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Document d`Aménagement Commercial du SCoT Beaujolais

1. tre admis see Lamure la Follieti re as ou 2 500 2 000 2014 2015 gt 2 500 m ns occasionnel lourd TAN EU MU PETER a re ES de bricolage 7e nn 3 000 3 o Occasionnellourd lourd reconversion de friche industrielle ou commerciale Ne sont pas inclus dans ce tableau les commerces qui seront cr s dans les nouveaux quartiers comme par exemple Chambord Belleville coquartier gare Tarare NB les surfaces indiqu es s appliquent par polarit commerciale et non par commune les zones commerciales ayant obtenu une CDAC avant le 31 12 2011 ne sont pas prises en compte dans ce tableau F A Favoriser la qualit et l int gration des quipements commerciaux dans leur environnement urbain naturel et paysager Garantir des modes d d acc s diversifi s aux p les commerciaux 1 Prescriptions pour les zones d am nagement commercial Pour garantir des conditions d acc s satisfaisantes aux diff rents profils de client le limiter les d placements motoris s et ma triser la consommation fonci re li e au stationnement la cr ation de nouvelles zones d am nagement commercial ZACOM ou l extension des ZACOM existantes sera conditionn e la mise en place pr alable e pour les polarit s interm diaires majeures et m tropolitaines d une desserte ou de son renforcement par les transports collectifs r guliers s ils existent d acc s routiers et de stationnements adapt s mutualis s entre plusieurs ac
2. Document d Am nagement Commercial du SCoT Beaujolais ELEWA E S approuv par le comit syndical du 26 mars 2013 AID Mars 2013 Sommaire mmm Avant propos Pr ambule Le commerce dans l aire m tropolitaine Lyonnaise Partie 1 le diagnostic 1 1 pr sentation du Beaujolais une organisation marqu e par le commerce et le d veloppement durable le commerce et la satisfaction des besoins 1 2 la hi rarchie des fonctions commerciales 1 3 des r flexions partag es entre les deux SCoT Partie 2 La strat gie d organisation 2 1 une strat gie plusieurs chelles 2 2 une strat gie bas e sur la hi rarchie des fonctions commerciales Partie 3 les orientations 3 1 l chelle du SCoT 3 2 l chelle de la polarit 3 3 l chelle du p le commercial Partie 4 la mise en oeuvre Partie 5 ins rer un projet Partie 6 la qualit urbaine Lexique annexe cartographique table des Illustrations Proc dure O oO N A U N 10 11 13 15 17 18 19 21 22 25 29 31 35 39 45 47 57 Ce document compl te le chapitre 3 du Document d orientations g n rales DOG du SCoT du Beaujolais Il prend place pour la partie 3 aux pages 19 Avant propos Les r f rences au code de urbanisme ou au code de commerce sont celles en vigueur au 01 novembre 2011 Les r f rences aux surfaces hors oeuvre nettes ou brutes SHON SHOB ainsi que les surfaces de vente sont celles en vigueur la m me date
3. Le Document s applique aux p les des niveaux 1 2 et 3 Le commerce de grande surface n tant pas souhait dans les p les de niveau 4 et dans les communes hors p le Equipements Fost barc Lyc e hors agricole Qu forestier Coll ge H pital Clinique MAISON Cl artt Grande distribution magasins gt 300 P le 1 Saai e El Teuhaitakle Treaba iE a Eal ee Touaio e e TESTELE Souhatabie ma de surface de vente exclusis rert Autor sa 11 Villefranche 12 Tarare P le 2 Fosse PessiHe Biel ls les Fossiles SoutTairalle oubhaitabie P le 4 P le 4 artres Elan sounait IS CETTE ES Fo aai EH S SouNhamabhke Sou haltabkhe Rappel les p les du SCoT du Beaujolais a P le ooo d Commune VILLEFRANCHE SUR SAONE ANSE 41 Quincieux 42 Chatillon 43 St Vincent BELLEVILLE Bean unit Em pre tips lit Pare br i5 Piom soani Commune SAINT JEAN D ARDIERES ERCIE APONAS CHARENTAY SAINT LAGER CORCELLES EN BEAUJOLAIS BOIS D OINGT EGNY LEURIE VILLIE MORGON GRANDRIS LAMURE SUR AZERGUES SAINT ETIENNE DES OULLIERES ERREON VAUX EN BEAUJOLAIS hazay CHASSELAY QUINCIEUX LES CHERES MARCILLY D AZERGUES CHATILLON HESSY St VINCENT DE R PREANBULE ps Pourquoi laborer un Document Am nagement Commercial Le commerce un enjeu majeur pour les SCoT Le commerce joue un r le moteur dans l conomie locale et l attractivi
4. les de niveau 1 agglom ration caladoise Tarare p les de niveau 2 Amplepuis Anse Belleville Lozanne Civrieux d Azergues St Georges de Reneins Thizy Bourg de Thizy Cours p les de niveau 3 et 4 e Des coupures naturelles Sa ne Monts du Beaujolais Monts du Lyonnais qui limitent le rayonnement commercial ext rieur du territoire ou de certains des p les commerciaux e La Sa ne la fois contrainte et opportunit axe de communication nord sud opportunit de valorisation touristique mais aussi rupture administrative avec le d partement de l Ain qui ne limite pas pour autant les changes en mati re de consommation e Des bassins de vie irrigu s par les infrastructures principales de d placement routes principales autoroutes actuelles et en construction voies ferr es donc tr s accessibles Val de Sa ne basse vall e d Azergues et un degr moindre bassin de Tarare e Des bassins de vie plus isol s situ s sur des axes routiers secondaires et dans un environnement topographique plus contraint bassin d Amplepuis Thizy Haute vall e d Azergues bassin de Beaujeu e Des espaces ruraux et montagneux plus fragiles et l cart des dynamiques urbaines et des axes structurants e Un territoire proche de p les urbains majeurs externes agglom ration m connaise au nord agglom ration lyonnaise au sud agglom ration roannaise l ouest e Une fonction touristique partag e entre le
5. timent p riph riques qui engendre de fortes surfaces de stationnement commercial ou conomique sauf quand des contraintes ne le permettent principal facteur d imperm abilisation des sols et de d r glements pas ex qualit des sols hydrologiques Hi rarchiser les voies en fonction de leur usage desserte uniquement d un secteur commercial ou non passage des camions de livraison et du trafic qu elles sont susceptibles d absorber pour limiter la place de la voiture am liorer l accessibilit dans son ensemble moins d engorgements et mieux qualifier les espaces ext rieurs Inciter l implantation de surfaces de stationnement en rdc sous sol ou V g talisation biodiversit Gestion de l eau et de limperm abilisation Imposer une proportion d espace v g talis sur l ensemble de la parcelle en faisant une distinction pleine terre et hors sol souvent le ratio de 15 20 de surfaces en pleine terre est propos Pour tout am nagement situ en bordure d un espace naturel les espaces v g talis s de la zone commerciale devront tre con us en fonction des connexions cologiques pouvant tre tablies avec cet espace naturel Il est conseill d imposer un recul d urbanisation si possible de 50 m minimum lorsque l am nagement est situ en bordure d un zonage N et proximit de tout espace naturel reconnu par un classement dont les ZNIEFF de type II pas seulement de type Inscrire u
6. Quotidienne Ce travail de hi rarchisation a t r alis l chelle du SCoT Beaujolais et du SCoT Val l 200 000 Hebdomadaire de Sa ne Dombes tant donn les enjeux commerciaux communs entre ces deux territoires sur le Val de Sa ne A cette chelle six fonctions commerciales communes Majeure m tropolitaine 300 000 30 60 minutes Occasionnelle ont t identifi es permettant de positionner le r le des diff rents p les les uns vis habitants Exceptionnelle vis des autres M tropolitaine e la proximit les p les de proximit permettent de r pondre aux besoins tr s Quotidienne fr quents des m nages qui g n rent des d placements g n ralement de courte 60 000 vu i Hebdomadaire distance mais tr s nombreux Seules les polarit s structur es par une offre compl te Interm diaire 120 000 15 30 minutes en commerces et services de proximit ont t identifi es dans la hi rarchisation habitants Occasionnelle Toutes les communes disposant d une offre commerciale sont concern es par Exceptionnelle cette fonction Ces p les rayonnent l chelle d un quartier d une commune voire Quotidi uotidienne des communes voisines notamment dans les secteurs ruraux o de nombreuses 30 000 60 000 communes ne disposent pas d une taille critique suffisante pour d velopper une Secondaire habitants 10 15 minutes Hebdomadaire offre commerciale Occasionnelle ela fonction locale el
7. Val de Sa ne travers des capacit s d accueil majoritairement marchandes h tels chambres d h tes et des secteurs plus ruraux et montagneux travers essentiellement des r sidences secondaires et g n r e par la pr sence de sites attractifs Villefranche sur Sa ne Beaujeu Cublize Lac des Sapins Oingt et par l attrait paysager patrimonial et viticole du territoire Carte 3 organisation urbaine du territoire R s i Mi Bases router Jiricrouis Aplana h risson ATE a OER a Corps MACN pnie igp Hime O Grididii Sante KE 1 1 1 Une organisation commerciale marqu e par e une logique multipolaire d organisation territoriale du commerce structur e par les axes routiers et la r partition de la population avec une concentration sur le Val de Sa ne et un degr moindre sur les polarit s de l ouest du territoire du SCOT e un p le principal concentrant une majorit d activit s 26 des commerces du SCoT diversifi sur les diff rentes familles de produits et travers plusieurs sites commerciaux de centre ville et de p riph rie l agglom ration caladoise e des p les de moindre importance en volume mais diversifi s dans leur composition commerciale accueillant chacun 7 des commerces du SCoT Tarare et Belleville e des p les locaux moins diversifi s offrant avant tout une r ponse aux besoins courants pour des bassins de v
8. b timents niveaux et non pas b timents plat des stationnements en infrastructure et non plus ciel ouvert et des acc s Une plus grande densit et compacit des quipements commerciaux ne signifie pas pour autant la r alisation de volumes b tis d mesur s et tentaculaires qui seraient hors d chelle et en totale rupture avec l environnement urbain proche Quelles que soient les exigences de la programmation commerciale il est essentiel de rechercher un fractionnement et une discontinuit du b ti commercial pour assurer sa bonne int gration au site Il est galement important de soigner le rapport la rue de l quipement commercial et dans la mesure du possible de venir le mettre en sc ne sur l espace public Il faut arriver sortir du mod le classique d implantation de la surface commerciale en total retrait de la voie avec parking l avant m me si cette implantation a sa logique commerciale La densit permet aussi d am liorer la qualit environnementale et l insertion paysag re du projet en accordant par exemple une place plus importante aux traitements paysagers espaces verts v g talisation des fa ades etc Am liorer la distribution des marchandises en ville et limiter les nuisances li es la logistique urbaine La livraison du dernier km co te cher 20 du co t total de la cha ne logistique etles transporteurs sont de plus en plus r ticents livrer dans les centres villes aux
9. des ZACOM et D CLINAISON R GLEMENTAIRE DANS LES PLU PROPOSITION Boite outils Chapitre r dig par INDDIGO dans le cadre de la mission confi e au groupement AID Observatoire INDDIGO Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Occupation de l espace utilisation des sols Cadre paysages de vie Fixer des COS adapt s afin de favoriser des implantations compactes dans un objectif de densification Dans un objectif de compacit des am nagements favoriser une implantation des b timents entre eux en lien avec les formes urbaines environnantes par rapport aux voiries afin de compl ter les effets du COS et de la SHON autoris s Selon les besoins de renforcement de la mixit fonctionnelle ou de la mutualisation des zones de stationnement favoriser la construction en continu des zones commerciales en prenant en compte les lin aires commerciaux existants Proposer des r gles d encadrement de l aspect ext rieur des b timents et de leurs infrastructures annexes espaces de stockage zones de livraison etc hauteur couleurs dispositifs d clairage etc Proposer des r gles d int gration paysag re diff renti es pour les nouvelles implantations vocation commerciale en fonction de leur visibilit par rapport aux voies d acc s au secteur urbain concern centralit espace strat gique en termes d image pour le territoire secteur p riph rique fr quent par le
10. du commerce les centralit s ne sont pas sx enveloppe concern es par les orientations de dimensionnement pr vues au tableau n 7 i raa ma aieri Le pr sent DAC localise ces secteurs consid r s comme strat giques pour le d veloppement commercial par un floutage au sein des principales polarit s commerciales du SCoT Amplepuis Anse Beaujeu Belleville Bois d Oingt Chazay Civrieux Lozanne Lamure Monsols Saint Georges de Reneins Saint tienne Tarare Thizy Villefranche Villi Fleurie Dans les autres communes du territoire qui accueillent une fonction de proximit il incombera au PLU dans le cadre de la mise en compatibilit avec le SCoT de d limiter ces centralit s et d y favoriser un d veloppement du commerce au plus proche des populations au contact des autres fonctions urbaines Les d limitations pr cises des enveloppes et des centralit s sont de la comp tence des documents d urbanisme locaux dans un principe de compatibilit Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 4 2 IDENTIFICATION DES ZONES D AM NAGEMENT COMMERCIAL ZACOM Les ZACOM correspondent aux espaces commerciaux existants et en projet cr ation nouvelle ou extension programm e situ es en dehors des centralit s pour lesquelles le Document d Am nagement Commercial r glemente de mani re plus pr cise l implantation des unit s commerciales Le pr sent document recens
