28 Réseau suisse d`écoles en santé
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1. Gi ni q ia a Ro e hs Sant Suisse rg 4 i tion omo DO q er sa J publi No LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant Editorial Etude sur la sant et structures cantonales Les projets de promotion de la sant l cole devraient id alement s articuler partir de deux donn es distinctes d une part les besoins sp cifiques de l tablissement et d autre part des donn es pid miologiques que les tudes nationales fournissent par l inter m diaire de nos diff rents instituts Dans ce sens vous trouverez quelques r sultats de SMASH 02 tir s du rapport de recherche qui est maintenant disponible Les projets des coles s appuient souvent sur des ressources mises disposition par des structures cantonales Partons la d couverte de l une d entre elles Gen ve le SSJ Service de sant de la jeunesse Vous trouverez galement une initiative prometteuse sur la probl matique de la surcharge pond rale dans laquelle les principes de promotion de la sant sont appliqu s dans le cadre d un projet de pr vention secondaire R seau suisse d coles en sant Michel Bloch Coordinateur romand C r monie d adh sion du CEC Nicolas Bouvier au R seau Suisse d Ecoles en Sant Lancement de la saison 2004 et pose de la plaque RES lors de la c r monie du 9 f vrier 2004 Plus d une vingtaine de membres du corps enseignant et du per2. supra f est un programme de recherche de l OFSP sur la pr vention des d pendances et la promotion de la sant destin aux jeunes en situation de risque Il est actuellement compos de 12 projets locaux souvent tr s diff rents les uns des autres Le but commun de ces accueils de jour est de soutenir les jeunes dans des situations difficiles et lors de r in sertion scolaire ou professionnelle par diverses interventions socio p dagogiques Cette Journ e relatera les r sultats de la recherche d encadrement Les ducateurs les p dagogues et les travailleuses et travailleurs sociaux accompagnant les jeunes au quotidien feront part de leurs appr ciations du programme supra f Ils pr senteront les avantages et les difficult s qu engendre la participation un tel projet de recherche destin aux jeunes en difficult Le Professeur Ambros Uchtenhagen commentera l expertise collec tive de la pr vention secondaire et l OFSP donnera des informations sur le programme supra f 2 La conf rence est ouverte un tr s large public de sp cialistes actifs dans la pr vention de responsables de la sant d ducatrices et d ducateurs de politiques et de d cideurs La rencontre se d roulera en fran ais et en allemand avec traduc tion simultan e Entr e gratuite Nombre de participant e s limit Vous pouvez obtenir la brochure Accompagner les Jeunes en situation marginale gratuitement cornelia stromsky bag
3. atres forums dans lesquels les l ves prennent une part active La pr vention se fait aussi plus pr coce d j chez les pr adolescents Apr s le spectacle interactif Abracadabra qui poursuit son parcours dans plusieurs cantons le SSJ a d velopp Anatole un programme pour les l ves de 6e primaire Cette animation d une matin e apporte aux l ves quelques cl s pour le bien tre avec soi m me et avec les autres et pour r sister aux pressions sociales Dans le conte le jeune Anatole se trouve incapable de r sister aux cigarettes que lui propo sent des camarades Un jeu de r le permet de comprendre pourquoi il c de la pression du groupe quels facteurs favorisent cette consommation et quels sont les besoins des pr adolescents pouvant influencer ces comportements Ces interventions en ducation pour la sant prennent du sens si elles s accompagnent d actions compl mentaires en amont et en aval En amont la promotion de la sant doit s inscrire dans une d marche de l ensemble de l tablissement Sur ce plan l action la plus importante et celle dont l efficacit est bien d montr e est certainement de faire de l cole un tablissement sans fum e Une telle action pose des questions importantes car elle s adresse toutes les personnes de l tablissement et aux r gles de vie dans celui ci Elle am ne donc d finir une politique g n rale claire et un engagement de la direction sans lesquel
4. ans d montre que les liens nou s avec l entourage et le climat scolaire ou professionnel ont une grande incidence sur l tat de sant des jeunes Les premiers r sultats SMASH 02 donn s ci apr s ont t publi s dans une plaquette l ann e derni re et diffus s notamment aupr s des jeunes qui ont particip l enqu te L quipe de chercheurs SMASH 02 Qui a particip l tude Dans 19 cantons al maniques romands et tessinois environ 8 00 adolescents de 15 20 ans ont particip l tude En classe ils ont chacun rempli un questionnaire de 28 pages car nous voulions tout savoir Bien s r l anonymat tait garanti 4250 filles 4450 gar ons apprentis 60 70 l ves 40 30 Total 100 100 Il y a plus d apprentis que d l ves et cette tendance est plus prononc e chez les gar ons Mais parfois il y a quelques b mols exemples m Un gar on sur 3 et presque 1 fille sur 4 ont eu un accident dans l ann e pr c dant l tude Les accidents les plus fr quents sont les accidents de sport suivis par les accidents de circulation et de travail m Un tiers des filles et 1 gar on sur 7 se sentent souvent d prim s sans savoir pourquoi m Presque 1 fille sur 3 et 1 gar on sur 7 ne sont pas satisfaits de leur apparence Les jeunes interrog s auraient eu besoin d aide pour ces probl mes la Alcool Drogues Sexualit contraception Sport Ami e s Parents Tabac Avenir professionnel S
