CONtrôles microbiologiques en hygiène hospitalière
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1. Page 3 Fiche 1 Pr l vement de surface parapplication de boite de type counttact Page 5 Fiche 2 Pr l vement de surface par couvillonnage Page 7 Fiche 3 Contr le de l a robiocontaminatin Page 8 Fiche 4 Comptage parkculaire Page 11 Fiche 5 Eau de boisson eau du r seau et fontaine r frig rante Page 14 Fiche 6 Eau mic rofiltr e Page 16 Fiche 7 Eau du r seau non filtr e pour lavage chirurgical des mains Page 18 Fiche 8 Eau du r seau non filtr e pour le rin age des endoscopes Page 19 Fiche 9 Glace alimentaire Page 21 Fiche 10 Eau des piscines de r education Page 22 Fiche 11 Legionnelles et mycobact ries atypiques Page 24 Fiche 12 Sensibilit aux antibiotiques et aux d sinfectants Int r t de la biologie Mol cule ceti Su aum niaar UC rs ENS2. e St rile avec thiosulfate de sodium concentration finale 0 5 D lai d acheminement et transport e nf rieur une demi heure de pr f rence Si sup rieur une demi heure transport 4 C Pr stoc kage e 4 C inf rieur ou gal 12 heures Technique e Homog n iser avant d ensemencer e Potabilit de type B2 coliformesthermotol rants streptocoquesf caux d nombrement des bact ries a robies revivifiables 22 C et 37 C Cette potabilit comespond l analyse sommaire propos e dansle cadre des programmes d analyse des chantillons d eau distribu e par un r seau collectif public ou priv D cret n 89 3 modifi e Onyajoutera si besoin une recherche sp cifique en fonction de l cologie de l tablissement Pseudomonas aeruginosa Aeromonas Staphylococcus aureus etc Version 1 Novembre 1998 page 14 14 Fiche 5 suite Milieux 2 g losesd nombrement inclusion d 1 ml et filtration de 100 ml sur milieux sp cifiques milieu c trimide pour les Pseudomonas milieu de Hansen et Bonde pour les Aeromonas bile esculine ou Slanetz pour les streptocoques milieu TIC pour les colifomes Baird parker pourles sta phylocoques Temp rature ettemps d incubation 22 C pendant 72 h eten parall le 37 C pendant 24 h 41 C pendant 48 h pourle milieu c trimide 44 C pendant 24 48h pour les coliformesthemnotol rants 37 C pendant 24 48 h pourl
3. 0 5 t au choix 0 5 40 0 0 CP CP 0 5 2 CP 0 5 1 CP 0 5 2 t Temps Ce type de mesure peut tre effectu en casde probl me dans un bloc op ratoire voire ventuellement une fois paran Version 1 Novembre 1998 page 13 13 Fiche 5 Eau de boisson eau du r seau et fontaine r frig rante Le d cret 89 3 du 3 janvier 1989 ayant abrog le d cret n 61 859 du ler a ut 1961 la p riodicit des contr les faisant r f rence 3fois paran est caduque II revient chaque tablissement d tablirsa propre fr quence de contr le sachant que l article L 19 du Code de la Sant Publique pr cise sans pr judice des dispositions dessectionsl et ll au pr sent chapitre et de celles qui r gissent les entreprises exploitant les eaux min rales quiconque offre au public de l eau en vue de l alimentation humaine titre on reux ou titre gratuit et sous quelque forme que ce soit y comprisla glace alimentaire est tenu de sassurerque cette eau est propre la consommation Quantit e 500 ml 300 600 ml selon les recherches Modalit s e Apr spurge d au moinsune minute d bit normal du robinet e Ne pasfaire d couvillonnage pr alable ne pasflamber ne pas d sinfecter pour tre dans les conditions normales d utilisation e Noterl heure etle lieu du pr l vement l identit du pr leveur le motif de la demande syst matique ou probl me particulier Hac on utilis
4. e Potabilit de type B2 e Sirecherche de l gionelles gt cf Norme AFNOR NF 90 131 e Sirecherche de mycobact ries atypiques technique mise au point par chaque laboratoire sp cialis Milieux e 2g loses d nombrement inclusion d 1 ml et filtration de 100ml sur milieux sp cifiques milieu c trimide pour les Pseudomonas milieu de Hansen et Bonde pourles Aeromonas bile esculine ou Slanetz pourles streptocoques milieu TIC pourles coliformes e Milieu GVPC pourlesl gionelles e M lange contenant 50ml de soude 496 50ml de citrate de sodium 2 9 et 0 5g de N ac tyl L cyst ine pourles mycobact ries atypiques Version 1 Novembre 1998 page 19 19 Fiche 8 suite Temp rature et temps d inc ubation e 22 C pendant 72heten parall le 37 C pendant 24h e 41 C pendant 48h pourle milieu c trimide e 44 C pendant 24 48 h pourlescoliformes thermotol rants e 37 C pendant 24 48 h pourlesstreptocoques f caux e selon la norme AFNOR etla technique du laboratoire pourles l gionelles et les mycobact ries atypiques Interpr tation Num ration Inf rieure ou gale 10 UFC ml 37 C Inf rieure ou gale 100 UFC ml 22 C Inf rieure ou gale 1000 UFC litre pour les l gionelles Absence de colifomesthemmotol rants de streptocoquesf caux dans 100ml de mycobact ries atypiques e Pourlesrecherches sp cifiques en l absence de normes il revient chaque tablisse
