logements aux besoins des locataires
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1. CN j T Inauguration Gaztelu Berri Biriatou Le COL au service P A EN Ie d habitat et les b timents industriels repr sentent la moiti de la consommation nationale d nergie En construisant des r sidences plus performantes et en installant des quipements plus respectueux de l environnement le COL s engage pour pr server la fois la plan te et la facture nerg tique de ses locataires Le COL s engage construire des habitats durables c est dire des logements plus respectueux de l environnement plus conomes en ressources naturelles et moins nergivores La livraison en 2008 de la r sidence Landatxoa Urrugne puis la construction de son nouveau si ge social Anglet illustrent la volont du COL de s impliquer concr tement dans une d marche de d veloppement durable Projet pilote en mati re d coconstruction Landatxoa a par exemple fait appel un nouveau syst me constructif plus conome en eau plus efficace en mati re d isolation et plus performant sur le plan nerg tique La r sidence est construite sur le principe d une meilleure gestion des ressources Tout a t pens la position du soleil la lumi re l orientation des b timents le ruissellement des eaux etc Selon les pr visions du centre de recherche Noba ek associ au projet le lotissement devrait terme mettre deux fois moins de gaz effet de se2. Le COL actualit s magazine d informations ef Special Gestion Immobiliere p 2 Loi Molle adapter les logements aux besoins des locataires p 4 Le COL et l Etat vont signer une Convention d Utilit Sociale p 6 Br ves D part de Jean Caliot Enqu te de satisfaction T Le COL p 6 Cing gestes concrets pour r aliser des conomies au quotidien p 7 Le COL au service des conomies d nergie Vous tes d j chez vous p 8 Profession le service aux locataires p 8 Agenda Colette Schnurrenberger Pr sidente du COL Depuis pr s de soixante ans le COL innove en permanence pour concevoir des logements performants ef accessibles au plus grand nombre En mars 2006 il a ainsi livr son milli me logement locatif sur la r sidence P martia Arbonne Aujourd hui la construction d un nouveau si ge social en lieu et place de l ancien le long du BAB Anglet rel ve de la m me logique Associ s au centre d tudes Nobatek et aux architectes Philippe VALERO et Patrick SIERRA du cabinet AADI Anglet nous avons imagin un b timent extr mement novateur certifi Haute Qualit Environnementale qui pr figure une autre mani re de concevoir le logement social Le nouveau si ge du COL est une vitrine de notre savoir faire o nous avons mis en place des proc d s constructifs audacieux ef durables Construit sur deux niveaux le b timent est orient de
3. rons les soucis quotidiens ef essayons de tout faire pour am liorer la vie des locataires et les aider mieux vivre ensemble Kathy COELHO responsable du service locatif porte un regard attentif sur son quipe Ils exercent un m tier de terrain en relation directe avec les locataires et les entreprises intervenantes ce qui est la fois complexe et passionnant Directeur de la publication Colette SCHNURRENBERGER Directeur de la r daction Didier LASSABE Secr taire de la r daction Dominique TRANQUILLE Journaliste R dacteur Bruno FAY Comit de r daction Kathy COELHO Jean Pierre FAVIER Patrick LEBOEUF Sonia MARTIN DEL CAMPO Henri SOUHARCE Philippe SOULE Photos couverture si ge social du COL Photos DR LE COL Conception Exakis Studio Commission paritaire N en cours S Tirage 4000 exemplaires Impression ABERADERE Bayonne z
4. G n rale du COL qui a eu lieu le 10 juin dernier Jean CALIOT a officiellement quitt le Conseil d administration du COL D cision qu il a prise apr s plus de vingt neuf ans de mandat d administrateur dont douze ans de Pr sidence Il a en effet t nomm administrateur le 29 avril 1981 et lu Pr sident en septembre 1981 puis juillet 1989 Lors de l Assembl e Colette SCHNURRENBERGER l a remerci pour son engagement sans faille au service du COL Inauguration Sagardian Soroga na Larressore Cinq gestes concrets pour des conomies au quotidien La pr servation de l environnement d bute la maison par la mise en uvre au quotidien de nouvelles pratiques Tour d horizon 1 Couper les appareils en veille En veille ordinateurs t l viseurs etc continuent consommer de l lectricit Idem pour un t l phone portable en charge la nuit En les d branchant on peut r duire sa facture d lectricit de 10 2 Boire l eau du robinet C est un geste qui permet d conomiser de l argent le p trole utilis pour fabriquer les bouteilles plastiques et de r duire les missions de CO2 li es leur transpor 3 Se chauffer sans exc s Un degr de moins dans le logement repr sente 7 de consommation et une facture moindre L id al 19 C dans les pi ces vivre et 16 C dans les chambres quitte porter un pull en hiver 4 Fermer les robinets En
