Encephalite Myalgique
Contents
1. un dysfonctionnement du m tabolisme cellulaire nerg tique et du transport ionique 9 11 et des anomalies cardio vasculaires 12 14 Crit res du Consensus international La p riode de 6 mois d attente avant le diagnostic n est plus n cessaire Aucune autre maladie exige en effet que le diagnostic soit postpos jusqu ce que le patient ait souffert de l affliction pendant six moisUtiliser le terme fatigue en tant que nom d une maladie lui donne une importance exclusive et a t le crit re le plus mal utilis et le plus d routant Aucune autre maladie comportant de la fatigue a vu le terme fatigue chronique attach son nom par exemple le cancer fatigue chronique la scl rose en plaques fatigue chronique sauf l EM SFC La fatigue dans d autres conditions est g n ralement proportionnelle l effort ou la dur e avec une r cup ration rapide et se reproduira dans la m me mesure avec le m me effort ou dur e effectu s le jour m me ou le lendemain Le seuil pathologiquement bas de fatigabilit des E M d crite dans les crit res suivants se produit souvent avec un effort physique ou mental minime et avec la capacit r duite entreprendre la m me activit le m me jour ou durant plusieurs jours Les crit res du consensus international tableau 1 identifient des sch mas caract ristiques uniques et distincts des groupes de sympt mes de l E M _ Les crit res sont support s par la rech2. 21 1 de troubles bipolaires avec caract ristiques psychotiques 17 de d pression s v re avec caract ristiques psychotiques 2 4 de psychose induite par une drogue le solde tant tiquet autres psychoses Mais dix ans apr s la distribution de ces diagnostics a volu pr s de la moiti des patients 49 8 soit 20 de plus sont alors consid r s comme schizophr nes le nombre de diagnostics de troubles bipolaires a augment dans une moindre mesure 24 soit 3 de plus celui des d pressions s v res avec caract ristiques psychotiques a baiss 11 1 et celui de psychose induite par une substance s est au contraire accru ayant presque tripl pour atteindre 7 Globalement une modification du diagnostic a concern un moment ou un autre plus de la moiti des patients 50 7 Si la plupart des diagnostics initiaux de schizophr nie ou de troubles bipolaires respectivement 89 2 et 77 8 sont conserv s 10 ans avec une stabilit remarquable on constate que la reconnaissance d une schizophr nie int resse une d cennie plus tard un tiers suppl mentaire de patients 32 Ces d calages diagnostiques refl tent des modifications per ues cliniquement En particulier 15 des sujets consid r s au d part comme bipolaires sont tiquet s ensuite schizophr nes en g n ral du fait de l augmentation de la symptomatologie n gative et
3. Lettonie D partement de biochimie et de sciences m dicales de base la Washington State University Portland OR D partement des Sciences du Sport Universit des Etats Unis Pacifique Stockton Californie Enc phalomy lite myalgique Abr g Consensus international Crit res r vision Intern J Med 2011 270 327 338 L tiquette Syndrome de fatigue chronique SFC a persist pendant de nombreuses Au vu des recherches les plus r centes et de l exp rience clinique qui plaident tr s fortement pour une inflammation g n ralis e et une pathologie neurologique multi syst mique il est plus appropri et correct d utiliser le terme enc phalomy lite myalgique E M Ce terme est galement compatible avec la classification neurologique de l E M dans la Classification internationale des maladies de l Organisation mondiale de la sant CIM G93 3 En cons quence un Comit de Consensus international compos de cliniciens chercheurs professeurs d enseignement et d un avocat ind pendant des patients a t form dans le but d laborer des crit res bas s sur les connaissances actuelles Treize pays et un large ventail de sp cialit s taient repr sent s Introduction L Enc phalomy lite myalgique EM galement appel e dans la litt rature le syndrome de fatigue chronique SFC est une maladie complexe comprenant un d r glement profond du syst me nerveux central SNC 1 3 et du syst me immunitaire 4 8
4. M et al Science 326 285 289 2009 Article PubMed ChemPort 3 Hansen S G et al Nature Med 15 293 299 2009 Article 4 Virgin H W amp Walker B D Nature 464 224 231 2010 Article 5 Haase A T Nature 464 217 223 2010 Article 6 Pancera M et al Proc Natl Acad Sci USA 107 1166 1171 2010 Article PubMed 7 Chen L et al Science 326 1123 1127 2009 Article PubMed ChemPort 8 Stamatatos L Morris L Burton D R amp Mascola J R Nature Med 15 866 870 2009 Article 9 Burton D R et al Nature Immunol 5 233 236 2004 Article 10 Miura T et al J Virol 83 3407 3412 2009 Article PubMed ChemPort 11 Koff W C et al Nature Immunol 7 19 23 2006 Article 12 HIV Vaccines and Microbicides Resource Tracking Working GroupAdapting to Realities Trends in HIV Prevention Research Funding July2009 available at http www hivresourcetracking org 13 Simek M D et al J Virol 83 7337 7348 2009 Article PubMed ChemPort 14 Hessell A J et al Nature Med 15 951 954 2009 Article 15 Ko mrlj A et al Nature in the press Share Par Chronimed Mardi 6 d cembre 2011 La th rapie g nique peut prot ger contre le HIV in vivo chez la souris Gene therapy can protect against HIV An introduced gene conveys long lived resistance to HIV infection in mice Lauren Gravitz 30 November 2011 Gene therapy an approach most c
5. Leurs travaux ont tout naturellement port sur le furet le mod le le plus fiable pour tudier le comportement des virus grippaux chez l homme Le virus auquel ces animaux ont t expos s pr sentait cinq mutations g n tiques par rapport la souche de virus A H5N1 la plus fr quente Chacune de ces modifications g n tiques a d j t retrouv e dans la nature mais elles n ont jamais t pr sentes conjointement dans un seul virus Tr s vite il est apparu que ce virus cr en laboratoire se transmettait tr s facilement entre les animaux sans rien perdre de sa virulence La dangerosit du virus ainsi obtenu est donc extr mement lev e Membre du National Science Advisory Board for Biosecurity NSABB des Etats Unis Paul Jeim n h site pas m me le comparer au charbon Je ne connais aucun organisme qui fasse aussi peur que celui l Compar lui l anthrax ne fait pas peur du tout Des travaux tr s utiles face la menace du virus H5N1 On le voit cette prouesse scientifique pr sent e en septembre lors d un congr s de sp cialistes des virus grippaux r unis Malte fait l objet de tr s nombreux commentaires Certains vont jusqu consid rer que de tels travaux n auraient jamais d tre men s Une analyse bien trop extr me pour de nombreux observateurs dont Jean Claude Manuguerra directeur de la Cellule d intervention biologique d urgence de l Institut Pasteur qui rappelle dans le Figaro Ron Fo
