La Sem, un outil adapté à la gestion du tourisme et des loisirs
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1. r ception de l ouvrage La SEML doit exercer personnellementles attributions qui lui sont confi es par la collectivit Elle ne peut en aucun cas subd l guer un tiers la facult d agir au nom et pour le compte de la collectivit mandante Une collectivit locale qui souhaite confier un mandat de ma trise d ouvrage doit imp rativement passer avec le mandataire la SEML une convention comportant les mentions pr cis es l article 5 de la loi MOP C 1 4 Les conventions de mandat dans le cadre de l article R 321 20 du code de l urbanisme L Etat les collectivit s locales etles tablissements publics peuvent par convention pass e avec une SEML lui confier le soin de proc deren leur nom et pour leur compte la r alisation d tudes des acquisitions fonci res l ex cution de travaux et la construction d ouvrages ou de b timents de toute nature La convention de mandat d termine les conditions techniques administratives et financi res de la r alisation des travaux les conditions dans lesquelles le mandantexercera un contr le technique des travaux le cas ch ant les conditions dans lesquelles le mandant mettra la disposition de la SEML les fonds n cessaires ou proc dera au remboursementdes d penses expos es par la SEML Dans ce demier cas la convention pr cise s il y a lieu les garanties exig es Enfin la convention peut ventuellement habiliter la SEML solliciter et ape2. DE CAS n 3 Centre national de la Mer NAUSICAA Adresse BOULEVARD SAINTE BEUVE 62200 BOULOGNE SUR MER Directeur G n ral Philippe VALETTE Capital 295 KF Augmentation de capital en cours Principaux actionnaires VILLE DE BOULOGNE SUR MER COMMUNAUTE D AGGLOMERATION CCI OFFICE DE TOURISME SA COMMUNAUTE BOULONNAISE DE DISTRIBUTION SA CONTE SA PXO EUROPEAN FERRIES PERSONNES PHYSIQUES Investissement Ville de Boulogne Ma tre d ouvrage d l gu SEPAC 160 MF 1991 FEDER 70 Etat 18 R gion 25 5 D partement 13 5 IFREMER 8 CCI 4 VILLE 15 DIVERS 6 87 MF 1998 FEDER 25 Etat 9 R gion 9 D partement 11 District 10 SEM NAUSICAA 11 Exploitation SEM NAUSICAA Contrat d affermage 750 000 visiteurs an Chiffre d affaires 50 MF NAUSICAA finance en partie son extension gr ce une situation devenue b n ficiaire depuis 1994 p 21 FICHE DE CAS n 4 Centre aqualudique bas sur l usage des eaux thermales ROYATONIC SEM en cours de constitution l initiative des villes de Royat et Chamali res 63 Contact Mr POUGET Secr taire G n ral Mairie de Royat Capital pr vu minimum 1 5 MF Principaux actionnaires Tour de table en cours Investissement Ma tre d ouvrage d l gu e SEM en cours de constitution 45 MF 1991 FEDER FNADT R gion Exploitation Elle sera confi e un gestionnaire d sign la s
3. DEVELOPPEMENT Extension 80 MF 2000 2001 Syndicat mixte fonds propres 12 MF Empruntis 40 MF Garanties d usage 210 contrats d une souscription moyenne de 155 KF sur 15 25 ans redevance annuelle Exploitation SAGEMOR Contrat d affermage Avantage de cette commercialisation par souscription de garantie d usage garantie d une client le longue dur e exigence de qualit de service __ autofinancement direct conomie sur les co ts financiers estim e 18 MF prestation vendue un co t sup rieur la redevance annuelle 6 11 FICHE DE CAS n 2 CITE DE L ESPACE SEMECCEL Adresse CITE DE L ESPACE AVENUE JEAN GONORD BP 5855 31506 TOULOUSE CEDEX 5 T l 05 62 71 64 80 Directeur G n ral Bernard BUREL Capital 8 1 MF Principaux actionnaires REGION MIDHPYRENEES VILLE DE TOULOUSE CNES METEO France AEROSPATIALE MATRA ASTRIUM CAISSE D EPARGNE MID PYRENEES CDC CLF Investissement Ville de TOULOUSE Ma tre d ouvrage d l gu SETOMIP 133 MF 1997 Ville r gion 18 CNES 15 Etat 14 METEO France 4 Industries de l Espace et de la communication 14 5 D partement Europe Exploitation SEMECCEL Contrat d affermage 3 20 000 visiteurs an Chiffre d affaires 29 MF A noter de nombreux partenaires scientifiques techniques et de communication qui r v lent une r elle emprise du projet sur la vie conomique r gionale p 20 FICHE
4. assur e par les r sultats de l exploitation doit tre consid r comme un march public C E 15 avril 1996 Pr fet des Bouches du Rh ne Un arr t du CE 30 06 1999 SMITOM Centre Ouest seine etmamais estvenu pr ciser que 30 de recettes issues des r sultats d exploitation suffisent pour permettre de consid rer qu il s agit d une d l gation de service public eLa proc dure de choix du d l gataire Les d l gations de service public d un faible montant si le montantn exc de pas 700 000 F pour toute la dur e de la convention ou si la dur e de la convention estinf rieure 3 ans etque son montant n exc de pas 450 000F par an sont soumises aune simple obligation de publicit pr alable d cret du 1er mars 1995 Pour tous les autres contrats de d l gation de service public les principales tapes de la proc dure de choix du d l gataire sont les suivantes d lib ration pr alable de la collectivit sur le principe de la d l gation publicit insertion la fois dans un journa Id annonces l gales et dans un journal sp cialis tablissement par la collectivit de la liste des candidats admis pr senter une offre envoi chacun des candidats retenus d un document d finissant les caract ristiques des prestations foumi r ouverture des plis par une Commission dontla composition est fix e par l article 43 de la loi Sapin qui metun avis et tablit un rapport sur la liste des
