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1. E CONCLUSION La lutte biologique ne s applique pas qu au v g tal sp cialis Il peut trouver de nombreuses applications en levage En particulier face au probl me du pou rouge il peut repr senter une alternative int ressante qui permettrait par le l ch de certains acariens pr dateurs d atteindre un quilibre naturel dans le poulailler Plusieurs soci t s existent sp cialis es dans la commercialisation d auxiliaires pour contr ler ou liminer les populations de nuisibles C lia BORDEAUX CRAPL TEL 02 41 18 60 33 Des v nements majeurs bloquez vos dates 27 AVRIL R union MAEC bio Laval Une 4 r union est propos e LAVAL Lundi 27 Avril 2015 14h00 la maison des agriculteurs LAVAL Objectif permettre aux porteurs d un projet conversion bio et aux agriculteurs bio en place de faire les meilleurs choix en comprenant bien les attendus des contrats conversion et maintien 28 AVRIL Journ e Portes Ouvertes Thorign d anjou 9 7 E Journ e portes ouvertes FERME EXPERIMENTALE 28 Avril 2015 DE THORIGN D ANJOU Ferme exp rimentale de Thorign d Anjou 2 4 9 11 et 16 JUIN Venez nous rencontrer lors des JOURNEES TECHNIQUES GRANDES CULTURES BIOLOGIQUES Jeudi 11 juin 72 240 CONLIE Voir Carte Au programme de ces Mardi 16 juin a rencontres techniques visite d essais visite 33 300 OISSEAU a d exploitation pr sentati2. T l 02 41 18 60 33 Fax 02 41 33 57 02 Mail brigitte lambert mayenne chambagri fr Mail celia bordeaux pl chambagri fr www mayenne chambagri fr www paysdelaloire chambagri fr Actualit technique A La Ferme exp rimentale de Thorign La ferme exp rimentale de Thorign d Anjou totalement conduite en agriculture biologique se consacre depuis sa cr ation des recherches concernant essentiellement les leviers de l autonomie alimentaire des levages de ruminants et la production de viande bovine biologique La ferme exp rimentale ouvre ses portes le mardi 28 avril 2015 de 10 H 17 H Cette journ e sera l occasion de vous faire visiter le site et de pr senter les derniers r sultats de recherches E Objectifs et moyens 16 organismes associ s La ferme exp rimentale de Thorign d Anjou a t mise en place l automne 1998 sur une initiative de la Chambre d agriculture de Maine et Loire Pour la g rer 16 organismes de la r gion sont associ s dans une SARL i Les recherches conduites enti rement en agriculture biologique sur cette ferme combinent des observations d taill es sur le syst me de production prototype avec des exp rimentations sur des lots d animaux ou sur des petites parcelles Cet outil a fait la preuve de son efficacit Hors co ts de recherches la ferme est viable La ferme exp rimentale entretient des liens techniques troits avec des groupes techniques
3. la conduite en association Hiver 40 gr m2 avec une c r ale Printemps peu de pertes de rendement en 50 gr m2 f verole meilleur rendement global meilleure gestion des adventices sans d sherbage m canique hiver bl triticale avoine 110 gr m printemps bl triticale orge avoine lt 100 gr m Pois B n fices la conduite en association avec prot agineux une c r ale Hiver 90 gr m2 vite la verse Printemps meilleure gestion des adventices 90 gr m 2 sans d sherbage m canique maintien du rendement global Mais pertes de rendement importantes en pois Hiver orge bl lt 110 gr m2 Printemps bl orge triticale lt 100 gr m Lupin B n fices la conduite en association avec Hiver 40 gr m2 une c r ale Printemps vite la verse 50 gr m meilleure gestion des adventices sans d sherbage m canique maintien du rendement global Mais pertes de rendement importantes en lupin Hiver non test Printemps triticale 120 gr m bl orge et avoine lt 120 gr m REMARQUE Les densit s pr cis es sont celles qui ont t test es cette ann e Elles ne doivent pas tre prises comme des r f rences ces r sultats m ritent d tre valid s Apr s une ann e d essai la majorit des modalit s cultiv es en association avec une c r ale n ont pas permis d atteindre le rendement du prot agineux cultiv en pur Etant donn l ann e tr s favorable aux prot ag
4. r former des vaches jeunes et produire des carcasses lourdes 3 un premier v lage 30 mois pour r duire la dur e de vie improductive 4 une utilisation de l ins mination pour faciliter le progr s g n tique et s curiser les qualit s maternelles Les m les sont vendus en b ufs 12 b ufs an ou en veaux sous la m re et le solde ventuel en broutards Des barons jeunes bovins de 13 15 mois ont t produits de 2009 2011 Le potentiel g n tique du troupeau de m res est lev 9 point d IVMAT ii par rapport la moyenne de la race et le troupeau productif gain de poids vif de 332 kg par UGB en moyenne des 5 derni res campagnes L exploitation est conduite dans l objectif d atteindre l autonomie alimentaire totale du troupeau tout en ayant un niveau d exigence lev sur les performances zootechniques individuelles et sur la qualit de finition des animaux Des mesures pr cises pour des r ponses fiables La ferme exp rimentale dispose du mat riel exp rimental n cessaire aux bonnes conditions de mesures pr cises pour obtenir des r ponses fiables un pont bascule deux p se b tail une r colteuse d essais fourrages une motofaucheuse une moissonneuse batteuse exp rimentale en copropri t diverses bascules deux tuves deux herbom tres lectroniques Un laboratoire pour conditionner et stocker durablement les chantillons vient d tre quip Les analyses de laboratoire co
