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La Presse Thermale et Climatique

1. l l l l 1 Se 9 n 13 5 23 25 27 29 3i Jours 7 19 21 Fig 2 Pourcentage quotidien d limination aqueuse par rapport au volume d eau ing r e a r v l une diff rence significative ou seuil de 0 01 Nous sommes donc autoris s faire leur rapport 48 52 33 91 1 43 Valeur gale ou QD en fin d essai qui traduit un accroissement de 43 p cent du pourcentage d limination aqueuse par rapport au volume d ecu ing r e lorsque cette derni re est de l eau min rale de Contrex ville Corr lation consommation diur se Le calcul statistique donne un coefficient de corr lation lin aire consommotion diur se r A 0 51 r B 0 51 pour le lot pour le lot B Quel que soit le nombre de mesures en l occurence 12 ces valeurs de r nous permettent de dire qu il n existe pas de corr lation lin oire significative entre l augmentation de la consommation et l augmentation de la diur se r lt lt 0 87 Nous remarquons por ailleurs que l utilisation de l eau min rale de Contrex ville n a apport aucune perturbation la valeur de ce coefficient Ainsi les seules diff rences de consommation ne suffissent pas expliquer les diff rences de diur se TUDE DE LA DIUR SE SOLIDE Elimination ur ique Technique de dosage Le dosage est fait par colorim trie enzymatique ur ase R actif Boehringer Elimination ur iq
2. ce qu on observait autre fois o le facteur tiologique principal tait l avorte ment provoqu Il est vident que la pr cocit des rapports sexuels le changement fr quent de parte naires le manque de discernement et d information des jeunes expliquent en partie ces chiffres pr oc cupants Mais on retrouve d sormais une autre notion dont la r alit a t longtemps contest e la contraception par dispositifs intra ut rins L in fection pelvienne quel qu en soit le germe appa rait dans 25 35 p cent des cas chez une fem me portant un st rilet qu il ait t pos alors qu existait une cervicite Chlamydia m connue par exemple ou que l infection ait t secondaire et ascendante Le st rilet apparait comme un facteur favorisant en autorisant une plus grande libert sexuelle en facilitant l ascension des germes le long des fils o l on a pu retrouver le gonocoque en provoquant une rosion et des microtraumatis mes la surface de l endom tre favorisant ainsi la p n tration tissulaire des germes L interruption vo lontaire de grossesse joue galement un r le non n gligeable Elle est consid r e comme un facteur de risque indiscutable par les auteurs su dois et am ricains Elle a t retrouv e l origine de l in fection dans 12 p cent de nos observations Toutes ces notions am nent consid rer qu il existe un groupe de patientes risque chez les quelles un certain nombre de f
3. 121 Ann e N 2 2 Trimestre 1984 ISSN 0032 7875 La Presse Thermale et Climatique ACQUISITIONS R CENTES EN GYNECOLOGIE OBST TRIQUE Organe officiel de la Soci t Fran aise d Hydrologie et de Climatologie M dicales Cy Expansion Scientifique Francaise M DICAMENT NON HORMONAL EFFICACE AGREAL v ralipride bouff es vasomo ti es troubles psychofonctionnels invalidants de ld m nopause confirm e Pour CHAQUE FEMME MENOPAUSEE c est au m decin de juger d apres l examen veineux art riel gyn cologique les donn es biologiques hyperlipid mie troubles du m tabolisme glucidique les ant c dents n oplasies cholestase l hygi ne de vie r gime tabac m dications le comportement psychique l intensit et le retentissement social possible des manifestations fonctionnelles et D VALUER POUR SA PATIENTE partir de ces donn es les avantages et les risques d un traitement hor mona de P AGR AL ou u de labsten is HUE PROPRI T S Neurotepnqueantidepamiaderalque antigonadcrospe INDICATIONS Pouf e somoticeretmantestarons psychofonctorneles iavalidantes de a7m7 6nopouse contrmee CONTRE INDICA TIONS Enraison deleitetnyr jerprotac linemiant dece pocut son emploichez des oaltien SSECOREN IDE Y une nyperore jac n mie nonfonctionre elle mier oade nomesetadenomesnypophy soiresaprolactine e cantre ndique MISEEN GARDE Aore dl ast un ne
4. Bilan de 53 cas de microchirurgie tubaire distale J Gyn col Obst t Biol Reprod Paris 1981 10 711 716 9 Dubuisson J B Aubriot F X Barbot J Thalabard J C Dendri nos S Henrion R Traitement microchirurgical des l sions proximales de la trompe propos de 51 cas J Gyn col Obst t Biol Reprod Paris 1983 12 61 86 10 Erny R Brochery P C Bathias Y Lesueur A Cons quences de l intection g nitale de la femme sur son avenir obst trical et gyn cologique Rev fr Gyn col Obst t 1980 75 245 251 11 Henry Suchet J Loffredo V n le de l infection g nitale chlamydia et mycoplasmes dans les salpingites et les st rilit s tubaires Nouv Presse M d 1980 9 964 12 Henry Suchet J Catalan F Loffredo V Serfaty D Siboulet A Perol Y Sanson M J Debache C Pigeau F Coppin R de Brux J Paynard T Etude microbiologique des pr l vements c lioscopiques dans les annexites et les st rilit s tubaires Recherche de chlamydia trachomatis et de mycoplasmes J Gyn col Obst t Biol Reprod Paris 1980 9 445 453 13 A K K The chlamydia epidemic JAMA 1981 245 1718 14 Madelenat P de Brux J Palmer R L tiologie des obstruc tions tubaires proximales et son r le dans le pronostic des im plantations Gyn cologie 1977 28 47 52 15 Moler B R Freundt E A Mardh P A Experimental pelvic in flammatory disease provoked by chlamydia
5. Choix des param tres climatologiques Nous avons utilis les tableaux climatologiques mensuels de la station de Nancy Tomblaine Parmi tous les para m tres disponibles il a t n cessoire d op rer un choix afin d viter les habituelles redondances Ce choix a t guid par une tude pr alable consacr e l pid miologie du suicide une premi re analyse facto rielle de correspondance portant sur 460 malades nous a permis d liminer un certain nombre de param tres m t o ropathologiques interd pendants en particulier l insolation quotidienne l insolotion mensuelle les param tres d activi t solaire et ionosph rique flux 10 cm param tre fo F2 ainsi que les v nements exceptionnels dans notre r gion Nous avons finalement retenu les informations suivantes la pression atmosph rique exprim e en millibars moyenne journali re calcul e sur la base de quatre mesures O h 6 h 12 h 18 h r duite 0 au niveau de la station altitude de la cuvette du barom tre 217 m la temp rature de l air sous abri en degr Celsius moyenne tablie d apr s des mesures toutes les trois heures Presse thermale et climatique 1984 121 ne 2 l humidit relative moyenne quotidienne de six cal culs journaliers repr sentant le pourcentage de la tension et de la vapeur d eau mesur e por rapport la tension de la vapeur d eau saturante les vents pour lesquels nous avons re
6. Professeur P DESGREZ Professeur J J DU BARRY Professeur M FONTAN Professeur GONIN Professeur GRANDPIERRE t GRISOLET Ing nieur en chef de la M t orologie Chef du Service d Etudes Climatiques de la Ville de Paris Professeur JUSTIN BESAN ON Membre de l Acad mie de M decine Profeseur Cl LAROCHE P MOLINERY Professeur J PACCALIN J PASSA R SOYER Assistant au Mus um National d Histoire naturelle P M de TRAVERSE COMITE DE REDACTION R dacteur en chef honoraire Jean COTTET membre de l Acad mie de M decine R dacteur en chef J FRANGCON Secr taire de R daction R JEAN Biologie P NEPVEUX Cour C AMBROSI J BERTHIER A PITON Dermatologie P BAILLET P GUICHARD DES AGES P MANY Etudes hydrologiques et thermales B NINARD Gyn colo gie Y CANEL G BARGEAUX H patologie et Gastroent rologie G GIRAULT J de la TOUR N phrologie et Urologie J M BENOIT J FOGLIERINI J THOMAS Neuropsychiatrie J C DU BOIS H FOUNAU L VIDART Nutrition A ALLAND Pathologie ost o articulaire F FORESTIER J FRAN ON A LARY R LOUIS P diatrie J L FAUQUERT R JEAN Veines R CAPODURO J FOLLEREAU C LARY JULLIEN Voies respiratoires A DEBIDOUR R FLURIN J MAUGEIS de BOURGUESDON COMITE MEDICAL DES STATIONS THERMALES Docteurs A DELABROISE G EBRARD C Y GERBAULET J LACARIN
7. a sp cialisation peu rigoureuse de la majorit des stations a v tust de l infrastructure thermale dont les qui pements datent pour la plupart des ann es 30 aggra v e par une absence quasi g n rale d investissements affec tant pr f rentiellement le secteur priv l inadaptation qualitative des structures d h berge ment et l absence de certoines d entre elles meubl s notam ment le glissement progressif vers un d veloppement compensatoire d activit s parall les non thermales et notamment physioth rapiques et kin sith rapiques ou l extr me exclusivement touristiques la timidit des campagnes promotionnelles tont au plan national qu destination de l tranger D autres l ments l oppos et non des moindres ren dent le bilan positif progression r guli re et nette de la fr quentation thermale annuelle de l ordre de 3 96 intervention des organismes de couverture sociale pour 90 p cent des curistes selon le protocole de l entente pr alable mois sans conditions de ressources affirmation de la cr dibilit th rapeutique du ther malisme por son enseignement universitaire dans le cadre des trois Instituts d Hydro Climatologie des universit s de Coimbra Lisbonne Porto avec d livronce d un dipl me d hydrologie m dicale par la reconnaissance prochaine d une comp tence thermale et par lo naissance et le d velo
8. mal du plus haut int r t th orique quant au m canisme d action de la cr noth rapie Actuellement des tudes biologi ques sont en cours et en particulier le sujet tr s passionnant des dosages de zinc prostatique qui d bouche sur d int ressantes consid rations quant la notion de terrain ch re aux tharma listes Par ailleurs La Preste organise cette ann e ses quatri mes journ es urolo giques annuelles Cette manifestation centr e sur des sujets qui traitent de l infection urinaire sp cialit de la station a vu peu peu son audien ce s accroitre et la participation d hos pitalo universitaires augmenter ce qui parait souligner son int r t intrins que comme celui de sa formule d tente et travail En bref ce travail dans deux direc tions bien pr cises m rement r fl chies depuis une dizaine d ann es et patiem ment poursuivies parait devoir tre continu afin que de plus nombreux curistes b n ficient du traitement de cette station la station de l infect urinaire Dr J M BENOIT SOCI T FRAN AISE D HYDROLOGIE ET DE CLIMATOLOGIE M DICALES Assembl e g n rale du 10 janvier 1983 Compte rendu G GIRAULT La s ance est ouverte 14 h 30 sous la pr sidence de J Thomas L assembl e proc de l lection du futur Bureau qui entrera en fonction en novembre 1983 Sont lus Pr sident Cl Boussagol Allevard Vice Pr sidents C
9. Certaines d sinfections n ont aucun effet r manent d autres sont inefficaces Les inventaires bact riologiques actuels sont inexploi tables scientifiquement parce qu ils sont fauss s par l insuf fisance de l hygi ne individuelle Ils pourront seulement servir ult rieurement de termes de comparaison Avant de nous tourner vers l administration nous avons entam une r flexion en r unissant p riodiquement plusieurs personnes comp tentes et responsables Avant d mettre lo moindre recommandation nous souhaitons recueillir l avis de la Soci t sur les propositions suivantes L hygi ne de la piscine elle m me ne se dissocie pas d un ensemble de cinq op rations successives l le passage du malade oux cabinets d aisance puis sa toilette avec savonnage minutieux l o il le faut 2 la r ducation en piscine de mobilisation 3 un contact thermal c est dire un authentique contact avec l eau et les manations thermales natives 4 un s chage minutieux 5 la d sinfection du maillot de bain voire du bonnet de bain En second lieu sachont que l eau des piscines diff re bien des gards de l eau des sources le moment semble venu de constater cette diff rence et d envisager que l eau thermo min rale subisse des adjonctions r glementaires Tou te solution uniforme est proscrire du fait de lo diversit des sources Suivant leurs caract ristiques les adjonctions pourraient comporter u
10. Hum gon est alors institu et une grossesse d bute en septembre 1975 avec accou chement normal terme en juin 1976 l existait un triple dysfonctionnement chez ce couple et dans cette gu rison un ensemble th ra peutique a jou Quelle est la part de Luxeuil on peut penser que les eaux ont eu un r le principal sur la normalisation du test postcoital le d s quilibre folliculo lut inique a bien r agi au traitement hormonal mais il est vraisemblable que la cure avait pr par les ovaires une meilleure ponte quant au spermogramme nous aimerions pou voir affirmer l action des eaux chaudes radioactives comme stimulant de la spermatog n se mais cela nous est difficile en raison du nombre relativement restreint de curistes masculins et l absence de travaux scientifiques ce sujet ST RILIT S ORGANIQUES F MININES Observation n 2 M L 32 ans en 1968 st rilit primaire de trois ans Au cours du bilan on est attir d embl e vers une tio logie tubaire avec l hyst rosalpingographie de 1966 un volumineux hydrosalpinx gauche une trompe droite st nos e mais perm able avec Cotte positif A la coelioscopie confirmation des l sions tubaires hydrosalpinx gauche preuve au bleu de m thyl ne n gative trompe droite perm able au bleu mais l orifice ampul laire est st nos le pavillon est d autre part rabougri par des adh ren
11. Les opinions exprim es dans les articles ou reproduites dans les analyses n engagent que les outeurs diteur EXPANSION SCIENTIFIQUE FRANCAISE 15 rue Saint Benoit 75278 PARIS CEDEX 06 T l 1 548 42 60 C C P 370 70 Paris TARIFS DE L ABONNEMENT 4 num ros par an FRANCE 160 F Etudiants CES 80 F ETRANGER 190 F Etudiants CES 95 F Prix du num ro 51 F OE LA PRESSE M DICALE THERMALISME AU SOLEIL ENTRE OCEAN ET MEDITERRANEE gr oux tes bains en haute Provence Rhumatismes voles respiratoires O R L arthroses traumatologie arthrites Climat m diterran en temp r Altitude 400 m Ouvert toute l ann e barbotan les thermes en Armagnac Station de la jambe malade Circulation veineuse phl bite varices Rhumatismes sciatiques traumatologie Station reconnue d utilit publique Mars D cembre le boulou en Roussillon Foie v sicule biliaire foie congestif cholecystites lithiasiques non chirurgicales allergies digestives goutte diab te Altitude 80 m Avril Novembre Cure de boisson toute l ann e les stations de d tente dela 4 ne am lie les bains en Roussillon Voies respiratoires OR L rhumatismos Emphys me rhino laryngologie pr g rontologie Climat m diterran en Altitude 230 m Ouvert toute l ann e e e eug nie les bains Landes de Gascogne 1 village minceur de France anim par Michel Gu rard Ob sit r
12. effets sont spectaculaires mais la l sion de la dyskin sie mitrale parait irr versible le crit re temps reste n cessaire Mais il faut aussi noter l effet adjuvont de la ph nytoine et des b tabioquants bradycardisants surtout le propanotol N cessit d une antibioth rapie pr ventive de l endocar dite infectieuse subaigu en cas d intervention dentaire ou chirurgicale Mais surtout corriger le DM inducteur de PMI d s qu if aura t d cel M Porte Ch telguyon Travaux r cents sur les eaux de Ch telguyon et le magn sium Ch telguyon station sp cialis e dans les maladies du tube digestif poss de les sources thermales les plus riches d Europe en magn sium Ces sources sont utilis es en cure de boisson et en goutte goutte rectal secondairement par voie externe 37 p cent des consultations de gastroent rologie con cernent les maladies intestinales Or les colopathes et les malodes atteints de dyskin sie bilioire pr sentent fr quem ment un d s quilibre neurov g tatif voquant le tobleau clinique de la spasmophilie latente De nombreux travaux ont effectivement montr l existence chez de tels molades d un d ficit magn sien rythrocytoire Les donn es anatomo physiologiques du d ficit magn sien sur les diff rentes parties du tube digestif sont actuellement mieux connues Ces alt rations restent longtemps fonctionnelles et r ver sibles difficult s de correction par l alim
13. goutte primitive commune La goutte ougmente ovec l ge la premi re crise sur venant entre 30 et 50 ans Ce sont les microcristaux qui provoquent l arthrite aigu par phagocytose de ces cristaux par les polynucl aires La colchicine entrave cette phago cytose Le d ficit de l urico limination r nale joue aussi un grand r le dons le d terminisme de la goutte primitive Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 90 SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE commune Cette hyperuric mie idiopathique semble en par tie g n tiquement d termin e la suralimentation peut tre aussi en cause ob ses pays riches classes favoris es Le risque de la goutte augmente avec le degr de l hyper uric mie et la dur e de cette hyperuric mie temps n ces saire l accumulation des d p ts cristallins d urate de sodium Mais il existe d autres facteurs mal connus tat du tissu conjonctif par exemple temp rature etc Le Docteur Foglierini Contrex ville traite ensuite de la cr noth rapie de la goutte et de la lithiase urique La cure ogit sur l limination des calculs renforce l action des uricolytiques et agit sur les sympt mes associ s J Durlach T tanie latente et prolapsus mitral par d ficit magn sique chronique primaire Ces deux affections tr s fr quentes ont fait l objet d une individualit r cente la t tanie latente constitutionnelle idiopathique tudi e par Klotz 1958 e
14. m s L tude reste purement qualitative elle a permis d li miner certains facteurs qui ne doivent plus notre avis tre consid r s elle a limin les redondances elle a confirm certaines intuitions traditionnelles et semble avoir d gag certaines tendances La m thodologie n a pas permis d int grer les variations pr c dant nettement l accident avant 2 jours et lui succ dant La m thode statistique utilis e reste critiquable mais nous a sembl adapt e ce type d tude n cessitant a priori la confrontation de tr s nombreux param tres L analyse de synth se ne permet cependant pas d affirmer formellement la corr lation mais simplement de la sugg rer souvent tr s fortement Il conviendra l avenir de faire l tude quontitative des liaisons en d veloppant les corr lations simples ou multiples Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 96 SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE 2 P dns ne V 2 99 A dfi 530 M Jo t9 5 r P Bliss ect Thr emb Cer neiges 4 t f odfi Eddeope Fee brouillard e a Otdfi4 530 age gt 60 990 O tar be as gaco d e hommes d 6 e40 a 49 1 Seg 27 M TM ue E ap 6 pleine lune e 9vO Ne NS p e 78h86 N Jj edfio tr aa 23 brume 50 ta 59 9p M 26 ee pluie en av s Hem Cer I V NU 9dfiO L ur Fig 1 Analyse factorielle de correspo
15. parfois le sigmoide le caecum ou l intestin gr le l une des deux annexes ou m me aux deux annexes On devine ais ment es cons quences de telles l sions La premi re est a st rilit Westrom 18 19 20 a montr que l infection des trompes laissait persister une st rilit tubaire dans 20 p cent des cas alors que la proportion de cette vari t de st rilit n tait que de 2 8 p cent dans un groupe t moin Plus pr cis ment il a valu le risque 12 p cent lors d une premi re pouss e 35 p cent lors d une deuxi me pouss e et 75 p cent lors d une troisi me pouss e La proportion des st rilit s tubaires par rapport aux autres causes de st rilit est de 40 p cent Elle semble augmenter r guli re ment La deuxi me cons quence est la grossesse extra ut rine la preuve de la responsabilit de l infection tant fournie par l examen histologique d taill de 51 trompes enlev es Port Royal lorsque toute Chirurgie conservatrice tait impossible Cet exa men a r v l l existence de l sions infectieuses dans 37 cas 9 fois dans la r gion proximale et 28 fois dans la r gion distale soit dans 72 p cent des cas ce qui confirme la responsabilit de l in fection des trompes dans la gen se de la nidation ectopique La troisi me est l existence de douleurs tenaces r cidivantes qui persistent actuellement dans 10 20 p cent des cas apr s l pisode aigu Elles en trainent d
16. pays exposant 560 km de c tes l oc an atlantique et 150 km la m diterran e se situe une latitude moyenne de 40 nord et une longitude moyenne de 9 ouest dans la zone des climats temp r s avec un t et un hiver quivalents et des saisons interm diaires bien marqu es La temp rature moyenne annuelle est d environ 14 C ce qui correspond l quilibre thermique entre la temp rature des mers et celle des continents de la latitude 40 Mais le climat va du nord au sud passer des caract ristiques du climat atlantique europ en celles du climat m diterran en augmentation progressive de la thermalit diminution de l humidit de la pluviom trie et de l intensit du vent La structure orographique d termine quant elle des nuan ces climatiques r gionales selon qu il s agit des zones litto rales ou des r gions de l int rieur C est ainsi par exemple que le climat alpin coroct rise la Serra da Estrela et les montagnes du Minho C est enfin tr s bri vement pr ciser que la population portugaise continentale est d environ 10 000 000 d habi tants que les trois villes les plus peupl es et par ailleurs si ges d universit sont Lisbonne 1 500 000 ha Porto 350 000 ha Coimbra 75 000 ha et que les diff rentes provinces sont du nord ou sud le Minho le Tras os Montes le Douro la Beira l Estremadura le Ribatejo l Alentejo l Algarve Notons aussi l existence de l archipel de
17. 10 ans La station thermale de Vichy riche de son exp rience et du succ s de ses cures de traitement du double handi cap maladies de l appareil digestif et rhumatologie s est pench e sur le probl me du vieillissement pr matur provoqu par les tensions cons tantes de l environnement moderne D une dur e de 10 jours le nouveau Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 trouver le ressort naturel de leur jeu nesse et apprendre l entretenir au fur et mesure que les ann es pas sent l associe les bienfaits des soins thermaux de la cure traditionnelle ceux des activit s sportives de la d tente et de la relaxation Chaque participant subit d s l arri v e un bilan biologique qui oriente le traitement personnalis tabli par un m decin de la station Cures de bois sons d eau de Vichy soins thermaux avec bains douches massages sont propos s en fonction de l tat g n ral de l organisme de chocun Mais qui dit tonus dit aussi r sis utilement pratiqu L encore il im porte de surveiller ce qu il convient chacun Ville pr olympique Vichy of fre un nombre important de disciplines golf 18 trous tennis piscine quita tion sports nautiques et aussi des cours de gym s ances de relaxation des animations diff rentes chaque jour Une vingtaine d h tels de la Station se sont associ s l Institut de Vichy pour proposer des tarifs et conditions a
18. 2 500 Promothermes iss durar aad COE 1 500 Vittel 45 b o mn P E EE T 1 000 VOIVIE ar yes tene bg aM ber p odd 1 000 Capvern aues Ma Eo dlemdit abd 500 St Thermale Pyr n enne dex Prisa 500 Allevard EN DE pisos 500 Mairies Greout Li EN acd vesc date sc vena 800 DiV nn r iuf yu each EG IAEA RECS ace e o 550 Vichy undi eto RR eee B a uRTR Rec RE RC M RUE 500 Luxeull aub gogo Rex aC ke dh ke acia 330 La Roche Posav uns sent ee ds 300 N ris Ausdauer Ade NN NET AR dU MEUS RO 300 Pl mbi res oco PGCE Y PR a RCRCRUROE ed RON ee 100 Nous adressons nos plus vifs remerciements aux Pr si dents des tablissements thermaux et des soci t s ther males ainsi qu Messieurs les maires des villes thermales qui ont bien voulu nous aider en augmentant les subventions qu ils ont l habitude de nous verser pour notre S ance Solennelle Portefeuille Nous n avons re u cette ann e contrairement l habi tude aucun relev de nos titres en d p t la BNP de Remiremont Nous avons t seulement avis s que nos obligations Paris Pays Bas ont t du fait de la nationa lisation des banques convertis en obligations CNB Nous avons regu pour 7 obligations estim es 2 194 92 F 4 obligations nouvelles de 500 F et notre compte bancaire a t cr dit de 194 92 F comme droit rompu Pr visions pour 1983 I nous faut pr voir en plus de la S ance Solennelle la s ance provinciale d
19. 3 sont relativement proches l un de l autre Ceci est confirm par l tude des figures repr sentant les plans 1 2 fig 1 et 1 3 fig 2 dont les aspects respectifs sont tr s ressemblants Nous avons pu d embl e distinguer trois points repr sentant les accidents le point infarctus du myocarde se situe gauche aux abords de l axe 1 le point thrombo embolies c r brales se place droite pr s de l axe 1 enfin le point h morragies c r brales se situe environ gale distance des deux pr c dents et l g rement plus vers le bos L analyse factorielle de correspondance permet de pousser plus loin l analyse et d gage l influence possible de facteurs m t orologiques dans la survenue de types diff rents d acci dents vasculaires Pour l h morragie c r brale on rel ve les facteurs pos sibles suivants pression atmosph rique en hausse humidit relative moyenne temp rature inf rieure 12 vent soufflont entre 2 et 6 m s de direction ouest activit g omagn tique lev e pluie en averse neige changements de lune Pour les thrombo embolies c r brales on peut relever les facteurs suivants pression atmosph rique constante humidit relative en baisse gradient de vitesse du vent positif activit g omagn tique faible inf rieure 6 Ces r sultats a priori int ressants m ritent d tre confir
20. Ce pr l vement peut tre r alis de la 6 la 12 semaine Le fragment doit tre examin extempo ran ment sous microscope contraste de phase pour s assurer de la puret du pr l vement I permet l tude du DNA f tal et gr ce au pro gr s du g nie g n tique et de la biologie mol culaire les diagnostics de dr panocytose de thalas s mie ont d j pu tre r alis s La mise au point de nouvelles sondes sp cifiques du chromosome Y de l h mophilie A et bient t B de la myopathie permettront d autres diagnostics L tude des activit s m taboliques est en cours elle permettrait le diagnostic des maladies h r di taires La biopsie de trophoblaste peu invasive suivant cette technique va permettre des diagnostics ant nataux plus nombreux et tr s s rs Surtout elle permet en cas d atteinte f tale d effectuer une interruption au m me terme que l interruption volon taire de grossesse Ainsi nous voyons que le diagnostic ant natal connait un d veloppement consid rable Ce d ve loppement est li la rapidit des progr s tech nologiques mais aussi aux recherches biologiques immunologiques et g n tiques qui permettent d esp rer au del m me de nos possibilit s actuel les des progr s plus grands encore tance l effort souplesse que l on retrouve gr ce un exercice physique Double nouveaut un nouvel Institut et le forfait anti stress 10 jours
21. Robin de Mohery Gr oux A Pajault Bourbon l Archambault Bon net Reims S taient excus s Les Docteurs F Forestier J Cl Romeuf Viala M Cou turier Rapport pour l ann e 1982 G GIRAULT Plombi res Pendant l ann e qui vient de s couler notre Soci t a tenu ses s ances ordinaires dans cet omphith tre o le Professeur Lechat continue nous recevoir avec une grande cordialit nous l en remercions bien vivement Lo s once de Climatologie a eu lieu en novembre sous la Pr sidence du Professeur R Grandpierre qui l avait organis e avec le succ s habituel Nous avons entendu pendant ces s ances treize Com munications deux en moins que l on dernier il nous faut donc tous chercher des auteurs mois aussi nous d cider faire connaitre aux membres de la Soci t nos travaux nos suggestions nos id es J M Benoit La Preste Infection prostatique et cr noth rapie La Preste valuation des r sultats long terme G Maestre Charrensol C Mestayer J Gaultier M M Delabroise J Thomas E Thomas P Desgrez J C Legrand Etude des acides biliaires sanguins chez des sujets suivis en cure Vittel Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 P Couturier Aix les Bains Des bains moyennageux Aix en Savoie pour l preux Marlioz et impr gn d res pour femmes b haignes aux cures rotiques de Pauline Borgh se J CI Dubois A Arnau