5. climat de confiance et de s curit M me si la probl matique du projet est d finie dans la pr vention secondaire voire tertiaire autant dire que cette d marche salutog nique s op pose toute posture individualiste s gr gative du chacun pour soi La participation et l empowerment sont les cl s de vo te pour atteindre nos objectifs Enfin aborder la sant dans ce projet est un nouveau pas qui suscite de l int r t de la curiosit et suffisamment de confiance en soi Cela permet aux familles d aborder le risque le dommage ainsi que leurs surcharges pond rales avec la certitude de pouvoir mobiliser toutes les ressources personnelles et collectives afin de ma triser la situa tion Souhail Latr che m decin scolaire directeur du centre de sant scolaire Serre 14 CP 2386 2300 La Chaux de Fonds t l 032 967 61 80 e mail souhail latrecheQne ch Les gar ons tous des vilains garnements Parmi les enfants probl mes les gar ons sont de loin les plus nombreux Cela vaut aussi bien pour les probl mes de discipline et de violence que pour les prises en charge dans des classes sp ciales et les traitements psychologiques ou moteurs et pour les infractions la loi Les gar ons et les hommes seraient ils donc porteurs d un g ne qui en ferait par d finition des vilains garnements Ou alors les histoires de vilains garnements rel vent elles d une presse de boulevard bourr e de pr
6. jug s Il y a quelques mois la NZZ a publi sous le titre B se Buben vilains gar ons un article du psychologue Allan Guggenb hl L au teur y constate juste titre je pense qu il existe des diff rences notables entre les gar ons et les filles en ge de scolarit La majo rit des probl mes rencontr s dans le cadre scolaire sont ainsi le fait des gar ons ils sont plus nombreux se livrer des actes de violence et de vandalisme de plus ils sont surrepr sent s parmi les enfants qui doublent leur ann e La situation n est d ailleurs gu re diff rente en dehors du cadre scolaire car l encore les enfants qui posent probl me sont majo ritairement des gar ons Cela ne doit pas pour autant nous conduire affirmer que tous les gar ons correspondent cet image Il existe en effet de tr s grandes diff rences de caract re entre les gar ons Ainsi m me si neuf actes de violence recens s sur dix sont le fait de gar ons il n en reste pas moins que dans leur tr s grande majorit les gar ons et les adolescents ne sont pas violents Confront s des situations conflictuelles ils savent comment se comporter autre ment De m me tous les gar ons ne sont pas hyperactifs et n ont pas de probl mes scolaires C est pourtant bien cela qu en arrive Guggenbuhl dans son article puisqu il fait d un type particulier de gar ons le prototype m me du gar on le gar on perturbateur ina dapt br
7. t ticienne une psychologue et des ma tres d ducation physique et sportive encadrent les enfants et leur famille et animent les rencontres hebdomadaires Le contenu des s ances repose sur la participation active des familles qui fixent elles m mes les objectifs atteindre d une s ance une autre voire d un module un autre tels que remplacer un moment d inactivit par une activit sportive aller l cole pied monter les escaliers manger en famille dans la cuisine intro duire progressivement un l gume ou un fruit etc Les sp cialistes rendent attentives les familles viter de se fixer des objectifs trop ambitieux sources de d couragement et de rupture avec soi m me Selon les parents cet accompagnement repr sente un levier qui leurs permet de se prendre en charge entre les rencontres et il ne s agit nullement d une fin en soi Devant ces activit s multidisciplinaires le groupe de famille voulait s identifier par un nom qui ferait allusion la sant au sens large Pour cela il a propos la direction du projet le nom Kid s libres Selon les familles ce nom est inspir du mot Equilibre en lien avec le concept du projet et l tat d esprit dans lequel elles s identifient Apr s pr s d un trimestre nous constatons que les changes de comp tences acquises et vari es des familles se r v lent tre un exercice de sant communautaire favorisant une am lioration de l estime de soi dans un
