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ORGANISATEURS INTERVENANTS

1. 42 PROCEDURES ET MECANISMES 43 PERSPECTIVES San ets nt AT te he A 44 Int gration r gionale ss 44 Agence Fran aise de D veloppement 45 LA VIE ASSOCIATIVE ET SON DROIT AU BENIN cccccccccccccocoooooo0000000000000000e 46 FICHE RESSOURCES este dan ete dot es eee 868 ee dde ends dette etes onde te 48 ADRESSES UT S nn li sante Mrs dns te nana ste nada sand 48 AMBASSADE DE FRANCE AU 48 AGENCE FRAN AISE DE DEVELOPPEMENT 48 FORUM DES ONG INTERNATIONALES INTERVENANT AU BENIN cccccccicccccsccccsccccssocccsoocenes 49 MAISON DES COLLECTIVITES LOCALES MCL sise 49 RESACOOP 4 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Les acteurs de Rh ne Alpes 1 RESACOOP recense 66 organisations en Rh ne Alpes qui sont engag es dans une action de coop ration avec le B nin dont 41 Organisations Non Gouvernementales associations Collectivit s locales Structure jeune Entreprises 9 1 T 9 Etablissements scolaires 4 1 Universit 1 Structure de Sant Quelques organisations ont signal qu elles travaillaient en partenariat avec d autres structures C est le cas par exemple d un partenariat entre le GREF et Agir ABCD sur des projets d ducati
2. Les relations entre partenaires fran ais R sultats de l enqu te constats Interrogations Des organisations ont un partenariat autour d un Qu en est il exactement de ce type de m me projet avec d autres organisations collaboration entre ces diff rents acteurs fran aises Comment ajuster les points de vues et les actions entre les diff rents acteurs Des organisations souhaitent conna tre Quels sont les r seaux existant sur le B nin et en davantage les acteurs Rh nalpins engag s au France B nin pour pouvoir se concerter sur des actions TE P p Comment travailler en r seau sur le B nin Faute de temps la question des partenariats entre acteurs fran ais pr alable une meilleure efficacit de l action n a pu tre r solue Toutefois plusieurs points peuvent d ores et d j tre soulign s Des r seaux existent sur lesquels s appuyer pour travailler en collaboration avec d autres Au niveau r gional RESACOOP dispose de diff rents services ouverts tous e une base de donn es sur les partenariats de coop ration conduits depuis la r gion Rh ne Alpes e un bulletin de liaison e des fiches techniques pour aider la conception et la conduite des projets e l appui individualis aux porteurs de projets pour l acheminement de mat riel adresse F Culture et D veloppement La Banque Rh ne Alpes du Livre pour les projets culture
3. actualiser le r pertoire projets r alis l occasion de la Commission mixte mais le retour tardif des fiches n a pas rendu une telle d marche possible Au B nin Mon pr d cesseur Corinne H non a effectu une mission tr s int ressante en d cembre 1997 lors de laquelle elle a rencontr les f d rations d ONG b ninoises et un certain nombre de leurs ONG membres Il semblait alors y avoir des lacunes dans les relations entre les collectifs et leurs ONG de base peu de circulation de l information d calage entre les attentes au sommet et la base gt Toutefois le CONGAB tait en train de se restructurer et de pr voir un plan d action pour organiser de fa on plus satisfaisante le milieu ONG Peu peu ce plan d action s est mis en place les 5 f d rations d ONG b ninoises existantes cf sigles la fin du document ont accept de se r unir en un collectif des f d rations d ONG b ninoises dirig par Toussaint HONVOU pr sident du CONGAB et ont commenc pr voir un calendrier d actions sur trois ans Suite cette mission et une rencontre alors organis e entre le chef d SCAC Toussaint HONVOU la coop ration fran aise accepte que le CONGAB si ge au comit de s lection des projets FSD La mission du Secr tariat technique effectu e en d cembre 2000 l occasion d une mission de Cit s Unies France a permis d effectuer une r union du suivi non gouvernemental de la Commission mixte le 29 n
4. Lyon 30 janvier 2001 Annexe 3 La d centralisation au B nin r sum 1 La loi N 97 028 du 15 janvier 1999 portant organisation de l administration territoriale en R publique du B nin ll s agit de la loi cadre qui d termine la d nomination et le ressort territorial des d partements et communes ainsi que les r gles devant r gir les pr rogatives des organes et personnes charg s de leur direction Le d partement Douze 12 nouveaux d partements sont cr s Alibori Atacora Atlantique Borgou Collines Couffo Donga Littoral Mono Ou m Plateau et Zou Chaque d partement est dirig par un pr fet qui est l unique repr sentant du gouvernement et de chacun des ministres Au plan administratif le pr fet est assist par les directeurs d partementaux dans le cadre de la conf rence administrative d partementale CAD Au plan politique il est assist par les membres du conseil d partemental de concertation et de coordination CDCC qu il pr side et qui est compos des maires et leurs adjoints trois 03 repr sentants de la soci t civile La commune Soixante dix sept 77 communes sont cr es Chaque commune sera administr e par un conseil communal lu dont l ex cutif est le maire de type nouveau Le nombre de conseillers varie entre neuf 9 et quarante neuf 49 en fonction de la population de chaque commune L arrondissement La commune actuelle deviendra un arrondissement admi
5. PRESENTATION DES ACTIVITES DU SECRETARIAT TECHNIQUE DES COMMISSIONS MIXTES 28 Rappel historique ss datent E eia 28 D roulement des Commissions mixtes 29 Bilan de la participation des OSI et collectivit s territoriales fran aises aux Commissions MX CS ASA BEEE E ll E SEA E nn T LE 29 2 LA COMMISSION MIXTE FRANCE BENIN ss 30 Les acteurs du dispositif des Commissions mixtes 30 LES ACTIONS ENTREPRISES DANS LE CADRE DU SUIVI DE LA COMMISSION 31 EN TONGS RTE ete 31 eO ABIA 0 TR 31 DIFFERENTS CONSTATS ONT ETE DRESSES LORS DE CETTE RENCONTRE suisses 32 3 PERSPECTIVES LE SECRETARIAT TECHNIQUE DES COMMISSIONS MIXTE QUEL ESPACE POUR UN PARTENARIAT MULTI ACTEURS 7 32 4 Partie _Les annexes LISTE DES PARTICIPANTS ET DES STRUCTURES ENGAGEES AU BENIN 36 AMBASSADE DE FRANCE AU BENIN cccccccecececcccccccccooccccccccccccosooooooooo000000000ooooeoooesoseceseues 37 SERVICE DE COOPERATION ET D ACTION CULTURELLE cccccccccccccccococooooooe 37 LA DECENTRALISATION AU BENIN cccccccccccccccccocoooooooooooo0eooo0000000000000000000000000000000 38 LA COOPERATION BILATERALE FRANCO BENINOISE cccccccccccccococooooooooooooe 42 LES GRANDES PRIORITES
6. conna tre R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Il est important d appuyer les d marches locales pour faire conna tre les auteurs africains Ceci n exclut pas dans certains cas l envoi d ouvrages fran ais des besoins peuvent exister qui ne peuvent tre satisfait par une offre locale Par ailleurs il ne s agit pas d enfermer les gens dans un relativisme culturel la litt rature africaine aux africains la litt rature fran aise aux fran ais Bien au contraire le livre peut tre un outil irrempla able de rencontre et d changes A ce sujet l association Culture et D veloppement bas e Grenoble vise appuyer toute d marche dans le domaine culturel Elle a mis en place la Banque Rh ne Alpes du Livre qui vise notamment rationaliser la cha ne du don de livres optimiser la qualit des livres qui arrivent en Afrique r pondre aux v ritables besoins des lecteurs d velopper la pr sence du livre francophone Culture et D veloppement peut donc tre utilement consult pour tout projet impliquant un volet culturel L envoi de m dicaments est un autre exemple d action de coop ration qui semble aller de soi et qui pourtant peut freiner la mise en place de politique de sant publique Il n est jamais inutile de rappeler que le m dicament n est pas un produit comme un autre C est un produit dangereux En situation de p nurie les op rations d envoi de m dicament g n rent des trafics e
7. de Coop ration et d Action Culturelle pour la partie fran aise Y participent galement les assistants techniques chefs de projet qui pr parent ces comit s avec leurs homologues B ninois Ces comit s de pilotage r capitulent le bilan des actions du semestre pr c dent et la programmation pr vue pour le semestre suivant RESACOOP 43 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 PERSPECTIVES Un recentrage et des regroupements au sein des th mes secteurs sociaux Etat de droit et coop ration de proximit est souhaitable En effet le dispositif actuel reste encore trop ambitieux et insuffisamment concentr par rapport aux moyens disponibles et l accent devrait tre mis l avenir sur les sous th mes suivants en abandonnant ce qui pourrait tre repris par le budget b ninois et d autres bailleurs de fonds en priorit l Union Europ enne Secteurs sociaux l ducation de base la formation professionnelle les fili res techniques de l enseignement sup rieur la francophonie et la culture la lutte contre le Sida mutualisation des soins la jeunesse et les sports Etat de droit la justice la s curit et la lutte contre les grands trafics d centralisation et l appui aux nouvelles municipalit s coop ration d centralis e r forme administrative l appui institutionnel au secteur des finances l appui aux m dias D veloppement de proximit le
8. de cinq six Commissions mixtes par an identifi es comme prioritaires par ces derni res En 1994 un Secr tariat technique charg d organiser la participation des OSI et collectivit s territoriales aux Commissions mixtes s est mis en place au CFSI Comit Fran ais pour la Solidarit Internationale ll est install depuis d but 2000 Cit s Unies France Le Secr tariat technique r unit le maximum d informations possible sur le pays concern articles de presse donn es sur l aide de la coop ration fran aise et dans la mesure du possible sur les autres dispositifs d aide bilat rale ou multilat rale notamment de l UE Il labore diff rents documents de capitalisation qui seront diffus s aux OSI et collectivit s territoriales fran aises engag es dans la pr paration de la Commission mixte Le Secr tariat technique organise diff rentes r unions de travail avec l ensemble des organismes non gouvernementaux fran ais identifi s concern s par la Commission mixte OSI associations de migrants lorsqu elles existent collectivit s territoriales Peu avant la Commission mixte une r union pr paratoire est organis e avec les pouvoirs publics au cours de laquelle est pr sent le document pr paratoire labor par la partie non gouvernementale fran aise 5 Annexe 4 La Coop ration bilat rale franco b ninoise RESACOOP 28 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 D roulement des Commission
