1.71 Mo - Pôle Aquimer
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1. Le magazine d information du P le de Comp titivit l Fili re Produits Aqu tiques Le hareng s adapte a VOS go ts N 3 D cembre 2007 DOSSIER Fumage l ancienne en coresses Comment r duire la perception des ar tes dans le hareng en particulier celui destin au salage saurissage et au marinage Etrange question de prime abord mais pourtant bien s rieuse sur laquelle se sont pen ch s scientifiques et professionnels dans le cadre d un projet pilot par le P le Fili re Produits Aquatiques financ par le Fonds de Comp titi vit des Entreprises devenu FUI Fonds Unique Interminist riel l IFOP et la Communaut d Agglo m ration du Boulonnais intitul AVCOP Prise en compte de la pro bl matique des ar tes et valorisa tion des produits et co produits de poisson au sein d une gamme de produits alimentaires innovants Lev e des filets de harengs fum s l ancienne Les saleurs saurisseurs fran ais contre attaquent C est qu en effet on ob serve depuis quelques ann es en France l importation grandissante de produits transform s de harengs es sentiellement marin s provenant d Europe du Nord et de l Est qui concurrencent les productions natio nales Ces produits import s subis sent des traitements qui permettent de diminuer la perception des ar tes en bouche et d aboutir une texture plus moelleuse ce qui plait aux consommateurs et notamment aux plus j2. La tra abilit face aux crises agroa limentaires ou sanitaires est une r ponse une exigence de s curit toujours plus forte La tra abilit c est la facult de suivre un produit aux diff rents stades de sa produc tion de sa transformation de sa commercialisation Les acteurs de la fili re des produits aquatiques n ont pas attendu le r glement eu rop en 178 2002 entr en vigueur le 1 janvier 2005 pour se lancer dans la tra abilit afin de toujours mieux r pondre aux attentes des consommateurs des distributeurs et aux exigences de la r glementa tion Toutefois chaque entreprise poss de son propre syst me de sorte que l information peine tre transmise l ensemble des acteurs Par ailleurs d autres entreprises en particulier celles de petite taille pr sentent toujours des lacunes dans ce domaine en raison de moyens techniques et financiers trop limit s qui ne leur permettent pas de s adapter aux volutions pourtant incontournables D o le projet national lanc par le P le en octobre 2006 de num risa tion de la tra abilit dans la cha ne lo gistique de la fili re financ par l Union Europ enne IFOP et la Direc tion G n rale des Entreprises projet TIC PME 2010 Un projet collectif pour l avenir de chacun affirme Thierry Missonnier son Directeur Ce projet se d cline en plusieurs phases La premi re a consist ta blir un tat des lieux aupr
3. de dresser un inventaire des produits concurrents des produits fran ais et surtout dans la mesure du possible d obtenir des informations techniques compl mentaires sur les additifs ingr dients et ou auxiliaires de fabrication utilis s l tranger Cet inventaire termin le projet a pu entrer dans sa phase plus scientifique L tude technique et la mise au point des produits a t confi e au CEVPM Centre d Exp rimentation et de Valorisation des Produits de la Mer en partenariat avec l Ifremer Nantes Une fois le produit test valid par les partenaires apr s d j une tr s vive s lection un hareng fum b n ficiant du traitement att nuant la sensation d ar tes en bouche celui ci fut pr sent un panel de 55 consommateurs en m me temps que deux autres produits un produit t moin un hareng fum selon les m thodes tradi tionnelles et un produit tranger concur rent en l occurrence un filet de hareng trait Sous couverture d huile Les r sultats sont difiants Si la sensation d ar tes est jug e plus d favorablement pour le produit t moin c est le produit concur rent qui concentre la plupart des critiques Certes la perception des ar tes est quasi nulle mais le produit est jug trop mou trop gras et aux dires des consommateurs pr sentant un arri re go t peu app tissant Quant au produit test si la sensation d ar tes n a pas compl tement d
