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1. le cours Utilisation des mat riaux recycl s sur les chantiers communaux une alternative pour pargner les ressources naturelles aura lieu pour la premi re fois le 14 11 2012 Inscriptions sur le site du CEP www cep vd ch gt Catalo gue gt L Etat pour les com munes Deux nouveaux outils Internet au service du patrimoine vaudois le guichet du recense ment architectural et wiki recensement Depuis 2007 les donn es principales du recensement architectural vaudois type de b timent note et mesure de protection taient consulta bles sur Internet par le biais du portail geoplanet Afin d augmenter et de particula riser les informations li es au patrimoine vaudois un nou veau guichet de consultation des donn es relatives au re censement architectural est d sormais en ligne l adresse www recensementarchitectu ral vd ch Ce nouvel outil au service d un large public et notamment des communes donne acc s la note de recensement de chaque b timent et d crit les mesures de protection l gale qui lui sont attribu es Il est galement possible d impri mer la fiche de recensement de consulter des photographies et pour autant que ces infor mations aient t num ris es d avoir un aper u des rensei gnements d archives D s le mois de septembre 2012 ce guichet permet d ac c der une plateforme parti cipative wiki recensement toute personne qui en fait la demande2. un sta tionnement manifestement sauvage Autorisation ou pas qui d cide e En constatant un station nement de caravaniers d terminer en premier lieu et avec s ret quel est l ayant droit du terrain en question soit le propri tai re exploitant ou si le ter rain est lou le titulaire du bail fermier ou locataire Avertir l ayant droit et le faire venir sur place si c est une propri t communale un d l gu de la municipa lit ayant le pouvoir de n gocier dans le camp faire appeler la personne que ses pairs d signent comme leur interlocuteur chef de clan ou de famille pas teur r pondant etc apr s avoir entendu la de mande des gens du voyage et pris note du d domma gement qu ils offrent d em bl e tr s souvent informer l ayant droit de ses devoirs de maintien de l ordre sur la parcelle et alentour puis demander sa d termination prononcer sur place de vant la personne qui s an nonce comme responsable des caravaniers Si l ayant droit autorise le stationnement c est lui qui d cide il ne peut le faire de son propre chef que pour une dur e maximale de 4 jours 3 nuits l autorisa tion de la Municipalit tant requise d s la 4e nuit base l gale art 27 de la LCCR VD Loi sur les campings et caravanings r sidentiels chapitre camping occa sionnel D terminer Des terrains souvent remettre en tat Si l
3. enti rement rendues leur libre volution sans aucune intervention r serve fores ti re naturelle Dans celles ci la for t pourra suivre et vivre toutes ses phases de la graine la s nescence De vieux arbres et une grande quantit de bois mort s ac cumuleront ce qui profitera environ 20 25 des es p ces foresti res qui en sont d pendantes Toutefois ces r serves fo resti res ne suffisent pas p renniser des conditions fa vorables au maintien des es p ces assujetties aux for ts naturelles Souvent loign es les unes des autres elles ne permettent pas elles seu les de garantir un change des populations floristiques et faunistiques garant d un transfert g n tique n cessai re au maintien des esp ces D s lors pour mettre en r seau ces aires prot g es des flots dits de s nescence doi vent galement tre cr s compl t s par des arbres habitat id alement r partis dans le territoire Une d marche subven tionn e par le Canton Afin de parer au d ficit d ar bres s nescents le Service des for ts du Canton de Vaud a mis en place un syst me d encouragement du main tien long terme d arbres habitat par le biais d aides financi res Les propri taires qui s engagent pr server des arbres habitat peuvent ainsi obtenir entre 100 et 300 CHF par arbre Pour en savoir davantage sur la mise en uvre des sou tiens financiers pour les a
4. n ficie du sou tien de l Association suisse du personnel forestier Le Canton de Vaud salue galement cette d marche qui compl te les actions de sensibilisation men es par le corps forestier pour pro mouvoir la biodiversit La Conseill re d Etat Jacqueline de Quattro en charge des for ts de la faune et de la nature assurera d ailleurs le lancement m diatique de cette action le 1 octobre prochain dans les for ts lau sannoises Si l action la recherche des arbres remarquables s adresse en premier lieu aux classes d cole de la 4 me la 11 me HarmosS elle concerne aussi l ensemble des acteurs impliqu s dans la gestion foresti re du propri taire l inspecteur forestier en passant par le garde fores tier et la commune En ef fet outre l am lioration des connaissances des l ves sur la biodiversit en for t l ac tion comprend une recherche active en for t d arbres re marquables id alement avec l appui du garde forestier Les arbres remarquables font partie du patrimoine culturel de par leur ge respectable leur morphologie tonnan te ou leur taille imposante Outre leur valeur esth tique et paysag re ils ont souvent une valeur biologique signi ficative en raison de la di versit des structures qu ils pr sentent et de la multitude d organismes qu ils abritent Ces caract ristiques leur va lent aussi le nom d arbres habitat L arbre habitat un r
