSSAPS En cas de n cessit d une remise en conformit consta t e par l exploitant dans le cadre du contr le de qualit interne et notifi e l organisme de contr le si l intervention sur le dispositif a d j eu lieu lor ganisme de contr le v rifie le retour la conformit e dans le cas o la non conformit persiste malgr l intervention ou si l intervention n a pas encore eu lieu l organisme v rifie le mois suivant la lev e de cette non conformit Si la non conformit per siste l organisme de contr le le signale sans d lai l AFSSAPS et le rapport de contr le communiqu l exploitant mentionne la n cessit de cesser l exploi tation du dispositif Si lors de l valuation du dispositif gr ce aux r gles de Shewart et de Cusum l organisme de contr le externe met en vidence une non conformit les dispositions qui s appliquent sont les m mes que dans le cas du contr le de qualit interne voir plus bas Enfin dans le cas o l organisme de contr le de qualit externe a constat une non conformit n cessitant une remise en conformit l organisme v rifie le mois suivant la lev e de cette non conformit Si la non conformit persiste l organisme de contr le externe le signale sans d lai l AFSSAPS et le rapport de contr le communi qu l exploitant mentionne la n cessit
12. 2006 CONTROLES DE RADIOPROTECTION gt Arr t du 17 mars 2005 parution au J O n 76 e SOCOTEC Antilles Guyane centre commercial La du 1 avril 2005 et arr t du 18 juillet 2005 paru Rocade Grand Camp 97142 Les Abymes au J 0 n 192 du 19 ao t 2005 s APAVE alsacienne 2 rue Thiers BP 1347 68056 Mulhouse Cedex gt Sont agr s pour les quipements de radiodiagnostic e CETE APAVE Nord Ouest 51 avenue de jusqu au 31 d cembre 2005 l Architecte Cordonnier 59000 Lille e APAVE parisienne 13 17 rue Salneuve 75854 AMTECH M dical 5 rue Pierre Midrin 92310 Paris Cedex 17 SEVRES e APAVE Sudeurope ZI avenue Gay Lussac BP 3 e MEDI QUAL 2 bis square Les Bruy res 33520 33370 Artigues pr s Bordeaux Bruges IS Services ZI Paris Nord Il BP 50362 95942 s SOFRA site du Sactar 84500 Boll ne Roissy CDG Cedex s Gamma Assistance ch teau de la Caillerie BP 45 gt Sont agr s pour l ensemble du milieu m dical jus 37420 Avoine qu au 31 d cembre 2005 Meri 788 avenue Jean Jaur s 59790 Ronchain e MSIS ZAC de Courcelle 1 route de la Noue 91196 Bemard Lefeuvre 4 rue des Tourelles 14280 Saint Gif sur Yvette Cedex Germain la Blanche Herbe e SGS Qualitest Industrie domaine de Corbeville e Bureau Veritas zone France 17 bis place des Ouest 91400 Orsay Reflets La D fense 2 92077 Paris La D fense e Norisko Equipements direction technique Les Cedex Courri res 87
13. Mois N 12 Contr le externe de l appareil metteur de RI Contr le externe d ambiance e Contr les intemes des instruments de mesure N Ann e Acquisition d un instrument de mesure Contr le r ception avant la premi re utilisation clinique Ann e A 1 i Contr le p riodique de l instrument de mesure Contr le p riodique de l talonnage si l instrument est un dosim tre op rationnel Ann e A 2 l Contr le p riodique de l instrument de mesure Contr le p riodique de l talonnage si l instrument est un dosim tre op rationnel Contr le p riodique de l instrument de mesure Ann e A 3 Contr le p riodique de l talonnage de l instrument s il ne poss de pas de contr le permanent de bon fonctionnement Contr le p riodique de l talonnage si l instrument est un dosim tre op rationnel Ann e A 4 l Contr le p riodique de l instrument de mesure Contr le p riodique de l talonnage si l instrument est un dosim tre op rationnel i Contr le p riodique de l instrument de mesure Ann e A 5 Contr le p riodique de l talonnage de l instrument s il est quip d un contr le permanent de bon fonctionnement Contr le p riodique de l talonnage si l instrument est un dosim tre op rationnel Le Pi Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLES ELECTRIQUES Contr les lectriques R capitulatif DIS
14. avec cette personne ou cet organisme Les modalit s d intervention de la PSRPM sont pr cis es dans le plan ou la convention PLAN DE RADIOPHYSIQUE MEDICALE A d faut de chef d tablissement ce plan est arr t par le titulaire de l autori sation d livr e par le ministre charg de la sant ou la personne qui a d clar uti liser des appareils lectriques mettant des rayonnements ionisants au pr fet du d partement radiologue responsable du cabinet Le plan de radiophysique m dicale per met notamment de d finir les t ches que le radiologue pourra d l guer au radio physicien II d termine l organisation et les moyens n cessaires en personnel en tenant compte notamment des pratiques m dicales r alis es dans l tablisse ment du nombre de patients accueillis ou susceptibles de l tre des contraintes notamment en temps de tra vail d coulant de techniques particu li res ou complexes des comp tences existantes en mati re de dosim trie et des moyens mis en uvre pour la main tenance et le contr le de qualit interne et externe des dispositifs Notons que le plan de radiophysique m dicale ne fait pas seulement appel au radiophysicien mais aussi des mani pulateurs et des techniciens En effet si l on consid re le cas du contr le de qualit le protocole de contr le ainsi que les r sultats doivent tre vis s par le radiophysicien mais le contr le pro prement dit peu
15. cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES OSTEODENSITOMETRES J Contr le de qualit des installations d ost odensitom trie Acquisition d un dispositif d ost odensitom trie Mois N Avant la premi re utilisation clinique contr le externe de l exactitude des mesures de DMO et de la dose de rayonnements ionisants d livr e L exploitant r alise 30 mesures des jours diff rents de la DMO du CMO et de la surface et les communique l organisme de contr le externe Mois N 1 L organisme de contr le externe donne acc s l exploitant son logi ciel personnalis D but du contr le Contr le de qualit interne chaque jour d utilisation du dispositif et au de qualit interne minimum 3 fois par semaine Mois N 2 Contr le externe de la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface Mois N 3 Contr le externe de la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface Mois N 12 Contr le externe de la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface contr le externe de la dose de rayonnements ioni sants d livr e o P BJ Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES Contr le de qualit des installations de mammographie analogique R capitulatif DISPOSITIONS GENERALES Les radiologues exploitants mettent en uvre le
16. contr le de qualit des installations de mammo graphie analogique selon les modalit s de la d cision du 7 octobre 2005 partir du 1 mars 2006 Le radiologue doit tenir jour un inventaire comportant les informations relatives l installation de mammographie analogique qu il poss de et doit consigner dans un registre les informations relatives la maintenance et au contr le de qualit interne et externe de cette installation CONTR LE DE QUALITE INTERNE Le contr le de qualit interne est r alis par l exploitant ou par un prestataire sous la responsabilit de l exploitant A Mat riels n cessaires la r alisation des contr les internes e fant me sein quivalent tissu densitom tre avec une pr cision de 0 02 utilis conform ment aux prescriptions du fabricant et dont la r ponse est v rifi e avant chaque contr le avec un film talon sensitom tre utilis conform ment aux prescriptions du fabricant B Contr les TYPE DE CONTR LE PERIODICITE Inactinisme de la chambre noire apr s changement de l ampoule d clairage inactinique ou apr s toute modification ou travaux dans la chambre noire Syst me de d veloppement sensitom tre chaque jour o l installation est utilis e fonctionnalit hebdomadaire Identification des r cepteurs en cas de changement de cassettes et d crans Etat fonctionnel du mammographe tat g n ral mensuelle
17. corri ger ces coefficients de r f rence suite une d rive des mesures ou une panne constitue une op ration de r talonnage Valeurs de r f rence de la DMO du CMO et de la surface On entend par valeurs de r f rence de la DMO du CMO et de la surface les valeurs moyennes de 30 mesures r alis es par l exploitant chacune des jours diff rents En cas de r talonnage un nouveau contr le de l exactitude de la DMO doit tre effectu et les valeurs de r f rence de la DMO du CMO et de la CISION DU 20 AVRIL 2005 FIXANT LES MODALIT S DU CONTR LE DE QUA LIT DES DISPOSITIFS D OST ODENSITOM TRIE UTILISANT LES RAYONNE surface doivent tre recalcul es Notons que la valeur de r f rence de la DMO est appel e po R gles de Shewhart Ce sont des r gles statistiques de contr le qui s appli quent aux r sultats des mesures de la DMO du CMO ou de la surface Elles permettent de v rifier la stabilit des mesures dans le temps Ces r gles sont viol es si R gle 1 une mesure de la DMO du CMO ou de la surface s carte de 1 5 de la valeur de r f rence Q R gle 2 2 mesures cons cutives s cartent de plus de 1 de la valeur de r f rence du m me c t R gle 3 2 mesures cons cutives s cartent l une de l autre de plus de 2 de la valeur de r f rence R gle 4 4 mesures cons cutives s cartent de plus de 0 5 de la valeur de r f rence du m me c t
18. d une mani re continue avec indication du nombre total de pages Un sommaire comportant un renvoi aux num ros de ces pages doit tre joint La signification de chaque abr viation utilis e doit tre indiqu e et unifi e dans le rapport 2 Contenu des rapports de v rification initiale et de mise en demeure gt sommaire gt renseignements g n raux concernant l tablisse ment et la v rification op r e D signation de l tablissement nature de la v rifica tion dates et dur es d intervention date d envoi du rapport noms du ou des v rificateurs nom de la per sonne ayant accompagn le v rificateur etc gt liste r capitulative des observations relatives aux non conformit s constat es Observations relatives aux non conformit s relev es lors des v rifications pr c dentes observation et localisation de nouvelles non conformit s pr conisa tion claire des modifications effectuer pour y rem dier les r f rences des articles du d cret n 88 1056 ou de l arr t du 10 octobre 2000 concern s par les non conformit s etc caract ristiques principales des installations v ri fi es gt examen de toutes les dispositions r glementaires avec la mention conforme sans objet ou non conforme r sultats des mesurages et essais 3 Contenu des rapports de v rification p riodique sommaire gt renseignements g n raux concernant l tablisse m
19. e la marque et le mod le des films Par ailleurs le radiologue doit consigner dans un registre les informations relatives la maintenance et au contr le de qualit interne et externe de chaque appareil c est dire les informations relatives aux mat riels utilis s pour le contr le interne marque mod le num ro de s rie du fant me du sensitom tre et du densi tom tre les conditions cliniques habituelles d exposition utilis es pour un sein de taille et de densit moyennes pour chaque format de potter et chaque foyer du tube rayons X la date de r alisation et les r sultats des contr les r alis s dans le cadre du contr le de qualit inter ne et les clich s correspondants la date de remise en conformit en cas de non conformit constat e les rapports du contr le de qualit externe tablis par l organisme externe apr s chaque contr le Le registre ainsi tabli est maintenu la disposition des personnes charg es du contr le de qualit CISION DU 7 OCTOBRE 2005 FIXANT LES MODALIT S DU CONTR LE DE QUA LIT DES INSTALLATIONS DE MAMMOGRAPHIE ANALOGIQUE Les non conformit s mises en vidence par les contr les sont de 2 types L les non conformit s dites graves elles n cessi tent l arr t de l exploitation sans d lai de l quipe ment en cause jusqu remise en conformit ainsi que leur signalement sans d lai l AFSSAPS Dans le cas du contr le e
20. en temps r el de l exposition externe l aide d un dosi m tre individuel op rationnel compatible avec les conditions de travail envisag es Elle est mise en uvre des fins d optimisation E Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 SUIVI DOSIMETRIQUE DES TRAVAILLEURS Pour le choix des dosim tres les caract ristiques prendre en compte sont notamment la performance de mesure en particulier la r ponse aux basses nergies les performances aux variations dues l environ nement les ventuelles interf rences et leur influence sur les r sultats dosim triques 1 la taille le poids et la r sistance m canique du dosim tre Le dosim tre op rationnel doit tre muni de dispositifs d alarme visuels et ou sonores permettant d alerter le travailleur sur le d bit de dose et sur la dose cumul e re ue depuis le d but de l op ration Il affiche normale ment en continu les doses re ues par le travailleur ou d faut chaque sortie de la zone de travail La p riode durant laquelle le dosim tre op rationnel doit tre port est le temps durant lequel le travailleur est susceptible d tre expos aux rayonnements ioni sants et obligatoirement lorsqu il se trouve dans une zone contr l e La plus petite dose non nulle enregis trable ne peut tre sup rieure 0 01 mSv et le pas d en registrement cart entre deux valeurs de mesure