6. Neurosensorielle a Perceptions neurosensorielles par exemple incapacit concentrer la vision hyper sensibilit la lumi re au bruit aux vibrations odeurs au go t ou au toucher trouble de la perception profonde propioceptif profond b Moteur faiblesse musculaire tr mulations musculaires une mauvaise coordination musculaire perte d quilibre en station debout ataxie Notes les d ficiences neurocognitives signal es ou observ es s accentuent avec la fatigue Des ph nom nes de surcharge peuvent tre vidents quand deux t ches sont r alis es simultan ment Les troubles du sommeil sont g n ralement exprim s par un sommeil prolong parfois de fa on extr me dans la phase aigu et souvent se transformer en inversion du sommeil dans la phase chronique Des perturbations motrices peuvent ne pas tre videntes dans les cas l gers ou mod r s mais dans les cas graves une d marche anormale et un test de Romberg positifs peuvent tre observ s C immunitaires des troubles gastro intestinaux et g nito urinaires Au moins un sympt me dans trois des cinq cat gories suivantes 1 Sympt mes pseudo grippaux pouvant tre r currents ou chroniques et typiquement s activant ou s aggravant l effort exemples maux de gorge sinusite ou ganglions lymphatiques cervicaux ou axillaires hypertrophi s ou sensibles la palpation 2 Susceptibilit aux infections virales avec des p riodes de r c
7. a safe and effective HIV vaccine fig 1 Figure 1 2008 Report on the global AlDs epidemic UNAIDS 2008 ne High resolution image and legend 80K The neutralizing antibody problem Licensed viral vaccines protect against disease by priming the immune system before pathogen exposure This generates antibody responses that can prevent infection and cellular responses that target and eliminate virus infected cells Virus specific neutralizing antibodies bind to proteins on the surface of viral particles and stop them from infecting host cells Neutralizing antibodies can also bring about the destruction of virus infected cells via cellular effector mechanisms Where natural virus infection elicits robust neutralizing antibody responses vaccines have been developed by using attenuated versions of the live virus such as for measles mumps and rubella inactivation for polio and virus surface protein subunits or virus like particles for hepatitis B and human papilloma virus There are however three formidable obstacles for vaccine developers attempting to raise HIV specific neutralizing antibodies First the virus is hypervariable so a vaccine must elicit broadly neutralizing antibodies to counter myriad circulating isolates of HIV Second the target for broadly neutralizing antibodies the envelope spike is very unstable and so is difficult to recreate in a form that can act as a vaccine6 Lastly most highly conserved targets for HIV
8. Le blog de chronimed http chronimed over blog com Perdredi 9 d cembre 2011 RES DA one myalgique Consensus international sur les Crit res de Enc phalomy lite myalgique Consensus international sur les Crit res de l E M Article d abord publi en ligne 22 AUG 2011 DOI 10 1111 j 1365 2796 2011 02428 x 2011 L Association pour la publication du Journal of Internal Medicine Journal of Internal Medicine Volume 270 Issue 4 pages 327 338 Octobre 2011 ABREGE l usage des patients Traduction fran aise pour l Association Fran aise du Syndrome de Fatigue Chronique et de Fibromyalgie ME CFS SPID Dr A Rose AUTEURS Carruthers BM van de Sande MI De Meirleir KL Klimas NG Broderick G T Mitchell Staines D Powles ACP Speight N R Vallings Bateman L Baumgarten Austrheim B Bell DS Carlo Stella N Chia J Darragh A D Jo Lewis D Lumi re AR Marshall Gradisbik S Mena Mikovits JA Murovska M ML Pall Stevens S Ind pendant Vancouver BC Canada ind pendants Calgary AB Canada D partement de Physiologie et de M decine Vrije Universiteit de Bruxelles Himmunitas Fondation Bruxelles Belgique D partement de m decine Universit de Miami Miller School of Medicine et Miami Veterans Affairs Medical Center Miami Floride Etats Unis D partement de m decine Universit de l Alberta Edmonton AB Canada consultant honoraire pour NHS a Peterborough Cambridge Lowestoft Suffolk Royaume U
9. Osterholm directeur du Center for Infectious Disease and Policy Minnesota se montre favorable une pr sentation partielle des r sultats mais pr vient Nous ne voulons pas donner des personnes mal intentionn es un mode d emploi pour transformer quelque chose de mauvais en autre chose de tr s mauvais Pour l heure la r ponse d finitive de Science apr s l mission de cet avis du NSABB non contraignant n est pas encore connue De la publication des travaux la conservation du virus L affaire n est cependant pas sans pr c dent En octobre 2005 les travaux de chercheurs am ricains parvenus s quencer le virus de la grippe espagnole gr ce au pr l vement d un poumon d une femme d c d e en 1918 en Alaska et enterr e dans le permafrost avaient soulev une pol mique similaire Mais l poque le NSABB avait consid r que les risques d une mise disposition de ces donn es taient inf rieurs aux avantages attendus faut il y voir ici une pr f rence accord e des chercheurs am ricains En tout tat de cause ces questions relatives la publication des travaux de Ron Fouchier en appellent d autres relatives la n cessit ou non de d truire le virus obtenu par l quipe n erlandaise Pour Jean Claude Manuguerra celle ci semble s imposer Aur lie Haroche 4 of 8 09 12 2011 09 57 Le blog de chronimed http chronimed over blog com Share Par Chronimed Mercredi 7 d cembre 2011 D