22. Si nous mettons part les pays de l Est dont les fondements du thermalisme social diff rent profond ment des n tres pour ne comporer que les pays d Europe occidentale nous sommes dons l obligation de constater que non seulement le Portugal y tient une place bien modeste certes mais que son potentiel de d velop pement thermal est riche d ovenir Composante s culaire et traditionnelle de la th rapeuti que portugaise la cr noth rapie suscite actuellement r flexion et engagement de la part des responsables profes sionnels et politiques de ce pays en vue de sa r novation et de sa promotion Le thermalisme portugais se veut avant tout comme dans notre pays facteur de sant il n en est pas moins un facteur conomique tant loco r gional que national Sa promotion selon ces deux crit res fondamen taux faciliterait l harmonisation du thermalisme social euro p en et l int gration du Portugal la communout euro p enne de la sant CONCLUSAO Pa s de cultura mediterr nea e de tradi o europzia por ta aberta para a Africa e a Am rica jovem democracia em vias de desenvolvimento Portugal n o pertence evidente mente vanguarda dos gigantes do termalismo europeu A U R S S a Alemanha a It lia a Rom nia a Tchecoslo v quia patenteiam uma frequ encia termal nitidamente supe 107 rior Se pusermos de parte os paises de Leste cujos funda mentos do termalismo social diferem profundamente dos nos
23. bien distinctes comme nous l avions fait dans deux tudes pr c dentes 5 6 La fr quence des autom dications nous a oblig introduire la notion de bon r sultat Nous distinguons ainsi en comparant l ann e avant cure et la deuxi me ann e apr s la premi re cure les tr s bons r sultats pas de cystite st rilisation des examens cyto bact riologiques urinaires pas de traite ment d sinfectont urinaire les bons r sultats diminution d au moins 75 p cent du nombre de jours de traitement et du nombre de cystites les am liorations diminution d au moins 50 p cent du nombre de crises de cystite et du nombre de jours de traitement urinaire les checs tous les autres cas Dossiers retenus ll a paru indispensable de r unir une s rie de dossiers suffisante plus de 200 cas pour viter trop de distorsions dans l valuation des r sultots Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 102 Un recul minimum de deux ans par rapport mi re cure a t exig la pre Les cystites chroniques comportent au sens strict des l sions de la paroi v sicale et rel vent du troitement chirur gical Elles n ont pas leur place ici ce travail concerne des femmes qui pr sentent des cystites aigu s r cidivantes Dans ces conditions 564 dossiers ont t analys s 245 dossiers 43 4 960 ont t jug s exploitables Sur ces 245 patientes 49 n ont pas t revue
24. cas 16 3 95 alternances les plus fr quentes E coli prot us 18 cas et E coli ent rocoque 13 cas un germe autre qu E coli apparait constamment dans 19 cas 7 7 96 germes les plus fr quents ent rocoque 9 cas et prot us 4 cas un germe autre qu F coli apparait le plus fr quem ment alternant avec un autre germe dans 14 cas 5 8 96 alternances les plus fr quentes prot us E coli 10 cas et prot us ent rocoque 2 cas Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE Nb crises patient an 1r cure 6 5 4 3 2 1 cas cos cas Fig 1 Nombre de crises par curiste et par an Nb j Tt patient an 180 T cure 120 90 60 45 30 15 196 0 O 196 1 168 2 ans cas cas cas Fig 2 Nombre de jours de traitement par patient et par an R sultats du bilan urologique La s rie tudi e ici comporte 245 femmes dont le bilan radiclogique urinaire est normal pour tre tr s pr cis une anomalie sans rapport avec la cystite est trouv e dans quelques cas que nous ne pouvons d tailler ici kyste r nal stable par exemple Il para t cependant int ressant de d tailler les r sultats de l ur trocystoscopie tant entendu que pour nous ther malistes le plus int ressant est de v rifier l absence de l sion de traitement chirurgical qui renverrait au cas des cystites chroniques Ces r sultats sont les suivants vessie n
25. constante et connue On a veill durant toute la p riode de l essai maintenir une temp rature constante 21 au moyen de radiateurs lectriques thermostat s Le degr hygrom trique de l air a t maintenu aux environs de 60 p cent L clairement tait naturel par baies vitr es suivant ainsi le rythme nycth m ral de l poque de l ann e Parall lement aux mesures de consommation et de diu r se quotidiennes on a mesur les taux d ur e et de chloru res dons les urines de choque lot Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 110 mi A Contrex vile Source Pavilon A B T moia Z 500 wn naa Ou O 5 17 19 21 23 25 27 29 8 Jours Fig 1 Diur se cumul e TUDE DE LA DIUR SE AQUEUSE Diur se brute compte non tenu de la consommation Les diur ses cumul es sont illustr es par la figure 1 sur laquelle on voit que la courbe Contrex ville est toujours situ e au dessus de la courbe B eau t moin Pour les deux courbes une p riodicit de sept jours est vidente Chacune des p riodes d bute par une accentuation de la diur se cumul e suivie d une phase de ralentissement La comparaison des moyennes des diur ses quotidiennes des deux lots fait apparaitre une diff rence significative au seuil de 0 001 Nous sommes donc autoris s faire le rapport des moyennes des diur ses 121 74 72 68 1 67 Cette valeur de 1 67
26. de femmes En tant rigoureux dans la s lection des dossiers et exigeants pour les crit res d action retenus il nous semble que le pr sent travail concernant 196 cas avec un recul de an et 168 cas avec un recul de 2 ans ou plus apporte un bon reflet de l volution des cystites apr s cr noth rapie de La Preste Mais ce trovail ne peut avoir l ambition d tre scientifiquement indiscutable il manque une s rie de pa tientes servant de t moins et permettant de conclure for mellement Nous sommes parfaitement conscients des probl mes sp cifiques que pose cette s rie de patientes et en particulier du probl me des bilans urologiques normaux Remarquons que le r sultat de l endoscopie doit tre interpr t avec prudence Les images d inflammation localis e ou diffuse posent question sont elles la cause ou la cons quence de l infection urinaire On ne peut r pondre cette inter rogation Remarquons encore que les patientes tudi es ici viennent en cure trop tard 17 ans d volution en moyenne presque 6 crises par an et par potiente ce qui t moigne d une volutivit importonte 28 jours de traitement n cessaires chaque crise autant de chiffres qui indiquent clairement que ces patientes viennent en cure toute extr mit Dans ces conditions les r sultats enregistr s apr s cures La Preste nous paraissent tout fait honorables et susceptibles d une bonne am lioration si l application du tra
27. de l eau sur certains processus de bose de la physiologie r nale DISCUSSION AU COURS DE LA S ANCE L action diur tique des eaux sulfat es calciques et ma gn siennes est vidente pour nous m decins thermaux et pourtant chez l animal le rat en particulier elle est diffi cile mettre en vidence ll convient d ailleurs de faire la part de la pr f rence des rats pour une eau min rale par rapport l eau du robinet ce que nous avons montr dans une communication publi e dans La Presse Ther mole J Thomas E Thomas D Thomas et P Desgrez Ecologie et eau de Vittel Les rats pr f rent l eau de Vittel Grande Source l eau du robinet Presse therm clim 1979 116 31 33 Dans le travail des Dr Gerardin et Hacq l ur e urinaire est en permanence exc dentoire chez les rats buvant de l eau de Contrex ville et la constatation d une augmentation permanente et importante de l ur e urinaire me parait pr ter discussion notre avis elle ne peut provenir que d une augmentation du catabolisme pro Vie des stations RENNES LES BAINS de 50 km la Cit de Carcassonne distante tidique ce qui est peu proboble ou d une augmentation de la rat on aiimentaire ll est regrettable que cette exp rimentation ne comporte pas de pes e des animaux S il y a augmentat on de la consommation alimentaire elle expli que facilement l augmentation du chlore urinaire l est regrettable qu il n y ait pos eu d
28. des follicules matures En pratique bilan hormonal et chographie sont effectu s tous les deux jours partir du deuxi me jour PONCTION FOLLICULAIRE Elle est pratiqu e le plus souvent sous coeliosco pie exceptionnellement l heure actuelle sous chographie entre la 34 et la 37 heure qui suivent l injection d HCG La patiente est hospitalis e la veille au soir ou l avant veille si l on souhaite un dernier bilan hor monal ou une chographie La c lioscopie est r alis e en d but de matin e sous anesth sie g n rale ou locale Tous les follicules rep r s sont ponctionn s l aiguille aspir s la seringue puis au s rum physiologique si l aspiration initiale n a pas ramen l ovocyte Les ovocytes peuvent tre ainsi recueillis par rin age sans que leur qualit en soit alt r e MATURATION DES GAM TES Ovocyte l est rep r dans son cumulus par examen la loupe binoculaire et aussit t mis en culture pour FECONDATION IN VITRO ET quelques heures 4 24 heures afin d achever sa maturation La filance du cumulus est un bon t moin de la maturation ovocyte initiale Le milieu de culture varie suivant les quipes Le B de Menezo enrichi de s rum maternel est le plus fr quemment utils en France Earl s ou Ham s enrichis sont employ s dans les pays anglo saxons il est fondamental de conserver l ovocyte d s son pr l vement et jusqu sa r implantation la cons t
29. des r sultats Elles se sont av r es tre compati bles avec une distribution voisine de la normale Ainsi la distribution de Student g n ralement adopt e dans ce type d analyse peut tre utilis e ici Nous travaillons sur deux s ries de 12 mesures Le degr de libert est de 12 12 2 22 Ce dernier tant inf rieur 60 la distribution correspond une distribution t de Student Nous valuerons donc ce t pour chaque rubrique et rechercherons sur les tables la probabilit p correspondante On consid re g n ralement qu une diff rence est significative si la pro babilit p est inf rieure 0 01 dans le test de Student Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 112 c est dire qu il persiste moins de chance sur 100 por le fait du hasard Les probabilit s p calcul es sur les diff rences de moyennes ont t trouv es toutes inf rieures p cent et sont donc significatives il existe moins de 1 chance sur 100 pour que les r sultats obtenus puissent tre dus au hasard DISCUSSION Devant la constatation objective d une effet diur tique marqu de l eau sulfat e colcique et magn sienne de Contrex ville avec une nette augmentation de l limination urinaire du chlore et de l ur e il devient int ressant de chercher d finir les m canismes pouvant tre mis en couse pour expliquer ces effets Au niveau glom rulaire on peut invoquer un r flex
30. es dose ont habituelle ime ani admin s an deu fos rune av antracrinis trat onde lontimitotique Faut e S haoi s EFFETS IND SIRABLES C aze certainssu jetssensioilis s possicilte e neuroloo 3 ques spasmes rnosculc aires locali s ou ox or cis ou endocriniens ame norh e qa octo h e SRRECAUIIONS D EMPLOI ason de Telni nation Uinor du produit ta prudence commande 2 r cdurelaposclogie e de p escrire d Jec es dsCEninues rez Tinsuffso de t nol grave SURDOSAGE Un sufdosage ventuel non observ encore ce out pourroit se manfe uu patr des crises dyskin liquesaityoe dete tticolis spasmogcique protrusion dea angue tris us PR SENTATIONS So i inj botede6aomp de 2mldos es SOMI d olionice Comp bone de 12 doses SO mg TABLEAU C PRIX Sokin Re BOF SHE AMM 322 448 Dem bours 2036 parlaS curit oc zoe Agree cux collectivi l s Cornp 3AaC FE SHP AMM 324864 Non rembours paria S curit Sociale Laboratoires DELA SRA NGE 1 av Pierre Brossc Jette 9 38O CHLLY MAZARIN T l 6 934 38 45 Infomation M dic ale BF FE A380 C CHILLY MAZARIN LAS 44812 34 tats d inhibition avec asth nie ou c nestopathies fnr nem se CNRS EP ETETETT ASUNT S QOO RESO fo See d couverte francaise 15 ans d exp rience PROPRI T S Neuroleptique d sinhibiteur Action pr ventive l gard de certains ulc res exp rimentaux INDICATIONS tats n vrotiques tats d inhibition avec asth nie
31. est aussi celle du rapport des diu r ses cumul es RD en fin d essai et traduit un accroisse ment de 67 p cent de la diur se brute pour les rats abreuv s l eau de Contrex ville Ce chiffre r sulte de l observation d une p riode de 30 jours alors qu apr s une journ e l ac croissement n est que de 53 p cent Pourcentage quotidien d limination aqueuse L tude de la diur se brute ne tient pos compte de la consommation ll faut alors examiner le pourcentage quotidien d limination aqueuse par rapport au volume d eau ing r e report sur la figure 2 La courbe A Contre x ville est toujours situ e au dessus de la courbe B eau t moin avec un synchronisme particuli rement net pour les pics des 13 et 27 jours Quotient diur tique Le pourcentage quotidien d limination aqueuse por rapport ou volume d eou ing r e de chacun des lots vo nous servir d terminer le quotient diur tique QD urine mise eau consomm e Contrex ville QD urine mise eau consomm e eau t moin La comparaison des moyennes des pourcentages quotidiens d limination aqueuse par rapport au volume d eau ing r e Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE Pourcentage A Contrex ville Source Pavillon B T moin 80 70 60 ALAN 40 30 20 10 mu O Oo pe e M a me co o ue aa Mm scans Nig L LI
32. et climatique 1984 127 no 2 Les maladies sexuellement transmissibles P VIGE Paris La recrudescence des maladies sexuellement transmissibles est devenue d sormais un probl me de soci t auquel tous les sp cialistes doivent tre pr ts faire face En gyn cologie obst trique les probl mes sont de deux ordres chez la femme enceinte il faut les rechercher de parti pris afin de ne pas les m connaitre Nous ne citerons comme exemple que la recherche devenue syst matique au sein du couple d ant c dent d herp s g nital et ou d herp s g nital en activit En effet m connaitre un herp s et accep ter un accouchement par voie basse c est courir le risque en cas de contamination et de trans mission au f tus d enc phalite et de m ningite aux s quelles neurologiques consid rables Chez la femme non enceinte les circons tances de d couvertes sont diff rentes que ce soit au cours d une infection aigu d un bilan de st rilit ou d une simple visite de surveillance La s miologie gyn cologique des infections ut ro annexielles s est modifi e Le tableau clas sique associait des douleurs pelviennes vives une d fense hypogastrique une temp rature lev e oscillant entre 38 et 40 C des leucorrh es et au toucher vaginal une douleur vive la mobilisation ut rine et des culs de sac vaginaux emp t s A ce tableau s est substitu un tableau beaucoup plus b tard o les
33. hypophyse et que la stimulation de l appareil g nital de la rate semblerait relever d un m canisme indirect Ces travaux repris en 1963 par les Professeurs Lamarche et Grignon 4 concluaient que les eaux de Luxeuil appliqu es en irrigations vaginales sur tout pouvaient entrainer chez la rate un effet d impr gnation estrog nique semblant tre le r sul tat d une action sp cifique sur l appareil g nital Dans le domaine de la st rilit beaucoup de stations thermales fran aises ont dans le pass inscrit cette indication traditionnelle c t de leurs indications sp cifiques relatives et revendiqu des succ s Ainsi de nombreux m decins y ont ils vu plus un slogan publicitaire qu une science La th rapeutique thermale en gyn cologie connait depuis plusieurs ann es un regain d int r t que l on peut expliquer en trois points l empirisme s culaire a fait place des m thodes scientifiques dans la lutte contre la st rilit la cr noth rapie r ussit parfois l o tout a chou enfin par la vogue des m decines dites douces ou cologiques Les traitements modernes n ont en effet pas r solu tous les probl mes gyn cologiques et les espoirs plac s en eux ont t parfois d us cas des plasties tubaires de plus les accidents qu ils Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 84 C TRECHOT Y CANEL P TRECHOT peuvent induire inducteurs d ovulatio
34. incidence des accidents vasculaires et en particulier des accidents vasculaires c r braux nous permet de consid rer certains facteurs g n raux et certains facteurs qui semblent influencer plus particuli rement la survenue des h morragies d une part et des thrombo embolies d autre part Ce sont des facteurs survenant sur un terrain pr par et interf rant avec des facteurs mieux connus facteurs nerveux alimentaires La m thodologie propos e et sp cialement l analyse de correspondance factorielle nous permet de consid rer des tendances dont l analyse doit tre compl t e jours qui pr c daient la survenue de l accident Il restera pr ciser l influence d autres facteurs souvent indirectement li s qu climat nutrition rythme de vie nature de l eau et le r le des diverses perturbations physiopatholo giques interm dioires entre le facteur favorisant et l acci dent facteur nerveux autor gulation c r brale variations de P A de la coagulation et de la rh ologie Si nous confrontons nos r sultats avec ceux d j publi s nous trouvons quelques travaux concernont un ou deux gp gradient de pression gT gradient de temp rature gV gradient de vitesse du vent hyd hydrom t ores de surface pluie en av pluie en averse t temp rature en degr s v vitesse du vent en m s Ohno poram tres et de rares tudes mwultifactorielles Besangon 12 16 21 En ce qui conce
35. indications temporaires infection g nito urinaire en cours masculine ou f minine Spermoculture et culture des pr l ve ments cervicaux et vaginaux sont des l ments indispensables du bilan pr liminaire Mention part doit tre faite pour la tuberculose g nito urinaire diagnostiqu e au cours du bilan de st rilit La FIVETE ne sera entreprise qu apr s bi lan complet et traitement prolong de la maladie tuberculeuse et en l absence d atteinte endom triale Alt rations du corps ou du col ut rin syn chie myome st nose cervicale qui compromettent le transfert embryonnaire et son implantation Elles rel vent le plus souvent d un traitement chirur gical Il est demand avant toute tentative de FIVETE et d coule de ces contre indications Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 76 V HANNART P VIGE Pour la femme En consultation l examen clinique habituel insiste sur l tat du col sans omettre les frottis cervico vaginaux avec en particulier la possibilit de cath t risme jusqu au fond ut rin hyst rom trie pr cise Puis le toucher vaginal rep re la position du corps ut rin ant ou r trovers Ce sont deux l ments fondamentaux pour la r implantation de l uf Toutes les pi ces du dossier seront rassembl es courbes de temp rature et r sultats des ven tuels dosages hormonaux d j pratiqu s rensei gnent sur la qualit des cycles spont
36. liquide articulaire et dans les tissus ant c dents de fluxion articulaire Autres crit res New York 1966 2 acc s inflammatoires aigus d une articulation acc s int ressant le gros orteil pr sence de tophus diminution de l inflammation apr s 48 h de colchi cine Vari t de goutte Hvyperuric mie et goutte secondaire cette hyperuric mie peut tre provoqu e par certains m dicaments cette goutte secondaire est rare plus fr quente chez la femme L insuffisance r nale s accompagne d hyperuric mie quand l ur e sanguine d passe 1 g l De m me certaines h mo pathies polyglobulies spl nom galie leuc mie an mies h molytiques chroniques Elle est plus fr quente dans la glycog nose h potique l hyperparathyroidie la chondrocalcinose articulaire Plus rarement dans le psoriasis tendu le mongolisme etc La plupart des diur tiques peuvent augmenter l uric mie Hyperuric mie et goutte par d ficit d hypoxanthine guanine phosphoribosyl transf rase dans l enc phalopathie de Lesch Nyhan et dons la goutte pr coce s v re des jeunes adultes masculins Hyperuric mie et goutte par hyperactivit de la phos phoribosylpyrophosphatase synth tase Hyperuric mie idiopathique et goutte primitive com mune La plupart des hyperuric mies sont de m canisme et de causes mal lucid s on les qualifie d idiopathiques et la goutte qui en d coule
37. lorsqu il s agit d une premi re pouss e car ils re courent largement la coelioscopie Malheureuse ment nous l avons vu les l sions sont souvent d j tr s volu es lorsque le diagnostic est fait et les s quelles sont fr quentes Force est alors de re courir dans les cas de st rilit la chirurgie tubaire pr c d e accompagn e et suivie d un traitement m dical bien conduit comportant plusieurs cures d antibiotiques et de corticoides La chirurgie per met de sectionner les adh rences d ouvrir les obhlit rations de r s quer les fragments st nos s L emploi du microscope chirurgical conduit une r paration plus anatomique et plus physiologique L utilisation du laser vite les suintements et rac courcit la dur e de l intervention La chirurgie tubaire distale donne de bons r sul tats lorsque la perm abilit persiste m me quand elle est diminu e 60 p cent de grossesses intra ut rines Les r sultats sont plus m diocres lorsqu il existe un hydrosalpinx 20 25 p cent de gros sesses intra ut rines si l on n utilise pas le micro scope op ratoire 54 5 p cent de grossesses intra ut rines et 13 6 p cent de grossesses extra ut rines lorsqu on recourt la microchirurgie Dubuisson et coll 8 La chirurgie tubaire proximale se limitait autre fois aux r implantations tubo ut rines qui donnaient dans les meilleurs cas 30 p cent de grossesses intra ut rines et 15 p cent de gross
38. nombre de caract ristiques qui en font toute la gravit La premi re de ces caract ristiques est le jeune ge des patientes En effet elles repr sentent dans nos statistiques Port Royal sur 150 salpin gites collig es 6 p cent de moins de 30 ans et 20 p cent de moins de 20 ans Corrolaire 60 p cent sont des nullipares tout fait comparables la statistique de Westrom qui en compte 73 p cent On sait actuelllement que la survenue d infections vulvo vaginales notamment virales est un facteur de risques prendre en consid ration dans la gen se des cancers du col ut rin Enfin les s quelles sont extr mement lourdes l augmentation du nombre de grossesses extra ut rines multipli par 3 ou par 5 actuelle ment dont la morbidit reste appr cier Jles douleurs qui peuvent passer la chroni cit extr mement invalidantes et pouvant conduire des salpingectomies bilat rales chez des femmes jeunes a st rilit enfin dont on sait qu elle est peu accessible aux techniques chirurgicales ou m me micro chirurgicales et n est alors que du recours de la f condation in vitro enfin dans le cadre plus g n ral d conomie de la sant o elle repr sente une part non n gli geable et allant en s accroissant des d penses de sant publique puisque s y incluent coelioscopie pr l vements bact riens analyses biologiques trai tement antibiotique hospitalisation plu
39. ou c nestopathies Maladie ulc reuse gastro duod nale Manifestations des colopathies fonctionnelles Propos dans certains syndromes vertigineux CONTRE INDICATION Ph ochromocytome sauf comme test d preuve POSOLOGIE Selon les indications 2 ou 3 ampoules IM j co t j t 620 9 30 F 2 6 g lules j co t j t 2 60 78O F P diatrie Solut buvoble 5mg kg j co tj t O 12 F kg j MISE EN GARDE Bien qu aucun cas de syndrome malin n ait t observ sous Dogmatil il faut suspendre le traitement en cas d hyperthermie surtout lorsqu il est utilis fortes doses EFFETS INDESIRABLES S dation ou somnolence dyskin sies pr coces torticolis spasmodique crises oculogyres trismus c dant un antiparkinsonien anticholinergique syndrome extrapyramidal c dant partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques dyskin sies tardives qui pourraient tre observ es comme avec tous les neuroleptiques au cours de cures prolong es les antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation Impuissance frigidit am norrh e galactorh e gyn comastie hyperprolactin mie prise de poids PRECAUTIONS D EMPLOI R duire la posologie et prescrire des cures discontinues chez l insuffisant r nal grave Comme avec tout neuroleptique la prudence est de r gle chez l pileptique le parkinsonien le sujet g la femme enceinte INTERACTIONS Potentialisation des hypoten
40. pendant 10 minutes hyperventilotion apr s 5 minutes d hypern e volontaire Chosvteck et ou positivit de VEMG suffisent pour affirmer l existence d une t tanie latente Autres examens neurophysiologiques EEG EEG du som meil d apr s midi exploration cardiologique Echo en sp cifiant au malade qu on recherche simplement la t tanie par l sion cardiaque l chographie permet le diagnostic dans la grande majorit des cas aspect en cupule en hamac Cette pratique permet de voir que tous les cas de PM idiopathique s accompagnent de TL dans un tiers des cas il vient compliquer l volution de la TL ll apparait donc comme une modalit de possage l organicit d un d ficit magn sien prolong non trait Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 Dosages et preuves de charge il faut au minimum doser les calciums plasmatique et urinaire les magn siums plasmatique et rythrocytoire les deux derniers aboiss s dons les TL ou le PMI seul un tiers des TL et des PMI pr sente une hypomagn s mie il faut dans tous les cas tenter une preuve de charge par l apport de doses physio logiques de Mg par voie orale 5 mg kg de poids jour exercent un effet favorable s il s agit de DM La calc mie est normale il fout pratiquer aussi un test d Addis et une hypercalciurie Donn es th rapeutiques La magn soth rapie est l l ment sp cifique majeur du traitement de la TL et de sa complication le PMI Les
41. que la m dication peut aussi bien se faire avec de l eau ordinaire Avec 40 ans d exp rience du thermalisme je n ai pas vu d infection contract e dans une piscine thermale Par contre en 1982 j ai commenc de voir quelques ryth mes cutan s li s l hyperjavelisation de l eou de la piscine Estimation des r sultats obtenus par la cr noth rapie de La Preste dans le traitement des cystites J M BENOIT P JEANJEAN La Preste Les cystites constituent une affection extr mement r pandue majoritairement sinon exclusivement f minine On consid re qu une femme sur cinq pr sente au moins une cystite durant sa vie En 1981 les m decins fran ais ont diagnostiqu 1 121 000 crises de cystites auxquelles il faut probablement ajouter une bonne partie des 445 000 diag nostics d infection urinaire sans pr cision 1 on a ainsi pu parler propos des cystites de v ritable probl me de sant publique On imagine ainsi ais ment que les cystites constituent l es sentiel du recrutement de La Preste station consacr e aux infections urinaires plus d un tiers de la fr quentation selon nos diverses estimations Une tude des r sultats obtenus La Preste dans cette indication paraissait donc indispensable elle a motiv le pr sent travail 66230 LA PRESTE LES BAINS Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 DIFFICULT S DE L TUDE Pour r aliser une tude objective dans to
