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Le panorama de l`environnement industriel 2009

1. Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement 6 proches de Saint Brieuc 3769 CE Cotes d Armor Ille et Vilaine 3 521 Morbihan 3221 4 proches de Rennes 3 Saint Malo tablissements recevant des enfants et adolescents situ s sur d anciens sites industriels Le Plan national sant environnement 2009 2013 pr voit l identification des tablissements recevant des populations sensibles sur des sites potentiellement pol lu s du fait d anciennes activit s industrielles cr ches coles maternelles et l mentaires tablissements h bergeant des enfants handicap s coll ges et ly c es tablissements de formation professionnelle des jeunes du secteur public ou priv Les modalit s de programmation et de r alisation des op rations de diagnostic sont pr cis es par circulaire du 4 mai 2010 Il ne s agit pas d une d marche r gle mentaire mais d une d marche d anticipation environ nementale Ces diagnostics ne sont motiv s en effet ni par une inqui tude sur l tat de sant des enfants et des adolescents ni par des situations environnemen tales d grad es L objectif des diagnostics men s sur ces tablissements est de v rifier que les pollutions ventuellement pr sentes dans les sols ne d gradent ni l air int rieur des locaux ni les aires de jeux ni le r seau d eau potable Le ma tre d ouvrage de l action est le minist
2. volailles 4 296 levages dont 1 115 levages Auto dont IPPC 87 levages dont volailles 61 DECLA dont porcs 26 dont porcs 159 dont porcs levages 7 DECLA avec CP levages DECLA avec CP 395 108 REP i C tes d Armor Finist re 18 972 levages dont 7 064 levages Auto dont IPPC 667 s Ro dont volailles T 327 dont porcs levages DECLA Tae ZOOM Mise en conformit des tablissements IPPC Le 4 janvier 2010 la Commission europ enne adresse une mise en demeure la France relative la non conformit de certains ta blissements concern s par la directive IPPC En Bretagne au d but de l ann e 2010 107 tablissements sur 1 849 tablissements IPPC au niveau de la r gion sont concern s Parmi ces 107 tablissements il y a 43 levages Suite de nombreuses relances et mises en demeure la totalit des bilans de fonctionnement ont t transmis par les exploitants agricoles et industriels puis instruits par l Inspection des IC Fin 2010 100 des tablissements signal s industriels ou agricoles taient revenus conformes la directive IPPC DECLA avec CP levages DECLA avec CP 286 NS Ille et Vilaine 4 096 levages dont 1 620 levages Auto dont IPPC 573 dont volailles dont porcs gt 52 levages DECLA levages DECL
3. Lancement des diagnostics pr vu en 2012 2013 Lancement des diagnostics pr vu en 2012 2013 31 6 PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 8 LES PRODUITS CHIMIQUES Les produits chimiques Les substances chimiques indispensables la production d un grand nombre de biens suscitent des pr occupations croissantes quant leurs effets sur la sant et l environ nement L exposition ces substances peut concerner aussi bien le travailleur qui les utilise que le consommateur final ou plus g n ralement la population qui peut tre expos e via le relargage de substances dans l environnement Pour mieux prendre en compte les risques g n r s par ces substances la r glementation europ enne s toffe et les missions de l Inspection des installations class es voluent Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement REACH et CLP cadre r glementaire pour la fabrication et l utilisation des produits chimiques f ntr en vigueur au 1 juin 2007 le r glement europ en 1907 2006 dit r glement REACH acronyme anglais pour Registration evaluation and autorisation of chemicals impose l enregistrement l valuation et l autorisation des substances chimiques pour assurer la pr vention et la gestion des risques sanitaires et environnementaux dus l usage de certaines substances chimiques Ce r gle ment constitue un outil imp
4. lectricit et chaleur 156 24 53 6 118 0 9 100 36 2 02 6 6 16 2 Seuil 100 t an EDF EDF Soccram Soci t Brennilis Dirinon Rennes laiti re de Retiers Poussi res Fonderies Industrie agroalimentaire Incin rateurs d ordures m nag res Production d nergie lectricit et chaleur Seuil 150 t an 2 Aucun tablissement ne d passe le seuil de d claration La plus grande quantit de rejets d oxydes d azote de 2010 est en lien di rect avec les conditions hivernales de 2010 qui ont conduit un plus grand nombre d heures de fonctionnement des deux centrales thermiques Dans le cas de la Bretagne les deux centrales thermiques de Brennilis et Dirinon sont des centrales d appoint qui ne fonctionnent que quelques cen taines d heures par an pour contribuer assurer la fourniture d nergie lors des pointes de consommation hivernales Le syst me communautaire d change de quotas d missions de gaz effet de serre Le protocole de Kyoto sign en 1997 et approuv par la Communaut europ enne en 2002 fixe des objectifs de r duction des missions de gaz ef fet de serre pour les pays industrialis s Afin d at teindre ces objectifs l Union europ enne a mis en place le syst me communautaire d change de quotas d missions de gaz effet de serre Depuis 2005 les industriels soumis au syst me sont te nus de restituer un quota pour cha
5. 1 621 levages IPPC Ek 7 027 levages soit 80 des ICPE soumis autorisation FO 247 carri res La Bretagne est une r gion atypique C est la premi re r gion de France e en nombre d ICPE soumises autorisation 1 ICPE sur 5 et leur poids par rapport l ensemble de la France e en nombre d tablissements IPPC 30 des tablissements IPPC fran ais Cette proportion monte 52 pour les levages IPPC La France repr sente 12 des tablissements IPPC europ ens 52 000 tablissements Mais contrairement aux autres r gions fran aises 80 de ces installations ont en Bretagne la m me activit l levage En effet la Bretagne repr sente plus de 40 des levages fran ais soumis autorisation et m me plus de la moiti des levages class s IPPC Ce poids tr s important d une mono activit est unique en France L organisation et l action de l inspection des IC sont adapt es au niveau r gional pour prendre en compte cette particularit et ses cons quences ZOOM Le r gime d enregistrement Le r gime d enregistrement est un nouveau r gime de proc dure d autorisation simplifi e cr par ordonnance du 11 juin 2009 Les d crets d application et les premi res rubriques datent d avril 2010 La cr ation de ce nouveau r gime est l aboutissement d une r flexion et d une concertation de plusieurs ann es Il a en effet t constat que pour certaines installations la proc
6. Laiti re de Pontiwy SLP Rue Charles Le Tellier Laiti re du Blavet Soci t ZI Pontivy le Sourn Moulins de Saint Armel Route de Gu m n PEP Produits labor s ZI de Camagnon Procanar La Haye Ronsard 18 rue de l Industrie SAG Ste alimentaire de Guidel ZI des Cing Chemins Salaisons Celtiques ex Onno Parc Activites Trehonin Sanders Bretagne Parc d Activit s de Saint Caradec Socalys ex Socavi Moulin du Baudry Soprat SA ZI de Bel Air SPI Proteines Industrielles ex Fristo Le Flachec Stef Bretagne Sud Gourin ZI de Guerneac h Stef Bretagne Sud Le Sourn ZI Le Sourn UCA Lorco Bellerive UFM Mor ac Zone d Activit s du Barderff Libell activit Autres industries agro alimentaires Fabrication de conserves Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Industrie agro alimentaire Entrep ts frigorifiques Industrie laiti re Industrie laiti re Autres industries agro alimentaires Autres industries agro alimentaires Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Fabrication d aliments pour animaux Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Autres industries agro alimentaires Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Entrep ts frigorifiques Entrep ts frigorifiques Industrie laiti re F
7. Les conditions de cr ation de composition et de fonctionnement de ces instances sont encadr es par le Code de l environnement CLIS articles L 125 1 et R 125 5 et suivants CLIC article L 125 2 et R125 29 34 Les membres de ces instances sont des repr sentants des administrations publiques de l exploitant de l installation des salari s des collectivit s territoriales et de repr sentants des associations de protection de l environnement ou de consommateurs concern s Dans le cadre de son Quelques donn es chiffr es Donn es chiffr es 2010 rappel 2009 111 inspecteurs 91 plan de communication l inspection effectue aussi des pr sentations sur diff rents points r glemen taires lors de r unions destination d exploitants d ICPE ou d associations par rapport l ensemble de la France _ 0 O 326 inspections 3 304 dont 707 inspections approfondies 758 Rx dont 529 inspections levage 574 e dont LOO contr les inopin s des rejets AA 3 Sur les 3 326 inspections 301 mises en demeure 238 dont 75 inspecteurs DD CS PP 53 98 proc s verbaux 136 13 sanctions administratives 9 7 des inspecteurs des IC fran ais exercent en Bretagne ce taux monte 23 pour les inspecteurs en poste en DD CS PP cela signifie que sur 5 inspecteurs en poste en DD CS PP 1 exerce en Bretagne Cette concentration de poste d inspecteurs
8. e en 2010 la DREAL e le d veloppement de contr les cibl s pour v rifier le respect de l quilibre de la fertilisation la parcelle et le respect des calendriers d pandage pr vus par les programmes d partementaux d action nitrates En 2010 e six stations d puration industrielles en bassin versant alques vertes ont t identifi es quatre d entre elles ont t contr l es en 2010 e ces contr les d bouchent souvent sur une demande de mise jour des dossiers notamment des plans d pandage Une fois les dossiers re us l Inspection des IC doit les instruire Ceci repr sente des centaines de dossiers e action levages se reporter au chapitre levage ne SE MAA http agriculture RTS gouv fr elaboration CIF ARR d un plan de lutte PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 3 LA D CLARATION ANNUELLE DE POLLUANTS GEREP La d claration annuelle de polluants GEREP Chaque ann e la r glementation europ enne impose aux exploitants de d clarer leurs rejets en fonction de seuils pr d finis En France cette d claration annuelle se fait via le logiciel dit Gestion lectronique du registre des missions polluantes GEREP Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement haque ann e les exploitants d installations quantit de d chets atteignent les seuils fix s par atteindre un niveau de qualit lev
9. D gt Ille et Vilaine Ga l 35136 Triadis Services Saint Jacques de la Lande 0 01 PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 5 LA POLLUTION INDUSTRIELLE DES EAUX Les rejets d l ments m talliques en 2010 2000 kg an 5kg an 0 kg an 0 kg an 0 kg an 50 kg an 0 kg an 100kg an 30 kg an EPP os o o a Jof o oo os o o o Jos so J S T S S ses o e S S S o l RES oT T S e RT oT T a f S oJ I Jof o o os oo s 268 oo oo f s o os 008 f s a o Code postal Nom exploitant 22100 Idex Environnement Dinan Dinan 29804 Protecno Brest 29510 Sidepaq Briec 29187 Valcor Concarneau 29800 Danisco Landerneau Forest Landerneau 29870 Cargill France Lannilis 35177 Chartres de Bretagne Peugeot Citro n Rennes SNC 35221 A amp P Lithos Chateaubourg 35600 Soci t Bic Redon 35603 Ovako Redon Redon 35600 Chatal Redon 35000 Sobrec Rennes 35370 Knauf Industrie Torc 56607 Guerbet Lanester 56430 Armor Inox Mauron 56340 Sivom ABQ O Plouharnel 01 56330 Bretagne Chrome Pluvigner 56037 Manuf fran aise des pneumatiques Michelin Vannes 0 03 0 07 0 27 22110 Damrec Glomel 298 00 35051 Ouest France Rennes 35000 Technicentre Bretagne Rennes 0 23 56620 Geval Pont Scorff 0 03 0 02 123 Charier D chets Valorisation 56250 Vraie Croix 35135 Oberthur Technologies Division Fiduc
10. Type de d chets Tonnage 2009 Tonnage 2010 D chets provenant de la mise en forme et du traitement m canique des surfaces des m taux et mati res plastiques Boues contenant des hydrocarbures provenant des op rations de maintenance de l installation ou des quipements D chets agrochimiques contenant des substances dangereuses D chets provenant de soins m dicaux ou v t rinaires D chets provenant de la transformation du bois et de la production de panneaux et de meubles de p te papier de papier et de carton D chets provenant des industries du cuir de la fourrure et du textile 1849 1583 1068 26693 26095 7651 9926 4553 5141 1309 1952 2499 87747 98578 PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 Les modes de traitement Incin r s 61 008 t Ce que limin es incin ration deviennent et stockage les d chets Mis en d charge 8 dangereux am nag e 61 produits 0 en Bretagne 39 Recycl s sous forme de mati re organique ee Dk Utilis s comme recyclage mati re combustible et production d nergie Modes de traitement des d chets industriels dangereux produits en Bretagne limination Incin ration terre Mise en d charge am nag e Traitement biologique Traitement physico chimique Regroupement D p ts sur ou dans le sol Traitement en milieu terrestre Stockage temporaire avant limination Reconditionnement Stockage permanent limin
11. dure d auto risation est trop lourde par rapport aux enjeux et par rapport aux pratiques des autres pays europ ens Les installations vis es sont celles pour lesquelles existent des mesures techniques g n riques bien identifi es dont le respect permet de pr venir les risques ou inconv nients g n r s par le fonctionnement de l installation L objectif de ce r gime est de permettre d optimiser les moyens humains et financiers des entreprises et de l administration pour garantir le m me niveau de protection de l environnement qu avec une proc dure compl te d autorisation Le dossier est notamment con u pour que l exploitant e v rifie la compatibilit de son projet avec les diff rents docu ments de planification applicables par exemple le plan local d ur banisme le SDAGE e justifie la conformit de son projet aux prescriptions g n rales applicables e r alise une valuation d incidence Natura 2000 La proc dure comporte une phase de recevabilit puis une fois le dossier estim complet une phase de consultation du public sim plifi e via internet et par mise disposition en mairie du dossier L administration dispose de cinq mois pour r aliser l instruction du dossier En cas de d passement de ce d lai la d cision implicite est un refus Au cours de cette instruction l administration examine si le contexte local pr sente une sensibilit particuli re qui n cessi terait soit une tude d impact soit u
12. ens se doter d une politique commune en mati re de pr vention des risques industriels majeurs avec la premi re directive dite SEVESO du 24 juin 1982 qui organise le cadre r glementaire europ en relatif aux risques associ s certaines activit s industrielles dangereuses et de prendre les mesures n cessaires pour y faire face Cette circu laire a depuis t modifi plusieurs fois afin de prendre en compte le retour d exp rience SMICTOM syndicat mixte de traitement et de collecte des ordures m na g res SOx oxyde de souffre TAR tour a ror frig rante f Liens utiles DREAL Bretagne http www bretagne developpement durable gouv fr MEDDE http www developpement durable gouv fr spip php page accueil AIDA http www ineris fr aida Installations class es http www installationsclassees developpement durable gouv fr Code environnement http www ineris fr aida q consult_doc navigation 2 250 190 28 6 6454 4 INERIS http www ineris fr INSTALLATIONS CLASS ES IPPC http www installationsclassees developpement durable gouv fr Generalites html SEVESO ttp www installationsclassees developpement durable gouv fr Risques accidentels html Enregistrement http www installationsclassees developpement durable gouv fr Regime d enregistrement html PLAN ALGUES VERTES DU 5 F VRIER 2010 http www developpement durable gouv fr IMG pdf Plan de lutte contre les algues vertes pdf LA D CLARATION ANNUELLE DE PO
13. i Liberi Egalit s Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE PR FET DE LA R GION BRETAGNE Francoise Noars Directrice R gionale de l Environnement de l Am nagement et du Logement D ans le cadre de la R vision G n rale des Politiques Publiques RGPP la Direction r gionale de l Environnement de l Am nagement et du Logement DREAL est n e le 1 janvier 2010 de la fusion de e a DIREN direction r gionale de l environnement e la DRE direction r gionale de l quipement e la DRIRE direction r gionale de l industrie la recherche et l environnement Une des missions de la DREAL est d assurer la pr vention des pollutions et des risques ainsi que la mise en uvre des politiques relatives aux d chets Les installations susceptibles de g n rer des risques ou dangers pour l environne ment sont soumises une surveillance sp ciale celle de l inspection des Installations Class es pour la Protection de l Environnement ICPE Suite aux lois Grenelle I et II mais aussi dans le cadre de la transposition de textes europ ens cette mission de police environnementale a t exerc e ces derni res ann es dans un contexte d volution permanente de la r glementa tion oliennes d chets directive cadre sur l eau produits chimiques plan anti vieillissement des installations De plus en Bretagne l Inspection des installations class es est impliqu e dans la mise en uvre du plan gouvernemental de lutte
14. re de l co logie l action est men e en partenariat avec les minis t res de l ducation nationale et de la Sant Le co t des diagnostics est financ par des ressources allou es au Grenelle de l environnement Les ventuels travaux seront la charge des propri taires des tablissements collectivit s territoriales propri taires priv s Le BRGM Bureau de recherche g ologique et mini re a effectu l identification des tablissements concer n s par croisement avec l inventaire des anciens sites industriels BASIAS Il pilote les diagnostics qui sont r alis s par des bureaux d tudes en plusieurs phases successives e phase 1 examen des archives de construction visite approfondie des lieux il s agit de v rifier si les am na gements visibles peuvent emp cher tout contact avec les pollutions qui pourraient tre pr sentes dans les sols et les eaux souterraines e phase 2 pr l vements des sols de surface des gaz du sol et sous sols d eau du robinet e phase 3 en fonction des r sultats de la phase 2 mesure de l air ambiant dans les lieux de vie l issue des diagnostics les tablissements sont clas s s en trois cat gories e cat gorie A les sols de l tablissement ne posent pas de probl me particulier e cat gorie B les am nagements et les usages actuels permettent de prot ger les personnes des expositions aux pollutions potentielles ou av r es e cat gorie C les di
15. Bretagne 284 407 00 212 283 00 BR BE HEE 1 Demande chimique en oxyg ne 2 Demande biologique en oxyg ne 3 Mati res en suspension 4 Phosphore total 5 Azote total PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 5 LA POLLUTION INDUSTRIELLE DES EAUX Principales missions industrielles des polluants aqueux en 2009 suite pe PE X a APERTAR aiak 22602 GelagriBretagne Bretagne Loud ac 1 1148579 70 579 70 588 193 17 193 17 RR ERE O 20408 Jean caby Ste de tandvisau Lave 32044400 1626780 7200 220 ensen eme 22700000 2350000 29760 ears ue Fermat lawo O p ER REE BR RR me ze TT 56201 Laboratoire de biologie v g tale PCT IE Rocher TEE E 818 oo o 29150 Le Moulin dela Marche Moulin de la Marche Chateaulin 53 730 00 T30 00 ee ea a i e Ooo 35800 tes parces auvamesss June 278500 22520800 22800 tous acvanes ioues 47761900 21048000 sn 20383 nest Puinarere trance oumes wao o 35560 woane venera 70 sex zarr Trur fomen TT a 20500 Pomma oumes eee aaro oO C OR E E Corazo oo 56140 SAS Doux Frais tablissement de Pleucadeuc Pleucadeuc 503 427 16 270 881 67 56460 SAS Doux Frais L me de S rent ur E 7 196 00 M 569 SE 56250 SAS SAS Soprat Vraie Croix Croix 363 399 35 399 35 195 755 40 759 SEE OO wo so Jsm ams 208200 15080 EE AS I EE A EE s0 T sos Juanmne 6
