Une nouvelle approche du désherbage en milieu urbain et
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1. e Utilisation v D sherbage des zones perm ables et imperm ables v D sinfection de locaux e Syst me v Un lance ou plusieurs br leurs rampe gaz butane ou propane v Mat riel port tir pouss rampe ou lance v Traitement par flamme directe thermique flamme ou par flamme indirecte rayonnement infra rouge Syst me flamme directe Mod le herbio gaz Mod le diable Mod le dos city 800 Rabaud Onzain Agricole 7 k Le i J Ji Es Vins Mod le dos Photos FEREDEC Bretagne Photo 2EBALM Syst me flamme indirecte rayonnement Mod le HOAF HW 50 ie kd d ha Photo FEREDEC Breta gne e _Rendements donn es l utilisation Flammes mod le diable et herbio gaz city 800 v Vitesse d avancement 3 5 Km h v N cessit de 3 6 passages v 1 personne pour l utilisation Infrarouge hoaf v Vitesse d avancement 3 5 km h v N cessit de 6 8 passages v 2000 m h sur caniveaux 1000 m h sur pav s et zones sabl es v 1 personne pour l utilisation ARTEB Edit le 16 ao t 2004 40 Co ts consommables main d oeuvre consommables amortissement Flammes DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION 547 850 HT pour l achat lance 2 kg gaz h br leur 2600 6200 HT pour l achat rampe 3 kg gaz h br leur Infrarouge DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION 3300 9500 HT pour l achat 1 kg gaz h br le2. Inhibition de l Ac tolactate synthase ALS gt lle Leu Val AA ramifi s me Prost sulfosate Inhibition de l EnolPyruvyl Shikimate Phosphate synthase EPSP synthase gt Phe Tyr Trp AA aromatiques Inhibition de la Glutamine synthase GS glufosinate ammonium gt GIu 2 mes rencontres r gionale surla ACTA lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 LES HERBICIDES LES SLTES D ACTION La Perturbation de la r gulation de lauxine 24D Acides ph noxy alcano ques flurox pir dicamba Acides picoliniques Acides quinol ine carboxyliques P rturbation de la r gulation de l auxine l E 5 E Ci n Groupe P m ds Inhibition du transport auxinique et inversion du g otropisme 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 ARTEB LES HERBICIDES LES SITES D ACTION L Inhibition de la division cellulaire Groupe JR Inhibition de la polym risation de la tubuline blocage de la formation des microtubules du fuseau a chromatique propyzamide Benzamides BI des MTOC idi ini ili LOT LCR CE Toluidines Dinitroanilines centres organisateurs des microtubules et d sorganisation du fuseau achromatique chlorprophame Inhibition de la Dihydropt roate synthase DHP synthase conduisant l acide folique et blocage des MTOC 2 mes rencontres r gionale surla
3. ACTA lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 LES HERBICIDES LES SITES D ACTION La Biosynth se des Carot noides difluf nicanil Inhibition de la Phyto ne d saturase PDS ET Groupe F2 LT Inhibition de la 4 hydroxy ph nyt pyruvate dioxyg nase 4 HPPD Groupe F3 aminotriazole Inhibition inconnue ou controvers e 2 mes rencontres r gionale surda ACTA lutte biologique enimilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 LES HERBICIDES LES SITES D ACTION La Biosynth se des Chlorophylles Inhibition de la protoporphyrinog ne oxydase PPO 2 mes rencontres r gionale surla ACTA lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao t 2004 18 ARTEB LES HERBICIDES LES SITES D ACTION La D r gulation du pH Perm abilisation des membranes biologiques aux protons H 2 mes rencontres r gionale su la PA C LA lutte biologique en milieu urbain et Sjj in Valence 28 01 04 p ri urbain LES HERBICIDES LES SITES D ACTION L Inhibition de la synth se de la cellulose dichlob nil isoxaben Lieu d activit dans les v sicules de Golgi 2 mes rencontres r gionale surla fa CS T lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 E A LES HERBICIDES LESSITES D ACTION 25 groupes d herbicide D T RR P J TKE 2 mes rencontres r gionale surla A C TA lutte bio
4. cherche aller plus loin et abandonner tout usage des produits phytosanitaires pour d autres techniques ou d autres paysages D autres techniques Dans le cadre du projet z ro phyto il a t demand aux jardiniers et aux services de la propret d utiliser d autres m thodes d entretien des espaces SU LOT Cum Le d sherbage la main ou bien l utilisation de HR t dt Le techniques alternatives comme le d sherbage EER j E T la vapeur sont des alternatives au d sherbage Ai RAR D chimique L inconv nient de ces techniques est RE 11 PR qu elles ont un co t conomique sup rieur pour varionin faq ra EET R sur MNPO les services des jardins Une autre m thode ne gts OS pr conis e est de laisser pousser les plantes adventices de tondre les plantes qui poussent sur les trottoirs sabl s plut t que les d sherber ou bien cacher les bordures v g tales en laissant pousser les haies afin de cacher ou d touffer les plantes qui peuvent s y trouver Une r flexion a aussi t men e par les jardiniers afin de savoir sur quelles t ches ils pouvaient gagner du temps pour en consacrer plus au d sherbage ne usage de produits s as Le service de la propret a aussi abandonn l usage de d sherbants Comme alternative les employ s ont trouv la raclette neige qui s est av r tre l outil le plus ad quat pour ter les plantes adventices pr sentes le long des trottoir
5. pr ts de mat riels ARTEB Edit le 16 ao t 2004 31 ARTEB Recommandations pour 2004 Continuer le suivi des sites en cours Organiser la visite de chaque site par l ensemble des agents de ma trise largir la formation aux jardiniers Croiser la d marche de gestion durable a groupe Parc de la T te d Or Perspectives pour 2004 dans le domaine phyto sanitaire Edit le 16 ao t 2004 32 eses seront prises en x 3 Pa c al lus ilit des particules La mob en surface s La ses PRE ENEN EEEN OEN EENEN EN d s ose SS ss d s r s Ses d 2S eo 2S Ses d s se s Ses d s s Ses d s r s Ses d s 2S Ses d s gS Ses d s 2S Ses d 2S i s Ses d lt 2s lt SeS d 33 Edit le 16 ao t 2004 ARTEB ARTEB Exemple Quai du Rh ne Lyon Le b ton imprim Un fort valeur esth tique Peu d entretien L corce b ton Une surface perm able pour les racines des arbres Facile nettoyer La gestion durable 3 projections de l avenir iski a Edit le 16 ao t 2004 Compostage d chets verts 250 m3 i 3 Plantes vivaces 34 ARTEB ts budg taires rale des nombreuses inefficacit s sont s de l entretien des espaces verts provenant de leur our o les co ts long terme l
6. v 2000 m h sur caniveaux v 1000 m h sur pav s Co ts consommables v 4510 TTC l achat pour un syst me de 1 1 m v 390 Km an avec le balayage v 0 15 m an Inconv nients donn es l utilisation Forte d gradation des rev tements N cessit d un ramassage des d bris par balayage apr s chaque brossage Usure des brosses D gradation des joints Efficacit moyenne sur caniveaux Rend glissant le rev tement lorsqu il est mouill SSSR Avantages donn es l utilisation 3 5 passages par an Simple d emploi et maniable Bonne efficacit sur pav s Co t d investissement mod r ASAS ARTEB Edit le 16 ao t 2004 37 r RER de PE SE en LL 5 ef Cmg 0 m me on ea See e cote E fe i t i F KT Photo FEREDEC Bretagne gamme LIFCO AGRIA Photo FEREDEC Bretagne gamme LIPCO AGRIA BALAYAGE MECANIQUE Une brosse m tallique ou plastique balaie le caniveau ce qui d chiquette et ou arrache les plantes ind sirables e Constructeur Karcher Rabaud Eurovoirie Bobcat Hako e Utilisation Adapt principalement aux caniveaux mais des syst mes de faible largeur ou avec bras articul existent pour les trottoirs e Syst me v Brosse m tallique ou plastique fix e sur une machine avec ramassage automatique v Augmenter la vitesse de rotation des balais et r duire la vitesse d avancement 2 5 Km h environ lors d un balayage curatif v O0 si location 1
7. BIEVRE T l 02 54 20 27 47 Fax 02 54 20 24 79 mail info onzainagricole com site Www onzainagricole com Soci t Rabaud Bellevue 85110 SAINTE CECILE T l 02 51 48 51 51 Fax 02 51 40 22 96 mail info rabaud com Soci t 2EBALM Entreprises d Exploitation des Brevets ALM Larriage 30630 ST ANDRE DE ROQUEPERTUIS T l 04 66 39 83 29 Fax 04 66 39 91 15 mail 2ebalm wanadoo fr Quelques contacts M BRENEL espaces verts Ville de Vittel 88 L HATEY FEREDEC Bretagne Rennes 35 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 TECHNIQUE THERMIQUE VAPEUR Fabricant Gorgens Consulting amp Trading GmbH Alte ForststraBe 33 35 D 51107 KOLN DEUTCHLAND T l 0049 221 870 62 0 Fax 0049 221 870 62 10 e mail info weedcleaner de Distributeur ENTECH Dominique SCHAAL Route de Bernardswiller 67210 OBERNAI T l 06 09 43 57 11 Quelques contacts Ville de Strasbourg 67 L HATEY FEREDEC Bretagne Rennes 35 TECHNIQUE THERMIQUE EAU CHAUDE Fabricant ECO Systems INC Burlington Ontario CANADA Distributeur Groupe JOUFFRAY DRILLAUD Tecnivert 4 avenue de la CEE 86170 CISSE T l 05 49 54 20 60 Fax 05 49 54 20 61 mail tecnivert jouffray drillaud fr Prestataire de service en Rh ne Alpes Soci t CHAZAL Vincent FAIZANT 13 avenue de Montmartin BP 417 69960 CORBAS T l 04 37 25 36 00 Fax 04 37 25 36 19 mail chazal sa wanadoo fr Quelques contacts P LECUYER espaces verts ville de Vitr 35 L HATEY FEREDEC Breta
8. Balayage m canique C D sherbage thermique infra rouge D sherbage thermique vapeur We edcleaner D sherbage thermique eau D sherbage thermique eau S 3 3 3 3 chaude mousse Waipuna Efficacite de la technique bas e sur le nombre d interventions n cessaires au mainiten d une efficacit de 70 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 45 Rendements co ts de fonctionnement par technique Zones imperm able Zones perm able materiel Chimique pulr risateur ATH L ha buses fente 3830 TIC 2300 traitement en plein Balayage m canique 2650 90000 HT cout man 0 122 flamme D sherbage thermique infra 3300 3 9500 HT 2000 1000 rouge es E eus 17500 44000 HT 1600 125 1000 Weedeleaner Desnernape thermique 15240 17265 HT 1000 1000 Aquacide a partir de 871 HT 1 sem a partir de 1650 HT 2 sem a partir de 2413 HT 3 sem DRE thermique partir 3083 HT 4 sem Wa puna a partir de 13150 HT 6 mois a partir de 20917 HT 1 an a partir de 75575 HT 4 ans Les co ts d utilisation en euros comprennent la main d uvre les consommables et l amertissement du materiel Les co ts de la echnigue brosse rotative prennent en compie Le balayage CONTACTS TECHNIQUES MECANIQUES sabots brosses balayage L HATEY FEREDEC Bretagne Rennes 35 TECHNIQUES THERMIQUES GAZ Fabricants Soci t Onzain Agricole 19 rue Henri Goyer 41120 FOUGERES SUR