42. sont ainsi transform es en gran deurs logiques classes de 5 mb pour la pression atmos ph rique Une premi re approche a consist effectuer tous les calculs de corr lation entre les param tres pris deux deux calcul du x Cette d marche classique n envisage pas les relations susceptibles de faire intervenir simultan ment plusieurs poram tres C est pourquoi des analyses multi dimensionnelles ont t n cessaires et nous avons adopt l analyse factorielle de correspondance de Benzecri 1 qui gr ce un tableau matriciel de contingence d finit un espace m t o d une maladie et un espace m dical d un param tre m t o gr ce la notion de barycentre les nuages de points peuvent se r sumer des points dont on tudie la r partition dans l espace trois axes de coordon n es en dehors de l origine les points sont plus discri minotifs et une corr lation est probable lorsque loin de l origine des axes deux points sont tr s proches R SULTATS R partition des accidents vasculaires selon les crit res m t o rologiques Nous donnerons d abord les tableaux de r partition des accidents vasculaires selon la pression atmosph rique selon la temp rature la direction du vent les hydrom t ores le doily flare index Nous rappelons que l indice de r partition moyenne des malades s tablit 1 25 jour Il convient d tablir compte tenu du nombre de molades dans les diff rentes s ries un c
43. spermatozoides lors de l mission du sperme et apr s preuve de diffusion Cette preuve reproduit la s lection des spermatozoides telle qu elle sera pratiqu e au moment de la FIVETE Une spermoculture conclura ce bilan R sultats des examens Les r sultats de tous ces examens obtenus le couple est revu en consultation le cycle pr c dant Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 la tentative de FIVETE chaque param tre d une check list est contr l Insistons tout particuli rement sur la n gativit des examens bact riologiques des deux partenaires qui doit tre obtenue ventuellement par traite ment avant toute tentative STIMULATION DE L OVULATION La plupart des auteurs apr s avoir pens que seuls les cycles spontan s donnaient des ovocytes et un endom tre de qualit ad quat ont adopt le principe de la stimulation de l ovulation apr s publication des premiers r sultats de cette m thode En effet le monitorage de l ovulation permet d obtenir plusieurs ovocytes 2 3 en moyenne par c lioscopie de bonne qualit et une heure ouvrable Les protocoles de stimulation sont variables sui vant les quipes Clomid HCG HMG HCG ou Clomid HMG HCG cette derni re s quence tant la plus utilis e en France La date de l injection ovulante d HCG est conditionn e par le taux d estradiol plasmatique coupl au rep rage chographique
44. trachomatis and my coplasma hominis in grivet monkeys Am J Obstet Gynecol Paris 1980 138 990 995 16 Osper S Liedholm P Sjoberg N O Risk of pelvic inflam matory disease among users of intrauterine devices irrespective EUN Divos pregnancy Am J Obstet Gynecol 1980 7138 17 Ward M G Watt P J Robertson T N The human fallopian tube A laboratory model for gonococcal infection J infect Dis 1974 129 650 18 Westrom L Effect of acute pelvic inttammatory disease on fertility Am J Obstet Gynecol 1975 121 707 713 19 Westrom L infertility after acute non tuberculous infections of the fallopian tubes In nlection et f condit pp 215 222 Paris Masson 1977 20 Westrom L Bengtsson L Ph Mardh P A Mardh Ph The risk of pelvic inflammatory disease in women using intra uterine contraceptive devices as compared to non users Lancet 1976 2 221 224 Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 R ERA dy NS ryth me fessier du nourrisson MODE D EMPLOI Application locale EFFET IND SIRABLE yent r action de sensibilisation cutan e PR CAUTION D EMPLOI Test d application cutan e pr alable SURDOSAGE En cas proloeng es et tendues contr le de la calc mie passage ventuel de la vitamine D dans la circulation g n rale PR SENTATION ubes de 65 et 135 g dos s 20 g d huile de foie de poisson 27 g d oxyde de zinc et 22 g
45. Ambrosi Royat Traut Challes Secr taire g n ral G Girault Plombi res Secr taire g n ral adjoint J Carles Capvern F Larrieu Contrex ville Tr sorier R Jean Allevard Tr sorier adjoint P Guichard des Ages Lo Roche Posay M Roche Paris Secr taire de s ance R Chambo Bagnole de l Orne H Founau Lamahou Notre ami Cl Boussagol remercie l assembl e de la confiance qu on lui t moigne et s engage le d veloppement de la Soci t ceuvrer pour Sont aussi lus Membre d honneur M e le Professeur Rampon Membre honoraire Docteur A Schneider Membres titulaires Dr Bargeaux Chambon Campino Larrieu Sebagh Le secr toire g n ral annonce la promotion de notre ami le Docteur Carri Membre d honneur de notre Soci t et Secr taire g n ral de la F d ration Thermale et Climatique il a t promu officier dans l ordre de la L gion d honneur Est annonc e aussi la nomination de M Jacques Pon cet Pr sident de l UNET au grade de Chevalier de la L gion d honneur A tous les deux nous adressons nos f licitations Puis le Secr taire g n ral G Girault pr sente le rapport moral de notre Soci t pour l ann e 1982 et le Docteur Ren Jean Tr sorier le rapport financier Ces deux rapports sont approuv s l unanimit Communications Larcan L Picard H Lambert M C Lapr vote Heully
46. France et de 30 millions de cols environ pour les eaux de source 500 millions de cols en France ce qui correspond un chiffre d affaire global d environ 50 mil lions de francs Une partie est export e vers les Etats Unis le Portugal insulaire le Cap Vert Le patrimoine thermal est comme en France h t ro g ne un seul tablissement thermal est la propri t de l Etat l h pital thermal de Caldas da Rainha Estremadu SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE ro par ailleurs le seul ouvert toute l ann e Deux sont nationalis s et b n ficient d une gestion autonome Mon chique en Algarve et Manteigas en Beira Alta Un est la propri t d un office de tourisme Moledo en Beira Alta et un certain nombre sont g r s par les municipalit s Chaves Sao Pedro do Sul Unhois da Serra mais la majorit constituent des soci t s priv es Dernier point essentiel la sp cialisation troite des stations thermoles n est pas au Portugal aussi rigoureuse que dons notre pays Les tudes statistiques r centes de la Direction G n rale de la Sant font cependant appara tre pour choque station tudi e une indication principale et une orientotion secondaire comme cel est maintenant ta bli en France dans le cadre du thermalisme social ORIENTATIONS CR NOTH RAPIQUES Elles se rattachent pour l essentiel aux affections organi ques chroniques et en particulier aux maladies de d g n rescence ainsi qu la pa
47. La plus fr quente de ces perturbations est l hyper absorption Les perturbations du m tabolisme osseux doivent provo quer des l sions osseuses ost omalacie pure ost oporo malacie surtout Le traitement des hypercalciuries idiopathiques diff re selon la pathog nie En pratique le m decin prescrit un r gime pauvre en Ca or ce traitement n est indiqu qu en cas d hypercalciurie par hyperabsorption Le r gime pauvre en Ca aggravera la perte osseuse dans les autres cas il faut prescrire alors de la calcitonine dose substitutive pour freiner le catabolisme osseux L ost oporose commune et l hypercalciurie idiopathique ont des complications douloureuses graves et invalidontes qui peuvent d sormais b n ficier de traitements vis e pathog nique C Y Gerbaulet M Labeew N Pozet Hypercal ciurie facteur de risque et cures de diur se Les cures de diur se sont b n fiques dans les lithiases calciques par effet de dilution Cette tude porte sur les eaux de Vittel Evian et Volvic R Louis J Louis Bourbon Lancy Etude pr limi naire sur le m tabolisme phosphocalcique au cours des cures thermales en rhumotologie Certaines cures comme celles de Bourbonne travaux de A B nitte ont une action sur l ossification Apr s les conclusions du Professeur M Boulang lo s ance est lev e La soir e se termine par un banquet r unissant beaucoup de ceux qui s int res
48. ONCLUSION l est vraiment dommage que ces diff rentes possibilit s de th rapeutique ne soient pas mieux tudi es si les onalyses d eau confirmaient la tradition ce serait un atout suppl mentaire pour le tourisme gyptien qui pourrait allier la d couverte des tr sors phoraoniques l am liora tion de la sant dans un site enchanteur un climat des plus agr ables SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE 109 Eau sulfat e calcique et magn sienne de Contrex ville et diur se Analyse d une exp rimentation chez le rat J C G RARDIN B HACQ Contrex ville Depuis que les cures thermales de diur se ont t observ es et contr l es m dicalement Contrex ville on a constat dans la plupart des cas la chronique des ph no m nes suivonts au d but sentiment de pesonteur du bas ventre se dissipant peu peu Dr Debout d Estr es 1870 polyurie de cure avec drainage nergique des voies urinaires par action de diur se hydrique et solide Dr Labot 1878 Cependont ces constatations reposent sur l empirisme et seules des exp rimentations rigoureuses peuvent confirmer l effet d hyperdiur se observ la qualit de celle ci et tenter d en approcher les m canismes Ces exp rimentations furent donc r alis es sur le rat l incitation du Laboratoire National de la Sant publique et de l Acad mie de M decine de Paris afin d tudier les effets diur tiques de l eau min rale de C
49. Palais de Justice XVI si cle la porte du Nord Portail de Cad ne cimeti re Gallo Romoin sur Informations LE MONTANT DE L INDEMNITE D HEBERGEMENT ET LE PLAFOND DE RESSOURCES APPLICABLE AUX CURISTES VIENNENT D ETRE RELEVES Le Journal officiel du 31 mars 1984 a publi 2 arr t s du Ministre des Af faires Sociales et de la Solidarit Na tionale l un concerne le nouveau mon tant de la participation des Caisses d Assurance Maladie aux frais de s jour des curistes c est dire au sur croit de d penses entrain par un s jour de trois semaines hors du domicile Ce nouveau montant est de 793 F soit en hausse de 5 03 96 sur l an dernier Les ayants droit g n ralement pris en charge 70 toucheront d sormais 26 40 F par jour en d dom magement de leurs frais de logement et de repas L autre concerne le plafond de ressources de toute nature de l as sur et le cas ch ant de son conjoint de ses enfants et de ses as cendants charge au dessous du quel peuvent tre attribu es l indem nit d h bergement et la participation aux frais de voyage g n ralement calcul e sur la base de 70 96 du tarif S N C F 2 classe aller et retour Ce nouveau plafond est de 75 444 F pour les ressources de l ann e 1983 est en hausse d une ann e sur l autre de Cauterets Capvern Eurothermes p 82 Delagrange Agr al 2 couv Delagrange Plitic
50. absorption du chlore en fonction des conditions hydro lectrolytiques dans l anse de Henl cette adaptation tant peut tre sous contr le des prostaglandines C est au niveau de l ensemble du tubule r nal qu il faut chercher l explication de l limination ur ique fortement accrue 90 96 Au niveau du tube proximal l ur e est r absorb e par diffusion vers les capillaires p ritubulaires du cortex Le gradient de concentrotion selon lequel la diffusion apparait s tablit la suite de la r obsorption des ions et de l eau Pitts 121 La diminution de cette r absorption tubulaire proximale entraine donc une diminution de la diffusion avec augmentation de l ur e amen e jusqu aux tubes collecteurs A ce niveau la r trodiffusion de l ur e vers le milieu inter sticiel m dulloire et papillaire puis vers l anse de Henl est certainement limit e par la vitesse lin aire du d bit dans l anse et par les modifications du gradient lectro chimique dans la branche ascendante de l anse de Henl Malnic Pitts 11 121 L autre constatation importante que nous ovons pu faire lors de cette exp rimentation est d ordre chronobiologique En effet nous avons retrouv un rythme infrodien de la diur se ovec une p riodicit de 7 jours rythme r gulier sur un enchainement de 4 p riodes et identique pour les deux lots tudi s eau de Contrex ville et eau t moin Une observation de ce rythme sur une dur e d expe ri m
51. acc l rer la gu rison et surtout d am liorer l tat de la muqueuse et de la musculeuse Dans tous les cas de cure pour st rilit la pr sence du mari est tr s souhaitable Sans parler du r le favorable des eaux thermales pour stimuler les petites insuffisances testiculaires les cures contribuent r tablir dans e couple une bonne harmonie psychologique physiologique et sexuelle R F RENCES 1 Brux J de Histopathologie gyn cologique Paris Masson 1982 2 Canel Y Traitement des inflammations g nitales Luxeuil les Bains Presse therm clim 1950 87 72 74 3 Canel Y Schramm B Etude sur les modifications de la cyto logie vaginale sous l influence de la cr noth rapie Luxeuil Presse therm clim 1951 88 77 81 4 Canel Y Engelhard A Schramm B Etude exp rimentale du m canisme d action des eaux de Luxeuil les Bains sur l appa reil g nital de la rate Presse therm Clim 1957 94 222 225 5 Curran J W Economic consequences of pelvic inflammatory disease in the United States Am J Obstet Gynecol 1980 138 848 851 6 Delecour M Martin G Leroy J L L aspect actuel des infec tions annexielles n Mises jour en gyn cologie et obst trique pp 19 28 Paris M Tournaire 1978 7 Dubuisson J B Barbot J St rilit tubaire Encycl m d chir Gyn coloie 11 1981 750 A 10 et B 10 B Dubuisson J B Barbot J Aubriot F X Henrion R
52. acteurs favorisants peuvent tre retrouv s le jeune ge au dessous de 25 ans le mode de vie sexuelle nombre de parte naires simultan s ou successifs Z 3 partenaires le port d un dispositif intra ut rin quel qu il soit a r p tition des interruptions volontaires de grossesse l existence d pisodes ant rieurs de salpingite de bartholinite de l sions condylomateuses voire d herp s a pr sence d une vaginite trichomonas de condylomes et ou de mycoplasmes dans les voies g nitales inf rieures le comportement g n ral abus du tabac de l aicool usage de la drogue le lieu de r sidence puisque l on sait qu une femme risque beaucoup plus en milieu urbain gt 200 000 habitants Presse thermale et climatique 1984 121 n 2 la profession certaines femmes tant en principe plus expos es telles que les h tesses d accueil les serveuses les femmes voyageant fr quemment mais aussi les tudiantes a notion d un voyage r cent 30 jours accompagn e ou non notamment dans un club de vacances la notion d un contage suspect r cent h t ro sexuel ou homosexuel GRAVITE La gravit des l sions tubaires est due en partie la nature des germes qui a chang et la dif ficult fr quente du diagnostic qui retarde la mise en uvre d un traitement efficace Les germes ont volu lls ont vari dans le temps et d un pays l
53. ait a t plus touristique que thermal en effet le thermalisme comme nous le verrons tout l heure en est ses premiers balbutiements La station d Helouon me parait en r gression depuis les ann es 40 et surtout cause de l environnement Les autres sources n ont fait l objet d aucune tude Nous n avons pu voir l tablissement de thalassoth rapie quant aux bains de sable ils sont presque inexistants mais ils seraient efficaces si l on en croit l Aga Khan et les popu lations locales JOURN E NATIONALE SOLENNELLE Elle a eu lieu le 11 mars dans la salle de Conf rences des Laboratoires Roussel que nous remercions de nous avoir re us avec tant d omobilit S ANCE DU MATIN La s ance du matin d bute 9 heures sous la Pr sidence du Professeur Desgrez Le premier expos est celui du Professeur Ryckewaert M tabolisme des purines hyperuric mie De l hyperuric mie la goutte L acide urique provient du m tobolisme des purines il en est le terme les principales purines sont l ad nine la guanine l hypoxanthine la xanthine et l acide urique Elles ont en commun le noyau purinique L acide urique est l tat d urate dans le plasma urate soit libre soit li mois en petite quontit des prot ines plasmatiques L uric mie et l uricurie sont dos es par une m thode colorim trique imparfoitement sp cifique certains m di caments peuvent en modifier le taux La m thod
54. alcul stotistique qui est ici celui du X2 Apr s cette premi re approche de statistique descriptive il apparait une influence sensible et significative de la m t orologie sur la survenue des accidents vasculaires aigus Avec toutes les r serves inh rentes ce type d inter pr tation il semble que significativement la fr quence des accidents vasculoires aigus apparaisse augment e quand lo pression atmosph rique est inf rieure 990 mb la temp rature de l air est inf rieure 12 C et quand elle chute le vent souffle du nord au sud sud ouest il existe de la gel e blanche avec brume de la pluie ou de la neige la lune est son premier quartier le daily flare index est inf rieur 530 ou quand il est en baisse l activit g omagn tique est inf rieure 6 Ces conclusions demandaient tre confirm es par l tude de l analyse factorielle Analyse factorielle de correspondance Interpr tation des r sultats Nous nous sommes propos s d tudier trois plans d finis par trois axes d inertie les plans 1 2 2 3 1 3 fig 1 2 et 3 En fait en observont le plan 2 3 plan qui en th orie est le plus riche en relations on s aper oit que les points repr sentatifs de tous les crit res se rassemblent autour de l origine Cet aspect group ne permet aucune diff renciation des relations Par cette allure g n rale on peut penser que les deux axes 2 et
55. ales peuvent rendre de grands services dans deux cir constances a st rilit et les douleurs r siduelles Comme l a si bien dit Canel 2 La cure pour ces malheureuses est une halte bienfaisante Nous n insisterons pas sur les indications respec tives des eaux chaudes radioactives et peu min ralis es des eaux sulfur es ou des eaux sal es froides hypermin ralis es Nous voudrions simple ment rappeler ce qui nous parait tre les princi pales indications d abord la consolidation de la gu rison d une infection tubaire r cente En effet le processus inflammatoire ne s teint pas imm diatement I persiste souvent des douleurs encore labiles qui b n ficient de la cure thermale ensuite les douleurs pelviennes r cidivantes et tenaces dues des l sions de salpingite chro nique survenant chez une adolescente ou une fem me jeune qu il serait d sastreux d op rer Le r sul tat de la cure semble d autant meilleur que l pisode infectieux est plus r cent puis la st rilit succ dant un pisode de salpingite dans laquelle n existe aucune indication op ratoire surtout lorsqu aux facteurs tubaires s as socient une dysovulation avec insuffisance lut ale une insuffisance ou une mauvaise qualit des glaires cervicales s opposant l ascension des spermato zoides enfin les suites op ratoires d une chirurgie tubaire bien faite afin de pr server la perm abilit d
56. an 3e couv Delagrange Dogmatil 4e couv INFORMATIONS la promenade les remparts Hameau de St Salvayre situ 6 km qui poss de une glise du XYII si cle et d o l on d couvre un superbe panorama sur les Pyr n es et les C vennes Alet les Bains est la station thermale des maladies gastriques de l intestin et de la nutrition Maladies de l intestin diarrh es colopathies spasmodiques anomalies anatomiques constipation colites Maladies gastriques gostrites s quelles de chirurgie Maladies de la nutrition ob sit 5 69 96 c est dire tr s largement au dessous du taux d rosion mon taire 83 Trois remarques Les arr t s sont applicables dater du 1 janvier 84 ll appartient donc aux curistes ayant effectu leur cure depuis cette date et rembours s sur les bases 83 de demander un rap pel de prestations ou un r examen de leur dossier La signature de ces arr t s au 19 mars est en sot r confortante pour les professionnels c est presque un record En tout une marque d int r t si l on se souvient que les ann es pr c dentes les arr t s correspondants toujours effet du 1 janvier avaient t sign s l an dernier le 29 juin mais aussi en 1980 le 11 juillet en 1978 le 18 juillet Si le vrai record appartient l an n e 1981 le 26 f vrier il faut ensuite remonter dix ans en 1974 pour retrouver une fixation en m
57. an s l hyst rographie et l hyst roscopie avec biop sie d endom tre permettent de d pister une anoma lie de la cavit ut rine myome syn chie malfor mation et de sa muqueuse atrophie hyperplasie insuffisance lut ale infection les comptes rendus op ratoires d taill s des diverses interventions laparotomies et coeliosco pies sont tudi s avec soin afin de juger de l accessibilit des ovaires la ponction une insuf fisance d information conduisant demander une nouvelle coelioscopie avant la d cision d finitive une consultation d anesth sie approfondie est indispensable La ponction folliculaire am ne par fois prolonger la coelioscopie intervention qui n cessite pneumop ritoine et position de Trendelen bourg dont on ne doit pas m sestimer les risques Au laboratoire un bilan infectieux local pr l ve ments cervico vaginaux et culture des germes pathog nes retrouv s et g n ral num ration for mule sanguine et vitesse de s dimentation est pratiqu l en est de m me des s ro diagnostics de rub ole et toxoplasmose Des dosages hormonaux LH E progest rone prolactine plasmatiques sont demand s en l absence de r sultats r cents Pour le conjoint Les r sultats de tous les spermogrammes sont examin s Une tude compl te du sperme est effectu e par le laboratoire qui assure la FIVETE avec examen de la concentration et surtout de la mobilit des
58. ante thermique de 37 C et dans une atmosph re gaz e 5 p cent de CO Ce CO r alise un tampon bicarbonate la surface du milieu de culture et vite ainsi la baisse du pH induite dans la culture par le catabolisme cellulaire cellules du cumulus et spermatozoides non f condants Spermatozoides En cas d obtention d ovocyte s mature s le sperme est recueilli au laboratoire en fin de mati n e par masturbation Pour ce recueil l asepsie doit tre aussi grande que possible car l infection des cultures par le sperme n est pas exceptionnelle Le sperme subit ensuite une capacitation par lavage centrifugation deux fois r p t e en milieu de cul ture puis par une preuve de diffusion afin de s lectionner les meilleurs spermatozoides Le culot de la derni re centrifugation contient les spermato zoides il est recouvert d un milieu de culture neuf qui va se peupler peu peu des spermatozoides qui y diffuseront les plus actifs migrant les pre miers Ces derniers sont recueillis par micropipe tage de la surface du milieu On obtient ainsi les 70 000 100 000 spermatozoides compt s au micro scope les plus actifs INS MINATION Ces spermatozoides sont alors transf r s dans le milieu de culture ovocytaire pour la f condation L heure de cette ins mination est d finie par l tat de maturation ovocytaire dans les cas les plus favorables elle a lieu l apr s midi du jour de la ponction La f condatio
59. ar V Hannart et P Vige Diagnostic ant natal par P Vige et Y Dumez 4 Thermalisme et pr vention en gyn cologie par Y Canel Place de la cr noth rapie dans le traitement des st rilit s La station thermale de Luxeuil les Bains par C Tr chot Y Canel et P Tr chot SOCI T FRANCAISE D HYDROLOGIE ET DE CLIMATOLOGIE M DICALES Assembl e g n rale 10 janvier 1983 Compte rendu par G Girault rr Rapport pour l ann e 1982 par G Girault 4 4 Rapport du tr sorier pour l ann e 1982 par R Jean e n Param tres climatologiques et accidents vasculaires c r braux de type thrombosant et h mor ragique par A Larcan J F Stoltz H Lambert et M C Lapr vote Heully Hygi ne des piscines thermales par F Besan on Estimation des r sultats obtenus par la cr noth rapie de La Preste dans le traitement des cystites par J M Benoit et P Jeanjean esee Le thermalisme au Portugal R alit s et perspectives d avenir par R Chambon Aper u sur le thermalisme en Egypte par G Girault Eau sulfat e calcique et magn sienne de Contrex ville et diur se Analyse d une exp rimen tation chez le rat par J C G
60. ars le 29 du montant du forfait h bergement Troisi me remarque ce plafond de ressources est distinct de celui qui est consid r pour l attribution des in demnit s journali res en cas d arr t de travail Ce dernier correspond douze fois le plafond mensuel de cotisation lo S curit Sociale jusqu au 1 juin 84 8110 F par mois D apr s Thermalisme Informations n 33 du 15 4 84 REPERTOIRE DES ANNONCEURS L Etablissement Thermal est alimen t par une source communale bicarbo nat e calcique dont la temp rature est de 23 C d effet s datif diur tique elle r gularise le transit intestinal L eau min rale d Alet mise en bou teilles et commercialis e alimente aussi la piscine Soins pratiqu s bains douches sous marines compresses douches jets cure de boisson hydromassages ent roclyse sauna Surveillance m dicale M decin Thermal attach l Etablissement Masseur Kin sith rapeute DE DISTINCTIONS M Ren Leduc Pr sident Directeur g n ral de la Soci t des Eaux Min rales et des Etablissements Thermaux de Ch telguyon et de la Compagnie des Eaux Min rales de la Bourboule a t promu au grade d Officier dans l Ordre National de la L gion d hon neur au titre du Tourisme et du Ther malisme Nous lui adressons nos plus vives f licitations COURRIER DES LECTEURS Notre coll gue le Dr Eric Jouret de Vals les Bains nous fait remarquer qu
61. autre Certains tels que les gonocoques ont vu leur influence diminuer tandis que d autres jusqu alors inconnus tels que les Chlamydia trachomatis apparaissaient Westrom 18 19 20 qui fait autorit en la mati re puisqu il b n ficie Lund dans le sud de la Su de d une structure sanitaire lui permettant de d pister toutes les salpingites dans une population de 16 000 fem mes g es de 15 39 ans et de v rifier le diag nostic bact riologique estime que les infections pelviennes sont actuellement dues des Chlamydia trachomatis dans 60 p cent des cas des gono coques dans 10 15 p cent des cas des myco plasmes dans 10 15 p cent des cas et des germes ana robies dans 5 p cent des cas Le ger me reste inconnu dans 15 20 p cent des cas En France le gonocoque parait tre en cause dans 15 20 p cent des infections tubaires et le Chla mydia trachomatis dans 30 p cent des cas environ 33 6 p cent dans les 110 salpingites aigu s obser v es au cours des deux derni res ann es la cli nique universitaire Port Royal Or le Chlamydia tra chomatis provoque des l sions tubaires graves comme l ont montr Moller et coll 15 chez le Singe qui fait une salpingite exsudative avec alt ration de la muqueuse tubaire et r tr cissement de la lumi re dans un d lai de deux mois apr s ino culation de l endom tre puis des trompes par voie canalaire D autre part es associations sont fr