9. du temps mise en uvre sur un territoire o sont conduites des politiques manant soit de l Etat soit des autorit s locales soit de structures de la soci t civile ou enfin d autres coop rations Dans le cadre du processus de d centralisation en cours au B nin comme dans de multiples autres pays du monde il est a fortiori indispensable de s interroger sur les politiques mises en uvre localement Sans cela on risque au mieux de doubler des actions d j conduites au pire de contrecarrer des dynamiques d j engag es A titre d exemple nous voquerons deux th mes qui ont plus particuli rement t abord s au cours de la r union l envoi de livres et l envoi de m dicaments Envoi de livres et envoi de m dicaments En mati re d envoi de livres trois questions pr alables doivent guider l action e les ouvrages envoy s correspondent ils aux programmes scolaires d cid s par le gouvernement b ninois e N est il pas plus int ressant d utiliser l argent du fret et l nergie souvent consid rable que n cessite un tel envoi et plus g n ralement tout acheminement de mat riel l achat d ouvrages disponibles au B nin e Ne risque t on pas en envoyant gratuitement ouvrage et mat riel scolaire de d courager les efforts aussi balbutiants soient ils la situation varie d un pays l autre voire m me d une zone l autre d diteurs libraires commer ants RESACOOP 16 Conna tre et se faire
10. le partenaire b ninois doit galement pouvoir pr ciser la part de son engagement dans les actions mises en uvre co ts r currents RESACOOP 14 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Ce qui ne veut pas dire forc ment que l on s emp che de prendre en compte une demande lorsque l on n a pas les moyens soit m me d y r pondre Apr s un diagnostique des besoins et l bauche de solutions propos es on peut avoir recours d autres partenaires plus comp tents sur tel ou tel th me particulier des partenaires financiers compl mentaires des cofinancements publics peuvent ainsi tre sollicit s aupr s de diff rents bailleurs de fonds La clart des engagements r ciproques est garante de bonnes relations de partenariat Il est donc de la plus grande utilit de s entendre avec son partenaire sur diagnostique partag de la situation les objectifs communs que l on se donne les moyens affect s par chaque partenaire pour la r alisation de ces objectifs humains mat riels financiers calendrier des actions r aliser par l un et l autre des partenaires engag s dans l action Ces diff rents points doivent tre discut s et n goci s avant le d marrage de l action Ils donnent g n ralement lieu l tablissement d une convention document crit auquel il est facile de se r f rer pour assurer un bon suivi de l action ll est important de souligner que cette phase d identifi
11. les ONG la coop ration d centralis e et les entreprises priv es Les projets mis en oeuvre depuis 1997 s inscrivent dans la continuit des travaux de la commission mixte dont les principales conclusions demeurent aujourd hui d actualit Ils sont d ailleurs en parfaite ad quation avec les grands chantiers ouverts par le gouvernement b ninois notamment dans les domaines de la d centralisation de la r forme administrative et de la justice S agissant des moyens la coop ration fran aise a volu progressivement depuis le d but des ann es quatre vingt dix d une coop ration dite de substitution une coop ration par projets Toute la coop ration fran aise est articul e autour des projets FAC les 51 coop rants en place tant soit chefs de projet soit associ s directement la mise en uvre d un projet et des contributions mises en uvre par l Agence Fran aise de D veloppement L AFD m ne pour le compte de l Etat et la demande de ses autorit s de tutelle des op rations sur dons et sur pr ts dans les secteurs suivants e d veloppement conomique e infrastructures conomiques et transport e secteur priv environnement En ce qui concerne les modalit s de mise en oeuvre des projets FAC la programmation semestrielle des actions est d termin e au sein de comit s de pilotage bilat raux rassemblant les principaux interlocuteurs institutionnels et priv s pour la partie b ninoise et le Service
12. nin Contact M Yves Pelletier Association Fran aise des Volontaires du Progr s 01 BP 344 Cotonou B nin T l 229 30 06 21 Maison des Collectivit s Locales MCL Un P le de comp tences un centre de ressources pour la promotion du mouvement municipal au B nin Conseil aux communes elle accompagne la d centralisation au B nin Mission Renforcer harmoniser et tendre l ensemble du territoire national les apports en ing nierie technique administratif et financier dont auront besoin les lus et les cadres locaux pour g rer les communes Aider les communes affirmer leur responsabilit de ma trise d ouvrage D velopper des outils d aide la d cision Animer un r seau de conseil et d assistance aux Communes gt Cette structure sera l instrument des lus locaux Elle a en charge d organiser les r seaux de partenariat entre collectivit s locales b ninoises et collectivit s locales fran aises gt cette structure a un r le galement prendre avec les ONG entre autre dans la formation des acteurs de la soci t civile On a fait en direction des acteurs des outils un guide de la coop ration d centralis e un guide pour l laboration des plans de d veloppement local Adresse 01 BP 4784 Cotonou B nin T l 229 3149 21 E mail mcl lelandb j Contact M L opold KPATINVO RESACOOP 49
13. personnel de commandement civil et militaire des magistrats et comptables publics de la commune Les conseillers seront lus au scrutin uninominal dans tout arrondissement ne disposant que d un si ge et au scrutin de liste dans tout arrondissement disposant de plusieurs si ges Les membres des conseils d arrondissement et de village ou quartier de ville seront d sign s d mocratiquement par la population 5 La loi n 98 007 du 15 janvier 1999 portant r gime financier des communes en R publique du B nin Le souci de permettre aux futures communes de jouir d une r elle autonomie financi re qui leur permette de fonctionner correctement et de promouvoir leur d veloppement justifie l laboration de cette loi qui op re une r forme des finances locales La commune dispose d un instrument important pour l affirmation de sa personnalit savoir le budget Par rapport aux sous pr fectures ou circonscriptions urbaines actuelles les futures communes devraient disposer de plus de ressources financi res gr ce cette loi dont les caract ristiques principales sont Le budget de la commune est vot par le Conseil communal e Les services comp tents d concentr s de l Etat Tr sor Imp t Budget assistent le maire pour l laboration de son budget e Le budget communal est approuv par l autorit de tutelle qui dispose d un d lai d un mois pass ce d lai le budget devient ex cutoire Dans tous les cas
14. EV Ing nieurs Sans h telier de Dardilly Industrie Villefranche sur Fronti res La chaleur de la solidarit nationale Lyc e Robert Saone en projet contre la pauvret en France et en Afrique Doisneau francophone LACIM Songha Chasselay Amour Ombrosa Lyc e Ville de Lyon Sans Fronti re Le monde R el AFPIA AFPI Multilingue de Lyon Alliance Fran aise Association des anciens du coll ge Auplais de France Association les amis de pr sence africaine Bioforce Bioport Coor coop GREF Association Raoul Follereau Mission Africaine PREMA SCD Terre d Amiti association Okouabo association Bibitin ASF Entraide Humanitaire Catholique Haute Solidarit France Afrique Savoie RESACOOP R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Les projets et les domaines de coop ration On d nombre une quarantaine de projets Ceux ci sont concentr s au Sud du B nin dans les d partements de l Atlantique du Littoral de Ou m du Mono ainsi que des projets au Nord du B nin principalement dans le d partement de l Atacora Les projets identifi s rel vent de plusieurs domaines de coop ration Au Sud du B nin les domaines de coop ration sont principalement gt En direction des scolaires et des jeunes par exemple La cr ation d une ferme cole qui utilise les ressources naturelles pour l levage La construction d infrastructures scolaires et don d quipement en mat riels Le soutien
15. M Chistophe DENADI Pr sident 04 BP 0172 Cotonou Tel Fax 00 229 32 43 34 RESACOOP 34 R union B nin 4 partie Annexes R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Annexe 1 Liste des participants et des structures engag es au B nin RESACOOP 36 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Annexe 2 Mai 2000 Ambassade de France au B nin Service de Coop ration et d Action Culturelle COORDONNEES amp CONTACTS Service de Coop ration et d Action Culturelle Adresse 01 B P 476 RP COTONOU BENIN 229 30 01 43 T l phone 229 30 14 61 229 30 15 47 T l copie 229 30 07 57 E mail ambafrance serv eit bj http www eit bj ambafrance benin Site internet Lionel VIGNACQ ONG Interlocuteur s charg s des relations avec les organismes conduisant des projets de coop ration e Laurent BARBOT Coop ration d centralis e ACTIVITES OU CRITERES DE FINANCEMENT DES PROJETS A titre de cr dits d concentr s l ambassade dispose du Fonds Social de D veloppement FSD Ces cr dits sont destin s au cofinancement 70 au maximum de projets pr sent s par les acteurs de la soci t civile Un certain nombre de ces projets sont parrain s par des ONG fran aises qui apportent leur appui l association b ninoise qui a initi la requ te RESACOOP 37 R union B nin
16. Modalit s de concertation La pratique observ e jusqu maintenant est que les acteurs de la coop ration signent un accord de partenariat qui d finit les bases l gales de leurs relations ainsi que les domaines d intervention La r forme reconna t aussi bien aux d partements qu aux communes la comp tence d tablir ces rapports de partenariats m me s il est pr vu qu un d cret gouvernemental en fixerait les modalit s Il est peu probable que ce d cret modifie perceptiblement la pratique actuelle qui n a soulev jusqu pr sent aucune difficult majeure L entr e en sc ne des lus locaux constitue une garantie compl mentaire pour une gestion efficace et transparente des projets En ce qui concerne les organisations non gouvernementales trang res elles ne peuvent op rer directement sur le terrain qu la suite de la signature d un accord de si ge avec le Gouvernement b ninois Les dossiers de demande d accord de si ge sont adress s au Minist re des Affaires Etrang res et de la coop ration en France ou au B nin qui se charge de la proc dure Annexe 5 La vie associative et son droit au B nin RESACOOP 26 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Dans le cadre du partenariat entre les acteurs de la r gion Rh ne Alpes et le B nin l Ambassade Paris et les Consulats sont des interlocuteurs potentiels capables de fournir l appui n cessaire pour les d marches administratives Il suffit pou
