Home

Prévention en Action

Contents

1. EIISIDEIUO O 0301 5101 Sa 1ed 22 5 lt 5 95 es al 511033013 Sa Ins s1uejJu 5 0 9 Sa 151 02 UOI 2e 8 gt uuosi d s ins w sonbsry tooz s p 9552119 In 13 s 8 jou 2 OU P lt 2055 s uuosi d 4 s uuosi d 9 5 91504 np yun dinb JieAe11 21508 ltuuouo81 lt s siud 11u s p 5 anbs1 uonesi ensIA sue13 sjuesiuol s Ju uu uuo e1 uolje n211 941172943 anbsu sanbi80 o1q s u 8e anbuuaun soueique niq Beep sanbs11
2. 13144A 19151 Sa e su ow s p uondi1s3p un 5 Id pod ne synpoid s p s p 13104 O 5 SIOUEUD s p sa L s p siou p s p lt O 1524 s p ne p s p 1 1 s nbiuultu2 synpoid L s jj qnod 5265 s p ins s p 04 O 3 1EIDaUU UI s jjes s p lt s j qnod sa suep 225 s p saindnos sainbid g 59 919 U sed uo u sa anb zuez WA 28 sa N iqil inb3 5 sie eq Sa ins s p s p sued 9 1n312311q SOU L sd102 p1e3 1011
3. s p 8 s p 9157 sduu 1 5 anod sa n 159 squesieysies s 8n 1005 s puenb 2 19151 591 e s1ue1six su ow s p 1 Inb sa 1nod utess 3 u 159 si 8uep xne s p s2s113122182 Juouinod S104 aun 5 8 sa 2151 ans s seud s p s 1n d s nbsu s p si 8uep s p 1 59 15 220 591 SUES quu su 1sISuo2 s seud sa 311122Q SINOYVWAY DDIA9S 9 5 463 591 195591 53 9 lt s p s ddeu s p 1 2015 2e d
4. J 8esIAU3 O ulsIn2 5911105 S P 5101 151 02 Sjow L SN N20 i e1 92195 510 23u s 1d 5 Vejd JIAJ S UU 28e oyjou d 3IA1 S gt uuosi d e q s ns W Foos uinf ot s nbsii s p Sue1 jou l 1ou p 5 2055 s uuosi d s nbs y allge 1295 in312epay sauuosiad 9 5 91508 AIDE X s1u l 2 s p 1 1 s qe1 3e d p Sa 1ed sed 1s u X s dwej snos uarjuleW s p sse s p s np 5 18 xnedpulid sejd sat sayalssy S UISIOA lt 4
5. 9 JUSAIOP 5 591 551 463 2 szu nb 14 3IA4 S 1 9 X s 11 nbse3 yod 3IAJ S 5101 15 19 19 05 1105 1u uu S s iduu lt gt 95 5 suep s qe1 s p s iduu 5105 X 59111508 591598 5951292 s p s10 5 5 22e d sIW s n3IU A sa inod sin ss 95 a JDUSIE 1107301 ins X s 1 lueq EI ANS s n3IU A 2042 1IM9S ni sjuoiedsuel 5 in siAo11 1 sai zuen s p 19508 s1u uu Sa 2 0151 02 JD s n3IU A S p
6. 11u lt 591191556 sa s p uolsu 1x in1sod 21 e sa 8 5 JIAJ SS G a qe 9 9911 265 gt X u e Ju uu nbileuu 1s s 1950 sa node sed 1ue e u 95 s p nu2 S1u l 2 Sa jos s sod p s1 qo p 3u s id 5 s 1depeul ulsIn2 22 nssneu2 s p 19558 Ju An d 5 5 2 9 5 X 1e d ssed uo 1e 12 s p IPAe11 uoz suep 1u 11u SIN M S 591 In2 e Sayjaisse s1e d s p as gt 25 91 s1u nb 1J 2 05 159 sn n20 un p aUISIN2 91105 11u3 L X SIN9AI9S UOIJE N211 8 21108 1122 21 un p 8 115 19551 8 ne p 816 J es zuen sj uuosi d 591 05 ne p 2u s id s
7. gants pour les manutentions chaussures de s curit pour les chu tes d objet etc lLempilement des cartons et des caisses est il stable a t il des tag res fix es au Les rangements sont ils organis s produits lourds hauteur de taille produits les plus utilis s faci lement accessibles moyens adapt s pour attraper les marchandises en hauteur Points cl s indicatifs mon exhaustifs pour valuation des risques Obligations de r sultat S interroger Limiter les postures les efforts et les troubles muscu lo squelettiques Limiter les chutes Limiter les risques de coupures Les facteurs d accidents li s la fatigue ou au stress Les facteurs d accidents li s la configuration de l tablisse ment Les facteurs d accidents li s aux services particuliers de l tablissement Les facteurs d ambiance Risque d A T et de hernie discale M S lombalgie personnel porte t il des plateaux surcharg s pour desservir les tables 1 de la salle n cessite t il des postures en extension avec des objets lourds main 2 personnel est il form aux gestes et postures li s au service Les sols sont ils en bon tat trous dans les linos sont ils mouill s des d chets d aliments tom bent ils au sol sont ils nettoy s imm diatement
8. m decin du travail vous a t il indiqu que des salari s se plaignaient et vous a t il propos de r aliser des mesures de bruit L Des machines bruyantes sont elles pr sentes dans l tablissement jeux lectroniques sour ces de musique machines laver la vaisselle compresseur de r frig rateurs SERVICE Limiter les postures et les efforts Risque d A T et TMS lombalgie 1 les manutentions manuelles lors du nettoyage des chambres soul vement et retournement de matelas transport de sacs de linge manutention de mobiliers Recenser les situations de travail n cessitant des mauvaises postures nettoyage de carrelage de salles de bain en se penchant au dessus de la baignoire poussetage sur des meubles en hauteur etc personnel a t il sa disposition des chariots de transport des draps et serviettes propre et sale Ces chariots roulent ils bien et sont ils lourdement charg s 2 J Avez vous une organisation qui permettent de r aliser les op rations en diminuant le port des charges deux personnes par chambre Avez vous des moyens techniques permettant de suppl er aux postures inadapt es man ches t lescopiques pour les ustensiles raclettes t tes de loup plumeaux Dans les offices les mat riels produits draps sont ils plac s la bonne hauteur sur des tag res 2 Les salari s portent ils des habits de tr
9. 159 nes 8 sed 5 05 14195 8 1u l 3 al s ssie 5925 gt Sa 1nod X 195 Sap no side 1 5264 Sal suep anbsi s2eq Sa 32u s id 05 Ans npal npued 1 zuo s1u l 3 X s inssneu2 Pod s no s es 5 suep 2 nbs y jos ne p p 32u s id L 8 xne V 51125 51 51 s p uo du3s q sayjepow s nbsui s p 5 5 si Sueq s seud s p Vooz uinf of s nbsui s p 599120552 s uuosi d 8 1oH 21508 no 8 5 s p s8e oyjou 921 195 5 In p s Evaluation des risques en entreprise Arteria L 30 5
10. 5 sinof S 4 22 uonlsodsip sU Ano32 J 1u uu8nv O Jo ej 55 UDO 5 sino1 1 1 5 s p 19 53211129 01d s p ANS 5 lt Sal suep 8 5 gt 1 U32 JJV O La sayonbse sin 191108 sinaass xne d 19105 s np sain n1g E 9556 x 1 Vejd inod 5 11 9W Jo sino SL zoey L s pino 95122 s qe1 S AIA 5 s p 1 5513 Y O 510 s n3IU A 2042 55 SINSAI9S 110301 lt 463 591 1311633 O 11033013 s p 5 sed au sinanss xne oddey lt 1
11. allergies intoxication possibles effets irr versibles Recenser les produits utilis s en nombre quantit et dan gerosit Rechercher des produits de substitution Limiter l exposition des sala ri s l exposition aux pro duits 22 page Les fiches de donn es de s curit de tous les produits utilis s sont elles disponibles et ont elles t transmises au m decin du travail Le personnel est il form l utilisation des produits personnel est il inform sur les risques chimiques des produits utilis s et sur leur conditions d utilisation Des guipements de protection individuelle EPI sont ils fournis et le personnel les porte t il effectivement m decin du travail a t il t associ aux formations et au choix des Des produits de substitution moins dangereux sont ils recherch s pour diminuer les risques Points cl s indicatifs non pour valuation des risques Obligations de r sultat S interroger NUISANCES LIEES AU BRUIT Limiter le niveau sonore d ex position des salari s au plus bas possible 0 Limiter le nombre de salari s expos s au bruit Risque de perte auditive stress et fatigue pouvant entrainer des par perte de vigilence L Les salari s vous font ils remonter des informations sur cette g ne plonge cuisine salle de caf aspirateurs etc
12. 110701 2SS2119 gt s e 5 5 591 X 4 s p 4 s p 5 151 02 1107301 a ins xne 1e d s p L 5 xne 5 125 1 s p 5 p sayjepow s nbsii s p s lji3u pi sanbsu si Sueq s seud s p 2 sanbsu s p Foos uinf o sanbsi1 s p 8 jou 19109 12055 s uuosi d 9 5 91508 2 IAIPE 9552119 2 1295 2 PUU0SI94 0 0 suep 5 anod sa 159 sjuesieysies sa8nf 1uos s puenb
13. docs du travel ot prot d ctions r vention Le CHSCT les du parsonna a 1 t 7 Description succincis la d marche mise couvre par l entreprise au groupe de travel de r unions moyens Mc Listes des documents tenir deposition de lnapection du travel compt rendu de F valuaton des Chi m decin du travel cia guies documents utiss Ou des d qu e page 31 Compte rendu d valuation des risques en entreprise oe Ce MODALITE AUX DANGERS a ss EE Ee Ee anus EE Hs EES ege en e 4 gt EES Z LT s EE s a ER EE _ Lacker deer me Dour ke ire d action page PERSONNES ASSOCI ES LEVALLIAIION DES RISQUES ms es em ge mmm emm mm emm emm remm mmm em emm
14. t consult 2 travail debout avec pi tinement peut il tre diminu poses si ges assis debout etc repas sont ils pris heure fixe avant le service Les facteurs d ambiance Les d bits des hottes sont ils suffisant pr sence de vapeur bruit des chocs ou des hottes peut il tre diminu 2 L clairage des zones de travail est il suffisant 2 Risque d AT et de hernie discale S lombalgie Limiter les postures les Les plans de travail sont ils positionn s bonne hauteur pieds r glables efforts et les troubles muscu La machine laver est elle une hauteur convenable 2 lo squelettiques 115 bacs de vaisselle sont ils bonne hauteur ou faut il tre constamment pench avant 2 l agencement de la plonge n cessite t il des postures en extension avec des objets lourds en main 2 IDes manipulations d ustensiles lourds peuvent elles tre r alis es deux personnes 2 1Des dessertes pour transporter la vaisselle sont elles disposition 2 Le personnel est il form aux gestes et postures Les travaux longs et statiques peuvent ils tre r alis s assis Limiter les chutes Les sols sont ils en bon tat sont ils mouill s ou gras sont ils nettoy s imm diatement en cas de d versement accidentel bonde de sol permet elle d vacuer les eaux au sol Les
15. 25 s p apnbeu 1nod 2 L UOISU 1X U 59101504 105 s 1iliqissod sa ins sinof SL jjes Anod side s p 1913U3V e 5264 Sa suep 5 815 sp d 11 s p Juno S91121 59A Sa lt 295 Sa1NSSNEU s p jos ne Ins 5 uuosi d s nbs y tooz 0 s nbsui s p 599120552 s uuosi d sauuosi3d g 5 e 8 s p 91295 in312epay 91508 nbixo1 8 8 X
16. les zones de circulation sont elles encombr es Des all es de service sont elles bien d limit es les tables ou chaises ne les encombrent elles pas 10 objets ou animaux de clients sont ils pr sents sous les tables cannes sacs main laisse de chien bords de faux plancher sont ils signal s 2 plans inclin s sont ils fix s au sol L essuyage des verres se fait il avec des torchons secs et en interposant le torchon entre le verre et le pouce vaisselle br ch e est elle jet e imm diatement couteaux servant aux diff rentes pr parations sont ils nettoy s et rang s imm diatement 2 Une tension est elle pr sente Si oui cela est il d au comportement individuel la mauvaise r partition des t ches aux journ es trop longues au de feu nombre de serveurs est il suffisant pour le nombre de clients servir Le travail debout avec pi tinement peut il tre diminu poses si ges assis debout etc Les repas sont ils pris heure fixe avant le service 2 151 l tablissement dispose d une terrasse avec travers e de la rue un contact a t il t pris avec la mairie pour limiter la vitesse des v hicules ralentisseurs signalisation feux tricolores barri res le long du trottoir IDans cas les serveurs ont ils des tenues voyantes Doit on monter des escaliers pour acc der des mezzanines Peut on s organiser po
