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Les Cahiers de l`OGBTP

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1. Contrairement aux situations mensuelles le point de d part du d lai global de paiement du solde est la date de r ception du d compte g n ral et d finitif par le ma tre d ouvrage art 1 I du d cret du 21 f vrier 2002 Attention il ne s agit pas du projet de d compte final de l entreprise re u par le ma tre d ouvrage mais du d compte g n ral du ma tre d ouvrage accept par l entreprise et re u par le ma tre d ouvrage En cas de d saccord de l entreprise sur le montant du d compte g n ral r clamation motiv e et chiffr e le r glement se fait sur la base provisoire des sommes admises par le ma tre d ouvrage art 5 V du d cret Le ma tre d uvre doit accepter valider ou rectifier la demande de paiement de l entreprise projet de d compte mensuel ou projet de d compte final En aucun cas il ne peut exiger de l entreprise qu elle refasse sa situation ou son projet de d compte final art 13 11 et 13 34 du CCAG Travaux de 1976 art 1 3 1 9 et 13 3 4 du CCAG Travaux de 2009 Le ma tre d uvre notifie l entreprise l tat d acompte art 13 2 du CCAG Travaux de 1976 art 13 2 2 du CCAG Travaux de 2009 Le proc s verbal de lev e des r serves n est pas une pi ce que le comptable public peut exiger pour le paiement du solde Int r ts moratoires il appartient au comptable de signaler l ordonnateur ma tre d ouvrage le retard de paiement La chambre r gionale des com
2. 1 L attestation de la compagnie d assurances sera jointe au pr sent march LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Qi Forfaitaire Li Au m tr L Ferme LU Ferme et actualisable D Actualisable et r visable LH R visable Montant hors taxes TVA J SOL anne TVA LORS osusi Montant toutes taxes comprises Dans le cas de modifications des charges impos es par voie l gislative ou r glementaire il en sera tenu compte sur le co t d ex cution de l ouvrage 4 Taux normal de TVA 5 Taux r duit de TVA si toutes les conditions sont remplies avec attestation sign e par le ma tre d ouvrage Montant du 1 acompte 2 dun TTC r gl le jour de la signature du pr sent march D lai de paiement des acomptes mensuels et du solde nasses jours compter de la date de la facture ds compter de la mise en demeure 4 I n y aura pas de retenue de garantie Li Le taux de la retenue de garantie est fix seese du montant des travaux Li consign e entre les mains de nom du consignataire ou LH remplac e par une caution La caution est lib r e ou les sommes consign es sont vers es l entrepreneur lors de la r ception sans r serve ou la lev e des r serves lorsque la r ception est prononc e avec r serves 6 Selon la loi du 16 juillet 1971 d ordre public le taux de la retenue de garantie ne peut tre sup rieur 5 du montant du march Z Pour les travaux d un montan
3. GE GE Les Cahiers de l OGBTP 3 2013 OFFICE GENERAL DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS SI GE SOCIAL ET ADMINISTRATIF 6 14 rue La P rouse 75784 Paris Cedex 16 T l 0145 53 6136 SIRET 784 285 041000 25 Site Internet ogbtp com E mail ogbtpawanadoo fr Assistante administrative Sylvie Pelgnaux Responsable de publication Daniel semetet Responsable du comit technique Jean Pierre Anquetil Impression et mise en page service ditions et Multim dias de la FFB Avertissement Publication annuelle Les Cahiers de l OGETP recueillent et diffusent tols les documents les plus pertinent qui manent des travaux des offices et des a r unions th me rencontres qui rassemblent plusieurs fois dans l ann e dez responsables d office d partementaux autour d un th me choisi Les Cahiers de l OGETF comportent plusieurs rubriques les publications de l OGBTP synth se des r unions th me r dig es et arbitr es par le comit techhique kstravaux des offices qui ont particuli rement retenu hotte int r t et qui soht diffus s sahs relecture hi iiprimadtur du comit techhique toutes les ihfotmatiohs et travallx eh couts que l OGETF veut potter votre cohhaissahce DITO Avec le h 3 de zes Cahiers l OGETF poursuit la restitution des travaux et r flexions que ses architectes et ses ehttebtehellts m henht localement et sur le plah national Les documents lab
4. OGBTP N 3 Ornce GeneraL o BanmenT eT DES Travai Puaucs CD ROM ARCHITECTES ENTREPRENEURS MODE D EMPLOI DITION 2013 Ce CD Rom rassemble sous forme de rubriques pratiques toutes les donn es administratives financi res et r glementaires qu il faut ma triser dans les march s priv s comme dans les march s publics depuis la mise au point du projet jusqu la fin du chantier Il a t mis jour pour tenir compte des derni res modifications intervenues dans les r glementations fran aises et europ ennes et notamment les nouveaux seuils r f renc s dans les march s publics la r glementation concernant les contrats globaux de performance que sont les REM et les CREM la refonte de la proc dure de conception r alisation les nouvelles donn es concernant les qualifications et certifications des entreprises la refonte du chapitre assurance ainsi que de la jurisprudence la plus r cente Les architectes particuli rement les plus jeunes et les entrepreneurs trouveront dans ce guide tous les l ments n cessaires la pratique de leur m tier et une meilleure capacit communiquer L dition 2013 est disponible aupr s de l OGBTP Vous trouverez au verso un bon de commande d D Va L d amp N S a X Br gai P 7 MOG byright 2013 union des F LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 so Ce CD Rom est commercialis par l OGBTP au prix unitaire de 22 TTC pour des c
5. Pour le paiement du solde la norme NF P03 001 pr voit une proc dure pr cise pour l tablissement et l acceptation du m moire d finitif e l entreprise remet au ma tre d uvre dans un d lai de 60 jours dater de la r ception le m moire d finitif des sommes qu elle estime lui tre dues demande de solde e le ma tre d uvre examine le m moire d finitif et tablit le d compte d finitif des sommes dues e le ma tre d ouvrage notifie ce d compte d finitif l entreprise dans un d lai de 45 jours compter de la r ception du m moire d finitif par le ma tre d uvre L entreprise dispose d un d lai maximal de 30 jours pour pr senter par crit ses observations ventuelles auxquelles le ma tre d ouvrage devra r pondre galement dans un d lai de 30 jours e si le ma tre d ouvrage n a pas notifi son d compte l entreprise celle ci sera pay e sur la base de son m moire d finitif apr s mise en demeure rest e infructueuse pendant 15 jours Le d lai de paiement du solde est de 30 jours apr s l expiration du d lai donn au ma tre d ouvrage pour notifier le d compte d finitif l entreprise Du fait de la LME ces deux d lais 45 30 75 jours ne peuvent tre utilis s en totalit puisqu en tout tat de cause le ma tre d ouvrage doit payer l entreprise dans un d lai maximal de 60 jours compter de l mission de la facture La date d mission de la facture const
6. aux professionnels dans le cadre de litiges n s de l ex cution de ces march s C est pourquoi l OGBTP incite fortement ses membres ainsi que tous les acteurs de l acte de construire contracter avec ces mod les de march s simplifi s LES CAHIERS DE L OGETP N 3 s Ma tre d ouvrage consommateur Le pr sent mod le de march de travaux ne peut pas tre utilis lorsque les travaux concernent la construction d une maison individuelle qui entre dans le champ d application soit des articles L 231 1 L 231 14 du Code de la construction et de l habitation CCH soit des articles L 232 1 L 232 2 du m me code Il ne s applique pas non plus aux contrats relevant des dispositions des articles L 121 21 et suivants du Code de la consommation relatifs au d marchage domicile D ENE N EE O d livr e l sesser Les documents contractuels sont les suivants et pr valent l un sur l autre dans l ordre ci apr s 1 Le pr sent march 2 Le devis descriptif des travaux ex cuter 3 Les dessins plans et coupes d finissant l ouvrage 4 Le calendrier d ex cution et 5 Le cahier des clauses administratives g n rales NF PO3 001 dition d cembre 2000 Autres documents joints au pr sent March nn Pour les march s d un montant au moins gal 3000 TTC le ma tre d ouvrage particulier qui contracte pour son usage personnel celui de son conjoint partenaire li par un pac
7. de faire r f rence explicitement aux tapes traditionnelles pr vues entre autres par la loi MOP qui n est pas r dig e pour ce type de proc dure Il semble par contre important de rappeler les obligations de chacun Ilest recommande d attribuer l architecte la totalit de la prime allou e par le ma tre d ouvrage en cas de non r ussite au concours i DU o pour bien se situer en garantie de r sultat ce qui implique galement le ma tre d ouvrage de pr ciser la r mun ration de l architecte pour les modifications de projet en plus et en moins etc Il semble donc utile d indiquer dans cet article l imbrication et la compl mentarit des responsabilit s et des actes En ce qui concerne les honoraires il semble judicieux de s inspirer du guide l intention des ma tres d ouvrage publics j assur s par les trois partenaires Ma tre d ouvrage L assurance Recherche et mise en place temps du financement L assurance des contrats de conception r alisation m rite une attention particuli re En effet elle n entre pas Mise au point de l quilibre de gestion avant consultation automatiquement dans le cadre des assurances annuelles des architectes et entrepreneurs car les limites habituelles R daction du programme de leurs prestations et responsabilit s peuvent tre modifi es Possibilit d alternatives en cas d incoh rences internes au programme Recherche de solutions en cas de difficult s dans
8. pense n entrant pas dans le cadre des imputations au compte prorata pr vues par la norme annexes A et B d taill es par la Convention OGBTP et le pr sent guide ne peut s imputer au compte prorata La liste de l annexe A n tant pas exhaustive elle pourra donc tre personnalis e en fonction de chaque chantier en respectant les principes suivants E LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Les installations communes d hygi ne sanitaires Les installations communes d hygi ne sanitaires sont assur es par le gros uvre ou d faut par le lot d sign aux pi ces crites conform ment la r glementation compte tenu du planning des effectifs et de la dur e du chantier communiqu s par le ma tre d ouvrage A 1 1 10 Les installations de vie sp cifiques sont assur es par les lots concern s selon d cision des entreprises int ress es qui peuvent se grouper cet effet Les d penses de nettoyage des installations communes d hygi ne et base vie sont port es au compte prorata A 2 2 1 Il est pr conis que lorsque les installations communes hygi ne sanitaires sont assur es par le gros uvre ou d faut par le lot pr cis par les pi ces crites le planning des effectifs et la dur e du chantier doivent tre fournis dans les pi ces du march afin de permettre un chiffrage Les voies de circulation La r alisation des voies de circulation dans l emprise et d acc s au chantier ne rel