21. es des travaux exposant aux rayonnements ionisants ne peuvent rece voir au cours de 12 mois cons cutifs une dose efficace sup rieure 6 mSv ou des doses quivalentes sup rieures aux valeurs suivantes i 150 mSv pour les mains les avant bras les pieds et les chevilles i 150 mSv pour la peau cette limite s applique la dose moyenne sur toute surface de 1 cm2 quelle que soit la sur face expos e i 50 mSv pour le cristallin Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 LIMITES DE DOSES POUR LES TRAVAILLEURS REMARQUE Les limites de doses g n rales pour les tra vailleurs et les limites concernant les femmes enceintes et les mineurs en forma tion ne s appliquent pas aux expositions r sultant d examens dont ils pourraient b n ficier MESURES EN CAS DE DEPASSEMENT DES NIVEAUX HABITUELS D EXPOSITION OU DE DEPASSEMENT DES DOSES LIMITES En cas de r sultat individuel de dosi m trie jug anormal et en cas de d passement de limite de dose une enqu te est diligent e par la PCR et le m decin du travail Le m decin du travail informe l IRSN du d clenche ment et des conclusions de l enqu te Le chef d tablissement informe le Comit d Hygi ne de S curit et des Conditions du Travail CHSCT ou d faut les d l gu s du personnel ainsi que l inspecteur du travail de ce d passement en pr cisant les causes pr sum es les cir
22. et pas de d faut notable sur les films Dans le cas contraire remise en conformit d s que possible D Identification des r cepteurs 1 P riodicit En cas de changement de cassettes et d crans 2 Modalit s du contr le Relever pour chaque cassette le num ro et la date de mise en service Relever pour chaque cran la date de mise en service et s assurer qu il est num rot de fa on identique la cassette de mani re identifier de quelle cassette pro vient le film 3 Crit res d acceptabilit Ni cassettes ni crans non identifi s Dans le cas contraire remise en conformit d s que possible E Etat fonctionnel du mammographe Etat g n ral 1 P riodicit Mensuelle 2 Modalit s du contr le V rifier les commandes de mouvements et les sys t mes de blocage mouvement haut bas rotation droite gauche le cas ch ant rotations interm diaires V rifier le fonctionnement de la p dale de compression et des plaques de compression ainsi que l tat de ces derni res V rifier l indicateur de pr sence des filtres dans le fais ceau primaire Tester les boutons de commande et v rifier les t moins de s curit Faire une exposition en s arr tant avant la fin de lex position afin de v rifier que le syst me de s curit fonctionne 3 Crit res d acceptabilit Tous ces tests doivent tre conformes sinon remise en conformit d s que possible M
23. fichiers des donn es d acquisition brutes sont enregis tr s sur la base de donn es du dispositif et sauvegard s sur un support ad hoc au moins une fois par semaine lls sont tenus la disposition de l organisme de contr le de qualit jusqu un ventuel r talonnage du dispositif Crit res d acceptabilit et traitement des non conformit s a R gles de Shewhart Les r gles de Shewhart s appliquent aux r sultats des mesures de la DMO du CMO et de la surface En cas de vio lation des r gles 2 ou 3 ou 4 ou 5 pour la DMO l exploitant r alise de nouveau imm diatement 5 mesures de la DMO du CMO et de la surface et contr le l cart affich par le logiciel entre la moyenne des valeurs obtenues pour la DMO et la valeur de r f rence Si l cart reste lt 1 les 5 valeurs de chaque param tre sont enregistr es dans le logiciel et la moyenne des valeurs obtenues pour chacun des param tres remplace les valeurs mesur es initialement Ces valeurs ini tiales sont enregistr es par le logiciel et peuvent tre visuali s es Dans le cas contraire la violation reste effective et est prise en compte pour la suite de l exploitation des r sultats En cas de violation de la r gle 1 pour la DMO l exploi tant r alise de nouveau imm diatement la mesure de la DMO du CMO et de la surface Si la violation persis te elle est prise en compte pour la suite de l exploitation des r sultats Un score de Shewha
24. tablissement a fait r aliser les travaux de mise en conformit de nature r pondre aux observations contenues dans le rapport de v rification Le chef d tablissement informe l inspecteur du travail par lettre recommand e avec accus de r ception accompagn e des l ments prouvant qu il n y a pas de non conformit ou que les non conformit s ont t lev es Cet envoi doit comprendre le cas ch ant l avis des membres du CHSCT ou des d l gu s du personnel El Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLES ELECTRIQUES Contr les lectriques cRET 88 1056 pu 14 NOVEMBRE 1988 D CRET PRIS POUR L EX CUTION DES DIS POSITIONS DU LIVRE l DU CODE DU TRAVAIL TITRE III HYGI NE S CURIT ET CONDITIONS DU TRAVAIL EN CE QUI CONCERNE LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS DANS LES TABLISSEMENTS QUI METTENT EN OEUVRE DES COURANTS LECTRIQUES ARR T DU 10 ocToBRE 2000 FIXANT LA P RIODICIT L OBJET ET L TENDUE DES V RIFI CATIONS DES INSTALLATIONS LECTRIQUES AU TITRE DE LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS AINSI QUE LE CONTENU DES RAPPORTS RELATIFS AUXDITES V RIFICATIONS DISPOSITIONS GENERALES Les installations et mat riels lectriques doivent tre utilis s dans des conditions de service ne s cartant pas de celles pour lesquelles ils sont pr VUS donner lieu en temps utile aux op rations d entre tien et de remise en conformit qui s a
25. temps d exposition le dosim tre doit tre rang sur un tableau plac l abri de toute source de rayon nement de chaleur et d humidit Dans un tablisse ment chaque tableau doit comporter en permanence un dosim tre t moin identifi comme tel non destin aux travailleurs et qui fait l objet de la m me proc dure d exploitation que les autres dosim tres La p riodicit de port des dosim tres ne doit pas tre sup rieure un mois pour les travailleurs de cat gorie A et trois mois pour les travailleurs de cat gorie B La plus petite dose non nulle enregistrable ne peut tre sup rieure 0 10 mSv et le pas d enregistrement cart entre deux valeurs de mesure cons cutives ne peut tre sup rieur 0 05 mSv Jusqu au 31 d cembre 2007 la plus petite dose non nulle enregistrable par le dosim tre passif ne peut tre sup rieure 0 20 mSv La restitution du r sultat de mesure pr cise l identifica tion du travailleur la nature de la surveillance corps entier tissu organe la p riode d int gration de la dose et l quivalent de dose individuel Tous les param tres de lecture et de calcul de dose doivent tre conserv s au moins 12 mois par l organisme en charge de la dosi m trie passive Remarque un suivi particulier des extr mit s doit tre mis en place pour les personnels de radiologie inter ventionnelle DOSIM TRIE OP RATIONNELLE La dosim trie op rationnelle consiste en une mesure
26. vant qu ils mesurent respectivement des rayonnements fortement ou faiblement p n trants Les appareils utilis s pour la dosim trie op rationnelle sont talonn s en quivalent de dose individuel Hp d une profondeur de 10 mm dans les tissus pour les rayonnements fortement p n trants Hp 10 une profondeur de 0 07 mm dans les tissus pour les rayonnements faiblement p n trants Hp 0 07 Les unit s de mesure utiliser sont le Sievert Sv ou ses sous multiples pour la mesure de l quivalent de dose et le Sievert par heure Sv h ou ses sous multiples s il s agit d une mesure en d bit d quivalent de dose Plusieurs caract ristiques sont prendre en compte pour le choix de ces instruments de mesure e la r ponse en nergie la gamme de mesure en valeur int gr e et le cas ch ant en d bit e la r ponse angulaire les performances aux variations dues l environne ment les ventuelles interf rences avec des agents phy siques des champs lectromagn tiques etc et leur influence sur les r sultats de mesure B Contr le interne a P riodicit Un contr le de l talonnage devra galement tre r ali s la suite des op rations de maintenance correctives importantes b Modalit s E Contr le de bon fonctionnement L utilisateur d un appareil de mesure doit contr ler son bon fonctionnement c est dire v rifier son alimenta tion l
27. 1 96 R 231 97 R 231 103 ET R 231 104 DU CODE DU TRAVAIL ARR T DU 30 D CEMBRE 2004 RELATIF LA CARTE INDIVIDUELLE DE SUIVI M DI CAL ET AUX INFORMATIONS INDIVIDUELLES DE DOSIM TRIE DES TRAVAILLEURS EXPO S S AUX RAYONNEMENTS IONISANTS LIMITES DE DOSES G N RALES La somme des doses efficaces re ues par exposition externe et interne ne doit pas d passer 20 mSv sur 12 mois cons cutifs Les limites de doses quivalentes sur 12 mois cons cutifs pour les diff rentes parties du corps expos es sont les sui vantes Li 500 mSv pour les mains les avant bras les pieds et les chevilles Li 500 mSv pour la peau cette limite s applique la dose moyenne sur toute surface de 1 cm quelle que soit la sur face expos e Li 150 mSv pour le cristallin FEMMES ENCEINTES En cas de grossesse les dispositions sont prises pour que l exposition dans son emploi de la femme enceinte soit telle que l exposition de l enfant na tre pendant le temps qui s coule entre la d claration de la grossesse et le moment de l accouche ment soit aussi faible que raisonnablement possible en tout tat de cause en dessous de 1 mSv limite applicable au public Les femmes allaitant ne peuvent pas tre affect es ou maintenues des postes de travail comportant un risque d exposition interne MINEURS EN FORMATION Les personnes de 16 18 ans autoris es dans le cadre de leur formation tre occup
28. 107 DU CODE DU TRAVAIL ARR T DU 30 D CEMBRE 2004 RELATIF LA CARTE INDIVIDUELLE DE SUIVI M DICAL ET AUX INFORMATIONS INDIVIDUELLES DE DOSIM TRIE DES TRAVAILLEURS EXPOS S AUX RAYONNEMENTS IONISANTS EXAMEN M DICAL ET FICHE D APTITUDE Nul ne peut tre affect un poste expos des rayonnements ionisants s il n a au pr a lable b n fici d un examen m dical permet tant au m decin du travail de se prononcer sur son aptitude au poste propos par l em ployeur La fiche d aptitude tablie par le m decin du travail indique la date de l tude du poste de travail et la date de la derni re mise jour de la fiche d entreprise Le tra vailleur ou l employeur peut contester les mentions de la fiche d aptitude dans les quin ze jours qui suivent sa d livrance La contes tation est port e devant l inspecteur du travail comp tent Ce dernier statue apr s avis conforme du m decin inspecteur r gional du travail et de la main d oeuvre qui peut faire pratiquer des examens compl mentaires par des sp cialistes de son choix On rappelle que tous les examens relatifs au suivi m dical sont aux frais de l employeur FICHE D EXPOSITION L employeur tablit pour chaque salari une fiche d exposition pour d finir son poste de tra vail Elle comprend les informations suivantes L la nature du travail effectu T les caract ristiques des sources mettrices auxquelles le salari est expos la n
29. 170 Isle s LANSE SPR CEA Cadarache BP 1 13108 Saint SOCOTEC industries zone industrielle rue Marcel Paul lez Durance Cedex Dassault BP 259 59472 Seclin s SPRA BP 129 00481 Arm es e Techniconseil 4 rue Auguste Chabri res 75015 e ALGADE 1 avenue du Brugeaud BP 46 87250 Paris IN Bessines sur Gartempe CONTR LE DE QUALIT EN IMAGERIE MEDICALE Agr ments AFSSAPS et DGSNR Pour votre tranquilit et votre s curit choisissez gt Une entreprise d di e l imagerie M dicale gt Des interlocuteurs disponibles et compr hensifs gt Des intervenants exp riment s et comp tents gt Des mesures pr cises et compl tes gt Des rapports clairs et transmis rapidement Prise en charge imm diate au 05 56 57 75 35 Appel centralis CONTROLES DE RADIOPROTECTION Contr les de radioprotection T Contr les techniques des appareils metteurs de rayonnements ionisants Contr les techniques d ambiance Mois N Acquisition d un appareil metteur de rayonnements ionisants RI Contr le interne r ception avant la premi re utilisation clinique de l appareil metteur de RI Contr le interne d ambiance 1 fois par mois Mois N 6 Contr le interne de l appareil metteur de RI s il est soumis autorisation Contr le interne d ambiance 1 fois par mois Contr le inteme de l appareil metteur de RI qu il soit soumis d claration ou autorisation
30. 3 69 MISSIONS DE LA PSRPM encore appel e radiophysi cien EN RADIOLOGIE Les missions de la PSRPM sont d finir en fonction des besoins du cabinet Le radiologue peut faire appel elle en mati re d optimisation en particulier de la dosim trie pour la radioprotection des personnes expos es des fins m dicales Le radiophysicien s assure que les donn es et pro c d s de calcul utilis s pour d ter miner et d livrer les doses aux patients sont appropri s s assure que tout est mis en uvre lors du choix des quipe ments de la r alisation des actes de l valuation des doses d li vr es pour maintenir la dose de rayonnements au niveau le plus faible raisonnablement possible e proc de l estimation de la dose re ue par le patient au cours des proc dures diagnostiques r ali s es selon les protocoles tablis pour chaque type d acte de radio logie effectu de fa on courante par les m decins et chirurgiens dentistes s assure de l optimisation des actes pratiqu s sur des femmes enceintes pour l assurance qualit y compris le contr le de qualit gt Le radiophysicien s assure que les quipements sont correctement utilis s contribue la mise en uvre de l assurance qualit y compris le contr le de qualit des dispositifs m dicaux contribue au d veloppement au choix et l utilisation des tech niques et qui