17. es ou produits farine ail pices etc m decin du travail en est il inform 2 C Des EPI gants sont ils disposition 0 Pr venir les br lures personnel porte t il des v tements de travail en coton et travaille t il manches baiss es 2 Les manches des casseroles et po les sont ils anti br lures ou utilise t on des torchons et des gants pour les fours Les manches des po les et casseroles d passent ils pas des pianos 2 Les friteuses sont elles plac es suffisamment loin des feux des pianos et des points d eau 2 La vidange de la friteuse se fait elle apr s avoir contr l la temp rature de l huile 2 Les couteaux sont ils rang s sur les plans de travail ou sur des supports magn tiques 24 1165 machines coupantes trancheur jambon cutter coupe pain sont elles quip es de Pr venir les coupures leurs protections Les couteaux sont ils nettoy s s par ment la vaisselle et des ustensiles 2 Points cl s indicatifs non exhaustifs pour P valuation des risques Obligations de r sultat S interroger Risque d AT et de M P hernie discale M 5 lombalgie allergie Les facteurs d accidents li s Une tension est pr sente en permanence en cuisine cela est il d au comportement individuel la fatigue ou au stress la mauvaise r partition des t ches aux journ es trop longues au de feu 2 Le m decin du travail a t il
18. est dire tablir un diagnostic des risques en entreprises Mettre en uvre des mesures de pr vention Ces mesures r sultent de choix et de priorit s inscrits dans un plan d action Ces deux phases sont indissociablement li es l valuation n a aucun int r t si elle ne conduit pas la mise en uvre de mesures de pr vention page Evaluer pour pr venir 5 raisons pour agir Prot ger la sant et s curit des travailleurs Aujourd hui encore un grand nombre d accidents du travail et de maladies professionnelles AT MP surviennent en France durant le travail Chaque jour 170 accidents du travail entra nent une incapacit permanente ou un d c s et environ 80 personnes sont reconnues atteintes d une maladie professionnelle La n cessit d valuer les risques ne r sulte pas uniquement ce constat l absence d accident ou de maladie professionnelle ne signifie pas qu il pas de risque z ro n quivaut pas au risque z ro Me Ed LEE professionnels suppose qu un travail d anticipation soit r alis au sein de afin de comprendre et d analyser tous les ph nom nes suscepti bles de faire na tre un risque pourla sant et la s curit au travail La perception par les travailleurs de leurs conditions de travail le montre bien 76 d entre eux considerent que lesmode d organisation du travail a un effet important sur
19. la machine En fin de cycle il ouvre le capot de la machi ne et fait glisser les paniers sur le plan de s chage situ dans le prolongement Avant d analyser le travail on peut estimer que les risques principaux sont li s la sta tion debout p nible et aux nombreux d placements pi tinements Analyse du travail r el En observant Paul on s aper oit qu il effectue des manipulations de paniers de vaisselle lourds environ 15 kg alors que ceux ci sont cens s tre pouss s sur les plans de travail de la machine Il les d pose vides sur le bac de trempage et y place la vaisselle sale directe ment Il prend ensuite la douchette et rince la vaisselle dans les paniers Enfin il prend bout de bras les paniers et les transporte vers la machine laver Toutes ces manuten tions manuelles sont une charge suppl mentaire pouvant avoir des cons quences non n gligeables sur sa sant lombalgies tendinites troubles musculo squelettiques En effet les plans des bacs sont relativement hauts et la prise des paniers se fait en exten sion Enfin la fr quence des manipulations est lev e au moment du plein service un panier toutes les huit minutes en moyenne 4 phases de travail ont t analys es 1 Vidage des d chets dans la poubelle Paul prend les assiettes pleines sur le plan tra vail et se dirige vers la poubelle ouvre le couvercle avec la p dale et fait glisser les d chets avec une fourchette ret
20. la participation des salari s de leurs repr sentants Un appui externe peut conforter la mise en place de la d marche de pr vention Les organisations et branches professionnelles jouent un r le actif en laborant des guides et outils m thodologiques d valuation des risques l attention des entreprises Les organismes de pr vention sengagent mettre en place cette d marche afin de favoriser umur as en entreprise Les Services de Sant au Travail d veloppent une approche pluridisciplinaire de la pr vention des risques professionnels En associant des comp tences m dicales tech niques et organisationnelles ils contribuent dans chaque entreprise l valuation des risques et la r alisation des actions de pr vention Le M decin du Travail conseiller de l employeur des salari s et de leur repr sentant consacre un tiers de son temps l analyse du milieu de travail labore la fiche d entre prise qui consigne les risques professionnels pour les entreprises de plus de 10 sala les effectifs des personnels expos s et les moyens pr conis s pour les pr venir Les Services de l tat Services d Inspection du Travail contribuent galement la mise en uvre de la d marche de pr vention La DRTEFP et les DDTEFP interviennent sur lla sensibilisation en amont des acteurs internes l entreprise employeurs travailleurs repr sentants du personnel et m decin du travail
21. m dicalement aptes r aliser les t ches qui leurs sont attribu es port des char ges travail en hauteur allergies etc Soient inform s des risques li s l utilisation de certains produits chimiques eau de javel soude produits pour d graissage des fours etc Soient form s la s curit leur poste de travail mais galement aux risques g n raux dans l entreprise incendie vacuation etc partir de l valuation des risques l affichage permanent des consignes de s curit est un moyen de rappeler les risques pr sents et de former le personnel r guli rement sur les consignes de base engageant la responsabilit de l employeur 1 Les conditions d utilisation de certains quipements comme le fait de transporter des personnes avec des monte charges C Le port des quipements de protection individuelle chaussures de s curit en cuisine gants de m nage pour les produits chimiques Ll Le r enclenchement des installations lectriques apr s coupure sans avoir d habilita tion adapt e gt 18 00 TAPE 4 Mettre en uvre les actions Quelle que soit l action envisag e est n cessaire d signer une personne charg e du suivi L disposer d outils de pilotage permettant d ajuster les choix de contr ler l efficacit des mesures et de respecter les d lais tableaux de bord indicateurs TAPE
22. pr vention ambitieuse image de l entreprise professionnelle en est valoris e ce qui peut notamment favoriser le recrutement Contribuer la performance de l entreprise Chaque ann e les accidents du travail les accidents de trajet et les maladies professionnelles se traduisent par 2 millions demourrm es de travail soit environ 115000 salari s absents par jour C est un co t humain et conomique tr s important pour les entreprises 1 et production perdus D g ts caus s aux mat riels quipements et produits Augmentation des primes d assurance frais de justice Difficult s de remplacement Baisse du moral et de la motivation des salari s L D gradation du climat social l valuation des risques professionnels cet gard d identifier les dysfonctionnements susceptibles affecter la sant et la s curit des travailleurs et de nuire la comp titivit de l entreprise Ainsi de bonnes condi tions de sant et de s curit au travail contribuent l am lioration de situation conomique des entreprises page Evaluer pour pr venir Les 5 cl s pour r ussir 2 1 L employeur est le garant de la s curit et de la sant des travailleurs Afin de favoriser la pr vention des risques professionnels l employeur s engage sur les objectifs les modalit s et les moyens per mettant de cr er une d mar
23. risque n est cart C est le support transcrivant les r sultats de l valuation des risques Le document unique ne se r duit en aucun cas un document type r alis par une structu re externe ou non l entreprise une check list ou une grille par exemple Bien au contraire il convient d adapter la forme de ce document aux particu larites de entreprise le remde op rationnel tant qu outil d aide la d cision Les donn es fiche entreprise mesura ges fiches des donn es de s curit contribuant l valuation des risques ainsi que la m thode utilis e peuvent figurer en annexe du document unique Certains risques peuvent tre valu s partir d indicateurs propres l entreprise accidents du travail taux d absent isme turn over maladies professionnelles d clar es etc du mesurage luminosi t des postes de travail bruit etc N h sitez pas demander conseil votre m decin du travail ou la La participation des salari s permet de 5 assurer que les conditions dans lesquelles les mesurages sont effectu s sont repr sentatives des situations habituelles de travail y compris en situation exceptionnelle voire extr me R diger le document unique Une fois r alis le documen reste un outil de 1 dialogue social tant consult par les acteurs internes et externes l entreprise 0 p rennisation de la d marche d