62. avec la collaboration de D Evrard J F Kempl J Lambert Param tres climatologiques et accidents vas culaires c r braux de type thrombosant et h morragique Les param tres climatologiques d activit solaire et de l atmosph re indice d ruption solaire activit g omagn tique phases de la lune ont t tudi s Puis on a mis en vidence les parall les avec les r sultats de l tude faite par F Beson on et d une tude japonaise qui com portait en outre des facteurs d habitot et de mode de vie Interventions Pr F Besan on R Flurin C Ambrosi J Cl Dubois Pr Desgrez Pr Grandpierre A Pajault F Besan on Hygi ne des piscines thermales L au teur envisage les diff rents moyens pour viter la contagion et insiste particuli rement sur la toilette des curistes Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 88 SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE Interventions B Ninard A Pajault R Louis G Girault H Founau J Thomas P Guichard des Ages Pr Laugier J M Benoit La Preste Estimation des r sultats obtenus La Preste dons le traitement des cystites Interventions J Foglierini J Thomas R Chambon Bagnoles de l Orne Le thermalisme au Portugal Actualit s et perspectives d avenir Intervention Pr M Boulang G Girault Plombi res Aper u sur le thermalisme en Egypte intervention Pr Desgrez J Ch G rardin B H
63. ces Le malade consulte de tr s nombreux m decins beaucoup lui conseillent une intervention chirurgicale qu elle redoute En 1968 M L consulte le Docteur Canel Celui ci pr conise deux ou trois cures thermales avant d envisager une plastie tubaire En 1968 premi re cure en juillet d une dur e normale et deuxi me cure en septembre de 15 jours En 1969 troisi me cure en ao t et sans autre traitement une grossesse commence en d cembre 1969 avec accouche ment normal terme en ao t 1970 I s agissait ici d un tr s mauvais cas de st rilit tubaire avec des l sions qui avaient fait pr coniser une plastie par la plupart des sp cialistes consult s M L avait entrepris un tour de France des sp cialistes et c est une r ussite int ressante du traitement thermal Cette th rapeutique thermale avait t envisa g e comme premier temps d un ensemble qui aurait compris cure chirurgie cure et avant de tenter une plastie dont on pouvait se demander si elle r aliserait des cicatrices meilleures que celles qui existaient d j il tait tout fait logique de pr parer le terrain gr ce l effet r solutif des eaux ST RILIT S FONCTIONNELLES F MININES Observation n 3 M P Ag e de 29 ans en 1975 st rilit primaire de 8 ans Un bilan tr s complet a t tabli aussi bien pour M P spermogrammes normaux que pour Me P hyst ro salpingographie
64. cines et bien entendu adapter le nombre des baigneurs la quantit d eau du bain 5 Toilette pr alable s rieuse 6 Utiliser des v tements de bain un seul usage c est possible ou pas de v tements du tout Dr Louis Le danger de la pollution des piscines thermales n est il pas sur valu Dans toute la dur e de mon exp rience Bourbon Lancy il n a pas t observ d accident infectieux ou de contamination rapporter ces piscines thermales SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE Pr Laugier La chloration et ses inconv nients compos s d addition c est dire mono di trichloramines seraient vit s si le contr le de la piscine en chlore libre se faisait par la technique du Break Point et le dosage du chlore libre et combin effectu por la DPD Les habits de boin peuvent tre d livr s st riles cf Cies a riennes Dr Jean A Allevard nous ne voyons pas d incidents dus aux piscines thermales puisque nous n en n avons pas Par contre nous voyons beaucoup d incidents infectieux notamment li s aux piscines d eau de ville malgr la jovellisation de celles ci Dr Pojault Remplacer l eau thermale de la piscine de r ducation par de l eau ordinaire constamment renouvel e me semble tr s nocif pour l image de marque du thermalisme d une part on s efforce de prouver que l eau thermale est un m dicament r el agissant par voie transcutan e et d autre part on admettait
65. cins de l poque Sous la domination romaine Luxeuil tait d j sp cialis e comme station gyn cologique A partir du XV si cle elle connait un nouvel engouement devenant ainsi le lieu de pr dilection des mis res f minines et sa r putation d eaux engrosseuses se d veloppe Depuis la fin du XVIII si cle on a d couvert la plupart des effets th rapeutiques de ses sources s datifs d congestifs et phl botoniques r solutifs toniques accessoirement diur tiques et stimulants sur la fonction ovarienne sans explication ni preuve du ph nom ne Cependant des tudes plus scientifiques furent r alis es Luxeuil dans deux directions princi pales sur le syst me neurov g tatif travaux du Professeur Merklen et du Docteur Canel 1 2 sur le syst me endocrinien travaux du Pro fesseur Schramm 6 o il semblerait que l action de la cure ne s exerce que sur des ovaires encore r actifs une stimulation hormonale Par la suite des tudes exp rimentales ont t men es sur des rates trait es pr sence d un lot t moin et d un lot trait par eau ordinaire La 10 rue Georges Clemenceau 70300 LUXEUIL LES BAINS synth se de ces travaux montra principalement qu une action importante avait lieu au niveau de l hypophyse si bien qu la lumi re de ces exp riences Schramm et ses collaborateurs ont pens que l action de la cure hydromin rale s exer ait d abord sur l
66. d Saujon Etude quanti tative de l vol tion des tats d pressifs sous l effet de la cure hydroth rapique D Ch Martin La Bourboule De l influence de la g othermie sur les sources thermales P Tankosic F Demogeot C Burlet M Boulang Etude histo autoradiographique de la fixation intracellulaire de l anion sulfate contenu dans l eau de boisson Nancy D Chevassut R Jean Etude des variations du d bit expiratoire de pointe dans les affections broncho pulmonaires au cours de la cure thermale Allevard L Tabchi Schneider M Boulang A d Houtaud L image de l eau min rale R sultats d une enqu te d opi nion sur trois groupes de population Nancy SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE 89 R Grandpierre La climatologie et ses relations avec la physiologie J J Dubarry Bordeaux R flexions propos du bruit dons les stations thermales et climatiques H Marotte C Boutelier J Timbal M Lond e Les rythmes thermiques circadiens et le rendement du trovail musculaire J Gir Bordeaux Recherches concernant l action physiologique de l ionisation n gative de l ambiance D Sonnek Saint Mand Conseils par un voyageur partant pour un bref s jour en Afrique Intertropicale Nous ne parlerons pas de la journ e en province puisque l ann e pr c dente nous en avions eu deux en f vrier et en d cembre VOYAGE THERMAL EN EGYPTE Ce voyage en f
67. dapt s aux possibilit s de chacun Institut de Vichy 123 boulevard des Etats Unis 03201 VICHY CEDEX T l 16 70 98 95 37 Thermalisme et pr vention en gyn cologie Y CANEL Luxeuil les Bains En 1982 les stations thermales gyn cologiques ont deux indications majeures les douleurs g ni tales f minines qui repr sentent 50 p cent de leur client le et la st rilit 30 p cent Douleur et st rilit f minine sont caus es dans les trois quarts des cas par des infections ces derni res ont pour cause majeure les MST et l avor tement MST et avortement laissent des complications des cicatrices pour la pr vention desquelles la cure thermale joue un r le immense et d cisif Les MST ce sont d abord la gonococcie dont tout le monde sait l extension la recrudescence et la malignit croissante Des maladies de connais sance plus r cente mais aussi redoutables car plus dissimul es les Chlamydia le mycoplasme des viroses et encore le vieux trichomonas qui contribue ouvrir la porte tous ces germes nou veaux atteignant en g n ral des femmes jeunes Voici une belle fille de 20 ans qui rentre d un club de vacances avec une salpingite aigu elle est hospitalis e pendant 15 jours pour subir une th rapeutique habituelle tout fait efficace Mais quelle que soit la rigueur du traitement anti infectieux elle a d embl e 50 chances sur 100 d tre st rile de conserver un tat inflamma
68. de lanoline pour 100 g PRIX 7 10 F 20 Rembours 40 par la S curit Sociale Agr aux collectivit s 3 T ubofatores 0 DELAGRANGE avenue Pierre Brossolette 91380 CHILLY MAZARIN T l 6 934 38 45 cg UN ONSE ARTEN M DICALE B P 7 91380 CHILLY MAZARIN T l 6 448 12 34 D 47 H4 DELAGRANGE 21R 186 MI 24 VISA PM F condation in vitro et transfert embryonnaire V HANNART P VIGE Paris Depuis la naissance de Louise Brown en juillet 1978 de nombreuses quipes ont obtenu une gros sesse volutive par FIVETE f condation in vitro et transfert embryonnaire franchissant ainsi toutes les tapes depuis la ponction d un follicule mature jusqu la r implantation in utero d un ceuf pr ala blement f cond et cultiv in vitro Toutefois le nombre des auteurs rapportant ac tuellement un taux de succ s atteignant 20 p cent de grossesses par coelioscopie n exc de pas la dizaine travers le monde C est dire la difficult d obtenir la maitrise com pl te et reproductible de chacun des maillons de la longue chaine que constitue la FIVETE Apr s avoir envisag la s lection des couples candidats nous tudierons successivement chacune de ces tapes S LECTION DES COUPLES Indications La principale indication est la st rilit tubaire d finitive soit contre indication op ratoire l sions bi focales bilat rales volu es ou l sions ampulla
69. delas Douro litoral 75 km de Porto a des eaux m sothermales tr s radiooctives foiblement min ra lis es silicat es et bicarbonat es calciques Caldelas est la station de l intestin Geres Douro litora 93 km de Porto a des eaux hyperthermales tr s radioactives faiblement min ralis es La pathologie respiratoire ressort 4 stations dont Felgueira Beira Alta et Sao Vicente Douro litoral qui recoivent chacune environ 2 500 curistes Une minorit de curistes 26 environ soit 10 000 Curistes se r partit ensuite in galement dans les diff rentes autres orientations avec par fr quentation d croissante 105 v Aen e Ger s Choves Le Caldelas 2 Vizela PORTO e Moledo 9 S ViCente v e Carvalhal X e S Pedro do Sul 1 d Luso Fefgueira i e tei 3 Curia g fio e Mon eigas Un Da Serra COIMBRA b T Azenha J P e Monte Real H i Caldas da Rainha 3 1 ie Cucos Fi LISBONNE Ca v Y Yi VAO S 3 G tc s e Monchique les affections m taboliques principalement trait es Curia station du Beira litoral proche de Coimbra dont la fr quentation annuelle est d environ 7 000 curistes et qui poss de des eaux froides sulfat es bicarbonat es cal ciques et mogn siennes Les indications en sont lo maladie goutteuse la lithiase urinaire les hypercholest rol mies les affections de l appareil urinaire
70. derni res ann es et la liaison entre la recrudescence des maladies sexuellement trans missibles et celle des salpingites ne fait aucun doute Elle a t bien mise en vidence lors de divers symposiums internationaux dont l un des plus importants s est r uni Atlanta en avril 1980 Mais l appr ciation exacte de la fr quence des infections tubaires est difficile en France car de Clinique universitaire Port Royal 123 bd Port Royal 75014 PARIS tr s nombreux cas restent m connus ou sont trait s par des m decins g n ralistes sans aucun contr le endoscopique chappant ainsi tout recensement Cependant nous poss dons quelques statistiques trang res qui peuvent donner des indications les m mes causes produisant les m mes effets C est ainsi qu en Su de o la lib ration sexuelle s vit de longue date la proportion de femmes g es de 15 39 ans atteintes d infection pelvienne est de 1 p cent Elle atteint 2 p cent chez celles qui sont g es de 15 24 ans Aux Etats Unis certaines statisti ques obtenues partir des h pitaux et des cliniques permettent d estimer 500000 environ le nombre de cas de salpingite survenant chaque ann e chez les femmes de 14 34 ans soit une proportion comparable celle observ e en Su de Enfin tant aux Etats Unis qu en Angleterre le nombre d hospi talisations pour salpingite aurait augment de 50 p cent en quelques ann es Un autre indicateur de valeur
71. dosages hormonaux biopsie d endom tre sans anomalie Mais on constate une spaniom norrh e r gl e tous les 2 3 mois et des ovulations rares espac es apparemment normales A t trait e par Ondogyne et Cycloestrol pendant plu sieurs mois sons succ s Avant d entreprendre une th rapeutique par inducteurs d ovulation M P est adress e en cure Luxeuil en juillet 1975 pendant ce s jour on note une glaire cervicale obondante cloire filante de type pr ovulatoire semble bloqu e en cestrus Le test post coitol est parfaitement positif La stimulation du tissu cervical est si importante sous l action des eaux qu la fin de la cure il existe un ectropion p ri orificiel Deux mois plus tard en septembre sans autre traitement M P est enceinte et accouchera normalement terme en juin 1976 L action gonado stimulante des eaux chaudes et radioactives de Luxeuil aura suffi d clencher une bonne ponte ovulaire il est heureux que ce r sultat ait t obtenu avant l utilisation de th rapeutiques certes tr s efficaces mais beaucoup moins inoffen sives que la cr noth rapie ST RILIT S FONTIONNELLES MIXTES Observation n 4 couple C Elle 28 ans en 1973 St rilit primaire depuis 4 ans pr sente m nom trorragies dysm norrh es et ovula tions inconstontes depuis 5 ans en 1971 une hyst rosalpingographie ayant montr Presse thermale et climatiq
72. douleurs restent n anmoins le signe le plus constant et de tr s grande valeur Parfois la temp rature est normale les signes ne peuvent tre qu unilat raux Les m trorragies ne doivent pas faire garer le diagnostic et d sormais faire voquer le diagnostic d infection CHU Cochin Port Royal 27 rue du Faubourg Saint Jacques 75674 PARIS CEDEX 14 Les examens biologiques peuvent tre normaux L hyperleucocytose peut manquer La VS peut tre normale Parfois une antibioth rapie aveugle et insuffisante a pu d capiter les signes Parfois encore le tableau peut tre beaucoup plus trompeur quand il se manifeste sous forme de p rih patite d origine g nitale ou syndrome de Fitz Hugh Curtis caract ris par une douleur bru tale au niveau de l hypocondre droit irradiant l paule augmentant l inspiration profonde et succ dant en r gle une infection g nitale pass e plus ou moins inapercue La temp rature est le plus souvent normale L tat g n ral est plus ou moins conserv A l examen on retrouve une douleur la pres sion de l hypocondre droit douleur exacerb e l branlement h patique Le reste de l examen est le plus souvent normal C est dire que les examens compl mentaires prennent ici toute leur valeur pour redresser le diagnostic Coelioscopie Faite en l absence des contre indications habi tuelles que sont les ant c dents de p ritonite et les laparotomies multiples e
73. e l uri case est sp cifique La notion d hyperur c mie comporte une part d arbi traire Physicochimiquement la limite sup rieure de l uri c mie est de 70 mg l chez l homme de 60 mg l chez la femme pour les Anglo Saxons En r alit la goutte chez la femme ne se manifeste qu au dessus de 70 mg 10 p cent des hommes ont une hyperuric mie chez la femme la proportion est dix fois plus faible Par contre l augmentation avec l ge est plus importante chez la femme que chez l homme L uric mie augmente aussi avec le poids et l ob sit Certaines ethnies ont normalement une uric mie plus lev e L uric mie r sulte d un quilibre entre les entr es d acide urique divers catabolismes et les sorties d acide urique par uricolyse intra intestinale et limination urinaire d acide urique Les m canismes de l urico limination r nale sont encore mal connus L hyperuric mie provient soit d une hyperproduction d acide urique soit d une diminution de l limination urinaire soit des deux la fois Crit res de la goutte Elle est caract ris e por des arthrites aigu s r cidivantes dues la pr sence de cristaux d urate de sodium dans la covit articulaire et par des d p ts cristallins d urate de sodium dans divers tissus Crit res Rome 1963 uric mie sup rieure 70 mg chez l homme 60 mg chez la femme pr sence de tophus mise en vidence de cristaux d urates de sodium dons le
74. e une aiguille guillotine La fcetoscopie est devenue d sormais un examen fiable o la morbidit est de 1 3 p cent avec un taux d chec inf rieur 3 p cent POSE DES CATH TERS FCETAUX Anc tre vraisemblablement de la chirurgie f tale il s agit d viter la surcharge d un organe pouvant conduire la destruction plus ou moins long terme pas un obstacle pr sum curable chirurgi calement la naissance Ces d rivations ont d abord concern la vessie notamment en cas de grosse vessie due une valve de l ur tre post rieure mais concernant aussi les hydron phroses bilat rales par syndrome de la jonction ou encore certaines hydroc phalies des hydrothorax ou certaines ascites f tales Quelle qu en soit l origine la technique est la m me rep rage en salle d op ration st rile sous chotomographie gr ce une sonde emball e st rilement et avec une huile st rile de l organe dilat Cet organe dilat doit tre amen en avant et en regard d une zone non recouverte de placenta On introduit alors un trocart d abord dans la Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 80 P VIGE Y DUMEZ cavit amniotique puis au travers de foetale en vitant cavit dilat e On effectue l ablation du mandrin permettant la mesure de pression mais aussi l vacuation de l organe dilat et des pr l vements permettant des dosages biologiques notamment On introduit un cath ter
75. e Vals les Bains qui avait environ 3 500 curistes en 1983 ne figure pas dans le tableau de la saison thermale 1983 Comme il peut le lire p 64 de notre Revue ce tableau a t publi dans Thermalisme Informations n 32 du 15 f vrier 1984 qui pr cise bien qu il ne porte que sur 74 stations soit 95 p cent du total reste donc 5 p cent des stations dont Vals les Bains qui ne figurent pas dans le tableau Malgr son caract re incomplet nous avons cru bon de le publier car les r sultats complets de la saison ther male ne sont publi s qu avec un an de retard dans le Bulletin Juridique UCANSS 33 avenue du Maine 75755 PARIS CEDEX 15 Publier ces chiffres un an avant ce bulletin nous a sembl pouvoir int resser nos lecteurs Delagrange Mitosyl p 74 Labcatal Oligosols p 78 Maison du Thermalisme Cha ne Thermale du Soleil p I face sommaire Directeur de la publication P BERGEAUD Commission paritaire 54 233 Imprimerie de Pithiviers 45300 N d ordre 673 26 04 84 D p t l gal 3 trim 1984 N d imprimeur 53 dos M rt PLA o d e A nii rmetia 1 INDICATION Le emen prevent et curati des naus es et vornissements induits por la chimioth rapie Use MODE D E MPLOI ET POSOLOGIE Adute 2 4a0mp M coul M7jour cootj t 10 72 2184 F ade ompJ jour co ti 1572 Enfant 2 4 4 rmo q i dose p ayant re major e jusqu 10 2 mal ka cobi 130 230 ASF kg D C
76. e sont pas admises por tous 4 Expression des r sultats Pour chaque dossier ont t relev s durant l ann e pr c dant la premi re cure et les deux ann es la suivant Le nombre de crises de cystite pour obtenir les chiffres les plus pr cis possibles nous n avons pas compt pour crises les pisodes de cystalgie ou br lures mictionnelles c dant sans traitement ou avec 2 3 comprim s d anti biotiques survenant avant cure Nous les avons compt s pour crises lorsqu ils survenaient apr s cure Le nombre de jours de traitement vis e urinaire nous n avons tenu compte que des traitements d sinfectants vrais antibiotiques antibiomim tiques sulfamides d sin fectants Apr s cure nous avons incorpor notre d compte les jours de traitement d autom dication m me parfaitement injustifi s Les jours de traitement doses fil es ont t compt s autant que possible en jours de traitement vrai Ainsi 20 jours de Nibiol 2 cp jour ont t compt s pour 40 6 7 j de traitement Un nitratage de vessie a t compt pour 1 jour de traitement Les r sultats d examens cyto bact riologiques urinaires lors des crises avant traitement Deux examens d urines st riles par an au moins ont t exig s en l absence de crise urinaire L existence ou pas de douleur v sicale r siduelle entre les crises aigu s R sultats synth tiques nous voulions trancher les r sultats en s ries
77. e Clermont Ferrand pour laquelle nous avons obtenu le concours de tous les Professeurs de Clermont Ferrand que nous avons sollicit s et de la Formation M dicale de l Auvergne qui devrait fournir un auditoire de plus de 100 g n ralistes Des frais importants sont pr voir Lo Soci t doit galement se rendre prochainement en Afrique Australe Nous avons oussi d cid de soutenir la nouvelle formule de notre organe la Presse Thermale et Climatique Notre Editeur l Exponsion Scien tifique Fran aise nous a inform s qu il augmentait de 12 96 le prix privil gi pour l abonnement de nos membres Je vous propose une augmentation de 8 7 96 de lo cotisation lo Soci t ce qui porterait 325 F la cotisation totale 102 F pour notre revue et 223 F pour la Soci t Param tres climatologiques et accidents vasculaires c r braux de type thrombosant et h morragique A LARCAN J F STOLTZ H LAMBERT M C LAPREVOTE HEULLY Avec la collaboration de D EVRARD J F KEMPF J LAMBERT Nancy La m t oropathologie correspond une notion quasi intui tive d gag e par Hippocrate lui m me et que le bon sens populaire comme la fameuse loi des s ries semble confir mer Cependant les tudes scientifiques sont rares et devraient faire appel une m thodologie statistique souvent critiqu e rarement utilis e La plupart des tudes concernant les accidents vascu laires c r braux ne pr cisent pas la nature h
78. e Duchesse 88140 CONTREX VILLE Tableau El ments en mg l principaux et communs aux deux eaux utilis es lors de l exp rience faite sur les rats Eau de Contrex ville El ments source Pavillon Eau t moin Ca 451 5 environ 80 Mg 66 3 environ 20 Na 8 5 environ 5 SOs 1 058 1 environ 10 HCO 386 1 environ 400 Cl 6 7 environ 2 Pendant toute la dur e de l exp rimentation les animaux du lot ont t abreuv s et gav s exclusivement ovec de l eau min rale naturelle de Contrex ville provenant de magnums 1 5 du commerce tandis que le lot B toit abreuv et gav avec une eau t moin de composition cons tante Les l ments principaux de ces deux eaux sont donn s dans le tableau l Les p riodes de mesure de diur se avaient toutes une dur e de 24 heures 9 h du matin au lendemain motin 9 h Chacune d butait par un govage de 5 ml par sonde cesopha gienne de l eau consid r e Par ailleurs la boisson tait disposition en permanence Pendant les p riodes de mesure de diur se de 24 heures les urines ont t recueillies par l interm diaire d un plateau inclin en poylcarbonate dans un flacon pour chaque lot Ce flacon tait ensuite bouch meri pour le tronsport au laboratoire La nourriture distribu e aux animaux tait la m me pour les deux lots d animaux et pendant toute la dur e de l essai Il s agissait d une nourriture standard pour animaux de laboratoire de composition
79. e dosage de sodium Quant la p riodicit avec un rythme circaseptidien de la diur se il para t difficile affirmer avec 12 mesu res sur 3l jours et il n est pas apport de preuves statistiques R F RENCES 1 Boulpaep E L Recent advances in electrophysiology of the nephron Ann Rev Physiol 1976 38 20 36 2 Burg M Green N Function of the trick ascending limb ol Henle s loop Am dJ Physiol 1973 224 659 668 3 Burg M Stoner L Renal tubular chloride transport and the mode of action of some diuretics Ann Rev Physiol 1976 38 37 45 4 Dennis V W Stead W W Myers J L Renal handling of phosphate and calcium Ann Rev Physiol 1979 41 251 271 5 Gill J R Bartter F C Evidence for a prostaglandin inde pendant defect in chloride reabsorption in the loop of Henle as a proximal cause of Bartter s Syndrome Am J Med 1978 65 766 772 6 Gross A Quelques aspects du m tabolisme de l eau min rale Presse therm clim 1972 109 150 158 7 Halberg F Chronobiology Ann Rev Physiol 1969 31 675 725 8 Le Grimellec C Roinel N Morel F et coll Simultaneous Mg Ca P K and Cl analysis in rat tubular fluid Ill During acute Ca plasma loading Pfluegers Arch 1974 346 171 188 9 Levi F Halberg F Circaseptan bioperiodicity spontaneous nc PRCUVE and the search for pacemakers La Ricerca 1881 71 10 Levi F Chronobio
80. e myo g ne sur l art riole eff rente entra nant une augmentation de la pression de filtration Gross 6D Le calcium ionis stimulerait la contraction des cellules musculaires lisses de cette art riole entra nant ainsi une augmentation de la filtration glom rulaire sup rieure celle du flux sanguin r nal et donc une augmentation de la fraction filtr e Ce m canisme peut intervenir mais son importance sera en principe limit e por l quilibre glom rulo tubulaire proxi mal Pitts 12 Au niveau du tube contourn proximal c est une impor tante quantit de calcium ionis qui arrive au contact de l pith lium tubulaire plus de 60 p cent du calcium plasmatique est ultrafiltr 70 p cent du calcium filtr est activement r absorb au niveau proximal contre 80 p cent pour le sodium Dennis 4 Le transfert du colcium se foit por stimulation d une ATPase le long de la mem brane lat ro bosale de la cellule de l pith lium tubulaire proximal Ce transfert est troitement li la r absorption active du sodium ce niveau car il n cessite une certaine quantit intraluminale de sodium pour se faire Boulpaes Dennis 1 4 Des exp riences de diur se interrompue montrent que en l absence de sodium dans la lumi re tubulaire proximale le transfert octif du calcium ne peut se produire l inverse n tant pas vrai Dennis Ullrich 4 14D On peut donc logiquement penser que le transport actif du ca
81. e osseux le bilan osseux devient positif L administration de calcitonine corrige toutes les perturbations m taboliques de l ost opo rotique elle poss de des propri t s antialgiques dont l effet augmente avec la dur e du traitement En pratique il faut utiliser uniquement la pr paration dos e une unit MRC qui est la dose substitutive Le sch ma th ropeutique doit tre mointenu vie 3 injections IM par semaine pendant 3 mois Fen tre th rapeutique de 2 mois et recommencer En cas de fracture une IM quotidienne pendant mois puis 3 IM semaine pendant 2 mois Hypercalciurie et lithiase r nale oxalique Cette hypercalciurie dite idiopathique r sulte des modi fications profondes du m tabolisme du Ca qu elle r v le indirectement Le trouble primaire r side dans l augmentation de l absorp tion intestinale Le rein demeure capoble de r duire massi vement l excr tion de Ca sa capacit d adaptation est conserv e Dans le cas o il existe un hypercatabolisme osseux l absorption de Ca alimentaire est normale bien qu insuffi sante pour compenser les d perditions colciques de l orga nisme Le rein est capoble de s adapter il n est pas le facteur primaire responsable de l hypercalciurie Quand il existe une atteinte tubulaire l hypercolciurie est d origine r nale puisque la fixation tubulaire est dimi Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 92 SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE nu e
82. e relancer les ovaires les malchan ceuses se font f conder pendant ce hiatus Enfin les cures thermales de la pubert la m nopause sont toutes stimulantes sur le plan endocrinien et par un m canisme complexe o interviennent la fois l eau min rale le climat de la station le repos physique et psychique les conseils d hygi ne pr ventive que nous prodiguons Cette pr vention s tend m me au domaine r serv des dysharmonies sexuelles secondaires aux affections gyn cologiques DES SOURCES D ENERGIE POUR UNE SANT DE FER EUROTHERMES PYRENEES OCEAN CAUTERETS ORL Voies respiratoires La montagne sauvage CAPVERN Reins Foie v sicule biliaire nutrition Douceur des plaines ROCHEFORT SUR MER Rhumatismes Peau veines Le souffle de l oc an la nature c est aussi votre quilibre EUROTHERMES 5 rue St Augustin 75002 PARIS Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 Place de la cr noth rapie dans le traitement des st rilit s La station thermale de Luxeuil les Bains C TRECHOT Y CANEL P TRECHOT Luxeuil les Bains Comme la plupart des autres stations de cures fran aises Luxeuil a une histoire tant t glorieuse tant t mis rable que l on ne peut s parer de ses eaux car c est l essor de celles ci qu elle d t son d veloppement A l poque gauloise l action de ses eaux avait t fort bien observ e sur le mode empirique par les m de