31. OBLIGATIONS REGLENENTAIRES DES STRUCTURES RADIOLOGIQUES 2 CONTROLES DE RADIOPROTECTION 6 Annonceur MEDI QUAL 8 CONTROLES ELECTRIQUES 15 CONTROLE DE QUALITE DES DISPOSITIFS D OSTEODENSITOMETRIE UTILISANT LES RAYONNEMENTS IONISANTS 21 CONTROLE DE QUALITE DES INSTALLATIONS DE MAMMOGRAPHIE ANALOGIQUE 30 SURVEILLANCE MEDICALE DES TRAVAILLEURS 32 LIMITES DE DOSES POUR LES TRAVAILLEURS 34 Suivi DOSIMETRIQUE DES TRAVAILLEURS 36 PERSONNE SPECIALISEE EN RADIOPHYSIQUE MEDICALE PSRPM 38 FORMATION DU PERSONNEL A LA RADIOPROTECTION 39 FORMATION DE LA PERSONNE COMPETENTE EN RADIOPROTECTION CONTROLES DE RADIOPROTECTION Contr les de radioprotection R capitulatif DISPOSITIONS G N RALES Les contr les de radioprotection comprennent les contr les techniques des appareils metteurs de rayonnements ionisants e les contr les techniques d ambiance les contr les des instruments de mesure e les contr les des dispositifs de protection et d alarme En plus des contr les p riodiques d finis dans les paragraphes suivants des contr les techniques de radioprotection des appareils metteurs de rayonnements ionisants des contr les des instru ments de mesure et des dispositifs de protection et d alarme doivent tre r alis s en interne la r ception avant la premi re utilisation clinique et lorsque les conditions d utilisation sont modifi es Le chef d tablissement consigne par crit le programme d
32. POSITIONS GENERALES Les installations et mat riels lectriques doivent tre utilis s dans des conditions de service ne s cartant pas de celles pour lesquelles ils sont pr vus donner lieu en temps utile aux op rations d entretien et de remise en conformit qui s av rent n cessaires faire l objet de mesures de surveillance e tre soumis des v rifications SURVEILLANCE DES INSTALLATIONS Une surveillance des installations lectriques doit tre assur e et son organisation doit tre port e la connaissance de l ensemble du personnel Cette surveillance doit tre op r e aussi souvent que de besoin et provoquer dans les meilleurs d lais la suppression des d fectuosit s et anomalies dont les installations peuvent tre affect es VERIFICATION INITIALE Les installations doivent tre v rifi es lors de leur mise en service ou apr s avoir subi une modification de structure Ces v rifications font l objet de rapports d taill s dont la conclusion pr cise nettement les points o les installations s cartent des r gles en vigueur VERIFICATION PERIODIQUE La p riodicit des v rifications est fix e un an le point de d part de cette p riodicit tant la date de la v rification initiale Toutefois le d lai entre deux v rifications peut tre port deux ans par le chef d tablissement si le rapport pr c dent ne pr sente aucune observation ou si avant l ch ance le chef d
33. S Organismes agr s jusqu au 31 d cembre 2006 gt Arr t du 23 d cembre 2003 parution au J O n 302 du 31 d cembre 2003 Cabinet Nonnenmacher groupe Cadet 1 rue du Stade 67490 Lupstein OCST Office Central pour le S curit du Travail 2 square Monteny 93220 Gagny gt Arr t du 22 d cembre 2004 parution au J O n 304 du 31 d cembre 2004 Antilles Contr les boulevard de la Marne 49 immeuble Panorama 97200 Fort de France APAVE Alsacienne 2 rue Thiers BP 1347 68056 Mulhouse Cedex AR Control centre Synergie 22 16 rue de la Morgan 22360 Langueux B2C bureau de contr les techniques M Martin 38690 Longechenal Bureau Alpes Contr les 3 impasse des Prairies PAE les Glaisins 74940 Annecy le Vieux Cabinet Coprel 16 ruelle Acoly 97400 Saint Denis R union Cabinet Lagarde Doix 51 rue Lucette et Ren Desgrand 69100 Villeurbanne CETE APAVE nord ouest 51 avenue de l architec te cordonnier 59000 Lille CETE APAVE sudeurope 8 rue Jean Jacques Vernezza Zac Saumaty S on 13322 Marseille Cedex 16 Cloarec SARL 11 rue Navarin 29200 Brest CORESTE immeuble Le Diamant 29 rue des Rosi res 91240 Saint Michel sur Orge Cornet Pr vention 6 rue des chalets 25000 Besan on CTE 126 rue Sainte C cile 13005 Marseille CTP groupe Cadet 40 avenue Jean Monnet 68200 Mulhouse Ideation Techniques 202 204 rue Saint Leu
34. TANT SUR LA RADIOPROTECTION DES PATIENTS EXPOS S AUX RAYONNEMENTS IONISANTS FORMATION SUR LES PROC DURES G N RALES DE RADIOPROTECTION Les travailleurs susceptibles d intervenir en zone surveill e ou en zone contr l e b n ficient d une formation la radioprotection organis e par le chef d tablissement Cette formation porte sur les risques li s l ex position aux rayonnements ionisants les proc dures g n rales de radioprotection mises en oeuvre dans l tablissement ainsi que sur les r gles de pr vention et de protection Elle est adapt e aux proc dures particuli res de radio protection touchant au poste de travail occup ainsi qu aux r gles de conduite tenir en cas de situation anormale Pour les femmes enceintes les femmes allaitant et les personnes g es de 16 18 ans en for mation la formation tient compte des r gles de pr vention particuli res qui leur sont applicables En outre les travailleurs sont inform s des effets potentiellement n fastes de l exposition aux rayonnements sur l embryon en particulier lors du d but de la grossesse et sur le foetus Cette information doit sensibiliser les femmes quant la n cessit de d clarer le plus pr cocement possible leur tat de grossesse Elle a galement pour but de les informer qu elles peuvent tempo rairement tre affect es un autre poste leur initiative ou celle de l employeur si leur tat de sant l exige N
35. a valeur du Cusum la valeur mobile de r f rence de la DMO et l amplitude de la d rive H Ho rapport e la valeur initiale po en pourcentage Mise en place du contr le Avant toute chose l exploitant r alise 30 mesures de la DMO du CMO et de la surface chacune des jours dif f rents qu il communique l organisme de contr le externe Celui ci calcule sur la base de ces mesures les valeurs de r f rence de la DMO du CMO et de la surfa ce du dispositif et param tre le logiciel de contr le de qualit personnalis dont il donne acc s l exploitant L organisme de contr le externe s assure au pr alable que les valeurs communiqu es par l exploitant ne s car tent pas de 1 5 des valeurs associ es l objet test En cas de non conformit l organisme pr vient l exploi tant qui doit transmettre 30 nouvelles mesures apr s remise en tat de l appareil Si la non conformit persis te l organisme de contr le le signale l AFSSAPS Si les valeurs communiqu es par l exploitant sont satis faisantes l organisme de contr le dispose de 5 jours ouvr s apr s la r ception de la demande pour donner acc s l exploitant au logiciel personnalis param tr et lui en fournir un mode d emploi Mise en uvre du contr le Avant de d marrer son activit l exploitant mesure la DMO le CMO et la surface l aide de l objet test enre gistre les r sultats dans son logiciel et les exploite Les
36. aintien des cassettes dans le potter Ce contr le doit tre effectu pour les 2 formats de pot ter 1 P riodicit Mensuelle 2 Modalit s du contr le Ins rer une cassette l int rieur du potter et appuyer l g rement de chaque c t pour s assurer de son bon 25 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES maintien Faire une rotation 90 du bras du mammo graphe Sortir la cassette et la r ins rer pour v rifier que dans cette position la manipulation est possible Revenir 0 en laissant la cassette ins r e en s arr tant plusieurs positions interm diaires Faire une rotation 90 et refaire la manipulation pr c dente 3 Crit res d acceptabilit Pas de d sinsertion de la cassette Dans le cas contraire remise en conformit d s que possible F Qualit de l image Ce contr le doit tre effectu pour les 2 formats de potter avec les plaques de compression adapt es ainsi que les diaphragmes correspondants s il y a lieu 1 P riodicit Hebdomadaire et lorsque les crit res d acceptabilit de la sensitom trie lors du contr le du syst me de d ve loppement ne sont pas respect s 2 Mat riels requis Fant me et densitom tre 3 Modalit s du contr le Mettre le fant me en place et faire un clich dans les conditions habituelles d exposition Mesurer la vale
37. ature des rayonnements ionisants J les p riodes d exposition Li les autres risques ou nuisances d origine physique chimique biologique ou organisa tionnelle du poste de travail En cas de conditions d exercice inhabituelles l employeur doit porter sur la fiche la dur e et la nature de l exposition Une copie de la fiche d exposition est remise au m decin du travail et chaque travailleur concern est inform de son existence Il a par ailleurs acc s aux informations y figurant le concernant DOSSIER M DICAL INDIVIDUEL Le m decin du travail constitue et tient pour cha cun des travailleurs expos s un dossier individuel contenant 1 le double de la fiche d exposition les dates et les r sultats du suivi dosim trique de l exposition individuelle aux rayonnements ionisants les doses efficaces re ues ainsi que les dates des expositions anormales et les doses re ues au cours de ces expositions Li les dates et les r sultats des examens m dicaux compl mentaires pratiqu s Ce dossier doit tre conserv pendant au moins 50 ans apr s la fin de la p riode d exposition Si l tablissement vient dispara tre ou si le tra Vailleur change d tablissement l ensemble du dossier est transmis au m decin inspecteur r gio nal du travail et de la main d uvre A charge pour celui ci de l adresser la demande du travailleur au m decin du travail d sormais comp tent ET Obligatio
38. bre de contr les cons cutifs o le S i s est av r sup rieur 0 J si la valeur mesur e de la DMO est inf rieure la valeur mobile de r f rence la nouvelle valeur mobile de r f rence y est gale u p 0 005 p 0 5 S i N i o p est la derni re valeur mobile de r f rence et N i le nombre de contr les cons cutifs o S i s est av r sup rieur 0 L amplitude de la d rive de la valeur mobile par rapport la valeur initiale yo est gale o En cas de chan gement de valeur mobile de r f rence le Cusum est remis 0 CONTR LE DE QUALITE EXTERNE A Contr le de l exactitude des mesures de DMO But du contr le V rifier qu un instant donn les valeurs de DMO mesur es l aide d un talon sont conformes la valeur cible Mise en uvre du contr le Ce contr le est r alis par le fabricant en pr sence de l organisme de contr le externe Le fabricant expose un fant me sur lequel figure une valeur cible de DMO le fant me et le mode op ratoire sont tous deux fournis par le fabricant l mesure la valeur de la DMO du dispositif d ost odensitom trie et l organisme de contr le externe rel ve le r sultat Crit res d acceptabilit et traitement des non conformit s Un cart entre la valeur cible et la valeur mesur e sup rieur 2 ou 3 pour les dispositifs DPX DPX ALPHA DPX DPX MD DPX L DPX A DPX IQ et Expert d
39. cons cutives ne peut tre sup rieur 0 001 mSv La restitution des r sultats pr cise l identification du tra ailleur la nature de la surveillance corps entier tissu ou organe la p riode d int gration de la dose et l qui valent de dose individuel INFORMATIONS ASSOCI ES AU SUIVI DOSIMETRIQUE A chaque suivi dosim trique individuel doivent tre associ es les informations suivantes de fa on ce que lIRSN puisse en faire le recueil et la centralisation dans la base SISERI www siseri com L l identification du travailleur nom pr nom adres se sexe date et lieu de naissance activit profes sionnelle exerc e le statut d emploi c est dire CDI CDD etc ainsi que le num ro d enregistre ment de la carte individuelle de suivi m dical l identification de l tablissement de l entreprise ext rieure ou de l entreprise de travail temporaire nom adresse activit principale I les informations relatives l exposition date de d but et de fin ou la p riode consid r e le ou les organes ou tissus expos s le lieu de l exposition les nom pr nom et adresse du m decin du tra vail dont rel ve le travailleur Li l identification de la PCR nom et pr nom R SULTATS DU SUIVI DOSIM TRIQUE Sous leur forme nominative les r sultats de la dosim trie passive sont communiqu s sur demande et au moins une fois par an au travailleur concern et au m decin du travail dont il r
40. constances et les mesures envisag es pour viter son renouvellement Le m decin du travail prend toute dispo sition qu il estime utile toute exposi tion ult rieure du travailleur concer n requiert son avis Pendant la p riode o la dose re ue demeure sup rieure aux valeurs limites le travailleur b n ficie des mesures applicables aux travailleurs relevant de la cat gorie A surveillan ce m dicale etc Pendant cette p riode il ne peut tre affect des travaux l exposant aux rayonnements ionisants sauf en cas d urgence radiologique Lorsque le d passement r sulte de condi tions de travail non pr vues la Personne Comp tente en Radioprotection PCR sous la responsabilit du chef d tablisse ment prend les mesures pour 1 faire cesser dans les plus brefs d lais les causes de d passement y compris si n cessaire par la suspen sion du travail en cause 1 proc der ou faire proc der par lIRSN dans les 48 heures apr s la constatation du d passement l tude des circonstances dans lesquelles le d passement s est produit faire proc der l valuation des doses quivalentes re ues par les travailleurs et leur r partition dans l organisme L tudier ou faire tudier par l IRSN les mesures prendre pour rem dier toute d fectuosit ou en pr venir un ventuel renouvellement Li proc der ou faire proc der par un organisme de contr le agr e un co
