Small is beautiful L`exemple de Lavaux
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1. H pitaux r gionaux 2 Small is beautiful L exemple de Lavaux 1 CMV 6 2002 Editorial ditorial So mmaire H pitaux p riph riques du canton de Vaud LE suite et fin Voici cinq artides traitant des missions de s tablisse Dossier ments de leurs restructurations de leurs luttes pour la Chablais et Riviera survie de leurs fonctions et limites vers un h pital unique S le corps m dical du Chablais et de la Riviera nous fait Impact de la cr ation partager son r ve d un h pital unique nouveau fonction des SMUR sur les medenine nel et conomique les m decins de Lavaux et du Pays a ERE i es h pitaux de la FHV d Enhaut nous rappellent que si lt Bigis beautiful les pe P tites structures proches du patient compl mentaires des a e grandes sont incontournables A priori contradictoires les d suet ou futuriste deux d marches pourtant se compl tent et s inscrivent Un exemple de petit dans une vision globale des soins hospitaliers de demain h pital l H pital de Lavaux Ces deux h pitaux chacun sa mani re ont une fonction Pourquoi ferme ton pr cise dont la disparition n est pas concevable de l H pital de Lavaux Deux articles voquent les difficult s de la formation des m decins de demain par des institutions aux budgets limit s sans postes pr vus cet effet Il aura fallu l inter 10 vention de la FMH avec les nouvelles exigences pour la re Journ e du GMGV connaissance des2. mental pour conserver la primaut du droit la sant pour chacun Dr Jean Martin m decin cantonal vaudois Dr Eric Rochat m decin g n raliste Saint L gier 11 CMV 6 2002 GMGV Professeur Bernard ae po Gen ve Le professeur Patrice Guex chef du Service de psychiatrie de liaison chef du D partement de psychiatrie adulte a trait d une th matique ax e autour du m decin du patient et du tiers so cio politique le cabinet m dical tant consid r comme un lieu d observation du social Il a soulign l autonomie du patient etl h t ronomie de la justice dis tributive instances tierces ainsi que la disqualification globale du politique La sant un 4eu quatre mains Sur le th me de l engagement des m decins en politique la conseill re aux Etats genevoise Fran oise Saudan qualifia la sant de jeu quatre mains o quatre intervenants sont impliqu s le citoyen contribuable assur patient le prestataire de soins les assureurs et l Etat Ce dernier fixe les r gles du jeu au travers de la LAMal au plan f d ral les comp tences se situant au niveau cantonal Plus g n ralement Mme Sau dan a pr n la refonte compl te du sys t me d assurance maladie et du mode de financement des h pitaux Pour ce qui est de la ma trise des co ts de la sant elle a rappel les principaux points d achoppement actuels sup pression de l obligation de contracter clause
3. tique imm diate dans son acquisition en relation directe avec les malades et les maladies it rative C est une for mation en permanence contr l e et qui servira de base solide profonde indispensable la poursuite d une for mation plus large ou plus dirig e que l Universit pourra dispenser Oui cette mission existe elle est vivante et permanente et elle laisse dans les esprits des jeunes m decins ne tr s ue part la satisfaction d une pratique amplement exp ri ment e guid e en permanence et ac quise dans un climat de convivialit qui n est peut tre pas tranger au sou venir qu ils en gardent Par ailleurs l heure o le canton de Vaud pr voit qu une partie du fi nancementdes h pitaux repose surles missions et t ches particuli res qui leur seraient reconnues il nous sem blait important de documenter et d illustrer l importante mission d en seignementassum e dans les h pitaux non universitaires Dr Alain Meyer M decin chef du service de chirurgie H pital de Morges Jeudi de la Vaudoise 28 novembre 2002 Auditoire C sar Roux CHUV Lausanne Gastro ent rologie 2002 Organisateurs Professeur Pierre Michetti Dr Mathieu Potin 9 h 9 h 30 Professeur P Michetti 9h30 10h Dr C Felley 10h 10h30 Pause 10h30 12h Experts S minaires interactifs Maladie de Crohn perspectives en 2002 Mise au point sur la maladie c liaque Professeur P Michetti Ds J Delarive G
4. Dorta C Felley J Guyot G Schacher J Thorens F Viani et P Wiesel Mod rateurs Ds M Bonard S David C Galland B Giorgis E Henry S Hesse M Junod J Perdrix et M Potin Ce cours est soutenu par la firme MSD CMV 6 2002 Dossier L h pital de proximit site deformation d suet ou futuriste A l re de la concentration hospitali re l h pital de proximit offre aux popula tions des r gions p riph riques une large palette de soins de base Trait d union na turel entre le monde hospita lier et la m decine commu nautaire il repr sente un site de formation original et tr s appr ci de nos jeunes confr res faisant leurs pre miers pas dans la m decine pratique Encore ouverts il y a vingt ans la plupart des m decins praticiens de la r gion les h pitaux r gionaux taient de petits tablissements desservant surtout la p riph rie du canton Puis ils se sont vus progressivement qui p s de services de chirurgie m decine et gyn cologie l instar des h pitaux de zone de plus qe taille Cette volution in luctable r pondait aux imp ratifs du d veloppement et de la technicit croissante de la m decine hospitali re Cependant ce retrait forc des g n ralistes en dehors de l h pital a cr une br che dans la co h sion de l quipe m dicale l heure o au contraire l organisation en r seau nous incite une meilleure har monie dans l
5. Nouvelles us en anesth siologie antalgie n Ds L Magnusson I Decosterd A Foletti 9h40 10h20 Transfusions sanguines efficacit risques et altematives Professeur D Spahn 10 h 20 10 h 50 Pause 10 h 50 11 h25 Bilan pr op ratoire D 5 J P Gardaz V Moret B tablocage chez les patients risque cardiaque 11 h 25 12 h Dr P G Chassot Ce cours est soutenu par la firme MSD port La formation du futur m decin SMUR repose sur une connaissance des protocoles et sur un entra nement pratique aux gestes d urgence Nos jeunes confr res sont pr par s de ma ni re plus syst matique la prise en charge des urgences vitales qu aupa ravant mais ils le font hors du cocon hospitalier sans b n ficier de la pr sence d un m decin a n Cela g n re un stress important La disponibilit continue et imm diate des m decins qu exige le SMUR est facile garantir pendant les heures ouvrables Mais la couverture des heures de garde reste difficile et alour dit la gestion ainsi que la charge de travail malgr la cr ation de postes suppl mentaires La prise en charge aux urgences a t modifi e les patients amen s par le SMUR sont admis sur la base d un diagnostic provisoire et ont d j b n fici des gestes d urgence Le ser vice des urgences devient pour ces patients une unit d investigation et de soins intensifs Pour les m decins responsables des SMUR l enseignement pratique e
6. Ruey Vaud signaient une convention qui ent rinait la fusion de l h pital r gional de Monthey et de l h pital de zone d Aigle Cette fusion voulue par le corps m dical des deux tablisse ments devenait effective d s 1999 Parall lement les h pitaux de zone de Vevey et de Montreux et l h pital Mottex Blonay CTR subis saient une volution comparable en Mine la m me poque ee donc de quatre h pi T ublics de soins aigus desservant les r gions de la Riviera et du Chablais deux tablissements fonctionnant chacun sur deux sites Malgr l organisation la plus ra tionnelle possible ces formules d h itaux multisites montraient assez vite eurs limites tant sur le plan m dical qu conomique et il devint vident qu il fallait regrouper l ensemble des activit s m dicales sur un seul site Avenir hospitalier commun Construire deux h pitaux neufs pour des bassins de population de moins de 100 000 habitants 30 km l un de l autre appara t toutefois l vidence comme un non sens m di cal conomique et politique qu au cune nation m me riche n a plus les moyens de se permettre Une grande part des co ts non ma tris s de la sant proviennent des progr s tech nologiques de plus en plus rapides des m thodes diagnostiques et th ra pme propos es Il est peu pro able que cette tendance s att nue dans les vingt ans venir Tant que la m decine restait assez contem