16. D ARMOR du Penthi vre M n FINISTERE Activit ILLE ET Ga l RATE VILAINE SMICTOM Centre Ouest Ille et Vilaine Rennes rennes M tropole Tr m oc Communaut de communes nr El du Pays Bigouden Sud ne Inzinzac Lochrist Communaut d agglom ration du pays de Lorient MORBIHAN 177477 TET Gueltas SITA Ouest Tree La Vraie Croix CHARIER DV Belle le en Mer Communaut de communes de Belle lle en Mer Les sites exploit s Ruca et Tr m oc ont atteint leur capacit maximale autoris e et ont cess leur activit en 2009 Le centre de stockage de Ga l a t ouvert en 2009 mais a suspendu son activit suite une d cision du tribunal administratif de 2010 Production en tonnes La Dominelais Nombre d inspections r alis es En 2010 inspections sur 8 des 9 sites En 2009 inspections sur 7 sites diff rents mise en demeure propos e en 2010 Est non dangereux tout d chet qui ne pr sente aucune des propri t s qui rendent un d chet dangereux e d chets qui ne pr sentent aucune des caract ristiques relatives la dangerosit toxique explosif corrosif etc e d chets banals des entreprises commer ants et artisans papiers car tons bois textiles etc e d chets m nagers e d chets rep r s par un num ro six chiffres sans ast risque dans la classi fication europ enne des d chets Les installations d incin
17. POLLUTION DE L AIR missions en tonnes en 2010 Variation 2010 2009 Tr meven Cr hen Laiterie nouvelle de l Arguenon 16 463 11 ILLE ET VILAINE Universit de Rennes 1 Gestion pZ communes Rennes rli Ey SOoccram ie Montauban de Bretagne 79 Entremont AlliancekK 7 9 Peugeot Citro n Rennes SNCE EM 1 22 Chartes de Bretagne l Vitr Pontivy Cogelyo Soci te nont Allia M ace ie de Pontivy BBS 49 989 e Vitre MORBIHAN 14 2 La carte ci dessus liste les tablissements bretons sou Malestroit Retiers mis au PNAQ II pour la p riode 2008 2012 et ayant des Aa a rejets de dioxyde de carbone CO au dessus du seuil de d claration annuelle 10 000 t an Les quantit s rejet es sont stables dans l ensemble except es pour les deux centrales thermiques pour la 10 km m me raison que l volution des rejets d oxydes d azote p00 La r duction des missions industrielles de substances toxiques dans l air L action n 5 du PNSE II Plan national sant et environnement fixe pour objectif la r duction de 30 entre 2007 et 2013 des mis sions aqueuses et atmosph riques de six substances prioritaires Pour les ICPE cette action se d cline au travers de l action natio nale dite REISTA qui vise six groupes de substances le benz ne l arsenic le mercure les solvants chlor s trichlor thyl ne per chlor thyl ne dichlorom thane les dioxines et
18. SES lectriques et lectroniques D3E avec un site en Bretagne Cette fili re est r cente et en plein d veloppement les v hicules hors d usage qui sont trait s dans un ensemble de sites agr s Les tonnages trait s varient en fonc tion du niveau d activit de la fili re sont pour une part valoris e m taux certains plastiques et des pi ces d occasion pour une autre part r sidus de broyage automo biles RBA envoy s en installation de stockage de d chets Les d chets issus de cette activit Deux installations traitent de d chets provenant d autres r gions il s agit notamment de filtres huile L entreprise concern e broie les filtres valorise l huile et fait incin rer la partie filtrante LO Quelques ICPE disposent de leur propre centre de stockage de d chets inertes des sables de fonderie Lu Saint Brieuc Manoir Industries FINIST RE C TES D ARMOR ILLE ET VILAINE MORBIHAN Plo rmel API ND En 2009 1 400 t Calan FDB Production en tonnes en 2010 Variation 2010 2009 Les transferts transfrontaliers de d chets Les transferts internationaux sont vis s par e a convention de B le du 22 mars 1989 e a convention de l OCDE de 1992 e le r glement CE 1013 2006 du 14 juin 2006 Les proc dures et r gimes de contr le appli cables aux transferts de d chets sont d termin s en fonction de e l origine des d chets e la destination
19. afin de prendre un maximum munication vis vis des collectivit s ou exploitants dont GrDF 10 km Perros SHE Guirec Si L zardrieux j Saint Pol reser Paimpol FUME Have de L on LANNION Pae R Plouescat Plestin Derio i a SEG Lanmeur les Gr ves OPTIEUX Plouha artilly FE t aul B gar Poudam es Lesneven Plouz v d ue MORLAIX Plouaret E walan Etables eut SAINT MALO Cancale AVRANCHE Fr al 5 Dinard Plabergec CNE r 4 Plouigneay sur Mer Val Andr inar l gr S Belle Ch telaudren Matignon Doire Ploudiry gonnec 77 Isle GUINGAY i Pl rin Ploubalay N ol de y Saint Renan s Bel en Terre guasa j SAINT BRIEUC Reha pA Bretagne Pont rs Guipav LE FINIST RE gt Bourbriac Plouf s Langueux Planco t teauneu re me Al C TES a Lamballe Pl lan Bd Ille etVilaine oug res Sammen Callac de le Petit Dinan d S J mes ile Huelgoat gt D ARMOR Quintin I ul SN ugon 4 Combour Le Faou ail sans Pl uc Montcontot es L cs re N el ILLE ET Crozon Pjouguer r du P lem Coklay sur Lie fie VILAINE FOUGERES 0 Pleyben Ma l Carnal Uzel Collin e koon v Tint nial T CHATEA lt ostre en x 2 t Bn i Gouarec M r Plouguenast us ne ON 3 ee in L JN us mg de Bretagne ubign Douarnenez z Loud ac M rdrignac l 3 j Briec ner Fr ee 4 N s gntauban Op ie Pont Croix Cl RS La Cr e nn d Saint EN _yBetton t e AA PA mr 7 le Grand ontfor esson z QUIMPI RA i Gu m
20. cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement MEDDTL minist re de l cologie du d veloppement durable des transports et du logement Nox oxyde d azote PLAV plan de lutte contre les algues vertes PNAQ plan national d affectation de quotas PNAR programme national d action conte la pollution des milieux aquatiques par certaines substances dangereuses PNSE plan national sant et environnement POA personnes et organismes associ s PPAM politique de pr vention des accidents majeurs PPRT plans de pr vention des risques technologiques PRSE plan r gional sant environnement RBA r sidus de broyage automobiles REACH registration evaluation authorisation and restriction of chemical substances enregistrement valuation et autorisation des produits chimiques REFIOM r sidu de fum e d incin ration d ordures m nag res REISTA r duction des missions industrielles de substances toxiques dans l air RGIE r glement g n ral des industries extractives RGPP r vision g n rale des politiques publiques RSDE recherche des substances dangereuses dans l eau SAO substances appauvrissant la couche d ozone SDAGE sch ma directeur d am nagement et de gestion des eaux SETI silos enjeux tr s importants SGS syst me de gestion de la s curit SEVESO en 1976 un accident industriel conduit un rejet de dioxine sur la commune de SEVESO en Italie Cet accident a incit les tats euro p
21. de leur date d approbation vi D cembre 2008 Avant d cembre 2014 Version en vigueur DA R vision avec consultation du public valuation f technique Plans d partementaux de pr vention et de gestion des d chets issus des chantiers du BTP g Amile J 13 juillet vi Novembre 2008 Avant novembre 2014 r C tes d Armor Finist re Han vi Novembre 2007 Avant le 13 juillet 2013 e plans de pr vention et de gestion des d chets la directive cadre modifie la planification en introduisant deux exigences prendre en compte l ensemble des d chets et cr er des plans de pr ven tion Cr ation d un plan national de pr vention article L 541 10 9 et modification des plans r gio naux d chets dangereux et d partementaux d chets non dangereux et d chets issus des chan tiers du BTP existants pour prendre en compte ces exigences La planification d chets existe depuis le d but des ann es 90 D sormais la planification relative la pr vention et la gestion des d chets s labore par type de d chets Plan r gional de pr vention et de gestion des d chets dangereux vA 1995 Jf 13 juillet 20 L 2 SSSR no En int grant les d chets i 1 d activit s de soin risques 1 infectieux i BEREBEEREREREEREEREEEE ERR Ille et Vilaine I vi Mars 2003 f Avant le 13 juillet 20
22. des donn es par l Inspection des IC PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 3 LA D CLARATION ANNUELLE DE POLLUANTS GEREP Traitement des d clarations Inspection Minist re D claration D claration D claration D claration en cours D Validation en attente Validation Cour en attente Validation D valid e de saisie de de validation de de validation du visible l exploitant par l inspection par le Minist re Publication uniquement l inspection Minist re Internet par l exploitant D claration mise en r vision par l ins Utilisation des donn es Les donn es chiffr es servent e transmission de donn es l Union europ enne mise en place d objectifs de r duction des pollutions e l laboration de certains plans et programme et aux Nations unies e bilans divers inventaires mod lisation etc plans de pr vention et de gestion des d chets suivi des actions minist rielles notamment de information au public centres d tude et de plan de protection de la qualit de l air etc r duction des rejets de certains polluants recherche Parmi les 8 134 tablissements ICPE soumis autorisation Quelques donn es chiffr es L Inspection des IC vise ce 2 153 que les exploitants les plus d claration GEREP contributeurs aux diff rents soit 1 4 d entre eux rejets effectuent leur d cla L EURE Dont
23. e par la DREAL et les DD CS PP sous l autorit des pr fets de d partement et des procureurs de la R publique Les prin cipales missions de l inspection concernent l instruction des demandes d pos es par les exploitants d ICPE et le contr le du respect des prescriptions techniques et organisationnelles impos es aux exploitants Ces missions sont r alis es dans le cadre des priorit s d finies au niveau national par le minist re charg de l Environ nement adapt es si besoin au contexte r gional e L instruction instruction concerne les demandes d autorisa L tion d exploiter de nouvelles installations mais aussi des demandes d pos es l occasion de modifi cations des installations existantes l issue de cette instruction l Inspection des installa tions class es IC propose au pr fet un projet d arr t encadrant les conditions d implantation de construc tion d exploitation de cessation en fonction de la r glementation nationale mais aussi de l environne ment local en prenant notamment en compte les avis exprim s lors des phases de consultation L Inspection des IC est le service en charge de l ins truction des dossiers d pos s par les exploitants Cette instruction est r alis e dans le cadre de proc dures fix es par le Code de l environnement Ces prescriptions techniques et organisationnelles font aussi l objet d examens r guliers afin de prendre en compte l am lioration des
24. en DD CS PP est corr ler avec la forte repr sentation des levages soumis autorisation en Bretagne 42 La Bretagne repr sente donc 19 des ICPE soumises autorisation fran aise et dispose de 7 des inspecteurs Elle a r alis en 2009 et 2010 13 des inspections effectu es en France 9 de ces inspections se soldent par une mise en demeure et 3 par un proc s verbal Cela repr sente de l ordre de 10 des mises en demeure fran aises et 8 des proc s verbaux 61 r unions de CLIS et CLIC 60 Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Le fort taux d inspection r gional est en lien avec des actions d inspections qui visent les levages dans le cadre de l am lioration de la qualit des eaux notamment en 2010 avec la mise en uvre du Plan Alques vertes qui pr voit que tous les levages situ s dans les huit bassins versants alques vertes soient inspect s sur deux ans 2010 2011 La l g re baisse du nombre d inspec tions approfondies correspond une baisse de ce type d inspection en 2010 dans les levages Suite aux vagues d inspections men es les ann es pr c dentes et l volution des levages plusieurs centaines de dossiers de modifications ont t d pos s Aussi l inspection des IC a t elle consacr e en 2010 une plus grande part de son temps l instruction de ces dossiers ZOOM Le Plan Algues vertes Depuis la fin de
25. et l itin raire des d chets e le type de d chets transf r s listes verte orange ou non list e le type de traitement appliquer aux d chets va lorisation ou limination Deux proc dures distinctes e la proc dure d information pour les d chets de la liste verte faisant l objet d une op ration de valo risation et qui ne n cessite aucun accord de l admi nistration et se d roule de gr gr e la proc dure de notification et de consentement pr alable crit pour les d chets de la liste orange et les d chets non list s qui n cessite l tablisse ment d un dossier d un contrat ainsi qu une garantie financi re Les d chets faisant l objet de transferts trans D MANDE D MANDE frontaliers sont principalement des d chets issus D EXPORT D IMPORT des secteurs suivants DEPOSEES DEPOSEES e traitement des d chets Refiom r sidus de broyage de d chets pneumatiques broy s etc e traitement de surface boues d hydroxydes bains de trempage etc 2003 2010 2009 2010 Les d chets sont destin s principalement des op 19 18 0 0 rations de valorisation et les pays concern s sont Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement principalement dans l UE Allemagne Belgique Po logne mais galement hors UE Maroc I Les sites et sols pollu s Un site pollu est un site qui du fait de d p ts ou d imp
26. furannes et les HAP hydrocarbures aromatiques polycycliques L objectif de r duction de 30 est un objectif global national Les tablissements sont s lectionn s en fonction de ces trois crit res e importants metteurs nationaux de l une des substances concern es e connaissance insuffisante des missions de l une des substances et missions significatives suspect es e tablissements plac s dans une zone dont le niveau de qualit de l air est insatisfaisant pour l une des substances concern es En Bretagne l application de ces crit res a conduit retenir huit tablissements L un de ces tablissements a ferm depuis 2008 d autres ont mis en uvre de nouveaux proc d s ou des am liora tions des proc d s existants qui ont conduit des baisses signifi catives des rejets pour les substances concern es Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Par rapport aux rejets 2007 les rejets vit s pour ces huit ta blissements ont t en 2010 de e 2 tonnes en perchlor thyl ne PER gain de 50 par rap port 2007 e 21 tonnes de trichlor thyl ne TRI gain de 90 par rap port 2007 e 81 tonnes de dichlorom thane DCM gain de 98 par rap port 2007 ce jour il reste trois tablissements pour lesquels des actions sont r aliser d ici 2013 notamment par rapport des rejets en premier lieu la justification des rejets constat s
27. leur strat gie de d veloppement Cette strat gie propos e actuellement par les industriels consiste essentiellement d velopper l extraction du sable coquillier comme substitut au ma rl Gisements de granulats marins pour lesquels l exploitation est autoris e ou en cours d instruction Les Duons D cret du 19 07 2011 Minou D cret du 08 07 2011 Kafarnao D cret du 20 05 2011 Sable coquillier Ma rl Sable coquillier ma rl Les granulats marins et notamment le sable coquillier poss dent leurs contraintes propres Les r serves th o riques sont loin d tre accessible en totalit les pr cautions prendre pour pr server l environnement et plus particuli rement les zones o le dragage pourrait L activit mini re La r gion Bretagne par son contexte g ologique pr sente un pass minier non n gligeable qui laisse des s quelles De nombreux travaux de recherche et d ex ploitation de substances mini res comme le plomb le zinc l argent l or l tain le fer et l uranium ont t r a lis s 192 sites miniers ont t recens s ils concernent des concessions des permis d exploitation des permis de recherches et des vieux travaux Depuis la modifica tion du Code minier en 1999 l tat est garant de la r paration de dommages caus s par les exploitations or phelines et la fin de validit d un titre minier conduit au transfert l tat de la surveillance et de la pr venti
28. puis des propo sitions d actions contribuant r duire ces rejets La pollution industrielle des eaux Depuis sa cr ation l Inspection des installations class es veille la ma trise des missions industrielles dans les eaux notamment via les prescriptions techniques impos es aux exploitants et via la mise en place de programme de r duction des missions directes industrielles mais aussi des missions diffuses industrielles et li es aux levages Compte tenu des caract ristiques hydrologiques de la Bretagne du tissu agricole industriel et urbain la probl matique de la qualit de l eau est un enjeu tr s fort dans cette r gion PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 Le nouveau cap fix par la directive cadre sur l eau DCE et le SDAGE Loire Bretagne L a directive cadre sur l eau adopt e par l Union europ enne en octobre 2000 fixe un objectif ambitieux pour la pr servation et la restauration de l tat des eaux superficielles et souterraines d ici 2015 sauf d rogation Ce texte conduit d terminer selon une m thodologie d finie l chelle europ enne des objectifs pr cis atteindre pour chaque masse d eau sur plusieurs aspects Pr server le littoral e pr venir la d t rioration e atteindre le bon tat cologique et chimique en 2015 sauf d rogation pour une atteinte en 2021 ou 2027 e r duire les rejets de 33 groupes de substances d
29. r gion notamment dans la population est l explosion et l inflamma tion de gaz lors de fuite provoqu e par les endommagements du r seau lors de tra vaux Environ 200 endommagements ont t recens s sur le r seau breton en 2010 Le dispositif de pr vention mis en uvre par l tat consiste e renforcer la r glementation pour notamment responsabiliser les porteurs de pr cautions et de r unir les donn es sur la localisation du r seau avant de proc der aux travaux C est le plan anti endommagement e mettre en uvre des actions de communication et de sensibilisation aupr s des diff rents acteurs participer l observatoire r gional deux r unions en 2010 r aliser des actions de com environ 1715 km Gaz naturel environ 50 km Hydrocarbures Plus de 340 communes travers es par une canalisation de mati res dangereuses une canalisation de transport de mati res dangereuses Fin 2010 la DREAL avait communiqu les zones de dangers per mettant aux lus de limiter l urbanisation proximit du r seau des entreprises des travaux publics for mation sur la r glementation e faire appliquer la r glementation lors d endommagements suivi des entre prises ayant endommag le r seau et notamment celles l ayant fait plusieurs reprises e le suivi du niveau de maintenance et de surveillance mis en place par les le centre de celle ci Le risque principal pour de projet