10. cience However during the past year advances in vaccine research and development R amp D have generated great excitement These include the first partial protection in humans by an HIV vaccine1 identification of a new target for broadly neutralizing antibodies on HIV s surface2 and evidence for significant vaccine induced control of simian immunodeficiency virus SIV in non human primates3 New leads for vaccine discovery should come from linking HIV vaccine research with the broader field of viral immunology and understanding the early events in HIV pathogenesis as recommended elsewhere in this issue ofNature4 5 Translational research programmes need to be expanded to connect this basic science with existing vaccine development tools including hypothesis driven clinical trials to assess novel immunogen designs This will probably require solutions to two problems that have remained unsolved for more than 20 5 of 8 09 12 2011 09 57 Le blog de chronimed http chronimed over blog com years the design of immunogens to elicit broadly neutralizing antibodies to prevent HIV infection and the design of immunogens to elicit robust cellular immune responses to control HIV infection Most importantly the field should launch flexible large scale long term funding mechanisms ideally by the beginning of 2011 that invest in multidisciplinary teams rather than in projects Such mechanisms would foster greater innovation and shorten the timeline to
11. d une pauvret de leur socialisation L auteur de l ditorial remarque aussi que les sympt mes d hypomanie et les ant c dents familiaux de troubles bipolaires peuvent aider reconna tre plus t t les sujets bipolaires En d finitive comme le risque de mauvais diagnostic risk of being misclassified un stade pr coce de la maladie est r el y compris plus de deux ans apr s la premi re hospitalisation les auteurs de l tude cit e Bromet et al conseillent de r valuer le diagnostic chaque moment du suivi 1 Evelyn J Bromet amp al Diagnostic shifts during the decade following first admission for psychosis Am J Psychiatry 2011 168 11 1186 1194 Dr Alain Cohen William Coryell Diagnostic instability how much is too much Am J Psychiatry 2011 168 11 1136 1138 Share Par Chronimed Mardi 6 d cembre 2011 Acc l ration du d veloppement pour un vaccin contre le HIV Nature 464 161 162 11 March 2010 doi 10 1038 464161a Published online 10 March 2010 Accelerating HIV vaccine development Wayne C Koff1 Abstract Translational research programmes supported by flexible long term large scale grants are needed to turn advances in basic science into successful vaccines to halt the AIDS epidemic says Wayne C Koff The world needs a vaccine as soon as possible to help halt the inexorable spread of HIV But vaccine development has not kept pace with breakthroughs in basic s
12. e la variabilit du diagnostic en psychiatrie De la variabilit du diagnostic en psychiatrie Lun des reproches souvent faits aux psychiatres concerne la pr tendue 7 labilit de leurs diagnostics On dit ainsi que l OMS aurait constat dans une tude ancienne la variabilit importante des pathologies avanc es chez des patients r examin s par des professionnels diff rents R elle ou fantasm e une telle subjectivit des psychiatres dans l nonc d un diagnostic a aliment le rejet des tiquettes nosographiques par les adeptes du mouvement antipsychiatrique Comme le souligne l ditorialiste de The American Journal of Psychiatry les efforts pour am liorer la validit des diagnostics psychiatriques doivent donc faire l objet d une attention constante Mais l valuation de la stabilit des diagnostics est une d marche rarement entreprise en raison notamment des difficult s logistiques n cessit d un groupe stable d investigateurs sur une longue p riode William Coryell commente les constatations d une tude prospective 1 de ce type examinant la stabilit des diagnostics au long d un suivi de dix ans chez 470 sujets vus l origine pour des troubles psychotiques psychotic disorders Ses auteurs observent en effet une volution des diagnostics dans le temps Au d part la distribution des diagnostics tait la suivante 29 6 de troubles schizophr niques ou apparent s
13. e peuvent pr c der l E M mais lui deviennent ensuite associ s Fibromyalgie et E M peuvent se chevaucher Share Par Chronimed Mercredi 7 d cembre 2011 Le virus de la Grippe H5N1 mut au laboratoire la fi vre monte H5N1 mut au laboratoire la fi vre monte Amsterdam le mercredi 7 d cembre 2011 La perspective d une nouvelle pand mie grippale aussi meurtri re que les pid mies du si cle dernier telle la grippe espagnole continue a inqui ter fortement scientifiques autorit s sanitaires et opinion publique Si le virus A H1N1 apparu au printemps 2009 n a heureusement pas t l origine du d sastre redout beaucoup de chercheurs nourrissent toujours de fortes appr hensions vis vis du virus A H5N1 responsable de la grippe aviaire Cette crainte des scientifiques s explique notamment par la haute virulence de ce virus grippal chez l homme avec un taux de mortalit atteignant 58 parmi les 600 personnes qui en ont t infect es depuis 2003 Or si pour l heure la transmission du virus d homme a homme a t restreinte quelques tr s rares cas les chercheurs redoutent que l mergence de mutations sp cifiques permette au virus de le faire plus facilement Compar lui l anthrax ne fait pas peur du tout Cette piste de r flexion tait notamment au c ur des travaux de l quipe de Ron Fouchier chercheur n erlandais tr s r put pour son expertise en mati re de virus grippaux
14. ente du syst me nerveux Ortho sympathique 116 L identification clinique La gravit des sympt mes doit se traduire par une r duction de 50 ou plus du niveau d activit du patient par rapport son activit avant sa maladie pour un diagnostic d EM Stades l ger mod r environ 50 de r duction de l activit mod r patient la plupart du temps confin la maison s v re patient la plupart du temps au lit et tr s grave clou au lit et d pendant de l aide externe pour les fonctions physiologiques 0 4 La hi rarchie des sympt mes et leur s v rit devrait tre tablie p riodiquement afin d aider orienter et surveiller le traitement e 5 Crit res des sous groupes l puisement neuro immunitaire apr s exercice physique ou c r bral est la caract ristique principale Il peut tre utile de distinguer les sous groupes en fonction de crit res selon un sch ma tabli en fonction des sympt mes pr pond rants pour distinguer des groupes de type neurologiques immunitaires faiblesse du m tabolisme nerg tique transport ionique ces sympt mes sont cependant couramment pr sents et se recouvrent dans diff rents sous groupes 6 S parer les sympt mes primaires des sympt mes secondaires et aggravants Distinguer les complexes de sympt mes primaires engendr s par la maladie elle m me des effets secondaires dus la maladie tels que l anxi t au sujet de probl mes financiers v
