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Français - Parti Nationaliste Suisse

1. Philippe Brennenstuhl Annexes Copie de la lettre Mme Irene Moser du 21 janvier 2004 Pages 3298 3374 du Rapport de la Commission des institutions politiques du Conseil national du 1 mars 2001 19 pa RM Les e ln L AE og gr Mine der e oa AE 2 Aa DLL BEC L Se fr ee LATE 20 Nationalrat Conseil national Consiglio nazionale Cussegi naziunal A Monsieur Philippe Georges Brennenstuhl Fr Commission de gestion 1337 Vallorbe CH 3003 Beme www parlement Ch Le 12 f vrier 2004 Vos courriers du 25 ao t 2003 du 21 janvier 2004 et du 29 janvier 2004 Monsieur Nous avons pris connaissance de vos lettres dat es du 25 ao t 2003 du 21 janvier 2004 et du 28 janvier 2004 adress es au secr tariat des Commissions de gestion ainsi qu aux membres des Commissions de gestion et qui portent sur un arr t de la l re Cour de droit public du Tribunal f d ral Dans sa r ponse du 13 janvier 2003 notre collaboratrice Madame Irene Moser a pris position en d tail sur l objet de votre plainte comme elle en a d ailleurs pleine comp tence et vous a donn connaissance de la pratique des Commissions de gestion l gard des requ tes touchant la jurisprudence du Tribunal f d ral La Constitution f d rale cst exige en effet que les autorit s judiciaires soient ind pendantes du pouvoir politique dans l exercice de leurs comp tences juridictionnelles art 30 al 1 et art 191c de la cst
2. Appel p nal du Canton de Fribourg fond sur l art 261bis CP Vu l extr me importance et l int r t national de la cause soulev e par mon recours celui ci a t formellement adress la Cour pl ni re du Tribunal f d ral conform ment aux dispositions l gales suivantes 1 La Cour pl ni re doit r soudre des probl mes juridiques int ressant l ensemble du Tribunal f d ral R glement du Tribunal f d ral Chapitre 4 Cour pl ni re Art 19 al 1 6 2 Ilincombe la Cour pl ni re de d cider du contenu des prises de position particuli rement importantes et de statuer sur une proposition soumettre l Assembl e f d rale une demande qui a t express ment formul e dans mon Recours R glement du Tribunal f d ral Chapitre 4 Cour pl ni re Art 19 al 1 9 10 3 La Cour de cassation p nale du Tribunal f d ral est impliqu e dans la me sure o elle conna t des Recours de droit public en mati re p nale pour violations des Art 9 et 29 de la Constitution griefs qui font partie int grante de mon Recours de droit public adress la Cour pl ni re du Tribunal f d ral R glement du Tribunal f d ral Chapitre 2 Art 7 Cour de cassation p nale al 2 En date du 23 juillet 2003 la Premi re Cour de droit public du Tribunal f d ral a rendu un arr t nonobstant le fait que mon Recours a t adress la Cour pl ni re du Tribunal f d ral En cons quence j
3. Assembl e f d rale Ser vices du Parlement Commissions de gestion pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral annexe 1 Le 13 janvier 2004 Mme Irene Moser collaboratrice scientifique du secr tariat m a inform que les Commissions de gestion ne peuvent pas donner suite ma requ te Annexe 2 Il s agit l d un document falsifi 31 Premi re falsification Mme Moser crit Conform ment votre demande nous avons examin votre lettre du 25 ao t 2003 concernant l arr t 1P 395 2003 de la 1re Cour de droit public du Tribunal f d ral De mani re rus e Mme Moser en crivant nous avons donne l illusion que ce sont effectivement les membres des Commissions de gestion sans cela qui d autre qui ont examin ma plainte Or de toute vidence ceux ci n ont jamais vu mon dossier Cette collaboratrice scientifique m a donc tromp Deuxi me falsification Mme Moser explique que la haute surveillance sur les tribunaux f d raux exer c e parles Commissions de gestion se limite aux questions de gestion d ordre g n ral L encore Mme Moser commet une tromperie et ce intentionnellement puisqu elle simule un motif qui servira rejeter ma plainte Ce motif est double ment manipul d une part Mme Moser banalise de mani re crasse les dispo sitions du l gislateur haute surveillance selon la l galit la r gularit et l opportunit art 26 LParl et d autre part elle o
4. C est pourquoi la doctrine et la pratique estiment que dans le cadre de la haute surveillance parlementaire l Assembl e f d rale et ses Commissions de gestion ont des comp tences limit es l gard des tribunaux f d raux Leur t che consiste s assurer que le Tribunal f d rat rende la justice dans des d lais raisonnables et que les r gles essentielles de proc dure soient respect es Mis part les situations de d ni de justice de retards injustifi s et de proc dures extr mement longues les Commissions de gestion ne contr lent pas les d cisions prises par le Tribunal f d ral dans des cas d esp ce Les commissions examinent en revanche les tendances g n rales de la jurisprudence du Tribunal f d ral de mani re pouvoir engager le cas ch ant et si cela s av re n cessaire des proc dures de r vision l gislative Pour plus de d taits sur la question nous nous permettons de vous renvoyer au rapport que la Commission de gestion du Conseil des Etats a publi le 28 juin 2002 sur ta haute surveillance parlementaire sur les tribunaux f d raux FF 2002 7077 Nous renon ons prendre position sur les remarques personnelles et autres digressions d velopp es dans vos courriers des 21 et 29 janvier 2004 et qui dans le ton et la forme sont sans relation avec la controverse du d bat 21 p L La pr sente met un terme d finitif au dossier auquel il ne sera donn aucune autre suite Veuillez agr er
5. devenant peu peu une industrie extraordinaire et terrible Le prix du sang fait la fortune d une aristocratie patricienne oligarchie ce qui suscite le m contentement de la population vivant elle dans une pauvret extr me L important trafic de troupes en Europe profite surtout aux banquiers apatrides et cosmopolites leur permettant d difier d s le18 Si cle un empire bancaire international avec la perspective de contr ler un jour toute la fortune mondiale Cette mondialisation de l argent va de pair avec la mondialisation de la pens e issue de l cole dite des Lumi res et nourrie par des forces lucif riennes lllumi natis Pr cisons que l argent et la pens e sont de nature mat rielle D s lors l Ordre sectaire international de la Franc ma onnerie se donne pour mission secr te l exploitation et l asservissement de l homme par la mati re c est dire par l internationalisation des march s ainsi que par la monopolisa tion des marchandises et des services par exemple mass m dias avec pour but final la mise en place d un Gouvernement mondial dominance sioniste D sormais comme aujourd hui la Franc ma onnerie canalise son profit la majorit des forces politiques financi res intellectuelles et religieuses de ce monde en se servant d elles pour propager et mettre en pratique ses id olo gies internationalistes anti patriotiques et anti christiques voire sataniques Sur le pl
6. e la Chambre d accusation 3 La s paration des pouvoirs La th orie politique de la s paration des pouvoirs consiste ce que les trois diff rents pouvoirs l gislative ex cutive justice se surveillent r ciproquement afin d viter un d s quilibre de pouvoir Or ce principe a vol en clats depuis que notre syst me politique a t infiltr par une arm e de juristes qui oeuvrent sournoisement et le plus souvent avec la complicit des partis pour annihiler le pouvoir du souverain au profit du pou voir juridique v ritable cheval de Troie des forces internationalistes et destruc trices de notre pays Un syst me de totalitarisme juridique s est mis en place raison pour laquelle on s est gard d inscrire le principe de la s paration des pouvoirs dans la Constitution et pour cause Quant la Proc dure p nale f d rale il s av re que les modifications dont l astuce d passe largement l honn te citoyen non initi ont t labor es et introduites dans le but d enlever le pouvoir politique au souverain et de le mett re dans les mains du Tribunal f d ral et de sa pl thorique et politiquement incontr lable administration qui sont je vous le rappelle non lus donc non repr sentatifs de notre peuple On peut d ailleurs observer que le juridique a galement pris le pouvoir dans les relations entre l Assembl e f d rale et le Tribunal f d ral et ceci en suivant les m mes m canismes d
7. es de l tranger font na tre en 1848 notre premi re Constitution La d mocratie version ma onnique s impose ainsi sur le territoire des cantons helv tiques formant d sormais un Etat f d ratif dot d un gouvernement pr tendument repr sentatif Comble du cynisme pour constituer le Grand Conseil on cherche et on trouve parmi le patriciat celui qu on pr tend combattre des hommes pr ts participer au nouveau r gime Tout se transforme et rien ne se perd Visiblement le hasard faisant toujours bien les choses le premier pr sident de la Conf d ration suisse Jonas Furrer radical est aussi Grand Orateur la Loge Alpina centrale des loges ma onniques en Suisse On peut se douter que les six autres Conseillers f d raux tous radicaux sont galement franc ma ons L histoire du Parti radical d avant 1848 reste encore d couvrir Actualisation de ce scandale courrier des lecteurs du 3 d cembre 2004 voir page 9 Une co ncidence de plus Dans la m me ann e Karl Marx de son vrai nom Mordechai Marx Levy publie son Manifeste communiste r dig sur commande d une association in vitablement ma onnique l Alliance des communistes avant 1847 Alliance des Justes Ses tudes pr c dentes portent sur une vision historique mat rialiste ce qui en dit d j long sur ses choix id ologiques et surtout sur sa mission Le monde conna tra d sormais deux grandes id ologies pr tendument antago nis
8. j ai adress un recours en mati re de surveillance Aufsichts beschwerde au Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher concernant une viola tion de fonction et un d ni de justice de la part du procureur g n ral art 70 al 1 art 72 b PA Ce recours a t trait par l Office f d ral de la Justice qui a rendu une d cision sur recours le 4 ao t 2004 art 5 al 2 PA II s agit d une d cision d irrecevabilit que j ai contest le 2 septembre 2004 par un recours au Conseil f d ral art 72 a PA Ce recours du 2 septembre 2004 adress au Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher a t transmis votre Service des recours comme objet de votre comp tence en d coule que la r ponse crite de l Office f d ral de la Justice a t consid r e comme une d cision sujette recours Etonnamment en tant que Chef du Service des recours vous affirmez que cette r ponse consiste en une simple lettre informative n est donc pas consti 56 tutive d une d cision au sens de l art 5 PA et ne saurait faire l objet d un re cours administratif au DFJP Si cette affirmation tait correcte la logique et la bonne foi auraient exig le renvoi du dossier au Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher afin que ce dernier puisse charger l autorit de premi re instance c est dire l Office f d ral de la Justice rendre une d cision dans les normes l gales Inepties et d lires Il convient d
9. vard vid o DVD t l vision radio concerts loto etc mais l acc s la v rit est prouvant et fatiguant et demande donc un effort consid rable et s lectif C est seulement ce prix l que le lecteur pourra comprendre en son me et conscience la situation politique de la Suisse le mental de ceux qui pr tendent la gouverner et les forces qui la d truisent A partir de ce constat chacun prendra ou non ses responsabilit s devant cette catastrophique r alit Journal 24 heures Courrier des lecteurs Vendredi 3 d cembre 2004 Parti nationaliste Radicaux balayez devant votre porte Les jeunes radicaux valaisans ont demand d interdire le PNOS Parti des Suisses nationalistes Il est amusant de voir une formation en d clin demander une mesure antid mocratique pour se faire de la publicit sur le dos d un parti patriotique en plein essor Pr sents au gouvernement depuis 1848 les radicaux sont grandement responsables des scandales et du chaos qui r gnent au niveau politique social et conomique De plus ils ont la m moire d ficiente Ces soi disant d mocrates ont bien cach m me leurs propres membres que la s lection interne des candidats au Conseil f d ral passait par une loge secr te ma onnique Les s lections taient conduites par un secr taire perp tuel Roger Givel ex directeur de la d funte BVC Banque Vaudoise de Cr dit Ces pratiques ont t r v l es en 1996 da