17. R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Le 30 janvier 2001 s est d roul e Lyon une r union organis e par RESACOOP sur le th me Les partenariats entre des acteurs de Rh ne Alpes et des acteurs du B nin Cette rencontre a r uni 70 personnes issues d associations de collectivit s locales d tablissements scolaires qui m nent des actions de coop ration avec des acteurs du B nin ORGANI SATEURS RESACOOP 30 rue Sainte H l ne 69002 Lyon Animateurs de la r union Mme Corinne LAJARGE et M Antonio SILVEIRA T l 04 78 42 96 82 Fax 04 72 41 99 88 E mail mail resacoop org http www resacoop org Consulat du B nin Lyon 95 avenue de Saxe 69003 Lyon T l 04 78 71 77 71 Fax 04 78 71 78 08 M Pierre GAZAGNE Consul Association des b ninois de Rh ne Alpes 7 rue Major Martin H tel Municipal 69001 Lyon T l 04 78 84 80 66 Contact M Bernard AKPLOGAN INTERVENANTS Apr s un change d exp riences deux intervenants ont fait part de leur approche de la coop ration avec le B nin Ambassade du B nin en France 87 avenue Victor Hugo 75116 Paris Tel 01 45 00 98 82 Intervenant M Euloge HINVI Ministre Conseiller Secr tariat technique des Commissions mixtes C o Cit s Unies France 9 rue Christiani 75015 Paris T l 01 53 41 81 81 Fax 01 53 41 81 81 Intervenante Mme Astrid EMCIOGLU RESACOOP 1 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Pierre GAZAGNE Consul du B nin Lyon J
18. Rh ne Alpes au B nin Atacora Scouts de France 26 Bukoumb Commune de Rilleux 69 D Natitingou Solidarit France Afrique 74 R gion de Derma ClubCodev 69 Natitingou Association des b ninois de RA 69 Natitingou ADAGE 69 Natitingou Lyc e des Canuts 69 Natitingou ABRA 69 Natitingou Association Loisirs et culture 07 Sangou zou Finagnon 26 gt Kinta Gref 69 Agbakossar Kinta Mono Echirolles 38 Mono La chaleur de la solidarit 69 Lakosso M decins du 38 Honhou 69 Ouassa et Monde Gref Honhou LACIM 69 Ahouloum Atlantique M decins du Monde 38 Kpago Houedjro Adage 69 Z Mono Atlantique Zou L Sr Littoral Agropass 69 gt Cotonou Agir abcd 69 Cotonou M decins du Monde 38 3 Kpago Houedjro Ing nieur Cotonou Association Loisirs et Culture 07 Ouidah sans fronti res 69 Alibori Villefranche sur Sa ne 69 gt Kandi Borgou Gref 69 gt Parakou Okouabo 69 Parakou Collines Plateau A Ou m Communaut urbaine de Lyon 69 D Porto Novo Songha 69 gt Porto Novo FOL Loire 42 Porto Novo Agir ABCD 69 gt Dangbo 69 Porto Novo CFA de Dardilly 69 Porto Novo monde r l 69 Avrankou Gref 69 Porto Novo R union B nin Rh ne 33 Ong 4 Collectivit s Locales 8 Etablissements scolaires 1 Structure
19. ales des Producteurs et augmente leur force de n gociation en favorisant la mise sur le march collective Il recherche aujourd hui des ing nieurs agronomes capable d assister les producteurs ainsi que des ONG trang res travaillant dans le m me domaine Le Conseil des B ninois de France se veut lui aussi vecteur des int r ts de la communaut b ninoise en France Concernant ses actions envers le B nin le Conseil voudrait tablir un r pertoire de comp tences capable de ramener celles ci vers les r gions du B nin qui en ont besoin Par des actions de sensibilit s en France il propose de faire des b ninois en France des ambassadeurs pour le d veloppement de leur pays et des acteurs du d veloppement par leur comp tences cf pr sentation en annexe 3 Lors de la r union du suivi de la Commission mixte le 29 novembre 2000 il a t convenu d laborer un plan d action qui correspondent aux demandes des partenaires b ninois et qui permettent d tre f d rateur pour un grand nombre d acteurs Ces demandes concernent surtout les efforts mener en mati re de concertation et de formation Il faut noter cet gard la toute r cente d cision d installer une antenne r gionale de WANGO l Association Mondiale des ONG au B nin Elle a pour objet de mettre en uvre les programmes des Nations Unies et vise une meilleure concertation entre ONG son installation pourra contribuer augmenter les moyens logistiques des ONG par
20. apport cette maison des ONG car de nombreux points comme la prise en charge des frais de fonctionnement la l gitimit d une telle structure alors que beaucoup de f d rations d ONG b ninoises n ont pas tenu d AG depuis plusieurs ann es taient rest s en suspens Le Comit de suivi avait toutefois donn un accord de principe l appui demand par les B ninois en leur pr cisant les r serves mises et en les encourageant travailler un plan d action qui permettrait de r pondre ces questions Ce plan d action t pr sent cf document annex mais n a pas t suivi d effets car le Comit de suivi en France s est progressivement d mobilis ce moment faute d action concr te Une derni re tentative pour redynamiser le groupe avait t faite la fin 1998 Il s agissait d organiser une journ e d tude sur le th me de la d centralisation au B nin sujet d actualit s il en est Il tait pr vu que cette journ e puisse se faire en articulation avec la journ e Coop ration d centralis e B nin qui avait t annonc e par le Ministre JOSSELIN Le Comit de suivi avait travaill un ordre du jour possible de la journ e qui avait t pr sent diff rents repr sentants du Minist re Un accord de principe avait m me t donn mais finalement la journ e coop ration d centralis e B nin annonc e n a pas eu lieu et le groupe ne s est plus r uni Il avait galement t question de r
21. atre vingts pays et dans l outre mer Il dispose d un r seau de quarante trois agences et bureaux r partis dans le monde Pour obtenir davantage de pr cisions sur le groupe de l Agence Fran aise de D veloppement et sur les projets financ s ou en cours d instruction au B nin se reporter au site suivant AFD http www afd fr N B L int gralit du proc s verbal de la Commission Mixte est disponible aupr s de Mme Astrid EMCIOGLU au Secr tariat Technique des Commissions Mixtes c o Cit s Unies France 9 rue Christiani 75018 Paris RESACOOP 45 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Annexe 5 La vie associative et son droit au B nin 1 Cadre juridique La constitution b ninoise ne traite pas de la libert d association mais se r f re dans son pr ambule aux principes de la d mocratie et des droits de l homme tels qu ils ont t notamment d finis par la D claration universelle des Droits de l Homme de 1948 Le texte fondamental qui reste applicable au B nin en mati re d association but non lucratif n est autre que la loi fran aise du 1 juillet 1901 sur la libert d association qui a t maintenue dans l ordre juridique interne apr s l ind pendance 11 a t compl t sur certains points par l ordonnance 59 du 28 12 1966 2 Le droit applicable aux ONG Les Organisations Non Gouvernementales sont reconnues en tant que telles par les pouvoirs publics Depuis le retour de la d mocrat
22. cation des besoins est in vitable essentielle et toutefois co teuse cet investissement doit tre pris en compte dans la conception et le co t global d un projet Il signifie la fois de prendre le temps de se conna tre d changer de r fl chir diff rentes solutions Cela implique galement des frais d placements communications recherche de documents Pour aller plus loin Fiche RESACOOP Identifier un partenaire et engager une d marche de coop ration d centralis e Diff rents mod les de conventions sont disponibles RESACOOP RESACOOP 15 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 THEME 2 Articulation des actions de coop ration avec les politiques nationales ou locales mises en oavre sur un territoire R sultats de l enqu te Constats Interrogations Beaucoup d actions sont conduites sous forme Comment articuler ses actions avec les de micro projets isol s politiques nationales ou locales mises en uvre sur un territoire Beaucoup d acteurs souhaitent passer d une Existe t il localement des cadres de action ponctuelle une action de d veloppement concertations concert avec toute la diversit des acteurs b ninois Comment conduire un projet de coop ration dans le cadre du nouveau contexte institutionnel b ninois li la r forme de d centralisation Une action de coop ration ne s inscrit jamais dans un paysage vierge Au contraire elle est la plupart
23. cccccccccccccccccccooooooooooooooooo0e000000000000000000000000000000000000000 5 LES ACTEURS DU 1 2906640240466006 ess eds een nada n e den ete eee 5 LOCALISATION DES ACTEURS DE RHONE ALPES AU BENIN ccccccccccccccccccocoooos 6 LOCALISATION DES ACTEURS EN 7 TABLEAU SYNTHETIQUE DES ACTEURS DE RHONE ALPES ccccccccccccccccccccocooooooe 9 LES PROJETS ET LES DOMAINES DE COOPERATION 10 AU SUD DU BENIN LES DOMAINES DE COOPERATION SONT PRINCIPALEMENT 10 AU NORD DU BENIN LES DOMAINES DE COOPERATIONS CONCERNENT ESSENTIELLEMENT 11 2 Partie Synth se des d bats LES RELATIONS ENTRE ACTEURS FRAN AIS BENINOIS cccecccccocccococccooooocccoos 14 RESULTATS DE L ENQUETE ccccssecccssscesccssssessssoassoosoessooesssoeaoesssonsssoessoeenssoonsssonaoeasssenes 14 ARTICULATION DES ACTIONS DE COOPERATION AVEC LES POLITIQUES NATIONALES OU LOCALES MISES EN UVRE SURUN TERRITOIRE 16 RESULTATS DE L ENQUETE cerne nets 16 POUR AFLERAPLEUS COIN 19 LES RELATIONS ENTRE PARTENAIRES FRAN AIS ssenesessesssenseee 20 RESULTATS DE L ENOUETE ni tent D ren 20 3 Partie Interventions des structures d appui AMBASSADE DU BENIN ccccceecc
24. ccccocococccccccccococccccccooooccccecooooooosesosoccccccessssecccccesssvssvvcceuss 23 LE PROCESSUS DE DECENTRALISATION AU BENIN ET SES CONSEQUENCES SUR LA COOPERATION dt tiens nent 2604400 en secte 23 LS ETAT DES LIEUX een Men nT a te M IY NT AAN A 23 2 OBJECTIFS DE LA REFORME visionin 24 MAA UOU OC 24 a AE BIN N INI UAS i N SI SI AS R n iie N TE 24 Nouveau d coupage D 24 1281 185 23 54 131115 25 Comp tences des futures communes siennes 25 5 LES ZONES ET LES DOMAINES SUR LESQUELS LE GOUVERNEMENT SOUHAITE QUE S ORIENTENT LES ACTIONS DE COOPERA TON 2236562364205800 365 isn inner tenter ne tons teen tent 25 Zones 4 1 25 RESACOOP R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Domaines d intervention des 25 Les d partements 26 MODALITES DE CONCERTATION eccccccccccosocecososososooossosssssssssssesssessosesesessesssesssssesesesesssssssesss 26 LES ORIENTATIONS DU SECRETARIAT TECHNIQUE DES COMMISSIONS MIXTES EN DIRECTION DU BENIN cccccccccccccocccccccccccccococccccccoooococccceoosocccccocosooeccccesososecccosesoueves 28 1