11. est pas oblig de d limiter les ZACOM 8 Le SCoT r p te que les constructions nouvelles doivent tre ins r es dans le paysage urbain et naturel en respectant la charte commerciale partie 5 du pr sent document 9 Le SCoT demande aux communes de veiller e la non diffusion des drives sur le territoire sauf s ils sont partie int grante d un commerce existant e mettre les zonages des PLU en ad quation avec le DAC en particulier pour les centralit s 10 Le SCoT a fait inscrire dans le programme de travail de l agence d urbanisme et de d veloppement au titre de l InterScot deux axes de travail e Un travail d uniformisation du vocabulaire d finition des polarit s fr quen ces d usage des commerces e Un suivi des autorisations de surface de ventes et de la consommation fon ci re PARTIE 4 Modalit s de mise en uvre du Document d Am nagement Commercial Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 g 4 1 IDENTIFICATION DES CENTRALITES Enveloppe et centralit des polarit s 1 2 et 3 Les centralit s se d finissent comme les centres villes ou centres de quartier Cf aggrandisseme caract ris s par une densit b tie et une diversit des fonctions urbaines Elles comprennent notamment des logements des commerces des quipements publics et collectifs des services la population En tant que lieu d implantation privil gi e
12. et de d veloppement durable __L affirmation du r le croissant des documents d urbanisme dans la r gulation du commerce Avecl apparition du Document d Am nagement Commercial DAC le SCoT mais aussi les PLU apparaissent comme le moyen privil gi pour les collectivit s d encadrer le d veloppement commercial sur les territoires avant une suppression probable terme des commissions d partementales La r gulation du commerce volue ainsi progressivement vers un principe une seule l gislation une seule autorisation Une vision partag e du d veloppement commercial l chelle du Val de Sa ne et du Beaujolais 1 Instaur e par les lois ROYER et RAFFARIN pour tout projet commercial sup rieur 300 m puis 1000 m l autorisation pr alable en commission d partementale est jusqu pr sent n cessaire pour la d livrance d une autorisation d urbanisme soit deux autorisations l une relevant du Code de Commerce l autre du Code de l Urbanisme Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Evolution de la l gislation de l urbanisme commerciale Sch ma n 1 dispositif ant rieur la loi de modernisation de l conomie LME code de l urbanisme code de commerce Sch ma de coh rence territoriale SCoT 1 compatibilit plan local d urbanisme PLU conformit t Autorisation en CDEC projet gt 300 m a autorisation d urba
13. fonction commerciale ZACOM totale en cr ation horizon 2020 Villefranche Boulevard de l Europe Th Braun Occasionnel l ger et lourd l PE Phase 2 et 3 6 ha 15 000 15 000 2015 2017 a Extension de la zone commerciale de fait existante R utilisation friche TIL Transfert extension d un supermarch d une jardinerie implant s Pontcharra et d une surface de bricolage R gulier occasionnel implant e Saint Romain L ensemble des surfaces existantes Tarare les Olmes la croisette 4 ha 9 000 2 500 2014 2015 B n lourd sera r organis sans cr ation de nouvelles surfaces commerciales Une surface ext rieure de 4 500 m pourra tre adjointe au centre commercial en projet 2014 gt 2 500 m a ne E lee Il s agit de permettre la r organisation des surfaces Tarare Pontcharra Boulevard de la Turdine 10 000 10 000 j commerciales ou la transformation des b timents d j 2016 gt 2 500 om surtout lourd re Saint Georges de Reneins 12 000 12 000 2013 gt 2000m R gulier occasionnel l ger 6 2019 gt 10 000m let lourd Occasionnel lourd 2012 gt 5000m lexecptionnel _ o Offre commerciale articuler troitement avec Villefranche ee 2013 gt 13 500m Marginalement A Anse Pommiers Via dor e 6 ha 22 000 18 000 Une partie des surfaces commerciales sont d j existantes et P SEON ASS taan seront incluses dans la proc dure op rationnelle 2015 gt 1000m lune limite de 20 peut i i
14. l offre commerciale dans les centralit s urbaines et villageoises pour favoriser leur animation et garantir une diversit des modes d acc s e les centres bourg et centres de quartier sont privil gi s et les implantations en ZACOM admises sous conditions e la cr ation et l extension de galeries marchandes en dehors des centralit s pour des activit s de proximit souvent directement concurrentes au commerce de centre ville doivent tre limit es Leur extension est limit e 20 de la surface de vente de la galerie existante e Pour favoriser la polarisation des activit s dans les lieux pr f rentiels d implantation du commerce les relocalisations d quipements commerciaux isol s d une surface de vente sup rieure aux seuils d finis pr c demment sont admises Lors de cette relocalisation les activit s concern es peuvent conserver une surface quivalente celle autoris e la date d approbation du DAC leur extension est admise et limit e 20 de cette surface vente sous r serve que la surface lib r e ne soit plus commerciale Le dossier d pos devant la CDAC pr cisera dans la mesure du possible le repreneur et l utilisation future de la surface ainsi lib r e afin de limiter le risque de friche commerciale Dans le cas o la CDAC serait supprim e l appr ciation se conforme la loi A l chelle des territoires des deux territoires de SCoT Val de Sa ne Dombes et Beaujolais l analyse pr
15. la maison mobilier La fonction majeure m tropolitaine L approche conjointe men e sur les deux SCoT permet de d finir la fonction commerciale majeure m tropolitaine m me si elle ne concerne pas sp cifiquement le SCoT Val de Saone Dombes Elle correspond aux polarit s comme Villefranche qui en centre ville comme en p riph rie dispose d une offre diversifi e sur tous types d achats y compris exceptionnels avec une certaine profondeur de gamme et la pr sence d enseignes nationales Cette offre compl te assure ce p le un rayonnement largi pour les achats sp cialis s de l ordre de 200 000 300 000 habitants L offre en p le majeur peut rev tir un caract re plus sp cifique de niveau m tropolitain travers l accueil de projets commerciaux de plus grande envergure et forte notori t Ces projets vocation m tropolitaine participent au renforcement de l attractivit du territoire sur les territoires environnants Tableau 3 d finitions et caract ristiques des diff rentes fr quences d achats Types d activit s concern es Aire d influence principale Quotidienne Boulangerie boucherie charcuterie tabac presse fleurs alimentation services et artisans 1 000 2 500 habitants Supermarch s hypermarch s en gt 5 000 hab alimentaire sp cialis Occasionnelle l g re SN nu a Occasionnelle lourde n an Exceptionnelle M
16. largie de Poe interm diaire l ordre de 30 000 60 000 habitants SNS A EN E F6 T Pia secondaire e la fonction interm diaire Les p les interm diaires sont caract ris s par un volume gt jie r Pie relais d activit s relativement lev 80 110 millions d euros de chiffre d affaires qui P es lazai traduit une offre dense et diversifi e en alimentaire et non alimentaire Cette offre leur permet d apporter une r ponse des besoins occasionnels mais galement BE Achat regui Achil ctonrel une r ponse partielle des besoins plus exceptionnels am nagement de la maison E Ahotexeprionw les achats r guliers comprennent galement les achats quotidiens et hebdomadaires mobilier IIs rayonnent sur une zone de chalandise correspondant des bassins de vie tendus 60 000 120 000 habitants W e la fonction majeure le p le de l agglom ration caladoise a t identifi comme p le majeur l chelle du SCoT Beaujolais et du SCoT Val de Saone Dombes de part sa situation limitrophe entre les deux SCoT et les caract ristiques de son offre commerciale A travers son offre commerciale de centre ville et de p riph rie mais aussi de quartiers ou centre bourgs cette polarit dispose d un quipement commercial important sur tous les secteurs d activit s et r pond donc aussi bien des besoins quotidiens qu des besoins hebdomadaires occasionnels quipement
17. les activit s existantes au moment de l adoption du document d am nagement Commercial implant es dans les ZACOM dont la surface est sup rieure aux seuils d finis pourront faire l objet d une ou plusieurs extensions dont le cumul ne peut tre sup rieur celui d fini dans le tableau ci dessous en pied de page la date d approbation du DAC Suite page 29 301 1000 m 1001 2501 4000 m gt 4000 m lt 300 m surface actuelle 2500 m extension plafond m Toutes ces surfhces sont exprim es en m de vente Tableau 5 L armature commerciale future caract ristiques et conditions d accueil des quipements marchands Achats FONCTION Achats Tableau 9 Fr quence d achats impacts g n r s et localisation pr f rentielle IMPACTS G N R S LOCALISATION PR F RENTIELLE l chelle de la polarit sur l am nagement du territoire et le d veloppement durable Emprises Modes d acc s Le de fonci res ou b ties Non motoris motoris p QUOTIDIENNE 22 rble Fort _ Motoris REGULI RE Non motoris e PECOT Faible TEF _ Motoris moyenne EG Faible OCCASIONNELLE L G RE ONITIOLORISE ANNE Fort _ Motoris moyenne FR QUENCES D ACHAT Hors centralit Enveloppe urbaine Impact sur animation urbaine Centralit M 5 OCCASIONNELLE LOURDE Motoris Se A TES Faible importante M x EXCEPTIONNE
18. mixtes modes doux transports en commun v hicules particuliers alors que les achats occasionnels et exceptionnels sont davantage associ s des modes d acc s motoris s Par ailleurs les besoins fonciers n cessaires l implantation des diff rentes typologies d activit s sont variables ainsi que l impact sur l animation des centralit s urbaines L offre r pondant des achats quotidiens hebdomadaires et occasionnels l gers constitue la majeure partie de l offre commerciale pr sente dans les centralit s urbaines et villageoises et contribue fortement leur vitalit conomique Il semble par cons quent opportun d utiliser ce point d entr e dans le cadre des r flexions sur l identification et la vocation des localisations pr f rentielles Les tableaux ci apr s metttent en vidence pour chaque typologie d achats les activit s concern es et l aire d influence principale des quipements 1 gt Faire voluer l armature commerciale horizon 2020 En coh rence avec les volutions souhait es de l armature commerciale horizon 2020 le DAC pr cise les caract ristiques et les conditions d accueil des activit s marchandes selon la fonction commerciale de la polarit et la fr quence d achat Carte 14 volution des fonctions commerciales des polarit s horizon 2020 NB la notion de fonction n a pas de traduction en m tre carr Hi rarchie des polarit s Local Relais Secondaire Interm diair
19. modes d acc s dominants principalement mixtes pour des achats r guliers et occasionnels l gers et plus exclusivement motoris s pour des achats plus lourds La hi rarchisation des polarit s du SCoT mais galement l ensemble des r flexions sur les localisations pr f rentielles pour le d veloppement commercial et leur vocation se sont appuy es sur cette typologie d achats 2 2 Une strat gie bas e sur une hi rarchisation des fonctions commerciales Six niveaux de fonction commerciale sont d finis l chelle des SCoT selon le niveau d quipement et la fr quence d achat cf tableau La fonction de proximit Elle correspond aux centralit s communales et de quartier exer ant un r le local pour les achats quotidiens parfois port es par une sup rette alimentaire 300 m ces centralit s regroupent une diversit plus ou moins importante de commerces de proximit et de services courants localis s au c ur des densit s b ties au contact des autres fonctions urbaines activit s services publics quipements collectifs La fonction locale Elle correspond aux polarit s rayonnant sur un bassin de consommation communal voire pluri communal pour des achats quotidiens et hebdomadaires elles accueillent des commerces traditionnels des services voire un quipement de type supermarch leur permettant de fonctionner en autonomie relative sur les achats courants La fonction relais Elle correspond aux polar
20. nombre de places de stationnement leur implantation en sous sol ou en toiture e int gration des formes urbaines dans le tissu existant o au traitement qualitatif de l espace urbain partage modal de l espace public pi tons automobiles deux roues transports collectifs urbains rev tements de sol mobilier urbain bancs luminaires v g talisation de l espace public signal tique etc RAPPEL 1 Le document d am nagement commercial est un zoom sur les polarit s de niveau1 2 ou 3 Il compl te cet gard le SCoT 2 Le SCoT rappelle que l conomie du foncier la lutte contre l talement ur bain sont pris en compte 3 Le SCoT affirme que le meilleur emplacement pour un commerce quelque soit sa surface de vente est dans la centralit proximit des services urbains qui pements commerces et services la personne ou aux entreprises 4 Le SCoT souhaite voir s implanter principalement les grandes surfaces ma gasin de de 300m de surface de vente dans les centralit s proximit des qui pements quand cela est possible 5 Le SCoT attire l attention des r alisateurs de ne pas d velopper les commer ces dans les gares Il les interdit pour les gares non situ es en centralit s 6 Il interdit ces m mes magasins hors des espaces urbanis s hors des 9 ZA COM 7 Le SCoT ayant t adopt avant la mise en place de la loi engagement natio nal pour l environnement ENE n
21. ration d eau pluviale pour l injection dans les sanitaires ou pour l arrosage et le nettoyage des locaux l installation de syst mes de r tention et ou d infiltration des eaux pluviales noues toitures v g talis es puits filtrants etc la mise en place de syst mes de traitement des eaux de ruissellement pollu es et des eaux us es Choisir des mat riaux contribuant la performance environnementale De nombreux crit res durabilit adaptabilit facilit d entretien impact sanitaire des mat riaux opportunit de recyclage seront pris en compte dans le choix des mat riaux Mieux g rer les d chets Les projets d am nagement de zone ou de conception de b timents pr voiront de faciliter le tri et la collecte s lective des d chets et permettront une bonne accessibilit des camions de collecte La production de d chets ultimes doit tre la plus limit e possible L objectif est d obtenir une valorisation optimale en relation avec les fili res de valorisation locales En effet les b timents commerciaux g n rent des volumes importants de d chets Leur valorisation constitue un objectif majeur qui sera atteint notamment en favorisant par des dispositions architecturales ad quates la valorisation sur site et le tri des d chets la source en incitant au geste de tri pour les usagers clients et personnel du b timent commercial Assurer un meilleur confort visuel des clients et des employ s Le conf