9. 3 E d BaZ soi Entrepreneurs Ornce GeneraL o BanmenT eT DES Travai Puguics ARCHITECTES ENTREPRISES COMMENT R USSIR ENSEMBLE UN CONTRAT EN CONCEPTION R ALISATION propos de la conception r alisation La proc dure de conception r alisation existe depuis de nombreuses ann es Ses conditions d utilisation sont donn es par l article 18 1 de la loi MOP 12 juillet 1985 Pour les personnes publiques soumises au Code des march s publics la proc dure est d finie pr cis ment par les articles 37 et 69 de ce code et pour les personnes soumises aux dispositions de ordonnance 2005 649 du 6 juin 2005 la proc dure est d finie par l article 41 I du d cret 2005 1742 du 30 d cembre 2005 Tous ces textes doivent tre connus des utilisateurs ils sont r pertori s dans le CD Rom de l OGBTP Architectes entrepreneurs mode d emploi mais il est fortement souhaitable de respecter en outre quelques r gles l mentaires de comportement Un document a t travaill en 2004 sur ce sujet par EGF BTP en coop ration avec l UNSFA Il donne la marche suivre pour r diger le contrat qui lie les deux partenaires principaux l architecte et l entrepreneur Il formule certaines recommandations pour r diger successivement et de mani re r fl chie tous les articles de ce contrat Nous conseillons fortement au lecteur de s y reporter pour la r daction de ce document indispensable pour la r ussite de l op r
10. ception du chantier Pour toute imputation exceptionnelle d une d pense au compte prorata validation obligatoire par l ensemble des membres du comit de contr le et ou suivant le montant par toutes les entreprises lors d une r union de chantier NDLR Ce document de l office de Dr me Ard che aborde en grande partie le th me des d penses d int r t commun sur les chantiers pr sent dans les publications de l OGBTP Il ne s agit pas d un doublon mais de la contribution de cet office cette pineuse question avec le risque d y trouver des diff rences dans l approche ou les pratiques LES CAHIERS DE L OGETP N 3 BE GUIDE DE RECOMMANDATIONS SUR LA PRATIQUE DU COMPTE PRORATA Pr ambule Constat Le compte prorata est une n cessit de fonctionnement pour les chantiers o interviennent plusieurs entreprises L organisation la gestion et le r glement du compte prorata qui sont souvent sans convention sont source de nombreux litiges et peuvent perturber un chantier ainsi que l tablissement et le paiement des d comptes g n raux d finitifs En effet il est trop r guli rement constat par les r dacteurs de ce guide des d rives et exc s d imputation au compte prorata lorsque le march fait r f rence la norme une disparit entre les pi ces du march tendant leur contradiction une absence de r f rence la norme NF P03 001 de d cembre 2000 dans certains march
11. d termin inscrites au d bit du compte prorata l objet de comptes interentreprises distincts r mun r es directement par le ma tre d ouvrage L Office G n ral du B timent et des Travaux Publics s est beaucoup investi sur le sujet et a fortement contribu la r daction de la norme NF P03 001 CCAG march s priv s qui traite entre autres des d penses d int r t commun et qui reste la r f rence dans le domaine Constat g n ral Sur le sujet des d penses d int r t commun de chantier on constate trop souvent une absence de r f rence la norme NF P03 001 une disparit entre les pi ces du march tendant leur contradiction des exc s d imputation au compte prorata m me lorsque le march fait r f rence la norme l inexistence de comptes interentreprises remplac s par des accords non formalis s qui posent probl me LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 LE Elles sont g n ralement pr vues dans le cahier des charges et sont donc chiffr es par les entrepreneurs Dans le cas contraire elles doivent faire l objet de commandes sp cifiques ou d avenants aux march s des entreprises Il va sans dire que l harmonisation entre les pi ces crites du march est une obligation de l quipe ma tre d ouvrage architecte BET L architecte doit anticiper toutes les d penses d int r t g n ral pour en avertir le ma tre d ouvrage et mettre en place avec l
12. dire qu ils assument mal ou pas leur responsabilit m me lorsqu elle est engag e Ce peut tre un contrat pass directement par le ma tre d ouvrage ce peut tre une simple d mission Il est en g n ral d conseill de laisser faire bien que L architecte ou l entrepreneur ne peut pas tout faire par lui m me la complexification des r gles l obligation croissante de produire un r sultat global ce qui interdit de rester dans le domaine de la garantie de moyens etc obligent recourir un nombre croissant de sp cialistes pour compenser les points faibles Il est donc de plus en plus indispensable de faire faire Ce terme recouvre une grande diversit de pratiques qui vont du faire faire dans ses bureaux pour diriger soi m me le travail int rim prestataires domicile etc jusqu aux limites du laisser faire analogue au laisser aller La bonne sous traitance fait partie du faire faire la mauvaise du laisser faire Le faire faire est n cessaire lorsqu il manque une comp tence sp cifique sur un sujet technique pr cis Il s agit alors d une contribution technique au m tier de l architecte ou de l entrepreneur En LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Il est rappel que tout architecte peut demander son ma tre d ouvrage qu il lui confie des tudes compl mentaires dont il reste le prescripteur Quelques recommandations La pr sentation des m tiers
13. dition Daniel Semelet architecte Jeah Piette Anquetil ehtreprenellr et Sylvie Peighallx qui l a concr tis e Yves Genthon Pr sident de l OGETF DT Les publications de OGBTP Les d penses d int r t commun sur chantier La conception alisation L ing niens Les d lais de paiement office de Dr me Ard che Les interfaces loffice des Deux S vres Le compte prorata fofhce de Or me Ard che M Les travaux en cours Les missions tes informations de l OGETE Le site DGETP com mode d emploi March s types de travaux priv s maitre d ouvrage consommateur et maitre d ouvrage professionnel Le guide Architectes entrepreneurs mode dempioi dition 2014 La vie des offices Les d placements de l OGETP dans les d partements et r gions LES CAHIERS DE L OGETP H I OrrcE GE Architectes Entrepreneurs GeneraL o Bnmenr Er pes TRravaus Pueuics LES D PENSES D INT RET COMMUN SUR CHANTIER Rappel et d finitions Les d penses d int r t commun sont celles am nagements quipements installations branchements consommations abonnements etc qui ont pour effet d aider la bonne marche de l ensemble du chantier et qui ce titre int ressent plus qu un entrepreneur Le CCAP pr cise souvent ce n est pas une obligation qui a la charge de ces d penses et les r partit entre les divers intervenants Elles sont soit affect es un lot
14. du BTP de Dr me Ard che ainsi que la ma trise d uvre se sont r unies et ont labor un guide mis disposition gracieusement des entreprises ainsi qu aux diff rents ma tres d ouvrage Objectifs du guide de recommandations Faire un rappel la norme pour chaque point g n ralement litigieux tre un outil pratique pour les entreprises la ma trise d uvre et les ma tres d ouvrage simple et facile d acc s afin que le compte prorata soit bien g r et diminuer ainsi les impay s et les risques de contentieux qui en d coulent Les actions Il s agit surtout de l information des entreprises des ma tres d uvre et des ma tres d ouvrage Le guide sera donc diffus l ensemble des partenaires de l acte de construire et l ensemble du r seau b timent et travaux publics Recommandations sur la pratique du compte prorata D finition du compte prorata Lorsque plusieurs entrepreneurs ayant entre eux un lien juridique ou non concourent la r alisation d un m me ouvrage il est tenu compte des d penses d int r t commun et des produits ventuels du chantier dans les conditions num r es ci apr s Les d penses d int r t commun sont celles qui effectu es par un ou plusieurs entrepreneurs ont pour but d assurer la bonne marche de l ensemble du chantier Ne constituent en aucun cas des d penses d int r t commun les fournitures ou ouvrages destin s tre re us par le
15. ma tre d ouvrage et qui auraient t omis dans les documents du march Preconisations Fort de ce constat les r dacteurs de ce guide entrepreneurs du b timent et des travaux publics et ma trise d uvre formulent les pr conisations suivantes La r f rence aux annexes A B et C de la norme NF P03 001 doit tre syst matiquement faite dans les march s CCAP tant publics que priv s LES CAHIERS DE L OGETP N 3 3o Le ma tre d ouvrage en concertation avec la ma trise d uvre et le CSPS doit veiller l harmonisation des pi ces crites du march savoir le CCAP le PGC le devis descriptif Cahier des clauses techniques particuli res Toutes les entreprises participant la r alisation de l ouvrage doivent prendre connaissance et signer la convention relative l tablissement la gestion et le r glement du compte prorata L architecte et le coordonnateur SPS pourront tre sollicit s en cas de difficult s pour arbitrer le litige Article de r f rence 16 2 2 Ces recommandations ont vocation tre un support pratique pour la gestion du compte prorata notamment au regard de l imputation ou non des d penses la gestion du compte le r glement du compte Elles viennent donc en compl ment de la convention de l OGBTP et s inspirent des r flexions d ordre pratique d entrepreneurs du gros uvre du second uvre et de la ma trise d uvre dans le cadre de march