5. Services Construction Construction Es valeurs seuil en CHF Valeurs seuil en CHF Valeurs seuil en CHF Valeurs seuil en CHF I Second oeuvre Gros oeuvre jusqu 100000 nitures services construc tion et de sa valeur quine doit pas tre sous estim e dans le but d appliquer une proc dure moins exigeante Selon les valeurs en pr sen ce l on distingue les march s nationaux soumis concur rence nationale des mar ch s internationaux soumis concurrence internationale L organe de publication officiel A compter du ler juillet 2012 la plateforme internet simap commune la Conf d ration et aux cantons Www simap ch est devenue l organe de publication officiel pour les march s publics dans le canton en lieu et place de la Feuille des avis officiels du canton de Vaud FAO La FAO ne dispara t pas pour autant de la sc ne des march s pu blics puisqu elle aura d sor mais pour r le de publier titre informatif et sous forme de r sum s les avis qui pa raissent simultan ment sur simap A la suite de manquements constat s par l Autorit de jusqu 150 000 jusqu 150 000 surveillance cantonale des march s publics il est rap pel que le prix de l offre qui remporte un march doit im p rativement tre indiqu dans la publication de l avis d adjudication Photo J ean Jeker L valuation des offres A l instar des autres pouvoirs adjudicateurs les
6. ayant droit autorise le stationnement 1 Si l ayant droit autorise le stationnement l informer qu il est responsable de la mise en place de moyens garantissant l ordre et la propret sur et autour du terrain par ex contenants d chets WC mobiles avec lui qui commune ou priv fait venir une ou des bennet s pour les d chets produits par les campeurs jusqu la lib ration de la parcelle et lui rappeler qu il lui ap partient d assumer l ame n e et le retrait des ben nes la location la pose des WC mobiles et leur retrait ainsi que l limination des d chets l ventuel ramas sage des d chets sur les parcelles chemins et for ts alentour suite au d part des caravaniers 3 Lui rappeler aussi qu il ap N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES partient de se faire payer par les gens du voyage tous les frais effectifs caus s par leur s jour N B l encaisse ment aupr s des voyageurs doit tre gal ou sup rieur 10 CHF par caravane jour c est dire une fi nance journali re de sta tionnement qui ne soit pas inf rieure celle encaiss e sur les places officielles de Payerne et Rennaz afin d inciter les caravaniers utiliser en priorit les pla ces officielles 4 Rappeler l ayant droit qu il ne peut autoriser la prolongation du s jour au del de quatre jours sans autorisation municipale Si le temps de s jour accord d passe les quatre jours l
7. communes b n ficient d une certaine li bert dans la s lection des crit res d valuation des of fres et de leur pond ration Afin de simplifier le travail de ses propres entit s l admi nistration cantonale a labor des bar mes de pond ration et de notation des crit res d valuation applicables aux diff rents types de march s Ces bar mes disponibles sur jusqu 300 000 jusqu 250 000 jusqu 250 000 jusqu 250 000 jusqu 500 000 Ouverte s lective d s 250 000 d s 250 000 d s 250 000 d s 500 000 March s internationaux Proc dure applicable Fournitures Services Construction valeurs seuil en CHF valeurs seuil en CHF valeur totale en CHF Ouverte s lective d s 350 000 d s 350 000 d s 8 700 000 le site internet du D parte ment des infrastructures et des ressources humaines DIRH page march s pu blics rubrique directives et conditions peuvent tre utilis s par les communes et leur apporter une aide pr cieuse pour laborer le cahier des charges et pour valuer les offres Ils constituent de plus un outil utile pour met tre en arcane les priorit s des communes dans leurs crit res de choix par ex fi nances environnement for mation professionnelle Photo J ean J eker La pr vention du travail au noir Les communes disposent de plusieurs outils pour se pr munir contre la pr sence de travailleurs au noir
8. les contr les r v lent qu un sous traitant n est pas conforme l adjudicateur en est inform et avise le Photo Jean Jeker soumissionnaire que le sous traitant est refus Si un sou missionnaire sous le coup d une exclusion des march s publics d pose une offre ce lui ci pourra tre exclu de la proc dure par le pouvoir ad judicateur gri En savoir plus Aide m moire pour les municipalit s vaudoises pages 60 61 www vd ch communes Guide romand sur les mar ch s publics www vd ch id 37535 Site internet de l Etat de Vaud www vd ch marches publics Bases l gales sur les march s publics Accord intercantonal du 25 novembre 1994 15 mars 2001 sur les march s publics A IMP RSV 726 91 Loi du 24 juin 1996 sur les march s publics LMP VD RSV 726 01 R glement du 7 juillet 2004 d application de la loi du 24 juin 1996 sur les march s publics RLMP VD RSV 726 011 N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES Amiante dans les b timents prudence lors de transformations ou de d molitions Le terme d amiante regroupe plusieurs sortes de roches fi breuses naturelles qui ont t abondamment utilis es dans les b timents princi palement pour leurs propri t s isolantes et ignifuges Ce mat riau est tr s dange reux pour la sant noter contrairement ce que l on pense souvent le nom amiante est masculin L amiante est tr s dange reux pour la
9. nale visant d velopper les fili res de valorisation des d chets et comprend de nom breuses statistiques N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES Traitement des micropolluants dans les stations d puration Les micropolluants organi ques sont des substances synth tiques qui se trouvent dans la composition de pra tiquement tous les produits utilis s dans notre vie quo tidienne m dicaments cos m tiques phytosanitaires produits d entretien m na ger etc Micropolluants dans les eaux us es Les micropolluants sont des substances susceptibles parfois des concentrations extr mement faibles d avoir des effets n fastes sur l tre humain et l environnement Les mesures d j prises no tamment la source pour lutter contre leur pr sence croissante dans les milieux naturels ne suffisent pas Le vecteur de p n tration principal de ces substances dans les eaux tant les eaux us es la Conf d ration pla nifie en cons quence d adap ter leur traitement dans les stations d puration STEP Cette adaptation n cessite la mise en place de traite ments compl mentaires par exemple base d ozone ou de charbon actif suivis d une filtration Planification des mesures Compte tenu de la complexi t et du co t des techniques de traitement et de la vul n rabilit des milieux tou tes les stations d puration ne seront pas quip es pour traiter les micropo