5. prix au m d fini par la convention sign e avec l Etat Le Conseil d administration du COL a fait le choix de ne pas remettre en ordre les loyers pour cette p riode de la CUS 2010 2016 a SE i s ie i Inauguration Condist guy Lahonce Loi DALO qu est ce que c est Depuis 2008 toute personne qui reste en attente d tre log e ou accueille dans une structure d h bergement peut saisir une commission de m diation institu e dans chaque d partement Ces demandeurs de logement qui n ont pas re u de proposition apr s un d lai anormalement long pourront saisir la commission Celle ci d signe les demandeurs prioritaires en tenant compte notamment des d marches pr c demment effectu es C est ce que l on appelle le Droit Au Logement Opposable DALO Il a t renforc par la loi de MObilisation pour le Logement et de Lutte contre l Exclusion compter de la d cision favorable de la commission de m diation le Pr fet dispose alors de trois mois pour proposer un logement ou de six semaines pour proposer une place dans une structure d h bergement A ce titre le COL a attribu cinq logements en 2008 un couple une personne seule avec enfants et trois c libataires et huit logements en 2009 deux personnes seules avec enfant et six c libataires D part de Jean CALIOT Jean CALIOT quitte le Conseil d administration du COL Lors de l Assembl e
6. BAB tandis que le second s occupe de l entretien des r sidences du COL eux trois ils ont la gestion de pr s de 1 300 logements r partis sur les Landes et les Pyr n es A lantiques Je passe beaucoup de temps sur les routes des deux d partements reconna t Didier PULIDO qui contr le chaque r sidence au moins une fois par mois Ses missions v rifier l tat du patrimoine contr ler les parties communes la s curit le bon fonctionnement du r seau lectrique etc C est pour cela que je disoose dans mon camion de tous les outils n cessaires pour les petits travaux d entretien ooursuit il Hormis les travaux de plomberie et les gros soucis d lectricit il essaie de r parer lui m me le maximum de choses une ampoule grill e une menuiserie d fectueuse etc Mes visites sont aussi l occasion de m assurer de la qualit des prestations comme l entretien des espaces verts o le m nage Quelquefois Didier PULIDO accompagne galement les locataires pour faire un tat des lieux Un moment fort Il m est arriv de voir des locataires pleurer de joie en entrant dans leur nouvel appartement Laurent P CASTAING en charge des locataires et plus g n ralement de l entretien du parc locatif insiste lui aussi sur la qualit des relations avec les locataires Nous avons souvent un r le de m diation et de p dagogie en rappelant les droits et devoirs de chacun Nous g
7. blige le COL leur demander de quitter le logement D une certaine mani re ce serait un bon signe pour nos locataires en surloyer puisque cela signifierait que leur situation conomique s est ET durablement AEA am lior e 4 Cependant que devient la mixit sociale DA Kathy COELHO LeCOLet l tat vont signer Chaque loi introduit son lot de nouveaut s La derni re en date la loi de MObilisation pour le Logement et de Lutte contre l Exclusion rend d sormais obligatoire pour une dur e de six ans la signature de Conventions d Utilit Sociale entre l tat et les organismes sociaux Chaque Convention d Utilit Sociale est unique Elle est labor e par les organismes eux m mes qui d finissent en quelque sorte leur feuille de route pour six ans Le document comporte un tat des lieux de l activit patrimoniale sociale et de la qualit de service les orientations strat giques et un programme d actions En d autres termes l tat demande aux orga nismes d Him de rendre des comptes et de d finir une strat gie avec des objectifs concrets de mani re adapter au mieux l offre de logements la demande La convention comprend ainsi une analyse du parc de logements existants selon sa qualit son attractivit et son positionnement sur les march s locaux de l habitat et d finit l volution moyen et long termes des diff rentes composantes de ce parc ainsi q