5. entreprises admises pr senter une offre saisine de l organe d lib rant de la collectivit du choix de l entreprise fait par l ex cutif apr s une libre n gociation L organe d lib rant doit attendre deux mois au moins compter de cette saisine pour se prononcer sur le choix du d l gataire La dur e du contrat et son ventuelle prolongation Tous les contrats de d l gation de service public sontlimit s dans leur dur e Lorsque les installations sont la charge du d l gataire la dur e ne peut pas exc der la dur e de l amortissement des biens Au terme de la convention la collectivit doit proc der une nouvelle mise en comp tition dans les conditions ci dessus d finies La prolongation de la convention qui doitse faire par avenant et apr s vote de l organe d lib rant n est possible que dans des cas particuliers pour des motifs d int r t g n ral la prolongation ne peut alors pas exc der un an ou lorsque le d l gataire est contraint de r aliser la demande du d l gant des investissements mat riels non pr vus au contratinitial etne pouvant pas tre amortis sur la dur e de la convention restant ouvir sans hausse des prix manifestement excessive eLa pratique des droits d entr e Les contrats ne doivent pas contenir de clause par laquelle le d l gataire prend sa charge l ex cution de services trangers l o bjet de la d l gation Les droits d entr e doivent ainsi tre justifi s
6. MMUNE DE SAINT CHAFFREY COMMUNE DE BRIANCON SAUR CDC ENTREPRISES LOCALES Investissement Ma tre d ouvrage SERRE CHEVALIER SKI D veloppement 28 MF 2000 Communes du Brian onnais fonds propres 5 6 Emprunts 22 400 Exploitation Gestionnaire SEM SERRE CHEVALIER SKI d veloppement contrat de concession Chiffre d Affaires 92 000 KF p 28
7. PRIVEES Investissement SEMITOUR 1 4 MF 1999 SEMITOUR R gion d Aquitaine 0 13 D partement de la Dordogne 0 22 Exploitation SEMITOUR Contrat de concession Chiffre d affaire 250 KF plus les retomb es induites sur l ensemble de la base de loisirs qui r alise un Chiffre d Affaires global de 2 5 MF p 24 FICHE DE CAS n 7 SEM du Grand h tel de la Mer CROZON 29 Adresse CONSEIL GENERAL DU FINISTERE 32 BOULEVARD DUPLEIX 29200 QUIMPER T l 02 98 76 21 30 Directeur Christophe CAILLIAU Capital 10 9 MF Principaux actionnaires DEPARTEMENT DU FINISTERE VILLE DE CROZON CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE MUT FINISTERE CCI DE BREST CMB CREDIT MARITIME SAFI SCET VVF Investissement Ma tre d ouvrage SEM GRAND HOTEL DE LA MER Ma tre d ouvrage d l gu SAFI 23 MF 1993 SEM D partement 13 Ville de Crozon 1 Exploitation Contrat touring h tel 23 000 nuit es an Chiffre d affaires 1 133 KF El ment structurant pour le d veloppement de la station baln aire implantation r sidence Pierre et vacances p 25 FICHE DE CAS n8 Am nagement de la Pointe Saint Mathieu 29 SAFI Adresse 11 RUE THEODORE LE HARS 29000 QUIMPER T l 02 98 76 21 30 Directeur Christophe CAILLIAU Capital 3 MF Principaux actionnaires DEPARTEMENT DU FINISTERE COMMUNAUTES DE COMMUNES DU FINISTERE CDC CCI SCET BANQUES Investissement Ma tre d ou
8. adapt e la gestion du tourisme et des Loisirs Les Collectivit s poss dent souvent un patrimoine qu il s agit de valoriser par un mode de gestion commerciale Les investissements dans ce domaine sontsouventlourds etr p t s il faut une lisibilit dans la strat gie d investissement et donc d amortissement La rentabilit attendue est souvent sur le long terme elle et majoritaire induite sur l ensemble de l conomie d un territoire Le graphique suivant symbolise les degr s de motivation respective des acteurs priv s et des acteurs publics lorqu ils s impliquent dans un projet La recherche d un partenariat efficace consiste aprendre en compte ces motivations d s l origine du projet dans ce qui constituera le pacte d actionnaires Les logiques d intervention Logique priv e 1 Produits financiers sur pr ts 2 Dividendes plus value d fiscalisation sur invest en fonds propres 3 _ R sultat sur exploitation 4 Impact fluxtouristiques 5 Equipement structurant Image 6 Impact social emplois qualit de vie Logique publique B Pour qui les SEML peuvent elles intervenir B1 Les interventions pour le compte de collectivit s locales actionnaires Les rapports entre la Sem etla collectivit locale actionnaire doivent tre formalis s par la signature d une convention comportantles mentions obligatoires suivantes l objet du contrat sa dur e ainsi que les conditions de son renou