16. mode de fonctionnement interne du groupement La constitution de l quipe groupement architecte entrepreneur L architecte comme l entrepreneur doit choisir un partenaire entrepreneur et architecte qui sera son co quipier pendant toute la proc dure et avec lequel il devra travailler au quotidien pour aboutir dans un premier temps un projet retenu par le client dans un deuxi me temps une op ration livr e au client et r pondant ses attentes Le choix n est donc pas neutre Il doit augmenter les chances d tre retenu lorsqu on est en comp tition tre l origine d une quipe efficace pour tout le travail effectuer jusqu la livraison Il est utile que le demandeur e value en d tail les comp tences obligatoires pour r pondre aux attentes du client e recense lucidement celles qui lui manquent e recherche un partenaire susceptible de combler certains de ses manques ne LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Il est conseill de choisir un partenaire avec lequel on sait pouvoir vivre une entente fructueuse et dont on accepte les faiblesses par avance Le choix du partenaire sur les seules capacit s commerciales peut se r v ler tr s al atoire lorsqu il faut travailler deux dans la dur e Les enjeux partager Ce point est abord dans le document d EGF BTP On ne peut travailler deux si on n est pas d accord sur l objectif atteindre Cet objectif doit touj
17. o a E E article D 8254 2 du Code du travail une liste nominative pr cisant pour chaque salari sa date d embauche sa nationalit ainsi que le type et le num ro d ordre du titre valant autorisation de travail Cette liste devra imp rativement tre compl t e n EN EET EE A E AA EA E A AE AA AE Ne E si l entrepreneur d cide en cours d ex cution du chantier d employer sur celui ci du personnel tranger non pr vu l origine soumis autorisation de travail l entrepreneur d autre part 1 L attestation de la compagnie d assurance sera jointe au pr sent march ne LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 LE LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Qi Forfaitaire Li Au m tr LU Ferme LU Ferme et actualisable LD Actualisable et r visable LH R visable Montant hors taxes TVA We OOIE ae TVA WP E SOE PP Montant toutes taxes COomMprises ss ssesessssssssissssssisisirurussiniununuinininununninnnnnnnnnnnnnnnnn annn ana 2 Taux normal de TVA 3 Taux r duit de TVA si toutes les conditions sont remplies avec attestation sign e par le ma tre d ouvrage Montant du 1 acompte 2m nn TTC r gl la signature du march D lai de paiement des acomptes mensuels et du solde nasses En cas de retard de paiement une indemnit forfaitaire de recouvrement de 40 est due l entrepreneur Ce montant sera revu la hausse si les frais engag s sont sup rieurs I n y au
18. rault La r union de chantier office du Calvados 3 Les travaux en cours La m diation 4 Les services de l OGBTP La marque OBS CD Rom Architectes entrepreneurs mode d emploi dition 2010 2011 nouveau CCAG Cahiers n 2 2012 1 Les publications de l OGBTP Le m moire technique La r ception de travaux Les PPP 2 Les documents des offices Le DOE office des Deux S vres L organisation des r unions de chantier office du Pas de Calais Le CCTP office du Calvados Convention de bonnes pratiques pour l application du Code des march s publics office de l H rault 3 Les travaux en cours Les formations communes 4 Les services de l OGBTP Le site OGBTP com Le guide Architectes entrepreneurs mode d emploi dition 2012 La m diation LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 so
19. s ce qui rend al atoire la bonne et saine gestion du compte Cette norme a pour utilit d apporter des r ponses satisfaisantes aux probl matiques de gestion et de r glement du compte prorata Les ma tres d ouvrage ainsi que la ma trise d uvre et les entrepreneurs doivent porter une attention toute particuli re la norme dans le march afin de rendre les dispositions de cette derni re applicable pour le bon d roulement des op rations Pr sentation Qu est ce qu un compte prorata Un chantier de construction ou de r novation fait appel diff rents corps d tat choisis par le ma tre d ouvrage et que la ma trise d uvre se chargera de coordonner dans leurs actions Un chantier engendre des d penses d int r t commun Le compte prorata permet de r partir entre les diff rentes entreprises les d penses d int r t commun qui ne peuvent pr cis ment pas tre affect es une entreprise Ces d penses sont ensuite r parties entre les entreprises au prorata de leur participation aux travaux E LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Quand l id e de r aliser un rapprochement entre les entrepreneurs et la ma trise d uvre est elle n e C est pour en finir avec de nombreuses d rives qui empoisonnent la vie et la tr sorerie des entreprises et pour offrir aux ma tres d ouvrage des prestations de qualit tant sur le plan du savoir faire que sur celui de la saine gestion d un chantier que les entreprises
20. s organiser pour assurer la qualit architecturale Il doit en particulier pr ciser la libert de l architecte dans la conception sans que celle ci s exprime en opposition avec les imp ratifs techniques et budg taires de l entreprise La contractualisation de l quipe Il est imp ratif que l architecte et l entrepreneur r digent une convention de groupement sp cifique Le document d EGF BTP a pour objet de recenser les points voquer conjointement pour r diger ce contrat D s qu ils se sont choisis il est fortement recommand aux deux partenaires l architecte et l entrepreneur de r diger en pr alable au travail engager une convention qui organise le travail entre eux et pr cise les responsabilit s de chacun La r daction de ce document est l occasion d aborder les probl mes r currents de mettre en place les moyens pour les viter et d aboutir ainsi au meilleur r sultat pour le client et pour les deux partenaires LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Le mandataire du groupement L architecte et lentrepreneur sont associ s sous la forme d un groupement Il semble bien que le mandataire financier du groupement ne peut tre techniquement que l entrepreneur C est la raison pour laquelle les textes le d signent comme mandataire sachant que de nombreux documents insistent sur la non obligation pour le groupement de recourir un mandataire unique La forme recommander est celle du groupement conj
21. N 3 LES CAHIERS DE L OGETP N 3 LA Rencontre en Pays de la Loire Office du Cher 4 raa Office de a Haute Savoie T r z Rencontre en PACA E LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 k L T W Accueil Angers par le pr sident de loffice du Maine et Loire L Vi le 27 septembre 2012 pour une rencontre r gionale en Pays de la Loire Les offices existants des d partements de la Loire Atlantique et de la Sarthe avaient t convi s Les f d rations du b timent et les syndicats d architectes de la Mayenne et de la Vend e taient invit s pour envisager la cr ation ou le r veil d un office mais ce jour aucune d marche n a t concr tis e L office du Cher et son pr sident Sylvain Gauchery ont re u le 17 d cembre 2012 dans les locaux de la f d ration du b timent Bourges Paul Fran ois Luciani vice pr sident de l OGBTP et Karine Millet charg e de l animation des offices Une rencontre conviviale en pr sence de 5 entrepreneurs et de 2 architectes autour d un en cas berrichon Le th me de travail de l office est la d finition d une r alisation exemplaire un vaste sujet qui s effectuera sur plusieurs ann es Il a t voqu la possibilit de retenir un second th me trait en parall le court terme comme une charte de chantier propre Bon courage cet office Accueil par le pr sident de l ODBTP 74 M Desvall es le 31 janvier 2013 Annecy Une
22. PROFESSIONNEL visant acc l rer les d lais de paiement dans les march s de travaux Les d lais clients tendent se r duire mais ils restent toujours trop longs pour les entreprises de b timent qui prouvent de plus en plus de difficult s financer leur poste client S ajoute ce constat la r duction du cr dit fournisseur r sultant de la loi de modernisation de l conomie LME accroissant d autant les besoins en fonds de roulement des entreprises de b timent Dans un contexte financier de plus en plus tendu il est donc n cessaire d acc l rer les paiements dans les march s publics ou priv s de travaux et de lutter contre les d lais de paiement dits cach s Conscientes de ces enjeux les organisations professionnelles repr sentant les architectes les conomistes les ing nieristes et les entrepreneurs et artisans du b timent ont r dig le pr sent protocole Deux facteurs de progr s majeurs ont t identifi s dans ce cadre une meilleure connaissance des textes qui r gissent les march s permet de r duire en pratique les d lais de paiement l anticipation de certaines difficult s en cours d ex cution de march permet galement de lutter contre des d lais cach s mn LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 LES CAHIERS DE L OGBTP N 1 LA Ce protocole a valeur de guide de bonnes pratiques Il peut servir autant aux entreprises qu leurs clients Les organisations si
23. Pour les march s d un montant au moins gal 3000 TTC le ma tre d ouvrage doit s assurer lors de la conclusion du contrat et tous les six mois jusqu la fin du contrat que lentrepreneur nannnnnnnnnnNNANNNNANNNNNRNNNANNNNERRNNNANANANANESNNSNNSANANNANANNANANANNANSNNENANEANNANNANNAANNNRAANANNANANSNANAREANEANNANNSNNNNNAN s est acquitt de ses obligations au regard des articles L 8221 3 et L 8221 5 du Code du travail cet effet l entrepreneur doit remettre au ma tre d ouvrage lors de la conclusion du contrat C EETELEELELELECEEECELEEEEEETECEEECEEEECCEEE TETE EEE EEE les trois documents suivants 3 ee TEE E EEE E EEEE N E ET E ES Une attestation de fourniture des d clarations sociales et de paiement des cotisations et contributions de s curit sociale pr vue article L 243 15 du Code de la s curit r EaEEEEaEaEZEEZEZEZEZEZEZEZ E E eee Lo do nee RER D ER et nee DE a EE I ON IN I PO A PO I UE NI aA Une copie de sa carte d identification justifiant de inscription au r pertoire des m tiers E E a a E an den tan tiens alae ou E EE EA EA E E E E E A A T ETE une copie de l extrait de l inscription au registre du commerce et des soci t s extraits K ou K bis EEE ZE E E E un r c piss de d p t de d claration aupr s d un centre de formalit s des entreprises pour les personnes en cours d inscription En cas d emploi sur le chantier de salari s trangers soumis autorisation de travail EE OE ETE N AA T A E E EE E
