Projet de prévention des pneumonies acquises
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1. Soin de base simple e connaissance th orique dans formation de base des soignants Et pourtant constat de non application dans la pratique Pre requis Le comportement du soignant est conditionn par 3 facteurs Le mod le PRECEDE Facteurs pr disposant Connaissances Sand ante Am lioration PErception de observance Facteurs favorisant Recommandations Equipements Facteurs de renforcement Feedback observance taux soutien des sup rieurs des pairs Participation du patient Adapt de Larson E i Infect Control Hosp Epidemiol 1991 LUI Pr cautions standard kW nsifs 20 Hygiene des mains Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 UB nes peu ou pas humect es lors de la desinfection par friction avec SHA Selon L J Taylor BRN SMC Nursing Times January 12 1978 Source BODE Chemie Zonas en partie oubli es Zones fr quemment oubli es 28 Symposium Soins intensifs 20 avril 2012 ch Technique soin de bouche se limiter une proc dure et la diffuser chec int r t d un m thodologie de d veloppement consensus au niveau technique adapt e selon pr sence ou absence de dentition uniformisation mat riel audit des pratiques gt Soin de bouche syst me complet 2 Soin de bouche Ganule de Yankauer Symposium Soins Intensifs 20 avril 20122. Soin de bouche Sonde aspirante Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 Soin de bouche Set couvillon d aspiration Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 Soin de bouche Set brosse dents Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 Aspiration buccale Ed A Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 Soin de bouche Solution antiseptique Hydratation l vres baume labial Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 Ghangement et fixation du cordon Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 ch Participation des IHH participation de l quipe HH la r union de pr paration consensus proc dure en intersite fiche recueil donn es IHH quick audit r alisation audit avec retro information en direct ch Quick audit IHH e fr quence 1 2 x par semaine d s mise en route du projet VAP en USI chez les patients intub s 4 crit res observ s sans d ranger le patient utilisation mat riel adapt pour le soin de bouche position patient 30 propret apparente bouche hydratation des l vres ch en pratique e int gration du soin de bouche dans la r partition des soins globaux du patient disponibilit du mat riel au chevet du patient au moment du soin flacon d antiseptique buccal kit cordon repere sur gradient de degr s au niveau du lit Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012
3. La bouche est un jardin zoologique Prof E Yourassowsky cours de microbiologie 1977 A Importance des secr tions oro pharyng es cons quences sur la pr vention Symposium Soins intensifs 20 avril 2012 ED PREVENTION e plusieurs niveaux de d cisions international nombre de lits USI ratio infirmier patient ex en Belgique 1 3 gt lt en GB 1 1 politique de surveillance indicateurs de qualit management hospitalier organisation investissements unit s de soins prise en charge des patients Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 ASPECTS DES SOINS INFIRMIERS avant tout une question de soins chez ces patients mat riel au second plan tube endotrach al composant aspiration sous glottique respirateurs syst me humidifiant Syst me d aspiration clos ouvert lits prokin tiques mesure de l angle d inclinaison Gare bundle Bundle qu est ce que c est Groupement ensemble de produits emballage faisceaux bouquet Symposium Soins intensifs 20 avril 2012 Diapositive 11 EC1 Eric Carlier 14 04 2012 Mode d emploi un bundle est un ensemble de pratiques visant a am liorer le processus de soin apport au patient et donc le devenir de celui ci un ensemble restreint de pratiques simples g n ralement 3 5 qui lorsqu elles sont r alis es collectivement et de facon stable ont prouv leur capacit am liorer les
4. Projet de pr vention des pneumonies acquises au respirateur VAP CHU de Charleroi Docteur E Carlier et V Schamroth oymposium Soins Intensifs 20 avril 2012 HN PNEUMONIES ACQUISES EN VENTILATION MECANIQUE VAP Les VAP restent une cause importante de morbidit et de mortalit Prolonge la dur e de s jour le co t probl matique des germes MR et des isolements En Belgique un rapport de l ISP 2001 2008 donne un taux de 14 3 1000 jours de ventilation aux actuels objectives dans plusieurs centres plus lev s 20a 30 des patients ventil s ch VAP Devient un crit re de qualit e Importance d un diagnostic correct plus grosse difficult du point de vue m dical e Benchmarking Un centre en USA pretend un taux de 096 non cr dible ch Etats Unis 2008 r duction du d ficit soins sant Non remboursement de certaines complications li es aux soins embolie gazeuse incompatibilit de sang escarres infection des voies urinaires sur cath ter infection li e aux cath ters intravasculaires infection du site chirurgical R f http www managedcaremag com archives 0805 0805 msdrg htmi SITUATION GHU de Charleroi enregistrement depuis 01 12 2011 taux de VAP entre 20 et 30 fortes variations li es al activit influence consid rable unit s surpeuplees unit s sous staffees 1 MECANISME DE PREVENTION
5. ch H sultats tendances respect au min 30 inclinaison patient soin de bouche avec antiseptique presence du mat riel flacon antiseptique dat set hygiene buccale achat de manometre pour chaque lit fr quence brossage des dents pas toujours claire hydratation l vres insuffisante gt ajout beurre cacao S cheresse bouche ch Cl s du succes mettre en place un programme de pr vention e importance d avoir une r flexion et consensus sur notre pratique e Suivre une check list connue de tous e s valuer ou se faire valuer r guli rement e r tro information correction en direct e role des relais dans diffusion de l information et rappels e Bon sens Partager le savoir le savoir faire et le savoir tre Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 Gonclusions projet d quipe tandem m decin infirmi re volontaire et coordinateur rice relation de confiance entre USI et IHH ouverture la remise en question en USl et critique constructive des IHH formation et expertise coaching facilit technique uniformisation r organisation des soins parfois n cessaire En attendant vos questions Symposium Soins Intensifs 20 avril 2012 Merci de votre attention CS u ari SAM Te a Symposium Soins Intensifs 20 anil 2012
6. r sultats cliniques notion de TOUT ou HIEN valuation r guli re Crit res retenus par le College Belge Avis d experts 1 Y a til une prescription un objectif de sedation 2 Verification pression ballonnet min 3X jour 3 Eviter la position couchee observer inclinaison de 30 45 4 Realiser soin de bouche avec molecule antiseptique min 3 4 X jour 5 Aspiration sub glottique Symposium Soins intensifs 20 avril 2012 Sedation concensus et mise en application dun protocole de s dation et d analg sie 10 2012 rapide adoption apres plusieurs s ances d informations Dr Kimbimbi et Dr Delleuze pres de 50 des patients sont ventil s apres 24 heures sans s datif importance de diff rencier s dation et analg sie ED Pression du ballonnet mat riel r cemment acquis manometres automatiques utilisation cibl e cf hygi ne quid mesures en salle d urgence salle d op ration disponibilit du mat riel rij Position 30 initialement 45 peu respect lors premi res tudes de compliance 30 non inf rieur Importance des limitations lors des soins infirmiers et m dicaux am pe SM y CEA 1 E x MES ch Consensus pluridisciplinaire Soins infirmiers chez le patient intub ou trach otomis et ventil m caniquement fruit de l avis des gens de terrain avalis par les responsables ch Soin de bouche
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