41. de la grille anti diffusante Contr le de qualit des installations de mammographie analogique Acquisition d un mammographe analogique Avant la premi re utilisation clinique contr le externe complet Sensitom trie contr le chaque jour o l installation est utilis e Fonctionnalit du syst me de d veloppement et qualit de l image Sensitom trie contr le chaque jour o l installation est utilis e Fonctionnalit du syst me de d veloppement et qualit de l image Mois N contr le hebdomadaire Etat fonctionnel du mammographe contr le mensuel Mois N 6 Contr le externe partiel contr le hebdomadaire Etat fonctionnel du mammographe contr le mensuel Mois N 12 Contr le de qualit interne syst matique contr les particuliers en cas de changement de cassettes ou d crans et en cas de changement de l ampoule inactinique ou de modifications dans la chambre noire Contr le de qualit externe syst matique contr les particuliers en cas de changement du tube ou de F E Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 SURVEILLANCE MEDICALE DES TRAVAILLEURS Surveillance m dicale des travailleurs D N 2003 296 pu 31 MARS 2003 RELATIF LA PROTECTION DES TRA VAILLEURS CONTRE LES DANGERS DES RAYONNEMIENTS IONISANTS ARTICLE 1 SOUS SECTION 2 ARTICLES R 231 92 R 231 93 R 231 94 R 231 98 R 231 102 ET R 231
42. des diff rents locaux copie des attestations de conformit L ensemble de ces documents doit tre disponible pour la v rification des installations neuves Les l ments 1 4 7 8 et 9 doivent tre disponibles pour la v rification des installations anciennes Si n cessaire le v rificateur propose des degr s minimaux de protection des mat riels et cela sera mentionn dans le rapport Si l l ment 4 manque ou est incomplet le v rifica teur tablit le sch ma Si l l ment 7 manque les v rifications p riodiques doivent tre effectu es comme des v rifications ini tiales Si l l ment 8 manque ou est incomplet le v rifica teur l indique dans le rapport Si l l ment 9 manque le v rificateur tablit la liste des installations de s curit qui doit tre valid e par le chef d tablissement VERIFICATION INITIALE 1 P riodicit Les installations doivent tre v rifi es lors de leur mise en service ou apr s avoir subi une modification de structure Ces v rifications font l objet de rapports d taill s dont la conclusion pr cise nettement les points o les installations s cartent des r gles en vigueur 2 Qui r alise la v rification Ces v rifications sont pratiqu es par une personne ou un organisme agr choisi par le chef d tablisse ment voir liste Toutefois elles peuvent tre effec tu es par des personnes appartenant ou non l ta blissement dont la liste nom
43. e chaque l ment test et les conclusions mention nant explicitement les signalements devant tre faits l AFSSAPS Pour les mammographes nouvellement acquis l exploitant fait r aliser un contr le de qualit externe avant la premi re utilisation clinique Dans ce cas tous les tests pr vus sont r alis s Dans le cas o une non conformit grave est mise en vidence l arr t d exploitation ne concerne que l l ment fonctionnel mis en cause Il prend effet compter de la notification de la non conformit par l organisme de contr le de qualit externe lex ploitant celle ci devant tre faite au plus tard 24 heures apr s la visite Si un des l ments de l installation est vis par une d cision de suspension ou d interdiction d utilisa tion de l AFSSAPS l organisme externe ne proc de pas au contr le de l installation et signale sans d lai l anomalie celle ci Sauf mention contraire les tests sont r alis s avec le grand foyer pour les 2 formats de potter TYPE DE CONTR LE PERIODICITE Identification de l installation semestrielle Audit du contr le interne semestrielle Conditions de stockage des films semestrielle Chambre noire ambiance semestrielle inactinisme semestrielle empoussi rement semestrielle Syst me de d veloppement sensitom trie avec le mat riel de l exploitant semestrielle fonctionnalit du syst me de d veloppement sem
44. e la soci t GEHC Lunar constitue une non conformit n cessitant l arr t de l exploitation jusqu remise en conformit du dispositif et son signalement sans d lai l AFSSAPS La remise en conformit doit tre attest e par un nou veau contr le r alis par le fabricant L exploitant en communique alors les r sultats l organisme de contr le externe l aide des fichiers des donn es d acquisition brutes correspondants Lorsque le dispositif correspond aux crit res d accepta bilit l organisme de contr le externe indique dans son rapport de contr le que l exploitant est en mesure de d marrer le contr le de qualit interne P riodicit du contr le pour les dispositifs d ost odensitom trie d j en servi ce l exploitant dispose d un an au maximum compter du 7 d cembre 2005 pour faire r aliser ce premier contr le qui doit tre planifi avant le 7 f vrier 2006 pour les dispositifs nouvellement acquis ce contr le doit tre r alis avant la premi re utilisation clinique ce contr le doit tre refait en cas de r talonnage du dispositif quoiqu il en soit ce contr le doit tre r alis pr alable ment au d marrage du contr le interne B Contr le de la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface Mise en uvre du contr le La stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface fait galement l objet d un contr le de qualit int
45. e ou fait pro c der Ces examens sont la charge de lem ployeur Au vu des r sultats du suivi dosim trique des travailleurs le m decin du travail peut prescrire au titre de la surveillance m dica le les examens qu il estime n cessaires et proposer au chef d tablissement des mesures individuelles Le m decin du travail est destinataire des r sultats de toutes les mesures ou contr les qu il juge pertinents pour appr cier l tat de sant des tra vailleurs Apr s toute exposition survenue dans des conditions particuli res expositions excep tionnelles situations d urgence radiologique ou d passement le m decin du travail ta blit un bilan dosim trique de cette exposition et un bilan de ses effets sur chaque tra vailleur expos en ayant recours si n ces saire l IRSN R LES PARTICULIERS DU MEDECIN DU TRAVAIL Le m decin du travail collabore l action de la personne comp tente en radioprotection Il apporte galement son concours au chef d tablissement pour tablir et actualiser la fiche d exposition En outre J il participe l information des travailleurs sur les risques potentiels pour la sant de l exposition aux rayonnements ionisants ainsi que sur les autres facteurs de risques susceptibles de les aggraver dil participe l laboration de la formation la radioprotection destin e aux tra vailleurs susceptibles d intervenir en zone surveill e ou en zone con
46. ectrique v rifier la validit du mouvement propre et s assurer de l ad quation de l appareil avec les caract ristiques du rayonnement rencontr au poste de travail E Contr le p riodique Ce contr le s effectue avec un dispositif lectronique adapt ou avec une source radioactive externe ou inclu se avec l instrument de mesure La mesure donn e par l appareil doit se situer dans l in tervalle des limites d erreur tol r es Les appareils commutation de gamme automatique ou manuelle doivent tre contr l s sur la ou les gammes les plus fr quemment utilis es E Contr le p riodique de l talonnage Bien qu il soit consid r comme un contr le interne le contr le p riodique de l talonnage doit tre r alis par un organisme dont le syst me qualit est conforme aux normes ISO 9001 ou 9002 version 2000 C est le cas des organismes conformes la norme ISO CEI 17025 ou encore des organismes accr dit s COFRAC Les sources utilis es pour ce contr le doivent tre des sources talons et les r sultats des mesures doivent tre consign s dans le rapport de contr le ORGANISMES EXTERNES AGR S L arr t donnant la liste des organismes agr s pour l ann e 2006 n est pas encore paru au Journal Officiel En attendant cette publication les orga nismes agr s pour l ann e 2005 peuvent encore intervenir E Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier
47. el ve au plus tard un mois apr s la p riode de port du dosim tre Au vu de ces r sultats ce dernier peut prescrire au titre de la sur veillance m dicale les examens qu il estime n ces saires et peut proposer au chef d tablissement des mesures individuelles Ces r sultats peuvent gale ment tre transmis sur demande un m decin d sign cet effet par le travailleur et en cas de d c s ou d in capacit ses ayants droit Les r sultats nominatifs de la dosim trie op rationnelle sont communiqu s au travailleur concern ainsi qu au m decin du travail et au chef d tablissement au moins une fois par mois Toutefois le chef d tablissement en pr serve la confidentialit Ils peuvent galement tre communiqu s un m decin d sign cet effet par le travailleur et en cas de d c s ou d incapacit ses ayants droit L inspecteur ou le contr leur du travail peut demander communication des doses efficaces re ues sous leur forme nominative Il a galement acc s sur demande et sans limitation de dur e aux r sultats nominatifs de la dosim trie op rationnelle En cas de d passement de l une des valeurs limites d exposition autoris es le m decin du travail et em ployeur en sont imm diatement inform s par l IRSN ou par l organisme de dosim trie agr Le m decin du travail en informe alors le travailleur concern Le chef d tablissement peut avoir connaissance des r sulta
48. els Les professionnels doivent b n ficier de la for mation portant sur la radioprotection des patients dans un d lai de cinq ans compter du 19 juin 2004 date de publication de l arr t du 18 mai 2004 E 38 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 FORMATION DE LA PCR Formation de la personne comp tente en radioprotection RR T DU 26 OCTOBRE 2005 RELATIF AUX MODALIT S DE FORMATION DE LA PERSONNE COMP TENTE EN RADIOPROTECTION PCR ET DE CERTIFICATION DU FORMATEUR Le nouvel arr t relatif aux modalit s de formation de la Personne Comp tente en Radioprotection PCR a t publi au Journal Officiel le 23 novembre dernier Trois secteurs d activit sont maintenant diff renci s de fa on sp cialiser davantage la PCR Comme le pr conisait d j l arr t du 29 d cembre 2003 maintenant abrog la formation comporte un modu le th orique et un module pratique pour lequel on distingue l option sources scell es appareils lectriques mettant des rayons X et acc l rateurs de particules qui concerne donc les radiologues et l option sources non scell es Chaque module est maintenant ind pendant mais les deux doivent tre acquis dans un intervalle d un an maximum L ensemble de la formation est supervis par un formateur certifi par un organisme lui m me accr dit MODULE TH ORIQUE Le module th orique est divis en trois uni
49. ent et la v rification op r e II s agit des m mes renseignements que dans le rap port de contr le initial avec en plus les indications des modifications de structure extensions ou nou velles affectations des locaux une mise jour com pl te sera effectu e tous les 4 ans et la r f rence ce rapport de v rification initiale observations relatives aux non conformit s constat es Les m mes indications que lors d un contr le initial doivent tre port es r sultats des mesurages et essais Outre les r sultats des mesurages faisant appara tre une non conformit avec l observation correspondan te seront indiqu es dans le rapport les valeurs des r sistances des prises de terre DOSSIER TENU A LA DISPOSITION DE L INSPECTEUR DU TRAVAIL Ce dossier comporte e un plan sch matique indiquant la situation des locaux e un plan des canalisations lectriques enterr es e un registre o sont consign s par ordre chrono logique les dates et la nature des diff rentes v ri fications ou contr les ainsi que les noms et quali t s des personnes qui les ont effectu s e les rapports des v rifications effectu es e les justifications des travaux et modifications r alis s pour porter rem de aux d fectuosit s constat es dans les rapports pr cit s A Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 ORGANISMES AGR S POUR EFFECTUER LES V RIFICATION
50. erne gr ce un logiciel personnalis Dans le cadre du contr le externe l organisme de contr le de qualit exploite les r sultats du contr le interne communiqu s par l exploitant et value la conformit du dispositif lai de des r gles de Shewhart et de Cusum r gles statis tiques qui permettent de v rifier la stabilit des mesures dans le temps En cas de doute sur l int grit des donn es fournies une copie des fichiers des donn es brutes archiv s pourra tre demand e l exploitant par l organisme de contr le externe Dans le cas o une remise en conformit tait n ces saire et que celle ci a pu tre effectu e avant l envoi des donn es l organisme de contr le l exploitant pr cise la date et la nature de l intervention et transmet une copie des rapports relatifs celle ci L organisme externe renvoie le rapport de contr le l exploitant dans un d lai maximal de 5 jours ouvr s apr s r ception des donn es Durant cette p riode l ex ploitant poursuit les op rations de contr le de qualit interne Crit res d acceptabilit et traitement des non conformit s Si l exploitant na pas tenu jour le logiciel de contr le de qualit personnalis l organisme de contr le rappel Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES OSTEODENSITOMETRES le l exploitant la n cessit de le faire Si le mois sui
51. es contr les pr vus ainsi que la d marche qui lui a permis de les tablir CONTR LES TECHNIQUES DES APPAREILS EMETTEURS DE RAYONNE MENTS IONISANTS ET DES DISPOSITIFS DE PROTECTION ET D ALARME A Contr le externe P riodicit annuelle B Contr le interne P riodicit annuelle pour les dispositifs soumis d claration et semestrielle pour les dispositifs soumis autorisation CONTR LES TECHNIQUES D AMBIANCE A Contr le externe P riodicit annuelle B Contr le interne P riodicit mesure en continu ou au moins mensuelle CONTR LES INTERNES DES INSTRUMENTS DE MESURE A G n ralit s Les instruments concern s par ces contr les sont les instruments de mesure d ambiance portables ou utilis s poste fixe ex Babyline et les instruments de dosim trie op ration nelle Ils sont soumis un contr le interne mais ne font l objet d aucun contr le externe B Contr le interne P riodicit annuelle Contr le p riodique avant utilisation si l instrument n a pas t utilis depuis plus d un mois Contr le instrument quip d un contr le p riodique permanant de bon fonctionnement de l talonnage quinquennale instrument sans contr le permanent i triennale de bon fonctionnement dosim tres op rationnels annuelle Un contr le de l talonnage devra galement tre r alis la suite des op rations de maintenance correcti