10. sant Malgr ses nombreuses pro pri t s l amiante est tr s dangereux pour la sant notamment pour les tra vailleurs euses qui le mani pulent L utilisation de l amiante a t interdite partir de 1990 en Suisse Les fibres d amiante peuvent se diviser en fibrilles jusqu 1 000 fois plus fines qu un cheveu humain Ces fibrilles une fois inhal es peuvent parvenir dans les alv oles pulmonaires Elles sont alors susceptibles de causer diverses maladies souvent mortelles On d plore annuellement en Suis se de nombreux d c s dus l amiante Fibres d amiante source WWW amiante info ch Les diff rentes formes de l amiante dans les b timents L amiante a t utilis d une multitude de mani res diff rentes dans les b timents On distingue les formes e Fortement agglom r e bacs fleurs amiante ci ment t les ondul es pour toitures et fa ades de type Eternit canalisations col les de carrelages joints en amiante caoutchouc etc Faiblement agglom r e rev tements en amiante floqu pour faux plafonds mat riaux pour l isolation thermique et la protection incendie etc e Amiante pur cordes tex tiles mat riaux de remplis sage Les deux derni res formes sont les plus dangereuses car les fibres d amiante peuvent tre plus facilement lib r es dans l air et inhal es poten tiel de lib ration de fibres le v Les l ments en amiante fortement ag
11. LIBERT PATRIE CANTON COMMUNES SOMMAIRE Stationnement sauvage de gens du voyage que faire 2 3 Quelques piq res de rappel en droit des march s publics 4 5 Amiante dans les b timents prudence 6 8 Nouveaux outils pour le recen sement architectural 8 Financement de la gestion communale des d chets 9 10 Traitement des micropolluants dans les stations d puration 11 12 Etude sur la sant bucco dentaire des enfants 12 Nouveau r glement cantonal sur les cimeti res 12 A la recherche des arbres remarquables 13 14 Ont particip la r daction de ce num ro Fran ois Anex Faune flore et nature fax Rita B tler Faune flore et nature rbr Guerric Riedi D partement des infrastructures gri Pierrette Roulet Grin D l gu e du Conseil d Etat prg Etienne Ruegg Eaux sols et assainissement erg Sylvie Traimond Immeubles patrimoine et logistique std Philippe Vioget Eaux sols et assainissement pvt Florian Zellweger Eaux sols et assainissement fzr Comit de r daction Eric Golaz SeCRI Silvana Palagi SeCRI La coop ration cl de la prosp rit vaudoise R pondre aux besoins de la population en accompagnant la croissance de notre can ton tel est le d fi majeur de la l gislature cantonale qui s ouvre Les transformations des modes de vie impliquent notamment davantage de mo bilit ou se caract risent par d autres formes d organisation fami
12. a Municipalit doit pren dre une d cision positive ou n gative sur la re qu te de l ayant droit et la lui faire conna tre par crit par porteur charge lui de faire conna tre de suite cette d cision aux gens du voyage en leur fixant le jour et l heure auxquels sera fait l tat des lieux de d part L autorisation chue en cas de refus des caravaniers de partir au moment convenu retenir l ayant droit et faire venir police et m diatrice sur place A ce propos Des souvenirs dont se passeraient bien TEN P PEN li E FEFE bu i ke en cm Ed EN Zhi TA IX CHE a E A L propri taires fonciers et communes Si l ayant droit n autorise pas le stationnement 1 Si l ayant droit exprime clairement son refus d ac cueillir le stationnement faire venir la police desser vant l endroit si elle n est pas d j sur place R unir le responsable du camp des gens du voyage et l ayant droit ce dernier signifiant de vive voix aux gens du voyage son refus de les voir camper sur sa parcelle Informer les gens du voya ge de leur situation ill ga le violation du droit de la propri t Pr parer activement le d part en demandant la po lice de se renseigner s il y a de la place sur les aires of ficielles de Boulex Payerne ou Rennaz et informer les gens du voyage des dispo nibilit s le cas ch ant de celles existant sur les can Dans sa s an
13. ant des travailleurs dans les travaux de construction OTConst Ordonnance sur la pr vention des accidents et des maladies professionnelles OPA Directive CFST 6503 Amian te Bases l gales cantonales Loi vaudoise sur l am na gement du territoire et les constructions LATC Directives d application de la loi sur l am nagement du territoire et les constructions Diagnostic amiante N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES Sites internet Informations g n rales www amiante info ch OFSP Office f d ral de la sant publique www bag admin ch themen chemikalien 00228 00504 in dex html lang fr SUVA Caisse nationale suisse en cas d accidents WwWw suva ch amiante FACH Forum amiante suisse www forum amiante ch SIPAL Service immeubles patrimoine et logistique de l Etat de Vaud www vd ch themes territoire construction amiante Le SIPAL diffuse bon nom bre d informations et g re le d samiantage des b timents publics cantonaux Renseignements Florian P Zellweger Service des eaux sols et assai nissement Division sols carri res d chets T l 021 316 75 76 florian zellweger vd ch Des cours sont r guli re ment organis s par le Ser vice des eaux sols et as sainissement l intention des municipaux employ s et ing nieurs communaux concern s Au sujet de l utilisation des graves et granulats recycl s cob ton d chets d enrob
