Lettre du sénateur
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1. LETTRE DU GENA EUR n 6 m Juillet 2006 ditorial u moment o se termine la session parlementaire notre ays conna t une situation paradoxale Gr ce la mobilisation de tous nos indicateurs cono miques s am liorent avec notam ment une baisse du ch mage qui est pass de 10 1 9 3 en un an Malgr cela la d fiance l gard de l action publique est par ticuli rement forte dans un contexte pr lectoral qui il faut bien le dire nuit fortement l efficacit de lac tion gouvernementale Pourtant nous le savons la France doit s adapter rapidement aux exi gences conomiques internatio nales et seule une coh sion natio nale renforc e loin des calculs poli ticiens nous permettra de faire face ces d fis Le redressement de nos finances publiques autour d un pacte social renouvel est possible si nous savons nous rassembler et retrou ver confiance en l avenir Pour cela un effort collectif autour d un d bat politique qui ne doit pas c der la facilit de la d magogie et du populisme est plus que jamais n cessaire Pour ma part lors de cette session je me suis investi sur des textes l gislatifs qui concernent particuli rement notre quotidien notamment le projet de loi Engagement National pour le Logement et le projet de loi sur l eau en tant que Rapporteur pour avis de la Commission des lois du S nat Cette nouvelle lettre vous permettra d appr cier2. avoir constitu au pr alable un syndicat qui rassemble les groupements int ress s Pour autant la cr ation d un office de tourisme intercommaunautaire sous forme associative reste possible E LOGEMENT Engagement national pour le logement Pierre Jarlier rapporteur pour avis du projet de loi D pos en premir lieu sur le bureau du S nat ce texte s inscrit dans la continuit du programme de r nova tion urbaine Il comprend les mesures l gislatives n cessaires la mise en oeuvre du Pacte national pour le logement tabli le 1 septembre 2005 et destin es faire face la crise particuli rement grave que traverse ce secteur n d pit du nombre record de logements en construction soit 363 000 en 2004 et pr s de 400 000 en 2005 contre 310 000 en 2000 le d s quilibre entre l offre et la demande de logements ma jamais t aussi important Pour r pondre cette crise le Gouvernement est fix comme objectif au travers du plan de coh sion sociale m la construction chaque ann e de 500 000 logements locatifs sociaux pour la p riode 2005 2009 mla mise disposition de 40 000 logements locatifs priv s loyers ma tris s soit un dou blement de l offre mlaccroissement de l offre de logements in term diaires Tr s attendue la loi ENL renforce le volet logement du plan de coh sion sociale Ses objectifs sont m la mobilisation de la ressource fonci re existante pour la producti
3. S nat rapports d information groupes de travail questions crites et orales amende ments etc VOS remarques permet tront d enrichir ce site et de mieux r pondre vos attentes Pierre Jarlier a souhait mettre votre disposition sur un site Internet simple et ouvert des informations sur son activit parlementaire Il s agit de mieux faire conna tre l action men e au S nat et de mettre votre disposition les outils l gislatifs qui peu vent vous tre utiles Ce site vient ainsi compl ter les notes d information adress es r guli rement aux lus cantaliens Pierre Jarlier _ S n teur Cantal actu presse ves d actualit s de Le HONTERE ne i Virenque en bleu blanc pois l t r unions de travail rencontres au S nat mesures qui concer nent le Cantal pour acc der l information dont vous avez besoin POUR JOINDRE VOTRE S NATEUR
4. curit sociale Pierre Jarlier a propos et d fendu un amendement co sign par plusieurs de ses coll gues s nateurs proposant l exon ration des cotisations patronales pour les gestionnaires des unit s de vie et d accueil familiales pour personnes g es en milieu rural Cet amendement a t adopt l unanimit du S nat des charges patronales aux em s curis proche de leurs racines et du mi I ouverture du droit l exon ration poursuivre le cours de leur vie dans un cadre ployeurs associatifs des accueillants lieu dans lequel elles ont toujours v cu familiaux obtenue par Pierre Jarlier a pour cons quence de diminuer le montant du Dans le Cantal une premi re r sidence prix de la journ e dans ces structures de g r e par les Cit s Cantaliennes de l Au 5 De quoi rendre d autant plus attrac tomne avec l agr ment du Conseil G n tif ce nouveau mode d accueil des per ral a d j t r alis e Velzic Celle de Neu sonnes g es en milieu rural v glise a ouverte en Janvier Les travaux de construction des r sidences d accueil An Ces unit s de vie et d accueil en milieu fa glards de Salers et Saint Santin de Maurs ts ru gt A 7 milial permettent aux personnes g es de Viennent d tre achev s MAPAD de Reilhac MAISON DE RETRAITE DE REILHAC PIERRE JARLIER OBTIENT DES CR DITS COMPL MENTAIRES 17 Pr ts Locatifs Sociaux PLS ont t obtenus par Pierr
5. Pierre Jarlier et Jacques P lissard en visite au Congr s des Maires PIERRE JARLIER NOMM AU COMITE DE BASSIN ADOUR GARONNE Par arr t du 31 ao t 2005 la ministre de l Ecologie et du D veloppement Durable Nelly Ollin a nomm Pierre Jarlier au sein du Comit de bassin Adour Garonne comme l une des deux personnalit s qualifi es Compos d lus de repr sentants de l Etat des usagers et des socio professionnels le Comit fixe les besoins et les orientations de gestion du bassin Adour Garonne Il recouvre 6 r gions 25 d partements et 6 863 communes dont 30 de la population vit en zone rurale Il concerne l ensemble du Cantal l exception des cantons d Allanche de Massiac et de Murat Le Comit de bassin dirige le 8 me programme d intervention de l Agence de l eau adopt pour une dur e quatre ans 2003 2006 dont le montant des aides repr sente 762 Milliards d euros Il pr pare actuellement la prochain programme 2007 2013 Ces aides sont destin es Passainissement des collectivit s la d pollution industrielle la lutte contre la pollution agricole l am lioration de la production d eau potable la gestion des ressources en eau et la restauration des milieux aquatiques E SERVICES Accueil des personnes ag es en milieu rural Exon ration des charges patronales pour les unit s rurales d accueil Lors de l examen au S nat du projet de loi de financement de la s