22. rieur pour ce type d achats Cet enjeu est d autant plus fort sur le nord du D B E TFR EE TA J SUNANI FAVA r gt oynaicat MIXTE a Carte 13 l armature commerciale l horizon 2020 Hi rarch hie det polarit s n ir Goun ht EE EE e zuri mais iii E irha arp i CRT EX Mt AF territoire qui conna t une forte vasion sur ces achats courants Dans ce secteur la r ponse apport e par le DAC se traduit par un confortement des polarit s de Monsols Villi et Fleurie sur ces achats r guliers rapprocher les consommations sur les achats occasionnels et d velopper pour cela une offre relativement maill e sur le territoire en s appuyant sur les polarit s r pondre de nouveaux besoins de consommation aujourd hui non satisfaits en s appuyant sur les principales polarit s urbaines du territoire L volution de la hi rarchie commerciale traduit ces objectifs de d veloppement pour le territoire ANA Q i m P 7 d J 7 A P NA mmnnnE NIAN AA AD A N AN T pp APP f a N e A 11 OM f ICI ACIIMON f monnnnomon TN MMmOFrrIn mr H u bead uj olais Document d amena ge ment commercial MAFrFS ZUIS5 PARTIE 3 les orientations d am nagement commercial Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 g 3 1 ECHELLE DES SCOT Organiser les fonctions commerciales au regard des exigences d am nagement et de d veloppement durables Une armature comm
23. vente est inf rieure 30 de la SHON les services aux entreprises les halles et march s les points de vente collectifs en vente directe et champ d application Les p les 1 3 Villefranche Arnas Gleiz Limas Tarare Les Olmes Pontcharra Saint Forgeux Saint Romain de Popey Amplepuis Cublize SaintJean la Bussi re Saint Georges de Reneins Bourg de Thizy Cours la ville Pont Trambouze Thizy Anse Liergues Lucenay Marcy Moranc Pommiers Civrieux d Azergues Lozanne Belleville Saint Jean d Ardi res Cerci Charentay Corcelles Drac Taponas Beaujeu le Bois d Oingt L gny Fleurie Villi Morgon Monsols Grandris Lamure Le P rr on Saint tienne les Oulli res Vaux en Beaujolais Chazay d Azergues les commerces li s aux aires d autoroute type d application La hi rarchisation des fonctions Locale Relais Secondaire Interm diaire Majeure M tropolitaine mode d application Enveloppe urbaine Localisation pr f rentielle Zone commerciale ZACOM existante Commerces existants Zone d am nagement commercial ZACOM Centralit s Toutes surfaces autoris es SAUF r guliers ou pr cisions Toutes surfaces autoris es Toutes surfaces autoris es contraire du PLU dans les limites tableau n 8 les d limitations pr cises rel vent du document d urbanisme local Le SCoT du Beaujolai
24. 1 75 17 Neuville Genay Porte de Lyon 0 080 757 33 j J 1 1 1 19 47 Neuville Genay Lyon Porte de Lyon ete 1 318 327 Ah o dlee 1 27 48 Neuville Genay Lyon Porte de Lyon Hors des 2 SCoT CRETE Je ii mati re alimentaire Tableau 1 Matrice des flux Carte 10 Les grands secteurs de r sidence en if gt ep limentaire ND qt Personne en qt Maison ulture loisirs limentaire qt Personne qt Maison ulture loisirs gt O9 limentaire en qt Personne BR l ao l n qt Maison ole niveau d vasion traduit que le territoire est d pendant d autres polarit s pour certains achats cela g n re des d placements lointains et justifie une diversification voire l implantation de concepts enseigne m tropolitains o Le tableau traduit le niveau de desserte des diff rents bassins de vie selon les typologies de besoins globalement une bonne emprise en alimentaire sur tous les secteurs sauf le secteur sud mais mettre en relation avec les flux domicile travail et la proximit de p les de forte attractivit en non alimentaire une tr s bonne r tention sur Villefranche Tarare est aussi relativement bien positionn Sur le secteur Nord on peut consid rer la r tention en non alimentaire relativement bonne au vue de la configuration de ce secteur tr s rural et en partie tourn vers Macon ou le reste de Sa ne et Loi
25. 7 les emprises polarit s ai e Une int gration variable du commerce son environnement local en termes de qualit et d int gration paysag re des quipements commerciaux d am nagement des sites commerciaux de localisation des sites commerciaux au regard des enveloppes urbaines des bonnes pratiques mais aussi des points d am liorations significatifs envisager sur certaines polarit s e Des accessibilit s aux sites commerciaux qui restent massivement automobiles une desserte des sites commerciaux par les transports en commun r guliers uniquement pr sente sur l agglom ration caladoise mais de mani re in gale avec certains p les principaux bien desservis et d autres pas desservis du tout une desserte alternative des sites commerciaux assur e par les transports d partementaux en dehors de l agglom ration caladoise dont la faible fr quence ne permet pas d envisager des capacit s de report modal significatives pour un motif de d placement li aux achats Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Carte 8 les volutions r cen 1 1 3 Commerce et satisfaction des consommateurs r a de Le pupulata SE tes de la population AE s Poi e Des volutions d mographiques soutenues mais variables selon les secteurs impliquant de w st Ae nOD y nouveaux besoins couvrir Ms Sa A i Jimai i m ai 3 Li Le i e Des logiques de d concentration de
26. LLE M TROPOLITAINE Motoris A a Faible importante Faible moins de 500 m de SHON Moyenne 500 3 000 m de SHON Non motoris pi tons cyclable Motoris automobile transports en commun Importante plus de 3 000 m de SHON traduire en SV Les grandes et moyennes surfaces gt 300 m S V trouvent olace au sein des centralt s commerciales identifi es Achats i Achats Exemple de polarit s COMMERCIALE ASN Achats r guliers occasionnels occasionnels Achats exceptionnels i er pe quotidiens m tropolitains concern es FUTURE lourds l gers M TROPOLITAINE may Villefranche B Tarare MESURE Belleville 2 P Anse INTERM DIAIRE Lu e Lozanne Civrieux Amplepuis SECONDAIRE yi Thizy Saint Georges Beaujeu RELAIS my Cours Lamure Chazay Bois d Oingt L gny Villi Fleurie LOCALE my Monsols Saint tienne les O le Perr on Format d quipement Commerce gt 300m de S V Commerce lt 300 m de S V dit de proximit wy Localisation pr f rentielle Centralit voire ZACOM sous conditions d taill es ci apr s Ces derni res trouvent place en centralit l o elles contribuent Centralit ou centre de quartier uniquement A Les communes r pondant une fonction de proximit seule ne peu ent accueillir d unit s commerciales sup rieures 300 m de SV l animation urbaine et villageoise en lien avec les autres activit s les quipements
27. aturel et paysager Toute implantation commerciale est analyser au regard de son environnement urbain naturel et paysager La composition du projet doit prendre en compte les caract ristiques du site g ographie topographie biodiversit climat et proposer une organisation interne et externe en lien avec le territoire dans lequel il s ins re La pr servation de la qualit paysag re et de la richesse environnementale du lieu l int gration harmonieuse du b ti et la limitation des impacts de tout type sonores visuels olfactifs trafics sur le voisinage sont syst matiquement recherch es et mises en uvre L int gration visuelle du projet est trait e entre autre par la v g talisation de la parcelle du b ti et la cr ation d une cinqui me fa ade visant cr er un confort visuel le traitement paysager des quipements de gestion des eaux pluviales et us es bassins d orage paysagers fosses d infiltration mares cologiques noues paysag res etc la limitation des tailles des enseignes et pr enseignes partir des r glements locaux de publicit notamment Concevoir des formes urbaines plus denses et plus compactes Comme tout projet d am nagement un projet commercial doit privil gier des formes urbaines compactes pour optimiser la ressource fonci re et valoriser l offre locale en termes de desserte et de services Une meilleure densit doit tre recherch e au niveau des constructions
28. ciale multipolaire existante e Favoriser la diversit des formes de vente et des circuits de distribution et leur compl mentarit ma triser la localisation et le dimensionnement des projets commerciaux e Ma triser l impact des quipements commerciaux sur leur environnement urbain et paysager et sur les d placements des consommateurs ma triser la localisation le dimensionnement et l int gration des projets commerciaux des agglom rations ext rieures Lyon Roanne Macon permettre l accueil d quipements commerciaux forte notori t sans d s quilibrer l organisation commerciale multipolaire existante e Favoriser la diversit des formes de vente et des circuits de distribution et leur compl mentarit ma triser la localisation et le dimensionnement des projets commerciaux e Ma triser l impact des quipements commerciaux sur leur environnement urbain et paysager et sur les d placements des consommateurs ma triser la localisation le dimensionnement et l int gration des projets commerciaux carte 12 les enjeux des territoires Quelle vocation commerciale des p les Quelles vocations respectives des 3 polarit s m pe Quelle logique d am nagement commercial le long de la Quel positionnement commercial du territoire RD 933 Quelle compl mentarit avec les centralit s Cde Cd la Haute Vall e d Agergues k C de C duays A S Amplepu i hiry Beauj
29. de la personne biens culturels bricolage jardinage et exceptionnels mobilier automobile lectrom nager avec la pr sence d enseignes nationales in dites l chelle des deux SCoT Il dispose d une zone d influence largie de l ordre de 200 000 300 000 habitants 1 3 DES _ R FLEXIONS __ PARTAG ES __ POUR Les questionnements strat giques pr alables Pour b tir leur strat gie commerciale les SCoT ont abord les questionnements suivants e quel r le commercial donner au territoire l chelle d partementale et interd partementale maintenir un r le local de r ponse prioritaire aux besoins des m nages du territoire Rayonner davantage vers l ext rieur travers des projets majeurs in dits e quelle logique d volution commerciale privil gier favoriser un d veloppement quantitatif Mettre en avant une requalification de l armature commerciale Rechercher une diversification des p les commerciaux Rechercher un r quilibrage territorial en termes de fonctions commerciales et de couverture des besoins e quelles vocations respectives des p les commerciaux quelle volution dela hi rarchie commerciale actuelle Quelles compl mentarit s entre p les commerciaux actuels et futurs e quelle articulation entre le commerce et les autres fonctions urbaines quelles localisations pr f rentielles des activit s Comment favoriser urbanit et le r le catalyseu
30. e Une d marche concert e La strat gie et les orientations commerciales du DAC d coulent d une d marche de coproduction avec les acteurs locaux pour e les sensibiliser aux enjeux d une r gulation du commerce au regard des perspectives d volution du territoire et des territoires environnants projets majeurs d infrastructures d veloppement d mographique et conomique e recueillir et changer sur leurs attentes et leurs craintes quant l volution commerciale du territoire en g n ral et de leur commune intercommunalit en particulier e mettre en perspective les projets commerciaux connus ou envisag s sur le territoire face aux potentiels de d veloppement commercial r els e es faire r agir vis vis des diff rentes options strat giques possibles et alimenter celles ci de leurs propositions et amendements Ces changes ont pris la forme e d ateliers de concertation territorialis s transversaux aux deux ScoT e de comit s de pilotage compos s d lus des SCoT des chambres consulaires partenaires institutionnels destin s amender et valider les choix strat giques et les orientations d am nagement e de comit s syndicaux pour valider chaque tape de la d marche d laboration du DAC DAC mode d emploi Magasin gt 300m sauf le commerce automobile les stations services l h tellerie restauration les activit s artisanales avec show room dont la surface de
31. e Majeur M tropolitain Villi Morgon Mons Fleurie fissey St Didier s Chalaronne Beaujeu Lamure s Azergues St Etienne le Jassans jattier Thizy Bourg de Thizy Amb rieu Tarare Civrieux d A EL in LEE Maintien de la fonction confortement des acteurs existants voire implantation ponctuelle de nouvelles activit s impact foncier faible Confortement de la fonction confortement des acteurs existants et implantation de nouvelles activit s pour compl ter les fonctions existantes du p le impact foncier moyen D veloppement d veloppement de l offre existante et implantation d acteurs nouveaux afin de r pondre de nouvelles fonctions commerciales impact foncier important Ce cercle indique la n cessit d un dialogue entre les communes inter communalit s cette chelle EEE Tableau 4 Principes et modalit s d volution de la fonction commerciale des polarit s R LE DANS LA Polarit HIERARCHIE FONCTION FONCTION COMMERCIALE COMMERCIALE IPRINCIPES ET MODALITES D VOLUTION DE LA FONCTION COMMERCIALE commerciale URBAINE DU ETIU TUFE SCoT Renforcement de la fonction majeure P le conforter dans sa fonction m tropolitaine projet Ile Porte Ave Maria avec accueil d enseignes d envergure mobilisant un foncier important pour lequel les surfaces produire ne sont pas comptabilis es dans ce document car