9. ales et par la loi du 24 juillet 1966 surles soci t s commerciales qui les soumet aux r gles du droit priv L essor des Sem depuis 1983 dans le sillage de la d centralisation r sulte du pragmatisme des lus locaux dans le choix des outils les plus efficaces etles plus s rs Les Sem sont aujourd hui 1 300 etemploient 60 000 salari s Par rapport aune entreprise priv e une Sem garantit a ux collectivit s locales majoritaires dans son capital et dans ses organes d lib rants la prise en compte effective de l int r t g n ral dans les objectifs de l entreprise et le contr le direct qu elle exerce la fois comme actionnaire et comme cocont ractante travers les obligations de communication fix es aux Sem par le droit des soci t s et par le droit public sur la mise en vre des projets et la situation financi re de la soci t Par rapport un tablissement public une Sem donne aux collectivit s locales avec le concours des partenaires conomiques et financiers qu elles ont choisis la pleine et enti re ma trise de leuroutl Par ailleurs la forme de soci t anonyme apporte par comparaison avec la rigidit et la lourdeur des proc dures de cr ation etde fonctionnement d un tablissement public la souplesse du droit priv comptabilit commerciale gestion dynamique du recrutement et des carri res rapidit des circuits de d cision En outre la logique d entreprise donne la Sem ce qui manque l ta
10. anc s sans augmentation excessive des tarifs Bail emphyt otique de l art 13 de la loi du 5 janvier 1958 lorsque apr s la p riode de r glementation des prix la suppression de toute prise en charge par le budget de la collectivit aurait pour cons quence une hausse excessive des tarifs produire chaque ann e avant le 1 juin la collectivit un rapport comportant notamment les comptes des op rations relatives la d l gation ainsi qu une analyse de la qualit du service loi Sapin Ces comptes sontsusceptibles d tre v rifi s par les chambres r gionales des comptes Quelles sont les incidences de la loi Sapin Les contrats soumis la loi Sapin L attribution d un contrat de d l gation de service public doitrespecter une proc dure de publicit et de mise en concurrence pr vue par la loi Sapin dans ses articles 38 47 articles L 1411 1 et suivants du CFCT Avant de mettre en vre la proc dure pr vue par la loi Sapin il s agit de s assurer que le contrat constitue bien une d l gation de service public et qu il ne s agit pas d une prestation de service soumise au code des march s publics Au vu de la jurisprudence du Conseil d Etat l existence d une r mun ration li e aux r sultats de l exploitation est une condition de l existence d une d l gation de service public En revanche tout contrat dans lequel la r mun ration du cocontractantde l administration n est pas substantiellement
11. blissement public la r activit indispensable pour satisfaire les attentes de ses clients dans les meilleures conditions de qualit et de prix Enfin une Sem conf re la collectivit locale la capacit d appr cier la v rit des co ts et des risques li s aux investissements ou aux services publics dont elle a la charge Associations et Sem sont souvent r unies sous le vocable de satellites des collectivit s locales Or les sp cificit s d une Sem la distinguent tous gards d une association r gie par la loi de 1901 Par rapport aune association une Sem donne la collectivit locale l assuranc e d un contr le r el portant la fois sur les comptes de l entreprise etsur l ex cution des missions qu elle lui a confi es ainsi que la protection de son int r t d actionnaire garantie par le droit des soci t s D s lors que les activit s rel vent d une logique conomique et commerciale le statut associatif appara t comme inadapt eu gard dilution des responsabilit s et l insuffisance des contr les internes et externes dont la cons quence est la difficult d appr cier les risques et les flux financiers Enfin responsable titre personnel s il si ge au conseil d administration d une association un lu administrateur de Sem b n ficie de la protection de la loi qui transf re sa responsabilit civile la collectivit dont il estle mandataire PARTENARIAT L conomie mixte est particuli rement
12. e la zone mettre en tat les sols et le cas ch ant les lib rer de leurs occupants r aliser les quipements d infrastructure n cessaires la viabilisation de la zone promouvoir la vente des terrains d une mani re plus large concourir la r alisation d actions d accompagnement et d op rations sans ma trise du patrimoine b ti ou non b ti L 300 4 1 nouveau du Code de l urbanisme Quelle est la formalisation contractuelle de la convention publique d am nagement Elle doit comporter les mentions obligatoires exig es par l article L 300 4 1 nouveau du Code de l urbanisme pour toutes les conventions sauf prestations de service pass es entre une SEML etune collectivit cf les interventions pour le compte de collectivit s locales actionnaires pr ciser peine de nullit les modalit s du contr le technique financier et comptable exerc par la collectivit article L1523 3 du CGCT A cet effet la SEML doit donc tablir chaque ann e d un compte rendu financier CRAC comprenant en annexe le bilan pr visionnel actualis des activit s etle plan de tr sorerie faisant appara tre l ch ancier des recettes etdes d penses tenir les comptes la disposition de la collectivit La collectivit quant aelle doit verser les participations ou avances pr vues dans le contrat Ancien article 5 II de la loi du 7 juillet 1983 p 7 peut garantir le remboursement des empru