30. ration annuelle Des cam RE RE pagnes cibl es d information A Eo ST vee mailing sont mises en ds uvre pour les cat gories d exploitants ayant peu de 1 416 rejets mais devant effectuer levages 68 une d claration L Inspection des IC assure un service d as Seulement 1 315 SM Dont sistance t l phonique luti tablissements 61 ke gt 0 lisation de l outil de t l d ont d clar en 2010 4 ee 990 industries claration et pr voit de 5 Sur 1 an SEN d velopper des actions de 165 levages formation destination des exploitants concern s Les En Bretagne un quart des tablissements soumis autorisation sont aussi soumis donn es chiffr es pr sen d claration annuelle 68 de ces tablissements sont des levages t es dans la suite du docu Seulement 61 des tablissements soumis d claration annuelle effectuent leur d claration ment proviennent des don 81 des industriels concern s et 52 des levages concern s Cette proportion reste stable n es de la d claration entre 2009 et 2010 annuelle Pour EL ay Eeee Les r sultats sont mis la disposition du grand public sur SA http www irep ecologie gouv fr IREP index php Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement La pollution de l air Le respect de la qualit de l air est une pr occupation importante Les sources de pollution atmosph rique sont mul
31. ration de d chets non dangereux Les quantit s trait es sont stables sur la plupart des installations l exception de celles qui ont t touch es Les trois installations les plus ji par une gr ve en janvier 2010 Brest et Concarneau portantes en capacit de traitement Chaque installation d incin ration de Bretagne a fait l objet d au moins une inspection en 2009 et 2010 traitent les d chets des agglom ra tions et villes suivantes et dispose d une commission locale d information et de surveillance CLIS Pluzunet gt incin 5 CNIM Ouest Armor Idex Taden qui incin re les d Le Spernot Brest Snes i me chets de Dinan 22 et de Saint Malo Sotraval BMO CU Ouest d Armor anguenoua Idex Fassa 35 e Sotraval qui incin re les d chets de Brest M tropole Oc ane 29 e Sobrec qui incin re les d chets de Smictom 107 672 55 501 5 0 40 188 FINIST RE C TES D ARMOR Novergie Centre Ouest du Penthi vre M n Environnement Syndicat mixte des Pays de la Rance Dinan et Saint Malo ZI portuaire Brest Carhaix 2309 Vitr Rennes M tropole 35 Completes sul META Plouguer Er ILLE ET Novergie et de l ozone z Se Lamballe VILAINE Sictom ET Fertival Sud Est L incin ration produit deux types de r sidus e les r sidus d puration des fu Pontivy 27 936 Tir RE V Sittom Ml Ille et Vilaine Rennes Sobrec m es appel s
32. respect des proc dures mises en uvre par les OH la qualification du personnel eic e la surveillance du march permettant de S assurer que les quipements mis en uvre dans la r gion ont t con us fabri qu s et contr l s conform ment aux r glementations fran aises et europ ennes Environ 1760km de canalisation de transport de mati res dangereuses tra versent la Bretagne dont 1715 km de gaz naturel et environ 50 km d hydrocarbures Les cinq transporteurs r gionaux ont tabli des tudes de s curit d marche similaire aux tudes de dangers voqu es pr c demment pour mettre en uvre des mesures de r duction du risque La DREAL mobilise des moyens pour le suivi Environ 1 760 km de canalisation de transport de mati res dangereuses traversent la Bretagne dont du r seau et le contr le des op rations de maintenance La notion de ma trise de l urbanisation est galement un enjeu fort compte tenu de la longueur du r seau Plus de 340 communes sont travers es par Pr vention des risques au niveau du r seau de distribution de gaz La DREAL Bretagne met galement en uvre des politiques de pr vention des risques au niveau du r seau de distribu tion de gaz exploit essentiellement par GrDF La r gion compte un r seau d environ 10000 km maill par l essentiel en Ille et Vilaine et proximit du littoral breton D autres r seaux priv s ont galement t implant s dans la
33. station d puration Il s agit de mettre en place une surveillance ini tiale de substances pour identifier les substances rejet es puis pour les substances d tect es une surveillance p renne et pour certaines des substances d tect es un programme d action de r duction voire de suppression afin de respec ter les objectifs de la DCE Nombre d tablissements inspect s par d partement par les services de l tat DDPP et DREAL En 2009 et 2010 en Bretagne 161 tablissements la d marche a vis les plus gros metteurs potentiels a savoir les IPPC soit 161 tablissements Les premi res campagnes de surveillance initiale se sont d roul es en 2010 FINISTERE Q MORBIHAN C TES D ARMOR ILLE ET VILAINE FR gt F PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 6 LES D CHETS 6 Les d chets Est un d chet toute substance ou tout objet ou plus g n ralement tout bien meuble dont le d tenteur se d fait ou dont il a l intention ou l obligation de se d faire La r glementation est fond e sur un principe simple le producteur de d chets except les m nages est responsable de l limination des d chets qu il produit dans une fili re adapt e Les d chets sont r pertori s en trois familles d chets inertes d chets non dangereux et d chets dangereux Les modes d limina tion possibles varient en fonction de ce classement TA
34. technologies mais aussi Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement le retour d exp rience et la meilleure connaissance des milieux Les installations les plus importantes font l objet d examen p riodique examen quinquennal des tudes de danger des tablissements Seveso examen d cennal des installations IPPC Ces examens se traduisent souvent par des prescriptions compl mentaires qui renforcent les exigences envers les exploitants et conduisent des r ductions significa tives des rejets polluants et des risques accidentels Les actions de contr le Les inspecteurs des IC sont charg s R gime r glementaire de surveiller les installations et de contr ler le respect des prescrip tions impos es aux exploitants Ils interviennent galement en cas de plainte d incident ou d accident L inspection s attache maintenir Les fr quences d inspections P riodicit d inspection A ves tablissements tablissements tablissements Autres tablissements hd ve hd v soumis prioritaires enjeux autorisation Au moins Au moins Au moins 1 inspection 1 inspection 1 inspection une pr sence forte sur le terrain tout en d veloppant aussi les contr les sur documents et les contr les d l qu s dans le respect du programme strat gique de l inspection d fini pour la p riode 2008 2012 En fonction de crit res nationaux tab
35. 12 Projet de r vision en cours PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 6 LES D CHETS Au niveau de la Bretagne certains d chets pr sentent des enjeux sanitaires environnementaux ou soci taux importants les algues vertes ramass es sur cer taines plages cf Zoom p 9 les boues de dra gages notamment des ports L volution de la nomenclature conduit faire entrer dans la r gle mentation ICPE la gestion terre des s diments collect s lors des op ra tions de dragage LES D CHETS NON DANGEREUX Les types de d chets produits les d chets or ganiques des levages et des industries agroalimentaires mais aussi des collectivit s de la restauration et de la grande distribution Ces d chets peuvent tre valoris s dans diff rentes fili res dont la m thanisation en plein essor les fus es de d tresse usag es collec t es dans les ports Les quantit s les plus importantes de d chets non dangereux produits en Bretagne proviennent du traitement des d chets par incin ration m chefers du traitement des eaux industrielles de la production de granulats et de l industrie agroalimentaire Type de d chets R sidus d op rations thermiques Tonnage 2010 145975 Boues d effluents industriels 85063 D chets min raux l exclusion des r sidus d op rations thermiques des terres et boues de dragage pollu es 75493 D chets animaux et v
36. 2252600 26500 Sox 3520 T sosete Bouree res ses 30800000 520000 3240 Sont romagre etes retes 28800000 16200000 10m 3520 Sont aa raen retes 7505200 42600000 18000 22800 Soci t Laiti re des volcans qd Re Toury Fo Brandan mr 701 o 29392 Socopa Viandes Viandes Quimper 711 711 468 00 00 318719 00 719 00 Et a NES EE mee DS EE SET AE EE 35000 veseo from 200 msn 22000 vege Santa same 22225600 wo 1 Demande chimique en oxyg ne 2 Demande biologique en oxyg ne 3 Mati res en suspension 4 Phosphore total 5 Azote total Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Principales missions industrielles des polluants aqueux en 2010 seven Nem onsite Nom commune 259860 kean 43808 EE fre ES Faou t 56320 Centre d abattage de dindes du Faou t 164 085 00 87 778 00 22602 Gelagri Bretagne Loud ac 1023 090 38 546 173 53 731539 MES Phosphore Azote 300 000 kg an 5000 kg an 50000 kg an 5 647 00 465 407 00 28 287 00 8 061 00 79 493 00 5 135 00 50 473 00 5 177 00 13 596 00 89 056 00 15 466 00 5 189 00 21 508 00 40 576 00 63 405 00 9 922 00 6 479 00 1 Demande chimique en oxyg ne 2 Demande biologique en oxyg ne 3 Mati res en suspension 4 Phosphore total 5 Azote total PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 5 LA POLLUTION INDUSTRI
37. 556 eusiastedequmper omr s re o zoo Bonuee Tateurimematene Rosso 291680 2310 5o10 Ereugnecnmerne Peu 5573010 s2680 22608 so lenteatn floor 22250100 2700 EE Ree Fr Re FR 56320 Centre d abattage de dindes C 950 00 RE 847 oo du Faou t 56600 eoa Snenstes sim 25m e a d a O 35400 compagne de teau tae Forone Sanwo 2309500 esso 25200 Compagnie de Teauerde Fozone eres 37047500 5000 7000 56100 Compagnie de Teauerde rezone toie 18680800 O O 23000 compagnie g n rale descau Qumer 34930500 455500 1314000 5475000 zorr omsenere mane ss ouamensr 440000 ooo 22403 ooren nontoni ramea 428000 2003400 22000 one tamiaue same 1n68000 1082700 56600 fonuetvneem un 22999500 aus voa 25000 oouParepods oume 19718700 wars s0 fo frumem sem 2840 punea woso os Cases envononalance comanrouger 76033400 1437300 sein C22202envemontalance eurem sasao emo so enremonalance marso 123411200 e000700 220 22804 enremont lance Loose uouo ee samo rao 2550 EnremomtAiance Qumper umper 165520000 88742000 sol 35921 Es eancnapnsss remes 28308800 1280800 2200 femo samagmen 272880 a CS CS A EE PE EE 2200 Fee oumem o s00 france aus from seul 2260 fromage semos Poucans 2205400 260500 56300 eat anses from Seam 35130 Gatine Viandes Guerche de
38. 59 112 7141 14 5 FINIST RE C TES D ARMOR 639 3 829 41 1 40 8 2 961 48 1 2 111 ILLE ET y _ET 812 8 MORBIHAN VILAINE 10 km 19 992 14 1 141 2135 Les installations de traitements des d chets dangereux Mode de Nature du d chet Tonnage trait Tonnage Tonnage trait Tonnage traitement en 2009 tonnes provenant en 2010 provenant hors Bretagne tonnes hors Bretagne 56 Guerbet Incin ration Solvants liquides de lavage et frem ter m res a a halog n s 17 mm 5 ME me RR Pr traitement traitement Fitres hule a huile 7 10 7360 D 6605 605 TA 274 649 35 EVTV Valorisation Boues provenant de s parateurs eau En rocarbures EN 185 FE o Nobelsport ES D chets d D chets d explosifs Incin ration D chets d explosifs 29 Ateliers Pr traitement D chets d quipement lectriques Fouesnantais PEA es ER RE 7 782 me RENE Op rateurs VHU D pollution V hicules hors d V hicules hors d usage C 9344 1 62070 Op rateurs VHU D pollution V hicules hors d usage 20266 o 6996 a EE CR EE 2 RE RE EE D See SE i l O PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 6 LES D CHETS Les d chets trait s dans les installations bretonnes a f 2 A les explosifs 80 et W 86 8 tonnes qui sont directement d truits sur les deux sites d utilisation pour des raisons de s curit A les d chets d quipements
39. A avec CP 430 En Bretagne au d but de l ann e 2010 Sur 1 849 FEE tablissements IPPC 107 tablissements sont concern s par cette mise en demeure e dont 43 levages PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 2009 et 2010 deux ann es riches en volutions Le 23 avril 2009 le Conseil d tat a annul la rubrique 2111 levages de volailles de la nomenclature ICPE au motif que cette nomenclature exon rait de la pro c dure d autorisation certaines installations d levage celles comprenant de 40001 240000 cailles ou de 40001 120000 perdrix ou pigeons identifi es IPPC par la r glementation europ enne et par cons quent concern es par la proc dure de d livrance d une auto risation d exploiter Le 11 mai 2010 une circulaire minist rielle a pr cis la notion de changement notable pour les levages Cette circulaire a vocation orienter les pr fets et les services instructeurs dans le choix de la proc dure administra tive lors de notification par les exploitants de modi fication d une installation autoris e Y sont notamment abord s les cas suivants ZOOM e augmentation du cheptel animal e modification du plan d pandage e construction de nouveaux b timents e changement de syst mes de production D une fa on g n rale il est rappel que le choix d une proc dure simplifi e sans passage en enqu te pu bli
40. ELLE DES EAUX Principales missions industrielles des polluants aqueux en 2010 suite DCO 1 DBO5 amp MES amp Phosphore Azote Code postal Nom exploitant nm E 150000 kg a 43000 kg an 300000 kg an 5000 kg an 50000 kg an 35160 Grand saloir SaintNicoles saloir Saint Nicolas MontiortsurMeu sur Meu 51 403 00 RS HEER FORE Jean a Site de Landivisiau E 319 00 126 672 00 ORDRE 5 297 00 2220 Jean Staven Stalaven Yffiniac 236 000 00 000 00 153 000 00 000 oof 56201 Laboratoire de biologie v g tale un uns Rocher ns 338 00 M 456 FRE 29150 Le Moulin de la Marche Moulin de la Marche Chateaulin 51324 00 324 oof ER RE CN 600 Juuatvents uw rase aroo so as renerne recaeron unes 562060 EE a A ES EC CS A EE A O 000 sommes E A EC CE ET A ES EC CS A EE O C0 auemenms enmemseed A 600 Jamoronme from nl 56140 SAS Doux Frais tablissement de Pleucadeuc Pleucadeuc 485 364 00 260 078 00 56460 SAS Doux Frais tablissement de S rent S rent 454 966 00 290 863 00 RE enose mal RE EE Saint Brieuc agglom ration Saint Brieuc 214 609 00 7 382 00 ECS RS 77 IS ES ES semo fs Jumeuse 7eme ceux ace aso soen de Rae mis 21400000 1800000 sooo CS COS ET Sr 35240 Soci t La ti re de Retiers Laiti re de Retiers Retiers 72500000 000 00 447 447000 00 00 17 1700000 oof 22800 Soci t Laiti re des volcans FR w Toury w E 080 A 29392
41. LLUANTS IREP http www irep ecologie gouv fr IREP index php LA POLLUTION INDUSTRIELLE DES EAUX SDAGE Loire Bretagne http www eau loire bretagne fr sdage PNSE http www developpement durable gouv fr spip php page article amp id article 15520 SITES ET SOLS POLLU S Sites et sols pollu s http www developpement durable gouv fr Sites et sols pollues html BASIA http www developpement durable gouv fr Site BASIAS html BASOL http basol ecologie gouv fr accueil php PRODUITS CHIMIQUES REACH DREAL Bretagne http www bretagne developpement durable qouv fr produits chimiques r258 html site du minist re http www developpement durable gouv fr REACH contexte et mise en oeuvre html SANT ENVIRONNEMENT PRSE http www bretagne developpement durable gouv fr environnement et sante r257 html http www prse bretagne fr INFORMATIONS SUR LES ACCIDENTS TECHNOLOGIQUES ARIA http www aria developpement durable gouv fr SOL ET SOUS SOL http www bretagne developpement durable gouv fr sol sous sol r261 html http www developpement durable gouv fr Sous sol html Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement DDirection R gionale de l Environnement de l Am nagement et du Logement de Bretagne Service Pr vention des Pollutions et des Risques L Armorique 10 rue Maurice Fabre Atalante Champeaux CS 96515 35065 Rennes cedex T l 02 99 33 43 03 Fax 02 99 33 43 35 www developpement dura
42. REAL adapt avec a minima une visite approfondie par an la mise en uvre de plans d urgence K interne POI plan d op ration in terne l initiative de l exploitant de l tablissement Seveso et externe PPI plan particulier d intervention l initia tive du pr fet de d partement Ces plans d finissent l organisation autour de la mise en s curit du site et la mise l abri des personnes susceptibles d tre expos es Des tests sont r guli rement effectu s un cadre d change associant l tat les collectivit s les in dustriels les rive rains et les salari s des entreprises risque est tabli Ce co Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement mit local d information et de concerta tion CLIC participe l information des parties prenantes et au partage d une culture commune du risque autour des sites Seveso Il se r unit a minima une fois par an des plans de pr vention des risques techno logiques PPRT sont mis en uvre dans le but de ma triser l urbanisation future mais galement de r duire la vuln rabi lit des populations existantes autour des sites NS Les tablissements seuil bas ont des contraintes moindres mais doivent a minima mettre en uvre une PPAM et mettre jour leur tude de dangers pour octobre 2010 Un programme d inspet tion est galement tabli visant une inspection approfondie tous l
43. RY Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Les principes l gislatifs et r glementaires e Code de l environnement classe d sormais les d chets non plus selon leur origine ordures m nag res d chets industriels banals ou sp ciaux mais en fonction de leur nature et des potentiels de dangers pr sent s e d chets dangereux e d chets non dangereux e d chets inertes L ordonnance n 2010 1579 du 17 d cembre 2010 ach ve la transposition de la directive cadre sur les d chets du 19 novembre 2008 dans la partie l gisla tive du Code de l environnement Les principales dispositions de l ordonnance sont e d finition des notions de base telles que celles de d chets de producteur et de d tenteur de d chets de pr vention de gestion des d chets de r emploi de recyclage e hi rarchie dans la gestion des d chets pr vention pr paration en vue du r emploi recyclage autre valorisation notamment valorisation nerg tique et limination e d chet et non d chet possibilit de sortir du statut de d chet notion de sous produit e collecte des d chets collecte s par e a minima du papier du m tal du plastique et du verre obliga tion tendue l ensemble des d chets valorisables pour autant que cela soit r alisable d un point de vue technique environnemental et conomique Le calendrier de r vision des plans bretons d pendant
44. Refiom et les cendres udennes r 2 0 tropole of qui sont des d chets dangereux db MORBIHAN Cornill me Concarneau Save e les m chefers qui sont les r sidus ne incombustibles des d chets et qui DURE Ens E Gener qui PE Geval i SM AB sont des d chets non dangereux HE Q Production en tonnes en 2010 Variation 2010 2009 10 km Les installations de Lamballe de la ZI portuaire de Brest et de Cornill ne traitent pas de d chets m nagers mais des d chets non dangereux produits par des activit s industrielles industrie agroalimentaire et traitement de l eau PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 6 LES D CHETS L incin ration produit deux types de r sidus Les r sidus 19 993 tonnes de Refiom produits en 2010 Les m chefers 110 111 tonnes d puration par l ensemble des installations d incin ration de Bretagne qui sont de m chefers produits en 2010 des fum es dont les r sidus par l ensemble des installations appel s incombustibles d incin ration de Bretagne or envoy es dans des installations de ue Apr s analyse Een amener et les cendres 16 933 tonnes e a et qui sont des r sultats qui sont des d chets des d chets non dangereux dangereux 3 060 95 du tonnage PAR valoris es en mine de sel en 2010 en Allemagne a fait l objet d une valorisation en technique routi re ou dans le cadre de chantiers d am nagement 4 188 tonnes de cendres d