32. e ces zones d am nagement commercial que les collectivit s au travers de leur PLU auront charge de d limiter plus pr cis ment en compatibilit avec le DAC notamment en termes d emprise fonci re globale Ces ZACOM d finies et d limit es par les communes devront d s lors tre compatibles avec le Document d Am nagement Commercial pour que les implantations commerciales soient autoris es en leur sein La carte ci contre fait r f rence au tableau 8 de la page 27 Les d limitations pr cises des ZACOM sont de la comp tence des documents d urbanisme locaux dans un principe de compatibilit BR urbaine 5 CH centralit 4 3 Gouvernance Le syndicat mixte du Beaujolais et le syndicat mixte Val de Sa ne Dombes prennent les engagements suivants Mettre en place de mani re simultan e les enqu tes publiques relatives au DAC Se rencontrer au moins une fois par an pour voquer ensemble le suivi de leur document respectif et les divers projets en cours S changer les dossiers de CDAC d pos s de part et d autre de la Sa ne Tout faire pour une meilleure gouvernance des projets commerciaux G Aggiorna ones eurie du Rhens en Dauphin Figy Cenah du lAr La Deniken Losa Centa SO LA Q rs Ka d dde Charte pour un am nagement OO commercial durable G et de qualit amp PARTIE 5 Ins rer un projet commercial Charte commerciale de l interSCoT Ext
33. e site et qui e soit ont t con us dans le cadre d une m me op ration d am nagement foncier que celle ci soit r alis e en une ou en plusieurs tranches e soit b n ficient d am nagements con us pour permettre une m me client le l acc s des divers tablissements e soit font l objet d une gestion commune de certains l ments de leur exploitation notamment par la cr ation de services collectifs ou l utilisation habituelle de pratiques et de publicit s commerciales communes e soit sont r unis par une structure juridique commune contr l e directement ou indirectement par au moins un associ exer ant sur elle une influence au sens de l article L 233 16 du code du commerce ou ayant un dirigeant de droit ou de fait commun Nouvelle implantation commerciale Ce terme inclut la cr ation d un b timent destination commerciale le changement de destination d un b timent non commercial vers une destination commerciale et les op rations de transfert extension d activit s commerciales Nouveau d veloppement commercial sont consid r es comme d veloppement commercial les nouvelles implantations commerciales mais aussi l extension de la surface de vente des activit s commerciales existantes Op ration d am nagement commercial d ensemble ou projet global d am nagement Op ration qui tend organiser un nouveau secteur de d veloppement commercial dont l importance n cessite un e
34. erciale hi rarchis e coh rente avec l armature urbaine Les niveaux d vasion commerciale constat s dans le Beaujolais et le Val de Sa ne Dombes t moignent d une d pendance forte vis vis des p les commerciaux ext rieurs Lyon M con Roanne Bourg en Bresse Le DAC sans remettre en cause le principe de libre concurrence vise un meilleur quilibre de l offre commerciale en tant que service la population et activit g n ratrice de flux Il s attache pour cela faire voluer l armature commerciale actuelle en coh rence avec l armature urbaine d finie au SCoT 1 gt et dimensionner les nouveaux projets commerciaux selon cette armature 2 gt La r ponse du Beaujolais vise satisfaire le niveau de satisfaction des besoins sur le territoire selon la fr quence d achats laquelle on fait r f rence Les enjeux sont en effet variables selon qu il s agisse d achats r guliers ou hebdomadaires g n rant des d placements quotidiens hebdomadaires et associ s par cons quent des enjeux forts de proximit ou d achats plus occasionnels voire exceptionnels associ s des comportements et des enjeux de mobilit diff rents Au del de la fr quence et de l origine des d placements les modes d acc s associ s ces diff rents types d achats sont galement diff rents Les achats quotidiens r guliers ou hebdomadaires et occasionnels l gers sont associ s des modes de transports
35. et dans un contexte o certains acteurs n h sitent pas parler de crise M me dans une r gion en croissance d mographique comme laire m tropolitaine lyonnaise o existent des marges de progression il convient d aborder les ann es qui viennent avec une plus grande prudence que par le pass d autant que les comportements clients sont de plus en plus difficiles pr voir Ces r serves conduisent les acteurs proposer les orientations g n rales suivantes Pr server et recentrer les polarit s commerciales existantes plut t que les multiplier Cette recommandation s adresse tout autant aux grands espaces commerciaux qu l quipement commercial des plus petites communes La diversit supermarch d un centre ville ou d un centre bourg sous pr texte d agrandissement revient le plus souvent cr er une nouvelle polarit commerciale qui affaiblit l ensemble du commerce local tout en consommant du foncier I ne s agit pas d interdire toutes nouvelles cr ations mais d adapter les ouvertures de nouveaux p les aux conjonctures d mographiques et conomiques ainsi qu aux contextes urbains Consid rer comme prioritaire la question des d placements En prenant en compte le fait que le d placement pour motifs d achats est rarement un acte isol et doit tre r int gr dans un ensemble de flux l chelle du bassin de vie domicile travail loisirs La ma trise des d placements passe par la limitation du nombre de p
36. et services 25 Tableau 6 Orientations de dimensionnement des nouvelles unit s commerciales en centralit s Exemple de polarit s concern es Villefranche Tarare Belleville Anse Lozanne Civrieux Amplepuis Thizy Saint Georges Beaujeu Cours Lamure Chazay Bois d Oingt L gny Villiers Fleurie Monsols Saint tienne le Perr on Autres communes Surfaces commerciales lt 300m S V uniquement C Dans les polarit s o peuvent s implanter des surfaces gt 300m de S V sur certaines fr quences d achat les orientations de di mensionnement ne s appliquent pas aux centralit s Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Tableau 7 Orientations de dimensionnement de chacune des nouvelles unit s commerciales en ZACOM cf tableau 8 ci contre FONCTION Achats Achats Achats occas Achats occas Achats Achats Exemple de polarit s COMMERCIALE Bi er es quotidiens r guliers lourds exceptionnels m tropolitains concern es T D D ine X 2000 m 200 AH 3 m as d Ni 1 HDI r aiai i HEHE n HE Tarare TI REEE nna i eE Belleville Anse Lozanne Civrieux Amplepuis SECONDAIRE x Thizy Saint Georges Beaujeu RELAIS X Cours Lamure Chazay Bois d Oingt L gny Implantation Villi Fleurie en centralit Monsols Saint tienne les O le P r on PROXIMIT lt Autres communes LOCALE X x x x X 1 la fonct
37. eure Proche Villefranche lt 15 minutes et Montmerle Montceaux lt 10 minutes majeure majeure Beaujeu relais relais relais Fonction relais conforter Bois d Oingt L gny Fonction locale assur e avec locomotive alimentaire pouvant tre confort e commerces de proximit Confortement privil gier relais sur les enveloppes actuelles local locale P le ne r pondant pas la fonction hebdomadaire situation 15 minutes du p le le plus proche pour la r ponse aux besoins local locale locale Villi Fleurie hebdomadaires r gulier implantation d une locomotive alimentaire privil gier au contact du centre bourg mais possibilit d implantation excentr e Monsols local locale locale Offre actuelle hyper proximit Fonction locale induisant le d veloppement d une locomotive alimentaire Fonction relais assur e par supermarch 500 m et Agri sud est confortement de la fonction sur hebdomadaire et occasionnel Lamure sur AZ relais relais relais lourd St tienne le Bi Bonon local locale locale Pas d espace foncier proposition de confortement de la fonction en centre bourg Offre r pondant des besoins hebdomadaires fonction locale assur e proximit imm diate Civrieux d Azergues pr conisation Chazay d Az local locale locale confortement du p le sur les achats courants sur les enveloppes existantes Centres bourgs et Toute Lu SO Conforter voire d velopper l off
38. fres quelconques r parties en plusieurs points du territoire surtout pour les achats de type occasionnel D un point de vue quantitatif l objectif est de r duire les surfaces consomm es pour l accueil des activit s commerciales et infrastructures n cessaires et ceci sans cr er de saturation du r seau existant a post riori car cela risque de cr er un besoin 2 L4 LA Il s agit de concevoir des espaces qui ne constituent pas seulement une zone d di e aux achats recherche de visibilit parfois surdimensionn e d efficacit en proposant un stationnement au plus proche de l entr e du magasin etc mais un espace o la notion de cadre de vie a aussi sa place dans un environnement fr quent galement pour les salari s des commerces pour lesquels les espaces ext rieurs manquent parfois de traitement d di Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Desserte accessibilit Consacrer des espaces de stationnement et d accessibilit privil gi s Article 3 L accessibilit des zones commerciales qu elles soient en milieu aux modes doux 1 place pour 50 m de SHON en pr alable Article 12 urbanis ou en p riph rie est un enjeu social d galit tout am nagement en lib rant une surface minimale r serv e au Ceci dans un objectif compl mentaire de non accroissement des stationnement des cycles p les g n rateurs de flux motoris s Conditionner les projets d implantati
39. heures ouvrables La raret et le co t du foncier rendent par ailleurs difficiles la pr servation ou la cr ation d espaces logistiques r serv s la distribution de marchandises en ville Aucune solution n appara t satisfaisante il est difficile de r duire les flux de livraisons de magasins sans accro tre les surfaces de stockage il est tout aussi probl matique de r duire l emprise fonci re des magasins et des surfaces de stockage sans augmenter la fr quence des livraisons Un compromis doit tre recherch entre op rateurs et collectivit s sur la question des marchandises en ville portant sur divers chantiers la mutualisation des v hicules des aires de livraison des plates formes de groupage d groupage les op rateurs utilisant des v hicules propres et aux nuisances sonores r duites la pr servation de zones de foncier logistique et d aires de livraison dans les centres villes Les orientations l chelle du b timent La qualit d un b timent se d finit aujourd hui non seulement par son int gration paysag re mais aussi par l am lioration de plusieurs fonctionnalit s et par un vrai confort d usage un b timent accessible tous conomisant foncier eau et nergie triant ses d chets g n rant de faibles nuisances Renforcer l accessibilit du b timent l ensemble des usagers Le b timent devra tre accessible facilement tous les usagers quels que soient leurs handicaps Ces d
40. hors de l horizon moyen terme Villefranche majeur majeure m tropolitaine Offre d velopp e et diversifi e en alimentaire et achats occasionnels compl ter sur l exceptionnel pour assurer pleinement une interm diaire fonction majeure L L LT majeur majeure Fonction secondaire assur e en compl mentarit par les 3 polarit s confortement et diversification de l offre hebdomadaire et interm diaire occasionnelle Enveloppe arbitrer entre les 3 polarit s secondaire secondaire P le remplissant une fonction essentiellement alimentaire offre pouvant tre compl t e sur l occasionnel lourd mais possibilit de secondaire f a p e d veloppement limit e proximit de Belleville bien quip sur ce type d achats et Villefranche lt 10 minutes relais relais P le renforcer pour assurer la fonction interm diaire mais proximit importante de Villefranche sur Saone et Tr voux interm diaire j ar Be i E E d veloppement mod r propos sinon arbitrages r aliser l chelle du secteur interm diaire secondaire Offre largement d velopp e sur des fonctions occasionnelles et relativement bien d velopp e sur l exceptionnel proximit Porte de Lyon interm diaire interm diaire interm diaire P le apportant une r ponse satisfaisante sur des besoins occasionnels plus partielle sur des besoins exceptionnels mais majeur J globalement r pond la fonction maj
41. i E dit ape ma Da bd Blege 1 1 2 Commerce et d veloppement durable cn Carte 6 l envirc e Un environnement concurrentiel fort pouvant g n rer des d placements anr i lointains avec des p les externes d impact variable selon leur taille et leur diversit a A E E meras ss commerciale p le d envergure r gionale impactant l ensemble du territoire Lyon Centre p les d envergure d partementale impactant chacun certains bassins du bon territoire agglom ration m connaise agglom ration roannaise porte de Lyon gt p les locaux pouvant attirer les franges du territoire L Arbresle Neuville Genay 1 Chauffailles Charlieu Le e Un rayonnement tendu au territoire du SCoT Beaujolais et aux territoires limitrophes Se l ouest Loire au sud Monts du Lyonnais et l est Val de Sa ne Dombes du fait de l attractivit largie de certains p les agglom ration caladoise Tarare Amplepuis Thizy Bourg de Thizy Lozanne Civrieux d Azergues Belleville e Des bassins de client le de taille variable selon les p les attractivit largie de l agglom ration caladoise sur une grande partie du SCoT et sur la rive gauche de la Sa ne bassins de consommation largis et compl mentaires territorialement pour les p les de Lozanne Civrieux d Azergues Tarare et Belleville rayonnement intercommunal de Thizy Bourg de Thizy et Amplepuis rayonnement local des autres Carte