5. ne hospitali re pratique Dauphin A Darbord JC Ed M dicales Intemationales 1998 2 Guide technique d hygi ne hospitali re Girard R Mounet D Fabry J CCLIN Sud Est Ed Fondation Marcel M rieux 1993 3 Guide du bionettoyage Commission Centrale des March s GPEM SL Recommandations n E 1 90 Direction des J oumaux Officiels Paris R impression 1994 4 Manuel de bact riologie clinique Freney J Renaud F Hansen W Bollet C Volume 1 Deuxi me dition Collection Option BIO 5 D cret n 89 3 du 3 janvier 1989 relatif aux eaux destin es la consommation humaine l exclusion des eaux min rales naturelles J O du 4 janvier 1989 modifi parle d cret n 90 330 du 10 avril 1990 6 DRASS Rh ne Alpes CO TEREHOS Mars 1995 l eau et ssusages 7 Groupe Eau Sant Eau Usage M dical D finitions et interpr tations pratiques J anvier 1998 ASTA MEDICA 8 Traitement de l airen milieu hospitalier Les guides pratiques d Uniclima 1997 Version 1 Novembre 1998 page 30 30
6. 2 500 Cesvaleurs sont donn es titre indicatif et constituent un niveau moyen de contamination Version 1 Novembre 1998 page 12 12 Le tableau d quivalence ci dessousindique comment convertir cette norme en norme am ricaine US Fed St 209 E 1992 FS 209 E pied cube X 44 101 m3 100 000 4 000 000 10 000 40 000 4000 La fr quence des pr l vements est fonction du type de salle et de l activit chirurgicale qui y est men e Il sagit avanttout de d terminer destendances et de d tecterd ventuelles d viations parrapport au niveau moyen fix Toute d viation significative doit entra ner une enqu te imm diate pour en d terminer l origine et appliquerles actions devant y rem dier Les classes des cin tiques de d contamination partic ulaire Pour valuer l efficacit du traitement d air il estimportant de savoir comment l airde la salle d op ration r agiten casde contamination ponctuelle de l airambiant Pource faire le principe consiste injecter dansla salle une a rocontamination artificielle puis mesurer au cours du tempsla d croissance de cette contamination La mesure particulaire est la plus simple etla plus expressive mais des mesures bact riologiques peuvent aussi tre r alis es La nome AFNOR S 90 351 d finit ainsi diff rentes classes Classe de cin tique de Temps n cessaire pour obtenir 90 96 d contamination particulaire CP de d contamination 0 5 um CP
7. 50 ml de soude 496 50 ml citrate de sodium 2 9 96 0 5 g de N ac tyl L cyst ine m langer volume volume filtre et m langer A 5 10 ml billes de verre agiter pendant 20 minutes reprendre le sumageant compl ter 50 ml avec du tampon phosphate pH 6 8 centrifuger 30 minutes 3 000 tours par minute d canter reprendre le culot par 1 ml de tampon phosphate pH 6 8 ensemmencer sur milieu sp cifique Milieu Baird Parker milieu utilis pour la recherche et le d nombrement de Staphylococcus aureus Milieu d shydrat en grammes par litre d eau distill e Iryptone 10 Extrait de levure 1 Extrait de viande 5 Glycocolle 12 Chlorure de lithium 5 Pyruvate de sodium 10 Agar 14 pH final 7 2 0 2 Remarque pour pr t l emploi flacon 100 ml la base doit tre compl ment e en glycocolle et pyruvate Milieu c trimide Formule en grammes par lite d eau distill e Peptone 20 Sulfate dipotassique 10 Chlorure de magn sium 14 C trimide 0 3 Agar 13 6 Glycerol 10 ml pH 7 2 0 2 Milieu pour d nombrement P C A Formule en grammes par litre d eau distill e Peptone 5 Exrait de levure 2 5 Glucose 1 Agar 15 pH final 7 0 0 2 Version 1 Novembre 1998 page 27 27 Fiche milieu de base et milieu comple Milieu Slanetz et Bartle Formule en grammes par lite d eau distill e A Milieu de base Hydrolysa
8. UFC m 415 S 3 pr l vement minimal 1 m Exemple 2 chantillonnage de l air Version 1 Novembre 1998 page9 9 Degr de danger ou de niveau de Niveau cible biocontamination de la zone UFC m Surle plan qualita tif e Sibact rie dominante faire l identification e siflore polymorphe et sup rieure aux seuils ne pasfaire d identification et repr lever Si confirmation du mauvais r sultat rechercher l origine de cette contamination e siflore fongique d nombrer 48 h et 7 jours identifier les Aspergillus Version 1 Novembre 1998 page 10 10 Fiche 4 Comptage particulaire Le comptage particulaire ne fait pas partie des contr les microbiologiques mais peut tre un compl ment L airne contient pas seulement des micro organismes Il est envahi parune multitude de particules c estla contamination particulaire La contamination microbienne et particulaire peut avoir une origine humaine ou bien provenir d autres sources mat riel v tements literie L origine humaine Elle est essentielle la fois par son importance num rique et par son r le ventuellement pathog ne En effet l tre humain dans descirconstances parfaitement physiologiques respiration desquamation met autourde lui en permanence un v ritable nuage de particules On a pu donnerleschiffres suivants pourles particules de 0 5 micron et plus au repostotal 10 000 particules minute en remuant la t t