7. canismes du droit priv aux quels nous tions dor navant soumis en clinique priv e en mettant l accent sur l information notamment en ma ti re conomique que nous devions imp rativement nos patients C est pour ces raisons que par un courrier au mois de juillet 2002 nous avons re command aux obst triciens d adres ser leurs patientes enceintes leurs confr res p diatres avant l accouche ment lorsqu il est pr vu en clini pe pue afin d carter leur respons t de mandataire potentiel et aux D diatres de rencontrer les futures m res afin de les informer selon les obliga tions du droit priv et de passer en re vue les conditions g n rales et sp ciales d une ventuelle assurance com pl mentaire contract e soit en faveur de la m re soit de l enfant na tre Cette rencontre pr natale entre la fu ture m re et le p diatre non reconnue CMV 6 2002 Actualit par l assurance sociale est donc hors LAMal et ainsi soumise au droit priv Ce sont comme nous venons de le voir les conditions g n rales et sp ciales variables d un assureur l autre des assurances compl men taires facultatives conclues en faveur de la future m re ou de l enfant na tre qui d terminent le mode de prise en charge des frais g n r s par le s jour du nouveau n sain en cli nique priv e Afin de mettre la dis position des p diatres un ventail des conditions g n rales et sp ciales d
8. fi nissant la prise en charge du nouveau n sain nous avons contact par crit et t l phoniquement de nombreux as sureurs La t che s est av r e difficile carla r daction de certaines conditions est impr cise ce que le contact t l phonique n a pas forc ment permis d am liorer Malgr ces r serves il nous a paru judicieux de publier cet inventaire afin de sensibiliser les p diatres et les futures m res la de variation des conditions g n rales des assurances compl mentaires et leurre commander de lire en d tail leur po lice d assurance voire de prendre contact avec leur assureur Si un assu reur consid re que ce qui est men tionn est impr cis ou erron nous sommes naturellement dispos s faire conna tre leurs remarques dans le but de faciliter le fonctionnement des as surances compl mentaires Conditions g n rales et sp ciales des assurances compl men taires concernant le nouveau n sain en clinique priv e Les frais de s jour et les frais m dicaux du nouveau n en bonne sant sont pris en charge par l assurance des frais d hospitalisation conclue par la m re pendant le s jour hospitalier de la m re En cas d accouchement la couver ture d hospitalisation de la m re CMV 6 2002 Actualit Soci t vaudoise de m decine Comit de la SVM Dr Cha les A Favrod Coune pr sident Dr Charles Alexandre Steinh uslin vice pr sident Dr Jea
9. nir certes le traitement d une n vrose est plus long que celui d une angine e Le sy r cuse un patient qui manque de motivation et ne vient lt que sous la pression de sa famille ou de son g n raliste cas fr quent Certains membres de la famille re fusent de participer une th rapie familiale Le patient est r ticent la m thode pr conis e consultations conjoin tes th rapie syst mique etc Le psy refuse de se d placer do micile Ce sont donc souvent les g n ra listes qui assument la prise en charge de patients psy difficiles chroniques ou urgents et rebelles au traitement Mais contrairement ma coll gue psy 18 cine g n rale un peu courte mais fi nalement assez r v latrice de l image que peuvent avoir de nous certains sp cialistes Ce lapsus si c en est un est r v lateur de l image morcel e non seule ment de la m decine mais aussi du pa tient J invite volontiers ces confr res psychiatres vivre quelques joum es en m decine Ton ce qui serait probablement le moyen le plus effi cace d effacer toutjamais ce mot bar bare de leur vocabulaire il n existe d ailleurs pas dans le dictionnaire En vous r it rant mes f licitations je vous adresse chers Confr res mes salutations les meilleures D F Pilet Vouvry chiatre je pense que ces patients ne sont pas des sin cures dont les g n ralistes sont bien contents de s occu pe
10. tablissements de formation pour qu un Quel r le pour les m decins programme soit mis en route au sein de nos h pitaux D dE L exp rience du travail dans une petite structure loin du confort de la m decine de pointe et du support d une hi 13 rarchie universitaire est essentielle la pratique d un art Actualit o l conomicit de traitement sera un jour un objectif in pee ce coin contournable sain en clinique priv e On ne peut pas s emp cher enfin d voquer les SMUR mode d emploi vaudois sans une pens e mue pour leur p re fondateur le a e e Dr Olivier Moeschler disparu tragiquement il y a trois ans Dr Daniel Laufer Q Prochaines parutions Courrier i3 EL 2002 iT f T novembre OURRIER d lai r dactionnel 4 octobre 2002 Calendrier 5 T F Bi sdi d DU MEDECIN Ne 8 2002 Dos medical vauqolIs VAUDOIS fr re 8 novembre 2002 ossier Chablais et Riviera vers un h pital unique Suite leur rencontre du 8 octobre 2001 les gouvernements des cantons de Vaud et du Valais ont publi une d claration commune en faveur d une collaboration accrue en mati re d hospitalisation dans les r gions de la Riviera et du Chablais Le texte qui suit est un rappel de la situation hospitali re dans ces deux r gions et une prise de position de m decins hospitaliers face l volution du projet Un peu d histoire En 1997 les conseillers d Etat Pe ter Bodenmann Valais et Claude
11. et l engage ment des moyens disponibles adapt s au degr pr sum de l urgence Cons quences des SMUR pour les m decins install s Les m decins praticiens participant la garde m dicale sont moins impli qu s dans les urgences vitales la plu part de ces situations tant r gul es par le 144 et confi es au SMUR Par contre ils peuvent faire appel au SMUR en cas de situation critique dans leur activit ambulatoire La majorit de ces m decins ont d tre soulag s car la pratique de la m decine en ca binet ne permet ni une disponibilit instantan e telle qu elle est requise lors d une prise en charge pr hospita li re ni l apprentissage et le maintien des comp tences pratico techniques n cessaires La situation sera peut tre diff rente dans quelques ann es quand d anciens m decins SMUR s installe ront en tant que m decins de premier recours Impact des SMUR pour les m decins hospitaliers La strat gie m dicale du SMUR comprend l laboration d un diagnos tic succinct suivi de l application de protocoles th rapeutiques simples li mit s principalement au contr le de la menace vitale et l am lioration du confort du patient pendant le trans Jeudi de la Vaudoise 31 octobre 2002 Auditoire C sar Roux CHUV Lausanne Anesth sie nouveautes et bilan pr op ratoire Organisateur Professeur Donat R Spahn Mod rateur Dr St phane David 9 h 9 h 40 Professeur D Sp
12. le D Jean Martin m decin cantonal vaudois m me si la tension entre m decine et politique est bien r elle les deux EE qu dE Sos vent le m me objectif soit r pondre aux besoins de la population Pour sa part le r le du m decin cantonal est jen sp cifique Il constitue en effet un contre pouvoir thique et de d fense du citoyen et b n ficie de sur cro t d une certaine libert par le fait de ne pas tre lu Dans un autre re gistre le D Martin a galement insist sur l importance de la dimension com munautaire de la sant de l galit dans l acc s aux soins et du libre choix du praticien Si pour le D Eric Rochat m decine et politique sont certes des sph res dif f rentes mais pas incompatibles il ob serve n anmoins que le nombre de m decins engag s en politique reste faible et que les quelques m decins politi ciens si gent majoritairement dans les organes l gislatifs Pour l ancien conseiller aux Etats et m decin g n raliste Saint L gier cet tat de fait si gnifie bel et bien que ce sont des non m decins qui proposent et disposent en mati re de sant publique Sur la question du r le social et po litique du m decin le sociologue Ber nard Crettaz voqua un syndrome commun aux m decins et politiciens qui pourrait tre la recherche d une certaine rotique du pouvoir Dans des soci t s de plus en plus fragmen t es le r le du m decin est fonda