24. se br ler en attrapant les assiettes Phase 2 Phase 2 Exemple d une op ration de plonge vaisselle en cuisine Parmi les questions se poser quels dangers sont expos s les salari s 2 Dans quelles circonstances sont ils expos s un danger s exposent t ils un danger 2 Le contexte Dans un petit tablissement la cuisine troite regroupe la pr paration froide la cuisine et la plonge 5 y trouvent pr sents au moment du service le chef le commis de cuisine et le plongeur Les r serves s ches et les r frig rateurs sont situ s dans une cour ext rieure accessible directement en franchissant une petite marche L valuation des risques pro pos e ne concerne que l unit de travail CUISINE et ne porte que sur l activit plonge Le chef et le salari Paul sont galement associ s l analyse Le prescrit Paul doit laver de la vaisselle et la batterie de cuisine La vaisselle est d pos e par les ser veurs sur le plan de travail r serv cet effet Pour la batterie de cuisine les mat riels sont plac s directement dans un bac d eau sp cifique par le chef ou le commis Paul commence par s parer les couverts et les assiettes puis vide les d chets dans la pou belle couvercle Il doit plonger ensuite les assiettes et les couverts dans le bac appropri pour les faire tremper avant lavage Puis il doit les reprendre et les d poser dans les paniers avant de les ins rer dans
25. ture le matin Le barman doit alors les ren trer lui m me dans les r serves de la cour 1 Dans cette autre brasserie un monte charge a t install entre la cave et le bar pour descendre les caisses de boissons et les f ts de bi re l escalier tant abrupt et pou vant provoquer des chutes L Dans ce troisi me tablissement les livraisons sont r alis es n importe quel moment de la journ e La mise en cave est alors faite directement par les fournisseurs avec des chariots adapt s triples roulettes pour descendre les escaliers Ces exemples mettent en vidence que le choix des unit s de travail ne peut tre r alis qu au cas par cas M me s il y des unit s types envisageables il ny a pas de solution universelle R aliser un inventaire des risques En identifiant les dangers C est rep rer la propri t ou la capacit intrins que d un lieu d un quipement d une substance d un proc d d une m thode ou d une organisation du travail de causer un dommage pour la sant des travailleurs En analysant les risques Cest tudier les conditions concr tes d exposition des travailleurs ces dangers des facteurs de risques comme cela peut tre observ en mati re d organisation du travail La r alit du travail peut souvent faire appara tre des situations complexes La posture au travail Dans ce caf la station debout prolong e aux fortes heures d affluence notam
26. zones de circulation sont elles encombr es plans inclin s sont ils fix s au sol Pr venir les br lures La temp rature de l eau chaude est elle correctement r gl e au ballon lt 70 ustensiles chauds sont ils apport s dans la cuisine ou la salle sans avertissement 2 zone sp cifique de d pose des ustensiles chauds est elle d limit e sur le plan de travail Pr venir les coupures Les couverts sont ils d pos s plat par les serveurs sur le plan de travail 11 vaisselle br ch e est elle signal e ou syst matiquement jet e Des couteaux ou ustensiles coupants sont ils nettoy s en plonge et sont ils s par s des autres L Pr venir les risques li s l uti personnel utilise t il des substances portant un tiquetage avec des symboles de risques javel lisation des substances dan d tartrants d graissants etc gereuses personnel conna t il les risques li s ces produits Irritant Corrosifs etc et leurs conditions d u tilisation Interdiction de m lange risques de projection ou d inhalation Le personnel a t il disposition des adapt s gants avec manchettes IRecherchez vous des produits de remplacement pas ou moins dangereux Avez vous les fiches de donn es de s curit et les avez vous transmises au m decin du travail 2 Avez vous fait des notices d information et
27. 0 page 2 valuer les risques valuer c est comprendre et estimer les risques pour la sant et s curit des travailleurs dans tous les aspects li s au travail Cela implique que l entreprise dresse pour chaque unit de travail un inventaire des risques identifi s Ensuite les r sultats de cette analyse conform ment au code du travail doivent tre transcrits dans un document unique L tape d valuation des risques se d compose ainsi en 4 phases Phase H D finir les unit s de travail 12 exemple pour plongeur en cuisine 14 ER R aliser un inventaire des risques 13 Phase CH Estimer les risques 16 Phase DH R diger le document unique 16 Nettoyage et service en salle 28 32 u 0552 20 33 Nettoyage d une salle de bain 30 34 12 DD Phase 1 D finir les unit s travail l identification des unit s de travail constitue la clef de vo te pour mener bien l analyse des risques Ee mece chef d entreprise les travailleurs et leurs repr sentants Lactivit r elle travailleur ou d un collectif de travail sert d ancrage pour op rer ce d coupage Afin compie NEE diverses d organisation travail il revient chaque entreprise proc der un tel d coupage selon son organisation son activit ses ressources et ses moyens techniques Pour les petits tablissem
28. 4 lll Pr vention d Pour la sant des salari s et des entreprises VALUER POUR PR VENIR Qu est ce que c est 2 VALUER POUR PR VENIR Pourquoi p 4 Les 5 raisons pour agir VALUER POUR PR VENIR Comment p 6 Les 5 cl s pour r ussir FA ech 5 DE LA D MARCHE PR VENTION p 9 VALUER POUR PR VENIR Avec qui p 19 m diterran e e s lt e 5 lt 0 lt e D gt Mal Ce 3 La La pr vention des risques professionnels et l am lioration des conditions de travail participent la Valorisation des m tiers et au maintien d emplois de qualit Cette d marche active et volontaire facilite l acc s l emploi augmente le bien tre col lectif et am liore la performance des entreprises Elle constitue par ailleurs un enjeu fondamental un moment o les accidents du travail et les maladies profession nelles repr sentent une charge conomique consid rable tant pour les entreprises que pour la collectivit au travers notamment des d penses d indemnisation et de l impact social et humain parfois dramatique qu ils engendrent Une politique de pr vention dynamique qui reste pour l essentiel construire doit permettre d am liorer de fa on significative la situation dans l entreprise Durant plusieurs mois dans le d partement des Alpes Maritimes et avec le concour
29. 5 valuer la d marche de pr vention Cette phase dynamique consiste Assurer le suivi _ des mesures r alis es dans le cadre du plan d action _ des m thodes utilis es d finition des unit s de travail modalit s de concertation appr ciation des moyens engag s Dresser un bilan p riodique Ce bilan peut conduire valider les actions et m thodes mises en uvre Ll corriger les actions r alis es lorsqu elles conduisent des changements techniques et organisationnels dans les situations de travail susceptibles de g n rer de nouveaux risques relancer la d marche de pr vention conform ment aux obligations de l employeur en mati re d valuation des risques e moins une fois par an ou lors d am nagements importants ayant un impact sur la sant et la s curit des travailleurs ou lorsque toute nouvelle information n cessite une valuation des risques L Ainsi les enseignements tir s des actions et m thodes utilis es enrichissent la d marche de pr vention et contribuent au d veloppement d une culture de pr vention dans l entreprise 5 valuer pour pr venir avec qui 2 Voir en annexe les contacts utiles en r gion PACA Le succ s de la d marche de pr vention repose en premier lieu sur des connaissances et des savoirs faire des salari s et des repr sentants du personnel de l entreprise voir les 5 cl s pour r ussir
30. 9351 Sa e slue1six su ow s p 2 e7 s p 8 asiuIsin al 1ed 1351291 94184 L 5 ej s 8ue Sa 592 un s dno18 s qe1 O sed 105 au sasieup sa anb 91105 jelp uuuu 1 s sodsip lu los 5 463 sa j es 8 591191552 591 2 lt 1 018 5 4 3 591 11u 2 aua0 Saide 5 Sa s2es s1 qo s p 1955 Sa s u l 3 s p uone e1su 5 d sino SL uoz un p 5 jjes EI jos xne any 21821194 uonisod 1942012 1slulsIn2 5 jou Sjow L ne un zejd 19915 L SIn A4 S S P s 11u 510 pess D siouu E su s Sa un p
31. RENT DU VAR T l 93 31 91 90 UPE Immeuble Cap Var 273 Av Georges Guynemer 06700 SAINT LAURENT DU VAR T l 92 27 27 APAMETRA 6 Rue du Dr Richelmi 06300 NICE T l 04 92 oo 38 40 Ce guide a pu tre r alis gr ce la participation des h teliers cafetiers et restaura teurs des Alpes Maritimes Ce guide a t construit sur la base du guide national valuer pour pr venir comprendre pour r agir labor par Minist re de l emploi du travail et de la coh sion sociale e Minist re de l agriculture de l alimentation la p che et des affaires rurales Minist re de l quipement des transports du logement du tourisme et de la e Caisse nationale de l assurance maladie des travailleurs salari s CNAMTS Institut national de recherche et de s curit INRS Agence nationale pour l am lioration des conditions de travail ANACT ARACT Mutualit sociale agricole MSA Organisme professionnel de pr vention du b timent et de travaux publics Institut maritime de pr vention IMP 06 Travail Operationnel de Suivi de Conseil et d Accompagnement dans les Alpes Maritimes CAF NOIR COMMUNICATION O4 42 24 31 41 Photos X DR
32. _ _ 8 nbsu 8e111e1 p lt 0 2 s1inpoid 1011 Sa 115 s uleq s es s p 19129 X salsed s p 8 s nbiuuiu3 synpoid 8 iquueu2 sa s nbi8o olq sanbsu s p ainbid uleq es ap s nbsu s p sanguuss s p sioj nbj nb X s p 8 s j qnod sa suep s qe1 s es s p s j qnod sa suep juayaf zua 591 sjuenbid 1yuedno2 s1u uu p 2u s id sa ppqnod s p 8epiA 1J quuo1 19 19558 nbsu X s y 110u8 eq Sa ins zu zuow 2 51011 ne qe3s ans Sa WA 59 8 Sa X s 8ue s nbseA ne qe3s s p 1 lu p s1neu 3005 591 UOISU 1X 8e o11 N apessi 8 x p d 11 jos a 815 s p 1n d
33. aux enjeux de l va luation des risques _ suivi de d marche en particulier lors des r unions du CHSCT contr le du respect des obligations en mati re de sant de s curit au travail L ANACT L Agence Nationale pour l Am lioration des Conditions de Travail r pond aux demandes des chefs d entreprise ou celles des acteurs de la pr vention Son approche organisationnelle de la pr vention bas e sur l analyse de l organisation et du travail r el permet de mettre en vidence les conditions d exposition aux risques des salari s L apport des salari s de leurs repr sentants permet de d velopper une d marche effective de la pr vention des risques professionnels en entreprise Site internet www anact fr La 5 La Caisse Nationale Assurance Maladie des Travailleurs Salari s propose aux entreprises via les services de pr vention des CRAM caisse r gionale documenta tion et information sur les risques et leur pr vention formation des chefs d entreprise et des salari s l analyse des risques et des situations de travail conseil et assistance en entreprise gr ce au concours d ing nieurs et de techniciens en pr vention Site internet www ameli fr En PACA MEDITERRANEE Association R gionale de l ANACT r pond aux demandes des chefs d entreprise ou celles des acteurs de la pr vention Son approche organisation nelle de la pr vention bas e sur l analyse de l o