8. Ar govie directeur des formations continues en promotion de la sant et pr sident du Lobby Enfants Suisse Netzwerk Schulische Bubenarbeit Postfach 101 8117 Fallanden e mail nwsb gmx ch t l 01 825 62 92 NI LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant CO LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant Mieux vivre ensemble l cole Climat scolaire et pr vention de la violence Mieux iv IeUX VIVTE o r es F e ri E F O SCCASITE Fi I JE M A a M mi En A p Eo o LA E m q mm i A o 1 a o a P en de la violence CA FRE Pa a E Ee Cette brochure est destin e tous les professionnels des tablisse ments scolaires int ress s par les d marches visant d velopper un climat scolaire positif et pr venir la violence de mani re g n rale Elle propose des points de rep re des exemples d itin raires pour marcher collectivement sur le chemin du mieux vivre ensemble l cole Ces itin raires se pr sentent sous forme de descriptifs de 14 Ecole et cannabis Gui d marches La plupart d entre elles peuvent tre mises en uvre de mani re progressive sans difficult s particuli res en s appuyant sur les exp riences et ressources de l cole des organismes cantonaux et du R seau suisse d coles en sant Th mes des d marches pour mieux vivre ensemble l cole m Conseils de classe conseil d tablissement Charte r glement sanc
9. admin ch LETTRE D INFORMATION 28 11 R seau d coles en sant NO Prochain partage d experiences du mercredi 29 septembre 2004 Definir les valeurs de mon tablissement Ouvert aux coles int ress es par le R seau r servez la date LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant Le prix Aeberhardt r compense des contributions excep tionnelles la promotion de la sant Fond e en 1981 la Fondation Aeberhardt soutient des activit s caractere humanitaire visant promouvoir la sant et d cerne des prix Depuis 2004 le prix Aeberhardt est r gi par un nouveau r glement R compense Le prix Aeberhardt dot de 30 000 francs r compense des personnes des quipes ou des projets apportant une contribution exceptionnelle dans le domaine de la promotion de la sant en Suisse Il est d cern annuellement et pour la premi re fois en octobre 2004 Crit res r gissant l octroi du prix Le jury value les contributions des candidats en fonction de leurs impacts dans les champs de la promotion de la sant Candidature proposition Toute personne majeure peut pr senter sa candidature ou proposer d autres personnes pour l obtention du prix D lai de d p t des candida tures et des propositions le 31 juillet 2004 Informations d taill es sur www aeberhardt ch Fondation Eduard Aeberhardt CP 4101 8021 Zurich La Suisse participe au R seau Europ en d coles en Sant REES un projet
10. ar ons l cole d aujourd hui rendrait donc un mauvais service aux enfants des deux sexes Il ne faut en effet pas oublier qu en dehors et apr s l cole l aptitude au travail en quipe et la coop ration est une qualit tr s pris e dans la vie priv e professionnelle et publique En ayant l occasion de participer aux d cisions de n gocier des r gles et de faire l exp rience de coop rations r ussies les enfants des deux sexes renforcent leur estime de soi et leur respect des autres et du monde Mon intention n est pas d effacer les diff rences r elles entre les genres Au contraire il est appr ciable qu l cole on travaille parfois en s parant gar ons et filles les deux groupes ayant tout y gagner Depuis peu il existe des incitations dans ce sens sous la forme d outils p dagogiques d offres de formation continue et depuis trois ans du R seau de travail scolaire avec les gar ons Netzwerk schulische Bubenarbeit 1 Ce dont l cole a imp rative ment besoin ce sont des mesures incitant les hommes devenir enseignants et le rester Les gar ons et les filles aussi d ailleurs ont en effet besoin de vivre au quotidien avec des hommes qui sont tout aussi normaux forts et faibles s rs d eux et pleins de doutes que tous les tres humains Et ce qui vaut pour les coles vaut aussi bien pour tous les autres domaines de l existence Felix Wettstein enseignant la HES de travail social du canton d
11. br Satisfaction Presque toutes les personnes des Ecoles en sant ou autres ayant r pondu au questionnaire sont satisfaites ou m me tr s satisfaites par la Lettre d information seules quelques personnes isol es 17 r ponses soit 4 indiquent qu elles sont plut t m contentes Ecoles du r seau Ouvre des perspectives Importante au quotidien Informative Actuelle o C O OSS 0 20 40 60 80 100 Autres lecteurs trices Ouvre des perspectives Importante au quotidien Informative Actuelle EA Es EA Ok 0 20 40 60 80 100 Bexact W en partie E pas vraiment pas du tout C pas de r ponse Ecoles du r seau Vari e Attractive Trop de textes Pr sentation claire O E 0 20 40 60 80 100 Autres lecteurs trices Vari e Attractive Trop de textes EL 0 EL DA Pr sentation claire appr ciation 0 20 40 60 80 100 E bonne W plut t bonne E moyenne pour trop de textes juste ce qu il faut plut t d favorable d favorable Fr quence de parution Le rythme trimestriel actuel de parution convient la majeure partie des lecteurs La Suisse Romande 81 approuve cette fr quence de mani re plus prononc e que la Suisse al manique 63 A peine un quart des Ecoles du R seau pr f rerait une parution trois fois par an Presentation Plus des trois quarts des personnes ayant r pondu approuvent