5. certains pathog nes du sol De nombreuses sp cialit s commerciales sont aujourd hui sur le march qu il est n cessaire de tester L essai a d marr avec Aegis selon 3 modalit s d apport t moin sans apport pr coce et apport tardif ex semis vs repiquage pour les poireaux Plusieurs cultures sont test es melon haricot m che radis batavia tomate poireau Le co t de la mycorhrization ici 190 ha en pleine terre et jusqu 570 ha en tunnel peut se rentabiliser par des gains de rendement observ s surtout en poireaux et tomates de vari t s anciennes des gains de calibre de plants repiquer ou de produit final des gains de pr cocit une capacit att nuer des pratiques culturales limitantes comme le stress hydrique On note galement un effet d autant meilleur que l inoculation est pr coce et ou que la culture est longue Brigitte LAMBERT CRAPL CA 53 TEL 02 43 67 36 84 Actualit technique A Les auxiliaires en maraichage biologique de plein champ tude sur l attractivit des am nagements autour des cultures L ARELPAL GDM 85 a mis en place de 2010 2013 une nouvelle tude sur l interaction entre divers am nagements haies bandes enherb es bandes fleuries engrais verts et des cultures mara ch res culture de courges dans cette tude Les objectifs de cette tude taient 1 d valuer l attractivit des am nagements autour des cultures pour les a
6. choix d une vari t de pois lupin ou f verole adapt e l agriculture biologique et au contexte des Pays de la Loire est primordial pour assurer la r ussite de ces cultures F verole d hiver IRENA pr coce bon pouvoir couvrant productivit lev e OLAN 1 2 tardive bon pouvoir couvrant productivit moyenne lever et AXEL nouveaut 1 2 pr coce tr s bon pouvoir couvrant productivit lev e F verole de printemps FABELLE BETTY FUEGO et ESPRESSO bonne vigueur bon pouvoir couvrant productivit lev e FABELLE et BETTY sont fleurs color es mais pr sentent une faible teneur en vicines convicines facteurs anti nutritionnels Pois prot agineux d hiver ENDURO grain jaune bonne tenue de tige productivit lev e JAMES et CURLING grain jaune plus tardive et AVIRON grain vert Pois prot agineux de printemps AUDIT GREGOR et MYTHIC bonne vigueur bon pouvoir couvrant productivit lev e et r guli re Lupin blanc d hiver LUMEN et CLOVIS Lupin blanc de printemps FEODORA et AMIGA T l charger gratuitement la synth se vari tale F verole de printemps gt et la synth se vari tale Pois de printemps sur le site www bio paysdelaloire chambagri fr Actualit technique E Pourquoi cultiver les prot agineux en cultures associ es La conduite en pur des prot agineux est possible mais peut s av rer p rilleuse Le lupin et la f verole
7. d un tre vivant reste cach la journ e dans des crevasses ou des fentes du b timent d levage proximit de ses h tes et attaque la nuit en leur su ant le sang Il affaiblit les volailles engendrant stress nervosit picage et an mie et il participerait la d gradation des performances jusqu 10 de chute de ponte t ches de sang sur les ufs g n rant des d classements etc C est un acarien particuli rement difficile combattre En effet il se reproduit vive allure cycle allant de sept quinze jours maximum Il fuit la lumi re et cherche avant tout des interstices troits ce qui le rend inaccessible aux pulv risations par exemple de produits base d extrais naturels de plantes aromatiques De plus il est capable de r sister jusqu 9 mois de privation de nourriture ce qui rend la p riode de vide sanitaire peu efficace par elle m me II r siste enfin un large spectre de temp rature certains individus se r veillent et s activent normalement apr s une cong lation d une semaine 20 C E Deux pr dateurs du pou rouge Face ce probl me une solution de lutte biologique appliqu e la sant animale existe l association de deux arthropodes pr dateurs compl mentaire Taurrus et Androlis Androlis est un pr dateur des jeunes stades du pou rouge Il se d place rapidement dispersion et poss de une capacit coloniser un substrat Son comportement est tr s proche de ce