6. de communes Sum ne Artense H pitaux chirurgie R uni en s ance extraordinaire le 27 avril le bureau de l Association des Petites Villes de France APVF dont fait partie Pierre Jarlier a mis une protestation solennelle aupr s de Xavier Bertrand ministre de la Sant et des Solidarit s propos des conclusions du rapport Vallancien D s le lendemain Pierre Jarlier et une d l gation de l APVF conduite par son Pr sident Martin Malvy ont t re us par Xavier Bertrand Si la s curit est assur e il n y a aucune raison de fer mer un service de chirurgie a affirm le ministre qui a demand un rapport d expertise aux Directeurs des Agences R gionales d Hospitalisation ARH pour examiner au cas par cas les situa tions des services de chirurgie des h pitaux de proximit Xavier Bertrand a galement confirm que les Sch mas R gionaux d Organisation Sanitaire SROS arr t s pour la p riode 2006 2011 qui int grent le maintien des blocs op ratoires seraient appliqu s d s lors que la s curit des interventions est assur e Enfin le ministre a annonc l abondement de 12 en 2006 du financement des missions d int r t g n ral de petits h pitaux Pierre Jarlier lui a indiqu que les dotations n taient toujours pas arriv es sur le terrain et que les h pitaux se trouvaient confront s des difficult s budg taires souvent insurmontables conduisant les tablissements voter
7. dont nos ter ritoires ruraux ont besoin des mesures d exo n ration de charges sociales pour toutes les associations qui ont une mission d int r t g n ral agissant dans le domaine sanitaire et social compl tent les mesures pr cit es En mati re de logement Pour r pondre concr tement aux besoins de logements locatifs faibles revenus le dispositif de Robien sur le logement in term diaire a t consid rablement ren forc avec un dispositif Robien ZRR gr ce une d duction forfaitaire port e 40 des loyers bruts des logements concern s situ s en Zone de Revitalisation Rurale De plus les propri taires bailleurs qui met tent en location du logement conven tionn b n ficient durant 15 ans d une exon ration de la taxe sur la propri t fon ci re b tie En mati re d immobilier touristique Afin de favoriser l attractivit des territoires et d y implanter une conomie touristique g n ratrice d emplois deux mesures im portantes ont t prises m d une part l application d une r duction d imp t sur le revenu pour tout contri buable faisant l acquisition entre le 1 jan vier 1999 et le 31 d cembre 2010 d un lo gement neuf ou en tat futur d ach vement faisant partie d une r sidence de tourisme destin la location pendant une p riode au moins gale neuf ans m l application d une r duction d imp t sur le revenu pour tout contribuable qui r a
8. la couverture de la RN 122 a galement t nettement am lior e en 2005 NUMERIQUE TERRESTRE 85 DE LA POPULATION COUVERTE EN 2007 possible par voie hertzienne un satellite sera mis disposition gratuitement avant la fin 2006 Il a galement annonc que les parlementaires seraient saisis au cours de l ann e d un projet de loi d adaptation Ceci pour rendre accessibles le plus rapidement possible de nouveaux services de t l vision en haute d finition sur les mobiles RN 122 ACTION POUR LA CONTINUIT JUSQU L AUTOROUTE A 20 ssurer une continuit de la RN 122 A depuis l A 75 et jusqu l A 20 tel est l objectif poursuivi par Pierre Jarlier Le s nateur est intervenu aupr s du Premier ministre et du ministre des Transports pour demander le classement en route nationale de l actuelle RD 802 entre Figeac et Montfaucon Si le d cret n 2005 1499 du 5 d cembre 2005 maintient bien la Route Nationale 122 dans le r seau national sur toute la travers e du Cantal depuis l A 75 elle est interrompue la sortie de Figeac par le r seau d partemental RD 802 sur quelques kilom tres jusqu l A 20 changeur de Montfaucon Le s nateur a insist sur la n cessit d une vision interd partementale et interr gionale pour cet axe La prise en compte d un itin raire coh rent reliant l axe A 20 l axe A 75 est un am nagement du territoire primordial pour l aven
9. r partition des aides afin d en assurer la coh rence Une p r quation est institu e entre les agences de l eau leurs contributions res pectives l Office national de l eau et des milieux aquatiques ONEMA seront calcul es en tenant compte du potentiel conomique du bassin hydrographique et de importance relative de sa population rurale E L INCITATION LA GESTION INTERCOMMUNALE DE L ASSAINISSEMENT en permettant aux communaut s de communes d exercer titre optionnel tout ou partie de la comp tence assainisse ment en particulier de ne prendre en charge que l assainissement autonome en faisant figurer l int gralit de la comp tence assainissement dans la liste des comp tences optionnelles ouvrant droit la dota tion globale de fonctionnement bonifi e Un amendement cosign avec le rappor teur de la commission des Affaires cono miques permet galement aux Conseils g n raux qui le souhaitent de cr er un fond d partemental pour l alimentation en eau et assainissement afin de financer leurs interventions en faveur des communes rurales et de soutenir leurs investissements Ce fonds serait aliment par une contribu tion assise sur la consommation d eau Cette disposition supprim e l Assembl e nationale sera propos e nouveau en seconde lecture au S nat ELE RENFORCEMENT DE LA TRANSPARENCE DES SERVICES PUBLICS DE DISTRIBUTION D EAU ET D ASSAINISSEMENT P
10. 005 Une garantie est accord e aux communes ligibles en 2005 la Dotation de Solidarit Urbaine ou la DSR bourgs centres afin qu elles ne su bissent pas en 2006 une nouvelle baisse de leur Dotation de Compensation de la TP A noter que les communes bourgs centres voient leur DSR augmenter en moyenne de plus de 20 pour la deuxi me ann e cons cutive d s lors qu elles sont situ es en ZRR la suite de l amendement de Pierre Jarlier vot en loi de Finances 2005 m La Dotation de Solidarit Urbaine et de Coh sion Sociale DSUCS augmente cette ann e de 120 Millions d euros et s l ve 879 Millions d euros apr s une r va luation de 151 Millions d euros en 2005 m La Dotation Nationale de P r quation DNP progresse de 3 49 par rapport 2005 elle atteint 653 millions d euros Cette dotation vers e en fonction de l insuffisance des ressources fiscales notamment de la taxe professionnelle doit permettre une meilleu re r partition des ressources entre collectivi t s Si en 2005 une commune n est plus li gible la part principale ou la majoration de la DNP elle per oit titre de garantie en 2006 une dotation gale 50 de celle per ue en 2004 m Concernant la Dotation d intercom munalit en 2006 la dotation moyenne par habitant des communaut s de com munes atteint 2 143 Milliards d euros Le CFL a retenu le taux maximum de pro gression de la
11. Cette cr ation s inscrit dans les orientations du nouveau plan d partemental d limination des d chets en cours de finalisation Le syndicat r unit toutes les communaut s de communes de l arrondissement de Saint Flour et celle du Pays de Gentiane soit 11 communaut s de communes 130 communes et 47 000 habitants La sur l vation d un casier a d j t r alis e par le Syndicat au centre des Cramades Les communaut s de commune du Pays de Saint Flour Massiac du Caldagu s Aubrac de Margeride Truy re et du Pays Gentiane en sont les utilisatrices Sa capacit maximale de stockage sera atteinte en 2007 Un nouveau Centre d Enfouissement Technique CET sera donc lanc sur le site des Cramades en 2007 La totalit des collectivit s adh rentes au syndicat soit en plus de celles pr cit es le C zalier le Pays de Murat le Pays de Pierrefort et la Plan ze y d poseront leurs d chets m nagers La capacit de ce CET sera de 400 000 tonnes Sa dur e de vie est estim e 20 ans et l investissement en vue de sa cr ation se chiffre 6 millions d euros Au terme de la premi re r union du comit syndical Pierre Jarlier a t lu Pr sident de la nouvelle structure Si nous sommes performants sur le tri s lectif l utilisation du Centre Technique pourra se poursuivre au del de vingt ans et co tera donc moins cher au contribuable a affirm Pierre Jarlier Avec lus de la communaut