13. ralistes vaudois GMGV s est d roul e le 27 juin dernier la Grange de Dorigny Huitante g n ralistes taient pr sents face des intervenants issus du monde politique juridique et uni versitaire pour une journ e sur le th me de M decine et Poli tique je t aime moi non plus Plus que jamais en lien direct avec l actualit la Journ e de juin du GMGV consacr e aux relations entre m de cine et politique s est tenue hasard du calendrier le jour m me de la mani festationn des m decins assistants contre la clause du besoin Pr alable ment aux d bats la journ e a ainsi commenc par la lecture d une lettre ouverte de l Asmav la conseill re f d rale Ruth Dreifuss Apr s ce pr ambule pla ant d em bl e les participants au c ur du sujet le conseiller d Etat Charles Louis Ro chat rappela l importance du m decin de premier recours et de la libert th rapeutique Le chef du D partement de la sant et de l action sociale DSAS souligna galement l importance du maintien de rapports loyaux entre l Etat et les partenaires de sant Sous la houlette de la journaliste de la TSR Martina Chyba m decins et per sonnalit s issues du monde politique juridique et acad mique ont ensuite chang leurs points de vue sur le sys t me de sant actuel l en des m decins en politique etleurr le dans la soci t M decine et politique incompatibilit ou qu te du pouvoir Pour
14. t elle vraiment cette mission de formation des h pitaux de la F d ration des h pitaux vaudois FHV d nomm s si souvent les etits h pitaux ou aussi les h pitaux p ri ph riques o l on pratique vraisem blablement de la petite m decine peut tre m me enseign e par de petits m decins Constatation d un langage manant souvent de centres universitaires r put s pour leurs exigences de pointe dans certains domaines ce que nous ne contestons videmment pas Mais comment concevoir para doxalement la demande permanente de ces m mes centres d un engagement temporaire de leurs assistants dans les que h pitaux afin de parfaire leur rmation On ne peut m langer l es prit acad mique la recherche exp ri mentale la chasse aux publications les m thodes d investigation sophistiqu es et on reuses les traitements magnifi quement orchestr s gr ce une tech nicit performante et unique et des m thodes de formation certainement reconnues mais s attachant un autre aspect de la formation Il faut vraiment rendre compl mentaire ce que l on en seigne l Universit et la formation ac quise dans ces fameux etits h pitaux Il faut surtout que cesse cette condescendance st rile tablie parcer tains cadres de l enceinte universitaire envers les services non universitaires dont les responsables m dicaux sont parfois des personnes avec lesquelles ils taient en comp tition pour ce post
15. PFL Do rigny Renseignements t l 021 623 37 17 fax 021 623 37 10 www marcheton ch MARDI 29 OCTOBRE 2002 18 h 30 Colloque hospitalo r gional de Morges Pr sentation de cas Etat des relations entre m decins de ville etde l H pital de Morges Morges H pital de Morges Auditoire de l ESIM Ren seignements D R Rosso t l 021 801 92 11 fax 021 803 39 14 MERCREDI 30 OCTOBRE 2002 17 h 18 h Conf rence postgradu e du service d anesth siologie Professeur D D Benhamou Quoi de neuf en anesth sie obst tricale Lau sanne CHUV auditoire Yersin Renseigne ments et inscriptions Me B Felicione t l 021 314 20 01 fax 021 314 20 04 e mail barbara felicione chuv hospvd ch JEUDI 31 OCTOBRE 2002 8 h 30 17 h 15 Journ e des professionnels de la sant da concurrence instrument de rationa lisation panac e ou illusion Gen ve H pi taux universitaires de Gen ve b timent princi pal auditoire Marcel Jenny Renseignements et inscriptions Service de formation continue Universit de Gen ve t l 022 705 78 33 fax 022 705 78 30 e mail info formcont unige ch www unige ch formcont 9 h 12 h Les Jeudis de la Vaudoise Anesth sie nouveaut s et bilan pr op ratoire Organisa teur Professeur Donat R Spahn lausanne CHUV auditoire C sar Roux Renseignements et inscriptions t l 021 652 99 12 fax 021 652 32 21 e mail formationcontinue svmed ch 9 h 30 12 h Colloque p
16. a cha ne des soins Du rant cette m me p riode la planifica tion sanitaire cantonale va consid ra blement modifier le visage et la mis sion de ces etits h pitaux collabo ration renforc e avec des partenaires de plus grande taille et concentration sur un site du service d obst trique et d urgences chirurgicales mais en re vanche d veloppement de nouvelles activit s dans le domaine de l h ber gement et de la r adaptation L exemple de l H pital du Pays d Enhaut L H pital du Pays d Enhaut le plus petit tablissement de soins aigus du canton avec 45 lits tous services confondus assure la prise en charge des 4500 habitants du district et des nombreux touristes visitant notre val l e plus de 70 000 nuit es h teli res en 2001 Lors de sa construction en 1979 l int gration de quatre cabinets au sein m me de l institution un chi rurgien et trois m decins praticiens a montr la voie pour une prise en charge sans heurts du patient hospi talis et aussi pour une utilisation optimale des ressources disposition infrastructures m dico techniques comme radiologie laboratoire poli clinique une poque o l explosion des co ts de la sant n tait pas en core un souci majeur et quotidien Vingt trois ans plus tard on peut af firmer que la quasi totalit du corps m dical du Pays d Enhaut est investi d une mission particuli re au sein m me de l h pital qui demeure un merveilleu
17. ablement les transferts secondaires de patients pour des examens sp cialis s ou des traite ments sophistiqu s Position des m decins hospitaliers Les m decins hospitaliers du Cha blais et de la Riviera se sont rencon tr s pour voquer cet avenir une tr s forte majorit ils soutiennent ac tivement ce projet CMV 6 2002 Dossier Se pose encore la question du site d implantation de ce nouvel h pital Le groupe de travail d sign par les Etats de Vaud et du Valais propose une implantation proche de Villeneuve Les m decins chefs des h pitaux du Chablais et de la Riviera sont majori tairement en faveur de ce choix qui est l vidence la localisation la plus consensuelle pour tre accept e par les deux bassins de population L argument souvent d velopp dans les m dias et jusqu au Grand Conseil vaudois qu un tel choix allait co ter des vies cause de retards d acheminement des patients n a au cun fondement m dical Pour les grandes urgences il est bien d mon tr que dans des r gions o les dis tances sont aussi courtes ce n est pas un transport de plus ou moins cinq mi nutes qui fait la diff rence Le fait d terminant est la qualit de la prise en charge pr hospitali re Tant sur la Ri viera que dans le Chablais cette prise en charge est parfaitement assum e parle SMUR Une implantation de l h pital aux environs de Villeneuve de vraits accompagner de l installation d
18. cale En plus des services de m decine et r adaptation de chirurgie et de l h bergement m dico social l H pital de Lavaux dispose de services tourn s vers l ext rieur radiologie physioth rapie di t tique unit d accueil tem oraire qui viennent compl ter l offre la disposition de la population locale L avenir Les restructurations fusions voire fermetures d tablissements restant d actualit dans la planification hospi tali re cantonale vaudoise la r flexion des tablissements sanitaires doit tre guid e par la n cessit de corres pondre aux besoins de la eion et du r seau sanitaire auxquels ils appar tiennent Le soutien de la population et des m decins traitants repr sente galement une condition au maintien des petits h pitaux Afin de renforcer sa position un petit h pital doit pouvoir d finir clai rement ses missions et d velopper ses sp cificit s Etant donn la n cessit de dispo ser d une masse critique suffisante pour assurer la qualit des soins et le maintien d un plateau technique in term diaire l H pital de Lavaux a d velopp un projet d tablissement soumis au Service de la sant publique Ce projet propose la poursuite d une e de petit h pital l H pital de Lavaux activit chirurgicale et retient comme objectifs prioritaires l extension de sa mission de r adaptation de vingt deux quarante lits et l ouver ture d une unit de d