42. ie d chelle intercommunale Amplepuis Anse Cours la Ville Thizy Bourg de Thizy Beaujeu Toutefois parmi ces p les nombre d activit s similaires la fonction commerciale et le poids conomique du commerce pourront tre diff rents au regard de la pr sence ou non de moyennes et grandes surfaces ayant un impact conomique et un rayonnement plus importants que des commerces classiques e un maillage territorial fin travers une offre plus simple en commerces et services de proximit commerces de bouche pharmacie tabac presse sur les petites communes mais aussi sur les communes principales jouant un r le local quartier commune voire communes limitrophes e de nombreuses communes sans commerce qui posent la question de la desserte des populations concern es et donc des enjeux de maintien voire de renforcement de p les vocation intercommunale sur les secteurs moins peupl s pouvant r pondre aux besoins courants sur les secteurs concern s essentiellement les secteurs montagneux et ruraux Carte 6 l armature commerciale Carte 5 les chiffres d affaires img FE n mii EN MN JE Activit commerciale aad e T 1 COLLECTE m saiga i der li petine 5 a Ji de la maliy Url dr nique LE EEEE Ci iIa j E ETEEN F e EEn I F p F aeii iji 5 E br Vds E E mr ELECTI 7 dei duFem ik kamja Timppa WHA s CELLE CTE ETE 1 E shpar
43. ion m tropolitaine s inscrivant dans un objectif de rayonnement commercial largi du territoire aucun plafond n est introduit afin de permettre l implantation d quipements commerciaux reposant sur un concept et ou une enseigne forte capacit d attractivit b n ficiant l ensemble du territoire Eoo Implantation autoris e en ZACOM pour la surface d finie D X m2 Implantation admise en ZACOM sous certaines conditions Cf partie Des loi Pr voir des ZACOM pour des activit s qui compte tenu de leur taille et des contraintes qu elles g n rent accessibilit disponibilit s fonci res ont des difficult s s ins rer en centralit Les ZACOM n ont ainsi pas vocation accueillir des petites unit s Galerie marchande ensemble commercial compos enti rement ou partiellement de cellules commerciales lt 300m de S V qui peuvent trouver place en centralit s urbaines et commerciales inf rieures 300 m villageoises cf tableau ci dessous KE Implantation non autoris e en ZACOM S V lt 300m exclues Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Capacit s de d veloppement des zones d am nagement commercial ZACOM Tableau 8 Enveloppe fonci re maximale d di e aux activit s commerciales en ZACOM par polarit Emprise fonci re volution de la maximale en Surface de vente Surface de vente TT Polarit commerciale Phasage Th matique Autre information
44. ispositions concernent tous types de handicap minima les r glementations sur l accessibilit seront respect es Des dispositions pourront tre prises sur la signal tique comme par exemple sur la taille l emplacement des panneaux marquages au sol etc Diminuer la consommation d nergie Les b timents commerciaux s av rent tr s nergivores du fait notamment de la pr sence d quipements frigorifiques qui repr sentent jusqu 65 de la consommation nerg tique totale des magasins L am lioration de l efficacit thermique et nerg tique de ces unit s commerciales est un enjeu fort Les commer ants travailleront la r duction des consommations et des pollutions associ es aux syst mes nerg tiques syst me de r cup ration d nergie ainsi qu l co conception du b timent architecture bioclimatique puits de lumi re etc L am lioration de l efficacit thermique et nerg tique de ces unit s commerciales est un enjeu crucial Pr server la ressource en eau Tout projet d implantation d am nagement de zone ou de b timent commercial assurera une gestion des eaux potables et de l assainissement dans l objectif de limiter les impacts des activit s commerciales sur les milieux naturels en termes de qualit et de quantit il limitera le ruissellement des eaux de pluie en r duisant l imperm abilisation des sols et en favorisant leur r cup ration Il s agit plus particuli rement de la r cup
45. it urbaine Les localisations p riph riques a fortiori isol es r pondant des logiques de flux routiers sont viter e l chelle du p le commercial une qualit des projets commerciaux au plan de l insertion urbaine et paysag re de la performance environnementale et nerg tique de la consommation fonci re des acc s et de la desserte tous modes du stationnement etc Explication des fr quences d achats Une strat gie bas e sur une hi rarchisation des fonctions commerciales Six niveaux de fonction commerciale sont d finis l chelle des SCoT selon le niveau d quipement et les fr quences d achats cf tableau n 2 auxquelles r pondent les polarit s travers leur offre commerciale Ces fr quences d achats renvoient des quipements commerciaux dont l impact sur l am nagement du territoire est variable e du fait de la taille de leur zone de chalandise et donc d une origine de la client le plus ou moins lointaine 5 10 km pour des achats r guliers 15 20 km voire au del pour des achats exceptionnels e du fait de la fr quence des d placements associ s ces diff rentes typologies d offre quotidiens hebdomadaires sur des achats r guliers annuels pour des achats exceptionnels e du fait de besoins fonciers variables lev s pour l occasionnel lourd et l exceptionnel faibles moyens pour l offre r pondant des besoins r guliers ou occasionnels l gers e du fait de
46. it s qui jouent un r le intercommunal pour des achats quotidiens hebdomadaires et certains achats occasionnels Marqu par la pr sence d un quipement de type supermarch et ou d une concentration importante de commerces traditionnels elles accueillent galement parfois une offre de compl ment jardinerie bricolage Leur rayonnement relativement restreint de l ordre de 10 000 30 000 habitants les distingue des polarit s secondaires et interm diaires au r le plus large La fonction secondaire Elle correspond aux polarit s qui port e par une locomotive alimentaire exercent un r le intercommunal en r ponse aux besoins quotidiens hebdomadaires mais aussi occasionnels lourds voire l gers bricolage jardinage quipement de la personne loisirs produits culturels Ces polarit s rayonnent sur des bassins de population denses gr ce une offre relativement diversifi e compl mentaire aux polarit s interm diaires ou majeures La fonction interm diaire Cette fonction correspond aux p les caract ris s par un volume d activit s relativement lev 80 110 M de chiffre d affaire qui par le dimensionnement de leur offre leur condition d acc s b n ficient d une aire de rayonnement s largissant d autres bassins de population L offre dense et diversifi e sur des achats hebdomadaires et occasionnels apporte galement une r ponse incompl te sur des besoins plus exceptionnels am nagement de
47. it s sont regroup es au sein d un projet de zone commerciale Les d chets de commerces repr sentent des tonnages importants et un besoin en tri sp cifique Le PLU doit faciliter les syst mes de collecte performants et anticiper les besoins en stockage afin de satisfaire aux exigences d un prestataire de services de collecte et ensuite de traitement Les activit s commerciales sont comme toute activit conomique l origine de plusieurs ph nom nes de nuisances sanitaires tels que la d gradation de la qualit de lair les effets d ilots de chaleur ou encore les nuisances sonores La recherche de mixit fonctionnelle de ces zones am ne int grer de l habitat ou s implanter proximit imm diate d espaces r sidentiels Ces nuisances sont donc prendre en compte ou mettre en relation avec des objectifs purement urbanistiques coh rence des objectifs conomiques et Autres th matiques qui peuvent tre abord es les risques naturels et technologiques le respect du patrimoine architectural ancien Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 LEXIQUE Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Enveloppe urbaine et villageoise Agglom ration b tie principale d une commune et ses extensions programm es dans les documents d urbanisme Centralit urbaine Secteur notamment en centre ville ou centre de quartier caract ris
48. la population vers les secteurs p riurbains et ruraux v ig induisant une adaptation de l armature commerciale locale la localisation des nouvelles populations vasion hors du Beaujolais iai ds tentes m n gaiard iir i Ensemble 31 00 Culture Loisirs EqtMaison Eqt personne Alimentaire Structure des d penses annuelles des m nages en K Carte 9 les autorisations mstari entoac des surfaces commreciales par les CDEC ou CDAC SCoT Beaujolais D penses alimentaires Moyenne nationale SCoT Beaujolais v e c n o g CCE TA Q Moyenne nationale P O 0 10 1210 100 E Non s dentaire Vente distance V D E Autres e Des profils de population tr s contrast s selon les secteurs supposant de pouvoir adapter l offre commerciale du territoire dimensionnement localisation diversit e Un d veloppement de l offre commerciale sur les derni res ann es 67 500 m de plancher commercial autoris en CDEC ou CDAC entre 2001 et 2010 marqu par un renforcement des p les principaux agglom ration caladoise Belleville Tarare Lozanne Civrieux d Azergues mais aussi par la mont e en puissance de p les secondaires St Georges de Reneins Thizy Bourg de Thizy le Bois d Oingt e Des m nages dont les d penses sont globalement semblables aux territoires similaires mais sont marqu es par un pouvoir d achat plus lev que la moye
49. le commercial doit tre tudi e L am nagement des acc s des circulations du stationnement doit tre trait de mani re diff renci e selon le mode de d placement et le type de v hicule automobile transports collectifs modes doux v hicules de livraison et d approvisionnements en veillant faciliter plus particuli rement l usage des transports les moins polluants Les cheminements modes doux pi tons et v los devront tre am nag s de mani re s curis e et confortable au c ur de la zone commerciale Des continuit s d itin raires seront privil gi es avec les quartiers riverains D autres d marches plus innovantes de type plateforme de covoiturage syst mes de livraison domicile plan de d placement entreprise PDE ou interentreprises PDIE pour les salari s sont galement encourag es Favoriser l accroche la ville et la mixit des fonctions L op ration doit s int grer et se fondre dans la ville Elle ne doit pas tre une composante part qui ignore son environnement un objet commercial monofonctionnel dissoci des autres usages de la ville habitat activit s conomiques services et quipements publics Composante essentielle de l attractivit et de l animation urbaine l op ration commerciale se con oit donc en lien avec les autres fonctions de la ville dans le cadre d une programmation urbaine mixte Rechercher l insertion architecturale du projet dans son environnement n
50. le correspond aux polarit s rayonnant sur un Quotidienne bassin de consommation communal voire pluri communal pour des 10 000 30000 _ Di Relais 5 10 minutes Hebdomadaire achats quotidiens et hebdomadaires elles accueillent des commerces habitants traditionnels des services voire un quipement de type supermarch leur Occasionnelle permettant de fonctionner en autonomie relative sur les achats courants Ta i Quotidienne l i f EEN 5 000 a 10 000 e la fonction relais les p les relais assurent la fois une fonction de proximit et Locale re E e e abitants x jouent un r le vis vis des communes voisines sur des besoins r guliers du fait de 3 10 minutes Hebdomadaire la pr sence d un quipement de type supermarch ou d une forte concentration de 3 000 10 000 commerces traditionnels Ils peuvent galement accueillir une offre de compl ment Proximit lt gt minutes jardinerie bricolage La zone d influence de ces p les est de l ordre de 10 000 30 000 habitants e la fonction secondaire les p les secondaires sont davantage cibl s sur une offre Carte 11 L armature commerciale actuelle x Z i s Z Hidranchie des p les alimentaire une chelle intercommunale mais disposent aussi d une r ponse incompl te des besoins plus occasionnels bricolage jardinage quipement de File majeure la personne loisirs produits culturels Leur zone d influence est plus
51. lutions r centes de population 11 carte 9 Les autorisations des surfaces commerciales 11 carte 10 Les grands secteurs de r sidence 12 tableau 1 Matrice des flux commerciaux 12 tableau 2 Synth se des niveaux de fonctions commerciales 13 carte 11 L armature commerciale actuelle 14 carte 12 Les enjeux des territoires 16 tableau 3 D finitions et caract ristiques des diff rentes fr quences d achats 19 carte 11 L armature commerciale actuelle 20 carte 13 L armature commerciale l horizon 2020 20 carte 14 volution des fonctions commerciales des polarit s horizon 2020 22 tableau 4 Principes et modalit s d volution de la fonction commerciale des polarit s 23 tableau 5 L armature commerciale future caract ristiques et conditions d accueil des quipements marchands 25 tableau 9 Fr quence d achats impacts g n r s et localisation pr f rentielle 25 tableau 6 Orientations de dimensionnement des nouvelles unit s commerciales en centralit 26 tableau 7 Orientations de dimensionnement des nouvelles unit s commerciales en ZACOM 27 tableau 8 Enveloppe fonci re maximale d di e aux activit s commerciales en ZACOM 28 carte 15 Identification des centralit s 32 carte 16 identification des ZACOM 33 www pays beaujolais com Syndicat mixte du Beaujolais 172 boulevard vermorel 69400 VILLEFRANCHE SUR SAONE Tel 04 74 65 74 40 Fax 04 74 65 39 91 contact pays beaujolais com wWww pays beauj
52. ment commercial mars 2013 P le 2 Amplepuis Thizy SOON i 2 25 Sa n m Kilom tres Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 P le 2 Cours la Ville ON LEN OR EE Sa n ue Kilom tres Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 P le 2 Saint Georges de Reneins P le 3 Saint Etienne les Oulli res Kilom tres Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 P le 3 Bois d Oingt L gny P le 3 Monsols Kilom tres Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 P le 3 Lamure Grandris P le 3 Beaujeu Gi Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 P le 3 Villi Morgon Fleurie ESS Aeng iles Kilom tres Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Illustrations Notes personnelles m sch ma 1 Dispositif ant rieur la loi LME 3 sch ma 2 Dispositif l gislatif actuel 3 carte 1 Localisation de l activit commerciale dans l interSCoT 5 carte 2 Grandes et moyennes surfaces commerciales de l interSCoT 5 carte 3 Organisation du territoire 8 carte 4 Population 8 carte 5 Les chiffres d affaires 9 carte 6 armature commerciale 9 carte 6 l environnement concurrentiel 10 carte 7 Les emprises des p les 10 carte 8 Les vo