10. vrier 2004 de 25 ao t 2008 du 21 et du 29 janvier 2004 aux CdG ainsi que les r ponses des CdG du 13 janvier et du 12 f vrier 2004 302 20704 VD DAKorrespondenz Diverses Correspondance Divers 27 La D l gation administrative constate ce qui suit En examinant votre plainte en mati re de surveillance elle doit analyser la seule question consistant d terminer si la CdG a proc d correctement l examen de la plainte du 25 ao t En revanche il ne rel ve pas de la D l gation administrative d examiner les demandes contenues dans la plainte quant au fond I L Assembl e f d rale exerce la haute surveillance sur le Conseil f d ral et l administration f d rale les tribunaux f d raux et les autres organes ou personnes auxquels sont confi es des t ches de la Conf d ration article 169 de la Constitution f d rale La haute surveillance n englobe pas la comp tence pour abroger ou modifier des d cisions Il est exclu qu il soit proc d un contr le des d cisions prises par un juge quant au fond La loi sur le Parlement pr voit que les Commissions des finances CdF et les CdG assument la haute surveillance parlementaire articles 50 et 52 LParl Les commissions de contr le organisent elles m mes leur travail Elles r glent notamment les comp tences internes des sous commissions et du secr tariat ainsi que la gestion de leurs travaux cet effet Les deux commissions rendent
11. Le Minist re public de la Conf d ration rend dessein une ordonnance manipulatrice et devient ainsi complice d un dysfonctionnement parle mentaire Monsieur le Conseiller f d ral C est en dernier ressort et en vertu de votre haute fonction et responsabilit politiques que je vous demande de prendre personnellement et officiellement position dans cette affaire la situation devenant extr mement grave Les faits Dans ma lettre du 14 mai 2004 j ai inform le Minist re public de la Conf d ra tion de dysfonctionnements qui menacent gravement les int r ts de la Con f d ration II s agit de d lits commis par des agents de la Conf d ration dans l exercice de leur fonction En fait au niveau du Parlement et de ses Commis sions de gestion des fonctions politiques sont ex cut es en catimini par un personnel administratif non lu par le peuple et ce en plus de fa on arbitraire et arrogante cf dossier ci joint Le Minist re public de la Conf d ration apr s une longue r flexion m a r pon du le 5 juillet 2004 par une Ordonnance de ne pas donner suite sign e par M F lix Reinmann procureur f d ral suppl ant 38 Cette Ordonnance est une manipulation de ma d marche car elle est fond e sur une plainte p nale Strafklage qui aurait t d pos e le 19 mai 2004 alors que c est en r alit une d nonciation Strafanzeige que j ai d pos e le 18 mai 2004 Manipulation suspecte Selon le co
12. Monsieur Conform ment votre demande nous avons examin votre lettre du 25 ao t 2003 concer nant l arr t 1P 3895 2003 de la lre Cour de droit public du Tribunal f d ral Vous reprochez au Tribunal f d ral d avoir confi l examen de votre recours de droit public du 7 juillet 2003 la ire Cour de droit public et non la Cour pl ni re comme vous l aviez demand Vous estimez que le Tribunal f d ral a ainsi viol le droit proc dural Vous de mandez donc l Assembl e f d rale qu elle exige de la Cour pl ni re d examiner votre re cours du 7 iuillet et de prendre position sur l ensemble des faits voqu s et des conclusions formul es dans ledit recours Les Commissions de gestion exercent pour le compte de l Assembl e f d rale la haute surveillance sur les tribunaux f d raux Cette surveillance se limite en raison de la s para tion des pouvoirs aux questions de gestion d ordre g n ral Les Commissions de gestion ne sont donc pas habilit es modifier ni annuler les arr ts du Tribunal f d ral Comme le pr cise l art 26 al 4 LParl RS 171 10 il ne peut tre exerc aucun contr le sur le fond des d cisions judiciaires En vertu de l ind pendance judiciaire et de sa comp tence d organisation le Tribunal f d ral a toute latitude pour r partir les comp tences relatives examen des recours Le Parlement ne peut en aucun cas influencer ce genre de d cision ni a fortiori exiger qu un
13. Tribunal f d ral avec annexe Lettre du Secr taire pr sidentiel de la re Cour de droit public du Tribunal f d ral du 15 ao t 2003 Ma lettre du 25 8 2003 au Conseil f d ral concernant suspension de la peine 11 Parlamenisdienste Services du Parlement Servizi del Parlamento Servetschs dal parlament I J Commissions de gestion Monsieur Secr tariat Philippe Georges Brennenstuhl CHrS008 Bee 1337 Vallorbe T l 031 322 97 13 Fax 031 322 98 66 Le 26 ao t 2003 Votre plainte pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral Monsieur Nous accusons r ception de votre requ te du 25 ao t 2008 Les Commissions de gestion tudieront l objet de votre requ te dans le cadre de l activit de haute surveillance qu elles exercent sur le Conseil f d ral et l administration quant leur gestion vous serez inform en temps utile de ia suite des d marches Nous vous prions de croire Monsieur en l assurance de nos sentiments les plus distingu s Le Secr tariat des Commissions de gestion D Ke Natalia Agra 12 Pariamentsdienste Services du Parlement Servizi del Parlamento Servetschs dal parlament m Monsieur E Commissions de gestion Philippe Georges Brennenstuhl Secr tariat 1337 Vallorbe CH 3003 Berne T l 031 322 97 13 25 06 Fax 031 322 98 66 Le 13 janvier 2004 Concerne l arr t du 23 juillet 2003 de la lre Cour de droit public du Tribunal f d ral 1P 395 2003
14. a menti Personne co d nonc e Le 12 f vrier 2004 M Hugo Fasel Pr sident de la Commission de gestion du Conseil national m a adress une lettre annexe 6 dans laquelle il ose affirmer que Mme Irene Moser a pleine comp tence pour prendre position en d tail sur l objet des plaintes sans toutefois indiquer une r f rence de loi ou d ordonnance qui confirmerait que les Commissions de gestion d l guent leur comp tence une secr taire revendiquant le titre de collaboratrice scientifique De plus aus si bien Mme Moser que M Fasel sont dans l incapacit la plus totale de me fournir les noms des personnes qui pourraient se cacher ou qui se cachent derri re le nous avons si elles existent ce qui d montre une manipulation au plus hautniveau M Fasel couvre ainsi les agissements anti d mocratiques de son employ e et les d cisions unilat rales qu elle prend en lieu et place des d put s repr sen tants du souverain charg s de surveiller l thique de nos tribunaux f d raux dont le respect du droit proc dural Par cons quent il faut subsidiairement et pr ventivement accuser M Hugo Fasel de complicit Dans tous les cas sa lettre est la preuve objective que Mme Ir ne Moser s est substitu e de fa on ill gale aux Commissions de gestion 33 Conclusion En fin de compte on peut se demander si le citoyen suisse est r ellement prot g par la haute surveillance que l Assembl e f d rale exerce s
15. ai refus cet arr t par ma lettre du 8 ao t 2003 Le 15 ao t 2003 le secr taire pr sidentiel de la Premi re Cour de droit public du Tribunal f d ral m a inform que mon courrier du 8 ao t ne recevra aucune suite Je n ai donc jamais re u une r ponse de la Cour pl ni re du Tribunal f d ral laquelle je me suis adress en toute l gitimit et de bonne foi Par la pr sente je d pose une plainte formelle aupr s de l Assembl e f d rale pour violation du droit proc dural par le Tribunal f d ral En m me temps je demande l Assembl e f d rale institution politique de haute surveillance du Tribunal f d ral Art 169 Cst et art 21 OJ de renvoyer l arr t du 23 juillet 2003 la Premi re Cour de droit public et d exiger de la Cour pl ni re du Tribunal f d ral de prendre position sur l ensemble des faits voqu s et des conclusi ons formul es dans mon Recours de droit public du 7 juillet 2003 En vous remerciant d avance je vous pr sente Mesdames Messieurs mes salutations distingu es Philippe Brennenstuhl Annexes Jugement de la Cour d appel p nal Fribourg du 4 juin 2003 Mon Recours de droit public du 7 juillet 2003 Ma lettre du 15 juillet 2003 au Pr sident de la Cour pl ni re Arr t de la 1re Cour de droit public du Tribunal f d ral du 23 juillet 2003 Ma lettre du 8 ao t 2003 la 1re Cour de droit public du Tribunal f d ral Ma lettre du 8 ao t 2003 la Cour pl ni re du
16. compte une fois par an aux Chambres des principaux r sultats de leur travail Selon pratique constante la CdG examine les requ tes en mati re de surveillance de la mani re suivante FF 1997 IIl 1222 ss Le secr tariat r pond directement aux requ tes ne relevant pas de la comp tence des CdG ou paraissant manifestement infond es Si le plaignant peut convaincre qu il y a eu erreur d une instance f d rale la requ te est communiqu e au pr sident da la section concern e qui d cidera de la proc dure suivre Le pr sident peut r pondre directement examiner la requ te dans le cadre de la section ou la soumettre en commission pl ni re Ne sont soumises l Assembl e f d rale que les requ tes qui ne constituent pas en premi re ligne une critique de la gestion du Conseil f d ral et de l administration mais qui entrent dans la cat gorie des p titions et qui demandent au Parlement d agir dans le domaine de ses comp tences Selon une pratique constante la CdG n examine dans l exercice de la haute surveillance parlementaire sur les tribunaux que la question de savoir si des principes fondamentaux de proc dure ont t respect s La gestion du travail des tribunaux rel ve quant elle de l ind pendance du juge et ne peut donc pas faire l objet de la haute surveillance exerc e par les Chambres f d rales Pour ces motifs la d l gation administrative rejette l unanimit votre plainte du 20 f vrier
17. d instruction et statue sur la mise en accusation devant les tri bunaux de la Conf d ration art 14 PPF nouvelle teneur Le Minist re public de la Conf d ration est soumis administrativement la surveillance du Conseil f d ral 49 art 100 PPF nouvelle teneur Chacun a qualit pour d noncer les infractions poursuivies d office en vertu de la l gislation f d rale 2Les d nonciations sont adress es par crit ou oralement au Minist re pu blic de la Conf d ration ou un agent de la police judiciaire Il en est dress proc s verbal 3S il n existe pas de motif d ouvrir un enqu te le procureur g n ral d cide de ne donner aucune suite la d nonciation 4l informe le d nonciateur et le pr venu pour autant que celui ci soit connu 5J notifie la d cision la victime au sens de l art 2 de la loi f d rale du 4 oc tobre 1991 sur l aide aux victimes d infractions La victime peut recourir cont re la d cision dans les dix jours aupr s de la Chambre d accusation du Tribu nal f d ral art 105bis PPF nouvelle teneur 2Les op rations et les omissions du procureur g n ral peuvent faire l objet d une plainte devant la Chambre d accusation en vertu des articles 214 219 4 octobre 2002 L art 11 PPF est aboli voir SR 173 71 Loi f d rale sur le Tribunal p nal f d ral LTPF du 4 octobre 2002 voir FF 2001 p 4005 Message concernant la r vision totale de l organisation judi
18. est une plaisanterie de mauvais go t Conclusion Le syst me politique de notre pays est le gardien de la Constitution du Conseil f d ral et du Tribunal f d ral C est le politique qui doit dominer puisqu il mane du peuple Le scientifique est un quatri me pouvoir occulte qui n est pas repr sentatif du peuple et qui impose ses lois non pas par le bon sens humain mais par un scientisme malsain Si tous les Services de l Etat sont touch s par ce probl me notre patrimoine thique culturel et politique sera vite perdu au profit de la nouvelle d mocratie totalitaire Quant la haute surveillance sur les tribunaux f d raux Mme Irene Moser veut nous faire croire que cette surveillance se limite en raison de la trop fameuse s paration des pouvoirs aux questions de gestion d ordre g n ral C est n importe quoi Il est vident que la d claration de la Commission des institutions politi ques du Conseil National Rapport du 1 mars 2001 FF 2001 3298 3374 con cernant l art 26 LParl fait foi J nY a pas opposition entre la n cessit de garan tir l ind pendance des tribunaux f d raux et la pratique des Commissions de gestion depuis de longues ann es selon laquelle celles ci contr lent le respect des principes fondamentaux de proc dure pas de d ni de justice etc En attendant une r ponse provenant r ellement de la Commission de gestion je vous pr sente Madame Monsieur mes salutations distingu es