19. de de 5 2 jours soit la plus basse du can ton avec un taux de complication et de reprise tr s bas le service de chirurgie participait l conomie des co ts de la sant 80 des 1100 ma lades op r s proviennent de la r gion lausannoise Actuellement aussi bien le CHUV qui devrait les accueillir et les h pitaux de zone qui seraient 2 oblig s de suppl er le CHUV sont surcharg s avec des listes d attente pourhospitalisation de plusieurs se maines voire de plusieurs mois Nous avons t stup faits de voir qu une d cision aussi grave de cons quences pour les pce a t prise sans consulter au pr alable les int ress s En effet elle conceme tout un personnel qualifi de l H pi tal ainsi qu un groupe de 32 chirurgiens et deux anesth sistes Elle bouleverse galement lavenir d une Fondation qui b n ficie des dons de soutien de la population du district de Lavaux Nous aurions es p r participer activement la r flexion sur l avenir de notre ta blissement de notre profession et la mani re de traiter et de soigner la po pulation Nous avons l amer sentiment de ne pas avoir t consid r s L avenir de la Fondation se trouve rait d apr s le conseiller d Etat Rochat dans son changement de mission Se lon lui son personnel sp cialis de vrait rapidement tre engag ailleurs les anesth sistes qui doivent tre flexibles et mobiles retrouveraient s remen
20. du besoin poids du secteur hos pitalier enveloppe globale et TarMed Le patient assur l assureur et le m decin quels arrange ments possibles Me Jacques Micheli pr sident de l Association suisse des assur e s As suas a pris l exemple de l assurance perte de gain APG pour d terminer si le m decin peut tre le d fenseur du droit des patients En outre Me Mi cheli a soulign l importance de la mise en place d un syst me uniforme pour la couverture de la perte de gain Il regrette cependant que malgr la d fense collective des assur s au travers de l Assuas le lobbying politique ait chou du fait de la dispersion des or ganisations de d fense M decin et ou politicien La diversit et la richesse des in terventions a permis d apporter un clairage nouveau sur la probl ma tique fondamentale des relations entre Me Jacques Micheli avocat Lausanne les m decins et le pouvoir politique Tout en soulignant l insuffisance de l esprit corporatif des m decins les orateurs se sontmontr s unanimement en faveur d un plus grand engagement des m decins en politique afin qu ils puissent exercer un poids plusi impor tant dans le processus de prise de d cisions particuli rement lorsqu il s agit de d cisions touchant au do maine de la sant D apr s le communiqu de presse du Dr P De Vevey B tikofer Communication 13 ctualit Le p diatre et le nouveau n sain e
21. ductive Les pa tients rechigneront en effet consul ter un m decin bien class par Hel sana par peur de se voir refuser un traitement cher mais peut tre n cessaire Ils opteront plut t pour les m decins hors liste pour tre s rs d obtenir les soins conformes leurs besoins Incontestablement la diffusion d une liste de bons m decins est un premier pas vers la suppression de l obligation de contracter Pour garder des primes attractives l assureur ne tardera pas cesser de rembourser les m decins amp ors liste dans le cadre de l assurance de base mais peut tre pas dans le cadre d une assurance com pl mentaire pour les assur s qui en auront les moyens C est le sens de la r vision de la LAMal qui sera prochai nement soumise aux Chambres f d rales loin de cr er une transparence souhaitable la publication de telles listes g n re au surplus un chaos nui sible et antisocial pour les assur s En effet l exp rience de la LAMal a mon tr que seule une minorit d assur s change actuellement d assurance mal gr la possibilit d conomiser chaque ann e des centaines de francs en gar dant l acc s aux m mes prestations Les listes de m decins agr s par l une ou l autre assurance rendront encore lus difficile le choix de la caisse ma adie Il est donc illusoire de croire qu une majorit d assur s aura la pos sibilit ou la capacit de choisir son assurance en soupe
22. e La grande majorit des m de cins chefs interrog s en ont assez de cet tat d esprit qui nuit l harmonie de la profession mais surtout la for mation dans une p riode prouvante pour tous o l on devrait plut t se ser rer tr s fort les coudes au lieu de se poser en vassaux et suzerains Alors v ritablement une mission parfois d terminante de la formation existe dans les tablissements de la FHV gr ce la disponibilit des cadres la communication sans in term diaire aux pathologies mul tiples autant que vari es l abon dance des possibilit s techniques au contr le permanent de tous les actes l apprentissage des responsabilit s dans des unit s restreintes et vivantes Comment passer sous silence une participation active la formation des jeunes m decins lorsque tout le monde sait qu en dix huit mois un as sistant a n en gyn cologie ait son catalogue op ratoire T en chirurgie il remplit largement les imp ratifs op ratoires pour le titre FMH qu en anesth siologie il acquiert une ind pendance rassurante dans la grande majorit des actes ainsi qu en radio logie ou en m decine interne lorsque cette maturit lui autorise une auto nomie de diagnostic et de traitement Que dire aussi des contacts perma nents avec les pathologies urolo giques ophtalmologiques ORLou de chirurgie plastique La mission de formation des e tits h pitaux est avant tout pragma
23. e centres de soins ou policliniques fonc tionnant en r seau troit avec l h pi tal dans une structure commune Ce r seau permettrait de d sengorger les urgences de l h pital et d envisager des suites de traitement coordonn es apr s une hospitalisation Un concept ss tenant compte d une m decine e proximit n cessaire l ensemble de la population des deux r gions doit donc faire partie qe rante de ce pro jet de regroupement hospitalier Les conseillers d Etat vaudois et va laisan en charge de la Sant consid rent ce projet comme prioritaire Les m decins hospitaliers le soutiennent fermement Il serait regrettable pour les populations concern es que cette ambitieuse r alisation s enlise pour des querelles de clocher politiciennes d un autre temps Dr Bernard Mosimann H pital du Chablais Aigie Monthey Dr Jean Michel Hostettler H pita Riviera Vevey Montreux Blonay CMV 6 2002 Dossier Impact de la cr ation des SMUR sur les m decins Pour combler le retard que notre canton accusait dans la prise en charge pr hospitali re des urgences ce domaine a t struc tur et am lior dans les ann es 1990 Cette volution a g n r de nombreux changements pour les m decins La mise sur pied des SMUR Ser vices mobiles d urgence et de r ani mation permet les prises en charge m dicales pr coces par la localisation de la personne en d tresse l valua tion de la gravit du cas
24. e la m re tant que le nouveau n s joume l h pital en compagnie de sa m re et condition que l enfant soit assur aupr s de la CSS pour l assurance so ciale Si le nouveau n est assur aupr s d une autre assurance en ce qui concerne l assurance sociale les ho noraires du p diatre sont la charge des parents Nous avons pu suivre pr cis ment le cas d un nouveau n sain en clinique priv e pour lequel les pa rents avaient conclu une assurance compl mentaire Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA et les modalit s de fonctionnement de la Con t rembours s sans diffi culte es Tonorates du p diatre tablis selon la LCA sont p en charge par l assurance compl mentaire de la m re assur e Wincare tant que le nouveau n s journe l h pital en compagnie de sa m re et condition que l enfant soit galement assur au pr s de Wincare pour l assurance so ciale Si le nouveau n est assur aupr s d une autre assurance pourl assurance sociale les honoraires du p diatre sont la ran des parents Si seul le nouveau n est assur au pr s de Wincare pour l assurance compl mentaire ou l assurance so ciale les honoraires du p diatre sont la charge des parents Les prestations suppl mentaires du nouveau n en bonne sant savoir les honoraires du p diatre lors de s jour en clinique sont prises en a ar l assurance compl mentaire enfant Cet
