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LE DOSSIER - L`Union sociale pour l`habitat

1. J Larive ps Gens du voyage faciliter l acc s au droit commun L habitat en caravane tout comme l itin rance peut tre voulu ou subi selon qu il s agit d un mode de vie d lib r li une tradition et une identit culturelle ou au contraire d une situation de grande pr carit avec une difficult d acc s au logement Ces situations tr s diverses appellent des r ponses diff renci es du traitement de l urgence l ancrage territorial Pour une inclusion sociale des gens du voyage les organismes Him interviennent au c t des collectivit s locales dans la conduite de projets d habitat adapt par leur forme leur contenu la participation des habitants et le respect de leur culture 14 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 quelques mois des lections municipales la question Rom est revenue sur le devant de la sc ne grand ren fort m diatique avec la multiplication des vacuations de campements illicites les propos politiques tenus par le ministre de l Int rieur Manuel Valls sur l insertion des populations Roms et leur mode de vie en confrontation avec le n tre De plus la France a t condamn e par la Cour europ enne des droits de l homme en octobre 2013 pour avoir expuls sans proposition alternative de relogement des familles de gens du voyage install es Saint Herblay 95 depuis des ann es toute personne sans abr
2. Troph es qualit gaz naturel en loge ment social FORMATION 27 Calendriers 2014 de l cole de ac cession sociale la propri t et du premier trimestre 2014 de l A RE COOP Le Toit Angevin et le Val de Loire formation la RSE 28 Afpols stages de janvier f vrier 2014 Amiante Jean Louis Dumont crit au Premier ministre Dans une lettre du 21 novem bre Jean Marc Ayrault le pr sident de l Union sociale pour habitat se dit particuli rement pr occup par les enjeux finan ciers li s la r glementation actuelle sur l amiante pour le patrimoine construit avant 1997 induisant des surco ts directs et indirects consid rables pour la grande majorit des travaux d entretien courant de r nova tion de r habilitation de requa lification ou de d molition Ces cons quences financi res conduisent actuellement de nombreux organismes Hlm repenser leurs strat gies d in tervention sur leur patrimoine D s lors indique Jean Louis Dumont nous consid rons qu il existe en l tat actuel des moyens qui sont la disposi tion des organismes Him un risque majeur que le traite ment de la probl matique de l amiante se r alise au d tri ment des enjeux de r nova tion nerg tique du patri moine Hlm de la satisfaction des demandes totales en besoins de nouveaux loge ments sociaux ou de recom position de l offre de loge ments sociaux Dans ce contexte il nous sem b
3. En terme de profil la fonction est plut t exerc e par un homme 72 entre 40 et 50 ans avec un niveau de Bac Bac plus 5 Sa formation initiale se r partit en trois grands domaines tout ce qui a trait au b ti les ressources humaines le droit et la m diation Au moment de leur prise de fonction 55 des personnes interrog es ont suivi des formations compl mentaires dans le domaine de la pr vention de la s curit du patrimoine de la gestion des conflits 50 des personnes ayant r pondu consacrent plus de 70 de leur temps la fonction s curit Trois grandes missions principales concernent les biens les collaborateurs consignes et formations s curit risques professionnels et les occupants que ce soit sous l angle technique gaz incendie ou conflits de voisinage et tran quillit r sidentielle D autres missions telles que la s cu rit des entreprises ext rieures la protection de l environ nement ou la coordination avec les services de s curit publique ont t cit es Tous ont une fonction de conseil et d accompagnement Ils con oivent et mettent en place des proc dures mettent jour les documents Leurs interlocuteurs privil gi s sont les quipes de proxi mit puis les quipes au si ge et les entreprises prestataires Principaux dossiers suivis l amiante demeure le princi pal dossier traiter viennent ensuite le plomb la s curit incendie les ascenseurs etc
4. W NERGIE Nantes Habitat Sensibilisation la tarification sociale de l nergie n compl ment des campagnes d information et de sensibilisation faites par les fournisseurs d ner gie Nantes Habitat a d cid de former une centaine de ses salari s en contact au quotidien avec les locataires et les demandeurs de logements sociaux la politique solidarit et les tarifs sociaux de nergie La formation dont b n fi cient aussi les conseillers Nantes Soli daires et les travailleurs sociaux de la ville est assur e par EDF Par ailleurs Nantes Habitat a rappel dans le journal des locataires d octobre le dispositif et alert les locataires sur leur droit Les locataires peuvent se renseigner par t l phone aupr s du Centre de relations locataires qui a acc s l ensemble de leur dossier pour savoir s ils peuvent b n fi cier de ces tarifs sociaux et comment il s applique Car les modalit s sont diff rentes si le locataire paie son nergie via les charges collectives ou en direct avec le fournis seur et bien s r selon ses ressources gt Pour les locataires qui paient en direct les fournisseurs d nergie environ 5000 logements la r duction est appliqu e sur les factures ppour les locataires qui paient des charges locatives communes environ 17 000 logements l nergie est factur e par les fournisseurs directement Nantes Habitat qui r percute les co ts dans les charges collective
5. C t ressources humaines la p nibilit les conditions de travail des agents de r sidences les risques psycho sociaux sont voqu s Sur les aspects s ret le traitement des troubles de voisinage est le prin cipal dossier voqu ainsi que les risques d agressions et les r flexions sur la pr vention situationnelle Une fonction qui volue au niveau des organismes de la r gion des recrutements dans cette fonction s curit sont en cours ou en projet les organisations et les modes op ra toires se consolident Une meilleure tra abilit des infor mations se met en place et le souhait d une reconnaissance de la fonction en interne mais aussi aupr s des prestataires ext rieurs est attendue Pour tous cette fonction en transversalit dans les organi sations va prendre de plus en plus d importance vu d une part l augmentation des obligations r glementaires et la complexit de leurs mises en uvre et d autre part pour r pondre la demande des locataires collaborateurs mais aussi face l augmentation des mises en responsabilit des organismes dans le cas de situations dangereuses accidents et sinistres Contact ARRA Sophie Bethenod s bethenod arra habitat org T l 04 78 77 01 13 M l s bethenod arra habitat org 1 35 des bailleurs de Rh ne Alpes repr sentant 60 du patrimoine locatif ont r pondu l enqu te Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 13
6. CS 10002 92024 Nanterre c riable RCS Nanterre 349 974 931 APE 6419 Z N ORIAS 07 005 463 12 boulevard Pesaro pital va nyme de Banque Populaire ca tive ano op ra BythewayCreacom Cr dit Coop ratif Soci t co NX CREDIT COOPERATIF C est un choix VIREMENTS PR LEVEMENTS LES REGLES CHANGENT TES VOUS PR TS 7 Au 1 f vrier 2014 tous les acteurs conomiques de l Union Europ enne auront pour obligation d mettre leurs virements et leurs pr l vements au format SEPA Single Euro Payments Area Pour r pondre aux obligations SEPA et b n ficier de ses avantages vous devez proc der des am nagements techniques et organisationnels Les conseillers du Cr dit Coop ratif vous accompagnent pas pas dans cette d marche ccocgiold www credit cooperatif coop INFOS Conjoncture au 2 d cembre 2013 Prix la consommation Insee Prix des logements anciens Insee Notaires ICC co t de la construction IRL r f rence des loyers IPEA prix de l entretien et de l am lioration Taux d int r t Livret A Banque de France Construction DOM inclus S0eS Sitadel2 MEDDTL Commercialisation des logements neufs par les promoteurs SOeS MEDDTL Cr dits l habitat contract s par les m nages Mises en force Banque de France Octobre 2013 septembre 2013 0 13 Octobre 2013 octobre 2012 0 56 0 50 ho
7. cinq ans ou plus revendaient dans les cinq ans de l ach vement taient de cinq ans soumis TVA mais cette r gle a t supprim e depuis 2013 1 Les taux mentionn s sont susceptibles d augmenter en 2014 Droits d enregistrement ou taxe de publicit fonci re la charge de l organisme acqu reur En principe 5 09 du prix HT sous r serve des modulations en vigueur dans certains d partements cf ci dessus L acquisition sera toutefois exon r e de ce droit lorsque l organisme acqu reur est un OPH exon ration pr vue par l article 1042 du CGI cf ci dessus pour les autres organismes Him exon ration si l organisme prend un engagement de construire ou de revendre cf ci dessus L article 1594 H O bis du Code g n ral des imp ts pr voit galement que le Conseil g n ral peut exon rer les rachats de logements intervenant dans le cadre de la mise en uvre de la garantie de rachat pr vue au titre des op rations d accession sociale la propri t par le huiti me alin a de l article L 411 2 du Code de la construction et de l habitation Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 23 DROIT ET FISCALIT On note par ailleurs que selon Farticle 1051 du CGI les transferts de biens de toute nature op r s entre organismes d habitations loyer mod r sont soumis une imposition fixe de 125 Il en va de m me des transferts entre organismes Hlm et organismes b n
8. gie Dans le th me choisi l quipe devra pr senter une r alisation mise en service en 2011 ou 2012 illustrant lexemplarit de son action GrDF partenaire de l USH sur cette op ration tait pr sent au Congr s Him 2013 de Lille G Roubaud USH 26 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 Le jury est compos de repr sentants de l Union sociale pour l habitat et de GrDF ainsi que de personnalit s du monde de la construction La remise des prix aura lieu dans le cadre de la Semaine natio nale des Hlm du 14 au 22 juin 2014 Paris W ensemble du dossier ne devra pas exc der quatre pages de format A4 un livret A3 pli Les dossiers sont adresser avant le 14 mars 2014 USH DMOP Troph es Qualit Gaz 2 rue Lord Byron 75008 Paris Tropheegaz2014 union habitat org FORMATION Ecole de l accession sociale la propri t Calendrier 2014 Accession processus de d cision et management Al Les strat gies de l accession 10 au 11 02 2 au 3 10 March s locaux de l habitat et stra t gie de l accession 24 03 24 10 Piloter et manager l activit acces sion 27 au 28 03 15 au 16 05 25 au 26 09 6 au 7 11 A4 Recherche fonci re n gociation et d cision d acquisition 26 au 27 05 24 au 25 11 Se prot ger des risques r aliser une tude micro march 10 au 11 06 4 au 5 12 A2 A3 A5 Montage et r alisation des op rations Bl Les fondamenta
9. hui sinistr e Elle revendique galement de prendre en compte dans le bar me les sur co ts li s la construction dense Enfin elle d nonce les mesures sur la p nibilit dans le projet de loi retraite selon elle une usine gaz co teuse le statut des auto entrepreneurs et la concurrence d loyale des entreprises trang res low cost M D D Le am ur in Le LE es Logement neuf Evolutions de long terme Pr cn an Lo t Le Rythme annuel en milliers de logements hi en Lu Source CGDD SOes Sit deLz 2010 2011 2012 10m 2013 INFOS Communaut urbaine Marseille Provence M tropole DR Journ es des communaut s urbaines et des m tropoles Lors de leurs journ es les 21 et 22 novem bre Marseille les communaut s urbaines ont soulign les avanc es du projet de loi d affirmation des m tropoles La cr ation de m tropoles dans treize agglom rations et la possibilit pour les intercommuna lit s de plus de 250 000 habitants de deve nir des communaut s urbaines va dans le sens de leurs propositions Elles deman dent la r introduction de dispositions automaticit de la cr ation des m tro poles question du suffrage universel en 2020 possibilit d exercer le r le de res ponsable en mati re de droit au logement et la conservation du r le d organisateur de la t
10. une ann e de mobilisation pour le Mouvement Him fin du pr l vement bataille sur la TVA rehaussement des plafonds du Livret A signature du Pacte d objectifs et de moyens engagement de la mutua lisation partielle des fonds propres des organismes reprise de la pro duction et hausse du nombre d agr ments participation la consulta tion nationale sur la r forme des attributions concertation sur les nouveaux contours de la politique de la ville Nous pouvons tre fiers du travail fourni par l ensemble des organismes Hlm au cours de an n e coul e Naturellement le livre ne se referme pas et personne ne peut penser que toutes les batailles ont t men es Au contraire je suis intimement convaincu que le mouvement permanent et acc l r de la soci t va n cessiter de notre part un investissement de plus en plus important pour d fendre et d velopper le r le du logement social Il y d abord les chantiers entam s que nous devons mener bien ou accompagner le plus rapidement possible la r forme de la demande l affectation des fonds FEDER d centralis s en r gions la r forme de la g ographie prioritaire et la red finition des contre parties de l abattement de la TFPB la r forme territoriale Mais surtout je souhaite que nous soyons en permanence une force de proposition reconnue pour proposer demain des logements locatifs sociaux qui continuent tre abordables pour les salari s les pl
11. ciation Les Chemins de Traverse et la Ville Ce n est pas un hasard si le bailleur a confi la conduite de sa premi re op ration de s dentarisation la charg e de relogement des PRU Ludivine Blondel L id e tait d entrer dans le droit com mun en coutant et en accompagnant les familles face aux craintes et aux appr hensions que g n re un nouveau mode de vie Je les ai re ues individuellement pour voquer le contrat de location et la partie administrative n gociation des contrats d assurances imp ts ou encore acc s au FSL explique t elle Au del des choix d habitat comme la pr sence d espaces verts et de portillons l accent a t mis sur la gestion travers des ateliers sur la ma trise de l nergie et sur le vivre ensemble pour les habitants et une journ e de formation en interne Un recueil de m moire con u au coll ge avec le soutien de l agglom ration sera remis aux locataires entr e dans les lieux m Valophis Habitat Permis de vivre es vacuations de Roms en r gion parisienne avaient abouti un campement sauvage sous lauto route Choisy le Roi Expuls es en 2010 une vingtaine de familles rou maines sont accueillies dans un gymnase puis h berg es sur un site accueil d ur gence avec le minimum sanitaire ter rain RFF raccord l eau et l lectri cit et un co t d entretien d environ 200 000 euros an pour la collectivit