14. aux dans l optique de la protection des travailleurs Elle a dit plusieurs docu ments pratiques ce sujet Certains l ments fortement agglom r s peuvent tre d mont s par un non sp cialis te en d samiantage mais ils ne doivent en aucun cas tre endommag s Dans tous les cas les d chets r sultant du d samiantage doivent tre emball s et ti quet s comme contenant de l amiante selon les exigen ces de l Ordonnance f d rale sur la r duction des risques li s aux produits chimiques ORRChim annexe 1 6 Ce type de plaques ondul es contient souvent de l amiante Photo Florian P Zellweger SESA Elimination des d chets contenant de l amiante Une fois le d samiantage ter min il convient de proc der une limination correcte des d chets en prenant tou tes les pr cautions n ces saires En pratique il y aura deux fili res d limination distinguer selon le potentiel de lib ration de fibres du ma t riau Les l ments contenant de l amiante faiblement agglo m r ou potentiel de lib ra tion de fibres lev plaques ondul es endommag es par exemple sont consid r s comme des d chets sp ciaux et doivent tre achemin s directement en d charge contr l e bioactive DCB de Teuftal BE ou Ch tillon FR Cette limination est en prin cipe pratiqu e par l entre prise de d samiantage elle m me Comme pour tout d chet sp cial un document d
15. ce du 18 septembre le Grand Conseil a agr et renvoy directement au Conseil d Etat deux motions concernant la Loi sur les campings et caravanings r siden tiels l une demande l adaptation de l art 27 en exigeant que la Municipalit soit consult e d s l arriv e des campeurs lorsqu un groupe de plus de 5 caravanes ou d unit s mobiles de logement veulent S installer l autre requiert l introduc tion d un nouveau chapitre Camping non autoris pr co nisant la possibilit d expulser les campeurs la demande de l ayant droit du terrain ou des autorit s tons romands Martigny Vue des Alpes ou villes fran aises les plus proches etc 5 Demander aux gens du voyage de s en aller sans d lai 6 S ils refusent demander la police de faire venir la m diatrice sur place 7 En cas d chec de la m diation nouveau refus de d part apr s explication du droit en vigueur et des cons quences possibles en justice voir avec l ayant droit s il d pose plainte aupr s de la police et s il demande l vacuation de sa parcelle 8 L ayant droit la m diatri ce et l autorit municipale se retirent en confiant la suite des op rations la police qui agira selon les d cisions prises par son commandement en utili sant ressources et proc dures en sa possession En g n ral tout au long des op rations num r es ci des sus la municipalit se fait as sister par la police de
16. e forfaitaire afin de couvrir tous les frais li s aux d chets urbains 72 communes ont d j mis en place un syst me asso ciant taxe de base et taxe per ue selon la quantit de d chets Elles n ont en prin cipe pas modifier leur r glement I leur incombe de v rifier que les montants per us financent la totalit des frais et que la taxe la quantit couvre au moins le 40 de ces co ts Le cas ch ant elles adap teront ces montants en cons quence Coordination de la ges tion et harmonisation des prix Les soci t s Gedrel Sa dec et Valorsa charg es de coordonner la gestion des d chets de leur p rim tre r gional proposent leurs communes membres un dispositif homog ne de taxe sur les sacs ordures Strid SA Yverdon les Bains le fait d j depuis 2008 pour le Nord vaudois Ces mod les sont a priori parfaitement compatibles avec les nouvelles disposi tions de la loi sur la gestion des d chets Des informations et des do cuments de r f rence peu vent tre obtenus sur le site wWww vaud taxeausac ch Surveillance des prix Suite une intervention de la Surveillance f d ra le des prix il appara t que les communes sont tenues de lui soumettre toute in troduction ou modification de taxes en application de l article 14 de la loi f d rale concernant la surveillance des prix LSPr Une fois que les municipali t s auront fix les montants pr cis de
17. e impliquent le maintien d arbres habitat dans les fo r ts quelle que soit l intensi t de l exploitation la r alit montre que ces arbres sont souvent trop peu pr sents notamment dans les for ts publiques du Jura et du Pla teau pour fournir suffisam ment d habitats pour les es p ces susmentionn es Au niveau pratique de la ges tion des for ts les arbres habitat peuvent tre s lec tionn s individuellement ou en groupe L option du grou pe est n anmoins favoriser d une part pour des raisons cologiques et d autre part pour une question de s cu rit afin de ne pas multiplier les dangers inh rents ces arbres C est d ailleurs dans cette optique que les arbres habitat devraient soigneuse ment tre choisis en tenant compte du danger r el qu ils pourraient faire encourir tant aux quipes foresti res qu aux promeneurs Cette diversit des fonctions de la for t doit aussi tre connue reconnue et communiqu e raison pour laquelle le Can ton invite les communes pro pri taires de for ts soutenir les gardes forestiers d sirant accueillir une classe dans les for ts qui leur sont confi es L arbre habitat compl ment indispensable des r serves foresti res Le Canton s est fix comme objectif prioritaire la cr ation de r serves foresti res de vant couvrir 10 de la sur face bois e l horizon 2025 Une part de ces r serves sera constitu e par des surfaces
