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Lettre des services de l`État n°7
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1. Simon RIONDET Chef d antenne de l office centrale pour la r pression du trafic illicite des stup fiants Monique LOWINSKI Directrice des Libert s Publiques de la Pr fecture Fran oise TRIQUET Secr taire g n rale de la sous pr fecture du Marin de l tat ais Semaine de l industrie du 18 au 22 mars Journ e D fense et Citoyennet au RSMA le 20 mars Exercice de s curit civile sur le risque Tsunami le 20 mars Journ e portes ouvertes au CFA Agricole du Fran ois le 22 mars Journ e Mondiale de l eau le 22 mars La semaine de l industrie en Martinique du 18 au 24 mars AnG A C La semaine du d veloppement durable du ler au 21 avril La journ e nationale du r serviste le 13 avril Comit national de suivi des fonds europ ens 15 avril Exercice s isme zonal lesi7 et 18 avril Op ration tranquillit vacances chaque d but de vacances Consultation du public sur la gestion de l eau en Martinique du 5 novembre 2012 au 4 mai R unions publiques Mercredi 3 avril au Lorrain Jeudi 4 avril au Pr cheur Vendredi 5 avril Sch lcher Tira i PALT 1 Fran Emploi Coh sion sociale Alimentation Sant rmes Agriculture Police Jeunesse Mer Logement FR FET DELA MARTINIQUE i L tat en Martinique La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 Page 22 sur 22
2. Les conventions reposent sur deux axes majeurs qui vise r gulariser les constructions ill gales pouvant pr tendre l obtention d une autorisation d urbanisme permis de construire d claration pr alable dans la mesure o les caract ristiques de l ouvrage anciennet des faits type d infraction le permettent et la condition que celui ci n outrepasse pas la r glementation en urbanisme Concr tement il est mis la disposition du public un fascicule informatif venant en accompagnement d un dossier de demande d examen de situation Les mairies ayant pass les conventions d livrent ces documents et sont les points uniques d entr e pour introduire une telle demande Apr s examen par une instance compos e des repr sentants de l tat des communes et des acteurs Urbanisme Am lioration de l habitat Constructions illicites institutionnels en la mati re Agence 50 Pas ONF op rateurs raccordement r seaux la demande peut d boucher sur l obtention d une autorisation d urbanisme repr sente l autre volet des conventions Elle se traduit par la mise disposition des administr s des communes ou encore des professionnels du secteur profession du b timent chambre des notaires d un d pliant rappelant les d marches obligatoires pr alables tout projet et d taillant les risques pris par toute personne qui contrevient la r glementation Le volet pr venti
3. Cette possibilit est galement ouverte aux repr sentants l gaux soit d une personne morale g rant de soci t ou de syndic soit d une personne physique mineure sous tutelle La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 TE Ce dispositif permet aussi de signaler les faits depuis le lieu de vacances de la victime Elle doit se pr senter son retour au commissariat de police ou la brigade de gendarmerie choisi pour confirmer la plainte dans un d lai de 30 jours partir de l accuse de r ception de la pr plainte Les infractions concern es Toute atteinte contre les biens dont l auteur est inconnu comme par exemple vol dans votre r sidence principale ou secondaire papiers objets ou mat riels divers vol dans un v hicule automobile auto radio sac main vol de deux roues scooter bicyclette vol de t l phone portable d gradation ou destruction de biens priv s v hicule cl ture escroquerie ou abus de confiance La pr plainte en 2 clics sur www pre plainte en ligne gouv fr Mode d emploi Clic choisir le lieu o la d claration sera sign e dans la liste des commissariats de police ou brigades de gendarmerie Clic 2 renseigner le formulaire qui appara t puis valider votre saisie gt le commissariat de police ou la brigade de gendarmerie choisi contacte la victime de l infraction pour convenir d
4. TE confront s aux addictions r duire les risques aupr s de publics fragilis s ou expos s renforcer la pr vention aupr s des jeunes des scolaires et des tudiants ou encore mobiliser les milieux professionnels entreprises administrations sur les probl mes d usages psychotropes en vue notamment de lutter contre la consommation excessive d alcool au travail Libert Libert galit Fraternit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE FRAN AISE Premier ministre M1LDT www drogues gouv fr Mission interminaist riclle de lutre contre la drogue et La toxicomanie Enfin toute action contribuant l application de la loi sera recherch e Les porteurs de projet devront adresser leur dossier la pr fecture cabinet du pr fet Date limite pour les dossiers vid o protection et pr vention situationnelle leler juin 2013 Virginie LECOIN Chef du p le s curit 05 96 39 39 l6 virginie lecoin martinique pref go uv fr L tat en Martinique Page I sur 22 Production locale gt R vision en cours du Plan de Pr vention aux Risques Naturels PPRN Depuis novembre 2004 toutes les communes de la Martinique disposent d un plan de pr vention aux risques naturels PPRN Avant de proc der leur r vision r glementaire pr vue tous les 5 ans ces PPRN ont fait l objet d une valuation approfondie entre 2010 et 2011 associant collectivit s associations
5. la 3 me un second cycle de la 27de la terminale avec un statut du baccalaur at red fini mergence d une nouvelle conception de l orientation avec la modernisation des messages et des supports et le rapprochement avec le monde conomique Les propositions de l atelier Parentalit et scolarit ont port sur les finalit s de la co ducation assurer la continuit et la coh rence entre l ducation la maison et l cole remettre la r ussite et l panouissement de l l ve comme finalit sur l am lioration de l accueil des parents sur le r le des parents dans la vie de l cole et dans le suivi de la scolarit de leurs enfants Le recrutement les missions et l valuation des enseignants ont t propos s la r flexion des participants l atelier Le m tier d enseignant Tout un chacun s est accord pour consid rer qu une solide formation universitaire tait n cessaire mais pour autant n tait pas suffisante face un monde en constante mutation technologique dans lequel les sources de connaissances sont multiples et vari es Sur le recrutement des enseignants l atelier propose d int grer une forme de professionnalisation dans les cursus universitaires de faire voluer les preuves du concours vers une prise en compte significative de comp tences professionnelles Synth se A l issue de la concertation un rapport de synth se a t remis en octo
6. un rendez vous et informer des justificatifs factures pi ce d identit n cessaire pour le d p t de plainte gt lors du rendez vous des modifications peuvent tre apport es la d claration avant d tre sign e La plainte sera alors officiellement d pos e www pre plainte en ligne gouv fr EN CAS D URGENCE COMPOSEZ LE 17 OU LE 112 L tat en Martinique Page 10 sur 22 gt 2 appels projets MILDT et FIPD Dans le cadre de ses diff rentes politiques men es au titre de la pr vention de la d linquance de l aide aux victimes et de la lutte contre les drogues et les toxicomanies l tat est susceptible d apporter son soutien financier aux porteurs de projets publics ou priv s souhaitant mener des actions au plus pr s des populations dans ces domaines Ce soutien peut intervenir dans deux cadres au titre du Fonds interminist riel de pr vention de la d linquance FIPD ou au titre de la Mission interminist rielle pour la Lutte contre les drogues et les toxicomanies MILDT Certaines probl matiques transversales sont partag es C est la raison pour laquelle le pr sent appel projets est commun aux deux fonds d intervention tous deux g r s par le cabinet du Pr fet de la Martinique Au regard des sp cificit s identifi es en Martinique plusieurs priorit s ont t d gag es La MILDT comme le FIPD auront prioritairement vocation soutenir les actio