9. UTILISATION 75 des adventices d truites par passage Vitesse de traitement 1 2 km h Vitesse de traitement 0 8 km h 3 6 passages par an en fonction du type de 3 passages pour bonne efficacit zone 1100 m h toute surface confondue 1600 m h sur caniveaux 1000 m h sur pav s et sables e Co ts consommables DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION 17500 HT 44000 HT pour l achat du Consommation d eau 400 500 L h mat riel 125 km an caniveaux Chaudi re gasoil 4 7L h environ 0 15 m an pav s Consommation d eau 350 L h 0 25 m an perm able 0 15 0 25 m an e Avantages DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION Lance permettant le d sherbage des zones Bonne efficacit sur surfaces imperm ables peu accessibles Bons r sultats par beau temps St rilisation des sols anti germination de Mat riel maniable Consommation d eau 400 graines 500 L h Mat riel maniable Usages polyvalents chewing gum graffitis e Inconv nients donn es l utilisation syst me tract R sistance de certaines plantes Action foliaire uniquement Vitesse d avancement faible Investissement lev Consommation en eau et fuel NS NN Photo G rgens Consulting amp Trading GmbH mod le Min Kipper SYSTEME EAU CHAUDE AQUACIDE La m thode consiste en la d naturation des prot ines et l clatement des cellules des plantes par l utilisation d
10. cher qu un d sherbage chimique Je ne d velopperai pas plus longtemps notre action dans ce domaine et je vais me concentrer plus sur cette Journ e Cette deuxi me rencontre s est inscrite dans un contexte de politiques urbaines fortes en mati re de d veloppement durable A travers les exp riences de chacun je pense que cette rencontre a permis de d finir des m thodes de travail et d apporter des r ponses aux questionnements de tous et peut tre susciter de nouvelles interrogations constructives La journ e fut riche d informations et d changes et il me semble important de retenir trois points qui ont t largement abord s aujourd hui e La n cessit d une r flexion en amont pr alable n cessaire toute intervention de d sherbage une r flexion qui porte autant sur la perception de l herbe que sur l volution des espaces publics et des objectifs atteindre e La connaissance exhaustive ou tout du moins la plus large possible des techniques alternatives existantes qu i passe notamment par des journ es d informations telles que celles de ce jour e Ft enfin la p dagogie li e la formation cl de vo te de l acceptation et de la r ussite de l volution des mentalit s comme a pu le montrer l exemple largement d velopp et probant de la ville de Lyon En conclusion Monsieur Schouft l initiative de ces rencontres le choix du th me la haute tenue des interventions et la qualit des d bats de ce jo
11. de la population e La mise en place de la gestion diff renci e qui justifie une utilisation plus raisonn e des pesticides ARTEB Edit le 16 ao t 2004 52 COMPARATIF DU CO T DE D SHERBAGE D UN MASSIF FLORAL FLEURISSEMENT ESTIVAL DE TYPE MOSA CULTURE Avec et sans d sinfection pr alable du sol Surface 57 m CO T 2003 en D sherbage manuel D sherbage avec st rilisation vapeur 7980 8 3292 08 Mat riel de transport 1248 593 4 Fournitures 210 16 TOTAL 9228 8 4095 64 Co taum 119 NB O PR OCCUPATIONS ET ATTENTES POUR L AVENIR Inqui tudes du service Espaces verts et absence de contr le de certains intervenants e Le respect de la r glementation dans la pratique et en fonction des responsabilit s individuelles et collectives e L absence d une r elle connaissance et information de l impact des produits commercialis s sur l environnement e Modification des usages qui imposent une remise en question des pratiques e En raison de nouvelles pratiques apparition et augmentation de concentrations de polluants jusqu alors non r pertori s glyphosate sulfosate isoxaben pendim thaline flazasulfuron oxyfluorfen propyzamide par exemple e Niveau de compr hension de la population face aux nouvelles pratiques de d sherbage e Moyens suppl mentaires n cessaires pour maintenir le m me niveau de qualit des espaces verts e Augmentation en milieu urbain des surfaces dures qui accroissen
12. eau chaude e Constructeur ECO Systems INC Distributeur Groupe JOUFFRAY DRILLAUD e Utilisation v Zones imperm ables et perm ables v D sinfection de locaux sanitaires e Syst me v Concept modulable v Lance 2 4 buses 15 30 cm chariot 30 cm v Cloche pour massif v Vapeur 140 C sortie de buse 95 C ARTEB Edit le 16 ao t 2004 49 ARLS Pression 3 5 bars Lance tuyau 15 30 m tres de longueur Cuve de 300 1000 litres Poids vide 250 kg Photo FREDEC Rh ne Alpes Photo FREDEC Rh ne Alpes e Rendements DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION 1000 m h toutes surfaces confondues 4 6 passages en fonction du type de zone 4 passages par an e Co ts consommables donn es constructeur e A e inconv nients DONNEES PRESTATAIRES DONNEES A L UTILISATION Action foliaire uniquement Consommation de fuel et d essence et d eau 15240 HT pour l achat du mat riel 17265 HT avec les options chariot cloche cuve ch ssis Chaudi re gasoil 4 5 L h environ Consommation d essence 1L h Consommation d eau 400 L h vantages donn es constructeurs Peut s utiliser quelles que soient les conditions m t orologiques Syst me de lance permettant le d sherbage des zones peu accessibles Action sur les mousses Mat riel maniable Usages polyvalents Adaptation du mat riel la demande Con
13. est par contre des pays voire des continents o l id e de lutte biologique est per ue d abord comme un outil de lutte contre les mauvaises herbes envahissantes Il est donc utile de voir dans le cadre de notre r flexion sur les moyens de lutte contre les mauvaises herbes si ces concepts peuvent s appliquer chez nous dans quels cas et avec quelles m thodes et quelles pr cautions Si je connais bien les m thodes de lutte biologique contre les insectes je ne suis que savant gr ce aux livres dans le domaine de la lutte contre les mauvaises herbes Comment une plante europ enne devient envahissante ailleurs dans le monde C est travers les exploits de quelques gentilles plantes de chez nous qui sont devenues des dangers ailleurs qu on peut essayer de comprendre les raisons d une expansion explosive et rapidement n faste Le premier exemple concerne le Lythrum salicaire une jolie fleur violac e des foss s et de quelques prairies humides Elle est si jolie qu elle fut introduite au d but du 19eme si cle sur la c te est des USA Elle est rest e discr te longtemps puis s est r v l e une catastrophe cologique le long du Mississipi et surtout sur la c te ouest Elle occupe la place de nombreuses plantes indig nes parce que c est un meilleur comp titeur dans ces zones humides fragiles Deux questions premi rement il existe un Lythrum alatum aux USA qui n a jamais t un envahisseur et deuxi mement la
14. leurs op rations journali res limit l arrondissement La gestion durable les am ne effectuer des op rations en dehors de leurs territoires ce qui n cessite une collaboration plus affin e avec les autres Suite une visite collective sur un site les agents de ma trise ont pu d couvrir les objectifs techniques des autres ils ont pu changer et proposer leur aide Les r ponses aux probl mes horticoles sont connues par les agents de ma trise alors que les param tres cologiques introduisent l incertitude et la possibilit qu une solution ne marche pas Il y a n cessit d observer plus souvent d adapter les solutions habituelles de se repositionner en permanence et donc d tre plus flexible en attitude Parfois il faut faire demi tour ce qui heurte lego On peut mesurer le bienfait cologique en 2003 par ARTEB Edit le 16 ao t 2004 ARTEB 3 Le co compostage et la lombriculture 150 tonnes de compost produit par co compostage di NI a AT Conffuent ra R sultats conomiques Le volume de d chets recycl s est estim 920 m3 soit une conomie directe pour le service Espaces Verts de 22 540 00 par rapport la facturation du centre de compostage L analyse conomique compl te de l op ration de co compostage 150t fait appara tre une conomie de 7040 00 pour 2003 Edit le 16 ao t 2004 30 Constats fait par la dire
15. salicaire reste une plante peu r pandue chez nous Pour comprendre pourquoi il faut savoir que la salicaire peut faire beaucoup de graines et qu elle peut se reproduire de mani re v g tative mais que chez nous plus de 100 insectes diff rents lui sont associ s dont 9 qui lui sont strictement inf od s et qui bien s r n existent pas aux USA Les ennemis du Lythrum am ricain attaquent peu ou pas du tout la salicaire Et voici comment une jolie plante devient ind sirable Un autre exemple se r v le nettement plus terrible en tout cas au niveau conomique il s agit d une centaur e annuelle fleurs jaunes quip e en toutes ses parties de terribles pines Centaurea solsticialis C est une plante m diterran enne des terrains pauvres en friche Elle est r put e fugace populations rares et diss min es j ai moi m me cherch des graines cet automne dans le Lub ron la plante est rare et quand on trouve des capitules ils sont tous enti rement mang s Dans la grande prairie am ricaine et en Australie cette plante est devenue hyper abondante et rend des zones enti res inutilisables pour le b tail Enfin un dernier exemple pour montrer que rien n est simple parmi les roseaux de bord des tangs le plus banal est le Phragmite Il existe aussi aux USA et s y pr sente comme en France Pourtant au cours du 20eme si cle et surtout r cemment il s est mis conqu rir de vastes tendues or on a montr r cemment qu une sou