53. n objectif de v g talisation dans les am nagements de voirie afin de d velopper le maillage vert au sein des espaces vocation conomique et commerciale nombre de sujets arbustifs ou d arbres apportant de l ombre Assurer la s paration des b timents par des r gles de coupures d urbanisme afin de laisser des espaces v g talis s parcourir la zone avec le moins d obstacles possibles traitement v g tal des limites LA bjectif de rejet d eaux pluviales dans les r seaux qui soit proche de z ro en limitant le d bit d vacuation autoris dans le r seau un enjeu particuli rement important pour les secteurs commerciaux p riph riques Fixer une part minimale de la surface am nag e qui satisfasse une infiltration partielle des eaux de pluie taux d imperm abilisation int gration d espaces plant s et d espaces d di s au stationnement Privil gier un syst me de r cup ration et de traitement des eaux de pluie in situ ex noue bassin d infiltration plant s recevant les eaux r siduelles des principaux axes et surfaces de stationnement de la zone ial Article 1 Article 2 Article 6 Article 7 Article 8 Article 9 Article 13 Article 14 Article 4 Article 9 Article 13 Article 14 Alors que la probl matique de la nature en ville est de plus en plus prise en compte les zones d activit s repr sentent l oppos de ce concept par leur extr me min ralisation Pourtant et notamment pour celles construite
54. ncadrement clair de l quipement et de l am nagement des parcelles Ces conditions d am nagement et d quipement ont trait notamment au sch ma d am nagement et d organisation du secteur aux r gles d implantation des constructions leur hauteur ou leur aspect ext rieur aux conditions de desserte et de r seau etc Taxe sur les friches commerciales contribution conomique mais plus pay e quand arr t de l activit Le propri taire est oblig de payer la taxe sur les friches commerciales Galerie marchande ensemble commercial compos enti rement ou partiellement de cellules commerciales dont la surface de vente est inf rieure 300 m Ensemble commercial Shon Surface de vente Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 P le 1 agglom ration caladoise un Ces images donnent un aper u de l enveloppe urbaine et de la centralit Elle sert au plan local d urbanisme PLU pr ciser les limites de diff rentes zones Le Syndicat mixte du Beaujolais tient disposition des communes et de leur bureau d tudes des extraits plus large chelle ODN i 24 428 Sa n m Fe ENET w m i Ki I O m et re S P le 1 agglom ration de Tarare Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 P le 2 Anse Lozanne Civrieux e a Le n Fe A Le rieur iy T arna mi 1 e eTa Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nage
55. nisme crit res conomiques permis de construire d am nagement Sch ma n 2 dispositif actuel issu de la LME code de commerce code de l urbanisme Zn ne ee SCoT i compatibilit l plan local d urbanisme PLU i conformit Autorisation autorisation d urbanisme permis de construire d am nagement Compte tenu des interd pendances fortes qui unissent les deux territoires de part et d autre de la Sa ne les SCoT Beaujolais et Val de Sa ne Dombes ont men une tude conjointe pour d finir une strat gie de d veloppement commercial partag e et coh rente entre les deux rives Cette tude aboutit in fine l adoption de deux Documents d Am nagement Commercial DAC distincts et labor s sur la base du dispositif introduit par la Loi de Modernisation de l Economie L M E pour des SCoT de type SRU Cette loi laisse la possibilit aux EPCI comp tents d int grer au sch ma de coh rence territoriale un Document d Am nagement Commercial DAC dans lequel figurent les zones d am nagement commercial ZACOMI Celles ci sont d finies en consid ration des exigences d am nagement du territoire de protection de l environnement ou de qualit de l urbanisme Ce document est int gr au SCoT par d lib ration de l EPCI en charge du SCoT et doit faire l objet d une enqu te publique dans l ann e suivant cette d lib ration sous peine de caducit article L752 1 II du Code de Commerc
56. nne et l effet des flux domicile travail vers des p les d emploi loign s du lieu de r sidence e Une consommation qui se fait massivement en faveur de la grande distribution de mani re similaire aux territoires comparables avec toutefois une meilleure repr sentation des petits commerces et formes alternatives vente directe circuits courts que sur des territoires quivalents en me DC Centre Sud Ouest Nord Centre Est Sud Est sors EU TT E E eme E o ef ef E A oumweeun CAEN CRUE 72 E EUX DER RS ES 12 LIT 2 CAEN EXC 72 Ed MEN EN EL UNE ME ARE 222 LEE TU TI D 5 M EL EN AE MERE HE 222 TLC ON 10 MEN EC VEN MERE MEN MEL C2 CT HU AN 22 MEN EC EX EE RENE RC ZE A DEMI EXC E 22 EN ECO MEN MEN MEN EL LT UN NS EEC EN A 050 MED DEN EE EE EN EC EI MEN EN 022 ME DES AE EE MR 2 AL 2 7 EEJ EEIE EC DEN EN EN ME 1 EES ESE 0250 EC DRE RENE EE VEN 2 TA SNS EU DEN RENE RENE RENE 122 2727707 NS os af fo A TE EA E E A E DES RENE MEME MEN EL CUT TT TT DCS EN EN EN EN 2 ENS EN MEN EE CET ES SN EN EN EN EU MEN MEN C2 LA ose 2 fe A 9 009 539 1 EN A NE 46 Er C En Agglo Macon V D Lyon EX EN EN ME ME EE DEC RENE ME EI QUE ME VE VE EN EA ECC MEN MEN CL CL E EAEE EE a E AE 8 267 589 10 16 160 Ago Macon V D atillon s Ch St Andre de Corcy Porte de 69 884 512 as e T 34 Lyon Villars les Dombes EAER ENEI E aa 2 je CE VE VEN DS BE EN ECS 3 711 739 6 12
57. olais Ya uso 1 l x Quels quilibres et compl mentarit s entre p les Quels quilibres entre les 2 p les urbains principaux Quel positionnement d partemental et interd partemental Quelle vocation du p le au sein du SCOT z 5 Oing ne pis A i ZN Quels sites de d veloppement commercial Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 PARTIE 2 Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 CADRE DE LA STRATEGIE COMMERCIALE DEFINIE DANS LE DAC Une strat gie d clin e plusieurs chelles 2 1 La strat gie commerciale du SCoT se d cline plusieurs chelles territoriales e L chelle Inter SCoT Les DAC Beaujolais et Val de Sa ne Dombes s inscrivent dans un cadre concert l Inter SCoT qui a d fini des objectifs partag s en mati re d am nagement commercial Il s agit notamment de tenir compte des territoires voisins quant aux projets vocation m tropolitaine dont les impacts vont d passer le simple cadre du SCoT e l chelle des SCoT gt Cf Partie 3 1 du DAC Le commerce futur doit mieux r pondre aux besoins des consommateurs et aux exigences de d veloppement durable Il s agit de favoriser une armature commerciale hi rarchis e et quilibr e en privil giant les compl mentarit s au sein et entre les bassins de vie Un des enjeux est de structurer une desserte optimale pour le rapprochement de
58. olais com
59. olarit s commerciales mais aussi par leur accessibilit bimodale la recherche de solutions logistiques Enfin dans un contexte de mobilit croissante des individus les gares et leurs abords constituent autant de lieux strat giques privil gier pour l implantation de commerces et de services de proximit Les orientations l chelle de l op ration Au niveau du site d implantation de l activit commerciale la recherche de qualit d urbanit et de performance environnementale s exprime sur plusieurs registres et rel ve d initiatives crois es autant publiques que priv es des sites commerciaux mieux desservis en transports modes doux notamment des op rations mixtes con ues en lien avec les autres usages de la ville des formes urbaines plus denses et plus compactes mieux ins r es dans le paysage et l environnement Voil les principales orientations qui devraient tre mises en uvre Privil gier les modes de d placement les moins polluants et les dessertes multimodales des sites L op ration commerciale doit tre bien desservie et offrir une capacit de choix modal aux usagers En effet si la voiture reste indispensable dans certaines pratiques d achat il convient de trouver un quilibre entre les diff rents modes de d placements en proposant une offre alternative la voiture modes doux et transports collectifs A ce titre une desserte multimodale efficace accessibilit cadencement du p
60. on commerciale la r alisation d une continuit mode doux s curis e vers les itin raires cyclables existants ou en projet permettant de relier la centralit la plus proche Cr er des emplacements r serv s pour accueillir court moyen et long terme des transports publics ou des espaces d di s aux acc s en modes actifs Assurer dans le sch ma de desserte globale des espaces commerciaux l accessibilit aux commerces depuis le r seau de transport en commun le plus proche Proposer des nombres de places de stationnement plus r duits de l ordre de 15 pour tout espace de vente desservi par un TC situ moins de 400 m quitte reporter si possible cet espace conomis en faveur n parc relais r seau TC Stationnement Hi rarchiser les besoins en stationnement en fonction d une surface Article 12 Le stationnement est une cons quence de comportements de m de vente et de l offre de stationnement existant alentour dans un d placements mais aussi un levier permettant d agir sur ces rayon de 200 m souvent une valeur de 1 place pour 75m de SHON comportements Limiter le stationnement permet de souligner la est retenue mais attention aucun int r t plaquer cette valeur sans praticit des TC et l int r t de se d placer sans son v hicule Il s agit consid rer l offre alentour galement de g rer la probl matique des lieux de consommation Fixer une proportion minimale de stationnements int grer au b
61. ort visuel concerne aussi bien l int rieur du b timent que l ext rieur du b timent Afin d obtenir des conditions de confort visuel dans l environnement int rieur des b timents commerciaux il convient de favoriser un clairage naturel optimal compl t par un clairage artificiel satisfaisant Il s agit de concevoir des espaces de vente avec acc s la lumi re du jour verri res patios puits de lumi re etc Quant au confort visuel ext rieur du b timent il passe par la qualit des mat riaux et de la conception architecturale Il est possible de cr er un cadre de vie ext rieur agr able pour les usagers des b timents et de la parcelle en jouant sur ambiance climatique ambiance acoustique l ambiance visuelle l clairage ext rieur l accessibilit le bien tre et la convivialit Limiter les impacts du b timent sur le voisinage Les implantations commerciales et de toute activit conomique en g n rale peuvent causer des nuisances visuelles sonores et sanitaires aux riverains S agissant des impacts visuels l op ration doit s efforcer de les r duire en cr ant autant que possible des vues agr ables espaces paysagers plant s traitement de la 5 me fa ade Par ailleurs les affichages enseignes publicitaires et clairages divers doivent tre contenus en limitant par exemple les niveaux d clairement et les zones clair es au strict n cessaire en termes de confort et s cu
62. ospective a identifi un besoin de surfaces commerciales en ZACOM correspondant une enveloppe fonci re maximale d une trentaine d hectares Le DAC localise les ZACOM et en pr cise l enveloppe fonci re maximale horizon 2020 Les communes en lien avec les EPCI comp tents d limiteront plus pr cis ment ces ZACOM dans les PLU Les ZACOM n ont pas un caract re monofonctionnel donc peuvent accueillir des services ou des quipement s 2 pour les activit s r pondant des achats occasionnels lourds exceptionnels et m tropolitains d autoriser des implantations en zones d am nagement commercial ZACOM Ce type d achats g n re plus de contraintes impact foncier acc s majoritairement motoris s et est g n ralement moins propice des localisations en milieu urbain dense e Articuler am nagement commercial et d veloppement urbain e En dehors des centralit s et des ZACOM il convient d viter le d veloppement d unit s commerciales gt 300m sauf dans le cas e d op rations de renouvellement urbain ou d extensions urbaines denses dans des secteurs identifi s par le PLU Dans ces secteurs l implantation d une petite ou d une moyenne surface alimentaire est admise en r ponse aux besoins des quartiers environnants et dans le cadre d un projet global d am nagement mixte Le dimensionnement des stationnements et des acc s seront adapt s cette vocation e de mutations de friches au sein de l envelop
63. par un b ti dense et pr sentant une diversit des fonctions urbaines P riph rie ou site isol Secteur situ en limite externe de l enveloppe urbaine villageoise ou en dehors de celle ci sans continuit b tie Emprise fonci re Surface de terrain occup e par une activit commerciale comprenant les surfaces b ties les surfaces de stockage ext rieures les espaces de stationnement les voies d acc s et les espaces paysagers SHON Surface Hors uvre Nette Addition des surfaces des diff rents niveaux d un b timent l exception des combles et sous sols non am nageables toitures terrasses balcons surfaces non closes en rez de chauss e garages locaux affect s des activit s agricoles Surface de vente en abr g S V ensemble des surfaces d un point de vente accessible au public La surface de vente ne comprend pas les espaces de stockage les bureaux les locaux techniques et les espaces r serv s au personnel sanitaires salles de repos Unit commerciale Espace b ti d di une activit commerciale de d tail surface de vente espace de stockage bureaux Ensemble commercial Groupement de plusieurs unit s commerciales Sont regard s comme faisant partie d un m me ensemble commercial qu ils soient ou non situ s dans des b timents distincts et qu une m me personne en soit ou non le propri taire ou l exploitant les magasins qui sont r unis sur un m m