7. d mocratiser l acc s la culture en permettant tous les publics de d couvrir le film documentaire dans ses diff rentes facettes Elle compl te ainsi une s rie de dispositifs tels que Ecole et cin ma Coll ge au cin ma Lyc ens et apprentis au cin ma et Passeurs d images qui poursuivent les m mes objectifs en ciblant le cin ma et les publics dans toute leur diversit Depuis l an dernier cette op ration est pilot e en Martinique par l association Tchok en doc qui en est devenue le coordinateur r gional officiel en avril 2012 Cette association a comme objectifs de promouvoir le cin ma documentaire sous toutes ses formes cr ation r el fiction par la diffusion et la production de films afin de r v ler nos r alit s pragmatiques conomiques sociales et conomiques ainsi que notre po sie int rieure Avec le soutien de la DAC la DJSCS l ACSE et de la R gion Martinique elle s attache valoriser cette forme de cin ma et f d rer les actions programm es dans ce but L engouement croissant du public l implication des diff rents partenaires lieux de diffusion programmateurs de films financeurs permettent d esp rer le d veloppement de l op ration dans les ditions venir Projection plein air sur la plage du Carbet L tat en Martinique Page 21 sur 22 TE Arriv es Ronan LEAUSTIC Directeur des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi
8. es littoral et des Les risques terres agricoles interventio encourus lorsque ns plus l auteur de l ouvrage enfreint les r gles en s exposant notamment des poursuites p nales ou administratives qui peuvent aboutir de lourdes peines financi res et la d molition de l ouvrage ses frais A noter qu une entreprise qui aurait particip la construction d un ouvrage ill gal peut galement tre poursuivie A cet gard et il s agit l d un point fort de cette coordination r actives et compl mentaires L objectif est de stopper ce type de construction d s sa naissance L ensemble de cette d marche proc de d une vision long terme que doivent s approprier chacun des Martiniquais si l on veut l guer aux g n rations futures une Martinique o les milieux urbains soient g r s dans le respect du bien tre de tous avec des paysages qui restent le plus intacts possibles une biodiversit La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 TE prot g e et des remarquables pr serv s Les constructions anarchiques qui rongent les espaces sont une menace pour notre le et notre patrimoine commun espaces Le p le de lutte contre les constructions illicites impuls par le pr fet est coordonn par le sous pr fet de la Trinit Jean ALMAZAN et par le DEAL ric LEGRIGEOIS Laurent MAZZAGGIO DEAL Missions Enqu tes Publiques et Affaires Ju
9. uvre cette ann e Une formation sur les march s publics a t r alis e par la FNAB du 24 au 26 avril 2012 avec pr s de 50 participants L tat en Martinique Page 13 sur 22 Une tude sur les possibilit s et les conditions de d veloppement de l approvisionnement en produits locaux de la restauration collective sera port e d but 2013 par les deux interprofessions AMIV et IMAFLHOR afin de proposer des pistes d actions concr tes Une plateforme Internet de mise en relation de loffre producteurs et de la demande restauration collective en produits de proximit est en pr paration Le premier salon des professionnels de la restauration collective avec le concours de cuisine Manj nou s gou pi pl si Second th me l accompagnement des micros activit s en milieu rural Deux plaquettes d information ont t cr es sur les outils financiers existants N h sitez pas les consulter ici et l Le RRM participe deux tudes nationales L une visant recenser et tudier l ensemble des outils financiers et l autre sur la d finition des besoins des hors cadres familiaux et les dispositifs d accompagnement qui les concernent afin de mieux les conna tre et donc mieux les accompagner Le succ s de la manifestation du 7 novembre t moigne de l adh sion des participants au r seau rural et est le reflet de la bonne r ponse donn e cette th matique Les per
10. Enfin une structure permanente de pilotage et d animation sur chacun des quatre territoires est mise en place pour organiser le r seau des partenaires et assurer la conduite et le suivi des actions L tat en Martinique Page 5 sur 22 C est dans ce cadre qu a t sign e la convention par laquelle l ducation Nationale accepte de mettre disposition de PARS un certain nombre d enseignants qui personnels que les autres institutions h pitaux mairies CCAS accepteront leur tour de mettre disposition pour renforcer ces quipes TE globale de la population dans son milieu de vie r pondant ainsi l une des principales pr conisations de la Loi HPST int grent les quipes d animation territoriale Ces agents participeront ainsi au d veloppement du r seau des animateurs territoriaux de collectivit s et pr vention et seront bient t professionnels rejoints pour cette mission par les gt Refondons l cole de la r publique C est une dimension v ritablement innovante et une collaboration d terminante notamment avec les l ensemble des Contact Dominique SAVON Directrice de la pr vention et de la sant publique PARS dominique savon ars sante fr sant qui permettra une prise en charge galit des chances Synth se des propositions de l acad mie de la Martinique La concertation pour la refondation de l cole de la R publique s est d r
11. L Rencontre entre le recteur et le directeur de PARS pour la mis place du dispositif d animation territoriale Cette nouvelle approche qui vise r pondre au plus pr s aux besoins de la population a t traduite dans le Projet R gional de Sant PRS L objectif essentiel est donc le bon soin au bon endroit avec le bon professionnel de sante Pour ce faire PARS s appuie sur les r seaux professionnels et La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 associatifs les institutionnels et les communaut s hospitali res de territoire qui ont la volont de s inscrire dans un projet m dical de territoire C est sur cette base que va se d velopper L Animation Territoriale qui consistera en la mise en uvre du Projet R gional de Sant sur les territoires en vue de r pondre aux besoins r els de sant exprim s au niveau local L animation territoriale est donc une v ritable strat gie de promotion de la sant sur les diff rents territoires de proximit Pour r pondre cette exigence une organisation sp cifique a t mise en place Elle n cessite apr s le diagnostic local qui permet d identifier les enjeux locaux de sant l adh sion de tous au projet pour le territoire N concern e en Des programmes de travail et d animation sont alors d finis avec les partenaires et permettent d impulser des actions sur des th matiques concernant tous les publics
12. Observatoire rend un avis public 25 janvier D but des n gociations entre le Pr fet et les distributeurs repr sent s par le SDGA syndicat des distributeurs et grossistes alimentaires en majorit des enseignes et groupes de la grande et moyenne distribution en Martinique les producteurs et importateurs les compagnies maritimes les repr sentants de marque 28 f vrier Publication de l arr t pr fectoral au recueil des actes administratifs I5 mars Application de l arr t pr fectoral par les tablissements concern s Mars Le p le C de la DIECCTE contr lera les 14 magasins Avril Contr le automatique de chacun des magasins dont la liste aura t modifi e et qui aura port la connaissance des services de l tat les modifications survenues d autres types de produits yP P Les autres magasins dont la liste maura subi aucune modification seront contr l s par sondage en privil giant les magasins dans lesquels des manquements au dispositif auront t constat s lors du contr le de mars Il sagit uniquement de produits distribu s par des commer ants d taillants de la grande distribution l exclusion de produits faisant l objet d une r glementation ou d une r gulation particuli re ceci afin de ne pas interf rer avec les dispositions Tous les mois diffusion de la liste des produits sectorielles existantes ventuellement mise jour pour information aux Sont d