16. t introduits sans leurs ennemis en particulier le n matode des charan ons C est ainsi que l caille Tyria jacobea a jugul le S nec on jacob e en Am rique du nord que les h mipt res Dactylopiid s ont lutt contre les Opuntias le charan on Neochetina bruchi contre l envahissante jacinthe d eau Eichhornia crassipes Voici une liste des ordres utilis s pour les introductions contre les plantes envahissantes avec le nombre d essais suivis d un r el tablissement et enfin les taux de succ s dans le contr le donn es de 1992 Ordre nombre d esp ces Nombre d tablis succ s Col opt res 109 66 30 L pidopt res 82 46 18 H mipt res 19 15 42 Dipt res 39 25 11 Thysanopt res 4 2 25 Hym nopt res 4 3 50 Orthopt res 1 1 0 Acariens 3 3 40 Champignons 8 8 63 N matodes 1 1 0 Pourquoi ces m thodes ne sont pas utilis es en Europe Ces travaux sont r alis s grande chelle par USDA et CSIRO pour prot ger les Etats unis ou l Australie et la Nouvelle Z lande Ces organismes ont des laboratoires permanents en Europe en particulier Montpellier En France ou en Europe jusqu il y a tr s peu il n y avait rien d quivalent mais une volution se dessine commencer par les travaux du CIRAD la R union D autre part une prise de conscience existe telle celle qu on observe l agence m diterran enne de l environnement m me si pour ces environnementalistes le glyphosate est leur premier r flexe
17. urbain Valence 28 01 04 AUTRES EVOLUTIONS REGLEMENT AIRES L agr ment professionnel a a RIF alk 3 R ag R gs A partir du ou 31 juillet 2004 R 63 APPLICATEURS Prestataires de service lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao t 2004 13 ARTEB AUTRES EVOLUTIONS REGLEMENTAIRES La distinction des gammes e PROFESSIONNELLE Toutes cat gories e JARDIN D AMATEUR Crit res de s lection 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 AUTRES EVOLUTIONS REGLEMENTAIRES La refonte du catalogue des usages e La prise en compte de cultures majeures et mineures Cultures de rattachement Rare en d sherbage e La prise en compte d assimilation d usages e Le d tail des organismes nuisibles regroup s sous un terme g n rique 2 mes rencontres r gionale surda lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 AUTRES EVOLUTIONS REGLEMENTAIRES La refonte du catalogue des usages d sherbage e cultures majeures DT PJ T D broussaillage Rosier Gazons de gramin es e cultures mineures Arbres et arbustes feuillus conif res Cultures florales et plantes vertes massif Bulbes ornementaux 2 mes rencontres r gionale sufla lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao
18. vuln rables car elles sont situ es quelques m tres sous terre et les sols sont excessivement filtrants moraines glaciaires Du fait de l augmentation de la population de Haute Savoie qui a doubl en trente ans passant de 300 000 640 000 habitants l urbanisation de Thonon deuxi me ville du d partement apr s Annecy a augment proportionnellement en accroissant consid rablement les risques de pollution Dans le m me temps la conscience collective en faveur de l environnement et du d veloppement durable imposaient de passer d un comportement de consommation a un comportement de gestion raisonn e et durable de imposaient de passer d un comportement de consommation a un comportement de gestion raisonn e et durable de nos richesses naturelles Aujourd hui la probl matique des rejets polluants des d chets et des risques de pollution accidentelle est omnipr sente dans les politiques locales aussi bien au niveau des strat gies de gestion quotidienne que des projets de d veloppement des territoires ARTEB Edit le 16 ao t 2004 49 notant Qualit a des cours d eau Ann e 1999 L rce tr t s ETE t ci Tiicie vez iJ repere LA Fh E a PA Paii ony vi i IN D Y ri L A x H indice Classe de qualit i s amp i a L00 Tr s bonne Tha ne m i F z i EE Ma as 4 Bonne i HOY fo i D Moyenne ron M diocre s 20 Y f Re 40 W i 5 p
19. Diuron Secbum ton M toxuron Chloroxuron Linuron Buturon Monuron Chlorbromuron Monolinuron Isoproturon M tobromuron Chlortoluron ARTEB Edit le 16 ao t 2004 ANALYSE PESTICIDES D SHERBANTS EAUX FOSSILES 3000 AV JC Datation par Carbone 14 forage 500m Mati re active Concentration LE D SHERBAGE LA VILLE DE THONON LES BAINS La situation de 1980 1995 D une mani re g n rale pas de strat gie particuli re mais la recherche de l efficacit maximum des traitements dans le respect apparent du v g tal pour une meilleure ma trise des co ts d entretien et de maintenance Les techniques et produits existent la d marche commerciale est forte argument e et performante On joue l apprenti sorcier sans r elle connaissance et conscience des risques encourus Sur les surfaces plant es Utilisation r guli re de traitements pr ventifs et curatifs programm s sur arbres arbustes rosiers pelouses Sur les surfaces inertes traitements pr ventifs et curatif programm s des voiries cheminements pi tons et espaces d laiss s Utilisation de produits performants de type d sherbants et d broussaillants En conclusion en 1995 on observe un d rapage incontr l des consommations des pratiques sans analyse des r sultats biologiques et physiologiques sur v g taux et milieux trait s Les sympt mes constat s sur plantations et sols taient e D formations des j
20. EE V2 Es fin i VILLE DE LYON Lil 1 ies M dicales et Biotechnologies Fh ne Alp GRANDLYON communaut urbaine M Saint tienne ACTA Avec le concours du C N F P T 2 RENCONTRES REGIONALES SUR LA LUTTE BIOLOGIQUE EN VILLE UNE NOUVELLE APPROCHE DU DESHERBAGE EN MILIEU URBAIN et PERI URBAIN Valence 28 janvier 2004 LES CONFERENCES Nous remercions tout particuli rement pour leur soutien les soci t s WA GNA Lente TECNI ERT AVANT PROPOS Ce document reprend en une cinquantaine de pages les supports pr sent s par les diff rents conf renciers lors de la manifestation du 28 janvier dernier sur une nouvelle approche du d sherbage en milieu urbain et p ri urbain L objectif de ce document est double Mettre disposition les pr sentations afin d assurer la plus large diffusion possible Servir de base de r flexion de travail etc pour tous ceux qui souhaitent s investir ou poursuivre dans les moyens de lutte biologique Nous n avons fait que retranscrire les expos s fournis par les intervenants Malgr tous les soins apport s lors de la r alisation de ce document des erreurs ou omissions peuvent subsister et nous nous en excusons par avance Toute mise jour est signaler ARTEB 58 avenue Debourg BP 7051 69348 Lyon cedex 07 T l 04 37 37 85 85 Fax 04 72 71 3245 E Mail arteb arteb com La mention d un organisme ou d une soci t ne saurait apporter
21. a cone Pai composter une augmentation de la peia une am lioration de la gestion Contact h wood wanadoo fr Edit le 16 ao t 2004 35 Les diff rentes possibilit s techniques non chimiques David HAMELET Monsieur David HAMELET est intervenu en tant que charg de mission la FREDEC Rh ne Alpes Contact coralie chenavas fredecra com PREAMBULE Le document suivant pour objet la pr sentation des techniques de d sherbage alternatives la lutte chimique Ces m thodes de d sherbage sont d clin es en techniques m caniques et techniques thermiques Les caract ristiques des techniques lorsqu elles sont en notre possession sont pr sent es de la fa on suivante e Principe de fonctionnement Constructeur distributeur Utilisation Caract ristiques techniques des syst mes Rendements Co ts consommables Avantages Inconv nients Les donn es 1999 2003 nous ont t fournies par les distributeurs et ou les organismes d exp rimentation et ou les utilisateurs des machines Les co ts lin aires ou surfaciques lorsqu ils ne sont pas fournis par les constructeurs prennent en compte la main d oeuvre les consommables et l amortissement du mat riel En annexes sont pr sent s deux tableaux comparatifs des techniques ainsi qu une liste de contacts DESHERBAGE MECANIQUE SABOTS ROTATIFS Cette technique permet de d raciner les mauvaises herbes en travaillant le sol sur les premiers centim tres
22. alement une envahissante catastrophe ARTEB Edit le 16 ao t 2004 22 Une m thode de contr le biologique La recherche des raisons du caract re envahissant de ces plantes introduites alors qu elles passent parfois inaper ues dans leur pays d origine donne les pistes d une possible intervention biologique insectes et maladies qui n ont pas suivi la plante lors de sa migration lui permettant de voir sa dynamique exploser pourrait on les introduire La recherche d un bon agent de contr le est longue et difficile car sous la double condition de l efficacit et de la s curit Il faut en effet identifier les ravageurs dans la zone d origine tudier tr s finement leur biologie et leur cologie et mesurer leur efficacit contre la plante cible Mais il faut ensuite tudier le plus compl tement possible les effets sur les autres plantes des pays infest s et pas seulement sur les plantes cultiv es Ainsi les ennemis de la salicaire ont t identifi s en Europe partir de 1986 et 6 ont t s lectionn s pour les tests de s lectivit en fait sur 48 plantes tests de 32 genres Deux charan ons Nanophyes marmoratus et Nanophyes brevis consommateurs de fleur et de graines et la c cidomye Bayeriola salicariae ont pass ces tests avec succ s L autorisation de l cher a t donn e en ao t 1992 Actuellement la r duction de la biomasse de salicaire atteint 90 Les insectes sont tr s efficaces car ils ont eux m mes