12. al en liai son avec la commission des Affaires co nomiques pour donner aux lus locaux les moyens de d velopper la mixit sociale en particulier m la compensation int grale par l Etat de l exon ration de la taxe sur le foncier b ti pour tous les logements sociaux autres que ceux financ s avec un pr t locatif so cial pendant toute la dur e du plan de co h sion sociale m l instauration facultative d une taxe for faitaire sur la plus value r alis e lors d une cession de terrains nus rendus construc tibles par une d cision administrative La concertation entre l Etat et les collec tivit s territoriales a t pr f r e la contrainte pour la r alisation de loge ments sociaux sauf pour les communes qui ne manifesteraient pas la volont de respecter le quota d sormais obliga toire des 20 de logements sociaux A cette fin il a t octroy au conseil municipal la responsabilit d accorder ou non un droit de d laissement aux propri taires des terrains concern s par lobligation pr vue par le plan local d urbanisme PLU de r aliser dans un programme de logements un pourcen tage minimum de logements sociaux Pour acc l rer la mobilisation des terrains de l Etat au service de la construction de loge EN SAVOIR PLUS SUR LE PROJET DE LOI ENGAGEMENT NATIONAL POUR LE LOGEMENT ments le S nat a obtenu un engagement du Gouvernement proc der une d cote de 35 sur le prix de
13. des budgets en d ficit ou restreindre certains services Laa Visite minist rielle dans le Cantal Le 16 septembre 2005 en visite dans le Cantal le ministre d l gu aux Collectivit s Territoriales Brice Hortefeux a inaugur la mairie de Vieillevie et les am nagements de l entr e Est du bourg avant de se rendre Saint Flour inaugurer les ateliers de maroquinerie Vulcacuir Cette entreprise compte actuellement plus de 150 employ s essentiellement f minins A agence ANPE le ministre a pu proc der la signature de deux Contrats d Accompagnement l Emploi CAE dans le cadre du plan Borloo En fin d apr s midi il a inaugur la Maison de services de la commune de Murat Pierre Jarlier rencontre r guli rement les lus cantaliens lors de r unions de travail autour des th mes qui les pr occupent notamment les finances locales l application de la loi d veloppe ment des territoires ruraux loi DTR les fonds structurels le projet de loi sur l eau ou encore la loi d orientation agricole Pierre Jarlier et les Maires du canton de Laroquebrou Avec les lus de la communaut de communes de C re et Goul en Carlad s Un site Internet votre disposition Rencontre a avec le Ministre de l ducation nationale Gilles art de vos suggestions afin Bien ponta Pierre Jarlier S nateur du Cantal suan Lune races ous ua travail l gislatif ra de votre s nateur au
14. dotation des communaut s de communes afin de resserrer l cart entre celle ci et les communaut s d agglom ra tion Ainsi la dotation d intercommuna lit a progress de 4 pour les commu naut s de communes et de 2 5 pour les communaut s d agglom ration m S agissant de la dotation de compensa tion des EPCI les dotations individuelles variant de 1 3 par rapport 2005 le montant total r partir s l ve 3 868 mil liards d euros R FORME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE Le S nat est l origine des am nagements majeurs apport s la r forme de la Taxe Professionnelle TP A compter des impositions tablies au titre de 2007 toutes les entreprises quel que soit leur chiffre d affaires voient leur cotisation de TP plafonn e 3 5 de leur valeur ajout e Le dispositif adopt pr voit une r duction sensible du pr l vement la charge des groupements de communes qui ont opt pour le r gime de la Taxe Profes sionnelle Unique TPU et dont les bases plafonn es sont sup rieures 50 mais aussi pour celles qui disposent d un faible produit de TP par habitant Il faut retenir que les collectivit s et les EPCI conservent en tout tat de cause la totalit du suppl ment du produit de la taxe pro fessionnelle li la croissance de la totalit de leur base Seuls les collectivit s ou les EPCI qui augmenteront leur taux de TP se verront appliquer un pr l vement gal au pr
15. du Comit Interminist riel d Am nagement du Territoire en 2001 l Etat avait fix comme objectif la couverture de Pensemble du territoire national Dans son prolongement le plan d partemental de couverture en t l phonie mobile du Cantal de 2003 a identifi 80 communes non couvertes 36 d entre elles ont t reconnues comme prioritaires Les travaux de leur quipement sont financ s part gale entre le Conseil g n ral 4 Millions d euros les op rateurs 4 millions d euros l Etat 300 000 euros la R gion 100 000 euros et l Europe 25 du montant global TTC 5 relais de t l phonie mobile sont d ores et d j en service et couvrent les communes de Condat Montboudif Chanterelle Tremouille Champs sur Tarentaine Jabrun et Saint Urcize Neuf sites sont en cours de construction Menet Saint Etienne de Chomeil Valette Marcenat Montgreleix Espinasse Lieutades Marcoles et Vitrac lls doivent tre pr ts la fin de l t La commune de Villedieu sera quip e cet t celles d Alleuze et Neuv glise l automne Les op rateurs Orange SFR et Bouygues T l coms se sont engag s quiper les 44 communes du d partement restantes Sont d j couvertes dans ce cadre Dienne Lavigerie Velzic Laroquevieille Saint Cirgues de Jordanne Lascelle Carlat Saint Etienne de Carlat Badaillac Saint Saury Cros de Ronesque et Cros de Montvert Hors programme zone blanches
16. e Jarlier aupr s de Jean Louis Borloo ministre de l Emploi de la Coh sion sociale et du Logement pour compl menter le financement des 34 chambres de la maison de retraite de Reilhac Cette dotation minist rielle compl mentaire sur les cr dits 2005 affect s au d partement a permis d acc l rer la r alisation de cette importante op ration pour le canton de Jussac CIT S CANTALIENNES DE L AUTOMNE DOTATION SUPPL MENTAIRE En d cembre dernier Pierre Jarlier tait intervenu aupr s de Philippe Bas mi nistre d l gu la S curit sociale aux Personnes g es aux Personnes handi cap es et la Famille propos du bud get pr visionnel 2006 des Cit s canta liennes de l automne association gestionnaire de 10 r sidences pour per sonnes g es dans le Cantal En effet le rapport notifi par la Direc tion D partementale des Affaires Sani taires et Sociales DASS en octobre faisait appara tre un manque de finan cement de l ordre de 233 378 euros sus citant les plus grandes inqui tudes Ce d calage entre le budget sollicit et le budget accord faisait craindre des r percussions importantes sur les frais de s jour des personnes g es Apr s plusieurs interventions aupr s des conseillers techniques du ministre ainsi que du pr fet de la R gion Au vergne le s nateur a obtenu en mars la garantie de l attribution de 225 892 euros suppl mentaires Une somme qui va per