25. ce budget doit tre adopt avant le 31 mars de l exercice auquel il s applique e budget communal doit tre vot en quilibre et ob ir aux principes g n raux du droit budg taire il doit comporter des d penses d investissement RESACOOP 40 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 e La cr ation d une taxe de d veloppement local dans le but de permettre aux communes de b n ficier des principales ressources li es leur production agricole ma s tomate sorgho coton palmier huile ananas etc e Le reversement aux communes par l Etat d une quote part de la taxe touristique taxe sur les v hicules moteur taxe sur la valeur ajout e TVA e La commune est tenue de domicilier ses recettes au tr sor e L institution d un Fonds de Solidarit Intercommunal FSI dans le but de contribuer au d veloppement quilibr des communes Un syst me de p r quation sera au point pour rendre fonctionnel ce Fonds dont l appui aux communes d sh rit es sera d cisif pour leur bon fonctionnement e cr ation d une Institution de financement des collectivit s locales IFCL dans le but de promouvoir le d veloppement local et ce gr ce des pr ts consentis aux communes des taux pr f rentiels La possibilit pour ces communes de b n ficier du concours financier des ONG et des collectivit s d centralis es d autres Etats N B l int gralit des lois de d centralisation sont dispon
26. e taxe de voirie d un taux de 0 85 En outre les effets personnels ainsi qu un v hicule qui sont import s par le personnel expatri dans les six premiers mois de son installation sont exempt s de taxes en dehors de la taxe de voirie Il convient galement de relever que le personnel expatri est exempt de l imp t sur le revenu et que les ONG ne sont pas soumises la TVA en ce qui concerne les services rendus dans le cadre de la r alisation des projets Ce r gime ne b n ficie qu aux ONG ayant conclu un accord de si ge Toutefois une exon ration est galement accord e pour les dons effectu s par une ONG ou une association fran aise dans le cadre d une op ration financ e par le service de coop ration de l ambassade fonds social de d veloppement 3 Caract ristiques principales de la vie des ONG dans le pays Il convient de distinguer parmi les ONG celles qui sont trang res et viennent exercer leur activit au B nin et les association b ninoises qui tr s nombreuses uvrer dans le domaine du d veloppement ont elles aussi pris la d nomination d ONG S agissant des ONG internationales elles coordonnent leur action au sein d un forum des ONG formant un r seau de 34 organisations RESACOOP 46 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Ces ONG ont vu leur r le reconnu en tant qu op rateurs part enti re du d veloppement lors de la 7 commission mixte franco b ninoise qui s est ten
27. e travail doit alors tre pr sent e soit devenir une structure op rationnelle autonome programme concert programme prioritaire groupe de concertation au sein d une t te de r seau etc sous la seule responsabilit des structures qui souhaitent en faire partie et non plus au titre du Comit de Pilotage e soit cesser d exister ou se mettre en veille C est notamment le cas lorsque la mobilisation des OSI et collectivit s territoriales fran aises devient insuffisante ou lorsque le groupe ne voit plus l int r t de continuer se r unir Bilan de la participation des OSI et collectivit s territoriales fran aises aux Commissions mixtes Depuis 1990 les OSI et Collectivit s territoriales fran aises ont t associ es de fa on plus ou moins troite 26 Commissions mixtes C est un outil qui a permis de nombreuses avanc es notamment au niveau franco fran ais e Renforcement du dialogue entre les acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux cf ouverture des Commissions mixtes aux acteurs non gouvernementaux de pays pourtant initialement r ticents comme Ha ti en juillet 96 la Mauritanie en juin 1998 ou Madagascar en mai 2000 e Rapprochement entre les OSI et les collectivit s territoriales en France et avec les acteurs dans le pays partenaire lieu d change d exp riences capitalisation d informations e Reconnaissance des migrants comme acteurs du d veloppement enti re Au Sud la
28. e vous remercie d tre venus aussi nombreux pour participer la premi e r union sur le B nin organis e conjointement par RESACOOP et le Consulat du B nin en R gion Rh ne Alpes avec le soutien du Conseil R gional Rh ne Alpes Cette rencontre va permettre chacun d entre nous de d couvrir d autres participants qui collaborent diff rentes activit s d entraide au B nin que ce soit dans un cadre d associations dans un cadre communal ou dans un cadre d coles et lyc es Je souhaite que cette r union qui pourra permettre de mettre en exergue tout aussi bien les r alisations que les difficult s communes soit le d part d une meilleure concertation Elle sera peut tre le pr lude une rencontre infiniment plus vaste au couis de laquelle pourront tre invit s les responsables des diff rentes associations b ninoises les responsables des collectivit s locales b ninoises et les responsables des tablissements scolaires du B nin Merci encore pour votre pr sence J esp re que des changes sous la direction des repr sentants de RESACOOP qui sont particuli rement qualifi s comme vous le savez seront tr s fructueux Merci encore pour votre pr sence RESACOOP 2 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 TABLE DES MATI ERES 1 Partie TABLE DES MATIERES cscecscecicecscevicecscesicesssesstecsocscecscecscecscecsceossessecstseesscecscevseassecsscesssessecssees 1 LES ACTEURS DE RHONE ALPES
29. ectifs l installation des stations de radio et de t l vision Le chef d arrondissement g rera par d l gation du maire les infrastructures de proximit savoir les march s coles places publiques et espaces verts de quartier Le pr fet du d partement d une commune statut particulier est assist d un haut fonctionnaire charg de la s curit RESACOOP 39 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 4 La loi n 98 006 portant r gime lectoral communal et municipal en R publique du B nin Les lections locales seront organis es sur la base de La loi n 98 034 portant r gles g n rales pour les lections en R publique du B nin Cette loi est applicable toutes les lections pr sidentielles l gislatives et locales La loi n 98 006 portant r gime lectoral communal et municipal en R publique du B nin qui d termine les r gles particuli res applicables aux lections locales Quelles sont ses particularit s Les membres du conseil d une commune ordinaire sont d nomm s conseillers communaux e Les membres du conseil d une commune statut particulier sont d nomm s conseillers municipaux e Les conseillers sont lus pour cinq 5 ans lls sont r ligibles e La circonscription lectorale est l arrondissement e l faut avoir 21 ans pour tre ligible e Le non cumul du mandat local avec la qualit de membre de gouvernement e L in ligibilit des membres du
30. exemple e cr ation d un centre de formation agricole qui pr pare des agents ruraux e Un programme de d veloppement de la r gion de Perma avec la participation des diff rents acteurs population ONG locale Les collectivit s locales sont surtout pr sentes dans des actions traitant de probl matiques li es l eau l assainissement et au traitement des d chets De plus elles engagent des actions de d veloppement agricole ainsi que des actions relevant de l conomie de l artisanat et de l appui institutionnel Les Organisations Non Gouvernementales sont impliqu es dans des actions dans le domaine de la sant du d veloppement agricole et rurale scolaire jeunes et dans la formation d adultes On notera que des acteurs mettent en uvre des changes de pratiques enseignants fran ais et enseignants b ninois mais aussi changes de jeunes en apprentissage RESACOOP 11 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 2 me partie Synth se des d bats L objet de la pr sente partie est double il s agit la fois de reprendre les l ments discut s lors de la r union du 30 janvier 2001 et d y ajouter tous les l ments jug s utiles aux participants lectures compl mentaires lieux ressources RESACOOP 12 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 A partir de l enqu te r alis e pour pr parer la r union plusieurs th mes de discussions ont t identifi s par l quipe de RESACOOP Compte te
31. f rents niveaux Les nouvelles communes vont disposer de ressources propres Taxes et imp ts locaux dotations de l Etat bien communaux mais aussi coop rations ext rieures Comment sera pris en compte cet apport dans les budgets Toutes les communes ne disposent pas de partenaires ext rieurs Comment l Etat b ninois parviendra t il assurer une galit entre les communes Quels outils seront mis en uvre pour r guler les in galit s qui pourraient surgir entre communes riches dot es de multiples partenaires et communes isol es sans capital relationnel Sur ce sujet on pourra galement utilement se reporter aux r unions organis es par RESACOOP sur le Mali et sur le Burkina Faso Attention la d finition de la coop ration d centralis e donn e par les autorit s b ninoises diff re de celle en vigueur en France Si la France consid re la coop ration d centralis e comme une reconnaissance juridique de l action ext rieure des collectivit s locales l Etat b ninois pour sa part d signe par cette expression l intervention de tous les acteurs publics et priv s non gouvernementaux associations collectivit s locales h pitaux tablissements scolaires etc Annexe 2 Fiche ambassade de France au B nin Annexe3 La d centralisation au B nin RESACOOP 18 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Pour aller plus loin Fiche RESACOOP sur l envoi de m dicaments Aide m dicale mode d e
32. ffo la Donga le Littoral le Mono l Ou m le Plateau et le Zou Mode de d signation Les conseillers communaux ou municipaux sont lus au suffrage universel direct gal et scrutin secret pour un mandat de cinq 5 ans renouvelable Le Maire et ses adjoints sont lus par le conseil en son sein L arrondissement est administr par un chef d arrondissement qui est d sign par le conseil communal en son sein et parmi les conseillers municipaux lus sur la liste de l arrondissement concern Les membres du conseil de village ou de quartier sont d sign s par consultation d mocratique pour cinq 5 ans renouvelables Le conseil est d sign par un chef de village ou de quartier de ville Comp tences des futures communes D veloppement local am nagement habitat et urbanisme e Infrastructures quipement et transport e Environnement hygi ne et salubrit e Enseignement primaire et maternel e Sant action sociale et culturelle e Etat civil e Police judiciaire etc 5 Les zones et les domaines sur lesquels le Gouvernement souhaite que s orientent les actions de coop ration Zones d intervention Priorit aux d partements et aux communes les plus pauvres et enclav es dans un souci de d veloppement quilibr Assurer autant que possible une r partition territoriale quilibr des interventions viter la tendance la concentration excessive des interventions dans les communes urbaines Doma