12. ces de sant Gr ce sa mission globale pour la sant des mineurs sa structure et ses quipes pluridisciplinaires le Service de sant de la jeunesse SSJ contribue la promotion de la sant dans l cole sur tous ces plans dans une d marche coh rente et int gr e Un service de p diatrie sociale et de promo tion de la sant Le SSJ est charg de veiller la sant des enfants et des jeunes du canton de Gen ve Depuis ses origines il y a plus d un si cle ce service a adapt son activit l volution des besoins de sant et des approches Il fait partie depuis 1958 de l Office de la jeunesse au sein du D partement de l instruction publique qui regroupe plusieurs services charg s de promouvoir les droits de l enfant en veillant leur sant leur protection leur d veloppement et leurs loisirs Le SSJ m ne ses activit s pour les l ves des coles publiques et priv es les apprentis jeunes travailleurs et les enfants accueillis dans les institutions de la petite enfance et foyers ducatifs eunesse du canton de Gen ve o RER e k j me p i he o Prot ger pr venir et promouvoir la sant sont les trois axes d ac tivit Si dans l histoire du service ces axes se sont d velopp s successivement chacun d entre eux garde toute sa pertinence ses d buts la fin du XIXe si cle la m decine scolaire devait prot ger la sant I fallait garantir la s curit
13. clus d un groupe m 0 20 40 60 80 100 Filles Gar ons Et dans les 12 mois pr c dant l tude certains ados interrog s ont Vol quelque chose PSB Endommag quelque chose la volontairement Mis le feu quelque chose Utilis une arme 0 20 40 60 80 100 Filles Gar ons Comment tes vous vous m me affect spar la violence et les agressions Jusqu quel point vous laissez vous influencer par la violence Comment les jeunes agissent ils sur leur sant Activit physique et sport Pour rester en bonne sant on recommande au moins 20 minutes d activit physique au moins 5 jours par semaine Selon leurs r ponses seuls 1 fille sur 6 et 1 gar on sur 4 y arrivent 1 fille sur 3 et 1 gar on sur 5 reconnaissent ne pas faire de sport en dehors de l cole Et vous m me que faites vous pour votre sant Consommation de substances entrainant la d pendance Ici nous parlons surtout des probl mes que ces substances entrai nent Par exemple voici les probl mes dont les gar ons ont fait l ex p rience suite une consommation d alcool Diminution de performances l cole et au travail 1 sur 20 Objets ou habits endommag s 1 sur 5 Valeurs perdues argent 1 sur 6 Accidents blessures 1 sur 7 Querelles bagarre 1 sur 6 Probl mes relationnels m avec des ami e s 1 sur 10 m avec les parents 1 sur 12 m avec des enseignants 1 sur 50 m avec des
14. coll gues 1 sur 25 Relation sexuelle non voulue 1 sur 14 Relation sexuelle non prot g e 1 sur 14 Probl mes d rection 1 sur 20 CIE Ne supra f Journ e de Cl ture Environ 60 des jeunes ont eu au moins un rapport sexuel Voici d apr s les filles les moyens de contraception qui ont t utilis s lors de la premi re relation avec leur partenaire actuel de filles Aucun jm Calcul de la p riode favorable m A ne pas utiliser Retrait Colt interrompu Pilule du lendemain Injection ou implant Pilule contraceptive Pr servatif Capote 0 20 40 60 80 100 Seul moyen efficace de protection contre le sida et les MST Le rapport de recherche peut tre t l charg sur le site Internet www umsa ch ou command secretariat grsa inst hospvd ch En outre dans le cadre d un projet commun de valorisation des tudes HBSC et SMASH soutenu par Promotion Sant Suisse une brochure attractive r sumant les principaux r sultats des deux tudes et des pistes de r flexion pour la promotion de la sant sortira cet automne Adolescents en situation marginale r sultats de la recherche Les exp riences sur le terrain une expertise collective 3 novembre 2004 Maison de Sport Berne Programme www bag admin ch aktuell vernsta d index Informations Cornelia Stromsky Office f d ral de la sant publique Service Promotion de la sant et pr vention 3003 Berne t l 031 323 11 76
15. dans le monde En Suisse 22 35 des enfants sont en exc s pond ral et 5 15 sont ob ses A long terme l ob sit augmente le risque de maladies cardiovas culaires de diab te de type 2 de certains cancers et de d c s pr matur s En outre chez les adultes et surtout chez les adoles cents les cons quences sociales et psychologiques sont impor tantes image de soi n gative Tout derni rement nous apprenons que les ob ses risquent de devoir payer plus cher l avenir leur assurance vie Leur surpoids fait courir des risques m dicaux suppl mentaires aux assureurs selon une tude de Swiss Re Forte de ce constat inqui tant la Fondation Pr vention Sant de la ville de la Chaux de Fonds a constitu un groupe de travail qui a pour mandat de mettre en uvre un projet en faveur des enfants et de leurs parents Ce projet a pour objectif de modifier les habitudes quotidiennes tant sur les modes alimentaires que sur l activit physique et sportive avec l appui d une psychologue Ceci ne saurait se faire par une simple information et n cessite un accompagnement multidiscipli naire de l enfant souffrant d une surcharge pond rale ainsi que de sa famille Le projet actuellement en phase pilote concerne une dizaine de familles int ress es volontaires Il a d but le 15 janvier de cette ann e et s tendra sur une ann e civile complete raison d une rencontre par semaine Des professionnels tels qu une di
16. de l OMS de l UE et du Conseil de l Europe Radix Promotion de la sant coordonne le r seau suisse sur mandat de l Office f d ral de la sant publique et de Promotion Sant Suisse i q Ra Gesundheitsf rderung BAG OFSP U FSP SFOPH Gesundheitsf rderung Schweiz Promotion de la sant Promotion Sant Suisse Promozione della salute Promozione Salute Svizzera