24. ais par chaque entrepreneur Vol D gradation Les frais de remplacement ou de r fection du mat riel ou des ouvrages r alis s par l entreprise et aff rents son propre lot ex vol du c ble de la grue du ma on ne s imputent pas au compte prorata sauf identification de l entreprise l origine de la d gradation Les frais de remplacement en cas de vol ou de d gradation des quipements communs ex vol du c ble du comptage au coffret de chantier sont en revanche imput s au compte prorata La d gradation s entend ici comme un fait mat riellement imputable un tiers ext rieur et inconnu au march Jusqu la r ception les entreprises ont la garde de l ouvrage et en supportent les risques D s la r ception des travaux ces risques sont transf r s avec la garde au ma tre d ouvrage Articles de r f rence 13 1 et 13 2 Il appartient chaque lot intervenant sur un ouvrage tiers d en assurer la protection sauf dispositions contractuelles contraires et la r paration des d g ts occasionn s ex DTU tanch it Pr chauffage Chauffage Utilisation d un ass cheur La norme indique que ces frais ne doivent pas figurer au compte prorata Ils doivent donc tre pr vus au compte d un lot d termin Lorsque le chauffage du chantier est n cessaire pour la bonne ex cution des travaux les frais y aff rents feront l objet d un accord pr alable conclu sur proposition de la personne ch
25. arg e du pilotage et de la coordination sur le chantier entre le ma tre d ouvrage et les entrepreneurs des diff rents corps d tat int ress s Article de r f rence annexe A 3 2 LES CAHIERS DE L OGETP N 3 cu Gardiennage Les frais de gardiennage sont imput s au compte prorata d s lors que la mise en place du dispositif est d cid e en comit de contr le D s lors que le ma tre d ouvrage d cide unilat ralement de la mise en place d un gardiennage il en supportera seul les frais Article de r f rence annexe A 2 2 2 R glement du compte prorata Mode de calcul Il est utile de rappeler que la r partition est faite au prorata du montant des situations cumul es de chaque lot sauf accord particulier pour certaines d penses express ment num r es aux pi ces march s ou convention particuli re qui feraient l objet d une r gle de r partition particuli re Ex lot terrassement hors VRD Chaque d pense repose sur un justificatif Paiement Les r glements sont effectu s par ch que l ordre du gestionnaire du CP et non par retenue sur chaque situation de travaux R mun ration du gestionnaire Sauf accord contraire entre le gestionnaire et le comit de contr le la norme pr voit une r mun ration de 8 du montant toutes taxes comprises des d penses imput es au compte prorata hors la r mun ration du gestionnaire Article de r f rence annexe C 2 3 Divers Toute d
26. ation Il existe un autre document produit par la MIQCEP et intitul Conception r alisation recommandations pour un bon usage du processus Ce document de 104 pages pr sente de fa on tr s d taill e tout ce qui concerne les op rations en conception r alisation Il est r dig principalement l intention de la ma trise d ouvrage LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 o Le document qui suit reprend certaines de ces recommandations et formalise quelques r gles de bon sens respecter pour que le groupement architecte entrepreneur aboutisse dans les meilleures conditions pour les deux partenaires la satisfaction de son client Les obligations du ma tre d ouvrage En conception r alisation le travail en commun traditionnel de l architecte avec son ma tre d ouvrage pour concevoir le projet l assistance qu il lui doit et la direction de travaux n existent pas en tant que telles Le ma tre d ouvrage doit donc en tenir compte dans la proc dure qu il engage et dans les comp tences dont il s entoure pr ciser pour chaque consultation les relations qu il veut mettre en place avec le groupement pendant la conception et ce qu il en attend Il est attendu du ma tre d ouvrage qu il ne s engage pas la l g re dans cette proc dure et qu il mette en place une quipe projet comp tente pour diriger l op ration jusqu la livraison des ouvrages Il est galement attendu qu il n impose pas le
27. ation de chantier qui fait quoi en mati re de paiement entre le ma tre d ouvrage le ma tre d ouvrage d l gu l quipe de ma trise d uvre l entrepreneur le comptable La situation ou facture ou d compte mensuel ou tat de situation r dig e par l entreprise n est faire selon un mod le impos que si cela a t pr vu initialement au march Le ma tre d uvre doit accepter ou rectifier la situation sans exiger de l entreprise qu elle la refasse En march public apr s l ach vement des travaux l entreprise a int r t envoyer une derni re situation mensuelle avant d envoyer son projet de d compte final art 13 31 du CCAG Travaux de 1976 art 13 31 du CCAG Travaux de 2009 car le d lai de paiement des situations mensuelles est beaucoup plus court que le d lai de paiement du solde En march priv cette pr caution n est pas utile puisque le point de d part dans les deux cas est le m me L entreprise ne doit pas appeler sa derni re situation situation pour solde car le comptable public ne la paierait pas 100 mais situation n le cas ch ant correspondant la totalit du march lorsque les travaux sont int gralement ex cut s Apr s la r ception des travaux l entreprise envoie alors une demande de solde ventuellement gale 0 les ventuelles r serves mises sont couvertes par la retenue de garantie Paiement des int r ts d
28. atis e Il para t indispensable de red finir ce que doit tre un bon descriptif Le principe de subsidiarit doit intervenir dans l attribution des missions Conclusion Bien que l analyse de la coop ration collaboration avec l ing nierie fasse appara tre de nombreux dysfonctionnements beaucoup de progr s sont envisageables pour am liorer la qualit du service global rendu au ma tre d ouvrage LES CAHIERS DE L OGETP N 3 LE Il ne faut pas en rester l am lioration des rapports humains l habitude de travailler ensemble aux ma tres d ouvrage bons ou incomp tents aux r mun rations insuffisantes et tous autres motifs qui sont souvent des alibis pour ne pas progresser 1 DOCUMENT DE L OFFICE DE DR ME ARD CHE 1 02208 aii Orrice ou Bariment Et DES Travaux Puurics 0 DROME ARDECHE Il faut vouloir d finir la responsabilit de chacun chercher les voies d un v ritable partenariat am liorer le couple qualit prix des diverses interventions traiter la coh rence des documents formaliser le partenariat n cessaire entre BET et architectes ou et entrepreneurs organiser la garantie de r sultat mesurable etc D LAIS DE PAIEMENT C est l enjeu de nos changes et de notre travail venir Il pourra d boucher sur des propositions vers nos organisations de tutelle sur ce sujet qui les concerne sur des r flexions leur initiative dans les offices d partementaux PROTOCOLE INTER
29. de conception doit permettre de pr ciser qui fait quoi pour qui et quand Les m thodes de travail qui en r sultent doivent tre d taill es dans les contrats pass s avec les BET L UNSFA travaille sur un contrat type et l UNTEC dispose d outils adapt s L indispensable synth se entre tous les documents amont est de plus en plus difficile cause du nombre croissant d intervenants Il en r sulte de nombreuses non qualit s descriptif peu appropri trop de g n ralit s non respect des d lais doublons contradictions etc L architecte est le seul responsable de la synth se des documents avant appel d offres Le ma tre d ouvrage doit donc lui imposer de traiter ce point dans son m moire m thodologique et faire de la qualit de celle ci un crit re de choix Responsabilit et qualit Les contrats d taillent le travail faire garantie de moyens mais ils ne pr cisent pas toujours la responsabilit qui s y rattache garantie de r sultat De plus quand le BET agit en direct pour le ma tre d ouvrage sans lien contractuel il se d gage de sa responsabilit de prestataire de services et att nue sa solidarit avec l architecte na LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Le tableau de r partition des missions de conception doit pr ciser la nature des relations avec le ma tre d ouvrage pour d finir qui est responsable de quoi et qui est au service de qui Architectes et entrepreneurs parlent de manque de c
30. e retard les int r ts sont dus automatiquement aux entreprises d s lors que le d lai de paiement est d pass Il n est pas admissible de chercher y chapper au motif que les entreprises n osent pas les r clamer LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 a Dispositions applicables dans les march s publics un mod le de march public existe le CCAG Dispositions applicables dans les march s priv s Un mod le de march priv existe la norme NF P03 001 Le d lai de paiement est de 30 jours march s pass s depuis le 1 juillet 2010 C est un d lai global maximal de P 3 paiement incluant le d lai de v rification du ma tre d uvre de l ordonnateur ma tre d ouvrage et du comptable public Le d lai global de paiement court compter de la date de r ception par le ma tre d uvre de la demande de paiement mensuelle de l enteprise Pour les march s sans ma tre d uvre ce d lai court compter de la date de r ception de la demande de paiement facture ou situation par les services du ma tre d ouvrage Le ma tre d uvre met en place un syst me d enregistrement des demandes de paiement mensuelles par exemple au moyen d un tampon d faut et si l entreprise n a pas transmis sa situation par lettre recommand e avec avis de r ception ou ne l a pas remise contre r c piss c est la date de la demande de paiement augment e de deux jours qui fait foi art 1 du d cret du 21 f vrier 2002
31. en bin me architecte entrepreneur n cessite la ma trise globale de la ma trise d uvre pour l un de l ex cution pour l autre C est la condition pour respecter les engagements mutuels d une part et vis vis du ma tre d ouvrage d autre part Or et malgr cette vidence bon nombre d architectes et d entrepreneurs laissent d autres intervenants la ma trise d une part plus ou moins importante de leurs missions et parfois des responsabilit s qui les accompagnent Il est donc important e en g n ral de recenser les prestations et les responsabilit s qui constituent le c ur du m tier de l architecte et de l entrepreneur et de travailler sur la meilleure fa on de les organiser o pour chaque op ration de pr ciser les prestations et responsabilit s que l architecte et l entrepreneur doivent ma triser en direct pour pouvoir en rendre compte utilement LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 FI Architectes Entrepreneurs re General pu Banmenr er oes Travaux Pueuics LE SITE OGBTP COM MODE D EMPLOI Par C dric Lecomte entrepreneur Regroup s par th mes ex Architectes Entretien b timent Situation travaux et par rubriques ex Fonctionnement Offices on y trouve les diff rents travaux de l OGBTP Office G n ral du B timent et des Travaux Publics et des ODBTP offices d partementaux du b timent et des travaux publics Vous y trouverez toutes les actualit s pa