18. e suivi doit tre tabli Ceux dont le potentiel de li b ration de fibres est faible doivent tre mis en d char ge contr l e pour mat riaux inertes DCMI ventuelle ment par l interm diaire d un centre de tri de d chets de chantier ou d une d ch te rie mais toujours emball s et tiquet s Dans le cas o ces d chets sont m lang s d autres substances les cri t res d acceptation en DCMI doivent tre v rifi s dans l Ordonnance f d rale sur le traitement des d chets OTD annexe 1 Dans les d ch teries commu nales les d chets amiant s faible potentiel de lib ration de fibres plaques ondul es en fibrociment bacs fleurs etc r ceptionn s doivent tre emball s et tiquet s Ensuite ils peuvent tre stoc k s temporairement avec les d chets inertes avant leur envoi en DCMI Les d chets amiant s fort potentiel de lib ration de fibres doivent tre refus s par les d ch teries et mis directement en DCB La destruction compl te des fibres par vitrification est possible mais cette fili re est tr s on reuse et gourmande en nergie Quelques ins tallations pratiquant ce type de traitement existent dans certains pays voisins France notamment mais pas en Suisse l heure actuelle fzr Pour en savoir plus Bases l gales f d rales Ordonnance sur les mouve ments de d chets OMoD Ordonnance sur la s curit et la protection de la s
19. es Les mesures d accompagne ment pr vues au 3 me alin a comprennent notamment des all gements du dispositif de taxation en faveur des fa milles exemption de la taxe forfaitaire pour les enfants attribution de sacs gratuits Sac poubelle tax qui sera introduit dans plusieurs r gions du canton d s le ler janvier 2013 N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES l occasion de naissances ou pour les enfants en bas ge etc mais aussi des actions de communication et de contr le ainsi que le d veloppement de l infrastructure de collecte et de tri Enfin le 4 me alin a s adresse en particulier aux communes caract re touristique dont les frais d infrastructure sont particuli rement importants et qui peuvent rencontrer des difficult s atteindre le taux de couverture requis pour la taxe per ue selon la quantit de d chets II appartient d sormais aux communes d appliquer ces dispositions en les int grant dans un r glement sur la ges tion des d chets Situation des communes La situation dans le canton est la suivante tat le 30 juin 2012 101 communes ont mettre en uvre un syst me de fi nancement complet 139 communes ont intro duit une taxe forfaitaire et devront compl ter leur dis positif par une taxe propor tionnelle la quantit de d chets 14 communes ont introduit une taxe au sac ou au poids seule et auront la compl ter par une tax
20. est galement pr sent e dans les bilans 2011 de l puration vaudoise www vd ch gt Th mes gt En vironnement gt Eau gt Eaux us es gt Contr le des STEP Dans bon nombre de bassins versants des tudes compl mentaires seront n cessaires afin de pr ciser les solutions d puration futures et leurs co ts Le SESA souhaitant les impli quer dans ces tudes 2 me phase les communes et associations ont t invi t es cet effet constituer des groupes de travail r gio naux La prochaine tape va consister d finir la ou les variante s approfondir puis constituer un cahier des charges d tude Le SESA est disposition des communes pour les ap puyer dans cette d marche Une participation financi re cantonale ces tudes 2 me phase est possible certai nes conditions Les deman des sont adresser au SESA d ici fin 2012 Co ts et financement Les investissements n ces saires l adaptation et la mise niveau de l puration vaudoise dans les 20 25 prochaines ann es sont va lu s entre 0 6 et 1 milliard CHF selon les options de r gionalisation dont environ 150 millions CHF pour le trai tement avanc des micropol luants dans les STEP concer n es Le financement de ce traite ment avanc devrait tre as sur hauteur de 75 par N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES un fonds f d ral aliment par une taxe an
21. glom r sont a priori moins dangereux mais peuvent avoir un potentiel de lib ration de fibres lev notamment s ils sont endom mag s ou retravaill s per c s ponc s sci s etc Bases l gales pour le d samiantage Depuis le 1 mars 2011 l article 103a alin a 1 de la loi vaudoise sur l am na gement du territoire et les constructions LATC stipule En cas de travaux de d molition ou de transforma tion soumis autorisation et portant sur des immeubles construits avant 1991 le re qu rant joint sa demande un diagnostic de pr sence d amiante pour l ensemble du b timent Le second alin a du m me article stipule que le contr le du diagnostic et de l assainis sement incombe la munici palit Le but du diagnostic est de confirmer la pr sence d amiante dans les l ments de construction Dans le cas o la pr sence d amiante est av r e un assainissement doit tre entrepris par une entreprise de d samiantage reconnue selon l art 60b de l Ordonnance sur les travaux de construction OTConst avant le d but des travaux Le d samiantage des ma t riaux identifi s par le dia gnostic est exig pr alable ment la d molition ou la transformation qui fait l objet de la demande de permis de construire Dans la pratique un d samiantage total de tout un b timent ne sera pas forc ment exig si seule une petite partie du b timent est touch e Une va
22. le cl dans la conservation de la biodiversit On l oublie souvent la for t constitue le milieu de vie de pr s de deux tiers des esp ces vivant en Suisse soit environ 32 000 animaux plantes et champignons La conserva tion et la promotion de la bio diversit en for t constituent d s lors un objectif attein dre et un d fi relever que le Canton a reconnu dans le ca dre de sa politique foresti re Or nombre d esp ces d pen dent troitement des struc tures de s nescence de vieux arbres et d arbres morts ce qui implique de laisser sa libre volution un arbre un lot d arbres voir un massif forestier entier Comme leur nom l indique les arbres habitat servent de lieu de vie pour de nom breuses esp ces animales et v g tales telles que le pic tri dactyle les chauves souris la chouette de Tengmalm la martre le grand capricorne le lucane cerf volant certaines mousses lichens et cham pignons Parmi ces esp ces inf od es aux structures of fertes par ces arbres particu liers certaines sont rares et ou menac es en Suisse pour partie en raison d une sylvi culture tendant r colter les bois avant que ces derniers n atteignent un ge suffisam ment avanc pour y voir ap para tre des structures d ha bitat galement appel es N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES structures de s nescence Si les bonnes pratiques de la sylviculture proche de la na tur