17. de l environnement scolaire lutter contre les pid mies et contr ler m dicalement les l ves Le but tait d viter les risques que l cole pouvait repr senter pour les l ves et veiller ce que leur tat de sant soit compatible avec la scolarit La notion de m decine pr ventive s est d velopp e dans les ann es 1950 Les efforts de la m decine scolaire ont port sur le d pistage m dical de maladies ou de facteurs de risques pour la sant et des programmes d ducation pour la sant se sont d ve lopp s Depuis les ann es 1980 le concept central est celui de promotion de la sant avec la Charte d Ottawa Il se fonde sur une approche globale de la sant centr e sur les besoins et les comp tences de la personne et sur des niveaux d action compl mentaires Les professionnels du SSJ comprennent d une part les infirmi res et les m decins des unit s de sant scolaire et p diatrie sociale d autre part les ducatrices et ducateurs pour la sant enfin diverses quipes sp cialis es charg es du d pistage sensoriel de la vue et de l ou e de la formation des professionnels en premiers soins d urgence d activit s et de conseils en psychomotricit et en psychologie de la petite enfance de la promotion d une alimenta tion saine et de la promotion de l activit physique pour les enfants et les jeunes Ces quipes professionnelles agissent dans des contextes compl mentaires au plan individue
18. diale de la Sant signe la charte d Ottawa qui d finit les 5 axes devant favoriser la promotion de la sant dans tous les pays on a pu observer que cette d marche qui d passe la lutte contre les maladies ou leur pr vention est rest e tr s confidentielle dans le monde m dical Combattre la maladie soigner lutter sont des activit s nobles pr venir dans nos repr sentations c est d j admettre une menace un dommage potentiel pour notre sant promouvoir la sant c est s impliquer r solument dans une gouvernance de soi et de son environnement C est une d marche d rangeante exigeante qui interroge la responsabilit individuelle et collective et donc implique l ensemble de la soci t c est dire chacun d entre nous l o il est dans sa participation la construction d un monde en sant C est reconna tre que l homme a des comp tences pour acqu rir progressivement un contr le sur son mode de vie sur son cadre de vie sur l organisa tion de la soci t dans laquelle il baigne comp tences qui lui permettent d acc der un certain degr de sant physique psycho logique sociale et spirituelle La sant publique se trouve confront e la question de l ob sit qui prend une importance croissante chez les enfants et les adolescents La presse s en est largement fait l cho au cours des derniers mois l incidence de l ob sit de l enfant et de l adolescent tend augmenter de mani re dramatique
19. es ayant r pondu est de 47 ans R partition selon l ge des personnes ayant r pondu 99 70 43 E 13 5 40 44 45 49 50 54 55 59 60 64 65 70 27 30 E E Groupe 25 29 30 34 35 39 d ge Attitude du lecteur 83 des abonn s du R seau des coles en sant et 86 des autres personnes lisent r guli rement la Lettre d information La majorit 65 la feuillette et lit attentivement deux trois articles Plus d un quart des personnes ayant r pondu la lisent r guli rement en d tail Apr s lecture la Lettre d information est conserv e ou mise en circu lation par la plupart des lecteurs Seuls 5 des Ecoles du R seau et 19 des autres lecteurs indiquent qu en r gle g n rale ils la jettent Evaluation du contenu de la Lettre d information En Suisse al manique comme en Suisse romande le contenu de la Lettre d information est bien not tant par les Ecoles du R seau que par les autres lecteurs l valuation concernant l actualit des probl mes trait s est particuli rement bonne ainsi que le regard port sur le travail concernant la promotion de la sant dans les coles et par les coles Les valeurs sont un peu moins hautes en ce qui concerne son importance au quotidien et dans la vie profes sionnelle Estimation de la pr sentation La majeure partie estime que la Lettre d information est pr sent e sous une forme plut t claire vari e et attractive et que le rapport texte image est quili
20. ignants La Suisse participe au R seau Europ en d coles en Sant REES un projet de l OMS de l UE et du Conseil de l Europe Radix Promotion de la sant coordonne le r seau suisse sur mandat de l Office f d ral de la sant publique et Promotion Sant Suisse R daction Michel Bloch Layout Atelier Thomas K ng Lucerne Impression Gegendruck Lucerne Tirage 1000 ex Photos p 1 4 11 Regula Eckert p 7 Werner Eme Evaluation de la Lettre d information Apr s 6 ans et 24 num ros de la Lettre d information il est grand temps de proc der une valuation Un cordial merci aux 400 lecteurs et lectrices qui ont rempli et renvoy le questionnaire Marianne Ulmi de la soci t Kopfwerken Berne a t charg e de l valuation Voici son rapport En bref A l unanimit ou presque les 400 personnes attribuent une bonne note la Lettre d information Elle est utilis e dans la pratique et appr ci e pour sa pr sentation Plus de 85 des personnes ayant r pondu la qualifient de n cessaire Les r sultats en d tails R trospective Sur les 400 questionnaires 57 proviennent du R seau des Ecoles en sant et 343 nous ont t envoy s par d autres abonn s ce qui correspond 31 resp 15 soit un ordre de grandeur habituel pour ce genre de relev Les femmes ont t plus nombreuses r pondre que les hommes R seau des Ecoles en sant 62 autres 54 La moyenne d ge des personn