32. gnataires assureront la promotion de ce protocole destination de leurs ressortissants respectifs Ils pourront le d cliner aupr s des donneurs d ordre publics et priv s afin de les sensibiliser sur les bonnes pratiques et la n cessit de lutter contre les d lais cach s Signataires F d ration du BTP Dr me Ard che Office du BTP Dr me Ard che Fr d ric Reynier Yvon Tixier Ordre des architectes UNSFA Dr me D l gu e Ard che Charles Colomb Mireille Michel Ordre des architectes UNSFA Ard che D l gu Dr me Dominique Charnay Franck Mulato CICF Dr me UNTEC Armand Costes Yves Sarrion E LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 PROTOCOLE INTERPROFESSIONNEL visant acc l rer les d lais de paiement dans les march s de travaux publics ou priv s Le respect des textes et des bonnes pratiques permettent de r duire les d lais de paiement Dans les march s publics ou priv s de travaux le circuit de paiement est complexe et tr s formel On distingue le paiement des situations mensuelles et le paiement du solde Si tous les intervenants ma tre d ouvrage ma tre d uvre comptable et entreprises respectaient le formalise prescrit par les textes les d lais cach s pourraient tre r duits notablement R gles essentielles Il est recommand d indiquer dans le march le circuit de paiement des situations ou factures des entreprises et d aborder ce point lors de la premi re r union de pr par
33. icile du d fendeur En cas de refus de paiement de tout ou partie d un acompte ou du solde le ma tre d ouvrage doit consigner les sommes contest es au plus tard dans le d lai de 15 jours compter de la mise en demeure de l entrepreneur entre les mains d un consignataire ind pendant d sign par les parties ou par le pr sident du tribunal comp tent Cette disposition ne s applique pas aux sommes dont le paiement est garanti en application de l article 1799 1 du Code civil ou qui font l objet de la retenue de garantie pr vue par la loi du 16 juillet 1971 RSS E E E EEA E E N A E d A AEAT originaux Le ma tre d ouvrage L entrepreneur 8 tablir en autant d exemplaires originaux que de parties 9 Faire pr c der la signature de la mention lu et approuv 10 crire la main lu et approuv et apposer le cachet de l entreprise LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Ma tre d ouvrage professionnel Entre A E en en DESTE P E le NEEN EEEE TE EEEE O E AAN A EE ET A A E ee E ENE T EEEE E EEE EE E E E E A A aEEEaEaEZEEZEZEZEZEZEZEZ E iie present marche Re a a A DU CU T 2 Le devis descriptif des travaux ex cuter SE 3 Les dessins plans et coupes d finissant l ouvrage A EENE A E 4 Le calendrier d ex cution le ma tre d ouvrage d une part 5 Le cahier des clauses administratives g n rales NF PO3 O0T dition d cembre 2000 et Autres documents joints au pr sent march en ne ni an A
34. iller en bonne intelligence avec son commanditaire ce qui ne veut pas dire ob ir La mani re de travailler avec permet alors de prendre des libert s par rapport au contenu du contrat LES CAHIERS DE L OGETP N 3 Cette attitude lorsqu elle existe n est pas acceptable et cr e de nombreux probl mes Les missions et la responsabilit de chacun doivent tre explicit es dans les contrats pass s avec les BET pour que chacun s y tienne afin d viter les courts circuits et d organiser la coh rence entre la demande explicite du cocontractant et ce qu on pense tre lattente du client souvent implicite Organisation du travail On d tecte beaucoup d impr cisions dans ce domaine telles que la d finition des fronti res d intervention la forme de la relation les tapes essentielles la gestion du projet les points de non retour et la transmission efficace des documents L adaptation la d marche it rative de conception d une part et au rythme sp cifique de chaque architecte d autre part n est pas trait e par l ing nierie l architecte devant s adapter aux pr conisations et documents de l ing nierie L organisation du travail collectif est rarement explicit e Le temps de travail n cessaire la mise en coh rence des pi ces a disparu des plannings et des contrats Il n y a plus que la bonne complicit entre les deux acteurs pour compenser Le tableau de r partition des missions
35. ion avec le client lorsque la proc dure le permet afin d obtenir les claircissements et les pr cisions n cessaires LES CAHIERS DE L OGETP N 3 LE Cela veut dire que l quipe ne peut se satisfaire d un programme jug insuffisant ses limites les contraintes du site l utilit des b timents pour le client la qualit des mat riaux les performances attendues etc Il para t n cessaire d aider le ma tre d ouvrage le pr ciser au plus vite pour viter les modifications pendant la mise au point du projet Les obligations de l quipe Lorsque le ma tre d ouvrage choisit la conception r alisation il exprime quelques attentes fortes limitation du nombre de ses interlocuteurs pour une efficacit accrue r duction des d lais ma trise des co ts par rapport au budget gr ce l engagement amont de l quipe Il en r sulte pour le groupement l obligation de donner au client le plus en amont possible la certitude que son attente qualit co t est r aliste de tenir cet engagement qualit co t dans la dur e jusqu la livraison de l ouvrage r pondant aux attentes du client Il est conseill de formaliser la fa on de r pondre cette obligation dans le contrat qui lie l architecte et l entrepreneur pr ciser les meilleures fa ons d y parvenir anticiper les ventuelles difficult s L architecte n tant plus en prise directe et ind pendante avec le client le groupement doit
36. iques Poin onnement Protections provisoires dicules p n trations cheminement de s curit Charpente bois fer Respect des pentes Acc s maintenance R seaux eau air lectricit Coop rer la mission de synth se D tecter Tous les lots techniques les points conflictuels avant travaux Gros uvre Planim trie compatibilit des produits Rev tements de sol durs enduits ragr ages colles Rev tements de sol souples Gros uvre Compatibilit des produits enduits Rev tements muraux peinture Second uvre ragr ages colles LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 e 3 DOCUMENT DE L OFFICE DE DR ME ARD CHE ere OH 26 miotania Erne Orror o Batiment or ors Taavaux Puas o Domp rprasg Le compte prorata M morandum l intention du gestionnaire Les bonnes pratiques du bon gestionnaire du compte prorata L 11 1 2 1 3 1 4 Lors de la 1 r union de pr paration D finir des participants actifs au comit de contr le Convenir du taux de pr l vement en r union de chantier Convenir de dates de r union du comit de contr le du compte prorata un par trimestre le jour de sa constitution D finir le mode d approvisionnement du compte prorata Fournir et faire signer une convention de compte prorata tous les entrepreneurs cotisants Fournir un d compte interm diaire si chantier gt 1 an et CP gt 1 5 Fournir un bilan final provisoire du compte prorata la r
37. itue le point de d part du d lai de paiement des situations mensuelles et du solde P nalit s de retard de paiement dans les march s priv s entre professionnels l article L 441 6 du Code de commerce impose de pr ciser les modalit s et le taux d int r t au minimum trois fois le taux de l int r t l gal LES CAHIERS DE L OGETP N 3 seu des p nalit s de retard exigibles le jour suivant la date de r glement figurant sur la facture d faut d indication La conclusion tardive des avenants Un compte prorata mal organis L absence de remise du dossier des dans le march c est le taux d int r t de la Banque centrale europ enne major de dix points qui s applique Fixer ouvrages ex cut s DOE un taux ou des conditions d exigibilit non conformes ces dispositions est puni d une amende de 15000 euros Les travaux suppl mentaires doivent tre command s et leur chiffrage approuv par le ma tre d ouvrage avant leur ex cution Les parties doivent anticiper le passage des avenants devant la commission d appel d offres R gler d autres facteurs qui retardent le point de d part du d lai de paiement permet d acc l rer le r glement des travaux Les entreprises doivent se r unir en d but de chantier pour organiser la gestion des d penses communes Elles doivent quand cela est possible appliquer les dispositions figurant dans la norme NF P03 001 art 14 Dans les faits le ma t
38. l ex cution du contrat Il est quasi obligatoire que chaque membre du groupement informe son assureur de l existence de tout contrat de conception r alisation auquel il participe Contr le et r ception de la r alisation La r daction des limites de prestation et de responsabilit de chacun doit retenir l attention des deux cocontractants car seul ce qui Architecte et ses partenaires de la ma trise d uvre est crit d terminera la prise en charge de chaque assureur Conception du projet Permis de construire et projet d finitif Visa des plans de synth se et d ex cution Suivi de la qualit et de la conformit Entrepreneur g n ral et ses partenaires sous traitants Mise au point des solutions techniques et des m thodes en aide la conception et pour la r alisation du projet Chiffrage du projet et coordination de la synth se avant d marrage Ex cution des travaux pr vus au contrat Propositions chiffrage et ma trise des actions d entretien et de maintenance E LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 E Entrepreneurs Ornce GeneraL o Banmenr er DES Travai Puaucs L ING NIERIE La part de l ing nierie ind pendante dans la construction et les co ts en r sultant sont en augmentation r guli re depuis de nombreuses ann es La complexit croissante l empilement des textes la garantie de r sultat la peur du risque sont souvent cit s comme causes de cette volutio
39. missions en particulier pour les architectes a t saucissonn e par les r dacteurs des divers d crets et lois ce qui a eu pour effet de faire souvent oublier les v ritables finalit s m tier de chaque tape De plus la responsabilit globale a ainsi pu tre remplac e par la simple juxtaposition d intervenants en simple garantie de moyens pour une mission sp cifique parfois sortie de son contexte Le regroupement des t ches est indispensable pour tudier les conditions d exercice de la responsabilit globale et en particulier celle de fournir au client un objet d usage qualit attendue Tout le monde s accorde dire que le m tier de l architecte est la conception et celui de l entrepreneur l ex cution Mais l analyse des t ches et responsabilit s minimales pour bien faire le m tier d pend de nombreux param tres r sultant de la complexit de l op ration des attentes du client des partenaires en pr sence etc Comment faire pour concilier exigence et r alit Certains abandons de responsabilit sont lourds de cons quences On pourrait recommander e l architecte la conception e l entrepreneur l ex cution e l architecte et l entrepreneur lorsqu il est pilot par l architecte la ma trise d uvre La r partition doit alors se faire en bonne intelligence et en fonction de la nature de l op ration Lorsqu il est pr vu par la proc dure retenue le travail amont