8. et des populations de pucerons dans les cultures de courges des deux sites ont permis de faire un certain nombre de constats Au final cette tude conclue qu un site consacr depuis longtemps au mara chage biologique cas du site de St Etienne du Bois pr sente un bon quilibre d auxiliaires utiles aux cultures d s la premi re ann e d observation La diversit des esp ces est entretenue gr ce aux diff rents am nagements pr sents sur le site comme les bandes fleuries du commerce ou les engrais verts Dans un site plus r cemment occup par du mara chage bio cas de Ste Flaive on trouve au d part dans les friches une faune plus habitu e des prairies Mais en deux ans gr ce l attrait d une bande fleurie sem e une population d auxiliaires sur pucerons s est mise en place et trouve notamment son int r t dans la protection des cultures de courges Dans les deux sites l tude montre l importance des am nagements naturels Les bandes enherb es spontan es gr ce leur floraison tal e sont occup es par les auxiliaires pendant de nombreux mois et jouent un r le de corridor biologique en favorisant le d placement des auxiliaires entre les diff rentes parcelles Les haies m me si les auxiliaires y sont pr sents en moins grande quantit jouent un r le dans le cycle de vie des auxiliaires en apportant repos et nourriture tout moment de l ann e surtout quand la floraison des strates basses est fi
9. supporte bien le d sherbage m canique Cependant leur cycle long 11 mois pour le lupin d hiver leur faible vigueur de d part et leur faible pouvoir couvrant en d but cycle ne permet pas toujours une bonne maitrise des adventices par le d sherbage m canique seul Quant au pois la p riode d intervention est tr s courte du fait de la formation de vrilles Les prot agineux sont galement tr s sensibles aux conditions climatiques en sortie d hiver pertes de pieds par gel et en fin de cycle coulure de fleurs mauvaise f condation absence de remplissage des gousses Enfin aucune solution curative n est disponible en AB pour maitriser le d veloppement des maladies des prot agineux antrachnose botritys rouille En cons quence les performances de ces cultures s av rent tr s al atoires et sont parfois tr s faibles Cultiver les prot agineux avec une plante compagne doit permettre de s curiser ses performances E La c r ale pour couvrir le sol et s curiser le rendement global Mis JE D Le choix de l esp ce et la densit de semis doit se faire en coh rence avec le prot agineux cultiv Le Tableau 1 r capitule les esp ces et densit s de semis qui ont permis une bonne maitrise des adventices et une augmentation du rendement global prot agineux c r ale Tableau 1 Prot agineux cultiv avec une plante compagne r sultats observ s au bout d un an d essai F verole Bien adapt e
10. tunnel d but septembre au plus tard La v g tation est broy e le plus finement possible et incorpor e au sol rotovator La surface est b ch e film translucide pendant un mois minimum La surface de tunnel est ainsi indisponible pendant au moins 5 mois Pour tenter de raccourcir ce d lai une autre modalit 2 consiste implanter la plante pour la biofumigation en plein champs le semi sera r alis d but ao t au plus tard dans le contexte 56 et la densit de semis devra tre doubl e La v g tation est fauch e puis apport e dans le tunnel avant le broyage incorporation et b chage L occupation du sol n est plus que d un mois mais le temps de travail s av re sup rieur Dans les deux cas il faut atteindre le stade floraison et un minimum de 4kg m de biomasse Les observations montrent pour 3 ann es sur 4 un effet positif sur les r sultats de la culture men e apr s biofumigation Les r sultats sont d autant meilleurs que la culture a t conduite sous tunnel S engager sur cette voie n cessite un peu d organisation et en premier lieu d int grer l indisponibilit des tunnels dans sa rotation un an sur trois ou sur cinq Les int r ts engrais vert et donc apport de mati re organique sont bien s r prendre en consid ration dans sa r flexion E 3 me partie lutte contre les adventices et les pathog nes du sol INTERVENTION de Ma lle Krzyzanowski CDDL 49 La solarisation de plein c
11. Pa AGRICULTURES amp TERRITOIRES CHAMBRES D AGRICULTURE PAYS DE LA LOIRE JMN ACTU TECHNIQUE A La Ferme exp rimentale de Thorign d Anjou P2 amp 3 A S curiser et maitriser la culture des prot agineux F verole pois et lupin P3 amp 4 A L gumes bio quelles strat gies pour prot ger vos cultures 2 me partie P5 A Les auxiliaires en maraichage biologique de plein champ attractivit des am nagements autour des cultures P 6 A Principe et m thode de lutte biologique appliqu e la sant animale exemple de la lutte contre les poux rouges en levage avicole P6 amp 7 AGENDA FORMATION P 8 Avec le soutien financier de R gion PAYS e El LOIRE DAC ki A DE T AG ROAL MENT AIRE ET DE LA FOR T e de per des ays Ue a oir e BIOLOGIQUE JUEL Chambres d agriculture Bulletin tec hniqu du pole bio des N 58 AVRIL 2015 EDITO Alors que l on approche de la mise en place des nouvelles aides PAC on voit un certain nombre d agriculteurs se poser la question du passage en bio En particulier des leveurs allaitants dont le syst me souvent herbager relativement autonome pourrait facilement y parvenir Ce passage fait peur techniquement au niveau de la culture des fourrages mais aussi du suivi sanitaire du troupeau Pourtant aujourd hui de nombreuses r f rences sont notre disposition Le recul est l et cela dans une large gamme