25. enfant et de la personne g e au projet th rapeutique Lausanne CHUV auditoire Beaumont Renseignements et inscriptions 021 314 18 16 e mail francoise bedat chuv hospvd ch www hospvd ch pubic chuv dir eth 9 h 17 h Formation continue universitaire m decine communautaire et soci t r carit clandestinit privation de libert Lausanne EPFL Renseignements et inscriptions Service de formation continue de l Universit de Lau sanne t l 021 692 22 93 fax 021 692 22 95 e mail formcont unil ch VENDREDI 8 NOVEMBRE 2002 8 h 45 17 h 30 Journ e de neuropsychologie de Suisse romande Gen ve H pitaux universi taires de Gen ve amphith tre de p diatrie Renseignements et inscriptions E Mayer cli nique de neurologie H pital universitaire de Gen ve 1211 Gen ve 14 MARDI 12 NOVEMBRE 2002 8h 10 h Formation continue du d partement de p diatrie de Lausanne Dr P A Michaud M decine de l adolescence Lausanne CHUV Renseignements Dr E Roulet t l 021 314 35 63 9 h 10 h Formation continue du d partement de p diatrie de Gen ve Dese M Caflisch M decine de l adolescence Gen ve HUG Renseigne ments Professeur E Girardin t l 022 382 46 03 MERCREDI 13 NOVEMBRE 2002 17 h 18 h Conf rence postgradu e du service d anesth siologie Dr P Biro he worst sins and the most glorious virtues in Powerpoint Lausanne CHUV auditoire Yersin Renseigne
26. fiques de la maternit qui comprennent en application de l art 29 al 2e lettre d de la LAMal des soins accord s au nouveau n en bonne sant et son s jour tant qu il de meure l h pital avec sa m re Les notions de s jour et de demeure l h pital transforment le statut falla cieux d ambulatoire du nouveau n sain en statut d hospitalis Cons quence de cela dans notre canton mais avec quelques r ticences encore la Convention vaudoise d hospitalisa tion 2002 contient un nouveau type de facturation pour le nouveau n sain o il est consid r comme dministrati vement hospitalis Il en va diff remment lorsque le nouveau n sain s journe en tablis sement priv non subventionn ce qu est une clinique priv e ou en di vision priv e d un tablissement hos pitalier subventio nn qui ne sont pas vis s par le r gime et la protection ta rifaire d coulant de la LAMal selon l arr t du TFA du 19 3 1999 BGE 125 V 101 Il s agit du domaine du droit priv o est appliqu e la loi sur le contrat d assurance LCA en outre les nombreuses interventions de la Commission de la concurrence dans plusieurs cantons y compris le canton de Vaud ont soulign l importance grandissante dans ce domaine de la loi sur les cartels LCart Lors de l assembl e g n rale de 2001 du Groupement des m decins travaillant en cliniques priv es GMCP M B Rusconi nous a expli qu les m
27. inventaire n est de loin pas complet et contient des impr cisions voire peut tre quelques erreurs Si un assureur ou l autre prend contact avec nous nous publierons l intention des p diatres leurs pr cisions ou leurs compl ments d information En conclusion nous esp rons ainsi clarifier et faciliter la relation entre le p diatre etle nouveau n sain il s agit CMV 6 2002 Actualit naturellement de ses parents en cli nique priv e ou en division priv e d un tablissement subventionn dont les fondements sont une infor mation des futurs parents et une en tente entre eux etle p diatre avant l ac couchement Pour cela il est indis pensable que l obst tricien guide sa patiente enceinte aupr s d un p diatre d s la connaissance d une grossesse et du souhait d un accouchement en cli nique priv e D Bernard Burri pr sident du Groupement des m decins travaillant en cliniques priv es Mre Inka Moritz secr taire g n rale adjointe de la SVM 17 CMV 6 2002 Actualit Publication nominative de listes de bons m decins Prenant pr texte d informer ses assur s sur les performances de leurs m decins l assurance Helsana a entrepris de constituer et de publier des listes de m decins en fonction notamment de l conomicit des traitements prodigu s La SVM pourtant par tenaire des assureurs et des autorit s pour promouvoir une m decine de qualit et conomique est ob
28. ix lits sp cialis s en soins palliatifs Dr G rard Pralong M decin chef H pital de Lavaux M decin associ CHUV CMV 6 2002 Dossier Pourquoi ferme on le service l Pau APRES de chirurgie de l H pital de Lavaux La brusque fermeture de la chirurgie ne gu rira pas les milliers de ma lades pris en charge jusqu ici par l H pital de Lavaux Ils iront donc gon fler les listes d attente provoqueront des retards dans le traitement des autres patients subiront les m mes retards et leur traitement co tera tout aussi cher l Etat et aux assurances voire plus s ils doivent tre ab sorb s par le CHUV Le 17 septembre dernier M Charles Louis Rochat conseiller d Etat a annonc une d l gation de l H pital la fermeture prochaine et imminente de sa chirurgie ainsi que sa trans formation en 22 lits B Les raisons invoqu es sont besoin urgent de lits B dans le canton conomie d environ 1 6 million par an mais surtout poursuivre la po litique d cid e par l Etat f 1 de Vaud Devant la brutalit de Le cette annonce et l immi nence de cette ferme F ture nous sommes rest s abasourdis Nous avions cru jusqu alors notre conomi cit notre performance mais surtout la satisfaction n rale de tous nos ma ades En effet avec une structure de petite taille permettant an co t de re vient par malade inf rieur une dur e de s jour moyenne par mala
29. lausanne auditoire Pierre Decker Renseigne ments t l 021 314 74 21 17 h 30 19 h Conf rence du Jeudi de La M tairie Professeur N Despland Au del des coles la psychoth rapie peut elle tre efficace Nyon Clinique La M tairie Renseignements et inscriptions C L Felchlin t l 022 363 20 20 e mail contact lametairie ch 19 h Conf rence d bat du GRAAP D J Bes son Drogue alcool un dangereux calmant Lausanne GRAAP rue de la Borde Rensei gnements t l 021 647 1600 www graap ch JEUDI 31 OCT AU SAMEDI 2 NOV 2002 Congr s annuel de la Soci t suisse de dermato logie et v n rologie Lieu Berne Renseigne ments Secr tariat du Professeur R G Panizzon t l 021 314 03 50 fax 021 314 03 82 SAMEDI 2 NOVEMBRE 2002 8 h 30 13 h 30 Les 155 Entretiens de Beaulieu Soci t m dicale de Beaulieu Wie llir jeune Gen ve h tel Mandarin Oriental du Rh ne quai Turrettini Renseignements etinscriptions Sym porg SA t l 022 839 84 84 fax 022 839 84 85 e mail info symporg ch LUNDI 4 NOVEMBRE 2002 14 h 15 h Colloque phosphocalcique Dr O Lamy da Women s Health Initiative a t elle sonn le glas de la substitution hormonale Lausanne CHUV Renseignements Dr M A Krieg t l 021 314 08 70 fax 021 314 08 71 JEUDI 7 NOVEMBRE 2002 9 h 16 h Journ e de la Commission d thique clinique du CHUV amp uln rabilit et consente ment participation de l
30. lig e de se distancier du projet de Helsana et d avertir patients et autorit s des dangers in h rents de telles d marches La publication nominative de listes de dons m decins est pernicieuse et va l encontre des int r ts des patients Helsana a l intention de classer les m decins en fonction du co t des trai tements de ses assur s La liste des meilleurs m decins sera envoy e aux assur s pour permettre ceux d entre eux qui d sireraient trouver un nou veau m decin de choisir en meilleure connaissance de cause Une telle liste d pend videmment plus des maladies trait es que des m decins ce que savent bien tous les as sureurs C est pourquoi Helsana a tent d obtenir des donn es suppl mentaires concernant l quipement des cabinets m dicaux ou de d finir des crit res de confort comme les du r es d attente per ues par les patients La solidarit est la base de l as surance obligatoire Or les listes de m decins dressent les bien portants contre les malades Car si l assur en bonne sant a int r t exclure les m decins qui utilisentdes ressources co teuses il en va diff remment pour l as sur malade Ce dernier souhaite l gi timement que l on fasse pour lui tout ce qui est utile et raisonnable comme le pr voit la LAMal y compris un trai tement on reux La publication d une telle liste com porte donc un fort risque d tre com pl tement contre pro