23. anaaki whenua landcare research http www landcareresearch co nz research biodiversity invertebratesprog nzac weeds asp CSIRO European laboratory http www csiro europe org research html ARTEB Edit le 16 ao t 2004 24 Mise en uvre d une gestion diff renci e sur la ville de Lyon Howard HOOD Monsieur Howard HOOD est consultant formateur en gestion durable et a accompagn plusieurs collectivit s dans leur d marche de gestion int gr e Contact h wood wanadoo fr L APPLICATION DE LA GESTION DIFFERENCIEE DES ESPACES VERTS VILLE DE LYON 2003 Howard Wood Consultant et Formateur en Ecologie appliqu e ARTEB Edit le 16 ao t 2004 25 ARTEB Formation Il s agit d une formation en classe de 4 jours et d un accompagnement sur le terrain tout au long de l ann e Le r le de Formateur se combine avec celui de consultant technique Les personnels concern s sont les agents de ma trise Le support Un site pilote par agent de ma trise dans un protocole d exp rimentation La m thode w x ne Un ou plusieurs objec sont accomplir sur ki dans l ann e L agent de maitri collaborer avec ses appliquer la solution Edit le 16 ao t 2004 26 ARTEB Les th mes transversaux enrichissent l exp rience par exemple le recyclage des d chets verts par Co compostage Lombriculture Paillage pandage des feuilles pour 7 sites La p renni
24. che d origine europ enne du Phragmites australis serait la source de cet envahissement sans qu on puisse en conna tre le m canisme Ces trang res qui nous envahissent De fa on similaire des plantes introduites ici se sont r v l es envahissantes et la liste est longue On peut citer pour m moire celles qui sont les plus connues Robinia pseudoacacia le robinier Ambrosia artemisiifolia l ambroisie Buddleya davidii l arbre aux papillons Reynoutria japonica et sachalinensis les renou es du Japon et de Sakhaline Senecio inaequidens le s ne on du Cap Heureusement peu d entre elles posent de vrais probl mes conomiques et on en parle donc tr s peu part l Ambroisie pour son pollen tr s allergisant mais en fait certaines menacent directement des esp ces indig nes en colonisant leur biotope naturel c est en particulier vrai pour de nombreuses plantes aquatique ou du bord de l eau comme les Jussies Ludwigia mais il faut savoir que le joli S ne on du Cap qui est arriv en 1936 dans les toisons de moutons Mazamet peu recouvrir 90 des surfaces l ou il s est install liminant des esp ces prot g es r duisant par sa toxicit l utilisation des fourrages 1 plant peu produire 1000 graines par an qui germent bien sur tout sol perturb ou ouvert et qui s adapte de mieux en mieux remontant la vall e du Rh ne pour arriver au Jura M me le joli mimosa de Nice en fait un Acacia originaire d Australie est loc
25. ction gt Quand un agent quitte son secteur promotion changement de travail que va t il rester sur le site de l exp rience men e Comment perp tuer ce qui a t fait gt Les rep res visuels de l entretien sur le terrain paraissent la m thode la plus appropri e pour contr ler la mise en application de la gestion diff renci e Constats du formateur gt Le fonctionnement du service E V est tr s parcellaire On d couvre la rive droite la rive gauche et le Parc de la T te d Or gt Ensuite viennent les arrondissements les zones g o politiques qui n ont aucun sens logique pour faire une division quitable des travaux d entretien des espaces verts gt Un aspect positif du point de vue cologique mais non intentionnel de cette fragmentation est la mani re dont les ressources financi res sont canalis es vers certains endroits en laissant d autres sites en quasi abandon du point de vue horticole gt C est cette in gale attribution de ressources qui donne aujourd hui une grande diversit de sites naturels semi naturels et horticoles Lyon Demandes faites par les agents de ma trise pour 2004 Un compl ment de formation dans 2 domaines gt Le calcul du co t de rentabilit d une op ration gt La r alisation d un plan de gestion 2 Visiter chaque site avec l ensemble des agents de ma trise pour conna tre l exp rience des autres et faire des changes
26. diniers de l quipe pr sente dans le site pilote ainsi que certains employ s du service de la propret des rues se sont montr s motiv s et se sont mis r fl chir l utilisation de techniques alternatives Changer de pratiques s av re aussi compliqu pour les gestionnaires de biens priv s La question environnementale est rarement prise en compte dans les facteurs de d cisions concernant les espaces verts Bien souvent les acteurs n y ont m me jamais pens Les entreprises priv es sont confront es une double contrainte faire du propre un co t bas Si le prix des produits phytosanitaires dissuade certains entrepreneurs de les utiliser pour la plupart c est une solution incontournable l entretien des espaces verts Ces aspects de la vie collective ne sont jamais discut s lors des assembl es g n rales des copropri t s par exemple et l entretien des espaces s inscrit dans une routine qui n est jamais remise en cause Si certains habitants sont r ticents quant l aspect pris par certains secteurs de leur quartier la plupart ne se sont rendus compte de rien et n avaient jamais pr t attention aux plantes adventices pr sentes en ville avant qu on ne leur pose la question Entretenir les espaces entretenir des relations sociales Lors des investigations men es la dimension sociopolitique du jardinage et de l entretien des espaces a t soulev e par plusieurs acteurs On pourrait presque dire que le
27. e Constructeur distributeur Mod le pr sent LIPCO AGRIA e Utilisation Adapt exclusivement aux zones perm ables destructurables e Syst me v Largeur de travail 0 9 1 55 m v N cessit d un tracteur pour l activation et le port du syst me v Main d oeuvre n cessaire 1 personne e Rendements Aucune donn e e Co ts consommables 4700 6700 TTC l achat suivant la largeur du syst me e Avantages v Simple d emploi et maniable v Co t d investissement faible v Peu de passages annuels 3 5 e Inconv nients v Forte d gradation des structures v N cessit d un damage apr s chaque passage ce qui augmente les co ts ARTEB Edit le 16 ao t 2004 36 A p LE ps i t r as on Po F Le kha T P 4 aiin i B mi Fer Fi i i LE 2 1 FE PRE E a a gt Photo FEREDEC Bretagne A eie BROSSES ROTATIVES Cette technique utilise plusieurs brosses m talliques souples qui d capent la couche organique superficielle sur laquelle poussent les plantes ind sirables ce qui a pour effet de d chiqueter et ou arracher ces plantes Constructeur distributeur Mod le pr sent LIPCO AGRIA Utilisation Adapt principalement aux zones imperm ables Syst me v N cessit d un tracteur pour l activation et le port du syst me v Largeur de travail de 0 5 1 55 m v 1 personne pour l utilisation Rendements donn es l utilisation Y Vitesse d avancement 2 Km h
28. e herbe comme tant quelque chose n tant pas sa place comme une salet et comme la salet elle n est pas sa place il faut donc l liminer pour viter le d sordres La pr sence de ces plantes va l encontre des conceptions d ordre et de propret par lesquelles les habitants d finissent la ville Mais elle renvoie aussi la diff renciation labor e entre l espace de la ville et l espace de la campagne Pour nombre de citadins la ville est diff rente de la campagne et les plantes de la campagne n ont rien faire en ville Si un pissenlit appara t comme tant sa place la campagne il n en est pas de m me en ville d o il faut le supprimer La ville n est pas non plus per ue comme tant le lieu du sauvage qui doit aussi dispara tre dans la mesure du possible du paysage La pr sence de mauvaises herbes renvoie aussi des peurs li es une ins curit on peut glisser sur les mauvaises herbes elles peuvent nous griffer a risque de masquer les panneaux de signalisation On peut y craindre la pr sence de rats de serpents ou autres vermines La pr sence de mauvaises herbes tendrait renvoyer le citadin sa peur de la nature voir F Terrasson La peur de la nature ed Sang de la Terre 1997 M Douglas souligne les troites relations qu entretiennent l ordre et la propret Eliminer la salet c est mettre les choses leur place Telle que nous la connaissons la salet est esse
29. e pens e magique contemporaine la solution tous les maux Un coup de pshitt et on n en parle plus disait une personne enqu t e Aboutir un abandon des produits phytosanitaires induit que cette repr sentation positive dont sont l objet les produits pesticides volue vers une repr sentation qui engloberait aussi les nuisances que ces produits sont susceptibles d induire envers les l ments de l environnement conclusion La question de la qualit de l eau suppose d autres solutions que celles purement techniques En effet sont aussi en jeu les repr sentations dont l espace urbain est l objet ainsi que les repr sentations li es aux plantes adventices ainsi qu aux produits utilis s L entretien des espaces de la ville et les modalit s mises en uvre engagent aussi les relations sociales qui sont l uvre au sein de ce territoire BIBLIOGRAPHIE DOUGLAS Mary de la souillure Paris ed Maspero 1981 193p TERRASSON Fran ois La peur de la nature ed Sang de la Terre 1997 192 p Adaptation de l entretien des espaces publics aux exigences de qualit des eaux Diagnostic social et mise en place d une d marche participative rapport final Ville de Rennes IDEA CERESA mars 2002 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 g Usage et volution des herbicides Intervention de Philippe DELVAL Monsieur Philippe DELVAL est ing nieur ACTA et a int gr l ACTA Rh ne en ao t 2002 pour s occuper des impacts des pratiq
30. es ZNA SELECTIFS NON SELECTIFS Traitements dirig s DEBROUSSAILLANTS ZONES NON CULTIVEES D sherbage total D T Parc Jardin trottoir P J T PLANS D EAU 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enimilieu urbain et ACTA p ri urbain Valence 28 01 04 HERBICIDES Usages ZNA All es de parcs D sherbage total Jardins publics Trottoirs gt Aires industrielles gt Pistes cyclables gt Voies ferr es gt Terrains de sports gt Bases a riennes gt Cimeti res gt Accotements routiers 2 mes rencontres r gionale surda lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao t 2004 12 ARTEB aline 01e Usages ZNA carb tamide P J T diuron dichlob nil All es de parcs Jardins publics difluf nicanil Trottoirs oxadiazon Pistes cyclables ISoxaben 1 oryzalin gt Terrains de sports gt Cimeti res B gt Accotements routiers y RO aminotriazole glyphosate sulfosate glufosinate amm flazasulfuron 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 als e1IDIS Usages ZNA D sherbage total dichlob nil difluf nicanil gt Aires industrielles gt Voies ferr es gt Bases a riennes 2 4 D aminotriazole glyphosate sulfosate Fe dl glufosinate amm Flazasulfuron VF r HE 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique en milieu urbain et p ri