8. cas de relogement le locataire b n ficie d un loyer inf rieur Une question de bon sens tr s pr cis ment encadr e par la loi visant am liorer la rotation des logements tout en pr servant les int r ts du locataire quelles que soient ses ressources En cas de sous occupation du logement le bailleur est en effet tenu de proposer au locataire Un nouveau logement correspondant ses besoins un loyer au moins gal celui du logement d origine ef aussi de prendre en charge les frais li s au d m nagement Le locataire est d chu de ses droits en cas de Gaztelu Berri Biriat u aux besoins des locataires refus trois propositions successives du bailleur Seuls les locataires g s de plus de soixante cinq ans et les locataires pr sentant un handicap ou ayant leur charge une personne handicap e chappent cette nouvelle r gle C est un dispositif gagnant pour tout le monde analyse Didier LASSABE Pour le locataire dont les besoins ont volu et qui se verra proposer un logement moins cher pour la famille en attente d un logement qui se verra enfin proposer un appartement qui correspond ses attentes et pour l organisme social qui pourra metfre plus de logements la disposition des personnes en ayant le plus besoin Dans le m me esprit afin de donner la priorit aux personnes les plus modestes la loi abaisse de pr s de 10 les plafonds de ressources pour l at
9. erritoriaux Le COL ne peut d cider seul du nombre de logements qui pourront tre Le premier change de logements au COL Le COL a enregistr en novembre dernier le premier change volontaire de logements En effet deux locataires de la r sidence Berpiztea Ahetze ont sollicit le COL pour proc der un change de leurs appartements respectifs s agissait d un c t d une femme seule vivant dans un T4 de 73 m pour un loyer de 477 et d un autre c t d une femme avec trois enfants occupant un T3 de 63 m pour un loyer de 346 l une et l autre ont donc souhait intervertir leur logement et sollicit le COL pour proc der l change Au bout du compte la satisfaction est double la femme et ses trois enfants ont obtenu un logement plus grand et mieux adapt leurs attentes tandis que la personne seule occupe d sormais un appartement un peu plus petit certes mais pour un loyer inf rieur de 27 celui qu elle payait pr c demment De quoi donner des id es d autres locataires Les personnes int ress es par une mutation de ce type sont invit es contacter le COL Le COL choisit de ne pas remettre en ordre les loyers La Convention d Utilit Sociale autorise l organisme social signataire une remise en ordre des loyers en fonction de crit res choisis comme la qualit urbaine la qualit du produit la qualit sociale etc ef non plus en fonction d un
10. les EPCI pour la convention Dans le fond l int r t de la convention r side autant LE J J r mis en service chaque ann e pendant six ans I ne peut pr sager seul des besoins du Pays basque en mati re de logements ni conna tre l avance la situation du march immobilier d ici 2016 Ce travail se fait en partenariat avec les collectivit s locales et les acteurs du logement dons le d partement Les conventions doivent tre labor es avec d autant plus de soin que les objectifs et indicateurs de r sultats qu elles comportent sont assortis de la possibilit de sanction de la part de l tat La loi indique Si au cours de la dur e de la convention le repr sentant de l tat signataire de la convention constate que l organisme n a pos respect les engagements d finis par la convention il le met en demeure de pr senter ses observations et le cas ch ant de faire des propositions permettant de rem dier aux manquements constat s dans un d lai d un mois Si cet examen de la situation de l organisme d montre que celui ci a gravement manqu de son fait ses engagements le repr sentant de l tat propose au Ministre charg du logement de prononcer une p nalit son encontre Dura lex sed lex x Fu EE dans les objectifs qu elle fixe 4 PA i que dans le travail r alis en amont entre l organisme social et les collectivit s locales autour des enjeux t