31. ments et inscriptions Mme B Felicione t l 021 31420 01 fax 021 314 20 04 e mail barbara felicione chuv hospvd ch JEUDI 14 NOVEMBRE 2002 8h 15 17 h Congr s de la Fondation pour l du cation et la recherche en allergologie et immu nologie FE R A I Morges Th tre de Beau sobre Renseignements et inscriptions Dr M Reinhardt t l 021 320 10 28 fax 021 312 14 59 e mail reinhardt bluewin ch 9h 12 h Colloque du Jeudi delaPMU Dr A Far ron et I Chossis Pathologie de l paule ou paule douloureuse Th orie ou pratique Lau sanne auditoire de la PMU Renseignements Dr De Heller t l 021 345 22 22 fax 021 345 23 23 14 h 15 15 h 45 Conf rence du CEPUSPP Dr M Prince Londres Dementia in Developing Countries Prilly site de Cery auditoire de la clinique psychiatrique universitaire Rensei gnements M e R M Matthey t l 021 643 63 02 17 h 30 19 h Conf rence du Jeudi de La M tairie Professeur F Follrath Affections cardiaques et d pression Nyon Clinique La M tairie Ren seignements et inscriptions Mme C L Felchlin t l 022 363 20 20 e mail contact lametairie ch 18 h 30 Colloque scientifique interr gion men suel de l H pital intercantonal de la Broye Dr O Caramello des pathologies de l paule et leurs traitements HIB 1er sous sol du site payernois de l HIB Renseignements Dr O Rostan t l 026 662 85 13 LUNDI 18 NOVEMBRE 2002 14 h 15 h Colloq
32. n clinique priv e mode d emploi Depuis l introduction de la LAMal de nombreux p diatres et ga lement des jeunes m res ont contact maintes reprises la SVM propos de remboursements litigieux d honoraires de p diatres pour des soins prodigu s aux nouveau n s sains en cliniques pri v es ou en divisions priv es d tablissements subventionn s Le statut du nouveau n sain a t chaotique depuis l introduction de la LAMal en 1996 car cette derni re ne faisait mention nulle part et pour cause du statut particulier du nou veau n dit sain Ce que d aucuns ont appel une lacune juridique a permis l mergence de d cisions sp cieuses en particulier de l OFAS L arr t du Tri bunal f d ral des assurances du 14 1 1999 puis la premi re r vision partielle de la LAMal entr e en vigueur le 1 janvier 2001 ont permis de clari fier la situation Le message du Conseil f d ral ce propos a t d une ex tr me pr cision puisqu il a propos qe l assureur de la m re prenne sa arge dans le cadre des prestations de maternit les frais de s jour et de soins de l enfant tant que celui ci s joume avec sa m re car les soins en question font ee int grante de l en vironnement th rapeutique dont a be soin la m re apr s l accouchement Ainsi dor navant en division com mune d un tablissement subven tionn l assurance obligatoire des soins de la m re prend en charge les prestations sp ci
33. n Philippe Grob secr taire Dr Jean Marc Lambercy Dr Philippe Munier Professeur Alain P coud Dr Bertrand Vuilleumier Comit de r daction du CMV Dress Jacqueline Caillat Dr Charles A Favrod Coune Dr Daniel Laufer Dr Carlos Lima Dr Jean Pierre Randin Dr Patrick Olivier Rosselet Secr tariat g n ral P A Repond secr taire g n ral Inka Moritz secr taire g n rale adjointe jusqu au 30 septembre 2002 Soci t vaudoise de m decine Route d Oron 1 Case postale 76 1010 Lausanne 10 T l 021 652 99 12 CCP Lausanne 10 1500 5 Fax 021 652 32 21 E mail info svmed ch Fondation pour la garde m dicale S O S M decin de garde T l 021 213 77 77 24 heures sur 24 Abonnements de d viation et de t l communications au service des m decins de la r gion lausannoise Administration et r daction Case postale 76 1010 Lausanne 10 R gie des annonces Suisse romande inEDIT Publications SA Chemin des Jordils 40 Case postale 74 1025 Saint Sulpice T l 021 695 95 95 Fax 021 695 95 51 R alisation inEDIT Publications SA s tend galement au nouveau n en bonne sant tant qu il s journe l h pital en compagnie de sa m re N Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pris en charge par l assurance compl mentaire de l en fant si cette assurance manque ils le sont par l assurance compl mentaire de la m re aussi longtemps que l en fant est hospitalis a
34. n chef du service de m decine H pital du Pays d Enhaut Ch teau d x CMV 6 2002 Dossier ss Un exempl De nos jours le monde de la sant conna t de constants change ments dict s avant tout par des crit res conomiques D s lors il est fondamental de garder au centre des d bats le patient et ses besoins qu un petit h pital bien int gr dans un r seau de soins peut satisfaire L H pital de Lavaux petit gt h pital de 80 lits f tera cette ann e le soixan ti me anniversaire de sa construction en ayant toujours respect le d sir de sa l gataire F licie Fauquex savoir la prise en soins des malades des per sonnes atteintes dans leur sant et des personnes g es L volution de la m decine les donn es m dico conomiques et les changements d mographiques ont amen la Fondation de l H pital de La vaux s adapter aux nouveaux be soins de la population et renforcer sa collaboration avec le r seau sani taire Arcos Association R seau de la communaut sanitaire de la r gion lau sannoise L H pital de Lavaux d ve loppe des activit s compl mentaires aux autres prestataires de soins du r seau notamment dans le domaine de la r adaptation de la g riatrie et des soins palliatifs tout en pr servant sa qualit de m decine de proximit et une chirurgie lective Compl mentarit avec les soins aigus En r ponse la p nurie inqui tante en lits de r adaptati
35. n salle d anesth sie principalement repr sente un gros effort qui doit tre r p t chaque semestre aux nouveaux venus Le contr le de qualit bas sur la supervision de tous les dossiers SMUR ainsi que le travail de liaison avec le reste de la structure extrahos pitali re ambulances service de la sant publique augmentent aussi la charge de travail En conclusion l am lioration de la prise en charge pr hospitali re des ur ences graves est bas e sur la centra isation de l information centrale 144 la sp cialisation m decin hospitalier engag d embl e lors d une menace vitale et la standardisation crit re d engagement protocoles de soins Cela permet de sauver des vies de mi nimiser une atteinte fonctionnelle r siduelle et de soulager plus rapide ment les patients En somme la d marche all ge mo d r ment les m decins de premier re cours mais alourdit le travail des m decins hospitaliers Dr Michel Carrel M decin chef en anesth siologie au GHOL M decin responsable du SMUR des districts de Nyon et Rolle CMV 6 2002 Dossier Mission de formation des h pitaux de la FHV Les h pitaux faisant partie de la F d ration des h pitaux vaudois FHV sont souvent qualifi s de petits h pitaux Derri re ce terme se cache une m connaissance de l activit et de l utilit r elle de ces h pitaux non universitaires pour la formation des m decins assistants Existe
36. nt que le nouveau n s journe l h pital en compagnie de sa m re 14 Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont ue en charge par l assurance compl mentaire de la m re tant que le nouveau n s journe l h pital en compagnie de sa m re Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pus en charge par l assurance compl mentaire de la m re tant que le nouveau n s journe l h pital en sa compagnie et condi tion que l assurance sociale de l enfant soit conclue aupr s de Swica Si le nouveau n est assur aupr s d une autre assurance en ce qui concerne l assurance sociale les ho noraires du p diatre sont la charge des parents Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont rembours s par l as surance compl mentaire de la m re tant que le nouveau n s journe l h pital en compagnie de sa m re et condition que l assurance sociale de l enfant soit conclue aupr s d Intras Si le nouveau n est assur aupr s d une autre assurance en ce qui concerne l assurance sociale les ho noraires du p diatre sont la charge des parents Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pe en charge par l assurance compl mentaire sp ci fique Materna de la m re tant que le nouveau n s joume l h pital en compagnie de sa m re et condition que l enfant soit assur aupr s d As sura pour l assurance sociale Si le nouveau n est as