9. de surface et d air Le groupe ne sest volontairement pas positionn en terme de fr quence de cespr l vements En effet hormis ceux qui sont impos s parla l gislation il est difficile de d finirune fr quence id ale applicable toutesles institutions de soins et de pr vention Il appartient au CLIN de chaque tablissement de d finirses exigences en la mati re Dans sa d cision il doit diff rencierlesobjectifs de ces pr l vements qui peuvent tre r alis s vis e p dagogique lors d une enqu te pid miologique pour le contr le du bon fonctionnement d une installation pourle contr le de l efficacit d une proc dure En tout tat de cause les contr les de l environnement sont faits pour s assurer de la qualit d une proc dure programm e et mise en oeuvre et non pour attester de la non qualit d une absence de proc dure Cesconseils pratiques sont destin s en priorit aux biologistes des tablissementstravaillant en collaboration avec les CLIN habitu s la bact riologie m dicale mais moins familiers avec celle de l environnement En effet une des limites observ es actuellement dans le domaine de la microbiologie de l environnement est l absence de standardisation destechniquesde pr l vements et d analyse ce qui rend l interpr tation de certains r sultats difficiles pour les services concem s Version 1 Novembre 1998 page3 3 SOMMAIRE Introduction
10. faisceau lumineux vient perturber la transmission de celui ci En pratique on utilise un faisceau laser et on mesure le nombre de d viations lorsqu un certain volume d air passe dansce faisceau L amplitude de chaque d viation est proportionnelle la taille de la particule Il est donc possible de compterle nombre de particules dont la taille est sup rieure une valeurde r f rence Le seuil le plus bas que permet cette m thode est de 0 3 micron La taille des micro organismes tant sup rieure ce seuil on est assur qu ils seront d nombr s par cette m thode La mesure est locale et n cessite quelques minutes Elle peut tre effectu e tr s simplement et enregistr e m me au voisinage d un champ op ratoire Les diff rentes classifications de l air Les classes d empoussi rement particulaire On sait que plusla contamination particulaire est faible plus le risque d robiocontamination est diminu Il existe des nomes qui permettent de classer les locaux en fonction du nombre de particules mesur On peut donc parerde classes d empoussi rement la classe d une zone contamination contr l e est d finie par le nombre de particules pr sentes dansun volume et la taille de ces partic ules La nomme AFNOR X 44 101 juin 1981 d finit ainsi Classe Concentration maximale en nombre d empoussi rement de particules par m3 pour les niveaux m sn 4 000 000 4 000 000 25 000 400 000 400 000
11. j t uniformis e l int rieurdu CCLIN dansle cadre du groupe de travail surl eau et plus particuli rement sur la glace alimentaire cf fiche 14 Version 1 Novembre 1998 page 24 24 Fiche 12 Sensibilit aux antibiotiques et aux d sinfectants Int r t de la biologie mol culaire Pasde recherche syst matique maisen fonction de l cologie et des donn es pid miologiques telle ou telle r sistance pourra tre recherch e En casde probl me r v l pardes mauvaisr sultats d environnement non li s aux protocoles on peut tre amen v rifierl efficacit desd sinfectants sur telle ou telle souche Le choix de conserver ou non les souches sera fait en fonction de l cologie de l tablissement ou d un contexte pid miologique pour analyse compl mentaire Lorsqu on est en pr sence de souchespathog nes identiques dans l environnement et chez les maladeset ou en casd pid mie il convient de les comparerparune technique adapt e de typage mol culaire ex ECP RAPD etc Cela peut permettre la mise en vidence d une voie de transmission d un r servoir et peut confirmer ou infimerune pid mie Groupe CCLIN Sud Ouest concerant les marqueurs mol culaires des Infections Nosocomiales Coordonnateur Monsieur le Professeur FAUC HERE CHU de Poitiers Laboratoires participants CHU de Bordeaux Pr BEBEAR Facult de Pha macie Universit Bordeaux l Pr QUENTIN CHU de Limoges Pr DENI