52. es de 5 contr les cons cutifs Lors des contr les quotidiens mesurer les 3 DO des plages de r f rence l aide du densitom tre 4 Crit res d acceptabilit la variation de DO1 mesur e ne doit pas d passer 0 02 par rapport aux conditions de r f rence la variation de DO2 mesur e ne doit pas d passer 0 10 par rapport aux conditions de r f rence la variation du facteur de contraste DO3 DO2 ne doit pas d passer 0 10 par rapport aux conditions de r f rence En cas de d passement de ces valeurs v rifier la qua lit de l image en r alisant un clich du fant me dans les conditions habituelles d exposition Mesurer la valeur de DO obtenue dans la zone de r f rence puis visualiser le clich dans de bonnes conditions de lec ture pour tablir le score de qualit image Compter le nombre de rep res adjacents visibles Lorsque le score de qualit image est acceptable gt 28 remise en conformit d s que possible Dans le cas contraire il est n cessaire d arr ter l exploitation et de signaler anomalie sans d lai l AFSSAPS gt Fonctionnalit du syst me de d veloppement 1 P riodicit du contr le Hebdomadaire 2 Modalit s du contr le Inspecter visuellement l tat du syst me d entra ne ment la propret des racks et des rouleaux essoreurs puis d velopper un film vierge et un film voil noir 3 Crit res d acceptabilit Pas d anomalie m canique notable
53. estrielle Etat des r cepteurs contr le effectu sur l ensemble du parc correspondant aux 2 formats de r cepteurs 18X24 et 24X30 cm semestrielle Contact cran film contr le effectu sur l ensemble du parc correspondant aux 2 formats de r cepteurs 18X24 et 24X30 cm semestrielle Exposition dans les conditions cliniques habituelles contr le effectu pour les 2 foyers et les 2 formats de potter avec les cassettes et les plaques de compression adapt es ainsi que les diaphragmes correspondants s il y a lieu semestrielle Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES TYPE DE CONTR LE PERIODICITE Etat fonctionnel du mammographe contr les effectu s pour les 2 formats de potter avec les cassettes et les plaques de compression adapt es ainsi que les diaphragmes correspondants s il y a lieu tat g n ral semestrielle maintien des cassettes dans le potter semestrielle grille anti diffusante semestrielle Syst me de compression annuelle concordance des champs lumineux et irradi annuelle alignement du faisceau X avec le bord proximal du potter semestrielle Homog n it du parc de r cepteurs contr le effectu sur l ensemble du parc correspondant aux 2 formats de r cepteurs 18X24 et 24X30 cm annuelle Tension appliqu e au tube test r alis sans plaque de compression e
54. externe CONTR LES TECHNIQUES D AMBIANCE A Contr le externe a P riodicit annuelle b Modalit s Le but est d valuer l exposition externe des travailleurs Les d bits de dose doivent donc tre mesur s en diff rents points repr sentatifs de l exposition des travailleurs au poste de travail qu il soit permanent ou non Les r sul tats de ces contr les sont consign s dans le rapport ils pr cisent la localisation les caract ristiques des rayonne ments et les d bits de dose B Contr le interne a P riodicit mesure en continu ou au moins men suelle b Modallt s L encore les modalit s du contr le interne sont les m mes que celles du contr le externe Remarque les contr les techniques d ambiance doivent tre r alis s avec la Babyline quand cela est opportun c est dire quand le d bit de dose est suffisamment lev pour que l incertitude de mesure soit faible Si le d bit est insuffisant pour avoir une mesure coh rente 0 5 lt d bit lt 1 uSv il faut compl ter la mesure directe la Babyline par une mesure int gr e au dosim tre pas sif derri re le paravent par exemple Tout ceci d pend des caract ristiques et plus particuli rement de la plage de mesures de la Babyline utilis e H existe des El Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLES DE RADIOPROTECTION Babylines qui permettent de faire des me
55. gement de l ampoule d clairage inactinique ou apr s toute modification ou travaux dans la chambre noire Syst me de d veloppement gt sensitom trie fonctionnalit chaque jour o l installation est utilis e hebdomadaire Identification des r cepteurs en cas de changement de cassettes et d crans Etat fonctionnel du mammographe tat g n ral maintien des cassettes dans le potter mensuelle mensuelle Qualit de l image hebdomadaire et lorsque les crit res d acceptabilit de la sensitom trie lors du contr le du syst me de d veloppement ne sont pas respect s EG Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES CONTR LE DE QUALITE EXTERNE Le contr le de qualit externe est r alis par un organisme agr par AFSSAPS Les noms de ceux qui seront agr s pour r aliser les contr les externes selon les modalit s de cette d cision du 7 octobre 2005 n ont pas encore t publi s au Journal Officiel Toutefois il y a de fortes probabilit s pour que ce soit les m mes que ceux actuellement agr s pour le contr le externe selon les modalit s de la d cision du 27 mars 2003 voir liste L organisme de contr le externe remet l exploi tant l issue de chaque contr le un rapport com plet comportant notamment l tat de conformit d
56. giques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES OSTEODENSITOMETRES Contr le de qualit des dispositifs d ost odensitom trie utilisant les rayonnements ionisants R capitulatif CONTR LE DE QUALITE EXTERNE A Contr le de l exactitude des mesures de DMO Ce contr le est r alis par le fabricant en pr sence de l organisme de contr le externe P riodicit du contr le Pour les dispositifs d ost odensitom trie d j en service apoian dispose d un an au maximum pomp ter du 7 d cembre 2005 pour faire r aliser ce premier contr le qui doit tre planifi avant le 7 f vrier 2000 Pour les dispositifs nouvellement acquis ce contr le doit tre r alis avant la premi re utilisation clinique ne Il doit tre refait en cas de r talonnage du dispositif ee Quoiqu il en soit ce contr le doit tre r alis pr alablement au d marrage du contr le interne B Contr le de la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface La stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface fait galement l objet d un contr le de qualit interne gr ce un logiciel personnalis P riodicit du contr le Le contr le externe de la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface est mensuel selon un calendrier fix d un commun accord entre l exploitant et l organisme de contr le externe C Contr le de la dose de rayonnements ionisants d livr e P riodicit du co
57. ill parc d ac tivit s de Magr Romanet BP 308 87008 Limoges cedex PREVENTEC 30 36 place aux Bleuets 59800 Lille SECOPREV 44 rue Rhin et Danube 87280 Limoges S curit des travailleurs et du public espace Scionzier 1 560 avenue des lacs 74950 Scionzier SOCOTEC Les quadrants 3 avenue du Centre 78182 Saint Quentin en Yvelines Cedex SOCOTEC Antilles Guyane centre commercial La Rocade Grand Camp Nord 97142 Les Abymes SOCOTEC R union b timent Cosinus 8 rue Henri Cornu BP 14700 97801 Saint Denis Cedex TCP Technique Contr le Pr vention 1 impasse de la Plaine 93160 Noisy le Grand Organismes agr s jusqu au 31 d cembre 2008 gt Arr t du 22 d cembre 2005 parution au J O n 303 du 30 d cembre 2005 SOCOTEC Industries ZI rue Marcel Dassault BP 259 59472 Seclin Cedex E d Ann e A Ann e A 1 Ann e A 2 Contr les lectriques V rification lectrique initiale V rification lectrique p riodique Non obligatoire si le rapport de v rification pr c dent ne pr sente aucune observation ou si la remise en conformit a t effectu e avant l ch ance V rification lectrique p riodique Surveillance lectrique de l installation aussi souvent que de besoin lors de la mise en service de l installation ou apr s une modification de structure 14 Obligations r glementaires des structures radiolo
58. inative doit tre commu niqu e par le chef d tablissement au directeur r gio nal du travail et de l emploi ou au chef de service r gional de l inspection du travail Ces personnes doi vent avoir des connaissances approfondies dans le domaine de la pr vention des risques lectriques ainsi que des dispositions r glementaires qui y sont aff rentes et exercer r guli rement l activit de v rifi cation Ces v rifications peuvent donc tre confi es une entreprise d lectriciens locale ou ventuellement l organisme agr qui effectue les contr les de radio protection 3 M thodes et modalit s de la v rification La v rification fait appel aux m thodes suivantes examens de documents notes de calcul plans et sch mas documentation technique examens sur sites essais et mesurages a Examens de documents Examen des notes de calcul v rification de l existence de la note de calcul si la note de calcul a t faite l aide d un logi ciel ayant fait l objet d une proc dure de certifica tion e v rification des hypoth ses de d part v rification de la fourniture effective des r sultats n cessaires minimums sections calibres cou rants de court circuit s v rification de la coh rence entre les r sultats et les mat riels choisis si la note de calcul a t faite sans l aide d un logi ciel le v rificateur s assure de l exactitude des r sul tats
59. ire 50 qui valent tissu adipeux enveloppe 100 quivalent tissu adipeux but e de positionnement contre le bord du potter inclusions 7 groupes de microcalcifications de dimensions mm 0 250 0 300 0 150 0 180 0 212 0 250 0 125 0 150 0 180 0 212 0 106 0 125 0 090 0 106 7 groupes d l ments h misph riques quivalents masses tumorales 75 glandulaires 25 adipeux de rayon mm 3 17 1 98 2 78 1 59 2 38 1 19 0 90 7 groupes de 3 fils en mati re de type nylon 45 ins r s dans une matrice en cire quivalents struc tures fibreuses de diam tre mm 1 25 0 71 1 00 0 53 0 83 0 40 0 30 2 plages de r f rence 100 glandulaire 100 adipeux zone de r f rence pour la mesure de la densit optique de r f rence 3 cavit s de diam tres 5 mm et de profondeur 1 mm pour recevoir des dosim tres radiothermolumi nescents DTL 4 s ries de 5 rep res adjacents de 2 mm densitom tre avec une pr cision de 0 02 utilis conform ment aux prescriptions du fabricant et dont la r ponse est v rifi e avant chaque contr le avec un film talon sensitom tre utilis conform ment aux prescriptions du fabricant B Inactinisme de la chambre noire 1 P riodicit du contr le Apr s chaque changement de l ampoule d clairage inactinique ou apr s toute modification ou travaux dans la chambre noire 2 Mat riels requis
60. it v rifi e au bout de 2 v rifications p riodiques et que la totalit des appareils d clairage fixes soit v rifi e au bout de 3 v rifications 11 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLES ELECTRIQUES VERIFICATION SUR MISE EN DEMEURE L inspecteur du travail peut tout moment prescrire au chef d tablissement de faire proc der une v ri fication de tout ou partie des installations par un orga nisme ou un v rificateur agr e voir liste Le chef d tablissement justifie qu il a saisi l organis me agr dans les 15 jours suivant la date de mise en demeure et transfert l inspecteur du travail les r sultats de la v rification au maximum 10 jours apr s leur envoi par l organisme agr La v rification sur mise en demeure est conduite comme une v rification initiale De la m me fa on le rapport correspondant satisfait aux m mes dispo sitions que celles applicables un rapport de v rifi cation initiale CONTENU DES RAPPORTS DE VERIFICATION 1 G n ralit s Lorsque le rapport est transmis au chef d tablisse ment par un v rificateur ext rieur le d lai de trans mission ne doit pas exc der 5 semaines compter de la date d ach vement de la v rification Les rapports doivent localiser nettement les points sur lesquels les installations s cartent des prescrip tions r glementaires Les pages doivent tre num rot es
61. le externe Dans ce cas l exploitant communique au nouvel orga nisme choisi l ensemble des rapports de contr le ant rieurement tablis Le nouvel organisme fournit l ex ploitant le nouveau logiciel de contr le personnalis et son mode d emploi 18 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES OSTEODENSITOMETRES CONTR LE DE QUALITE INTERNE Un seul param tre est contr ler dans le cadre du contr le de qualit interne la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface mais celui ci ne peut tre mis en uvre que si l exploitant a satisfait le contr le de qualit externe de l exactitude des mesures de DMO Mat riel n cessaire Pour la r alisation du contr le de qualit interne l ex ploitant doit disposer d un objet test d di ce contr le sp cifique du dis positif d ost odensitom trie utilis fourni par le fabricant de l appareil accompagn de son mode d emploi d un acc s un logiciel de contr le de qualit person nalis fourni par l organisme de contr le externe accom pagn de son mode d emploi Ce logiciel doit permettre l exploitant Li d enregistrer les valeurs de la DMO du CMO et de la surface mesur es chaque jour d utilisation du dis positif d ost odensitom trie Li d appliquer les r gles de Shewhart aux valeurs de la DMO du CMO et de la surface mesur es Li de calculer l