37. on laquelle le r seau Arcos doit faire face plus que tout autre dans le canton l H pital de La vaux offre des prestations adapt es aux besoins de sa r gion qu il s agisse d une suite de traitement m dical ou chirurgical ou d une prise en charge palliative de qualit Gr ce aux synergies d velopp es entre ses diff rents services en plus de sa mission de r adaptation le service de m decine offre aux patients du dis trict des prestations m dicales de proximit en accueillant en entr e di recte des patients ne n cessitant pas un plateau technique lourd contribuant ainsi d charger les structures d ur gence chroniquement surcharg es Chirurgie performante Le service de chirurgie sans ur ences effectue ace une trentaine e chirurgiens agr s 1200interventions lectives par ann e avec des ratios de performance optimaux Il offre aux pa tients de la r gion lausannoise dont la proportion b n ficiant d une assurance priv e est en diminution le libre choix de leur chirurgien et la possibilit d tre accueillis dans un cadre exceptionnel et une structure de taille humaine Le service d anesth siologie en plus du partenariat qu il offre aux chi rurgiens et des consultations pr op ratoires qu il assure fournit galement un environnement m dico technique favorable la prise en charge de pa tients en soins palliatifs Activit ambulatoire au ser vice de la population lo
38. ostgradu du Service de rhumatologie m decine physique et r habilita tion D s 9 h 30 Pr sentations de cas du ser vice RMR d s 11 h Professeur J P Zellweger des nouveaux traitements biologiques et la tu berculose Lausanne h pital Nestl auditoire Louis Michaud 12 h 15 13 h 45 Colloque de l UMSA et du SUPEA Professeur Ph Leuenberger dnvesti gation et traitement de l asthme chez l ado lescent Lausanne UMSA SUPEA av Beau mont 48 salle de colloques 1 tage Ren seignements UMSA t l 02131437 60 fax 021 314 37 69 e mail umsa chuv hospvd ch WWww umsa ch 13 h S minaire de maladies infectieuses Dr S Harbarth 4nfection control what can we learn from the U S experience Renseignements Mme S Bovey t l 021 314 10 10 fax 021 314 10 18 e mail sylviane bovey chuv hospvd ch 15 h 17 h 30 Colloque de formation continue du service de cardiologie du CHUV Professeur M Allessie et Dr J Metzger ibrillation auriculaire encore des nouveaut s Aspect diagnostiques et th rapeutiques Pacemaker d fibrillateur intra cardiaque et environnement lectronique Lau sanne CHUV Renseignements D A Jaussi t l 024 425 52 44 fax 024 425 56 72 16 h 30 S minaire de l Institut universitaire ro mand de sant au travail IST Dr J Comuz Pr vention du tabagisme quels sont les vrais enjeux et Dr s Sc Trinh Vu Duc Tabagisme passif marqueurs et niveaux d exposition
39. ouhaite faire un tat des lieux vu cette fois ci par les yeux du g n raliste de village Dans l Ouest vaudois l h pital psy chiatrique jouit d une r putation ca tastrophique aupr s de la population Nombreux sont les patients qui y ont s journ et pr ts jurer que Eee ils n y retoumneront de leur propre Cela ne pr juge en rien de la qu it r elle des soins qu ils ont re us mais t moigne simplement de leur v cu d usager Les institutions ambula toires rattach es l h pital psychia trique et les psychiatres install s en ca binet sont peine mieux consid r s tant souvent v cus comme le trem lin vers l institution et il faut user de eaucoup de persuasion pour convaincre les patients que ce n est pas forc ment le cas Mais le parcours du combattant ne finit pas une fois que le g n raliste a r ussi convaincre son patient de la n cessit de prendre avis d un psyvet des avantages qu il pourra en retirer En effet si le poncif du psy atteignable seulement entre moins dix et l heure semble cul les conditions mises la prise en charge d un patient sont sou vent r dhibitoires Tous ces exemples sont tir s de cas v cus personnelle ment Le cas est trop lourd pour une prise en charge ambulatoire mais le pa tient refuse d tre hospitalis et ne remplit pas les crit res pour un in ternement non volontaire Le psyvest nu et manque de disponibilit dans les X mois ve
40. plative chacun pouvait l assumer dans son coin dans de petits h pitaux r gio naux des co ts acceptables r ser vant les cas les plus graves l h pital universitaire Ces m mes h pitaux doivent maintenant remplir des exi gences m dicales et techniques de plus en plus lev es et co teuses auxquelles la population estime avoir droit proximit imm diate En te nant compte de l H pital de la Provi dence Vevey il y a actuellement cinq blocs op ratoires trois sites de soins intensifs et trois maternit s pour la Ri viera et le Chablais Il est tout sim plement impossible tous ces ser vices d assurer les soins de plus en plus performants et chers qui sont at tendus de leur part Conscients de cette probl matique les conseillers d Etat Charles Louis Ro chat et Thomas Burgener sont conve nus dans une d claration commune de regrouper l H pital du Chablais et l h pital Riviera sur un seul site Cette d cision politiquement courageuse per mettra la population des r gions de la Riviera et du Chablais de disposer d un h pital performant offrant surun site unique des comp tences hu maines des moyens techniques etune optimalisation des frais de fonction nement actuellement dispers s sur quatre sites Gr ce ce regroupement des soins de haute qualit avec des m decins de toutes les sp cialit s seront dispo nibles 24h 24 365 jours par ann e di minuant ainsi consid r
41. r et qui constituent de gros de leur client le mais un pain noir et amer et qu ils n ont jamais voulu enlever de la bouche du psychiatre Apr s une r union r cemment or ganis e Nyon il fut d cid de faire une enqu te pour conna tre la n ces sit qu ont les g n ralistes de recourir aux psychiatres pendant un mois J en ignore les r sultats complets mais je me souviens de n avoir pas exprim ce besoin La raison en est simple apr s de nombreuses exp riences in fructueuses en vingt ans de pratique j ai prisl habitude de fonctionner sans et de g rer moi m me les probl mes Sy Toutle monde est conscient du ma laise qui r gne dans notre ieux couple Mais on s en tonne moins si l on admet qu il ne s agit has d un ma riage d amour tout au plus d un ma riage de raison ou le plus souvent d une union arrang e entre des parte naires qui ne se connaissent pas puisqu ils ont t lev s dans des coles non mixtes Ce constat pourrait donner des pistes de r flexion pour am liorer l avenir des tudiants et as sistants actuels Mais pour les wieux praticiens la situation semble plus cristallis e et je ne vois pas de solu tion court terme Dr Michel Borzykowski Coppet CMV 6 2002 Calendrier Calendrier m dical vaudois P riode du 26 octobre au 23 novembre SAMEDI 26 OCTOBRE 2002 17e Marchethon CF en faveur de personnes at teintes de mucoviscidose Lausanne E
42. rcier et f liciter le comit de r daction pour l excellent num ro sur la psychiatrie Un merci tout particulier nos confr res psy chiatres qui ont pris la peine et le temps de r diger d excellents articles J aurais juste une petite remarque propos d un passage de l article im port du Courrier du m decin vaudois Ds Peter Berney Gammeter Dans le paragraphe intitul ne vraie cha ne des urgences psy ces con fr res crivent nfin les m decins so maticiens qui participent la garde en ville dans le cadre de la fondation pour la garde m dicale interviennent pour des urgences psychiatriques non d es es soit domicile soit dans les ocaux de police pour les personnes qui n ont n tre conduites au CITB en raison d une agitation ou d une vio lence importante Je suis un peu choqu de voir ainsi traiter les m decins g n ralistes de o maticiens utilisables la rigueur pour des urgences psychiatriques non d pacah esx Quand on sait le temps et nergie que le m decin g n raliste consacre aux dimensions psycholo giques et sociales de ses patients c t de la dimension biologique je trouve cette conception de la m de Psychiatres somaticiens une relation de vieux couple En effet les relations entre psy chiatres et somaticiens ne sont pas au beau fixe Et ce n est pas nouveau Comme ma coll gue Jacqueline Caillat Courrier du m decin vaudois 3 2002 page 7 je s