83. e thermale et climatique 1984 121 no 2 R ponse Cela n a pas t fait pour les s ries de patients tudi es Dr Pajault Par quel m canisme les variations m t orologiques peu vent elles entra ner ces troubles cardiovosculoires a t il t demand Ne serait ce pas couse des variotions du pouvoir physicochimique des liquides en fonction de l tat d ionisation de l atmosph re en fonction de conditions as tronomiques telles clipses ruptions de taches solaires etc Ces variations ont t prouv es par les travaux d anthro pologues Pr Desgrez L influence d montr e par le Professeur Larcan sur la pathologie cardiovasculaire pose un probl me difficilement soluble d une partie de la prophylaxie des accidents de ce syst me SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE 99 Hygi ne des piscines thermales F BESAN ON Paris Les piscines thermales destin es la r ducation repr sentent une acquisition th rapeutique primordiale Elles sont n es dans deux stations favoris es par l norme d bit de leurs sources Aix les Bains et Bagn res de Bigorre A pr sent de nombreuses stations en ont install ou sont en train d en installer non sans d importants probl mes d hygi ne En effet les d sinfectants usit s dans les piscines ordinaires ne sont pas de mise dans les piscines thermales ce qu a reconnu le d cret n 8 324 du 7 avril 1981 Journal Officiel du 10 avril 1981 p 995 les norme
84. ent para doxale les eaux thermales agissent dans des syndromes hypohormonaux et galement dans des affections de type hyperhormonal En ce qui concerne les syndromes hypohormo naux la cr noth rapie sera surtout efficace dans l insuffisance estrog nique du corps jaune C est une indication tout fait particuli re Luxeuil dont les eaux exercent une action gonado stimulante Les syndromes hyperhormonaux de l ovarite scl rokystique ou cyclodystrophique pourront tre galement am lior s par modification des facteurs inflammatoires circulatoires statiques et nerveux souvent l origine de ces ovarites Masculines indication r cente de la cr no th rapie on a d couvert que la cure de Luxeuil augmentait momentan ment la spermatogen se Bien que les observations de ce type soient encore peu nombreuses il semble que les oligo asth no spermies mod r es ne r agissent pas moins la cr noth rapie qu au traitement m dicamenteux L endom triose les avortements r p tition sont des indications accessoires dont les r sultats posi tifs sont parfois surprenants Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 Enfin il faut signaler que dans les st rilit s par incompatibilit glaire spermatozoides la cure thermale est actuellement un traitement qui a fait preuve d efficacit Pendant la cure qui fait une large place aux irrigations vaginales haut d bit le test postc
85. entation deux trois fois plus longue seroit souhaitable afin de l authentifier avec certitude Holberg Reinberg 7 13 Toutefois le rythme circaseptidien de la diur se que nous avons observ correspond une notion d j connue entre un rythme circadien et un rythme circonnuel Levi 10D Si l on consid re l incidence des ph nom nes de rejet des greffes de rein chez l homme on retrouve aussi une p riodicit de 7 jours particuli rement vidente Levi 9 l semble donc que certaines fonctions r nales parti culi rement les fonctions tubulaires au niveau des mem SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE 113 branes cellulaires et vraisemblablement des changes ioni ques soient soumises des oscillations r guli res de p riode circaseptidienne En cas de d synchronisation de ce rythme l eau sulfat e calcique et magn sienne prise lors de la cure thermale de diur se pendant 21 jours pourrait jouer le r le de synchroniseur En conclusion l observation chez le rat du m tabolisme de l eau sulfat e calcique et magn sienne de Contrex ville et d une eau t moin a permis de constater au niveau urinaire une augmentation importante de l limination hy drique ur ique et chlorur e avec l eau min rale de Contrex ville tout en respectant la p riodicit et l amplitude natu relles du rythme biologique d limination Ces r sultats sont obtenus par l action directe ou indirecte de la min ralisation caract ristique
86. entielles le renouveau du gonocoque dont la pr sence est difficile appr cier 10 p cent actuellement dans toutes les tudes l association gonocoque trichomonas Chla mydia gonocoque et Chlamydia pyog ne a recrudescence du Chlamydia 20 p cent environ de toutes les tudes bact rie d velop pement intra cellulaire plus souvent mis en vi dence actuellement car on sait mieux le rechercher On peut le mettre en vidence directement en cul ture sur des cellules de Mac Coy Indirectement par une l vation de la s rologie du taux des IgG anti Chlamydia deux examens successifs ou la d termination des IgM anti Chlamydia un seul examen contemporain de l infection DISCUSSION Les cons quences d un bon laboratoire sont mlutiples connaitre la chronobiologie par exemple savoir traiter le trichomonas avant le gonocoque ne pas affirmer trop vite l chec d une anti bioth rapie et savoir la poursuivre jusqu aux r sul Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 tats pr liminaires du laboratoire Enfin savoir associer plusieurs antibiotiques La gravit de ces l sions ut ro annexielles sou ligne l int r t de ne pas sous estimer une vulvo vaginite motif de consultation ou d couverte lors d une simple visite En effet pourquoi faire tant de cas de ces infec tions ut ro annexielles qui ont exist de tout temps Elles pr sentent n anmoins un certain
87. entotion et m me par les m dicaments puisque seuls les sels organiques semblent r ellement efficaces Or cliniquement le troite ment de Ch telguyon donne d excellents r sultats sur les diff rentes manifestations digestives d un d ficit magn sien de plus l am lioration obtenue dure en moyenne de 7 8 mois Divers travaux ont prouv exp rimentalement la bonne assimilation du Mg contenu dans les sources ther moles J Carles Capvern Lithiase r nale Magn sium Thermalisme La lithiase maladie r cidivante souvent grove est favo ris e par divers facteurs g n tiques familiaux ou alimen taires La cure de diur se d eaux sulfat es magn siennes a une action bienfaisante sur ces lithiases S ANCE DE L APR S MIDI L apr s midi se d roule sous la Pr sidence du Professeur M Boulang La s ance est ouverte 14 h 45 P Desgrez L acide oxalique en biologie humaine SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE 91 Les premiers calculs r naux d oxalate de calcium ont t d crits en 1776 L acide oxalique est tr s soluble mois le sel de calcium l est beaucoup moins est toxique on le trouve dans le sang les urines et les selles L acide oxalique provient du m tabolisme de l acide glycoxylique et de l acide glycolique mais il a aussi une provenance alimentaire rhubarbe cacao pinards et une origine exog ne indirecte surtout l acide ascorbique Il pro voque des intoxications involo
88. er comme positive sur l examen des donn es pr c dentes l para t galement opportun avant d aborder l tude des indications essentielles de la cr noth rapie au Portugal de rappeler tr s bri vement les l ments fondamentaux l gis latifs et r glementaires qui la r gissent et en font un thermalisme beaucoup plus proche du notre que de celui des pays d Europe centrale Pr cisons d abord et cel est fondamental que l on d finit comme en France une eau min rale comme tant une eau naturelle dou e de propri t s th rapeutiques ind pendamment de tout crit re physique ou chimique L autorisation d exploitation est d livr e par la Direc tion G n rale de la G ologie et des Mines apr s avis de lo Direction G n rale de la Sant fond sur un rapport com plexe tablissant le r le th rapeutique de l eau L am nagement et la protection des griffons ainsi que les contr les physico chimiques de l eau rel vent de lo Direction des Mines Les contr les bact riologiques d pen dent pour leur part de la Direction de la Sant Ces contr les sont fr quents allant de une fois par mois hors saison trois quatre fois par mois en saison L embouteillage des eaux min rales et des eaux de source ob it une surveillance aussi rigoureuse Notons que la production annuelle d eaux embouteill es est de 150 mil lions de cols environ pour les eaux min rales 3 milliards de cols en
89. es consultations r p t es o divers sp cialistes se rej tent la responsabilit du diagnostic gastroent rologues avec le diagnostic in vitable de colite rhumatologues cherchant souvent en vain une l sion de la statique rachidienne urologues et gyn cologues Elles sont l origine d arr ts de travail tr s prolong s voire d une mise en longue maladie Elles peuvent obliger faire plus ou Presse thermale et climatique 1984 1217 no 2 moins long terme une intervention chirurgicale d ex r se lamentable chez des femmes tr s jeunes 22 p cent dans une statistique d Erny et coll 10 Elles peuvent m me aboutir la psychanalyse TRAITEMENT Le traitement de la salpingite aigu est essentiel lement m dical Une antibioth rapie efficace pr coce intense est n cessaire associ e au repos complet et une corticoth rapie prolong e La prescription d un estroprogestatif est utile afin d viter l apparition de kystes ovariens fonctionnels L volution doit tre suivie sur la clinique les exa mens biologiques et la c lioscopie que certains font la fin du premier mois d autres la fin du troisi me mois d autres enfin au sixi me mois ce qui nous semble affaire de circonstances Les r sultats sont directement fonction de la qualit du traitement fond s sur la rapidit et l exac titude du diagnostic Les Su dois ont d excellents r sultats et gu rissent 90 p cent des salpingites
90. essentiellement trait es Luso station voisine de Curia dont la fr quen tation atteint 3 000 curistes Eau m sothermale tr s radio active faiblement min ralis e diur tique indiqu e dans le traitement des lithiases r no urinaires des cystites r cidi vantes et plus accessoirement des dysm tabolismes goutte en particulier Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 106 les affections cardiovosculaires trait es en orienta tion secondaire Curia et Luso pr c demment cit es et dans une seule indication l hypertension art rielle mod r e et instable du pl thorique La petite station d Unhais da Serra peine 300 curistes en Beira Beixa est sp cialis e dans les syndromes h mor ro daires les affections dermatologiques qui concernent peine millier de curistes se r partissent dans les stations de Carvalhal Beira Alta et d Azenha Beira litoral les affections neurologiques et les affections gyn colo giques ont pour leur part une participation insignifiante Nous constotons surtout ou terme de cette tude l ab sence de certaines sp cialisations th ropeutiques comparati vement bien structur es dans notre pays et relotives la maladie asthmatique aux art riopathies et aux phl bopa ties la pathologie infantile la psychiatrie TECHNIQUES THERMALES Elles sont universellement connues et ne diff rent en rien des n tres La cure interne par ingesti
91. esses extra ut rines 30 8 et 10 1 p cent sur 141 cas d implan tations tubo ut rines rapport es par Madelenat et Palmer en 1977 14 La microchirurgie a permis d am liorer nettement ces r sultats Dubuisson et coll 8 rapportent en 1983 64 p cent de grossesses intra ut rines 24 mois sans aucune grossesse extra ut rine apr s MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES ET THERMALISME 73 51 anastomoses isthmo ut rines ce qui corrobore les r sultats de Gomel publi s en 1982 56 p cent de grossesses intra ut rines et 6 2 p cent de gros sesses extra ut rines apr s 48 anastomoses isthmo ut rines En fait le r sultat de toute chirurgie tubaire si fine soit elle d pend de l atteinte des parois de la trompe Quant la f condation in vitro qui consiste pr lever l ovocyte m r directement sur l ovaire le faire f conder in vitro et le r implanter au stade de 4 8 cellules c est une technique en pleine expansion qui donne des r sultats promet teurs 5 10 p cent de grossesses dans l quipe du Professeur Salat Baroux 10 15 p cent dans celle de Jean Cohen 20 25 p cent dans celle du Professeur Frydman et pr s de 35 p cent pour les initiateurs de la m thode Edwards et Steptoe Tou tefois les ovaires doivent tre accessibles la ponction ce qui suppose qu ils ne soient pas cach s sous des adh rences ou encapuchonn s THERMALISME Nous sommes persuad s que les cures therm
92. est de Huhner est toujours n gatif Chez lui Arginine pendant deux mois sans succ s En octobre 1971 une coeloiscopie est pratiqu e elle montre un ut rus et des trompes normales preuve au bleu de m thyl ne positive deux ovaires assez gros sans anomalie Une nouvelle cure d inducteurs par Clomid est tent e en novembre et d cembre 1971 sans modification de la courbe thermique Quant au spermogramme il t moigne toujours d une asth nospermie avec nombre normal de spermatozoides Le couple est adress Luxeuil en 1973 avec donc ce triple probl me de d s quilibre folliculo lut inique elle CRENOTHERAPIE ET TRAITEMENT DES STERILITES 85 de test postco tal n gatif d asth nospermie lui Ils suivent la cure tous deux Pour elle irrigations vaginales importantes 60 litres d eau par jour 40 C Pour lui baln otion Les deux tests postco taux effectu s au cours de la cure sont toujours n gatifs malgr une glaire excellente ovula toire au 14 jour du cycle Une deuxi me cure est effectu e en 1974 par le couple Dans l intervalle un spermogramme a montr une normalisa tion de la vitalit des spermatozo des deux mois apr s la premi re cure mais le test postco tal est toujours n gatif Une troisi me cure est suivie en juillet 7975 et l on constate un test postco tal am lior deux mois apr s cette cure Un traitement par HMG
93. est l augmentation de fr quence des grossesses extra ut rines puisque Westrom 18 19 20 estime que le nombre des grossesses extra ut rines est multipli par 7 apr s une salpingite Si l on rapporte le nombre de gros sesses extra ut rines celui des naissances dans certains services de gyn cologie obst trique on constate une progression tout fait significative de 0 8 p cent en 1971 3 p cent en 1982 Port Royal de 0 5 p cent en 1974 2 5 p cent en 1981 dans le Service de gyn cologie obst trique de Clamart Deuxi me notion pid miologique nouvelle l in fection atteint des femmes de plus en plus jeunes A Port Royal sur 152 cas de salpingites v rifi es par ccelioscopie en mai 1981 76 p cent des femmes taient g es de 30 ans ou moins 60 p cent de 25 ans ou moins et 20 p cent de 20 ans ou moins Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 70 R HENRION ce qui est dramatique car cette infection atteint en majorit des nullipares dont la fertilit risque tout jamais d tre compromise si le diagnostic n est pas fait rapidement 62 p cent Port Royal 73 7 p cent dans une statistique de Westrom Ces femmes tr s jeunes risquent galement de devenir des dou loureuses et d avoir une vie lamentable Troisi me notion pid miologique nouvelle Ja cause principale des salpingites est de nos jours la contamination par des germes sexuellement trans missibles contrairement
94. g 0 143 Cette nouvelle source serait utilis e en cure de boisson dans les affections digestives Outre H louan il faut citer A n Sokhna sur la Mer Rouge 170 km du Caire aux eaux fortement chlorur es sodiques et peut tre radioactiv s E Hammam sur la route de Marsa Matroun 350 km environ d Alexandrie peu connue car difficile d acc s composition inconnue et enfin Ain Faraoun sur la rive sinaitique de la Mer Rouge qui sourd de la mer avec des vapeurs sulfur es dans une grotte pr s du rivage et utilis e du point de vue articulaire par les b douins Ces trois sources m riteraient certainement une tude plus approfondie du point de vue physico chimique physio logique mais aussi d bit Un tablissement de thalassoth rapie existerait Ras el Bar mais il tait ferm lors de notre passage et nous n avons pu obtenir de renseignements pr cis quant son fonctionnement SABLOTH RAPIE Enfin il faut signoler en Egypte la th rapeutique tr s ancienne et traditionnelle des affections rhumatologiques et des douleurs par l application de sables chauds Cette application sauvage et traditionnelle a suscit r cemment le d sir d ouvrir deux centres de traitement par sobloth rapie au Caire Mokatam et Assouan ce n est encore qu un balbutiement A noter aussi la prospection de forages d eau de bois son peut tre en plus diur tiques dans le Wadi Natroun sur le territoire des couvents C ptes C
95. g n ral est variable et peut se limiter une fatigue importante La fi vre manque dans 50 p cent des cas de m me d ailleurs que les leucorrh es Les examens compl mentaires sont trompeurs puisque la vitesse de s dimentation peut tre normale 10 25 p cent des cas Elle serait plus souvent acc l r e lorsque les Chlamydia sont en cause On con oit qu il y ait dans de telles conditions de nombreuses erreurs de diagnostic 20 p cent par omission et 30 p cent par exc s Pour les viter la seule solution est de faire des coelio Scopies au moindre doute malgr les dangers po tentiels que comporte cet examen et la n cessit de faire parfois jusqu 6 ou 8 coelioscopies chez la m me jeune femme avant l ge de 25 ans Cette exploration permet d abord d affirmer le diagnostic en montrant des l sions tubaires vi dentes souvent beaucoup plus importantes que ne le laissait pr voir le tableau clinique parfois d orienter l tiologie en r v lant l existence d adh rences visqueuses de pseudo kystes p riton aux g latineux ou d adh rences tendues en cordes violon entre la face convexe du foie la paroi abdo minale ant rieure et le diaphragme dont l aspect serait assez typique d une infection Chlamydia trachomatis ensuite d effectuer les pr levements bact riologiques indispensables au niveau des trom pes et du cul de sac de Douglas enfin de com mencer le traitement en aspirant le pus d un py
96. humatismes r ducation reins voies digestives et urinaires Avril Octobre Wg la preste molit les bains les bains g en haut Roussillon en Roussillon Affections g nito urinaires Affections de la poau Lithiases prostatisme maladie voles respiratoires O R L du m tabolisme nutrition rhumatismes ob sit Altitude 1 130 m pr g rontologie Station pilote de Avril Novembre la relaxation Climat m dit rran en temp r Altitude 450 m Avril Novembre stchristau cambo en haut B arn les bains Muqueuses dermatologie en Pays basque stomatologie Rhumatismes Altitude 320 m voles respiratoires O R L Avril Octobre nutrition ob sit Ouvert toute l ann e stations agr es par la s curit sociale demandez la documentation sur la station qui vous int resse 32 avenue de l op ra 75002 paris t l 742 67 91 et soci t thermale de chaque station 121 Ann e N 2 2 Trimestre 1984 N 2 La Presse Thermale et Climatique ORGANE DE LA SOCI T FRAN AISE D HYDROLOGIE ET DE CLIMATOLOGIE M DICALES SOMMAIRE ACQUISITIONS R CENTES EN GYN COLOGIE OBST TRIQUE Introduction par P Vige 4 RR Hash rh hh rer Les maladies sexuellement transmissibles par P Vige Maladies sexuellement transmissibles et thermalisme par R Henrion F condation in vitro et transfert embryonnaire p
97. ion de l oxaliurie une oxoliurie inconstante et variable ou une oxaliurie normale Mais il ne fout pas sous estimer le r le du Co ni Vim portance des rythmes circadiens et infradiens J Thomas G Maistre G Barth l my E Thomas P Desgrez J C Legrand Acide oxalique et thermalisme La cure thermale agit sur l oxaliurie sur l volution de la lithiose et l am lioration obtenue persiste m me apr s la cure G Milhaud Ost porose et lithiase calcique ap ports de l exploration des voies m taboliques du calcium La lithiase calcique et l ost oporose ne sont des maladies ni exclusivement osseuses ni r nales c est le m tabolisme du Ca qui est perturb Le bilan osseux est la diff rence entre formation et destruction de l os Le Ca provient de l alimentation et du catabolisme osseux Il est le si ge de trois sorties l excr tion urinaire l excr tion f cale de Ca endog ne l anabolisme osseux Ces param tres peuvent tre mesur s chez l homme Au cours de la vie le bilan osseux passe n cessairement du positif au n gatif Pendant toute la p riode de crois sance la formation de los pr domine sur la destruction Le bilan osseux est quilibr l ge adulte Cet quilibre est rompu bien avant l entr e dans le troisi me ge ll c bute vers 35 ans chez la femme soit 15 ans plus t t que chez l homme La d perdition osseuse postm nopausique s acc l re entre 50 et 65 a
98. ires bilat rales irr versibles pachysalpinx soit chec de plastie souvent it rative soit salpingectomie quel qu en ait t le motif G E U annexite st rilisation pour motif non m dical Plus rarement il s agit d une st rilit qualifi e d idiopathique relevant souvent d une incompatibi lit glaire sperme apr s bilan complet et chec de toutes les th rapeutiques Une indication nouvelle d coule de l exp rience acquise dans la technique de f condation in vitro CHU Cochin Port Royal 27 rue du Fg St Jacques 75674 PARIS CEDEX 14 c est l oligospermie s v re qui b n ficie de la s lection des spermatozoides Nous y reviendrons Contre indications Contre indications d finitives l ge est un l ment consid rable au del de 40 ans la f condit diminuant nettement De 37 40 ans le probl me est envisag cas par cas en fonction des deux partenaires Les cas de patientes ayant subi de fr quentes interventions abdominales balafr e de l abdo men ou plus pr cis ment lorsque la derni re exploration laparotomie ou coelioscopie a r v l des adh rences abdominales ou pelviennes incli vables rendant la coelioscopie pour ponction ovu laire inutile si les ovaires sont inaccessibles ou m me dangereuse anses coll es la paroi abdo minale D une mani re plus g n rale toute contre indication m dicale la grossesse Contre
99. itement thermal tait plus pr coce II fout noter que le mieux obtenu ne l est pas au prix d une augmentation de la consommation antibiotique celle ci est avant cure de 103 27 9 jours par crise de cystite en moyenne et apr s cure de 24 5 jours Les r sultats des examens cyto bact riologiques urinaires avant cure appellent peu de commentaires L omnipr sence d E coli chez nos infect es 86 5 96 des cas qu il apparaisse seul ou alternant parfois avec un autre germe ne saurait surprendre elle est caract ristique des recrutements dits de ville Dans trois quarts des cas l examen cyto bact riologique urinaire montre r guli rement l association pyurie bact riurie ce qui confirme s il en tait besoin que ces patientes sont d authentiques infect es urinaires CONCLUSION Les cystites ne tuent pas Notre pratique thermale quo tidienne nous confronte cependant trop souvent des femmes bout de ressources et qui ne souffrent que de cystite l semble donc logique de proposer aux cystitiques le traitement de La Preste d s que l vidence s impose que l antibioth ropie ne suffit plus et n vite pas les re chutes R F RENCES Enqu te L M Wellcome cit o dans Le G n raliste no 494 1982 Acar J cit n Le G n raliste Juin 1979 Aboulker P Les cystalgies de nature psychosomatique Rev Prat 1962 72 28 3069 3077 Antoine B Moulonguet A Manuel des ma
100. l volution des cystites apr s cr noth rapie La Preste SUJETS ET M THODE Crit res d inclusion l tude Ont t retenues pour ce travail les dossiers de patientes pr sentant des crises de cystite cliniquement typiques compl tement explor es c est dire ayant subi une urographie intraveineuse de qualit suffisante incluant des images pr per et post mictionnelles une ur trocystos copie une culture au moins d urines sur milieu de Loewens tein et une recherche de diab te 11 pr sentant r guli rement lors de leurs crises de cystite et avant traitement une infection urinaire patente D finition de l infection urinaire Ont t exig s pour parler d infection urinoire les crit res suivants soit une bact riurie isol e significative r guli re 1 i ment sup rieure 100 000 germes par millilitre d urine soit l association r guli rement retrouv e de pus et germes La pyurie correspondait soit une leucocyturie sup rieure 10 000 ml min soit une leucocyturie sup rieure 50 000 ml soit leucocytes sup rieurs 30 par champ soit leucocytes nombreux Pour cette derni re formulation l exp rience nous a appris qu elle correspond bien une leucocyturie patholo gique pour la tr s grande majorit des biologistes Il n a pas t tenu compte des mentions leucocytes alt r es ou leucocytes agglom r s en pyocytes qui n
101. ladies des reins et des voies urinaires Paris Masson 1976 Benoit J M Apport de la cr noth rapie de La Preste dans les lithiases urinaires premi re approche Presse therm clim 1980 777 85 89 6 Benoit J M Jardin A Int r t de la cr noth rapie de La Preste dans une indication m connue les infections de la prostate tude pr liminaire Presse therm clim 1979 116 263 66 moa OG 266 7 Brisset J M et Coll Cystite essentielle de la femme Tentative de traitement intermittent par l acide pip midique Sem H p Paris Th rapeutique 1976 52 no h s 67 71 8 Couvelaire R Un m connu de l exploration urologique l ur thre f minin Cah Chir 1978 27 12 16 9 Cox Lacy Hinman The urethra and its relationship to urinary tract infection The urethral flora of female with recurrent urinary infection J Urol 1968 99 632 638 10 Graham J The female urethral syndrome Urol Clin North Am 1980 1 59 1t Jardin A Jacobs C Complications urologiques du diab te in Entretiens de Bichat 1976 pp 191 196 Paris Expansion Scientifique Francaise 1976 12 Kass E H Bacteriura and the diagnosis of infection of the urinary tract Arch inten Med 1957 100 709 13 Lange P Cystalgies cystites cystopathies Bordeaux m d 1975 8 12 1395 1411 14 Lowel Parsons F Schmidt J In vitro bacterial adherence to vaginal cells of normal a
102. lcium devant intervenir en avance par rapport au transport actif du sodium et la quantit accrue de calcium r absorber par le tubule n cessitant le maintien d une plus grande quantit intraluminale de sodium on aura ainsi la fin du tube contourn proximal une diminution du pourcentage de sodium activement r absorb et por voie de cons quence une diminution de la r absorption passive de chlore et d eau Au niveau de la portion large de la branche ascendante de l anse de Henl ou segment de dilution une diff rence de potentiel lectrique trans pith lial s tablit avec un voltage positif dons la lumi re tubulaire Burg 3 La r absorption du chlore se fait donc activement contre un gradient lectrochimique concept de la pompe chlore Le sodium quant lui est r absorb en suivant passivement le gradient lectro chimique Burg Malnic 2 11 Il est tr s probable que le voltage positif intraluminal augmente qu fur et mesure de la progression dans la branche ascendante de l anse de Henl c est dire au fur et mesure de la dilution Burg 2D Ce voltage cr erait une force d attraction de plus en plus grande pour la r absorp Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE tion passive d autres cations que le sodium comme le calcium ou le magn sium Le Crimellec 8 Cependant si on remplace dans la branche ascendante les anions chlore par des anions sulfates