13. de langoustes et 2 8 M dans des secteurs autres Parmi les priorit s du CODAF la lutte contre le travail dissimul le BTP les vendeurs d or l h tellerie et la restauration le contr le des agents de s curit etc Les actions conjointes vont se poursuivre et seront renforc es dans ces secteurs et dans nombreux autres CODAF r uni le 25 f vrier 2013 en pr fecture sous la pr sidence du pr fet et du procureur de la R publique Contact Maryline MODESTIN DIECCTE secr taire permanente du CODAF maryline modestin dieccte gouv fr L tat en Martinique Page 8 sur 22 TE gt Le r f rent s ret diagnostiquer pour bien conseiller Afin d assurer au mieux la paix et la tranquillit publique et face au fort besoin de s curit exprim par la population les entreprises priv es et les lus la gendarmerie et la police nationales ont d velopp diff rents modes d action afin de pr venir et lutter contre la d linquance Cette action passe tout d abord par la pr vention technique de la malveillance Les r f rents s ret sont des policiers ou gendarmes ayant suivi une formation sp cifique leur permettant de dispenser des conseils de s ret tant sur le plan l gislatif mat riel qu humain et de r aliser des audits ou diagnostics de s ret au b n fice des professionnels du champ scolaire commercial industriel ou institutionnel Leur r le est de d velopper les partenariat
14. de ces march s afin de fournir un service de qualit aux clients du GPMLM Jean R my Villageois entend poursuivre sa mission avec l ambition de la meilleure int gration possible du port de la Martinique dans son environnement conomique et carib en Genevi ve PILON Chef du Service D veloppement Commercial amp Communication 0596590042 g pilon martinique port fr L tat en Martinique Page 19 sur 22 TE gt Le pilotage maritime une activit sous tutelle de l Etat qui participe l conomie portuaire A l instar de tous les ports de commerce le Grand Port Maritime de la Martinique abrite une activit m connue le pilotage maritime de la Martinique participe la s curit la s ret et la promotion de la place portuaire de Fort de France mais aussi la s curit de la navigation Bellefontaine au Marin et dans la baie du Marin pour les navires sup rieurs 50 m tres qui y font escale La tutelle de l Etat sur cette activit organis e par la loi du 28 mars 1928 et du d cret du 19 mai 1969 modifi s explique en raison du caract re obligatoire du pilotage dans certaines limites g ographiques du monopole dont la station de pilotage b n ficie sur cette activit et de sa participation la s curit des navires et du port ce titre par d l gation du pr fet le directeur de la mer r unit chaque ann e la derni re ayant eu lieu le 20 d cembre 2012 l asse
15. et socio professionnels Point d tape sur cette r vision Les r sultats de cette valuation ont servi lors des tudes pr alables la r vision Au del de la mise jour des al as permise par l accumulation permanente de connaissances la r vision du r glement a ainsi pris en compte la plupart des observations remont es lors de l valuation et portant notamment sur les difficult s d application des pr c dents PPRN De mani re formelle le PPRN r vis a fait l objet d une consultation aupr s de chaque commune et EPCI partir de mars 2012 Prolong e la demande des lus compte tenu des p riodes lectorales cette s quence de concertation s est conclue le 5 d cembre 2012 par une r union pr sid e par le pr fet avec l association des maires Cette d marche partenariale a permis vingt et une communes et la CACEM de formaliser leur avis sous forme de d lib ration et ou de lettre Chacune a re u une r ponse de la DEAL d taillant les suites donn es ses remarques Maisons sinistr es par un mouvement de terrain au Fran ois en 2004 La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 DDAN MARTINIQUE Suite ces changes les dossiers PPRN ont t amend s et les courriers ont t int gr s aux dossiers d enqu te publique finalis s fin 2012 Compte tenu du grand nombre de commissaires enqu teurs mobiliser la totalit des communes de la Martiniq
16. illustration de la dynamique engag e sur l ann e Ouvert tous les professionnels travaillants sur ce th me producteurs et organisations professionnelles agricoles gestionnaires et cuisiniers agro industriels mais aussi aux lus et autres acteurs du r seau rural il visait rapprocher l offre et la demande en produits locaux La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 TE en proposant un espace d changes professionnels en pr sentant les diff rents fili res directement par les professionnels agricoles Salon professionnel Produits de l agriculture locale et restauration collective Deux th matiques de travaux avaient t choisies lissue d une tude r alis e aupr s des acteurs Premier th me La valorisation des produits locaux notamment au sein de la restauration collective Volet I Consolider et d velopper les circuits courts de commercialisation Dans un contexte o moins de 20 de la production agricole v g tale transitent par les coop ratives et o on voit se d velopper de plus en plus de march s informels au d triment des march s officiels il est important de mieux conna tre et de valoriser les circuits courts de commercialisation l gaux Un travail d analyse de lexistant est en cours Volet 2 Favoriser l augmentation des produits locaux au sein de la restauration collective Quatre actions ont t mises en
17. susceptible d une peine d amende pr vue pour les contraventions de 5e classe sans pr judice de la l gislation sur l interdiction de la revente perte La lettre des Services de l tat F vrier 2013 n 7 TE STATUT JURIDIQUE DE LA LISTE DE PRODUITS ET DU CO T GLOBAL DE LA LISTE Aux termes de l article L 410 5S IIT du code de commerce le prix global de la liste doit tre affich e dans les magasins concern s par le dispositif bouclier qualit Prix en application des dispositions suivantes de l article L I 13 du code de la consommation Tout vendeur de produit ou tout prestataire de services doit par voie de marquage d tiquetage d affichage ou par tout autre proc d appropri informer le consommateur sur les prix les limitations ventuelles de la responsabilit contractuelle et les conditions particuli re de la vente selon les modalit s fix es par arr t du ministre charg de l conomie apr s consultation du Conseil national de la consommation Contact DIECCTE P le C Standard 05 96 55 I5 Liste des produits et des magasins disponible sur le site de la pr fecture www martinique pref gouv fr Page 4 sur 22 galit des chances gt L animation territoriale comment assurer l acc s de tous une sant de qualite L un des objectifs principaux de la loi HPST H pital Patients Sant et Territoires est de parvenir une meilleur
18. 121 Quelques chiffres sur les mesures phares P riode 2007 2012 Mesure 12 Installation des jeunes agriculteurs Plus de 80 jeunes install s Mesure I2l1 Modernisation des exploitations agricoles de 24 M programm s dont 14 M en diversification mara chage et levage Mesure 123A Accroissement de la valeur ajout e des produits agricoles Pr s de 3 6 M programm s sur des projets de transformation des productions locales Mesure 214 Mesures Agro Environnementales Pr s de 6 6 M attribu s aux agriculteurs ayant souscrit une MAE Axe3 Qualit de la vie en milieu rural et diversification de l conomie rurale Pr s de 13 7 M programm s pour le d veloppement de micro entreprises lacc s internet l acc s au syst me d assainissement etc La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 L tat en Martinique Page 15 sur 22 TE gt Bilan cyclonique de l ann e 2012 le point avec M t o France L ann e 2012 fut finalement une ann e m t orologiquement assez calme en Martinique Seulement 14 pisodes de vigilance contre 25 en 2011 et 21 en 2010 par exemple sur moins de 30 jours contre 55 en 2011 et 35 en 2010 Il faut surtout noter un deuxi me semestre particuli rement beau et chaud remarquable par le fait qu aucun pisode notable soit survenu ni en juillet ni en septembre pic de lactivit cyclonique norm