62. licit R daction Petites Annonces EDIRADIO S A S au capital de 40 000 T l phone 01 53 59 34 01 T l copie 01 45 51 83 15 http llwww fnmr org E mail info fnmr org 62 bd de Latour Maubourg 75007 Paris Pr sident D Jacques NINEY Responsable de la R gie Publicitaire D Saranda HABER Maquettiste Marc LE BIHAN Imprimerie Moderne 137 avenue de Conthe B P 337 15003 Aurillac cedex D p t l gal 1 trimestre 2006
63. livr e au candidat Dans le cas contraire le candidat sera contraint de suivre nouveau la formation initiale DISPOSITIONS DIVERSES Les anciennes attestations de formation PCR restent valables jus qu au 31 d cembre 2007 A partir du 1er janvier 2008 les personnes concern es devront avoir obtenu une nouvelle attestation l issue de la fomation de renouvellement Les personnes justifiant d au moins 1 an d exercice dans la fonction de PCR et d une formation en radioprotection d au moins 250 heures datant de moins de 5 ans sont dispens es de la formation L attestation de formation leur est d livr e par un formateur certifi apr s v rification Si cette formation date de plus de 5 ans mais que les personnes jus tifient d au moins 1 an d exp rience dans la fonction de PCR dans les 5 demi res ann es elles doivent suivre uniquement la formation sp cifique de renouvellement I EJ Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 F D RATION NATIONALE DES MEDECINS RADIOLOGUES 62 boulevard de Latour Maubourg 75007 Paris T l 01 53 59 34 00 Fax 01 45 51 83 15 http www fnmr org Email info fnmr org Num ro sp cial janvier 2006 Le M decin Radiologue de France Directeur de la Publication D Jacques NINEY R dacteur en chef D Robert LAVAYSSIERE Secr taire de r daction Wilfrid VINCENT T l phone 01 53 59 34 00 Edition Secr tariat Pub
64. maintien des cassettes dans le potter mensuelle Qualit de l image hebdomadaire et lorsque les crit res d acceptabilit de la sensitom trie lors du contr le du syst me de d veloppement lt ne sont pas respect s El Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES R capitulatif suite CONTR LE DE QUALITE EXTERNE Le contr le de qualit externe est r alis par un organisme agr par l AFSSAPS Pour les mammographes nouvellement acquis l exploitant fait r aliser un contr le de qualit externe avant la premi re utilisation clinique TYPE DE CONTROLE PERIODICITE Identification de l installation semestrielle Audit du contr le interne semestrielle Conditions de stockage des films semestrielle Chambre noire ambiance inactinisme empoussi rement semestrielle semestrielle semestrielle Syst me de d veloppement sensitom trie avec le mat riel de l exploitant fonctionnalit du syst me de d veloppement semestrielle semestrielle Etat des r cepteurs contr le effectu sur l ensemble du parc correspondant aux 2 formats de r cepteurs 18X24 et 24X30 cm semestrielle Contact cran film contr le effectu sur l ensemble du parc correspondant aux 2 formats de r cepteurs 18X24 et 24X30 cm semestrielle E
65. mettant d avertir le personnel au d but et la fin de l exposition aux rayonne ments L Recherche e des fuites possibles de la gaine ou du blindage pro t geant le tube g n rateur et des dispositifs de pro tection intrins que lorsque de tels dispositifs interdi sent l acc s au faisceau primaire pendant le fonction nement e des fuites sur les accessoires de protection para vents volets crans etc e d mission parasite de rayonnement charge lec trostatique r siduelle effet de cathode froide etc persistant malgr l ex cution correcte des man uvres d arr t de l appareil L Contr les additionnels propres aux utilisations d appa reils mobiles Contr le e des conditions d entreposage de l appareil par rap port aux prescriptions r glementaires et aux instruc tions du fabricant ou fournisseur e du contr le effectu par l op rateur permettant de s assurer qu il ny a plus d mission de rayonnements ionisants la fin de chaque op ration e de l existence de consignes d urgence adapt es aux conditions d utilisation de l appareil mobile de la pr sence des mat riels pr vus pour leur mise en uvre et de leur connaissance par l op rateur B Contr le interne a P riodicit annuelle pour les dispositifs soumis d claration et semestrielle pour les dispositifs soumis autorisation b Modalit s les modalit s du contr le interne sont les m mes que celles du contr le
66. ne Barberaz 73000 Chamb ry Contr le Conseil S curit Gessel La Bruy re 36130 Montierchaume NORISKO Construction 34 36 rue Alphonse Pluchet BP 200 92225 Bagneux Cedex GRETCO Inspection 17 rue du Pr la Reine 63100 Clermont Ferrand QUALICONSULT 1 bis rue du petit Clamart b ti ment E 78941 V lizy Cedex Arr t du 22 d cembre 2005 parution au J O n 303 du 30 d cembre 2005 ABC Contr le 50 rue sauveur Tobelem 13007 Marseille 13 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLES ELECTRIQUES AEDIFIS Control Technic 1 rue Bayard 59000 Lille APAVE Parisienne 13 17 rue Salneuve 75854 Paris cedex 17 APAVE Sudeurope Zl avenue Gay Lussac 33370 Artigues pr s Bordeaux BATIPLUS 91 avenue Ledru Rollin 75011 Paris BECE Bureau d Etudes et de Contr les Electriques 54 avenue Gabriel P ri 93400 Saint Ouen 01 Contr le BP 07 152 rue des Rapettes 01390 Tramoyes Groupe de pr vention 11 rue Elsa Triolet 77176 Savigny le Temple Cabinet de v rifications techniques Guy Marcel 1 rue de la Paix 57400 Langatte Cabinet Kupiec et Debergh Garonor BP 532 93619 Aulnay sous Bois cedex La v rification lectrique 1 rue du Marais 67800 Bisheim Littoral Contr le Les Nerti res espace Renaudi route de Saint Laurent du Var 06610 La Gaude NORISKO Equipements rue Stuart M
67. nnalis Le premier jour de r alisation du contr le de qualit interne constitue l origine du temps pour la mise en uvre du contr le de qualit externe 15 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES OSTEODENSITOMETRES Contr le de qualit des dispositifs d ost odensitom trie utilisant les rayonnements ionisants MENTS IONISANTS DEFINITIONS Densit Min rale Osseuse DMO en g cm On entend par densit min rale osseuse la masse sur facique de l os mesur e sur une partie du corps humain Contenu Min ral Osseux CMO en g On entend par contenu min ral osseux la masse de l os mesur e sur une partie du corps humain Surface en cm On entend par surface la surface osseuse d une partie du corps humain d limit e par un logiciel de reconnais sance des contours T score On entend par T score l cart exprim en d viations standards entre la valeur de la DMO mesur e chez un patient et la valeur maximum de la DMO atteinte l ge adulte par la population de r f rence Etalonnage On appelle talonnage d un dispositif d ost odensito m trie la proc dure ayant pour objet la d termination des coefficients d att nuation des photons par des tis sus osseux et mous de r f rence selon une m thode sp cifique chaque fabricant Une intervention du fabricant sur la cha ne de mesure dans le but de
68. ns r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 SURVEILLANCE MEDICALE DES TRAVAILLEURS CARTE INDIVIDUELLE DE SUIVI MEDICAL La carte individuelle de suivi m dical est d livr e par le m decin du travail chaque travailleur de cat gorie A et B Elle comporte deux volets iden tiques un pour l int ress et l autre pour l IRSN qui assure la gestion des cartes Chaque volet comporte les informations suivantes J le num ro d enregistrement attribu par l IRSN pour toute la vie professionnelle Q le nom le pr nom l activit professionnelle et le num ro d enregistrement du travailleur au registre national d identification des per sonnes physiques autoris par le d cret 2004 1489 du 30 d cembre 2004 la d signation de l tablissement de l entre prise ext rieure ou de l entreprise de travail temporaire notamment le nom et l adresse 1 le nom le pr nom et l adresse du m decin du travail dont rel ve le travailleur Cette carte est pr sent e par le travailleur au m decin du travail chaque examen m dical SURVEILLANCE M DICALE PARTICULIERE DES TRAVAILLEURS DE CATEGORIES A ET B Les travailleurs de cat gories A et B b n ficient d un examen m dical au moins une fois par an qui comprend un examen clinique g n ral et selon la nature de l exposition un ou plusieurs examens sp cialis s compl mentaires aux quels le m decin du travail proc d
69. ntr le Pour les dispositifs en service l exploitant dispose d un an au maximum compter du 7 d cembre 2005 pouen r aliser le premier contr le qui doit tre planifi avant le 7 f vrier 2006 a p riodicit est ensuite annuelle la date d anniversaire Pour les dispositifs nouvellement acquis ce contr le doit tre fait avant _ la premi re utilisation clinique puis annuellement Ce contr le doit tre refait en cas de changement du tube rayons X CONTR LE DE QUALITE INTERNE Unseul param tre est contr ler dans le cadre du contr le de qualit interne la stabilit des mesures de la DMO du CMO et de la surface mais celui ci ne peut tre mis en uvre que si l exploitant a satisfait le contr le de qualit externe de l exactitude des mesures de DMO Mat riel n cessaire Pour la r alisation du contr le de qualit interne l exploitant doit disposer e d un objet test d di ce contr le sp cifique du dispositif d ost odensitom trie utilis fourni par le fabricant de l appareil accompagn de son mode d emploi e d un acc s un logiciel de contr le de qualit personnalis fourni par l organisme de contr le externe accompagn de son mode d emploi P riodicit du contr le Ce contr le est r alis chaque jour d utilisation du dispositif d ost odensitom trie et au minimum 3 fois par semaine Il d bute d s que l exploitant a eu acc s au logiciel de contr le de qualit perso
70. ntr le technique de radioprotection des postes de travail LIENS UTILES Institut de Radioprotection et de S ret Nucl aire http www irsn org Unit d Expertise M dicale de l IRSN IRSN DRPH SER UEM BP n 17 92262 Fontenay aux Roses Cedex Tel 01 58 35 92 86 Fax 01 58 35 88 29 Mail rpmed irsn fr Fiches d aide l analyse des risques de l Institut National de la Recherche et de la S curit http www inrs fr htm medecine_rayonne ments_ionisants fiches_aide html E EE Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 SUIVI DOSIMETRIQUE DES TRAVAILLEURS Suivi dosim trique des travailleurs Di N 2003 296 pu 31 MARS 2003 RELATIF LA PROTECTION DES TRA VAILLEURS CONTRE LES DANGERS DES RAYONNEMENTS IONISANTS ARTICLE 1 SOUS SECTION 2 ARTICLES R 231 93 R 231 94 R 231 109 DU CODE DU TRAVAIL ARR T DU 30 D CEMBRE 2004 RELATIF LA CARTE INDIVIDUELLE DE SUIVI M DICAL ET AUX INFORMATIONS INDIVIDUELLES DE DOSIM TRIE DES TRAVAILLEURS EXPOS S AUX RAYONNEMENTS IONISANTS Le suivi dosim trique est individuel et nominatif QUEL TYPE DE DOSIM TRIE ET POUR QUI Dosim trie op rationnelle Dosim trie passive Travailleurs intervenant en zone surveill e X Travailleurs intervenant en zone contr l e X X Notons que les radiologues salari s ou non sont eux aussi concern s par le suivi dosim trique
71. organisation doit tre port e la connaissance de l ensemble du personnel Cette sur veillance doit tre op r e aussi souvent que de besoin et provoquer dans les meilleurs d lais la suppression des d fectuosit s et anomalies dont les installations peuvent tre affect es La surveillance concerne notamment e le maintien des dispositions mettant hors de por t e des travailleurs les parties actives de instal lation c est dire les parties conductrices desti n es tre sous tension en service normal e le bon fonctionnement et le bon tat de conser vation des conducteurs de protection e le bon tat des conducteurs souples aboutissant aux appareils amovibles ainsi qu leurs organes de raccordement le maintien du calibre des fusibles et du r glage des disjoncteurs e la signalisation des d fauts d isolement e le contr le de l loignement des mati res com bustibles par rapport aux mat riels lectriques dissipant de l nergie calorifique chaleur e le contr le de l tat de propret de certains mat riels lectriques en fonction des risques d chauffement dangereux par l accumulation de poussi res e le contr le des caract ristiques de s curit des installations lectriques dans les locaux risques d explosion locaux o sont trait es manipul es 9 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLES ELECTRIQUES
72. otons qu en cas de d saccord entre l employeur et la salari e ou lorsque le changement intervient l initiative de lem ployeur la n cessit m dicale de cette affecta tion temporaire et l aptitude de la salari e occuper le nouvel emploi ne peuvent tre ta blies que par le m decin du travail Cette affec tation temporaire n est possible que pendant la dur e de la grossesse et prend fin d s que l tat de sant de la femme lui permet de retrouver son emploi initial Par ailleurs l affectation dans un autre tablissement n cessite l accord de l int ress e La formation doit tre renouvel e p riodique ment et en tout tat de cause au moins tous les trois ans FORMATION DES RADIOLOGUES ET DES MANIPULATEURS A LA RADIOPROTECTION DES PATIENTS A qui s adresse cette formation Cette formation s adresse aux radiologues et manipulateurs d j en exercice ou en d but d exercice lorsque leur formation initiale ne com porte pas d enseignement sur la radioprotection des patients Dans tous les cas la mise jour des connaissances doit tre r alis e au mini mum tous les dix ans Attestation d livr e la suite de la formation A l issue de la formation l organisme d livre la personne ayant suivi la formation un document attestant de la validation de cette formation Ces documents sont tenus la disposition des agents charg s du contr le Date limite de formation des professionn