4. s d un chantillon exhaustif d entreprises repr sentant l ensemble des acteurs de la fili re C est le P le tra abilit association ind pendante et neutre qui a t s lectionn sur appel d of fres pour mener cet audit Comme crit re elle a utilis l tat du parc in formatique li la tra abilit au sein pam mapaki i 200000 ST de l entreprise En les classant une fois le sondage effectu en trois ca t gories celles n ayant pas de moyen informatique li la tra abilit et donc utilisant le support papier celles ayant des moyens informatis s li s la tra abilit mais uniquement en rapport avec les commandes et ou les fournisseurs celles enfin ayant des moyens informatis s utilis s pour une tra abilit transversale y compris de production Mi tit L audit a dans un ec t r alis aupr s d entreprises boulon naises puis tendu l ensemble du territoire national et aupr s de plu Sieurs entreprises europ ennes Cet tat des lieux qui a d but en f vrier 2007 s est achev en octobre Les r sultats ont permis de proposer plusieurs sc narii pour le d veloppe ment d une solution pilote avant la phase de d ploiement La mise en place d un syst me de tra abilit selon la technique de l identification par ra diofr quence RFID m thode per mettant de lire et crire des donn es distance sur des tiquettes appel es tags ou par
5. Espagnon consultant logistique a t charg d imaginer et de mettre en place un outil informatique qui traduit cette obligation r glemen taire nationale et communautaire de tra abilit Au del des informations ayant trait aux denr es alimentaires elles m mes ces textes obligent mettre en place un dispositif capable d identifier les four nisseurs en amont et en aval les clients Aujourd hui cet outil est op ra tionnel sur Rungis indique le consultant qui ajoute Mais il a vocation servir l ensemble de la fili re Classiquement les fondations du syst me informatique de tra abilit reposent sur le principe d tiquetage des caisses de marchandise I faut parvenir tiqueter les caisses le plus t t possible dans le parcours du poisson affirme Marc Espagnon Par exemple directement sur le bateau pour les caisses qui ne sont pas retravaill es Les colis non ou mal identifi s devront tre tique t s l entr e du Pavillon de la Mar e La qualit de l tiquetage est selon lui essentielle Le but est que les acteurs de la fili re acceptent un tiquetage norm c est dire que tout le monde doit avoir le m me et chaque acteur doit tiqueter correctement son pro duit en fonction du niveau d information qui correspond sa qualit four nisseur grossiste client etc L tiquetage sous la forme d un code barre alimente une base de donn es laquelle chaque a
6. Agenda 2008 St Pierre amp Miquelon Guadeloupe Martinique ANS Guyane R union 16 rue du Commandant Charcot 62200 Boulogne sur Mer T l 03 21 10 78 98 Fax 03 21 30 33 22 contact polefiliereproduitsaquatiques com www polefiliereproduitsaquatiques com Impulsion Le magazine d information du P le de Comp titivit Fili re Produits Aquatiques D cembre 2007 ISSN 1955 5709 Directeur de la publication Thierry MISSONNIER Cr dit photos P F P A X Nicostrate Photo couverture Recette Tony LESTIENNE Salade de filets de hareng doux pomme l huile en brochette extrait du livre LE HARENG Punch Editions Partenaires b raternit i i i j financiers x R GION kxk MINIST RE NORD peracrieurure pae pe Chia OFIMER a CCIBCO FROM NORD CME SGM Union Europ enne ET DE LA P CHE P le de Comp titivit National soutenu par ANOP Association Nationale des Organisations de Producteurs CNC Comit National de la Conchyliculture CITPPM Conf d ration des Industries de Traitements des Produits des P ches Maritimes CIPA Comit Interprofessionnel des Produits de lAquaculture UAPF Union des Armateurs la P che de France CNPMEM Comit National des P ches Maritimes et des Elevages Marins SNCE Syndicat National de Commerce Ext rieur des Produits Congel s et Surgel s IFREMER Institut Fran ais de Recherche pour l Exploitation de la Mer
7. cteur membre du dispositif pourra avoir acc s Notre lo giciel est directement t l chargeable sur le web Vous pouvez consulter le mode d emploi d application C est tr s facile il n y a qu suivre les ins tructions Vous entrez votre code identifiant votre mot de passe et vous tes en relation avec le serveur EDI Echange de Donn es Informatiques o les donn es sont centralis es Marc Espagnon estime que cet outil peut tr s bien tre transpos une plus grande chelle Ce n est qu une affaire de volont de la fili re Ensemble nous pouvons disposer d un outil aussi performant que celui de la GMS 61 le pourcentage d entreprises qui pratiquent une gestion manuelle de la tra abilit 39 le pourcentage d entreprises qui pratiquent une gestion informatis e de la tra abilit Zoom sur le P le tra abilit Organisme financ par les pouvoirs publics le P le tra abilit est un centre d changes et de transferts des savoir faire destin aider les entreprises ac c l rer leur processus d innovation par l utilisation des technologies de la tra abilit Il a vocation tre le partenaire des entreprises et des organisations pour leur permettre e d am liorer leur comp titivit e d am liorer leur ma trise des risques contre fa on falsification d tournement de marque ou de r seau de distribution et de limiter leurs cons quences e d ajouter de la valeu