31. eunes pousses des v g taux D colorations des limbes des feuilles R duction des entre n uds des rameaux Stagnation du d veloppement des volumes verts D gradation des terres due l absence du travail du sol D veloppement de mousses et lichens sur sols et v g taux Les pratiques actuelles de d sherbage La strat gie de Thonon concilier des m thodes alternatives et des traitements raisonn s Un traitement de moins en moins pr ventif alors que le particulier vient de le d couvrir La formation et sensibilisation des personnels municipaux cette nouvelle approche du d sherbage La ma trise par le service Espaces verts des produits utilis s par les autres services municipaux La mise au point d un plan sectoriel des zones n cessitant traitement avec le service propret voirie L utilisation de m thodes culturales retour de l arrachage manuel de l outil du paillage par mulching de l utilisation de b ches de plantation La d sinfection la vapeur une fois par an des massifs fleuris printemps et automne e _L ensemencement des espaces d laiss s et des accotements routiers base de semis fleuris e L pandage et la pulv risation de produits par beau temps sur une p riode stable afin d viter l entra nement par ruissellement e L utilisation de produits de moins en moins nocifs par rapport l homme et son environnement e L information la sensibilisation et la communication de la d marche aupr s
32. gne Rennes 35 Ville de Bruz 35 Ville de Bordeaux Jardin Botanique Ville d Arzon 56 TECHNIQUE THERMIQUE MOUSSE CHAUDE Fabricant Wa puna Systems Ltd P O Box 62 158 Mt Wellington AUCKLAND New Zeland T l 64 9 2713565 Fax 64 9 2713566 e mail wsil waipuna com Distributeur Soci t PIVETEAU Zl de pierre de Brune 85510 CHANTONNAY T l 02 51 94 80 38 T l commercial 06 11 28 06 11 Fax 02 51 946 96 28 e mail brochard j piveteau wanadoo fr ARTEB Edit le 16 ao t 2004 Prestataire de service Rh ne Alpes Groupe Tarvel 6 rue Maximilien Robespierre BP 65 69511 VAULX EN VELIN T l 04 78 79 39 33 Fax 04 78 79 39 05 Quelques contacts C BRAS Fredec Auvergne Lempdes 63 L HATEY FEREDEC Bretagne Rennes 35 Ville de V zin Le Coquet 35 Ville de Lanion 22 Ville de Tr gunc 29 Ville de Cholet 49 Ville de St Gilles Croix de Vie 85 Ville de Marcoussis 91 REFERENCES Lien Horticole du 6 novembre 2003 Le d sherbage en mutation pages 14 20 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 48 Usage pratique et contraintes dans une ville thermale Intervention de Bernard DELORME Monsieur Bernard DELORME est directeur des espaces verts de la ville de Thonon les Bains LE CONTEXTE PARTICULIER DE THONON LES BAINS Thonon se situe sur le versant fran ais du bassin l manique au pied des Alpes et face au massif jurassien Le contexte g ographique de la r gion de Th
33. hore au m me titre que les lacs d Annecy du Bourget ou de Constance Aujourd hui la situation s est largement am lior e sous l action conjugu e des pouvoirs publics et de la CIPEL Les sources de pollution du lac L man recens es l poque taient Pollution manant de d charges Pollution industrielle Pollution agricole Pollution par les fuites des r seaux d gouts Pollution par les hydrocarbures sur le r seau routier Pollution par d versement accidentel sur le sol Par contre sauf accident ponctuel et localis jamais les ressources en eau de Thonon et d Evian n ont t jusqu ce jour pollu es par des pesticides de mani re massive et excessive Les teneurs actuelles restent largement en dessous des limites de qualit fix es et sont qualifi es de bonne qualit pour les eaux potables de consommation et de tr s bonne qualit pour les eaux min rales dont la concentration de pesticides par substance individualis e avoisine les 0 01 ug litres alors que la limite r glementaire est de 0 1 ug litre Ces tr s faibles teneurs s expliquent en raison principalement des volumes importants en pr sence favorisant la dissolution d une pratique agricole traditionnelle d une r glementation draconienne et d une surveillance de tous les instants des sources nappes lacs et rivi res Pas moins de 650 contr les par an attestent chaque ann e de la qualit de l eau de Thonon mais nos nappes phr atiques restent
34. ils envisagent des tudes de lutte biologique en particulier contre le S ne on du Cap Qui tudiera vraiment l Ambroisie une poque o l on pr f re prendre des arr t s pr fectoraux d arrachage comme il y a 150 ans on disait des messes pour lutter contre la pyrale de la vigne De nombreuses pistes de travail d velopper fortement au moment o les changes ne cessent de cro tre sans contr le et o les changements climatiques tendent les possibilit s des envahisseurs Bibliographie G n ralit s Windenmann R Biological control of weeds http www ao uiuc edu inhs LooseStrife content files Lectures biologicalcontrol lec3 page1 htm FAQs on biological control program http salvinia er usgs gov html biocontrol faqs html Van Driesche R G et Bellows T S 1996 Biological control Chapman amp Hall New York 539pp Invasions de l Europe Dutartre Alain ao t 2003 Invasion botanique Pour la Science No 310 pages 44 47 Programme Languedoc roussillon plantes envahissantes http www ame Ir org http www ville ge ch cib conservation pdf reynourtria pdf ARTEB Edit le 16 ao t 2004 23 Invasions partir de l Europe Loosey B Cornell university http www invasiveplants net Swearingen JM US National Park Service Plant conservation alliance 2002 http nps gov plants alien fact lysa1 htm Lym Rodney 2002 yellow starthistle identification and control http www nodak edu extpubs plantsci weeds w1222w htm M
35. ines cit s ter les pissenlits de la pelouse est une question de bon voisinage et de respect de la norme d ordre et de propret Quelqu un un jour nous a m me rapport que dans une commune proche de Rennes des habitants qui entretenaient leur jardin de mani re plut t naturelle se sont absent s Les voisins en auraient profit pour faire une op ration nettoyage de jardins chez ces personnes jug es ind licates Les habitants ne vont pas forc ment percevoir les espaces de proximit de la m me mani re selon qu ils ont l impression que c est entretenu ou non par les jardiniers Et donc selon l impression qu ils ont qu on les consid re ou non Un espace occup par des plantes adventices sera per u plus positivement si on voit passer les jardiniers et m me s ils n y font rien que si on ne voit personne de l entretien Les espaces et l eau mais qui donc est responsable de la pollution L entretien des espaces avec des produits phytosanitaires fait partie du d cor et du paysage des espaces verts de la ville C est une image courante et anodine que de voir des hommes munis de pulv risateurs dans les rues de la ville Ils font partie du d cor au m me titre que les arbres les pelouses les massifs de fleurs En tant qu habitant des villes il est difficile de se sentir concern par le probl me de la qualit de l eau et de s y sentir une part de responsabilit En effet par quel cheminement tablir un lien entre l aspec
36. lazine dalapon thiazafluron dichlorprop thiocyanate de sodium 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enmilieu urbain et ACTA p ri urbain Valence 28 01 04 R glementation Le point sur les Ur es substitu es en 2004 ERA Agricole Diuron Sauf lentilles AMM Seul 600 g ha canne sucre banane ananas 1 800 g ha Diuron Restrictions 1500 g ha Restrictions 1500 g ha en Entre le 1er novembre association etle 1er mars AS LRE GELL T AE Chlort turon Hors a19 ama gff NUS ye 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enimilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 USAGES D finition CE QUI N EST PAS AUTORISE EST INTERDIT Un produit est toujours autoris pr cis ment sur un ou plusieurs usages Dans le cas contraire sa vente et son utilisation sont interdites C est le cas des produits trangers 2 mes rencontres r gionale surla AC 14 lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 11 ARTEB USAGES D finition EMPLOI AUQUEL EST DESTINEE UNE PREPARATION PHYTOPHARMACEUTIQUE Ce terme s est substitu aux anciennes d nominations cat gories d emploi USages assimil s IkeSt g n ralement constitu de 3 notions CULTURE 7 ORGANISME NUISIBLE MODE O CHAMP D APPLICATION eaa MS l ACTA e a PE dpa p ri urbain Valence 28 01 04 HERBICIDES Usag
37. logique en milieu urbain et Sri in Valence 28 01 04 p ri urbain Edit le 16 ao t 2004 19 ARTEB LES SA HERBICIDES RECENTES e dim th namide flazasulf ron 2 mes rencontres r gionale sufla A C TA lutte biologique enimilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 La lutte antiparasitaire L s contraintes du milieu AGRICOLE Espaces non agricoles R glementation Simples Vari s Cultures Groupes Ennemis diversifi s R sistances S lectivit Toxicit Public Surfaces imperm ables La lutte antiparasitaire Les contraintes du milieu Herbicides eaux superficielles source IFEN LI es prncipales mohbciudes pr sente ing des egin Aat 1 WI oil mc Atake 1579 DNS SNS RUB RUN ONE UE dhpdrory airanine 111 1264 trans d s ind 1375 Et Amaia d scpropyte 1088 6554 Duen 1135 7710 RIRE Glyphosrie A34 2439 NN CN AMPA 128 60i ioproturen 1161 7071 ER Aminotrisole 462 3103 MN Terbutirytarine c s tnt 168 1432 Chiorioluren 1172 7307 m Csclianen OMS 2130 NI t 2 2 A SO a 70 M M 100 Produts de d gradation karti oirm sponi e Ms ra Groupe igran Crah crea D se Prd eA Cou trailers Ben Aotr 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enimilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao t 2004 20 ARTEB La lutte antiparasitaire Les contraintes du milieu Herbicides eaux p
