Home

Lutter contre la cyberdépendance des enfants

1. Un premier travail a port sur l identification des facteurs de risque du cancer du sein Le second travail a port sur la recherche des strat gies efficaces s res et efhcientes pour les facteurs de risque du groupe 2 Des strat gies de d pistage sp cifiques ont t propos es pour quatre situa tions En dehors de ces situations il est rappel qu il ny a pas lieu de r aliser une mammopgra phie ou une chographie mammaire de d pistage en dehors de la tranche d ge de participation au programme national de d pistage organis cest dire entre 50 et 74 ans http www has sante fr portail upload docs application pdf 2014 05 depistage_du_cancer_du_ sein_chez_les_femmes_a_haut_risque_synthese_ vfpdf Les freins au d pistage du cancer du sein chez les femmes aixoises BORRAS Aurore R f ASV dAix en Provence 2010 10 4 p Ne Cette enqu te analyse l attitude des femmes aixoises par rapport au d pistage du cancer du sein organis et individuel et quels sont les freins voqu s par les habitantes freins mat riels distance pr sence des radiologues et freins psychologiques www aixenprovence fr IMG pdf_enquete_ depistage_aix pdf D pistage du cancer chez les personnes handicap es pratiques en tablissement m dico social COUEPEL Laurence BOURGA REL Sophie PITEAU DELORD Monique R f CREAI Provence Alpes C te dAzur Corse 2010 02 40 p Ce rapport a pour objectifs de conna tre l
2. ce cycle d intervention pour augmenter le r seau tayer cette culture commune et cr er des passerelles entre les op ra teurs a Contact G raldine Guarinos coordinatrice ASV Grand Sud Huveaune T l 04 91 35 34 30 Bouches du Rh ne Enfants adolescents jeunes Agir contre le harc lement une action n cessaire Embrun Lassociation Euroscope bas e Embrun et une multitude de partenaires ont organis une semaine pour lutter contre le harc lement des jeunes Pour lever le voile sur ce mal encore m connu Hautes Alpes erait ce le fait d une plus grande m diatisation ou d une soci t qui rejette la diff rence Les cas de harc le ment semblent de plus en plus fr quents notamment chez les jeunes Lassociation Euroscope bas e Embrun qui uvre dans l accompagnement de projets d adolescents et jeunes adultes a pris conscience de cette r alit il y a un an maintenant Une table ronde anim e par assistante sociale et une infirmi re du coll ge qui sest tenue dans le cadre du forum journ e des familles organis par le REAAP 05 nous a confort s dans l id e que nous devions aborder ces ques tions explique Elisabeth Merighi directrice de l association Euros cope Cela touche des questions de sant publique qui concerne tous les jeunes que nous soutenons Deux cas av r s de harc lement dans la cit scolaire de ce d par tement interp
3. pour cela que nos conseils respec tueux de l environnement ont t labellis s et repris dans le PRSE Les insecticides doivent tre utili Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 11 TE AU or at s s comme lutte ultime si tout le reste a t inefficace Une recherche est en cours sur les maladies que pourraient transmettre ces punaises de lit avec Jean Michel B renger entomologiste de la Timone Arezki Izri entomologiste et parasitologue de l AP HP Uni versit Paris 13 et Olivier Chosi dow dermatologue de l AP HP Universit Paris 12 Avec le minist re de la Sant au sein du CNEV le centre national dexpertises sur les vecteurs nous travaillons sur un rapport de recommandations adapt es sur la question LARS PACA a pour sa part d j r alis une plaquette d infor mation pour aider au rep rage des piq res de punaises de lit et de la prise en charge qui doit suivre disponible sur son site Internet u Contact CHU de Nice H pital de l Archet laboratoire de parasitologie mycologie T l 04 92 03 62 54 Alpes Maritimes Parentalite gt RHESO aide les enfants t moins victimes de violence Lassociation RHESO qui lutte notamment contre les violences conjugales m ne Carpentras des ateliers pour reconstruire la communication entre parents et enfants victimes de violences Vaucluse a violence conjugale est un fl au contre lequel des cent
4. Haute Autorit de sant en novembre 2010 Aujourd hui en effet on constate que plus de 50 des femmes ne sont pas ou sont trop peu souvent d pist es quenviron 40 des femmes sont d pist es trop fr quemment 10 seulement des femmes b n ficiant d un d pistage dans l intervalle recommand Le d pistage organis imagin par la HAS continue de s appuyer sur les acteurs actuels du d pistage gyn cologues m dicaux gyn cologues obst triciens m decins g n ralistes sages femmes anatomocyto pathologistes Le m decin traitant devra inciter syst matiquement toutes ses patientes au d pistage et s assurer de la bonne prise en charge en cas de r sultat anormal Pour les femmes nayant pas de contact avec le syst me de sant un courrier personnel pourrait leur tre directement adress La HAS recommande fortement la mise en place de d marches d assurance qualit pour garantir le m me niveau de qualit du d pistage en tout point du territoire fran ais Celui ci restera fond sur la r alisation d un frottis cervico ut rin FCU tous les 3 ans apr s 2 FCU normaux r alis s 1 an d intervalle partir de 25 ans et jusqu 65 ans chez les femmes asymptomatiques ayant ou ayant eu une activit sexuelle Elle pr cise que le rythme triennal du FCU ne remet pas en cause le bien fond d un examen clinique gyn cologique r gulier Selon le professeur Lucien Piana pr sident d Arcades structure de gestion de d pistage des
5. Son objectif est de faire un bilan mi parcours du Sch ma r gional de pr vention et de valoriser les initiatives de l ensemble des partenaires Cinq tables rondes sont pr vues Le Sch ma r gional de pr vention Les diff rentes strat gies de territorialisation en promotion de la sant Des actions probantes innovantes transf rables Une dynamique r gionale des partenariats au travers de quelques outils La pr vention m dicalis e des pratiques cliniques au service de la pr vention Plus de 300 participants sont attendus Programme et inscriptions sur le site www cres paca org gt Suivez nous sur Twitter Le CRES PACA a lanc tout r cemment son compte Twitter afin de communiquer sur son actualit et celle de la pr vention et de la sant publique en r gion N h sitez pas vous abonner pour ne manquer aucun de ses tweets https twitter com CRES_PACA _ Les Gore Process mt Drome Che Le ERA re Gi CES me Les Camia M Fran ois A Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 _15 gt Formations du p le de comp tences une riche rentr e La rentr e de septembre a t riche Le p le r gional de comp tences r uni durant les mois de septembre et doctobre plus de 60 participants sur les 4 modules propos s OSCARS ICARS SIRS PACA les 15 16 septembre In galit sociales de sant les 22 et 23 septembre Donn es probantes les 2 3 octobre
6. ans En cas de forme s v re et de prurit constant elle peut g n rer insomnies douleurs intenses troubles du d velop pement anomalies du compor tement et de la relation avec les autres Il est donc important d accom pagner les jeunes malades et leur famille d autant que cette affection fait presque exclusi vement appel un traitement local aux cortico des Ce qui n cessite une implication assi due et une participation active du patient et de lentourage pour observer des soins adap t s et continus Savoir reconna tre soigner bon escient Laction d ETP du centre hospi talier arl sien Joseph Imbert a pour objectif classique de d ve lopper les connaissances des patients et familles concernant la dermatite atopique d am liorer leur compr hension du traitement et de les autonomi ser dans la prise en charge de la maladie Le programme cible les enfants de 5 10 ans avec un parent les enfants de 10 ans et plus seuls ou avec un parent les enfants et pr adolescents hospitalis s ou adress s par un m decin au rythme de 30 patients par an Il comporte trois ateliers col lectifs par patient r alis s par un dermatologue et une infir mi re ainsi qu un psychiatrie l un des 3 ateliers qui donnent comprendre les m canismes de la maladie son volution et la reconnaissance des l sions de la peau et des complications associ es Une seconde r union vise faire accepter le
7. cessaire au montage d un projet ne sont pas valoris s financi rement par les institutions selon les professionnels Lorganisation en r seau de sant ou en maison et p le de sant est l une des r ponses les plus courantes pour pouvoir proposer de PETP hors des tablissements Mais cela ne concerne qu une minorit des professionnels lib raux et ne r pond pas totalement la question de l quit territoriale de l acc s l ducation pour les patients Les professionnels lib raux viennent peu en formation Soit ils n en ressentent pas le besoin soit l investissement en temps 6 jours et en argent leur para t trop important Par cons quent ils sont peu nom breux proposer et orienter leurs patients vers les programmes du catifs existants Le mouvement de fond est toutefois bien pr sent La culture de l ETP se d veloppe les professionnels en parlent se questionnent se l approprient pour am liorer le service rendu au patient Ces formations contribuent aussi la question du sens et de la qualit de la relation soignant patient pr sente chez tous les professionnels de sant OMS 1996 Direction g n rale de la Sant Plan pour l am lioration de la qualit de vie des personnes atteintes de maladies chroniques 2007 2011 Haute Autorit de Sant Structuration d un programme d ducation th rapeutique du patient dans le champ des maladies chroniques Juin 2007 Consult sur www has sante
8. enjeu prio ritaire m gion R gion Dossier Octobre rose et Mars bleu une coordination originale en r gion Depuis 2013 une nouvelle organisation a t mise en place en r gion PACA la demande de l ARS pour am liorer la coordination des campagnes sur les d pistages des cancers Octobre rose pour le cancer du sein et Mars bleu pour le cancer colorectal Dans les d parte ments la coordina tion sappuie sur les structures de ges tion des d pistages Arcades Apr mas Adoc 05 ISIS 83 et ADCA 84 qui ras semblent dans des comit s de pilotage les acteurs du d pistage tablissements de sant villes ate liers sant ville assurance maladie conseils g n raux associa tions et coordonnent les actions de communication men es l chelon r gional cest le CRES en partenariat avec PARS qui coordonne et value les campagnes Loccasion de rep rer les actions int ressantes afin de les d multiplier en r gion Le mois dernier l occasion d Octobre rose pr s de 100 actions de terrain ont t programm es pour promouvoir le d pis tage du th tre interactif des cin s d bats des courses spor tives des flashmobs des stands d information dans les tablisse ments de sant des r gates des conf rences d bats ou encore des op rations de sensibilisation des professionnels de sant En un peu plus d un an ce dispo sitif a permis de cr er une v ri table