34. avail suffisamment confortables jupes amples pantalon etc qui permettent une bonne mise en application des gestes et postures Risques d AT potentiellement tr s grave Supprimer le travail en hau teur nettoyage des vitres des tentures ou des meubles hauts n cessite t il de travailler en hau teur 2 personnel a t il disposition des escabeaux adapt s avec plate forme et garde corps 2 Avez vous des moyens techniques permettant de suppl er aux travaux en hauteur manches t lescopiques pour les ustensiles raclettes t tes de loup plumeaux personnel porte t il des chaussures ferm es pour monter et travailler en hauteur 2 Risques d AT potentiellement grave Limiter les chutes 11655015 sont ils en bon tat C Les zones de circulation sont elles encombr es 2 passages sont ils troits pr sence de mobilier de dessertes de chariots de sacs de linge de fils d aspirateur escaliers sont ils pourvus de rampes 11 plans inclin s sont ils fix s au sol Risque d AT et de Pr venir les risques li s l uti lisation des substances dan gereuses personnel utilise t il des substances portant un tiquetage avec des symboles de risques javel d tartrants d bouche canalisations personnel conna t il les risques li s ces produits Irritant Corrosifs etc et leurs conditions
35. avel Gera Batu aler OR Programme d actions de pr vention CONTACTS UTILES Provence Alpes C te d Azur Les contacts utiles dans le d partement des Alpes Maritimes figurent page suivante Services de l tat DRTEFP 180 Avenue du Prado 13285 MARSEILLE Cedex 8 T l 04 9115 12 12 Ou Contacter l Inspection du Travail de votre d partement MIRT MO M decin Inspecteur R gional du Travail et de la Main d uvre 180 Avenue du Prado 13285 MARSEILLE Cedex 8 T l 04 9115 12 99 Site DRTEFP DDTEFP www sdtefp paca travail gouv fr Site de la Pr vention www sante securite paca org Site internet d information juridique www legifrance fr _ Pr venteurs ACT M diterran e Association R gionale pour l Am lioration des Conditons de Travail Europarc de Pichaury Bt C1 13856 Aix en Provence cedex 3 Site internet www anact fr T l 04 42 90 30 20 CRAM Sud Est 35 rue Georges 13 385 Marseille cedex 20 Site internet www cramse preges org Service de documentation T l 04 91 85 85 36 Il existe une antenne de la CRAM dans chaque d partement Afin de proc der aux contr les de conformit et aux v rifications p riodiques lectricit quipements de travail a ration bruit etc Vous pouvez faire appel aux organismes et per sonnes agr s dont une liste se trouve sur le site de l INRS ww
36. beau et ainsi introduire main dans la goulotte au plus pr s des lames tour nantes au risque de se faire couper les doigts Dimension technique du travail Le piano de la cuisine de ce restaurant est plac sous une hotte aspirante comme il se doit Les fum es et vapeurs de cuisson ainsi que la cha leur des fourneaux sont vacu es vers l ext rieur permettant ainsi de rendre l atmosph re et l ambiance de travail supportables dans la cuisine La plonge vaisselle et batterie est plac e dans un local sp cifique o officie le plongeur tout au long du service Louverture de la machine laver la vaisselle de celle laver les verres et les bacs deau chaude d gagent en permanence de la vapeur d eau La seule pr sence d une VMC dans le local n est pas suffi sante pour absorber la quantit de vapeur mise ni de dissiper la chaleur importante due Evaluer pour pr venir com cette eau chaude L analyse du poste de travail du plongeur permettrait de s apercevoir de ces mauvaises conditions de travail et d envisager la mise en place dextractions efficaces au dessus des sources d mission Dimension organisationnelle du travail Le m nage dans les chambres de cet h tel est r alis par des quipes de deux personnes cha cune assurant le nettoyage de son tage Les postures de travail et les efforts pour faire les lits ainsi que le retournement des matelas sont une source de fatigue et de douleurs dorso
37. che durable Pour cela il associe l ensemble des acteurs de l entreprise salari s instances repr sen tatives du personnel m decin du travail ing nieurs et techniciens de la pr vention Le chef d entreprise peut aussi lt si n cessaire des appuis ext rieurs tout en demeurant le seul responsable de l valua tion des risques et des mesures de pr ven tion qui en d coulent Plusieurs acteurs sont impliqu s dans l valuation des risques professionnels Le CHSCT et les DP poursuivent un objectif commun de pr vention qui doit favoriser la mise en uvre de la pr vention des risques professionnels dans l entreprise D Une d marche globale Un des objectifs d une d marche globale d valuation des risques est de parvenir une analyse exhaustive des risques profes sionnels passage oblig vers des actions concr tes de pr vention Comprendre pour agir tel est l esprit de l valuation des risques analyser les situations de travail en s appuyant sur les conditions d exposition des travailleurs aux risques afin de mieux les ma triser Pour ce faire il convient de prendre en compte toutes les composantes du travail Personnel Organisation et m thode de travail Environnement de travail Produits mati res et d chets quipements et mat riels La prise compte composantes n cessite une approche pluridisciplinaire de la pr vention des risques pro
38. d utilisation Interdiction de m lange risques de projection ou d inhalation personnel a t il disposition des adapt s CIRecherchez vous des produits remplacement pas ou moins dangereux Avez vous les fiches de donn es de s curit et les avez vous transmises au m decin du travail 2 TAvez vous fait des notices d information et d utilisation des produits 2 Risque de Evaluer les risques biolo giques 1 manipulation des draps et serviettes sales avez vous mis disposition des gants pour le personnel et les porte t il effectivement 2 11 poubelles de salle de bain sont elles rigides et pourvues de sacs jetables 2 Les sacs des poubelles sont ils jet s dans un sac r sistant au piq res et coupures seringues lames de rasoir verre bris personnel dispose t il de chaussures de travail compatibles avec la pr servation des mycoses VEILLEUR DE NUIT Risque d agression stress angoisse insomnie Pallier les situations de travail isol Eviter les agressions Analyser les t ches compl mentaires Une organisation a t elle t mise en place pour s assurer que le veilleur de nuit puisse tre secouru en cas de malaise ou d agression appels r guliers t l surveillance acquittement de dispositif homme vivant 2 lLe veilleur de nuit dispose t il de moyens d alarme ou d alerte 2 Une proc dure de verr
39. d utilisation des produits 2 Les facteurs d ambiance IDes aspirations sont elles en place dans le local plonge et les d bits sont ils suffisants pr sence de vapeur bruit des chocs ou des hottes peut il tre diminu 2 L clairage des zones de travail est il suffisant Risque et de M P hernie discale M S lombalgie LI Limiter les postures les tables d appoint des dessertes roulantes sont elles disposition pour le service efforts et les troubles muscu personnel porte t il des plateaux surcharg s pour desservir les tables lo squelettiques L agencement de la salle n cessite t il des postures en extension avec des objets lourds en main 2 personnel est il form aux gestes et postures li s au service 2 Limiter les chutes Les sols sont ils bon tat sont ils mouill s des d chets d aliments tombent ils au sol sont ils nettoy s imm diatement Les zones de circulation sont elles encombr es 2 Des all es de service sont elles bien d limit es les tables ou chaises ne les encombrent elles pas Des objets ou animaux de clients sont ils pr sents sous les tables cannes sacs main laisse de chien Les plans inclin s sont ils fix s au sol 26 page Points cl s indicatifs ifs pour l valuation des risques Obligations de r sultat S inte
40. discale T M S lombalgie allergie 0 Limiter les d placements _ Les rangements d ustensiles sont ils dispos s judicieusement plus utilis s proximit des lieux d utilisa tion IDes plans de travail sons r partis dans toute la cuisine ou concentr s en seul endroit dessertes sont elles disposition pour regrouper les ustensiles la vaisselle n cessaires aux pr parations 0 Limiter les chutes 1165 sols sont ils en bon tat sont ils mouill s ou gras sont ils nettoy s imm diatement en cas de d verse ment accidentel Les zones de circulation sont elles encombr es Les plans inclin s sont ils fix s au sol 0 Limiter les postures les Les plans de travail sont ils positionn s bonne hauteur 2 efforts et les troubles muscu L ensemble des appareils de cuisson est il bonne hauteur piano friteuse grill micro ondes four etc lo squelettiques L agencement de la cuisine n cessite t il des postures en extension avec des objets lourds en main IDes manipulations d ustensiles lourds peuvent elles tre r alis es deux personnes personnel est il form aux gestes et postures Les travaux longs et statiques peuvent ils tre r alis s assis IL pluchage des l gumes est il vitable pr pluch ou m canisable plucheuse pr parations au fouet peuvent elles tre r alis es au batteur 0 Pr venir les allergies personnel est il allergique certaines denr
41. e pr vention par sa mise jour r guli re et son exploitation dans un programme d action Le chef d entreprise doit recueillir l avis du CHSCT ou des d l gu s du personnel sur le document unique Exemple document unique en annexe III 1 le CHSCT D l gu du Personnel DP d faut de repr sentant du personnel les personnes soumises un risque pour leur sant ou leur s curit et le m decin du travail 2 Les agents de l inspection du travail les agents de la CRAM les ing nieurs de pr vention des DRTEFP et les m decins inspecteurs du travail et de la main d uvre Elaborer un Les priorit s d actions de pr vention sont d termin es sur la base de l estimation des risques va op rer des choix et rechercher des solutions permettant de mettre au point une strat gie et un ou des programmes d action respectant dans l ordre suivant les principes g n raux de pr vention Suppression des risques mise en uvre des mesures de protection collective prise de mesure de protection individuelle tenant compte la fois des facteurs organisationnel technique et humain len d finissant les moyens humains et financiers co ts et opportunit s d investissements fixant un calendrier pr cis selon les priorit s issues de l valuation des risques en respectant les obligations sp cifiques du Code du Travai