23. les pratiqu es sur des cadavres et du r glement du 12 mars 1986 sur les r gles et usages professionnels pour les entreprises de pompes fun bres Ce nouveau r glement fait suite aux diff rentes r visions l gislatives tant f d ra les que cantonales et tient compte de l volution de l thi que et de la pratique en la mati re Des aides d application l attention des communes seront disponibles d ici la fin de l ann e sur le site du Service de la sant publique Renseignements compl mentaires Jo lle de Clapar de responsable des autorisations Service de la sant publique DSAS T l 021 316 42 53 R glement communal type Un r glement communal type sera bient t t l chargeable sur www vd ch communes gt Affaires communales gt R glements communaux N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES A la recherche des arbres remarquables maillon cl de la biodiversit en for t A la recherche des arbres remarquables est une ac tion ducative initi e par l Association Suisse pour la Protection des Oiseaux ASPO BirdLife Suisse sou tenue par le canton Une action ducative L action la recherche des arbres remarquables s ins crit dans la campagne la biodiversit en for t lan c e en 2011 par l Association Suisse pour la Protection des Oiseaux pour faire conna tre la richesse de la diver sit biologique en for t Elle prend place sur l ensemble du pays et b
24. liale On habite dans une commune on travaille dans une autre et pour se d pla cer on emprunte voiture bus train v lo Hommes et fem mes souhaitent mener une ac tivit professionnelle qui leur procure une ind pendance conomique et ont donc be soin pendant qu ils travaillent se forment ou cherchent un emploi de solutions de garde pour leurs enfants Ces nouveaux besoins ces nouveaux fonctionnements appellent une r orientation ou un d veloppement des politi ques publiques Mais aucune ne se d cide unilat ralement aucune ne se d cr te sans dis cussion AU contraire Etat et communes doivent travailler ensemble la mise disposi tion des infrastructures essen tielles dont ont besoin quoti diennement les Vaudoises et P RIODIQUE L INTENTION DES AUTORIT S ET DES ADMINISTRATIONS COMMUNALES les Vaudois Qu il s agisse de structures d accueil des en fants suffisantes d un r seau routier adapt tous ses uti lisateurs ou de transports pu blics fr quents et efficaces la coop ration est la condition d avanc es durables et soli des Les premi res semaines pas s es dans mes nouvelles fonc tions de Conseill re d Etat en charge du D partement des in frastructures et des ressources humaines DIRH ont renforc ma conviction toute action publique efficace repose sur la concertation entre collectivit s publiques et particuli rement en terres vaudoises sur le dial
25. lluants La priorit sera donn e aux ins tallations les plus importan tes et celles rejetant leurs eaux dans des milieux sensi bles cours d eau avec mau vaises conditions de dilution lacs utilis s comme ressour ces en eau potable Les cantons sont charg s de la planification de ces mesu res sur la base de crit res d finis par la Conf d ration Le Service des eaux sols et assainissement SESA a labor sur ces bases une planification cantonale in titul e Plan cantonal mi cropolluants phase 1 La r flexion ne s est pas limit e la mise en place des trai tements compl mentaires mais a port sur l ensem ble de la probl matique de l puration en particulier le renouvellement d un parc de STEP vieillissant l am liora tion g n rale de la qualit de traitement la rationalisation et la professionnalisation de l exploitation par des mesu res de r gionalisation Dans la solution jug e optimale du point de vue co t efficacit le nombre de stations d pu ration du canton pourrait passer de 170 actuellement une cinquantaine d ici 20 25 ans dont une quinzaine desservant 90 de la popu lation quip es pour le trai tement des micropolluants De nombreuses variantes restent toutefois ouvertes et doivent faire l objet d tudes plus d taill es Ces l ments ont t pr sent s aux com munes et associations d ten trices de STEP en mai 2012 Une synth se
26. luation est faire en fonction du poten tiel de lib ration de fibres des mat riaux La brochure SUVA 84024 permet d identifier et de ma nipuler correctement les pro duits contenant de l amiante Une seconde brochure dit e par le FACH Forum Amiante Suisse permet de d termi ner l urgence des mesures prendre Les communes sont tenues aux m mes obligations en tant que propri taires de b timents Dans le cas des N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES b timents publics il est par ticuli rement important d li miner sans d lai les mat riaux dangereux Mentionnons encore qu ind pendamment de la directive vaudoise sur le diagnostic amiante les entrepreneurs sont tenus en cas de sus picion de pr sence dans un b timent de substances par ticuli rement nocives com me l amiante par exemple d identifier les dangers et d valuer les risques y rela tifs art 3 1bis OTConst Protection des travailleurs Lorsqu un b timent doit tre d samiant il est g n rale ment n cessaire de faire ap pel une entreprise de d sa miantage reconnue en tout cas en pr sence d l ments potentiel de lib ration lev De nombreuses pr cautions seront alors prises pour mi nimiser l exposition des tra vailleurs quipements de protection individuelle EPI sp cifiques confinement a ration avec filtre etc La SUVA est l organisme comp tent pour contr ler ces trav