12. re sociale Il y a eu une forte adh sion au projet car les gens taient demandeurs d un cadre et ont compris les enjeux pour l avenir turre LL Lotissement du Petit Lacanau 36 habitations individuelles PLA 1 Blanquefort 33 Livraison d cembre 2009 Caract ristiques portes battantes au rez de chauss e porte fen tre faisant office de porte d entr e cuisine ouverte sur une pi ce de vie acc s au WC via un cellier po le bois comme moyen de chauffage l eau et l lectricit sont les seuls contrats d nergie Co t 4 9 M financ s 32 par des subventions et 62 des pr ts DR ce public tout en restant dans le droit commun r sume H l ne Beaup re directrice de l ADAV Les 36 maisons construites sur un foncier de la ville et de l agglom ra tion ne pr sentent pas de particularit architecturale mais il n y a pas de mitoyennet dans le lotissement Apr s la livraison une pr sence impor tante a eu lieu les six premiers mois un comit de r sidents a t cr tandis que se poursuivaient les r unions de coordi nation Si le bilan est positif restent des points sensibles comme la cohabitation des groupes familiaux les espaces com muns et le bruit On note 3000 d im pay s sur 30 m nages quatre mouve ments et deux familles probl matiques L op ration a depuis servi de mod le quatre autres programmes de l OPH en Aquitaine E EE vune amme vin
13. 02 D termination des co ts en phase pr op rationnelle 30 31 01 Estimation contr le et ma trise des co ts construction 10 11 12 02 Pr vention et traitement des contentieux en cours de chantier 20 21 02 20 21 03 R glementation de la ma trise d ouvrage actualit s 3 02 Produits de construction nouvelle r glementation europ enne 7 02 Appliquer les r f rentiels de certifications environnementales dans l habitat neuf 6 7 02 Accession vente Him et copropri t s 942 943 G rer du patrimoine locatif en copropri t 13 14 02 Les bases du fonctionnement de la copropri t 29 30 31 01 Toute l information sur le site http www afpols fr cataloque annuel consultable sur le site Internet d autres dispositifs sont construits en professionnels de haut niveau pour r pondre galement aux d exp riences des dirigeants En dehors de l offre traditionnelle qui est propos e travers le cours d ann e avec des besoins d changes lent Sra tre Am nagement partenariats montages Coop rations entre organismes Him et partenariats Him priv Les organismes Him op rateurs urbains D epuis plusieurs ann es de nombreuses ASE ES A Rene Us collectivit s privil gient le d veloppe et partenariats Hlm priv ment d op rations mixtes tant sur le plan Les organismes d Him op rateurs urbains social que fonctionnel Dans ce contexte pour atteindre leurs objecti
14. acheteur sous r serve qu il s agisse d un acheteur comme EDF qui acquiert l lectricit des fins autres que sa pro pre consommation L organisme Hlm vendeur va donc d li vrer une facture qui ne mentionne pas la TVA mais pr cise que celle ci doit tre autoliquid e et pay e par l acqu reur mention des dispositions du 2 quinquies de l article 283 du CGI Il devra toutefois d clarer le montant total hors taxes de l op ration sur sa CA3 sur la ligne autres op rations non imposables C est donc ensuite l ac qu reur EDF qu il incombera de cal culer d clarer et payer la TVA due sur son achat Malgr ce m canisme sp cifique de liquidation de la TVA l op ration de vente d lectricit n en reste pas moins une op ration imposable C est pourquoi la documentation administrative BOI TVA DECLA 10 10 20 20130409 pr cise que m me s il ne collecte pas lui m me la taxe le fournisseur peut d duire la TVA qu il supporte sur ses propres d penses dans les conditions de droit commun ex organisme Hlm peut donc r cup rer la TVA support e Fax juridique Fonds national d accompagnement D penses de gestion Arr t du 28 octobre 2013 fixant le taux relatif la d termination des d penses de gestion du Fonds national d accompagnement vers et dans le logement JO du 23 novembre 2013 R quisition avec attributaire Locaux vacants D cret n 2013 1052
15. c dant la phase d tude au cours de laquelle le pro jet est d fini avec l architecte avant d tre pr sent aux riverains En lien avec les partenaires institutionnels accompagne Les constructions sp cifiques peur Les gens du voyage en chiffres GRANOLYON Fiesta Bisha ment se poursuit tout au long de op ration et apr s l emm nagement avec des visites r guli res et un suivi par les quipes du p le social et du p le proximit de lOPH Ces op rations d habitat accompagn longues et com plexes s inscrivent dans une volont de la Communaut urbaine d apporter des r ponses la pro bl matique des gens du voyage en par tenariat avec les communes les habitants et Office Il faut commencer par conna tre les familles n gocier techniquement et les accompagner socialement Si les gens voient qu on les coute et qu ils ne sont pas laiss s pour compte cela fonc tionne assez bien Le pari de Grand Lyon OPH Perpignan M diterran e La caserne du Puig r habilit e Daimi Gamit Levi Let Pins e LE kogema over cu 2211 a Chmites lt de lumens Ex et rt nd lsgamets lania ani prises Hii n aipin 28 iE porn prete Haan CEE eaa dot ET Simi 10 mad amih den pitre IILL Accueillons La diff rence les gens du veyage ns D ANOLYOH MASTERS verset ua MiAiSqE deu as CIE neyra Ces r prepar ARAHDLYOM BA HA bes Thha f lirih piar Uri ed dy mp
16. caravanes qui constituent l habitat permanent locatif ou en propri t e des op rations locatives sociales financ es au titre du logement d insertion PLA l presque toujours en neuf plus rarement en adaptation du b ti existant r alis es 21 540 places et 919 aires d ac cueil et 29 des aires de grand passage 103 aires avec de fortes disparit s r gionales les sch mas d partementaux d accueil des gens du voyage pr voyaient 41570 places pour 1867 aires Le docu ment pointe une action publique mal coordonn e et les faibles r ponses au souhait d ancrage territorial De m me la circulaire interminist rielle du 26 ao t 2012 demandant aux pr fets d anticiper et d accompagner les op ra tions de d mant lement des campements illicites par des diagnostics de terrain et la recherche de solutions alternatives est difficilement mise en uvre comme Pont constat le d l gu interminist riel l h bergement et l acc s au logement Alain R gnier et le D fenseur des droits Dominique Baudis Et ces populations sont discrimin es selon le Conseil constitutionnel qui a estim dans une d cision d octobre 2012 que la loi continuait d identifier les voyageurs comme une cat gorie part devant faire l objet d un contr le perma nent et d une l gislation d rogatoire du droit commun Face la situation le gouvernement a allou des cr dits de 4 millions d euros
17. du 22 novembre 2013 pris pour l application des articles 24 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 sur les acquisitions de panneaux photo volta ques Le taux de TVA applicable au loge ment social doit tre ramen 5 au 1 janvier 2014 Quelles sont les r gles pr vues pour ce changement de taux Le pr sident de la R publique dans son discours du 21 mars 2013 a annonc que le logement social b n ficierait comp ter du 1 janvier 2014 du taux de TVA de 5 Il a notamment pr cis que les constructions de logements locatifs sociaux achev es compter du 1 janvier 2014 profiteraient de ce taux m me si la construction a d marr avant cette date Toutefois il convient de pr ciser que seule une future loi de finances pourra officiellement acter l application de ce taux d finir pr cis ment le type d op rations concern es et les r gles applica bles aux op rations en cours au 1 jan vier 2014 A priori il faudra attendre le projet de loi de finances pour 2014 d fi nitivement vot en fin d ann e 2013 Dans ce contexte les organismes Him doivent rester prudents en particulier s agissant des acquisitions en VEFA de logements locatifs sociaux des ventes en VEFA de logements en zone Anru ou encore des op rations de travaux sur des logements existants En effet il semble que le Gouvernement n ait pas encore d finitivement arbitr certains points On rappelle en
18. gionales avec lesquelles nous travaillons Le r f rentiel se structure autour de cinq axes la s curit les candidats ascensoristes devront tre certifi s MASE manuel d am lioration de la s curit des entre prises l information des usagers l ascenso riste devra signaler sa pr sence infor mer sur le suivi de l intervention et actualiser cette information lorsque l ar r t dure plus de 72 heures la pr vention et la formation exp rience minimale de deux ans adapter la formation aux cat gories d ascenseurs rencontr s gt l entretien des ascenseurs limite de 90 appareils impos e par tourn e de main tenance pour un technicien les d pannages l ascensoriste devra justifier d une organisation capable de remettre en service les appareils les week ends et jours f ri s et de traiter les pannes r currentes Les d marches de r f rencement devraient d buter d s 2014 les bailleurs de l association int grant le r f rentiel Chiffres cl s e 19 membres repr sentant 560 000 logements soit 45 des logements d Ile de France et 25 du parc locatif e 15000 ascenseurs soit 25 du parc des ascenseurs en France e un tiers des contrats remis en concurrence en 2014 Il ne s agit pas de r f rencer tel ou tel fabricant mais leurs unit s r gionales avec lesquelles les bailleurs travaillent Kone lors de leurs appels d offres sachant que d s cette p riode
19. outre que le Parlement pourra ventuellement modifier les pro positions du Gouvernement dans le cadre des discussions du projet de loi de finances E L 642 10 L 642 12 du Code de la construction et de l habitation JO du 24 novembre 2013 Tarifs sociaux Electricit gaz B n ficiaires D cret n 2013 1031 du 15 novembre 2013 portant extension de nouveaux b n ficiaires des tarifs sociaux de l lectricit et du gaz naturel JO du 16 novembre 2013 DROIT ET FISCALIT Proc dure de r tablissement personnel et jursiprudence Quel montant de dettes effacer A cette question pr gnante pour les organismes Hlm nous r pondions en faveur d un arr t des sommes soumises l effacement la date du jugement d ouverture de la proc dure La position de la Cour de cassation est d sormais connue Celle des parlementaires aussi r c demment nous crivions moins que le jugement de cl ture ne mentionne un mon tant des dettes effacer auquel cas la d cision judiciaire s impose aux parties les dispositions de Particle L 332 9 pr voyant que la cl ture entra ne l effacement de toutes les dettes non professionnelles du d biteur une application stricte de ce texte devrait conduire retenir le montant d tel qu il est constat la date prononc e du juge ment de cl ture de la PRP proc dure de r tablissement personnel En l absence de jurisprudence fournis sant
20. pour financer des projets d ing nierie destin s aux populations des campe ments Le Premier ministre a demand au gouvernement d tablir une strat gie interminist rielle renouvel e en faveur des gens du voyage dans l objectif de mettre fin au statut d exception Paralle lement la France labore une nouvelle contribution nationale la strat gie europ enne d inclusion des Roms E 16 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 La feuille de route de C cile Duflot A l occasion de la 8 Journ e nationale des gens du voyade qui a eu lieu le 3 d cembre 2013 la Ministre de l Egalit des territoires et du Logement a donn les orientations du gouvernement mettre en discussion au cours de la seconde lecture du projet de Loi Alur des dispositions visant s curiser les projets d implantation d habitat l ger d montable et r versible aller vers une meilleure prise en compte des besoins d ancrage territorial des gens du voyage dans les documents de programmation doter de moyens les lus face aux occupations illicites de propri t s publiques ou priv es et les pr fets pour les personnes n tant pas en conformit avec la loi progresser sur l organisation des grands passages La DIHAL assurera une mission d animation de la commission nationale consultative des gens du voyage 1 D cision de la Cour de justice europ enne du 17 octobre 2013 qui estime que si le respect d un plan d
21. sign e entre le ministre d l gu la Ville et les autres ministres ce jour dix conven tions interminist rielles ont t conclues Jeunesse et Sports Affaires sociales Emploi Transports Justice D fense et anciens Combattants Droits des Femmes Education nationale Economie sociale et solidaire Int rieur D autres devraient suivre Faisant le bilan de ces signatures Philippe Lamy a d clar c est la recon naissance que m me en p riode de crise budg taire il tait n cessaire de fl cher les cr dits et des moyens humains parti culiers vers les quartiers prioritaires de la politique de la ville Des conventions pr figurant les contrats de ville La signature de ces contrats d objectifs vise faire face aux in galit s territoriales par la mise en uvre d une r elle politique structurelle pour r tablir l galit sur les territoires selon la d cision du gouvernement au CIV de f vrier 2013 Il s agit de mobiliser les politiques publiques de l Etat en faveur des quartiers populaires par une territoriali sation des moyens en coh rence avec la g ographie prioritaire d intervention de la politique de la ville Par cons quent les futurs contrats de ville 2014 2020 qui doi vent constituer l instrument principal de d clinaison de ces objectifs seront ils labor s et sign s aux c t s des pr fets par les repr sentants des administrations locales dans chacun des do
22. soit 2 par an en France enti re est peu pr s g n ral 1 Conna tre les loyers et analyser les march s sur les espaces urbains et ruraux Observatoire des charges 2013 Les grandes tendances Le salon de la copropri t qui s est tenu en novembre en partenariat avec linter naute com livre les r sultats de l Obser vatoire des charges 2013 de copropri t par prix au m typologie de b timent taille de copropri t et poste de d penses L enqu te qui s appuie sur 1600 tudes de questionnaires en France rel ve sans sur prise une hausse des charges de copro pri t en 2013 de 5 12 par rapport 2012 pour s tablir 33 53 m2 Tous les postes de d penses augmentant l g rement voir graphique notamment l achat des com bustibles premier poste de d penses des m nages ainsi que les salaires et charges de personnel S ajoute la mise aux normes des ascenseurs dont le budget allou Pentre tien augmente de 33 En compensation des cono mies entra nent des baisses sur la consommation d eau froide 6 80 et l lectricit des parties communes 4 96 A noter que les charges sont plus lev es en r gion pari sienne qu en province avec une 1948 Ah DO M W b Un 49 Eau froide Entretien de l ascenseur LaF im ET E m Le Ed T T Er m L Electricit des parties communes Salaires et charges