17. e tutelle sur les communes et les groupe ments de collectivit s territoriales prohi b e par l article 72 de la Constitution et affectait l quit entre les communes Il a t adopt d finitivement l Assembl e nationale EN SAVOIR PLUS SUR LE CONTENU DU PROJET DE LOI SUR PEAU wwWw pierrejarliersenateur fr rubrique travail l gislatif RENCONTRE AVEC HAMID KARZAI PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE D AFGHANISTAN ENTREPRISE IMMERSION CHEZ CANAL E D CENTRALISATION ET FINANCES LOCALES ENGAGEMENTS CONSEIL NATIONAL DU D VELOPPEMENT DURABLE CNDD Pierre Jarlier est membre du Conseil National du D veloppement Durable depuis f vrier 2005 Le CNDD est une instance active de concertation rattach e au Premier Ministre Elle a t fond e en janvier 2003 et rassemble 90 repr sentants de la soci t civile et des collectivit s territoriales pour apporter l Etat un autre regard sur le d veloppement durable Ses membres sont associ s l laboration au suivi et l valuation des politiques de l Etat en mati re de d veloppement durable PROJET DE LOI OGM PIERRE JARLIER S ABSTIENT En mars dernier le S nat a examin le projet de loi visant transcrire en droit fran ais la Directive europ enne concernant la diss mination volontaire des Organismes G n tiquement Modifi s OGM au sein des exploitations agricoles Une volution qui suscite de fortes inqui tud
18. enne de Chomeil Saint G rons Saint Pierre Saint Santin Canta l s Saint Saturnin Saint Saury Saint Vic tor Saint Vincent de Salers Siran La Tri nitat Le Trioulou Le Vaulmier m 8 autres communes class es provisoire ment ont d j rejoint ou cr un EPCI au 1 janvier 2006 Villedieu a rejoint la com munaut de communes du pays de Saint Flour les communes de Cussac Espinas se Neuv glise Lavastrie Lieutad s Saint Martial et Les Ternes ont cr la Communaut de communes de Plan ze Truy re Les 201 autres communes restent class es titre d finitif A noter que quatre nouvelles communes rentrent dans le p rim tre des ZRR Il s agit des communes de Labrousse Pru net Teissi res les Bouli s Vezeis Roussy dans le canton d Arpajon S Cere qui ap partiennent la communaut de com munes de la Haute Ch taigneraie DES AVANTAGES CONCRETS Au sein des communes situ es en Zones de Revitalisation Rurale les habitants et les entreprises b n ficieront d avantages tr s concrets en mati re conomique de services et de logement qui figurent dans la Loi DTR En mati re de d veloppement conomique Les entreprises b n ficieront d une exon ration de taxe professionnelle pendant cinq ans compens e par l Etat Dans les communes de plus de 2000 ha bitants m Les entreprises industrielles activit s in dustrielles de recherche scientifique et tech nique de se
19. es car les effets long terme des OGM sur la sant et l environnement ne sont pas clairement mesur s aujourd hui Jugeant difficilement compatibles le d veloppement d une agriculture fond e sur la qualit et l authenticit des produits et int gration des OGM au sein des bloitations agricoles Pierre ier n a pas apport son soutien Loi de Finances pour 2006 Les principales dispositions relatives aux communes et aux EPCI Les deux lois de Finances vot es en d cembre 2005 apportent de nombreuses modifications en mati re fiscale et financi re Plus d une centaine d entres elles concerne les communes et les Etablissements Publics de Coop ration Intercommunale EPCI LA DOTATION GLOBALE DE FONCTIONNEMENT DGF DES COMMUNES ET DE LEURS GROUPEMENTS Le 7 f vrier dernier dans le prolongement du vote de la loi de Finances pour 2006 le Comit des Finances Locales CFL dont Pierre Jarlier est membre a d termin la r partition de la Dotation Globale de Fonc tionnement DGF En augmentation de 2 73 la DGF at teint un montant de 38 252 Milliards d eu ros dont 21 720 Milliards consacr s aux communes et aux EPCI fiscalit propre m La Dotation forfaitaire des communes volue de 1 64 par rapport 2005 et s l ve 13 8 milliards d euros m La Dotation de Solidarit Rurale DSR repr sente 572 millions d euros et aug mente en masse de 13 71 apr s une hausse de 20 en 2
20. es des collectivit s territoriales une participation r guli re dans la mise en uvre et la destination du fonds de p r quation Un fonds de p r quation est cr pour per mettre d am liorer l indemnit que verse La Poste aux communes rurales dans le cadre des Agences Postales Communales et celle en direction des commer ants avec le Relais Poste Il permettra aux clients de faire des retraits Ce fonds sera g r au travers de la commis sion d partementale de pr sence postale ter ritoriale une v ritable instance de concer tation entre la Poste et les lus dont l existence est consacr e par la Loi Com pos e de 3 repr sentants de La Poste 3 maires 2 conseillers g n raux 2 conseillers r gionaux et du repr sentant de l Etat la 121 POINTS POSTE DANS LE CANTAL En 2005 25 r unions ont t organis es dans le Cantal au niveau du canton ou de la communaut de communes afin de pr senter les projets de r organisations Au premier juillet 2006 il y avait 121 points de contact dont 40 en gestion directe 15 relais Poste 40 Conventions d Agences Postales Communales 18 partenariats restent mettre en place en Relais Poste ou en Agence Postale Communale en fonction de l accord trouv avec le maire de la commune commission est pr sid e par un lu m Concernant le point poste situ dans un commerce le Relais Poste La r mun ration vers e un commer ant passe 250 euro
21. faits LES PRINCIPALES AVANC ES OBTENUES PAR PIERRE JARLIER EN PREMIERE LECTURE LA GARANTIE D UNE SOLIDARIT ENVERS LES COMMUNES RURALES Les communes et les tablissements publics de coop ration intercommunale EPCI qui ne disposent pas des moyens financiers et humains n cessaires l exer cice de leurs comp tences pourront b n ficier d une assistance technique des ser vices du d partement sans devoir appli quer les dispositions du code des march s publics La solidarit envers les communes rurales fera d sormais partie des orientations prio ritaires des programmes pluriannuels d in tervention des agences de l eau pour les ann es 2007 2012 Dans le prolongement des pres discus sions relatives la pr servation des aides financi res en mati re d adduction d eau Pierre Jarlier a obtenu l engagement d une enveloppe minimum de 150 mil lions d euros par an affect s aux agences de leau pour leurs interventions en milieu rural afin de compenser notam ment la disparition du Fonds National pour le D veloppement des Adductions d Eau FNDAE Cette somme a t por t e 1 Milliard d euros par l Assembl e nationale pour la p riode 2007 2013 Les agences de l eau pourront signer avec chaque d partement participant au finan cement de travaux d alimentation en eau potable et d assainissement dans les com munes rurales une convention d finissant les crit res de