45. S ET CARRI RES Ille et Vilaine D but de la r vision en 2011 17 janvier 2002 sch mas de d partementale r gionale La prise en compte des granulats marins et des res sources secondaires mat riaux issus du recyclage des d chets de l industrie et du BTP serait int gr e la r gionalisation des sch mas des carri res quipements de travail des quipements de protection individuelle des entreprises ext rieures les v hicules sur pistes de l lectricit du bruit des vibrations de travail et de la circulation en hauteur des explosifs de l empoussi rage etc e des lois sociales Code du travail e du Code minier Mat riaux extrait ares na fm CE CE LT Guignen Guipel Corn ennes Carri res du Vauriffier Iffendic Berhault Philippe Carri re du Rocher Baron La Bazouge du D sert Daniel TP La Chapelle Bouexic Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Carri res en Ille et Vilaine suite Nom exploitant Commune Mat riaux extrait ETERN Moulet Ren Sacer Mat siliceux plioc ne Lafarge Granulats Ouest Mat siliceux plioc ne Pigeon Carri res Corn ennes Carri res de la Garenne Corn ennes Bayer Joseph Villam e Granite PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 10 LES MINES ET CARRI RES Carri res dans les C tes d Armor Nom exploitant Commune Mat riaux extrait Carri r
46. Socopa Viandes Viandes Quimpen 65605400 054 00 282 143 00 143 oof mee e SES BESS tt zw fee are e 20 eee oem 2560000 s0 manoa CE OS ET ES A 7 ET 000 means James as em PS RS e 22120 Yffiniac Industrie Yffiniac 468 593 00 225 523 00 1 Demande chimique en oxyg ne 2 Demande biologique en oxyg ne 3 Mati res en suspension 4 Phosphore total 5 Azote total Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Les rejets d l ments m talliques en 2009 o olos osl o l I lol oaf f to f o oo o Danisco Landerneau Forest Landerneau 39001 10 1 SEERE BERNER Rennes SNC Bretagne 35 00 vos feer 2e uen feen raa Tel af TT ES om f a oel TT RS Knauf Industrie Guerbet Armor Inox Bretagne Chrome Manuf fran aise des pneumatiques Michelin Damrec Code postal 22100 Idex Environnement Dinan Dinan 29804 29187 29800 35177 30221 35600 35603 35600 35000 35370 56607 56430 56330 56037 22110 EN o un un emol J do To o S o o o o i ed oaf oo sf 02 o o un 35051 35000 56620 Geval Pont Scorff Charier D chets Vraie Croix Valorisation Oberthur Technologies a Division Fiduciaire Chantepie Le Guellec Coved SA Technicentre de Rennes Rennes M tropole 35290 Smictom Centre Quest 56250 35135 CHR 29177 56360 35009 35000 l N
47. a accueil En 2010 les cinq sites en activit autoris s recevoir des algues vertes ont t inspect s ainsi que d autres sites pour s assurer qu ils ne recevaient pas d algues vertes sans autorisation Actions pr ventives La prolif ration des algues vertes est li e des rejets exc dentaires d azote dans les eaux Aussi le Plan Algues vertes pr voit il plusieurs actions pr ventives afin de contribuer limiter les rejets d azote au niveau de tous les contributeurs assainissement individuel et urbain rejets industriels et rejets agricoles Dans ce cadre l Inspec tion des IC est concern e par la mise en uvre des actions suivantes dans les bassins versants algues vertes e un renforcement du suivi des stations d puration industrielles e un d veloppement des unit s de m thanisation pour permettre de mieux valoriser les effluents d levage et les substituer de mani re plus importante aux engrais min raux e la d claration annuelle par tous les producteurs et pandeurs des quantit s d azote utilis es ou chang es sur les bassins versants alques vertes e un contr le syst matique sur deux ans 2010 2011 de toutes les ICPE situ es dans les bassins versants alques vertes cela repr sente pr s de 2000 installations Dans ce cadre les quipes de contr le ont t renforc es en 2010 et une quipe de quatre agents pour assurer la coordination r gionale des contr les des levages a t cr
48. abrication de conserves PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 12 LES RISQUES TECHNOLOGIQUES Les silos soumis autorisation 47 silos soumis autorisation sont implant s en Bretagne d axes de communication toutaes les voies possibles de r duction des risques Parmi ces sites 17 silos sont qualifi s de silos enjeux tr s Depuis la catastrophe de Blaye en 1997 la r glementation En Bretagne fin 2010 30 silos avaient fait l objet d un ar importants SETI compte tenu des risques qu ils pr sen a t renforc e et les SETI ont notamment pour obligation r t pr fectoral compl mentaire de r duction du risque Il tent pour les populations proximit de zones habit es ou de mettre jour leurs tudes de dangers et de chercher restait 6 SETI traiter tablissement nom usuel Adresse Coop rative agricole de Broons Route de Tr dias LD la gare Bretagne N goce C r ales ex Nutrea Zone Industrielle de Gr ces Union Eolys ex Coop du Trieux Zone Industrielle Coop rative La Paysanne d Erquy Chemin Chauss e Coop rative Le Gouessant Les No s Les No s Coop rative Le Gouessant Zone Industrielle Union Eolys ex Dynal Boulevard de Penthi vre rmor Silo La Gare Zone d Activit s de la Vall e N gt Cooperl Arc Atlantique 1 rue de la Gare Coopagri Bretagne K richard Nutr a Nutrition Animale SAS Zone Industrielle La Gare Nutr a Nutrition Animale Plouisy ex UCA K ropartz Un
49. age des branchies des poissons l ment m tallique l agence de l eau a cr une unit pond r e METOX Autres polluants fluor sulfates cyanure d tergents pesticide Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Principales missions industrielles des polluants aqueux en 2009 Les rejets organiques Les missions importantes des polluants orga niques constat es se retrouvent principalement la sortie d industries agroalimentaires tant don n la nature des mati res premi res utilis es dans ce secteur d activit La plupart de ces entreprises ne poss dent pas leur propre station d puration mais rejettent dans des stations externes Les fortes teneurs relev es s expliquent car les me sures sont effectu es en sortie de l tablissement en amont du traitement externe Les variations des flux constat s entre 2009 et 2010 s expliquent par des variations d activit s de certaines entreprises par des modifications de la nature des mati res premi res utilis es ex l gumes dans les industries l gumi res ou par des optimisations des proc d s de traitement des eaux PS RS 56800 ABCD Plo rmel 260405 00 405 00 _135 807 00 807 00 00 ER s ME ana NR 22600 amorra nes ioues 5115060 1501400 a2658100 mem 29556 Jamo Jaume e 56500 Bem mo x 2168580 aao 56500 eeraass moe 86748200 so 1578100 10047200 29
50. agnostics ont montr la pr sence de pollutions qui n cessitent la mise en uvre de me sures techniques de gestion ou de mesures sanitaires La dur e d un diagnostic est de l ordre de 6 9 mois entre la premi re visite et la mise disposition des r sultats Concernant la Bretagne en 2010 seuls les tablisse ments des d partements du Finist re et du Morbihan ont t concern s Les d partements des C tes d Armor et d Ille et Vilaine seront concern s courant 2012 2013 Le Comit r gional de programmation CRP mis en place en Bretagne regroupe les acteurs susceptibles d tre concern s pr fectures de r gion et de d partements repr sentants d sign s par le Recteur d acad mie re pr sentants des ma tres d ouvrage Agence r gionale de sant de Bretagne DREAL Bretagne BRGM Il s est r uni le 15 octobre 2010 Des comit s de pilotages d partementaux se sont galement r unis dans le Finist re 27 mai et 21 juin 2010 et le Morbihan 17 juin 2010 Sites et sols pollu s www developpement durable gouv fr politique nationale html Au 31 d cembre 20210 l avancement des diagnostics Finist re Morbihan C tes d Armor Ille et Vilaine Total coles maternelle et l mentaire Le Binigou Saint Martin des Champs Nouvelle Ville et Bisson Lorient Ecoles maternelle et l mentaire Saint Corentin Quimper et Jacquard Brest Nombre d tablissements Phase se Phase 2 Phase 3
51. angereuses et les supprimer pour 11 d entre elles terme e atteindre toutes les normes et objectifs en zones prot g es Les objectifs qui visent les ICPE bretonnes sont les suivants R duire la pollution par les nitrates R duire la pollution organique Ma triser les pollutions dues aux substances dangereuses Prot ger la sant en prot geant l environnement Ma triser les pr l vements d eau Pr server les zones humides et la biodiversit Repenser les am nagements de cours d eau Les enjeux r gionaux de la qualit de l eau L ensemble de la Bretagne est class en zone vuln rable au titre de la directive Nitrates car la concentration en nitrates dans les eaux superfi cielles destin es l alimentation en eau potable est d pass gt 50 mg l ou menace de l tre Par cons quent dans toutes ces zones et donc sur l ensemble des quatre d partements bretons un programme d action r glementaire est applicable toute personne responsable de l utilisation de fertilisants azot s sur sols y compris les ICPE l origine d pandage Ce programme sera poursuivi tant que le bon tat cologique ne sera pas atteint du point de vue des taux de nitrates Par ailleurs la Bretagne comprend dix des seize bassins versants r per tori s dans l orientation 3B1 du SDAGE Loire Suivi des rejets aqueux des ICPE Les param tres de mesure des polluants DCO demande chimique en oxyg ne Elle repr sen
52. ation sous total Valorisation Recyclage ou r cup ration de mati res inorganiques Utilisation principale comme combustible Recyclage ou r cup ration des m taux Recyclage ou r cup ration des substances organiques R cup ration ou r g n ration des solvants Stockage temporaire avant valorisation R g n ration ou r emploi des huiles R g n ration des acides ou des bases Echange de d chets Utilisation de d chets r siduels R cup ration des produits sevant capter les polluants R cup ration des produits provenant des catalyseurs Valorisation sous total Total Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement 6 LES D CHETS silk uiui de d chets industriels dangereux produits en Bretagne en 2010 UN un tiers seulement des d chets dangereux produits lt en Bretagne sont trait s ou limin s en Bretagne 30 503 t 6 191 t trait es 61 884 t hors de France 6 trait es principalement les r sidus en France d puration des fum es hors Bretagne d incin ration des d chets Tonnage 2009 27 012 18 775 LON 1048 247 717 58 12 54 766 Tonnage 2009 61 008 Tonnage 2010 108 124 45 A E 98 578 10 034 8 565 3 224 1 108 4 254 1 810 2677 1025 32 981 87 747 Destination des d chets industriels dangereux produits en Bretagne Tonnage 2010 et variation sur 1 an en B Elimination 1
53. ble gouv fr
54. blissements Seveso dits seuil haut qui stockent des quantit s tr s importantes de produits dange reux et les tablissements Seveso dits seuil bas qui stockent des quantit s moindres Les tablissements seuil haut font l objet de mesures particuli res de pr vention du risque les analyses de risque aboutissant des mesures de r duction du risque et des mesures de ma trise des risques doivent tre sys t matiquement r alis es Ces l ments sont trait s dans les tudes de dangers qui sont mises jour tous les cinq ans une organisation et un manage ment de la s curi t doivent tre mis en uvre Ce syst me de gestion de la s curit SGS passe notamment par une politique de pr vention des accidents majeurs PPAM mais aussi par des proc dures assurant la ma trise des op rations risque et par un contr le d efficacit de ce SGS que la pyrotechnie les liquides inflammables les en grais et produits phytosanitaires IIs travaillent en appui installations class es sur ces sujets complexes IMPORGAL et D STOCKBREST TSA St P TROLIERE 2 d p ts ras DE D P TS NOBELSPORT TIBANOBEL TOTALGAZ TITANITE e ILLE ET e NITROBICKFORD VILAINE DISTRIVERT FINIST RE DE SANGOSSE o Co e LESEUR GRUEL FAYER QUARON nets ANTARGAZ TOTAL FRANCE GUERBET E D P TS P TROLIERS DE LORIENT 2 d p ts BJ 75 ED un programme EN d inspection par la O D
55. contre les alques vertes tant au niveau du suivi des installations de traitement de ces algues qu au niveau de la pr vention de leur formation Le bilan mis votre disposition vise vous pr senter au travers de quelques chiffres et exemples les principales donn es de l environnement industriel en Bretagne mais aussi les efforts qui restent accomplir pour un d veloppement performant propre et s r Nous avons choisi une pr sentation illustr e permettant nous le souhaitons une approche plus conviviale et une lecture facilit e Esp rant que ce bilan r pondra vos attentes je vous souhaite une excellente lecture OUrS Directrice de publication Fran oise NOARS R daction Service Pr vention des Pollutions et des Risques Contact Patricia APPRIOU t l 02 99 33 43 45 Patricia appriou developpement durable gouv fr Mise en page Agence IDE 75002 PARIS Impression Graphoprint 75015 PARIS 1500 exemplaires N ISSN 1769 4949 Date de D p t l gal juillet 2012 Brochure imprim e offset avec des encres v g tales chez un imprimeur certifi Imprim vert sur du papier PEFC issu de for ts g r es durablement Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement D ditorial Par Fran oise Noars Directrice r gionale de l environnement de l am nagement et du logement 1 Qu est ce qu une ICPE Une r glementation ancienne 1810 en constan
56. donnant class es relevant du r gime de l autorisation l arr t minist riel du 31 janvier 2008 des garanties de tra abilit et de fiabilit sont tenu de d clarer au minist re en charge de Les objectifs de cette d claration sont e r pondre aux obligations de rapportage notam l Environnement leurs missions de polluants dans lt effectuer une collecte int gr e des informa ment aux diff rentes directives europ ennes l eau l air y compris les gaz effet de serre etle tions pour satisfaire aux diff rents besoins r gle sol ainsi que les d chets dangereux et non dange mentaires et techniques portant sur des l ments reux produits d s lors que ces missions et la similaires D claration GEREP mode d emploi Cette d claration est faite en ligne sur le site www declarationpollution gouv fr 2 La d claration est obligatoire Les seuils de d claration si les seuils de l arr t concerne aka re sont d pass s dans l air Pour certains polluants le seuil de d claration est fix 0 ce qui implique une d claration d s l mission 67 91 polluants dans le sol polluants dans l eau Le calendrier de d claration est le suivant 1er juillet 1er janvier 31 octobre 31 mars validation nationale d claration par les exploitants des donn es de l ann e pr c dente ml 1er avril 30 juin v rification et validation
57. e Quimperl Pont Scorff vage fientes fumiers Geval 10 km Le traitement des algues vertes consiste en ap a IGN ere Fo Een ie Lantic une phase de stabilisation durant laquelle et Douarnenez ont galement trait les algues les algues vertes sont m lang es avec des vertes en 2009 et 2010 d chets verts ligneux souches broy es bran ainsi que les d chets m chages etc puis une phase de compostage nagers soit apr s collecte s avec des d chets verts Sur le site de Lantic lective de la fraction organique les algues sont s ch es en box L ensemble FFOM soit apr s tri de celle ci des plates formes traitant des alques vertes a sur le site de traitement fait l objet d une inspection en 2009 et 2010 Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement LES D CHETS DANGEREUX La production de d chets dangereux en Bretagne sr 11117 de d chets industriels dangereux produits en 2010 C PEEZ cn1an tablissements ont d clar en 2010 27 977 18 5 ILLE ET VILAINE FINIST RE C TES D ARMOR Le RL MORBIHAN Les types de d chets dangereux produits Production de d chets industriels dangereux par secteur d activit Principaux secteurs d activit bretons producteurs Traitement des d chets UIOM Chimie organique 30 5 Autres ydrocarbures 29 4 LA I Traitement des v hicules hors d usage VHU
58. en POR r Plogastel FA L F ou t surScorff Rohan 9 pile Fe Mauro MordelN ES S vign X Saint Germain Rosporde gt A as Porho t BE Q dteaubourg Al nys SEN MORBI LES D Pl taff Bru7 P g Chn teaugiron Pont l Abb Concarneau Plouay A tJ Guich J hz o rme uichen PR Guilvinec _ Pont NAK SR Pont Baud Loc Guer gt Le Sel de j IN ANT Saint Jean c Maure de J Bretagne keie efhebo velay lt Bretagne Lap Ster vigner lestro 28 Ga qe 4 Pl m ur LORIENT A Pipria etage a S Port Louis ven a Gacilly L fu Belz Aus A ins kesembet a Tee RED i AZ naturel rer gt CHATEAUBRIANT ENE int Nieol hydrocarbures i de Redon don oi Sarzeau NR P uiberon PiS La Roche SDA e Gaz un maillage de 10000 km pee 4 Riail k gt Blain Saint VMars tea la Jaille Le Palais F Glossaire ADEME agence de l environnement et de la ma trise de l nergie BASIAS recense les anciens sites industriels en activit ou l arr t qui ont g n r ou non une pollution des sols BASOL recense les sites et sols pollu s ou potentiellement pollu s pour lesquels des actions de suivi ou de d pollution ont t men es ou sont en cours sites et sols pollu s ou potentiellement pollu s pour lesquels des actions de suivi ou de d pollution ont t men es ou sont en Cours BRGM Dureau de recherche g ologique et mini re CDNPS commission d partementale de la
59. es de Fr hel Fr hel Gr s quartzite B timent et granit de Ploumanac h Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Carri res dans les C tes d Armor suite Carri res du Vauriffier Gr s Carri res Rault Dol rite Thouement et Fils Diorite Carri res Bertho Schiste Carri res la Fontaine Menard Yffiniac Porphyre Carri res dans le Finist re Nom exploitant Commune Mat riaux extrait Quartz et Min raux Arzano Quartz Quartz et Min raux Arzano Quartzite Imerys C ramics France Berrien Kaolin Delhommeau Beuzec Cap Sizun Granite Sorodec Brennilis Granite Delhommeau Cast Gr s armoricain CT CE PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 10 LES MINES ET CARRI RES Carri res dans le Finist re suite Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Carri res dans le Finist re suite Liziard Entreprise Carri res dans le Morbihan PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 Carri res dans le Morbihan suite Nom exploitant Lafarge Granulats Ouest Daniel Pierre Imerys C ramics France Imerys C ramics France Kermandu Genetay et Cie Christien Dominique SECP Goulard Michel Carri res Georges Carri res Georges Cointo Auffret Maurice Lafarge Granulats Ouest Lafarge Granulats Ouest Picaut Mat riaux de l Oust Charier CM Charier CM Mat riaux de l Oust Mat r
60. es trois ans minimum Les sites Seveso bretons Au 31 12 2010 23 sites Seveso seuil haut sites Seveso seuil bas Liste disponible sur www seveso fr ZOOM PPRT et CLIC La mise en uvre des PPRT et l association des parties prenantes notamment les membres du CLIC ce dispositif est une priorit absolue des DREAL Les tapes fondamentales des PPRT consistent en premier lieu en un travail technique entre l Inspection des installations class es et l industriel visant r duire au maximum le risque pr sent par les installations Une fois ce travail r alis un travail de partage des donn es sur le risque avec les parties prenantes et d valuation des enjeux concern s est effectu Ensuite une d marche privil giant la concertation est mise en place pour tablir les r gles de r duction de la vuln rabilit pou vant passer par des travaux de protection des b timents impact s Les volutions r glementaires nationales europ ennes mais aussi les volutions des sites industriels sont sus ceptibles de modifier le classement des sites Seveso En 2010 l tablissement Hypred Dinard est pass Seveso seuil haut compte tenu de la r vision au niveau europ en de l tiquetage de l eau de javel L tablissement Totalgaz a quant lui projet de diminuer les quantit s de propane pr sentes sur le site lui per mettant de passer progressivement seuil bas d ici 2015 Dans de tels cas l In