19. La lettre des services e l tat F vrier Mars 2013 n 7 DOSSIER Bouclier qualit prix Sant L animation territoriale acc s de tous une sant de qualit ducation Refondons l Ecole de la R publique S curit Bilan CODAF Le r f rent s ret La pr plainte en ligne Appels projets FIPD et MILDT Environnement Le r seau rural de la Martinique FEADER en fin de programmation Bilan cyclonique de l ann e 2012 Am nagement du territoire Lutte contre les constructions illicites D veloppement conomique Grand Port Portrait de J R Villageois Le pilotage maritime une activit sous tutelle de l Etat et conomie portuaire Culture Le mois du documentaire Carnet et Agenda EE li s Eyri 1 R PUBLIQUE FRAN AIS PREIEI DE LA MARTINIQUE L i TAT EN ACTION EN MARTINIQUE CE ne Wk Fa i dito Dans un contexte difficile marqu par le maintien du ch mage un taux tr s lev une faible consommation des m nages et des conditions d investissement difficiles les enjeux de d veloppement conomique et de soutien au tissu conomique local constituent une priorit pour l tat Aux c t s des collectivit s territoriales des organismes consulaires et des organisations professionnelles les services de l tat sont pleinement mobilis s pour accompagner la mise en uvre des dispositifs destin s soutenir l emploi signat
20. alement ni en novembre mois habituellement tr s perturb Golfe du Mexique 9 temp tes tropicales et 10 ouragans ce qui place 2012 dans le top 5 des ann es ayant vu le plus de cyclone depuis 1950 m me si l indice d activit cyclonique est rest proche de la moyenne des I5 derni res ann es Cependant aucun ouragan n est venu menacer les Petites Antilles la Martinique n a donc t concern e que par les effets p riph riques des temp tes d intensit relativement faible Ernesto et Isaac en ao t puis Rafael en octobre ce dernier rappelons le ayant donne des pluies diluviennes sur la Guadeloupe la mi octobre ES M 1 M ES D RE D D ER D D E pisode 1 a w y na a na p3 y F4 2 a i Nombre d pisodes m t orologiques par type d al a et par mois Trois pisodes tous li s la proximit d une temp te tropicale ont n cessit un niveau de vigilance orange mais aucun sur les 14 n a justifi un niveau rouge ou violet 9 cyclones ont t nomm s cette saison sur l ensemble du bassin Atlantique Nord Caraibes MTE tele PAPA rest s 3 METEO FRANCE h Toujours un temps d avance n cessitant un passage en vigilance rouge fortes pluies orages dans la nuit du 13 au 14 octobre La Martinique a t plus chanceuse et a souvent vu les bandes de pluies actives passer quelques dizaines de kilom tres des c tes les cumuls de pr cipitation
21. bre 2012 au Ministre de l ducation Nationale et la Ministre d l gu e la reussite ducative Un projet de loi intitul Une cole plus juste pour tous et exigeante pour chacun a t adopt en Conseil des ministres le 23 janvier 2013 Ce projet d finit les grandes orientations de la refondation mettre en place une nouvelle formation initiale et continue aux m tiers du professorat et de l ducation et faire voluer les pratiques p dagogiques donner la priorit l cole primaire faire entrer l cole dans l re du num rique faire voluer les contenus de l enseignement leur organisation et leur valuation favoriser la r ussite de tous dans le second degr mieux associer les partenaires de l cole et mieux valuer le syst me ducatif LA PROJET DE LOI POUR LA REFONDATION DE L COLE L tat en Martinique Page 7 sur 22 gt Bilan des actions de lutte contre la fraude engag es en 2012 dans le d partement Lundi 25 f vrier 2012 s est r uni le comite op rationnel d partemental de lutte contre la fraude CODAPF pr sid conjointement par le Procureur de la R publique Les chiffres de la fraude en Martinique en 2012 Le CODAF a effectu en 2012 281 FRAUDER e dont 76 et le Pr fet CE coordonn es CODAF associe VOLER et proc d les services de 46 l tat concern s p signalements par la lutte CELUI QUI FRAUDE SERA SANCTIONNE en interne cont
22. cial apais dans les coles et les tablissements le b ti scolaire et la sante scolaire Pour cr er un climat propice au travail et prendre en charge la violence dans et aux abords des tablissements l atelier propose de d velopper les partenariats avec les acteurs de la soci t de prendre en charge les l ves en grande difficult par et avec des structures ext rieures l cole et de mettre en place des l ves pairs en lyc e Pour faire face la v tust du b ti scolaire une architecture parfois inadapt e au vandalisme des quipements et la baisse d mographique l atelier propose de mieux adapter le b ti aux exigences de l enseignement et aux r alit s de l environnement local de r duire les nuisances sonores etc La r flexion men e dans atelier Egalit des chances a fait merger trois points forts les actions relevant des politiques publiques la r organisation de l cole et un meilleur accompagnement de la diff rence Il s agit d largir les crit res retenus pour un classement en zone prioritaire de d velopper le num rique tout niveau de mettre en uvre une politique syst matique d internat Sur la r organisation de l cole suppression du redoublement remplace par des suivis personnalis s r organisation du parcours de l l ve en deux cycles un ler cycle de la petite section La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 TE
23. dustriel et commercial et surtout d tre au ler janvier en ordre de fonctionner sous ce nouveau r gime La cr ation de l tablissement s est donc op r e dans des d lais tr s serr s et ce fut possible gr ce notamment a pleine adh sion des acteurs principaux salari s de la Mission et de la Concession partenaires socio professionnels et ce malgr un environnement complexe Car les objectifs taient ambitieux mettre en route une agence comptable capable de relever le d fi du paiement des fournisseurs et de garantir le La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 versement des salaires aux personnels dans les m mes conditions de d lai qu auparavant Il a fallu faire face aux attentes fortes et l gitimes des salari s de la Mission et de la Concession repr sent s par leurs organisations syndicales mais galement celles exprim es par les clients et professionnels acteurs du port Le lundi 25 Mars prochain aura lieu sous l gide du Pr fet de la Martinique l installation de l organe cl du Grand Port Maritime de la Martinique le Conseil de Surveillance compos de 17 membres l issue duquel Jean R my Villageois devrait tre propos comme Pr sident du Directoire du GPMLM Deux axes majeurs conduiront son action le d veloppement de l activit conteneur et le d veloppement de la croisi re Les actions qu il entreprendra r pondront aux exigences
24. e coop ration des professionnels de sant sur le terrain et d am liorer la prise en charge du patient dans sa globalit Elle donne ainsi une vision d cloisonn e de la sant int grant pr vention soins m dico social ainsi que toutes les actions s y rapportent telles que la politique de la ville C est pour cela que le territoire se trouve au c ur du dispositif pr conis par cette loi qui pr cise que PARS d finit les territoires de sant pertinents pour les activit s de sant publique de soins d quipements des tablissements de sant de prise en charge et d accompagnement m dico social ainsi que pour lacc s aux soins de premier recours D L enjeu de r duction des in galit s sociales et territoriales tant fondamental la notion de territoire de proximit devient d s lors prioritaire L analyse de l tat de sant de la population des modalit s de recours aux soins et des d terminants sociaux d montre en Martinique l existence de zones d ficitaires et fragiles des disparit s au niveau de l offre sanitaire m dico sociale et de pr vention le Nord tant le plus souvent d favorise le manque d accessibilit et de proximit pour certaines prises en charge C est pourquoi bien que disposant juridiquement d un seul territoire de sant ARS Martinique a propos de d couper la R gion en 4 Territoires de proximite