9. forma tion dispens e est sanctionn e par un certificat Elle dure 40h et est r partie sur 6 journ es en g n ral scind e en 2 sessions de 3 jours chacune e Session 1 La formation commence par le recueil des attentes des profession nels Elle pourra ainsi sadapter au contexte singulier des quipes Les premiers jours permettent de pr ciser le concept d ETP ses repr sentations et d finitions La maladie chronique est abord e du point de vue du patient son v cu ses repr sentations et ses com portements Les th mes de la communication la relation entre pa tient et soignant et la motivation du patient sont ensuite travaill s e Session 2 Elle se concentre sur la p dagogie et les conditions qui favorisent l apprentissage du patient Lanimation de s ance collective est abord e afin que les participants acqui rent les comp tences n cessaires pour la gestion d un groupe de patients Les partici pants d couvrent des outils p dagogiques permettant de favoriser une ducation interactive Evaluation et qualit des programmes d ETP sont des th mes d velopp s dans cette session En 2013 16 formations n 1 ont t organis es et ont r uni 256 parti cipants 10 formations au CRES PACA 6 formations sur site la demande d tablissements centre hospitalier d Aix en Provence Embrun clinique Roquevaire Carpentras gt Formation n 2 valuer un programme d ducation th rapeutique Nouvel
10. glementation Sur le bassin Rh ne M diterran e et Corse on estime 1 million le nombre d assainissements non collectifs dont 15 20 dysfonc tionnent Les pollutions li es PANC re pr senteraient 5 des pressions polluantes au niveau national Et localement les qualit s bact rio logiques des eaux distribu es se raient peu satisfaisantes dans les zones montagneuses de la r gion Ces dysfonctionnements peuvent favoriser la transmission de mala dies dans les eaux us es avec des germes et bact ries contamina tions biologiques des probl mes dodeurs de s curit sur des trappes et des installations mal prot g es Et puis il y a des risques environne mentaux et sanitaires avec la pol lution des eaux de baignade des nappes phr atiques avec le rejet de produits toxiques et des pollutions mergentes sur des produits m di camenteux par exemple Il y a des zones enjeu sanitaire respecter pour que les ANC ne soient pas trop proches des zones de captage deau potable ou de baignade pour viter toute contamination Une action de communication de grande envergure exp riment e dans les Alpes de Haute Provence Pour concourir mettre en place cette sensibilisation propos e dans le cadre du Plan R gional Sant Environnement diverses actions soutenues par ARS PACA et sa d l gation territoriale des Alpes de Haute Provence la DREAL et le Conseil r gional PACA ont t labor es
11. par le CPIE avec le concours de ses par tenaires techniques le CoDES 04 et GESPER et d un comit de pilotage Elles ont d marr en septembre 2014 apr s la phase de r alisation des documents p da gogiques et de communication En fait nous allons lancer une sensibilisation la fois aupr s du grand public lus ruraux et des techniciens de SPANC Service Public dAssainissement Non Col lectif int ress s pour d velopper la prise en compte des risques li s TANC et la connaissances des obli gations r glementaires au travers de conf rences et de sensibilisations th matiques Des d pliants une exposition de 6 panneaux et des animateurs d di s permettront d aller la rencontre des per Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 _10 sonnes et de faire passer l infor mation sur les march s les foires agricoles les manifestations th matiques les vide greniers L o ce sera possible il y aura aussi des petites vid os Plus original encore les d pliants seront gale ment distribu s dans les grandes surfaces et magasins de bricolage proximit des rayons proposant des produits dentretien sp ci fiques aux assainissements non collectifs Il y a aussi n cessit d uvrer pour lobtention d une bonne qualit de leau de travailler la sensibilisa tion et la responsabilisation de fous propri taires et particuliers utilisant les assainissements non collect
12. professionnels sont organi s es et la formation des g n ralistes assur e par l URPS Union r gionale des profes sionnels de sant Les effets de ces bases mises en place ne seront n anmoins mesurables qu partir de 2015 Cancer du sein Le d pistage organis du cancer du sein s adresse aux femmes de 50 74 ans assu r es sociales qui sont invi t es par courrier tous les deux ans faire pratiquer une mammographie dans un centre de radiologie agr Les clich s sont ensuite envoy s la structure de gestion d par tementale qui proc de une seconde lecture par des radio logues sp cialement form s Cette relecture est une s cu rit suppl mentaire puisquelle permet de d tecter jusqu 15 de plus de cancers sou ligne Claire Granon m de cin coordinateur de l Apre mas structure de gestion des Alpes Maritimes et des Alpes de Haute Provence Par ail leurs nous assurons le suivi des dossiers des patientes d pist es positives ce qui permet un gain de temps pour entrer dans le circuit de soins et de v rifier via des courriers la femme et son m decin trai tant que les examens compl mentaires sont effectu s Dans les Bouches du Rh ne d partement qui pratique le d pistage depuis 15 ans les r sultats sont de tr s bonne qualit indique Brigitte S ra dour radiologue coordina teur d Arcades Nous proc dons r guli rement au contr le techniq
13. tre mis en uvre les programmes d ETP doivent tre conformes un cahier des charges national et autoris s par les Agences r gionales de sant ARS En 2013 le d cret n 2013 449 du 31 mai est venu pr ciser les comp tences requises des professionnels de sant pour la dispense et la coor dination de ETP Les formations du CRES s appuient sur ces textes M thodes p dagogiques Les participants la formation sont des professionnels en activit la formation s appuie sur leur exp rience et sur l analyse de leurs pra tiques Les m thodes d animation sollicitent leur participation active Les m thodes p dagogiques s orientent vers des situations r elles un savoir pratique imm diatement transposable dans la r alit profes sionnelle Il est indispensable pour enseigner l ducation des patients de suivre une d marche analogue celle que l on recommande aux profession nels d adopter vis vis de la population avec laquelle ils travaillent Le mod le ducatif mis en uvre par les ducateurs sera en effet labor sur le mod le de la formation qu ils auront re ue A Pr sentation des formations du CRES En 2013 le CRES PACA a propos trois types de formation en rapport avec ETP gt Formation n 1 Mettre en place une d marche d ducation th rapeutique 40h Cette formation permet aux participants d acqu rir les comp tences pr cis es dans le r f rentiel de comp tences de PINPES La
14. Bouches du Rh ne la situation est pr occupante Dans le d partement cinq campagnes d incitation ont t lanc es en direction des femmes de milieu d favoris qui ont abouti une participation entre 2 et 6 Les in galit s m dico sociales se perp tuent Les m decins comme la presse devraient se faire le relais de la n cessit de ce d pistage aupr s de toutes les femmes de 25 65 ans Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 Eya Le test H moccult bient t remplac par le test immunologique pour d pister le cancer colorectal Dans le Var le taux est actuel lement de 44 6 Outre que certaines femmes ne se sentent pas concern es parce quelles sont suivies par un m decin celles qui se trouvent en situa tion de pr carit ne font pas de leur sant une question de priorit d plore le Dr Ma rie Dominique Harmel de la structure de gestion ISIS 83 Cest pourquoi nous menons des actions d information au pr s des g n ralistes et de com munication vers la population en organisant conf rences et forums en lien avec les villes ou des mutuelles par exemple Et avec diverses associations de terrain pour les publics d favo ris s en situation de handicap voire en prison Le Vaucluse atteint pr s de 58 de participation pour le d pistage du sein gr ce selon le Dr Claude Pierre Gautier de l ADCA 84 une bonne information aupr s des m de cins et de la populat
15. Evaluation d impact en sant les 16 17 octobre Partenaires op rationnels CoDES associations locales INVS et institutionnels ARS si ge et d l gations territoriales Conseil r gional se sont mobilis s autour de ces temps de forma tion qui ont su proposer une m thodologie associant apport de connaissances et mise en situation Pour animer ses formations le p le de comp tences a fait appel des partenaires comme Val rie Guagliardo de PORS PACA pour la pr sentation de la base de donn es SIRS PACA Eric Breton de l EHESP pour la prise ne compte des in galit s sociales de sant dans un programme de promotion de la sant Linda _ CA Formation sur les in galit s sociales de sant avec Eric Breton Cambon de PARS Picardie et le Pr Fran ois Alla pour un premier cycle de travail sur les donn es probantes et enfin l Universit de Gen ve avec Thierno Diallo pour la m thodologie de l valuation d impact en sant Les questions dobservation de recherche de d marches par tenariales innovantes sont au c ur de l activit des profes sionnels et doivent sans cesse faire lobjet d actualisation des connaissances et d am lioration gt Prochain Th sant le 1 d cembre Le prochain th sant du CRES PACA se tiendra le 1 d cembre prochain dans les locaux du comit Marseille Laurence Fond Harmant PhD au centre de recherche public de la sant d part
16. age organis du cancer du sein La journ e avait pour objectif de pr senter les m thodes le d roul de la mise en uvre du projet le r sultat obtenu de d battre de leur int r t et de proposer la mutuali sation de certaines d marches ayant montr leur pertinence www e cancer fr component docman doc_ download 10765 inegalites sociales de sante et do cancer du sein 2013 ponibles aupr s undi au vendredi de 3h00 7h00 Les ecrits Bilan des activit s du CRES PACA en ducation th rapeutique du patient Un article de Thibaud Bergmann Pierre Sonnier Benoit Saugeron CRES PACA Marseille La formation l ETP L ducation th rapeutique du patient ETP vise aider les patients acqu rir ou maintenir les comp tences dont ils ont besoin pour g rer au mieux leur vie avec une maladie chronique Au niveau national cest en 2007 autour du Plan pour l am lioration de la qualit de vie des personnes atteintes de maladies chroniques 2007 2011 et la cr ation d un guide m thodologique que le d ve loppement de l ETP s est organis Plus tard en 2009 la loi HPST a donn un cadre l gislatif ETP en pr cisant que l ducation th rapeutique s inscrit dans le parcours de soins du patient et quelle a pour objectif de rendre le patient plus autonome en facilitant son adh sion aux traitements prescrits et en am liorant sa qualit de vie De plus elle pr cise que pour