103. logie 7rib m d 1981 64 1 16 11 Malnic G Giebisch G Some electrical properties of distal tubule epithelium in the rat Am J Physiol 1972 223 797 808 12 Pitts R F Physiologie du rein et du milieu int rieur p 284 Paris Masson 1976 13 Reinberg Des rythmes biologiques la chronobiologie p 126 Paris Gautier Villars 1979 14 Ullrich K J Rumrich G Kloss S Active Ca reabsorption Li proximal tubule of the rat kidney Pfluegers Arch 1976 matoide spondylarthrite ankylosante en dehors des pouss es Charmant petit village des Corbi res Rennes les Bains s tire le long de la Vall e de la Salz quelques kilom tres du village une courte randonn e automobile permettra au visiteur d ad mirer le Donjon d Arques le ch teau de Couiza les Gorges de Galamus qui sur plombent l Agly d un vertigineux pic de parois les Gorges de la Pierre Lys o l Aude roule ses eaux travers un troit d fil les ruines grandioses des ch teaux Cathares de Peyrepertuse Puy laurens et Qu ribus l Abbaye de Fontfroide aux por tes de Narbonne Doux et s datif le climat de Rennes les Bains est un compl ment utile l action de l eau thermale Climat de basse altitude 310 m il convient tout ge et est caract ris par sa pu ret sa grande stabilit thermique l absence de vents violents Reconnue depuis l poque Gall
104. m moire dont on perd l autre extr mit dans la cavit amniotique Ceci est le temps le plus d licat de l intervention Un contr le chotomographique imm diatement apr s v rifie la bonne place du cath ter Un traitement antispasmodique et antibiotique est imm diatement prescrit Un contr le chotomographique r gulier v rifie le fonctionnement du cath ter diminution de la dilation augmentation de l paisseur du parenchyme r nal ou du cortex c r bral dispari tion d un oligo amnios en cas de malformation urinaire ou au contraire diminution d un hydramnios en cas d ascite comprimant l appareil digestif fetal Les probl mes techniques semblent en passe d tre r solus dans le cadre d une quipe bien entrain e Seul demeure mais il est de taille le probl me des indications de la date optimale pour effectuer cet examen et de la hantise des autres malformations associ es la paroi les visc res f taux dans la PR L VEMENTS DE TROPHOBLASTE Les pr l vements de trophoblaste sont certaine ment le domaine de l actualit qui ouvre le plus les portes du futur Vie des stations VICHY forfait propos par l Institut de Vichy s adresse tous ceux qui veulent re La technique d crite par Yves Dumez Port Royal consiste pr lever gr ce une pince biopsie le trophoblaste sous contr le permanent chographique Le pr l vement est parfaitement pr cis et de valeur constante
105. m ning es h morragies m ning es Nous n avons voulu recenser que les accidents vascu laires c r braux dont le diagnostic tait certain ll compor tait une PL souvent une tomodensitom trie et toujours une art riographie permettant d affirmer un diagnostic tio logique et ventuellement topographique A partir du fichier du Service de neuroradiologie Pr Luc Picard nous avons retenu 378 malades hospitolis s avec le diagnostic confirm d h morragie c r brale de thrombo em bolie c r brale ou d h morragie m ning e Nous avons exclu les malades chez lesquels l accident n apparaissait pas spon tan h matomes intrac r braux post traumatiques La r partition s tablissait ainsi 179 thrombo embolies c r brales 129 h morragies c r brales 70 h morragies m ning es ou c r bro m ning es soit un total de 199 accidents h morragiques L indice total jour a t tabli en confrontant le nombre total de cas observ s et le nombre de jours dans l hypo th se d une r partition quiproboble 1 25 j R partition globale des malades L tude globale a port sur 913 accidents vasculaires aigus ayant un accident vosculaire au sens lorge dont 378 accidents c r braux les autres accidents taient des infarc tus du myocarde plus de la moiti des sujets a un ge sup rieur 59 ans La r partition tait assez homog ne dans la semaine Fichier m t oropathologique
106. mg 0 554 mg 2 ml 0 47 mg 0 556 mg 0 554 mg 2 ml e dysfonctionnements e dysfonctionnements e dysfonctionnements thyroidiens pancr atiques hypophyso pancr atiques AMM 307528 6 Tableau C AMM 307526 3 AMM 307526 3 Posologie et vole d administration 1 2 prises par jour ou plus en fonction de l tat Voie perlinguale de pr f rence le matin jeun ou loin des repas Formes ot pr sentations Prix publics Co ts de traitement journalier Remboursement S curit Sociale 40 9 o Flacon multidose pour la voie perlinguale 60 ml Ampoules injectables I M et pour la voie perlinguale 1 cuiller doseuse 2 m Prix public 13 60 F 14 amp x 2 ml Prix public 9 00 F Co t de traitement journalier 0 45 F 0 90 F Co t de traitement journalier 0 64 F 1 28 F Flacons pressuris s doseurs pour la voie perlinguale 60 ml i 1 distribution 2 ml Prix public 14 00 F Co t de traitement journaller 0 46 F 0 92 F LABCATAL th rapeutique fonctionnelle 7 rue roger salengro 92120 montrouge t l 654 27 92 1801 PM Diagnostic ant natal P VIGE Y DUMEZ Paris Le diagnostic ant natal connait depuis quelques ann es un essor consid rable L amniocentese et l chographie devenant de plus en plus performante au fur et mesure des progr s des techniques nous permettent d appr cier la qualit du foetus FCETOSCOPIE Elle nous permet gr ce un endoscope de tr s petit calibre introd
107. morragique ou thrombotique de l accident Si le jour est connu avec pr cision on ne connait pas les variations m t oropatholo giques des jours pr c dents l heure n est pratiquement jamais not e Quant aux param tres m t oropathologiques Service de R animation M dicale Urgences CHU de Nancy 9 avenue du Mar chal de Latte de Tassigny 54000 NANCY ils sont en g n ral tudi s isol ment parfois deux deux n y a pas d analyse multifactorielle MAT RIEL ET M THODES Choix des malades Notre recrutement est celui des malades hospitalis s au Centre Hospitolier Universitaire de Nancy dont l accident aigu tait survenu entre le 1 janvier 1975 et le 31 d cembre 1976 dans un rayon de 80 km autour de la ville Cette limitation g ographique correspond approxima tivement la r gion drain e por le Centre Hospitalier de Nancy et nous a sembl raisonnable en ce qui concerne la variation sectorielle des facteurs climatiques Presse thermale ot climatique 1984 121 no 2 94 SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE Nous avons cherch toutes les entr es qui d embl e ou apr s diagnostic plus approfondi pouvaient correspondre des accidents neurologiques aigus accidents vasculaires thrombosants h morragies c r bro m ning es et h morra gies m ning es d autre part Choix des malades atteints d accidents vasculaires c r braux accidents thrombosants h morragies c r brales et c r bro
108. n t moignent de leurs limites mais aussi de leurs dangers La cure thermale apparait alors comme une th rapeu tique d une innocuit absolue qui sans tre une panac e prescrire dans tous les cas pourrait trouver sa place dans les probl mes de st rilit s relatives ou hypofertilit s et tre utilis e dans les st rilit s plus graves comme traitement relais d autres m thodes plus sophistiqu es Il est bien vident qu en ce qui concerne la st rilit toutes ses causes ne rel vent pas de la cr noth rapie Les causes d terminantes pour la plupart ne sont pas justiciables de ce traitement appliqu isol ment Par contre les st rilit s relatives peu vent toutes b n ficier du traitement thermal qu il s agisse de causes organiques ou fonctionnelles St rilit s organiques en particulier st nose partielle inflammatoire des trompes La cr noth rapie peut obtenir ici des succ s mais une escalade thermale doit tre envisag e pour ces st noses en commen ant par des eaux chaudes radioactives doucement r solutives Luxeuil et en prescrivant des eaux de plus en plus fortement r solutives en cas d chec eaux sulfureuses Saint Sauveur puis eaux chlorur es sodiques Salies de B arn En cas de st nose partielle par hypoplasie cette cure peut tre indiqu e comme traitement adjuvant de la th rapie estrog nique St rilit s fonctionnelles F minines d une mani re apparemm
109. n por le nitrate d argent Elimination chlorur e L limination de l ion chlore cumul e de chacun des lots a t report e sur la figure 4 Comme pour les courbes de diur se et d limination ur ique cumul es l ordonn e du premier point de la courbe Contrex ville est sup rieure celle de la courbe B Eau t moin l cort entre les ordonn es s accentuant tout au long de l essai La p riodicit de sept jours est encore observ e La comparaison des moyennes d limination quotidienne de l ion Cl montre une diff rence significative au seuil de 0 005 Nous sommes donc autoris s faire le rapport des moyennes d limination des deux lots 0 73 0 39 1 87 Coefficient d limination chlorur e QCI C est le rapport des poids cumul s d ions Cl limin s par chacun des lots au point de chaque mesure Apr s un d but lev d probablement au retard d limination du lot t moin ou la pr cocit d limination du lot Contrex ville ce QCI portir du 9 jour oscille entre 1 59 et 1 89 pour atteindre 1 87 en fin d essai Cela signifie un accrois sement de 87 p cent de l limination des chlorures chez les rats abreuv s l eau min rale de Contrex ville Ion CU eng 9 A fs 4 8 Contrex ville Source Pavillon B T moin 7 S dd 6 i i s 4 3 6 i i 2 l i i rd i i 1 i 0 3 5 7 9 M 13 15 17 19 21 23 25 27 29 3l Jours Fig 4 Elimination i
110. n s effectue dans les heures qui suivent l tuve 37 C sous CO 5 p cent et l abri de la lumi re CULTURE DE L CEUF F COND Elle est r alis e dans les m mes conditions physiques apr s transfert par micropipetage de l uf f cond environ 20 heures apr s l ins mina tion dans un milieu de culture neuf plus riche en s rum maternel Le premier clivage 2 blastom res pourra tre observ entre la 25 et la 35 heure apr s l ins mi TRANSFERT EMBRYONNAIRE 77 nation Le stade de 4 blastom res est obtenu entre 40 et 50 heures 8 blastom res entre 65 et 75 heures R IMPLANTATION Le transfert embryonnaire dans la cavit ut rine est ex cut par la plupart des quipes aux envi rons de la 44 48 heure au stade de 4 cellules L ceuf est aspir dans un cath ter t flon d environ 1 5 mm de diam tre externe avec 30 microlitres de son milieu de culture Le cath ter est introduit dans la cavit ut rine jusqu 1 cm du fond avec douceur afin de ne pas induire ni contraction ut rine ni h morragie L ceuf est alors refoul dans la cavit ut rine La vacuit du cath ter est enfin v rifi e sous loupe binoculaire Une antibiotih rapie est syst matiquement institu e associ e ou non des antispasmodiques voire des antiprostaglandines La patiente reste au repos allong e quelques heures puis rentre chez elle Certaines quipes sont tr s strictes sur le repos et le pre
111. nd cystitis prone women J Urol 1980 723 184 15 Ado MES Allergy of the lower urinary tract J Urol 1972 16 Quenu L Cystites et cystalgies chez la femme Ann Urol 1974 8 3 127 130 1T Stamey T A The role of introital enterobacteria in recurrent urinarv infection J Urol 1973 109 467 18 Steg A Cystites et cystalgies acquisitions r centes Presse therm clim 1981 118 167 171 Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 104 SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE Le thermalisme au Portugal R alit s et perspectives d avenir R CHAMBON Bagnoles de l Orne Traiter du thermalisme portugais c est d abord voquer l anciennet d une th rapeutique dont les origines se confon dent troitement au culte des sources de l antique Lusitanie et dont la r novation fut marqu e avec autant de splendeur qu en Gaule de l empreinte romaine Les ex voto des ther mes de Vizela d di s au dieu Bormanicus et les thermes romains de Caldelas Chaves Soo Pedro do Sul Taipas en sont les remorquobles vestiges C est ensuite rappeler quelques l ments de g ographie pr alablement une br ve synth se climatologique le fac teur climatique ne pouvant jamais en effet tre disso ci du facteur hydromin ral Le Portugal fa ade occidentale de la p ninsule ib rique d une superficie de 88 419 km soit 15 p cent de la superficie de la p ninsule et 16 p cent de celle de notre
112. ndance projection du nuage principal suivant les axes principaux 1 et 2 3 igit v42 v a 99 7 e 6 are ES ec y ii P Accidents t 6 a e rs ora vasc ide eoma sri Thr emb cer e ET MS irae pleine m 5 lune n gaa Ue e gh e SERA lle MoOtox49 neige o M e S N Bum ue N m ce P Fig 2 Analyse factorielle de correspondance projection du nuage principal suivant les axes principaux 1 et 3 Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE 97 DFIO i brumo gT i 990 p 995 pluie en 16 4a0KX23 Els i SHem cer d d 26 s 4 o hyd o50ta 589 2 v 6 1 A yd wed Vesurf a i e 78h84 EB N GDF IO N Na bo 1 a no B Fig 3 Analyse factorielle de correspondance grossissement du nuage secondaire central projet suivant les axes principaux 1 et 3 L gendes des abr viations utilis es dans les figures 1 2 et 3 a ge ap indice AP indice g omagn tique cl changement de lune dq dernier quartier dv direction du vent selon code 00 36 gaa gradient d indice AA gdfi gradient de Daily flare index gh gradient d humidit DISCUSSION Malgr l aspect incomplet de notre enqu te nous pensons que l tude de l influence des facteurs m t orologiques sur l
113. ne certaine proportion d eau d ad duction un traitement d ferrisont un traitement coagulant et parfois un traitement d sinfectant et correcteur du pH Ces mesures n ouraient de sens et leurs r sultats ne pourraient tre valu s que si l hygi ne individuelle est profond ment transform e comme indiqu aux points 1 4 et 5 ci dessus En particulier les m decins thermaux sont ils pr ts certifier l aide d un imprim qu ils ont expliqu aux malades comment respecter l hygi ne des piscines et qu ils ont inspect les replis cutan s En conclusion il nous parait essentiel de conserver le lien entre la mobilisation en piscine et le contact ther mal Ce lien pourrait il tre maintenu dans bien des cos par le jeu d une succession bref d lai de ces deux temps th rapeutiques Nous sollicitons l avis de la Soci t Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 100 DISCUSSION AU COURS DE LA S ANCE Pr Besan on 1 Etablir un texte de r glementation avec normes et d terminer les troitements autoris s chouffage 2 Ne donner l autorisation d utiliser une eau min rale pour alimenter une piscine que lorsqu elle est efficace pour l affection que l on veut traiter 3 Ne donner l autorisation de cr er une piscine collective que lorsque l eau disponible est en quantit suffisante pour que le renouvellement agisse suffisamment sur la dilution microbienne 4 Diminuer le volume des pis
114. nouveau nous leur expliquons que la pilule les prot ge de la grossesse mais pas du reste et qu elles doivent observer quelques r gles d hygi ne et en particulier se laver elles et leur partenaire utiliser une hydroth rapie simple et du savon apprendre l usage des cr mes sper maticides et bact ricides et m me quelques conseils de sexologie bref les mettre en garde et les pr venir aussi contre les viroses herp s papovavirus et autres auxquels on attribue main tenant une bonne part des cancers du col L AVORTEMENT PROVOQUE ou IVG fait dans les meilleures conditions l h pital et par des mains Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 82 Y CANEL expertes comporte cependant un risque inflam matoire qui atteint 5 p cent des sujets qui le r clament Toute femme qui vient de subir une IVG re oit une prescription de pilule sauf contre indication ou un st rilet ou une prescription de spermaticides Bien entendu la surveillance de la cure thermale qui suit une salpingite apr s IVG comporte le rappel pr ventif d une bonne contraception et permet d liminer des principes stupides r cem ment n ai je pas vu une jeune femme de 20 ans oblig e de se faire avorter par l ignorance de son m decin traitant il lui avait r p t ce principe qui traine encore toute prise de contraceptif doit tre interrompue pendant un mois chaque ann e pour instituer un repos th rapeutique et permettre d
115. ns alors que chez l homme elle volue de fa on progressive et r guli re La n gativation du bilan calcique qui conduit l ost oporose r sulte n ces sairement d une augmentation relative du cotabolisme os seux par rapport l anabolisme Dans l ost oporose commune la formation d os est dimi nu e alors que la destruction osseuse est normale ou moins diminu e A noter la pr dominance de l ost oporose f mi nine Les deux principales hormones responsables de l anobo lisme et du catabolisme osseux la calcitonine et l hormone porathyroidienne pourraient tre impliqu es dans la patho g nie de l ost oporose commune et de l ost oporose post m nopousique par diminution de la s cr tion de calcitonine hypers cr tion d hormone porathyroidienne ou association des deux On constate une diminution significative du taux circulant de calcitonine par rapport au sujet normal du m me ge Cette baisse est elle la cause ou la cons quence de cette ost oporose Le dimorphisme sexuel s accorde parfaitement avec l exis tence d une d ficience en calcitonine circulante Les trou bles du m tabolisme du Ca et de l ost oporose postm no pausique ne se limitent pas l os mais int ressent le rein et l intestin ils sont exactement r ductibles un d nomi nateur commun celui de la corence en calcitonine La calcitonine inject e dose substitutive une ost o porotique inhibe significativement le catabolism
116. ntaires ou suicidaires On le retrouve dans les antigels le m thoflurane A noter le pourcentage lev 4 7 p cent des porteurs d il ite terminale qui pr sentent une lithiase oxalique par accroissement de l obsorption de l oxalate olimentaire On peut l expliquer aussi par la formation de liaison entre les acides gras et les ions calcium Hyperoxaliurie primaire Elle se manifeste t t avont 5 ans mais on peut en voir chez les adultes jeunes femmes apr s grossesse Les colculs r naux d tect s par radiographie oxaliurie sup rieure 50 mg 24 h oxaliurie faiblement augment e ou d but mais pouvant tre d cupl e pendant la p riode d insuffisance r nale terminale L acide oxolique se d pose partout notamment dans le c ur et le seul traitement est la dialyse intermittente Cette hyperoxaliurie serait due la perturbation du m ta bolisme de l acide glycoxylique Lithiase idiopathique ou volutive Les risques essentiels sont les coliques n phr tiques et les h maturies avec infections urinaires graves 83 p cent des colculs sont des calculs d oxalate de Calcium Une hyperoxoliurie d origine endog ne ou exog ne mais aussi une diur se insuffisante expliquent cette lithiase Elle est favoris e par l l vation du pH urinoire infection par exemple mais oussi les insuffisances en certaines sub stances citrate de Mg ou au contraire r le du Ca La lithiase oxalurique comporte soit une augmentat
117. o salpinx ou les collections stagnant dans le cul de sac de Douglas Les salpingites aigu s secondaires des asso ciations microbiennes et ou m connues reconnues trop tardivement ou insuffisamment trait es abou tissent irr m diablement des salpingites chro niques et des l sions s quellaires redoutables st nose ou oblit ration de la lumi re tubaire l sions de la muqueuse et de la musculeuse de la trompe l sions externes type d adh rences SEQUELLES Les l sions de st nose ou d oblit ration premier type de s quelles emp chent la capture de l ovule ou sa progression normale Elles peuvent si ger l une des deux extr mit s de la trompe plus sou vent l extr mit distale que proximale ou tre bifocales A l extr mit distale ampoule et pavillon on peut distinguer l agglutination des franges le phimosis et l hydrosalpinx L agglutination des franges peut tre limit e et g ner simplement l talement du pavillon Elle est souvent plus tendue atteignant l ensemble des franges qui s invaginent sous la s reuse p riton ale Celle ci les recouvre alors plus ou moins compl tement en dessinant un anneau scl reux limitant l orifice L oblit ration compl te ou hydrosalpinx s accompagne le plus souvent d une dilatation de la lumi re tubaire contenu liquidien clair et st rile Celui ci peut tre simple uniloculaire ou multiloculaire A l extr mit proximale portion inters
118. o Ro maine disposant d une grande vari t de sources la Station de Rennes les Bains s est sp cialis e au cours de ces derni res d cennies dans le traitement des affections rhumatismales d g n ratives arthrose n vral gies cervico brachiales sciatiques p _ riarthrites tendinites bursites m taboliques goutte inflammatoires polyarthrite rhu Elle est agr e par tous les orga nismes sociaux Depuis 1970 les Nouveaux Thermes utilisent deux sources sulfat es calciques chlorur es mixtes thermales et radioactives la source Marie 40 42 C la source Bain Fort ou Thermes Romains 47 52 9C Ils offrent une gamme vari e de traitements bains et a ro bains dou ches sous toutes les formes hydromas sages r ducation en piscine illuta tions locales de parafango Surveillance m dicale M decins Thermaux 2 sp cialistes Kin sith ra peutes 2 attach s l Etablissement Thermal Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 114 ALET LES BAINS Alet les Bains poss de un riche patri moine architectural qui s difia par tir du X si cle Alet devint v ch en 1318 et vit se succ der trente cinq v ques jusqu en 1790 En vous prome nant dans le village vous d couvrirez l Eglise abbatiale construite aux X et XI si cles la place avec les maisons colombage datant des XVI et XVII si cles l ancien
119. ocq Contrex ville Eau sul fat e calcique et magn sienne de Contrex ville et diur se Interventions B Ninard Pr M Boulang La s ance est lev e 18 h Etaient pr sents Les membres du Bureau Pr sident J Thomas Vit tel Vice Pr sidents J Darrouzet Luchon R Louis Bourbon Lancy Secr taire g n ral G Girault Plombi res Secr taire g n ral adjoint J Carles Capvern C Ambrosi Royat Tr sorier R Jean Allevard Tr sorier adjoint M Roche Paris A Pojault Bourbon l Archambault Archiviste B Ninard Secr taire de S ance H Founau Lamalou Les professeurs A Larcan M Boulang Nancy R Laugier Chatenay Malabry P L Biget R Grondpierre P Desgrez F Be sangon Paris Les docteurs Maugeis de Bourguesdon J M Darrouzet Luchon J Fran on Aix les Bains R Chambon J Follereau Ba gnoles de l Orne P Many Saint Gervais Cl Boussagol Allevard Boukhris Tunis Traut Challes S Camp nio Toulon Mallat Lalotte Y Bauchy Paris Ronot B Allary Bourbonne J F Gury A Schneider Plombi res J Cl Dubois Saujon J Godonn che La Bourboule J M Benoit La Preste R Flurin Cauterets Lachand Cransac B Hacq D Schindler J G rardin J Brod J Foglierini Contrex ville J de la Tour Vichy Sarrazin Baillet Guichard des Ages La Roche Posay Cl
120. oital jusqu alors n gatif se positive avec le sperme du mari et il le restera pendant les trois ou quatre mois qui suivent la cure Ce ph nom ne est explicable par une action suffisam ment importante sur l innervation et la circulation cervico isthmique pour modifier la glaire A PROPOS DE QUELQUES OBSERVATIONS ST RILIT S PAR INCOMPATIBILIT GLAIRE SPERMATOZOIDES Observation n 1 couple C Elle 28 ans en 1973 st rilit primaire de 5 ans Un bilan tr s complet a d j t effectu chez ce couple comportant en particulier l examen des courbes thermiques montrant une insuffisance lut ale avec un plateau bas inf rieur 37 C de la glaire normale en p riode ovulatoire des tests postco taux n gatifs 0 spermatozo de au niveau du col 2 spermatozo des immobiles au niveau du vagin des frottis normaux d une biopsie d endom tre qui d ficit lut al au 23 jour d une insufflation kymographique normale des spermogrammes qui r v lent une asth nospermie 40 p cent de formes mobiles une heure apr s l mission montre un discret Les traitements d j pratiqu s sont Chez elle traitement hormonal en vue d am liorer le d ficit lut al Clomid dans un premier temps 2 mois en 1970 HMG HCG ensuite pendant deux mois janvier et mai 1971 Apr s ces traitements la courbe thermique n est pas am lior e toujours bauche de diphasisme le t
121. omplexes industriels qui ont modifi et d grad l environnement Les b timents assez v tustes devraient tre am lior s et aussi agrandis il est vrai que ces derni res ann es les troubles et les guerres presque ininterrompus depuis 1952 n ont pas permis de s int resser cette industrie thermale qui pourroit tre pour l Egypte une source de revenus H louan fond e vers 1600 ans av J C peu pr s l poque du Pharaon Amen Hoteb poss de des eaux sul fur es chlorur es sodiques et sulfat es calcique et magn sienne Une analyse lo derni re en notre possession d c le NaCl 3 749 g CO 0 028 CaHCO 0 555 H S 0 016 MgSO 0 409 5 0 012 MgCI 0 392 NoF 0 008 KCI 0 053 CuS 0 003 SrSO 0 081 ZnHS 0 0009 NH4S 0 030 Les eaux sont utilis es en bains douches douches UK pression de 1 3 kg en massages sous la douche Dans l tablissement il existe aussi des tuves en caisse de la peloth rapie et on y pratique aussi la r duca tion fonctionnelle Les affections trait es sont les affections rhumatismales et neurologiques y compris les s quelles de poliomy lite les affections pulmonaires et les dermatoses enfin l ob sit 27 avenue Louis Francais 88730 PLOMBIERES LES BAINS Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 A 3 km de l tablissement d H louan on a trouv une source de composition analogue CINa 2 78 g CIMg 0 601 SO Ca 0 918 CO4M
122. on Cl cumul e Corr lation consommation limination de chlore Cette limination accrue de l ion Cl avec l eau min rale de Contrex ville peut elle s expliquer par lo diff rence de concentration de l anion Cl dans les deux eaux 6 7 mg l pour l eau min rale de Contrex ville 2 mg l pour l eau t moin Non pour la raison suivante les poids d ions Cl ing r s sous forme de boissons pendant l essai se sont lev s pour le lot A 3 04 X 6 7 mg l 0 020 g pour le lot B 2 6 X 2 mg l 0 005 g tondis que les poids d ions Cl excr t s dons les urines pendant le m me temps se sont lev s pour le lot A 8 820 g pour le lot B 4 720 g Les quantit s d ions Cl ing r s sous forme de boisson sont donc n gligeables par rapport aux quantit s excr t es dons les urines et ne peuvent expliquer l excr tion sup rieure obtenue avec l eau min rale de Contrex ville ANALYSE STATISTIQUE DES R SULTATS Les lots et B ont t tudi s simultan ment et n ont pas foit l objet d exp rimentation crois e Nous devrons examiner la signification des diff rences de moyennes et non celle de la moyenne des diff rences En outre il fout tester le type de loi en fonction de la population tudi e Les caract ristiques essentielles sym trie m diane rapport cart probable sur cart type courbe sigmoide droite de Henry ont t d termin es sur l ensemble