25. e la ministre d l gu e la r ussite ducative Georges PAU LANGEVIN Les travaux de l atelier Le socle commun des connaissances et des comp tences se sont fond s sur deux constats le socle commun est mal connu des parents des l ves et des enseignants eux m mes sa mise en uvre est lente difficile et mobilise de fa on variable les quipes p dagogiques L atelier propose deux principes clarifier la notion de comp tence mieux former et accompagner les diff rents partenaires enseignants et usagers partir de ces principes neuf propositions sont formul es en L tat en Martinique Page 6 sur 22 particulier la simplification du Livret Personnel de Comp tences outil d valuation de validation et de communication L atelier Les l ves en difficult s est int resse une th matique pr occupante dans notre acad mie et a nonc quelques principes forts toujours venir en aide l l ve en difficult rep rer et assurer une prise en charge pr coce personnaliser cette prise en charge dans un projet global mis en uvre par une quipe pluri comp tente comportant un volet ducatif et un volet li aux apprentissages donner du sens et renforcer l estime de soi tr s d grad chez les l ves en difficult prolonger le suivi dans le temps Les travaux de latelier Les conditions de scolarisation des l ves se sont organis s autour de trois th mes un climat so
26. e perigord gendarmerie interieur gouv fr Major Jocelyn ALCINDOR 05 96 59 40 04 jocelyn alcindor interieur gouv fr L tat en Martinique Page 9 sur 22 gt La pre plainte en ligne Depuis le 4 f vrier 2013 le dispositif de pr plainte en ligne est g n ralis l ensemble du d partement A la suite d une p riode d exp rimentation et d enqu tes de terrains r v lant un bon taux de satisfaction le minist re de l Int rieur g n ralise la pr plaine en ligne l ensemble du territoire national Ce nouveau dispositif est destin am liorer l accueil des victimes d infractions Il permet un signalement imm diat des faits commus tout en r duisant par la prise de rendez vous le d lai d attente lors du d p t de plainte dans les locaux de la police ou de la gendarmerie Ce service en ligne s arr te d s lors qu il y a agression physique ou atteinte la personne pour garantir un meilleur accompagnement de la victime La pre plainte en ligne est un nouveau dispositif que met en place l tat pour simplifier les d marches pour les victimes d une atteinte contre les biens pour laquelle l auteur n est pas identifi Cette d marche d mat rialis e accessible de n importe quel acc s Internet permet de renseigner un formulaire de pr plainte en ligne et d obtenir un rendez vous aupr s du commissariat de police ou de la brigade de gendarmerie de son choix pour signer une plainte
27. es offerte ensemble des acteurs du monde rural martiniquais pour partager des exp riences valoriser les bonnes pratiques cr er de nouveaux partenariats et ainsi favoriser l mergence de projets de d veloppement rural de qualit Ce r seau en plus de son objectif de rassembler les gens vise identifier les bonnes id es pour les faire fructifier Il permet l mergence de projets concrets qui s int grent dans le territoire pour en permettre un d veloppement harmonieux et p renne Le r seau rural martiniquais est copilot par le Conseil G n ral le Conseil R gional et l Etat via la DAAF Il est organis autour de Une assembl e annuelle Un Comit de pilotage restreint compos des copilotes et un comit de pilotage largi avec les chefs de file des actions g n rale AMIV CEASM et Chambre d agriculture pour 2012 et d autres acteurs cl s constituent l instance d cisionnelle Une cellule d animation assur e par Or ade Br che en place depuis le ler juillet 2011 Deux groupes de travail th matiques r unissant des acteurs d horizon divers Accueillie au Conseil R gional par Jos Maurice Pr sident de la commission agriculture du Conseil R gional l assembl e g n rale du R seau Rural s est tenue le 17 novembre 2012 Elle inaugurait exceptionnellement le premier salon professionnel Produits de l agriculture locale et restauration collective
28. estin e au Galion accompagnement d une exploitation touch e par la contamination la chlord cone mais aussi les primo demandeurs Concernant les paiements le risque de perte de cr dits communautaires par d gagement d office est pr sent chaque ann e et contraint les services de la DAAF suivre de pr s les remont es de d penses Une fois de l Europe avec le FEADER IIE plus cette ann e le d gagement d office a t cart seulement depuis d but d cembre A ce jour 48 millions d euros ont t pay s soit 59 7 du montant programm et 46 1 de la maquette Pour l ann e 2013 20 2 millions d euros de FEADER suppl mentaires doivent tre pay s pour viter un d gagement d office et ainsi atteindre le seuil de 67 9 millions d euros en paiement soit 65 de la maquette financi re Le challenge reste donc entier Il est n cessaire que tous les porteurs de projets r alisent rapidement leurs investissements que se soient les ma tres d ouvrages publics ou les ma tres d ouvrages priv s Un suivi mensuel des dossiers est mis en place afin de proc der au d sengagement et au recyclage des cr dits FEADER pour toute op ration dormante n ayant pas d but les travaux dans les 6 mois suivant la d cision d attribution d aide ou partiellement r alis e Contact Lise JEAN LOUIS adjointe la directrice service animation et pilotage lise jean louis agriculture gouv fr 05 96 712
29. if Bouclier qualit prix est introduit par les dispositions de la loi LUREL 2012 1270 du 20 novembre 2012 relative la r gulation conomique outre mer et portant diverses positions relatives aux outre mer article 15 de la loi introduisant un article L 410 5 du code de commerce et celles du d cret 2012 1459 du 26 d cembre pris pour l application de la loi et relatif aux accords annuels de mod ration de prix de produits de grande consommation La Guadeloupe la Martinique la Guyane La R union Mayotte Saint Pierre et Miquelon et Wallis et Futuna sont concern s par ce dispositif Explication du dispositif et du calendrier de mise en uvre Tenant compte des observations formul es par l observatoire des prix des marges et des revenus la liste de produits r sulte de la volont des parties d quilibrer la part de chaque cat gorie de produits marques propres premiers prix ou marques distributeurs ACTEURS DU DISPOSITIF produits locaux marques nationales et produits frais Le dispositif Bouclier Qualit Prix a donn lieu des n gociations cadr es entre les acteurs de la grande distribution les producteurs et importateurs les compagnies maritimes les repr sentants de marque et l tat durant les 2 premiers mois de l ann e 2013 Ce travail de n gociations avec l ensemble des acteurs de la cha ne a abouti un L Observatoire r gional des prix des marges et des accord qui concerne ce stade