15. entuels D terminer les effets et le fardeau des facteurs aggravants tels que le stress excessif du un environnement rythmes acc l r s ou l exposition des toxines e7 D terminer le fardeau total de la maladie en valuant la s v rit des sympt mes leur interaction et impact globale Consid rer tous les aspects de la vie du patient physiques occupations activit s ducatives sociales et personnelles de la vie quotidienne Les patients qui s lectionnent leurs activit s peuvent tre en mesure de faire une activit relativement importante en liminant ou en r duisant fortement les autres activit s de leur vie Tableau 1 Enc phalomy lite myalgique crit res de consensus international e cliniques et recherche Adulte et p diatrique L Enc phalomy lite myalgique est une maladie neurologique acquise avec des dysfonctionnements complexes globaux D r glement pathologique des syst mes nerveux immunitaire et endocrinien avec alt ration du m tabolisme nerg tique cellulaire et du transport des ions sont des caract ristiques majeures Un patient doit remplir les crit res d puisement neurologique apr s exercice A au moins un sympt me parmi trois cat gories de troubles neurologiques B au moins un sympt me parmi trois cat gories de troubles immunitaires gastro intestinaux g nito urinaires C et au moins un sympt me du m tabolisme nerg tique d ficience de transport d ions cellula
16. erche Les sympt mes retrouv s dans nos crit res sont soutenus par une tude de plus de 2500 patients qui a d termin quels sympt mes pr sentaient la plus grande efficacit pour identifier les patients atteints d E M L objectif principal de ce consensus est d tablir une s rie de crit res cliniques plus s lectifs permettant d identifier les patients pr sentant un puisement neuro immunitaire associ un seuil pathologiquement bas de fatigabilit et une nette aggravation des sympt mes dans les suites d un effort Epuisement neuro immunitaire post exercice ENPE Malaise soit un vague sentiment de malaise ou de fatigue 41 est un mot impr cis et inad quat pour ces pathologies bas seuil de fatigabilit et pour d crire les sympt mes post exercicesDe nombreux articles documentent des r ponses biologiques anormales l effort comme la perte de l effet revigorant de l exercice 20 un seuil de douleur diminu 47 49 une diminution de l oxyg ne du sang c r bral et du d bit volumique 50 53 une diminution de la fr quence cardiaque maximale 54 un apport d oxyg ne aux muscles d ficient 55 des taux lev s de m tabolites de l oxyde nitrique 56 et une aggravation des autres sympt mes 57 Les patients atteignent le seuil ana robique et l effort maximal un niveau beaucoup plus faible de consommation d oxyg ne 58 Les effets d puisement prolong apr s activit sont retr
17. es canalicules de transport 9 11 100 101 Une r tro action feedback biochimique positive appel e NO ONOO cycle peut jouer un r le dans le maintien de la nature chronique de l EM tandis que la pr sence d un stress oxydatif 102 104 l l vation des cytokines inflammatoires 94 96 et le dysfonctionnement mitochondrial 105 108 peuvent favoriser une circulation sanguine r duite et une vasculopathie 106 107 Les r sultats de petit coeur avec chambre ventriculaire gauche r duite et mauvaise performance cardiaque dans des groupes de patients 109 110 sont en accord avec les rapports ant rieurs de dysfonction cardiaque et ventriculaire gauche 13 111 112 qui pr disposent l intol rance orthostatique 14 113 Une pression art rielle basse avec une variation diurne exag r e peut tre due une r gulation anormale de la pression art rielle 114 Une s cr tion alt r e avec r duction de la production de cortisol pendant et apr s l exercice peut tre observ eDes anomalies vasculaires mesurables sugg rent que le cerveau ne re oit pas suffisamment de sang circulant en position verticale 12 113 ce qui est intensifi en restant debout sur place comme cela arrive dans une ligne pour payer la caisse d une picerie Une r duction significative de la variabilit du rythme cardiaque pendant le sommeil est associ e une faible qualit du sommeil et sugg re un tat d hypervigilance perman
18. evidence from human HIV natural history and simian immunodeficiency virus SIV studies suggest that cell mediated immune responses are required to control HIV by keeping the viral load very low or undetectable Because control of infection is required to prevent disease and as the best licensed vaccines against other pathogens do not necessarily completely prevent infection a successful HIV vaccine will probably also need to elicit cell mediated immune CMI responses capable of controlling HIV infection This is difficult because the virus becomes persistently established in host cell reservoirs within days of exposure allowing only a small window of opportunity for CMI based control Three HIV vaccine concepts have now advanced through efficacy trials and none controlled HIV infection as measured by viral load in the blood In contrast a small subset of HIV infected people can control HIV infection to nearly undetectable levels without antiretroviral therapy10 and some SIV vaccines can control pathogenic SIV infections to similarly low viral loads11 To solve this problem three key issues need to be addressed First elucidating the mechanisms of CMl based control of HIV infection in humans and of SIV in SIV immunized monkeys would provide important leads Second improving functional assays of CMI responses would enhance preclinical and clinical prioritization of candidate vaccines Third researchers need to design and screen immunogens capable of outwit