38. ncontres r gionale surla lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 LES HERBICIDES LESSITES D ACTION Phytohormones Respiration FC L mr R Division cellulaire ADN noyau NR NIK PS chloroplaste mitochondrie L En de QD Biosynth se oas Cellulose des acides amin s PROTEINES ere des PROTEINE A Carot no des 7 Photosynth se Lumi re lutte biologique en milieu urbain et Biosynth se des lipides p ri urbain Valence 28 01 04 LES HERBICIDES LES SITES D ACTION La Photosynth se 4 K XDA STROMA ext rieur Groupe C diquat i NADP NADPH diuron Lumi re 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao t 2004 16 LES HERBICIDES LES SITES D ACTION La Biosynth se des Lipides Fops Groupe A Dimes Inhibition de Fac tyl coenzyme La carboxylase ACCase Groupe N E z is nizu Inhibition des longases enzymes conduisant aux longues cha nes d acides gras pr curseurs des cires et de la sub rine GroupeK3 dimethenamid Inhibition des longases et des enzymes de cyclisation du G ranyl g ranyl pyrophosphate GGPP conduisant aux gibb rellines 2 mes rencontres r gionale sura ACTA lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 LES HERBICIDES LES SITES D ACTION La Biosynth se des Acides amin s DE AR
39. nt la plupart du temps des plantes horticoles qui ont t choisies s lectionn es par l homme et qu il a lui m me plant es La ville est souvent compos e d espaces o les r gles d am nagement sont formalis es o les plantes pr sentes sont organis es en jardins espaces verts massifs jardini res et autres bordures v g tales o les haies sont taill es au carr On souhaite une v g tation qui ne d borde pas de ses limites et des pelouses exemptes de plantes qui ne sont pas des gramin es Dans les repr sentations la ville doit tre un espace propre et ordonn La pr sence de plantes adventices bien souvent renvoie des choses de l ordre du n gatif du d sordre et de la salet et leur pr sence va l encontre de l image que l on attend de la ville De mani re explicite ces plantes sont fr quemment appel es mauvaises herbes Les mauvaises herbes sont l une des cat gories utilis es pour classer les plantes dans un syst me de classification Est appel e mauvaise herbe une herbe qui g n ralement n a pas t plant e par l homme une esp ce locale ou bien une exotique parfois invasive L existence de cette cat gorie de mauvaise herbe est li e aux modalit s d entretien des espaces aux repr sentations dont les plantes et les espaces sont l objet aux relations sociales se d roulant dans cet espace la culture et aux savoirs poss d s sur les plantes On peut d finit une mauvais
40. ntiellement d sordre in DOUGLAS Mary de la souillure Paris ed Maspero 1981 193p p 24 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 6 192 p Le manque de connaissance de ces plantes pr sentes en ville fait aussi qu on ne leur trouve gu re d utilit Ces perceptions et repr sentations varient selon les cat gories de populations Les populations d ouvriers ou d employ s les g n rations les plus g es sont plus sensibles l aspect de propret et d ordre des espaces A l inverses les classes moyennes les g n rations les plus jeunes sont les plus favorables la pr sence plantes adventices dans la ville La difficult changer les pratiques est elle due des r ticences d ordre culturel ou bien est ce une question d inertie Ne plus utiliser de produits phytosanitaires ou en tout cas les r duire induit de la part des services d entretien de laisser des herbes dans des lieux o auparavant elles auraient t enlev es Ces changements de pratique n ont pas de caract re d vidence qu il s agisse des jardiniers agents des services de la propret ou des gestionnaires de propri t s collectives Pour certains jardiniers laisser des plantes adventices cela heurte leur conception du travail bien fait et va l encontre de leur culture professionnelle Les employ s du service de la propret n ont pas l impression d avoir bien fait leur travail s ils laissent derri re eux des mauvaises herbes Cependant certains jar
41. onditions de location Location 1 semaine partir de 871 HT 2 semaines partir de 1650 HT 3 semaines partir de 2413 HT 4 semaines partir 3083 HT 6 mois partir de 13150 HT 1an partir de 20917 HT Mise disposition d un applicateur 275 HT jour Additif 6 9 HT L e Avantages DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION Diminution de la quantit de plantes traiter Efficacit r elle sur perm able et imperm able d une ann e sur l autre 50 par ann e de Temp rature conserv e 70 C pendant 10 traitement secondes sur le v g tal D truit les graines 0 5 cm de profondeur Acceptation par la population locale La mousse n est pas consid r e comme un 3 passages par an comme pour le chimique produit phytosanitaire e Inconv nients DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION Efficacit sur 4 ans pour d truire les racines L eau apport e permet certaines graines de et les graines des adventices germer Pr sence de mousse pendant maximum 30 R sistance de certaines plantes minutes Meilleure efficacit apr s une fauche Location uniquement Consommation d eau de fuel et de foam Avancement moins rapide qu en chimique ANNEXES Nombres de passages n cessaires par technique pour une efficacit satisfaisante Zones imperm ables Zones perm ables Camveaux Pav s Zone sabl es Remblai O E 3 Brosse rotatives axe vertical 4
42. onon les Bains en fait un territoire l environnement privil gi et aux ressources en eau importantes tant d un point de vue cologique qu conomique Thonon les Bains est reconnue comme ville thermale depuis la fin du 19 me si cle et son eau est r put e pour ses vertus diur tiques et r nales La population du bassin l manique avoisine les 1 3 millions d habitants et l eau contenue dans le lac L man 89 milliards de m3 permettrait cette population de vivre en autarcie pendant environ 200 ans De plus la r gion de Thonon poss de des eaux min rales connues dans le monde entier et commercialis es par les soci t s des eaux d Evian et de Thonon les Bains On comprendra ais ment l importance de cette richesse naturelle et conomique pour la r gion chablaisienne et le regard attentif que portent aujourd hui les institutions suisses et fran aises en faveur d une protection et pr servation de ce patrimoine naturel local Depuis 40 ans en raison d un accroissement consid rable des zones urbaines de l industrialisation et des pratiques agricoles un organisme international la C I P E L Commission Internationale pour la Protection des Eaux du L man est charg de veiller la bonne gestion de cette ressource d int r t vital En effet la r gion de Thonon poss de la plus grosse r serve d eau souterraine de Rh ne Alpes Il y a environ 30 ans le lac L man tait proche de l eutrophisation due en grande partie l action du phosp
43. personne ARTEB Edit le 16 ao t 2004 38 Ta L cr ele Ege ST Ti F Photo FEREDEC Bretagne gamme Eurovoirie e _Rendements donn es l utilisation Vitesse d avancement 3 5 Km h e Co ts consommables DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION 45 000 90 000 TTC l achat 135 Km an si achat Contrat de prestation possible 155 Km an si location e Avantages donn es l utilisation v Bonne efficacit sur caniveaux v Action compl mentaire de nettoyage v Co t d utilisation mod r v Utilisation en intercommunalit envisageable pas d intervention du personnel communal e Inconv nients donn es l utilisation v Investissement lev si achat v D gradation des joints en mauvais tat v Nombre de passages lev s 7 12 v En d sherbage pur les co ts augmentent Il existe galement des syst mes trois points port s par des tracteurs Photos FEREDEC Bretagne gamme Rabaud e Co ts v 2650 3130 HT sans ramasseur largeur de 1 8 2 5m v 6800 HT avec ramasseur largeur de 1 5 2 m PAS DE DONNEES D EFFICACITE sur les syst mes port s ARTEB Edit le 16 ao t 2004 39 DESHERBAGE THERMIQUE SYSTEMES THERMIQUES GAZ La m thode consiste en la d gradation par la chaleur des plantes d naturation des prot ines et clatement des cellules par flamme ou par rayonnement infra rouge e Constructeurs Rabaud Onzain 2EBALM Primagaz
44. ri Mauvaise Mer M diterrann e EATE Fr An T s FL PU Er k i Wn imk j ra E key l TiN F Un ks i m i ii i eg os p J m a Le 4 LE 3 FA no up La r gion de Thonon poss de la plus grosse r serve d eaux souterraines de Rh nes Alpes Aujourd hui l eau distribu e dans la capitale chablaisienne provient 20 de l aquif re de le Dranse puis de Ripaille et 80 des nappes situ es sous les formations en terrasses surplombant ia ville Some Farage cle char Voie de ty r cannaesanoe PART heure VALLE protine Sarre DELA DRANSE Source du Aforo fa aiv SMIC ar rene ds sir de la Fontaine Late Mer heure AU ES ait dle ka Dranse d s iges Fute de Ripa BA AY A Reue ESSE Pyae det jo conclu supertho tele mima Ni rrt Atari Forerio ipere raties Tnt Extra Eat men Sources Service des Eaux Ville de Thonon les Bains 4 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 50 LAC L MAN PESTICIDES D SHERBANTS D CEL S 17 avril 2002 10 septembre 2002 Simazine Atrazine Terbutyla ug L ug L CONTROLE SANITAIRE DDASS EAU DE CONSOMMATION Point de surveillance station source de la Chavanne Thonon les Bains Date de pr l vement 13 01 2003 R SULTATS DE L ESSAI Triazines Cyanazine Terbutryne Simazine Atrazine Desm tryne Am tryne Terbuthylazine Prom tryne Atrazine D isopropyl Atrazine D s thyl Ur es