61. espect de l quilibre de la fertilisation sur le para m tre azote D partement Nombre d ICPE R sultats contr l es 22 34 3 mises en demeure 2 arr t s compl mentaires eg des cas de surfertilisation de parcelles mises en demeure Nombre de contr les Nombre d infractions caract ris es e lors de l instruction des dossiers ICPE soumis autorisation mise en uvre du principe de non d gradation de la pression d azote au sol la m thode de travail a t d crite dans une annexe de la lettre instruction sign e par les quatre pr fets bretons cf volutions r glementaires e mise en place d un syst me de d claration annuelle des flux d azote permettant notamment de croiser les chiffres d cla r s par les donneurs et les receveurs d effluents produits par les animaux En 2010 cette d claration n a concern confor m ment au plan Alques vertes que les exploitants situ s sur la baie de Saint Brieuc et la baie Gr ve de Saint Michel L volution des principaux chiffres relatifs chacune des deux baies et tir s de la base de donn es DREAL Bretagne de t l d claration des flux d azote sera suivie d ann e en ann e via cette base de donn es infractions caract ris es conformes PV et ou APMD RR de mettre en vidence Respect du plafond d azote total Respect du plafond d azote organique Conformit des ouvrages de stockage Respect des obligations de r sorpt
62. g taux l exclusion des d chets animaux de la pr paration des aliments et produits alimentaires ainsi que des f ces urines et fumier animaux TOTAL 730607 Destination des d chets industriels non dangereux produits en Bretagne Tonnage 2010 C tes d Armor Finist re Ille et Vilaine Morbihan 35 473 49 775 24 218 84 427 Total 193 893 en Bretagne Total AT 083 hors Bretagne en France Total 140 hors France Total 235 116 Valorisation 65 546 115 904 135 763 57 709 374 922 100 081 20 488 495 491 Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement 31392 730 607 tonnes trait es limination ou valorisation dont dont trait es en Bretagne limination en France i hors Bretagne i 568 815 141 164 235 116 495 491 hors de France 20 628 Valorisation Les trois quarts de ces d chets sont limin s en Bretagne les deux tiers sont valoris s Les centres de stockage de d chets non dangereux 356 475 tonnes envoy es en stockage en 2010 376 261 tonnes en 2009 dont la moiti au site de Gueltas Chacun de ces sites hormis ceux de Ga l Belle le en Mer et Inzinzac Lochrist dispose d une commission locale d information et de surveillance CLIS SD en Variation 2010 2009 Lantic SMITOM de Arr t en 2009 Launay Lantic PPT Capacit max 9 Ruca XI 2 SMICTOM C TES
63. i s la pr sence d hydrog ne sulfur H2S des mesures organisationnelles et techniques sp cifiques doivent tre respect es Ces sites sont ins pect s chaque ann e lors de la p riode de collecte et de traitement des algues vertes e En Bretagne cinq centres de traitement soumis autorisation pr fectorale sont autoris s recevoir des alques vertes deux dans les C tes d Armor pr s de Saint Brieuc SMICTOM de Launay Lantic SMICTOM des Ch telets et trois dans le Finist re sud Communaut de communes du pays fouesnantais Communaut de communes du pays de Chateaulin et Porzay et la Communaut de communes de Douarnenez e Ces sites peuvent traiter de l ordre de 60 000 tonnes par an avec une capacit journali re limit e par les contraintes techniques dis ponibilit des zones de traitement stock de d chets verts m lan ger disponible e Les prescriptions de ces sites ont fait l objet d arr t s modificatifs en 2010 Deux autres sites de traitement Communaut de Lannion Tr gor et Communaut de communes de la presqu le de Crozon ou des extensions des sites existants Communaut de communes du pays fouesnantais et la Communaut de communes de Douarnenez sont en projet afin d augmenter les capacit s de traitement Plan algues vertes du 5 02 10 www developpement durable KR i IMG pdf Plan de lutte contre les algues vertes pdf w MEDDE www developpement b durable gouv fr spip php page
64. iaire QO O1 Chantepie 0 02 35390 Tree Dominelais 0 01 0 02 29177 Le Guellec Douarnenez 0 26 56650 Com d agglom ration du pays de Lorient Inzinzac Lochrist 0 20 56360 Coved SA Palais 0 02 0 01 35009 Technicentre de Rennes Rennes 0 05 35000 Rennes M tropole Rennes 0 03 0 01 0 14 35290 Smictom Centre Quest Ille et Vilaine Ga l 0 04 0 18 0 35 35136 Triadis Services Saint Jacques de la Lande 0 03 Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement En Bretagne les missions significatives e d arsenic proviennent de deux sites d indus tries agroalimentaires sp cialis es dans le traite ment des algues brunes pour l extraction d algi nates utilis s en tant qu paississants ou g lifiants dans de nombreuses applications alimentaires pharmaceutiques cosm tiques ou techniques Ces alques sont naturellement riches en arsenic et sont responsables de la pr sence de cet l ment dans les effluents rejet s Au vu des quantit s rejet es ces deux tablisse ments ont fait l objet d arr t s pr fectoraux com pl mentaires imposant une r duction des niveaux de rejet en mer des effluents trait s notamment sur le param tre arsenic et la r alisation d tudes compl mentaires pour valuer le risque li la pr sence de cet arsenic e de m taux tels que le nickel ou le zinc pro viennent des rejets d activit s de traitement de surface PSA Chartres de B
65. iaux de l Oust Carri res se Luhan Charier CM EGTP Mat riaux de l Oust Charier CM Orbello Granulats Lemee LTP Les extractions en mer D un point de vue r glementaire l exploitation des granu lats en mer rel ve de la r glementation mini re L autori sation d exploiter est subordonn e l obtention de trois actes administratifs distincts e un titre minier permis de recherche ou concession ac cord par le ministre en charge des mines e une ouverture de travaux accord e par le pr fet apr s enqu te publique consultation des services administratifs des repr sentants des lus des professionnels et des asso ciations r unis au sein d une commission sp cifique e une autorisation domaniale d occupation du domaine public maritime d livr e par le service gestionnaire du do maine public maritime Parmi les points pris en compte dans l arr t d ouverture de travaux on notera notamment le contr le des impacts sur l environnement par la r alisation de campagnes de surveillance environnementale et la limitation des rejets en mer Les gisements bretons de granulats marins exploit s concernent uniquement le ma rl et le sable coquillier Commune Pleugriffet Plo mel Plo meur Plo meur Plouay Plouay Plouray Plumelec Plumelin Pluvigner Pluvigner Priziac Rad nac Rad nac Remungol Saint Abraham Saint Congard Saint Jean la Poterie Saint Marcel Saint Marcel Saint Nolff Sarzeau Sarzeau S ren
66. ion Mise jour du plan d pandage Rejets dans le milieu naturel Tenue du cahier de ferti et PPF Respect des p riodes d interdiction d pandage D passement d effectifs ou de la quantit d azote autoris e Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement krom Cu Ca HEE HEE TET o o ES 308 18 om za Lim om 2 04 20 151 54 0 00 6 05 RR rappel r glementaire APMD Arr t pr fectoral de mise en demeure PV proc s verbal Les risques technologiques La r gion Bretagne est de taille moyenne en termes d activit industrielle Les do maines de la chimie p trochimie pharmacie m tallurgie qui totalisent environ 20 des accidents industriels en France sont tr s faiblement repr sent s Pour autant la Bretagne dispose de certains enjeux en termes de risque qui doivent tre correcte ment pr venus un parc important d tablissements risque notamment Seveso un nombre important d quipements sous pression et un r seau de transport et de distri bution de gaz et d hydrocarbures Les statistiques d accident sont de 49 v nements en 2010 pour la r gion Bretagne selon la base ARIA dont une trentaine concerne des installations industrielles PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 12 LES RISQUES TECHNOLOGIQUES L organisation de la DREAL pour la pr vention des risques li e aux sites ind
67. ion Eolys ex Coop du Trieux K ropartz N O1 O1 Gi Gi Gi Gi Gi Gi Gi a DININININININDDIN IDIN DIN DIN IDININDINDIN IN IN Cooperl Arc Atlantique Le Cluse Vegam ex Grosset Le Creux Cargill France Rue de Yokosuka ZIP CCI de Brest Silo avenue de Kiel Silos Port de Brest CCI de Brest Silo ZIP Poullic Al Lor Silos ZIP de Poullic Al Lor Sobrestock ex CCI Brest Silos Zone Industrielle Portuaire bd Isidore Marfille Z Coopagri Bretagne Concarne engrais silo Zone Industrielle de Coat Conq 29 29 29 29 Tecnor Sofac Zone Industrielle du Fromeur Cobrena Linglaz Gare de Dirinon Coopagri Bretagne Kervail oopedom 11 rue Louis Raison AOC Alliance Ouest Cereales Zone Industrielle de la Brohini re Coop rative du Garun Zone Industrielle la Brohini re Coop rative Le Gouessant Zone Industrielle la Brohini re Sanders Bretagne ex Glon Route de Saint M en Cooperl Arc Atlantique Zone d Activit s G rard Cargill France Silo Zone Industrielle de Briangaud Michel Nutrition Animale Les Hauts Rochers Districera Les Rues Vegam ex Coralis 19 rue de la Motte 6 g ohelay Transports Zone d Activit s de Kerjosse Richard Nutrition K randr Triskalia ex Cam Bel Air Nutr a Nutrition Animale ex Unicopa La Gare de Baud Triskalia ex Coopagri Le Sourn Zone Industrielle de Pontivy CCIM Lorient Silos Port de Commerce Kergroise GIE Kergroi
68. lations frigorifiques asso dans la r gion Ces installations sont majoritairement sements soumis autorisation utilisant de l ammoniac ci es l industrie agroalimentaire fortement implant e suivies par les DDPP 75 Liste des tablissements des C tes d Armor Broceliande ALH ex Argoat Le Hir Rue Arthur Enaud Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Cooperl Hunaudaye Lamballe Zone industrielle Viande abattoirs quarrissage Industrie de la emee emen O OOO O l arseen O Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Liste des tablissements du Finist re tablissement nom usuel Adresse Libell activit PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 12 LES RISQUES TECHNOLOGIQUES Liste des tablissements d Ille et Vilaine CS EE Panavi Torc 1 Zone d Activit s Montign Est Autres industries agro alimentaires Panavi Torc 2 Panavi Torc 3 STEF Bretagne Nord Entremont Alliance Montauban de Bretagne Avenue de la gare BP 66037 Industrie laiti re Domagn ZAC de la Gaulti re Entreposage manutention commerces SVA Jean Roze Viande abattoirs quarrissage Industrie de la SVA Jean Roze Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Triballat Sojasun Ch teaubourg Zone industrielle de la Galmandi re Autres indu
69. lissements soumis enregistrement par an tous les 3 ans ie ia Ul Au moins les tablissements soumis autori d i 1 inspection sation sont r partis en trois cat go ENER tous les 7 ans i l horizon ries et sont soumis une fr quence adapt e d inspections voir illustra tion ci contre De plus chaque ann e 10 des tablissements industriels font l ob jet de contr les inopin s soit sur la qualit de leurs rejets soit travers d actions coup de poing cibl es sur un type d activit ou un aspect r glementaire pr cis En Bretagne chaque ann e des contr les inopin s sont effectu s sur e une centaine d tablissements afin de v rifier s ils respectent les valeurs limites fix s par leur arr t pr fectoral pour leurs rejets aqueux e une soixantaine d tablissements afin de s assurer de l absence de l gionelles dans les circuits de leurs tours a ror frig rantes Les contr les sur documents portent par sondage sur des documents que l exploitant transmet r guli rement l inspection tels que l autosurveil lance des rejets les bilans annuels de fonctionnement la note synth tique annuelle des tablissements La communication Le droit de l environnement pr voit la mise en place d institutions locales permanentes de concertation et de n gociation sur les lieux de fonctionnement de certaines activit s polluantes ou dangereuses e les CLIC comit s locaux d info
70. llution sont ceux qui pr sentent le plus fort potentiel de pollution L objectif de cette directive est d viter ou de minimiser les missions polluantes dans l air les eaux et les sols ainsi que les d chets dans le but d atteindre un niveau lev de protection de l environnement Cette directive a t r vis e en 2008 directive 2008 1 CE La r glementation fran aise est en cours de modification pour prendre en compte cette volution avant janvier 2013 En pr alable l exploitation de son installation l exploitant d pose en pr fecture un dossier succinct qui comporte des plans et une pr senta tion de son installation r ception du dossier complet le pr fet d livre un r c piss de d claration accompagn des prescriptions g n rales de construction et de fonctionnement respecter L exploitant doit faire proc der tous les 5 ans un contr le du respect des prescriptions g n rales par un organisme agr tous les 10 ans sous r serve de certification environnemen tale Installations class es SEVESO www installationsclassees developpement durable gour fr risques accidentels html Sinon i i a a o P Quelques donn es chiffr es en 2010 Nombre d tablissements en Bretagne 18 000 ICPE soumises d claration 8 734 ICPE soumises autorisation dont Re 39 Seveso 23 Seveso seuil haut 1 849 prc 228 IPPC ets industriels
71. mbre de cas cet arsenal conduit la mise en confor mit des installations vis es ment ou de stockage de d chets L objet de ces ins titutions est de contribuer l information du public et des acteurs de territoires par rapport aux risques accidentels CLIC et aux impacts environnementaux CLIS g n r s par les installations concern es Ces tent instances se r unissent au moins une fois par an cette occasion leurs membres sont inform s des d diff rents acteurs cisions individuelles du pr fet envers l tablissement concern des rapports de l Inspection des IC des modifications envisag es ou apport es par l exploi tant du bilan annuel de fonctionnement Ces instances sont des lieux d changes qui permet e d am liorer l information et la concertation des e de d battre sur les moyens de pr venir et 2 L INSPECTION DES ICPE PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 r duire les risques pollutions et nuisances sur les programmes d actions des responsables des ex ploitants De plus les CLIC visent d velopper une culture du risque et favoriser les bons comporte ments des riverains en cas d accident L inspection des IC participe activement au fonc tionnement des CLIS et CLIC mais aussi d autres instances de concertation qui peuvent exister dans le cadre de proc dures particuli res telles que l la boration des PPRT cf chapitre Risques technolo giques
72. nature des paysages et des sites CLIC comit local d information et de concertation CLIS commission locale d information et de surveillance CLP classification labellisation packaging classification tiquetage et em ballage CODERST conseil d partemental de l environnement et des risques sanitaires et technologiques COV compos s organiques volatils CRP comit r gional de programmation DCE la directive cadre sur l eau DCM dichlorom thane DD CS PP direction d partementale de la coh sion sociale et de la protec tion des populations DIREN direction g n rale de l environnement DRAAF directions r gionales de l alimentation de l agriculture et de la for t DRE direction r gionale de l quipement DREAL direction r gionale de l am nagement et du logement DRIRE direction r gionale de l industrie la recherche et l envirionnement ESP quipement sous pression FFOM fraction fermentescible des ordures m nag res GEREP gestion lectronique du registre des missions polluantes GFES gaz fluor s effet de serre GRDF gaz r seau distributeur de France IC installations class es ICPE installations class es pour la protection de l environnement IPPCintegrated pollution prevention and control pr vention et r duction int gr es de la pollution MAAPRAT minist re de l agriculture de l alimentation de la p che de la rura lit et de l am nagement du territoire Minist re de l
73. ne tude de danger Dans ce cas le dossier bascule en proc dure compl te d autorisation et l exploitant doit laborer un dossier d autorisation qui sera instruit selon la proc dure d autorisation Dans tous les cas l issue de la proc dure un arr t pr fectoral est d livr Les nouvelles installa tions soumises enregistrement seront contr l es dans les mois suivants leur mise en service pour v rifier que les prescriptions de l arr t pr fectoral sont bien respect es notamment les prescrip tions relatives la construction Ensuite ces installations seront visit es au moins une fois tous les sept ans comme les installa tions soumises autorisation les moins dangereuses Les premi res rubriques soumises enregistrement ont t cr es par d cret du 13 avril 2010 En Bretagne en 2010 quatre dossiers de demande d enregistrement pour de nouvelles installations ont t re us au second semestre 2010 Ces dossiers concernaient prin cipalement des entrep ts Fin 2010 un seul a t jug recevable et a abouti un arr t d enregistrement sign en janvier 2011 Ok gra TE rri Hja EE Installations class es enregistrement get WWww installationsclassees ecologie gouv w fr regime d enregistrement html PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 2 L INSPECTION DES ICPE L inspection des ICPE l Inspection des installations class es est exerc
74. nist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Les carri res de mat riaux exploitation d une carri re telle que d finie l article L 311 1 du Code minier correspond l activit d extraction d un mat riau en vue de son utilisation Sont ainsi concern es les substances min rales ou fossiles suivantes calcaires sables et graviers alluvionnaires roches massives gra nites gneiss marnes limons sablons Certains affouillements du sol sont galement apparent s des exploitations de carri res Il existe trois types de carri res e les carri res sec e les carri res en eau e les carri res souterraines une seule en Bretagne mais n est plus active Relevant de la l gislation des installations class es pour la protection de l environnement ICPE l ex ploitation d une carri re doit faire l objet d une proc dure d autorisation s appuyant sur le d p t en pr fecture d un dossier de demande d autorisation comprenant notamment une tude d impact sur l environnement Ce n est qu l issue de l enqu te publique pr vue par la r glementation et apr s avis de la Commission d partementale de la nature des paysages et des sites CDNPS que l exploitant pourra b n ficier d un arr t pr fectoral d autorisation Parmi les points pris en compte dans l arr t on notera principalement la limitation de l impact sur le paysage la flore et la faune par la recons
75. nt 1 7 million de t de mat riaux alluvionnaires Utilisation rationnelle des ressources Le Code de l environnement pr voit en son article L 515 3 la r alisation d un sch ma d partemental des carri res qui d finit les conditions g n rales d implantation des carri res dans le d partement Il prend en compte l int r t conomique national les ressources et les besoins en mat riaux du d partement et des d partements voisins la protection des paysages des sites et des milieux naturels sensibles la n cessit d une gestion quilibr e de l espace tout en favorisant une utilisation conome des mati res premi res II fixe les objectifs atteindre en mati re de remise en tat et de remaniement des sites Les sch mas d partementaux des carri res actuels permettent une bonne appr ciation de la ressource terre et aident identifier les zones compatibles avec l extraction en int grant les diff rents enjeux PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 Calendrier de r vision des sch mas d partementaux des carri res Finist re re En cours de r vision i M Approbation pr vue d but 2012 5 mars 1998 M Date d approbation L_ volution Ces sch mas d partementaux des carri res pour chaque d partement de la r gion Bretagne labor s l occasion d une r flexion approfondie et prospective non seulement sur l impact e