19. ically altered adenovirus to infect muscle cells and deliver DNA that codes for antibodies isolated from the blood of people infected with HIV The DNA is incorporated into the muscle cells genome and programs the cells to manufacture the antibody which is then secreted into the bloodstream The tactic builds on earlier work by scientists at the Children s Hospital of Philadelphia in Pennsylvania who in 2009 first described the effectiveness of this technique in preventing transmission of simian immunodeficiency virus which is similar to HIV but infects monkeys2 As for the rationale for using gene therapy for HIV This is something way out of the ordinary and it s perfectly reasonable to say that there s no reason to do it if there s an alternative says Baltimore But if there s no alternative and that s where we re at today then we should be thinking of new ways to protect people Dennis Burton an immunologist at the Scripps Research Institute in La Jolla California who has developed a number of antibodies against HIV agrees Obviously the best thing of all is a vaccine That s a tried and tested method that carries very few risks But if that doesn t work what s our fall back position he asks We have these antibodies and we have them available now If this works in humans and that s a reasonable supposition you d have something you can do now Prolonged protection Baltimore and his colleagues te
20. involvement in HIV vaccine R amp D is minimal because of the scientific challenges market disincentives and opportunity costs Support for industrial investment from the Bill amp Melinda Gates Foundation and IAVI to Theraclone Sciences in Seattle Washington and Monogram Biosciences in San Francisco California led to the application of B cell screening and micro neutralization technologies central to the recent identification of a new target on HIV for broadly neutralizing antibodies2 Additional mechanisms to enhance biopharmaceutical investment particularly in process development for vaccines could include advanced market commitments intellectual property incentives and direct public sector support for vaccine R amp D In sum major funders will bring a successful HIV vaccine closer by establishing long term translational research programmes attracting scientific talent and technologies providing greater incentives for industry participation and focusing on rational vaccine design These initiatives should be formulated over the coming months debated at the international AIDS Vaccine 2010 conference starting on 28 September in Atlanta Georgia and implemented by the beginning of next year This effort will also provide a framework for the rational design of vaccines against other global infectious diseases References 1 Rerks Ngarm S et al N Engl J Med 361 2209 2220 2009 Article PubMed ChemPort 2 Walker L
21. ire D A puisement neuroimmunitaire Post exercice ENPE obligatoire Cette fonction cardinale est une incapacit pathologique a produire suffisamment d nergie la demande avec des sympt mes importants surtout dans les domaines neuro immunitaires Les caract ristiques sont les suivantes 1 Fatigabilit Marqu e rapide physique et ou cognitive en r ponse l effort qui peut tre minime comme les activit s de la vie quotidienne ou de simples t ches mentales qui cependant peuvent tre d bilitantes et provoquer une rechute 2 Exacerbation des sympt mes Post exercice par exemple des sympt mes grippaux aigus douleur et aggravation des autres sympt mes 2 of 8 09 12 2011 09 57 Le blog de chronimed 3 of 8 3 Un puisement Post exercice qui peut survenir imm diatement apr s l activit ou tre retard de quelques heures ou quelques jours 4 P riode de r cup ration prolong e prenant g n ralement 24 h ou plus Une rechute pouvant durer plusieurs jours des semaines ou plus 5 Seuil bas de fatigabilit physique et mentale manque d endurance r sultant en une r duction substantielle du niveau d activit par rapport l activit avant maladie B D ficiences neurologiques Au moins un sympt me des trois cat gories de quatre sympt mes suivants 1 D ficiences neurocognitives a Difficult du traitement de l information pens e ralentie concentration alt r e par exemple co
22. neutralizing antibodies are hard to access on the virus spikes7 However broad and potent neutralizing antibodies against HIV have been identified from HIV infected subjects8 demonstrating the feasibility of inducing such antibodies Unfortunately experimental attempts to elicit such antibodies have to date universally failed Recent technological advances in structural biology cryoelectron tomography computational biology B cell immunobiology and high throughput robotic micro neutralization screening assays have been brought together to try to reverse engineer a solution to this problem9 These studies may inform the rational design of vaccines against other highly variable viruses such as influenza and hepatitis C This approach identifies infected subjects with broadly neutralizing serum antibody responses isolates the corresponding broadly neutralizing monoclonal antibodies bnMAbs characterizes the interaction of these bnMAbs with the virus envelope and then engineers immunogens based on this information However in an era of global economic uncertainty the multidisciplinary centres and consortia likely to be required to adequately address this problem are currently too few and in jeopardy of not achieving critical mass or long term commitment This is due in large part to increasingly restrictive funding mechanisms such as milestone based short term project specific funding The cellular immune response problem Several lines of