43. sant tous les l ments n cessaires dont ferait en par ticulier partie une liste restrictive de m decins Le projet de classement rating des m decins n est donc nullement une mesure pour une m decine effi cace et conomique mais sert les in t r ts purement commerciaux de l as sureur En contrepartie il dessert l quit la transparence et promeut une m decine premi re vue bon T a au d triment de la vraie qua t Les m decins vaudois et suisses ne contestent pas la n cessit de r former le syst me de sant et de l adapter aux changements sociaux et m dicaux Des mesures d incitation et de forma tion notamment sous l gide des so ci t s de m decins cantonales et de la FMH ont d j permis au secteur am ne La Soci t vaudoise de m decine d nonce le projet de ating de Helsana qu elle juge dangereux et contre productif bulatoire de s adapter aux progr s sans co ts excessifs Le TarMed cr era les bases pour une transparence g n ra lis e d s 2004 au plus tard Ces exemples montrent que la situation peut tre canalis e par d autres moyens Aujourd hui il s agit d entrepren dre des mesures v ritablement parte nariales et non de chercher instau rer une concurrence fratricide entre m decins dont les v ritables victimes seront les malades CMV 6 2002 Courrier ourrier G n ralistes qualifi s de somaticiens Chers Confr res Je tiens reme
44. sur aupr s d une autre assurance en ce qui concerne l assurance sociale les ho noraires du p diatre sont la charge des parents En cas d accouchement les frais pour le nourrisson en bonne sant sont pris en charge par l assurance de la m re aussi longtemps que celui ci s journe l h pital avec la m re condition toutefois que le nouveau n soit assur d s sa naissance aupr s de EGK pour l assurance obligatoire des soins Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont p en charge par l assurance compl mentaire de la m re tant que le nouveau n s journe 15 l h pital en compagnie de sa m re et condition que l assurance sociale de l enfant soit conclue aupr s du Groupe Mutuel Si le nouveau n est assur aupr s d une autre assurance en ce qui concerne l assurance sociale les ho noraires du p diatre sont la charge des parents Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pee en charge par l assurance compl mentaire de la m re tant que le nouveau n s journe l h pital en compagnie de sa m re et condition que l enfant soit assur aupr s de Provita pour l assurance so ciale Si le nouveau n est assur aupr s d une autre assurance en ce qui concerne l assurance sociale les ho noraires du p diatre sont la charge des parents Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pris en charge par l assurance compl mentaire d
45. t aussi du travail ailleurs le r le de l Etat n tant pas de garantir des postes tous les m decins et les chi que seraient agr s dans d autres tablissements vaudois Tout cela alors que les autres tablissements du can ton sont surcharg s manquent de per sonnel de moyens et de lits Nous nous sentons responsables et soli daires envers nos patients Et pour faire face cette situation d autres h pitaux devront augmenter leur capa cit d accueil ce qui ne se fera pas du jour au lendemain Finalement de quelle conomie parlet on Depuis l an 2000 des investisse ments importants ont t consentis par la Fondation et l Etat pour r nover le service de chirurgie Il est noter que les derniers travaux de modernisation dudit service ventilation se terminent actuellement On peut d s lors l giti mement se demander quels sont les avantages conomiques d une telle d cision si l on admet que ces patients seront trait s dans d autres services de ue un co t gal ou sup rieur La seule conomie consisterait en fait diff rer ou renoncer une prise en charge soit introduire de facto un ra tionnement des soins Dr Bijan Ghavami chirurgien FMH Doyen du coll ge des m decins de l H pital de Lavaux CMV 6 2002 GMGV ourn e du GMGV 10 Quel r le pour les m decins en politique La traditionnelle Journ e de j juin du Groupement des m decins g n
46. ue phosphocalcique D N Theumann etM A Krieg Densitom trie osseuse les pi ges viter Lausanne CHUV Rensei gnements Dr M A Krieg t l 021 314 08 70 fax 021 314 08 71 MARDI 19 NOVEMBRE 2002 18 h 30 Colloque hospitalo r gional de Morges D P Pasche Ronflementetsyndrome d apn e du sommeil r le de la chirurgie et des pro pulseurs mandibulaires H pital de Morges Renseignements D R Rosso t l 021 801 92 11 fax 021 803 39 14 MERCREDI 20 NOVEMBRE 2002 17 h 18 h Conf rence postgradu e du service d anesth siologie Professeur F Clergue S cu rit en anesth sie Lausanne CHUV auditoire Yersin Renseignements et inscriptions M e B Felicione t l 021 314 20 01 fax 021 314 20 04 e mail barbara felicione chuv hospvd ch VENDREDI 22 ET SAMEDI 23 NOVEMBRE 2002 Formation la th rapie syst mique br ve M A Cabi et L Isabaert Renseignements et inscriptions CERFASY t l 032 724 24 72 fax 032 724 22 44 e mail cerfasy cerfasy ch Prochain d lai de r daction pour annoncer les manifestations ayant lieu entre le 25 no vembre et le 27 d cembre 2002 nous vous prions de bien vouloir nous faire parvenir vos textes avant le 21 octobre 2002 20
47. vec sa m re i N Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pris en charge par l assurance compl mentaire d hospita lisation de la mere pour autant qu ils soient tablis selon leurs modalit s de fonctionnement Les frais imput s pour le nouveau n non couverts par l assurance obli gatoire des soins sont pris en hage par l assurance d hospitalisation d m re Il n est pas n cessaire que l en fant soit assur aupr s de Concordia ni Apr s une discussion constructive entre la direction de Supra et la SVM en 2001 Supra rembourse pourl heure les honoraires des p diatres tablis se lon la LCA mais est dans l impossibi lit de garantir le maintien de telles dis Le ap T 5 ua 2 5 N 5 po Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pris en charge par lassurance compl mentaire de la m re tant que le nouveau n s journe l h pital en sa compagnie Li Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pris en charge par lassurance compl mentaire de la m re tant que le nouveau n s journe l h pital en compagnie de sa m re Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pris en charge par l assurance compl mentaire de la m re tant que le nouveau n s journe l h pital en compagnie de sa m re T s Les honoraires du p diatre tablis selon la LCA sont pris en charge par lassurance compl mentaire de la m re ta
48. x outil de travail Si les sp cialistes hospitaliers chirurgien inter niste gyn cologue rhumatologue r adaptateur conservent la responsa bilit des services traditionnels de soins aigus un omnipraticien au b n fice d une solide formation en g riatrie dirige le secteur d h bergement Quant au service des urgences poli clinique il estint gralement supervis par les m decins g n ralistes install s qui assurent ainsi une part tr s impor tante de l enseignement prodigu nos deux m decins assistants Un tablissement comme le n tre offre donc des postes de formation postgradu s attractifs et in dits puisque relevant la fois de la m de cine hospitali re et de la m decine communautaire De jeunes coll gues en d but de carri re peuvent en effet y confronter leur savoir acad mique tout frais avec l exp rience de prati ciens aux formations et aux approches th rapeutiques ou diagnostiques tr s diverses La vaste palette de cas et de situations ainsi rencontr e au cours d un m me stage offre aux jeunes m decins un cadre de r f rence qui leur permet une approche globale de la personne malade ainsi que de leur fu tur m tier Les choix de carri re et l orientation vers des centres prodi guant un savoir plus sp cialis s en trouvent souvent facilit s Alors un petit h pital au fond d une verte vall e ringard ou avant gardiste A vous de juger Dr Patrick Scherrer M deci
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