23. tat Ce fonds a t cr au sein de la CGLLS pour recueil lir le pr l vement sur les orga nismes Him aujourd hui abrog et pr lever une partie des cotisations des organismes la CGLLS Le Mouvement Hlm demande que le fonds soit supprim pour garantir la transparence du financement du logement social Les 78 mil lions pourraient tre affect s des actions prioritaires telles le traitement de amiante au sein du parc Hlm l accompa gnement des lections des loca taires la construction de 10 000 logements accompagn s Car a conclu Jean Louis Dumont le logement demeure en 2014 une grande cause nationale Les agr ments de logements locatifs neufs sont en hausse de 5 en 2013 DR LA UNE Simplifier les normes un appel de huit organisations dont USH Huit organisations profession nelles du secteur de la construc tion dont l Union sociale pour l habitat proposent C cile Duflot une centaine d adapta tions ou de suppressions d exi gences r glementaires et nor matives sur les champs de la construction et de l am nage ment Notre approche est claire indi quent elles Les r glementations et normes techniques peuvent tre des facteurs d am lioration de la qualit et de progr s dans la construction Mais elles doi vent s inscrire dans une d marche d laboration raison n e qui installe une v ritable concertation des acteurs sys t matise les mesur
24. y aa T moignage Dominique Careil responsable du P le habitats sp cifiques chez Aquitanis L quipe pluridisciplinaire de la MOUS s est charg e de d coder et de traduire les besoins et demandes des habitants Un comit de pilotage largi aux institutions intervenant sur le site et participant au financement ainsi qu un comit technique ont suivi le bon d roulement de l op ration L enjeu est de construire le projet des gens DR Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 19 Re NE uns fe Les Aliz s Caen 14 logements THPE T1 de 44 m sur des parcelles de 200 300 m2 Livraison d cembre 2013 Caract ristiques pi ce vivre cuisine douche toilettes espace de vie ext rieur couvert reli aux caravanes qui servent de chambres Co t global 1 3 M Architecte Sylvie Royer DR Caen Habitat Une maison pour No l u mois de d cembre 18 familles vont emm nager dans une mai son en dur reli e leur caravane sur l aire d accueil des gens du voyage Poincar qu elles occupent depuis plu sieurs g n rations Caen Propri t de l agglom ration Caen la mer le terrain est situ dans le quartier de la Gu rini re en r novation urbaine Les familles n ayant pas adh r au projet ont rejoint d autres aires d accueil L op ration a t men e par l agglom ra tion et Caen Habitat en partenariat avec le Pact Arim des Pays Normands lasso
25. Largariaerer vp Pha hir plan Lois quer La die pahaba de bagre H y aria un penp di errio dada Les Meter d mepes wep pr GRAKHI MASTERS qhngagu BAT p et ebe E dei Dropet peur rewi br mepeariemn du Leger Plaquette de sensibilisation la sp cificit des constructions pour les gens du voyage r alis e pour le village de la proximit en juin 2013 l occasion de la Semaine Him Habitat est de leur offrir un toit d cent en pr servant les habitudes et la tradi tion d un habitat mobile t moigne Denis Compingt directeur de la vie sociale Grand Lyon Habitat E ans le quartier Saint Jacques situ dans le centre historique de Perpignan des familles gitanes s dentaris es habi tent depuis vingt ans pour les plus anciennes la caserne du Puig Une b tisse du 17 si cle devenue propri t de Office en 1957 et r habilit e deux fois Dans le cadre d une stra t gie globale de recomposi tion des quartiers paup ris s et de la convention Anru sign e en 2005 l OPH a r a lis l op ration de r habilita tion du b timent Le diagnostic du cabinet Urba nis missionn pour la MOUS identifie plusieurs probl mes dans la r sidence bruit salet conflits interfamiliaux avec quelques familles peu d sira bles vandalisme levage de coqs dans les caves tat v tuste des logements struc ture du b ti cour ferm e o taient jet es les poubelles Les locataires beaucoup de
26. N 981 du 15 d cembre 2013 ACTU LS tat LA UNE POINT DE VUE DROIT ET FISCALIT Amiante normes CGLLS Plaidoyer pour un d bat R gime fiscal des r actions de PUSH constructif et quilibr acquisitions d immeubles f ELRRAERENTEIS WBESsESs si R FELLL T E A Le LE M TAN EEEE E 1 NE DE pon F z pa E ar Pavillons po t des gens d voyage Br tigny sur Orge Opievoy Bimensuel d information dit par den e aAA Les Hlm habiter mieux bien vivre ensemble y liy y 4 4 Un 4 Up NZ y 4 A y 4 y As h y VO y AAO 7 Ws LU ANG VA y g b A AA Ameliorer La qualite de votre patrimoine immobilier et la satisfaction de vos locataires CERQUAL LANCE LA CERTIFICATION EXPLOITATION La premi re certification d di e aux logements en exploitation Accompagner et valoriser la politique patrimoniale du gestionnaire Am liorer la satisfaction des habitants Participer aux enjeux de politiques publiques R pondre aux pr occupations des collectivit s www qualite logement org CERQUAL Design LUCIOLE septembre 2013 Cr dit photo 3 5 rue de Reims Paris 75073 certifi e Qualitel THPE 2005 AT401 H amp E Perform ce pour RIVP arohitectes Louis PAILLARD et Antonini DARMON Photo Fabrice MALZIEU RIVP DITORIAL Quelle ann e 2015 aura incontestablement t
27. Un partenariat est nou entre la municipa lit la Fondation Abb Pierre l ALJ 93 l association Coup de main et Valophis Habitat pour chercher des solutions de relogement Une op ration appel e Permis de vivre Sp cialis e dans laide des Roms l ALJ 93 se charge de accompagnement indivi dualis en aidant ceux qui le souhaitent rentrer en Roumanie avec un projet pour y vivre d cemment et ceux qui pr OPH Montreuillois Pr t a habiter es conteneurs color s o vivent onze familles roms en attente d un logement p renne ont t propos s par l OPH Montreuillois de l Habitat pour r pondre une demande de logements sociaux d urgence provi soires et d montables B tis en un temps record huit semaines pour la fabrication et seulement quatre pour le chantier gr ce l assemblage de modules pr fabriqu s en usine ces logements pas serelles sont livr s sur le site avec les finitions int rieures d un loge ment classique L op ra tion satisfait enti rement aux normes de s curit incendie et d isolation en vigueur notamment au 11 logements passerelles T1 au T3 en R 2 Montreuil Architecte Archiconcept Concepteur constructeur ProContain Livraison octobre 2012 DR 20 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 f rent rester en France avec un parcours d insertion Dans la gestion de l urgence priorit est donn e l acc s aux soins po
28. ace de la copropri t L USH des Pays de la Loire compte 50 structures adh rentes dont les trois quarts ont une activit d accession la propri t produisant 1000 1500 logements par an 1 Voir Actualit s habitat n 949 du 30 juin 2012 CUS Habitat l Habitation Moderne P le de l habitat social Le nouveau p le social qui a t inaugur fin novembre Strasbourg regroupe d sor mais CUS Habitat OPH de la Communaut urbaine de Stras bourg de 20 000 logements et L habitation Moderne Soci t anonyme d conomie mixte locale de 8700 logements soit 245 agents au total dans un b timent de huit niveaux cer tifi BBC Effinergie Il se situe au c ur de l coquartier du Heyritz proximit imm diate du futur si ge de la CAF cr ant ainsi un v ritable p le de services d di au logement Les deux organismes ont choisi de mutualiser accueil physique et t l phonique la gestion de la demande de logement lin frastructure informatique les archives ou encore le courrier Un GIP groupement d int r t public a t cr pour assurer ces activit s partag es et la ges tion de immeuble Quelques semaines aupara Le hall accueillera des expositions et animations DR Un b timent de 8927 m de bureaux arch Mongiello et Plisson DR vant CUS Habitat avait inau gur un atelier de pr s de 4 000 m destin centraliser les ateliers techniques e
29. anessa Mendes Lourenco T l 01 40 75 68 60 mail vanessa mendes lourenco him coop et formations arecoop fr site Internet www arecoop fr 1 Organisme de formation des coop ratives Le Toit Angevin et le Val de Loire Formation la RSE es deux soci t s engag es depuis de nombreuses ann es dans une d marche RSE ont t valu es au stade probant ISO 26000 Elles ont organis une formation de sen sibilisation RSE avec l Afpols aupr s de tout leur personnel soit environ 300 per sonnes r parties en 20 groupes tous ser vices confondus de l employ jusqu aux membres de l encadrement Objectifs partager une d finition commune de la RSE au niveau des deux ESH rep rer les enjeux identifier les actions et bonnes pratiques d j engag es Rappelons par ailleurs que Francis St phan directeur g n ral du Toit Angevin et du Val de Loire est administrateur de l Institut national Hlm de la RSE m Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 27 FORMATION Afpols Stages de janvier f vrier 2014 Management Him et leadership 206 212 213 221 224 224 Managers exp riment s renforcer votre potentiel relationnel et devenez leader 5 6 7 02 Outils de management conduire les entretiens annuels d valuation 16 17 01 Responsabiliser par la d l gation 30 31 01 Outils et m thodes du chef de projet 3 4 02 Piloter la qualit par les indicateurs et des tableaux de bo
30. ante ce qu il faut savoir un argumentaire intitul Communication sur l amiante questions r ponses Contacts technique dmop union habitat org communication valerie cruchet taieb fnar habitat org juridique huberte weinum union habitat orq 1 Il r unit une trentaine d organismes Hlm des Associations r gio nales Him et les services de PUSH 2 T l chargement apr s identification sur l espace Ressources du site Internet de PUSH dossier amiante th me patrimoine Him ment durable et de l Energie du Travail de l Emploi de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social et de En seignement sup rieur et de la Recherche notamment soit Les enjeux financiers li s la r glementation actuelle sur l amiante pour le patrimoine construit avant 1997 sont consid rables en raison des surco ts directs et indirects g n r s par les travaux effectuer par les organismes Him DR rapidement constitu Ce groupe de travail pourrait r fl chir aux solutions tech niques et financi res adapt es et assurer leur mise en uvre en particulier des solutions facilitant la d tection de la pr sence d amiante dans la construc tion des modes op ratoires normalis s et valid s nationalement afin de simplifier et d uniformi ser les processus d inter vention et ainsi g n rer des conomies des m thodes de traite ment de amiante des financements mobi
31. ants la r sidence Le Mascaret est une petite op ration de quatre pavillons familiaux Distinction M rite Par d cret du pr sident de la R publique en date du 14 novembre 2013 paru au Jour nal officiel du 15 novembre Muriel Thomas directrice de l agence Osica Val de Marne a t nomm e chevalier dans l Ordre national du m rite Au nom du Mouvement Hlm Actualit s habitat pr sente ses f licitations la r cipiendaire La Maison du CIL Pr cision Dans notre article paru dans Actualit s habitat du 15 novem bre page 12 nous avons omis d indiquer Picardie Habitat parmi les cinq ESH du groupe Procilia avec Codelog La Mai son du CIL Logis social du Val d Oise Logivam USH des Pays de la Loire Un quide du propri taire LUSH des Pays de la Loire publie un guide du propri taire aboutissement de travaux men s par un groupe d orga nismes Elle tait d j enga g e depuis 2012 dans le Pacte propri t abordable une charte de qualit comportant six engagements pour facili ter l accession la propri t des m nages modestes DEVEMIN SOEUR PAIRE EH DOUCES AVEC LA L CAM N ACCION Le guide se compose de sept plaquettes ind pendantes afin de conserver un maximum de souplesse dans sa diffusion en fonction des produits com mercialis s VEFA PSLA vente Hlm et des tapes du projet d accession du premier contact la lev e d option en passant par la mise en pl
32. assurance compl mentaire sant les b n ficiaires de la couverture maladie universelle compl mentaire et depuis le 1e novembre 2013 tous les m nages dont le revenu fiscal annuel de r f rence est inf rieur 2175 par part en m tropole et 2420 dans les DOM Au total cela repr sente quatre millions de personnes Ni vre Habitat appliquera une baisse des charges de 15 20 sur ses groupes Banlay gr ce un accord pass avec Dal kia Ce d l gataire a en effet sign avec la Ville de Nevers un contrat pour la r alisa tion le financement et l exploitation d une chaufferie biomasse ainsi que extension du r seau de chaleur de la ville dans lequel le bailleur a souhait s inscrire E Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 21 DROIT ET FISCALIT TVA V rifiez le r gime fiscal de vos acquisitions d immeubles b tis A l occasion des demandes de conseil des organismes Hlm on constate souvent que leurs actes d acquisition d immeubles comportent des erreurs sur le r gime fiscal applicable Ces erreurs peuvent tre li es une mauvaise appr hension des r gles issues de la r forme de la TVA immobili re de mars 2010 ou une m connaissance de certaines sp cificit s Hlm our permettre aux organismes de v rifier la partie fiscale de leurs projets d acte avant signa ture nous avons publi dans notre num ro du 30 mai 2013 une fiche sur le r gime applicable aux acquisitio
33. ation interminist rielle l h bergement et l acc s au logement Dihal il y a 394 campements illicites h bergeant quelque 17000 m nages dont plus de 4000 enfants majoritai rement en France depuis plus de cinq ans malgr de nombreuses expulsions Des campements pr caires parfois sans La scolarisation un enjeu essentiel pour l insertion L Moogin eau courante situ s surtout dans la r gion Ile de France la moiti en Seine Saint Denis o un Monsieur Rom a t nomm pour soutenir l action des huit pr fets franciliens ainsi que dans le Nord Pas de Calais en PACA et en Rh ne Alpes Les deux tiers sur des ter rains publics et plus d un tiers en ins tance d vacuation Comme l explique le responsable du p le habitat la Fnasat F d ration nationale des associations solidaires d action avec les Tsiganes et les Gens du voyage J r me Burcklen d faut d acc s une offre d habitat choisi les familles occupant sans droit ni titre des terrains publics ou priv s subissent une itin rance forc e par les expulsions Il convient de changer la lecture de leurs besoins en logement et de qualifier concr tement leurs conditions d habitat au regard de leurs difficult s sociales et sanitaires et de leur statut d occupation Des solutions d habitat accompagne pour gens du voyage s dentaris s existent pour ceux qui sont durablement install s sur un territoire L urbani