22. ierre Jarlier a fait adopter un amende ment pr voyant l obligation pour tout vendeur de biens immobiliers usage d habitation de fournir un diagnostic sur le respect par l immeuble des prescriptions techniques applicables aux installations d assainissement non collectif ou un certi ficat de raccordement au r seau collectif Les conditions d opposabilit du r gle ment de service de distribution d eau ou d assainissement ont t renforc es afin de conforter sa s curit juridique Le d l gataire d un service de distribu tion d eau ou d assainissement ayant accept de prendre en charge des travaux dans le cadre d un programme plurian nuel devra d sormais E pr ciser estimation des d penses m rendre compte de l ex cution du pro gramme dans le rapport qu il remet chaque ann e au d l gant m dresser la fin du contrat un inventaire du patrimoine li ce dernier Lamendement de Pierre Jarlier qui pr voit l interdiction de la modulation des aides pu bliques vers es aux communes et aux grou q S pements de collectivit s territoriales com p tents en mati re de distribution d eau et d assainissement en fonction du mode de gestion du service a fait couler beaucoup dencre Il permet d viter de trop grandes distor sions entre les diff rents modes de gestion du service de l eau utilis e par les com munes ou leurs groupements Cette modulation instituait en effet une forme d
23. ir du Cantal afin d assurer une desserte structurante d Aurillac sur un axe 20 A 75 RD 3 UNE LIAISON A75 A89 INDISPENSABLE coh rents reliant le Cantal aux grands axes autoroutiers dans une vision interd partementale et interr gionale est un enjeu de d veloppement majeur pour nos territoires A ce titre la fin de l am nagement de la RD 3 ne repr sentant plus que 15 kilom tres dont 6 seulement dans notre d partement et reliant la Transvolcanienne A75 A89 est indispensable au d senclavement du Nord Cantal Cette continuit est d autant plus importante que le dossier de la rocade de Saint Flour qui permettra de relier directement l A 75 peut enfin tre engag Il ne reste plus qu r aliser la d viation de Bort les Orgues pour terminer cet axe qui a fait l objet d investissements tr s importants du Conseil g n ral du Cantal depuis plusieurs ann es C est le message qu ont adress Roger Besse et Pierre Jarlier au Pr sident du Conseil g n ral de la Corr ze lors d une I e confortement d itin raires de liaison CONTRATS DE PLAN r union de travail le 20 janvier 2006 Les s nateurs du Cantal ont particuli rement insist pour qu d faut de programmation imm diate de la liaison Bort Ussel Ouest un avant projet soit r alis rapidement pour anticiper sur le choix d un trac faciliter les acquisitions fonci res et obtenir ainsi son inscription aux futurs cont
24. la Politique Agricole Commune PAC soient pr serv s jusqu en 2013 Au del de cette date notre pays devra veiller ce que les modalit s de suppression des subventions l export ne d s quilibrent pas les fili res mais soient chelonn es un rythme pr vu par la PAC r form e Dans ce nouveau contexte la France doit redoubler d efforts pour assurer le res pect de ses int r ts Notre agriculture cantalienne devra aussi faire preuve d une grande capa cit d adaptation en misant r solument sur la qualit et la sp cificit de ses produits seuls vec teurs de valeur ajout e pour nos agriculteurs l ch ance 2013 E REVITALISAMON RURALE zones de _ revitalisation rurale un soutien de l Etat renforc La loi relative au D veloppement des Territoires Ruraux dont Pierre Jar lier tait le porte parole pour le groupe UMP du S nat a t promulgu e en 2005 Les d bats au S nat ont permis de l enrichir consid rablement de 75 240 articles En qualit de pr sident de l ANEM et avec l appui des parlementaires de la montagne le s nateur du Cantal a d pos plus d une centaine d amendements dont une trentaine a t d finitivement int gr e dans le texte de loi armi les propositions du s nateur du D y Cantal port es galement par De PANEM figurent plusieurs mesures concr tes pour renforcer le soutien de l Etat p en fa
25. la cession de ces biens Plusieurs dispositions ont t introduites pour am liorer la s curit juridique des au torisations d urbanisme en particulier m un meilleur encadrement de l action en d molition E l octroi au pr fet lorsqu il intervient au titre du contr le de l galit de la possibi lit de demander au tribunal de grande ins tance d ordonner la d molition d une construction qui aurait t difi e sur la base d un permis de construire ill gal an nul par le tribunal administratif E l octroi au juge de la possibilit d annuler partiellement un permis de construire lorsque certaines parties du projet sont d tachables de l ensemble m l harmonisation du r gime du retrait des permis de construire d am nager ou de d molir avec l institution d un d lai de trois mois que la d cision soit implicite ou explicite compter de la date de prise de Pacte m l institution d un d lai de prescription ad ministrative de dix ans pour les constructions achev es sous r serve de certaines dispositions restrictives Enfin la protection des acqu reurs de biens im mobiliers a t renforc e avec notamment m l unification des r gles applicables aux compromis et promesses de vente un d lai de r tractation de sept jours tant pr vu pour l acqu reur non professionnel que lavant contrat ait t tabli sous seing priv ou par acte authentique Ces modifications ont t
26. le contenu de ce travail et de mieux conna tre l ac tion que j ai men cette ann e pour d fendre les int r ts du Cantal orientation Pour une reconnaissance de Pagricuiture de montagne e projet de loi d orientation agricole pr sent par le ministre de l Agricul ture et de la p che a t adopt par le Parlement le 22 d cembre 2005 Cette loi trace de nouvelles perspectives pour l agriculture et le secteur agroalimentaire fran ais Elle contribue consolider leur comp titivit et favoriser leur adaptation dans un contexte renouvel par la r forme de la Poli tique Agricole Commune PAC et les n gociations de l Organisation Mondiale du Commerce OMC Voir encadr A l occasion des d bats sur ce projet de loi Pierre Jarlier avait r it r ses interventions pour d fendre les sp cificit s de l agricultu re de montagne Lors de ses diff rents entretiens avec le mi nist re de l Agriculture les organisations pro fessionnelles et le groupe montagne du S nat le s nateur du Cantal avait plaid aux c t s de l Association des Elus de la Montagne ANEM pour l inscription dans cette loi de la reconnaissance de notre agriculture de montagne de la prise en compte de ses han dicaps et de encadrement de l utilisation de la d nomination montagne afin d viter une banalisation de ses produits Sur proposition de Pierre Jarlier et des lus du groupe montagne un chapitre gara