123. on J Seasonal and short term relationships of temperature witn death from myocardial and cerebral infarction Age Ageing 1975 4 19 31 6 Chilaiditis G Sparros L Maschas H Facteurs m t orolo giques et accidents vasculaires aigus c r braux Sem H p Paris 1968 77 1152 1157 7 Jager Statistische Untersuchung ber den zeitlichen Zusam menhang von Herzinfarkten und Apoplexien mit Grosswetterlan gen und Wetterphasen Med Weit 1969 20 1267 1275 8 EU A Schlaganfall und Wetter Bioklimatol Beibl 1935 9 Knox E G Meteorological associations of cerebrovascular disease mortality in England and Wales J Epidemiol Commu nity Health 1981 35 220 223 10 Lischka J Der Abh ngigkeit des Apoplexien von Wetter und Jahreszeit Z exp Med 1940 707 161 165 11 Maschas H Chilaiditis G Contribution l tude des facteurs m t orologiques en biologie Buli Acad nat M d Gr ce 1987 151 580 585 12 Ohno Y Biometeorologic studie on cerebrovascular diseases l Effects of meteorologic factors on the death from cerebro vascular accident Jpn Circ J 1969 33 1285 1298 13 Ohno Y Biometeorologic studies on cerebrovascular diseases I Seasonal observation on effects of meteorologic factors on the death from cerebrovascular accident Jpn Circ J 1969 33 1299 1308 14 Ohno Y Biometeorologic studies on cerebrovascular diseases MI Effects by the combinati
124. on et l hydro th rapie g n rale par bains et douches sont de loin les plus fr quemment utilis es Viennent ensuite les pratiques hydroth rapiques sp ciales l ORL et enfin les pratiques gastroent rologiques et gyn cologiques La peloth rapie est utilis e dans trois stations dont Cucos station rhumatolo gique d Estremadure boues hyperthermales et radioactives Vizela et Luso La kin balnoth rapie est pratiqu e Luso dont les installations thermales sont parmi les plus moder nes du Portugal l nous faut maintenant au terme de ce chapitre des r alit s du thermalisme portugais analyser sommaire ment le degr de maturit du thermalisme social dans ce pays ne serait ce que pour boucher une r ponse aux probl mes soulev s par l int gration du Portugal lo communaut conomique europ enne 90 p cent des curistes b n ficient de la couver ture partielle ou totale de leurs frais de cure par un organisme de pr voyance sociale Sont obligatoirement offi li s la S curit Sociale les salari s du commerce de l industrie et de l agriculture a prescription m dicale de cure doit obligatoirement tre r dig e par un praticien d un centre de sant de la S curit Sociole et l accord ou le refus proc dure de l en tente pr olable est le fait du m decin d partemental de la S curit Sociale sur le plan des prestations la cure est accord e pour une dur e minimale de 14 j
125. onale des eaux de Luxeuil par la m thode des frottis vaginaux Presse therm clim 1951 88 204 205 7T Trechot C Place de la cr noth rapie dans le traitement des st rilit s A propos de 50 cas Luxeuil les Bains Th se M d Nancy 1979 Vie des stations LA PRESTE A l cart des modes temporaires et des grandes migrations touristiques La Preste reste tr s fi re de ses indica tions tr s sp cialis es et tr s particu li res Elle n en oublie pas pour autant l indispensable effort de recherche et de r flexion m dicales sur l action de son traitement L action du Centre d Etude et l In formations des Eaux de La Preste as sociation de m decins mais aussi de non m decins bien conscients de l im pact conomique local de cette station thermale s oriente actuellement dans deux directions L tude d taill e des r sultats de la cr noth rapie de La Preste dans les Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 grandes indications de la station les infections g nito urinaires touche sa fin Bien que les s ries simples tudi es ne permettent pas de conclusion for melle leur analyse inachev e quant elle est du plus haut int r t Un exemple simple en est fouini par les prostatites o le traitement de La Preste enregistre des r sultats ton nants ce type de constatation oblige en effet envisager une action g n rale et non locale du traitement ther
126. ons of meteorologic changes on the death from cerebrovascular accident Jpn Circ J 1969 33 1309 1314 15 Ohno Y Biometeorologic studies on cerebrovascular accident IV Evaluation of meteorologic factors their changes or combi nation of the occurence of cerebrovascular accident Jpn Circ J 1970 34 69 75 16 Ohno Y Biometeorologic studies on cerebrovascular diseases V A multivariate analysis of meteorologic effects on cerebro vascular accident Jpn Circ J 1974 38 195 208 DISCUSSION AU COURS DE LA SEANCE Dr Dubois Le r le des baisses de pression que vient d voquer le Dr Flurin me para t tr s important En pathologie neuro psychique le d clenchement des d sordres anxieux por les ph nom nes m t orologiques se fait tr s fr quemment dans les jours qui pr c dent les pr cipitations ou les vents Il en est de m me pour les orages L angoisse pr c de la venue de la pluie Une de nos malades m t orosensible tait l objet d angoisses dans les jours qui pr c daient la venue des vents du nord ouest et des temp tes qui les accompagnaient Elle habitait un port de p che de la c te atlantique Les marins qui connaissaient so sensibilit venaient la voir avant de pr voir leur sortie en mer pour savoir si les jours suivants il y aurait ou non des temp tes Dr Ambrosi Question Connaissez vous la proportion des patients trai t s ou non trait s dans vos s ries d accident s Press
127. ontrex ville Sur le plan pratique le laboratoire de la Soci t g n rale de grandes sources d eoux min rales francaises s est charg d effectuer ces travaux mettant en porall le l action sur la diur se du rat de l eau min rale naturelle de Contrex ville Source Pavillon et d une eau t moin L analyse des r sultats de ces travaux a t conduite selon les m thodes stotistiques appliqu es g n ralement aux trovaux de Recherche M dicale pour garantir la rigueur scientifique des conclusions Les quelques faits observ s ici chez l animal montrent une certaine p riodicit dans ses r actions vis vis de l ingestion de l eau min rale naturelle de Contrex ville l est de plus probable que le moment m me de cette ingestion d eau min rale a une influence sur l intensit de ses effets tout comme pour certains m dicaments dont l action varie avec le moment de l administration au cours des diff rentes phases des rythmes biologiques La conjonction de ces deux ph nom nes temporels pourrait tre exploit e dans le but d une efficacit optimole d une ventuelle chronoth rapeutique PROTOCOLE EXP RIMENTAL 24 rats m les Wistar g s d environ six mois pr s lec tionn s parmi 40 sujets pour leur diur se moyenne ont t group s en deux lots et B de 12 individus r partis dans des cages de laboratoire 6 par cage au maximum Rue du G n ral Hirschauer 88140 CONTREXEVILLE 77 av de la Grand
128. ormale 124 cas 50 6 96 inflammation v sicale diffuse quel que soit l aspect endoscopique 61 cas 24 9 96 trigonite 37 cos 15 1 96 inflammation du col v sical 15 cas 6 2 90 ur thrite 10 cas 4 1 96 vessie de lutte 5 cas plaque de m taplasie 3 cas maladie du col 2 cas deux anomalies tant asso ci es dans 12 cas Nombre de crises moyen par curiste et par an avant et apr s cure Ce r sultat est repr sent sur la figure 1 On constate qu il passe de 5 76 1 75 crise par an en moyenne soit une diminution de 69 6 p cent SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE Nombre de jours de traitement par patient et par an Ce r sultat est repr sent sur la figure 2 On constate qu il passe de 161 jours 43 jours par an en moyenne soit une diminution de 73 3 p cent tr s proche de la diminution enregistr e sur la figure 1 R sultat synth tique Il concerne bien entendu les 168 cas dans lesquels un recul de 2 ans au moins a t obtenu On rel ve 47 cas 28 96 53 cas 31 5 96 30 cas 17 9 90 38 cas 22 6 96 tr s bons r sultats 59 5 bons r sultats am liorations checs COMMENTAIRES L tude d une s rie de patientes pr sentant des cystites r cidivantes nous a pos des probl mes de m thodologie li s l insuffisance des connaissances actuelles sur ce sujet et qu v cu particulier de cette affection par nombre
129. ou nitrates on observe une chute du voltage intraluminal positif Burg 3D Ainsi l limination importante des chlorures chez les rats abreuv s l eau sulfat e calcique de Contrex ville 87 96 pourrait s expliquer comme suit Le long du segment de dilution la concentration en anions chlore qui normalement diminue progressivement de par le transfert actif se stabiliserait un certain niveau afin de maintenir un gradient lectro chimique positif menac par l apport important d anions sulfates peu diffusibles La sauvegarde de ce gradient est indispensable pour conserver une certoine r absorption passive de cations Cette hypoth se physiolo gique nous permet un rapprochement avec les th ories sur le m canisme d action des diur tiques de l anse et sur la physiopathologie du syndrome de Bartter puisque dans tous ces cas on incrimine un d faut de fonctionnement de la pompe chlore Burg Gill 3 51 Pour le syndrome de Bartter on ossiste une inefficacit de la pompe chlore avec intervention parall le plut t que primitive des prosta glandines E et l Gill 5D L administration d un diur tique de l anse comme le furos mide inhibe les prostaglandines d shydrog nases de la branche ascendante et secondaire ment par la non d gradation des prostaglandines Ej s op pose la r absorption chlor e 3 L eau sulfat e calcique de Contrex ville quant elle entraineroit une diminution de la r
130. ours Les prestations m dicales comprennent les honoraires m dicaux de surveillance for faitaires correspondant l galement 3 consultations con cr tement ce forfait tait de 500 en 1981 soit 38 00 F les frois d tablissement thermal variant de 253 18 00 F pour 21 jours de buvette 588 44 00 F pour 21 bains complets en boignoire ou 861 65 00 F pour 21 bains 4 21 douches sous marines Les prestations suppl mentaires h bergement et trans port ne sont soumises aucun plafond de ressources le forfait d h bergement est l quivalence du SMIG et le trans port est rembours int gralement Presse thermale et climatique 1984 127 no 2 SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE Signalons enfin que la client le trang re est excessive ment r duite Les changes se font un peu avec l Espagne et plus accessoirement avec le Br sil AVENIR DU THERMALISME PORTUGAIS il nous paro t au terme de cette tude men e sur le terroin non d muni de promesses Les difficult s existent certaines d entre elles sont manifestement pr occupantes faute de solutions adapt es et urgentes Elles n appartiennent pos en propre au Portu gal nous les connaissons aussi des variantes pr s Nous rel verons surtout le caract re empirique et fortement traditionnaliste de la cr noth rapie base de son discr dit scientifique et de son absence de compl mentarit des th ropeutiques modernes
131. ppement progressif de programmes de recherche Caldos da Rainha l Institut d Hydro Climatologie de Coimbra l Institut Oncologique de Porto investissements r cents de modernisation et de cr a tion d tablissements thermaux am nagement du complexe thermal du Haut T mega avec construction de l tablisse ment de Chaves Tros os Montes le plus moderne de la p ninsule ib rique construction du nouvel tablissement de Sao Pedro do Sul restauration des thermes de Luso avantages climatiques ind niables inauguration de campagnes promotionnelles vers l tranger par l interm diaire des Offices du Tourisme Por tugais publication en 1981 en 15 000 exemplaires d une documentation thermole en langue frangaise de bonne qua lit SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE adh sion la FITEC rappelons le congr s de 1980 Povoa de Varzim cr dibilit du thermalisme ou niveau des responsables de l Etat Direction G n rale de la Sant Direction G n rale des Mines Direction G n role du Tourisme CONCLUSION Pays de culture m diterran enne et de tradition euro p enne porte ouverte sur l Afrique et l Am rique jeune d mocratie en voie de d veloppement le Portugal n appar tient pas bien videmment ou peloton de t te des g ants du thermalisme europ en L URSS l Allemagne l Italie la Roumanie la Tch coslovaquie affichent une fr quentation thermale nettement sup rieure
132. quentes le gonocoque et le Chlamydia semblant se potentia liser fragiliser la muqueuse tubaire et faciliter les surinfections par des germes a robies ou ana ro bies d o une exaltation de leur pouvoir pathog ne Elles sont graves car elles provoquent alors des l sions tubaires souvent irr versibles r sistant au traitement m dical n cessitant parfois une inter vention d ex r se La difficult du diagnostic est li e la modifi cation de la s m iologie clinique modification que MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES ET THERMALISME 71 l on constate sans pouvoir r ellement proposer une explication coh rente En effet les tableaux bien connus faits de dou leurs pelviennes vives de naus es de troubles du transit d une fi vre lev e d une d fense hypo gastrique avec emp tement douloureux des culs de sacs sont moins fr quemment observ s qu autre fois Les signes sont d sormais beaucoup plus b tards La douleur est d intensit variable d crite comme une g ne plus que comme une v ritable douleur Ele est parfois unilat rale Elle commence au moment d une menstruation ou apr s un rapport douteux et dure dans certains cas depuis plu sieurs semaines quand l adolescente se d cide consulter de 7 14 jours dit Westrom 18 19 20 Dans 30 50 p cent des cas elle est associ e des m trorragies secondaires une endom trite qui garent le diagnostic L atteinte de l tat
133. r thrite 8 91 Que penser du syndrome ur thral des auteurs anglo saxons 10 Que penser de la multitude de traitements propos s traitements minute altern s intermittents doses fil es instillations diverses etc Toutes ces questions am nent cer tains urologues apr s un bilan complet de la cystite qui est le plus souvent n gatif 2 envoyer ces femmes chez le psychiatre Attitude d autant moins logique que si les cystalgies urines claires paraissent d origine psycho somatique 3 elles correspondent une d finition pr cise Difficult s li es aux patientes Dans un tel contexte on comprend mieux que certaines patientes consid rent la cystite comme un caract re sexuel secondaire que d autres y voient l in vitable ran on de rapports sexuels charg s d une lourde culpabilit cultu relle que d autres autom diquent sans plus s en inqui ter un sympt me qui leur parait li leur f minit Bref la cystite est trop souvent le royaume des incertitudes de l autom dication des recettes de gyn c e de l indis cipline th rapeutique et de l abandon m dical juger pour tant par l tat pitoyable dans lequel certaines femmes cys titiques nous parviennent La Preste elle m rite s rement mieux Toutes ces difficult s permettront de comprendre l obli gation d une s lection particuli rement rigoureuse des dos siers pour essayer de se faire une id e assez exacte de
134. r le facteur manque d ensoleillement L influen ce des pr cipitations et de la vitesse du vent semble tre nulle pour Bull 4 Des variations du point de ros e en trois heures ont t mentionn es Besan on 2 faut gale ment consid rer le facteur pollution atmosph rique Knox 9 Les tudes les plus vastes sp cialement celle d Ohno 12 16 Nagoya insistent sur la complexit m t orologique des facteurs atmosph riques temp rature saison pluies variation de temp rature et sur leur interf rence avec les facteurs extraclimatiques urbanisation rythme de vie profession activit physique rendant toute conclusion ou tentative de conclusion extr mement difficile Souvent des conclusions r sultant d une soigneuse tude statistique sont contraires oux premiers r sultots obtenus Ainsi en consid rant une s rie de 701 accidents vasculaires c r braux Besan on 2D on note que la fr quence semble tre accrue en cas de brusques chutes de temp rature en hiver d l vation soudaine du point de ros e en toute saison et de baisses soudaines en automne Une tude plus approfondie permet de consid rer l influence possible de la pression atmosph rique et des variations de l humidit R cemment Besangon a bien voulu nous pr ciser que ces r sultats obtenus par m thode univari e avaient t compl t s par une m thode multivori e th se Cohen Ayant s lectionn 150 param t
135. rardin et B Hacq Analyse d une exp rimentation chez le rat par J C G rardin et B Hacq Vie d s Stations uox 20 222 veto a ire d Pre ca eoa itaq EE a aoa ai eit dcc acad 80 86 113 informations 222 ve pa aves v eee RR RS EA NUR E e Ehe La Roe aae UE qr qe Ha ein ios 83 114 re E a a Acquisitions r centes en gyn cologie obst trique Introduction P VIGE Paris La gyn cologie obst trique est certainement une des disciplines m dicales qui connait le plus grand essor Les temps ont pass o l accoucheur se conten tait souvent avec talent de mettre au monde les enfants o le gyn cologue en prescrivant une contraception orale en pratiquant des frottis cervico vaginaux ou en traitant des leucorrh es entreb illait la porte de domaines aussi vari s que l endocrinologie la carcinologie et la v n rologie l n est pas de notre propos ici de traiter toute la gyn cologie obst trique mais en abordant les trois th mes que sont les maladies sexuellement trans missibles et leurs implications les techniques et les indications de la f condation in vitro et les nouvelles approches du diagnostic ant natal nous pensons certes cerner l actualit mais aussi ouvrir les portes du futur CHU Cochin Port Royal 27 rue du Faubourg Saint Jacques 75674 PARIS CEDEX 14 Presse thermale
136. ratas Office du Tou risme Curia MM Jos Augusto Rodrigues Roseira et Jo o Manuel Vieira de Castro Ribeiro Soci t des Eaux Curia R F RENCES Forestier F Compte rendu de la r union de la FITEC Porto Presse therm clim 1982 119 26 28 Narciso A Le Portugal hydrologique et climatique tome l Lisbonne Ind Gr ficas Ed 1930 1931 Varej o Castelo Branco A Alguns aspectos da actividade termal portuguesa Col quio termal das Beiras 1981 Vicente A Elementos estatisticos das guas minerais e de mesa r ferentes a 1979 Bol Minas Lisboa 1980 17 119 125 Vil Valenti J La p ninsule ib rique collection Magellan Paris PUF 1968 vc M Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 108 SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE Apercu sur le thermalisme en gypte G GIRAULT Plombi res Les stations thermales gyptiennes remontent l re pharacnique Por la suite elles sont retomb es progres sivement dans l oubli utilis es presque uniquement par les b douins N anmoins l heure actuelle une station fonctionne encore mais l tablissement comme la fr quentation nous paraissent en r gression depuis une quarantaine d ann es H LOUAN Cette station implant e au d part dans une zone privi l gi e au sud de la ville r sidentielle de Mahadi non loin de la for t p trifi e se trouve actuellement compl tement encercl e par des c
137. res y compris la pollution surtout l acidit forte et le poss du pr dictant ne se contentant pas du jour de l accident mais ayant aussi pu tudier la m t o des dix jours pr c dents il utilise deux m thodes la s lection progressive ascendante recherche des dix meilleurs variables et le score des pr dictions r ussies pourcentage de r ussite Il retrouve l influence de la temp rature du vent de l insolation de la pollution et une forte incidence sur la survenue et lo gravit des accidents des changements brusques et de l instobilit du temps vents du NO du SO anticyclones E courants de d pression E remont e SE S de M diterran e avec temps lourd Ainsi gr ce ces donn es collig es Paris et qui corroborent beaucoup des n tres et malgr des impr cisions qui subsistent il apparait bien une confirmation scientifique des notions empiriques R F RENCES 1 Benzecri J P L analyse des donn es Paris Dunod 1973 2 Besan on F Pezzi Girault D Rocquin Chaptal E Ricome H Circonstances m t orologiques des infarctus du myocarde accidents vasculaires c r braux et tentatives de suicide au voisinage de Paris Presse therm clim 1981 118 189 198 3 Bokonjic R Zec N Attacks and the weather J neurof Sci 1968 6 483 491 4 Bull B M A comparative study of myocardial infarction and cerebral vascular accidents Geront Clin 1969 11 193 205 5 Bull G M Mort
138. rne les accidents vasculaires c r braux il n y a pas beaucoup d auteurs qui comme nous font une distinction entre accidents vasculaires thrombosants et acci dents vasculaires h morragiques Ohno 12 161 Cepen dant Maschas 11 limine les accidents emboliques de son tude Les tudes publi es sont presque toutes h t rog nes et contradictoires L influence qui est le plus souvent remar qu e est celle des fronts froids Jellineck 8 Lischka 10 Jager 7 ou au contraire celle des fronts chauds Pour Chilaiditis 6 Maschas 11 Bokonjic 3 Bull et Morton 5 les brusques variotions thermiques oinsi que les varia tions de la pression atmosph rique en sont principalement responsables L influence des variations brusques de pression atmosph rique baisse soudaine est aussi en cause sans influence de la temp rature Besan on 2 Les premiers auteurs qui ont tudi ces ph nom nes ont galement not les variations brusques de ces deux facteurs Bull 4 tudie particuli rement la variation de temp ra ture qui intervient deux jours avant l accident et qui entra ne un changement durable D autres auteurs ne prennent pas en consid ration l influence des variations thermiques Knox 91 Les facteurs solaires qui ont t tudi s ne permettent Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 98 SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE plus Marchioni de d finir une relation significative Bull 4 insiste su
139. rt L imp ratif hygi nique trouve ses limites dans le foit que tout malade qui entre dons une piscine apporte en moyenne 30 200 millions de germes et couramment davantage L indispensable toilette individuelle avant l en tr e des piscines pose un probl me d autorit De m me les n gligences dans le s chage de la peau et la d sinfection des maillots de bain Les r glements ne sont coh rents qu en apparence cor ils p chent la fois par rigorisme et par laxisme Les textes en vigueur prohibent clairement tout traitement d sinfec tant et tout m lange d eaux de nature diff rente Ce qui est rigorisme devient germe de laxisme en ce sens que les r gles d hygi ne applicables aux piscines publiques et aux baignades am nag es sont actuellement interdites aux pis cines thermales M me leur seraient elles appliqu es ces institut d Hydrologie H tel Dieu Paris V Notre Dame 75181 PARIS CEDEX 04 r gles ne sont pas irr prochables car elles n gligent trop les parasites et les champignons et certaines d sinfections sont ind sirables parce qu irritantes Pour rem dier aux inconv nients expos s ci dessus di verses exp riences ont eu lieu et il faut connoitre les checs de certaines d entre elles Le filtre sable n est efficoce que tr s peu de temps son effet s annule puis devient oggrovant moins de pr cautions particuli res Les proc d s base d lectrodes m talliques sont abandonn s
140. s d hygi ne et de s curit applicables aux piscines et aqux baignades am nag es ne sont pas applicables aux piscines thermales d usage exclusivement m dical La situation actuelle est caract ris e par les limites aux quelles se heurtent trois imp ratifs la demande des malades les conditions d une r ducation efficace et l hygi ne D autre part la r glementation laisse d sirer Les malodes qui se rendent dans les stations attendent d tre trait s avec une eau thermale intacte y compris dans les piscines de mobilisation Cette demande se heurte au foit que l eau des piscines ne peut qu tre bien diff rente de l eau des sources et ce d autant plus que le d bit est moins g n reux L eau des piscines est oppouvrie en goz et en min raux qui peuvent avoir flocul La m me eau est enrichie en l ments ind sirables bact ries germes de mycoses virus peut tre et parasites comme les trichomonas amibes helminthes Dans l atmosph re une partie des ma nations sulfur es est oxyd e en acide sulfureux La r ducation en piscine thermale n est pas la seule pratique thermale Le succ s de cette r ducation parait d pendre davantage de l immersion en eau chaude de la qualit des installations et de l exp rience du personnel soignant que de la composition de l eau ll est quasi impossible de r soudre scientifiquement cette question faute de pouvoir organiser sur place des comparaisons par tirage au so
141. s A ores et tout particuli rement de l ile Sao Miguel riche en mer gences thermales R ALIT S DU THERMALISME PORTUGAIS Le fait thermal au Portugal quelques chiffres peut s exprimer en Dans le codre des activit s primaires du pays l ex ploitation des eaux min rales occupe la cinqui me place 16 bd Dr Peyr 61140 TESSE LA MADELEINE Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 en valeur marchande dans la classification des ressources naturelles derri re le tungst ne le marbre les calcaires et ciments les granites et avant l uranium Sur 194 sources hydro min rales recens es 40 sont exploit es et accueillent pr s de 90 000 curistes soit 1 curiste pour 110 habitants 70 p cent de la population thermale a plus de 45 ans et les femmes pr dominent 59 p cent de femmes 41 p cent d hommes La fr quentation thermale a progress de 30 2 p cent au cours des dix derni res ann es soit en moyenne de 3 p cent par an Comparativement la fr quentation ther male rapport e au nombre d habitants est sensiblement plus lev e en France 1 curiste pour 90 hobitonts mais nette ment plus faible en Espagne 1 curiste pour 380 habitonts La progression moyenne annuelle est par contre un peu plus faible dans notre pays 2 8 p cent Le thermolisme portugais est donc bien une r alit indissociable par ailleurs de la carte thermale europ enne et que l on serait tent de consid r
142. s apr s leur premi re cure 20 96 28 ont effectu deux cures 11 4 96 soit un an de recul 78 ont effectu trois cures 31 8 96 soit deux ans de recul 90 ont effectu plus de trois cures 36 8 96 soit un recul sup rieur 2 ans R SULTATS Caract ristiques des sujets tudi s Pour les 245 patientes lors de la 1 cure l ge moyen est de 49 ans 6 5 81 ons la dur e moyenne d volution de l affection depuis la premi re crise nette de cystite est de 17 ans 1 50 ans et on d nombre 129 actifs soit 52 6 p cent 85 sujets sans profession soit 34 7 p cent 31 retrait s soit 12 7 p cent R sultats des examens cyto bact riologiques urinaires avant cures Association pyurie bact riurie une pyurie et une bact riurie sont constamment re trouv es dans 111 cas 45 3 90 une bact riurie isol e significative est constamment retrouv e dans 33 cas 13 5 95 pyurie bact riurie et bact riurie seule alternent dans 93 cas pyurie bact riurie est le plus fr quent dans 65 cas 26 5 96 bact riurie isol e est le plus fr quent dans 28 cas 11 4 96 des cystalgies intercurrentes bact riologiquement d montr es se produisent dans 8 cos 3 3 96 Germe en cause Escherichia coli est seul retrouv dans 172 cas 70 2 96 E coli est le germe apparaissant le plus fr quem ment alternant avec un autre germe dans 40