21. l dans le cadre de bilans de sant entretiens et conseils de pr vention pour des groupes dans des cours et animations en ducation pour la sant au niveau commu nautaire enfin par des actions de promotion de la sant dans l ta blissement Deux exemples illustreront l importance d actions coor donn es ces diff rents niveaux Pr venir les abus sexuels et la maltraitance La prise de conscience des abus sexuels et des situations de maltrai tance est relativement r cente Elle a t favoris e par une tude r alis e en 1994 qui avait montr que pr s de 1 fille sur 3 et 1 gar on sur 10 avaient t victime d une situation d abus sexuel Sur cette base nous avons d velopp plusieurs actions compl men taires d abord en renfor ant les messages sur les abus sexuels dans l ducation sexuelle donn e tous les l ves en 4e 6e et 8e ann es De plus nous avons cr un nouveau programme pour les l ves de 2e primaire intitul Avec prudence avec confiance Ses buts sont de renforcer les notions d identit de pudeur et d intimit et de d velopper des comp tences pour rechercher une aide comp tente en cas de difficult s Une commission cantonale de r f rence en mati re de violence et maltraitance envers les mineurs a t cr e en 1997 Elle a permis de renforcer la coordination entre les services intervenant dans la prise en charge m dicale sociale et judiciaire des situations de maltraita
22. la pr sentation actuelle de la Lettre d information Parmi les lecteurs des Ecoles du R seau personne ne souhaite qu elle apparaisse sous un format plus r duit seule une petite minorit 3 des autres personnes le d sireraient Au contraire 11 des lecteurs des Ecoles du r seau et 9 des autres lecteurs souhaitent un format plus grand 12 des personnes ayant r pondu n ont pas d avis ce sujet Concours Les questionnaires d ment remplis ont t tir s au sort octroyant la chance de passer une nuit dans un h tel Lucerne pour 2 personnes L heureuse gagnante que nous f licitons est Mme Maja Hiltbrunner Ecole des sages femmes 3010 Berne Nous lui adressons nos meilleurs v ux 3 UO LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant A LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant Promouvoir la sant l cole une mission du Service de sant de la Paul Bouvier Philippe Gran et La promotion de la sant en milieu scolaire met en uvre tout un ensemble d activit s des niveaux diff rents individuel collectif communautaire environnemental et politique La charte d Ottawa d finit 5 niveaux d action compl mentaires qui tous s av rent perti nents pour la sant scolaire Ces niveaux sont laborer une poli tique publique saine cr er des milieux favorables renforcer l action communautaire acqu rir des aptitudes individuelles et enfin r o rienter les servi
23. lle pourra jouer un r le d cisif Mais attention il n y a ici aucune place pour un d pistage non volontaire de drogues Le respect du droit des personnes est non seulement une exigence l gale et thique mais aussi une condition indispensable l effica cit des actions pr ventives Le SSJ est une structure originale et remarquable dans sa composi tion pour promouvoir la sant en milieu scolaire Le concept d cole en sant doit int grer la sant scolaire dans tous les axes d action et dans toutes ses dimensions La promotion de la sant constitue le cadre de r f rence pertinent pour la sant en milieu scolaire La notion d empowerment soit le renforcement de la capacit d action des personnes sur leur propre sant est centrale De ce fait la promotion de la sant est indissociable du respect des personnes et de la promotion des droits de l enfant et les deux approches parti cipent du m me processus Paul Bouvier Philippe Granget Service de sant de la jeunesse 11 Glacis de Rive CP 3682 1211 Gen ve 3 t l 022 327 61 50 e mail ssj etat ge ch Un LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant SS LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant Accompagnement multidisciplinaire de l enfant avec exc s de poids et de sa famille pr vention ou promotion de la 4 Sa nte Le Latr che m decin scolaire Centre de Sant Scolaire La Chaux de Fonds Lorsqu en 1986 Organisation Mon