23. nfusion d sorientation surcharge cognitive difficult s prendre des d cisions ralenti de la parole dyslexie acquise ou l effort b Perte de m moire court terme par exemple difficult de se souvenir ce qu on voulait dire de ce que l on disait trouver ces mots se rappeler d une information m moire de travail pauvre 2 Douleur a Maux de t te par exemple maux de t te chroniques g n ralis s qui impliquent souvent des douleurs oculaires ou r tro oculaires ou l arri re de la t te pouvant tre associ es une tension musculaire cervicale de la migraine des c phal es de tension b Douleur Significative dans les muscles jonctions musculo tendineuses articulaires abdominale ou thoracique Elle est de nature non inflammatoire et migre souvent ex hyperalg sie g n ralis e ou douleur g n ralis e pouvant r pondre des crit res de fibromyalgie douleur myofasciale ou rayonnante 3 Les troubles du sommeil a Sommeil perturb des insomnies ou un sommeil prolong siestes comprises occupant parfois la plupart de la journ e et restant veill presque toute la nuit des r veils fr quents ou se r veillant beaucoup plus t t qu avant le d but de la maladie r ves importants et fr quents cauchemars b Sommeil non r parateur par exemple se r veiller en se sentant puis ind pendamment de la dur e du sommeil somnolence diurne 4 Troubles moteurs ou de la perception
24. ni Gold Coast Unit de sant publique Southport dans le Queensland sciences de la sant et de m decine Universit Bond Robina Queensland Australie Facult de Sant Sciences l Universit McMaster et St Joseph de Hamilton Hamilton ON Canada ind pendants Durham Royaume Uni Howick la Sant et du Centre m dical Howick Nouvelle Z lande Clinique de consultation fatigue Salt Lake Regional Medical Center m decine interne m decine familiale Universit de l Utah Salt Lake City UT Etats Unis EM SFC Centre Oslo University Hospital HF Norv ge d partement de p diatrie Universit de l tat de New York Buffalo NY ind pendants Pavie en Italie Harbor UCLA Medical Center Universit de Californie Los Angeles CA EV Med recherche Lomita Californie Etats Unis l Universit de Limerick Limerick en Irlande Clinique de la douleur Konyang University Hospital Daejeon Cor e Donvale Sp cialiste Medical Centre Donvale Victoria Australie minist res ou anesth siologie la neurobiologie et d anatomie Universit de l Utah Salt Lake City Utah Etats Unis sciences de la sant et de m decine Universit Bond Robina Queensland Australie D partement de M decine Nucl aire Clinica Las Condes Santiago Chili Whittemore Peterson Institute Universit du Nevada Reno NV Etats Unis Miwa Naika Clinique Toyama Japon A Kirchenstein Institut de microbiologie et de virologie Universit de Riga Stradins Riga
25. ommonly explored for curing chronic genetic diseases such as cystic fibrosis may also prove practical for disease prevention In research published today in Nature scientists in California show that a single injection which inserted the DNA for an HIV neutralizing antibody into the muscle cells of live mice completely protected the animals against HIV transmission The road to a vaccine against HIV has proved to be far longer than originally anticipated More than 2 million adults are newly infected with HIV every year and nearly three decades after the virus was first identified researchers haven t found a reliable way to prevent infection The classic vaccine approach which uses all or part of an inactivated virus to induce immunity has yielded little success because HIV has managed to disguise most of the easily recognised external structures that antibodies would target Researchers have thus had a tough time finding a molecule that can induce even moderately broad responses against the virus in all its different mutations So although it might sound extreme to use gene therapy as a preventative treatment for HIV AIDS the method could provide a much needed alternative Researchers hope to prevent the spread of HIV virus particle pictured by using gene therapy to get cells to produce antibodies MEDICAL RF COM SPL David Baltimore a virologist and HIV researcher at the California Institute of Technology in Pasadena and his colleagues used a genet
26. ouv s comme une hyperactivit des aff rences sensorielles du cerveau 59 ce qui est interpr t par le patient comme douleur et fatigue 29 l activit des cytokines est sur lev e 60 le retard dans la survenue des sympt mes 61 et une p riode de r cup ration d au moins 48 h sont observ s 57 Quand un test d exercice a t donn sur deux jours cons cutifs certains patients ont connu une baisse allant jusqu 50 de leur capacit produire de l nergie lors de ce second test 62 Tant l exercice sous maximal que l exercice physiologique auto r gul et limit aboutissent un malaise 48 Des troubles neurologiques Des anomalies pathologiques structurelles et fonctionnelles 3 dans le cerveau et la moelle pini re sugg rent un d r glement du syst me de contr le du syst me nerveux central et de son r seau de communications 62 ce d r glement joue un r le crucial dans la d ficience cognitive et les sympt mes neurologiques 20 L inflammation des ganglions de la racine dorsale de la mo lle pini re sentinelles de l information sensorielle p riph rique voyageant vers le cerveau a t observ e dans les autopsies de moelles pini res Chaudhuri A Royal Society of Medicine Meeting 2009 Des prot omes identifi s dans le liquide c phalo rachidien permettent de distinguer les patients ayant t trait s pour la 1 of 8 09 12 2011 09 57 Le blog de chronimed http chronimed o
27. rine XMRV 79 et d autres virus en cause dans la leuc mie murine MLV 80 des ent rovirus 81 83 le virus Epstein Barr 84 l Herp s virus humain 6 et 7 HHV6 7 85 87 les Chlamydias 88 le cytom galovirus 89 le parvovirus B19 90 et Coxiella burnetti 84 Une infection chronique d ent rovirus gastrique et des niveaux anormaux de bact ries produisant de l acide D lactique dans le tractus gastro intestinal ont t observ s 82 91 Les publications d crivent une diminution naturelle des fonctions et du r le d alerte des cellules tueuses naturelles des profils anormaux des facteurs de croissance une diminution des neutrophiles et des pics physiologiques de Th1 avec une volution vers un profil Th2 4 8 92 93 Une activation immunitaire chronique 27 avec augmentation des cytokines inflammatoires des all les pro inflammatoires 4 8 94 96 des chemokines et des lymphocytes T et une dysr gulation de la ribonucl ase L antivirale RNase L 62 97 100 Tout ceci pouvant jouer un r le dans l apparition de sympt mes grippaux qui apparaissent de fa on aberrante en r ponse l effort 5 92 Production d nergie troubles du transport ionique cellulaires La symptomatologie clinique est coh rente avec une d ficience s v re de l nergie et sugg re un d r glement ou mauvaise r gulation du m tabolisme nerg tique cellulaire des mitochondries et du transport des ions avec atteinte d