19. je reproche la Ire Cour de droit public d avoir pris une d cision la place de la Cour pl ni re d cision d irrecevabilit que je conteste d ailleurs aussi sur le fond voir ma lettre du 8 ao t 2003 la Cour pl ni re du Tribunal f d ral Vous estimez que le Tribunal f d ral a ainsi viol le droit proc dural 14 La violation du droit proc dural rel ve de l art 11 de la Loi f d rale d organisation judiciaire OJ Proc dure f d rale selon lequel sont r serv es au tribunal r uni en s ance pl ni re les causes que le r glement lui attribue Ce r glement attribue pr cis ment la s ance pl ni re de r soudre les probl mes juridiques int ressant l ensemble du Tribunal art 19 al 1 6 R glement TF et de statuer sur des propositions soumettre l Assembl e f d rale art 19 al 1 9 R glement TF demande qui a t express ment formul e dans mon recours En plus le droit proc dural est viol dans la mesure o la Cour de cassation p nale galement concern e par mon recours de droit public art 7 al 2 R g lement TF a t mise l cart Vous demandez donc l Assembl e f d rale qu elle exige de la Cour pl ni re d examiner votre recours du 7 juillet et de prendre position sur l ensemble des faits voqu s et des conclusions formul s dans ledit recours En effet je demande l Assembl e f d rale qu elle exige de la Cour pl ni re donc de l ensemb
20. paration des pouvoirs aux questi ons de gestion d ordre g n ral Annexe 3 Dans ma lettre du 21 janvier 2004 j ai fait savoir Mme Moser qu en traitant ma plainte la place des Commissions de gestion elle outrepasse ses droits Je me suis oppos au refus de ma plainte en d montrant l incoh rence et la con tradiction de ses arguments Annexe 4 Le 29 janvier 2004 j ai adress une lettre circulaire chaque membre des Commissions de gestion afin qu ils puissent prendre connaissance de cette affaire Dans cette lettre je me suis r f r la Commission des institutions politiques Rapport du 1er mars 2001 qui a clairement exprim le fait que les Commissions de gestion contr lent le respect des principes fondamentaux de proc dure Annexe 5 24 R ponse de la Commission de gestion du Conseil national du 12 f vrier 2004 Annexe 6 Cette r ponse est sign e par Monsieur Hugo Fasel Conseiller National et pr sident de la Commission de Gestion du Conseil national ainsi que par Mon sieur Philippe Schwab secr taire Je constate que ces deux magistrats s expriment au nom de la Commission de gestion du Conseil national alors que ma plainte a t adress e l Assembl e f d rale donc au Conseil national et au Conseil des Etats En plus les noms et les titres des personnes qui se sont charg es d examiner ma plainte ne m ont pas t communiqu s On peut l gitimement penser que les membres des Commiss
21. tails chronologi ques expos s dans l annexe 2 4 Conclusion Evidemment je conteste la d cision du 4 ao t 2004 rendue par votre D parte ment car 45 il est path tique de voir brandir en permanence la s paration des pouvoirs comme un dogme tatique tout puissant alors qu elle est invers e dans la pratique Preuve en est la nouvelle Proc dure p nale f d rale dont les buts finaux apparaissent maintenant au grand jour ce qui remet totalement en cause le nouvel art 14 PPF sur lequel se fonde la d cision de votre D par tement il est aussi inadmissible que le citoyen qui d nonce des dysfonctionne ments dans l organisation politique de l Etat soit priv de tout moyen de recours juridique et politique contre une d cision d irrecevabilit ill gale du procureur f d ral Les articles 29 et 35 de la Constitution sont viol s il est vident que le procureur g n ral doit tre et rester sous la surveillance et la direction du Conseil f d ral ancien art 14 PPF et que cette surveil lance prend une signification pratique si le procureur g n ral devait lui m me agir en violation de son devoir contre la l galit Message p 1276 comme c est le cas dans l affaire que je soumets votre examen Par ailleurs j estime que le procureur g n ral aurait d embl e d vous trans mettre ma d nonciation concernant les dysfonctionnements au niveau du Par lement et des Commissions de gestion puisque selo
22. 2004 Je vous prie de croire Monsieur l assurance de mes sentiments les plus distingu s Le pr si f Ta jesser Pr sident du Conseil des tats Copie au pr sident des CdG Monsieur le conseiller national Hugo Fasel au secr taire des CdG Monsieur Philippe Schwab 28 Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Monsieur Fritz Schiesser Pr sident du Conseil des Etats D l gation administrative des Chambres f d rales Palais f d ral 3003 Berne Vallorbe le 18 mai 2004 Votre r ponse ma plainte adress e la D l gation administrative de l Assembl e f d rale Monsieur le Pr sident du Conseil des Etats J accuse r ception de votre lettre du 10 mai 2004 dont les incoh rences ne font que confirmer les dysfonctionnements et la trahison au plus haut niveau Il faut se rappeler que cette affaire a commenc par une r action de l gitime d fense d clench e parles attaques ignobles etles insultes contre notre pays venant simultan ment de l int rieur et de l ext rieur Cette r action appropri e aura aujourd hui pour r sultat qu un citoyen suisse n ayant fait que son devoir de patriote en usant de ses droits fondamentaux constitutionnels et ancestraux c est dire de la libert d expression va se retrouver derri re les barreaux trans form de fait en prisonnier politique Au vu de la situation r gionale nationale et internationale c est un scandale qui fera date dans l histoire de
23. 76 estime que cette mesure est justifi e parce que de nouvelles possibilit s tendues de recours la Chambre d accusation du Tri bunal f d ral sont pr vues La modification de l art 100 PPF nous renseignera sur ce point Le nouvel art 100 PPF autorise le procureur g n ral de d cider de ne donner aucune suite une d nonciation Seule la victime au sens de l art 2 de la Loi f d rale sur l aide aux victimes directement atteintes dans leur int grit corpo relle sexuelle ou psychique peut recourir contre la d cision aupr s de la Cham bre d accusation du Tribunal f d ral Cette loi a t d nomm e de mani re stup fiante LAVI ce qui soit dit en passant est le nom de l avion de chasse isra lien co ncidence bien s r On peut donc constater que le procureur g n ral est dot d un pouvoir exorbitant alors que la possibilit de recours offerte au citoyen est extr mement limit e noter que tout ce qui touche au 44 syst me tabli n est pas recourable Preuve suppl mentaire d une prise de pouvoir totalitaire par le juridique Dans son Message du 28 janvier 1998 p 1282 le Conseil f d ral avait affirm que le recours la Chambre d accusation doit dor navant tre recevable con tre tous les actes et les d nis de justice formels du procureur g n ral Or dans le nouvel art 105PIS il n est plus question de recours mais simplement d une plainte qui peut tre adress
24. Christoph Blocher nous a t transmis comme objet de notre comp tence Dans votre crit intitul recours vous d clarez contester la d cision rendue le 4 ao t 2004 par l Office f d ral de la justice Conform ment aux art 44 47 et 47a de la loi f d rale sur la proc dure administrative du 20 d cembre 1968 PA RS 172 021 les d cisions rendues par l Office f d ral de la justice sont certes en principe susceptibles d tre attaqu es par la voie du recours administratif aupr s du DFJP au sein duquel notre Service est pr cis ment charg de l instruction des recours Ainsi que cela r sulte de son contenu nous constatons que la r ponse crite qui vous a t communiqu e par l Office f d ral de la justice en date du 4 ao t 2004 consiste en une simple lettre informative et n est donc pas constitutive d une d cision au sens de l art 5 PA En cons quence la lettre que cet Office vous a envoy e le 4 ao t 2004 ne saurait selon les dispositions de proc dure administrative mentionn es ci avant faire l objet d un recours administratif au DFJP Votre crit du 2 septembre 2004 intervient la suite de nombreuses autres requ tes qui ont donn lieu un important change de correspondances entre vous m me et diverses autorit s dont en dernier ressort l Office f d ral de la justice Cet Office s est d termin de mani re circonstanci e dans sa lettre du 4 ao t 2004 sur chacun des griefs soulev s lor
25. La Suisse trahie par le Totalitarisme Juridique Philippe Brennenstuhl Du m me auteur La Suisse trahie Notre Constitution f d rale manipul e EDITIONS PATRIOT 2003 2004 Table des mati res La Suisse trahie par le totalitarisme juridique sse eee eee Les Commissions de gestion et la D l gation administrative de l Assembl e f d rale Le Minist re public de la Conf d ration Le Conseiller f d ral Christoph Blocher Le Pr sident de la Conf d ration Joseph Deiss Titre de la traduction allemande Verrat an der Schweiz Juristischer Totalitarismus Verlag Patriot 2005 La version fran aise fait foi EDITIONS PATRIOT 2005 10 31 38 63 1 La Suisse trahie par le totalitarisme juridique Cette brochure est la suite logique d une publication portant le titre La Suisse trahie Notre Constitution f d rale manipul e dans laquelle j ai reproduit un recours de droit public adress la Cour pl ni re du Tribunal f d ral con cernant l art 261PIS du Code p nal suisse loi antiraciste dont j ai demand l abolition Alors chers lectrices et lecteurs quelle est la suite que vous allez d couvrir dans cette brochure Le Tribunal f d ral n est naturellement pas entr en mati re sur mon recours les Commissions de gestion du Parlement ont failli leur mission de surve
26. Monsieur l expression de nos sentiments distingu s COMMISSION DE GESTIO rs onseiller national 22 Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Lettre signature A la D l gation administrative de l Assembl e f d rale Palais f d ral 3003 Berne Vallorbe le 20 f vrier 2004 Messieurs Fritz Schiesser pr sident Max Binder vice pr sident simultan ment membre des CdG Rolf B ttiker d l gu Jean Philippe Ma tre membre Bruno Frick membre Claude Janiak membre simultan ment membre des CdG Fonctionnement anti d mocratique et arbitraire des Commissions de gestion Plainte la D l gation administrative de l Assembl e f d rale Les Services du Parlement sont plac s sous la surveillance de la D l gation administrative art 65 al 1 LParl Condens J ai adress aux Commissions de gestion de l Assembl e f d rale une plainte pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral De toute vidence la plainte n a pas t port e la connaissance des membres des Commissi ons de gestion Elle a t trait e par une collaboratrice scientifique c est dire par une personne non repr sentative du peuple qui l a refus e sous pr tex te que la haute surveillance exerc e par les Commissions de gestion se limite aux questions de gestion d ordre g n ral Je me suis oppos cette fa on de proc der anti d mocratique et arbitraire Dans sa r ponse le pr siden
27. a question 3 al que l inculp identifi et le d nonciateur doivent tre renseign s 4 al et que la victime au sens de la loi sur l aide aux victimes peut recourir comme dans le cas de suspension 5 al Extraits du commentaire sur l art 105bis PPF page 1282 L activit du procureur g n ral dans la proc dure d investigation sera soumise un contr le judiciaire complet de la Chambre d accusation du Tribunal f d ral Le recours la Chambre d accusation doit dor navant tre recevable contre tous les actes et les d nis de justice formels du procureur g n ral 18 avril 1999 Constitution f d rale de la Conf d ration suisse art 187 Le Conseil f d ral a en outre les t ches et les comp tences suivantes a Surveiller l administration f d rale et les autres organes ou personnes aux quels sont confi es des t ches de la Conf d ration 1 janvier 2002 Loi f d rale sur la proc dure p nale PPF Modification d cid e par l Assembl e f d rale le 22 d cembre 1999 vu le Mes sage du Conseil f d ral du 28 janvier 1998 art 11 PPF nouvelle teneur La Chambre d accusation exerce la surveillance sur le procureur g n ral de la Conf d ration dans sa fonction de chef de la police judiciaire ainsi que sur les recherches de la police judiciaire et l instruction pr paratoire Elle conna t par ailleurs des plaintes port es contre le procureur g n ral de la Conf d ra tion et le juge