24. nce Enfin d s 1998 nous avons remplac les visites m dicales par des visites de sant men es par les infirmi res scolaires Au lieu du d pistage actif de maladies l objectif est dor navant d ouvrir un dialogue sur la sant avec l enfant et sa famille Cette d marche centr e sur la personne et ses besoins a modifi le r le des infir mi res scolaires qui sont dor navant en premi re ligne pour r pondre avec les m decins scolaires aux appels d enfants en situations de risque ou de maltraitance Avec ce travail de sensibilisation et de pr vention ce domaine est devenu en quelques ann es l une des principales activit s du service Le nombre de cas de maltraitance pris en compte par le SS est ainsi pass de 12 en 1990 plus de 360 en 2003 Cette volu tion montre l importance d une action concert e centr e sur la promotion du bien tre de l enfant et de ses droits et sur l impor tance de mettre disposition des enfants des professionnels comp tents aupr s desquels ils pourront se confier et d voiler des situations dont ils ont t victimes Ouvrir la pr vention des toxicod pendances la promotion de la sant Dans ce domaine le premier niveau d action est celui de l ducation pour la sant qui ne saurait se r sumer des cours en classe sur les substances et leurs risques Depuis plusieurs ann es on fait appel une p dagogie plus active et contextualis e notamment travers des th
25. ommeil Alimentation Ecole travail Vie sentimentale Tristesse d prime Nervosit tension stress 0 20 40 60 80 100 Filles Gar ons O les jeunes trouvent ils de l aide 100 80 60 40 20 Famille Amis Petit e ami e Probl mes de sant I Probl mes scolaire profess E Probl mes psychologiques 1 ado sur 10 peut parler de ses probl mes un adulte proche en dehors de sa famille et peut se confier un enseignant pour des probl mes scolaires et ou professionnels En outre les jeunes consultent galement des professionnels dela sant 1 4 consultent un m decin un psychologue ou un autre professionnel pour un probl me de nervosit et ou d pression O les jeunes de votre cole ou de votre r gion trouvent ils de l aide pour ce genre de probl mes De mani re g n rale que pensent les participants de leur tat de sant Les gar ons sont un peu plus optimistes que les filles 6 gar ons sur 10 et la moiti des filles estiment que leur sant est excellente ou tr s bonne Seul 1 participant sur 20 trouve sa sant mauvaise ou m diocre LETTRE D INFORMATION 28 Ne R seau d coles en sant S LETTRE D INFORMATION 28 R seau d coles en sant Comment a va l cole Et l apprentissage 9 r pondant 9 NTS sur 10 s o E relativement s rs E sur pouvoir terminer leur ormation et trouver du S leur clas
26. onne des pistes aux parents pour aborder le sujet de la fum e avec leurs enfants selon leur tranche d ge et des outils pour r agir lors qu un enfant commence malgr tout fumer Outre les informations quant aux risques de la fum e le guide en huit pages renseigne avant tout sur les th mes que l on peut aborder avec son enfant et sur la meilleure mani re de s y prendre 8 pages ISPA 2004 gratuit Commandes ISPA CP 870 1001 Lausanne t l 021 321 29 35 fax 29 40 E mail librairie sfa ispa ch Smash 02 Etude sur la sant et les styles de vie des adolescents en suisse 2002 Importance du r seau relationnel et social L enqu te SMASH 02 16 20 ans a t r alis e par l Institut univer sitaire de m decine sociale et pr ventive de Lausanne l Institut de psychologie de l universit de Berne et la Section sanitaire du canton du Tessin Bellinzone Elle a t financ e par l Office f d ral de la sant publique et les cantons qui y ont pris part Les r sultats de cette tude offrent une image contrast e de la situa tion des adolescents alors que la majorit s estime en bonne sant la situation s est p jor e dans le domaine de la sant mentale et des conduites addictives Cette tude apporte aussi des bonnes nouvelles notamment dans le domaine de la sexualit o les campagnes nationales sida et de l ducation sexuelle sont un succ s Mais surtout cette tude tout comme l tude HBSC 11 16
27. s tout effort de pr vention du tabagisme reste illusoire En pratique ces actions comme les autres projets communautaires sont r alis s par le groupe sant de l tablissement qui r unit des repr sentants de la direction des enseignants des ducateurs pour la sant infirmi res et conseillers sociaux de l cole En aval les actions collectives doivent s accompagner d une prise en charge ad quate au plan individuel Cela exige une attitude coh rente respectueuse des droits de la personne et des besoins des jeunes tous les niveaux Pour r agir ad quatement face un l ve surpris en train de consommer du cannabis dans l tablisse ment des proc dures claires doivent tre d finies pr cisant les r gles l application de sanctions et le soutien propos aux jeunes en difficult s La gestion ad quate de ces situations fait appel une attitude responsable qui est aussi loign e de slogans comme la tol rance nulle que d un laisser faire n gligeant la dimension de sant publique Dans ce cadre les infirmi res et les m decins scolaires peuvent exercer un r le d terminant pour la pr vention des toxicod pen dances lors d entretiens confidentiels toujours dans la vis e du bien de l enfant L entretien individuel permet de renforcer les informa tions sur les substances et leurs risques Devant un l ve consom mateur une infirmi re form e l intervention br ve et l approche motivationne