13. e 700 000F tre pass en respectant les principes de publicit et de mise en concurrence pr vus par le code des march s publics dans les conditions fix es par le d cret n 93 584 du 26 mars 1993 p 5 C Comment les SEML peuvent elles intervenir Les SEML peuventintervenir dans le cadre d op rations conventionn es ou non C1 Les principales op rations conventionn es Les principales op rations conventionn es sont les conventions publiques d am nagement les conventions de d l gation de service public etles conventions de mandat Il s agit d op rations pour lesquelles la SEML est l outil de la collectivit Les relations entre la SEML et la collectivit r sultent de l application de dispositions l gislatives et r glementaires sp cifiques Certains contrats peuvent tre conclus intuitu personae il s agit des conventions de mandat et des conventions ou des concessions d am nagement La collectivit retient alors la SEML sans proc dure de mise en concurrence En revanche lorsque la collectivit souhaite passer un contrat de d l gation de service public avec une SEML elle ne peut la retenir qu apr s avoir respect la proc dure sp cifique de publicit permettant la pr sentation de plusieurs offres concurrentes article L 1411 1 du CGCT C 1 1 Les conventions publiques d am nagement Qu est ce qu une convention publique d am nagement anciennement concession d am nagement Les c
14. ectivit C E 25 f vrier 1994 Sofap n 144 641 et145 406 Le bail emphyt otique lorsqu il est associ avec une convention d exploitation non d tachable et de m me dur e contrat par lequel une collectivit confie aune entreprise la SEML l ex cution d un servic e public est consid r comme un mode de gestion d un service public il permet l entreprise d exploiter l quipement difi sur les terrains pris bail La collectivit lui verse une r mun ration pour la gestion du service Quelles sont les diff rentes obligations des parties Les obligations communes au d l gataire et au d l gant respecter les clauses du contrat notamment en mati re de r siliation respecter les r gles li es au fonctionnement du service public continuit du service adaptabilit aux besoins galit des usagers Les obligations du d l gataire la SEML quilibrer les recettes etles d penses du service article L 2224 1 du CGCT lorsqu il s agit d un service public caract re industriel et commercial Les communes ne sont pas autoris es aprendre en charge des d penses au titre de ces services publics sauf dans l un des trois cas pr vus par la loi article L 2224 2 du CGCT lorsque les exigences du service conduisent la collectivit imposer des con traintes particuli res de fonctionnement lorsque le fonctionnement du service exige la r alisation d investissements qui ne peuvent tre fin
15. fnsem Les set urnes Jee voe wea La Sem un outil adapt la gestion du tourisme et des loisirs article r dig par le secteur services de la Fnsem pour les Cahiers Espaces n 69 de mars 2001 sur Les financements du tourisme A Les particularit s des Sem B P our qui les Sem peuvent elles intervenir C Comment les Sem peuvent elles intervenir D L tude financi re E 10 fiches de cas Portde Plaisance Palais des congr s Parc th me Equipement de loisir SEM d am nagement Remont es M caniques extraits de l ouvrage Sem mode d emploi dit par le Fnsem Secteur services de la FNSEM Responsable ean Michel Geneteau Assistante charg e du suivi des projets de cr ations de Sem Laurence N gre 11 rue StGeorges 75009 Paris T l 01 53 32 22 00 Fax 01 53 32 22 23 email j m geneteau fnsem asso fr l negre insem asso fr ESPACES 8 rue Cels 75014 Paris T l librairie 33 1 43 27 55 90 Fax 33 1 43 22 92 60 http J revue espaces com LES PARTICULARITES DES SEM Les Sem locales sont des soci t s anonymes associant dans leur capital des collectivit s locales majoritaires communes d partements r gions ou leurs groupements et des partenaires conomiques et financiers Elles sontr gies par la loi du 7 juillet 1983 depuis codifi e au code g n ral des collectivit s territoriales qui permet de les d finir comme des entreprises des collectivit s loc