12. CONSE CRT ec YRd clu GERNE UE CREME ndn VENT Page 25 Fiche 13 Envoi des r sultats Page 26 Fiche 14 Lexique des milieux utilis s Page 27 R f rences bibliographiques Page 30 Version 1 Novembre 1998 page4 4 Fiche 1 Pr l vement de surface par application de boite de type counttact gt Existence d un projet de Norme Europ enne portant la r f rence francaise NF EN 1632 3 intitul e M thodes d analyse et de mesurage de la biocontamination des surfaces dans les zones risques Ce projeta t labor parle Comit Technique CEN TC 243 lt Technologie des salles propres gt Type de surface e Toute surface plane lisse et s che Modalit s Noter les conditions du pr l vement avant ou apr s nettoyage et ou d sinfection traitement d air en fonctionnement ou non conditions d utilisation du local etc l heure et le lieu Mat riel utilis e Boite type counttact poss dant un m nisque de milieu de culture convexe et offrant une surface de contact d au moins 20 cm2 e Applicateur permettant de standardiserle pr l vement Force d appui de 25g cm2 pendant 10 secondes D lai d acheminement et transport e 24 heures maximum temp rature ambiante Milieu e Milie
13. S CHU de Toulouse Purpan Pr DABERNAT CHU de Toulouse Rangueil Pr MARTY Version 1 Novembre 1998 page 25 25 Fiche 13 Envoi des r sultats Les r sultats sont envoy s aux responsables des services concem s dont la d signation revient la charge du CLIN accompagn sd un commentaire c rit parle biologiste L interpr tation de ces r sultats tient compte e Des param tres spatio temporels des pr l vements e De l objectif recherch De la comparaison des r sultats qualitatifs et quantitatifs e Desr sultats pr c dents Tout r sultat mettant en jeu un risque infectieux imm diat doit tre signal le plus rapidement possible Les mesures correctives pourront ainsi tre envisag es au plus vite avec les services concem s Lorsque descontr les sont r alis s vis e p dagogique il faut s assurer que leur diffusion fait bien l objet de la r flexion surla pratique souhait e en mati re de nettoyage et de d sinfection deslocaux Dansce cadre la participation de repr sentants de l unit d hygi ne hospitali re et ou d une conseill re technique une r union avec l quipe concem e est souhaitable Version 1 Novembre 1998 page 26 26 Fiche 14 Lexique des neutralisants et des milieux utilis s Milieu pour recherche de mycobact ries exemple de technique filtrer 100 ml sur filtre 0 45 um Traiter le filtre comme un crachat p parerextemporan ment le m lange A suivant
14. SUD e o e e au CENTRE NOSOCOMIALES CONCEO OLSS mrcrobrOoLloguiques en hygi ne hospitali re Conseils pratiques CCLIN Sud Ouest Liste des participants au groupe de travail Responsable du groupe de travail Madame le Docteur Catherine QUESNEL M decin Hygi niste CHU de BO RDEA UX e Madame le Docteur H l ne BOULESTREAU M decin Hygi niste CHU de BORDEAUX e Monsieur le Docteur Olivier CASTEL M decin Hygi niste CHU de POITIERS e Madame Mich le FENOT Biologiste H pital SAINTJ EAN DE LUZ Centre Hospitalier de la C te Basque e Madame le Professeur Nicole MARTY Pr sident du CLIN CHU de Toulouse Rangueil e Madame le Docteur Marcelle MOUNIER Pha rmacien Hygi niste C HU de LIMOGES e Madame le Docteur Anne Marie ROGUES M decin Hygi niste C HU de BORDEAUX e Madame Christine ROQUES Pha macien Facult de Pharmacie TOULOUSE e Madame le Docteur Isabelle SEC HER Pharmacien Hygi niste CH d ANGOULEME e Monsieur Charles TAMARELLE Biologiste CH de LANGON e Monsieur le Docteur Xavier VERDEIL M decin Hygi niste CHU de Toulouse Purpan Version 1 Novembre 1998 page2 2 Introduction Au teme de sa r flexion le groupe de travail propose dansce document les conseils qui lui sont apparus essentiels pour tablir dans chaque tablissement une strat gie adapt e concemant les contr les mic robiologiques de l environnement en particulier les contr les d eau