8. dans le projet La 2 me partie du projet 18 9 1 le nombre de mois pour la dur e du projet AVCOP perception des ar tes dans le hareng 10 39 le nombre d entreprises le nombre de de salaison partenaires consommateurs ayant du volet ar tes de l tude test le nouveau produit le nombre de partenaires le Syndicat National scientifiques et techniques des Saleurs Saurisseurs de Poissons P LE FILI RE PRODUITS AQUATIQUES Cd R EPERE S ACTUALIT Echanges franco qu becois D ae Le P le Fili re Produits Aquatiques en partenariat avec le P le Mer Bretagne et le P le Mer Provence Alpes C tes d Azur vient de participer une mission d tudes en Gasp sie au Qu bec Les repr sentants de ces trois structures dont Jean Bap tiste Delpierre Pr sident du P le Fili re Produits Aqua tiques et Thierry Missonnier Directeur ont rencontr des acteurs du Cr neau marin Qu b cois l quivalent de notre p le Le cr neau marin est plus exactement le cr neau ressources sciences et technologies marines Son champ d action couvre 4 fili res aquaculture biotechno logies marines capture transformation de la biomasse marine et technologies marines Financ e par la Commission permanente de coop ration franco qu becoise sous l gide du Consulat G n ral de France Qu bec et le Minist re qu b cois des relations in ternationales cette mission avait pour objectif de mettr
9. domaine des biotechnologies 34 bas es au Qu bec le pourcentage des biotechnologies marines dans le march canadien le pourcentage d entreprises de biotechnologie du Canada Questions Julie Boyer Coordonnatrice pour les dossiers strat giques innovation et r seaux la Direction de l innovation et des technologies Minist re de l Agriculture des P cheries et de l Alimentation du Qu bec Comment s est d rou l e cette mission Une vingtaine de d l gu s du secteur des p ches de l aquacul ture et de l oc anogra phie rattach s au P le Mer Bretagne au P le Mer PACA et au P le Fi li re Produits Aquatiques taient en mis sion au Qu bec du 24 au 28 septembre Ils ont particip aux deux journ es d ateliers organis es Mont Joli dans le Bas Saint Laurent et Grande Rivi re en Gasp sie auxquelles ont assist 48 membres du Cr neau marin et six repr sentants gouverne mentaux partenaires lls ont assist diverses rencontres en sous groupes de travail sp cialis s Rimouski Gasp et Cap aux Meules et visit toujours en sous groupes selon leur champ d activit sept centres de R amp D et cinq entreprises Ils ont ces occasions discut avec des repr sentants d associations d entreprises d or ganismes de centres de recherche et de minist res qu b cois propos des actions mises en uvre tant en France qu au Qu bec pour relever les d fis
10. e en contact les diff rents acteurs du Cr neau marin et des p les de comp titivit fran ais des repr sentants d associations des entreprises des centres de recherche des organismes professionnels Avec pour finalit un change d informations sur les objectifs les moyens et les actions en cours pour faire face aux d fis actuels de la fili re mais aussi cibler d ventuelles actions communes Des rencontres jug es tr s constructives par Jean Baptiste Delpierre Le Canada et le Qu bec ont un d ficit en mati re de valorisation des produits de p che d barqu s Prenons le cas du maquereau Le Qu bec dispose de quotas importants sur cette esp ce Mais il n est que tr s peu p ch tout sim plement parce que la fili re prouve d normes difficult s pour le commercialiser C est une piste int ressante qu il nous faut explorer Au cours des ateliers de travail mis en place les questions abord es furent nombreuses transformation et valorisation des produits de la mer techniques innovantes de transformation des produits et co produits composition nutritionnelle des produits formation du personnel et de la main d uvre s curit sanitaire et alimentaire etc Pour chacune des th matiques abord es les intervenants ont tudi la possibilit d un rapprochement au travers d actions communes de R amp D de transferts technologiques ou d changes de savoir faire A l issue un questionnaire a t remi