27. lementaires et l AMF 15 pour attirer l attention du Gouvernement en faveur de la stabilit des postes d enseignant dans le d partement Chaque ann e des postes sont supprim s entra nant des fermetures de classes et d coles En moins de dix ans 127 postes d enseignants du premier degr ont disparu dans le Cantal alors que le d partement ad Pierre Jarlier et les lus de la communaut de communes du Pays de Salers EN accueilli 115 nouveaux l ves en 2004 et 120 en 2005 Cette convention pr voit notamment laboration concert e par l Inspection acad mique et les lus d un sch ma prospectif d am nagement du territoire scolaire tenant compte des perspectives d volution d mographique du d partement et des int r ts des l ves et privil giant le niveau intercommunal Ces regroupements doivent donner un nouveau souffle l cole rurale a affirm Gilles de Robien Le but est d am liorer la qualit du service public d ducation en milieu rural et non d conomiser des postes de professeur Le ministre a par ailleurs rappel qu aucune classe du d partement ne serait ferm e pour la rentr e 2006 130 communes s unissent pour une meilleure gestion de leurs d chets m nagers Au terme de dix huit mois de concertation le Syndicat de gestion du traitement et de la valorisation des d chets du Nord Est Cantal a vu le jour le 23 d cembre dernier
28. lise des travaux de reconstruction d agrandissement de r paration ou d am lioration entre le 1 janvier 2005 et le 31 d cembre 2010 d un logement faisant par tie d une r sidence de tourisme destin la location pendant une p riode au moins gale neuf ans ou d un meubl de tou risme destin la location pendant une p riode minimale de douze semaines par an pendant une p riode au moins gale neuf ans Lors de la discussion en deuxi me lecture du projet de loi portant diverses dispositions relatives au tourisme Pierre Jarlier a d fendu un amendement proposant la possibilit de cr ation d un office de tourisme intercommunautaire sous forme d un Etablissement Public Industriel et Commercial EPIC auquel plusieurs groupements de communes pourraient adh rer La pertinence d un territoire sur le plan touristique ne se limite pas aux fronti res administratives des collectivit s ou des structures intercommunales qui le composent a argument le s nateur du Cantal Cet amendement qui modifie le Code du tourisme dans ses articles L 133 2 a t cosign par vingt six de ses coll gues s nateurs et adopt l unanimit le 21 f vrier dernier Ainsi deux ou plusieurs communaut s de communes qui le souhaitent pourront cr er un office du tourisme sous la forme d un EPIC pour lui confier l accueil et la promotion touristique d un territoire condition d
29. mettre de p renniser le bon fonc tionnement de ces tablissements ma jeurs pour la qualit de vie des per sonnes g es au sein de nos zones rurales Services publics Maintenir la pr sence postale en milieu rural Dans le prolongement de la loi D veloppement des Territoires Ruraux la loi du 20 mai 2005 relative la r gulation des activit s postales veut garantir l galit d acc s des populations rurales aux services publics Le nouveau texte apporte des r ponses concr tes aux lus locaux et aux habitants sur le probl me de la pr sence postale en milieu rural fin de garantir un bon acc s au ser vice postal en tous lieux du terri toire la loi pr voit aussi une double r gle d accessibilit en distance pas plus de cinq kilom tres du plus proche point de contact de La Poste et en temps pas plus de vingt minutes de trajet automobile pour 90 de la population d un d partement Un amendement cr ant un tablissement de cr dit postal de droit commun a t adopt au S nat Majeur notamment pour les usagers des territoires ruraux il autori se La Poste distribuer du cr dit immobi lier sans pargne pr alable L Assembl e na tionale a souscrit ce projet qui a vu la naissance de la Banque Postale le 1 jan vier 2006 Le S nat a souhait r tablir Le dispositif de contrat pluriannuel Pass entre l Etat et La Poste il assure aux principales associations repr sentativ
30. ntir les conditions d une agriculture de montagne durable a t introduit dans la loi lors des d bats au S nat Ce chapitre int gre plusieurs dispositions im portantes en faveur de la montagne notam ment m la prise en compte des handicaps naturels de l agriculture de montagne et la com pensation financi re des surco ts qu ils g n rent par des mesures particuli res m le renforcement de la fonction agro envi ronnementale de l activit agricole en mon tagne gr ce une contractualisation adapt e m l extension du droit de pr emption des communes en cas d ali nation titre on reux de b timents utilis s depuis moins de 5 ans l exercice de l activit agricole pour en main tenir l usage agricole m l encadrement de l utilisation des produits portant la d nomination montagne par les organisations interprofessionnelles m la cr ation d une commission sp cialis e au sein des comit s de massifs qualit et sp ci ficit des produits de montagne qui sera consult e sur la d nomination montagne et inform e sur les conditions de production et de promotion de ces produits OMC ADAPTER NOTRE AGRICULTURE DE MONTAGNE EST IMP RA TIF POUR L AVENIR Du 13 au 18 d cembre 2005 a eu lieu la sixi me conf rence minist rielle de l Organisation Mon diale du Commerce OMC Hong Kong La France a obtenu que les soutiens l exportation qui rel vent de
31. oduit de l augmentation du taux par le pourcentage de base plafonn e L Etat accompagnera cette r forme destin e accro tre la comp titivi t des entreprises fran aises hauteur de 1 6 Milliard d euros alors que le pr l vement sur les finances locales est estim en tout 215 Millions d euros R TABLISSEMENT DE LA DOTATION LU LOCAL La loi de Finances 2005 avait eu pour effet d exclure 1 820 communes dont 80 com munes du Cantal du b n fice de la dota tion lu local Au cours de la s ance pu blique du 30 novembre Roger Besse et Pierre Jarlier ont fait adopter avec les sou tiens de la commission des Finances et du ministre d l gu aux Collectivit s locales un amendement qui r tablit la p rennit de la dotation lu local pour de nombreuses communes du Cantal de moins de 1000 habitants Ainsi modifi e la loi de Finances pour 2006 permet d assurer une garantie 100 aux communes qui en avaient perdu le b n fice en 2005 Le nombre de communes ligibles la do tation lu local sera augment environ 4200 communes suppl mentaires dont 1 500 des 1 820 communes initialement sortantes A partir de 2006 4 2 Millions d euros sont destin s au financement de cette dotation qui sera attribu e aux communes de moins de 1000 habitants disposant d un poten tiel financier par habitant inf rieur 1 25 fois le potentiel financier moyen LA DOTATION DE D VELOPPEMENT RURAL 20 million