45. rofondes source IFEN E in PONT sil merk krane 73 8160 E NN OPEN END Atrasine diabh IS 779 Atrazine d soprogyl ZETA 1267 M tolachhore 2117 4487 D TES 0 10 2 XX 4 5 4 70 MN 1x a Frodurt de d gradasen Lie Gros gong Corrig s Ces Frodenpun ess Pebre ler Chren 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 La lutte antiparasitaire Les contraintes du milieu Herbicides r sistances source WEED SCIENCE 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 6 CANYON L volution du d sherbage NECESSITE DU DESHERBAGE k mt 4 PRISE EN COMPTE DU MILIEU GESTION DE LA RESISTANCE w gt dP APPEL A DES TECHNIQUES ALTERNATIVES 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao t 2004 21 Utilisation d auxiliaires introduits pour lutter contre les adventices Intervention de Bernard DELOBEL Monsieur Bernard DELOBEL est charg de recherches INRA au Laboratoire Biologie Fonctionnelle Insectes et Interactions unit mixte INRA INSA de Lyon sur le Campus INSA de la Doua Villeurbanne Si le concept de lutte biologique commence enfin tre correctement per u en France il est cependant souvent limit aux probl mes concernant la lutte contre les insectes ravageurs Il
46. s et des caniveaux Ne plus utiliser de pesticides tout en conservant les m mes aspects aux espaces induit une d pense de temps et un co t suppl mentaires selon les jardiniers de la ville et les entrepreneurs priv s Et pour la plupart d entre eux il est difficile de ne plus du tout en utiliser il en faut quand m me un peu est une r ponse qui a t plusieurs fois entendue L usage de produits phytosanitaires participe d une qualit moindre co t et changer de m thodes supposerait d augmenter les co ts d entretien La question de la pollution de l eau par les pesticides concerne aussi les propri taires de jardins priv s En effet ceux ci sont des consommateurs non n gligeables de produits phytosanitaires L utilisation de pesticides semble la plupart du temps incontournable des jardiniers connaissant peu les techniques de jardinage Et ces produits bien souvent apparaissent comme tant des produits miracles qui vont permettre de r gler facilement les probl mes qui se posent Les investigations effectu es dans une cit pavillonnaire d une commune bretonne tendent montrer que la pr occupation pour une verte pelouse de gramin es l emporte sur les La gestion diff renci e consiste appliquer une pression d entretien taille tonte ajout de produits phytosanitaires variable selon le type d espace dans un souci de gestion cologique ARTEB Edit le 16 ao t 2004 5 pr occupations enver
47. s la qualit de l eau et de l environnement une chelle individuelle ces aspects apparaissent bien mineurs Et comment faire autrement On ne va tout de m me pas d sherber la main pensait une partie des personnes rencontr es D autres paysages Ne plus utiliser de produits phytosanitaires induit une pr sence accrue des plantes adventices en ville Certains trottoirs ne sont plus d sherb s certains pieds d arbres non plus Cela modifie LR LR L rscon s vient l aspect pris par le quartier Une autre alternative l abandon des produits phytosanitaires est de favoriser d autres paysages dans la ville Pourquoi g n ralement enl ve t on les mauvaises herbes pr sentes en ville Parce qu on trouve qu elles g nent qu elles salissent le paysage qu elles ne sont pas leur place On va voir que mettre en place des techniques alternatives ou bien faire preuve d une plus grande tol rance envers les plantes adventices se trouvent confront s des repr sentations sp cifiques que l on peut avoir de l espace de la ville et des qualit s qu on en attend Cela nous aidera mieux comprendre pourquoi dans certains cas il est difficile de changer de mani res de faire pour entretenir la ville enlever les herbes pour une ville propre La ville dans l esprit de nombreuses personnes est un espace anthropis d o doit tre absente toute trace de spontan it Les plantes bienvenues en ville so
48. s mauvaises herbes font de la politique En tout cas leur gestion s ins re dans la gestion globale de la ville et dans la mani re dont la municipalit administre ses citoyens ARTEB Edit le 16 ao t 2004 7 Il est int ressant d observer quelle interpr tation politique les habitants de certains quartiers font de la gestion diff renci e Si cette m thode a essentiellement t pr sent e par ses caract ristiques techniques et cologiques la dimension sociale en a t occult e on peut aussi constater que ce mode de gestion s inscrit dans des repr sentations sp cifiques de la ville Pour les habitants cependant la dimension technique est loin de faire la totalit de cette m thode d entretien et ils en donnent volontiers une lecture sociopolitique Op rer une gradient de pression d entretien du centre vers la p riph rie est interpr t par les habitants de la p riph rie comme un d sint r t de la part de la municipalit selon eux on s occupe des habitants du centre de la ville et ceux de la p riph rie on les d laisse pour preuve on n enl ve plus les mauvaises herbes Ho M Le maire vous nous oubliez demandait une dame interrog e C est pas dans le centre ville qu on verrait a en disait une autre propos des pillets poussant au pied des arbres Dans les espaces priv s aussi les modalit s d entretien des espaces verts s inscrivent fortement dans une dimension sociale Dans certa
49. service de la propret des rues de la ville Qu est ce qui fait qu on entretient les espaces tels qu on les entretient aujourd hui Quel lien y a t il entre les m thodes employ es et l aspect voulu des espaces Nous avons essay de comprendre les logiques et repr sentations qui conduisent aux m thodes pratiqu es Nous avons aussi cherch valuer aupr s des entrepreneurs les modalit s d utilisation de produits phytosanitaires et l importance qu ils prennent dans leurs pratiques Comment concilient ils la double contrainte donner aux espaces un caract re de propret aux co ts les plus bas Nous avons ensuite cherch comprendre de quelle mani re les habitants du quartier per oivent les espaces de proximit qu ils fr quentent et la mani re dont ils sont entretenus Nous nous sommes particuli rement interrog e sur le lien que les populations font entre leur quartier l entretien des espaces les mauvaises herbes et la qualit de l eau Adaptation de l entretien des espaces publics aux exigences de qualit des eaux Diagnostic social et mise en place d une d marche participative rapport final Ville de Rennes IDEA CERESA mars 2002 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 4 changer les techniques Depuis plusieurs ann es la ville de Rennes s tait d j engag e dans une d marche de r duction des produits phytosanitaires avec la mise en place de la m thode de la gestion diff renci e2 Le projet z ro phyto
50. sherbe avec des produits La m thode chimique est peut tre la m thode la plus couramment utilis e pour des raisons de co ts jug s inf rieurs abstraction faite du co t que cela peut induire sur l environnement ou bien parce que c est pratique et rapide utiliser ou bien parce que a fait vingt ans qu on fait comme a ou bien pour d autres raisons Cependant les effets n fastes que cela peut produire notamment sur la qualit de l eau am ne certains acteurs chercher des m thodes alternatives au d sherbage chimique La mise en place de moyens alternatifs aux produits chimiques incite op rer un d tour vers ces mauvaises herbes comprendre qui elles sont pourquoi il est n cessaire de les ter de l espace public et pourquoi cela semble parfois si important de les enlever avec des produits chimiques Les actions de d sherbage de la ville ne se limitent pas leur dimension technique Au contraire des m thodes de gestion s inscrivent dans une dimension technique et cologique mais aussi sociale et culturelle La modification des techniques employ es doit donc tre pens en prenant en compte le contexte global car ter ou laisser des plantes adventices en milieu urbain ce n est pas seulement une question de technique Le contexte Nous pr sentons ici une partie des r sultats d un travaili r alis pour le compte de la ville de Rennes dans le cadre d une commande relative l adaptation de l entre
51. sommation de fuel et d essence R sistance de certaines plantes Perte de chaleur avec la longueur de tuyau Vitesse d avancement faible ARTEB Investissement lev Edit le 16 ao t 2004 43 SYSTEME MOUSSE CHAUDE WA PUNA La m thode consiste en la d naturation des prot ines et l clatement des cellules des plantes par l utilisation d un m lange eau noix de coco et amidon de ma s pulv ris avec une lance une temp rature de 96 C sous forme d une mousse e Constructeur Wa puna Systems Ltd e Distributeur PIVETEAU SA e Utilisation D sherbage des zones sensibles perm ables et imperm ables e Syst me Deux chaudi res au diesel 485 kg 2 lances d application 2 fois 22 cm de large v 1 chariot de 55 cm de largeur v 1 cuve de 1500 3500 L en fonction des syst mes v 1 additif noix coco amidon de ma s mousse foam S S Photo FEREDEC Bretagne Photo FREDEC Auvergne Ait te rl rai el zi An L Hal AR ji H Le pire H P my HETH ai E F F Te Photo Wa puna e Rendements DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION Vitesse d avancement 3 5 km h 350 m h lance 350 m h lance 3 passages par an 3 passages par an ARTEB Edit le 16 ao t 2004 44 e Co ts consommables DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L UTILISATION Eau 1 5 2 L m Eau 1 5 5 L m Fuel 6 L h chaudi re 0 25 m an variable en fonction des Additif 0 2 0 4 c
52. t d une flore semi naturelle pour 3 sites D O0 GA 0 OS BEA E CREATION D UNE PLATE FORME DE CO COMPOSTAGE Un m lange de fumier animal et de d chets v g taux Edit le 16 ao t 2004 21 ARTEB Avantages du co compostage par rapport au compostage avec retournements gt Peu de production de jus compostage rapide et pr sence de la paille gt R duction tr s importante des odeurs absence de retournements gt Meilleure conservation de la mati re organique gr ce au maintien r gulier de la temp rature gt Limitation du transport des d chets gt Co t estimatif pour 250 tonnes de D charge en plate forme de Co compostage R GLEMENTATION En dessous d une capacit de production de 1 tonne jour les installations de compostage rel vent du r glement sanitaire d partemental R glement sanitaire d partemental gt tre d clar en mairie partir de 50 m3 Ces d p ts ne doivent pas tre tablis gt moins de 35 m tres de 1 d eau installations de stockag gt moins de 5 m tres de rou Communication Les panneaux destin s au public cr ent un lien de l ensemble des sites pilotes Chaque panneau contient une place d affichage sur lequel l agent de ma trise va communiquer l volution de son site Edit le 16 ao t 2004 28 Conclusions P dagogiques Les agents de ma trise ont une fonction parcellaire dans