30. ilance et des proc dures d alerte Pour cela une formation a t organis e en juillet M t o France l intention des m dias principaux Radio TV et presse crite et des acteurs de la S curit Civile Cette action jug e positivement par l ensemble des acteurs ne manquera pas d tre reconduite en 2013 L tat en Martinique Page 16 sur 22 Am nagement du territoire gt La lutte contre les constructions illicites La lutte contre les constructions ill gales est un enjeu r current pour les autorit s publiques en Martinique En effet outre la violation de la loi ces ouvrages cr ent des nuisances diverses mitage des espaces impact n gatif sur l environnement urbanisation anarchique probl mes de voisinage iniquit de traitement entre administr s manque gagner pour les recettes des communes la liste est longue et non limit e Le pr fet a souhait faire de ce sujet une priorit de l action de l tat en Martinique et a impuls la cr ation d un p le de lutte contre les constructions illicites au printemps 2012 Avec la signature de conventions pass es entre le pr fet et les communes du Carbet de Case Pilote du Gros Morne et de Trinit le II juillet 2012 le p le s est dot d un nouvel outil qui permet de f d rer les efforts et de renforcer les partenariats entre les diff rents acteurs impliqu s D autres communes sont en passe d adh rer ce dispositif
31. la revenus met un avis pr alable l ouverture des grande distribution et les n gociations Les magasins producteurs importateurs Le repr sentant de l tat m ne les n gociations O le PT TO protocole d accord Les n gociations ont d but le 25 Les acteurs conomiques intervenant dans la cha ne ont jes janvier 2013 date de la premi re d approvisionnement des produits de grande tablissements du r union convoqu e par le Pr fet consommation distributeurs et leurs fournisseurs et se sont achev es lors de la producteurs grossistes importateurs repr sent s par r union du mercredi 27 f vrier leurs organisations professionnelles 2013 au terme du d lai d un mois pr vu par l article L 410 5 du code de commerce et ont abouti un accord Cinq r unions se sont tenues en pr sence du Pr fet pour parvenir au pr sent accord Le bouclier prix a t fix un montant de 365 sur une liste de 101 produits g n riques applicable dans 14 tablissements secteur du commerce de d tail dominante alimentaire d une surface gale ou sup rieure 1 000 m l exclusion des discounters Par ailleurs deux conventions hors d cret permettront une mise en uvre d une mod ration de prix sur des listes d un nombre restreint de produits pour des tablissements qui en raison de leur surface ou de la gamme de produits vendus discount ne pouvaient int grer le dispositif r gleme
32. mbl e commerciale du pilotage Cette assembl e se compose de diff rents coll ges repr sentant les armateurs les usagers du port la station de pilotage Sur proposition de celle ci elle se prononce annuellement sur les tarifs appliqu s aux navires selon diff rents param tres jauge longueur lieux d escale types de navires et de lignes tandis qu un arr t pr fectoral visant cet avis ent rine ces m mes tarifs Bon an mal an l augmentation des tarifs du pilotage varie entre et 3 par an La station de pilotage de la Martinique compte un effectif de 4 pilotes 9 marins et 4 s dentaires Elle g n re un chiffre d affaires de l ordre de 1 4 millions d euros et assure quelques 2500 mouvements de navires par an Son activit se fonde sur le professionnalisme de son personnel en particulier des pilotes officiers de la marine marchande recrut s sur concours organise La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 sous l gide de la Direction de la mer lorsqu il s agit de remplacer un pilote partant la retraite ou de recruter un pilote suppl mentaire Ce haut niveau de qualification et la disponibilit des pilotes H 24 sont des l ments garantissant la qualit du service rendu et contribuent par la m me la fiabilit du port Olivier MORNET directeur de la Mer 05 96 60 79 85 L tat en Martinique Page 20 sur 22 Cin matographie gt Le mois du documentai
33. ns de pr vention r alis es en direction des jeunes Les projets mis en uvre l chelle des territoires prioritaires territoires de la politique de la ville zone de s curit prioritaire de Fort de France et des communes dot es d un CLSPD sous r serve de l analyse enjeux de d linquance seront privil gi s Le soutien et la responsabilisation des parents l application de la loi et le d veloppement des alternatives aux poursuites la formation d acteurs relais sont autant de lignes d action conjointes Appel projets du FIPD En 2013 le FIPD aura vocation soutenir plus particuli rement des actions relatives la lutte contre la r cidive la pr vention de la d linquance ou aux actions de m diation visant la tranquillit publique Il viendra galement en appui des actions men es en mati re d aide aux victimes de lutte contre les violences intrafamiliales et les violences faites aux femmes en mati re de soutien l ing nierie et aux actions caract re national et en mati re de vid o protection et de pr vention situationnelle Appel projet MILDT La MILDT pourra contribuer la r alisation des projets destin s am liorer le niveau de connaissance des citoyens sur le danger des drogues et de l alcool soutenir les parents dont les enfants sont concern s par les addictions former les acteurs La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7
34. ntaire Signature de l accord fixant la liste des produits et le prix de la liste le 27 f vrier 2013 en pr fecture La lettre des Services de l tat F vrier 2013 n 7 Page 2 sur 22 Une premi re convention sera sign e entre l tat et les GMS d une surface de 800 m 1000m ainsi que les discounters Elle concerne une liste de 50 produits Une seconde convention sera sign e entre l tat et les tablissements de moins de 800 m et concernera une liste de 25 produits PRODUITS CONCERN S Le dispositif cr par l article 15 de la LRE codifi au nouvel article L 410 5 du code de commerce porte sur les produits de grande consommation il s agit donc des produits les plus consomm s au quotidien qui ne sont pas restreints aux seuls produits dits de premi re n cessite s agit d une notion plus large le l gislateur ayant souhait que puissent tre constitu s des paniers r pondant aux habitudes de consommation et pas uniquement aux besoins de base Il s agit donc de produits alimentaires d hygi ne et d entretien m nager de produits destin s aux tr s jeunes enfants de fournitures scolaires et de petit quipement principalement ces cat gories ne sont cependant pas exhaustives les habitudes de consommation locales pouvant justifier l int gration P 4 janvier Saisine de l Observatoire des prix des marges et des revenus par le repr sentant de l Etat 7 janvier L
35. on rappelle un l mentaire principe en droit de l urbanisme L auteur de toute construction sup rieure 5 m quelle que soit sa nature et sa destination doit respecter 4 r gles absolument essentielles l se rendre la Mairie pour d clarer son projet 2 s assurer que le terrain est constructible 3 accomplir les formalit s pour obtenir l autorisation 4 construire en respectant les prescriptions pr cis es par l autorisation En outre une autorisation de d frichement d livr e par l ONF est n cessaire La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 L tat en Martinique Page 17 sur 22 L exp rience le beaucoup de nos pensent que la possession d un titre de propri t ou du droit de jouissance d un terrain quivaut d montre que concitoyens renforc e place asserment s pour entre communes des brigades mixtes tat communes ont t mises en les agents verbaliser de D sormais tat et un droit telles automatique Sur la base des infractions constructio construire Cette constat es ces 10 derni res ns vision fausse des s patrouillent choses doit tre MINES la moiti des conjointem rectifi e En effet Constructions ill gales ent ce qui seule une d marche prosp rent dans des permet un aupr s des mairies zones qu il convient de meilleur peut dire si une quadrillage construction est Preserver ZONES du terrain possible ou non naturelles prot g