32. on de logements m le d veloppement de l offre de logements locatifs loyers ma tris s m le d veloppement de l accession sociale la propri t m le renforcement de l acc s pour tous un logement confortable Le texte a t substantiellement enrichi au cours des travaux parlementaires initiale ment constitu de 11 articles il en comptait 113 l issue de son examen par les deux assembl es Le projet de loi a t adopt en deuxi me lecture par le S nat le 3 mai 2006 puis par l Assembl e nationale d but juin Les apports du S nat sont consid rables La commission des Lois s est saisie pour avis de l ensemble des dispositions affectant les comp tences des collectivit s territoriales qu elles rel vent du code de l urbanisme ou du code de la construction et de l habitation Elle a d sign Pierre Jarlier rapporteur pour avis Les amendements du s nateursarticulent autour de cinq axes acc l rer la mobilisation du foncier au service de la construction de logements donner aux lus locaux les moyens de d ve lopper la mixit sociale privil gier la concertation plut t que la contrainte dans les rapports entre l Etat et les collectivit s locales am liorer la s curit juridique des autori sations d urbanisme et des constructions existantes renforcer la protection des acqu reurs de biens immobiliers Plusieurs dispositions ont t intro duites par le s nateur du Cant
33. outes t approuv es par la commission mixte paritaire r unie le mercredi 21 juin Ce texte majeur pour lut ter efficacement contre la p nurie de loge ments sociaux devrait tre promulgu tr s pro chainement Pierre Jarlier d fend les acquis de la loi SRU Pierre Jarlier a t le seul s nateur UMP avec Pierre H risson Haute Savoie d fendre un amendement qui exclut du quota des 20 de logements sociaux impos aux agglom rations les logements neufs en accession sociale la propri t Au terme d un long d bat passionn cet amendement a t adopt par 171 voix malgr un avis d favorable de la commission et du Gouvernement Le S nat a ainsi corrig une modification de la loi SRU introduite par les d put s qui assimilait du logement social les logements acquis au moyen d une aide l accession la propri t notamment le pr t taux z ro Cette modification qui int grait lPaccession sociale la propri t dans le calcul du quota de 20 de logements sociaux avait t fortement d nonc e par la Fondation Abb Pierre Elle est d sormais d finitivement retir e du texte Les lus du Cantal au Congr s des Maires Mercredi 23 novembre 2005 l occasion du Congr s des Maires de France une quarantaine d lus du Cantal tait accueillie sur le stand du S nat par Pierre Jarlier et Roger Besse Parmis eux se trouvaient Vincent Descoeur Pr sident du Conseil g n
34. ral et Bernard Filhol Pr sident de l Association des Maires du Cantal Apr s une pr sentation de la r forme des dotations aux collectivit s locales par un administrateur du S nat une r ception tait donn e en l honneur d Alain Delcamp originaire du Cantal et nouveau Secr taire g n ral du S nat Christian Poncelet Pr sident du S nat et Jacques P lissard Pr sident de l Association des Maires de France AMF sont galement venus rencontrer les lus cantaliens sur le stand Les lus se sont ensuite rendus au S nat o ils ont assist la s ance au cours de laquelle dans le cadre du projet de loi Engagement National pour le Logement taient pr sents le ministre Jean Louis Borloo et les divers rapporteurs dont Pierre Jarlier en tant que rapporteur pour avis de la commission des Lois Salon de l agriculture cinquante lus du Cantal au S nat Mercredi 1 mars 2006 ce sont cinquante lus des cantons de Champs Mauriac Riom Saignes Pleaux et Salers invit s par Pierre Jarlier et Roger Besse qui ont leur tour visit le Palais du Luxembourg Les lus se sont ensuite rendus porte de Versailles au Salon de l Agriculture Sur le stand du Cantal ils ont assist une pr sentations des grands v nements touristiques de l ann e 2006 En mars 2005 l occasion du traditionnel Salon de l agriculture les maires de cantons d Allanche Chaudes Aigues Condat Mas
35. rats de plan L ETAT RESPECTERA SES ENGAGEMENTS ominique Perben ministre des D de l Equipement du Tourisme et de la Mer a annonc aux parlementaires cantaliens l attribution d une enveloppe de 500 M suppl mentaires pour finaliser les op rations 2006 du contrat de plan L Etat apportera 15M au Cantal d di s l am nagement de la RN 122 Les cr dits seront majoritairement consacr s au tunnel du Lioran pour une mise en service d s l t 2007 L Etat versera galement pr s de 500 000 pour le financement de l am nagement de la RN 120 aux 4 chemins Le calendrier pr vu sera donc respect Les contrats de plan prendront fin au 31 d cembre 2006 et seront imm diatement remplac s par les contrats de projets Etat R gions qui poursuivront cette politique en faveur des infrastructures de transport PIERRE JARLIER PLAIDE POUR LA MODERNISATION DU R SEAU FERRE CANTALIEN LE TRAIN AUBRAC RESTERA EN SERVICE CARTE SCOLAIRE LES PARLEMENTAIRES DU CANTAL SE MOBILISENT Le 12 Juin Gilles de Robien ministre de l Education nationale a sign une convention d am nagement du territoire scolaire dans le Cantal en pr sence des quatre parlementaires du Pr sident de l Association des Maires du Cantal AMF 15 du Pr sident du Conseil g n ral du Pr fet et du Recteur de l acad mie Cette signature est la concr tisation de nombreuses d marches engag es par les par
36. res 4 restant Les pouvoirs publics se sont engag s partager de moiti les frais imput s l installation de la technologie sans fil Wimax qui va permettre d importer le haut d bit dans les villages et les habitations les plus recul es T L VISION Lors de la s ance de questions d actualit au Gouvernement le 31 mars Pierre Jarlier a interrog Renaud Donnedieu de Vabres ministre de la Culture et de la Communication sur le calendrier de d ploiement de la T l vision Num rique Terrestre TNT dans les zones rurales notamment de montagne non encore couverte par le r seau En un an la TNT a r volutionn le paysage audiovisuel fran ais Gr ce cette nouvelle technologie de num risation de la diffusion du programme 18 nouvelles cha nes sont diffus es gratuitement sur le r seau des metteurs terrestres En avril 2005 la population fran aise tait couverte 35 et 50 au 1 janvier 2006 Le S nateur a fait valoir qu au m me titre que la t l phonie mobile et Internet haut d bit la TNT est un crit re d terminant d attractivit pour nos territoires ruraux de montagne Le ministre a annonc qu un plan de couverture du territoire avait t arr t afin que 85 de la population soit couverte la fin de 2007 Dans les r gions o pour des raisons g ographiques la diffusion ne sera pas T L PHONIE MOBILE LA RESORPTION DES ZONES BLANCHES EST EN COURS Lors