12. de sujets tel qu on peut le voir dans ce nouveau num ro de Technibio En particulier la preuve en direct avec la ferme exp rimentale de Thorign d Anjou qui est d sormais reconnu comme une r f rence y compris par les conventionnels On se retrouve l bas le 28 avril Olivier LEBERT Pour la commission professionnelle Bio des Chambres d agriculture des Pays de la Loire ENQU TE Lutte contre les oiseaux nuisibles M Vous tes producteur En moins de 5 minutes r pondez au questionnaire suivant MERCI POUR VOTRE PARTICIPATION FRAN OIS BOISSINOT Florence LETAILLEUR Chambre d agriculture de la Loire Atlantique Chambre d agriculture de la Sarthe _ T l 02 53 46 61 74 Fax 02 53 46 61 79 T l 02 43 29 24 57 Fax 02 43 29 24 25 Mail gilles leguellaut loire atlantique chambagri fr Mail florence letailleur sarthe chambagri fr www loire atlantique chambagri fr Www agri72 com Gilles LE GUELLAUT Elisabeth COCAUD Chambre d Agriculture de Maine et Loire Chambre d agriculture de la Vend e _ T l 02 41 96 75 41 Fax 02 41 96 75 40 T l 02 51 36 83 87 Fax 02 51 36 83 80 Mail elisabeth cocaud maine et loire chambagri fr fr Mail paulette hurel vendee chambagri fr www maine et loire chambagri fr Wwww agri85 com Paulette HUREL Brigitte LAMBERT C lia BORDEAUX Chambre d Agriculture de la Mayenne Chambre r gionale d agriculture T l 02 43 67 36 84 Fax 02 43 08 50 38
13. e afin de l cher les pr dateurs au plus proche des parasites Il doit ensuite effectuer un suivi des populations du parasite et des pr dateurs Si le traitement est correctement mis en place la disparition du pou rouge entrainera une diminution voir une disparition des pr dateurs selon le principe du biocontr le et de l quilibre proie pr dateur D apr s la structure APPI la combinaison des deux pr dateurs est bien plus efficace que l introduction d un seul des deux pr dateurs Le Tableau 1 pr sente les r sultats de leurs observations faits en 2012 dans un poulailler 2500 pondeuses fortement infest par le pou rouge Dermanyssus g Un comptage en nombre d individus du parasite et des deux pr dateurs Androlis et Taurrus a t effectu dans trois chantillons de paille avant et apr s le l ch Leurs r sultats laissent penser que le l cher a favoris une bonne r gulation des populations de poux rouges Tableau 1 Suivi des populations de poux et d acariens pr dateurs dans un b timent de poules pondeuses infest source APPI P riode de N de comptage l chantillon f d ANDROLIS TAURRUS Juillet 2012 Echantilon1 gt gt 10000 0 0 avant le Echantillon2 gt 5000 0 0 l ch Echantilon3 gt 10000 0 0 Juillet 2012 apr s le Echantillon2 gt 150 lt 200 0 l ch Septembre Echantillon 2 gt 100 0 gt 2000 Echantillon 3 gt 1 000
14. et 9 novembre 2015 Intervenant Nayla CHERINO v t rinaire pratiquant les m decines naturelles et notamment l acupuncture install e dans la Manche Journ e int grant des exercices pratiques chez leveurs Prix 100 0 si obtention des co financements FEADER Renseignements et inscription Gilles LE GUELLAULT Mail Gilles LEGUELLAUT pl chambagri fr Tel 02 53 46 61 74 AVRIL 2015 Coordonn par C lia BORDEAUX Chambre r gionale d agriculture des Pays de la Loire
15. hamp est elle efficace en Pays de la Loire La solarisation fonctionne en tunnel en nord Loire souvent en juin sous abri En effet ce qui permet le r chauffement du sol n est pas tant la temp rature que la luminosit On peut atteindre 50 C 10 cm de profondeur Ceci constitue d ailleurs un frein au d veloppement de cette technique qui n est pas s lective et engendre des d g ts sur la faune auxiliaire du sol Depuis 2011 les t s sont moyens et malgr tout on observe une efficacit avec les modalit s suivantes Film de poly thyl ne Film de poly thyl ne chenilles gt petits tunnels nantais Isobulle test uniquement en 2014 bulle de 5 cm de diam tre et 1 5 cm d paisseur Cette derni re modalit a engendr un r chauffement plus lent mais au final plus important et plus durable L effet sur les adventices pr sents dans les rangs de laitues de l essai est positif puisqu la r colte l enherbement est deux fois moins important que sur la bande t moin L efficacit est similaire quel que soit le mode de paillage Par contre les attaques tant faibles il n appara t pour le moment aucun effet significatif dans la ma trise du scl rotinia Les observations vont se poursuivre E 4 me partie lutte contre la mineuse du poireau INTERVENTION de Ma lle Krzyzanowski CDDL 49 et d Amandine Gatineau CAB Pays de la Loire La mineuse du poireau existe en France depuis 2007 la p