42. ents le d coupage peut tre r alis en fonction de l activit Restaurant Cuisine Service en salle Approvisionnement H tel 1 Accueil Service d tage Petit d jeuner Brasserie 1 Service au bar Service en salle Approvisionnement Pour les tablissements de plus grande taille des sous unit s peuvent tre n ces saires Cuisine Pr paration froide Pr paration chaude Plonge Service d tage 1 M nage des chambres M nage des sal les de bain Buanderie Pour les tablissements poss dant des sp cificit s celles ci devront tre prises en compte s par ment Livraison de plats chauds en deux roues L Service de repas en chambre Pour ce faire la m thode quoi qui quand comment peut tre utilis e afin de recouvrir toutes les situations de travail Quelle est l activit r elle des travailleurs C Qui 2 O est elle exerc e dur e temps 2 Comment avec quels moyens De ce questionnement peuvent r sulter des regroupements de situations de travail pr sentant des caract ristiques voisines sans pour autant occulter les particularit s de certaines expositions individuelles Qui O Quand Afin d illustrer la diversit des situations si l on prend par exemple lapprovisionne ment des marchandises 1 Dans cette brasserie les livraisons sont faites au bar par les fournisseurs l ouver
43. es en place pour limiter l exposition des serveurs au fum es de tabac des clients zone non fumeur et rotation des serveurs aspirations etc bruit des chocs ou des conversations en salle peut il tre diminu rev tements muraux pho niques musique d ambiance tr s faible volume 2 L clairage des zones de travail est il suffisant a t il des zones d ombre 2 Risque d A T et de hernie discale M S lombalgie Limiter les postures et les Les colis sont ils dot s de moyens de pr hension poign es liens etc efforts _10 moyens de manutention m canique sont ils disposition diable chariot desserte monte charge Les cartons et caisses sont elles en bon tat 151 les stockages sont en cave les escaliers sont ils glissants sont ils pourvus rampe sont ils bien clair s Le personnel est il form aux gestes et postures 0 Limiter les chutes 11655015 sont ils en bon tat trous dans les linos sont ils mouill s ou gras sont ils nettoy s imm diatement en cas de d versement accidentel zones de circulation sont elles encombr es 2 Les passages sont ils troits pr sence de casiers derri re le bar de carton dans les d gagements Les bords de faux plancher sont ils signal s les plans inclin s sont ils fix s au sol 2 Pr venir les accidents Le personnel est il quip
44. es pour les femmes de m na ge r alisation du m nage des chambres par deux personnes en m me temps permet de minimiser ce risque Pendant que l une fait le m nage de la chambre l autre peut r aliser celui de la salle de bain au moment de la r ali sation des phases p nibles elles op rent deux pour ainsi diviser les efforts et r duire le poids des charges manipul es ce titre leurs exp riences leur savoir faire et leurs connaissances individuelles et collectives des situations de travail contribuent l valuation des risques et la recherche des actions de pr vention engager Naturellement cette partici pation est assur e pendant les heures de travail des salari s ln personnel participent non seulement l analyse des risques mais contribuent aussi la pr paration et au suivi des actions de pr vention C est non seule ment un droit mais aussi une n cessit Cette participation peut se faire de diff rentes facons Dans un tablissement de moins de 5 sonnes une r union de l ensemble des salari s permet de r pondre aux besoins de l tablisse ment o tous moments chacun peut tre amen r aliser le travail d un autre Pour des effectifs plus importants par exem ple jusqu 15 personnes les r unions sont anim es par le directeur avec le responsable de l unit et un membre de l quipe Dans les tablis
45. essionnelles MP ou les presque acci dents observ s chaque poste 1 Les risques identifi s par le m decin du travail La fiche d entreprise r alis e par le m decin du travail 3 1 Les risques identifi s et les postes de travail n cessitant une surveillance m dicale sp ciale travail de nuit A Les fiches de donn es de s curit jour des produits chimiques remises par le nisseur C Les observations fa tes par les organismes institutionnels de pr vention Services v t rinaires CRAM Inspection du travail Cl Les rapports de v rification des organismes agr s APAVE SOCOTEC Bureau VERITAS etc LEA L Les notices d instructions remises par les fabricants de mat riels Les plans de mise conformit des quipements de travail 2 Pr ciser les modalit s participation des acteurs internes 2 l entreprise CHSCT DP groupe de travail personnes ressources et de recours des comp tences externes l entreprise voir point 4 valuer pour pr venir avec qui 2 Planifier la d marche calendrier ressources modalit s de d finition des unit s de travail m thodes d analyse des risques l accord national interprofessionnel du 13 septembre 2000 pr voit que le CHSCT pour les entreprises de 50 salari s et plus est obligatoirement consult sur la d marche mise en uvre pour l valuation des risques 1
46. eur Ils sont pr sent sur l ensemble du poste de travail 14 page Le risque chute de plein pied Phase 1 Sol glissant autour de la poubelle par pr sence de d chets d aliments notam ment des feuilles de salade Phase 2 Sol mouill glissant autour du bac vaisselle aux projections d eau lors de l utilisation de la douchette Phase 3 Sol mouill glissant sur le parcours depuis le bac vaisselle jusqu au plateau chargement de la machine laver aux gouttures du panier lors de son transport Phase 4 Carrelage abim et carreaux de fa ence manquant Ce mauvais tat des sols peut provoquer des torsions de cheville Le risque aux produits vaisselle corrosifs Lors de la reprise en bac et le nettoyage de la batterie il est utilis du produit vaisselle industriel Le plongeur met donc fr quemment les mains dans le bac et ne porte pas de gants Le bac est profond et les gants courts se trouvent r guli rement remplis par l eau de vaisselle Il travaille donc mains nues et les chairs ainsi ramobllies favorisent la p n tration des produits par les pores et les micro coupures dues aux couverts viande ou la vaisselle br ch e Le risque li aux br lures Les ustensiles ayant servi la cuisson des aliments sont habituellement plong s dans le bac par le commis ou le chef En cas de forte activit au moment du de feu il arri ve qu ils les d posent directemen
47. fessionnels il s agit donc d associer des comp tences notamment m dicales organisationnelles et techniques Dimension personnelle du travail Le trancheur lectrique pain de cette cuisine poss de une but e pour le r glage de l pais seur des tranches L apprenti doit faire des Le m decin du travail Son association est particuli rement pr cieuse pour Le choix des quipements de protection individuelle afin de se prot ger des produits chimiques de nettoyage des risques biologiques des draps et serviettes souill s dans les h tels du port des v te ments de travail adapt s et des chaussu res de s curit en cuisine etc L information et la sensibilisation aux 5 dus aux gestes r p titifs en cuisine aux gestes et postures pour les manipula tions de caisses de bouteilles ou de f ts de bi re Lam nagement des postes de travail en cuisine hauteur des plans de travail ere tons pour la rouille de la soupe de poisson il doit couper des tranches fines de pain dur pass au jour Le syst me de r glage est long man uvrer et pour gagner du temps il des cend petit petit le pain dans la goulotte en le guidant la main Ne pouvant pas introduire comme cela l ensemble de la baguette parce quil est g n par les grilles de protection il approche une caisse vide de bouteilles pour sen servir desca
48. irectement dans les sanitaires plut t que l utilisation de berlingots deau de javel liquide Les tapes la d marche pr vention W Pr parer la d marche de pr vention k laborer une strat gie LT Recenser les analyses Pr ciser les modalit s ei _ Planifier la d marche Evaluer pr vention Assurer le suivi valider corriger _ Dresser un bilan p riodiques Evaluer les risques Phase 1 D finir les unit s de travail Phase 2 R aliser un inventaire des risques ___ 3 Estimer les risques Phase 4 R diger le document unique D laborer un programme P d actions des choix L Mettre au point une strat gie Se TAPE 1 Pr parer la d marche de pr vention Cest l tape fondamentale qui conditionne le succ s la d marche Pour cela il est n cessaire de laborer une strat gie sant et s curit au travail int gr e l activit de l entreprise en fixant des objectifs et en d finissant une organisation adapt e Recenser les analyses effectu es les donn es produites et les mesures prises en mati re de pr vention des risques professionnels Parmi les donn es disponibles dans l entreprise citons pour m moire C Les accidents du travail AT ou maladies prof
49. it d hygiene R des conditions travail ou des instances qui TEXTES R GLEMENTAIRES tiennent lieu des d l gu s du personnel ou d faut des personnes soumises un risque pour leur s curit ou leur sant ainsi que du m decin du travail est galement tenu sur leur demande la disposition de l inspecteur ou du contr leur du travail ou des agents des services de pr vention 5 des organismes mentionn s au 4 de l article 1 231 2 La circulaire d application du dit d cret rappelle la m thodologie g n rale de la d marche de pr vention mettre en uvre dans l entreprise Le pr sent guide reprend la m thodologie propos e par la circulaire Pour information certains risques font l objet d une r glementation sp cifique et demande une valuation sp cifique Risques li s la manutention manuelle 1 Risques lectriques Risques de nuisances li es au bruit Risques li s aux produits dan gereux utilis s javel pro duits de d graissage net toyants m nagers etc du travail Risques li s l utilisation des du travail quipements de travail bat teurs trancheurs cutter etc Risques li s aux t ches effectuer quotidiennement n cessitant une formation s curit Personnel CDI Pe