28. se travail plus tard Un bon quart des e moiti des apprenti e s doivent a e s sont souvent faire des heures apprentil nt so suppl mentaires ce qui constamine a en perturbe Es Ea cinquieme 1 apprenti e sur 10 perturbe u e cinqui me 7 jeunes sur 10 ont de 1 si PPrenties ai bonnes notes l cole Xi m ns Prentis en quipe de tra ER leur Comment a se passe dans votre classe Qu est ce qui contribue une bonne ambiance et qu est ce qui la perturbe Comment a va dans la famille Pour beaucoup de jeunes la famille est un lieu de confiance une bonne moiti racontent leurs difficult s et leurs probl mes leurs parents Neuf jeunes sur 10 ont confiance dans leurs parents et pensent que leurs parents ont confiance en eux La famille peut aussi tre source de soucis m Un participant sur 3 craint parfois de voir ses parents se s parer ou divorcer chez environ 2 jeunes sur 10 les parents sont d j s par s ou divorc s m Un jeune sur 10 a parfois peur d tre frapp par l un des parents m Deux jeunes sur 10 ne se sentent pas vraiment compris par leurs parents Que faut il pour qu on puisse s entendre en famille Ceci correspond il ce que vous vivez ou observez Violence Qui la subit Qui l exerce Dans les 12 mois pr c dant l tude certains ados interrog s ont t Victime d un vol SS Victimes de racket Agress s physiquement Insult s Brutalis s SS Ex
29. sonnel administratif et technique ainsi que quelques l ves ont assist cette c r monie Apr s quelques mots de bienvenue C dric Farinelli a pr sent le programme du groupe Sant pour l ann e 2004 et rappel qu en plus des bonnes volont s des personnes impliqu es dans les projets il faut des ressources finan ci res Celles ci nous parviennent des fonds de notre cole du Service de Sant de la Jeunesse et du R seau Suisse d Ecoles en Sant Une pr sentation des buts de ce R seau a clarifi ses r les qui comprennent en plus du soutien financier une structure propre changer les exp riences fournir des conseils tout en laissant Impressum Editeur R seau suisse d coles en sant Radix Promotion de la sant Avenue Ruchonnet 57 1003 Lausanne T l 021 329 01 57 Fax 021 329 01 58 info la radix ch www ecoles en sante ch Www radix ch l cole la d cision d organiser les actions qui lui conviennent M Zurn directeur a exprim sa satisfaction de disposer au sein de l cole d un groupe de personnes qui s impliquent dans le but de promouvoir la sant et a remerci tous les acteurs qui contribuent la r ussite des actions men es Cette c r monie s est termin e par un ap ritif o les habituelles chips et cacahu tes avaient avanta geusement c d la place des canap s de crudit s le tout organis par le service social aid par des assistantes techniques et des ense
30. tions encadrement Activit s d accueil D veloppement des comp tences sociales Projet d am lioration du climat scolaire Travail d quipe et coop ration l cole Espaces d changes ateliers th matiques d bats Int gration et respect des diff rences et singularit s Communication et collaboration avec les familles et la communaut m Am nagements des espaces et temps scolaires m Analyse de situations pratiques entre professionnels m Travail de r seau interdisciplinaire EI m Dispositifs de m diation dans l cole Interventions en situations difficiles ou de crise Pour plus d infos www climatscolaire ch R gles mesures et d tection pr coce e l intention des enseignants et des tablissements scolaires 1 Comment l cole dans son ensemble peut elle g rer le probl me de la consommation de cannabis Quelles r gles doivent tre adopt es quelles mesures doivent tre prises en cas de consommation 2 Comment les enseignants peuvent ils r agir lorsqu ils sont en contact direct avec des l ves consommateurs Ce document se veut avant tout mode d emploi et moteur d une d marche mettre en place au sein d un tablissement scolaire brochure 35 pages OFSP ISPA Lausanne 2004 gratuit Tabac pour en parler aux ados Ce que les parents devraient savoir Le nouveau guide Tabac ce que les parents devraient savoir a pour but de soutenir les parents dans leurs efforts pr ventifs d
31. uyant insolent grossier d sob issant Or parler ainsi des gar ons en g n ral conduit faire fi des diff rences entre eux et cr er la pol mique Le psychologue en d duit que les d veloppements r cents intro duits dans les coles tels que les objectifs p dagogiques individuels les entretiens d valuation le travail sur des projets et les discus sions de classe sont adapt s aux besoins des filles mais ne tiennent pas compte de ceux des gar ons Pour tayer sa th se il cite les meil leurs r sultats scolaires obtenus par les filles qui sont attest s pratiquement dans toutes les branches Selon Guggenb hl les gar ons auraient besoin que l on remette davantage l accent sur les normes du groupe et sur les r gles en vigueur dans le syst me ils devraient pouvoir faire reconna tre leurs performances individuelles dans un syst me de comp tition et des preuves impersonnelles De mon point de vue des exigences g n rales de ce type suppos es valoir pour les gar ons sont absurdes Si cette argumentation tait valable les gar ons auraient normalement d r ussir massivement dans le syst me scolaire traditionnel Or aussi loin que l on remonte la recherche p dagogique met en vidence qu ge gal les filles ont toujours eu en moyenne des r sultats scolaires sup rieurs ceux des gar ons En revenant aux preuves individuelles et la hi rarchie pour tenir compte des besoins des g
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