34. de Mulhouse 37 logements PLA I ossature bois et terre cuite 18 F2 12 F3 6 F4 et 1 F5 avec grande pi ce vivre ouverte sur l ext rieur coin cuisine petites D gt chambres place de stationnement et jardin Co t 4 7 M pour Domial dont 1 3 M pour la Ville au titre des VRD Chauffage bois et panneaux solaires Architecte Mathieu Laperrelle cabinet K n L DR bilisation du terrain L organisation des parcelles est identique Un axe distribue des cours urbaines espaces intimes desservant les logements Un espace r glement a t pr vu pour les cara A Strasbourg dans le quartier sensible de Neuhof en pleine recomposition urbaine une aire d accueil abritait plus de 450 per sonnes 150 m nages dans des bidonvilles Domial a t charg de l accompagnement des d marches li es au relogement dans le cadre d une MOUS Pact Arim au sein du groupe Domial associations Arsea et Ludivino de la construction de 150 logements et de la gestion de la concession d am nagement La MOUS a travaill sur le positionne ment la typologie des familles et les questions de fratries Une aire d h bergement provisoire a permis d en gager l op ration Des actions d in sertion professionnelle sont men es l occasion du chantier Les 50 pre miers logements ont t livr s E Christian Kieffer directeur g n ral adjoint de Domial Dans ces op rations comp
35. de personnel Nettoyage des parties communes Source Observatoire des charges 10 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 31 38 m Construit avant Achat de combustible diff rence de 11 15 m contre 9 80 m en 2012 Enfin les charges varient de 25 71 m pour un b timent construit apr s 2005 36 51 pour un immeuble des ann es 1948 1974 Diff rences Paris Province 39 13 m lle de France 33 53 m France 27 98 m Province Source Observatoire des charges Charges de copropri t selon la p riode de construction 36 51 m Construit 1948 1974 30 50 m 27 79 m Construit 1975 1987 25 71 m Construit 1988 2005 Construit apr s Source Observatoire des charges O tnh 10 50 7 10 68 Entretien des espaces verts Charges de parking Honoraires fixes du syndic Honoraires variables du syndic Assurance multi risques de la copropri t Autres petits travaux d entretien _ N 983 30 JANVIER ACTUALIT S La revue f r f rence du Mouvement de l habitat social fait peau neuve Dans un environnement o l information est surabondante et le temps compt Actualit s Habitat volue pour vous permettre un acc s facilit et agr able toute l actualit du secteur Si notre objectif reste inchang vous offrir l information la plus compl te la plus professionnelle sur l habitat la ville et le loge
36. dernisation et de s curisation des colonnes montantes lectriques remplacer les compteurs d nergie par de nouveaux mod les communicants enfin informer les r f rents de site lors de travaux sur les r seaux lectriques Dijon Habitat s est engag sur dix Emplois d avenir en faveur de jeunes peu qualifi s comme employ s d immeubles sous forme d un CDD d un an renouvelable jusqu trois ans A la cl un poste de gestionnaire de r sidences li aux mutations et d parts la retraite De 18 25 ans ils habitent des quartiers ZUS cinq aux Gr silles un Saint B nigne Longvic trois sont sans qualification trois niveau V CAP BEP quatre niveau VI Bac France Loire livre sa premi re r sidence passive Cet immeuble R 2 de 21 loge ments situ dix minutes du cen tre de Bourges a t construit selon la proc dure de conception r alisation Les murs planchers et charpente sont en bois avec une isolation en laine de verre dans ossature et laine de bois l ext rieur Les combles sont isol s par 40 cm de laine de verre souffl e La fa ade principale du b timent La R sidence Alena Saint Doulchard 18 est labellis e Passivhaus Arch Cabinet Bosredon Pietu DR est orient e au sud afin de b n ficier au maximum de l apport solaire en hiver et les logements sont soit traversants nord sud soit orient s sud Les terrasses sur la fa ade sud
37. des pr cisions sur la port e du texte le bailleur peut faire valoir que seules sont effac es les dettes soumises l obli gation de d claration donc celles n es ant rieurement au jugement et figurant dans l tat d endettement dress par la commission article L 331 3 La jurisprudence s est prononc e sur cette difficult d interpr tation dans un arr t du 6 juin 2013 En l occurrence la Cour de cassation est venue pr ciser que les dettes n es apr s le jugement d ouverture ne sont pas effa c es par la proc dure de r tablissement C Cass 2 civ 6 juin 2013 n 12 19 155 Dans l affaire dont la Cour a t saisie le bailleur avait fait d livrer un comman dement de payer un locataire b n fi ciaire d une proc dure de traitement de surendettement pour des dettes n es apr s le jugement d ouverture de la PRP et se fondant sur l acquisition de la clause r solutoire du bail avait assign son locataire en r siliation expulsion Le locataire avait t condamn payer les arri r s de loyer dus et quitter les lieux Devenu occupant sans droit ni titre il a tent en appel de faire annuler les effets du commandement de payer arguant du fait que le jugement de cl ture de la PRP avait eu pour effet d effacer toutes les dettes ant rieures la date de son pro nonc En cons quence il avait demand que soit galement constat l effacement de la dette de loyer cause
38. du comman dement de payer Il n a pas t suivi par le juge d appel L occupant a alors tent d obtenir l infir mation de cette position aupr s de la Cour de cassation mais cette derni re a rejet son pourvoi en fournissant une explication de texte l effacement de dettes vis l article L 332 9 du Code de la consommation ne peut concerner que les dettes d clar es n es avant le juge ment d ouverture de la proc dure et mentionn es dans l tat des cr ances dress par le greffe Ce n tait pas le cas en l esp ce les dettes faisant l objet du commandement visant la clause r solu toire du bail taient n es apr s le juge ment d ouverture de la PRP elles ne pou vaient tre retenues pour l application de la mesure d effacement Avant la publication de cet arr t l Union sociale pour l habitat ayant relev les dif ficult s pos es par l impr cision de Parti cle L 332 9 du Code de la consommation interpr t variablement par les acteurs lorsque le jugement y fait r f rence sans indication du montant effacer pour certains c est le montant d clar l ou verture pour d autres c est le montant constat la cl ture a cherch har moniser les pratiques En faisant valoir que dans le secteur du logement on constate que louverture de la proc dure de r tablissement personnel se traduit par une cessation du paiement du loyer courant et par cons quent une s
39. ee SEI LECTIONNE RS iN E e s k i y FLAN f iii L ms je y LA LA J Vi Ah ira Depuis 2005 INTRATONE vous propose des solutions d interphonie simples et conomiques Le secret de nos petits champions Des produits innovants et fabriqu s en France des co ts performants Des services pour faciliter la vie des utilisateurs au quotidien C est par exemple la plateforme de gestion multifonction www intratone info pour g rer Les acc s distance en temps r el piloter et suivre les prestataires T T l 02 51 65 05 79 N UB avor sus INTRATNE yo FRAN
40. ensible augmentation du montant de la dette lors de la cl ture PUSH a demand le d p t d une proposition de loi en ce sens Il s agit donc de responsabiliser les d bi teurs qui dans le cadre de la proc dure se sont engag s ne pas aggraver leur endet tement d autant que la dette locative est consid r e de par la loi dette prioritaire La proposition de modification des dis positions du Code de la consommation tait la suivante Le montant des dettes effac es correspond celui qui a t arr t par la commission de surendette ment lors de l tablissement de l tat du passif et le cas ch ant par le juge lors de sa saisine ou le mandataire qu il a d sign en application des dispositions de l article L 332 6 Le jugement de cl ture pr cise le montant des dettes effacer S agissant des dettes locatives apr s v ri fication des cr ances le juge retient le montant des sommes dues au jour de louverture de la proc dure de r tablis sement personnel Cet argument a t retenu dans le cadre du d bat sur le vote du projet de loi ALUR par les d put s article 10 I ter texte non modifi par les s nateurs Le vote d finitif de la loi devrait donc sur ce point carter cette difficult d inter pr tation et viter l effet de surprise des locataires en difficult s qui pour la plupart pensent tre enti rement prot g s par la proc dure de traitement du surendette men
41. es d impacts avant toute diction de nouvelle norme ou loi r glement et garantisse une p riode transi toire entre la promulgation d un texte et sa mise en application effective afin de permettre de proc der le cas ch ant aux ajustements n cessaires avant l entr e en vigueur d finitive des textes Nous partageons ensemble la n cessit de revoir un certain nombre de r gle mentations et de normes qui ces derni res ann es ont connu une inflation forte Entre 2000 et 2011 le prix de revient des logements a presque doubl Nous valuons sur cette m me p riode l impact conomique des volutions r glementaires sur le prix de revient des loge ments entre 25 et 35 L id e est d arriver une baisse significative des co ts de pro duction des logements neufs en r novation et en am liora tion entretien ainsi que des co ts d entretien et de main tenance qui ont un impact sur les charges sans perte signifi cative de qualit des logements Cette initiative rejoint le choc de simplification voulu par le pr sident de la R publique en mars dernier qui avait d cid d un moratoire de deux ans concernant l diction de toutes nouvelles normes r gle mentations et labels ainsi que la r vision du stock de normes sous l angle co t efficacit nombre de r glementations et de normes qui ont connu une inflation forte DR 1 L Union sociale pour l habitat la F d ra
42. es visites collectives du chan tier puis des visites individuelles des logements ont facilit l adaptation au changement L association charg e de l accompagnement a jou un r le de passeur entres les diff rents interlocu teurs afin de g rer les particularit s de en dur pour une insertion durable parer les futurs habitants la demande de logement le vivre ensemble les charges etc Le r gle ment int rieur annex au contrat a t labor avec eux par exemple en interdisant l levage de coqs et de poules Enfin l accompagne ment social s est poursuivi apr s la livraison par des permanences hebdomadaires et implication du personnel de proximit Chemin du vieux pav Br tigny sur Orge 27 maisons individuelles PLA I de 2 4 pi ces avec toitures v g talis es chauffage bois et au gaz jardin privatif place de stationnement r serv e aux voitures et emplacement pouvant accueillir jusqu deux caravanes reli es au module principal par un bloc service cuisine sanitaire et buanderie Livraison juillet 2012 Co t 5 4 M Architecte Dr les de Trames J Larive T moignage Christine David responsable du service ing nierie sociale Apr s un an et demi on constate un fort investissement dans les lieux et pas d insolvabilit c est une r sidence g r e comme les autres si ce n est la veille effectu e par le gardien r f rent et la conseill
43. eurs et des op ra tions Hlm des visions tronqu es ou limit es lien logement emploi mobilit ou encore laissent de c t des volutions r centes impacts du SLS volutions du droit au maintien dans les lieux En ressort de fait une forme d clairage partisan partisan d un secteur Him r duit l accueil des plus d munis et n cessitant peu ou pas d aides publiques Un point de vue a priori n gatif sur le monde du logement social qui transpire par le lapsus qui a amen les auteurs crire qu au moins 30 des Him avaient un loyer sup rieur plus de 20 du loyer m dian de r f rence sans pr ciser qu il s agissait l d une analyse du seul secteur Hlm Cette analyse statis tique descriptive mal nonc e a pu laisser accroire qu une partie du secteur Him proposait des loyers significativement sup rieurs aux loyers du march Il faut galement rappeler que ce qui est parfois pr sent comme relevant de la d cision des organismes Hlm n est en fait que l application de la loi comme par exemple la destination du parc de loge ment social destin aux m nages modestes dans un souci de mixit sociale un parc financ par les loyers des locataires mais aussi par la solidarit nationale et locale due aux plus modestes des Fran ais par le biais de subventions et de circuits financiers sp cifiques Et puisque les sujets voqu s dans ces tra vaux de recherche son
44. familles monoparentales ou en situation de handicap aux minima sociaux demandaient surtout de louverture et de l ordre social raconte Florian T Fi A Tiia wi Fes a Joutel d Urbanis Apr s le relogement de cinq familles dans le patrimoine de lOPH et le d part de cinq autres ailleurs une op ration tiroir de relogement a permis d effectuer les travaux paral l lement aux actions conduites en mati re ducative sanitaire Caserne du Puig Perpignan 61 logements r habilit s dans le cadre du PRU Co t 47 000 logement Architecte Fr d ric Festel L Moogin et sociale Lors d ateliers de proximit des adolescents ont nettoy les cours et d barrass les caves Le logement a t aussi la porte d entr e pour aborder des probl matiques li es l habitat comme la pr vention des impay s la m dia tion aupr s des occupants sans titre les d cohabitations N anmoins la gestion de la r sidence reste complexe mal gr la pr sence d un gardien sur site et la cohabitation des m nages d licate Les espaces collectifs sont identifi s comme n appartenant per sonne En qualit de bailleur Office intervient sur les aspects techniques et de s cu rit et sur la gestion dans les limites de sa mission souligne Dominique Beraud directeur du patrimoine et de la gestion locative E Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 17 Domial Le