40. n qui a conduit de fa on induite un appauvrissement de la mati re grise des architectes et des entrepreneurs Cet apport externe d intelligence technique devrait permettre entre autres une am lioration de la qualit des b timents une optimisation des d penses engag es et une certitude sur les enjeux de r sultat fix s par le ma tre d ouvrage De nombreuses op rations profitent du partenariat utile avec les bureaux d tudes mais force est de constater que de nombreuses critiques et d ceptions sont mises par les divers partenaires de la construction en particulier les architectes et les entrepreneurs L OGBTP s est donc interrog e sur la raison de ces insatisfactions fr quemment voqu es par de nombreux offices d partementaux Relation contractuelle L ing nierie peut contracter avec le ma tre d ouvrage l architecte ou l entrepreneur Le pr sent document n aborde pas les tractations directes entre ma tre d ouvrage et ing nierie Le BET qui signe un contrat avec l architecte ou l entrepreneur son client est son prestataire de service Le BET peut avoir tendance consid rer le ma tre d ouvrage comme son donneur d ordre r el final et prioritaire et il peut en r sulter de nombreux dysfonctionnements incompr hensions tensions erreurs tant avec l architecte qu avec les entreprises Le BET quels que soient la forme et le cosignataire du contrat pense savoir composer et trava
41. nth se les tudes d ex cution le visa des plans d ex cution le contr le des travaux et de leur conformit l OPC la r ception des travaux les lev es de r serves les DOE etc LES CAHIERS DE L OGETP N 3 La Pour les entrepreneurs On peut structurer les missions de l entrepreneur en quatre tapes pour produire son offre de prix l entreprise assure successivement l ing nierie tudes technique le m tr et le chiffrage qui conduit au co t pr visionnel pour pr parer le d marrage de ses travaux l entreprise assure les missions mat riel logistique tudes d ex cution m thodes et planification de travaux pour assurer la livraison du chantier l entreprise doit ma triser la gestion de projet l organisation du travail la gestion du personnel les op rations de finition livraison les lev es de r serves la production des DOE apr s la r ception l entreprise assure les garanties diverses et le service apr s vente L architecte et l entrepreneur ont galement une responsabilit vis vis du ma tre d ouvrage dans le cadre du devoir de conseil Comment assumer Pour assurer toutes ces missions l architecte et l entrepreneur disposent de trois possibilit s faire par eux m mes faire faire ce qui veut dire qu ils confient le travail sous leur responsabilit qu ils animent et le contr lent c est une sorte de sous traitance laisser faire ce qui veut
42. o du march l objet du march le nom du ma tre d ouvrage le bon service la bonne adresse etc La situation ou la facture n a pas tre sign e annexe C du d cret du 25 mars 2007 fixant la liste des pi ces justificatives des d penses de collectivit s et tablissements publics locaux Les entreprises doivent demander la r ception d s que l ouvrage est achev pour pouvoir adresser leur projet de d compte final Les entreprises doivent envoyer leur projet de d compte final le plus vite possible sans attendre l expiration du d lai de 45 jours du CCAG Travaux et de 60 jours de la norme NF P03 001 un d lai de 8 jours est recommand pour ne pas retarder les d lais de paiement le leur et celui des autres corps d tat L entreprise ne doit pas h siter mettre en demeure le ma tre d ouvrage de lui notifier le d compte g n ral march public ou d compte d finitif march priv LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 en EAU recu o Barisont cT opa Taavaux Pussics oes Droux Brvats 2 DOCUMENT DE L OFFICE DES DEUX S VRES Services techniques Niveaux de r f rence G om tre R seaux concessionnaires Branchements divers R ceptions plates formes Altim trie planim trie Essais de plaque Gros uvre D tails des relev s Surcharges de stockage tanch it Ancrages protections planim trie tanch it Surcharges de livraison du mat riel Lots techn
43. oint la solidarit tant quasi irr aliste Les textes des march s publics d signent l entrepreneur comme mandataire Les deux partenaires peuvent n anmoins convenir contractuellement que l architecte sera l interlocuteur direct du ma tre d ouvrage jusqu la mise au point du projet La place de l ing nierie La r ussite du groupement architecte entrepreneur d pend avant tout des deux personnes en pr sence C est une vidence mais la complexit des op rations conduit tr s souvent faire appel d autres intervenants que les deux leaders collaborateurs de l un ou de l autre ing nierie externe techniciens sp cialistes fournisseurs etc Lorsque l ing nierie fait partie des structures des deux cocontractants elle s exprime toujours dans l harmonie Il faut cependant expliciter dans le contrat entre les partenaires ce qui est d par chaque membre du groupement Lorsque l quipe a recours un prestataire ext rieur d ing nierie il est alors recommand qu il soit choisi deux et que le contrat pass avec lui pr cise dans le d tail son mode d intervention les autorisations obtenir le r le jouer les d lais respecter etc Les missions de chacun Ce point est bien pr cis dans le document d EGF BTP voir article 11 repris en annexe qui rappelle qu il est indispensable de pr ciser les responsabilit s des cocontractants leurs missions et leurs limites Il peut arriver que cer
44. ommandes sup rieures 10 exemplaires prix unitaire de 18 Z Par Karine Millet architecte pour des commandes sup rieures 100 exemplaires prix unitaire de 16 n Alchitectes Prix TTC franco de port sauf pour les DOM TOM frais d envoi en sus sur devis Entrepreneurs re General ou Banmenr er pes Travai Pugucs LES D PLACEMENTS DE L OGBTP DANS LES DEPARTEMENTS ET REGIONS VISITES EN R GIONS 09 2012 03 2013 Bon de commande retourner OGBTP Offices existents M G B 6 14 rue La P rouse 75784 PARIS Cedex 16 Offices en intention HE AEEA T l 01 45 53 61 36 mail ogbtp wanadoo fr Entrepreneurs ER Offices existants D OFFICE GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PUBLICS Site www ogbtp com Association loi 1901 SIRET 78428504100025 Merci de bien vouloir renvoyer ce bon de commande accompagn de son r glement ch que bancaire uniquement Var L REN s Ma yes Ille et Vilaine 22 si lt 10 ex 4 Cher jeri i Vienne A Territoire de Belfort CD Rom Architectes Je passe commande ferme pour i 18 si gt 10 ex entrepreneurs mode d emploi CD Rom 16 si gt 100 ex soa GE Nom du destinaire B Adresse de facturation Lot et Garonne n O Pyr n es K A Atlantiques Garonng autes Pyr n e s Pyr n es Qrientae Signature os LES CAHIERS DE L OGETE
45. omp tences manque de capacit de leurs interlocuteurs manque d inventivit recours au copier coller et aux abaques d couverte tardive d obligations manque de pr cision temps descriptifs inadapt s et insuffisants doublons dans le travail et dans les prescriptions etc alors que les BET voquent la mauvaise fa on de travailler avec eux La fa on de calculer est secondaire L architecte et l entreprise doivent tre rigoureux dans le choix de leurs prestataires et dans la n gociation de leurs contrats Ils doivent limiter et pr ciser les seules comp tences dont ils ont besoin pour le projet et d finir la qualit de partenariat attendue Incoh rences Lorsqu il y a BET d ex cution et BET amont les tudes sont faites deux fois non qualit par d finition et ne sont pas toujours coh rentes Les entreprises qui veulent s engager s rieusement sur leur prix refont leur quantitatif d autant qu elles sont souvent responsables des quantit s m me si le cadre de bordereau leur est fourni La multiplicit des BET amplifie les incoh rences entre les documents d appel d offres Le contr le de coh rence qui revient l architecte est difficile voire impossible par suite de la multiplicit des sources du non respect des plannings de livraison des tudes des transmissions informatiques successives des descriptifs fleuves etc La synth se amont des documents de conception doit tre syst m
46. or s cette ahh e tels que La conception r ahsation L inr nk eri ou Les d penses d Int r t commun t moigheht de hotre volont d tre attentifs aux mutatiohs de hos brofessiohs mais aussi de rappeler toujours et encote les bohhezs pratiques Danhz la n buleuse des intervehants du qui demande quoi du qui fait quoi du qui doit quoi identifier et pr ciser les objectifs les r les et les missions de chacun est imp ratif Les documents des offices d partementaux illustrent avec pragmatisme la bettihehce des chahges qui y soht meh s bout le rappel ou la recherche de r gles du jeu dans leur d partement Figureht galement dahs cette dition diverses informations sur la vie de l OGBTP son site et les visites aux offices d partementaux hotamment Pour demain hotre champ d ihvestigation bieh que citconscrit l acte de cohstruire reste large et les sujets de r flexion ou de prospective hombreux De l harmonisation des pi ces constitutives des DCE a la r novation coresponsable th mes privil gi s cette ahh e le grand cart h est qu abparenht Faire du mattre d ouvrage de la malthise d uvre et de l ehtreptise Uh tierce gaghant est le souhait de tous Dahs cet enjet architectes etechtrebreheUts oht Uhe responsabilite particuli re et l OGETF un r le singulier Cet opuscule veut Uhe nouvelle fois eh t moighet Je remercie chaleureusement la cheville ouvri re de cette nouvelle
47. ours incorporer la satisfaction du ma tre d ouvrage la qualit finale de l ouvrage livr et sa conformit au programme Il est indispensable d crire avant tout travail les objectifs partag s des deux partenaires du groupement les bonnes intentions ne suffisent pas o Quel est l enjeu commun qui provoque la r union des deux cocontractants o Quel est l enjeu du travail d quipe au profit du client performance qualit e Quels sont les points essentiels pour chacun dans le travail d quipe Le programme Dans les op rations traditionnelles la qualit du travail de l architecte est relative la qualit du programme r dig par le client Cette relativit est encore plus vidente en conception r alisation Un programme impr cis autorise l architecte et ou l entrepreneur jouer sur les documents produits pour faire passer leur int r t personnel avant celui du client Il en r sulte des tensions dans le groupement toujours pr judiciables l ouvrage attendu par le client pour r pondre ses besoins Le ma tre d ouvrage doit produire un programme tr s d taill Il doit entre autres pr ciser les avantages qu il entend retirer de la proc dure Le premier travail de l quipe est de faire la lecture en commun du programme du client pour e se mettre d accord sur une interpr tation partag e o d tecter les flous qui autorisent les interpr tations diverses e provoquer une r un