33. fonds social de d veloppement l environnement en espace lagunaire Int gration r gionale Les principaux recentrages concerneraient ainsi la sant secteur de concentration de l U E et surtout les secteurs productifs professionnalisation agricole cr dit agricole PMI PME qui sont plus dans la vocation de l AFD En ce qui concerne le secteur ducatif une r flexion reste mener sur un ventuel glissement en faveur de l enseignement de base Comme le pr voit la r forme du dispositif fran ais de coop ration AFD pourrait d sormais envisager de mener des op rations au B nin dans le domaine des infrastructures sociales sant ducation S agissant des m thodes l accent devra tre mis sur le renforcement du partenariat comit s de pilotage homologues contreparties locales tableaux de bord revue annuelle sur l mergence d op rateurs locaux performants bureaux d tude ONG collectivit s locales le renforcement de la coop ration d centralis e et enfin la coordination avec les bailleurs de fonds RESACOOP 44 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Agence Fran aise de D veloppement Le groupe de l AFD dans le dispositif institutionnel de la coop ration fran aise Le groupe de l Agence Fran aise de D veloppement AFD tablissement public et institution financi re sp cialis e est l op rateur principal du dispositif fran ais d aide au d veloppement Il intervient dans plus de qu
34. hase pr c demment d crite de ralentissement des relations r ciproques diff rentes actions peuvent tre envisag s dans le cadre du suivi de la Commission mixte 1 Reprise du fichier mis en place lors de la Commission mixte de 1997 pour appr cier le nombre et les int r ts des diff rents acteurs engag s au B nin 2 La r cente prise en compte de la diaspora b ninoise doit donner lieu un approfondissement de la connaissance mutuelle et peut donner lieu des partenariats int ressants Le HCBE Haut Conseil des B ninois de l Ext rieur Cr en d cembre 1997 il se veut espace d change pour les b ninois vivant l ext rieur Vis vis des pouvoirs publics b ninois il se pose comme interlocuteur privil gi pour toute question touchant ces derniers Son activit est d une part tourn e vers l ext rieur du pays o il s agit de prot ger les b ninois juridiquement et conomiquement par la mise en place d un fonds de renfoncer les relations entre les b ninois de l ext rieur avec leur pays d origine site internet d informations conomiques drainage de l pargne vers le B nin etc Des actions visant am liorer la connaissance du B nin sont galement pr vues D autre part au B nin le HCBE voudrait RESACOOP 32 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 relancer les fili res agricoles tant au niveau de la production qu au niveau organisationnel il apporte un soutien aux Unions Sous Pref ctor
35. ibles aupr s de l Ambassade du B nin RESACOOP 41 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Annexe 4 La Coop ration bilat rale franco b ninoise LES GRANDES PRIORITES D finies lors de la commission mixte franco b ninoise de f vrier 1997 elles ont t confirm es par le Minist re des Affaires Etrang res la suite de la r cente r forme du dispositif fran ais d aide publique au d veloppement 1 L appui aux secteurs sociaux ducation culture et sant ll s agit du champ d action traditionnel de la coop ration fran aise pour des raisons historiques et culturelles Ceux ci concernent pour la partie culturelle l enseignement g n ral en priorit secondaire l enseignement technique et la formation professionnelle l enseignement sup rieur directement tourn vers l emploi ainsi que les accords inter universitaires traditionnels la promotion de la culture de la cr ation et du patrimoine la lecture publique et les r seaux documentaires jeunesse et les sports Dans le domaine de la sant et de la population les projets sont concentr s sur les objectifs suivants lutte contre le SIDA et les maladies transmissibles l am lioration de la gestion hospitali re CNHU de Cotonou Les secteurs sociaux drainent 44 environ des moyens du FAC Fonds d Aide et de Coop ration aujourd hui Fonds de solidarit prioritaire 2 La consolidation de l Etat de droit C est un secte
36. ie au B nin la politique du gouvernement a t de favoriser de fa on volontariste les activit s des ONG internationales qui b n ficient d un r gime juridique particulier C est ainsi que des accords peuvent tre conclu ente le gouvernement b ninois et les ONG dans lesquels sont consign s les obligations des deux parties Un accord type a t adopt en Conseil des ministres en novembre 1996 Parmi les obligations qui incombent aux ONG aux termes de cet accord type on rel ve l engagement qu elles doivent prendre de recruter parmi leur personnel d encadrement des cadres b ninois et d assurer la formation de nationaux b ninois dans leurs domaines d interventions De m me dans un souci d information du gouvernement et de coordination de l aide au d veloppement les ONG sont tenues d tablir des rapports d activit trimestriels qu elles adressent aux pouvoirs publics Une commission interminist rielle pr sid e par le Minist re des affaires trang res a t mise en place afin de suivre et coordonner les activit s des ONG Pour sa part le gouvernement s engage faciliter aux membres des ONG et leur famille les formalit s d entr e et de s jour en R publique du B nin Sur le plan fiscal il accorde l exon ration des droits et taxes aux mat riels et quipements ainsi qu aux v hicules qui sont n cessaires l accomplissement de la mission de l ONG l exception d une taxe pr lev e par la ville de Cotonou dit
37. ines d intervention des communes e Education enseignement primaire et maternel alphab tisation des adultes construction quipement et r parations des tablissements publics e Equipement et r parations des centres publics de sant et de promotion sociale des infrastructures publiques culturelles de jeunesse de sport et de loisirs RESACOOP 25 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 l aide sociale aux d sh rit s et sinistr s la conservation du patrimoine culturel local Economie locale gestion des march s et abattoir am nagement de zones artisanales et de zones industrielles e Infrastructures quipements et transports r alisation et entretien des routes pistes et ouvrages d art signalisation routi re r alisation et entretien des r seaux d clairage public etc e Environnement hygi ne et salubrit e Gestion administrative et budg taire Les d partements Am nagement du territoire et projets de d veloppement Protection de l environnement Cr ation et utilisation d quipements collectifs e Etablissement d enseignement secondaire g n ral technique professionnel e H pitaux d partementaux et solidarit envers les populations vuln rable e Infrastructures routi re et de communication e Tourisme e Energie e For ts class es et zones cyn g tiques e Promotion culturelle Jumelage entre d partements ou coop ration avec des institutions nationales ou trang res 6
38. ion du personnel une plus grande professionnalisation l appui en mati re de gestion de moyens logistiques etc D autre part les attentes portent sur le soutien apporter au niveau des micro projets sur le terrain Certaines se sont plaints de l attiiude des ONG fran aises citant en exemple les ONG de l Europe du Nord plus pragmatiques Les collectivit s territoriales fran aises regrettent que la d centralisation ne soit toujours pas achev e en absence d association des maires les seuls r f rents restent les villes partenaires et la Maison des Collectivit s locales Elles sont pr tes travailler davantage avec les ONG sur place dans le cadre de leur coop ration d centralis e par exemple dans le cadre des PPDI Programme Pluriannuel de D veloppement et d Investissement L ambassade a galement affirm sa volont de soutenir les actions de concertation qui se poursuivraient dans le cadre des Commissions mixtes Notamment l organisation d une journ e en mati re de sant a t voqu e Le d l gu r gional de l AFVP a rappel que les ONG fran aises sont organis es en un forum et sont donc un relais efficace pour les informations et actions des Commissions mixtes Elles rencontrent r guli rement les f d rations d ONG b ninoises pour changer leurs exp riences 3 Perspectives le Secr tariat technique des Commissions mixte quel espace pour un partenariat multi acteurs Apr s la p
39. ipal organe d lib rant L affirmation du r le de la tutelle administrative le contr le de l galit des actes du Maire et des d cisions du conseil communal et du budget communal d une part et de l assistance conseil aux communes d autre part L exigence du soutien de l Etat aux collectivit s locales travers divers m canismes et dans diff rents domaines ressources humaines mat rielles et financi res La n cessit d assurer le d veloppement local par un accroissement des recettes provenant des richesses potentielles ou av r es des communes ou des relations avec les partenaires et organismes nationaux ou internationaux Contenu Nouveau d coupage Le territoire national sera divis en circonscriptions administratives que sont les d partements et en collectivit s locales que sont les communes Les 77 futures communes occuperont le territoire de chacune des 67 sous pr fectures et 10 circonscriptions urbaines actuelles RESACOOP 24 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Les communes seront divis es en unit s administratives sans personnalit juridique ni autonomie financi re appel es arrondissements Les arrondissements sont subdivis s en villages dans les zones rurales et en quartiers de villes dans les zones urbaines Chacun des six 6 d partements actuels sera divis en deux 2 Il y aura donc douze 12 d partements l Alibori l Atacora l Atlantique le Borgou les Collines le Cou
40. jeunes 3 Entreprises Loire 1 Ong 2 Collectivit Locale 1 Etablissement scolaire 1 H pital Ard che 1 Ong RESACOOP Lyon 30 janvier 2001 Localisation des acteurs en Rh ne Alpes 2 Ong Dr me Haute Savoie 1 Ong Is re 2 Ong 3 Collectivit s Locales 1 Universit R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Tableau Synth tique des acteurs de Rh ne Alpes LES ACTEURS DE RH NES ALPES Collectivit s Ong Etablissements Structures Entreprises Universit Structure locales scolaire jeunes de Sant Ain Institut des techniques d ing nieur de l industrie Ard che Association Loisirs et Culture Dr me Finagnon Scouts de France Is re Commune Association Atchefi M decins du Monde Universit d Echirolles Grenoble Pierre Commune de Mend s Lumbin Ville de France Grenoble Loire Commune de FOL Loire Coll ge Baston H pital Roanne Ville de Baty Roanne St Etienne Rh ne Commlune de Rilleux ACBF AGIR ABCD Agropass AHMSEA Lyc e des canuts Centre social MEDEF Rh ne La Pape Association B ninoise en Rh ne Alpes CFA Rabelais de Saunier Alpes Saugey Association des du B nin Rh ne Lyc e Pierre SA Rh ne Communaut Alpes Association pour le D veloppement Marie Curie Lyc e Poulenc Urbaine de Lyon agricole et la gestion de l environnement B nin Chabri re Lyc e INTECH Commune de D couverte Club COD