45. ficiant de l agr ment mentionn l article L 365 2 du Code de la construction et de l habita tion Enfin on rappelle pour m moire cer tains r gimes tr s sp cifiques tels que par exemple celui de l article 1594 H du CGI qui per met aux conseils g n raux d exon rer les acquisitions par les organismes Him d immeubles d habitations construits ou acquis par des acc dants la propri t qui ont contract des pr ts aid s par l Etat PAP entre 1981 et 1984 celui de l article 1594 F quinquies L du CGI qui pr voit un taux r duit pour les acquisitions en vue de leur revente de lots de copropri t s faisant l objet d un plan de sauvegarde en application de l article L 615 1 du Code de la construc tion et de l habitation celui de Particle 1594 I quater du CGI dans les DOM E Th mes TVA vente d immeubles et droits d enregistrement Contacts Pascale Loiseaux Am lie Bouret Nouhin Direction des tudes juridiques et fiscales T l 01 40 75 78 60 M l djef union habitat org Questions r ponses Un organisme qui produit et vend de P lectricit EDF doit il facturer de la TVA sur ses ventes La vente d lectricit par un organisme Hlm est soumise TVA taux normal En principe c est l organisme vendeur qui doit facturer la TVA et la reverser ensuite au Tr sor public Toutefois depuis 2012 en application de Particle 283 du CGI la TVA est auto liquid e par l
46. fin octobre Pour m moire sur l ensemble de l ann e 2012 495 500 logements autoris s 7 par rapport 2011 et 346 500 loge ments mis en chantier 18 par rapport 2011 Les ventes de logements neufs sur les 3 premiers trimestres 2013 s l vent 65200 en hausse de 0 4 par rapport 2012 Malgr la baisse des mises en vente le stock de logements disponibles est en hausse de 4 par rapport la m me p riode en 2012 et atteint 102 700 logements 3 premiers trimestres 2013 Par rapport 2012 Ventes 65 200 0 Individuel 6 800 7 Collectif 58 300 0 Mises en vente 76 500 19 Individuel 8 300 12 Collectif 68 200 19 Pour m moire 103 300 logements neufs avaient t vendus sur l ann e 2011 88000 en 2012 A fin septembre 2013 les cr dits l habitat contract s par les m nages et mis en force sont en progression de 25 sur les 12 derniers mois en glissement annuel par rapport 2012 La production de cr dits immobiliers reprend depuis le deuxi me mime te 2015 Contact l Union sociale pour l habitat DEEF T l 01 40 75 70 27 8 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 Note de conjoncture Les indicateurs d activit du secteur immobilier restent des niveaux bas qu il s agisse de la construction neuve ou de la commercialisation des logements neufs Le volume des cr dits l habitat contract s par les m nages reprend depuis le deuxi me trimestre 2013 Les hausses a
47. forte douleur et de regrets devant l engrenage qui a conduit la r solution ordonn e d un Groupe qui a toujours d gag des r sultats b n ficiaires et dont l utilit conomique et sociale tait reconnue Le niveau lev de ses fonds propres permettait d esp rer l exploration de solutions de restructuration La raison conduit cependant accepter cette volution La Commission europ enne permet aux actionnaires du Cr dit immobilier de France de rester impliqu s dans la bonne performance de la gestion future du Groupe Yannick Borde pr sident du CIF 4 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 ment des salari s dont les savoir faire sont reconnus de tous D j pr s de 200 salari s ont trouv un contrat de travail aupr s d un nouvel employeur dans le cadre d un dispositif de mobilit externe sp ciale ment mis en place Les initiatives vont se multi plier dans trois directions notamment aupr s des ta blissements de cr dits aupr s de porteurs de projets cr di bles et pourvoyeurs d emploi dans le domaine en vif d ve loppement du courtage de pr ts immobiliers et au del du cercle des tablissements financiers Par ailleurs enveloppe glo bale des mesures sociales indemnitaires d accompagne ment et d aide au reclassement a d ores et d j fait l objet d un accord entre la direction et les organisations syndicales qua lifi de digne pa
48. fs de production et acc der au foncier les op rateurs recourent de plus en plus des solutions de partenariat qui cie permettent de pr senter aux collectivit s 1 D4 embre 201 locales une prestation globale et une offre diversifi e de produits Aujourd hui l initiative revient souvent des promoteurs priv s qui pratiquent la VEFA en faveur d un bailleur social Mais il existe de nombreuses possibilit s qui s offrent aux organismes Him pour tre chefs de file d un groupe de ma tres d ouvrage publics et ou priv s afin d apporter une r ponse globale Dans ce cadre ce cahier issu d une coop ratin troite entre PUSH et la F d ration des OPH vise mieux faire conna tre les diff rents types de montage des plus classiques aux plus innovants que les organismes peuvent mobiliser afin de r pondre cette demande croissante des collectivit s territoirales L UNION SOCIALE POUR L HABITAT m him haber rapu ben vere enserri le G Contact Jean Nika responsable du d partement Urbanisme Am nagement Foncier M l jean nika union habitat org T l 01 40 75 70 32 D s la parution d une publication un exemplaire est adress gracieusement chaque organisme Pour toute commande suppl mentaire prix 25 TIC port compris crire la Direction des activit s promotionnelles de l Union sociale pour l habitat 14 rue Lord Byron 75384 Paris Cedex 08 L INTRATONITUDE MER 19 10 28 D a
49. i et en d tresse ayant droit l h bergement d urgence m me en cas d irr gularit de s jour toute expulsion devant tre justifi e par un but l gitime et proportionn Il faut se garder des amalgames pr vient Christophe Robert d l gu g n ral de la Fondation Abb Pierre intervenant en octobre 2013 devant des organismes Hlm lors d une journ e orga nis e par le club Habitat social pour la ville Il recommande de partir des gens pour ne pas masquer la diversit et l identit plurielle de ceux que l on quali fie de Roms dans une approche cultu relle et ethnique Dans l Hexagone il faut distinguer d un c t les migrants co nomiques europ ens dits Roms surtout roumains et bulgares kosovars aussi que l on retrouve en grande partie dans des bidonvilles aux abords des villes de l au tre la communaut des gens du voyage fran aise depuis longtemps dont le mode de vie traditionnel est la caravane et Pat tachement l itin rance 394 camps illicites un probl me de r sorption des bidonvilles La confu sion explique Christophe Robert vient du fait que les Roms des bidonvilles logent souvent en caravane qui est le mode d habitat pr caire le moins cher et changent r guli rement de lieu de vie alors qu ils taient s dentaires dans leur pays C est un probl me de r sorption de l habitat pr caire qui se pose pour ces populations Selon la d l g
50. ilitation lectrique charg d interventions de remplacement et de raccordement BS 14 15 01 Pr paration l habilitation lectrique charg de travaux de consignation et d interventions lectriques BR 19 20 21 02 Patrimoine 701 703 Les nouveaux enjeux des plans strat giques de patrimoine 20 01 Pr vention des risques et s curit du patrimoine quelle organisation mettre en place 10 11 02 Lyon 28 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 704 716 718 132 744 753 Le management technique d un patrimoine immobilier 21 22 01 Adapter le patrimoine locatif aux besoins de la population g e 30 31 01 La RT existant 20 21 02 Organisation et contr le de la maintenance 3 4 02 L eau et ses pathologies condensations infiltrations 13 14 02 Les exigences et les solutions techniques de la mise en s curit des installations lectriques dans l habitation 6 7 02 Ma trise d ouvrage et accession la propri t 802 803 all 818 821 831 832 844 852 856 87 4 Monter et conduire une op ration d am nagement 3 4 5 6 02 Choisir une proc dure simple d am nagement alternative la ZAC 17 18 02 Recherche et n gociation fonci re 3 4 02 Les outils et modes de production de logements sociaux alternatifs ou compl mentaires la ma trise d ouvrage directe 27 28 02 Etablissements pour personnes g es du projet la r alisation 17 18
51. immeuble destin la location sociale TVA factur e par le vendeur l organisme acqu reur Vente d un immeuble en VEFA ou d un immeuble achev depuis moins de cinq ans Taux normal TVA calcul e sur le prix de vente total Toutefois le taux r duit peut s appliquer si l immeuble est destin au logement social cf art 278 sexies du CGI qui liste les cas et conditions respecter art 296 ter dans les DOM Pr cisions concernant l acquisition de logements destin s la location sociale pour que le taux r duit s applique l organisme acqu reur doit b n ficier d un agr ment et d un pr t PLS PLUS ou PLA I ou subvention Anru l immeuble tant destin tre conventionn l APL R gime de TVA Droits d enregistrement ou taxe de publicit fonci re la charge de l organisme acqu reur En principe 0 715 du prix HT Toutefois les OPH en tant qu tablissements publics b n ficient d une exon ration en application de l article 1042 du CGI cf BOI ENR DMTOI 10 80 10 les autres organismes Him b n ficient galement d une exon ration en application de l article 1049 du CGI d s lors que les immeubles sont destin s au logement social cf BOI ENR DMTOI 10 90 20 20121001 810 Ces conditions doivent tre v rifi es au moment de la signature de l acte notari et l organisme acqu reur doit prendre dans l acte l engagement de louer les logements da
52. in situ face au site ayant t pr empt par la Ville Apr s une d marche concert e pour concevoir le programme positionner les cinq groupes familiaux et vaincre les r ticences 33 m nages 68 per sonnes ont t relog s en direct par lOpievoy dans des maisons de plain pied r pondant au souhait de conser ver une caravane Huit mois avant la livraison un gros travail a t fait par les diff rents partenaires pour pr Aquitanis Porter le projet des familles inquante ans apr s l installation ill gale de la premi re caravane en lisi re de ville Blanquefort quelque 250 personnes vivaient dans des habitations pr caires insalubres sans payer l eau ni l lectricit Apr s un diagnostic urbain et social par PADAV 33 association d partementale des amis des voyageurs de la Gironde et une mission de MOUS confi e au bureau d tudes CATHS et au Pact 33 la muni cipalit d signe Aquitanis OPH de la Communaut urbaine de Bordeaux en 2005 pour construire et g rer les futures habitations sur le lieu m me du campe ment Huit mois ont t n cessaires pour sortir le plan architectural c est le prix pour banaliser le logement Un travail minutieux de positionnement des familles a t accompli pour tablir le pr programme de l op ration Comme la plupart n avaient jamais v cu dans une maison des maquettes ont servi expli quer les volumes des habitations Des ateliers d
53. ion sera toutefois exon r e lorsque l organisme acqu reur est un OPH exon ration pr vue par l article 1042 du CGI cf ci dessus pour les autres organismes Him exon ration si l organisme prend un engagement de construire cas de l acquisition d un immeuble destin tre d moli en vue d une reconstruction ou tre remis neuf au sens fiscal ou un engagement de revendre Pr cision sur l engagement de construire article 1594 0 G du CGI mention expresse dans l acte en principe l engagement donne lieu au paiement d un droit fixe de 125 mais les organismes Him en sont exon r s en application de l article 1049 du CGI cf BOI ENR DMTOI 10 90 20 Pr cision sur l engagement de revendre articles 1115 et 1020 du CGI mention expresse dans l acte donne lieu au paiement d un droit de 0 715 du prix d acquisition Acquisition d un immeuble titre on reux par un organisme Him Cas n 2 Vendeur non assujetti la TVA par exemple un particulier qui l organisme ach te un immeuble ancien en vue d une transformation en logement social ou particulier qui l organisme rach te un logement dans le cadre de la mise en uvre de la garantie de rachat dans d une op ration d accession sociale la propri t R gime de TVA TVA factur e par le vendeur l organisme acqu reur Immeuble achev Pas de TVA depuis moins de avant 2013 les particuliers ayant acquis en VEFA qui
54. ivent en temps r el leur consommation d eau d nergie et de chauffage gr ce Dyne com une plateforme Internet d velop p e par la soci t su doise Manodo avec une application destin e aux locataires MyHome et un portail d di au bailleur MeView L exp rimentation men e jusqu en juin 2014 a lieu dans le cadre d une convention Recherche amp D velop pement entre Dynacit et le gestionnaire de services l environnement Veolia dont la filiale Dalkia exploite les instal lations thermiques du bailleur L objectif est de placer les locataires au centre du dispositif de ma trise des charges d abord inform s du projet par des r unions publiques et des visites domicile Une plate forme conviviale avec des smileys r cup re les informa tions des capteurs pos s sur les comp teurs L application My Home fournit les relev s et aussi des conseils d co gestes d entretien d auto d pannage et poss de des fonctions d change d informations avec le bailleur Equitia forme indivi duellement chaque famille utilisation de MyHome et a form collectivement les salari s concern s MeView Les habitants de Jassans Riottier n tant pas tous connect s Internet chacun a re u une tablette pour acc der la plateforme L accompagnement des habitants se poursuivra tout au long de lexp rimen tation Un d ploiement de cette solution tout le patrimoine pourrait tre envi sag
55. ivraison l ac qu reur et au syndic 23 au 24 06 15 au 16 12 Vente Him F1 Le cadre juridique de la vente Him 19 au 20 05 25 au 26 09 F2 Organisation et commercialisation A RE COOP de la vente Hlm 15 au 16 05 12 au 14 11 F3 G rer le passage en copropri t de patrimoine 4 04 21 11 F4 Ecrire le cahier des charges du r gle ment de copropri t 2 06 14 11 Formation en intra interne Les unit s de formation peuvent faire lob jet d une d clinaison locale demandes adresser EASP E Inscriptions T l 01 40 75 50 50 mail v morelon afpols union habitat org vanessa mendes lourenco hlm coop Site Internet de l EASP www easp fr Premier trimestre 2014 Janvier Commercialisation des op rations neuves management de la vente 16 et 17 01 Le plan de financement de l acqu reur 27 et 28 01 Journ es de formation des directeurs 29 au 31 01 F vrier Pr parer et r ussir l assembl e g n rale d une coop rative d Hlm 6 02 L information financi re au sein des coop ratives d Hlm 7 02 La loi ALUR et la copropri t 11 02 Piloter la ma trise d uvre dans le cadre de la RT 2012 13 et 14 02 b Mars Les fondamentaux du pr t social location accession PSLA 20 et 21 03 La place des coop ratives d Hlm au sein des groupes de logement social 24 03 R aliser des op rations d accession sociale en partenariat 27 03 Inscriptions V