50. l Lorsque les risques ne peuvent pas tre supprim s imm diatement des mesures provisoires doivent tre prises pour assurer la protection des travailleurs Ces d cisions doivent garantir une protection suffisante dans l attente de la mise en uvre moyens techniques et financiers susceptibles d liminer les risques Dans cet esprit gr ce un dialogue social permanent le programme d action devient un v ritable instrument de pilotage et de suivi de la pr vention au sein de l entreprise Quand le risque ne peut tre supprim il convient alors de rechercher des moyens de pr vention adapt s Ceux ci devront porter sur les points suivants Les quipements de travail en agissant En priorit sur les quipements de protection collective aspiration des vapeurs d eau en plonge achat de chariots de transport distributeurs doseurs de produits m nagers Dans l ventualit de non existence de protections collectives adapt es fourniture gra tuite d quipements de protection individuelle adapt s L organisation du travail Par exemple face l troitesse des locaux de l exemple pr c dent la mise en place d un trou dans le plan de travail pour y ins rer la poubelle emp cherait de d verser au sol des d chets alimentaires source de glissade et de chute Les d bordements resteraient sur le plan de travail au lieu de tomber au sol Pour les salari s s assurer qu ils Soient
51. lateau mobile permet d une part au cuisinier de d poser les assiet tes hors de la cuisine et ainsi respecter les principes et d autre part aux ser veurs d attraper les assiettes hauteur sans avoir monter et descendre de nombreuses fois l escalier en question Organisation du travail Dans cet h tel les femmes de chambre net toient les vitres des fen tres en int rieur et en ext rieur Elles utilisent les chaises des chambres plut t que l escabeau de l tage Elles proc dent ainsi parce que l escabeau nest pas toujours sa place et que son transport n est pas des plus ais Dans autre tablissement la mise en place de raclettes avec des manches t lescopiques permet de travailler partir du sol suppri mant ainsi l vidence un risque d fenes tration aux cons quences graves Dans cette analyse des risques il conviendra galement de prendre en compte des situa tions que l on peut supposer sans risque par ticulier Il peut s agir notamment Des travailleurs isol s comme le veilleur de nuit des h tels m me s il a l autorisation de se reposer dans une pi ce adapt e une organisation doit tre mise en place pour pr venir par exemple les risques d agression L utilisation de moyens inadapt s pour la t che r aliser comme par exemple le chauffage des assiettes dans des salamand res Ces derni res chauffant excessivement les serveurs peuvent
52. les risques d accidents du travail ou de maladies professionnelles Toute entreprise est quel soient sa taille et son secteur d activit l valuation des risques vise tenir compte aussi bien des aspects humains techniques organisationnels du travail D R pondre aux obligations de pr vention l employeur doit respecter ses obligations mati re de sant et de s curit au travail Les principes g n raux de pr vention inscrits dans le code du travail article L230 2 et rappel s en annexe 1 pr voient notamment que tout employeur est responsable de l valuation des risques et des actions de pr vention qui en d cou lent revient l employeur de mettre place les moyens les plus adapt s pour r pondre son obligation de r sultat dans ce domaine Evaluer pr venir 2 Favoriser le dialogue social La pr vention des risques professionnels et l valuation des risques s appuient sur un dialogue constant et constructif entre l employeur les repr sentants du personnel et les salari s Ce dialogue est la garantie d une meilleure sion et R des risques professionnels D Cr er un emploi de qualit Cet enjeu de niveau national et euro p en a pour composante essentielle un environnement de travail s r et sain Dans l entreprise il s agit d assurer bonnes conditions de travail par une d marche de
53. lom Une dynamique L valuation des risques professionnels doit permettre la mise uvre d une d marche OE mi progressivement en s inscrivant dans le temps De cette pasa m de l entreprise Re grande maitrise OC la s appropriant la d marche 4 La participation des salari s et de leurs repr sentants Les salari s sont les premiers concern s par les risques professionnels auxquels ils sont expos s Associer les salari s Une d marche incontournable pour leur per mettre d appr hender toutes les composantes sant et s curit de leur travail Permettre au salari de s exprimer sur le ressenti des risques son poste de travail Mesurer l cart parfois important entre le travail prescrit et le travail r alis Participer et sapproprier la d marche de pr vention des risques Ainsi les femmes de m nage ne portent pas leurs gants pour le nettoyage des salles de bain Bien que les produits m nagers de nettoyage soient normalis s le contact r p t de la peau avec leau provoque des ramollissements des chairs favorisant petit petit le risque de p n tration de produits dans l organisme Leur par ticipation au choix des et la formation sur leur port aux moments opportuns ont permis ces salari es de se soustraire un risque chi mique non percu au d part baires important
54. ment le midi provoque une fatigue importante pour le barman Il ne peut pas aller se reposer l office car il d laisserait la client le Dans autre un si ge assis debout t mis en place il est utilis pendant certaines p rio des de r pit comme des verres des tasses au sortir de la machine laver ou l enregistrement des additions S il n est pas possible de r aliser des poses adapt es pen dant le service la mise en place d un moyen particulier pouvant permettre de les r aliser par petites p riodes est de nature diminuer la fatigue Le tabagisme passif Dans le caf bureau de tabac les clients viennent acheter leurs cigarettes et prendre une boisson ils prennent donc un moment de d tente Le personnel est confront toute la journ e aux fum es des clients et inhale ainsi une grande quantit de nicotine Ne pouvant pas interdire aux clients de fumer au bar la direction a fait installer des venti lations recyclage quip es de filtres afin de limiter au maximum les quantit s de fum es dans la salle Les zones de travail Dans ce restaurant la salle donne acc s un office plac en contrebas de la cuisine Pour y acc der il faut gravir trois marches Les ser veurs doivent donc monter et descendre ces marches tout au long de la dur e du service provoquant ainsi une fatigue suppl mentai re et des risques de chute permanents La mise en place d un p
55. mmm sm G e em eu e e em remm emm em eg s rer em wm om mm m mm e ms e emm mm emm mmm emm emm mm emm emm sO mO m om su mm wm m m emm emm emm emm emm f a emm mO f wm sf sm wm s om sm m m D n em re mm mms em em cn E E emm mn pm emm E s em em emm emm emm uma emm m emm a O emm wm em m w s em sm es s n gr r m ep emm mms umma em em rem emm m mf s sm mD emm em DE SW r em mm eg em emm mmm em emm em rem eem egen mf e e em pm rg eg mm ele La description des moyens de pr vention oxistanta pour finalit i de wa bse et Chi vinhier inu kiini od sont jug es satisdasants E gie da ba noter pour povio uvre ag fren Mars bompa E CRAN PONT DEES chu tr
56. n du travail les conditions de travail les relations sociales et l influence des facteurs ambiants prendre les mesures de protection collective en leun donnant mesures protection individuelle donner les instructions appropri es aux travailleurs D cret du 5 novembre 2001 Article R 230 1 du Code du Travail transcrit et met jour dans un document unique les r sultats de l valuation des risques pour la s curit et la sant des travailleurs laquelle il doit proc der en applica tion du paragraphe 1 de l article L 230 2 Cette valuation comporte un inventaire des risques identifi s dans chaque unit de travail de l entre prise ou de l tablissement La mise jour est effectu e au moins chaque ann e ainsi que lors de toute d cision d am nagement important modifiant les conditions d hygi ne et de s curit ou les conditions de travail au sens du septi me alin a de l article L 236 2 ou lorsqu une informa tion suppl mentaire concernant l valuation d un risque dans une unit de travail est recueillie Dans les tablissements vis s au premier alin a de l article L 236 1 cette transcription des r sultats de l valuation des risques est utilis e pour l tablissement des documents mentionn s au premier alin a de l article L 236 4 Le document mentionn au premier alin a du pr sent article est tenu la disposition des mem bres du com
57. nnels les utilisant Les appareils de levage ascenseur monte plats monte charges poss dent ils un certificat de conformit l Les appareils sont ils entretenus et v rifi s p riodiquement LI Les personnels les utilisant ont ils une formation adapt e 0 Les personnels les utilisant ont ils une autorisation crite pour le faire l vateurs de charges MANUTENTIONS MANUELLES Rep rer les postures fatigan tes p nibles dangereuses Supprimer r duire les manu tentions manuelles Risque d A T et hernie discale TMS lombalgie Ll L employeur t il recens les situations de travail o des manutentions manuelles sont r alis es par les salari es transport de caisses ou cartons port de bagages retournement de matelas d placement de tables lourdes etc L L employeur t il recens toutes les situations de travail n cessitant des postures extr mes extension torsion accroupissement Ll L employeur t il recherch les moyens d aide la manutention pr sents dans l tablissement et v rifier leur r partition L L employeur t il recherch les solutions organisationnelles permettant de r duire la charge travail deux Ll L employeur t il r alis des formations gestes et postures pour les personnels manipulant r guli rement des charges PRODUITS CHIMIQUES Risque d AT et