28. an politique ces minents fr res ma ons oeuvrent de concert pour unifier des r gions autonomes en les int grant un Etat nation qui sous cou vert d un r gime d mocratique exercera le pouvoir centralis Cette strat gie est en 1776 appliqu e lors de la fondation des Etats Unis d Am rique avec sa Constitution Son prolongement europ en en 1789 est la R volution fran aise avec son leitmotiv propagandiste et cynique libert galit fraternit La bou cle est boucl e Repr sentant z l des id es de la R volution fran aise Peter Ochs B lois n en France En 1798 ce franc ma on actif et homme de confiance de Napol on pr sente la demande expresse de ce dernier un projet provisoire de Consti tution helv tique pour les cantons suisses Il s agit selon lui de d truire l Aristocratie et d tablir un r gime repr sentatif quelconque En effet ce v ri table mode d emploi r volutionnaire en exploitant le m contentement des ha bitants les encourage casser le gouvernement pafricien En r compense on leur fait miroiter l galit des droits et l exercice du pouvoir en tant que souver ain On ose m me parler d une dictature du corps lectoral Quarante neuf ans plus tard cette provocation suscitera une opposition con servatrice catholique qui sera bris e par l intervention de l arm e G n ral Du four dans la guerre du Sonderbund Ces man uvres id ologiques t l guid
29. cculte le fait que les Com missions de gestion traitent r guli rement des d nonciations l autorit de surveillance dirig es contre les tribunaux de la Conf d ration pour violation de principes fondamentaux de proc dure Rapport de la Commission de gestion du Conseil des Etats du 28 juin 2002 p 7085 ce qui est pr cis ment l objet de ma plainte Troisi me falsification Apr s quelques remarques hors contexte donc volontairement d routantes Mme Moser crit les Commissions de gestion ne peuvent pas donner suite votre requ te Elle me trompe donc une troisi me fois en pr tendant que ce sont les Commissions de gestion qui ont pris la d cision 32 Opposition au document falsifi et alerte aux membres des CdG Le 21 janvier 2004 je me suis oppos la lettre de Mme Moser Annexe 3 Au vu de ses d clarations contradictoires donc suspectes j ai exig de conna tre les noms et les titres des personnes qui ont t en charge d examiner ma plainte Doutant de plus en plus de la v racit de ses propos et de la l gitimit de sa d marche j ai envoy le 29 janvier 2004 une lettre et ce titre personnel tous les membres des Commissions de gestion annexe 4 Suite la r ponse du Conseiller national Christian Waber PEV UDF Annexe 5 le doute s est transform en certitude les membres n ont pas vu ma requ te c est dire les Commissions de gestion n ont pris aucune d cision donc Mme Moser m
30. ciaire f d rale du 28 f vrier 2001 Philippe Brennenstuhl Le 2 septembre 2004 50 La haute surveillance de l Assembl e f d rale sur le Tribunal f d ral Petite chronologie 16 d cembre 1943 Etat le 17 avril 2001 Loi f d rale d organisation judiciaire OJ Chapitre premier Organisation du Tribunal f d ral Art 21 Le tribunal est plac sous la haute surveillance de l Assembl e f d rale 18 avril 1999 Constitution f d rale Art 169 Haute surveillance L Assembl e f d rale exerce la haute surveillance sur les tribunaux f d raux 1 mars 2001 Rapport de la Commission des institutions politiques du Conseil national Initiative parlementaire Loi sur le Parlement LParl page 3374 concernant la haute surveillance sur le Tribunal f d ral exerc e par les Com missions de gestion CdG pour le compte de l Assembl e f d rale et la ga rante d ind pendance de la justice Il ny a au reste pas opposition entre la n cessit de garantir cette ind pen dance et la pratique qui est celle des CdG depuis de longues ann es selon laquelle celles ci contr lent non seulement la gestion administrative des orga nes juridictionnels mais aussi le respect des principes fondamentaux de pro c dure pas de d ni de justice pas de retards injustifi s galit de droit con cernant l acc s aux tribunaux etc 51 28 juin 2002 Rapport de la Commission de gestion du Conseil des Etats Hau
31. d rale exerce la haute surveillance sur le Conseil f d ral art 169 de la Constitution f d rale l inverse n est pas vrai Une prise de position officielle d un conseil ler f d ral concernant le fonctionnement des commissions parlementaires serait per ue par l Assembl e f d rale comme une ing rence inadmissible de l organe ex cutif dans ses affaires et elle ne ferait pas progresser votre cause Vous critiquez galement la mani re dont le Minist re public a trait votre d nonciation L art 14 de la loi f d rale sur la proc dure p nale stipule que le Minist re public de la Conf d ration est soumis administrativement la sur veillance du Conseil f d ral Cette surveillance purement administrative ne permet toutefois pas au Conseil f d ral ni l un de ses membres de donner des instructions sur la mani re dont le Minist re public traite un dossier sur le fond ni de prendre position sur le bien fond de ses d cisions M le Conseiller f d ral Christoph Blocher ne peut donc prendre position offi ciellement au sujet de vos d boires avec les organes de l Assembl e f d rale et le Minist re public Si nous comprenons bien les enjeux du dossier que vous avez transmis no tre chef de d partement il semble que vous vous soyez heurt aux limites du syst me judiciaire Dans tout syst me judiciaire il arrive en effet un moment o l administr a puis les voies de droit pr vues par la l gislat
32. des directives d riv du principe surveil lance et direction qui se trouve en contradiction avec le principe de la s paration des pouvoirs est aujourd hui d pass D j en 1958 le Conseil f d ral a cependant soulign que le droit de surveillance et de direction du Conseil f d ral durant une proc dure p nale f d rale aurait avant tout une signification pratique si le procureur g n ral devait lui m me agir en violation de son devoir contre la l galit Le maintien d un droit de surveillance et de direction ainsi compris tait justifi et s imposait Cette conception a t confirm e en 1976 cette occasion le Conseil f d ral pr cisait qu il n tait sans doute pas sa t che de donner des instruc tions concernant des cas d esp ce et d endosser la responsabilit correspon dante c est pourquoi il se limitait une surveillance administrative Selon la conception moderne de la position et de la fonction d un minist re public cette autorit doit tre ind pendante de toute surveillance et instruction dans le domaine fonctionnel 48 Extraits du commentaire sur l art 100 PPF page 1281 S il n existe pas de motif d ouvrir une proc dure d investigation sur la base de la d nonciation le procureur g n ral selon le droit actuel ne donne pas suite la d nonciation Le projet institue une r glementation expresse qui pr voit que le procureur g n ral rend une d cision sur l
33. e les recours contre les ordres de d tention 28 janvier 1998 Message concernant la modification du code p nal suisse de la loi f d rale sur la proc dure p nale et de la loi f d rale sur le droit p nal administratif Mesures tendant l am lioration et l efficacit et de la l galit dans la poursu ite p nale Projet soumis l Assembl e f d rale en proposant de l adopter par le pr sident de la Conf d ration Cotti au nom du Conseil f d ral suisse 47 Extraits du commentaire sur l art 11 PPF page 1276 Nous proposons ici une extension du pouvoir de surveillance de la Chambre d accusation la proc dure d investigation et pour tre pr cis au procureur g n ral de la Conf d ration dans la mesure o il intervient comme chef de la police judiciaire Extraits du commentaire sur l art 14 PPF page 1276 1277 Selon l article 14 PPF actuellement en vigueur le procureur g n ral de la Conf d ration est plac sous la surveillance et la direction du Conseil f d ral La disposition s explique par le fait que le Conseil f d ral est l autorit de no mination et que le minist re public forme un office f d ral au sein du DFJP La surveillance exerc e sur le procureur g n ral doit toutefois se limiter aspect administratif parce que de nouvelles possibilit s tendues de re cours la Chambre d accusation du Tribunal f d ral sont pr vues En effet l ancien droit de donner
34. e relever les explications d lirantes prodigu es en marge de sa d cision du 4 ao t 2004 par la Cheffe de division de l Office f d ral de la Ju stice Mme Monique Cossali Sauvain Dans un contexte o je donne objective ment les preuves de la manipulation et du d ni de justice de la part du syst me judiciaire Mme Cossali se permet d affirmer que le risque d une mauvaise d ci sion rendue par une autorit doit tre consid r comme un mal acceptable Pire encore elle voque la situation o j aurais eu gain de cause comme si la Justice tait un jeu de hasard Loto En mati re juridique la question n est pas de savoir si je suis content ou pas content d une d cision Quand on parle de condamnation et de prison la seule question l gitime est celle de savoir s il y a justice ou injustice Par rapport aux dysfonctionnements que je d nonce dans le syst me adminis tratif et judiciaire cette fonctionnaire en prenant le citoyen pour un imb cile me sugg re de mani re surr aliste d utiliser le droit d initiative populaire Il s agirait selon elle d un moyen parfaitement l gitime comme si l art 34 CP que j avais voqu tait un moyen ill gitime Requ te Vu ce qui pr c de je requiers que les d cisions d irrecevabilit arbitraires rendues par la Division Projets et m thode l gislatifs du DFJP le 4 ao t 2004 et par le Service des recours du DFJP le 27 septembre 2004 soient revues et c
35. f d rale contre la d cision du D partement f d ral de Justice et Police Office f d ral de la Justice Division Projets et m thode l gislatifs r f COS PER 9 9 Sammeldossier RSPM 2 sign e par la cheffe de division Mme Monique Cossali Sauvain dat e du 4 ao t 2004 1 Les faits Le 14 juillet 2004 j ai port votre connaissance que le Procureur f d ral a agi en violation de son devoir contre la l galit en rendant dessein une ordon nance d irrecevabilit manipulatrice suite ma d nonciation de dysfonctionne ments pratiqu s au plus haut niveau de l organisation politique de notre Etat Le 4 ao t 2004 votre D partement m a inform que vous ne pouvez pas prendre position officiellement dans cette affaire tant donn que la surveillance exer c e par le Conseil f d ral sur le Minist re public est purement administrati ve Pour soutenir sa d cision votre D partement se r f re l art 14 de la Proc dure p nale f d rale Or je constate que l art 14 a r cemment subi une profon de transformation lors de la modification de la Proc dure p nale f d rale modi fication dont la mentalit et la radicalit soul vent des questions 43 2 Modification de la Proc dure p nale f d rale PPF Dans son Message du 28 janvier 1998 le pr sident de la Conf d ration Cotti au nom du Conseil f d ral suisse a propos l Assembl e f d rale la modifi cation de la Lo
36. i f d rale sur la proc dure p nale en parlant de mesures ten dant l am lioration de l efficacit et de la l galit dans la poursuite p nale Un bref survol des articles modifi s entr s en vigueur le 1 janvier 2002 r v lera les vrais enjeux D tails chronologiques expos s dans l annexe 1 L art 11 PPF a t modifi en vue de conf rer la Chambre d accusation du Tribunal f d ral la surveillance sur le procureur g n ral une comp tence appar tenant jusqu ici au Conseil f d ral L art 11 modifi a d ailleurs t aboli quel ques mois plus tard soit le 4 octobre 2002 date de l entr e en vigueur de la nouvelle Loi f d rale sur le Tribunal p nal f d ral issue de la r vision totale de l organisation judiciaire dont le but inavou et inavouable est l emprise totale du pouvoir juridique sur le pouvoir politique Ce transfert de pouvoir remet le destin de notre pays dans les mains de juristes mercenaires grassement pa y s par le peuple suisse mais tra treusement au service d organisations su pranationales EU ONU OTAN HCR etc dont le but r el est l av nement d un gouvernement mondial sous dominance am ricano sioniste Par la modification de l art 14 PPF la surveillance et la direction du procureur g n ral exerc e jusqu ici par le Conseil f d ral ont t r duites une simple surveillance administrative Le Conseil f d ral dans son Message du 28 janvier 1998 p 12