11. mani re optimiser les apports de lumi re et viter autant que possible les variations de chaleur en suivant les cycles au soleil Le b timent est exemplaire notamment du fait de l utilisation de mat riaux forte inertie comme les briques monomur qui associ es une structure m tallique l g re permettant de mettre en place un syst me d isolation par l ext rieur limitent au maximum les d perditions de chaleur En un mot tout a t con u de mani re concilier la fois le confort des utilisateurs la recherche des meilleures Le COL Vous tes d j chez vous Loi Molle adapter les logements La loi de MObilisation pour le Logement et la Lutte contre l Exclusion publi e au Journal Officiel le 25 mars 2009 dite loi Molle ou loi BOUTIN vise adapter les mesures existantes sur le logement Tous les secteurs sont concern s le parc public comme le parc priv Plusieurs mesures concernent plus pr cis ment le quotidien des locataires du COL sur la sous occupation des logements le d passement des plafonds de ressources le suppl ment de loyer de solidarit et les plafonds de ressources Explication de textes Les lois sur le logement sont en g n ral aussi difficiles d crypter qu un message en pachtoun ou le mode d emploi d un lecteur mp3 fabriqu Ta wan En revanche les cons quences sur la vie quotidienne des locataires et des pro
12. oir d achat durable Landatxoa Urrugne Inauguration Landatxoa Le Lanne Boucau Les Platanes Saubion Vous tes d j chez vous Profession JA Se Pascal LE DUFF Laurent P CASTAING et Didier PULIDO sont un peu les trois mousquetaires du COL Rattach s au service locatif chapeaut s par Kathy COELHO ils sont l interface indispensable entre les locataires le COL et les diff rents prestataires Recrut en d cembre 2009 sur un poste de charg de patrimoine Pascal LE DUFF est le petit dernier du service locatif Quinze ann es d exp rience dans la construction lui ont permis de rejoindre une quipe d j bien soud e et rod e aux relations avec les locataires J assume un poste que je recherchais depuis toujours explique t il je m occupe du bon fonctionnement des r sidences de leur entretien au quotidien et de gros travaux comme le ravalement d une fa ade ou le changement d une chaudi re Mais ce qui me pla t le plus dans ce m tier c est l aspect relationnel Un sentiment que partagent galement ses deux coll gues Laurent PECASTAING et Didier PULIDO qui soulignent la richesse du contact avec les locataires Le COL 73 rue de Lamouly B P 133 64601 Anglet Cedex Email infos le col com site www le col com Standard 05 59 5232 15 Fax 05 59 5256 60 Le premier est charg de client le sur les Landes et l agglom ration du
13. pri taires sont on ne peut plus concr tes La loi de MObilisation pour le Logement et la Lutte contre l Exclusion qui entre progressivement en vigueur ne fait pas exception la r gle D s 2010 certaines mesures ont un impact direct sur le fonctionnement du COL et la vie de ses locataires l ambition de la loi d fendue par Christine BOUTIN est tr s claire lib rer l offre de logements et r tablir le bon fonctionnement de la cha ne du logement Pour parvenir cet objectif le texte met notamment l accent sur la mobilit au sein du parc locatif social et insiste sur la n cessit d adapter l attribution des logements en fonction de l volution des besoins des locataires Pour ne prendre qu un exemple autant l attribution d un grand appartement de quatre pi ces est l origine l gitime pour loger une famille de quatre personnes autant il para t pertinent de s interroger sur l ad quation de ce m me logement lorsque les enfants grandissent ef quittent le foyer Il ne s agit videmment pas de demander alors aux parents de quitter le parc social mais plut t de leur proposer un autre logement mieux adapt leurs attentes l appartement lib r tant r attribu une autre famille qui en a vraiment besoin Nous avons plus de 4 000 dossiers en attente explique Didier LASSABE Directeur du COL En favorisant la mobilit nous permettons ainsi plus de personnes de se loger En
14. rre que n importe quel autre b timent et permettre des conomies d nergie pour les habitants La r sidence Landatxoa se veut d sormais une source d inspiration pour les futures r sidences Dans les logements les plus r cents cela passe par la pose de r ducteurs de pression sur les robinets l installation de chaudi res condensation une meilleure optimisation des ouvertures en fonction de l exposition du logement et plus largement par la conception de logements BBC B timent Basse Consommation La d marche initi e par le COL s applique galement sur le patrimoine existant m me si celui ci est nerg tiquement bien class au sens de la loi GRENELLE Le COL se soucie d am liorer le quotidien de ses locataires Dans les parties communes les ampoules incandescence sont remplac es par des ampoules basse consommation de nouvelles chaudi res plus respectueuses de l environnement sont mises en place Pour conomiser les nergies le COL pr conise ses locataires de s quiper d ampoules conomiques d ufiliser le thermostat d ambiance pour r guler au mieux le chauffage au goz de pratiquer le tri s lectif dans les points 1 de collecte install s cet effet ou d faut leur communique les coordonn es de la d chetterie la plus proche Le d veloppement durable est une source in puisable d conomies d nergie et un pr cieux levier pour un pouv