58. nt ils disposition diable chariot desserte 165 cartons et caisses sont ils en bon tat personnel est il form aux gestes et postures chutes 1165 sols sont ils en bon tat sont ils mouill s ou gras sont ils nettoy s imm diatement en cas d verse ment accidentel 1165 zones de circulation sont elles encombr es 1165 passages sont ils troits pr sence de mobilier dessertes escaliers sont ils pourvus de rampes plans inclin s sont ils fix s au sol 0 Pr venir les accidents 11 personnel est il quip gants pour les manutentions chaussures de s curit pour les chutes d objet etc L empilement des cartons et des caisses est il stable y a t il des tag res fix es au lLes rangements sont ils organis s produits lourds hauteur de taille produits les plus utilis s facilement accessibles moyens adapt s pour attraper les marchandises en hauteur Ll Am liorer les facteurs d am 115 produits sont ils stock s en chambre froide 2 Le personnel dispose t il de v tements adapt s pour y biance acc der 11 tag res des cong lateurs risquent elles de provoquer des br lures aux mains m talliques au lieu d a luminium ou de plastique ILe personnel dispose t il de gants adapt s aux congel s stockages en sous sol sont ils suffisamment clair s Risque d AT et de hernie
59. ont elles exemptes de tout encombrement tables chariots de m nage cartons et palettes etc LI Le cheminement vers les issues de secours est il balis 2 C Les produits inflammables Alcool br ler D tachants etc sont ils entrepos s dans des locaux ventil s O Les installations de gaz des cuisines sont elles r guli rement entretenues et des v ri fications d tanch it sont elles r alis es annuellement C L tablissement poss de t il des extincteurs appropri s aux risques r partis accessi bles visibles contr l s annuellement Le personnel est il form au maniement des extincteurs le personnel proc de t il des exercices semestriels C Existe il un support dossier classeur regroupant pr cis ment les consignes 2 ELECTRICITE Ll Conception et installations s res TInterventions r serv es au seul personnel habilit Risque d A T potentiellement tr s grave Les installations sont elles conformes aux r gles de l art L Les installations sont elles entretenues r guli rement et v rifi es annuellement 2 Les personnels intervenants m me pour des op rations simples changement d ampoules r armement de sont ils form s et habilit s pour ces op rations APPAREILS DE LEVAGE Risque d A T potentiellement tr s grave Conception des appareils intrins quement s re Formation des perso
60. ouillage des issues est elle en place pour viter les intrusions et est elle respectee Le veilleur de nuit a t il des t ches compl mentaires pr paration des petits d jeuners lava ge repassage de linge nettoyage du hall port des petits d jeuners en chambre Ces t ches ont elles t valu es Points cl s indicatifs non exhaustifs pour l valuation des risques Obligations de r sultat S interroger ACCUEIL Risque d AT et de Lombalgie trouble la vue stress Am liorer l ergonomie des personnel travaille t il sur cran d ordinateur ressent il une g ne due des reflets postes de travail sur cran lumi re artificielle ou naturelle C Le si ges de ces postes sont ils r glables en hauteur en appui lombaire et le poste est il Penser 5 5 pourvu d un pied nes situations Des clients m contents peuvent ils tre agressifs Le desk est il assez large pour vi ter que la situation ne d g n re en agression physique 1 Quand l h tel enregistre une arriv e massive de clients groupe en l organisation permet elle d apporter une aide au r ceptionniste LIVRAISONS STOCKAGE Risque d AT et de M P hernie discale M S lombalgie Limiter les postures et les Les colis sont ils dot s de moyens de pr hension poign es liens etc efforts IDes moyens de manutention m canique so
61. ourne vers le plan de travail reposer l assiette sur la pile en prend une autre et recommence l op ration 2 D pose vaisselle en paniers Une fois les assiettes vid es il en prend une pile et se diri ge vers le bac de trempage il pose la pile sur le panier et reprend les assiettes une une pour les placer verticalement dans le panier Il recommence l op ration jusqu remplis sage complet du panier puis rince la vaisselle avec la douchette Les couverts sont d po s s par paquets dans des paniers sp cifiques 3 Mise en place des paniers en machine Paul attrape le panier sur le bac et se dirige vers la machine plac e environ 3 m tres transport de paniers lourds Il le d pose sur le plan d approvisionnement machine soul ve le couvercle de la machine fait glisser le panier dans la machine et referme le capot En fin de cycle le plongeur ouvre le capot machine et pousse le panier vers le plan de s chage 4 Vidage des paniers Une fois la vaisselle s ch e il reprend les pi ces de vaisselle une par une les empile sur les tag res d di es la vaisselle propre Puis va d poser nouveaux le panier cheval sur le bac vaisselle manipulation r p titive des assiettes et extension pour atteindre les tag res Au cours de cette observation d autres risques apparemment anodins ont pu tre d tect s Ils ne sont pas n gligeables parce que leur cons quence pourrait tre impor tante pour le plong
62. p 8 1 spaid sa jJueu 1id s 1u An d 3essed L X Sa 191205510 5 SIN M S S9J ne 591 jos ne gt 4 8 xne V 5 25 s ue six s p s nbsu s p s nbsii ap 5 s seud s p Foos unf of s p Sue 1995 l 19u p lt 2055 SaUUOS134 allge 5 2 5 In o dui3 9 5 l uuosi d 8 10 O 2 1 1 5 1nod 1 sa 1n 35 5 51165 8 1uos s puenb uu 9W 1 IJH A 19151 Sa e 1 1 61 s p uoljdi12s2p
63. pecter l int grit physique de chacun par une bonne valuation et la mise en place d actions de pr vention prenant en compte l organisation du travail et ses composantes techniques et humaines d aider au respect de la l gislation en vigueur et plus largement d am liorer les conditions de travail Pour traiter de questions techniques pr cises li es au bruit aux manutentions l am nagement des espaces de travail le lecteur aura tout int r t se reporter aux ouvrages list s en annexe ou solliciter le conseil des experts dont les coordonn es figurent en fin de guide Soyez galement assur s de tout notre soutien Le directeur d partemental du travail Le pr sident de l UMIH de l emploi et de la formation profes Philippe LE VEN sionnelle des Alpes Maritimes Jean Pierre BOUILHOL Le pr sident d partemental de Ee Alain SAUBERT Le secr taire d partemental del UD CFDT Le pr sident d partemental R my LEBAS DE LACOUR de tes Jean Nicolas Le secr taire d partemental Le secr taire d partemental UD CGT de CGT FO Pierre BRUC Jean Jacques MAI Evaluer pour La pr vention des risques professionnels consiste prendre les mesures n cessaires pour pr server la sant et la s curit des travailleurs dans le cadre du droit du travail et du dialogue social Pour agir il est indispensable de R aliser une valuation des risques professionnels c
64. pousseter les meubles hauts plut t que d utiliser l escabeau d tage La pr sence de fils lectriques des aspira teurs au sol pouvant faire obstacle et entra ner une chute Les risques li s des situations exception nelles 1 Lencombrement des passages par des ivraisons tardives pendant le service 1 Le r enclenchement des disjoncteurs apr s une surtension lectrique Les risques li s aux op rations mainte nance de certaines installations ou de net toyage L Le d graissage des hottes aspirantes des cuisines 1 La vidange de la friteuse Un d faut de vigilance au niveau de l orga nisation du travail peut entra ner des situa tions risque permanent Dans cet h tel le veilleur de nuit a en char ge la pr paration des petits d jeuners ll doit disposer sur des plateaux la vaisselle et les couverts puis les d poser sur les tables Pour ce faire il dispose d un chariot de transport sur lequel il peut mettre l ensemble des mat riels emporter Ce m me chariot est r guli rement pris dans la matin e par les femmes de chambre pour transporter les produits d accueil savons shampoing etc mettre dans les chambres R guli rement le chariot reste dans une buanderie d tage au lieu d tre redescendu la cuisine pour le petit d jeuner du lendemain Le veilleur de nuit ne sachant pas o il est et ne pouvant pas laisser l accueil sans surveillance charge les pla
65. rganisation et du travail r el permet mettre en vidence les conditions d exposition aux risques des salari s La participa tion des salari s et de leurs repr sentants permet de d velopper une d marche effec tive de pr vention des risques professionnels en entreprise Annexes 20 Principes g n raux de pr vention de la loi 1991 Article L 230 2 du code du travail Le chef d tablissermen gp matico 5 n cessaires pour assurer la s curit et prot ger la sant physique et mentale des travailleurs de l tablissement y compris les travailleurs temporaires Ces mesures comprennent les actions de pr vention des risques professionnels d information et de formation ainsi que la mise en place d une organisation et de moyens adapt s Les EERSTEN prises doivent respecter l ordre suivant viter les risques valuer les risques qui ne peuvent tre vit s combattre les risques la source e adapter le travail l homme en particulier lors de la conception des postes de travail du choix des quipements de travail des m thodes de travail et de production afin de limiter le travail monotone et cadenc au regard de leurs effets sur la sant tenir compte dek tor RON technique remplacer ce qui est dangereux par ce qui n est pas dangereux ou par ce qui est moins dangereux planifier la pr vention y int grant dans un ensemble coh rent la technique l organisatio
66. rroger Les facteurs d accidents li s De la tension est elle pr sente en permanence dans la brigade cela est il d au comportement la fatigue ou au stress individuel la mauvaise r partition des t ches aux journ es trop longues au de feu nombre de serveurs est il suffisant pour le nombre de couverts servir 2 Le travail debout avec pi tinement peut il tre diminu poses si ges assis debout etc Les repas sont ils pris heure fixe avant le service Les facteurs d accidents li s Cet tablissement dispose d une terrasse avec travers e de la rue un contact a t il t pris avec la configuration de l tablisse mairie pour limiter la vitesse des v hicules ralentisseurs signalisation feux tricolores barrie ment res le long du trottoir Dans cas les serveurs ont ils des tenues voyantes Doit on monter des escaliers pour acc der des mezzanines Peut on s organiser pour limiter les all es et venues et les mont es et descentes 2 Les accidents li s la coactivit Les serveurs doivent ils obligatoirement entrer en cuisine ou en plonge possibilit de passe plats Les serveurs doivent ils aller chercher des bouteilles ou de l eau derri re le Les collisions entre serveurs sont elles fr quentes Les facteurs d ambiance Des aspirations sont ell