36. onc exclus le gaz et le carburant r glementation consommateurs des prix sp cifique outre mer l eau monopole naturel local dont la tarification d pend du mode de gestion retenu par la collectivit comp tente l lectricit tarifs faisant l objet d une p r quation nationale l acc s internet et la t l phonie cadre communautaire de r gulation sectorielle ad quation avec les habitudes de consommation locales LISTE DES PRODUITS En application des dispositions de la loi pr cit e une liste d au moins 00 produits prix r duits a t tablie pour tre propos e au consommateur La liste des produits cr e partir d une matrice commune aux cinq chariots types existants dans les DOM compl t e par un certain nombre de produits de grande consommation n cessaires au quotidien des m nages indiqu s par les pr fets ex petit quipement fournitures scolaires Cette matrice a servi de support de base lors des discussions au sein des OPR puis lors des n gociations men es par le repr sentant de l Etat afin d tre en La lettre des Services de l tat F vrier 2013 n 7 Page 3 sur 22 PRIX GLOBAL DE LA LISTE Le prix global maximum fix par l arr t porte sur la liste les commer ants sont donc ensuite libres quant la fixation des prix de chaque produit contenu dans cette liste II leur appartient de d terminer la r partition de cet effort global
37. oul e dans notre acad mie dans le cadre d un s minaire les 17 et I8 septembre au lyc e de Bellevue Fort de France Les travaux en atelier ont r uni 118 personnes de la communaut ducative toute enti re La synth se des ateliers a t restitu e en pr sence de Madame George PAU LANGEVIN Ministre d l gu e la r ussite ducative du recteur des repr sentants des collectivit s locales et du pr fet de la R gion Martinique le 18 septembre 2012 L atelier Priorit l cole primaire a fait le constat de r sultats contrast s d in galit s qui se creusent de r formes pas assez efficaces et d un investissement insuffisant dans les premi res ann es de la scolarit Il a formul cinq propositions mettre en place dans chaque cole maternelle un enseignant suppl mentaire pour le g n ralisation du programme exp rimental PARLER donner l cole maternelle les moyens d une p dagogie efficace renforcer la formation initiale et continue des enseignants affect s en cole maternelle impliquer l intercommunalit dans la planification et la rationalisation de l offre d quipements culturels et sportifs au profit des coles doter les municipalit s d un cahier des charges portant d finition d un cadre d exigences commun relatif au b ti et aux quipements scolaires La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 Restitution des ateliers lors de la visite d
38. re une manifestation nationale relay e en Martinique Du 3 novembre au ler d cembre le Mois du film documentaire Martinique 2012 a investi l lieux du d partement et propos au public un cin ma du r el autour du th me Partitions Initi e par le centre national de la cin matographie CNC et le minist re de la culture et de la communication MCC cette manifestation a t relay e en Martinique par la direction des affaires culturelles DAC et pilot e par l association Tchok en doc 5 films 25 s ances grand public 6 s ances scolaires soir e sp ciale 5 soir es en plein air 2 concerts des animations des d bats et des ateliers ont permis un public de plus de 1000 spectateurs deux fois plus nombreux que l an dernier de d couvrir d autres formes de cin ma La pr sence et l intervention de M Brice AHOUNOU anthropologue lors de projections rencontre de films ethnographiques ont mis en lumi re les artistes haitiens Cette manifestation nationale propose depuis treize ans de faire d couvrir la richesse du cin ma documentaire en f d rant de multiples programmations et en diversifiant les lieux de diffusion La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 afin d interroger les r alit s sociales et culturelles travers leurs repr sentations visuelles et sonores Cette op ration s inscrit dans la politique de la DAC qui vise promouvoir l ducation l image et
39. re fraude 378 police infractions gendarmerie finances publiques douanes direction des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi et les organismes locaux de protection sociale CGSS p le emploi Caf etc Cette instance est charg e de d finir les actions prioritaires mettre en oeuvre pour am liorer la coordination de la lutte contre la fraude qui porte atteinte aux finances publiques et contre le travail ill gal La r union avait pour objectif de dresser le bilan des activit s des services concern s pour l ann e 2012 et arr ter les priorit s pour 2013 ont t relev es essentiellement de la dissimulation de salaries 90 de la dissimulation de salari s avec emploi d trangers sans autorisation de travail 83 de la dissimulation d activit 48 et de la fraude au RSA 43 En 2012 le montant total de la fraude s l ve 6 3 Millions d Une augmentation du nombre de fraudes r v l es est constat e dans tous les secteurs d activit s En d tails cela repr sente 1 9M lt dans le secteur du BTP 45K dans l agriculture 69 5K dans la restauration 60K dans le transport 239K dans le commerce 63K dans le secteur des garages automobiles 5 5K dans les bijouteries 25K pour les attributions des aides M pour La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 la p che ill gale de lambis et
40. ridiques 05 96 59 59 49 laurent mazzaggio developpemen t durable gouv fr L tat en Martinique Page 18 sur 22 gt Un nouveau directeur aux commandes du GPLML Jean R my VILLAGEOIS Portrait La cr ation du Grand Port maritime de La Martinique GPLM a t act e par un d cret en date du ler octobre 2012 sign conjointement par le sign conjointement par le ministre des outre mer et par le ministre d l gu aupr s de la ministre de l cologie du D veloppement durable et de l nergie charg des Transports de la Mer et de la P che Jean R my Villageois Martiniquais 45 ans ingenieur de formation de tradition maritime avec une exp rience l International ces derni res ann es en charge du d veloppement de nouveaux march s chez STX a t sollicit par l Etat via le Minist re des Transports pour prendre la Direction du Grand Port Maritime de la Martinique GPMLM cr au ler Janvier 2013 l issue d une p riode de pr figuration de moins de 3 mois Lorsqu il arrive la Martinique le 8 Octobre 2012 la mission du pr figurateur jean R my Villageois est de pr parer la mise en uvre de la r forme de la gouvernance portuaire Un challenge de taille car il s agit bien de passer sans transition d un syst me concessif un port g r pendant 60 ans par la Chambre de Commerce et d Industrie de la Martinique un tablissement Public de l tat caract re in
41. s et les coups de vents associ s sont mod r s quelques cumuls en 24 heures ont d pass 100 mm et des rafales ont souffl un peu plus de 100 km h mais n ont pas engendr de d gats importants Cette ann e 2012 fut l occasion pour M t o France et les La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 services de la Pr fecture S curit Civile notamment d insister et de mieux communiquer sur la distinction de leurs domaines de responsabilit et la compl mentarit des r les M t o France expert aupr s du Pr fet pour la gestion de crise m t orologique value le danger et la Pr fecture d cide si besoin des mesures individuelles et collectives repr sentant l alerte Cette compl mentarit n cessitant une coordination sans faille et une anticipation harmonis e et cadr e les proc dures ont d j t am lior es et discut es lors de nombreuses r unions ou entrevues comme celles des RETEX de l exercice Z kl ou des pisodes r els Ces am liorations seront encore d battues en 2013 dans le cadre des groupes de travail qui seront organis s sous l gide de la Pr fecture pour la mise jour du dispositif ORSEC M t o France a tenu galement s assurer que l interface primordiale que repr sentent les m dias entre les services de l tat et la population avait une compr hension optimale des risques m t orologiques du syst me de vig