41. la r forme de l enseignement en soutenant la scolarisation des enfants de villages isol s gt Dans le domaine de la sant Par exemple gt Dans le domaine de la coop ration agricole et rurale par exemple Le soutien l levage porcin et la construction de structure d accueil pour la formation de jeunes leveurs Le d senclavement r alisation d une piste par la Un projet de lutte contre l exode rural et d appui la diversification des sources de revenus des paysans La construction d un centre communal de sant Une coop ration avec un h pital local par l envoi de mat riel r cup r dans les h pitaux de Rh ne Alpes L quipement d une maternit RESACOOP 10 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Au Nord du B nin les domaines de coop rations concernent essentiellement gt Le domaine de l conomie gt Le domaine de l eau de l artisanat l assainissement et le traitement des d chets Par exemple exemple e La valorisation du tissage artisanal pour la cr ation d un centre e La dynamisation des comit s de d apprentissage La production point d eau des villages la locale de m tiers de tissage grande r habilitation de groupes largeur hydrauliques et l organisation de la fili re de maintenance des pompes La mise en uvre d un programme int gr de la r gion de Perma Le domaine du d veloppement agricole et rural Par
42. ls Adresse Plate forme d insertion par l humanitaire et la coop ration 9 rue Camille Desmoulins 26100 Romans sur Is re RESACOOP 20 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Au niveau national les porteurs de projets peuvent s adresser Cit s Unies France pour les collectivit s locales 9 rue Christiani 75018 Paris Tel 01 53 41 81 81 Coordination Sud pour les associations de solidarit internationale 14 Passage Dubail 75010 Paris Tel 01 44 72 93 72 Le secr tariat technique des commissions mixtes C O Cit s Unies France 9 rue Christiani 75018 Paris Tel 01 53 41 81 81 Programme Solidarit Eau pour les projets li s l hydraulique pS Eau 82 rue Le Peletier 75009 Paris Tel 01 53 34 91 20 F d ration Hospitali re de France pour les h pitaux 33 avenue d Italie 75013 Paris Tel 01 44 06 84 63 Cette r union sur le B nin est le fruit de la volont commune du Consul du B nin en Rh ne Alpes de l association des B ninois de Rh ne Alpes du Conseil r gional de Rh ne Alpes de conna tre mieux ce qui se fait entre notre r gion et le B nin Dans ce sens cette rencontre peut constituer le point de d part d initiatives communes ult rieures Il reste d terminer les th mes et les modalit s de concertation qui pourraient tre engag es entre les acteurs de Rh ne Alpes impliqu es au B nin RESACOOP 21 R union B nin 3 me partie Inter
43. mploi fiche r alis e avec l aimable collaboration de la Centrale Humanitaire m dico pharmaceutique de Clermont Ferrand et d Humacoop disponible RESACOOP ou sur notre site Internet la rubrique Fiches Techniques Culture et d veloppement Banque Rh ne Alpes du livre 9 rue Poste 38000 Grenoble Tel 04 76 46 80 29 Ambassade du B nin en France Contact avec les acteurs de la coop ration d centralis e Mme Gis le MEDEGAN Premier Conseiller Ambassade du B nin 87 avenue Victor 75116 Paris Tel 01 45 00 98 82 Ambassade de France Cotonou Service de Coop ration et d Action Culturelle 01 B P 476 RP Cotonou BENIN T l phone 229 30 01 43 ou 229 30 14 61 La concertation entre les organisations non gouvernementales et les collectivit s locales de la r gion de Tombouctou au Mali r union RESACOOP organis e Lyon le 23 mai 2000 Le compte rendu est disponible sur notre site Internet la rubrique R unions Les partenariats entre les acteurs de Rh ne Alpes et le Burkina Faso R union RESACOOP organis e Saint Fons le 16 mai 2000 La r forme de la coop ration d centralis e au Burkina Faso Rencontre avec M Yero Boli Ministre de l Administration territoriale du Burkina Faso R union organis e par RESACOOP le 23 octobre 2000 Le compte rendu est disponible sur notre site Internet la rubrique R unions RESACOOP 19 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 THEME 3
44. n peut avancer l hypoth se d une pr paration insuffisante et par cons quent d un manque d implication des b ninois cf texte en annexe Les acteurs du dispositif des Commissions mixtes Au B nin les acteurs partenaires du dispositif des Commissions mixtes sont e les f d rations des ONG b ninoises et parmi elles le CONGAB dont le pr sident est chef de file e dont le d l gu r gional parvient organiser des rencontres r guli res entres ONG fran aises comprenant notamment la visite de projets Cela cr une dynamique de r seau entre ONG fran aises laquelle les associations b ninoises partenaires sont associ es e le Haut Conseil des B ninois de l Ext rieur dont l ex cutif se trouve actuellement au B nin e Service de Coop ration et d Action Culturelle SCAC dont un charg de mission galement pour attribution les relations avec la soci t civile b ninoise e convient aussi de mentionner comme relais la Maison des Collectivit s locales qui en absence de d centralisation effectue un grand travail de pr paration de ce processus et de capitalisation en ce domaine Le centre de promotion des associations et des ONG qui vise mieux structurer les ONG b ninoises au nombre de 4000 la fin du mois de d cembre 2000 peut galement tre un interlocuteur e D autres organismes ressources sont bien s r les repr sentations diplomatiques et techniques des autres bailleu
45. ncouragent le march noir et vont l encontre des efforts de rationalisation des activit s pharmaceutiques conduites dans les pays b n ficiaires RESACOOP a r dig une fiche technique sur le sujet laquelle il peut tre utile de se r f rer Deux d marches concomitantes doivent guider les structures qui souhaitent conduire une action de coop ration conna tre et se faire conna tre Conna tre les politiques nationales et locales les autres acteurs pr sents sur la zone o l on intervient afin d articuler son action avec les politiques d j mises uvre Ceci un triple int r t e Cela permet d viter les doublons e Cela permet d encourager des dynamiques d j engag es e Cela permet galement d harmoniser sa d marche avec celle des autres acteurs en pr sence Il est en effet fr quent d observer sur un m me territoire des ONG qui proposent des projets cadeaux aux populations alors que d autres essaient d impliquer ces derni res dans la prise en charge des actions A terme la deuxi me d marche est plus riche d avenir mais les populations d boussol es par ces approches divergentes vont le plus souvent la facilit Se faire conna tre afin d exister aux yeux des autorit s locales et nationales et ainsi pouvoir n gocier par exemple l affectation d un infirmier dans un poste de sant ou l int gration de son action dans un plan local de d veloppement Comme l a soulign ce sujet M Hi
46. nistr par un chef d arrondissement assist d un conseil Le village ou quartier de ville Le village ou quartier de ville garde son statut actuel et est administr par un chef de village ou de quartier de ville assist par un conseil 2 La loi N 97 029 du 15 janvier 1999 portant organisation des communes en R publique du B nin Il s agit de la loi qui e D finit l organisation le fonctionnement et les comp tences de la commune e D finit les conditions de gestion du patrimoine communal e Traite des organes infra communaux e Organise la tutelle administrative d termine les actions judiciaires et la responsabilit de la commune RESACOOP 38 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 e Traite de la coop ration intercommunale Il est important de souligner que c est le conseil communal qui administre la commune prenant des d lib rations sur toutes les questions importantes savoir le vote du budget communal l adoption du plan de d veloppement communal les rapports avec l Etat et la soci t civile les accords de coop ration Le maire est le premier responsable de la commune et le chef de l administration communale Il pour principal l ex cution des d cisions du conseil communal auquel il rend compte de ses activit s Le maire est assist d adjoints Les organes infra communaux sont e Le conseil d arrondissement e Le conseil de village ou de quartier de ville Ces organes s
47. nu du nombre de participants beaucoup plus lev que pr vu le temps r serv aux d bats n tait pas assez important Cependant quelques points de conclusion m ritent d tre soulign s Pour ceux qui veulent aller plus loin diff rents documents disponibles RESACOOP sur simple demande claireront les questions soulev es lors de la r union Certaines r unions organis es pr c demment sur d autres pays ou d autres th matiques ont permis de r ponde aux th mes ci dessous Si les contextes sont diff rents nombre de probl matiques se recoupent et se compl tent Nous vous invitons consulter ces documents sur notre site Internet http www resacoop org dans les rubriques r unions ou fiches techniques RESACOOP 13 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 THEME 1 Les relations entre acteurs fran ais et b ninois R sultats de l enqu te Constats Interrogations Difficult s de percevoir les relations Implication des acteurs locaux dans la d finition concertation entre partenaires fran ais dans la mise en uvre des actions b ninois Difficult s dans les relations de partenariat Attente des acteurs fran ais vis vis des acteurs b ninois et r ciproquement Sur quelles bases engager une relation de coop ration Il est parfois difficile d identifier clairement la nature des relations entre les acteurs de Rh ne Alpes et leurs partenaires b ninois En ce q
48. nvi Ministre Conseiller de l Ambassade du B nin en France cette d marche est nouvelle Devant l ampleur prise par le ph nom ne de la coop ration d centralis e l Etat b ninois souhaite engager le dialogue et la concertation Pour tous les porteurs de projets il existe d sormais une personne charg e au sein de RESACOOP 17 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 l Ambassade du B nin Paris des relations avec les acteurs de la coop ration d centralis e Dans le m me sens le Service de Coop ration et d Action Culturelle de l Ambassade de France Cotonou peut tre utilement contact et inform des initiatives prises au B nin par les acteurs de Rh ne Alpes Le SCAC est une source pr cieuse d informations sur les politiques mises en uvre par la Coop ration fran aise et sur les autres acteurs fran ais impliqu s au B nin Parfois des financements sont galement disponibles ce niveau pour cofinancer des projets Projet de coop ration et d centralisation Si la r forme engag e par le B nin en mati re de d centralisation est bien avanc e il s agit d un processus Le paysage institutionnel est donc appel fortement voluer dans les ann es venir Des questions pos es par les participants la r union restent en suspens Une coop ration conduite de village village s inscrit dans le cadre plus g n ral de la mise en place des communes Comment se fera l articulation entre ces dif