15. au ultra propre Groupe Eau Sant Quantit e 100ml Modalit s e Ne pasflamber ne pas d sinfecter e Apr s purge d au moinsune minute d bit normal du robinet e Noterlesrenseignements permettant de s assurer de la tra abilit du filtre n du filtre nombre de st rilisations date et heure de pose etc e Noterl heure du pr l vement le lieu n de l auge etc l identit du pr leveur Hacon utilis e St rile avec thiosulfate de sodium concentration finale 0 5 99 D lai d acheminement et transport e Inf rieur une demi heure de pr f rence Si sup rieur une demi heure transport 4 C Pr stockage e 4 C inf rieur ou gal 12 heures Technique e Homog n iser avant d ensemencer Filtration de 100ml Milieu e G lose d nombrement Temp rature ettemps d incubation e 22 C pendant au moins 72 heures e ou 37 C pendant 24 heures et 22 C pendant 48 heures Version 1 Novembre 1998 page 16 16 Interpr tation e a num ration doit tre inf rieure ou gale 10 UFC 100ml e La num ration permet d valuerle bon fonctionnement du filtre l identification importe peu dansce cas e Sinum ration sup rieure contr lerle dispositif de microfiltration Version 1 Novembre 1998 page 17 17 Fiche 7 Eau du r seau non filtr e pour lavage chirurgical des mains Identique la fiche 5 pourl aspecttechnique du pr l vement et la r f rence au d no
16. brement et ou flore fongique la demande milieu au malte e Ne pasutiliserde milieux enrichis par exemple g lose au sang Temp rature ettemps d incubation e flore totale 24h 37 C 6 jours 22 C Le projet de norme propose 3 jours une temp rature comprise entre 25 C et 30 C plus 3 autres jours temp rature ambiante e flore fongique pour Aspergillus fumigatus 44 C pendant 48h pourles autres temp rature ambiante pendant 7 jours Interpr tation Sur le plan quantitatif e D nombrerles UFC m et comparer le r sultat aux r sultats ant rieurs et la classe bact riologique du local pr lev A titre indicatif e B5 traitement d air de type flux la minaire e B20 traitement d air de type plafond soufflant e B100 classique B indique qu il sagit d une classe bact riologique Le chiffre qui suit indique le nombre maximum d UFC m3 rencontr dansl air contr l Le projet de norme 1632 4 donne deux exemples d enregistrements de niveaux cibles en pr cisant bien que dansle syst me ADPCM analyse despoints critiques maitrisables l utilisateur d termine lui m me les niveaux cibles de biocontamination Les exemples suivants montrent comment les donn es de biocontamination de l air relatives diff rentes zones risque peuvent tre mises en corr lation et enregistr es Exemple 1 chantillonnage de l air Degr de danger ou de niveau de Niveau cible biocontamination de la zone
17. e et les bras 500 000 particules minute en se d pla ant l g rement 5 millions minute Le nombre de germesainsi d termin donne une indication de la biocontamination l homme agit donc comme source de contamination et comme agent de transfert L environnement La pr sence de particules peut tre due la p n tration de l air ext rieur parexemple en casde filtration d fectueuse ou de probl me de diff rence de pression l tat dessurfacesdeslocaux sol mur Le mat riel e lesmachines la plupart des machines utilis es comportent des pi ces en mouvement qui produisent des particules e Le petit mat riel certains objets en plastique notamment ont la propri t d tre lectrostatiques c est dire de se chargerd lectricit par frottement et ainsi d attirer et de fixer les particules de poussi re Il existe dansleslocaux hospitaliers une relation entre l a robiocontamination et la contamination partic ulaire Il est cependant tr s difficile d tablir un rapport entre le nombre de particules et le nombre de gemes dansl air ambiant cela d pend deszoneset de l activit qui sy d veloppe Approximativement on a une probabilit de trouver un micro organisme pour 100 000 particules Verson 1 Novembre 1998 page 11 11 M thode de mesure de la contamination particulaire La m thode la plus simple utilise un compteur de particules dont le principe est le suivant toute particule passant dansun
18. echnique e Homog n iser avant d ensemencer e Num ration desbact ries a robies revivifiables inclusion de 1 ml e Recherche de coliformesthermotol rants et de coliformestotaux de streptocoques f caux e Recherche de Pseudomonaset de Staphylococcus aureus sur 100 ml Milieux e G lose d nombrement milieu TIC pourles coliformes milieu c trimide pour les Pseudomonas Baird Parker pour les Sta phylocoques milieu pour les Streptocoquesf caux Temp rature ettemps d incubation e 41 C pourPseudomonas pendant 48 h 37 C pendant 24 h et 48h 22 C pourla num ration 44 C pendant 24 48h pour les coliformes thermotol rants 37 C pendant 48 h pour Staphylococcus aureus les colifommestotaux et les Streptocoquesf caux Interpr tation e Num ration inf rieure 100 UFC par ml e Absence de Pseudomonas de Staphylococcus aureus de streptocoques f c a ux e Coliformestotaux inf rieurs 10 100ml absence de coliformes thermotol rants dans 100ml Version 1 Novembre 1998 page 23 23 Fiche 11 Legionelles La recherche de l gionelles dans une eau fait r f rence deux textes officiels la norme NF 90 431 de novembre 1993 qui en donne le mode op ratoire la circulaire DGS 97 311 du 24 avril 1997 qui donne la conduite teniren casde l gionellose dans un tablissement et fixant un seuil de 107 litre Mycobact res atypiques La technique de recherche desmycobact ries atypique a d