28. sted five different broadly neutralizing antibodies one at a time in mice with humanized immune systems Two of the antibodies called b12 and VRCO1 proved completely protective even when the mice received doses of HIV that were 100 times higher than a natural infection After 52 weeks the levels of antibody expression remained high suggesting that a single dose would result in long lasting protection We showed that you can express protective levels of antibodies in a mammal and have that expression last for a long period of time Baltimore says It sets the stage for human trials Providing patients with periodic doses of these antibodies throughout their lifetime would be safer than coaxing antibody production from muscle cells but it would be far from cost effective The gene therapy approach by contrast recruits muscle cells to act as antibody factories and could be administered using a single intramuscular shot Experts in the field are cautiously optimistic Mice and monkeys don t always tell the truth It s a really interesting idea and it should be assessed in clinical trials says Wayne Koff senior vice president for research and development at the International AIDS Vaccine Initiative in New York Until someone shows that we can make these broadly neutralizing antibodies with a classic vaccine think this is an important concept that should be supported But both Burton and Koff caution that gene therapy comes
29. stering innovation in vaccine discovery establishing links with industry or providing long term multidisciplinary commitment It is unfortunate then that philanthropic foundations and other donors aiming to fill the translational science gap have increasingly tilted towards the public sector model There are examples of successful integration of basic and translational research practices that should be learned from and expanded on These include the Neutralizing Antibody Consortium NAC set up by the International AIDS Vaccine Initiative IAVI the US National Institute of Allergy and Infectious Diseases NIAID intramural Vaccine Research Center and the recently established Ragon Institute in Boston Massachusetts Teams associated with these three institutions have been responsible for many of the most promising recent advances2 7 10 13 14 15 These institutions have established practices that emphasize long term eight years or more institutional commitment They reward proven scientific leadership and track records rather than project specific proposals they try to link researchers with those from outside HIV vaccine R amp D and they limit major project reporting and reviews of laboratories to multi year cycles increasing time for HIV vaccine design Building on these successes three new translational research funding mechanisms should be instituted Translational research teams must be established The Howard Hughes Medical Institute HHMI
30. successfully supports internationally recognized basic research scientists with a salary plus a portion of laboratory costs for a minimum of five years without restriction on their research direction This attracts talented scientists and fosters innovation Few HHMI like mechanisms exist for teams focused on HIV vaccine translational research Ten per cent of the annual investment in HIV vaccine R amp D should be refocused to provide such a mechanism for HIV vaccine development Young investigator awards should be set up by major stakeholders of the Global HIV Vaccine Enterprise http www hivvaccineenterprise org for scientists under age 35 These 6 of 8 09 12 2011 09 57 Le blog de chronimed http chronimed over blog com awards would attract the best new scientists to the challenges of HIV vaccine R amp D by offering 5 7 years of salary and flexible funding Investigators would be free within broadly defined research programmes to redirect their funds as new data emerge in exchange for expending at least 75 of their effort on the two major scientific problems noted above Developing such grants will require stakeholders including public sector research agencies and non profit foundations to invest in young scientists as components of multidisciplinary teams rather than relying on traditional investments in specific projects Incentives for expanded biopharmaceutical investment need to be set up Vaccines are made in industry yet industrial
31. ting HIV s ability to mutate rapidly and evade CMI responses Again such complex challenges require multidisciplinary teams and a different approach to funding translational research Enhancing translational research Total global investment for HIV vaccine R amp D for 2008 was US 868 million see chart a 10 decrease from 2007 ref 12 However only 5 10 was focused directly on trying to solve the two major vaccine design problems detailed above Moreover funding for translational research has generally been limited to 3 5 year programmes that primarily support small academic consortia and lack many of the industrial style disciplines needed for vaccine discovery and development Collectively such projects have a very low probability of success In addition academic scientists must split their time between research getting grants teaching and fulfilling administrative and managerial responsibilities limiting their time focused on the scientific problems HIV VACCINE INVESTMENT In 2008 global research and development spend totalled US 868 million Public sector 731 million Philanthropy 104 million Industry 33 million ADAPTED FROM REF 12 The funding mechanisms from national public sector research agencies have been effective in fostering basic research primarily through investigator initiated programmes These should continue However these mechanisms are not optimal for attracting new talent to HIV vaccine research fo