67. rsonnel saisonnier ou vail int rimaire Risques li s l incendie et l vacuation formation des vail personnels Pour vous aider valuer vos risques dans votre structure vous pouvez galement vous appuyer sur les documents dit s par l INRS m decine du travail et l ANACT qui selon les cas peuvent vous apporter des clairages sp cifiques sur cer tains risques connus dans la profession cf biblio graphie jointe Art R 231 68 du code du travail D cret du 14 novembre 1988 Art R 232 8 1 du code du travail Art R 231 54 et suivants du code Art R 233 1 et suivants du code Art R 231 32 45 du code du tra Art L 231 3 1 du code du travail Art R 232 12 23 du code du tra Points cl s indicatifs vour l valuation des risques non exhaustifs Obligations de r sultat INCENDIE EXPLOSION Accidents de travail Maladies professionnelles 5 Troubles musculo squelettiques S interroger Risque 4 tr s grave et de perte de l outil de travail Eviter les risques Evacuer rapidement Limiter la propagation 1 Combattre efficacement 1 Les locaux de stockage contenant des mati res combustibles office buanderie caves sont ils exempts de toutes sources d ignition 2 Les hottes et conduits d vacuation des vapeurs et graisses subissent ils un nettoyage complet annuel Les issues de secours s
68. s Mr Didier Pecnard APAVE Sud Europe de sa contribution la r alisation de ce guide R seaux de veille et de pr vention des risques professionnels en PACA Le guide H tels caf s restaurants est le r sultat d un travail collectif Tosca 06 men dans le d partement des Alpes Maritimes qui a r uni les organismes suivants GROUPE DE TRAVAIL ORGANISATION PROFESSIONELLE UMIH Si ge social 17 Rue Paganini 06000 NICE T l 93 88 39 42 ORGANISATIONS SYNDICALES DE SALARI S CFDT 12 boulevard Delfino 06300 NICE T l 04 93 26 52 32 CFE CGC 81rue de France 06000 NICE T l 93 88 86 88 81 de France 06000 T l 04 93 82 29 43 CGT 4 place Saint Francois 06300 NICE T l 92 47 7110 CGT FO 63 boulevard Gorbella 06102 NICE cedex 2 T l 93 84 40 50 SERVICES DE SANT DU TRAVAIL AMETRA 28 boulevard de Riquier 06300 T l 92 oo 24 70 CMTI 5 7 rue Delille 06000 NICE T l 62 74 62 DDTEFP Direction D partementale du Travail de l Emploi et de la Formation Professionnelle CADAM Route de Grenoble BP 3311 06206 NICE cedex 3 T l 04 93 72 49 49 ACT M diterran e Europarc de Pichaury 1330 rue Guillibert de la Lauzi re BT C1 13856 42015 3 T l 04 42 90 30 20 AUTRES PARTENAIRES AU PROJET UPA Boulevard Georges Pompidou Immeuble Var 3000 06700 SAINT LAU
69. s de l APAVE des professionnels des h tels caf s brasseries et restaurants ont accept que dans leurs tablissements soit engag e une d marche d valua tion Celle ci a permis de mettre au point ce guide m thodologique principalement l attention des PME et TPE Nous tenons remercier employeurs salari s services de pr vention et organismes de conseil tant pour les informations qu ils ont apport es que pour leur contribu tion la r daction de ce document La vocation ce guide nest pas d tablir un Catalogue des risques possibles que chaque professionnel son compte et recopierait m caniquement le consid rant comme LE document unique que chaque responsable d entreprise se doit de par la loi d tablir et de pr senter aux agents de l inspection du travail et de la se veut au contraire un outil p dagogique qui doit permettre au sein de chaque tablissement d engager une r flexion partag e entre responsables et salari s et d identifier les risques propres chaque poste ou unit de travail Le document unique d valuation des risques et le plan de pr vention qui doit en d couler constituent l aboutissement de cette d marche commune largement d velopp e dans ce guide De fait ce guide doit permettre aux responsables d tablissement aux salari s et leurs repr sentants de parvenir une meilleure ma trise des risques professionnels de res
70. sements importants la cr a tion de groupes d valuations chapeaut s par un comit de pilotage va permettre une d marche collective sans apporter un surcro t de travail pour les autres salari s de l quipe Comme il se doit les repr sentants des salari s doivent tre associ s la d marche Les d l gu s du personnel pour les tablissements de plus de 10 personnes et les membres du CHSCT pour ceux de plus de 50 personnes page Evaluer pour pr venir La prise en compte travail r el La pertinence de l valuation des risques repose en grande partie sur la prise en compte des situations concr tes de travail qui se diff rencient des proc dures prescrites et des objectifs assign s par l entreprise En effet le salari est amen mettre en uvre des modes op ratoires ou des strat gies pour faire face aux al as ou dysfonctionnements qui surviennent pendant le travail Selon le cas le salari peut donc tre conduit soit prendre un risque l viter De fait l analyse des risques pour objet d tudier les contraintes subies par les salari s et les marges de man uvre Lors de l observation du travail r el il faut savoir distinguer Les risques li s la situation normale de travail Dans les cuisines les br lures en sortant des plats du four avec les manches relev es Ll L utilisation des chaises des chambres pour
71. t sur le plan de travail c t de la vaisselle provenant de la salle Paul qui n a pas l habitude de cette proc dure les attrape parfois directement sans pr caution particuli re et peut ainsi se br ler profond ment Estimer le risque Certains risques peuvent tre caract ris s de facon objective par un mesurage temp rature lev e humidit importante due aux machines laver bruit des machines de la vaisselle qui s entrechoque etc Le m decin du travail ou la CRAM sont aptes r aliser ces mesures et conseiller sur les moyens de pr vention mettre en place Les organismes agr s peuvent galement tre sollicit s dans ce domaine Les salari s associ s ces mesures sont m me de valider les conditions de mesurage par rapport leur connaissance des phases de travail les plus p nibles sous ces conditions Estimer les risques EE d appr ciation propres l entreprise issus notamment de l analyse des conditions d exposition aux risques s agit La fr quence d exposition La gravit envisageable des cons quences e La probabilit d occurrence des risques permanents ou occasionnels Le nombre de salari s concern s n salari s entiere es Dee entre les acteurs internes l entreprise servant ainsi d outil d aide la d cision s assurant qu aucun
72. teaux avec la vaisselle et les transpor te la main vers la salle manger Il s impo se ainsi des allers et retours nombreux du transport de charges lourdes et des risques de chutes En terme de pr vention l achat dun petit chariot affect aux tages per mettrait d viter ces efforts qui n auraient pas t identifi s si l analyse de terrain vait pas t r alis e Analyser le travail r el cest en particulier comprendre pourquoi dans certaines condi tions de produits de contraintes externes d absence coll gue de d faut visionnement de panne etc une m me t che peut tre r alis e autrement Par exemple la suite d un accident de trajet en voiture une femme de chambre ne peut pas venir travailler En attendant l arriv e d une rem sa coll gue effectue seule le net toyage des chambres L accroissement de la charge de travail impose un accroissement de rythme pour r aliser les m mes t ches dans le m me d lai au d triment de la mise en pratique des bons gestes et postures pouvant entrainer une lombalgie lors de la r fection des lits Les savoir faire de prudence contrario la mise en place de moyens sim ples de pr vention a permis de limiter les risques li s certains travaux Par exemple CTUtilisation de tapis antid rapants dans les bacs douche pour nettoyer les carrelages 1 Utilisation de pastilles de javel placer d
73. ur limiter les all es et venues et les mont es et descentes Si l tablissement vend galement des jeux PMU LOTO jeux gratter etc ou fait bureau de tabac une organisation a t elle t mise en place pour limiter les cons quences d une attaque main arm e Des consignes pr cises sur le comportement des employ s dans de telles circonstances ont elles t d finies et sont elles connues des salari s 1 aspirations sont elles en place pour limiter l exposition des serveurs aux fum es de tabac des clients zone non fumeur et rotation des serveurs aspirations etc bruit des chocs ou des conversations en salle peut il tre diminu rev tements muraux pho niques musique d ambiance tr s faible volume 2 ISi des appareils de jeux lectroniques ou musicaux sont pr sents des dispositions pour en limi ter le bruit ont elles t prises CL clairage des zones de travail est il suffisant y a t il des zones d ombre KS 6 gt lt lt K U gt lt a Attention ulsin2 Ja SIn A4 S 1ou p l uuosi d e 8 10 O 2 9 aans inod 13Jou sa 359 3 1 513 5 s 8n 105 s puenb 2 13141194 1
74. w inrs fr ou bien aupr s des sections d inspection du travail dont d pend votre tablissement QUELQUES REP RES pour aller plus loin Agir sur L exposition aux risques professionnels Int grer organisation du travail et pr vention M Berthet Gauthier ditions Liaisons et ANACT 2000 Agir sur La charge de travail Po te T Rousseau di tions Liaisons et ANACT 2003 Toutes les r f rences suivantes sont dit es par PINRS Risque lectrique Introduction au risque lectrique dossier INRS 2003 sur www inrs fr L lectricit Comment s en prot ger ED548 Risque incendie Pr vention des incendies sur les lieux de travail Aide m moire juridique 20 Risque posture et manutentions manuelles Le dos mode d emploi ED761 M thode d analyse des manutentions manuelles ED 862 Risque chimique Risque chimique pendant les travaux de nettoyage ED59 Utilisation des produits chimiques ED744 Divers La restauration traditionnelle ED 880 INRS Se laver les mains ED869 clairage artificiel au poste de travail ED85 Face aux accidents analyser agir ED833 Un truc dans l il faire 0817 Tous acteurs pour pr venir les TMS ED876 Le regard d une femme de chambre femmes toute main Video VS 0319 INRS Documentation INRS fournie sur demande par le service pr vention des risques professionnels de la CRAM 35 rue George 13386 Marseille cedex 20 Nous remercion

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

KEH-P4010  DigiView User's Guide  P16・・・農家の窓 耕作放棄地全体調査結果…  株式会社ネットアイアールディー  ECAN527HR Isolated 1 Mb/s CAN interface board User's Manual  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file