56. le indispensable de mobiliser l ensemble des acteurs concern s par cette question afin de trouver dans les meilleurs d lais et conditions les solutions techniques et financi res adapt es Dans ce cadre nous pro posons qu un groupe de travail interminist riel compos de profession nels de la fili re ma tres d ouvrage ma tres d oeu vre bureaux de contr le laboratoires diagnosti queurs entreprises et des minist res de l Egalit du territoire et du Logement des Affaires sociales et de la Sant du Redressement productif de l Ecologie du D veloppe Kit de communication amiante L Union sociale pour l habitat d ploie en liaison avec le Groupe R seau Prescriptions Techniques un important plan d actions professionnelles Le kit de communication destin aux organismes Hlm a pour vocation d aider sensibiliser les salari s et les locataires sur la gestion du risque amiante Fruit d un travail collectif men avec les services de l Union sociale pour l habitat la F d ration nationale des associations r gionales et plusieurs orga nismes de logement social tant au niveau r gional que natio nal ce kit comprend un mode d emploi une plaquette d information g n rale destin e aux loca taires intitul e Travaux et amiante ce qu il faut savoir un diaporama d information g n rale destin l ensem ble du personnel des organismes Hlm intitul L ami
57. lexes et singuli res le groupe apporte sa comp tence en ing nierie sociale en am nagement en construction ainsi qu en gestion Nous avons t confront s d un c t la volont d humaniser un site et de l autre une population pas forc ment d sireuse d un nouveau mode d habitat pas plus habitu e payer un loyer qu vivre entre quatre murs En leur expliquant leurs droits et obligations et en essayant de les faire participer nous nous sommes efforc s de tenir compte de leur identit avec les contraintes qui sont celles d une construction en PLA I 18 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 vanes et un autre pour l activit de fer raillage Six ans apr s la livraison lap propriation des logements est tr s forte et il n y a pas plus d impay s qw ailleurs Tous les enfants sont scolaris s Opievoy Des maisons l origine une situation inextri cable une centaine de gens du voyage install s dans des mobil homes et des caravanes au bord de la Francilienne Jusqu ce qu une famille ait l id e d crire au maire de Choisy le Roi pour lui r clamer un logement salubre Il aura fallu dix ans pour que le projet aboutisse dans le cadre du PDALPD avec un accompagnement de AVGE association des gens du voyage de l Essonne la constitution d un comit de pilotage et d un comit tech nique et la r solution de probl mes de domanialit le terra
58. lisables par les acteurs et adapt s cet enjeu sous la forme par exemple d un fonds de compensation abond par les industriels ayant utilis durant de nombreuses ann es amiante pour la fabrication de leurs produits Foyer R mois La concertation est lanc e pour une pr sentation du projet de loi pr vue au printemps prochain Foyer R mois Lancement de la concertation sur le projet de loi Adaptation de la soci t au vieillissement Le Premier ministre a lanc fin novembre la concertation qui doit contribuer l labo ration du projet de loi d orientation et de program mation pour l adaptation de la soci t au vieillissement autour de plusieurs proposi tions un acc s plus large aux aides techniques pour les per sonnes g es d velopper l of fre de logements interm diaires entre domicile et tablissements notamment des foyers logements enga ger un Acte II de lAPA allo cation personnalis e d auto nomie et y int grer un droit au r pit pour les aidants cr er un portail Internet d in formation La concertation est confi e la ministre d l gu e aux per sonnes g es Mich le Delau nay en lien avec la ministre des Affaires sociales et de la Sant Calendrier saisine du CESE au premier trimestre 2014 pr sentation du projet de loi en Conseil des ministres au printemps vote avant la fin 2014 pour une entr e en vigueur des premi re
59. lles Conception graphique Gavrinis Compo sition Biceps SARL Paris 18 Impression DEJALINK Les arti cles peuvent tre reproduits en tout ou partie sous r serve de la mention d origine avec l accord de la r daction Commission paritaire n 0518 G 83187 D p t l gal 4 trimestre 2013 ISSN 1766 6066 Contacts l Union sociale pour l habitat Direction des activit s promotionnelles 14 rue Lord Byron 75384 Paris Cedex 08 T l 01 40 75 52 63 ou 52 67 Abonnements et tarifs 2014 22 num ros par an des suppl ments dont une Table des mati res en janvier et en ao t Organismes adh rents 276 TTC autres abonn s France 437 TTC tranger 468 le num ro 25 TTC Photo de couverture Programme r alis par l Opievoy et destin aux gens du voyage architecte Dr le de Trames J Larive voir notre dossier pages 14 20 Publicit page 7 Actualit s habitat a t imprim sur du papier issu de for ts g r es durablement certifi PEFCIM FCBA 10 31 1144 par l imprimerie DEJALINK certifi e Iso 14001 2004 et Imprim vert ment Actualit s habitat bimensuel d infor Actualit 36 mation dit par l Union sociale pour Abitat l habitat 14 rue Lord Byron 75384 Paris T Le b timent en baisse en 2013 et 2014 p 9 5 L USH demande la suppression du Fonds de p r quation de la CGLLS e Simplifier les normes un appel de huit organisations dont PUSH Le chiffre de la
60. maines Des conventions avec les lus des grandes villes et pr sidents d intercom munalit s urbaines ont galement t sign es Parmi les engagements pour le retour de l Etat dans les quartiers populaires ouverture des Emplois d avenir aux jeunes dipl m s habitant en ZUS la cr a tion des emplois francs le soutien la cr ation d entreprises sociales par les habitants des quartiers prioritaires le doublement du nombre de d l gu s la coh sion police population dans les ZSP 63 sur 64 concernent des quartiers prio ritaires ou encore la lutte contre l co nomie souterraine et les trafics Hausse mod r e des loyers priv s Fin novembre selon Clameur les loyers de march mesur s lors d une relocation ou d une location nouvelle ont cr de 0 6 en rythme annuel alors que dans le m me temps les prix la consommation pro gressaient de 0 9 sur un an Depuis 2006 les loyers de march augmentent moins vite que l inflation dans 51 des villes de plus de 10000 habitants et ils diminuent dans 36 d entre elles Les carts de loyers restent tr s marqu s entre les r gions de 19 m en Ile de France 8 7 m2 en Auvergne Franche Comt et Limousin Depuis 2009 le recul de l activit s est accompagn d un allongement des d lais moyens de remise en location et les exi gences des candidats sont plus grandes Enfin le recul de la mobilit constat depuis 2011
61. mani internationale l Union europ enne et le Conseil de l Europe pour d signer une population de dix millions d habitants regroupant trois groupes principaux Roms Sint s et Manouches Gitans et Kal s qui se nomment eux m mes Tsiganes Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 15 FA a gt N j r Des gens du voyage visitent un programme en construction en juillet 2013 Caen Habitat Le manque de structures accueil et de r ponses adapt es est d nonc unanimement par les institutions et les associations du voyage Dix ans apr s l adoption de la loi Besson du 5 juillet 2000 instituant un sch ma d partemen tal pour organiser l implantation des aires d accueil des gens du voyage le bilan effectu par la Cour des comptes montre que seule la moiti 52 des places pr vues en aires d accueil ont t Quelles solutions d habitat Plusieurs outils existent pour loger les gens du voyage l am nagement par les communes de plus de 5 000 habitants d aires d accueil d di es aux non s dentaires aujourd hui l am nagement d aires de grand passage destin es r pondre aux besoins de d placement des gens du voyage l occasion de rassemblements traditionnels ou religieux e l achat par de nombreuses familles de terrains souvent inconstructibles e des op rations d habitat priv financ es au titre des terrains familiaux permettant l installation de
62. ment social nous avons remani Actualit s Habitat pour r pondre votre souhait d une revue moderne ouverte et en prise avec les nouveaux modes de consultation D s 2014 vous aurez entre les mains une nouvelle maquette plus a r e et attractive de nouvelles rubriques une formule enrichie de points de vue et d interviews ex ternes experts lus acteurs de l habitat chercheurs conomistes etc et des hors s ries th matiques ABONNEMENT 2014 L Union sociale pour l habitat Direction des Activit s Promotionnelles Editions 14 rue Lord Byron 75384 Paris Cedex 08 Contact C Lara S Blanc T l 01 40 75 52 67 52 64 P riodicit bimensuelle 1 an 22 num ros et des suppl ments Organismes adh rents 276 TTC Autres abonn s France 437 TTC Etranger 468 EN BREF Touraine Logement ESH certifi e Qualibail Une certification qui atteste du niveau des services rendus aux clients et treize engagements dont des attributions en toute transparence le contr le des l ments de s curit du logement les conomies d nergie ou encore un service disponible 24h 24 et 7 jours 7 Convention Bourg Habitat ERDEF Bourg Habitat et ERDF Pays de l Ain ont d clin le partenariat nou au plan national en signant localement le 13 novembre dernier une convention de partenariat par laquelle l op rateur s engage am liorer son service de raccordement laborer un plan de mo
63. nnuelles des prix la consommation et de IIRL sont tr s faibles depuis le d but de l ann e Le prix des logements anciens est en l g re baisse sur un an Les taux d int r t des pr ts l accession restent des niveaux particuli rement bas tr s l g re hausse des taux longs de march Le B timent en baisse en 2013 et 2014 La situation du b timent a t mauvaise en 2013 et le restera en 2014 indique Didier Ridoret pr sident de la F d ration fran aise du b timent L ann e 2013 se solde sur une baisse globale de Pacti vit de 2 6 en volume Seul le non r sidentiel neuf progresse de 0 8 alors que l am lioration entretien et le logement neuf reculent respectivement de 1 1 et de 74 Et de rappeler que le repli n tait que de 1 2 en 2012 Les mises en chantier s tablissent 332730 logements en 2013 346 462 en 2012 la FFB pr voyant 339 467 en 2014 Au total depuis 2008 le recul d activit avoisine les 17 en volume et aucun signe avant coureur d une reprise des com mandes ne se profile Arr t de la r cession ne signifie pas croissance positive ni a for tiori reprise La FFB se f licite du taux r duit de TVA sur les travaux d conomie d nergie et demande un recalibrage du D apr s la FFB aucun signe avant coureur d une reprise des commandes ne se profile DR PTZ la reprise tant selon elle condition n e par la primo accession aujourd
64. ns de terrains b tir Nous publions ci des sous une nouvelle fiche qui traite cette fois des acquisitions d immeubles b tis par un organisme Him attention elle ne traite que des acquisitions et non des ventes d immeubles par un organisme Cette fiche peut galement tre trans mise aux notaires avec lesquels lorga nisme travaille afin de les informer sur les sp cificit s des organismes Hlm Le tableau fait r f rence aux textes offi ciels sur lesquels certaines solutions s appuient notamment les textes du Bulletin officiel des finances publiques Remarque pr alable le r gime fiscal des acquisitions d immeubles b tis est diff rent de celui des acquisitions de terrains b tir C est pourquoi il convient de bien qualifier le bien objet de la cession Selon le Bulletin officiel des imp ts un immeuble b ti est une construction qui se trouve en tat d tre utilis e en tant que telle pour un usage quelconque et ce m me si cette construction est destin e tre d molie par l acqu reur En sens inverse un immeuble dont l tat le rend impropre un quelconque usage devra tre assimil un terrain b tir sous r serve qu il soit situ dans une zone o les constructions peuvent tre autoris es Acquisition titre on reux d un immeuble b ti par un organisme Him Cas n 1 Vendeur assujetti la TVA par exemple un promoteur qui vend un organisme Him en VEFA un
65. ns les conditions pr vues aux 3 et 5 de l article L 351 2 du Code de la construction et de l habitation il doit produire son contrat de pr t ou s il ne dispose pas encore de ce contrat au jour de la signature il doit s engager dans l acte d acquisition produire les documents d finitifs d obtention du pr t dans un d lai de six mois compter de la date d acquisition de l immeuble ou de son ach vement en cas d acquisition en tat futur d ach vement La mention de ces engagements est imp rative pour b n ficier du taux r duit 22 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 DROIT ET FISCALIT Acquisition titre on reux d un immeuble b ti par un organisme Him suite Cas n 1 Vendeur assujetti la TVA par exemple un promoteur qui vend un organisme Him en VEFA un immeuble destin la location sociale R gime de TVA TVA factur e par le vendeur l organisme acqu reur Vente d un En principe exon ration de TVA immeuble achev On note toutefois pour information que le vendeur peut depuis plus de opter pour la TVA cas rare en pratique cinq ans Droits d enregistrement ou taxe de publicit fonci re la charge de l organisme acqu reur En principe 5 09 du prix HT dans certains d partements le bar me peut tre l g rement diff rent En effet les conseils g n raux peuvent moduler ce taux et ou appliquer des abattements sur certaines ventes L acquisit
66. occupation des sols et la cessation d une occupation ill gale sont des buts l gi times l Etat a l obligation de pr ter une atten tion suffisante aux besoins des familles en termes de relogement dans un souci de pro portionnalit entre le but poursuivi et l impact sur la vie des familles 2 Journ e du 3 octobre 2013 Habitat Roms gens du voyage nouveaux regards nouvelles exp riences Club Habitat social pour la ville 3 Rapport de la Cour des Comptes sur lac cueil des gens du voyage octobre 2012 4 Bilan de l application de la circulaire inter minist rielle du 26 ao t 2012 par le D fenseur des droits septembre 2013 5 Rapport Hubert Derache d appui la d fi nition d une strat gie interminist rielle renou vel e juillet 2013 Op rations r centes Grand Lyon Habitat Accueillir la diff rence OPH du Grand Lyon a livr qua tre programmes de s dentarisa tion en trois ans pour un inves tissement de 9 millions d euros 18 maisons de ville en bande avec nergies renouvelables jardin et emplacement pour la caravane Saint Genis Laval 10 villas environnementales Chassieu 6 unit s d habitation avec espace ext rieur de travail et terrasse Pierre B nite La derni re 13 logements Saint Priest sera achev e en d but d ann e prochaine Des op rations sp cifiques fond es sur des changes mutuels avec l appui d un diag nostic social et dune MOUS pr