15. se lavant les dents en prenant une douche ou en faisant la vaisselle Le d bit moyen d un robinet est de 12 litres mn Une personne qui laisse le robinet ouvert en se brossant les gencives gaspille environ 10 000 litres par an 5 Trier ses d chets Nous produisons chaque ann e environ deux milliards de tonnes d ordures m nag res Le tri s lectif est un devoir citoyen Les d chets sont incin r s B arn ou enterr s Pays Basque En les triant ou en compostant on pr serve l air la terre et la facture li e leur traitement Une enqu te de satisfaction Lors de la derni re enqu te de satisfaction 2007 le COL a interrog tous les locataires de son patrimoine 46 d entre eux ont r pondu au questionnaire Les r sultats analys s par une soci t ext rieure TMO sont assez positifs 67 des personnes interrog es soulignent un bon niveau de satisfaction par rapport au service rendu par le COL 71 affichent un tr s bon niveau de satisfaction en ce qui concerne le cadre de vie et le quartier et 73 sur le logement Sur l environnement les am nagements ext rieurs et le traitement des demandes de r clamations ils sont entre 57 et 59 estimer que le niveau est correct Le COL renoue cette ann e avec une nouvelle enqu te de satisfaction laquelle tous les locataires sont invit s r pondre leur avis permettant de mieux conna tre leurs attentes a
16. tribution des logements locatifs PLUS et r forme galement les r gles en vigueur pour les locataires dont les ressources se sont am lior es jusqu d passer les plafonds autoris s Cf interview de Kathy COELHO La loi encadre le sur En charge du service locatif du COL Kathy COELHO explique le fonctionnement du dispositif de suppl ment de loyer de solidarit appel aussi surloyer l article 62 de la loi introduit un nouveau plafonnement du suppl ment de loyer de solidarit Le principe est simple lorsque les revenus qu locataire d passent 20 des plafonds de ressources le bailleur est tenu d appliquer une augmentation qu loyer proportionnelle l augmentation des revenus qu locataire On parle commun ment de surloyer En fait cette r gle a toujours exist Mais c est le l gislateur qui d finit d sormais le seuil partir duquel un locataire est consid r en situation de surloyer alors que cette d cision relevait auparavant de l appr ciation du Conseil d administration LU CES Ce QU VO CrTi e Nous sommes maintenant tenus d appliquer la loi Depuis le 1er janvier 2010 les locataires dont les revenus d passent de 20 le plafond de ressources sont ainsi automatiquement soumis qu suppl ment de loyer de solidarit Cette ann e une dizaine de nos locataires sont concern s par cette mesure Et si cette situation perdure pendant trois ann es cons cutives la loi o
17. ue les choix d inves tissement et de gestion qui en r sultent Pour ce faire la Convention d Ufilit Sociale s appuie sur un certain nombre d indicateurs tr s pr cis en forme d inventaire la Pr vert nombre de logements locatifs nombre de places nouvelles d h bergement et de logements adapt s taux de r alisation des diagnostics de performance nerg tique pourcentage de logements r nov s pourcentage de logements occup s par des m nages dont les ressources n exc dent pas 60 des plafonds nombre de plans d apurement amiables bon fonctionnement des ascenseurs et des chaudi res collectives etc Le travail du COL pass La loupe Une trentaine d indicateurs passent ainsi au crible les activit s de chaque organisme social qui doit non seulement tablir un diagnostic d taill de la situation actuelle mais aussi se projeter d ici 2016 en s engageant sur des objectifs chiffr s l laboration de ce document constitue donc un v ritable travail de b n dictin auquel le COL n chappe pas Ses services sont actuellement mobilis s temps plein pour t cher de r pondre avec le plus d honn tet possible la demande de l tat et pr senter tr s prochainement un projet de convention qui sera soumis la signature du Pr fet de R gion Une d marche est galement engag e vis vis des associations de locataires pour le classement du patrimoine et des collectivit s territoria
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