73. ou entrepos es des mati res susceptibles de pendre feu presque instantan ment au contact d une flamme ou d une tincelle Remarque il ne doit exister dans ces locaux risque d explosion d autres mat riels que ceux n cessaires Le passage des canalisations tran g res au fonctionnement du local est autoris sous r serve qu elles soient dispos es ou prot g es de mani re ce qu elles ne puissent en aucun cas tre la cause d un incendie ELEMENTS NECESSAIRES POUR LA REALISATION DES VERIFICATIONS Le chef d tablissement doit fournir au contr leur divers documents qui seront n cessaires pour la bonne marche de la v rification plan des locaux plan de masse l chelle des installations avec im plantation des prises de terre et des canalisations lectriques enterr es cahier des prescriptions techniques ayant permis la r alisation des installations sch mas unifilaires des installations lectriques accompagn s si n cessaire d un synoptique mon trant l articulation des diff rents tableaux carnets des c bles notes de calcul justifiant le dimensionnement des canalisations et des dispositifs de protection rapport de v rification initiale et rapports des v rifi cations p riodiques ant rieures le cas ch ant d clarations CE de conformit et notices d instructions des mat riels install s dans les locaux liste des installations de s curit et effectif maximal
74. pements utilis s dans les expositions m dicales aux rayonnements ionisants des fins de conseil et de for mation en radioprotection Le radiophysicien e contribue l laboration des conseils donn s en vue de limiter l exposition des patients participe l enseignement et la formation du personnel m dical et param dical dans le domaine de la radiophysique m dicale MODALIT S D INTERVENTION DE LA PSRPM EN RADIOLOGIE Dans les services de radiologie et dans les structures pratiquant la radiologie 36 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 PERSONNE SPECIALISEE EN RADIOPHYSIQUE MEDICALE interventionnelle lutilisateur doit pou voir faire appel une personne sp ciali s e en radiophysique m dicale chaque fois que n cessaire Dans les installations utilisant un scan ner mat riel lourd soumis autorisa tion ainsi que dans les tablissements disposant de structures de radiologie interventionnelle le chef d tablisse ment arr te un plan d crivant l organisa tion de la radiophysique m dicale au sein de l tablissement Dans le cas o l ex cution d une presta tion en radiophysique m dicale est confi e une personne sp cialis e en radiophysique m dicale ou un organis me disposant de personnes sp cialis es en radiophysique m dicale ext rieurs l tablissement une convention crite doit tre tablie
75. port de contr le de qualit remis l exploitant Ces conditions de mesure doivent tre reproduites chaque contr le La valeur obtenue lors du premier contr le constitue la valeur de r f rence du dispositif Crit res d acceptabilit et traitement des non conformit s Lors des contr les ult rieurs un cart de 20 par rapport la dose de r f rence constitue une non conformit En cas de non conformit l exploitant dis pose de 10 jours pour remettre le dispositif en tat Une nouvelle mesure de la dose doit attester de la remise en conformit Si lors du second contr le la non confor mit persiste l organisme de contr le externe le signale l AFSSAPS L AFSSAPS proc de alors l valuation de ce signalement en concertation avec l exploitant le fabricant et l organisme de contr le externe en vue d adopter les mesures appropri es P riodicit du contr le Pour les dispositifs en service l exploitant dispose d un an au maximum compter du 7 d cembre 2005 pour faire r aliser le premier contr le qui doit tre planifi avant le 7 f vrier 2006 La p riodicit est ensuite annuel le la date d anniversaire Pour les dispositifs nouvellement acquis ce contr le doit tre fait avant la premi re utilisation clinique puis annuel lement Ce contr le doit tre refait en cas de changement du tube rayons X D Disposition en cas de changement d organisme de contr
76. requis Sensitom tre et densitom tre 3 Modalit s du contr le R gler le sensitom tre sur le spectre d mission appro pri vert en g n ral Impressionner en chambre noire avec le sensitom tre un film vierge de la bo te utilis e en routine pour la mammographie Placer la couche d mulsion contre la fen tre d mission de lumi re si le film n a qu une seule couche d mulsion puis d velop per le sensitogramme en s assurant de l optimisation de la cha ne de d veloppement D terminer les 3 plages de r f rence correspondant aux DO de r f rence suivantes 1 plage de r f rence correspond au voile de base plage n 1 La densit optique lue sur cette plage est not e DO1 2 plage de r f rence correspond la plage ayant une valeur de DO la plus proche de 1 DO1 D terminer son num ro de r f rence La densit optique lue sur cette plage est not e DO2 24 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES 3 plage de r f rence correspond la plage ayant une valeur de DO la plus proche de 2 DO1 D terminer son num ro de r f rence La densit optique lue sur cette plage est not e DOS Lors des contr les r guliers les plages de r f rence d termin es ici ne doivent pas tre chang es D terminer les valeurs de r f rence de DO1 DO2 et DO3 en calculant la moyenne des mesur
77. rt d passant 3 lors de 6 contr les cons cutifs n cessite l arr t imm diat de l exploitation jusqu remise en conformit et le signalement de l ano malie sans d lai l AFSSAPS par l exploitant b R gles de Cusum Si la valeur du Cusum positif ou n gatif est sup rieure 5 et que l amplitude de la d rive H o rapport e la valeur de r f rence po en pourcentage est sup rieure 0 8 le dispositif ne doit plus tre exploit d s le constat de la non conformit et jusqu remise en conformit Un signalement doit tre envoy sans d lai l AFSSAPS par l exploitant P riodicit du contr le Ce contr le est r alis chaque jour d utilisation du dis positif d ost odensitom trie et au minimum 3 fois par semaine I d bute d s que l exploitant a eu acc s au logiciel de contr le de qualit personnalis Le premier jour de r alisation du contr le de qualit interne consti tue l origine du temps pour la mise en uvre du contr le de qualit externe ORGANISMES HABILIT S A REALISER LE CONTROLE EXTERNE Une soci t est actuellement agr e pour effectuer le contr le de qualit des ost odensitom tres et d autres dossiers sont en cours d instruction Vous pouvez conna tre les noms des soci t s agr es en consultant le site Internet de l AFSSAPS http afssaps sante fr htm 10 dm cadm lstagree htm I 19 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp
78. server pendant une dur e de 10 ans et les tenir dis position des agents de contr le et du CHSCT ou d faut des d l gu s du personnel CONTROLES TECHNIQUES DES APPAREILS EMETTEURS DE RAYONNEMENTS IONISANTS ET DES DISPOSITIFS DE PROTECTION ET D ALARME A Contr le externe a P riodicit annuelle b Contr le g n ral Le rapport de contr le doit mentionner les l ments sui vants L Identification de l tablissement d tenant le ou les appareils de rayonnements ionisants nom ou raison sociale et adresse e nom du titulaire de l autorisation ou de la personne ayant fait la d claration nom du chef d tablissement nom de la ou des PCR Domaine d activit de l tablissement m dical ou dentaire Contr les administratifs identification et localisation de l installation e situation r glementaire e r gimes administratifs d claration ou autorisation avec r f rences de l autorisation et autorit l ayant d livr e e r glement int rieur L Inventaire des sources de rayonnements ionisants d tenues El Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLES DE RADIOPROTECTION c Contr les techniques des g n rateurs lectriques de rayons X 31 Contr le e de la conformit du g n rateur aux r gles appli cables e de la conformit des conditions d installation du g n rateur poste fixe aux r gles applicables
79. sures tr s pr cises m me pour les faibles d bits de doses mais elles Type de contr le P riodicit sont plus on reuses annuelle Contr le p riodique avant utilisation CONTROLES INTERNES slrenmienne DES INSTRUMENTS DE MESURE pas t utilis depuis _ plus d un mois A G n ralit s E instrument quip Les instruments concern s par ces contr les sont les ins d un contr le truments de mesure d ambiance portables ou utilis s permanant quinquennale poste fixe ex Babyline et les instruments de dosim trie Contr le de bon fonctionnement op rationnelle lls sont soumis un contr le interne mais p riodique instrument sans ne font l objet d aucun contr le externe de l talonnage contr le permanent _ triennale Rappelons que les mesures radiologiques de radiopro de bon tection doivent tre effectu es avec des instruments fonctionnement adapt s au type et aux caract ristiques du rayonnement dosim tres et doivent tre compatibles avec les conditions de travail op rationnels annuelle envisag es de fa on ce que les r sultats puissent tre correctement interpr t s Un talonnage doit tre effectu avant la premi re utilisation et un certificat d talonnage doit tre fourni par le constructeur Les appareils utilis s pour la mesure du rayonnement ambiant sont talonn s en quivalent de dose ambiant H d ou en quivalent de dose directionnel H d Q sui
80. t tre d l gu une autre personne Un plan type est actuellement en cours d tude par les professionnels concern s Ce plan et le cas ch ant la conven tion sont tenus la disposition des ins pecteurs de radioprotection c est dire les m decins inspecteurs de sant publique les agents appartenant aux services de l Etat charg s de l environ nement de l industrie et de la sant ainsi que les agents de IRSN plac s sous l autorit des services pr c dem ment cit s LIENS UTILES e Autorit de S ret Nucl aire http www asn gouv fr Soci t Fran aise de Physique M dicale http www sfpm asso fr Agence Fran aise de S curit Sanitaire des Produits de Sant http afssaps sante fr Institut de Radioprotection et de S ret Nucl aire http www irsn org e Unit d Expertise M dicale de l IRSN IRSN DRPH SER UEM BP n 17 92262 Fontenay aux Roses Cedex Tel 01 58 35 92 86 Fax 01 58 35 88 29 Mail rpmed irsn fr 8 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 FORMATION DU PERSONNEL A LA RADIOPROTECTION Formation du personnel la radioprotection Di N 2003 296 pu 31 MARS 2003 RELATIF LA PROTECTION DES TRA VAILLEURS CONTRE LES DANGERS DES RAYONNEMENTS IONISANTS ARTICLE 1 SOUS SECTION 2 ARTICLES R 231 89 DU CODE DU TRAVAIL ARR T DU 18 MAI 2004 RELATIF AUX PROGRAMMES DE FORMATION POR
81. t s d enseignement d en viron 10 heures chacune qui pemmettront aux candidats de conna tre et de mettre en application les principes de radioprotection ainsi que les dispositions r glementaires Les radiologues et les manipula teurs de par leur formation initiale pourront tre dispens s de l unit 1 rayonnements ionisants et effets biologiques par le fommateur La dur e de ce module th orique sera de trois quatre jours soit environ 20 heures pour les radiologues Le contr le des connais sances l issue de celui ci se fera sur la base d un questionnaire choix multiple et ou d un questionnaire r ponses courtes MODULE PRATIQUE Le module pratique constitu de mises en situation et de travaux pra tiques a pour but d appliquer les acquis de la formation th orique de fa on acqu rir les bonnes pratiques ll sera par exemple demand aux candidats de r aliser une analyse de poste de travail d tablir le zonage d une installation type d effectuer des calculs de d bit de dose et de protection de mettre en uvre les contr les internes de radioprotection etc Sa dur e sera de un deux jours soit 12 heures pour les radiologues Une preuve individuelle orale en fin de module comportant notam ment l analyse d une situation concr te permettra au formateur d valuer les connaissances acquises par le candidat EN CAS D CHEC LUN DES MODULES En cas d chec lun des deux modules le candidat de
82. t aff rentes Le chef d tablissement doit accompagner les v rifi cateurs au cours de leur intervention ou les faire accompagner par une personne connaissant l empla cement et les caract ristiques des installations ainsi que les risques pr sent s et ce chaque fois que n cessaire 3 M thodes et modalit s de la v rification Les m thodes et modalit s de la v rification p rio dique sont les m mes que pour la v rification initiale Les examens sur site et les essais et mesurage pr sentent cependant quelques variantes a Examen sur site v rification des caract ristiques des installations existantes pour s assurer qu elles sont identiques celles examin es par le v rificateur lors de la v ri fication initiale et de leur maintien en tat de conformit v rification effectu e comme lors d une v rification initiale pour les parties ayant subi une modification de structure b Essais et mesurage Lors de la v rification de la continuit de la mise la terre en basse tension seuls e la moiti des prises de courant accessibles dans les locaux de bureau mais la totalit des prises se trouvant dans les autres locaux e le tiers des appareils d clairage fixes sont v rifi s Lorsque les v rifications sont effectu es par chan tillonnage celui ci doit tre effectu par local ou par groupes de locaux de telle sorte que la totalit des prises de courant des locaux de bureau so