67. ordon n e du Groupe implique lar r t de toute production nou velle de cr dit compter du 27 novembre Plus de 1200 postes li s l activit de production devraient en cons quence tre supprim s en 2014 En revanche le Cr dit immobilier de France va poursuivre la ges tion de son encours de pr ts repr sentant pr s de 33 mil liards d euros d une dur e de vie tr s longue Il mobilisera les expertises de toutes ses quipes op rationnelles et de support soit environ 900 col laborateurs pour d livrer ses 385000 clients un service de grande qualit L effectif de ces quipes d cro tra progressive ment avec l encours Mobilisation pour l avenir des salaries D importants chantiers vont maintenant s ouvrir pour mener bien la simplification juridique et op rationnelle du Groupe sous l impulsion d une gouvernance unique AU cours des ann es venir des chal lenges professionnels nou veaux vont ainsi s offrir aux quipes impliqu es dans la nouvelle phase qui s ouvre avec l ambition de s affirmer comme une r f rence dans la gestion de pr ts immobiliers La r solution ordonn e du Groupe a des implications par ticuli rement lourdes en termes d emploi en premier lieu pour la ligne de produc tion La direction se mobilise totalement pour le reclasse Je partage avec mes coll ques du Conseil d administration et les dirigeants des SACICAP un sentiment de
68. plus du tiers des contrats seront remis en concurrence L association compte trois coll ges des bailleurs des associations d usagers et de locataires des personnalit s quali fi es L AORIF USH d Ile de France est membre d honneur ainsi que la CRAMIF Caisse r gionale d assurance maladie d Ile de France Le financement est assur par les bailleurs au prorata de leur nombre d ascenseurs l 1 Antin R sidences Batig re Ile de France Bobigny Habitat Bondy Habitat Colombes Habitat Public Domaxis Elogie Emma s Habitat groupe Logement Fran ais ICF Habi tat La Sabli re LogiRep OPH de Seine Saint Denis Opievoy Osica Paris Habitat RIVP SIEMP Val d Oise Habitat Vilogia Troph es qualit gaz naturel en logement social outenu par GrDF et organis en partenariat avec PUSH Prix Him qualit gaz naturel en logement social distingue des op rations inno vantes en mati re de performance co nomique nerg tique et environnemen tale Il s adresse tous les organismes Him qui peuvent s associer avec leur agence r gionale D veloppement Entreprises GrDF L quipe participante est compos e de deux trois salari s de l organisme Him de l interlocuteur d di GrDF et ven tuellement d une personne repr sentant le ma tre d uvre BET architecte Trois th mes sont propos s performance nerg tique en neuf ou en r habilitation actions de ma trise de l ner
69. quinzaine POINT DE VUE 6 Politique du logement plaidoyer pour un d bat constructif et quili br INFOS 8 Conjoncture au 2 d cembre 2013 9 Le b timent en baisse en 2013 et 2014 e Journ e des communaut s urbaines et des m tropoles 10 Politique de la ville dix conventions interminist rielles pour les quartiers e Hausse mod r e des loyers priv s e Observatoire des charges 2013 les grandes tendances CHOS 12 En bref e France Loire Soliance Habitat e La Maison du CIL USH des Pays de la Loire Distinction 13 Cus Habitat l Habitation Moderne e Pas de Calais Habitat USH Rh ne Alpes LE DOSSIER 14 Gens du voyage faciliter l acc s au droit commun 2 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 Nouvelle association Exigences Ascenseurs p 26 17 Op rations r centes Grand Lyon Habi tat OPH Perpignan M diterran e 18 Domial Opievoy 19 Aquitanis 20 Caen Habitat Valophis Habitat OPH Montreuillois NERGIE 21 Dynacit suivre sa consommation sur le Net e Nantes Habitat sensibilisa tion la tarification sociale de l ner gie En bref DROIT ET FISCALIT 22 TVA v rifiez le r gime fiscal de vos acquisitions d immeubles b tis 24 Questions r ponses Fax juridique 25 Proc dure de r tablissement person nel quel montant de dettes effacer TECHNIQUE 26 Des bailleurs d Ile de France cr ent l association Exigence Ascenseurs
70. r l Inter syndicale du Groupe Sign le 6 novembre il couvre toute la dur e du plan pour assurer une quit entre tous les salari s du Groupe dans le temps et dans l espace son montant sera int gralement provisionn dans les comptes 2013 Un portail Internet pour renouveler sa demande de logement social Depuis le 2 d cembre 2013 le portail www demande loge ment social gouv fr permet aux demandeurs de logement social d effectuer par Internet le renouvellement annuel ou la mise jour de leur demande de logement social condi tion d avoir re u un code de t l d clarant qui sera indi qu sur le prochain formulaire de renouvellement adress par l administration Auparavant ils devaient se d placer physiquement chaque ann e aupr s d un service enre gistreur organisme de loge ment social ou mairie L acc s ce service va s op rer de mani re gradu e chaque semaine entre 12000 et 15 000 m nages seront avertis par courrier de ce nouveau service Au printemps prochain ce portail va s enrichir de nou velles fonctionnalit s telle la saisie en ligne de la demande de logement sans passer par un service enregistreur Par la suite les demandeurs pour ront d poser l ensemble des pi ces justificatives consti tuant la demande et suivre l avancement de leur dossier Ces dispositions de d mat rialisation sont int gr es dans le projet de loi ALUR Es Demande d i
71. ransition nerg tique Les communaut s urbaines et m tropoles s inqui tent surtout du risque d une forte d gradation de leurs finances en 2014 due la baisse des dotations de l Etat Elles proposent trois mesures demander l Etat d engager un contr le contradictoire de l volution de l assiette de CVAE cotisa tion sur la valeur ajout e des entreprises neutraliser les effets en termes de produit de la r forme de la CFE cotisation fon ci re des entreprises en la rendant option nelle d caler dans le temps certaines d penses contraintes Et de conclure dans leur d claration finale L affirmation des m tropoles et le fait urbain plus large ment objet du texte de loi doivent tre soutenus sans tre contrebalanc s par des dispositions financi res contradictoires le moment est venu de remettre la p r quation l endroit en favorisant les espaces urbains et m tropolitains qui concentrent tout autant le plus de pauvret et le plus de potentiel de croissance Enfin dans un avenir proche l ACUF Association des communaut s urbaines de France pourrait fusionner avec lAMGVEF Association des maires de grandes villes de France Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 9 INFOS Politique de la ville Dix conventions interminist rielles pour les quartiers Une s rie de conventions triennales d objectifs pour les quartiers populaires pour la p riode 2013 2015 a t
72. rd 3 02 Coproduire la qualit l chelle d un territoire 6 7 02 Ressources Humaines et Formation 302 305 306 Initier une d marche de gestion pr visionnelle des ressources humaines 27 28 29 01 Gestion de la paie les fondamentaux 10 11 02 Optimiser le financement de la formation 30 31 01 Gouvernance et gestion 405 421 441 446 451 Les obligations administratives des OPH et leur gestion pratique au quotidien 6 7 02 Les notions cl s de la gestion des organismes Him 12 02 Les bases et la pratique de la comptabilit g n rale 29 30 31 01 13 14 02 Pratique et analyse des fiches de situation financi re et comptable 20 21 02 La gestion de la TVA en organisme Him 23 24 01 Gestion locative 501 502 512 521 556 564 566 567 569 Commercialisation des logements gagner en performance 6 7 02 Promouvoir son offre de logements Communication et actions commerciales 10 11 02 Les r gles d attribution de logement 3 4 5 02 La r glementation de la gestion locative 17 18 19 20 02 Surendettement et proc dures de r tablissement personnel 30 31 01 Contentieux avec les locataires en place 10 11 02 Pratique des proc dures civiles d ex cution 17 18 02 Contentieux locatif actualit et jurisprudence 12 02 Tarification des actes r le et fonction des huissiers de justice 27 28 01 Gestion de proximit 642 643 Pr paration initiale l hab
73. riormaiiena n cssaaines peur coder votre demande de logerant L Ta RAS D CREL Ce ADS SE 28 RG ET eat Pop Beige pii eu Ci L na e ETES QUE AO CROP DS D G E CN CSS F ES DE Lesprance t 2d logement id Peen lig n Lee aeae 10 ieena me r el ie jay aa ii i i j ig arar SO L a il Aam pig CESR ec ges Ce PEU de 18 a hha d a De PATA A a a i hrid Lecia de been FAA a iii Ceru Cou E D MONTE Ceres a De Ea a CE S Ceres H un TE V ore dema a did FrepEr N pr i Gaec PTERETES mes Oi Dehe paui P U POUR eY i a OR CHF LE e Dari bosa mi epok mhd iak Cas Li S DA Ga Ae S ni ed T a Paa a pa A ATLAS Cu Savci france data gouv fr Nouveau portail destin aux demandeurs de logement social enrichi de nouvelles fonctionnalit s au printemps prochain Pa pou iein ar card bn in L USH demande la suppression du Fonds de p r quation de la CGLLS Conf rence de presse Le nombre d agr ments Him va sensiblement progresser en 2013 a annonc Jean Louis Dumont pr sident de l Union sociale pour l habitat pr sen tant les chiffres de l activit des organismes aux c t s des pr sidents de F d rations Hlm le 10 d cembre Passant de 81500 agr ments hors Anru en 2012 86 000 en 2013 soit une pro duction de logements locatifs neufs en hausse de 5 101000 avec l Anru Mais pour construire il faut du foncier et la mobilisation n est pas la hauteur de nos attentes dans le
74. rni res ann es le Besson le Robien le Scellier qu il favo rise le d bat entre acteurs du secteur qu il pointe les failles du syst me d information sur le secteur du logement une enqu te nationale sur le logement qui date de 2006 qu il d taille et value les effets de toutes les propositions avanc es Le r sultat n est pas la hauteur des esp rances Qu est ce qui p che selon vous Les r cents travaux publi s par le CAE n apportent en fait que peu d analyses nouvelles et formulent des id es qui aussi int ressantes soient elles ne peu vent constituer de vraies propositions faute d argumentation et de mesures d impact sur des donn es r centes Lam pleur des modifications sugg r es en mati re d aides personnelles au loge ment int gration au m canisme d im p t sur le revenu m riterait par exemple une pr sentation d taill e des modali t s pr cises et des cons quences pour les diff rents b n ficiaires et pour les d penses publiques Esquisser simple ment la philosophie d un tel dispositif para t insuffisant au vu des lourds enjeux conomiques et sociaux Que pensez vous des autres proposi tions Il s agit d id es insuffisamment d bat tues avec les acteurs du secteur elles s appuient donc parfois sur une m con naissance du secteur conditions r elles d entr e dans le parc Hlm quilibre co nomique des op rat
75. rs tabac e 2013 73 2013 T2 0 2 en France m tropolitaine 0 1 pour les appartements 0 4 pour les maisons s ries CVS e 2013 13 2012 T3 1 4 en France m tropolitaine 1 2 pour les appartements et 1 6 pour les maisons s ries brutes e 2013 12 2013 T1 0 55 indice brut 2013 12 2012 T2 1 74 indice brut 2013 13 2013 12 2013 13 2012 13 0 18 0 0 90 02 20IE T 2 20 1272002012 0 0 indice brut 0 8 indice Drut e Le taux de r f rence des pr ts conventionn s est de 2 35 depuis le 1 octobre 2013 e OAT 10 ans 2 26 en novembre 2013 2 39 en octobre lt Euribor 3 mois 0 22 en novembre 2013 0 22 en octobre e Moyenne mensuelle de l EONIA 0 10 en novembre 2013 0 09 en octobre Le taux du Livret A est de 1 25 depuis le 1 ao t 2013 A fin septembre 2013 encours des d p ts sur Livrets A Bleu et LDD s l ve 360 6 Md 21 7 Md depuis le d but de l ann e De janvier octobre 2013 le nombre de logements mis en chantier est en baisse de 2 par rapport l ann e derni re Autorisations Mises en chantier E Janv octobre 2013 Par rapport 2012 Janv octobre 2013 Par rapport 2012 Individuels purs 118 700 re a D 100 ST Individuels group s DD O0 DU 36 600 UT olea a _aEaEZEZEZEZEE P D o TTT re 2 de SO re LD Lan EU Total 369 000 13 273 700 20 Sur la m me p riode de d but janvier
76. s cinq r gions strat giques que sont l Aquitaine l Ile de France le Languedoc Rous sillon Provence Alpes C te d Azur et Rh ne Alpes S il se r jouit de la dyna mique positive entre le Mou vement Hlm et le minist re de Egalit des territoires et du Logement qui a permis la signature du Pacte d objectifs et de moyens le pr sident a list les r centes annonces qui pourraient avoir des cons quences n gatives importantes pour le secteur la ligne fongible des aides la pierre et la surcharge fon ci re est en baisse de 10 et passe de 500 millions en 2013 450 millions en 2014 la d sindexation de l APL jusqu au 1 octobre risque d ag graver le pouvoir d achat des locataires le taux de TVA r duit a t fix 5 5 et non pas 5 et le p rim tre des travaux de r novation concern s par ce taux de TVA r duit fait encore Le pr sident de l USH aux c t s des pr sidents des F d rations a list les annonces pouvant avoir des cons quences n gatives pour le secteur DR l objet de discussions difficiles avec l administration En 2011 un appel cotisation trop important a g n r un r sultat exc dentaire de 78 mil lions d euros que le rapporteur g n ral de la commission des finances de l Assembl e natio nale souhaite verser au fonds de p r quation dont l usage est l enti re discr tion de l
77. s des locataires Pour identifier les locataires qui peuvent b n ficier de la tarification sociale l Office fournit aux distributeurs d nergie et la plateforme XGS cr e par l Etat le d tail de l ensemble du patrimoine concern adresses et nombres de logements A partir de ces l ments un recoupement En bref Habitat r uni et les C2E Gr ce au par tenariat conclu avec la soci t Ceelium en juillet 2012 plus de 700 GWh Cumac de certificats d conomie d nergie auront t valoris s fin 2013 Des r sul tats qui d passent les pr visions d ori gine et constituent une ressource non n gligeable pour compl ter le finance ment des travaux de r habilitation TenF Lutter contre la pr carit nerg tique c est noi AE sr La formation dont b n ficient aussi les travailleurs sociaux de la ville est assur e par EDF DR est fait avec les donn es CAF pour identi fier les locataires dont les ressources sont susceptibles d tre ligibles cette tarifi cation sociale La r gulation se fera sur chaque facture pour l lectricit et pour le gaz sous forme d un ch que envoy par le fournisseur d nergie directement au domicile du locataire une fois par an selon la date d enregistrement des droits E Pour m moire B n ficient du tarif de premi re n cessit pour l lectricit et du tarif sp cial de solidarit pour le gaz les personnes ligibles l