16. imes sont compar s un r gime tout foin vs un r gime mixte ayant d j fait ses preuves compos d ensilage d association c r ales prot agineux et de foin de luzerne Cet essai comporte des mesures de la production laiti re des vaches par pes e des veaux avant et apr s t t e 2 La conduite du couple m re veau en p turage tournant Les deux lots de vaches v lage d automne et v lage de printemps sont conduits avec un p turage tournant simple rotations sur 5 parcelles de prairies flore vari e L objet des observations r alis es est d valuer le lien entre l offre d herbe et les performances zootechniques r alis es 3 La production de b ufs de 30 32 mois En agriculture biologique la production de b ufs permet une Valorisation pertinente des m les Les animaux produits par la ferme exp rimentale issus des deux saisons de naissances produits au cours des derni res campagnes taient abattus en moyenne 34 mois L objectif des recherches en cours est de tester un itin raire technique permettant de les produire plus jeunes 31 mois 30 32 mois mais aussi lourds 475 kg de carcasse 4 La ma trise de la finition des femelles La finition hivernale des femelles est co teuse et constitue souvent un r el verrou technique variabilit de la valeur alimentaire des fourrages selon le contexte climatique concentr s plafonn s 40 de la MS de la ration par le cahier des charges ris
17. ineux ce r sultat doit tre relativis Cependant un travail sur les densit s de semis doit tre poursuivi E Association l gumineuse l gumineuse quels atouts Les l gumineuses fourrag res tr fle et luzerne peuvent tre des plantes tr s performantes pour assurer une bonne couverture du sol et donc maitriser les adventices sans d sherbage m canique Parmi les modalit s test es les modalit s lupin tr fles hiver et printemps et lupin luzerne printemps ont obtenu des r sultats tr s encourageants Elles ont permis de maitriser de mani re satisfaisante les adventices et n ont pas p nalis le rendement du lupin En lupin de printemps apr s la r colte ces modalit s pr sentaient un couvert de tr fle ou de luzerne tr s bien implant Les b n fices de l association sont alors encore plus importants implantation d une luzerni re fauche et ou implantation d un couvert v g tal riche en azote T l charger gratuitement l int gralit des r sultats d essais sur les prot agineux sur le site internet wwWw bio pavsdelaloire chambaari fr Acqu rir des r f rences techniques en grandes cultures biologiques Synth se r gionale des exp rimentations Campagne 2013 2014 R gion des Pays de la Loire aGRICULTURES amp TERRITOIRES CHAMURES D AGRICULTURE PAYS DE LA LOIRE Cliquer ici Fran ois BOISSINOT CRAPL TEL 02 41 18 60 34 Actualit technique A L gumes bio que
18. lles strat gies pour prot ger vos cultures 2 me partie Cette conf rence technique organis e dans le cadre du SIVAL par le p le bio des Chambres d agriculture a connu un vif succ s avec 200 participants L objet tait de pr senter de r cents travaux d exp rimentation men s en station Auray ou chez des producteurs Dans cet article vous est pr sent e la derni re partie de la conf rence lire la 1 partie lutte contre les pucerons et acariens dans le Technibio n 57 de f vrier 2015 E 2 me partie lutte contre les pathog nes du sol INTERVENTION de Ma t Le LAN SEHBS CA56 La biofumigation sous abri froid 5 ans d essai Auray Tomates et concombres sont des incontournables dans la gamme de produits proposer Les rotations d au moins 5 ans sont donc rarement respect es mais ces pratiques engendrent des pertes par les parasites du sol La technique de biofumigation a fait l objet de nombreux essais mais pas dans le contexte morbihannais jusqu pr sent Cette technique consiste introduire via des plantes qui les synth tisent crucif res pour l essentiel des glucosinolates dans le sol cette substance ayant des propri t s biocides Remarque dans certaines rotations l gumi res d j riches en crucif res le rapport b n fice risque n est pas vident La station a test diff rentes modalit s Modalit 1 Le semis de plantes de biofumigation radis est fait directement sous