17. aines d associations en France luttent pour parvenir redonner confiance et dignit aux victimes RH SO Rh solument humain bas e dans le Vaucluse fait partie de celles l RH SO se bat contre toutes les formes dexclusion de mani re g n rale depuis plus de 30 ans assure Alice L vy la charg e de d veloppement et son expertise se trouve particuli rement reconnue par l tat dans ce domaine des violences conjugales L tat a r cemment homologu ses diff rentes structures d accompagnement et permis un accueil quotidien de ces personnes des femmes le plus souvent On reconna t le statut de victimes aux personnes qui subissent des violences au quotidien quelles soient physiques psychologiques conomiques ou sexuelles mais les enfants qui en sont t moins le sont aussi Diff rentes tudes d montrent les cons quences d sastreuses que peuvent avoir des sc nes de violence sur le d veloppement d un enfant et sa mani re future de communiquer Cette probl matique a t retenue lors d un colloque que nous avions organis en 2009 Les enfants expos s aux violences conjugales poursuit Alice L vy ef nous tions parvenus la conclusion qu il fallait soccuper de ces enfants t moins comme victimes Nous avons int gr un programme europ en Daphn III qui regroupait plusieurs associations expertes pour organiser la lutte contre toute forme de violence aupr s dadultes et de
18. ais aussi gestion et prise en charge administrative pour le tiers payant Pour elle reste essentiel le temps consacr au patient qui sera empli d une bonne dose d empathie et d attention ses attentes d explication des traitements en fonction des perceptions et des appr hensions du malade Autre aspect du m tier auquel Annie Palon attache grande importance la formation continue des pharmaciens indispensable pour suivre les rapides volutions de la m decine dans laquelle elle s implique en tant que facilitateur Un m dicament ce nest jamais simple Il faut en conna tre Infatigable et passionn e par son m tier les b n fices et aussi les risques effets secondaires interactions pour parfaire l accompagnement Annie Palon a d j une longue carri re 4y patient en lien avec le m decin c us derri re Orient e vers la sant publique elle est engag e galement dans des responsabilit s syndicales est Montpellier qu elle a men ses tudes Le ec de AE ee ns en tant que pr sidente du Syndicat des pharmaciens du Vaucluse et vice pr sidente de l Union Attir e par le domaine m dical et le m dico ie P n Do o l r gionale des professionnels de sant Pharmaciens de la r gion PACA Elle milite pour la social j ai opt pour la pharmacie au cursus is B ggo gt Teconnaissance du pharmacien comme professionnel de sant part enti re pour maintenir moins long que celui de m decine f Lu oo Dipl m e
19. c lement en mars l ann e derni re afin de sensibiliser et f d rer les bonnes volont s autour de cette probl matique On a cr un v nement cons quent pour que a d lie les langues et que lon puisse parler de ce qui est honteux cach pour les harceleurs comme les harcel s Plusieurs animations ont t lanc es cette semaine l avec les jeunes les parents et les profes sionnels sur divers sites et dif f rents moments Des experts ont t invit s venir discuter avec les jeunes comme H l ne Romano psychologue clinicienne venue de Paris qui a men le d bat dans les classes en introduction la projection d un film Despues de Lucia Ce film espagnol traite du harc lement en g n ral et a permis douvrir la discussion plusieurs reprises De mani re transversale tout au long de la semaine Euros cope avec son PIJ itin rant et le CoDES 05 ont propos des stands o les jeunes pouvaient sarr ter et sinformer sur le harc lement l initiative du PIJ deux murs dexpressions ont t install s pour permettre la prise de parole pour 1100 l ves Les messages ont t PL TIME souvent bluffants assure Elisabeth Merighi Euroscope a galement accompagn un groupe de jeunes qui a choisi de r aliser une vid o sur la probl matique devenu support de discussions Enfin lext rieur de lenceinte scolaire deux moments d change ont t propos s Un c
20. cit d une initiative innovante partager une r flexion Faites nous part de vos suggestions au 04 91 36 56 95 ou par mail cres paca cres paca org Formation n 2 valuer un programme d ducation th rapeutique 92 des participants ont exprim leur satisfaction Cette formation a permis pour 48 d entre eux d am liorer leurs pratiques pour 19 de d velopper leur projet et 19 ont acquis de nouvelles connaissances C Analyse Depuis 2009 et la loi HPST un v ritable essor des programmes d ETP et des formations des professionnels est enregistr Ces derniers viennent en formation avec des attentes diverses parfois contraints par l obligation pr sente dans les cahiers des charges pour l autorisa tion des programmes Mais les taux de satisfaction montrent que les participants per oivent l utilit de cet enseignement et ce qu il apporte leurs pratiques professionnelles Il reste toutefois des difficult s dans la mise en uvre des programmes Cette transposition dans le quotidien des pratiques demande du temps ce qui est l une des ressources les plus rares dans un service Les professionnels des tablissements sont contraints de repenser le mode d organisation des soins de leur quipe pour y int grer les diff rentes tapes d un programme d ETP Cette difficult est encore plus pr sente dans le monde lib ral organis autour de la tarification l acte Les temps d laboration de concerta tion n
21. d un go ter avec un coin jeux pour les enfants Pour structurer ces changes l animation bas e sur l coute active a t confi e un psychologue du collectif Ariane et une conseill re en conomie sociale et familiale L objectif de ces groupes nest pas de raconter les faits mais de favoriser des changes et donner des rep res explique cette derni re Mary Genty On part de ce qui se passe concr tement lors du go ter des r actions de chacun qui peuvent faire merger diff rentes th matiques comme lautorit le coucher la place du p re etc On exp rimente tout de suite la communication non violente On identifie les ressources On peut observer d une fois sur lautre si ce qui posait probl me a pu avancer ou pas Cest un travail diff rent qui permet aussi aux enfants de sexprimer et souvent ils le r clament Ils ont besoin de cette complicit qui se noue de calme et de pouvoir dire les choses On peut mettre en mots des choses douloureuses Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 12 La violence introduit le chaos la culpabilit la confusion des r les des places et des espaces Une quinzaine de familles ont pu b n ficier de ces ateliers sur 11 s ances soutenues financi rement par l ARS et le Conseil g n ral de Vaucluse Nous aimerions aujourd hui essaimer sur le nord du d parte ment poursuit Alice L vy On gagne toujours poser de
22. dans des domaines d intervention mul tiples Autant sur la faune que sur leau l nergie l agriculture Tair les d chets les risques majeurs la sant et l environnement ou les changements climatiques Nous avons deux missions laccompa gnement vers le d veloppement durable et la sensibilisation de tous lenvironnement r sume C line Pleuveraux charg e de mission au CPIE Des risques sanitaires et environnementaux pour les Assainissements Non Collectifs ANC Cela doit se traduire au travers d actions concr tes comme pour les propri taires et usagers des assainissements non collectifs Ils doivent prendre conscience des risques sanitaires et envi ronnementaux li s ce type d installation En effet dans nos d partements ruraux poursuit C line Pleuveraux beaucoup de personnes utilisent ce type dassai nissement autonome comme des fosses toutes eaux ou septiques des puits perdus La r glementation concernant ce type dassainisse ment a chang en 2012 ces ANC ne doivent pas porter atteinte la salubrit publique bien des gards Mais lon constate souvent que les usagers sont en manque d information ou ne prennent pas la mesure des risques sanitaires et environnementaux qui sont li s aux dysfonctionnements de ces syst mes Au niveau national environ 20 de la population est en assainis sement non collectif et 70 80 des installations ne seraient pas conformes la r
23. dynamique dans les d partements autour des d pistages des cancers de cr er des partenariats op rationnels et de tou cher un vaste public Fr d ric de Bels responsable du d partement d pistage l Institut national du cancer Quelles sont aujourd hui les principales modalit s de d pistage du cancer colorectal Ce d pistage vise gagner du temps pour tablir le diagnostic de cancer avant m me l apparition de sympt mes ce qui favorise des traitements moins lourds et un meilleur taux de gu rison G n ralis depuis 2009 pour les 50 74 ans tous les deux ans il tait jusqu aujourd hui bas sur un test ga ac unique H moccult permettant de rep rer des traces de sang dans les selles sans re courir dembl e une coloscopie invasive qui comme tout examen de ce type peut induire des complications perforations du tube digestif ou saignements Rappelons n anmoins que les complica tions graves ne sont que de 1 3 pour 1000 Si le test s av re posi tif une coloscopie est prescrite afin de d tecter pr cocement des l sions pr canc reuses comme les polypes et les retirer Quel est l apport attendu du nouveau test immunologique Le nouveau test dit immunologique utilise des anticorps capables de reconna tre l h moglobine humaine Plus simple d utilisation un seul pr l vement au lieu de 3 actuellement donc mieux ad mis par les patients et plus facile expliquer par les m decins il dev
24. e Claire les moins de 11 ans navi d finir les cons quences de en ligne All e de la Lavande guer seuls Lobjectif est de faire la cyberaddiction sur la sant Hors les coles primaires La Valette du Var prendre conscience aux enfants des m faits d un usage excessif notamment Un test est alors soumis aux jeunes Etes vous l association Horizon Multim dia a un champ d intervention Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 _g mail info horizonm fr T l 04 94 61 04 01 Var PRSE sante environnement Outiller le public pour moins de pollution Le CPIE Alpes de Provence vient de lancer une campagne de sensibilisation aux risques sanitaires et environnementaux li s aux assainissements non collectifs Pour une meilleure prise en compte de ces risques viter une trop grosse charge polluante prot ger les populations et concourir la bonne qualit de Alpes de Haute Provence l eau e CPIE Centre Permanent ini pour lEnvi ronnement Alpes de Pro vence se doit comme toutes les associations labellis es de ce type d initier et de renforcer les com portements citoyens l gard de lenvironnement par la connais sance et la compr hension du monde du vivant Cest ainsi que le CPIE 04 bas Manosque est amen conduire diverses ac tions de sensibilisation d duca tion et de formation selon des formes adapt es chaque public du scolaire au professionnel