78. s manouches acteurs de leur parcours A Kingersheim un campement consti tu de cabanes en bois et de caravanes en c ur de ville faisait d sordre Une d marche citoyenne et participative a t mise en uvre travers une cellule de dialogue entre riverains et gitans un conseil consultatif compos d lus de techniciens et d habitants et une cellule de veille s curit d clinaison du CLS M fiants au d part les habitants se sont engag s personnellement par un contrat avec la municipalit et par le bail La visite d op rations dans le Bas Rhin et l aide de l association AVA Habitat et nomadisme ont permis d adapter l habitat Fin 2005 d marraient les d m nage ments la d molition des baraques et le d placement des caravanes Relog s pro visoirement face au chantier les manouches ont suivi la construction des 37 maisons de part et d autre de la voie rapide la Ville prenant en charge la via sd ET A T PE a t E 2 T r aaa AA Ne let ST e i a Se Le Polygone PRU du Neuhof Strasbourg Op ration en 4 tranches livraison en juin 2012 des 50 premiers pavillons jumel s ou en bande avec panneaux solaires chauffage au bois et espaces ext rieurs privatifs Co t 32 M avec des financements CU Strasbourg Etat RHI et Anru Domial Conseil g n ral et Conseil r gional Architecte DRLW DR T moignage Voie m diane Kingersheim pr s
79. s mesures d s 2015 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 3 A LA UNE Cr dit immobilier de France Une tape majeure La Commission europ enne a valid le 27 novembre dernier la r solution ordonn e du groupe Cr dit immobilier de France CIF et autoris en cons quence l octroi d une garantie d finitive de l Etat conform ment aux r gles de l Union europ enne Cette d cision conclut le pro cessus qui s tait engag en janvier dernier avec l adop tion par les organes sociaux du Groupe du principe de la r solution ordonn e Elle conduit une transformation radicale du Groupe d sormais centr sur la gestion des pr ts immobiliers Le Cr dit immobilier de France est ainsi affranchi des probl mes de liquidit qui l avaient contraint fin ao t 2012 demander la garantie de PEtat Cette garantie dont le plafond a t port 28 mil liards d euros s curise int gralement le refinancement du Groupe s r de pouvoir faire face ses engagements tout au long de la gestion extinctive de son encours que la Commission europ enne fixe une dur e maximale de 22 ans Elle prend le relais de la garantie provisoire obtenue en f vrier dernier Le Protocole entre l Etat et le groupe Cr dit immobilier de France fixant les conditions de mise en uvre de la garan tie d finitive est en cours de signature En contrepartie de la garantie d finitive la r solution
80. sation la r duction des activit s conomiques li es au voyage la diminution des lieux de stationnement tol r s l aspiration au confort et la volont de scolarisation des enfants pour leur offrir un avenir meil leur font na tre un d sir d ancrage chez les voyageurs qui s inscrivent dans un processus de s dentarisation Autre ment dit un lieu qui permette d avoir un mode de vie s dentaire sans pour autant renoncer au voyage une ou deux fois lan C est essentiellement dans ce cadre que les organismes Hlm sont sollicit s par les collectivit s locales pour conce voir construire et g rer des projets de re logement favorisant l appropriation des lieux par les habitants et l inscription dans le quartier en tant qu habitat part enti re Mais cela reste bien en de des besoins Rep res Gens du voyage Les gens du voyage install s en France depuis longtemps forment une communaut non homog ne qui se caract rise par son mode de vie en caravane Ils repr sentent 350 000 personnes dont 70000 voyageurs permanents le reste se r partissant entre les semi s dentaires et les s dentaires Roms Terme employ en France pour d signer les migrants conomiques des pays d Europe centrale et orientale estim s quelque 20 000 personnes dont 85 de ressortissants europ ens vivant pour la plupart dans des campements illicites et des squatts Terme g n rique employ par l Union Ro
81. sont qui p es de brise soleil Les fen tres sont triple vitrage L eau chaude sanitaire est produite par capteurs solaires avec un compl ment gaz Les besoins en chauffage tant inf rieurs a15kWh m2 an une ventilation m canique double flux haut rendement permettra de r cup rer plus de 80 des calories extraites de l air vici Un s che serviettes d appoint est ins tall dans les salles de bains Soliance Habitat Des r ponses en territoire semi rural Au premier semestre 2013 PESH a mis en location 49 nouveaux logements sur son territoire d intervention Pays libournais le nord et l est de la Gironde majoritairement situ en zone C Trois pro grammes haute performance nerg tique dont deux label lis s BBC r pondent aux attentes sp cifiques des com munes qui les accueillent La r sidence Les Lilas Libourne consiste en la restructuration d un lot urbain r pondant aux exigences de mixit de lhabitat Un immeu ble de 23 appartements conju gu avec six pavillons permet A La Rivi re 33 la r sidence Le Mascaret DR 12 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 une mixit sociale et de g n rations A Coutras seize maisons ont t construites proximit du centre ville pour d velopper l offre de logements en faveur des habitants de la commune et de son bassin d emploi A La Rivi re petite commune de quelque 320 habit
82. t La vigilance pour une information renforc e s impose le locataire en PRP doit poursuivre le r glement du loyer cou rant pendant toute la p riode d instruc tion du dossier de traitement du surendet tement car le d biteur inscrit dans cette proc dure ne b n ficie pas automatique ment et syst matiquement d une suspen sion de la mesure d expulsion En tout tat de cause pour les dossiers en cours la position jurisprudentielle permet de mettre fin aux divergences E Th mes Proc dures Surendettement Contact Huberte Weinum conseiller juridique USH DJEF T l 01 40 75 78 60 M l djef union habitat org 1 Actualit s habitat n 940 du 15 02 2012 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 25 TECHNIQUE Des bailleurs d Ile de France cr ent l association Exigence Ascenseurs epuis 2010 nous avons investi plus de 7 milliards d euros soit 20 000 euros par ascenseur sans que les locataires per oivent d am lioration de la qualit de service indique d embl e Jean Luc Vidon pr sident de l association Exi gence Ascenseurs cr e par 19 bailleurs d Ile de France Nous avons toujours des ascenseurs qui tombant en panne le ven dredi le restent tout le week end L ob jectif de l association est de cr er un r f rentiel pour am liorer la qualit de service et la s curit des ascenseurs II ne s agit pas de r f rencer Otis ou Schindler mais leurs unit s r
83. t quelque 171 agents ancienne ment r partis Pas de Calais Habitat Un bouclier fiscal Destin aux locataires retrai t s g s de 65 ans ou plus vivant seuls ou deux dans un logement T1 ou T2 le bouclier fiscal mis en place par Pas de Calais Habitat permettra d s 2014 que le loyer de ces per sonnes ne d passe pas 25 de leur revenu Plus de 40 des occupants d un studio ou d un deux pi ces sont concern s dans le parc Le bouclier social repr sente 700 800 euros d conomie par an soit l qui valent d un minimum vieil lesse en suppl ment Un bou clier social qui selon le pr sident Michel Vancaille premier vice pr sident du Conseil g n ral favorisera ga lement le maintien domicile des personnes vieillissantes Dans l imm diat l Office tra vaille la mise en place tech nique de la mesure et une gestion simplifi e et souple Apr s le recueil des ressources et une phase test le bouclier sera r actualis aupr s des locataires concern s gr ce une enqu te annuelle ou bi annuelle L USH Rh ne Alpes m ne une enqu te S curit A l initiative du Club management de la s curit et de Pen vironnement cr en 2010 par les organismes rh nalpins les bailleurs sociaux ont conduit une enqu te au troisi me tri mestre 2013 sur les diff rents m tiers li s la s curit Les r sultats ont t pr sent s lors d une matin e d changes
84. t d importance les acteurs du Mouvement Hlm sont tout fait pr ts y participer activement dans un souci de d bat constructif et quilibr m 1 Directeur des Etudes conomiques et finan ci res de l Union sociale pour l habitat Les propositions du CAE Dans une note du 24 octobre 20130 le CAE Conseil d analyse conomique avance des propositions pour fluidifier l acc s au logement aussi bien priv que social e dans les zones tendues construire les PLUS PLA I sur les ressources propres des organismes et r server les subventions publiques aux projets r duisant la s gr gation spatiale mesur e par un indicateur transparent e mettre en concurrence les organismes Him et les structures priv es pour la production et la gestion de logements neufs dans les zones tendues e pour les attributions de logements sociaux adopter un guichet unique au niveau de l intercommunalit et un syst me de points e mettre en place des surloyers en fonction du revenu mais aussi de la dur e d occupation pour augmenter la mobilit e int grer les aides au logement l imp t sur le revenu en d duisant les loyers vers s du revenu imposable et pour les m nages non impos s transformer les aides en imp t n gatif 1 Alain Trannoy et Etienne Wasmer La Politique du logement locatif document de tra vail du Conseil d analyse conomique 6 Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 edex
85. tion des promoteurs immobiliers la F d ration du b ti ment la Conf d ration de l arti sanat et des petites entreprises du b timent l Union des maisons fran aises la F d ration des entre prises publiques locales le Syndi cat national des am nageurs lotis seurs et l Union nationale des conomistes de la construction 48 167 personnes reconnues prioritaires au titre du Dalo Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 20131 5 POINT DE VUE Politique du logement Plaidoyer pour un d bat constructif et quilibr Suite la publication d une note du Conseil d analyse conomique sur la politique du logement locatif Dominique Hoorens livre ici son analyse de ce document de travail Comment jugez vous cette note Le pr ambule tait pro metteur l valuation des importants dispositifs fiscaux et sociaux concer nant le secteur du logement reste rare et quand elles sont men es restent souvent sans suite L acc s aux donn es est par cellaire et demande un combat de tous les instants pour les chercheurs Or nous manquons dramatiquement d tudes approfondies d expertise et de contre expertise dans ce domaine On aurait pu attendre du document du Conseil d ana lyse conomique CAE que justement il comble les lacunes ainsi d nonc es Qu il apporte par exemple des analyses d im pact des nombreux dispositifs fiscaux qui se sont succ d ces de
86. ur la vaccination des enfants et le trai tement de pathologies lourdes la sco larit 22 enfants scolaris s et l inser tion professionnelle Deux pavillons de la ville et trois appar tements de l OPH vou s la d molition sont mis disposition pour deux ans et remis en tat avec les occupants Un dis positif de contractualisation est mis en place avec les familles contrat d h ber gement r glement de fonctionnement paiement d une redevance L une d en tre elles a acc d un logement social La d marche est celle d un maillage ter ritorial entre bailleur Ville et associa tions pour sortir de l urgence Au final les logements sont bien entretenus les a priori ont chang souligne Philippe Bourdajaux de Valophis Habitat i niveau acoustique La gestion en a t confi e la Cit Myriam association sp cialis e dans la gestion de h bergement d urgence et l insertion par le logement Situ dans le quartier du Bas Montreuil ce programme francilien a t r alis sur un terrain mis disposition par la Ville pour une dur e de dix ans l issue de laquelle les modules pourront tre d mont s et remont s sur un autre site W Une solution pour surveiller sa consommation DR Dynacit Suivre Sa consommation sur le Net epuis septembre 36 familles de l Ain 29 en appartement Jas sans Riottier et la L ch re 7 en pavillon Hauteville Lompn s su
87. us d class s pour faire face au d fi de amiante et mener dans des condi tions de pleine s curit les chantiers de d molition ou de r novation venir pour faciliter pour les demandeurs le suivi de leur dossier L Union sociale pour l habitat est un Mouvement au service des orga nismes Hlm au service de l int r t g n ral en 2014 gardons pleine et enti re notre nergie Je vous souhaite tous d excellentes f tes de fin d ann e Jean Louis Dumont pr sident de PUSH Actualit s habitat N 981 du 15 d cembre 2013 1 SOMMAIRE Ha CUS Habitat l ss E e Hall commun pour 2 organismes p 13 DITORIAL 1 Edito de Jean Louis Dumont pr si dent de PUSH LA UNE 3 Amiante Jean Louis Dumont crit au Premier ministre Lancement de la concertation sur le projet de loi Adap tation de la soci t au vieillissement 4 Cr dit Immobilier de France une tape majeure Un portail Internet pour renouveler sa demande de loge Cedex 08 t l 01 40 75 78 00 t l co pie 01 40 75 68 21 Internet www union habitat org Directeur de publica tion Fr d ric Paul R dactrice en chef Soraya M hiri R dactrice en chef adjointe Fr d rique X lot R dactrices Pascale Baret Nicole Rudloff Secr taire de r daction maquette V ronique Eee Simonnet Publicit administration des ventes et abonnements Thierry Lesage directeur des activi t s promotionne
88. ux de l accession sociale s curis e 5 au 6 06 16 au 17 10 B2 Montage technique et financier des op rations approfondissement 19 au 21 03 15 au 17 10 B3 Produire des op rations mixtes ASP locatif choix ou obligation 7 au 8 04 3 au 4 11 R alisation et suivi des op rations d accession 5 au 6 06 B5 Piloter la ma trise d uvre dans le cadre de la RT2012 13 au 14 02 B6 Accompagner les projets d habitat participatif 3 07 B4 Promotion et commercialisation C1 Le montage commercial 3 au 4 04 18 au 19 09 C2 Les contrats de vente en VEFA 6 au 7 02 13 au 14 10 C3 S curiser et accompagner l acc dant 13 au 14 05 C4 Management des ventes 16 au 17 01 23 au 24 10 C5 Techniques de vente 26 au 27 05 23 au 24 06 Financement de l accession sociale VEFA PSLA D1 Aspects financiers comptables et fis caux de l accession sociale organi sation contr le et suivi 16 06 D2 Aspects financiers comptables et fis caux de l accession sociale compta bilisation et la fiscalit 17 au 18 06 D3 Les fondamentaux du PSLA 20 au 21 03 16 au 17 10 D4 Les sp cificit s comptables et fis cales du PSLA 17 11 D5 Le cadre juridique du PSLA perfec tionnement 12 au 13 06 8 au 9 12 Livraison et valuation de l op ration El Pr parer la mise en place de la copro pri t en accession neuve les ques tions se poser 7 au 8 04 20 au 21 10 E2 Les sp cificit s de la l

LE DOSSIER - L`Union sociale pour l`habitat

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