76. nvironnemental des car ri res mais galement sur la politique des mat riaux Les missions de la DREAL La DREAL a pour mission de participer la d finition et l animation d une politique de gestion dans la lign e des principes du d veloppement durable utilisation ra tionnelle des ressources min rales tout en garantissant la protection des travailleurs Inspection du travail la s curit du public et l int gration dans l environnement Inspection des installations class es A 17 avril 2003 R vision pr voir en 2012 12 d cembre 2003 v gt dans les d partements constituent un important outil d aide la d cision des pr fets amen s se prononcer sur les demandes d autorisation d exploitation Une r criture de l article L 515 3 du Code de l environ nement est pr vue afin de faire voluer l chelle des R vision pr voir en 2012 Les missions des DREAL en mati re de carri res s inscri vent dans le cadre e de la l gislation des installations class es pour la protection de l environnement e des r glements de s curit notamment le Code du travail et le r glement g n ral des industries ex tractives RGIE qui traitent des r gles g n rales des Carri res en Ille et Vilaine Nom exploitant Carri res Pensa Lafarge Granulestuaire Carri res de Mont Serrat Carri res de Mont Serrat Carri res de Mont Serrat Sogetrap Commune 10 LES MINE
77. on des risques miniers comme ceux li s aux affaissements La Croix En cours En cours Pointe d Armor En cours La Cormorandi re La Horaine D cret du 25 05 2010 Lost Pic D cret du 18 09 2008 C tes d Armor rompre l quilibre cologique ou menacer certaines ac tivit s conomiques notamment la p che entra nent une r duction des ressources exploitables La production de granulats marins doit donc passer par la poursuite de la concertation et par l exigence Les enjeux de l apr s mine portent sur la s curit la sant publique la pr servation des milieux et de la faune avec des effets plus ou moins long terme Les diff rents v nements r sultant du pass minier peu vent notamment concerner e des mouvements de terrains des affaissements et des effondrements en milieu urbanis e des ouvrages encore ouverts puits et galeries dan gereux pour la s curit des personnes e des sols pollu s par des r sidus miniers e des missions de rayonnements ionisants Les principales actions engag es en 2010 par les pr fectures concern es sous l impulsion de la DREAL Bre llot Saint Michel En cours Ille et Vilaine d tudes d impact approfondies comme ce fut le cas pour le dossier de demande de concession et d ouver ture de travaux de Pointe d Armor sur lequel repose pour son p titionnaire le succ s de la politique de substitution du sable coquillier au ma rl
78. onaire grave entra nant le d c s dans un peu plus de 15 des cas appel e maladie du l gionnaire Les principales sources de l gionelles sont les r seaux d eau chaude sanitaire douches bains remous fon taines d coratives et les syst mes de refroidisse ment par voie humide tours a ror frig rantes A _ r gt s r es Aapan En France plusieurs pid mies r centes mettent en cause les tours de refroidissement pid mie d Ille et Vilaine 2001 22 cas 4 d c s pid mie de Montpel lier juillet ao t 2003 31 cas 4 d c s pid mie de Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Poitiers ao t septembre 2003 24 cas pid mie de Lens hiver 2003 2004 86 cas 17 d c s pid mie de Rennes hiver 2004 2005 8 cas 2 d c s Sch ma de fonctionnement d une tour a ror frig rante TAR R glementation Air Depuis 2004 les tours a ror frig rantes humides sont r glement es par deux arr t s minist riels en date du 13 d Arriv e NSSS Des des exploitants Ces principales dispositions sont e le renforcement de la surveillance par la r alisation d analyse en concentration en l gionelles et d indicateurs physico chimiques attestant de l efficacit du n ee SURFACE D CHANGE L Mg f h e la r alisation d une analyse m tho Ruissellement dique des risques de d veloppement Gou
79. onelles doit tre r alis e campagne annuelle de pr l vements de apr s remise en service une surveillance fa on inopin e afin de r aliser des analyses de concentration en l gionelles des eaux circulant dans les tours a ror frig rantes humides Voie en Depuis 2005 la DREAL en partenariat avec de TAR les directions d partementales de la protec e tion des populations DD CS PP mandate deux laboratoires apr s appel candida tures pour r aliser ces pr l vements et NOE bre analyses Cette campagne touche entre 150 de ed et 200 tours a ror frig rantes par an pour AR une moyenne annuelle de 60 70 tablis 2006 2007 2008 2009 2010 sements par une analyse tous les quinze jours pendant trois mois des quantit s de l gionelles PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 10 LES MINES ET CARRI RES 1 Les mines et carri res En Bretagne la construction d quipements collectifs stades routes et de lo gements a consomm en 2010 de l ordre de 27 millions de tonnes de granulats France 350 millions de tonnes annuelles ce qui correspond environ 8 4 tonnes par habitant France 6 tonnes par habitant Malgr le d veloppement du recy clage de mat riaux une part importante de ces granulats est pr lev e chaque an n e dans la nature Cette activit est encadr e par le Code de l environnement ou le Code minier 8 4 tonnes par habitant Mi
80. onnes an volution Principale provenance des missions en Bretagne 563 45 105873 en sur 1 an Industrie m canique Industrie chimique Seuil 100 t an PSA Industrie ee i agroalimentaire Chartres de Bretagne Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Seules 6 installations d passent le seuil de d claration 100t an Les rejets sont stables pour 4 d entre elles Les deux installations ayant les plus forts rejets ont diminu de mani re importante 20 leurs rejets entre 2009 et 2010 Cela s explique pour PSA par la suppression d activit s g n ratrices de COV et pour Cargill Redon par une am lioration du recyclage des rejets de COV 290 93 4 38 4 252 07 0 114 77 107 77 0 3 0 Cargill Cargill Nobelsport Guerbet Placoplatre France France Pont de Lanester Guipry SAS Brest Buis les Redon Quimerch Principales missions industrielles de SOx de NOx et de poussi res Oxyde de soufre SOx Industrie Puak agroalimentaire provenance des missions en Bretagne Une seule industrie d passe le seuil de d claration 252 11 2 8 missions en 2010 en tonnes an volution en sur 1 an Seuil 150 t an Soci t laiti re de Retiers Oxyde d azote NOx Industrie agroalimentaire Incin rateurs d ordures m nag res Production d nergie
81. ont envoy es dans des installations 2 756 tonnes de stockage de d chets dangereux 1 432 valoris es en mine de sel tonnes en Allemagne 5 stock s Les plates formes de compostage et de stabilisation biologique Les principaux d chets 223 000 tonnes en 2010 le tonnage r gional reste stable par rapport 2009 trait s par compostage sont 2 de variation 229 000 tonnes en 2009 Plourivo Pleumeur Bodou Smitred Smitred Quest d Armor Ouest d Armor 17 995 2 630 E 20 ET Lantic Smitom de Launay Lantic 0 Saint Malo Production en tonnes en 2010 Variation 2010 2009 ANTON Plonevez Porzay 0 Plou dern suny Saint Malo Agglom ration les d chets verts tontes C C duPays ivaom Te A de Chateaulin FINIST RE Hautrr gor ri Ploufragan de pelouses feuilles parfois et de Porzay nean i ke O7 0 es atelets en m lange avec des boues ER Se Fleyben CRE f i i i S Ein C TES D ARMOR ILLE ET d puration urbaines ou indus Douarnenez Environnement TETE Fouesnant ass C C du Pays Plouay Ecosys j C C de Douarnenez 9 860 trielles nene a 3 Y 42 de Fouesnant SEF QE 8 014 Sita Ouest Plomeur 13 20 686 O t en 2009 Geval Tr sunc a MORBIHAN Communaut RL me Cap l Orient nn 7 de communes puis viennent des d chets du Pays n Mi Geval agroalimentaires d chets Bigouden Sud 4 Cap l Orient e o LZ _ ra de cuisine effluents d l
82. ore un dossier qui comporte un ensemble de pi ces r glementaires dont une tude d impact et une tude de danger Il transmet ce dossier la pr fecture pour instruction par l inspection des IC Cette instruction comporte plusieurs phases dont une phase de consultation du public des lus de l administration l issue de cette phase le service de l Inspection des IC pr sente en commission d partementale un rapport et un projet de prescriptions pr fectorales d acceptation ou de refus In fine le pr fet accorde ou refuse le projet Ces installations sont inspect es p riodiquement par l Inspection des IC Parmi les installations soumises autorisation la r glementation europ enne identifie deux types particuliers d tablissements Les tablissements qui rel vent de la directive Seveso directive 96 82 CE modifi e 2003 105 CE sont ceux qui occasionneraient de graves cons quences l ext rieur des limites des sites en cas d accident Dans la nomenclature ICPE fran aise la directive pr voit deux classes d tablissements Seveso e autorisation avec servitudes pour les Seveso seuil haut En plus de la proc dure d autorisation ICPE une autre proc dure est d roul e en parall le pour tablir des servitudes dans les zones d effets des accidents potentiels autorisation pour les Seveso seuil bas Les tablissements qui rel vent de la directive IPPC Pr vention et r duction int gr e de la po
83. ortant pour les indus triels les pouvoirs publics et la soci t civile pour am liorer long terme l environnement et la sant La mise en uvre de ce r glement REACH vise trois enjeux majeurs e combler le d ficit de connaissance des risques environnementaux et sanitaires des substances chimiques les plus anciennes mises sur le march europ en avant 1981 L objectif est de disposer des informations sur les risques de plus de 30000 subs tances produites ou import es une quantit sup rieure 1 tonne par an L application de ce r glement est tal e sur dix ann es e confier la responsabilit de l valuation et de la gestion des risques des nouvelles substances aux fabricants et aux importateurs e favoriser une politique d innovation et de substi tution des substances les plus dangereuses L enregistrement constitue un des l ments fonda mentaux du r glement REACH toutes les substances chimiques fabriqu es ou import es plus d une tonne par an doivent tre enregistr es dans une base de donn es g r e par l Agence europ enne des produits chimiques ECHA Pour les substances les plus pr occupantes par exemple les substances canc rig nes mutag nes Les actions men es par l Inspection des installations class es Nombre d inspections r alis es En 2010 inspections Suite l entr e en vigueur des r glements REACH et CLP une organisation nationale de contr le a t mi
84. p sous l appellation sant environnement Le champ couvert par cette appellation est tr s vaste et regroupe notamment plusieurs missions de l inspection des installations class es r duction des missions indus trielles surveillance des produits chimiques r duction de la pollution des sols mais aussi lutte contre l habitat indigne PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 9 SANT ENVIRONNEMENT Le programme r gional sant environnement PRSE 2011 2015 a r gion Bretagne est marqu e par l existence de fortes in galit s de sant la fois territo riales et sociales mais aussi par des probl matiques environnementales sp cifiques qualit des eaux douces et littorales radon Instaur par la loi de sant publique de 2004 puis confort par le Grenelle de l environnement le pro gramme r gional sant environnement PRSE s ins crit dans une dynamique plus vaste de construction d une politique de sant en Bretagne Le premier PRSE avait t labor pour la p riode de 2005 2008 le deuxi me a t approuv par arr t pr fectoral le 26 ao t 2011 Ce dernier constitue un outil essentiel pour r pondre ces enjeux de pr ser vation de la sant environnementale ainsi qu aux pr occupations de la population bretonne Ce deuxi me PRSE est le fruit d un long processus de concertation et de co construction avec les diff rentes parties prenantes et il cons
85. quatiques par cer taines substances dangereuses e le Plan national sant environnement qui vise r pondre aux interrogations des Fran ais sur les cons quences sanitaires court et moyen termes de l exposition certaines pollutions de leur envi ronnement Approuv le 18 novembre 2009 pour le bassin Loire Bretagne il d finit pour une p riode de six ans 2010 2015 les grandes orientations pour une gestion quilibr e de la ressource en eau ainsi que les objectifs de qualit et de quantit des eaux atteindre Bretagne en vigueur en raison de probl mes d eutrophisation de plans d eau Ces probl mes environnementaux sont li s aux apports trop importants de phosphore notamment en terme d apports diffus via les pandages Les arr t s pr fectoraux qui r glementent l pan dage des ICPE doivent donc prendre en compte ces probl matiques Il entra ne des perturbations pour la production d eau potable La forme ammoniacale est toxique pour les poissons les nitrates contribuent l eutrophisation des exosyst mes aquatiques les nitrites ont des effets sur la sant II provoque l eutrophisation des cosyst mes aquatiques M taux m taux toxiques cadmium chrome nickel Certains m taux comme le plomb et le mercure peuvent s accumuler dans les organismes vivants En fonction de la toxicit sp cifique de chaque le colmatage du lit des cours d eau et des fray res ainsi que le colmat
86. que doit tre retenu lorsque l impact du projet sur l environnement et le voisinage peut tre consid r comme positif Au niveau de la Bretagne suite la r forme des ser vices de l tat et la cr ation de la DREAL le poste de coordination des ICPE agricoles IRIC Inspecteur r f rent des installations class es levage a t trans f r en avril 2010 de la DRAAF Direction r gionale de l alimentation de l agriculture et de la for t la DREAL 11 LES LEVAGES Le transfert de l IRIC de la DRAAF la DREAL conco mitant la signature du plan Algues vertes traduit la volont de renforcer les notions de d veloppement durable et de police environnementale appli qu es au monde agricole Dans le cadre de la mise en uvre des orientations du SDAGE en Bretagne le pr fet de r gion a sign le 20 novembre 2011 une lettre aux services instructeurs pour une prise en compte homog ne de l quilibre de la fertilisation en phosphore lors de l instruction des plans d pandage Des plafonds d pandage pour l l ment phosphore y sont arr t s ainsi que les orientations en termes de mesures anti rosives de nature limiter les risques de transfert du phosphore vers le r seau hydrographique Plan Alques vertes quatre actions qui concernent les levages ICPE e Contr le de 100 des ICPE levage en deux ans e mise en uvre de contr les renforc s portant sur la v rifica tion du r
87. que tonne de PNAQ PNAQ Il s mu 2005 Plan national d affectation de quotas E eE CO mise dans l atmosph re Les industriels dis posent pour cela d une allocation annuelle de quotas gratuits Ces allocations sont fix es en France par le Plan national d affectation de quotas PNAQ Depuis 2008 le syst me est entr dans la deuxi me phase PNAQ II Elle se terminera en 2012 avec pour objectif global europ en une r duction de 8 par rapport aux missions de 1990 En 2007 l Union europ enne s est engag e Objectif 8 par rapport 1990 PNAQII fermement r duire d au moins 20 ses mis sions de gaz effet de serre d ici 2020 par rapport aux niveaux de 1990 Pour atteindre cet objectif le syst me entrera dans une troisi me phase PNAQ III en 2013 Le syst me concernera un plus grand nombre d installations industrielles et les allocations annuelles de quotas gratuits dimi nueront chaque ann e de fa on lin aire les in dustriels devront acheter les quotas Objectif 20 par rapport 1990 am PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 missions de dioxyde de carbone 3 Brest Cargill France P RE 1 5 Dirinon EDF Brennilis EDF Carhaix Plouguer 2 Entremont Alliance FINISTERE 16 369 0 1 ct Cogestar 2 JET Guingamp Entremont Alliance s IM EYA St Jacut du M ne ETA C TES D ARMOR ary Ka 4 LA
88. r gnation des sols voire des eaux de mati res polluantes pr sente une pollution susceptible de provoquer une nuisance ou un risque pour la sant humaine ou l environnement Ces situations sont souvent dues des pratiques anciennes ou des accidents SITE EN COURS DE DEPOLLUTION PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 L origine et le traitement des sites et sols pollu s fin de pr venir la cr ation de nouveaux sites pollu s le Code de l environnement encadre le fonctionnement des ICPE et pr voit des obligations de la part des exploitants lors de la cessation de leur activit ainsi qu en cas de dysfonctionnement pen dant l exploitation du site L origine de la pollution peut tre de plusieurs types e la pollution accidentelle provient en g n ral d un d versement ponctuel de substances polluantes Si elle n est pas trait e dans des d lais courts elle peut migrer du sol vers le sous sol puis les eaux gt O e la pollution chronique est une pollution perma nente caus e soit par des missions r p t es ou continues de polluants soit par la pr sence de pol luants tr s r manents Elle est caus e par des fuites de r seau des probl mes d tanch it de syst me de r tention des lixiviats de d p ts de d chets etc Cette pollution peut tre variable dans le temps e la pollution diffuse provient d pandage de pro duits solides ou liquides ou de retomb e
89. r exemple que toute op ration d entretien soit r alis e par des entreprises certifi es Les rejets annuels d HFC de plus de 100 kg et de HCFC de plus d 1 kg doivent tre d clar s lors de la d clara tion annuelle En Bretagne compte tenu du d veloppement de l in dustrie agroalimentaire l utilisation des fluides frigori g nes en particulier le R22 HCFC 22 est fr quente missions 2009 kg Carhaix Plouguer 554 00 1832 00 806 00 Saint Malo 292 00 265 00 Quimper 2 30 e de l interdiction d utiliser des HCFC vierges dans la maintenance l Inspection des installations class es DREAL DD CS PP a donc men au cours de l ann e 2010 dix huit inspections De ces contr les il ressort quelques carts relatifs au suivi des op rations de maintenance et de Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement leurs formalisations dans le carnet de suivi Pour un tablissement une mise en demeure a t propos e en raison de fuites importantes sur les circuits partir du 31 d cembre 2014 l utilisation du HCFC sera inter dite r glement europ en 1005 2009 Les fluides de remplacement privil gi s sont l ammoniac et les HFC 7 Sant environnement Pr server la qualit de l environnement pour prot ger la sant humaine est un ob jectif majeur de la politique fran aise de sant publique L ensemble des actions men es dans ce cadre est regrou