16. mencer l activit en sachant l avance que dans les tout prochains mois il risque d y avoir une grave crise de tr sorerie et que l on n aura pas les moyens d y rem dier La plupart des disparitions d entreprise nouvelle intervenant la premi re ann e sont le fait de probl me de tr sorerie D4 Il faudra donc peut tre pr voir des cr dits bancaires de fonctionnement et tenir compte de leur co t dans le compte de r sultat PLAN DE FINANCEMENT A 3 ANS Une bonne structure financi re est un gage de p rennit pour la nouvelle entreprise qui pourra faire face des al as retard dans la mont e en puissance du chiffre d affaires impay s etc d autant mieux qu elle aura des ressources financi res stables en r serve pour cela De mani re pr voir l volution de la structure financi re de l entreprise il sera n cessaire d laborer sur le m me principe que le plan de financement initial un tableau projetant la fin de chacune des trois premi res ann es l volution des besoins financiers durables et celle des ressources financi res stables Pour l ann e 1 il suffira de reprendre le contenu du plan de financement initial en y incorporant les l ments nouveaux survenus au cours de l exercice notamment les ressources propres nouvelles g n r es par l activit la capacit d autofinancement Pour les ann es 2 et 3 il ne faudra prendre en compte que les seuls l ments nouveaux apparus dans les besoins ou ressou
17. n Le r gisseur etle g rantnassument pas le risque du service En revanche ils s engagent en g n ral sur les charges L affermage estun contrat par lequel le fermier la SEML assume l exploitation du service en se r mun rant sur l usager le tarif estfix par la collectivit les ouvrages tant mis sa disposition par la collectivit moyennant le paiement d une redevance Le fermier assume le risque d exploitation La concession de service public est un contrat par lequel le concessionnaire la SEML est charg e de r aliser et d exploiter un service public en se r mun rant sur l usager le tarif est fix par la collectivit Le concessionnaire assume le risque d investissement et le risque d exploitation Le bail emphyt otique estun bail d une dur e comprise entre 18 et 99 ans par lequel le bailleur la collectivit locale consent au preneur la SEML un droit r el immobilier sur un bien de son domaine public ou priv qui conf re notamment au preneur un usage et une jouissance moyennant une redevance annuelle vers e au bailleur Ces baux ne peuvent tre conclus qu en vue soit de l accomplissement pour la collectivit d une mission de service public article 13 de la loi du 5 janvier 1988 soit pour la r alisation d une op ration d int r t g n ral relevant de sa comp tence article13 de la loi du 5 janvier 1988 Soit pour la r alisation d un ouvrage mis disposition de la coll
18. n un plan comptable pourra servir de checkdist valuer la dotation aux amortissements pour les investissements achet s et bien s r amortissables calculer galement les charges financi res induites par le financement externe qui a t d termin pour quilibrer le plan de financement initial inscrire le chiffre d affaires et ventuellement les autres produits financiers ou exceptionnels Tous les montants sont porter pour leur montant hors taxes sauf en cas de non assujettissement la TVA Il est possible que la situation de tr sorerie au cours des premiers mois n cessite le recours des cr dits bancaires court terme Si c tait le cas il faudrait bien s r incorporer aux charges financi res d jainscrites les agios y aff rents Ce calcul n cessite d tablir le plan de tr sorerie PLAN DE TRESORERIE On porte chaque entr e ou sortie de fonds en TTC pour les op rations assujetties la TVA dans la colonne du mois o elle doit normalement se produire On d termine ensuite le solde de tr sorerie du mois et un solde de tr sorerie cumul d un mois sur l autre de mani re savoir par rapport aux pr visions d activit si tout ce qu il y aura payer pourra l tre sans probl me gr ce aux disponibilit s du moment Si ce document pr visionnel devait faire ressortir une impasse de tr sorerie un certain moment il faudrait alors trouver une solution avant le d marrage de l entreprise On ne doit pas com
19. non actionnaires Elles doivent alors respecter certaines r gles d finies l article L 1523 1 du CGCT destin es renforcer la protection de leurs actionnaires Pour des op rations autres que des prestations de service ces personnes doivent conform ment l article L 1523 1 du CGCT apporter la totalit du financement n cessaire si ce sont des personnes priv es garantir la totalit du remboursement du financement si ce sont des personnes publiques A d faut les interventions de la SEML pour le compte de personnes non actionnaires sont soumises l accord pr alable du conseil d administration ou du conseil de surveillance pris une majorit des 2 3 comprenant la moiti au moins des repr sentants des collectivit s actionnaires La SEML doit aussi s il y a lieu obtenir l accord de la collectivit sur le territoire de laquelle l investissement immobilier est pr vu NB Pour les interventions d crites aux paragraphes B1 etB3 S il s agit d une prestation de service la collectivit ne peutretenir la SEML qu apr s avoir respect la proc dure de publicit et de mise en concurrence pr vue par le code des march s publics En vertu de l article 48 I de la loi du 29 janvier 1993 lorsque la SEML est amen e passer pour le compte d une personne publique un contrat de travaux d tudes ou de ma trise d avre conclu pour l ex cution ou les besoins du service public ce contrat doit sison montantexc d