49. o les responsables lus disposeront d une plus grande autonomie dans la gestion des affaires publiques Cette r forme fait partie d une s rie de recommandations adopt es par la Conf rence des Forces Vives de la NATION tenue Cotonou du 19 au 28 f vrier 1990 Cette recommandation fut traduite dans les articles 150 et 153 de la constitution du 11 d cembre 1990 Dans le cadre de sa mise en uvre l Assembl e Nationale b ninoise a vot cinq 5 lois le 12 f vrier 1998 F La loi n 97 058 du 15 janvier 1999 portant organisation de l organisation territoriale de la R publique du B nin F La loi n 97 029 du 15 janvier 1999 portant organisation des communes en R publique du B nin La loi n 98 005 du 15 janvier 1999 portant organisation des communes statut particulier F La loi n 98 006 du 09 mars 2000 portant r gime lectorale communal et municipal en R publique du B nin et F La loi n 98 007 du 15 janvier 1999 portant r gime financier des communes R publique du B nin RESACOOP 23 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 2 Objectifs de la R forme e La promotion de la d mocratie la base travers la participation du citoyen la gestion de la chose publique le rapprochement de l administration du citoyen la prise en charge la base par la population de ses propres affaires et la mise en valeur du potentiel conomique de chaque localit en vue de son d veloppement e Le d velop
50. on On remarque galement que plusieurs lyc es du Rh ne et de la Loire ont un partenariat avec le m me lyc e TOFFA 1 au B nin Certains de ces lyc es ont par ailleurs un partenariat avec une association du Rh ne ACBF L association Songha Chasselay quant elle nous a signal un partenariat hors Rh neAlpes avec une association se situant dans les C tes d Armor engag e dans le m me projet 1 Annexe 1 liste des participants la r union R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Les acteurs du B nin est difficile de dire pr cis ment le nombre de partenaires b ninois Nous en avons recens 27 De plus certaines organisations n ont pas pr cis quels taient leurs partenaires au B nin 11 Organisations Gouvernementales associations 8 Collectivit s locales 6 Etablissements scolaires 1 Universit On peut souligner d une part que des partenariats existent entre structures homologues par exemple une collectivit locale de Rh ne Alpes avec une collectivit locale b ninoise un tablissement scolaire avec un autre tablissement scolaire On remarque galement que certaines structures ont des partenariats multiples et diversifi s c est le cas de collectivit s locales qui ont des partenariats avec d autres collectivit s locales mais aussi avec des ONG aussi bien au B nin qu en Rh ne Alpes RESACOOP 6 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Localisation des acteurs de
51. ont consultatifs L autonomie communale n est pas synonyme d ind pendance En effet le conseil communal peut tre dissout ou suspendu pour les motifs suivants e Remise en cause de l ordre r publicain e Atteinte grave l unit et la coh sion nationale et l int grit nationale e _Non fonctionnement du conseil communal pendant six mois Toute d cision de la tutelle l encontre du maire ou du conseil communal est susceptible de recours devant le juge administratif 3 La loi n 98 005 du 15 janvier 1999 portant organisation des communes statut particulier Cette loi est con ue pour r gler les questions sp cifiques aux trois 3 grandes villes que sont Cotonou Porto Novo et Parakou et leur conf rer plus de responsabilit s que les communes de droit commun La condition fondamentale est de remplir les trois 3 crit res cumulatifs mentionn s supra pour acc der au statut particulier Les particularit s de ce statut sont les suivants Les arrondissements des communes statut particulier doivent avoir une population de 30 000 habitants au moins Le conseil est dit municipal et le nombre d adjoints au maire correspond au nombre d arrondissements plus trois Les communes statut particulier ont la charge de la construction de l quipement et de l entretien des tablissements publics d enseignement secondaire et des centres de formation professionnelle l organisation des transports urbains coll
52. ovembre en pr sence de repr sentants d ONG fran aises et des f d rations d ONG b ninoises des collectivit s fran aises engag es dans un partenariat avec une ville b ninoise deux villes du B nin des repr sentants de minist res b ninois concern s ainsi que le chef de d l gation et l attach technique en charge des relations avec la soci t civile au SCAC taient galement pr sents RESACOOP 31 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Diff rents constats ont t dress s lors de cette rencontre Les f d rations d ONG b ninoises ont une tr s forte attente deux niveaux vis vis des partenaires fran ais D une part au niveau de la structuration g n rale de leurs mouvements Les besoins en mati re de concertation ne sont toujours pas combl s Un plan d action l attention des cinq f d rations d ONG group s autour du CONGAB avait t lanc avec pour objet de d boucher sur une conf d ration entre elles Le projet de cr er une maison des ONG capable d accueillir des activit s communes et d tre un espace de communication est toujours d actualit pour certaines des f d rations Un terrain a t trouv mais se situe Porto Novo les ONG fran aises ont r affirm s leur volont de soutenir tout projet de concertation mergent mais ont aussi soulign es que ces projets doivent tre davantage cadr s Les autres besoins structurels des ONG b ninoises concernent la format
53. participation des OSI et Collectivit s territoriales fran aises aux travaux de pr paration et de suivi des Commissions mixtes a galement contribu au rapprochement entre les acteurs non gouvernementaux sur place et les Services de coop ration et d action culturelle En outre et ce n est pas le moins important la participation des OSI et collectivit s territoriales fran aises aux travaux de pr paration et de suivi des Commissions mixtes peut avoir valeur d monstrative pour inciter les autorit s gouvernementales partenaires associer davantage les organisations locales et collectivit s d centralis es RESACOOP 29 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 aux actions de d veloppement de leurs pays L appui la structuration de la soci t civile au Sud et le rapprochement entre dynamiques communales et associatives sont de m me devenus pour les acteurs non gouvernementaux des axes prioritaires de suivi pour la plupart des Commissions mixtes notamment dans le contexte de d centralisation qui caract rise aujourd hui la majorit des pays concern s 2 La Commission mixte France B nin La VII Commission mixte franco b ninoise s est tenue Cotonou les 3 et 4 f vrier 1997 La contribution des ONG et des collectivit s territoriales la Commission mixte n a constitu qu en une double page portant sur les besoins transversaux en mati re de concertation La raison pour cette faible contribution n est pas apparente o
54. pement local qui se traduit par la conception des programmes de d veloppement qui tiennent compte des besoins r els et des pr occupations des administr s la recherche avec ces derniers des solutions les meilleures et les moyens ad quats pour promouvoir le d veloppement des communes Cela suppose l instauration d un dialogue sinc re et permanents entre les lus locaux et leurs mandants et surtout une formation civique des citoyens pour permettre chacun de mesurer ses responsabilit s et de les assumer en toute conscience 3 Principes La r forme repose sur neuf 9 principes cardinaux 4 Le couplage de la d centralisation avec la d concentration un seul niveau de d centralisation la commune et un seul niveau de d concentration le d partement Les collectivit s d centralis es s administrent librement par les conseils lus dans les conditions pr vues par la loi Ainsi ce sont des conseil lus au suffrage universel direct qui administrent les communes contrairement aux circonscriptions administratives actuelles qui sont dirig es par des fonctionnaires L existence de deux 2 cat gories de communes les communes de droit commun communes ordinaires et les communes statut particulier La commune dispose de comp tences propres et de comp tences qui lui sont d l gu es par l Etat La commune dispose d un budget propre labor par le Maire organe ex cutif et vot par le conseil communal ou munic
55. r obtenir toutes les informations utiles susceptibles de mieux orienter les actions de s adresser l une ou l autre de ces deux institutions RESACOOP 27 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Mme A EMCIOGLU Secr tariat Technique des Commissions mixtes Les orientations du Secr tariat technique des Commissions mixtes en direction du B nin Cette pr sentation comporte trois points essentiels La pr sentation des activit s du secr tariat technique en g n ral Les acteurs et les actions entreprises dans le suivi de la Commission mixte France B nin Les perspectives pour les actions men es dans cadre 1 Pr sentation des activit s du Secr tariat technique des Commissions mixtes Rappel historique Les Commissions mixtes sont les rencontres bilat rales officielles qui r unissent r guli rement les responsables politiques et hauts fonctionnaires fran ais et leurs homologues dans le pays concern pour d finir de fa on concert e les grandes orientations des programmes bilat raux de coop ration sign s entre les deux Etats A l origine uniquement gouvernemental le dispositif des Commissions mixtes a b n fici de la dynamique de rapprochement entre acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux qui caract rise la derni re d cennie Il a ainsi volu progressivement jusqu associer aujourd hui les OSI et collectivit s territoriales fran aises aux travaux de pr paration et de suivi