19. esstreptocoquesf caux Interpr tation Num ration inf rieure ou gale 10 UFC ml 37 C inf rieure ou gale 100 UFC ml 22 C Absence de colifomesthemmotol rants de streptocoquesf caux dans 100ml Pour les recherches sp cifiques en l absence de nomes il revient chaque tablissement de r fl chir aux seuils qu il ne veut pasd passeren fonction des probl mes d j rencontr s dans l tablissement Inclusion placer 1 ml de l chantillon homog n is dansune boite de P tri st rile Verser rapidement 10 15 ml de milieu de culture fondu et ramen la temp rature de 45 C environ Homog n iser parfaitement Apr s solidification recouvriravec une couche de g lose laisser solidifier retoumer les boites et les inc uber dans cette position Version 1 Novembre 1998 page 15 15 Fiche 6 Eau microfilti e Eau obtenue apr s une technique de microfiltration Le plus souvent elle est produite l aide de filtres cran de tr s grande surface de filtration et de seuil d arr t absolu de 0 2 um comme lors d une filtration st rilisante En milieu hospitalier l eau obtenue danscesconditions ne peut tre qualifi e de st rile car cela n cessiterait de la produire et de la r partir imm diatement en flacons sous asepsie rigoureuse dansun environnement contr l Le CO TEREHO S recommande la microfiltration 0 2 um pourobtenirl eau bact riologiquement ma tris e de qualit 2 dite e
20. fectieux Elle diff re quelque peu de celle du guide de bionettoyage tout en gardant la m me graduation du risque Le projet de norme cit ci dessus donne desexemplesd enregistrement de niveaux cibles le niveau 4 correspond ici auxlocauxles plus risque ll appartient chaque CLIN de d teminer desniveaux cibles diff rents en fonction du degr de dangerde biocontamination de la zone et de la surface concem esparle pr levement Les exemples suivants montrent comment les donn es de biocontamination de surface relatives diff rentes zones risque peuvent tre mises en corr lation et enregistr es Exemple 1 Degr de danger ou de niveau de Niveau cible biocontamination de la zone UFC 100 cm lt 1000 gt 10 000 Exemple 2 Degr de danger ou de niveau de Niveau cible biocontamination de la zone UFC 100 cm 2 2000 Danger traduit de l anglaiss entend au sensde risque Version 1 Novembre 1998 page6 6 Fiche 2 Pr l vement de surface par couvillonnage Tpe de surface e Altemative aux boites de type count tact pour les zones difficiles d acc s ou r alis en compl ment de cesboites pourune recherche sp cifique parexemple recherche de Clostrid ium Modalit s e Humidifier les couvillons eau distill e st rile s rum physiologique bouillon nutritif plus neutralisa nt thioglycolate pour Clostridium Passer l couvillon en stries parall les rapproch es en faisant t
21. ion contenant 596 de jaune d oeuf frais v v 496de polysorbate 80 v v pr paration contenant 796 de condensat d oxyde d thyl ne en alcool gras m v 296de l cithine m v 496de polysorbate 80 v v pr paration contenant 4 de condensat d oxyde d thyl ne suralcool gras m v 496de l cithine Pour les ald hydes pr paration contenant 3 de polysorbate 80 v v 0 3 de l cithine m v 0 1 de L histidine m v glycine en fonction de la concentration du produit Pour les ammoniums quatemaires jaune d oeuf frais dilu 5 v v pr paration contenant 5 de jaune d oeuf frais v v 3 de polysorbate 80 v v pr paration contenant 3 de condensat d oxyde d thyl ne suralcool gras m v 296de l cithine m v pr paration contenant 10 d une mulsion de phospholipides 50 mg ml m v Pour les organo mercuriels et les produits contenant d autres m taux lourds thioglycolate de sodium 0 05 ou 0 596 m v L cyst ine 0 0896 ou 0 1596 m v acide thiomalique 0 075 96 v v ramen pH 7 parl hydroxyde de sodium Pour les d riv s halog n s hypoclorite chloramine T iodophores etc Thiosulfate de sodium 0 5 m v Pour les p roxydes Catalase t Pour ces deux enzymes une unit catalyse la d composition de 1 4 mole de J p roxyde d hydrog ne par minute 25 et pH 7 P roxydase Version 1 Novembre 1998 page 29 29 REfErences bibliographiques 1 Hygi