11. eunes Par ailleurs la DLC Date Limite de Consommation de ces pro duits serait un peu plus longue que celle des produits fran ais Ainsi les poissons p ch s dans la Mer du Nord et la Manche sont export s vers les pays de l Eu rope de l Est o ils subissent un trai tement appropri Ils sont ensuite ex p di s dans les pays d Europe du Nord pour y tre assembl s puis sont commercialis s sur le march fran ais Quel est l int r t d une telle logistique N est il pas possible de traiter les ha rengs en France En outre le march tant plus porteur pour les produits d s ar t s il convient de rappeler que la majorit de la production de harengs marin s est d j d localis e l tran ger et que la production de harengs fum s risque de suivre la m me voie Forts de ce constat et la demande du Syndicat National des Saleurs Saurisseurs de Poissons les parte naires de cette tude ont planch sur la possibilit de produire ce type de harengs fum s et de harengs mari n s en France Fumage traditionnel Test aupr s de Pelage des filets de harengs fum s 55 consommateurs Une premi re tape visait iden tifier les proc d s de traitement existants notamment par une enqu te europ enne sur la situation technico r glementaire des pays o sont fabriqu s des poissons marin s et fum s concurren ant les productions fran aises Cette enqu te avait pour objectif
12. fois tiquettes intelli gentes est apparu pour l heure trop contraignante et on reuse gizaLO_1234 5 _ 1 TE L option retenue est celle de la mod lisation des flux d information sur la base d un sch ma global de gestion de l information Conform ment aux souhaits des professionnels de la fi li re l information sera hi rarchis e selon trois niveaux e les informations propres l entre prise qu elle devra conserver mais sans devoir obligatoirement les trans mettre exemple la zone exacte de p che la date de p che e les informations r glementaires transmettre tous les maillons de la cha ne esp ce nom scientifique ca libre num ro de lot e les informations de la fili re par tager Ce sont des informations compl tes ou g n riques stock es dans un Serveur commun qui pour ront renseigner l ensemble des ac teurs de la fili re sur un produit une tape particuli re II s agit main tenant de savoir quelle structure va prendre en charge la conservation de ces donn es observe Catherine Beutin charg e de mission au P le La Phase 2 du projet en cours consiste donc mettre en place le sc nario expos ci dessus qui a pour avantage de laisser chaque profes sionnel le choix de son syst me de tra abilit interne tout en permettant la transmission des informations d un ac teur un autre Ce sc nario est en plus adapt aux contrain
13. isparu son go t et sa texture nettement sup rieurs au produit concurrent ont emport les suffrages des consommateurs Les professionnels disposent d sormais de toute libert pour lancer une nouvelle gamme de produits en s inspirant du produit test dont les r sultats se r v lent tr s concluants Une opportunit que certains devraient saisir rapidement leur permettant de diversifier leur offre en compl ment de leur produit phare le hareng fum traditionnel Le march des produits aqua tiques est tr s internationalis Ainsi la balance commerciale fran aise est structurellement d fici taire et aujourd hui 15 seulement des produits commercialis s dans notre pays sont issus de la p che fran aise Mais nous sommes aussi exportateurs L avenir de notre fili re d pend aujourd hui de notre capacit nous ins rer dans ces flux mondiaux nous ouvrir l international non seulement vis vis des pays producteurs mais galement de ceux dont le savoir faire dans le domaine de la transformation est reconnu Le r cent rapprochement du p le avec le Qu bec est la parfaite illus tration de cette volont d ouverture pr lude une action que nous sou haitons soutenir l international Nous ne pouvons qu y gagner Jean Baptiste Delpierre Pr sident du P le Fili re Produits Aquatiques R EPERE S Le projet AVCOP en chiffres 20 le nombre de partenaires professionnels impliqu s