32. uchier a mis une hypoth se et l a valid e C est une d marche purement scientifique qui permet d apporter des informations int ressantes sur les mutations g n tiques qui donnent sa transmibilit au virus Ron Fouchier qui a tenu rappeler qu il avait obtenu pour mener cette exp rience le feu vert des autorit s n erlandaises a lui m me soulign comment gr ce ses travaux Nous savons aujourd hui quelles mutations surveiller ce qui en cas d pid mie permettra de la stopper avant qu il ne soit trop tard Mieux encore cette d couverte va permettre de d velopper temps des vaccins et des m dicaments Les Am ricains oppos s la publication des r sultats Si la question de la pertinence d une telle tude semble donc tranch e la controverse est bien plus nourrie en ce qui concerne la publication des r sultats des manipulations de Ron Fouchier L quipe n erlandaise a d j transmis ses donn es la revue Science Cependant avant de rendre public le d tail des travaux le comit ditorial du prestigieux magazine a sollicit l avis du NSABB Or ce dernier vient de s opposer tr s clairement la publication Les b n fices de cette publication ne surpassent pas le danger que repr sente le fait de r v ler comment reproduire ce virus observe dans le New Scientist Thomas Ingelsby membre du NSABB et du centre de bios curit de l universit de Pittsburgh en Pennsylvanie De son c t Micha l
33. up ration prolong e 3 Tractus gastro intestinal naus es douleurs abdominales des ballonnements syndrome du c lon irritable 4 G nito urinaire par exemple urgences urinaires ou pollakiurie nycturie 5 Sensibilit s la nourriture aux m dicaments aux odeurs ou aux produits chimiques D Production d nergie transports d ficiences cellulaires Au moins un sympt me 1 Cardiovasculaire par exemple incapacit tol rer une position verticale intol rance orthostatique hypotension syndrome de tachycardie orthostatique posturale palpitations avec ou sans arythmie cardiaque vertiges tourdissements 2 Respiratoire impression de manque d air une respiration laborieuse de la fatigue des muscles de la paroi thoracique 3 Perte de stabilit thermostatique par exemple une temp rature corporelle sous normale avec des fluctuations diurnes des pisodes de transpirations nocturnes des impressions r currentes de fi vre avec ou sans fi vre de faible intensit des extr mit s froides 4 Intol rance aux temp ratures extr mes Notes L intol rance orthostatique peut tre retard e de plusieurs minutes Consid rations p diatriques http chronimed over blog com 09 12 2011 09 57 Le blog de chronimed http chronimed over blog com Les sympt mes peuvent progresser plus lentement chez les enfants que chez les adolescents ou les adultes En plus de l puisement neurologique post e
34. ver blog com maladie de Lyme des t moins sains 63 Les tudes de Neuro imagerie montrent des l sions irr versibles punctiformes 64 une r duction approximative de 10 en volume de la mati re grise 65 66 une hypoperfusion 50 67 71 et un hypo m tabolisme du tronc c r bral 1 Des niveaux lev s de lactate dans les ventricules lat raux sont compatibles avec une diminution du d bit sanguin cortical un dysfonctionnement mitochondrial et un stress oxydatif 72 La recherche sugg re que le d r glement du SNC Syst me Nerveux Central et du syst me nerveux autonome modifie le traitement de la douleur et des aff rences sensorielles 29 47 73 74 La perception par les patients que des t ches mentales simples exigent un effort substantiel est appuy par des tudes de scanner IRM fonctionnel du cerveau qui indiquent une activit anormalement importante dans d avantage de r gions c r brales lors du traitement des informations auditives et cognitives spatiales 75 77 Une faible capacit d attention et de m moire de travail sont d importants sympt mes invalidants 20 75 78 D ficience immunitaire La plupart des patients ont comme point de d part de cette affection une atteinte infectieuse aigu comprenant des sympt mes grippaux et ou respiratoires Une large gamme d agents infectieux a t signal e dans les sous ensembles de patients y compris le R tro Virus X notropique de la leuc mie mu
35. with its own set of problems Because the antibody DNA is permanently inserted into the genome there s no way to turn it off if someone has an immune reaction against the antibodies But it won t be known whether such side effects exist until the method is tested in people something that Baltimore aims to do in the next few years The researchers at the Children s Hospital of Philadelphia meanwhile hope to get the first round of human trials of their technique started before the end of 2012 Nature doi 10 1038 nature 2011 9516 Share 7 of 8 09 12 2011 09 57 Le blog de chronimed http chronimed over blog com Par Chronimed CONTACT C G U SIGNALER UN ABUS ARTICLES LES PLUS COMMENTES 8 of 8 09 12 2011 09 57
36. xercices les sympt mes les plus vidents ont tendance tre neurologiques maux de t te troubles cognitifs et troubles du sommeil Notes Les fluctuations et la hi rarchie dans la s v rit des sympt mes ont tendance varier plus rapidement et plus radicalement que chez les adultes Classification Enc phalomy lite myalgique Enc phalomy lite myalgique atypique elle r pond aux crit res de l puisement neuro immunitaire post exercice mais pr sente deux sympt mes en moins parmi les crit res n cessaires Perturbation du sommeil ou Douleur peuvent tre absents dans des cas rares Exclusions Comme dans tous les diagnostics l exclusion des diagnostics alternatifs est r alis e par l histoire du patient l examen physique et les examens de laboratoire biomarqueurs ventuels Il est possible d avoir plus d une maladie mais il est important que chacune soit identifi e et trait e Les troubles psychiatriques primaires somatoformes et les toxicomanies sont exclues Sur le plan p diatrique a phobie primaire de l cole Entit s co morbides fibromyalgie syndrome de douleur myofasciale syndrome de l articulation temporo mandibulaire syndrome du c lon irritable cystite interstitielle syndrome de Raynaud prolapsus de la valve mitrale migraines allergies sensibilit s chimiques multiples thyro dite d Hashimoto syndrome de Sj gren d pression r actionnelle migraine et syndrome du c lon irritabl
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