56. rs de fonds bilat raux et multilat raux notamment l AFD et l Union europ enne En France les partenaires du Secr tariat technique des Commissions mixtes sont de mani re parall le e Les membres du Comit de suivi de la Commission mixte soit ce jour certaines ONG dont Michel BAUME de M decin du Monde est le chef de file et le groupe pays de Cit s Unies France au titre des collectivit s territoriales engag s dans une action de coop ration d centralis e le chef de file des collectivit territoriales fran aises est le pr sident du groupe pays de Cit s Unies France e Les membres du conseil des b ninois de l ext rieur e Le charg de mission g ographique au minist re des Affaires trang res 6 Annexe 6 Fiche Ressources RESACOOP 30 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Les actions entreprises dans le cadre du suivi de la Commission mixte En France Le suivi de la Commission mixte en France s est r uni assez r guli rement en 97 et 98 mais n a produit aucune concertation op rationnelle et a conduit rapidement un essoufflement Le groupe en France avait assez vite propos d organiser une journ e d tude sur le th me du d veloppement conomique mais cela n a pas t consid r comme une priorit par les partenaires b ninois dont la seule demande tait la mise en place d une maison des ONG et l id e a donc t abandonn e Le Comit de suivi tait assez sceptique par r
57. s mixtes Les repr sentants non gouvernementaux fran ais et locaux mandat s par les groupes de pr paration en France et dans le pays partenaire laborent au sein d un Comit ad hoc un rapport faisant tat de leurs priorit s et orientations communes et de leurs recommandations lls sont pr sents en tant qu observateurs en ouverture et en cl ture de la Commission mixte officielle Une prise de parole leur est normalement r serv e pour la restitution de leurs travaux Un temps d changes avec la partie tatique peut parfois tre organis Le document de recommandations labor par le Comit ad hoc OSI et Coop ration d centralis e est int gr au proc s verbal officiel de la Commission mixte En France le Comit de suivi dispose d une ann e pour se structurer en b n ficiant de l appui du Secr tariat technique en ce qui concerne la gestion de l animation il doit s attacher suivre les r solutions prises lors de la Commission mixte Les modalit s de suivi peuvent prendre diff rentes formes organisations de journ es d tude th matiques de s minaires mise en place de groupes de travail etc Au bout d un an le chef de file du Comit de suivi fran ais pr sente l avanc e des travaux au comit de pilotage Le Comit de suivi peut prendre alors diff rentes orientations e soit poursuivre son travail dans le cadre du suivi de la Commission mixte pendant ann e suppl mentaire Un nouveau plan d
58. ticipantes De plus la volont du SCAC d appuyer les initiatives de la soci t civile devrait permettre de discuter sur les possibilit s de d bloquer certains fonds log s au SCAC au profit de la concertation entre acteurs de la soci t civile b ninoise Mise part la r flexion mener pour une meilleure concertation entre acteurs deux chantiers majeurs en cours au B nin la lutte contre la pauvret et le mouvement de la d centralisation sont des axes de travail commun approfondir Lutte contre la pauvret Un change entre acteurs engag s dans des projets en mati re d ducation et de sant doit avoir lieu pour examiner les possibilit s de partenariats La pr sentation de projets concert s dans ces domaines entre acteurs du Nord et du Sud doit tre est encourag puisque la remise de la dette va pr cis ment profiter ces secteurs Se concerter permettrait en m me temps d appuyer le mouvement pour la remise de la dette et de marquer la pr sence de la soci t civile sur ce dossier D centralisation En s appuyant sur les exemples de coop ration d centralis s notamment l exp rience capitalis e par le groupe pays de Cit s Unies France et sur les travaux de la Maison des Collectivit s Locales il convient de r fl chir aux moyens de faire participer tous les acteurs associations locales ONG trang res personnels municipaux et collectivit s territoriales fran aises en partenariat avec une collec
59. tivit b ninoise au d veloppement local d un territoire donn Un sujet de concertation possible cet gard pourrait tre la formation n cessaire des futurs lus et cadres territoriaux l aussi les actions d j men es par la Maison des Collectivit s Locales et par d autres organismes doivent tre examin es en premier lieu Apr s une phase d essoufflement entre les deux Comit s de suivis de la VII Commission mixte franco b ninoise il s agit l de diff rentes possibilit s qui nous sont aujourd hui ouvertes pour approfondir le dialogue mutuel et pour parvenir des actions communes Leur r alisation d pend maintenant des acteurs d sireux de s engager dans cette d marche RESACOOP 33 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Noms des 5 f d rations d ONG b ninoises regroup es autour du CONGAB CONGAB Conseil des ONG en activit au B nin M Toussaint HONVOU Pr sident 06 BP 1156 Cotonou Tel 00 229 33 23 79 FENONG F d ration des ONG et assimil s du B nin Mme Lucie Pr sidente 01 BP 3352 Cotonou Tel 00 229 31 20 02 F d ration Nationale des Associations des Femmes au B nin Mme Koubourath Pr sidente BP 937 Cotonou Tel 00 229 31 48 07 CCD Coalition des ONG pour le D veloppement Durable M Venace DASSI Pr sident 03 BP 1162 Cotonou Tel 00 229 30 21 05 Fax 30 22 05 FOVAD Forum des Organisations Volontaires Africaines de D veloppement
60. ue Cotonou en f vrier 1997 4 Adresse utile Association Fran aise des Volontaires du Progr s Adresse postale 01 BP 344 recette principale Cotonou BENIN T l 229 30 06 21 T l copie 229 30 07 78 RESACOOP 47 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Annexe 6 Fiche Ressources Adresses utiles Ambassade de France au B nin Service de Coop ration et d Action Culturelle SCAC 01 BP 476 RP Cotonou B nin Standard 229 30 38 28 30 01 43 30 14 61 Fax 229 30 07 57 Education Formation Lecture Publique Culture Francophonie Mme V ronique BRUMEAUX Coop ration Financi re Economique et D veloppement rural M Bernard BRESSAT Service de Coop ration Institutionnelle Coop ration d centralis e R forme administrative S curit M Laurent BARBOT Coop ration Sanitaire et Sociale Communication et Transports ONG FSD Jeunesse et Sports M Lionnel VIGNACQ Agence fran aise de d veloppement Association Fran aise des Volontaires du Progr s 01 BP 344 Cotonou BENIN Standard 229 31 35 80 31 45 81 31 34 53 Fax 229 31 20 18 Afdcot leland bj RESACOOP 48 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 Forum des ONG internationales intervenant au B nin Un des r seaux existant au B nin est le Forum des ONG internationales C est un r seau d changes et de r flexion Il se r unit pour traiter des pr occupations communes li es leur participation au d veloppement au B
61. ui concerne le choix des actions de coop ration des demandes simples sont voqu es creusement de puits envoi d ouvrages etc derri re cette apparente simplicit plusieurs questions surgissent demande exprim e correspond elle une expression fid le des besoins r els de la population Par qui est exprim e cette demande l interlocuteur de l association ou de la collectivit fran aise est il repr sentatif des diff rentes couches de la population Il est donc n cessaire avant de s engager plus avant dans la r alisation d une action de s interroger finement sur un diagnostique de la situation et des besoins qu ils soient du domaine de la sant de l ducation de l hydraulique ou de l am nagement urbain Quels sont les diff rents groupes sociaux en pr sence demande exprim e correspond elle un besoin r el Par qui est elle formul e A qui va profiter en premier lieu l action envisag e Les participants ont galement soulign le fait que parfois la demande est disproportionn e avec les moyens disponibles sur place et en Rh ne Alpes Ce constat soul ve nouveau une s rie d interrogations et de recommandations Face une grande diversit de demandes le partenaire fran ais doit clairement exprimer au x partenaire s b ninois les moyens dont il dispose temps financements personnels afin d viter tout malentendu ou frustration dans la relation De son c t
62. ur en pleine expansion dans lequel la coop ration fran aise occupe une place pr pond rante au B nin Il concerne les projets suivants l appui au secteur de la justice la s curit publique police et gendarmerie l appui au processus de d centralisation l appui institutionnel au Minist re des Finances PAAFIE r forme administrative l appui aux m dias RESACOOP 42 R union B nin Lyon 30 janvier 2001 3 Les actions en direction de la soci t civile Elles concernent le monde agricole l entreprise ainsi que les associations de base organis es autour de petits projets collectifs caract re social et ayant un impact direct sur l am lioration des conditions de vie de la population Elles concernent les projets suivants professionnalisation agricole PPAB promotion du Cr dit Agricole Mutuel FECECAM l appui aux PMI PME le Fonds Social de D veloppement FSD Ce secteur utilise 30 environ des moyens du Fonds d Aide et de Coop ration PROCEDURES ET MECANISMES D INTERVENTION La Grande Commission Mixte franco b ninoise dont la 7 me dition s est d roul e les 3 et 4 f vrier 1997 a permis de remettre en perspective l ensemble de la coop ration et de d finir les nouvelles priorit s affich es ci dessus conformes aux orientations de la r forme du dispositif fran ais de coop ration elle a enfin associ les nouveaux acteurs du d veloppement que sont
63. ventions des Structures d appui R union B nin Lyon 30 janvier 2001 M E HINVI Ministre Conseiller l Ambassade du B nin Paris Z u Ambassade du B nin Le processus de d centralisation au B nin et ses cons quences sur la coop ration 1 Etat des lieux Les acteurs de la coop ration entre la r gion Rh ne Alpes et le B nin sont des collectivit s locales des associations des tablissements scolaires des entreprises des universit s etc Cette coop ration s est faite jusqu pr sent sur une base bilat rale sans aucune ing rence directe des autorit s centrales d s lors qu elle respecte la s curit la souverainet et l int grit territoriale du B nin Dans cette entreprise les interlocuteurs b ninois ont t jusqu ici pour la plupart des fonctionnaires plac s dans une situation de d pendance vis vis du pouvoir central qui exerce sur eux la pl nitude des pr rogatives en mati re de nomination de notation de sanction et de destitution Ce qui explique les difficult s administratives et les retards qu ont d subir certains projets car il est imp rieux pour ces responsables de s en r f rer l autorit hi rarchique soit le pr fet soit le Ministre de l Int rieur soit le Gouvernement avant de prendre des d cisions ou engagements La mise en uvre d une nouvelle r forme de l administration territoriale vise la lev e progressive des lourdeurs administratives dans la mesure

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