64. pe urbaine hors zones d activit s structur es hameaux et sites isol s e Les projets commerciaux isol s guid s par des logiques de captage de flux routiers et situ s l cart des enveloppes urbaines et villageoises sont exclure e le d veloppement d unit s commerciales en gares est interdit lorsque celles ci sont situ es en dehors des centralit s urbaines et villageoises e Identifier clairement la vocation commerciale ou conomique des zones d activit s les implantations d activit s commerciales en zones d activit s artisanales industrielles et tertiaires sont exclues sauf dans les cas suivants e au profit d activit s d accompagnement de surfaces d di es des activit s de production exemple showrooms e au profit d activit s r pondant aux besoins des actifs d un espace d activit s exemple activit s de restauration services aux entreprises e pour la localisation relocalisation de certaines activit s en occasionnel lourd ex mat riaux et b timent dans des zones artisanales et industrielles hors Z A tertiaires Cas particuliers e Pour assurer la p rennit des activit s commerciales existantes l approbation du DAC les unit s commerciales situ es en dehors des lieux pr f rentiels d implantation du commerce peuvent faire l objet d une ou plusieurs extensions Leur cumul ne peut tre sup rieur celui d fini dans le tableau ci dessous en pied de page e Dans la m me logique
65. r du commerce sur l animation urbaine villageoise Comment int grer les quipements commerciaux dans leur environnement paysager et urbain e quelle approche durable du commerce quelle approche rationnelle du foncier pour limiter la consommation d espace Comment articuler les implantations commerciales avec les diff rents modes de desserte Comment am liorer la performance nerg tique et environnementale des projets commerciaux R PONDRE A DES _ ENJEUX _ COMMUNS _ET _ TRANSVERSAUX Les d fis relever Forts de ces r flexions et des constats du diagnostic les SCoT ont identifi des d fis communs l chelle des deux territoires Beaujolais et Val de Sa ne Dombes e Rapprocher les quipements commerciaux des lieux d habitat pour les besoins courants structurer des bassins de vie locaux mailler davantage le territoire e Favoriser un r quilibrage entre les polarit s commerciales de m me niveau et entre les bassins de vie d velopper et ou diversifier les polarit s e R pondre davantage aux besoins croissants et ou insatisfaits des m nages locaux adapter et diversifier l offre commerciale sur les secteurs en d veloppement ou en d ficit commercial e Rayonner davantage sur les territoires limitrophes et se repositionner vis vis des agglom rations ext rieures Lyon Roanne Macon permettre l accueil d quipements commerciaux forte notori t sans d s quilibrer l organisation commer
66. rait d un travail pour les SCoT de l aire m tropolitaine lyonnaise r alis par l agence d urbanisme et de d veloppement de l agglom ration M Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Le principe d adaptation aux singularit s territoriales et la diversit des projets commerciaux va de soi pour autant que chacun reste fid le ces grandes lignes Ce chapitre identifie les points sur lesquels acteurs priv s et acteurs publics chacun dans leurs domaines de responsabilit doivent avancer de concert pour viser un am nagement commercial plus durable et de meilleure qualit Elle s adresse particuli rement aux entrepreneurs qui d veloppent une vision long terme et un ancrage local Il ne cr e en aucun cas une norme suppl mentaire dans un domaine o il en existe d j beaucoup et o elles sont minemment instables En termes de politiques publiques ce chapitre prend en compte e les principes g n raux d finis par la loi SRU et consolid s par les lois Grenelle sur lesquels les SCoT sont obligatoirement align s ma trise de l talement urbain mixit urbaine renforcement du lien entre urbanisation et desserte en transports collectifs afin de limiter les flux automobiles limitation de la consommation fonci re et de l artificialisation des sols lutte contre le changement climatique et pour la pr servation des ressources naturelles non renouvelables respect de la biodiversit e les p
67. rciaux nonc s dans la partie 6 1 Prescriptions pour les zones d am nagement commercial Le DAC et les PLU poursuivent l objectif d une insertion harmonieuse des zones commerciales dans leur environnement urbain naturel et paysager Pour r pondre ces objectifs qualitatifs l extension des enveloppes fonci res d di es au commerces ZACOM ou la cr ation de nouvelles ZACOM sera soumise l laboration pr alable d un projet global d am nagement ou de requalification l chelle de la ZACOM ou op ration d am nagement commercial d ensemble int grant notamment des principes de v g talisation des parkings de maintien de coupures vertes de cheminements pi tonniers internes entre secteurs marchands etc 2 Recommandations pour les centralit s Pour renforcer l attractivit des centralit s il convient de veiller la qualit et la morphologie des fa ades commerciales une vigilance particuli re doit tre apport e en mati re d enseignes de rev tements de devantures et peut impliquer la mise en uvre de dispositifs incitatifs ou r glementaires chartes d am nagement aides financi res la modernisation r glements de PLU ou de ZAC Les documents d urbanisme locaux pourront cet effet utiliser les possibilit s qui leur sont offertes pour e a qualit architecturale du b ti plus values apport es par le traitement des fa ades e a consommation d espace en particulier en mutualisant le
68. re coh rente avec armature x urbaine E e D velopper une offre commerciale de proximit et favoriser l attractivit des z Eeo a centres urbains et villageois Rechercher la qualit des projets des formes urbaines attractives pour les usagers mieux ins r es dans leur environnement urbain et plus durables une charte d am nagement des p les commerciaux partag e par les SCoT est en cours de d finition i 3 TEE metal Li QU Ed l ts a mnp ne jjam i Ea E 5 qme r pN i T lies dha boai Trp E Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 PARTIE 1 Syndicat mixte du Beaujolais Document d am nagement commercial mars 2013 Une organisation commerciale qui d coule directement de l organisation et des caract ristiques territoriales e Une concentration de la population et des emplois sur le long de l autoroute A6 sur le Val de Sa ne et la basse vall e d Azergues ainsi que sur les bassins industriels de l ouest du territoire bassin de Tarare bassin d Amplepuis Thizy Cours la Ville e Mais un territoire majoritairement rural avec seulement 20 communes de plus de 2000 habitants et donc des tailles critiques insuffisantes pour nombre d entre elles pour envisager des fonctions commerciales diversifi es e Un territoire structur par plusieurs polarit s de taille et de fonctions diff rentes hi rarchis es dans le SCoT p
69. re sur le secteur ouest les taux d emprise laissent appara tre des possibilit s de confortement des polarit s pour augmenter la r tention non alimentaire sur le secteur sud peu d enjeux sur le non alimentaire car proximit de p les d envergure de l agglo lyonnaise et de Villefranche temps de parcours r duits notamment sur Villefranche mode de lecture Ex pour le centre la d pense alimentaire est 165 millions dont 90 reste dans le centre attraction interne et 10 vers l ext rieur vasion ulture loisirs limentaire qt Personne qt Maison ulture loisirs Alimentaire qt Personne qt Maison CE 3137U 9 ulture loisirs D gt T limentaire No qt Personne qt Maison 153 PNS N ulture loisirs e 7 e e e e e Tableau 2 Synth se des niveaux de fonctions commerciales Une hi rarchie des polarit s du SCoT Beaujolais a t d finie partir de plusieurs Synth se des caract risques des niveaux de fonctions commerciales crit res afin de pouvoir synth tiser les constats effectu s en mati re de caract ristiques et de fonctionnement commercial Cette hi rarchie est bas e sur le poids conomique Population de la des polarit s commerciales la typologie des activit s pr sentes notion de diversit la Temps d acc s j AAR j zone de Fr quence d achats taille estim e des zones d influence et l organisation spatiale des p les commerciaux aandie moyen
70. re de proximit lt 300 m de surface de vente en centralit s urbaines et villageoises dans une i proximit proximit o de quartier commune logique de maillage du territoire D finitions pour l application des orientations de dimensionnement Unit commerciale le terme d signe l espace b ti d di une activit commerciale Ensemble commercial il est compos de plusieurs unit s commerciales Pour l application des plafonds c est la surface de chaque unit commerciale qui doit tre prise en consid ration Unit commerciale Nouvelle implantation commerciale Ce terme inclut la cr ation d un b timent destination commerciale le changement de destination EA Shon d un b timent non commercial vers une destination commerciale et les op rations de transfert extension d activit s commerciales MN SA zE Sace de i SS ds Ensemble commercial Nouveau d veloppement commercial Sont consid r s comme d veloppement commercial les nouvelles implantations commerciales mais aussi l extension de la surface de vente des activit s commerciales existantes SES vente 2 gt Dimensionner les projets de d veloppement commercial futurs Le DAC pr cise les caract ristiques et les conditions d accueil des activit s marchandes r pondant la fonction commerciale future de la polarit Il d finit donc pour chaque polarit les types d activit s commerciales les fr quences d achats pouvan
71. rincipes issus des r formes pass es et en cours de l urbanisme commercial recherche d un commerce diversifi plus proche du consommateur mieux int gr dans la ville dont il est l un des l ments cl s d animation moins g n rateur de d placements plus en prise avec des objectifs d am nagement du territoire Pour les acteurs priv s dont il faut rappeler ici qu ils forment un milieu tr s h t rog ne il importe surtout que ce chapitre travers des orientations qu il nonce e facilite les r ponses apporter aux attentes des consommateurs valorisation de fili res locales circuits courts respect de l environnement etc e tienne compte des imp ratifs de rentabilit des entreprises commerciales et de leur souci de r duire les co ts e conserve une relative souplesse adaptative dans ses principes comme dans sa mise en uvre de mani re ne pas entraver la libert d tablissement Son caract re non prescriptif ne lui enl ve pas une r elle valeur juridique qu un juge peut parfaitement appr cier Les orientations Elles se d clinent selon un continuum d objectifs allant des bassins de vie la parcelle savoir l chelle du territoire l chelle de l op ration ou du site l chelle du b timent commercial Les orientations l chelle du territoire Le temps de la croissance exponentielle des surfaces commerciales para t aujourd hui r volu dans un march qui semble arriver maturit
72. rit en particulier la nuit S agissant des nuisances acoustiques d origines vari es bruits ext rieurs entr es sorties des usagers voiries d acc s zones de stationnements zones de livraisons et de d chets etc bruits d quipements quipements du b timent localisation des locaux techniques prises et rejets d air etc bruits des espaces int rieurs une attention particuli re devra tre apport e la localisation des espaces bruyants en particulier les espaces de livraisons de fa on ne pas g ner les riverains Pour ce qui concerne les nuisances sanitaires des dispositions visant les limiter doivent tre envisag es e en plantant des esp ces non allerg nes et non toxiques e en positionnant hors des vents dominants les zones de d chets et de livraison ainsi que les rejets d air du b timent e en veillant au positionnement des acc s v hicules et notamment des zones d attente en entr e et sortie des stationnements ou des zones de livraisons LES D CHETS Le secteur du commerce est soumis la r glementation sur les d chets d activit s Pour chaque type de d chet l op rateur commercial doit choisir une fili re d limination appropri e d chets dangereux DD d chets d emballages dont la production est sup rieure 1 100 litres semaine ou qui ne sont pas collect s par la collectivit La r glementation impose la valorisation syst matique par r emploi recyclage o
73. s consommations et des services la population dans chaque bassin de vie e l chelle de la polarit Cf Partie 3 2 du DAC L enjeu consiste favoriser l accroche la ville des projets commerciaux et maintenir les fonctions centrales des c urs de ville et de bourgs dont le commerce est une composante essentielle Le Document d Am nagement Commercial d finit les localisations pr f rentielles d implantation des activit s commerciales et leur lien avec les autres fonctions urbaines e l chelle du p le commercial gt Cf Partie 3 3 du DAC La qualit la durabilit et l int gration des quipements commerciaux dans leur environnement doivent tre recherch es en particulier pour les quipements commerciaux p riph riques Le DAC d finit les conditions d implantation des projets commerciaux respectueuses du d veloppement durable int gration paysag re et urbaine consommation fonci re gestion de l eau performance nerg tique des b timents Une strat gie tenant compte des orientations du SCoT approuv Celui ci favorise d j e l chelle des ScoT une armature commerciale multipolaire hi rarchis e et coh rente avec l armature urbaine pour rapprocher l offre commerciale des p les r sidentiels d emplois et d quipements et limiter les d placements e chelle de la polarit l implantation de projets commerciaux au plus proche des centralit s ou a minima en continu