37. rvices de direction d tudes d in g nierie et d informatique d centralisation extension reconversion cr ation et reprise d entreprises en difficult m Les cr ations d entreprises artisanales ou lib rales Dans les communes de moins de 2000 ha bitants m Les entreprises activit s industrielles de recherche scientifique et technique de services de direction d tudes d ing nierie et d informatique d centralisation exten sion reconversion cr ation et reprise d en treprises en difficult m Les cr ations d entreprises artisanales ou lib rales m La cr ation ou la reprise d activit com merciale de moins de cinq salari s m La reprise d activit lib rale de moins de cinq salari s m La reprise d activit artisanale de moins de cinq salari s Par ailleurs comme dans les zones franches urbaines les cr ateurs d entreprises y com pris commerciales lib rales et artisanales seront exon r s de l imp t sur les Soci t s ou sur le revenu durant les cinq premi res ann es qui suivront leur installation Ils b n ficieront durant les neuf ann es suivantes d un r gime d abattement d gressif Ils pourront aussi b n ficier d un soutien l acquisition ou la r novation de Pim mobilier d activit au travers d un r gime incitatif d amortissement En mati re de services aux personnes Pour assurer le maintien et le d veloppe ment des services de proximit
38. s 50 euros en ZRR avec un commissionnement variable allant de 3 5 sur le chiffre d affaires La Poste a mis en place une charte de d ontologie qui est sign e par le commer ant sur le respect de la confidentialit et des r gles postales Par ailleurs le commer ant n a pas acc s aux comptes financiers de ses clients m Concernant l agence postale g r e par une collectivit Agence Postale Com munale Une nouvelle convention pass e avec l AMF institue une indemnit bas e sur l amplitu de horaire Cette dotation vers e la commune ou PEPCI sera de 800 euros par mois 100 euros en ZRR pour 15 h d ouverture par semaine Gr ce cette nouvelle convention Pin demnit moyenne dans le Cantal passe de 293 euros 691 euros 17 agences postales communales ont vu leur amplitude horaire augmenter La Poste s est engag e am liorer les condi tions de ces partenariats en enrichissant l offre de services accessibles en Agence Pos tale Communale et en am liorant la quali t des moyens allou s BIS 2 Ne AVS VIEN EE N18111221 e181 UN ENJEU POUR LE CANTAL ADSL 2006 Estim actuellement 85 le taux de couverture de la population du Cantal par l Internet haut d bit sera de 96 fin 2006 Le 2 d cembre dernier le Pr sident du Conseil r gional et les Pr sidents des Conseils g n raux d Auvergne ont sign une convention pour la r sorption des zones d omb
39. s d euros de cette dotation pour ront tre vers s non seulement aux EPCI fiscalit propre ou aux syndicats mixtes qui en sont compos s mais galement aux communes pour maintenir et d velopper des services publics en milieu rural ALL GEMENT DE 20 DE LA TAXE FONCI RE SUR LES PRO PRI T S NON B TIES AU PROFIT DES EXPLOITANTS AGRICOLES A l origine le Pr sident de la R publique avait annonc une limination progressive de cette taxe C est une r duction de 20 qui a t retenue dans le PLF 2006 Le S nat a obtenu que les communes et les EPCI per oivent cette ann e une compensation cal cul e en fonction du produit des bases 2006 faisant l objet de la r duction et du taux vot en 2005 compter de 2007 gr ce la contribution du S nat cette compensation voluera avec le m me taux d indexation que la masse globale de la DGE EN SAVOIR PLUS SUR LES MESURES INT RESSANT LES COLLECTIVITES LOCALES www carrefourlocal org ENGAGEMENTS PIERRE JARLIER VICE PR SIDENT DE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE Cr e en 1907 et rassemblant 34 000 maires de communes de toutes tailles l AMF propose des adaptations r glementaires ou l gislatives aux pr occupations des lus Interlocuteur incontournable des pouvoirs publics l AMF est pr sid e par Jacques P lissard d put maire de Lons le Saunier Jura Pierre Jarlier en est vice Pr sident depuis d cembre 2004 Ci dessous
40. siac Murat et Pierrefort avaient t re us au S nat par Pierre Jarlier E ENVIRONNEMENT LO I Sur Pi la ruralit prise en compte Le projet de loi sur l eau et les milieux aquatiques dont Pierre Jarlier tait le rapporteur pour avis au nom de la commission des Lois a t adopt en premi re lecture au S nat le 13 mai 2005 Il a t adopt le 31 mai 2006 l Assembl e nationale La navette parlementaire doit se poursuivre avec le retour du texte au S nat objectif du projet de loi est d am liorer la ressource en eau distribu e d ici 2015 de pour suivre l effort en mati re d assai nissement notamment par la mise aux normes europ ennes des r seaux des com munes et d encourager le renouvellement des installations quipements et r seaux d j cr es En premi re lecture au S nat 693 amen dements ont t examin s durant pr s de 40 heures de d bats En qualit de Rapporteur pour la Commission des Lois Pierre Jarlier sest particuli rement int ress aux dispositions qui touchent les collectivit s territoriales et traitent des services de distribution d eau et d assai nissement des missions des Services d Assistance Technique l Exploitation des Stations d Epuration SATESE des comit s de bassin et des programmes d intervention des agences de l eau notamment en milieu rural 21 des 28 amendements du s nateur ont t adopt s 3 ont t satis
41. veur des territoires les plus fragiles sga TUN NOUVEAU ZONAGE ee delimitant les Zones de Revitali sation Rurales ZRR pr vu par la loi DTR re a t publi au Journal Officiel le 22 Nno vembre 2005 Cette publication a rendu pos sible la mise en oeuvre des mesures l gisla rives qui modifient le dispositif ant rieur des ZRR quant la structure du zonage et quant aux dispositifs fiscaux et sociaux qui s y rat rachent Ces modifications ont pour objec ifde donner un nouvel lan au monde rural cn largissant le zonage dans des limites com patibles avec le droit communautaire en en Courageant le d veloppement de Pinter mmunalit et en tendant les aides consenties de nouveaux b n ficiaires pour accro tre l efficacit 240 COMMUNES DU CANTAL EN ZRR Dans le d partement du Cantal qui comp A te 260 communes on d nombrait 236 com 1 unes class es en ZRR A l issue du d cret 3 d application les communes anciennement class es se r partissent en deux groupes 27 communes sont class es titre pro oire leur maintien en ZRR au del du d cembre 2007 n cessite qu elles consti uent ou s int grent une intercommu nalit fiscalit propre Il s agit des communes de Arnac Carlat Chalvignac Cros de Montvert Drugeac Gl nat Lacapelle Viescamp Laroquebrou y 1 4 Se Montvert Moussages Nieu dan Paulhenc Rouffiac Saint Etienne Cantal s Saint Eti
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