19. lui du pou rouge Taurrus quant lui est un pr dateur embusqu de tous les stades du pou rouge avec un d placement tr s lent une fois sa proie saisie par un membre il la tue en lui injectant une toxine M me rassasi il continuerait tuer les poux rouges De plus il a une forte capacit de colonisation d un milieu pour s y installer durablement D apr s APPI Ces deux acariens appr cient des climats diff rents mais se compl tent de mani re optimale Taurrus serait tr s bien adapt aux zones s ches du poulailler ses besoins en liquide tant couvert par sa consommation de poux A l inverse Androlis pr f rerait les zones humides telle que les zones d jection ou sous les abreuvoirs L atout majeur de ces pr dateurs serait leur petite taille leur permettant d aller dans tous les recoins des b timents De plus ils n entraineraient aucune nuisance car ils ne vont ni sur les volailles ni sur les hommes Taurrus et Androlis seraient naturellement pr sents sur le territoire fran ais Si certain pr dateurs mis en levages se retrouvent l ext rieur il n y a pas de risque de d s quilibre du syst me environnemental u Mode d emploi amp efficacit L introduction de ces deux pr dateurs naturels du pou rouge n cessite de la part de l leveur beaucoup d observation Ce dernier doit identifier les zones risques dans son b timent perches caillebotis nids air de grattag
20. ncernant la valeur nutritive des fourrages et mati res premi res en moyenne 170 par an les sols les d jections sont confi es deux laboratoires agr s Une quipe de 5 personnes La conduite de la ferme les recherches et la diffusion sont r alis es par une quipe compos e de deux ing nieurs et trois techniciens Cette quipe b n ficie de l appui de stagiaires de l enseignement sup rieur agricole et d ing nieurs des organismes partenaires i 16 organismes sont associ s dans une SARL 2 Chambres d Agriculture Maine et Loire et Pays de la Loire et 4 Comit s r gionaux de d veloppement agricole Baugeois Vall e Layon Saumurois Mauges Segr en 2 Coop ratives agricoles CAPL TERRENA et 3 coop ratives d levage GENOE BOVINEO TER ELEVAGE 1 banque Cr dit Agricole de L Anjou et du Maine 1 assureur GROUPAMA Loire Bretagne 1 organisme de conseil en levage Elevage Conseil Loire Anjou 1 cole sup rieure d agriculture Le Groupe E S A 1 institut technique Institut de l levage ii IVMAT Index de valeur maternelle au sevrage H Les recherches conduites Les recherches men es notamment avec le pr cieux concours financier du Conseil R gional des Pays de la Loire concernent essentiellement deux axes de travail 1 L autonomie et la s curit alimentaire des levages de ruminants 2 la production de viande bovine biologique La ferme exp rimentale contribue galeme
21. nie Chrysope dans une fleur d Apiac e L tude compl te est t l chargeable sur http wWww paysdelaloire chambagri fr rubrique publication Mara chage AB Laurent GIARDINO CDA 85 TEL 02 51 36 83 05 A Principe et m thode de lutte biologique appliqu e la sant animale exemple de la lutte contre les poux rouges en levage avicole Dans le cadre de la gestion de parasites en levage certains constats en d faveur des traitements les plus courants adaptation et r sistance des nuisibles aux traitements chimiques inefficacit de certains traitements usuels raret des autorisations de mises sur le march etc et la prise de conscience de l impact de certains acaricides poussent s interroger sur l existence de m thodes de lutte alternatives La lutte biologique d usage courant en productions v g tales sp cialis es ne peut elle amener des solutions en levage Cet article vise pr senter titre d information et de source d inspiration une piste propos e notamment par la structure APPI Agence de Protection Par les Insectes start up sp cialis e dans la lutte biologique appliqu e la sant animale la lutte biologique ou le biocontr le La lutte biologique peut se d finir comme tant l utilisation d organismes vivants pour contr ler une population de nuisibles Le principe est fond sur la gestion des quilibres des populations d agresseurs plut t que sur leur radica
22. nt des travaux concernant les grandes cultures biologiques essai de longue dur e sur 5 rotations c r ali res essais vari t s et la fertilit des sols Les orientations des actions de recherche sont valid es par le Conseil d orientation compos de repr sentants des organismes partenaires AXE 1 L autonomie et la s curit alimentaire des levages de ruminants Les recherches concernent actuellement quatre th mes 1 Les prairies flore vari e Les prairies flore vari e sont compos es de plusieurs gramin es et de plusieurs l gumineuses Le choix des esp ces et des vari t s assembl es est r alis avec l objectif d apporter des fonctions compl mentaires la prairie Les essais et observations conduits sur ce th me ont pour objectif de tester des prairies robustes et adapt es aux conditions du milieu Actualit technique Les associations c r ales prot agineux r colt es en grain et en fourrages Le triticale l avoine le pois fourrager et la vesce commune sont les principales esp ces utilis es en associations c r ales prot agineux L objectif des leveurs est de r colter un m lange productif riche en l gumineuses en vitant la verse et avec une bonne ma trise des adventices Ces associations sont r coltables en fourrages au stade laiteux p teux de la c r ale et en grain Les essais agronomiques en petites parcelles permettent de pr ciser les assemblages les mieux ada