14. loitation de ces mol cules issues de ressources bio logiques marines et ce pour diff rents march s notamment ceux de la sant de la nutrition et de la cosm tique Ce th me a t approfondi en octobre Saint Malo en marge du 4 me Symposium Sant Mer de Granville lors de journ es d changes visant susciter des alliances franco qu b coises entre les entreprises et les centres de recherche Les coop rations engendr es devraient avoir des impacts en mati re de d veloppement conomique cr ation d emplois pr servation de l environnement par l utilisation optimale de la ressource et la collaboration entre entreprises et centres de recherche Dans cet objectif une d l gation qu b coise d entreprises et de chercheurs a rencontr plusieurs partenaires des P les Fili re Produits Aquatiques et Mer Bretagne Ce projet coordonn par le Centre Qu b cois de Valorisation des Biotechnologies CQVB les P les Fili re Produits Aqua tiques et Mer Bretagne est soutenu par le Minist re des Re lations Internationales du Qu bec et le Consulat G n ral de France Qu bec dans le cadre du Fonds franco qu b cois pour la coop ration d centralis e Le second volet se tiendra au Qu bec au printemps 2008 D standarts de qualit l chelle internationale des biotechnologies 1 500 le nombre de bateaux c tiers et semi hauturiers 150 3000 emplois le nombre d entreprises qu b coises dans le
15. qui se posent ac tuellement Les changes de vues ont permis de convenir d un partage du savoir faire de transferts technologiques d acti vit s de recherche d veloppement et de liens d affaires tablir Concr tement quels sont les do maines sur lesquels les deux parties vont pouvoir collaborer Apr s la mission les responsables du pro jet ont transmis un questionnaire aux par ticipants fran ais et qu b cois afin de r pertorier les intentions de collaboration Iis ont tenu une s ance de travail le 27 no vembre afin de mettre en commun l infor mation et de pr parer la liste des actions qui ont le plus de chances de se concr ti ser Une prochaine conf rence t l pho nique est pr vue la mi janvier Des actions communes en d couleront en 2008 notamment ce qui a trait l appro visionnement en juv niles dans la conchy liculture l optimisation d un logiciel de conception d engins de p che et de simu lateurs de navigation l conomie de car burant l am lioration de la s lectivit et de la survie des esp ces dans les engins de p che Citons encore la valorisation des co produits mais aussi de certaines es p ces comme les c phalopodes la bau droie la lotte ou le maquereau que le Qu bec peine commercialiser Il faut sa voir que le Qu bec cherche diversifier ses march s l exportation en tant plus pr sent en Europe De nouvelles rencontres sont elles prog
16. r leurs produits de cr er de nouveaux services par l innovation en utili sant la tra abilit comme levier strat gique dans la gestion des biens des services et des per sonnes identification authentification locali sation S curisation services associ s C est ainsi que le P le tra abilit accompagne les entreprises dans leurs projets strat giques mana gement des technologies int gration du syst me de tra abilit au syst me d information change ments organisationnels Il apporte conseils et expertises aux entreprises sou haitant am liorer ou int grer un syst me de tra abilit Il est aussi un centre de tests et d essais disposi tion des offreurs de solutions pour caract riser un produit et des utilisateurs pour valider une solution Enfin il m ne des actions de formation inter entreprises ou personnalis es dans les domaines de la tra abilit Neutre ind pendant garantissant une stricte confi dentialit et but non lucratif le P le tra abilit a un Statut d association type loi 1901 Il est bas Valence P LE FILI RE PRODUITS AQUATIQUES
17. ramm es Plusieurs actions communes cit es pr c demment vont b n ficier de finance ments et pouvoir tre mises en place assez rapidement En outre des parte naires des p les de comp titivit de la mer et du Cr neau marin qu b cois se retrou veront Qu bec pour participer du 20 au 22 mai au Symposium sur les p les de comp titivit et les cr neaux d excellence organis la demande du ministre du D veloppement Economique de l Innovation et de l Exportation M Raymond Bachand et de l ancien Premier ministre de France M Jean Pierre Raffarin Ce symposium sera l occasion de faire le point sur la col laboration entre la France et le Qu bec au regard de cinq secteurs d activit Sciences de la mer biotechnologies envi ronnement et d veloppement durable transport terrestre et a ronautique et d annoncer la mise en uvre de projets de cod veloppement Valorisation des biomol cules actives Fran oise Gizewski attach e d affaires conomiques pour la d l gation g n rale du Qu bec Une p pite exploiter 66 Nous nous sommes v ritablement int ress s la question en 2002 2008 II fallait trouver de nouveaux d bouch s pour nos en treprises D autant que les limitations de p che et autres moratoires sur certaines es p ces ont eu des cons quences tr s dures sur certaines de nos r gions loign es d j for tement touch es par le ch mage Nous tions con