83. tr l e Cette for mation porte notamment sur les r gles de pr vention des accidents les r gles de pro tection les r gles de conduite tenir en cas de situation anormale ainsi que sur les effets potentiellement n fastes de l exposi tion aux rayonnements ionisants de lem bryon et du f tus D il peut formuler toute proposition au chef d tablissement quant au choix des quipe ments de protection individuels en prenant en compte leurs modalit s d utilisation a en cas de r sultat individuel de dosim trie jug anormal il r alise une enqu te avec le concours le cas ch ant de la PCR Il informe l IRSN du d clenchement et des conclusions de l enqu te en cas de d passement des doses limites autoris es le m decin du travail prend toute disposition qu il estime utile toute exposition ult rieure du travailleur concern requiert son avis LIENS UTILES Fiches d aide l analyse des risques de l Institut National de la Recherche et de la S curit http www inrs fr htm medecine rayonnement s_ionisants fiches _aide html E 31 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 LIMITES DE DOSES POUR LES TRAVAILLEURS Limites de doses pour les travailleurs Di N 2003 296 pu 31 MARS 2003 RELATIF LA PROTECTION DES TRA VAILLEURS CONTRE LES DANGERS DES RAYONNEMENTS IONISANTS ARTICLE 1 SOUS SECTION 2 ARTICLES R 231 76 R 231 79 R 23
84. ts de la dosim trie passive sous une forme excluant toute identification des travailleurs pour les exploiter des fins statistiques sans limitation de dur e De la m me mani re il peut exploiter statistiquement et sans limitation de dur e les r sultats non nominatifs de la dosim trie op rationnelle L inspecteur ou le contr leur du travail peut demander communication de ces statistiques Notons que le suivi dosim trique est un des l ments essentiels de l analyse des postes LIENS UTILES e Autorit de S ret Nucl aire http www asn gouv fr Fiches d aide l analyse des risques de l institut National de la Recherche et de la S curit http www inrs fr htm medecine rayonnements_ionisa nts fiches _aide html Base SISERI http Avww siseri com Institut de Radioprotection et de S ret Nucl aire http www irsn org Unit d Expertise M dicale de l IRSN IRSN DRPH SER UEM Tel 01 58 35 92 86 BP n 17 Fax 01 58 35 88 29 92262 Fontenay aux Roses Cedex Mail rpmed irsn fr W 35 Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 PERSONNE SPECIALISEE EN RADIOPHYSIQUE MEDICALE Personne sp cialis e en radiophysique m dicale PSRPM A DU 19 NOVEMBRE 2004 RELATIF LA FORMATION AUX MISSIONS ET AUX CONDITIONS D INTERVENTION DE LA PERSONNE SP CIALIS E EN RADIOPHYSIQUE M DICALE CODE DE LA SANT PUBLIQUE ARTICLES R 1333 59 64 R 133
85. ur de la DO obtenue dans la zone de r f rence Visualiser le clich dans de bonnes condi tions de lecture et tablir le score de qualit image Compter le nombre de rep res adjacents visibles 4 Crit res d acceptabilit La DO au centre du clich doit tre de 1 55 0 15 Dans le cas contraire faire une correction de cellule afin d obtenir cette valeur et prendre en compte les nouvelles conditions cliniques habituelles d exposition La distance s parant le bord proximal du potter du bord du film doit permettre de visualiser au moins 2 5 rep res adjacents dans les 4 s ries Dans le cas contraire remise en conformit d s que possible Aucune bande non expos e ne doit appara tre sur le bord du film Des performances inf rieures n cessitent la remise en conformit d s que possible Le syst me de marquage des clich s ne doit pas voi ler les films ou cr er d art facts sur les clich s Dans le cas contraire remise en conformit d s que possible Pour chacun des groupes de microcalcifications de masses et de fibres 3 l ments au moins de chaque groupe doivent tre enti rement visibles En outre le score de qualit image doit tre sup rieur 28 Des performances inf rieures dans l un ou l autre des cas n cessitent l arr t de l exploitation et le signalement sans d lai de l anomalie l AFSSAPS R capitulatif TYPE DE CONTR LE PERIODICITE Inactinisme de la chambre noire apr s chan
86. v rent n ces saires Remarque l employeur ne peut confier les travaux ou op rations sur des installations lectriques qu des personnes qualifi es pour les effectuer et poss dant une connaissance des r gles de s curit lec trique faire l objet de mesures de surveillance tre soumis des v rifications En attendant qu il soit port rem de des d fectuo sit s constat es toutes dispositions utiles doivent tre prises pour qu elles ne constituent pas une sour ce de danger pour les travailleurs L employeur doit s assurer que les travailleurs pos s dent une formation suffisante permettant de conna tre et de mettre en application les prescrip tions de s curit respecter pour viter les dangers dus l lectricit dans l ex cution des t ches qui leur sont confi es Si certains travailleurs ne connaissent pas suffisamment ces prescriptions de s curit l employeur doit organiser une formation compl mentaire Il doit ensuite s assurer qu elles sont effectivement appliqu es et les rappeler aussi souvent que de besoin par tous moyens appropri s Les travailleurs doivent tre invit s signaler le plus t t possible l employeur les d fectuosit s et anomalies qu ils constatent dans l tat apparent du mat riel lectrique ou dans le fonctionnement de celui ci SURVEILLANCE DES INSTALLATIONS Une surveillance des installations lectriques doit tre assur e et son
87. ves importantes EW Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLES DE RADIOPROTECTION Contr les de radioprotection RR T DU 26 OCTOBRE 2005 D FINISSANT LES MODALIT S DE CONTR LE DE RADIOPROTECTION EN APPLICATION DES ARTICLES R 231 84 DU CODE DU TRAVAIL ET R 1333 44 DU CODE DE LA SANT PUBLIQUE DISPOSITIONS GENERALES Les contr les de radioprotection comprennent e les contr les techniques des appareils metteurs de rayonnements ionisants les contr les techniques d ambiance e les contr les des instruments de mesure les contr les des dispositifs de protection et d alarme On distingue les contr les externes obligatoirement r a lis s par IRSN ou par un organisme agr voir liste et les contr les internes r alis s sous la responsabilit du chef d tablissement soit par la PCR soit par un organis me externe agr En plus des contr les p riodiques d finis dans les para graphes suivants des contr les techniques de radioprotec tion des appareils metteurs de rayonnements ionisants des contr les des instruments de mesure et des dispositifs de protection et d alarme doivent tre r alis s en interne la r ception avant la premi re utilisation clinique et lorsque les conditions d utilisation sont modifi es Remarque Sur justification la nature et l tendue des contr les tech niques des appareils metteurs de ra
88. vra le repas ser Un justificatif d une validit de 6 mois lui sera alors d livr pour le module acquis mais celui ci ne lui permettra pas d assurer le r le de PCR ATTESTATION DE FORMATION Lorsque le candidat aura satisfait aux contr les des connaissances des deux modules le formateur pourra lui d livrer l attestation de for mation indispensable pour pouvoir tre d sign PCR Cette attesta tion valable 5 ans compter de la date de validation du module th o rique pr cisera le secteur d activit ainsi que l option du module pra tique choisis par le candidat FORMATION DE RENOUVELLEMENT Au terme des 5 ans de validit de l attestation le candidat devra suivre une formation sp cifique de renouvellement Cette formation constitu e d un enseignement th orique et d un ou plusieurs ateliers pratiques aura pour but d actualiser les connaissances techniques et r glementaires Sa dur e sera d un deux jours soit 12 heures pour les radiologues Pr alablement cette formation le candidat devra remettre au for mateur un rapport d activit pour pr senter les principales missions qu il a assur es au cours des 5 derni res ann es Une preuve orale comportant l analyse du rapport remis et un entretien permettra au formateur d valuer les connaissances du candidat ainsi que son aptitude assurer les missions de la PCR En cas de r ussite cette preuve une nouvelle attestation valable 5 ans sera d
89. xactitude de la tension semestrielle constance de la tension semestrielle Foyers en cas de changement du tube Couche de demi att nuation annuelle Exposeur automatique contr le r alis avec les 2 formats de potter semestrielle Qualit de l image contr le r alis pour les 2 formats de potter avec les cassettes et les plaques de compression adapt es ainsi que les diaphragmes correspondants s il y a lieu semestrielle Dose d livr e et d bit de dose contr le r alis avec les 2 formats de potter si les conditions cliniques avec le potter 24X30 cm sont diff rentes de celles utilis es avec le potter 18X24 cm semestrielle Facteur de Bucky en cas de changement de la grille anti diffusante Salle de lecture des clich s semestrielle N gatoscopes d di s la mammographie semestrielle ORGANISMES AGREES POUR LE CONTROLE DE QUALITE EXTERNE DES INSTALLATIONS DE MAMMOGRAPHIE ANALO GIQUE SELON LES MODALITES DE LA DECISION DU 27 MARS 2003 D cision du 9 octobre 2003 Parution au J O n 257 du 6 novembre 2003 AM TECH M dical Madame Armelle GAUFFE NIC 5 rue Pierre Midrin 92310 Sevres T l 01 55 64 13 50 Fax 01 45 07 10 39 CETE APAVE Nord Ouest 5 rue de la Johardi re ZIL BP n 289 44803 Saint Herblain cedex T l 02 40 38 80 00 Fax 02 40 92 08 52 MEDI QAL Madame Karin ARNOLD 2 bis squa re Les Bruy
90. xposition dans les conditions cliniques habituelles contr le effectu pour les 2 foyers et les 2 formats de potter avec les cassettes et les plaques de compression adapt es ainsi que les diaphragmes correspondants s il y a lieu semestrielle Etat fonctionnel du mammographe contr les effectu s pour les 2 formats de potter avec les cassettes et les plaques de compression adapt es ainsi que les diaphragmes correspondants s il y a lieu tat g n ral maintien des cassettes dans le potter grille anti diffusante syst me de compression concordance des champs lumineux et irradi alignement du faisceau X avec le bord proximal du potter semestrielle semestrielle semestrielle annuelle annuelle semestrielle Homog n it du parc de r cepteurs contr le effectu sur l ensemble du parc correspondant aux 2 formats de r cepteurs 18X24 et 24X30 cm annuelle Tension appliqu e au tube test r alis sans plaque de compression exactitude de la tension constance de la tension semestrielle semestrielle Foyers en cas de changement du tube Couche de demi att nuation annuelle Exposeur automatique contr le r alis avec les 2 formats de potter semestrielle Qualit de l image contr le r alis pour les 2 formats de potter avec les cassettes et les plaques de compression adapt es ainsi que les diaphragmes correspondants s il y a lieu
91. xterne la remise en conformit est attest e par une contre visite d clench e l initiative de l exploitant Li les autres non conformit s dites mineures per mettent n anmoins de poursuivre l exploitation sous r serve d une remise en conformit qui doit tre r alis e d s que possible Dans le cas du contr le externe cette remise en conformit fait l objet d une contre visite dans un d lai maximal de 6 mois apr s le premier contr le i dans le cas o une contre visite faite la suite du constat d une non conformit grave ou mineure r v le une non conformit persistante l organisme de contr le agr signale celle ci l AFSSAPS sans d lai si la non conformit persistante est grave dans un d lai maximal de 5 jours ouvr s si celle ci est mineure CONTR LE DE QUALITE INTERNE Le contr le de qualit interne est r alis par l exploitant ou par un prestataire sous la responsabilit de l exploitant A Mat riels n cessaires la r alisation des contr les internes fant me sein quivalent tissu ayant les caract ris tiques suivantes fant me MTM 100 forme sensiblement semi circulaire diam tre 180 mm paisseur totale 45 mm base 35 mm enve loppe 10 mm EJ Obligations r glementaires des structures radiologiques num ro sp cial janvier 2006 CONTROLE DE QUALITE DES MAMMOGRAPHES ANALOGIQUES composition base 50 quivalent tissu glandula
92. yonnements ioni sants et des contr les techniques d ambiance effectu s en interne peuvent tre ajust es sur la base de l analyse des risques de l tude des postes et des caract ristiques de l installation Par exemple si 5 cabines se trouvent derri re le mur d une salle de radiographie et que l on d montre que la dose est r partie de fa on homog ne dans chacune d elles il est possible de limiter les contr les techniques d ambiance 3 cabines Le chef d tablissement consigne par crit le programme des contr les pr vus ainsi que la d marche qui lui a permis de les tablir l mentionne dans le m me document les am nagements ventuellement apport s au programme de contr le interne et leurs justifications en appr ciant les cons quences sur l exposition des travailleurs Ce pro gramme doit tre r valu p riodiquement Le chef d tablissement tient ce document interne la dis position des agents de contr le comp tents et du CHSCT ou d faut des d l gu s du personnel Les contr les externes et internes font l objet de rapports crits mentionnant la date la nature et la localisation des contr les les noms et qualit s de la ou des personnes les ayant effectu s ainsi que les ventuelles non conformit s relev es Ces rapports sont transmis au titulaire de lauto risation ou au d clarant de l installation contr l e ainsi qu au chef d tablissement si diff rent Ce dernier doit les con

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