90. retagne Manufac ture fran aise des pneumatiques Vannes ou sont dus leur pr sence naturelle dans le minerai pour la carri re Damrec Glomel nickel RSDE r duction des substances dangereuses dans l eau Dans le cadre de la mise en uvre des objectifs de r duction ou suppression d missions de subs tances dangereuses fix es par la directive cadre sur l eau et par le Programme national d action contre la pollution des milieux aquatiques PNAR le minist re a lanc la campagne de recherche et de r duction des rejets de substances dange reuses RSDE dans les effluents industriels des installations class es pour l environnement ICPE par circulaire du 4 f vrier 2002 Le bilan de cette action a conclu la n cessit de mettre en place une seconde phase organisant la surveillance des rejets de l ensemble des installa tions class es soumises autorisation d clin e par secteurs d activit L objectif de cette phase est de conduire des actions de r duction voire de suppression des rejets de substances dangereuses o ayant un impact significatif sur le milieu ch ance 2015 voire 2021 Cette seconde phase est d crite dans la circulaire du 5 janvier 2009 compl t e par les notes minist rielles du 23 mars 2010 et du 27 avril 2011 Sont concern es toutes les IPCE industrielles autorisation ayant un rejet d eau industrielle les rejets directs dans le milieu na turel et indirects via une
91. rganiques volatils Oxydes de soufre Troubles respiratoires Pluies acides Poussi res Gaz effet de serre Pr curseur d ozone Canc rog nes pour certains 4 LA POLLUTION DE L AIR e prescrire une surveillance des rejets l exploitant Des actions pluriannuelles cibl es visent r duire les rejets de certaines familles de polluants cf Zoom p 20 Les principaux rejets atmosph riques des ICPE concernent le dioxyde de soufre S0 les pous si res les oxydes d azote NOx les compos s orga niques volatils COV et le dioxyde de carbone CO Le tableau ci dessous d taille les effets environne mentaux ou sanitaires associ s ces polluants et leurs origines industrielles Chimie traitements de surfaces stockages d hydrocarbures raffinage d graissage de m taux imprimerie peinture Chimie bois papier m tallurgie mat riaux combustion de produits fossiles traitement des d chets S dimentables en suspension Troubles respiratoires Troubles pulmonaires Troubles respiratoires Troubles pulmonaires Contribution aux pluies acides Oxydes d azote Chimie bois papier m tallurgie combustion cimenteries carri res Chimie bois papier m tallurgie mat riaux combustion de produits fossiles Monoxyde de carbone CO Effet sur l h moglobine Dioxyde de carbone Gaz effet de serre DSRIAPQNS GS COMANA Principales missions industrielles de COV missions en 2010 en t
92. rissement de la couche d ozone et l mission dans l atmosph re de fluides frigorig nes fluor s notamment les chlorofluo rocarbures CFC e les gaz fluor s effet de serre GFES sont quant eux responsables du r chauffement cli matique Les principales substances vis es sont les hydrofluorocarbures HFC toxiques pour la reproduction les substances persis tantes ou bioaccumulables les perturbateurs endo criniens le r glement REACH pr voit une proc dure d autorisation En parall le de l enregistrement et l autorisation du r glement REACH l Union europ enne a mis en uvre un dispositif r glementaire pour permettre d identifier les dangers des produits chimiques et d finir les r gles de communication sur ces dangers via l tiquetage et la fiche de donn es de s curit Le r glement n 1272 2008 dit r glement CLP acronyme anglais de Classification labellisation packaging entr en vigueur le 20 janvier 2009 est l instrument r glementaire europ en pour d finir les obligations concernant la classification l tiquetage et l emballage des substances et des m langes conformit des fiches de donn es de s curit En Bretagne huit inspections ont t men es au cours de l ann e 2010 aupr s d entreprises aussi vari es que la fabrication de plastiques de traite ment de surface ou de distributeurs de produits chimiques Aucune non conformit n a t relev e seules des observations
93. rmation et de concertation autour des tablissements Seveso e les CLIS commissions locales d information et de surveillance autour des tablissements de traite ue tablissements soumis d claration Y A N Ed au 2012 Action de contr le cibl e men e par l inspection des ICPE tous les 7 ans l horizon 2012 inopin s an Contr le de second niveau des v rifications r alis es par les organismes de contr le agr Certaines installations soumises d claration entrent dans le cadre de la d claration contr l e elles sont soumises une obligation de contr le quinquennal ou d cennal sous certaines conditions par un organisme agr Seveso seuil haut la d claration annuelle des rejets Ces diff rents types de contr le per mettent d assurer une pr sence effi cace et dissuasive En effet en cas de d tection de non respect de la r glementation l inspection des IC propose au pr fet de d partement de mettre en demeure l exploitant de respecter les dispositions de son arr t d autorisation En cas de non respect de cette mise en demeure l inspection est ame n e proposer au pr fet la prise de sanctions administratives telles que la consignation d une somme pour r aliser des travaux ou la suspension d activit En parall le l inspecteur adresse au procureur de la R pu blique un proc s verbal Dans un grand no
94. rs insalubres incommodes ou dangereux et introduit le r gime de d claration pour r glementer L et d cret d application du 21 septembre 1977 Ces textes ont t codifi s travers le titre du livre V du Code de l environnement les installations class es pour la protection de l environnement 19 d cembre 1917 d veloppement des activit s industrielles et agri coles tout en pr servant les int r ts cit s l article L511 1 Les volutions de ce cadre r glementaire visent int grer le retour d exp rience acquis notamment suite aux accidents et pollutions mais aussi l am lioration des connaissances des tech niques disponibles et une meilleure prise en compte des pr occupations environnementales exprim es par la soci t notamment suite au Grenelle de l environnement Ces volutions pren nent aussi en compte les directives europ ennes afin de soumettre les installations similaires un traitement commun au sein de toute l Union euro p enne tous les textes r glementaires sont acces sibles sur www ineris fr aida La r glementation des ICPE est fond e sur quelques principes Installations class es www installationsclassees Ph durable gouv fr index Le Lait LI CL ma Ul knus ei la Fe du AT Br 19 juillet 1976 une r glementation int gr e qui prend en compte les diff rents vecteurs de pollution pos sible eau air d chet
95. s sols et les risques pos sibles g n r s par l installation l ext rieur du site une r glementation proportionn e d une part aux risques et impacts potentiels de chaque instal lation cf nomenclature et d autre part aux enjeux locaux cf tude d impact et tude de danger une r glementation qui responsabilise l exploi tant le dossier pr alable est r alis par l exploi tant Les r c piss s et autorisations sont d livr s au nom de l exploitant Il est de sa responsabilit de respecter les prescriptions qui lui sont appli cables En cas de non respect c est l exploitant qui est sanctionn ar Code environnement FE www ineris fr aida q consult_doc a consultation 2 250 190 28 8 57 PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 Le classement des ICPE Une nomenclature officielle classifie les installations de mani re proportionn e aux risques pollutions et nuisances potentiels En premier une installation rel ve d une MTG soit en fonction des activit s selon les op rations et risques qu elles pr sentent silos grain carri re d exploitation Par exemple la rubrique 2230 relative la r ception stockage traitement transformation du lait soit en fonction de la nature et de la quantit des substances hydrocarbures explosifs engrais stock es ou mises en uvre Par exemple la rubrique 1138 relative l emploi ou s
96. s ann es 70 chaque ann e des algues vertes proli f rent sur les c tes bretonnes Ce ph nom ne est li aux rejets de nitrate d s aux activit s humaines bretonnes Les quantit s d algues vertes produites chaque ann e varient fortement en fonction des conditions m t orologiques mais restent tr s lev es 70000 m ramass s en 2009 40000 m ramass s en 2010 Ces d p ts d al gues sur le littoral g n rent des rejets de produits toxiques hydro g ne sulfur qui constituent un risque sanitaire Suite au d c s d un cheval en 2009 une commission interminist rielle a labor le Plan Algues vertes pr sent le 5 f vrier 2010 Ce plan comporte plusieurs volets e am lioration des connaissances e actions curatives telles que le ramassage et le traitement des algues vertes e actions pr ventives pour limiter les flux d azote sur les c tes l inspection des IC est concern e par la mise en uvre de ces actions En Bretagne huit baies dites baies algues vertes situ es dans les C tes d Armor et le Finist re ont t identifi es Actions curatives e Une fois les algues vertes ramass es elles peuvent tre pandues ou envoy es dans des installations de traitement Ces derni res sont des ICPE de traitement de d chets L inspection des IC instruit les dossiers d pos s et contr le le respect des prescriptions pour les sites en fonctionnement e Compte tenu des impacts potentiels notamment ceux l
97. s aqueux en 2009 p 23 10 Les mines et carri res Principales missions industrielles _ Les carri res de mat riaux p 49 des polluants aqueux en 2010 p 25 _ Donn es bretonnes p 49 Les rejets d l ments m talliques en 2009 p 27 Utilisation rationnelle des ressources p 49 Les rejets d l ments m talliques en 2010 p 28 _ Les missions de la DREAL p 50 RSDE r duction des substances dangereuses Carri res en Ille et Vilaine p 50 dans l eau p 29 Carri res dans les C tes d Armor p 52 Carri res dans le Finist re p 53 6 Les d chets Carri res dans le Morbihan p 55 Les principes l gislatifs et r glementaires p 31 Les extractions en mer p 56 l activit mini re p 57 LES D CHETS NON DANGEREUX D 32 Les centres de stockage de d chets non dangereux p 33 11 Les levages Les installations d incin ration de d chets Les levages en quelques chiffres p 59 _ dangereux EN p 33 Toom mise en conformit des tablissements IPPC p 59 L incin ration produit deux types de r sidus p 34 2009 et 2010 deux ann es riches en volutions p 60 Les plates formes de compostage Toom Plan Algues vertes quatre actions et de stabilisation biologique p 34 qui concernent les levages ICPE p 60 re ar RL p gt 12 Les risques technologiques es de d chets dangereux produits mee me i ie Le dede ss j 36 L organisation de la DREAL pour la pr vention eo die p des risques li s a
98. s atmosph riques La nature et l origine des substances ne sont pas toujours clairement identifi es Pour les sites pollu s existants la doctrine nationale est fix e par plusieurs circulaires dat es du 8 f vrier 2007 labor e partir du retour d exp rience Cette doctrine est fond e sur trois axes Pr vention de la pollution respect de prescriptions techniques garanties financi res afin de pouvoir assurer la gestion d une ventuelle pollution garanties financi res au cours de l exploitation d une installation si une pollution des sols survient Gestion de la pollution en fonction de l usage du site v rification de l tat du sol avec l usage action de d pollution suivi de la qualit des eaux Mise en m moire lorsque des pollutions restent en place restrictions d usage inscription sur les bases de donn es nationales tudes compl mentaires de compatibilit des sols Le recensement des donn es 7 LES SITES ET SOLS POLLU S Les voies d exposition de la population sont aussi de diff rents types La pollution concerne les diff rents milieux naturels sol sous sol eaux superficielles et souterraines air L exposition de la population une pollution peut tre directe ou indirecte e par ingestion sol aliments contamin s eau etc e par inhalation air respir envol de poussi res etc e par contact cutan eau air etc e les deux principales voies d exposition
99. s r glements europ ens le r glement n 1005 2009 relatif aux substances appauvrissant la couche d ozone Nom exploitant Rejets en HCFC gt 1 kg an Doux SA Kergonan Rohan Viandes laboration SAS Doux Frais tablissement de Pleucadeuc Bigard SA Marine Harvest Kritsen SAS Doux Frais tablissement de S rent Kermad Comaboko Marie Briec Soci t Laiti re de Vitr Saviel France Bollor Sagem Industries Bollor SVA Jean Roz Bretagne Chimie Fine Marine Harvest Kritsen Soci t La iti re de l Hermitage SVA Jean Roz Saupiquet Rejets en HFC gt 100 kg an Armoric M Yamaguchi Soci t La iti re de l Hermitage Compte tenu de l importance du secteur agroalimen taire et des quantit s rejet es l Inspection des instal lations class es r alise en Bretagne chaque ann e au moins une dizaine d inspections sur le respect e des contr les d tanch it des circuits frigorifiques p riodicit r alisation du contr le SAO et le r glement n 842 2006 relatif aux gaz fluo r s effet de serre GFES La France s est dot e d un dispositif r glementaire pour encadrer l utilisation de certains fluides frigorig nes dans les quipements frigorifiques et climatiques Ainsi le d cret du 7 mai 2007 codifi dans les articles R 543 75 R 543 123 du Code de l environnement a pour objectif de s curiser la manipulation de ces fluides en 8 LES PRODUITS CHIMIQUES imposant pa
100. se Stockage 5 silos repris Port de Commerce Nutrea Nutrition Animale Ex Unicopa Cl herlan Cecable St Allouestre Zone Industrielle de Port Louis Cecaliment St Allouestre Saint Allouestre Zone Industrielle de Port Louis O1 O r Triskalia ex Cam Saint Av Pont Silio O1 GI y Sanders Bretagne Saint G rand Parc d activit s de Saint Caradec 56 Sofral Groupe Le Gouessant Saint G rand K roret Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Les autres quipements industriels Les quipements sous pression ESP peuvent pr senter des risques importants en cas de rupture Ils sont suivis de fa on sp cifique par la DREAL au niveau r gional Le suivi en service de ces quipements est soumis des contr les d l gu s des organismes habilit s OH Bureau Veritas Apave et ASAP Les contr les consistent v rifier la qualit des quipements et leur tenue la pression au travers notamment d une requalification p riodique La DREAL a en charge e le suivi du parc au travers d op rations de contr le ponctuelles visant v rifier le respect des p riodicit s de contr les par les OH le respect des proc dures pr vues dans les textes r glementaires La DREAL a galement en charge l enqu te en cas d accident sur un ESP e la surveillance des organismes par des visites de terrain et des visites approfon dies en agence permettant de v rifier le
101. se en place pour veiller la bonne mise en uvre de ces deux r glements Depuis 2007 l Inspection des installations class es m ne des actions d infor mation sur les cons quences de ce r glement aupr s des fabricants des importateurs mais aussi vers les utilisateurs aval En parall le des actions annuelles de formation des inspecteurs des ICPE ont t r ali s es afin de d velopper les contr les sur site Ainsi d s 2007 l Inspection des installations class es a men des contr les sur l utilisation des biocides dans les tours a ror frig rantes et les installations de traitement de bois partir de 2009 au titre du r glement REACH l action de l Inspection des instal lations class es a t de v rifier que les substances fabriqu es ou import es en Bretagne ont bien t enregistr es ou pr enregistr es et de contr ler la Les fluides frigorig nes fluor s Dans le cas du changement climatique des actions sont men es dans le cadre du suivi voire de la r duction des rejets atmosph riques des substances contribuant la diminution de la couche d ozone ou ayant des effets sur le r chauffement climatique effet de serre e les substances appauvrissant la couche d ozone SAO sont responsables de la diminution de 40 du volume total d ozone au dessus de l Antarc tique entre les ann es 50 et les ann es 80 Des travaux scientifiques du d but des ann es 70 ont tabli un lien direct entre l appauv
102. sont l in gestion et l inhalation Des guides dit s par lIneris le BRGM l Ademe etc donnent des orientations techniques sur des moda lit s de traitement des sols pollu s Lorsque le responsable d une installa tion class e pour la protection de l en vironnement s av re d faillant assu mer ses obligations en mati re de r habilitation de site l Ademe est mandat e par le minist re de l Envi ronnement pour intervenir En Bretagne deux sites font actuelle ment l objet d une intervention de l Ademe dont un pour lequel les tra vaux sont en cours d ach vement Deux bases de donn es existent au niveau national l une pour recenser les sites pour lesquels l activit a pu g n rer une pollution L autre pour les sites pour lesquels une pollution est av r e BASIAS recense les anciens sites industriels en activit ou l arr t qui ont g n r ou non une pollution des sols Cet inventaire s inscrit dans le cadre d un inventaire historique r gional des sites industriels et activit s de service d but d s 1978 14 276 sites recens s en Bretagne BASOL recense les sites et sols pollu s ou potentiellement pollu s pour lesquels des actions de suivi ou de d pollution ont t men es ou sont en cours 62 sites recens s ce jour pour la Bretagne 2 3 765 Finist re 8 proches de Brest 4 Quimper 2 proches LL de Lorient A 2 Vannes
103. spection des installations class es est amen e acter ces changements par arr t pr fec toral compl mentaire et fixer les conditions permettant de r duire le risque et les nouvelles r gles de pr vention du risque Les modifications relatives au classement des instal lations de stockage et de traitement de d chets sont galement en cours d analyse par l Inspection des ins tallations class es voire des mesures fonci res permettant le d placement des popu lations expos es En Bretagne fin 2010 la totalit des PPRT taient prescrits et 50 des PPRT taient approuv s Parmi les PPRT res tant approuv s six sont susceptibles de faire l objet de mesures fonci res Le travail r alis sur cette action qui est mise en uvre depuis 2007 consiste en l instruction de plus de 40 tudes de dangers l organisation de plus de 30 r unions d association en 2010 et l engagement de pr s de 450 000 euros en tudes de vuln rabilit permettant d valuer la r sistance des b timents aux ph nom nes dangereux provenant des sites industriels noter que la quasi totalit des enjeux susceptibles de faire l objet de mesures fonci res sont des activit s industrielles i MEEA LILAC LARE e 63 PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 12 LES RISQUES TECHNOLOGIQUES Les autres tablissements risque La r gion Bretagne compte une centaine d tablis II s agit pour l essentiel d instal
104. stries agro alimentaires i Gatin Viandes La Guerche de Bretagne Zone industrielle La Bougeoire Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Zone d Activit s Montign Est Autres industries agro alimentaires trelles Zone d Activit s Montign Est Autres industries agro alimentaires Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Liste des tablissements du Morbihan tablissement nom usuel Adresse ABCD 5 rue de Brizieux Ardo SA Route de Carhaix Bernard Abattoir Le Petit Kerb thune Bernard Salaisons ZI du Bardeff Autres Industries agro alimentaires Cap Bretin Zl de Bretin Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Celtys ZI de Restavy Viande abattoirs quarrissage Industrie de la D lices Saint L onard Zone d Activit s St L onard Nord Autres industries agro alimentaires D lifrance SA Zone d Activit s du Landy D lifrance SA Zone artisanale Fabrication de conserves Doux Plouray Abattoir Le Stanven Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Duc Keranna Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Floc H Jean Surgelation SA ZA de Bonvallon Co tnon Industrie agro alimentaire Frimor ZA Le Champ des Oiseaux Fromag re de Pontivy SFP Rue Charles Le Tellier Industrie laiti re Gad SAS ex Europig ZI La Belle Alouette Viande abattoirs quarrissage Industrie de la Keranna Volailles de A rodrome Keranna Autres industries agro alimentaires