37. illance des secr taires non lues ont pris des d cisions haute ment politiques la place des lus et pour terminer le fameux Procureur de la Conf d ration a manipul de mani re crasse mes documents Tout ceci a don n lieu un important change de correspondances avec les autorit s politi ques administratives et juridiques reproduit dans la pr sente brochure Cette correspondance soul ve la question suivante Qui d tient r ellement le pouvoir dans notre Patrie Pour r pondre cette question il faut remonter la source et suivre l volution au fil des si cles Le 1 ao t 1291 les p res fondateurs de la Suisse conclurent solennellement le Pacte sacr des trois cantons Ce sont des hommes de bon sens des paysans guerriers ancr s dans le sang et le sol formant une Aristocratie natu relle et spontan e D s lors les r unions annuelles appel es Landsgemein den se composent d hommes de condition libre dont le sens du devoir et de la responsabilit fait passer l int r t g n ral avant l int r t particulier Mais cet ordre litaire l me patriarcale patriotique n est pas fait pour durer ternellement comme l auraient souhait ses fondateurs En effet la force terrienne de ces hommes qui savent d fendre leur libert contre toute intrusi on transform s pour l occasion en soldats ing nieux infanterie veille la con voitise de l tranger Un service mercenaire est organis
38. ion sans avoir n cessairement pu obtenir satisfaction n est pas envisageable de multiplier les voies de recours et les proc dures de contr le des autorit s sur les autres 41 29 l infini sous peine de bloquer d finitivement le fonctionnement de l appareil tatique M me dans le syst me judiciaire te plus parfait il se peut qu une autorit rende une mauvaise d cision et que celle ci ne puisse plus tre corri g e Dans un Etat fond sur la principe de la s paration des pouvoirs ce ris que doit tre consid r comme un mal acceptable dans la mesure o l administr aurait sans doute plus perdre si les d cisions des tribunaux pouvaient sans cesse tre revues et corrig es par les autorit s ex cutives ou l gislatives Si vous vous trouviez dans la situation inverse et que vous aviez obtenu gain de cause aupr s d une autorit judiciaire vous verriez sans doute d un mauvais il une intervention de l ex cutif ou du l gislatif pour corriger cette d cision Le principe de la s paration des pouvoirs repr sente une pr cieuse garantie pour le justiciable m me si comme toute m daille il a son revers En tant que citoyen vous n tes toutefois pas enti rement d muni face un syst me administratif et judiciaire qui votre avis pr sente de graves dysfonc tionnements d faut d invoquer l tat de n cessit dont nous voyons mal comment il pourrait s appliquer en l esp ce vous disposez de quel
39. ions de gestion n ont pas eu acc s ma plainte Cette lettre apporte la preuve que la collaboratrice scientifique s est substitu e aux Commissions de gestion Il est absolument choquant de constater que les plaintes adress es ces commissions soient tri es par des personnes qui ne sont ni lues ni reconnues par le peuple donc trang res la volont politique du souverain et plus surprenant encore que le pr sident de la Commission de gestion du Conseil national Hugo Fasel soutienne cette d marche anti d mo cratique Par contre Monsieur Hugo Fasel a d reconna tre que a t che de l Assembl e f d rale et leurs Commissions de gestion consiste s assurer que les r gles essentielles de proc dure sont respect es par le Tribunal f d ral Nous trou vons donc d un c t Monsieur Fasel qui reconna t par ses remarques le bien fond de ma d marche et de l autre il aimerait mettre un terme d finitif au dossier Etrange Conclusion La mani re dont ma plainte a t trait e et refus e r v le un dysfonctionne ment anti d mocratique et des proc d s arbitraires au sein des Commissions de gestion Ce fait est extr mement grave car il laisse entrevoir une trahison intol rable vis vis du peuple Il est stup fiant de constater qu aucune r action ne vienne des d put s lorsqu ils sont alert s par un citoyen qui d fend l essence m me des droits fondamentaux libert d expression et qui d couvre
40. la Suisse Il s agit d une haute trahison politique vis vis du peuple dont vous et les v tres ont l enti re responsabilit Veuillez agr er Monsieur le Pr sident du Conseil des Etats mes salutations patriotiques nationalistes et identitaires Philippe Brennenstuhl 29 P S Veuillez trouver en annexe ma brochure La Suisse trahie notre Constitution f d rale manipul e laquelle s int ressent actuellement les Universit s de notre pays Copies A tous les Conseillers f d raux Aux membres de la D l gation administrative et des CdG de l Assembl e f d rale A la presse nationale 30 3 Le Minist re public de la Conf d ration Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Lettre signature Minist re public de la Conf d ration Taubenstrasse 16 3003 Berne Vallorbe le 14 mai 2004 D nonciation pour abus de pouvoir d une fonctionnaire f d rale Abus d autorit art 312 CP Gestion d loyale des int r ts publics art 314 CP Faux dans les titres commis dans l exercice des fonctions publiques art 317 CP Personne d nonc e Mme Ir ne Moser collaboratrice scientifique Secr tariat des Commissions de gestion du Parlement Palais f d ral 3003 Berne Personne co d nonc e M Hugo Fasel pr sident de la Commission de gestion du Conseil national Palais f d ral 3003 Berne Monsieur le Procureur f d ral Le 25 ao t 2003 j ai d pos une plainte aupr s de l
41. la fois ce qui serait beaucoup plus grave Les Commissions de gestion ne sont donc pas habilit es modifier ni annuler les arr ts du Tribunal f d ral Je n ai demand ni l un ni l autre Comme le pr cise l art 26 al 4 LParl RS 171 10 il ne peut tre exerc aucun contr le sur le fond des d cisions judiciaires Une fois de plus vous vous fourvoyez compl tement par rapport ma d mar che car jamais je nai demand cela En vertu de l ind pendance judiciaire et de sa comp tence d organisation le Tribunal f d ral a toute latitude pour r partir les comp tences relati ves l examen des recours Le Tribunal f d ral a certes toute latitude pour r partir ses comp tences mais il n a pas toute latitude pour faire abstraction du droit proc dural Le Parlement ne peut en aucun cas influencer ce genre de d cision ni fortiori exiger qu un recours soit examin par une Cour plut t qu une au tre I n a jamais t question d influencer ce genre de d cision ni de participer un choix abstrait et subjectif l o les comp tences du Tribunal f d ral sont con cr tement et objectivement d finies dans le cadre du droit proc dural Si ce droit est bafou il faut alors se demander au profit de qui et pourquoi Eu gard aux consid rations pr cit es les Commissions de gestion ne peuvent pas donner suite votre requ te Visiblement c est vous personnellement qui rejetez ma
42. le du Tribunal f d ral de respecter le droit proc dural Les Commissions de gestion exercent pour le compte de l Assembl e f d rale la haute surveillance sur les Tribunaux f d raux Si les Commissions de gestion exercent la haute surveillance sur les Tribun aux f d raux pour le compte sic de l Assembl e f d rale dont les mem bres je vous le rappelle doivent repr senter le souverain on peut se deman der pourquoi une seule personne qui a le titre de collaboratrice scientifique puisse crire et signer une lettre comme la v tre Cette surveillance se limite en raison de la s paration des pouvoirs aux questions de gestion d ordre g n ral Les faits J ai connaissance d une lettre dat e de 2002 dans laquelle vous aviez vous m me donn une autre d finition juridique de la fonction de l Assembl e f d rale en tant qu organe de surveillance du Tribunal f d ral en crivant ceci Le Parlement peut v rifier que les arr ts rendus par les Tribun aux f d raux respectent les principes qui r gissent notre droit proc dural En effet ma plainte contre le Tribunal f d ral sur la non application du droit proc dural se porte exactement sur ce sujet et sur rien d autre Il est trange 15 que votre discours soit aujourd hui diff rent Ou bien vous manipulez le droit proc dural au gr de je ne sais qui ou alors vous ne le connaissez pas et donc visiblement vous n tes pas comp tente ou les deux
43. llorbe Lettre signature Monsieur le Pr sident de la Conf d ration Joseph Deiss Palais f d ral 3003 Berne Vallorbe le 2 d cembre 2004 Monsieur le Pr sident de la Conf d ration Par un article de presse paru dans Le Matin dimanche du 14 novembre 2004 j ai appris que mon nom tait cit dans le rapport sur l extr misme publi en ao t 2004 En effet la page 4712 chiffre 2 1 2 de ce rapport dat du 25 ao t 2004 je suis express ment qualifi de n gationniste d faut de savoir qui est l auteur exact de ce document je m adresse vous puisque vous l avez per sonnellement ratifi Premi rement non seulement je ne suis pas n gationniste mais je r fute totalement ce terme me concernant En fait je ne nie rien je ne doute de rien mais ce qui est s r c est que j attends un d bat libre et impartial sur ce sujet historique Deuxi mement il serait int ressant de conna tre les l ments qui vous ont amen me qualifier de n gationniste A ce jour aucun de mes crits ou de mes paroles n ont t mis en cause sur ce sujet Je vous rappelle que si je suis condamn trois mois de prison ferme c est en tant que co diteur de brochu res contenant le fruit d un travail approfondi non d menti ce jour fourni par des chercheurs sp cialis s ind pendants La recherche scientifique ainsi que la libert d expression et de publication sont normalement prot g es et encou rag es pa
44. ment clairs et complets qu apr s lecture attentive de la plainte p nale les l ments constitutifs des infractions d non c es ne sont pas r alis s en l esp ce que la plainte p nale d pos e par Monsieur Philippe Brennenstuhl est manifestement infon d e qu il n y a pas lieu d ouvrir une enqu te de police judiciaire et 36 ordonne 4 il n est donn aucune sulte la plainte p nale d pos e ie 19 mal 2004 par Monsieur Phi lippe Brennenstuhl contre Madame Ir ne Moser et contre Monsieur Hugo Fasel 2 Il n est per u aucun rals Copie pour information Monsieur Philipppe Brennenstuhl 1337 Vellorbe Madame Ir ne Moser secr tariat des Commissions de gestion du Parlement Palais f d ral 3003 Berne Monsieur le conseiller national Hugo Fasel Pr sident de la Commission de gestion du Conseil national Palais f d ral 3003 Berne Vole de recours Seule la victime au sens de l art 2 de la loi f d rale sur l aide aux victimes d infractions peut recourir contre la pr sente d cision aupr s du Pr sident de la Cour des plaintes du Tribunal p nal f d ral dans un d lai de 10 jours d s r ception tabli en 1 exemplaire 37 4 Le Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Lettre signature Monsieur le Dr Christoph Blocher Chef du D partement f d ral de Justice et Police Palais f d ral ouest 3003 Berne Vallorbe le 14 juillet 2004
45. mmentaire Favre Pellet Stoudmann Code p nal annot p 60 1 1 la plainte p nale est la manifestation de la volont inconditionnelle de l ayant droit de voir l auteur de l infraction poursuivi p nalement Or je n ai nullement exprim une telle volont Ma volont a t de d noncer et non pas de porter plainte En fait ma d nonciation est une information Wis senserkl rung et non pas une manifestation de la volont de poursuivre p na lement les personnes d nonc es Willenserkl rung Je pr cise En cas de plainte p nale c est le plaignant en cas de d nonciati on c est le Minist re public qui est l origine d une proc dure p nale et en assume la responsabilit Le fait d avoir transform ma d nonciation en plainte p nale appara t d s lors comme une ruse juridique et une manipulation frauduleuse afin de prot ger les personnes d nonc es et d enterrer d finitivement et le plus profond possible cette affaire La voie de recours indiqu e par le Procureur f d ral suppl ant fait partie int grante de cette manipulation En fait il m indique de mani re cynique une voie de recours qui n en est pas une puisqu il crit Seule la victime au sens de l art 2 de la loi f d rale sur l aide aux victimes d infractions peut recourir sachant pertinemment que cette affaire n entre pas dans ces crit res puisque l art 2 de cette loi appel e curieusement LAVI d finit la vic