25. e de l air ext rieur ainsi que leur impact sur la sant Les enfants se d placent dans un monde virtuel sous la forme d avatar ils progressent en r pondant des ques tions mais aussi en adoptant des com portements favorables leur sant et celle de leurs camarades Les enfants ainsi que leur professeur ont acc s de nombreux documents et vid os sur la th matique Le projet PLEASE est actuellement d ploy aupr s de 3 coles pilotes et a pour objectif d tendre ce champ d autres coles en r gion PACA puis au niveau national Le coordonnateur du projet est le CHU de Nice repr sent par le Laboratoire de Soins Pharmaceutiques et de Sant Publique L2SP Les partenaires sont Solar games le laboratoire LaSSA PEDHEC l cole Jean Marie Hyvert et Canope ex Centre R gional de Docu mentation P dagogique de l Acad mie de Nice Le projet PLEASE est actuellement financ en partie par le Conseil r gio nal Il a t labellis dans le cadre du Programme R gional Sant Environ nement PRSE de la r gion PACA Des demandes de labellisation sont en cours Reconnaissance Int r t P dago gique Minist re Education Nationale et INPES Contact R my Collomp CHU Nice collomp r chu nice fr http www projet please com Espace CRES Documentation Cancer du sein et cancer colorectal Voici une s lection d ouvrages disponibles au CRES PACA sur ces th mes D pistage du cance
26. e test cest chez soi www e cancer fr component docman doc_download 11216 bilan de la campagne dinformation mars bleu 2013 sur le depistage organise du cancer colorectal Bilan de la campagne d information Octobre rose 2013 sur le d pistage orga nis du cancer du sein R f INCa 2014 07 4 p Ce document value la campagne Octobre Rose 2013 qui avait pour objectifs de r affirmer les enjeux et les b n fices du d pistage organis du cancer du sein sans occulter les d bats qui lentourent et de r pondre toutes les ques tions que les femmes se posent sur cette d marche Elle visait aussi accompagner les professionnels de sant dans l information et l orientation de leurs patientes selon leur niveau de risque www e cancer fr component docman doc_download 12265 bilan de la campagne dinformation octobre rose 2013 sur le depistage organise du cancer du sein C In galit s sociales de sant et d pistage organis du cancer du sein Restitution de la journ e de pr senta tion des actions financ es dans le cadre des appels projets 2008 2009 et 2010 R f INCa 2013 09 7 p Ce document rend compte de la journ e du 3 octobre 2012 organis e par l Institut national du cancer INCa pendant laquelle ont t pr sent es les actions financ es dans le cadre des appels projets 2008 2009 et 2010 et visant lutter contre les in galit s d acc s et de recours au d pist
27. ellent Par deux fois cela sest termin par un retrait scolaire et une phobie de l cole pour ne pas avoir su temps peut tre g rer cette violence Si lon se r f re la d finition du dictionnaire le harc lement se r sume au fait de faire subir quelqu un des attaques souvent r p t es de plus ou moins grande importance Harceler une per sonne consiste la tourmenter avec obstination la soumettre des critiques des moque ries r p t es Ce peut tre le fait d un groupe lencontre dun autre groupe ou d un jeune que les autres jugent diff rent Nous avons exerc dabord un travail de rep rage pas seulement en milieu scolaire mais aussi aupr s des structures de loisirs et lon a constat que c tait aussi r current dans dautres lieux que l cole Cest pour cela que nous avons eu envie de mener une action plus large et de lib rer la parole autour de ce th me Avec les associations de parents un premier travail est r alis autour du rep rage de situations qui favorisent le har c lement la description de jeux humiliants de situations discrimi natoires de ce qui peut faire mal une personne Une semaine pour en parler De fait d autres partenaires ins titutionnels et professionnels rejoignent les associations Euros cope Enfance en danger 05 le coll ge d Embrun le REAPP Em brunais savinois la MDA 05 et le PIJ pour organiser une semaine d action contre le har
28. ement d impliquer les parents seulement un tiers d entre eux prioritaire Fr jus Toulon et inform s de la d marche par le pouvaient et 87 d identifier La Seyne dans le Var aupr s des lenseignant sur le principe du les effets induits sur leur sant l ves de CM2 pr adolescents volontariat D autre part cette A noter que tout au long de Pate Notre champ d intervention ini premi re tape fait le socle de lier l enseignant participe lob tial en 2000 pr cise Michelle l change dexp riences durant servation des r actions de ses Blain directrice de l association l atelier de pr vention et d infor l ves l aide d une grille four tait la r duction de la fracture mation nie par l animatrice Un livret num rique Depuis dautres Au cours de l atelier proprement lui est galement remis ainsi probl matiques ont surgi en dit on diffuse la classe une vi qu aux membres de l quipe p raison du sur quipement de d o de t moignages compl t s dagogique pr sents dans lequel nombreuses familles de lexpo par des reportages et une cam figurent un glossaire et une sito sition possible des enfants des pagne de pr vention suivie de graphie mais galement la pos Contact contenus choquants sur Internet questions et d bats Est propos sibilit d acc der sur demande Horizon Multim dia d autant qu ils sont 63 parmi ensuite un diaporama visant des ressources suppl mentaires Parc Saint
29. ement de sant publique du Luxembourg pr sentera son ouvrage Pr ven tion et promotion de la sant mentale Une alliance trans frontali re innovante Rappelons que les th s sant sont des temps d changes et de r flexion entre profession nels propos s dans le cadre du p le r gional de comp tences Organis s chaque ann e sur un th me de sant publique d actualit ils accueillent une vingtaine de personnes et se d roulent autour de pr senta tions de discussions et de d gustation de th s Contact pour s inscrire sarah vernier cres paca org des pratiques En proposant ces sessions le p le de comp tences a r pondu ces attentes et pro posera tr s prochainement de nouvelles dates de formation Le catalogue de formation 2015 sera par ailleurs disponible d s janvier sur le site du CRES Contact sarah vernier cres paca org LS Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 _ 16 gt Outil p dagogique PLEASE un serious game en sant environnement PLEASE ou Projet Ludo Educatif Axe Sant Environnement est un serious game destination des enfants scolari s s en primaire en cycle 3 CE2 CM1 et CM2 Ila pour objectifs de leur fournir des connaissances sur des sujets comme la sant l environnement le d veloppe ment durable et la d marche citoyenne 3 th mes sont abord s les risques li s au soleil la qualit de l air int rieur et cell
30. en 1980 elle a appr ci Paspect SON monopole de pourvoyeur de rem des form face aux d rives actuelles et l volution du multidisciplinaire et encyclop dique des Patient client devenu un consommateur exigeant mais pour lequel un encadrement de conseil reste enseignements allant de la botanique la indispensable Elle s inqui te du maintien d une r partition des officines sur tout le territoire biologie de l anatomie la bact riologie C est en France une richesse extraordinaire de la proximit d une pharmacie pour chaque citoyen de la physiologie la chimie th rapeutique c est un gage d galit et un r el service rendu la population Sur le plan m dico social le D ment form e elle embrasse avec joiesa bharmacien reste le premier recours du public qu il s agisse de soins de bobos d orientation i profess en s installant d rden Ri vers un m decin ou les urgences C est galement un acteur de la pr vention un lanceur d alerte urant quelques ann es avant de reprendre 11 rJ e a pour les services sociaux Enfin il reste juge pour d livrer ou non un m dicament s il nest pas son officine Caromb au pied du mont T convaincu de l int r t de la demande Avouez que cest une attitude rare dans le commerce Ventoux dans le Vaucluse en 1988 n ajoute t elle malicieusement Engag e vou e son m tier Annie Palon est r solument tourn e vers son prochain M me quand elle voyage pour co
31. es pra tiques des structures d h bergement pour per sonnes handicap es en mati re de d pistage des cancers du sein colorectal et du col de l ut rus d identifier l acc s l information et au d pistage des personnes handicap es et des personnels de structure d h bergement de questionner le besoin de formation de personnel relais et d mettre des pr conisations d am lioration www creai pacacorse com _depot_creai documentation 85 85_17_doc pdf Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 _17 Contacts C LES OUVrages et article S des documentalistes a j du CRES PACA St phanie Marcha is ACA Ga l B atrice B T l 04 91 36 56 95 ne mail cres Accueil du public du a qe lle Lhours Bilan de la campagne d in formation Mars bleu 2013 sur le d pistage organis du cancer colorectal R f INCa 2013 12 4p Ce document value la campagne L Mars Bleu 2013 qui avait pour objectif de cr er une prise de conscience en mettant en exergue ce paradoxe la cancer colorectal repr sente le 3 cancer le plus fr quent et le 2 cancer le plus meurtrier en France Pourtant d pist temps il se gu rit dans 9 cas sur 10 Cette campagne incite galement parler du d pistage du cancer colorectal avec son m decin traitant partir de 50 ans et rappelle l int r t de faire ce d pistage simple autour d un message court et explicite Le meil leur endroit pour faire l
32. fr Document consult le 21 ao t 2014 Loi n 2009 879 du 21 juillet 2009 portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires Sandrin Berthon B ducation pour la sant ducation th rapeutique quelles forma tions en France Rapport tabli la demande de B Kouchner Mars 2002 INPES R f rentiel de comp tences pour dispenser l ducation th rapeutique du patient dans le cadre d un programme http www inpes sante fr FormationsEpS pdf dispenser ETP pdf Haute Autorit de Sant Grille d aide l valuation de la demande d autorisation par l ARS 2010 consult sur www has sante fr Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 19 Agenda Assises m Premi res Assises d partementales de pr vention du suicide 3 novembre 2014 Hy res Organis es par l association ORION et le CoDES 83 Lobjectif de ces premi res assises est d laborer au del d un tat des lieux indispensable des pro positions concr tes pour contribuer diminuer les chiffres des suicides et des tentatives de suicide Cette journ e sattachera aborder ce ph nom ne partir de deux populations particuli rement tou ch es les jeunes et les personnes g es Lieu Forum du Casino Programme et bulletin http wWww codes83 org _depot_codes83 activites 155_2_doc pdf Renseignements Association Orion Contact 06 78 43 56 92 Colloques m Recherche i