22. mbrement des micro organismes Il convient d y ajouterla recherche de Pseudomonasaeruginosa de Staphylococcusaureus d Aeromonas et d autres bact ries sp cifiques selon l cologie de l tablissement L interpr tation est identique celle de la fiche 5 pourle d nombrement des germestotaux avec en plusabsence desgermes Cit s ci dessus Version 1 Novembre 1998 page 18 18 Fiche 8 Eau du r seau non filtr e pour le rin age des endoscopes La circulaire d avril 1996 fait r f rence au d cret 89 3 d sle premier rin age de l endoscope Ces pr l vements peuvent tre compl t s pardes recherches de l gionnelles et de mycobact ries selon le type d endoscopie cf fiche 11 Quantit e 500ml au minimum e Sirecherche de l gionelles 1 litre au minimum en plus e Sirecherche de mycobact ries atypiques 1 litre au minimum en plus Modalit s e Apr spurge d au moinsune minute d bit normal du robinet e Ne pasfaire d couvillonnage pr alable e Noterl heure etle lieu du pr l vement l identit du pr leveur le motif de la demande syst matique ou probl me particulier Flacon utilis e St rile avec thiosulfate de sodium Concentration finale 0 5 D lai d acheminement et transport e Inf rieur une demi heure de pr f rence Si sup rieur une demi heure transport 4 C Pr stockage e 4 C inf rieur ou gal 12 heures Technique e Homog n iseravant d ensemencer
23. ment de r fl chir aux seuils qu il ne veut pasd passeren fonction des probl mes d j rencontr s dans l tablissement Version 1 Novembre 1998 page 20 20 Fiche 9 Glace alimentaire Selon les recommandations du CDC les pr l vements microbiologiques ne semblent pas n cessaires en routine Par contre ils peuvent tre r alis s dansle cadre d une investigation pid miologique Selon le d cret 89 3 la fr quence d analyse de la glace alimentaire est de 3 fois paran Quantit e qsp 500ml Modalit s e Noterl heure du pr l vement le lieu le num ro de la machine l identit du pr leveur Hacon utilis e St rile ouverture large avec thiosulfate de sodium 0 5 96 D lai d acheminement et transport e Inf rieur au temps de fonte totale Pr stockage e 4 4 C 12 heures maximum apr s la fonte totale Technique e Homog n iseravant d ensemencer e Potabilit de type B3 coliformes thermotol rants streptocoques f c aux d nombrement des bact ries revivifiables 22 C et 37 C sporesde bact ries ana robies sulfitor ductric es e Autre recherche sp cifique si investigation pid miologique Milieux e G lose d nombrement et milieux sp cifiques pour les streptocoques les colifo mes et les ana robies sulfitor ducteurs e Autre milieu conforme une recherche particuli re Temp rature ettemps d incubation e 22 C pendant au moinstrois jours ou 37 C
24. oumer l g rement l couvillon mouill R p terl chantillonnage de la m me zone pardesstries perpendiculaires aux premi res e Noterles conditions de pr l vements Mat riel utilis e Ecouvillon st rile D lai d acheminement e Si sup rieur 4h mettre 4 C Technique e Soit ensemencer directement l couvillon sur milieux choisis dansle cas d une recherche cibl e e Soit faire une subculture et ensemencer sur milieux s lectifs e Soit faire une dilution au dixi me et ensemencer sur milieux choisis si empoussi rement important Temp rature ettemps d incubation e En fonction desbact rieset desfongiques recherch s Interpr tation e l sagitd un r sultat qualitatif qui pr sente surtout un int r t p dagogique et pid miologique Version 1 Novembre 1998 page 7 7 Fiche 3 Contr le de l a robioc ontamination Existence d un projet de Norme Europ enne portant la r f rence francaise NF EN 1632 4 intitul e M thodes d analyse et de mesurage de l a robiocontamination en zone risques Ce projet a t labor parle Comit Technique C EN TC 243 Technologie des salles propres Type d air e Airdeszones empoussi rement contr l Quantit Sup rieur 500 litres Modalit s e est essentiel d utiliser des dispositifs actifs d chantilonnage de l airpour valuerla qualit microbienne de cet air La technique par s dimentation sur boite ne doit donc pl
25. pendant 24 heureset 22 C pendant 48 heures 41 C pendant 48 heures pourle c trimide 44 C pourlescoliformesthermotol rants 37 C pendant 48 heures pour les ana robies Interpr tation e num ration inf rieure ou gale 10 UFC ml 37 C inf rieure ou gale 100 UFC ml 22 C e Absence de coliformes thermotol rants de streptocoquesf caux dans 100ml e nf rieurou gale une spore d ana robies sulfito r ducteurs 20ml Verson 1 Novembre 1998 page 21 21 Fiche 10 Eau des piscines de r ducation Fr quence des pr l vements adapter en fonction de la fr quentation Les piscines de r ducation ne sont pas soumises aux obligations d finies parle d cret 81 324 du 7 avril 1981 fixant les normes d hygi ne et de s curit applicables aux piscines et baignadesam nag es En l absence de normes sp cifiques les crit res des piscines publiques peuvent tre appliqu es Quantit e 600ml Modalit s e Noterl heure du pr l vement e Pr lever 20 cm du bord et 30 cm de profondeur e Ne paspr leveren surface e A l ouverture de la piscine Hac on utilis e St rile avec thiosulfate de sodium 3 avec ouverture adapt e un pr l vement sous la surface de l eau D lai d acheminement et transport e Inf rieur une demi heure de pr f rence Si sup rieur une demi heure transport 4 C Pr stockage e 4 C inf rieur ou gal 12 heures T