20. nts de la Sem hauteur de 80 s agissant d op rations d am nagement doit r mun rer la Sem suivant les modalit s d finies au contrat loi SRU la concession d am nagement Dans ce cas la Sem pourrase voir confier les acquisitions par voie d expropriation ou de pr emption la r alisation de toute op ration et action d am nagement et quipement concourant l op ration globale faisant l objet de la convention publique d am nagement Dans ce cas la Sem pourase voir confier le suivi d tudes pr alables dans le cadre d un contratde mandat C1 2 Les d l gations de services publics locaux Ily a d l gation de service public lorsqu une collectivit d l gante confie un tiers public ou priv le d l gataire par exemple une SEML la gestion d un service public exploitation ou construction etexploitation sous le contr le de la collectivit Quels sont les diff rents modes de gestion d l gu e Les principaux modes de gestion d l gu e sont les suivants La g rance estun contrat par lequel le g rant la SE ML assure la gestion du service pour le compte de la collectivit moyennant une r mun ration forfaitaire vers e par la collectivit La r gie int ress e est un contrat par lequel le r gisseur la SEML assure l exploitation du service pour le compte de la collectivit moyennant une r mun ration vers e par la collectivit et qui varie en fonction des r sultats de l exploitatio
21. ollectivit s locales peuvent confier aune Sem une op ration d am nagement qui peut avoir pour objet article L 300 1 du code de l urbanisme de mettre en vre une politique locale de l habitat d organiser le maintien l extension ou l accueil des activit s conomiques de favoriser le d veloppement des loisirs et du tourisme de r aliser des quipements collectifs de lutter contre l insalubrit de sauvegarder ou de mettre en valeur le patrimoine b ti ou non b ti et les espaces naturels Ces conventions prennent la plupart du temps la forme de conventions publiques d am nagement p 6 Les principales caract ristiques de ces conventions sont les suivantes les recettes proviennent de tiers le risque financier de l op ration n est pas port par la SEM mais par la collectivit qui reprend au terme de l op ration l actif etle passif de l op ration la SEM peut b n ficier de pr rogatives de puissance publique le droit d expropriation et le droit de pr emption au niveau de la comptabilit les op rations font l objet d une comptabilit s par e avec individualisation de la tr sorerie Ces op rations sont int gr es au bilan de la Sem pendant toute la dur e de vie de la convention Quelles sontles missions g n ralement confi es acqu rir l amiable par voie d expropriation ou en usantdu droit de pr emption les terrains ou immeubles b tis compris dans le p rim tre d
22. par la d l gation ex reprise des emprunts C 1 3 Les conventions de mandat Qu est ce qu un mandat Une convention de mandat pass e entre une collectivit et une SEML permet une SEML d intervenir au nom et pour le compte de la collectivit C est en r alit la collectivit qui assure le financement de l op ration et porte le risque Au niveau de la comptabilit les op rations de mandatfigurent dans la comptabilit de la collectivit mandante etnon dans celle de la SEML Seul appara t en compte de tiers le solde d biteur ou cr diteur de l op ration La SEML agissant au nom et pour le compte de la collectivit est tenue de respecter les r glementations qui s appliquent ette collectivit la SEML estsoumise au code des march s publics pour tous les march s qu elle peut tre amen e passer dans le cadre de l ex cution de son mandat les contrats que la SEML conclut avec une personne de droit priv sont soumis au contr le de l galit Dans quel cadre juridique les collectivit s locales peuvent elles donner un mandat une Sem Une collectivit locale peut confier un mandat une Sem soit en vertu de la loi du 12 juillet 1985 dite loi MOP soit en vertu des dispositions de l article R 321 20 du code de l urbanisme Les conventions de mandat de la loi MOP Le mandat constitue la seule modalit possible pour la d l gation d une ma trise d ouvrage publique La loi MOP du 12 juile
23. rces durables au cours de chaque exercice respectif Ilestn cessaire que pour la premi re ann e les ressources exc dent les besoins d un montant repr sentant au moins 15 20 du montant de la CAF Cet exc dent doit s accentuer les ann es suivantes PLAN DE FINANCEMENT A 3 ANS RESSOURCES FRAIS D TABLISSEMENT PROGRAMME D INVESTISSEMENTS HT BFR AUGMENTATION DU BFR REMBOURSEMENT ANNUEL DES EMPRUNTS A TERME FONDS PROPRES QUASI FONDS PROPRES CAPACITE D AUTOFINANCEMENT EMPRUNTS BANCAIRES DIVIDENDES DISTRIBUES A MOYEN O LONG TERME ET msi POUR LES ANNEES 2 ET 3 NE PORTER QUE LES ELEMENTS NOUVEAUX AFFERENTS A CES EXERCICES D5 CALCUL DU POINT MORT SEUIL DE RENTABILITE CHIFFRE D AFFAIRES CHARGES VARIABLES MARGE SUR COUTS VARIABLES MARGE SUR COUTS VARIABLES TAUX DE MARGE SUR COUTS VARIABLES CHIFFRE D AFFAIRES HARGES FIXE SEUIL DE RENTABILITE TAUX DE MARGE S UR COUTS VARIABLES FICHE DE CAS n 1 Extension du Port de plaisance du CROUESTY SAGEMOR Adresse 10 RUE SAINT TROPEZ BP 221 56006 VANNES CEDEX T l 02 97 42 63 44 Directeur Michel LE BRAS Capital 2 8 MF Principaux actionnaires DEPARTEMENT DU MORBIHAN SYNDICAT MIXTE DES PORTS ET BASES NAUTIQUES DU MORBIHAN VILLE D AURAY VILLE DE VANNES CAISSE D EPARGNE CCI CDC CDT Investissement Ma trise d ouvrage Syndicat mixte des ports et bases nautiques Ma tre d ouvrage d l gu SEM ESPACE ET