143. s ou moins longue auxquels s ajoutent le traitement de leurs cons quences que sont grossesse extra ut rine salpingectomie traitement de cette st rilit Cette num ration ne prenant m me pas en compte les cons quences humaines illustre au mieux nos conclusions Maladies sexuellement transmissibles et thermalisme R HENRION Paris La plupart des maladies sexuellement transmis sibles peuvent entra ner une st rilit Celle ci est alors beaucoup plus souvent f minine que mascu line La principale cause de st rilit f minine est l infection tubaire ce qui ne saurait tonner lorsque l on se souvient de la fragilit des trompes de la complexit de leur fonctionnement et de l impor tance de leur r le physiologique Une autre complication redoutable de l infection tubaire est l volution vers la chronicit qui entraine des douleurs pelviennes ou lombaires tenaces r cidivantes d sesp rantes aggrav es par la fati gue provoqu es par les rapports entravant la vie professionnelle et sexuelle de la femme jeune Que ce soit dans les cas de st rilit ou de dou leurs pelviennes la prescription de cures thermales peut tre tr s utile et am liorer les s quelles de l infection qui est devenue de plus en plus fr quente et de plus en plus grave au cours de la derni re d cennie EPIDEMIOLOGIE Premi re notion nouvelle a fr quence des l sions tubaires a indiscutablement augment au cours des
144. scrivent plusieurs jours SURVEILLANCE La patiente poursuit sa courbe de temp rature Si le plateau thermique se maintient les 9HCG plasmatiques sont dos es tous les 3 jours partir du 9 jour suivant la r implantation En cas de positivit avec hausse des taux une chographie est pratiqu e deux semaines plus tard puis r p t e chaque quinzaine Lorsqu on obtient une grossesse volutive une amniocent se est programm e pour la 17 semaine internationale La grossesse est ensuite surveill e comme toutes les autres R SULTATS ET CONCLUSIONS Les meilleures quipes obtiennent actuellement un ou plusieurs ovocytes 2 7 en moyenne dans 95 p cent des coelioscopies puis 80 85 p cent de clivages sur les ovocytes mis en culture mais seulement 22 25 p cent de grossesses volutives par r implantation Soit un taux global optimal de 15 20 p cent de grossesses volutives par coelioscopie La f condation in vitro apparait ainsi comme un compl ment de la micro chirurgie de la st rilit Les taux de succ s de cette derni re notam ment dans la pathologie tubaire proximale isthmo interstitielle et dans la pathologie ampullaire peu volu e restent en effet l heure actuelle nette ment sup rieurs Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 78 oligosols Lithium Oligosol I Aluminium Oligosol Phosphore Oligosol 4 mg 2 ml 8 14 mg 2 ml 0 14 mg 2 m e a
145. sent au thermalisme MEMBRES DE LA SOCI T Notre Soci t comporte ce jour 45 membres d honneur 24 membres honoraires 95 membres titulaires 167 mem bres adh rents 13 correspondants nationaux 50 corres pondants trangers soit un total de 394 membres Certains ont pris leur retraite nous avons d aussi en d missionner quelques uns enfin d autres sont d c d s les Docteurs L r Pitous Maniac enlev tout jeune sa famille dans un accident de la route le professeur Boulet thermaliste et homme de c ur Mais je voudrais aussi saluer la m moire du Baron Septime Dupin de Lacoste tr s attach la Presse Thermale suite de la Gazette des Eaux il lui a consacr de nombreuses heures et nous accueillait toujours tr s courtoisement lors des r unions du Comit de R daction A leurs familles nous adressons nos sentiments de condol onces Nous avons eu le plaisir de voir le Professeur Claude Loroche lu Membre du Conseil de l Ordre le Professeur A Cornet lu Membre Titulaire de l Acad mie de M de cine Nous leur disons notre joie de voir leurs qualit s et leur m rite justement r compens s Enfin nos remerciements s adressent tous ceux qui donnent de leur temps au thermalisme et d fendent notre sp cialit Avant de terminer je dis tous mes vceux et ceux du Bureau pour une ann e de calme de s r nit et de joie Je rajouterai tr s goistement puisse 1983 voir fleurir
146. seurs antihypertenseurs d presseurs du syst me nerveux central SURDOSAGE Possibilit de dyskin sies type de torticolis spasmodique protrusion de la langue trismus Dans certains cas syndromes parkinsoniens gravissimes coma Th rapeutique symptomatique PRESENTATIONS Sol inj bo te de 6 amp de 2 ml dos es IOO mg de sulpiride G l bcite de 30 dos es 50 mg Sol buv flacon de 200 mi dos 25 mg c c TABLEAU C PRIX Sol inj 18 60 F S H P AM M 3O3 287 4 G l 3990F S H P A M M 303 2897 Sol buv 24 70 F S H P A M M 303 290 5 Rembours 7O par la S curit Sociale Agr aux Collectivit s L Laboratoires DELAGRANGE 1 avenue Pierre Brossolette 9138O CHILLY MAZARIN T l phone 6 934 38 45 DELAGRANGE Information M dicale B P 7 9138O CHILLY MAZARIN T l phone 6 448 12 34 e 83 DELAGRANGE Q 485 Vi 798 DA 1 G 83 VISAF DOC
147. sos para s comparar os paises da Europas ocidental sentimo nos na obriga o de constatar que n o somente Portugal usufrui de um lugar embora modesto mas tem um potenciol de desenvolvimento termal de grande futuro Componente secular e tradicional da terap utica portuguesa a crenoterapia suscita actualmente reflex o e compromisso da parte dos respons veis profissionais e politicos deste pais com vista sua renova o e promo o O termalismo por tugu s quer se antes de mais nada como no nosso pa s um factor de sa de n o deixa de ser no entanto um factor econ mico tanto loco regional como notional sua pro mo o segundo estes dois crit rios fundamentais facilitaria c harmonia do termalismo social europeu e a integra o de Portugal na comunidade europeia de sa de Remerciements Nous remercions chaleureusement pour leur accueil et leurs conseils M Abilino Vicente Ing nieur des Mines Lisbonne le Dr Jorge Toscano de Melo m decin thermal Curia M Ant nio Martins Nunes Chef de division la Direction g n rale de la G ologie et des Mines Lisbonno le Dr Adelino Marques Professeur l institut de Climatologie et d Hydrologie Coimbra le Dr A Varej o Castelo Branco Direction g n rale de la Sant Lisbonne les Drs M rio Gon alves Carneiro Chaves et Jo o Jos Casimiro De Almeida Dias S o Pedro do Sul Mme Maria Antonieta Cancela das Neves P
148. t appel e spasmo philie symptomatologie plus ou moins riche et pr do minance f minine puis le prolapsus mitral PM idiopa thique et constitutionnel symptomatologie peu sp cifique plus ou moins latente avec hyperexcitabilit neuromusculaire maladie de Barlow avec toujours pr pond rance f mi nine L auteur a montr r cemment que la t tanie latente dite constitutionnelle idiopathique opparoit en r alit comme l expression neuromusculaire la plus fr quente du d ficit magn sien DM chronique primitif puisque le PM dit constitutionnel idiopathique para t en compliquer l volution dans un tiers des cas Le seul interrogatoire ne permet pas de distinguer clini quement t tanie latente et PM Donn es cliniques Signes fonctionnels banaux un tiers des cos latence symptomatologique deux tiers de cas hyperexcitabilit centrale et p riph rique volontaire et involontoire anxi t asthme c phal e vertiges palpitotions lypothymie pr cord algie Signes fonctionnels Chovsteck rechercher d abord ouscultation du c ur la pointe pour rechercher le clic bruit de triolet et ou un souffle systolique de r gurgitation mitrale habituellement discret plus ou moins intense mais mieux per u debout et en expiration forc e Explorations paracliniques surtout lectromyogramme et chocardiogramme par isch mie apr s garrot de 10 mi nutes post isch mie effet de la lev e du garrot
149. t par des op rateurs entra n s avec une technique rigoureuse la c lio scopie confirme le diagnostic et oriente le dia nostic tiologique permettant en outre de prati quer des pr l vements bact riologiques elle appr cie l tat des trompes et des pavillons don nant ainsi un bon l ment pronostique Enfin elle peut tre th rapeutique lib rant des adh rences aspirant le pus permettant un lavage de la cavit p riton ale ou m me d instiller in situ des anti biotiques Presse thermale ot climatique 1984 121 no 2 68 P VIGE Elle permet de rechercher syst matiquement des l sions de p rih patite Examens de laboratoire Les examens de laboratoire et notamment bact riologiques sont indispensables ls doivent tre faits par un laboratoire de qua lit sp cialis au mieux pr sent sur les lieux Sinon il faut disposer de milieux de culture de milieux de transport et ventuellement d un cong lateur permettant de conserver ces pr l vements dans les meilleures conditions Les pr l vements bact riens se font au niveau des voies g nitales basses orifice ur tral endo et exocol culs de sac vaginaux mais aussi au niveau du cul de sac de Douglas au niveau des pavillons et au niveau des trompes par coelioscopie Syst matiquement la s rologie est pratiqu e certes VDRL et TPHA mais aussi s rologie anti Chlamydia avec dosage des IgG voire des IgM Trois notions sont ess
150. tenu la vitesse moyenne journali re en m tres seconde tablie d apr s six mesures trois heures d intervalle et la direction pr dominante dans les 24 heures tablie d apr s le code 00 36 les hydrom t ores comprenant les ph nom nes les plus fr quents dans notre r gion pour lesquels nous avons tabli deux colonnes Dans chaque colonne est retenu un seul ph nom ne ayant domin la journ e en distinguant les l ments ayant plut t une influence sur la surface du sol brume brouillard gel e blanche givre et ceux qui agissent plut t sur l oir ambiant pluie pluie en averse neige gr sil gr le ros e Les lectrom t ores nous avons retenu trois v ne ments la survenue d orages le plus important d clairs de tonnerre Choix des param tres d activit solaire et ionosph rique Nous avons retenu le daily flore index DFI il se propose de rendre compte des ruptions dons la journ e tient compte de l importance des ruptions et de leur dur e l indice AA qui est un indice d amplitude de l acti vit g omagn tique d finit l amplitude des perturbations du champ magn tique terrestre li es l activit solaire L indice AA r sulte malheureusement d une moyenne de huit valeurs dont la r partition est loin d tre gaussienne Bien qu homog ne sur une longue p riode au cours d une m me journ e il peut correspondre deux situations tr s diff ren
151. tes l extr me soit une perturbation importante et br ve soit la persistance pendant toute la journ e d une faible perturbation l indice AP ou indice plan taire quotidien n cessite la connaissance de l indice K indice tri horaire rendant compte de la variation du champ magn tique terrestre l est tabli partir d une chelle quasilogarithmique sur laquelle sont port s dix intervalles R partition des param tres classes et gradients R sultats L tude a port sur 731 jours Pour chaque variable m t orologique nous ovons tabli trois classes ainsi que trois gradients Par exemple lo pression atmosph rique a t subdivis e en pression lt 990 mb 314 jours soit 43 p cent 990 mb gt pression lt 995 mb 190 jours soit 26 p cent pression gt 995 mb 227 jours soit 31 p cent Les gradients ont t d termin s apr s comparaison entre la valeur existant le jour donn et la valeur existant le jour pr c dent Si la valeur s l ve le gradient est dit positif Nous distinguons trois types de gradients gradients positifs nuls ou n gatifs n a pas t tudi de gradients de variation sur plusieurs jours SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE 95 Etude statistique Nous sommes en pr sence de deux types de donn es qualitatives et quontitatives toutes ont d tre rendues homog nes par la cr ation de classes g n ralement trois Les grandeurs continues
152. thologie fonctionnelle Les affections rhumatologiques concernent 32 p cent des curistes 22 000 environ la pathologie digestive 29 p cent 30 000 environ les maladies des voies respiratoires sup rieures et inf rieures 13 p cent 13 000 environ Les curistes ressortissants aux affections rhumatologiques sont trait s dans 17 stations dont les plus fr quent es sont Vizela Caldas da Rainha Sao Pedro do Sul qui recoivent chacune plus de 5 000 curistes Vizela Douro litoral 45 km de Porto poss de des eaux hyperthermales tr s radioactives sulfur es sodi ques Caldas da Rainha Estremadura 90 km de Lis bonne a des eaux m sothermales sulfur es calciques chlo rur es et bicarbonat es Station permanente si ge d un h pital thermal Sao Pedro do Sul Beira Alta 102 km de Porto poss de des eaux hyperthermales 69 radioactives sul fur es sodiques Un tablissement thermal des plus moder nes d une capacit de 10 000 curistes s y construit actuel lement LI La pathologie digestive ressort 12 stations dont les plus fr quent es sont Monte Real Caldelas Geres dont la fr quentation d passe pour chacune 7 000 curistes Monte Real Estremadura mi chemin entre Lisbon ne et Porto se caract rise par des eaux froides sulfat es calciques et magn siennes trouvant leurs indications pr f rentielles en pathologie biliaire et intestinale Cal
153. titielle ou isthmique on peut distinguer des l sions de st nose et des oblit rations compl tes Les l sions de st nose sont plus ou moins marqu es avec largis sement et allongement des franges dont les extr mit s se rejoignent et s accolent Elles sont accom pagn es d une disparition de l pith lium Les oblit rations compl tes sont dues un granulome scl ro inflammatoire qui entra ne un paississement scl reux de la musculeuse interne avec pr sence de cellules inflammatoires de type lymphoplasmo cytaire et de capillaires n oform s plus ou moins dilat s Les l sions de la paroi tubaire deuxi me type de s quelles perturbent gravement les fonctions physiologiques de la trompe qu il s agisse du trans port et de la maturation des gam tes jusqu au moment de la f condation de la nutrition pr coce de l ovule f cond et de la progression de l embryon vers l ut rus Elles peuvent tre cicatricielles ou volutives la persistance d un processus infectieux modifiant radicalement le pronostic des interven tions plastiques portant sur la trompe Dans les formes scl ro cicatricielles les franges de la muqueuse sont agglutin es ou aplaties ou m me absentes limit es de petites sur l vations de la lamina propria les cellules de l pith lium sont cubiques et non fonctionnelles les cils recou vrant les cellules cili es sont diminu s ou absents sauf dans le fond des r cessus constitu par deu
154. toire et douloureux avec des complications sur lesquelles je ne m tendrai pas La cure thermale est le traitement pr ventif le plus apte carter ces derni res elle a une Communication pr sent e aux Journ es M dico Sociales Natlo n Thermalisme et du Climatisme Paris les 4 et 5 novem re 10 rue Georges Clemenceau 70300 LUXEUIL LES BAINS efficacit remarquable test e par la clinique et aussi par les calculs statistiques labor s en parti culier par Gaunel M decin Conseil charg du contr le du Thermalisme Social pour tout le Nord Est une femme atteinte d affection g nitale sui vant une cure thermale voit ses d penses de maladie r duites de 74 p cent dans l ann e qui suit la cure Certains gyn cologues le Professeur Colette de Besan on par exemple souhaitent voir la cure thermale prescrite syst matiquement pendant la convalescence d une salpingite car en cas de rechute la st rilit devient d finitive dans 90 p cent des cas et la douleur s installe A Luxeuil va s ouvrir une maison de convales cence pour les cas de salpingite du CHU de Besan on v ritable Centre de Pr vention des com plications de ces maladies Pendant cette cure de convalescence de la sal pingite maladie grave tout m decin thermal est amen bien entendu compl ter cette pr vention par l ducation de ces femmes jeunes gu ries et insouciantes elles ne manqueraient pas de se faire contaminer
155. tonie e troubles du psychisme e dysfonctionnements AMM 307511 6 AMM 307515 1 parathyroidiens AMM 307520 5 Bismuth Oligosol Magn sium Oligosol 0 07 mg 1 mt i 1 78 mg 2 ml e amygdalites laryngites e tats intestinaux Potassium Oligosol ne pas utiliser plus de trois AMM 307516 8 0 24 mg 2 m jours sans avis m dical e troubles du Visa NL 1806 m tabolisme de l eau TR Mangan se Oligosol Visa 19 558 b 20 975 Tableau C 0 59 mg 2 ml disi Oligosol e tats arthritiques 45 mq 2 m AMM 307517 4 e r gulation du syst me Soufre Oligosol 0 30 mg 2 m sympathique i AMM 3075170 Mangan se Cobalt dysfonctionnements Oligosol h pato biliaires Cuivre Oligosol 0 59 mg 0 554 mg 2 m dystonies neuro v g tatives Visa 19 558 b 20 980 5 18 mg 2 ml AMM 307508 5 e tats infectieux Zinc Oligosol Visa 19 558 b 20 978 0 47 mg 2 m Mangan se Cuivre e dysfonctionnements Or Oligosol hypophysaires oligos AA Argent 0 59 mg 0 518 mg 2 ml AMM 307524 0 0 45 mg 0 0014 mg 0 06 mg 2 mi e tats infectieux chroniques e tats anergiques AORA A Visa NDS Zinc Cuivre Oligosol Bay Perd 0 47 mg 0 518 mg 2 ml Mangan se Cuivre Cobalt e dysfonctionnements Fluor Oligosol Oligosol hypophyso gonadotropes 0 442 mg 2 mi 0 59 mg 0 518 mg 0 554 mg 2 ml Visa 19 558 b 20 981 e atteintes osseuses e an mies AMM 307514 5 Tableau C Visa 19 558 b 20 976 Zinc Nickel Cobalt lode Oligosol Nickel Cobalt Oligosol Oligosol 0 024 mg 2 mi 0 556
156. tude sta tistique quand bien m me nos pourcentages corro boraient ceux de son enqu te De nombreuses publications ont d j chiffr les succ s obtenus par les eaux thermales dans le domaine de la st rilit aussi bien en France qu l tranger Mais pensant que l indiff rence l gard de la th rapeutique thermale dans ce domaine tait sur tout due l ignorance que l on avait d elle nous avions tent de r habiliter Luxeuil les Bains et en r gle g n rale les stations gyn cologiques C est pourquoi aussi bien en 1979 qu aujourd hui en 1983 nous avons pr sent des dossiers de st rilit organique ou fonctionnelle ayant tir b n fice de la cr noth rapie R F RENCES i1 Canel Y Donn es r centes sur les cures thermales en gyn cologie Concours m d 1966 88 2214 220 2 Canel Y Schramm B Etude sur les modifications de la cytologie vaginale sous l influence de la cr noth rapie Luxeuil Presse therm clim 1951 88 77 B1 3 Juvigny A Action des eaux radioactives de Luxeuil sur la st rilit t minine M moire Biblioth que Landouzy Paris 4 Lamarche M Grignon G Etude exp rimentale de l effet strog nique de la cure de Luxeuil Presse therm clim 1965 1 37 39 5 Lamarche M Grignon G Fau A Etude exp rimentale de l activit biologique des eaux de Luxeull les Bains J M d Nord Est 1965 9 67 74 6 Schramm B Etude de l action horm
157. ue La figure 3 repr sente l limination ur ique cumul e de chacun des lots L ordonn e du premier point de la courbe A Contrex ville est sup rieure celle de la courbe B eau t moin Lo p riodicit de sept jours est nette La comparaison des moyennes d limination ur ique quoti dienne des deux lots montre une diff rence significative au seuil de 0 005 Nous sommes donc autoris s faire le rap SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGIE 111 Ur e eng 90 gt 80 a Contrax ville Source Povillon T moin 7O 50 40 30 20 10 j ERU EUN CN 15 17 Jours 29 3l 19 21 23 25 27 Fig 3 Elimination ur ique cumul e port de l limination ur ique ovec l eau de Contrex ville sur l limination ur ique avec l eau t moin 7 74 4 07 1 90 Coefficient d limination ur ique Qu C est le rapport des poids cumul s de l ur e limin e par chacun des lots au point de chaque mesure Elev au d part peut tre lo suite d un retard d limi nation du lot t moin ou la pr cocit d limination du lot Contrex ville le Qu oscille ensuite entre 2 06 et 1 64 pour atteindre 1 90 en fin d essai On note donc un accrois sement de 90 p cent de l limination ur ique chez les rats abreuv s l eau min rale de Contrex ville Elimination de l ion Cl Technique de dosage Le dosage des chlorures a t r alis par m thode gravi m trique apr s pr cipitatio
158. ue 1984 121 no 2 86 C TRECHOT Y CANEL P TRECHOT une hyperplasie polypoide de l endom tre un curetage est effectu en septembre par ailleurs la biopsie d endom tre r v le un certain degr d insuffisance lut ale en rapport avec les courbes thermiques qui pr sentent un tableau lut al court inf rieur 37 C ou parfois plates Lui spermogramme d ficient En 1971 1 800 sp mm dont 10 p cent mobiles En 1972 33 000 sp mm dont 45 p cent mobilss Apr s trois mois d Arginine 146 000 sp mrm dont 50 p cent mobiles 1973 Mais en 1974 nouveau oligoasth nospermie 38 000 sp mm dont 8 p cent mobiles Mr C effectuera seule une premi re cure Luxeuil en 1973 puis avec son mari en 1974 et 1975 avant d obte nir une grossesse sans autre participation th rapeutique Accouchement normal terme en septembre 1976 CONCLUSIONS Les faits que nous avons pr sent s r sultent de dossiers de st rilit gu rie apr s une ou plu sieurs cures Luxeuil En 1979 nous avions tudi 50 dossiers s chelon nant sur les ann es 1968 et 1978 pour lesquels un succ s avait t obtenu Notre travail par rapport celui du Docteur Juvigny tude sur 172 cas de 1950 1970 et qui donnait les r sultats suivants 28 p cent de succ s dans les st rilit s organiques 38 p cent de succ s dans les st rilit s fonction nelles ne se voulait en aucun cas une
159. uit dans la cavit amniotique de visualiser le f tus mais aussi d y pr lever sang f tal et m me foie foetal L chographie est le compl ment indispensable et pr alable Elle permet en effet d appr cier le terme qui doit tre pr cis ment connu et dont d termin par une chographie pratiqu e entre la 10 et la 13 semaine date laquelle il est possible de mesurer la longueur cr ne vertex et donc d tre tr s pr cis a localisation placentaire a rechercher par un examen tr s rigoureux du f tus d une malformation associ e qui rendrait l examen inutile Ceci permet de fixer la date de la foetoscopie comprise entre la 18 et la 22 semaine Elle peut tre faite d s la 18 semaine en cas de placenta post rieur ou recul e jusqu la 22 semaine si le placenta est ant rieur Pr l vement de sang l se fait au niveau de la veine ombilicale sous contr le de la vue Ces pr l vements de sang pur peu importants CHU Cochin Port Royal 27 rue du Fg St Jacques 75674 PARIS CEDEX 14 quantitativement pour le f tus permettent les diagnostics d h moglobinopathie d h mophilie de d ficit immunitaire de rub ole cong nitale Pr l vement de peau Fait sous contr le chographique plusieurs pr l vements sont n cessaires lls permettent le dia gnostic des g nodermatoses l thales Pr l vement de foie fcetal R alis suivant le m me principe et gr c
160. un nombre important de travaux et de communications Rapport du tr sorier pour l ann e 1982 Exercice arr t le 10 janvier 1983 R JEAN Allevard les Bains Recettes Cotisations 1981 et arri r s compte tenu des frais de recouvrement 27 403 00 Subventions PT TS D TE EE 10 380 00 Recettes du Portefeuille T 4 331 80 Total des recettes 42 114 80 D penses S ance solennelle 12 506 00 Prix de la Soci t y compris d je ner du Jury 5 872 00 Secr tariat MOTTO 3 200 00 Presse thermale et climatique 1984 121 no 2 Tr sorerie ann e 1981 1982 600 00 Voyage thermal en Egypte remboursement frais de t l phone ded it 2 317 00 Pr paration S ance de Clermont Ferrand 1 470 00 Frais d impression 2 225 87 Total des d penses 28 190 87 Bilan Solde cr diteur 4 15 423 93 En caisse le 10 01 82 TOR EE 71 431 15 En caisse le 10 01 83 85 355 08 Villa Les Perri res 38580 ALLEVARD LES BAINS SOCIETE FRAN AISE D HYDROLOGIE 93 faut cependant tenir compte du fait que sur cette somme 30 000 F sont bloqu s jusqu au 16 moi 1983 sous forme de d p t terme dont les int r ts sont per us depuis le 16 avril 1982 Liste des subventions Etablissements thermaux Thermafrance CRET ET PP
161. uro entique Cer est pasun traiter ent substitutif oestrog nigue Ine cornice pgasl ypo cesrrog nieme popausiqoe etne pe i naucuncascor 22 F SHP NON ACTUELLEMENT REMBGOURSE PAR LA SECURITE S SOCIA ALE DELAGRANGE Laboratoires DELAGRANGE avenue Pierre Brossolette 91380 CHILLY MAZARIN T l phone 6 9343845 t Information M dicale B P 7 0380 CHILLY MAZER T 6 448 12 34 st onstifuerun traite ment des elfets de cette corence en particulier sur Ies muaueuses c ritc ies et sur os Le traitement dot etro de coure dur e el m EU cues de MINGI OLI PR CAUTIONS D EMPLOI Surveliarce momo EFFETS IND SIRABLES Prise de poids Galactorh e s dalion scrnolence dyszin sies neuromusculares sy nro ime extraoyramidai SURDOSAGE Crises aysknp liguesneuromuosculgires localis es cu Gen ralsees POSOLOGIE T1g lule parjourparcure de 20 jours ic o t journa ier du traitement 360 F PR SENTATION Bot ede 20 g lules dos es 100 M3 d SAEI je TABLEAU MM5232047 PRIX La Presse Thermale et Climatique ORGANE DE LA SOCI T FRAN AISE D HYDROLOGIE ET DE CLIMATOLOGIE M DICALES Ancienne GAZETTE DES EAUX Fondateur Victor GARDETTE F COMITE DE PATRONAGE Professeur F BESANCON G BONNET Professeur M BOULANG Doyen G CABANEL J CHAREIRE Professeur CORNET Professeur Agr g V COTLENKO H DANY Professeur Agr g C DELBOY Professeur Y DENARD
162. ute la mesure du possible il fout prendre en compte un certain nombre de difficult s inh rentes au vaste domaine des cystites Ces difficult s sont de plusieurs ordres Distinction cystites cystalgies Ce qui est tr s vident th oriquement l est beaucoup moins pratiquement En effet cystites v ritables et cystolgies au thentiques peuvent alterner chez une m me patiente 13 Or la cystite est un syndrome associant pollakiurie br lures mictionnelles dysurie et pyurie alors que la cystalgie correspond un tat de souffrance v sicale sans infection 16 18 SOCIETE FRANCAISE D HYDROLOGI Difficult de d finition de la pyurie Th oriquement celle ci se d finit simplement une urine infect e contient plus de 100 000 germes ml et plus de 10 000 leucocytes ml min 12 41 Mais que penser alors d une bact riurie isol e significa tive Comment interpr ter un examen urinaire qui indique la pr sence de nombreux germes et d assez nombreux leu cocytes par exemple Si le deuxi me point rel ve d une insuffisance de pr cision du laboratoire le premier soul ve une question laquelle aucune r ponse claire n est actuel lement apport e 7 Difficult s d interpr tation m dicale D licat euph misme De nombreuses questions restent en suspens concernant les cystites c t de quelques embryons de r ponses 17 14D Les cystites hormonales allergiques existent elles 15 Quel rapport avec l u
163. x franges agglutin es leur sommet Leurs mouve ments vibratoires n existent plus La paroi muscu laire est paissie et scl reuse avec des vestiges musculaires lisses en petits faisceaux plus ou moins atrophiques La s reuse et le m so sont scl reux avec parfois des pseudo kystes m soth liaux re v tus de cellules aplaties Presse thermale et climatique 1984 121 n 2 72 R HENRION Dans les formes scl ro volutives l aspect est sensiblement le m me mais deux caract res veil lent l attention la persistance des cellules inflam matoires lymphocytes et plasmocytes dispers es ou regroup es en plages p rivasculaires ou sous pi th liales et la pr sence d exsudats fibrino des Le liquide p riton al stagnant dans le Douglas est constitu d une substance fibrineuse contenant des lymphocytes des plasmocytes des histiocytes et de rares cellules m soth liales normales Quelques polynucl aires peuvent aussi tre observ s Les adh rences troisi me type de s quelles g nent la mobilit de la trompe sur l ovaire et la captation de l ovule en existe trois vari t s les adh rences piploiques les adh rences v lamen teuses translucides et peu vascularis es qui peu vent encapsuler de facon plus ou moins totale la trompe et l ovaire et les adh rences par accole ment de la surface de deux organes unissant tr s souvent la face externe de l ovaire et la face post rieure du ligament large

La Presse Thermale et Climatique

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