46. n d tail dans mon recours du 2 septembre 2004 Dans l expectative d une rectification de la loi concern e je requiers que ma plainte du 14 juillet 2004 contre le Procureur f d ral soit maintenant trait e par le Conseil f d ral en conformit avec l ancien article 14 al 1 de la Proc dure p nale f d rale Cette mani re de proc der se justifie surtout par le c t poli tique sensible de ma cause ainsi que par la logique et la bonne foi Ceci dit la lettre d lirante de l Office f d ral de la Justice du 4 ao t 2004 Monique Cossali Sauvain la r ponse astucieuse du Service des recours du DFJP du 27 septembre 2004 A Imoberdorf et l crit indigeste du juriste char g de l instruction du Service des recours du DFJP du 23 novembre 2004 A 61 Surdez inutile d monstration de bodybuilding juridique gonfl aux st ro des des r f rences de lois sont sans objet La promenade touristique judiciaire mise en sc ne par des fonctionnaires peu scrupuleux et partiaux qui ont tent de neutraliser cette affaire prend ainsi d finitivement fin En attendant l ouverture de l enqu te requise contre le Procureur f d ral pour ses manipulations et son d ni de justice mon gard je vous pr sente Mon sieur le Conseiller f d ral mes salutations patriotiques Philippe Brennenstuhl Annexe Plainte du 14 juillet 2004 62 5 Le Pr sident de la Conf d ration Joseph Deiss Philippe Brennenstuhl 1337 Va
47. n l art 105 PPF non modifi ni travesti par quel miracle c est le Conseil f d ral qui d ci de de la poursuite judiciaire des d lits politiques Dans l attente de votre r ponse je vous pr sente Monsieur le Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher mes salutations respectueuses Philippe Brennenstuhl Annexes Copie de la lettre de votre D partement du 4 ao t 2004 Annexes 1 2 faisant partie int grante du pr sent recours 46 La surveillance du Conseil f d ral sur le Minist re public Petite chronologie 15 juin 1934 Etat le 23 janvier 2001 Loi f d rale sur la Proc dure p nale PPF art 11 La chambre d accusation surveille l instruction pr paratoire et conna t des plaintes port es contre le juge d instruction Elle statue sur la mise en accus ation art 14 Le procureur g n ral est sous la surveillance et la direction du Conseil f d ral art 100 Chacun a qualit pour d noncer les infractions poursuivies d office en vertu de la l gislation f d rale 2Les d nonciations sont adress es par crit ou oralement au Minist re pu blic de la Conf d ration ou un agent de la police judiciaire Il en est dress proc s verbal art 105PIS 2Les mesures de contrainte et les actes y relatifs qui ont t ordonn s ou confirm s par le procureur g n ral sont sujets recours devant la Chambre d accusation dans les dix jours 3Les articles 215 219 r gissent par analogi
48. nnexes mentionn es Note de la r daction Veuillez lire plus loin pages 44 et 47 50 comment l art 100 de la Loi f d rale sur la proc dure p nale a t modifi au 19 janvier 2002 afin d agrandir consid rablement le pouvoir du Procureur f d ral 40 EIDGENOSSISCHES JUSTIZ UND POLIZEIDEPARTEMENT D PARTEMENT F D RAL DE JUSTICE ET POLICE DIPARTIMENTO FEDERALE DI GIUSTIZIA E POLIZIA DEPARTAMENT FEDERAL DA GIUSTIA E POLIZIA Bundesamt f r Justiz Office f d ral de la justice Ufficio federale di giustizia Uffizi federal da la giustia Division Projets et m thode l gislatifs 3003 Bern E 3003 Beme le 4 ao t 2004 3003 Bema 031 322 4789 Ihr Zeichen 1337 Vallorbe Votre signe vostro segno Voss sign M Philippe Brennenstuhl Ihre Nachricht vom Votre communication du Vostra comunicazione del Vossa communicaziun dals In der Antwort anzugeben COS PER A rappeler dans la r ponse L Ripeterlo nella rispasta 9 9 Sammeldossier D inditgar en la resposta RSPM 2 Monsieur Nous avons t charg s par le Chef du D partement f d ral de justice et po lice de r pondre votre courrier du 14 juillet 2004 dans lequel vous lui de mandez de prendre personnellement et officiellement position concernant l affaire qui vous concerne Vous invoquez notamment un dysfonctionnement au niveau du Parlement et de ses commissions de gestion Il faut savoir que si l Assembl e f
49. ns 24 heures par Federico Camponovo qui a subi des pressions pour qu il ne les d voile pas MM Chaudet Chevallaz et Delamuraz ont d passer par l pour tre lus de m me que d autres personnes plac es aux postes clefs ma connais sance aucune enqu te n a t instruite sur ces d couvertes On ne peut pas tre juge et partie n est ce pas Les attaques actuelles contre le PNOS sont risibles et path tiques Si le Parti radical veut liminer un lu qui se prononce contre le m lange des races cela signifie contrario qu il est pour le m lange oblig des ra ces Vu la situation nationale et mondiale an se r jouit de voir ce point ajout son programme Si le DFJP dit qu il tient l oeil le PNOS ce dernier tient l oeil les conseillers f d raux et leurs magouilles tendant vendre notre pays l tranger Philippe Brennenstuhl Vallorbe 2 Les Commissions de gestion et la D l gation administrative de l Assembl e f d rale Philippe Brennenstuhl Lettre signature 1337 Vallorbe Assembl e f d rale Services du Parlement Commissions de gestion 3003 Berne Vallorbe le 25 ao t 2003 Plainte pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral Mesdames Messieurs Le 7 juillet 2003 j ai adress la Cour pl ni re du Tribunal f d ral un Recours de droit public pour violation de droits fondamentaux constitutionnels concernant un jugement de la Cour d
50. ns des CdG selon lesquelles apr s examen de votre requ te aucune suite ne serait donn e cette derni re Le reproche que vous faites valoir touche l organisation g n rale du travail effectu par le Tribunal f d ral un secteur sur lequel le Parlement n exerce aucune influence A fortiori les Chambres f d rales n ont pas comp tence pour exiger que l un ou l autre organe ait trancher Par vos letires du 21 et du 29 janvier 2004 vous vous tes plaints aupr s des CdG de la mani re dont votre requ te a t trait e Vous avez exig que la commission pl ni re soit saisie de votre plainte Le pr sident de la CdG Monsieur le conseiller national Hugo Fasel a constat dans sa lettre du 12 f vrier 2004 que le secr tariat avait proc d correctement en l esp ce et que Madame irene Moser avait fait preuve de comp tence en la mati re il a confirm la d cision ainsi prise 2 Par une plainte en mati re de surveillance en date du 20 f vrier 2004 vous exigez pr sent de la D l gation administrative de l Assembl e f d rale qu elle ordonne aux CdG d entrer en mati re sur votre plainte pour non respect du droit proc dural par te Tribunal f d ral et de se d terminer une nouvelle fois sur ladite plainte 3 La D l gation administrative a examin votre requ te sa s ance du 7 mai 2004 Elle disposait aux fins de se prononcer sur ladite requ te des pi ces suivantes vos requ tes du 20 f
51. onction des besoins de l Etat et non pas pour rendre la justice Je cite On peut ainsi concevoir que l autorit renonce exiger une avance des frais lorsqu il appara t d embl e que le recours devra tre admis Ce passage prouve que l on est proche de l escroquerie puisque par sa lettre du 9 novembre 2004 M Surdez m a demand une avance de frais pour entrer en mati re sur mon recours alors que maintenant il avoue ne jamais avoir eu l intention d admettre ce recours Vous avez dit complot 60 Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Lettre signature Monsieur le Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher Palais f d ral 3003 Berne Vallorbe le 5 d cembre 2004 Ma plainte contre le Procureur f d ral du 14 juillet 2004 Monsieur le Conseiller f d ral Je viens de prendre connaissance en lisant le journal Le Temps du samedi 4 d cembre 2004 que au vu des manquements graves et r p tition du Procu reur f d ral le Conseil f d ral a d cid d assumer d sormais l enti re surveil lance de ce haut magistrat Le Conseil f d ral revient donc l ancienne r gle de la Proc dure p nale f d rale En effet celle ci a t remplac e le 1 janvier 2002 par une nouvelle et sournoise formule de surveillance introduite de mani re contraire aux int r ts du peuple et trait e d inefficace aujourd hui par le Conseil f d ral Par l le Conseil f d ral adopte et applique mon point de vue expos e
52. orrig es quele Conseil f d ral assume son devoir de surveillance en conformit avec l ancien art 14 PPF et qu une enqu te soit ouverte sur la violation de devoir et le d ni de justice de la part du Procureur f d ral conform ment ma demande du 14 juillet 2004 57 que le Conseil f d ral s occupe personnellement et directement des dys fonctionnements au niveau de l Assembl e f d rale et de ses Commissions de gestion en tenant compte du fait que ces dysfonctionnements ne sont que la pointe de iceberg que le traitement de ma cause soit r serv dans sa totalit au Conseil f d ral tant donn qu il s agit d une pure question politique Message du Conseil f d ral du 28 f vrier 2001 page 4016 Conclusion Le d veloppement de ma cause et plus pr cis ment mon recours du 2 sep tembre 2004 r v lent les implications et cons quences de la R vision totale de l organisation judiciaire f d rale v ritable coup d Etat organis l insu comp let du peuple et contre ses int r ts par les lobbies internationalistes avec la collaboration active du juridique devenu tout puissant Il est vital que le souve rain c est dire notre peuple puisse enfin se rendre compte du cynisme et du m pris dont se servent nos pseudo lites politiques qui se gargarisent en permanence du mot d mocratie et qui v ritablement en sont les fossoyeurs Dans l attente d une r ponse coh rente et r tablissant la ju
53. ouverainet du peuple c est dire son autod termination Le r cent conflit entre le Conseiller f d ral Christoph Blocher et le Procureur de la Conf d ration Valentin Roschacher en est la preuve Il est vident que des changements de loi ont t initi s en 2002 en anticipant la mont e en force de UDC Union D mocratique du Centre et l lection du Dr Christoph Blocher au Conseil f d ral en 2003 ceci naturellement dans le but de diminuer et de contr ler le pouvoir de ce dernier Voir recours du 2 septemb re 2004 page 43 Les m dias bien dress s taient d j sur les starting blocks Rappelons que les lois ne sortent pas du n ant et encore moins leur modifica tion Dans ce cas pr cis des fonctionnaires visiblement tr s actifs s y sont employ s et on est en droit de savoir sur ordre de qui des noms SVP Une des armes redoutables de ce monde juridique est la notion de l Etat de droit notion non pas de protection mais de soumission du citoyen et qui con firme la domination par le syst me juridique Quant au mythe de a s paration des pouvoirs celui ci se pr te merveille pour justifier l injustifiable Ainsi pour conclure la b te immonde incarnation d un futur Gouvernement mondial d vore use des nations a trouv aussi en Suisse travers son syst me juridique la nourriture pour se d velopper et nous asservir L acc s au mensonge est tr s amusant et tr s divertissant journaux de boule
54. par le 25 d veloppement de sa cause un syst me mettant gravement en danger notre d mocratie donc notre libert et notre ind pendance Je demande la D l gation administrative de l Assembl e f d rale de s assurer que les vrais responsables des Commissions de gestion c est dire les repr sentants de la volont politique du peuple assument leur r le en entrant en mati re sur ma plainte pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral En vous remerciant d avance de votre r ponse je vous pr sente Mes sieurs mes salutations distingu es Philippe Brennenstuhl Annexes 1 6 26 Bundesversammiung Assembl e f d rale Assemblea federale Assamblea federala Aa D l gation administrative des Monsieur Philippe Brennenstuhl Chambres f d rales 1337 Vallorbe Le 10 mai 2004 Plainte la D l gation administrative de l Assembl e f d rale Monsieur 1 Par une lettre du 25 ao t 2003 vous avez d pos une plainte pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral aupr s de la Commission de gestion CdG vous dernandez cette derni re d intervenir aupr s du Tribunal f d ral pour que votre recours du 7 juillet 2003 ne soit pas jug par la 1 Cour de droit public mais rejug e par la Cour pl ni re Par sa lettre du 13 janvier 2003 Madame Irene Moser collaboratrice scientifique pr s le Secr tariat des CdG vous a communiqu les conclusio