74. s en p riph rie elles occupent des espaces qui d faut d avoir conserv une forme de biodiversit endog ne constitue des transitions importantes dans le fonctionnement cologique du territoire ou m me de la ville Les zones commerciales sont des formes d urbanisme particuli res qui elles aussi peuvent et doivent s adapter aux objectifs en mati re de biodiversit et de trame verte et bleue Les eaux r siduelles en provenance des zones commerciales sont en quantit importante et souvent de mauvaise qualit tant les surfaces de circulation et de stationnement sont concentr es Consid r es comme des surfaces d acc l ration de l vacuation elles contribuent la saturation des r seaux d vacuation plus que d autres types d am nagements Energie bioclimatisme Nuisances sanitaires Imposer une orientation et une hauteur des b timents en fonction du parcours quotidien du soleil afin de b n ficier d apports passifs de lumi re et de chaleur et en prenant galement en compte la direction des vents dominants Etat Initial de l Environnement du PLU comme base d un syst me de ventilation naturel Favoriser la connexion aux r seaux nerg tiques existants ex r seau de chauffage urbain ou la cr ation r seau de chaleur unique pour une zone A travers des exigences architecturales imposer une isolation des b timents par l ext rieur Limiter voire interdire les enseignes lumineuses et reporter
75. s est un SCoT SRU et non un SCoT Grenelle ce qui autorise cette facult Le commerce dans l aire m tropolitaine lyonnaise orientations partag es par Carte n 1 Localisation de l activit commerciale dans l Inter SCoT l InterSCoT dr Bus L approche conjointe men e par les SCoT Beaujolais et Val de Sa ne Dombes s inscrit plus largement dans la continuit du travail engag au sein de l Inter SCorT La 8 rencontre des pr sidents d di e au commerce a t l occasion de rappeler la n cessit et les fondements d une approche collective partag e pour que les Scot contribuent un urbanisme commercial de qualit e Am liorer la connaissance et mutualiser l observation des dynamiques commerciales m tropolitaines en lien avec l ensemble des organismes intervenant dans la collecte et le traitement des donn es sur le commerce CCI DGCCRF pr fectures agences d urbanisme e Partager l information et favoriser un dialogue constructif entre SCoT pour mieux r guler les zones d interface les plus expos es aux implantations commerciales anarchiques anticiper les impacts d implantations majeures villages de marque retail park assurer une veille l gislative et r glementaire favoriser les N changes de bonnes pratiques i e Mieux int grer le commerce dans les politiques territoriales en s accordant sur des principes communs e Favoriser une armature commerciale multipolai
76. s flux de transit la qualit des paysages pr existants et leur mise en valeur actuelle Favoriser la coexistence des espaces vocation commerciale avec les autres activit s pr sentes proximit artisanat par une continuit des pr conisations en mati re d insertion paysag re D finir des orientations d am nagement sp cifiques dans les zones vocation commerciale des PLU par exemple la mise en valeur des lisi res et des abords des espaces commerciaux par l am nagement d espaces de transition favorables un traitement paysager Ma triser l importance des enseignes et des vitrines dans les fa ades sur rue En fonction de l implantation de la zone commerciale secteur urbain p riph rique fixer des objectifs d harmonisation ou de diversit architecturale par rapport l exi Article 1 Article 2 Article 5 Article 6 Article 7 Article 8 Article 9 Article 10 Article 13 Article 14 Article 1 Article 2 Article 6 Article 10 Article 11 Article 13 La ma trise de l occupation des sols par des activit s conomiques est la fois qualitative et quantitative D un point qualitatif privil gier un positionnement des espaces commerciaux et tertiaires adapt aux fonctions et la zone de chalandise de chaque zone en privil giant la sp cialisation qui permet d attirer des enseignes qui apportent un plus en termes de qualit et de diversit de l offre et donc en vitant de multiplier des of
77. sitifs de stationnement pour cycles e a diversit des modes d acc s aux p les commerciaux acc s a minima en modes doux et automobiles pour les polarit s locales relais et secondaires acc s modes doux automobiles et transports collectifs r guliers pour les p les interm diaires majeurs et m tropolitains 3 Recommandations pour les commerces implanter dans l enveloppe urbaine Elles sont les m mes que celles relatives aux centralit Qualit et int gration des espaces commerciaux 1 Recommandations applicables l ensemble des projets commerciaux De mani re g n rale Il est recommand aux communes de valoriser leur identit commerciale notamment les zones ayant une fonction structurante micro polarit conomique et commerciale l chelle d un village zone p riph rique fort rayonnement etc Il est recommand aux communes d laborer leur r glement local de publicit de fa on d finir au pr alable des modalit s d affichage qui ne d naturent pas le patrimoine b ti ou naturel Ce r glement int grera les r gles s appliquant notamment aux enseignes lumineuses Il est recommand aux communes de se coordonner pour proposer des r glements de publicit coh rents l chelle de l intercommunalit Enfin d une mani re g n rale les collectivit s et les porteurs de projet se reporteront aux recommandations concernant les crit res de qualit et d int gration des projets comme
78. t des territoires Il touche leur organisation et leur fonctionnement flux de d placements animation urbaine paysages et entr es de ville consommation d espace Cela en fait un des th mes majeurs pour les lus des SCoT qui doivent concilier des exigences parfois contradictoires diversit du commerce satisfaction des consommateurs quit des conditions de concurrence animation des centres bourgs pr servation des paysages et entr es de villes Le commerce est un enjeu majeur pour l am nagement du territoire Le contexte l gislatif une int gration du commerce dans le droit de l urbanisme Les volutions l gislatives r centes rigent d ailleurs les SCoT en documents pivots de la strat gie commerciale Longtemps r gul dans les commissions d partementales d quipement commercial CDEC sur des crit res de d cision essentiellement conomiques le commerce fait d sormais partie int grante des politiques d urbanisme et d am nagement du territoire Initi par la loi SRU affirm plus r cemment par les Lois de Modernisation de l Economie L M E et Grenelle 2 cette volution se traduit par la suppression conform ment aux exigences europ ennes des crit res conomiques et concurrentiels pour r guler des implantations commerciales d sormais au m me titre que les autres composantes urbaines le d veloppement commercial est appr hend au regard de crit res d am nagement du territoire
79. t tre implant es et leurs dimensionnements inf rieur ou sup rieur 300m de surface de vente r Favoriser l accroche la ville des projets commerciaux et le lien avec les autres fonctions urbaines Impact e par des exigences environnementales de plus en plus fortes et une volution des attentes des consommateurs demande de proximit de qualit de l offre marchande l offre commerciale doit s adapter pour redynamiser et animer les centralit s urbaines et villageoises limiter les d placements motoris s et ma triser la consommation fonci re favoriser une int gration harmonieuse des quipements commerciaux leur cadre urbain et paysager Les principes g n raux proximit de l offre marchande et mixit des fonctions urbaines Les nouvelles unit s commerciales et les relocalisations d unit s commerciales existantes sont d velopper en priorit dans les centralit s voire au sein des zones d am nagement commercial ZACOM identifi es au DAC Cf Partie 4 modalit s de mise en oeuvre Des localisations pr f rentielles adapter selon les fr quences d achat Le DAC admet des principes de localisation diff renci s selon les fr quences d achat les impacts qu elles g n rent variant sensiblement accessibilit et flux motoris s animation urbaine emprise fonci re besoins de stationnement 1 pour les achats courants ou r guliers et occasionnels l gers localiser
80. tivit s composant un m me ensemble commercial e pour l ensemble des polarit s de liaisons en modes doux cheminements pi tonniers s curis s itin raires cyclables depuis les secteurs d habitat limitrophes et ou les centralit s et dans la mesure du possible de transports collectifs urbains ou non urbains Les collectivit s comp tentes et porteurs de projet s assureront de la continuit de ces liaisons modes doux afin d assurer la s curit de tous les usagers 2 Recommandations pour les centralit s En centralit lieu privil gi du d veloppement commercial le DAC et les PLU assurent les conditions de maintien ou d accueil des activit s commerciales et de leur acc s e au travers des r gles d urbanisme exemples mise en place de lin aires commerce artisanat et service art L 123 1 5 7 bis du CU orientations d am nagement pr voyant des rez de chauss e commerciaux dans les futures op rations d am nagement absence de recul par rapport aux voies sur les axes marchands absence de r gles trop contraignantes en mati re de stationnement pour les locaux commerciaux e au travers de mesures favorisant e la lisibilit de l offre commerciale g n ralisation densification et homog n isation de la signal tique commerciale et du jalonnement des lin aires et des p les marchands e le stationnement proximit des activit s cr ation de parkings de proximit mise en place de dispo
81. tropolitaine NOfaf Habillement chaussures optique parfumerie bijouterie librairie papeterie CD DVD jeux jouets petite d coration petit lectrom nager gt 10 000 hab voire m tropolitaine gt 200 000 hab Petit bricolage jardinage gt 10 000 hab Mobilier gros lectrom nager gros bricolage mat riaux rev tements am nagement de la maison cuisines salles de bains concessionnaires automobiles gt 20 000 hab voire m tropolitaine gt 200 000 hab Carte 12 l armature commerciale actuelle Hierarchie des polarit s paient UD aeie FE di al ei di de el Aid rt b A at pippi a so PE PF re gN LEF Le diagnostic a mis en vidence un niveau d vasion lev hors du territoire y compris pour des achats courants notamment sur les secteurs centraux et au Nord du territoire Il met galement en vidence une croissance d mographique relativement forte sur le SCoT induisant encore davantage d enjeux en termes de rapprochement des consommations Le DAC sans remettre en cause le principe de libre concurrence vise un meilleur quilibre de l offre commerciale l chelle du Beaujolais et une desserte optimale des populations pour les diff rentes typologies de besoins dans une logique de rationalisation des d placements Il s agit notamment de Renforcer la r ponse aux besoins r guliers pour favoriser les logiques de proximit et limiter les d placements vers l ext
82. u incin ration avec r cup ration d nergie des d chets d emballages lorsque leur production exc de 1 100 litres semaine ou lorsque la collectivit ne prend pas en charge leur collecte d chets d quipements lectriques et lectroniques DEEE la r glementation stipule qu il incombe aux producteurs d organiser et de financer l enl vement et le traitement des d chets issus d quipements lectriques et lectroniques mis sur le march apr s le 13 ao t 2005 LE RLP Le R glement Local de Publicit RLP comme outil de r duction des nuisances visuelles li es aux publicit s et enseignes Afin d am liorer l int gration urbaine des commerces et r duire les nuisances visuelles li es aux enseignes les communes peuvent instaurer un R glement Local de Publicit La r glementation sp ciale de publicit permet aux communes de compl ter la r glementation nationale de la publicit par l institution d une ou plusieurs zones de publicit restreinte largie ou autoris e Cette r glementation est demand e par une d lib ration du Conseil municipal pr par e par un groupe de travail constitu par le pr fet et arr t e par le maire apr s avis de la commission d partementale des sites et du conseil municipal L instauration de ce RLP requiert des moyens pour instruire les dossiers rapidement et contr ler sur le terrain le respect de la r glementation PARTIE 6 Qualit urbaine et environnement
83. un clairage minimal sur les solutions d clairage public avec une limitation du nombre de lampadaires au lin aire de rue le r glement du PLU peut imposer aux constructions travaux installations et am nagements notamment dans les secteurs qu il ouvre l urbanisation de respecter des performances nerg tiques et sp cifiques pour toute zone cartons cagettes lorsque la concentration d enseignes est suffisamment importante de fa on faciliter la mise en place de fili res de collecte de d chets sp cifiques d finir en concertation avec les EPCI comp tents en la mati re Pr voir un syst me de collecte qui puisse favoriser un tri s lectif mutualis et une moindre nuisance engendr s par la collecte en elle m me Prendre en compte les espaces o la qualit de l air polluants atmosph riques Ilots de chaleur urbains concerne une masse de population importante et o toute extension est proscrire Ma triser le bruit engendr par une activit commerciale pour les riverains de la zone et de sa p riph rie et pour ceux vivant proximit des axes d acc s Article 4 Article 8 Article 10 Article 13 Article 1 Article 1 Article 2 Article 3 Article 6 Article 7 Les volumes des b timents r serv s une activit de vente sont souvent tr s importants Les besoins nerg tiques le sont donc en cons quence La mutualisation de moyens d alimentation poss de un fort potentiel lorsque les activ

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