24. rcevoir directement les subventions ou les pr ts susceptibles d tre accord s C 2 Les op rations non conventionn es Il s agit soit d une op ration r alis e par la SEML pour son propre compte soit d une prestation de service qui consiste en la remise d une prestation aune personne publique la collectivit par exemple ou priv e contre un prix Il peut s agir par exemple d tudes ou de travaux Le financement de ces op rations peut tre garanti par la collectivit locale hauteur de 50 Si la prestation est r alis e pour une personne publique une collectivit par exemple le titulaire de la prestation de services est retenu au terme de la proc dure de publicit et de mise en concurrence pr vue par le code des march s publics etce m me si la collectivit locale ou l organisme de droit public estactionnaire de la SEML D L ETUDE FINANCIERE L tude financi re est aussi essentielle la r ussite du projet que l tude de march et les tudes techniques Elle contribue dimensionner l quipement et la structure financi re de la soci t Trop souvent celle ci est sous capitalis e au regard des immobilisations et surtout du besoin en fonds de roulement destin notamment afaire face la mont e en charge du produit et aux al as qu ils soi ent climatiques saisonniers conjoncturels techniques Le retard pris dans l exploitation du site de Vulcania cons cutif l accident du chantier aurait gra
25. re est trop important le projet doit tre remani et sa structure financi re adapt e en cons quence D1 CONSTRUCTION DU PLAN DE FINANCEMENT La construction du plan de financement initial est une d marche dynamique Il s agit outre de savoir combien se chiffre le projet de rechercher la meilleure solution financi re pour boucler ce plan En effet apr s avoir recens les besoins etles ressources financi res disponibles il faudra le cas ch ant trouver une ou plusieurs solutions pour les capitaux manquants afin d quilibrer les deux colonnes de ce tableau Cette tape peut conduire soit renoncer au projet si la proportion des fonds propres est excessivement faible par rapport aux fonds d emprunt qu il faudrait obtenir soit aredimensionner le projet en le modifiant pour r duire les besoins par exemple moins d investissements gr ce aux recours la sous traitance D2 D3 Attention de ne pas c der la facilit en rognant arbitrairementle Besoin en Fonds de Roulement car ce serait un leurre qui se paie souvent tr s cher Besoins durables Frais d tablissement Capital social Investissement H T Comptes courants d associ s s il y Besoin en fonds de roulement a lieu Ressources durables BFR Subvention Emprunts moyen ou long terme COMPTE DE RESULTAT PREVISIONNEL Pour remplir correctement le compte de r sultat il faudra ne rien oublier des charges pr visibles d exploitatio
26. t1985 pr cise les conditions dans lesquelles les ma tres d ouvrages publics notammentles collectivit s locales peuvent confier certaines de leurs attributions un mandataire une SEML par exemple qui intervient au nom et pour le compte du ma tre d ouvrage Quels sontles ma tres d ouvrage qui peuvent confier un mandat une SEML au titre de la loi MOP Les ma tres d ouvrage concern s sont l Etat les collectivit s territoriales et leurs tablissements publics les organismes de logement social les organismes relevant de l article L 64 du code de la S curit sociale Quelles op rations peuvent entrer dans le cadre de cette loi Le mandat doit porter sur la ma trise d ouvrage d une op ration relative la r alisation d ouvrages de b timent ou d infrastructure ou aux quipements industriels destin s leur exploitation Quelles attributions peuvent tre confi es aune SEML dans le cadre d un mandat loi MOP La loi MOP d finit limitativement dans son article 3 les attributions de la ma trise d ouvrage qui peuvent tre confi es au mandataire la SEML d finition des conditions administratives et techniques d tude et d ex cution de l ouvrage Signature et gestion du contrat de ma trise approbation des avantprojets et accord sur le projet pr paration du choix de l entrepreneur signature et gestion du contrat de travaux r mun ration de la ma trise d oavre et des travaux