55. plainte malgr le fait que je ne vous ai rien demand alors que les Commissions de gestion ne sont pas entr es en mati re En vous mettant la place des Commissions de ges tion vous outrepassez vos droits 16 En finalit quel est le r le que vous jouez dans cette affaire au vu de vos d clarations contradictoires donc suspectes Je tiens quand m me vous mettre en garde en tant que citoyen libre de ce pays que ce genre d attitude est condamnable Je me r serve le droit de d poser plainte contre vous pour abus de pouvoir art 312 CP et gestion d loyale des int r ts publics 314 CP Je ne suis pas dupe de votre mani re de faire car il devient vident que derri re vos man uvres se cache une id ologie politique emp chant que le fond du probl me puisse tre abord Visiblement vous adaptez votre discours selon les besoins id ologiques du moment et ce l encontre de toute thique d montrant par l que la s paration des pouvoirs n existe pas Par votre attitude vous emp chez le d bat ainsi que toute initiative du citoyen suisse pouvant amener une r vision des id es que l on tente tout prix de nous imposer Dans l attente d une r ponse claire je vous pr sente Madame mes salutati ons distingu es Philippe Brennenstuhl Copies Conseil f d ral Membres du Parlement Responsables de partis politiques 17 Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Aux membres des Commissions de ge
56. ques moyens parfaitement l gitimes pour tenter de modifier la l gislation et d am liorer le fonctionnement de l appare l tatique Vous pouvez par exem ple vous approcher d un lu aux Chambres f d rales proche de vos sensibili t s ou vous pouvez utiliser vos droits d mocratiques comme le droit d initiative populaire Le recours de tels moyens peut se r v ler efficace comme le d montre l exemple r cent de la votation populaire concernant l internement vie des d linquants dangereux Le souverain garde son mot dire et il n est pas impossible aux citoyens de modifier des proc dures jug es peu satisfaisantes s ils sont suffisamment nombreux le souhaiter Nous esp rons qu d faut de r pondre enti rement vos attentes les quel ques consid rations ci dessus vous permettront de comprendre les raisons pour lesquelles M Christoph Blocher ne peut acc der votre demande Nous vous prions d agr er Monsieur nos salutations les meilleures OFFICE F D RAL DE LA JUSTICE Division Projets et m thode l gislatifs La cheffe de division f A Cuve Monique Cossali Sauvain RASVR IRSPM Geschaefte BJCOS Divers ettre brennenstuhl doc 42 Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Lettre signature Monsieur Dr Christoph Blocher Conseiller f d ral Chef du D partement f d ral de Justice et Police 3003 Berne Vallorbe le 2 septembre 2004 Recours au sens de l art 177 al 3 de la Constitution
57. quille vide car on laisse les affaires du pays dans les mains de personnes dont le citoyen ne conna t ni l id ologie ni la fonction D l guer veut dire qu il y a un laisser aller politique Si les lus sont incapables de g rer ce pourquoi ils ont t lus il y tout craindre pour la d mocratie car c est justement dans ce genre de faille que s infiltrent les id ologies n fastes pour notre sant d mocratique D ailleurs on peut l gitimement penser que c est d j le cas au vu de la cacophonie politique laquelle nous sommes 18 aujourd hui confront s Il est impossible que notre syst me politique puisse continuer fonctionner de cette fa on On est proche du scandale totalitaire sous couvert de d mocratie D l guer le pouvoir c est le transf rer entre des mains occultes sans respon sabilit s et surtout sans l gitimit D ailleurs le concept id aliste de a s parati on des pouvoirs sert de paravent derri re lequel se cache ce pouvoir occulte La pratique courante nous montre que la s paration des pouvoirs n est en fait qu une illusion Preuve en est que l lection des juges f d raux se fait d apr s un quota d appartenance des partis politiques Faire croire au bon peuple que ces der niers par enchantement spontan laissent leur id ologie politique et leurs int r ts particuliers salaire lev avantages au vestiaire et que ceux ci n interviennent pas dans leur fa on de juger
58. r les droits fondamentaux constitutionnels Objectivement l usage elles ne le sont pas donc notre Constitution est ridiculis e et trahie 63 En attendant un d bat libre sur la question j interdis formellement que l on me qualifie de n gationniste Par la pr sente je vous somme d enlever dans votre rapport le qualificatif me concernant d en informer les parlementaires et de publier la rectification dans les journaux officiels et dans les quotidiens princi paux dans les trois langues nationales En cas de refus plainte p nale sera d pos e pour diffamation et calomnie Nous traiterons et vous traiterez de n gationnistes ceux qui s opposeront aux r sultats du d bat in vitable venir sur cette question que cela plaise ou non Veuillez agr er Monsieur le Pr sident de la Conf d ration mes salutations patriotiques Philippe Brennenstuhl Copies Mme Annemarie Huber Hotz co signataire du rapport du 25 8 04 Monsieur le Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher aux m dias 64
59. recours soit examin par une Cour plut t qu une autre Eu gard aux consid rations pr cit es les Commissions de gestion ne peuvent pas donner suite votre requ te Nous vous prions d agr er Monsieur l expression de notre consid ration distingu e Secr tariat des Commissions de gestion Irene Moser Collaboratrice scientifique 13 Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Lettre signature Services du Parlement Secr tariat Commissions de gestion 3003 Berne l attention de Mme Irene Moser collaboratrice scientifique Vallorbe le 21 janvier 2004 Madame Suite votre lettre du 13 janvier 2004 laquelle je m oppose totalement voici point par point ma r ponse Conform ment votre demande nous avons examin votre lettre du 25 ao t 2003 concernant l arr t 1P 395 2003 de la Ire Cour de droit public du Tribunal f d ral Vous crivez nous avons et vous signez lrene Moser ce qui n est pas lo gique J exige de conna tre les noms et les titres des personnes qui ont t en charge d examiner ma lettre Vous reprochez au Tribunal f d ral d avoir confi l examen de votre re cours de droit public du 7 juillet 2003 la premi re Cour de droit public et non la Cour pl ni re comme vous l aviez demand Les faits Je reproche la Cour pl ni re de ne pas avoir r pondu mon recours de droit public qui lui a t directement et formellement adress sous pli re command En plus
60. rlement LParl arr t e par l Assembl e f d rale de la Conf d ration suisse Art 26 Haute surveillance L Assembl e f d rale exerce la haute surveillance sur la gestion des tribunaux f d raux 52 13 janvier 2004 Mme Irene Moser collaboratrice scientifique des Commissions de gestion du Parlement m informe concernant ma Plainte pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral adress e le 25 ao t 2003 l Assembl e f d rale que les Commissions de gestion du Parlement ne peuvent pas y donner suite pour la raison suivante Les Commissions de gestion exercent pour le compte de l Assembl e f d rale la haute surveillance sur les tribunaux f d raux Cette surveillance se limite en raison de la s paration des pouvoirs aux questions de gestion d ordre g n ral Philippe Brennenstuhl le 2 septembre 2004 53 EIDGENO SSISCHES JUSTIZ UND POLIZEIDEPARTEMENT DEPARTEMENT FEDERAL DE JUSTICE ET POLICE DIPARTIMENTO FEDERALE DI GIUSTIZIA E POLIZIA DEPARTAMENT FEDERAL DA GIUSTIA E POLIZIA Rec 12 0420911 SA snu OFJ RSPM 2 Monsieur Philippe BRENNENSTUHL 1337 Vallorbe 3003 Berne le 27 septembre 2004 Votre crit du 2 septembre 2004 concernant la lettre que l Office f d ral de la justice vous a adress e le 4 ao t 2004 Monsieur Votre crit dat du 2 septembre 2004 et adress sous pli postal recommand du 3 septembre 2004 Monsieur le Conseiller f d ral
61. s de vos pr c dentes interventions Korrespondenzadresse Beschwerdedienst EJPD 3003 Bern Adresse pour la correspondance Service des recours DFJP 3003 Berne Indirizzo per la corrispondenza Ufficio dei ricorsi DFGP 3003 Berna 54 Au vu de ce qui pr c de il ne nous est pas possible de donner suite votre requ te du 2 septembre 2004 Veuiltez croire Monsieur l expression de notre parfaite consid ration DEPARTEMENT FEDERAL DE JUSTICE ET POLICE p o Le Chef du Service des recours A Imoberdorf Copie Office f d ral de la justice Division Projets et m thode l gislatifs l attention de l Cheffe de division pour information annexe votre dossier en retour 55 Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe Lettre signature D partement f d ral de Justice et Police Monsieur A Imoberdorf Chef du Service des recours Palais f d ral 3003 Berne le 21 octobre 2004 Votre r f rence 12 0420911 SAlsnu OFJ RSPM 2 Demande en r vision Art 66 al 2 b c PA Monsieur Le 27 septembre 2004 vous m avez inform qu il ne vous est pas possible de donner suite ma requ te du 2 septembre 2004 Je constate que cette d ci sion est arbitraire violation de l art 9 Cst que votre autorit de recours n a pas tenu compte des faits minemment importants art 66 al 2b PA et qu elle a viol le droit d tre entendu art 66 al 2c art 29 PA Les faits Le 14 juillet 2004
62. stice recevez Mon sieur mes salutations patriotiques et identitaires Philippe Brennenstuhl Copie Monsieur le Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher Chef du DFJP k k k k Le D partement f d ral de Justice et Police m a fait parvenir une r ponse dat e du 9 novembre 2004 et sign e par A Surdez le juriste charg de l instruction du Service des recours Dans cette r ponse j ai t invit verser frs 800 De plus j ai t inform que le Service n entrera pas en mati re sur ma demande de r vision si l avance de frais demand e n tait pas vers e jusqu au 9 d cem bre 2004 58 Philippe Brennenstuhl 1337 Vallorbe D partement f d ral de Justice et Police Service des recours 3003 Berne l attention de M A Surdez Vallorbe le 17 novembre 2004 Votre r f rence R1 0421172 SAsal OFJ RSPM 2 Demande de r vision du 21 octobre 2004 Monsieur le juriste charg de l instruction Par votre lettre du 9 novembre 2004 vous me demandez frs 800 comme ga rantie des frais de proc dure pr sum s Cette demande est oppos e l thique fondamentale de notre pays formul e une fois pour toutes dans le pacte de 1291 Les juges ne doivent pas percevoir de l argent pour accomplir leur mission qui est de rendre la justice Une loi soit elle f d rale qui ne respecte pas cette thique immuable n a en principe pas de raison d tre Or vous citez l art 63 al 4 PA afin de jus
63. stion de l Assembl e f d rale Vallorbe le 29 janvier 2004 Madame Monsieur En ao t 2003 j ai fait parvenir aux Commissions de gestion de l Assembl e f d rale dont vous tes membre une plainte pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral En janvier 2004 une personne r pondant au nom de Irene Moser se pr valant du titre assez flou de collaboratrice scientifique m a r pondu que les Commissions de gestion ne peuvent pas donner suite ma requ te Je suis tonn et subjugu qu une personne inconnue sans aucune r f rence hi rarchique ainsi que d autres nous avons puissent prendre des d cisi ons la place des Commissions de gestion En fait je me suis adress des commissions politiques et je tombe sur une personne scientifique une secr taire de troisi me main qui n est certainement pas repr sentative du peuple ni des lus du Parlement et dont je ne connais pas les tenants et aboutissants de sa fonction Les membres des Commissions de gestion repr sentent le Parlement Or on d couvre qu un groupe de personnes engag es par qui et pourquoi soumises qui sorte de cabinet fant me filtre les demandes et prend les d cisions se substituant de mani re occulte au Parlement Il est vident qu force de d l guer et de red l guer les d cisions ne sont plus repr sentatives de la volont du peuple et la d mocratie n est plus qu une co