42. s pour promouvoir les dispositifs de pr vention de la d linquance et apporter leur expertise la r alisation d tudes en mati re de s curit L ensemble de ces mesures fait partie de la pr vention situationnelle qui vise non pas les individus mais les situations et configurations propices la r alisation d un d lit L objectif tant de diminuer les risques du passage l acte Les r f rents recherchent et identifient avec m thodologie les failles d un agencement urbain d un b timent ou d une entit conomique afin de mieux lutter contre les actes de malveillance En outre le r f rent s ret veille avec les services de la pr fecture et en appui de la commission d partementale de vid o protection au bon d veloppement de la vid o protection dispositif qui doit r pondre des imp ratifs l gislatifs et r glementaires respectant les droits et libert s des citoyens ce jour on compte un r f rent en zone police ainsi qu en zone gendarmerie qui peuvent tre saisi par l interm diaire de la pr fecture ou par une demande crite adress e au Directeur D partemental de la S curit Publique ou au Commandant de la gendarmerie nationale La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 Des consultations peuvent galement tre effectu es par des 6 correspondants s ret au sein de la gendarmerie de Martinique Capitaine Sophie P RIGORD 05 96 59 90 43 sophi
43. spectives d changes sont encourageantes Alexandra Boulon Animatrice du R seau Rural Martinique 05 96 71 20 89 reseau rural daaf972 Qagriculture gouv fr http daaf972 agriculture gouv fr Premier concours Manje nou s gou pi pl si organis l attention des cuisiniers de la restauration collective Le jury compos de la CCPM de la CAF et du R seau rural Martinique Les laur ats Mme DALMAT de la caisse des coles du Robert la gagnante et M Mir de la cuisine centrale de Rivi re Pilote Cr dits photos MN Jean Baptiste et R Joachim gt Fonds europ ens le Programme de Developpement Rural de la Martinique 2007 2013 en fin de programmation ieor al Fes MPAIET 4 En janvier 2012 le niveau de programmation du Programme de d veloppement Rural de la Martinique PDRM tait en retard En effet il affichait un taux de 40 soit 42 millions d euros de FEADER sur une maquette qui en compte 104 41 millions L ensemble des services de la DAAF mais aussi les partenaires cofinanceurs Conseil G n ral et Conseil R gional se sont mobilis s toute l ann e sur les missions d instruction et de programmation des dossiers et ce jour fin 2012 le taux de programmation est de 77 de la maquette soit 80 5 millions d euros de FEADER La lettre des Services de l tat F vrier Mars 2013 n 7 Nous avons ainsi pratiquement programm sur l ann e 2012 l quivalen
44. sur chaque produit en fonction des n gociations men es avec leurs fournisseurs fournisseurs et distributeurs peuvent convenir d un prix maximum pour chaque produit et garantir la r percussion de la baisse sur le prix de revente au d tail par un accord bilat ral Il s agit d un prix global plafond maximum fix par l arr te Il n emp che bien videmment pas les commer ants concern s par le dispositif de proposer pour leur liste un prix global inf rieur celui fix par arr t faisant ainsi jouer la concurrence sur la liste bouclier qualit prix MISE EN UVRE Le choix de la marque commerciale de chaque article de la liste revient aux commer ants partis l accord ou soumis aux dispositions de l arr t de r glementation Les articles retenus sont identifi s par un tiquetage visible pour le consommateur Chaque tablissement partie l accord ou soumis aux dispositions de larr t de r glementation affiche conjointement le prix qu il pratique pour la liste de produits et le prix maximal autorise Validit de larr t accord ou r glementation an une clause de sauvegarde permet cependant au repr sentant de l Etat d ajuster le prix global pour tenir compte d une variation brutale de certains cours Un dispositif de sanction est pr vu en cas de non respect du prix fix par arr t et ou en cas de d faut d affichage des prix tout manquement constat est
45. t de ce qui avait t programm entre 2007 et 2011 D autre part plus de trois cents dossiers pour pr s de 38 millions d euros de demande FEADER sont d j d pos s la DAARF Ces derniers devraient permettre d atteindre le taux de 100 en programmation avant la fin de l ann e 2013 Afin d viter que beaucoup de porteurs de projets soient d us le Comit de Pilotage Strat gique CPS a donc suspendu le 30 novembre 2012 le d p t des dossiers sur l ensemble des mesures des 3 premiers axes du PDRM Seules les mesures suivantes restent ouvertes mesure 12 Installation des agriculteurs jeunes mesure 121 Modernisation des exploitations agricoles pour les dossiers associ s une demande d aide l installation 112 L tat en Martinique Page 14 sur 22 mesures 211 et 212 Indemnit Compensatoire des Handicaps Naturels ICHN en zone de montagne et de pi mont mesure 214 Mesures environnementales Agro De plus le nombre de demandes d pos es tant tr s lev sur deux mesures Modernisation des exploitations agricoles mesure 21 t Accroissement de la valeur ajout e mesure 123A des r gles de priorisation et de gestion ont t mises en place Elles visent 7 privil gier les projets relevant de S domaines prioritaires installation cr ation reconversion chlord cone investissements collectifs aide la plantation de canne d
46. ue tant concern e par cette proc dure il s est av r indispensable de repartir en trois vagues successives de dix douze communes les enqu tes La premi re vague d enqu te est programm e pour avril 2013 Chaque commissaire enqu teur s occupera de deux communes simultan ment Pour chaque PPRN l enqu te publique durera un mois l objectif tant d achever l ensemble des enqu tes d ici mi 2013 Parall lement pour faciliter l acc s du grand public aux donn es les dossiers r glementaires et cartographiques seront mis sa disposition sur le site internet d di DS Cee formule devrait augmenter la participation du public dans l esprit de la loi r cente vot e au parlement Chaque commissaire enqu teur fera ensuite la synth se des r actions r colt es quelque soit le moyen utilis et disposera ensuite d un mois pour rendre son avis Selon les remarques formul es la DEAL appr ciera les suites donner et proposera au pr fet d amender ou non le PPRN avant approbation sachant que le r glement a vocation tre unique sur l ensemble du territoire par souci d quit Contact Georges DERVEAUX chef du service Risques Energie Climat 05 96 59 57 00 georges derveaux developpement durable gouv fr L tat en Martinique Page 12 sur 22 gt Le r seau rural de la Martinique L Europe a S partena re sis ge prets au Le R seau Rural Martinique RRM est une plateforme d chang
47. ure d emplois d avenir dans les secteurs marchands et non marchands d ploiement du contrat de g n ration travail conjoint avec la R gion pour structurer les fili res de formation professionnelle et la situation des entreprises cr dit d Imp t pour la Comp titivit et l Emploi fonds de garantie OSEO intervention du CODERFI et de la CCSF au profit des structures en difficult s travaux en cours sur la question des dettes sociales et fiscales des entreprises Un effort important de p dagogie doit tre r alis car l exp rience montre qu ils sont parfois m connus et que les acteurs conomiques ne pensent pas toujours les utiliser Quant au dispositif du bouclier qualit prix qui entrera en vigueur le I5 mars prochain il doit contribuer pr server le pouvoir d achat des consommateurs Cette septi me dition de la lettre des services de l tat vous donnera l occasion de d couvrir de nouveau la diversit des actions men es par l tat en Martinique d veloppement durable de l agriculture promotion de la sant lutte contre la d linquance et les fraudes en tout genre pr vention des risques accompagnement du secteur de la culture refondation de l cole am nagement concert du territoire Autant de projets autant de chantiers r alis s au profit de l avenir et du d veloppement de notre ile Laurent PREVOST pr fet de la Martinique DOSSIER DLL Bouclier qualit prix Le disposit
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