27. nuelle de 6 9 CHF par habitant raccord Cette taxe est pr lever par tous les d tenteurs de STEP aupr s de la population rac cord e leur installation so lidarit l chelle nationale Un projet de r vision de la loi f d rale sur la protection des eaux LEaux a r cem ment t mis en consultation cet effet Le Gouvernement vaudois salue l introduction de ce financement mais re grette que les moyens pr vus ne permettent de couvrir qu une part trop restreinte des co ts induits II demande galement la Conf d ration de consid rer par quit de traitement le financement du traitement de l azote dans la mesure o ce dernier est n cessaire pour l limination des micropolluants et qu il n a jamais t exig et donc subventionn pour les STEP rejetant dans les lacs Les modalit s d application devront encore tre pr ci s es sur la base d aides l ex cution Une participation financi re cantonale est galement l tude en compl ment du financement f d ral Le sol de des investissements devra tre assur par les d ten teurs de STEP par le biais de la taxe d puration cens e assurer le renouvellement des installations pvt Renseignements et appui Service des eaux sols et assainissement SESA Philippe Vioget T l 021 316 71 80 philippe vioget vd ch Claude Alain aquerod T l 021 316 71 85 claude alain jaquerod vd ch Sant bucco den
28. ogue entre autorit s com munales et cantonales Cl essentielle de la prosp rit du canton la recherche patiente constante de positions per mettant d avancer ensemble est et doit rester notre prin cipale m thode C est avec confiance que je me r jouis de la mettre en uvre avec VOUS Nuria Gorrite Conseill re d Etat Cheffe du D partement des infrastructures et des ressources humaines Contact Service des communes et des relations institutionnelles Rue Cit Derri re 17 1014 Lausanne mailto info secri vd ch N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES Stationnement sauvage de gens du voyage que faire Vade mecum d taill Depuis le printemps der nier les nombreux station nements de grands groupes de gens du voyage fran ais d ethnie rom s installant spontan ment avec des di zaines de caravanes sur des parcelles priv es ou com munales ont mis en moi nombre de propri taires ou d autorit s peu habitu s cette mani re cavali re d uti liser la propri t d autrui Pierrette Roulet Grin m dia trice et d l gu e aux gens du voyage est charg e par le D partement de la s curit et de l environnement de ve nir en aide aux communes la police et la population afin d appr hender dans le calme ce genre de situation Voici le vade mecum d taill des interventions et recours successifs r dig linten tion des autorit s ou polices se trouvant face
29. peut contribuer en richir le recensement en pro posant de nouveaux objets ou en compl tant la documenta tion de ceux d j recens s Les donn es du contributeur sont v rifi es puis int gr es dans la base de donn es du recense ment Un mode d emploi du site du recensement architectu ral accompagne le guichet de consultation et la plateforme participative A noter qu une premi re exp rience participative concernant le patrimoine est d j en ligne depuis le mois de mai 2011 elle r pertorie les parcs et jar dins historiques du canton www jardinshistoriques vd ch Vous trouvez toutes les in formations utiles sur le site www patrimoine vd ch std Dans sa s ance du 3 juillet 2012 le Grand Conseil a adopt la modification de la loi canto nale sur la gestion des d chets LGD r sultant de l initiative l gislative Philippe Cornamur saz et consorts Elle consiste compl ter la loi avec des dispo sitions concernant le finance ment de la gestion communale des d chets Le d lai r f rendaire n ayant pas t utilis le Conseil d Etat a fix la date d entr e en vi gueur de la modification au 1 r janvier 2013 Un nouvel article de la loi sur les d chets concerne les communes Les l ments concernant les communes font l objet du nouvel article 30a de la loi intitul Taxes d limination des d chets urbains En voici le contenu 1 Les communes financent les co
30. r bres habitat les propri taires int ress s peuvent contacter le garde forestier ou l inspec teur des for ts de leur com mune ainsi que la responsa ble de la biodiversit en for t au SFFN rbr et fax Informations et contact A la recherche des arbres remarquables ASPO Birdlife Agn s Bourqui T l 026 677 03 80 agnes bourqui birdlife ch Sites internet Subventions des projets de biodiversit en for t wWww vd ch gt Themes gt Envi ronnement gt Forets gt Infor mations techniques gt Sub ventions gt Biodiversite Interlocuteurs forestiers de votre commune www vd ch gt Autorit s gt D partements gt DSE gt For ts faune et nature gt Contacter l inspection cantonale des for ts Vieux arbres et bois mort www boismort ch Oiseaux cavicoles www parcjuravaudois ch gt Documentation gt Ouvrages en vente gt Oiseaux cavico les
31. s taxes qui seront per ues le SESA les invite lui transmettre ces infor mations au plus vite cas ch ant par l interm diaire de leur organisme de p ri m tre Ceci permettra de soumettre les chiffres com munaux en blocs la Sur veillance des prix et d vi ter ainsi de multiplier les d marches individuelles Les communes qui le pr f rent peuvent bien entendu aussi contacter elles m mes cette Instance Des r glements commu naux revoir La proc dure d adoption des r glements communaux sur la gestion des d chets est conduire ind pendamment de cette d marche En effet le r glement d finit le niveau maximum des taxes alors que ce sont les sommes ef fectivement per ues qui sont soumettre l autorit f d rale Le SESA reste l enti re disposition des municipali t s pour tout renseignement compl mentaire ce sujet Un r glement communal type est disposition sur internet www vd ch dechets gt Direc tives et publications erg Renseignements Service des eaux sols et as sainissement SESA Division Sols carri res et d chets Etienne Ruegg Ing nieur T l 021 316 75 46 etienne ruegg bluewin ch Le rapport du Conseil d Etat au Grand Conseil f vrier 2012 relatif l volution des proc d s et des co ts de la gestion des d chets est t l chargeable de la page internet www vd ch dechets colonne de doite pr sente la strat gie canto