64. t de la Commission de gestion du Conseil national Monsieur Hugo Fasel a soutenu 23 cette d marche anti d mocratique sans toutefois confirmer le motif fallacieux avanc par la collaboratrice scientifique Bien au contraire Il a confirm le fait vident que la t che des Commissions de gestion consiste s assurer que les r gles de proc dure essentielles sont respect es par le Tribunal f d ral Mal gr cette vidence il s est permis de mettre un terme d finitif au dossier Correspondances du 25 ao t 2003 au 29 janvier 2004 Annexes 1 5 Le 25 ao t 2003 j ai adress une plainte l Assembl e f d rale Services du Parlement Commissions de gestion pour non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral Annexe 1 Le 26 ao t le Secr tariat des Commissions de gestion Annexe 2 m a inform que celles ci tudieront l objet de ma requ te dans le cadre de l activit de haute surveillance qu elles exercent sur le Conseil f d ral et l administration quant leur gestion Je pr cise que ma plainte ne porte pas sur une question de gestion mais sur le non respect du droit proc dural par le Tribunal f d ral Le 13 janvier 2004 j ai re u une lettre sign e Irene Moser collaboratrice sci entifique m informant que les Commissions de gestion ne peuvent pas don ner suite ma requ te Motif La surveillance des Commissions de gestion sur le Tribunal f d ral se limite en raison de la s
65. te surveillance parlementaire sur les tribunaux f d raux p 7084 7085 En outre il faut rappeler que les CdG traitent r guli rement des d nonciati ons l autorit de surveillance dirig es contre les tribunaux de la Conf d ra tion pour d ni de justice formel retard injustifi ou violation de principes fon damentaux de proc dure Il ne faut pas non plus oublier que les CdG consid rent qu il est de leur devoir d exercer la haute surveillance de mani re garantir chaque citoyen l galit de droit en mati re d acc s aux tribunaux Cet acc s ne doit pas tre ind ment restreint par une valuation trop restrictive des conditions formelles page 7085 La litt rature juridique et la pratique des CdG montrent que l exercice de la haute surveillance sur la justice est une t che d licate Les exp riences de la CdG ont galement montr que les objets de la haute surveillance ne peuvent pas tre d finis une fois pour toutes 27 septembre 2002 Mme Irene Moser collaboratrice scientifique Commissions de gestion de l Assembl e f d rale crit dans une lettre En raison de la s paration des pouvoirs le Parlement n est pas habilit se prononcer sur les arr ts rendus pas les tribunaux f d raux Le Parlement peut uniquement v rifier que ceux ci respectent les principes qui r gissent notre droit proc dural 13 d cembre 2002 Etat le 14 octobre 2003 Loi sur l Assembl e f d rale Loi sur le Pa
66. tes La premi re tant la d mocratie repr sentative dictature du corps lec toral avec sa dualit artificielle droite gauche capitalisme contre socialisme La deuxi me tant le communisme aussi appel e d mocratie sociale o dic tature du prol tariat adoptant le totalitarisme militaro bureaucratique Tous ces concepts politiques sortent d un seul et unique mental celui des instigateurs du Gouvernement mondial De caract re mat rialiste et intellectuel ils sont trangers l ordre naturel volutif et cr atif de la vie La d mocratie impos e aux cantons en 1848 n ayant pas r ussi jusqu pr sent nous soumettre enti rement notre pays se trouve aujourd hui confront un autre danger qui menace son int grit et sa p rennit En effet une nou velle arme de destruction massive des patries a t invent e J ai nomm le juridisme international qui travers le droit tente de nous refaire une r volution tyrannique sous couvert d humanisme et de paix L Europe de Bruxelles en est la matrice Cette situation donne naissance une nouvelle race d individus appel s ju ristes qui infiltrent jusqu indigestion les institutions politiques administratives et judiciaires de tous les pays y compris du n tre Elev s et nourris dans l abreuvoir du monde intellectuel c est dire dans les universit s elles m mes domin es par les forces occultes mentionn es plus haut ces repr sen tan
67. tifier votre demande Toutefois vous ne tenez pas compte de la derni re partie de cet article qui stipule qu en cas de motifs particuliers l autorit de recours peut renoncer percevoir la totalit ou une partie de l avance de frais J estime qu une ordonnance manipulatrice aboutissant un d ni de justice de la part du Minist re public de la Conf d ration est un motif suffisamment parti culier pour renoncer une avance de frais Votre fa on de proc der est donc arbitraire et contrevient aux r gles de la bonne foi violation de l Art 9 de la Constitution 59 Je vous prie sans autre contrainte et par la pr sente de proc der l instruction de ma demande de r vision du 21 octobre 2004 en vous exprimant sur la totalit de ma requ te afin que justice soit rendue Veuillez agr er Monsieur mes salutations distingu es Philippe Brennenstuhl Copie Monsieur le Conseiller f d ral Dr Christoph Blocher Le 23 novembre 2004 Monsieur A Surdez m a r pondu par une lettre juridique indigeste et sans fin dont je retiens deux passages Je cite L obligation g n rale pour le recourant de fournir une avance de frais a t instaur e dans la proc dure de recours administrative lors du deuxi me programme d assainissement des finances f d rales Ceci veut dire que le droit de l acc s la Justice garanti par la Constitution se paie en argent comptant et que les avances de frais sont utilis es en f
68. time comme une personne l s e dans son int grit corporelle sexuelle ou psychique On veut donc donner l illusion d une voie de recours alors que cette loi dans une affaire hautement politique et non de droit commun est une coquille vide Dans ce contexte j estime que l art 100 al 3 de la Proc dure p nale f d rale introduit le 1 janvier 2002 est une infamie sortie tout droit de cerveaux pervers 39 et qui donne en d finitive au procureur f d ral un pouvoir totalitaire dangereuse ment contresens de l id e et de la tradition d mocratiques Conclusion g n rale La fa on ignoble et scandaleuse dont ma cause a t trait e tous les niveaux cantonaux et f d raux a mis en lumi re et prouve un syst me interne adminis tratif corrompu ayant tout pouvoir mais qui naturellement n assume aucune responsabilit et ce travers tous les courants politiques successivement lus Si parmi l lite politique de notre pays aucune r action ne devait se faire sentir ou entendre suite aux constatations scandaleuses expos es dans mon dos sier et sauf un retour une v ritable thique constitutionnelle et l gale alors le souverain n aurait plus comme issue qu se r f rer l tat de n cessit art 34 CP pour r tablir ses droits ancestraux Dans l attente de votre r ponse je vous pr sente Monsieur le Conseiller f d ral mes tr s respectueuses salutations Philippe Brennenstuhl A
69. ts d vou s du mondialisme ont entre autres comme profil dominant obsession de leur autopromotion sociale Ce monde juridique qui cultive tout sauf la terre et qui d veloppe son mental en circuit ferm a r cemment r alis en Suisse un v ritable Coup d Etat en douceur qui en finalit nous impose le totalitarisme juridique la fameuse Ty rannie annonc e par Platon Le point culminant en est la nouvelle Constitution de 1999 fabriqu e dans le but de nous imposer une fois pour toutes la tr s internationaliste et tr s franc ma onnique Convention des Droits de l homme table de lois supranationales A rappeler que la nouvelle Constitution suisse donne la primaut au droit international au d triment du droit national ce qui ouvre grande la porte au prochain diktat que repr sentera la Constitution euro p enne pas suppl mentaire qui nous rapproche un peu plus d un gouverne ment mondial La R vision totale de l organisation judiciaire en cours sert et servira adapter les lois et les tribunaux la nouvelle Constitution Le but r el mais cach de cette r vision est d enlever au gouvernement seul garant de la volont du sou verain ses droits de surveillance sur le pouvoir juridique Les politiciens authen tiques tous partis confondus qui tenteraient de s opposer ce transfert de pou voir se trouveront confront s des lois et des trait s internationaux qui bloquer ont toute initiative pouvant r tablir la s
70. ttre aux membres des CdG 29 1 2004 5 Lettre de M C Waber re ue d but f vrier 2004 6 Lettre de M Hugo Fasel 12 2 2004 Copies A tous les Conseillers f d raux Aux Membres des CdG et de la D l gation administrative du Parlement A la presse romande et suisse allemande 35 SCHWEIZERISCHE BUNDESANWALTSCHAFT MINISTERE PUBLIC DE LA CONFEDERATION S MINISTERO PUBBLICO DELLA CONFEDERAZIONE PROCURA FEDERALA Procureur f d ral suppl ant F lix Reinmann Greffi re Ranla Tamine 3003 Berne t l 41 31 322 07 04 fax 41 31 322 98 71 E mel renla tamine ba admin ch Proc dure n MPC EAL 6 04 0570 Berne le 5 juillet 2004 Ordonnance de ne pas donner suite au sens de l art 100 al 3 PPF Le procureur f d ral suppl ant constate apr s examen de la plainte p nale d pos e le 19 mai 2004 par Monsieur Philippe Brennens tuhl contre Madame Ir ne Moser collaboratrice scientifique aupr s du secr tariat des Com missions de gestion du Parlement et contre Monsieur Hugo Fasel pr sident de la Commis sion de gestion du Conseil national pour abus d autorit art 312 CP gestion d loyale des int r ts publics art 314 CP et faux dans les titres commis dans l exercice des fonctions pu bliques art 317 CP que les courriers envoy s respectivement par Madame Ir ne Moser et Monsieur Hugo Fasel expliquant les comp tences attribu es aux Commissions de gestion du Parlement f d rat sont parfaite
71. ur le Tribu nal f d ral selon la Constitution En tout cas les personnes qui de bonne foi d posent une requ te aux Commissions de gestion c est dire aupr s des lus du peuple ne s imaginent pas que leur requ te est trait e par une simple secr taire en catimini Il est vident que cette pratique constante ne s appuie sur aucune loi ni sur le bon sens Ceci tient du plus grand scandale Faut il rappeler que nous sommes dans un Etat de droit et non pas dans un Etat de pratique constante Le sommet est atteint lorsque cette fonctionnaire se permet de rejeter les requ tes des citoyens sous n importe quel pr texte trom peur et en faisant croire que ce sont les Commissions de gestion qui ont tran ch En agissant ainsi dans mon cas et non seulement dans le mien j en ai la preuve Mme Moser participe activement une insupportable duperie anti d mocratique que je d nonce et laquelle il faut absolument mettre un terme Requ te Au vu de ce qui pr c de je requiers louverture d une enqu te p nale pour abus d autorit art 312 CP gestion d loyale des int r ts publics art 314 CP et faux dans les titres commis dans l exercice des fonctions publiques art 317 CP L enqu te devra nous renseigner dans quel but pour quelle raison et sur ordre et au profit de qui Mme Moser a agi Il sera examiner combien de dossiers ladite collaboratrice scientifique a d lib r ment et arbitrairement blo qu s et d to
72. urn s au d triment de citoyens qui ont d pos une requ te et ce depuis combien de temps L enqu te devra aussi d terminer si ce mode de faire ne s est pas galement install dans l entourage du Conseil f d ral et permettre de d voiler par l m me un r seau d influence occulte qui pourrait amener tromper les Conseillers f d raux dans leur jugement et leur appr ciation de la situation r elle du pays Les fuites r centes au Conseil f d ral montrent bien qu il y a un noyau adminis tratif subversif de personnes non lues qui manipulent notre syst me politique Le fait que l on courtcircuite les lus par des non lus remet enti rement en cause notre d mocratie directe et ses responsables les lus L enqu te devra permettre de savoir qui profite cette trahison 34 Je laisse l appr ciation du Procureur f d ral de voir dans quelle mesure et quel niveau Mme Irene Moser a mis en danger notre pays et son ind pendance L enqu te devra d terminer en d finitive pour qui elle travaille et si sa m thode de subversion est d ordre lucratif ou id ologique ou les deux la fois et qui se cache derri re Dans l attente de votre r ponse je vous pr sente Monsieur le Procureur f d ral mes salutations distingu es Philippe Brennenstuhl Annexes 1 Plainte adress e l Assembl e f d rale 25 8 2003 2 R ponse de Mme Irene Moser 13 1 2004 3 Ma lettre Mme Irene Moser 21 1 2004 4 Ma le

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