33. ier les freins aux interventions et r fl chir la mise plat des concepts Nous avons propos un cycle d interventions tous les acteurs impliqu s dans la d marche La premi re journ e de ce cycle a permis de red finir les concepts notamment en pro motion et ducation la sant la seconde a permis d aborder les questions de sant pr ca rit et exclusion avec l ensei gnant chercheur de l univer sit dAix Marseille Th mis Apostolidis La troisi me a t consacr e aux notions de sant communautaire gr ce l intervention de l Institut Renaudot La derni re enfin a abord sant et intercultu ralit avec l association Imaje sant Ce cycle a pris fin avec deux demi journ es de suivi pour poursuivre cette construction commune Car les personnes tr s satisfaites de cette pre mi re tape taient heureuses de poursuivre Nous sommes encore ce moment l reve nus sur les concepts avec en fil rouge la charte d Ottawa sur la 1 promotion de la sant Cela permet de garder une dy namique de groupe pour la borer un programme d actions relevant d une strat gie glo bale et coh rente Ce travail a donn des perspectives pour accompagner la construction de projets autour de la sant en aidant les op rateurs les adapter leur public LASV Grand Sud Huveaune envisage une reconduction de Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 1
34. ifs Il faut pouvoir com prendre les risques pour adapter nos comportements et utiliser les ANC diff remment u Contact C line Pleuveraux CPIE Alpes de Provence Manosque T l 04 92 87 58 81 contact cpie04 com PRSE sante environnement Le CHU de Nice lutte contre les punaises de lit Pascal Delaunay entomologiste et parasitologue a mis en place une consultation sp cifique sur les punaises de lit destination des patients en relais d une consultation m dicale Il pr conise une lutte m canique sans insecticides es punaises de lit qui ont diminu vers les ann es 50 r apparaissent depuis les ann es 90 Cette explosion mondiale de ces insectes appe l s scientifiquement cimex lec tularius et de leurs nuisances est due la multiplication des voyages et des r sistances aux insecticides Lexpansion mondiale de ce fl au se fait par transport dans les bagages les v tements ou les meubles achet s dans les brocantes etc On trouve des punaises de lits dans tous types de logements privatifs h tels maisons de retraite transports en commun bateaux trains Et sans distinction de milieu social Nous pouvons tous en attraper pour la premi re fois dans un voyage un train un h tel Ce nest pas corr l l hygi ne ni au niveau social Ces punaises avaient disparu apr s la guerre gr ce la restauration de l habi tat mais les transports de com merce et les voyages o
35. il permet m me parfois de d tecter et traiter des l sions pr can c reuses Pour ces cancers des d pistages organis s sont pro pos s des populations cibles consid rant que les b n fices at tendus en termes de sant publique sont sup rieurs aux limites et aux risques Cette balance b n fice risque est actuellement jug e positive pour les d pistages du cancer du sein et du can cer colorectal qui font d j l objet de programmes nationaux Elle l est galement pour le d pistage du cancer du col ut rin qui va tre g n ralis sur l ensemble du territoire En r gion PACA chaque ann e pr s de 3 900 nouveaux cas de cancers du sein sont enregistr s et un peu plus de 900 d c s Pour le cancer colorectal les donn es sont de pr s de 2 900 nouveaux cas et de 1 300 d c s Dans le Sch ma r gional de pr vention de l Agence r gionale de sant le d pistage des cancers est int gr dans deux plans d action Le plan d action population g n rale avec son objectif visant am liorer le d pistage organis des cancers du sein et du c lon chez les 50 74 ans dont les taux de partici pation s l vent respectivement 44 6 et 30 et d inciter et d accompagner la population au d pistage notamment les publics vuln rables et le plan d action personnes vieillis santes et en situation de handicap o l objectif consiste am liorer la participation au d pistage des personnes en situa t
36. in d bat partir du film Despues de Lucia a suscit de nombreuses r actions reprises avec le Pr Jousselme p dopsychiatre et M Debourdeau r f rente stop harc lement du d partement 05 Enfin le Cause caf organis en soir e par les associations a permis aux parents et l ves d interroger les coauteurs Jean Pierre Bellon et Bertrand Gardette de Harc lement et brimades entre l ves la face cach e de la violence scolaire Tout ce travail qui a r v l de vraies attentes sur le sujet nest pas rest sans suite Les tablis sements scolaires se sont empar s de cette probl matique Dans les deux tablissements scolaires a t mise en place une journ e pi q re de rappel afin de continuer d informer et de ce mobiliser pour pr venir tout risque de harc le ment Euroscope de nombreux Cause caf ont reparl de ce Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 _g s ME sujet Le voile est lev Et les projets de l association visant mieux conna tre les adolescents ne manquent pas comme cette action Allez les filles qui a pour objet de favoriser l activit physique chez les adolescentes et pr voit une chor graphie de street dance et un clip vid o Ou encore l initiative renouvel e depuis 6 ans un parent un ado le week end des 8 et 9 novembre prochain pour faire renouer
37. ion de puis une douzaine d ann es Dans les Hautes Alpes la participation des femmes a augment denviron 10 ces derni res ann es creusant par fois des carts tr s importants avec dautres d partements Ces r sultats sont le fruit d une motivation renforc e des femmes du d partement d une implication intense des quipes et d une recherche de subventions suppl mentaires via le programme transfron talier Alcotra pour renouve ler une communication qui a t bas e sur l v nementiel et des partenariats et qui a t tr s bien relay e par la presse locale se r jouit Guy Cl ment pr sident de l Adoc 05 Le d pistage organis n cessite une forte promotion Cancer colorectal Le d pistage organis du can cer du c lon voir 3 ques tions un peu plus r cent s adresse aux personnes entre 50 et 74 ans Propos par courrier tous les deux ans il ne recueille pas encore d ad h sion massive Il implique de passer par son m decin g n raliste qui d livre le test et en explique le mode dem ploi pr l vements de selles trois reprises En cas de non participation une relance est adress e l assur social accompagn e du test ren voyer par courrier pour un r sultat d livr une semaine plus tard Selon tous les m decins coordinateurs de la R gion Paca les freins ce d pistage restent nombreux et expliquent les faibles taux abagisme consommation d a
38. ion de handicap accueillies dans les tablissements et services m dico sociaux Les taux de participation aux d pistages organis s en PACA sont variables voire tr s diff rents selon les d partements Ils sont fonction des situations sociologiques et g ographiques des populations ainsi que de la question de la d mographie m di cale La Haute Provence d tient peu de m decins radiologues par exemple indique Herv Meur charg de mission en pr vention et promotion de la sant PARS Si des d partements se situent au dessus et dautres tr s en dessous la moyenne de la r gion reste inf rieure la moyenne nationale Des r sultats d cevants qui ont incit la cr ation d un comit de pilotage r gional mis en place en 2011 Depuis 2013 le r le de coordination des structures de gestion des d pistages a t renforc pour ani Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 R gion Dossier mer un comit d partemental r unissant tous les acteurs l occasion des campagnes na tionales Octobre rose et Mars bleu de fa on mener de nombreuses actions de com munication et dengager de nouveaux partenariats voir encadr p 6 Quant au CRES qui coordonne et value au niveau r gional il a gale ment pour mission de favo riser changes et partenariats entre les d partements Outre des actions de communica tion visant les publics cibles des r unions d information de
39. lcool s dentarit et ob sit sont les facteurs de risque communs bien des cancers dont celui du sein et du c lon Certains autres facteurs repr sentent pour les femmes le risque de d velopper un cancer du sein m me si la grande majorit de ces cancers surviennent chez des femmes ne pr sentant pas ou peu de facteurs de risque une premi re grossesse tardive ou pas de grossesse des r gles pr coces avant 12 ans une m nopause tardive apr s 55 ans et une pr disposition familiale Le cancer colorectal quant lui voit sa pr valence augmenter partir de 50 ans L ge devient donc un facteur de risque pour cette maladie de m me qu une alimentation trop calorique notamment en graisses animales une consommation importante de viande rouge Ainsi que la pr sence de polypes dans l appareil digestif des ant c dents familiaux de cancers colorectaux et les maladies inflammatoires du c lon obtenus autour de 30 en moyenne Les m decins nont pas le m me raisonnement que les pid miologistes ou les profes sionnels de sant publique Ils sont plus form s un diagnos tic positif qua l id e de la pr vention et l limination du risque de maladie que permet ce d pistage avance Claire Granon Or ils repr sentent un l ment prescripteur essen tiel aupr s de la population confirme Marie Dominique Harmel cest pourquoi il faut multiplier les actions d infor mation en leur directio
40. le contenu nest pas fig et se construit avec les professionnels qui en font la demande Un travail pr alable la formation permet aux formateurs de conna tre les programmes concern s et de recueillir les difficult s et attentes des professionnels Par exemple Arles la formation s est articul e autour des facteurs de motivation du patient participer au programme et prendre soin de lui Lanalyse du groupe s est port e sur les causes d abandon de pro grammes par les patients Lobjectif de travail tait d am liorer la pro position du programme et l assiduit des patients Les professionnels Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 18 en formation ont souhait galement d velopper leurs comp tences d animation de groupe et revoir leur protocole et outils d valuation Cette formation part de l existant et tient compte des contraintes de l exercice des professionnels pour am liorer le service rendu aux pa tients Une seule formation au centre hospitalier d Arles fin 2013 s est d rou l e pour 9 professionnels B Bilan des formations 1 Profils des participants Au total 310 professionnels de sant ont particip aux formations du CRES en ETP en 2013 Il existe une grande diversit des professionnels de sant participant cette formation On retrouve en majorit les infirmiers 45 les di t ticiens 16 et les m decins 12 Les pharmaciens les kin sith ra peutes son