32. sservant son territoire police canto nale intercommunale ou mu nicipale la m diatrice ne se rendant sur place qu la de mande de la police ou de la municipalit pro Informations Pierrette Roulet Grin M diatrice d l gu e aux gens du voyage VD Quatre Marronniers 28 1400 Yverdon les Bains T l phone 024 426 07 88 079 213 26 68 Courriel p roulet grin bluewin ch N 27 septembre 2012 CANTON COMMUNES Quelques piq res de rappel en droit des march s publics Le r le de la l gislation sur les march s publics Le droit des march s publics a pour objectif principal de favoriser la concurrence en tre les diff rents acteurs co nomiques du secteur priv tout en assurant une utilisa tion parcimonieuse des de niers publics Toute administration publique communale y compris une association de communes est assujettie la l gislation sur les march s publics d s le premier franc vers lors qu elle conclut avec un sou missionnaire priv un contrat portant sur l acquisition de travaux de fournitures ou de services moyennant une r tribution financi re Les march s nationaux et internationaux Les annexes de l Accord inter cantonal sur les march s pu blics renseignent les pouvoirs adjudicateurs sur le type de proc dure appliquer un march donn Ce choix s op re en fonction de la nature du march four March s nationaux Proc dure Fournitures
33. sur leurs chantiers Les documents d appel d of fres peuvent tout d abord pr voir l obligation pour les soumissionnaires d annon cer tous leurs sous traitants m mes potentiels lors du d p t des offres au moyen d un ta bleau II peut ainsi tre v rifi avant l adjudication si les sou missionnaires et les sous trai tants annonc s ne figurent pas sur l une des deux listes tenues par le Secr tariat d Etat l co nomie SECO Ces listes sont accessibles sur le site internet du DIRH page march s publics rubrique cadre l gal il s agit de e la liste des employeurs exclus des march s publics pour vio lation des obligations l gales en mati re d assurances so ciales et de s jour e la liste des employeurs inter dits d offrir leurs services en Suisse la suite de violations perp tr es la loi f d rale sur les travailleurs d tach s Ces contr les peuvent tre tendus au x sous traitant s d sign s pen dant l ex cution du march ainsi que lors de tout chan gement de sous traitant Conform ment la pratique instaur e par l Etat il est aussi recommand pour les march s de construction de transmettre aux partenaires sociaux F d ration vaudoise des entrepreneurs syndi cat Unia voire directement la commission paritaire en place le proc s verbal d ouverture des offres et le tableau des sous traitants pour contr le et puration Lorsque
34. taire des enfants et acces aux soins dentaires Toutes les communes du canton de Vaud ont t r cem ment invit es via un courrier de l Institut universitaire de m decine sociale et pr ventive participer une tude mandat e par le D partement de la sant et de l action sociale Cette tude vise d crire le r le jou actuellement par les communes dans l acc s des enfants et des jeunes 0 18 ans la prophylaxie au diagnostic et aux traitements dentaires Une grande partie des communes a d j r pondu favorablement cette invitation en acceptant de compl ter un questionnaire t l phonique Nous remercions vivement ces communes pour leurs efforts Un taux lev de par ticipation l chelle du canton est en effet une condition n cessaire pour garantir la qualit des r sultats Pour toute information compl mentaire les personnes in t ress es peuvent contacter le Dr Thomas Simonson par courriel l adresse suivante thomas simonson chuv ch ou par t l phone au num ro 021 314 72 91 al by IUMSP DU Institut universitaire de m decine sociale et pr ventive Lausanne et de Nouveau r glement sur les d c s les s pultures et les pompes fun bres Le Conseil d Etat a adopt un nouveau r glement sur les d c s s pultures et pompes fun bres qui mane de la re fonte compl te du r glement du 5 d cembre 1986 sur les inhumations les incin rations et les interventions m di ca
35. ts d limination des d chets urbains par le biais de taxes 2 Le 40 de ces co ts au minimum doit tre financ par une taxe proportionnel le la quantit de d chets urbains 3 Les communes pr voient des mesures d accompa gnement notamment en faveur des familles 4 Le d partement en charge peut accorder des d roga tions aux communes qui ne peuvent atteindre les ob jectifs de l alin a 2 cause d une forte variation sai sonni re de la population Ces dispositions compl tent celles des articles 32 et 32a de la loi f d rale sur la pro tection de l environnement dont la port e a t pr cis e par le Tribunal f d ral dans son jugement du 4 juillet 2011 cf canton communes no 23 Introduction d une taxe proportionnelle Le premier alin a confirme la n cessit pour les commu nes de financer l limination des d chets urbains par des taxes sans recourir au reve nu des imp ts Ces derniers peuvent tre utilis s pour des d chets d autre nature tels que d chets de voirie ou d chets sp ciaux des m na ges Dans ce but les communes ont introduire une taxe di rectement proportionnelle la quantit de d chets telle que taxe au sac ou taxe per ue selon le poids des d chets Le revenu de cet molument doit permettre de couvrir au moins le 40 des frais Le solde est financer par une taxe forfaitaire de base Des mesures d accompa gnement sont pr vu
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