48. p enne major de 10 points de pourcentage Ces p nalit s sont dues de plein droit sans qu un rappel soit n cessaire 6 Le ma tre d ouvrage qui ne paie pas dans les d lais pr vus est de plein droit d biteur d une indemnit forfaitaire de recouvrement fix e 40 article D 441 5 du Code de commerce Lorsque les frais de recouvrement expos s sont sup rieurs ce montant l entrepreneur peut demander une indemnisation compl mentaire sur justification Les travaux en suppl ment ou en modification du march initial feront l objet d avenants chiffr s et sign s par les deux parties prix et d lais La r ception a lieu l ach vement des travaux objets du pr sent march Un proc s verbal sera sign par le ma tre d ouvrage Li Les ouvrages suivants font l objet de r ceptions partielles iii Article 1799 1 du Code civil Lorsque le montant des travaux d duction faite de l acompte vers la commande est sup rieur 12000 HT le ma tre d ouvrage doit garantir le paiement des sommes dues conform ment l article 1799 1 du Code civil et son d cret d application n 99 658 du 30 juillet 1999 Li Cr dit sp cifique travaux vers directement l entreprise par iii coordonn es de l tablissement pr teur El Caution d livr e paf benne nnins coordonn es de l tablissement financier qui se porte caution pour le ma tre d ouvrage Les litiges li s l ex cution du pr sen
49. participation active 7 entrepreneurs 4 architectes et 2 BET a t l occasion d changes fructueux sur le bien fond d allouer des missions compl tes avec EXE aux quipes de ma trise d uvre et sur les probl mes de sous traitance rencontr s localement avec une main d uvre ne r pondant pas toujours aux obligations de chacun Nous souhaitons une bonne continuation l ODBTP 74 qui va clore sa premi re ann e d existence Le 26 f vrier 2013 accueil par le pr sident du CROA Jean Paul Cassulo pour animer une rencontre afin de cr er ou de r veiller les offices en r gion PACA Les offices du Var et du Vaucluse les f d rations du b timent et les syndicats d architectes de tous les d partements avaient t convi s Les offices du Vaucluse et du Var ont pr sent leurs travaux termin s ou venir Les f d rations du b timent des Bouches du Rh ne et des Alpes de Haute Provence ont fait part de leur vif int r t pour la mise en place d un office en accord avec l UNSFA Nous souhaitons vivement les accueillir parmi nous tr s prochainement Nous apportons notre soutien aux d partements des Hautes Alpes et des Alpes Maritimes qui n ont pu tre disponibles l occasion de cette rencontre SOMMAIRES DES PR C DENTS CAHIERS Cahiers n 1 2011 1 Les publications de l OGBTP OPC La synth se 2 Lesdocuments des offices Comment construire du logement abordable office de l H
50. ptes peut sanctionner le comptable responsable sur ses deniers personnels Bien que les int r ts moratoires soient dus l entreprise sans formalit et de plein droit article 98 du Code des march s publics elle aura souvent int r t signaler le retard au ma tre d ouvrage avec copie au tr sorier payeur g n ral E LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Dans les march s conclus depuis le 1 janvier 2009 la LME impose aux donneurs d ordre professionnels ma tres d ouvrage et entreprises principales un d lai maximal de paiement de 45 jours fin de mois ou 60 jours compter de la date d mission de la facture Les march s peuvent pr voir un d lai plus court La norme NF P03 001 valant cahier des clauses administratives g n rales pour les march s priv s de travaux qui s y r f rent express ment pr voit un d lai de 30 jours compter de la remise de l tat de situation du ma tre d uvre art 20 3 En cas de march r gi par la norme NF P03 001 le ma tre d uvre v rifie l tat de situation tablit le d compte provisoire des sommes dues ainsi qu une proposition d acompte et adresse ce d compte et cette proposition d acompte au ma tre d ouvrage avec duplicata l entreprise dans les 15 jours dater de la r ception de l tat de situation En cas de rectification par le ma tre d uvre celui ci ou le ma tre d ouvrage ne peuvent exiger de l entreprise qu elle refasse sa situation
51. ra pas de retenue de garantie Li Le taux de la retenue de garantie est fix eeren du montant des travaux Li consign e entre les mains de nom du consignataire ou LH remplac e par une caution bancaire La caution est lib r e ou les sommes consign es sont vers es l entrepreneur lors de la r ception sans r serve ou la lev e des r serves lorsque la r ception est prononc e avec r serves 4 Le d lai convenu entre les parties pour r gler les sommes dues ne peut d passer 45 jours fin de mois ou 60 jours compter de la date d mission de la facture article L 441 6 9e alin a du Code de commerce Ce d lai ne s applique pas l acompte la commande qui est pay selon les modalit s pr vues au march Si le march ne fixe pas de d lai de paiement pour les acomptes mensuels et le solde ce d lai est fix 30 jours compter de la date d ex cution des travaux consid r s En cas de d passement des d lais de paiement l entrepreneur peut suspendre l ex cution des travaux apr s mise en demeure de son cr ancier rest e infructueuse l issue d un d lai de quinze jours article L 111 3 1 du CCH 5 L entreprise doit mentionner les p nalit s de retard dues en cas de non respect du d lai de paiement minimum de 3 fois le taux d int r t l gal Si le march ne pr voit pas de dispositions relatives ces p nalit s ces derni res sont fix es par d faut au taux de la Banque centrale euro
52. re d uvre n est pas une personne physiquem mais une quipe de plusieurs personnes 7 i p p pays q qup p p annexes A ou B et C et r gler au plus vite les difficult s relatives au compte prorata architecte l conomiste l ing nieriste l urbaniste le technicien le pilote Le ma tre d ouvrage indique dans le march le r le de chacun dans l quipe de ma trise d uvre comment les Les entreprises doivent constituer le plus t t possible le dossier des ouvrages ex cut s DOE qui doit tre fourni demandes de paiement sont elles enregistr es cachet tampon qui les vise et quel est le r le de l conomiste la r ception ou dans le d lai maximal d un mois suivant notification de la d cision de r ception des travaux Le mandataire est d sign au sein de l quipe de ma trise d uvre L entreprise peut tre galement responsable des retards de paiement Elle provoque parfois par ses erreurs ou sa n gligence l allongement du circuit de paiement L entreprise doit correctement r diger sa situation ou son projet de d compte final car il suffit d un papier manquant DOE quitus du gestionnaire du compte prorata ou erron avancement trop important pour entra ner le blocage de la totalit du montant factur Elle ne doit pas omettre certaines mentions fondamentales dans sa situation le code le libell les bonnes unit s les bonnes surfaces le bon prix unitaire le num r
53. rn s dans les pi ces crites LES CAHIERS DE L OGETP N 3 LA GE C7 Rica Entrepreneurs Ornce GeneraL o Banmenr er DES Travaux Puaucs ARCHITECTES ET ENTREPRENEURS LES MISSIONS Volontairement ou par obligation de nombreux architectes et entrepreneurs laissent d autres intervenants la ma trise d une part plus ou moins importante de leurs missions et parfois des responsabilit s qui les accompagnent Il a paru utile de s arr ter sur ce sujet et de formaliser et rappeler quelques vidences Recensement des prestations et des missions essentielles Pour les architectes et la ma trise d uvre On peut regrouper les missions de l architecte en quatre domaines contr le du programme du ma tre d ouvrage Il est n cessaire afin de ne pas s engager dans des travaux inutiles ponctu s de nombreux retours en arri re laboration du projet qui comprend les ventuels diagnostics et relev s l esquisse l APS l APD le d p t du permis de construire la production du dossier projet les tudes d ing nierie la r daction du CCTP les ventuels quantitatifs etc L objectif de ce projet est d abord de r pondre lattente du client consultation des entreprises qui comprend la mise en coh rence de toutes les pi ces du dossier d appel d offres l organisation de la consultation le d pouillement des offres et le choix du mieux disant ex cution des travaux qui comprend la sy
54. rues dans la presse ainsi que les photos de la derni re assembl e g n rale Sans oublier nos partenaires ainsi que les membres et membres associ s de l OGBTP Apr s chaque r union pour l OGBTP et les ODBTP un compte rendu est tabli et mis en ligne sur le site avec un acc s s curis pour chaque office Ce site est simple de fonctionnement et on y trouve l histoire du d but de l Office aujourd hui remercie ane OGB Organasnens Acris Offices Fonclonmement depusi LES CAHIERS DE L OGBTP GE Architectes Entrepreneurs Par Paul Fran ois Luciani vice pr sident de l OGBTP Ornce GeneraL o Banmenr Er DES Travai Puaucs MARCH S TYPES DE TRAVAUX PRIV S Il est apparu n cessaire l OGBTP d effectuer un travail de clarification et de toilettage du march type de travaux et de dissocier les contrats conclus avec des ma tres d ouvrage consommateurs des contrats conclus avec des ma tres d ouvrage professionnels Le droit de la consommation impose d inscrire de nombreuses clauses qui prot gent les consommateurs condition suspensive en cas de cr dit notamment mais qui n ont pas d int r t pour les march s professionnels Inversement la LME impose des r gles de paiement qui ne trouvent leur application que dans les relations entre professionnels Par ailleurs l OGBTP a souhait proposer sa m diation ou celle de l office d partemental du b timent du lieu des travaux