41. le dialogue entre parents et adolescents Contact Elisabeth Merighi directrice de l association Euroscope 26 rue de la libert Embrun T l 04 92 20 69 75 Enfants adolescents jeunes Lutter contre la cyberd pendance des enfants Initi e dans le Var par l association Horizon Multim dia une action de pr vention dans des coles l mentaires a pour objectif de faire prendre conscience aux enfants des effets nocifs d un usage excessif des outils multim dia Elle porte d ja ses fruits uite un colloque organis en 2011 mobilisant profes sionnels de l enseignement et de l ducation l association Horizon Multim dia a t sol licit e par de nombreux chefs d tablissement et infirmi res scolaires pour intervenir autour de la probl matique de la cyber d pendance des plus jeunes qui s inscrit aujourd hui dans le cadre du plan d partemental de lutte contre la toxicomanie En effet les effets d une cyber d pendance sont multiples avec des cons quences n fastes aussi bien sur la sant physique que psychique des petits usagers manque de sommeil surpoids mauvaise hygi ne personnelle migraines pertes de la notion du r el de contr le de soi irri des crans Internet jeux vid o tablettes t l phones portables en termes de sant de scolarit et de vie sociale Le projet se d cline en trois tapes et n cessite la participation active ainsi que la for
42. le formation en 2013 elle permet aux participants d acqu rir les connaissances requises pour mette en place une valuation et une d marche qualit dans un programme d ETP Elle r pond aux attentes de ARS qui soumet les programmes autoris s une auto valuation annuelle AFA et une valuation quadriennale EQ La formation se d roule sur deux jours e Contenu La formation s ouvre sur les repr sentations des participants puis pr sente les diff rents types d valuation et leurs r les Les participants apprennent laborer un protocole d valuation de leurs programmes la fois pour l auto valuation annuelle AFEA et l valuation quadrien nale EQ Ensuite la formation se porte sur l laboration d outils ques tionnaire guide d entretien L valuation des programmes com prend la dimension qualit et permet aux quipes de d velopper au sein de leur structure une r elle d marche qualit en ETP Trois formations ont t organis es pour 45 professionnels en 2013 gt Formation n 3 Module d approfondissement en ETP 21h Cest aussi une nouveaut en 2013 et elle s adresse aux participants ayant d j valid la formation n 1 Elle est propos e des profession nels qui ont mis en place des programmes depuis plusieurs ann es afin de les aider am liorer leur pratique Ils peuvent galement aborder les difficult s qu ils rencontrent dans leur projet Il s agit d une formation dont
43. mation des quipes p da gogiques De quiz en diaporamas et tests d valuation Corinne Zab l animatrice tra vaille en amont avec les ensei gnants qui poursuivront ensuite la pr vention en autonomie avec les outils et ressources propos s Avant l atelier anim par l association les professeurs font passer un quiz d valuation anonyme aux l ves de fa on cerner l quipement familial en crans le temps pass devant ES D S E S a A cyberd pendant ou risquez vous de le devenir Il est galement suivi d changes et d une conclu sion tr s large puisqu elle anime des programmes autour de la cyberaddiction dans les coll ges les lyc es et aupr s tabilit voire d pression quesur par les coliers leur activit l issue de l intervention un d un public d adultes u environnement social scolaire sur Internet et leur proposer de nouveau quiz est propos aux et familial d socialisation chec relever le d fi de 2 jours sans l ves visant valuer son im scolaire conflits familiaux cran D une part un tel d fi pact Les r sultats sont positifs Fin 2013 elle m ne donc une favorise une d marche partici puisque 94 des jeunes sont premi re action de pr vention pative en ce quelle attribue un capables de d finir la cyberd dans des coles l mentaires r le aux enfants et permet ga pendance alors qu auparavant situ es en zone d ducation l
44. mbler son besoin d vasion c est le contact quelle recherche Pour d finir mon temp rament je dirais que je ne c de jamais au d couragement et qu en toute chose je cherche le c t positif valoriser Les habitants de Caromb ont bien de la chance _s Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 _14 Espace CRES gt Actualit s gt Contraception et grossesses non d sir es 6 s ances de sensibilisation cette ann e Six s ances de sensibilisation la contraception et aux grossesses non d sir es ont t organis es en 2014 par le CRES PACA Ces demi journ es pour les professionnels de sant et socio ducatifs s inscrivent dans le cadre du dispositif r gional d acc s la contraception pour tous qui comprend galement le Pass sant pr vention contraception 1 ch quier coupons destin aux moins de 26 ans de la r gion et le site web d informations et d changes www parlons ici org g r par le Planning familial Les s ances se sont d roul es en janvier Port Saint Louis en mars Marseille en avril Arles en juin Antibes en septembre Grasse et en octobre Nice Leur objectif permettre aux professionnels de d velopper leurs comp tences et leur capacit intervenir et orienter les jeunes sur les questions de sexualit de contraception d IVG D une dur e de deux trois heures organis es avec la participation des coordonnateurs atelier
45. n La population non plus nest pas suffisamment r ceptive aux b n fices du d pistage Par manque d information sur la maladie elle m me et sur la simplicit du test Pour chacune de nos actions de communication l enjeu est de d sacraliser le d pistage de lever les peurs et les r ti cences de rendre la population actrice de sa sant insiste Guy Cl ment Par ailleurs la plupart des d partements de Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 er la r gion sont marqu s par la pr carit qui loigne de la pr occupation de pr vention et certains par des situations g ographiques peu favorables Il faut mieux cibler les popu lations rurales les personnes isol es qui ont des difficul t s se d placer les y aider m me Reste la sempiternelle question des moyens allou s tant la formation des m de cins qu la communication efficace vis vis des publics dans les conditions d quit requises par la sant publique Au niveau national le Plan cancer 2014 2019 pr voit de renforcer l efficience des pro grammes de d pistages orga nis s existants en les ten dant toutes les personnes avec des modalit s adapt es chaque niveau de risque de cancer et en intensifiant la lutte contre les in galit s d ac c s et de recours ces d pis tages qui doivent b n ficier tous Renforcer l information des professionnels et des per sonnes reste donc l
46. n 40 ff Mai Juin Juillet Ao t 2 0 1 4 Bulletin d information du Comit R gional d Education pour la Sant Provence Alpes C te d Azur Www cres paca org DOSSIER DI gt pistages peut aJi C i Lutter contre la cyberd pendance des enfants Ed L ETP pour vivre mieux dans sa peau Le CHU de Nice lutte contre les punaises de lit www inpes sante fi i R gion 7 r i institut national sgi s ma de pr vention D Agence R gionale de Sant E A Provence Alpes 7 1A C te d Azur EE Provence Alpes C te d Azur PROVENCE ALPES C TE D AZUR A a DZ D pistages des cancers en PACA peut mieux faire 3 6 Personnes vuineranies m Bouches du Rh ne Atelier sant ville du Grand Sud Huveaune 1 un cycle pour mobiliser sur la promotion la sant entants AU0IESCENMISAEUTES m Hautes Alpes Agir contre le harc lement une action 8 n cessaire Embrun m Var Lutter contre la cyberd pendance des enfants 9 PROESANTE NVITONNEMENL m Alpes de Haute Provence Outiller le public pour moins de pollution 10 m Alpes Maritimes Le CHU de Nice lutte contre les punaises de lit 11 EAEG m Vaucluse RHESO aide les enfants t moins victimes 12 de violence Maiadiesicnromigues m Bouches du Rh
47. ne L ETP pour vivre mieux dans sa peau 13 63 Portrait Annie Palon tarte remis rent 14 Pharmacienne 1 Actualites en ne a eo A Ce ann ee 15 2 P le r gional de comp tences en ducation et promotion de la sant 16 Y Documentation LR nr Te A ne e 17 Bilan des activit s du CRES en ducation th rapeutique du patient 18 19 Un article de Thibaud Bergmann Pierre Sonnier Benoit Saugeron CRES PACA Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juill NA et Ao t 2014 Photo Pierre CIOT Les d pistag s en PACA pe Le d pistage organis des cancers du sein depuis 2004 et colorectal depuis 2009 repr sente l un des axes prioritaires de la politique de pr vention r gionale Mais les actions men es nont pas encore obtenu de r sultats vraiment satisfaisants n diagnostic plus pr coce permet pour la majorit des cancers un traitement plus efficace avec un impact positif av r sur le pronostic de la maladie La d tec tion des cancers un stade d butant permet aussi de r duire la lourdeur et la dur e des traitements et de diminuer limpor tance des s quelles potentielles Promouvoir des diagnostics pr coces est donc un levier majeur d am lioration de la prise en charge des patients atteints de cancer Pour certains cancers un d pistage avant l apparition de sympt mes est possible
48. nfants Nous avons pens ensuite que nous pouvions mettre en place une action pour ces enfants victimes Redonner chacun sa place C est ainsi que RH SO a d cid dorganiser des ateliers r unissant parents et enfants Il ne sagissait pas de proposer de la m diation mais de recr er une autre communication que la violence toujours connue Il sagit d un atelier de pr vention pour viter de reproduire les m mes comportements violents Ce nest pas un groupe de paroles proprement parler mais un moment d change entre parents et enfants les nouveaux conjoints quelquefois la fratrie Ces ateliers qui rassemblent parents essentiellement des femmes et enfants permettent de replacer l enfant sa place denfant et le parent d valoris par la situation de violence sa place de personne responsable et capable d assurer la s curit de son enfant Ce nest pas le moindre de son int r t Cela permet de recr er une communication sereine saine qui fonctionne entre parents et enfants et sortir du sentiment de culpabilit On peut expliquer ce qui est normal et ce qui ne lest pas dans une communication et recr er les conditions pour permettre que lenfant continue se construire normalement et de mani re quilibr e Mettre des mots sur les choses douloureuses Concr tement les s ances de deux heures ont lieu une fois par mois en fin d apr s midi dans une pi ce d di e autour