23. on de r sultats D n d essais d monstration de mat riel ne s changes entre producteurs i r i Pour plus de d tails contactez votre Mardi 02 juin s Tas conseiller bio d partemental 44 660 ROUG nat rer j 18 JUIN Vers une alimentation 100 bio Jeudi 4 juin Ferme exp rimentale de en aviculture ESA Angers Thorign d Anjou m ei MONALIM Bio Restitution des programmes de rec estitution prog r dot ve Mardi 9 juin D Nr Sud Vend e 1icopP FE r serv aux adh rents GEDA et coop rateurs CAVAC AVIBIO AV Alim Bio Alimentation 100 bio Organis par ITAS murs Avec le mm ne etes STORES z FORMATIONS 53 THEME UTILISER L HOMEOPATHIE DANS LA CONDUITE DE SON TROUPEAU Quoi D couvrir la m thode propre l hom opathie afin d utiliser efficacement cette th rapie sur son levage QUAND OU les 23 juin 2015 et 10 septembre 2015 Laval Tarif 100 ou gratuit si co financements FEADER INTERVENANT Dc Lo c GUIOUILLIER v t rinaire pratiquant l hom opathie Renseignements et inscription Brigitte LAMBERT Mail brigitte lambert mayenne chambagri fr Tel 02 43 67 36 84 44 THEME SOIGNEZ VOUS MEME VOS ANIMAUX PAR L ACUPUNCTURE Quoi D couvrir et apprendre utiliser quelques applications de l acupuncture v t rinaire pour soigner ses animaux Quand O Formation de 2 jours non successifs Nantes les 7 octobre
24. pt s La valorisation zootechnique du fourrage r colt a t test e sur le troupeau de vaches allaitantes 2 L implantation des prairies sous couvert d associations c r ales prot agineux sem es l automne Ces essais ont pour objet de tester des alternatives au traditionnel semis de fin d t apr s r colte d une c r ale al atoire lors des s cheresses de fin d t fr quentes dans nos conditions de milieu 3 Les l gumineuses de fauche Les essais en cours concernent la luzerne et ont pour objet d apporter des l ments de r ponses aux questions suivantes quelle l gumineuse associer la luzerne pour diminuer le salissement et am liorer la productivit en d but de vie Avec quelle gramin e associer la luzerne Quel type de cultivar utiliser Sont galement conduites des exp rimentations sur l entretien des prairies les fourrages intercalaires les prot agineux Ces travaux permettent un clairage int ressant sur les cons quences de la conduite en agriculture biologique sur la valeur nutritive des aliments pour ruminants AXE 2 La production de viande biologique L objectif g n ral des recherches en cours pour la p riode 2014 2016 est de contribuer la ma trise de l alimentation en mettant au point des itin raires de conduite adapt s pour l efficacit conomique du syst me de production 1 L alimentation hivernale du couple m re veau conduit en v lage d automne Deux r g
25. que acidog ne en augmentant les concentr s fermiers riches en amidon difficult produire des concentr s riches en prot ines La ferme exp rimentale poursuit ses recherches en analysant les facteurs de variation des r sultats d abattage et l incidence de l tat initial sur les dur es d engraissement et en testant deux nouveaux r gimes base d enrubannage flore vari e vs luzerne Dans ces essais l volution du pH ruminal est mesur e 5 Le rythme de croissance des g nisses destin es un v lage 30 mois Nous nous sommes interrog s sur les croissances hivernales adopter le potentiel de croissance et le d veloppement squelettique ayant consid rablement volu au cours des deux derni res d cennies Deux niveaux de croissance hivernale ont t compar s au cours des trois derni res campagnes sur les g nisses de 8 12 mois et celles de 14 18 mois de fa on appr cier l intensit de la croissance compensatrice au p turage Jean Paul COUTARD et Julien FORTIN FERME DE THORIGNE D ANJOU TEL 02 41 95 35 72 A S curiser et maitriser la culture des prot agineux F verole pois et lupin Un nouveau travail vient d tre engag sur la conduite des prot agineux en cultures associ es L objectif est d identifier les plantes compagnes qui permettent de maximiser le rendement du prot agineux tout en permettant une bonne maitrise des adventices E Choix vari tal Bien que relativement r duit le
26. r gionaux des Chambres d Agricultures prairies viande bovine p le Bio avec l Institut de l levage avec Elevage Conseil Loire Anjou et avec le r seau ITAB A travers de nombreuses visites et formations elle contribue activement au transfert des connaissances acquises aux agriculteurs aux prescripteurs et aux l ves de l enseignement agricole Une ferme de polyculture levage au potentiel agronomique modeste La ferme exp rimentale utilise actuellement 137 ha de SAU les sols ont un potentiel modeste ils sont adapt s pour des recherches concernant les productions fourrag res et tout particuli rement repr sentatifs des situations alternance hydrique marqu e s chant l t hydromorphe l hiver fr quentes dans les exploitations d levage de la r gion L assolement 2015 comprend 106 ha de surface fourrag re 25 ha de cultures et 6 ha d essais en petites parcelles Un troupeau de vaches allaitantes productif La Ferme produit de la viande bovine biologique avec un troupeau de 68 vaches de race Limousine et leur suite environ 115 UGB Le troupeau est adh rent au contr le de performances officiel VA4 et inscrit au Herd Book Limousin Il est conduit de la fa on suivante 1 une double p riode de v lages 20 08 au 01 11 et 01 03 au 01 05 pour limiter les risques sanitaires et obtenir une r gularit des sorties d animaux 2 un taux de renouvellement lev pour profiter du progr s g n tique