105. t pour la sant la s curit la salubrit publiques soit pour l agriculture soit pour la protection de la nature et de l environnement soit pour la conservation des sites et monuments ainsi que des l ments du patrimoine arch ologique Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement les tablissements industriels en trois cat gories et impose de demander la permission pr alable de l autorit administrative Jom 15 octobre 1810 ette r glementation a vu le jour il y a 200 ans lors de la premi re r volution industrielle avec le d cret imp rial du 15 octobre 1810 qui classe les tablissements industriels en trois cat gories et impose de demander la permission pr alable de l autorit administrative En 1917 la loi du 19 d cembre r glemente les manufactures ta blissements et ateliers insalubres incommodes ou dangereux et introduit le r gime de d claration Cette loi est remplac e en 1976 par la loi du 19 juillet et son d cret d application du 21 sep tembre 1977 pour r glementer les installations class es pour la protection de l environnement Depuis ces textes ont t codifi s travers le titre du livre V du Code de l environnement L objet de cette r glementation est de permettre le AIDA www ineris fr aida HE 4 D cret imp rial qui classe Loi qui r glemente Nouvelle loi les manufactures tablissements et atelie
106. t Saint Marcel Sulniac Surzur Th hillac O lt D 02 10 LES MINES ET CARRI RES Mat riaux extrait Mat siliceux plioc ne Mat siliceux plioc ne Kaolin Quartzite Granite Schiste Granite Granite Mylonites de granite Granite Granite Mat siliceux plioc ne Mat siliceux plioc ne Mat siliceux plioc ne Schiste Mat siliceux plioc ne Gr s Quartzite Mat siliceux plioc ne Mat siliceux alluvions Granite Gneiss Gneiss Mat siliceux alluvions Gneiss Gneiss Environ 450 000 tonnes de granulats extraites en mer en 2010 dont 300 000 tonnes de maerl qui sont utilis s en tant quamendement agricole En viron 450000 tonnes ont t extraites en 2010 dont 300 000 tonnes de ma rl La loi n 2009 967 du 3 ao t 2009 de programmation relative la mise en uvre du Grenelle de l environne ment pr voit de limiter en tonnage les pr l vements de ma rl des usages faible exigence quantitative le ma rl tant un habitat d int r t communautaire au sens Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement tonnes de sable coquillier de la directive 92 43 CEE dite directive Habitats La subs titution du sable coquillier au ma rl vise respecter cet engagement afin que l arr t de l extraction du ma rl soit effectif en 2013 L arr t de l extraction du ma rl a de ce fait t int gr par les industriels dans
107. tagne concernent e la prescription de bilans environnementaux pour les anciennes mines d uranium de la concession de Lignol Morbihan et Finist re afin d en am liorer le suivi e la remise en tat de l ancienne mine de Montbelleux Luitr Ille et Vilaine avec notamment la cr ation d une alv ole pour l enfouissement des d chets de l in dustrie extractive Cependant tout n est pas que passif dans l activit mi ni re Des dossiers de demande de permis de recherches d hydrocarbures ou de m taux sont aussi d pos s et sont en cours d instruction PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 11 LES LEVAGES 1 1 Les levages La Bretagne est la premi re r gion de France en terme de nombre d levage soumis autorisation Cette concentration unique en France d une telle activit l chelle d une r gion n est pas sans effet sur l environnement Dans ce contexte l action principale de l inspection des installations class es en Bretagne vise assurer la meilleure prise en compte possible des pollutions diffuses qui peuvent impacter la qualit de l eau Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement Les levages en quelques chiffres 4 246 levages dont 6 334 levages dont 1 876 levages Auto 453 levages Auto dont IPPC 498 levages dont IPPC 509 levages dont volailles 339 BES IA dani mr DECLA
108. te volution Le classement des ICPE Quelques donn es chiffr es en 2010 Zoom le r gime d enregistrement 2 l inspection des ICPE l instruction Les actions de contr le La communication Quelques donn es chiffr es Toom le Plan Algues vertes 3 La d claration annuelle de polluants GEREP D claration GEREP mode d emploi Traitement des d clarations Utilisation des donn es Quelques donn es chiffr es 4 La pollution de l air Les polluants leurs effets et leurs sources Principales missions industrielles de COV Principales missions industrielles de SOX de NOx et de poussi res Le syst me communautaire d change de quotas d missions de gaz effet de serre missions de dioxyde de carbone Toom la r duction des missions industrielles de substances toxiques dans l air p 03 p 06 p 08 p 09 p 09 p 10 p 11 p 11 D 12 p 13 p 15 p 16 p 16 p 16 p 18 p 18 p 19 p 20 p 20 5 La pollution industrielle des eaux 9 Sant environnement Le nouveau cap fix par la directive cadre Le programme r gional sant environnement sur l eau DCE et le SDAGE Loire Bretagne p 22 PRSE 2011 2015 p 46 Les enjeux r gionaux de la qualit de l eau p 22 La l gionellose pr vention dans les tours Suivi des rejets aqueux des ICPE p 22 a ror frig rantes humides p 46 Principales missions industrielles des polluant
109. te la quantit d oxyg ne consomm e par les mati res oxydables chimiquement contenues dans un effluent La pr sence de mati res oxydables dans l eau entra ne une diminution de la photosynth se et une consommation de l oxyg ne dissous au d triment de la faune et de la flore DBOS demande biochimique en oxyg ne Ce param tre permet de caract riser les capacit s de d gradation N azote P phosphore des effluents en cinq jours en pr sence d oxyg ne dissous MES mati res en suspension Elles provoquent une diminution de la production photosynth tique 5 LA POLLUTION INDUSTRIELLE DES EAUX Sur le territoire national les sch mas directeurs d am nagement et de gestion des eaux SDAGE constituent l outil principal de mise en uvre de la DCE au niveau de chaque bassin hydrographique Le SDAGE est un document de planification d cen tralis tabli en application de l article L 212 1 du Code de l environnement Un d lai de mise en compatibilit des arr t s des ICPE autoris es avec les objectifs du SDAGE a t fix 2013 En outre le SDAGE s inscrit pleinement et participe aux plans nationaux dans le domaine de l environne ment strat gie nationale du d veloppement durable strat gie nationale pour la biodiversit Il prend directement en compte et int gre notam ment les l ments th matiques suivants e les dispositions du programme national d action contre la pollution des milieux a
110. tiples industrie transport tertiaire voire la nature Quel air frais et vivifiant PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 D ans le domaine de la pollution de l air les mis sions de l Inspection des installations class es concernent la pr vention et le contr le des rejets industriels et de leurs impacts sur la qualit de l air Ces actions s inscrivent dans un cadre r glementaire national fond sur des engagements internationaux afin de limiter les effets sur la sant humaine mais aussi pour pr server l environnement et le climat Le tissu industriel breton ne comporte pas d industries fortement mettrices de rejets dans l air par compa raison avec le niveau national Pour autant ce type de rejets est encadr et suivi des axes de r duction de ces rejets sont recherch s Le contexte r glemen taire dans le domaine de la qualit de l air est forte ment marqu par les directives europ ennes qui portent en particulier sur la qualit de l air sur la r duction des missions de certains polluants ainsi que sur certaines sources de polluants atmosph riques Les prescriptions impos es aux ICPE visent e r duire la pollution atmosph rique au niveau le plus bas permis par les techniques et les conditions conomiques e am nager les installations et les quipements e veiller au respect des valeurs limites d mission Les polluants leurs effets et leurs sources Compos s o
111. titue ainsi le cadre de r f rence de l action en sant environnement en Parmi ces objectifs la DREAL pilote dix actions parmi les objectifs suivants Bretagne pour les ann es 2011 2015 d clin e au plus pr s des territoires de la r gion Il s articule autour de douze objectifs prioritaires et de trente sept actions concr tes qui visent pro mouvoir la sant favoriser la construction d une culture sant environnement en Bretagne et agir sur tous les moments de la vie quotidienne des Bretons l image des ateliers mis en place pour la concertation habiter accueilli produire travailler consommer et bouger se d tendre Objectif 5 Am liorer la qualit des eaux brutes identifier des ressources FE en eau privil gier pour l alimentation humaine suivi des actions de res tauration de la qualit des Z eaux et de protection des captages men es dans le cadre du SDAGE du PLAV et du plan Ecophyto Objectif 6 D velopper une atti r duire les rejets des micro polluants d origine industrielle tude de vigilance l gard des pro duits chimiques et des poussi res Objectif 7 Construire r nover am nager et entretenir sainement les locaux contr le des produits chimiques REACH direc tive biocides laboration d un carnet de sant habitat Tor r alisation de mesures de qualit de l air int rieur mise en place d un plan r gional de lu
112. titution apr s exploitation d un milieu adapt au site la pro tection des eaux souterraines et des eaux de surface contre les impacts thermiques les pollutions acci ZOOM Donn es bretonnes dentelles et les rejets deaux de traitement des mat riaux g n ralement riches en mati res en sus pension le contr le des nuisances li es au bruit aux vibrations aux d p ts de poussi res ou de boues que l on peut retrouver sur les parcelles voisines ou les voies de circulation Les autorisations sont d li vr es pour une dur e maximale de trente ans ce qui est g n ralement le cas des carri res qui alimentent une industrie lourde en aval mais la dur e est le plus souvent de dix ou vingt ans 27 5 millions de tonnes de granulats produites en 2010 La production annuelle totale en Bretagne en 2010 s l ve 27 5 millions de tonnes de granulats principalement de roche massive e 25 8 millions de tonnes de roches massives e 1 7 million de tonnes de mat riaux alluvionnaires Depuis quelques ann es la Bretagne produit galement des granulats de recy clage en concassant des mat riaux de d molition issus des b timents b tons arm s ou non arm s d pourvus de pl tre et des sous produits de l industrie sables de fonderie m chefers En 2010 la r gion Bretagne compte 275 car ri res administrativement ouvertes soumises autorisation au titre de la l gis lation des installations class es do
113. tockage de chlore Ensuite au sein de chaque rubrique le r gime r glementaire varie en fonction de l importance des risques pollutions ou nuisances potentiels que peut repr senter l installation Par exemple la rubrique 1511 correspondant aux entrep ts frigorifiques Le crit re de classement est le volume susceptible d tre stock Volume sup rieur L installation est une ICPE ou gal soumise au r gime 150 000 m3 de l autorisation Sup rieur ou gal 50 000 m mais inf rieur 150 000 m3 au r gime de l enregistrement L installation est une ICPE soumise 7 cf partie zoom Pour toute installation au dessus de ce seuil avant de r aliser son installation l exploitant devra transmettre au pr fet un dossier au contenu r glement Plus l installation est dans une classe lev e plus le contenu du dossier est complexe et la proc dure d instruction longue Sup rieur L installation est une ICPE ou gal soumise au r gime 5 000 m8 mais inf rieur 50 000 m de d claration contr l e de 5 000 m3 X L installation n est pas une ICPE Installations class es IPPC www installationsclassees developpement durable gouv fr bilan de fonctionnement IPPC html Minist re de l cologie du D veloppement durable des Transports et du Logement 1 QU EST CE QU UNE ICPE En pr alable la construction de son installation l exploitant lab
114. tte contre l habitat indigne Objectif 8 R duire les missions de particules li es aux d placements po suivi des actions men es sg dans le cadre du plan 24412 r gional pour la qualit de l air du plan particules Objectif 11 Encourager et accom pagner la prise de conscience colo gique notamment le d veloppement du bio mesure de la qualit de l air int rieur dans les logements cologiques et basse consommation Objectif 12 Reconna tre l urba nisme l am nagement du territoire et le cadre de vie comme des d termi nants de la sant rep rage des tablisse i ments accueillant des o K M enfants construits sur des sites potentiellement sensibles W _ dans les tablissements accueillant des enfants www prse bretagne fr La l gionellose pr vention dans les tours a ror frig rantes humides La l gionellose est une infection respiratoire provoqu e par des bact ries vivant dans l eau douce appel es l gionelles qui prolif rent entre 25 et 45 C La l gionellose est une maladie d claration obliga toire depuis 1987 Les infections qui peuvent tre occa sionn es par les l gionelles sont de deux formes e une infection caract re b nin appel e fi vre de Pontiac qu rissant sans traitement en deux cinq jours Le diagnostic de l gionellose est rarement port dans ces cas qui passent g n ralement inaper us e une infection pulm
115. ttelettes o i s i RA A des l gionelles et d une strat gie de maintenance a e la d finition des actions engager lors de d passement des seuils fix s par les textes e la mise en place d un carnet de suivi de l installation Air Sortie ext rieur d eau froide amp 4 400 tours a ror frig rantes r pertori es en Bretagne Campagne annuelle Sur 171 TAR contr l es en 2010 de pr l vements 94 ont pr sent une concentration normale Les tours a ror frig rantes sont fr quem de bact ries l gionelles dans leur circuit d eau ment utilis es dans l industrie agroalimen taire refroidissement du process de fabri cation Aussi en Bretagne leur nombre est important de l ordre de 400 tours a ror fri g rantes sont r pertori es en tant qu instal 5 ont pr sent des r sultats non interpr tables flore interf rente ou lev s soit 8 tablissements sur 60 1 seul r sultat a pr sent une concentration anormalement lev e sup rieure 100 000 UFC I lations class es Dans ce cas l Inspection des IC impose e l arr t imm diat de la tour concern e avec la mise Compte tenu de ce nombre et du tissu d ha en place d une d sinfection de la tour bitat suite aux pid mies l Inspection des avant la remise en service de la tour une analyse i m thodique des risques de d veloppement installations class es a mis en place une des l gi
116. ustriels a DREAL a en charge le suivi des sites industriels hors levages et industries agricoles qui rel vent des DDPP ainsi que les r seaux de transport de mati res dangereuses et de distribution de gaz et les quipe ments Sous pression Huit personnes travaillent temps plein sur ces sujets pour la r gion Bretagne Ces effectifs sont r partis entre gional situ Rennes les unit s territoriales situ es en d partement ayant en charge le suivi direct des sites industriels et le p le r technique et r glementaires vis vis des unit s territo riales et assurent l interaction entre le niveau national et l application concr te des mesures sur le terrain Les agents du p le sont des inspecteurs des installations Cette organisation vise augmenter l efficacit et la class es sp cialis s dans des domaines techniques tels pertinence de l analyse des risques par l Inspection des Les tablissements haut risque Parmi les tablissements industriels risque certains mettent en uvre des quantit s importantes de produits dangereux et sont qualifi s d tablisse ments haut risque Ce sont les tablis sements Seveso La directive Seveso 2 transcrite en droit fran ais au travers de l arr t minist riel du 10 mai 2000 est l outil r glementaire qui pose les bases du suivi des tablisse ments haut risque en France Les tablissements sont r partis en deux familles les ta
117. ux sites industriels p 62 Les tablissements haut risque p 62 des d chets dangereux p 37 Les d chets trait s dans les installations p 38 i KA De PSC PENN poa Faits marquants 2010 sur les tablissements Seveso p 63 Les transferts transfrontaliers de d chets p 38 E ec its ka 5 63 7 Les sites et sols pollu s pros pege o Les autres quipements industriels p 69 l origine et le traitement des sites et sols pollu s p 40 Le recensement des donn es P 40 Glossaire et liens utiles p 70 tablissements recevant des enfants et adolescents situ s sur d anciens sites industriels p 41 8 Les produits chimiques pu i a a j e eet e BUS hate est consultable sur le site internet de la DREAL Bretagne fabrication et l utilisation des produits chimiques p 43 fin ont Les fluides frigorig nes fluor s p 43 Feet Le Panorama de l environnement industriel en Bretagne F PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 1 QU EST CE QU UNE ICPE A A Qu est ce qu une ICPE e Installation class e pour la protection de l environnement Les installations class es pour la protection de l environnement ICPE sont les usines ateliers d p ts chantiers et d une mani re g n rale les installations exploit es ou d tenues par toute personne physique ou morale publique ou priv e qui peuvent pr senter des dangers ou des inconv nients soit pour la commodit du voisinage soi
118. visant l am lioration des syst mes en place ont t formul es au cours de ces visites Pour les ann es venir il est pr vu de d velopper de nouveaux types de contr les par exemple e contr les vers les utilisateurs et v rification de la bonne prise en compte des fiches de donn es de s curit e contr les avec pr l vements de produits pour analyse et v rification que les substances indiqu es par le fabricant sont bien celles pr sentes dans le produit Les CFC HCFC ou HFC sont des fluides frigorig nes fluo r s utilis s pour transf rer de la chaleur dans les qui pements frigorifiques et climatiques D couvertes dans les ann es 30 ces substances en rai son de leur non toxicit pour l homme et leurs propri t s chimiques se sont rapidement impos es comme fluides frigorig nes pour la cr ation du froid dans dif f rents secteurs industries agroalimentaires tertiaires entrep ts commerciaux ainsi que la climatisation des v hicules PANORAMA DE L ENVIRONNEMENT INDUSTRIEL EN BRETAGNE 2009 2010 Encadrement r glementaire de l utilisation des fluides frigorig nes Ces substances sont couvertes par deux protocoles in ternationaux celui de Montr al en 1987 pour les SAO et celui de Kyoto en 1992 pour les GFES qui visent interdire progressivement les missions de ces subs tances dans l atmosph re Les dispositions prises dans le cadre de ces deux protocoles ont t reprises par de

Le panorama de l`environnement industriel 2009

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