49. nn es postales par mail cres paca cres paca org ou par t l phone 04 91 36 56 95 CRES PACA 178 Cours Lieutaud 13006 MARSEILLE T l 04 91 36 56 95 Fax 04 91 36 56 99 Email cres paca cres paca org Site www cres paca org Codes 04 42 bd Victor Hugo 04000 DIGNE LES BAINS T l 04 92 32 61 69 Fax 04 92 32 61 72 Email codes ahp wanadoo fr Site www codes04 0rg Codes 05 1 place du Champsaur Les lavandes 05000 GAP T l 04 92 53 58 72 Fax 04 92 53 36 27 Email codes 05 wanadoo fr Site www codes05 org Codes 06 27 bd Paul Montel B timent Ariane 5 tage 0 NICE T l 04 93 18 80 78 Fax 04 93 29 81 55 Email c patuano codes06 wanadoo fr Site www codes06 0rg Codes 13 11 boulevard Notre Dame 13006 MARSEILLE T l 04 91 48 13 03 Email contact codes13 0rg Site www codes13 0rg Codes 83 H pital Georges Cl menceau B t Coste Boy re 1 tage 421 avenue du premier Bataillon d Infanterie de Marine du Pacifique 83130 La Garde T l 04 94 89 47 98 Fax 04 94 92 80 98 Email codes var wanadoo fr Site www codes83 0rg Codes 84 13 rue de la P pini re Quartier Saint Ruf 84000 AVIGNON T l 04 90 81 02 41 Fax 04 90 81 06 89 Email accueil codes84 fr Site www codes84 fr
50. nt relanc leur activit explique Pascal Delaunay Ce biologiste a la particularit assez unique en France de tra vailler comme entomologiste et parasitologue m dical au CHU de Nice Il a re u en juin 2014 le 5 Prix H lioscope GMF qui r compense les tablisse ments hospitaliers qui uvrent am liorer la qualit de vie des patients Cest depuis avril 2007 que dans le CHU de Nice une unit den tomologie m dicale a t indi vidualis e de fa on originale dans le Laboratoire de parasito logie mycologie Et que Pascal Delaunay expert reconnu sest int ress aux punaises de lit Les punaises de lit piquent du rant la nuit principalement sur les parties d couvertes de la peau Elles fuient la lumi re na turelle ou artificielle se cachent dans la literie et tous les recoins sombres d un habitat structures de lit tringles rideaux fentes etc En deux mois l infestation peut prendre une grande am pleur Des consultations d di es Un entomologiste cherche conna tre les insectes nuisants pour l homme et susceptibles d tre vecteurs de maladies Ce biologiste met depuis de lon gues ann es la disposition du corps m dical dermatologues et infectiologues et des patients ses connaissances pour traiter ces parasites Si on conna t en amont comment vit un insecte et comment il peut transmettre les maladies on peut apprendre lutter contre lui et viter l infes tation Je met
51. nterventionnelle contre le cancer r unir chercheurs d cideurs et acteurs de terrain 17 18 novembre 2014 Paris L institut National du Cancer organise un colloque scientifique international pour pr senter les avan c es et les d fis de la recherche interventionnelle contre le cancer Les intervenants partageront les r sultats de projets men s en France en Europe et en Am rique du Nord issus du champ du cancer et d autres pathologies pour identifier des bonnes pratiques transf rables Programme et inscription www event e cancer fr fr Renseignements Institut National du Cancer evenements institutcancer fr m Ladolescence l preuve du corps 28 novembre 2014 Paris Colloque Fil Sant Jeunes organis par l cole des Parents et des ducateurs d Ile de France avec la participation de l INPES Lieu Espace Reuilly 21 rue H nard Paris Programme et inscription http www epe idf com portail images stories EPE BI_FSJ_2014 colloque pdf Rencontres m 8 rencontres de l Institut Renaudot Construire ensemble un d fi pour vivre mieux 21 22 novembre 2014 Paris Partager pour avancer plus encore dans une ap proche soci tale solidaire voici l ambition de ces Rencontres Renseignements Institut Renaudot T l 01 48 06 67 32 http www institut renaudot fr Journees m Journ es Francophones de Nutrition 2014 10 12 d cembre 2014 Bruxelles Les prochaines Journ es francoph
52. ones de nutrition se d rouleront Bruxelles du 10 au 12 d cembre 2014 Organisation MCI France T l 01 53 85 82 64 Inscription inscription lesjfn fr info lesjfn fr m Journ e r gionale de la pr vention et de la promotion de la sant 12 d cembre 2014 Marseille Organis e par le CRES et PARS PACA ce colloque a pour objectif de faire le bilan des actions men es mi parcours du Sch ma r gional de pr vention et de valoriser les initiatives des acteurs de la pr vention Lieu cole de Management EMD rue Joseph Biaggi Marseille m tros Saint Charles ou Jules Guesde Programme et inscriptions sur le site www cres paca org Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 _ 20 Priorit s Sant Bulletin d information du Comit R gional d Education pour la Sant Provence Alpes C te d Azur 178 Cours Lieutaud 13006 Marseille Directeur de la publication Professeur Jean Marc GARNIER Pr sident R dacteur en chef Zeina MANSOUR Directrice R daction Lisbeth FLEUR Responsable de la communication CRES PACA H l ne FOXONET et Pascal HUBY Journalistes Conception graphique Studio CARGO Toulon 83 Impression Imprimerie ZIMMERMANN Villeneuve Loubet 06 Tirage 8 000 exemplaires N 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 P riodicit 3 num ros par an N ISSN 1628 2884 Date du d p t l gal 28 juin 2004 Pour recevoir gratuitement Priorit s Sant Merci d indiquer vos coordo
53. plique G raldine Guarinos coor dinatrice de l atelier sant ville Grand Sud Huveaune et cest ce que nous avons voulu faire en proposant un cycle de qualification nos princi paux partenaires autour des concepts d ducation et de la promotion de la sant Cest l une des tapes pr alables pour travailler globalement sur la promotion de la sant apprendre parler un langage commun se mettre daccord sur les concepts les mots les stra t gies d intervention Il faut consentir prendre du temps pour construire ensemble cette culture Cela permet aussi de l gitimer le plus dacteurs pos sibles dans cette action sur la sant et sur ces d terminants Un cycle de 4 interventions Ce cycle de r flexion com prenant quatre interventions a t construit avec le CODES 13 pour les acteurs sociaux m dico sociaux sanitaires ducatifs du territoire Grand Sud Huveaune m me ceux qui ne pensaient pas avoir une action directe sur la sant 15 personnes ont particip ce travail animateurs ou respon sables d quipements sociaux d association en charge d in sertion et responsables ins titutionnels CPAM ou h pi taux sud Nous nous sommes naturelle ment tourn s vers le CODES 13 repr sentant le p le r gional de comp tences en ducation pour la sant pour imaginer une s rie d interventions Iden tifier les th mes prioritaires qui pouvaient ressortir de groupes de travail identif
54. r du sein chez les femmes de 40 49 ans et de 70 79 ans en France Note de cadrage R f HAS 2013 03 42 p Cette note de cadrage fait suite l inscription au programme de travail 2012 de la Haute autorit de sant du th me D pistage du cancer du sein des femmes g es de 40 49 ans et de 75 79 ans Son objectif g n ral est d valuer la pertinence du d pistage du cancer du sein chez les femmes g es de 40 49 ans de 70 74 ans et de 75 79 ans en France La question de lexten sion du d pistage organis aux deux tranches d ge actuellement non concern es par le programme national fait galement partie des objectifs de cette valuation www has sante fr portail jcms c_1650208 fr note de cadrage depistage du cancer du sein chez les femmes de 40 49 ans et 70 79 ans Les pratiques de d pistage des cancers en France In Barom tre cancer 2010 BECK Fran ois GAUTIER Arnaud R f ditions INPES 2012 272 p e Apr s une premi re enqu te men e en 2005 le Barom tre cancer Inpes INCa 2010 vise identifier les volutions des perceptions des risques et des comportements de la population concernant les facteurs de risque du cancer mais galement sur les repr sentations de la maladie et limage des malades Les personnes interrog es ont galement t questionn es sur la qualit per ue des soins ainsi que sur les pratiques de d pis tage mises en oeuvre par les pouvoi
55. rait induire une plus forte participation de la population concern e Par ailleurs techniquement il est dot d une meilleure sensibilit et offrira une d tection plus fine plus fiable Les essais cliniques concluent au rep rage de 2 3 fois plus de cancers et polypes Enfin la proc dure de lecture du test concentr e pro bablement dans pas plus de 5 centres agr s en France voire de 1 5 facilitera la gestion de l valuation du d pistage tant de ses performances que de l galit de sa diffusion sur le territoire Comment sera t il mis en place Le lancement du test immunologique est pr vu pour d but 2015 Le cahier des charges pour aboutir une mise en place de ce type est complexe et bas sur des tudes pouss es et solides sur les plans technique et l gislatif D ici l donc il faudra d signer le laboratoire fabricant la proc dure a t lanc e en septembre 2014 suivant un appel doffres europ en D signer galement les centres d analyse en charge de la lecture du test Et obtenir les autorisations pour les structures de gestion du d pistage Parall lement et ce nest pas simple non plus il faudra pr parer un nouveau mode d invitation au public vis inchang r diger un mode demploi revoir les modalit s de retour r viser le mode de lecture Sans omettre la formation des m decins g n ralistes relais indispensables Toutes proc dures en cours que l INCA r alise en lien avec le mini
56. rs publics www inpes sante fr CFESBases catalogue pdf 1405 pdf et www inpes sante fr Barometres BaroCancer2010 pdf depistages cancers pdf F Barom tre k cancer 2010 Motifs de participation et de non participation au d pis tage du cancer Enqu te qualitative aupr s des habi tants de deux territoires de l agglom ration grenobloise MAZET Pierre R f Odenore INPES ANSA 2009 32 p Cette tude porte sur la participation aux d pis tages du cancer du sein et du cancer colorectal Elle vise appr cier la compr hension des dis positifs de pr vention valuer les r actions des individus aux dispositifs de pr vention recueillir les propositions des populations concern es pour am liorer les dispositifs de pr vention La m thodologie retenue compare deux territoires de Grenoble avec une analyse quantitative des don n es pid miologiques et une enqu te qualitative aupr s des professionnels de sant et de pr ven tion sur chaque territoire d une part et aupr s des populations concern es d autre part htip odenore msh alpes fr documents PRECARRE_interm pdf D pistage du cancer du sein en France identification des femmes haut risque et modalit s de d pistage Synth se R f HAS 2014 03 34 p la demande de PINCa et dans le cadre du Plan Cancer 2009 2013 la HAS a labor des recom mandations sur le d pistage du cancer du sein chez les femmes haut risque