26. t trypsique de cas ine Extrait de levure Glucose Phosphate disodique Azide de sodium Agar A Milieu complet m me formule que milieu de base Chlorure de triph mylt tra zolium T T C pH final 7 2 0 2 Milieu pour recherche des Aeromonas dans les eaux Milieu de Hansen et Bone 1973 Bacto Beef extract Bacto peptone Agar Eau distill e PH 14 suite 20 0 4 10 0 1 3g 59 15g 900 ml 7 2 Apr sautoclavage 115 et refroidissement aux environs de 45 Celsius ajouterla solution suivante que l on aura fait bouillir quelques minutes Desoxycholate de Na Bleu de bromothymol Amidon Eau distill e Milieu pour rec herche de Clostridium Viande Foie Formule en grammes par lite d eau distill e Base viande foie Glucose Agar pH final 27 6 0 2 Milieu pour la recherche etle d nombrement des coliformes T C Formule en grammes par lite d eau distill e Lactose Peptone Extrait de levure Extrait de viande Bleu de bromothymol Agar pH final 27 2 0 2 3g 0 80 g 10g 100 ml 20 10 0 05 12 75 Version 1 Novembre 1998 page 28 28 Liste non limitative de neutralisants de l activit antibact rienne Pour les produits ph niqu s jaune d oeuf frais dilu 5 ou 0 5 v v pr paration contenant 3 de polysorbate 80 Tween 80 v v 0 496 de lauryl sulfate de sodium m v 0 396de l cithine m v pr parat
27. u pourflore totale avec neutralisant adapt au d sinfectant utilis pour les surfaces Il est rappel que le neutralisant pourle glutarald hyde est base de tween plus l cithine ou histidine 1 396 Ce neutralisant est int ressant en particulier pour les pr l vements r alis s l int rieur des machines laverles endoscopes Temp rature ettemps d incubation 72 heures une temp rature comprise entre 25 C et 30 C Faire une premi re lecture Il est recommand selon le projet de nome de poursuivre l incubation trois autres jours temp rature ambiante e 7 jours temp rature ambiante pour les fongiques Verson 1 Novembre 1998 page5 5 Interpr tation e Les uils sont d finiren fonction destypesde locaux etde leur niveau de risque Il S agit d un comptage simple sans identification en routine en dehorsde recherche cibl e A titre indicatif vous trouverez ci dessous les seuils pr sent s dans le guide du bionettoyage R f 3 0 2 Ces valeurs sont donn es pourune superficie de g lose de 25 centim tres carr s Elles doivent tre consid r es comme des moyennes obtenir et plus important que les valeurs absolues l volution des comptagesest un t moin pr cieux de la qualit du bionettoyage Le groupe de travail du CCLIN Sud Ouest sur l entretien deslocaux des tablissements de soins propose dansle document de septembre 1998 une classification deslocaux selon le risque in
28. us tre utilis e Utiliser un appareil bas sur l impact des particules viables la surface d un milieu nutritif g los e Sil onse r f re la norme NF S 90 351 d cembre 1987 Proc duresde r ception et de contr le des salles d op rations qualit de l air gt l appareil de pr l vement doit r pondre aux exigences minimales suivantes le d bit d aspiration de l appareil de pr l vement ne doit pas tre inf rieur 100l min ce d bit doit rester constant et v rifiable Vitesse d impact de l air pr lev sur les milieux de culture suffisamment lev e pour permettre de pr lever des particules viables de taille sup rieure ou gale environ 1micron et suffisamment faible pourne pas alt rer la viabilit des micro organismes par d t rioration m canique La vitesse d impact doit tre inf rieure 100m s e Le pr leveurs habille conform ment aux recommandations en vigueur dansla zone Hors pr sence humaine et climatisation en marche Ne pas parer Rester calme e Dansle cadre de la norme NF S 90 351 respecter les distances indiqu es e En pratique au minimum au niveau de l endroit prot ger table d intervention e Noterl heure etle lieu ainsi que l identit du pr leveur D lai d acheminement e Sisup rieur 4h mettre 4 C Technique Verson 1 Novembre 1998 page8 8 e Se confomrmerau mode d emploi de l appareil Milieux e Pourflore totale g lose d nom
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