18. s chaque participant afin de mieux cibler les besoins et affiner les projets de partenariat possibles Nos amis qu b cois ont par ailleurs montr un vif int r t pour la marque collective Fili re Opale Le Qu bec en chiffres 3 000 60 le nombre de kilom tres de c tes du Qu bec le nombre d usines de transformation modernes r pondant aux plus hauts Dans l optique d une coop ration toujours plus troite une d l gation qu b coise se rendra en France au cours du pre mier semestre 2008 La le on de ce voyage c est aussi qu il nous faut rester tr s vigilants quant l exploitation de la res source conclut le Pr sident du P le faisant ici r f rence au cabillaud disparu la fin des ann es 80 des eaux canadiennes en raison notamment d une surexploitation de la p che Qu bec toujours avec cette fois un projet de coop ration ayant trait la valorisation des biomol cules actives issues de la biomasse marine De part et d autre de l Atlantique on observe en effet un tr s vif int r t et un dynamisme croissant des entreprises pour ces activit s Int r t motiv par la diminution de la ressource halieutique et le besoin de se tourner vers une meilleure valo risation des produits de la mer et de leurs co produits des algues et des micro organismes Les centres de recherche et professionnels de la fili re se sont ainsi saisis de cette probl matique afin de trouver des nouvelles voies d exp
19. scients du potentiel offert par la valorisation des biomol cules actives pr sentes dans la mer Il y a l une v ritable p pite exploiter Notre r seau d entreprises d instituts de recherche et d universit s r uni au sein de notre cr neau marin d ex cellence s est donc pench sur la question De m me dans le cadre du Fonds de coop ra tion franco qu becois notre volont tait de travailler avec nos homologues fran ais sur cette th matique Les deux jours de rencontre de Saint Malo les 2 et 3 octobre ont t tr s fructueux Huit membres du cr neau marin dont des repr sentants Inuits et Innu y ont particip lis ont rencontr des membres du P le Mer Bretagne et du P le Fili re Produits Aqua tiques Une partie de la d l gation compo s e d une vingtaine de personnes a visit des entreprises et centres de recherche en particulier Boulogne sur Mer Les contacts ont t tr s positifs puisque deux accords d entreprise ont d ores et d j t conclus Nous voulons poursuivre cette dynamique aller plus loin dans le partenariat dans les transferts de technologies Car il y aura des retomb es conomiques importantes la cl D s 2008 de nouveaux changes vont avoir lieu entre la France et le Qu bec au Qu bec cette fois 99 P LE FILI RE PRODUITS AQUATIQUES Cd R EPERE S DOSSIER Tra abilit num rique apr s l tat des lieux entr e dans la phase pilote
20. tes budg taires commerciales et communautaires de l ensemble de la fili re Cette mission a de nouveau t confi e au P le tra a bilit reconnu pour ses comp tences et son savoir faire en la mati re Quant la phase 3 elle consistera mettre en place la solution aupr s des entreprises en les aidant et les ac compagnant dans leurs d marches de mise en uvre de ce sch ma de gestion et de partage de l information La tra abilit en chiffres phase 1 du projet L audit 72 le nombre d entreprises interrog es par t l phone sur la r gion Nord Pas de Calais 26 le nombre d entreprises audit es in situ sur la place de Boulogne sur Mer 92 le pourcentage d entreprises ayant moins de 100 salari s Etat des lieux en chiffres 1 2 le pourcentage d entreprises qui transmettent leurs donn es sous format EDI Echange de Donn es Informatis es Marc Espagnon 24 le pourcentage d entreprises pour qui la tra abilit est per ue avant tout comme une charge 42 le pourcentage d entreprises pour qui la tra abilit est per ue avant tout comme un avantage EE s r Gas i hi o SPA em 4 p UT Bias ee ae LR HET Le Pavillon de la Mar e de Rungis 50 de l appro visionnement de la r gion parisienne en produits de la mer et d eau douce est au m me titre que la fili re confront depuis le 1 janvier 2005 l obligation de tra abilit Marc
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