27. rincipale protection consiste poser un voile Cependant le positionnement de ce dernier serait plus efficace avec une meilleure d tection des vols de mouche Les moyens d alerte actuels sont 1 les piq res observ es sur ciboulette mais parfois elles sont vues trop tard sachant que d autres piq res ressemblent la mineuse et n en sont pas 2 le bol jaune plus performant mais il n cessite la comp tence de reconnaissance des insectes gt Dans cet essai ont t test s diff rents leurres pour modifier la couleur et l odeur du poireau M1 Une pulv risation d argile 10 600 l ha M2 Argile heliosol M3 d coction de rhubarbe L ann e 2014 n a pas permis d observations suffisantes pour conclure Cependant des mara chers observent plus d attaques sur le jaune du Poitou cette vari t peut elle encadrer une bande prot ger INTERVENTION de Ma t Le LAN SEHBS CA56 Int r t mycorhization Le mycorhize est une association symbiotique entre un champignon microscopique et les racines des plantes Les b n fices pour la plante sont une meilleure absorption d eau et de min raux une meilleure croissance et une diminution d impact de certaines maladies La station d Auray m ne des essais depuis 7 ans afin d am liorer la production des l gumes d hiver nutrition et aspects sanitaires et des l gumes d t absorption de l eau et aspects sanitaires et de les prot ger contre
28. tion E Familles et modes d action Il existe cinq familles utilis es pour le biocontr le parmi les macroorganismes les insectes et les n matodes parmi les microorganismes les champignons les bact ries et les virus Ces organismes interviennent soit en tant que comp titeurs pr dateurs ou parasito des L usage de comp titeurs r gulation des populations ind sirables par une mise en concurrence sur l acc s la ressource auraient notamment permis la gestion du varron aux USA utilisation d insectes st riles ou encore le contr le de la mouche ts ts en Afrique L usage des parasito des animal qui se d veloppe aux d pens d un h te ici d un ravageur dont il entra ne obligatoirement la mort est notamment utilis dans certains cas pour contr ler les populations de mouches domestiques par des gu pes parasito des Enfin les pr dateurs sont des organismes qui consomment les nuisibles L exemple les plus r put est le contr le de larves de moustiques par les gambusies poissons insectivores Ils interviennent aussi dans la lutte contre diff rentes populations d acariens Actualit technique E Cas du pou rouge pr sentation du nuisible Du fait du d veloppement de r sistances envers les acaricides sp cifiques et aux vides sanitaires le pou rouge Dermanyssus gallinae cause chaque ann e des probl mes dans les poulaillers Cet ectoparasite qui vit sur la surface corporelle
29. uxiliaires utiles au mara chage 2 conna tre les esp ces florales attractives lors de la cr ation d un site en mara chage 3 tudier le r le des auxiliaires dans la protection d une culture de plein champ Deux exploitations vend ennes en mara chage bio ont t suivies afin de comparer un site traditionnellement en mara chage St Etienne du Bois par rapport une ancienne prairie r cemment mise en culture mara ch re Ste Flaive des Loups Le suivi des populations d auxiliaires s est fait pour le site de St Etienne dans une haie ch ne sessile prunellier aub pine une bande enherb e spontan e un engrais vert gramin es f ve vesce une culture de courges et une bande fleurie issue d un m lange commercial sem e c t de la culture ou entre des serres Pour le site de Ste Flaive le suivi s est fait dans une haie gen t aub pine prunellier tremble ch ne p doncul prunus ch taigner tro ne une bande enherb e spontan e et une friche une culture de courges et l aussi une bande fleurie commerciale sem e le long de la culture La comparaison des collectes effectu es par l entreprise FLORINSECTES de mai octobre sur trois ann es cons cutives la comparaison de la pr sence des populations d auxiliaires dans les diff rents types d am nagement l tude de l effet saison sur la pr sence des populations d auxiliaires ainsi que l observation de la pr sence des auxiliaires
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