57. s la disposition des m decins et des patients des connaissances et des recomman dations adapt es chaque situa tion Cest ainsi que sont n es des consultations m dicales res pectant la fois le partenariat m decin patient et lenvironne ment Les dermatologues sollicit s peuvent demander Pascal De launay de confirmer en consul tation le diagnostic au travers d un interrogatoire cibl Je donne des conseils de lutte respectueux de lenvironnement punaises de lits souvent des conseils de lutte m canique et pas des insecticides qui sont tr s efficaces en tant tr s organis Aspirateur appa reil vapeur ou fer repasser le recours aux bonnes vieilles m thodes reste la priorit Ces m thodes peuvent tre utilis es conjointement Une parfaite hygi ne et une volont des ha bitants du lieu de lutter active ment contre les insectes sont des facteurs essentiels pour r duire et stopper la contamination Si vous ne pouvez pas chauffer vous pouvez congeler rappelle le Pascal Delaunay La cong lation 20 C doit durer mini mum 72 heures selon la taille de l objet le lavage la machine doit tre pratiqu plus de 55 C le nettoyage vapeur 120 C d truit tous les stades de punaises dans les recoins ou les tissus d ameublement le nettoyage haute pression ou la brosse est associer l aspirateur ou un grand nettoyage du sol Cest
58. s mots sur ce qui fait traumatisme Contact RHESO 259 bis avenue Pierre S mard 84200 Carpentras T l 04 90 60 36 84 www rheso fr Maladies chroniques gt L ETP pour vivre mieux dans sa peau Le Centre hospitalier d Arles propose un programme d ducation th rapeutique des patients en faveur des porteurs de dermatite atopique enfants et adolescents et de leurs parents ducation th rapeutique du patient ETP vise am liorer la qualit de vie du malade et de ses proches au quotidien comme les aider prendre en charge les soins et traitements de fa on plus auto nome Elle concerne les malades souffrant d une affection chro nique La dermatite atopique cest dire imputable une pr disposition h r ditaire du syst me immunitaire r agir de mani re inappropri e vis vis de substances inoffensives naturellement pr sentes dans l environnement ou l alimenta tion est de celles ci qui peut p l av rer tr s invalidante dans ses formes graves Il sagit dune affection de la peau fr quente et dont la pr valence a doubl au cours des vingt derni res ann es Mala die dite affichante elle se caract rise par une s cheresse cutan e des plaques rouges de fortes d mangeaisons et n cessite des soins quotidiens Cette dermatose inflamma toire voluant par pouss es d bute dans la tr s grande majorit des cas avant l ge de 5
59. s cortico des et d velopper les capacit s se traiter selon son tat Enfin la derni re rencontre four nit des astuces pour adapter sa conduite au quotidien et d mystifier les id es re ues Selon les besoins le pro gramme est compl t par deux ou trois ateliers individuels associant ventuellement une psychologue tal s sur 6 mois les ateliers d 1h30 sappuient sur des outils adapt s visuels et ludiques con us en partenariat avec l As sociation fran aise de l ecz ma et la Fondation pour la derma tite atopique jeu de loie jeu de cartes bo te anti grattage mallette p dagogique photos de la peau et des traitements chantillons de produits Valoriser et valuer Pour valoriser ce programme d ducation th rapeutique l accent est mis sur la commu nication travers courriers et plaquettes d information en direction des professionnels du secteur lib ral g n ralistes et dermatologues les centres de protection maternelle et infan tile et centres m dico psycho logiques D autant que l int r t de cette action est valu posi tivement par des enqu tes de satisfaction notamment quant l impact du programme sur la qualit de vie des patients en regard de l absent isme scolaire par exemple sur l am liora tion de l tat cutan par rapport l usage des dermocortico des et sur la compr hension de la maladie et de ses complica tions selon un guide d valua
60. s sant ville les s ances taient anim es par des intervenants du Conseil r gional et du planning familial ainsi que par une gyn cologue de l h pital de la Conception Marseille Elles ont permis de r unir 166 participants ducateurs sp cialis s travailleurs sociaux animateurs de pr vention m decins infirmiers sages femmes charg s de mission des communes L valuation r v le que suite cette sensibilisation 80 des participants se sentent plus m me d orienter les jeunes vers des structures relais m me si plus de temps leur parait n cessaire pour approfondir ces questions D autres besoins apparaissent d ailleurs pour d velopper des actions aupr s des 16 25 ans sur les th mes par exemple de la vie affective et sexuelle de la violence et de la maltraitance des conduites addictives La d marche qui a d marr en 2013 sera poursuivie en 2015 pour une couverture optimale des d partements de la r gion les dates figureront sur le site du CRES www cres paca org Contact Marion Vallarino CRES PACA T l 04 91 36 56 95 gt Journ e r gionale de la pr vention et de la promotion de Le ce node la sant le 12 d cembre M Smorion Marseille Seb Le CRES organise la premi re journ e r gionale de la pr vention et de la promotion de la sant en partenariat avec PARS PACA et sa demande le 12 d cembre prochain E Jim 215 l Ecole de management de Marseille
61. st re de la Sant et l Assurance maladie m Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 Personnes vulnerables Atelier sante ville du Grand Sud Huveaune un cycle pour mobiliser sur la promotion la sant Latelier sant ville du Grand Sud Huveaune et le CoDES 13 ont r alis un cycle de sensibilisation aux enjeux et concepts de promotion de la sant Une n cessit pour construire une culture commune duire les in galit s sociales de sant cest un objectif largement partag par lensemble des op rateurs qui uvrent dans le champ de la sant publique Ces in galit s tous les rap ports en attestent existent partout quels que soient les quartiers Marseille et ail leurs en lien avec des facteurs conomiques individuels et sociaux Elles n pargnent donc pas les 8 9 me Om 11 et 12 arrondissements de Marseille r put s parmi les plus favoris s Mais pas que LASV Grand Sud Huveaune qui regroupe les territoires CUCS de la Politique de la ville de ces arrondissements mobilise des op rateurs pour construire une strat gie locale de r duction des in galit s sociales de sant Pour qu ils puissent s investir sur des domaines qui ne sont pas de leurs comp tences initiales l ASV propose de les outiller et de leur offrir des espaces de r flexion et de travail com mun Une culture commune Lid e cest de construire une culture commune ex
62. t galement pr sents dans une moindre mesure Hors pro fessionnels de sant les psychologues ducateurs sportifs participent aux activit s ducatives et viennent galement en formation La majorit des participants sont des professionnels salari s d tablis sement de sant 2 Satisfaction des participants Formation n 1 Mettre en place une d marche d ducation th ra peutique 96 se sont d clar s satisfaits l issue de la formation Pour une ana lyse plus fine nous pouvons observer le graphique suivant trO HU Contenu de Animation La qualit L int r t de Conditions Ambiance la formation des la formation mat rielles g n rale changes Tr s satisfaisant MSatisfaiant E Peu Satisfalsant E insatisfaisant Une question ouverte laisse la possibilit aux participants d exprimer les id es fortes qu ils ont retenues de la formation id es fortes retenues lors de cette formation E M thodologie mise en place ou aide La rise en place d projets dans l Structure E Relation soignant scign poitur p dagogue Outils t t chniques d entretien ou d animation D Acqu ition de connaissances compr hension E Evaluation de la d march E Autr Hon disponible Pour publier dans cette rubrique Vous souhaitez publier un article dans Priorit s Sant Cette rubrique est votre disposition acteur de pr vention qui souhaitez apporter un t moignage faire le r
63. tion des comp tences a Priorit s Sant n 40 Mai Juin Juillet Ao t 2014 13 Contacts Sandrine Rappelle Duruy dermatologue Nathalie Bauduin IDE Consultation de dermatologie Centre hospitalier d Arles T l 04 90 49 29 12 Bouches du Rh ne Ce que jaime et vis au quotidien dans mon m tier cest d appor ter ma connaissance et mon exp rience aux patients tout au long de la journ e Chaque contact est sp cifique et peut toucher un domaine diff rent de l orientation vers les services sociaux l observation d une cueillette de champignons Cette proximit avec le client est d autant plus forte dans le milieu rural o je me trouve La pharmacie est utile tous au patient en cours de soins ou en qu te d informations sur ses affections au client qui entre en demande de produits de consommation courante mais qu il faut n anmoins conseiller e r le du pharmacien est double en effet puisqu il est la fois professionnel de sant de haut niveau et commer ant ce qui selon Annie Palon ne comporte aucune ambigu t Une pharmacie c est aussi une quipe compos s de pharmaciens adjoints ou associ s de pr parateurs d employ s de back office La journ e s organise autour de ce principe simple que la d livrance des m dicaments et produits se d roule dans les meilleures conditions r sume t elle Ce qui implique gestion des commandes rangements pr paration des ordonnances m
64. ue des appareils de mammographie et nos relec teurs sont particuli rement exp riment s Malgr tout la participation ne d passe pas LS i sil s F rS 40 car les m decins prescri vent fr quemment des d pis tages individuels Les femmes ne sont pas suffisamment in form es des avantages du pro 1 gramme organis Le d pistage du cancer du col ut rin Le cancer du col de l ut rus provoque pr s de 1000 d c s par an en France Pourtant il est possible gr ce au d pistage de d tecter des l sions pr canc reuses et canc reuses du col et ainsi de pr venir l apparition d un cancer ou de le soigner Actuellement le d pistage nest pas encore organis mais recommand pour les femmes g es de 25 65 ans Il est donc majoritairement individuel et repose sur l initiative du gyn cologue du m decin traitant ou d une sage femme Il existe par ailleurs une vaccination pr ventive Les papillomavirus humains HPV sont la principale cause du cancer du col de l ut rus La vaccination lutte contre l infection par certains types de virus HPV l origine de 70 des cancers du col ut rin Cette vaccination ne se substitue pas au d pistage par frottis mais constitue un moyen compl mentaire d agir face au cancer du col de l ut rus Elle est pr conis e 11 ans Des recommandations en faveur d un d pistage organis du cancer du col de l ut rus sur l ensemble du territoire ont t publi es par la

Lutter contre la cyberdépendance des enfants

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Lutter contre la cyberd&eacute;pendance des enfants

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Lutter contre la cyberdépendance des enfants