55. s de travaux Nettoyage de chantier Nettoyage du chantier charge de chaque lot D finition selon la norme il n est pas d compt de prorata au titre du nettoyage de chantier Chaque entrepreneur apr s chaque intervention en un lieu donn doit laisser l emplacement propre et libre de tous d chets L entrepreneur qui succ de au lot pr c dent doit exiger cet tat de propret avant de reprendre ses travaux La ma trise d uvre ou le SPS doit contr ler la bonne ex cution du nettoyage elle ou au gestionnaire du compte prorata de prendre les mesures n cessaires En cas de difficult s ou de dysfonctionnement elle proposera au comit de gestion l imputation entre les lots concern s des frais de nettoyage engendr s Afin d viter tout dysfonctionnement et imputation al atoire chaque entreprise doit tre responsabilis e en amont d ex cution par tous moyens utiles sur le nettoyage de son chantier E LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Nettoyage des quipements communs pr sents sur le chantier Le nettoyage des quipements communs bureau de chantier sanitaires vestiaires et r fectoires quant lui simpute sur le compte prorata Articles de r f rences annexes A 2 2 1 et A 3 1 D chets En application de la norme les d penses relatives au tri l vacuation des d chets ainsi qu leur transport sur site susceptible de les recevoir ne sont pas support es par le compte prorata m
56. t march pourront tre soumis par les parties au moment de leur survenance la m diation de l OGBTP ou de l office d partemental du b timent du lieu des travaux si l une ou l autre des deux parties en manifeste la volont Les parties signeront dans ce cas une convention de m diation Lorsque l une des parties ne souhaite pas recourir la m diation les parties portent leur litige directement devant le tribunal comp tent En cas de refus de paiement de tout ou partie d un acompte ou du solde le ma tre d ouvrage doit consigner les sommes contest es au plus tard dans le d lai de 15 jours compter de la mise en demeure de l entrepreneur entre les mains d un consignataire ind pendant d sign par les parties ou par le pr sident du tribunal comp tent Cette disposition ne s applique pas aux sommes dont le paiement est garanti en application de l article 1799 1 du Code civil ou qui font l objet de la retenue de garantie pr vue par la loi du 16 juillet 1971 5 OGBTP 6 14 rue La P rouse 75784 Paris Cedex 16 T l O1 45 53 61 36 www ogbtp com LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 Falt d le D originaux Le ma tre d ouvrage L entrepreneur 6 tablir en autant d exemplaires originaux que de parties Z crire la main lu et approuv et apposer le cachet de l entreprise Ces nouveaux mod les de march s sont dit s par la SEBTP t l 01 40 69 53 16 Oo LES CAHIERS DE L
57. t sup rieur 500 l entrepreneur doit indiquer la date limite laquelle il s engage les ex cuter Les travaux en suppl ment ou en modification du march initial feront l objet d avenants chiffr s et sign s par les deux parties prix et d lais La r ception a lieu l ach vement des travaux objets du pr sent march Un proc s verbal sera sign par le ma tre d ouvrage Le ma tre d ouvrage d clare recourir un cr dit pour financer en tout ou partie les pr sents travaux D OUI D NON En cas de recours un pr t le pr sent march est conclu sous la condition suspensive d obtention dudit pr t Article 1799 1 du Code civil d cret n 99 658 du 30 juillet 1999 Lorsque le montant des travaux d duction faite de l acompte vers la commande est sup rieur 12000 HT le ma tre d ouvrage doit en garantir le paiement conform ment l article 1799 1 du Code civil et son d cret d application n 99 658 du 30 juillet 1999 Ces dispositions sont d ordre public et il ne peut y tre d rog Le ma tre d ouvrage a souscrit un pr t sp cifique pour les travaux objets du pr sent march LH OUI Li NON Si oui coordonn es de l tablissement financier pr teur esseere qui versera l entrepreneur sur ordre du ma tre d ouvrage les sommes dues lors de chaque demande de paiement Les litiges sont port s devant le tribunal comp tent du lieu d ex cution des travaux ou du dom
58. tains ma tres d ouvrage imposent le mode de relation et la r partition des r les entre l architecte et l entrepreneur Cette pratique qui pourrait tre consid r e comme abusive ne peut tre que pr judiciable au bon fonctionnement du groupement Elle est donc d conseiller L quipe doit se mettre d accord sur la m thode de travail qui fait quoi sur la gestion des modifications sur les libert s d action directe de l architecte et de l entrepreneur vers le ma tre d ouvrage LES CAHIERS DE L OGETP N 3 LE Les missions port es par chacun des membres de l quipe en particulier les missions de ma trise d uvre doivent tre pr cis es dans le contrat sign entre l architecte et l entrepreneur La connaissance de cette r partition sera transmise au client GB _ F ll z7 Z A e ra e e 7 Lil FE FRNTBUTE Le contrat doit galement pr ciser le r le de l architecte pendant l ex cution sachant qu il doit rester garant de la conformit Ar a HP on pa ce HUE LE de l ouvrage au projet Nous reproduisons ci dessous l article 11 du document EGF BTP qui recense les missions de chacun dans les op rations de conception r alisation La r mun ration des cocontractants La r partition du montant global du contrat client entre l architecte et l entreprise g n rale doit tre pr cis e par ARTICLE 11 document EGF BTP les deux partenaires et propos e au ma tre d ouvrage Il est d conseill
59. te civil de solidarit concubin ou de ses ascendants ou descendants doit se faire remettre par l entrepreneur lors de la conclusion du contrat et tous les six mois jusqu la fin du contrat l un des documents cit s ci dessous Une attestation de fourniture des d clarations sociales et de paiement des cotisations et contributions de s curit sociale pr vue l article L 243 15 du Code de la s curit sociale manant de l Urssaf datant de moins de six mois ou Une copie de sa carte d identification justifiant de l inscription au r pertoire des m tiers ou une copie de l extrait de l inscription au registre du commerce et des soci t s extraits K ou K Dis ou un r c piss de d p t de d claration aupr s d un centre de formalit s des entreprises pour les personnes en cours d inscription ET en cas d emploi sur le chantier de salari s trangers soumis autorisation de travail article D 8254 2 du Code du travail une liste nominative pr cisant pour chaque salari sa date d embauche sa nationalit ainsi que le type et le num ro d ordre du titre valant autorisation de travail Cette liste devra imp rativement tre compl t e si l entrepreneur d cide en cours d ex cution du chantier d employer sur celui ci du personnel tranger non pr vu l origine soumis autorisation de travail LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 LES CAHIERS DE L OGBTP N 3 o l entrepreneur d autre part
60. ue personnellement en cas de difficult pour arbitrer les litiges Le recours syst matique la norme lorsqu elle traite du sujet pour suivre le bon fil conducteur est fortement recommand Lorsque le march est pass avec une entreprise g n rale elle a en charge la totalit des d penses d int r t commun et leur organisation Lorsque le march est pass avec un groupement d entreprises le mandataire du groupement doit organiser la r partition et la gestion des d penses d int r t commun non pr vues dans les pi ces crites Dans les deux cas il est recommand l entrepreneur g n ral et au mandataire d associer l architecte au bon fonctionnement de ce qui est d cid entre les entrepreneurs NE LES CAHIERS DE L OGBTP N 23 Conclusion La mise en coh rence de toutes les pi ces de l appel d offres puis de celles du march est le pr alable minimal pour aider ce que les d penses d int r t g n ral soient prises en compte et que le chantier se d roule bien Bien que l architecte et le ma tre d ouvrage ne soient pas responsables de la bonne entente des entrepreneurs sur chantier il est toujours souhaitable qu ils s impliquent pour les aider trouver et mettre en uvre les solutions intelligentes de r glement de tous les probl mes d int r t g n ral Ils en r cup reront le fruit au niveau de l ambiance de l aspect et de la qualit du chantier LES CAHIERS DE L OGETP N
61. ui la meilleure fa on de les organiser et de les g rer Elles sont alors d crites dans les documents d appel d offres Les contradictions dans les pi ces crites du dossier d appel d offres sont de la responsabilit de l quipe amont et les cons quences financi res d ventuelles erreurs ne peuvent tre mises la charge des entrepreneurs Il est recommand l quipe ma tre d ouvrage architecte d organiser une r union de lecture en commun en associant tous les intervenants amont pour d tecter et corriger les incoh rences entre les diverses pi ces crites Le ma tre d ouvrage ne doit pas se d barrasser des oublis et des impr cisions sur le dos des entrepreneurs du chantier Il doit en assumer les cons quences financi res propos du pr chauffage s il est n cessit par un d calage de l ordre de service il est normal qu il soit pris en charge par le ma tre d ouvrage Ce qui doit rester la charge de chaque entreprise Chaque entreprise doit avoir comme objectif de rester responsable de son intervention sur le chantier et prendre toutes les dispositions pour y parvenir On peut citer de fa on non exhaustive le stockage l enl vement et le traitement de ses d chets le nettoyage syst matique apr s travaux la gestion de ses r servations etc D excellents conseils ont t donn s sur tous ces points en particulier dans la norme NF P03 001 Il est souhait que l architecte s impliq
62. vent pas du compte prorata Il est pr conis que l ensemble des informations n cessaires l valuation de la prestation soit fourni dans les pi ces crites du march Toute d pense pr visible doit tre affect e un lot d termin par le march la charge faisant l objet d une r mun ration individualis e dans le prix global du march sur la base d un devis quantitatif estimatif En cas de doute ou de d saccord c est au comit de contr le de d cider de porter ces d penses au d bit du compte prorata titre informatif il est rappel que ne s imputent pas au compte prorata en plus des d penses num r es aux points ci dessus notamment les d penses suivantes les travaux ou prestations pr vus dans les CCTP les d penses imput es un lot d termin d sign e l annexe A ou B de la norme les fournitures ou ouvrages destin s tre re us par le ma tre d ouvrage et qui auraient t omis dans les documents du march le mat riel informatique la gestion lectronique des documents et les consommables fournitures de tous les acteurs du chantier les frais d exp dition des comptes rendus de chantier le PGCSPS toutes les demandes qui r sultent d un PGCSPS sont de la responsabilit du ma tre d ouvrage Les installations et d penses r sultant du PGCSPS ne sont pas imputables au compte prorata Le ma tre d ouvrage doit veiller imputer ces d penses aux lots conce

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