27. uite d une proc dure de D l gation de Service Public probablement sous la forme d un affermage p 22 FICHE DE CAS n 5 OCEANOPOLIS SEM SOPAB BREST Adresse 3 RUE DUPLEIX BP 441 29275 BREST CEDEX T l 02 98 00 96 00 Directeur G n ral Jacques SEVELLEC Capital 6 300 KF Principaux actionnaires VILLE DE BREST COMMUNAUTE URBAINE DE BREST CDC BANQUE DE BRETAGNE CAISSE INTERFEDERALE DE CREDIT MUTUEL CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE SEMAEB OMNIUM DE PARTICIPATIONS SCET Investissement Ma tre d ouvrage COMMUNAUTE URBAINE DE BREST Ma tre d ouvrage d l gu SEMAEB pour la construction SOPAB pour le contenu Assistance la ma trise d ouvrage SOPAB 320 MF 1994 99 FEDER 75 3 Etat 24 3 R gion de Bretagne 41 2 D partement du Finist re 30 Soit 170 8 MF de financements ext rieurs plus de 53 de l op ration totale le reste tant financ par la Communaut Urbaine de BREST Exploitation SEM SOPAB Contrat d affermage 600 000 visiteurs an Chiffre d affaires 76 8 MF p 23 FICHE DE CAS n T leski nautique Base de loisir de Rouffiac canton de LA NOUAILLE SEMITOUR PERIGORD Adresse 25 RUE DU PRESIDENT WILSON BP 1024 24001 PERIGUEUX CEDEX Directeur G n ral Eric DOSSET Capital 13 7 MF Principaux actionnaires CONSEIL GENERAL DE LA DORDOGNE AIR LITTORAL CDC CREDIT AGRICOLE GROUPE DELMON SARL SEPA SEM VEZERE SEMIPER SOCIETES
28. vellement les conditions de rachat de r siliation ou de d ch ance par la collectivit les obligations de chacune des parties etle montant de leur participation financi re l tat de leurs apports en nature ainsi que les conditions dans lesquelles la collectivit contractante fera l avance des fonds n cessaires au financement de la mission ou remboursera les d penses expos es pour son compte et pr alablement d finies la r mun ration de la soci t les p nalit s L omission de l une de ces clauses entra ne la nullit de la convention p 4 Ces conventions sontautoris es parle conseil d administration de la SEML en application des articles 89 117 de la loi du 24 juillet 1966 sur les soci t s anonymes B2 Les interventions pour leur propre compte Lorsqu elles interviennent pour leur propre compte les SEML assument le risque financier de l op ration On parle alors d op ration propre Le remboursement des emprunts des SEML peut cependant b n ficier de la part des collectivit s locales d une garantie limit e 50 Ces interventions peuvent par exemple se traduire par la construction par les SEML de leur si ge social op ration purement priv e en leur propre nom ou des prestations telles que la gestion locative l informatique ou des tudes diverses B3 Les interventions pour le compte de tiers non actionnaires Les SEML peuvent intervenir pour des personnes publiques ou priv es
29. vement mis en p ril la sant financi re de la SEM Volcans peine constitu e si celle ci n tait dot e d une capitalisation confortable Une recapitalisation est toujours possible mais elle intervient souvent quand la soci t est dans une mauvaise passe et donc dans des conditions d favorables pour mobiliser ses partenaires L tude financi re se d compose en 4 d marches interd pendantes 1 Le plan de financement initial met en regard les besoins durables de financement etles ressources financi res durables Il permet de d terminer l ampleur du capital social constituer 2 Le compte de r sultat pr visionnel met en vidence dans quelle mesure l activit pr visionnelle de la soci t g n rera un montant de recettes suffisant pour couvrir les charges entra n es par les moyens humains mat riels etfinanciers mis en vre 3 Le plan de tr sorerie affiche les entr es et sorties encaissements et d caissements et met en vidences les ventuels d calages entre les ressources permettant p riode par p riode d honorer les d penses 4 Le plan de financement 3 ans permet de v rifier si la solidit financi re de l entreprise pr vue gr ce au plan de financement initial se poursuivra dans le temps Cette d marche doit conduire la construction d un projet coh rent et viable puisque chacune des options prises trouve sa traduction financi re et sa r percussion sur les quilibres financiers Si le d s quilib
30. vrage Syndicat mixte de la pointe Saint Mathieu Ma tre d ouvrage d l gu SAFI 12 MF 1998 Syndicat mixte de la Pointe Saint Mathieu 5 04 FEDER 4 8 R gion 2 16 Exploitation Site en acc s libre 4 000 personnes jour en t p 26 FICHE DE CAS n 9 Piscine r cr ative de Saint Paulien 43 SOMIVAL Adresse 46 BOULEVARD PASTEUR BP 28 63001 CLERMONT FERRAND CEDEX 1 T l 04 73 34 75 00 Directeur D partement Tourisme Jacques REUGE Capital 10 MF Principaux actionnaires D PARTEMENTS DE L ALLIER DE LA CORREZE DE LA CREUSE DE LA HAUTE LOIRE DE LA HAUTE VIENNE DU CANTAL DU PUY DE DOME CAISSES CENTRALES DES BANQUES POPULAIRES CCI AUVERGNE ET LIMOUSIN CDC CHAMBRES D AGRICULTURES CNCA CRCAM PETITS PORTEURS Investissement Ma tre d ouvrage COMMUNAUTE DE COMMUNES DES PORTES D AUVERGNE Ma tre d ouvrage d l gu SOMIVAL 10 MF 2000 Communaut de communes R gion 3 4 D partement 0 4 Etat 1 12 Dotation d veloppement rural 0 9 Exploitation Communaut de communes 18 000 entr es juillet Ao t 2000 p 27 FICHE DE CAS n 10 Extension r seau neige artificielle travaux de pistes 43 SEM SERRE CHEVALIER SKI D veloppement Adresse TELECABINE DE FREJUS 05100 Brian on T l 04 92 25 55 00 Directeur Denis SOLIVERES Capital 4 MF Principaux actionnaires COMMUNE DE MONETIER LES BAINS COMMUNE DE LA SALLE LES ALPES CO
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