53. t 2004 14 ARTEB AUTRES EVOLUTIONS REGLEMENTAIRES L volution du classement des produits Prise en compte du classement des formulants Nouvelles phrases R et S gt Classement plus S v re des produits 2 mes rencontres r gionale surda lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 AUTRES EVOLUTIONS REGLEMENTAIRES L abrogation l arr t Produits simples Portant liste produits industriels simples non soumis homologation Cons quences e Si non homologation arr t d commercialisation et d utilisation au 10mai 2003 Fous les produits au 1 janVier 2004 Du sulfate de fer Du soufre au 15jjuillet 2004 Du chlorate de sodium Arr t de l utilisation 6 mois apr s 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 AUTRES EVOLUTIONS REGLEMENTAIRES La proc dure d valuation des m langes avec crit res de tri sur crit res de compatibilit toxicologique b 4 2MHOOIOL LE D R 43 Indication de zones non trait es la plus contraignante Importance de la notice d accompagnement 2 mes rencontres r gionale surda lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao t 2004 15 ARTEB LES HERBICIDES LESSITES D ACTION CLASSIFICA TION BASEE SUR LES GROUPES HRAC Herbicide Resistance Action Committee 2 mes re
54. t la rapidit d entra nement et de ruissellement e Incidence de l activit des agriculteurs locaux et des particuliers dans l avenir e Absence d changes et de strat gie commune entre intervenants publics DDE SNCF Conseil g n ral et autres collectivit s ARTEB Edit le 16 ao t 2004 53 Conclusion p mes Des rencontres r gionales sur la lutte biologique en ville Valence Une nouvelle approche du d sherbage en milieu urbain et p ri urbain Mesdames messieurs les lus messieurs les professeurs directeurs de service professionnels des espaces verts formateurs mesdames messieurs Je tenais tout d abord f liciter l ARTEB ainsi que les services de la mairie pour la tr s bonne organisation de cette journ e ainsi que pour la qualit des participants et des orateurs que nous avons pu couter aujourd hui Pour recentrer le d bat sur nos pr occupations de ce jour la ville de Valence s est engag e 1l y a d j 8 ans dans le d sherbage thermique et elle continue d tre active dans le domaine Equip e de deux machines infrarouges l une manuelle et l autre tract e nous d sherbons un peu plus de 2 5 ha de cheminements et de surfaces de stabilis sur la zone de captage de Valence le Haut Ce traitement est effectu en 3 ou 4 passages par an fin hiver d but printemps et t L efficacit de ces appareils est r elle mais cela reste pour la ville un d sherbage qui a un co t entre 50 et 100 plus
55. t pris par les espaces que l on voit et la qualit de l eau Bien souvent la d gradation de la qualit de l eau c est cause des autres Pour les priv s c est cause des gestionnaires publics et pour ceux ci cest cause des jardiniers du dimanche pour les citadins c est cause des agriculteurs et r ciproquement Une partie des acteurs entretiennent aussi une vision fataliste des choses nous sommes condamn s vivre dans une pollution croissante En outre le fait que les produits pour les particuliers soient en vente libre induit pour eux qu ils sont inoffensifs pour l environnement Changer les pratiques abandonner les pesticides se heurte aussi des repr sentations sp cifiques dont ces produits sont l objet En effet les produits chimiques sont consid r s par nombre d acteurs comme tant des produits la pointe du progr s et qui n ont pas d quivalent au niveau de l efficacit Ne plus utiliser de pesticides ce serait retourner 50 ans en arri re vers des temps archaiques La solution avanc e pour nombre de personnes c est que la science trouve des produits non polluants Toujours c est la solution du chimique qui est invoqu e On peut s interroger sur les rationalit s l uvre dans l utilisation de ces produits En effet malgr le fait que des effets secondaires non n gligeables soient pressentis on continue de les utiliser et de les vanter Ces produits pesticides semblent participer d un
56. tien des espaces publics aux exigences de qualit des eaux Ce projet s intitule aussi z ro phyto dans la mesure o l objectif tait de parvenir sur un espace pilote un quartier de la ville ne plus utiliser de produits phytosanitaires susceptibles de polluer les eaux L objet de ce travail tait de mettre en place des actions de sensibilisation la qualit de l eau dans un quartier de la ville Au pr alable il s agissait d tablir un diagnostic de la zone tudi e comprendre les rapports entretenus avec les modes d entretien des espaces et leurs caract ristiques esth tiques observer et analyser les perceptions des plantes adventices et des espaces de la part des acteurs sociaux Cette mission faisait partie des actions entreprises dans le cadre de la Charte de l environnement de la ville de Rennes et du programme Bretagne Eau Pure dans un contexte de pollution des eaux par les pesticides dans cette r gion Il se situe aussi dans la continuit d une d marche gestion diff renci e adopt e pour les espaces verts de la ville de Rennes Ce travail a t men travers un questionnement entre sociologie technique et paysage Nous avons explor la mani re dont l espace urbain tait entretenu ainsi que les m thodes utilis es pour lutter contre les mauvaises herbes Nous avons cherch voir par quoi pouvait tre compens l abandon de produits phytosanitaires par les employ s du service des jardins et du
57. ues phytosanitaires en succession de Fernand S verin Contact philippe delval acta asso fr UNE NOUVELLE APPROCHE DU DESHERBAGE EN MILIEU URBAIN ET PERI URBAIN Usage et volution des herbicides Ph DELVAL ACTA 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique ensmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Triazines Ur es substitu es diuron aminotriazole aminotriazole Autres hormones dicamba fluroxypir Aminophosphonates Glyphosate sulfosate Sulfonylur es flazasulfyuron 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 9 ARTEB INSCRIPTION A LA DE MISE SUR LISTE LE MARCH POSITIVE I USAGES 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enmilieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 DOSSIERS TOXICOLOGIQUE TOXICOLO IQUE staierdk 2 mes rencontres r gionale surla lutte biologique enimilieu urbain et fi C Ifi p ri urbain Valence 28 01 04 pE LISTE ve POSITIVE Nouvelles Annexe 1 Anciennes 10 ans Usages NOUVEAU CATALOGUE 6111820022 2 mes rencontres r gionale su la lutte biologique en milieu urbain et p ri urbain Valence 28 01 04 Edit le 16 ao t 2004 10 R glementation Retrait des substances actives ZNA LS thidimuron 3 fluridone fosamine ammonium acifluorf ne hexazinone bromacile imazapyr chlortiamide terbuthy
58. une quelconque caution ni valoir agr ment de l organisme cit ARTEB Edit le 16 ao t 2004 9 SOMMAIRE L homme la mauvaise herbe et la ville 0 aa0nnannnannnnannnnnnnannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnne 4 Usage et volution des herbicides 9 Utilisation d auxiliaires introduits pour lutter contre les adventices 22 Mise en uvre d une gestion diff renci e sur la ville de Lyon 25 Les diff rentes possibilit s techniques non chimiques 36 Usage pratique et contraintes dans une ville thermale 49 CONCUSSION a a Le R EAOn 54 ARTEB Edit le 16 ao t 2004 L homme la mauvaise herbe et la ville Intervention de Marie Jo MENOZZI Madame Marie Jo MENOZZI est ethnologue et m ne de nombreuses tudes sur les politiques de l environnement et la caract risation de l environnement urbain Contact mj menozzi infonie fr La ville est un espace compos d hommes de min ral mais aussi de v g taux dont certains aux caract ristiques particuli res Dans l espace urbain on trouve diff rents types de v g taux des plantes horticoles qui souvent sont des plantes qui viennent de contr es lointaines et qui sont aussi des plantes qu doivent se plier une certaine discipline Mais la ville est faite de coins et de recoins o s installent des populations v g tales la plupart du temps non d sir es On les sarcle on les bine ou bien on les d
59. ur 348 km an caniveaux 0 232 m an pav s 0 214 m an sable Avantages donn es l utilisation SASAS Simplicit d utilisation Maniabilit int ressante Co t d investissement faible mod r D sherbage par tous les temps Meilleure efficacit du syst me flamme directe Inconv nients donn es l utilisation KASS SAS Efficacit foliaire uniquement Risque d incendie dangers li s au vent la s cheresse Nombre de passages importants Contr le de la pousse uniquement pas d radication des plantes R sistance des plantes pivots notamment Consommations de gaz importantes SYSTEME VAPEUR WEEDCLEANER La m thode consiste en la d naturation des prot ines et l clatement des cellules des plantes par l utilisation de vapeur d eau sous pression Constructeur G rgens Consulting amp Trading GmbH Distributeur ENTECH e Utilisation v Zones imperm ables et perm ables v Anti graffitis et chewing gum v D sinfection de locaux sanitaires e Syst me v Concept modulable v Vapeur 120 140 C sortie de buse et de rampe vapeur 95 C v Pression 40 60 bars v Lance 6 m tres de tuyau rampe 1m de large v Cuve de 600 2000 litres adaptable la demande v Utilisation par 2 personnes v Poids du syst me 140 kg rampe Photos FEREDEC Bretagne syst me tract ARTEB Edit le 16 ao t 2004 41 e Rendements DONNEES CONSTRUCTEUR DONNEES A L
60. ur sont pour moi des gages d une p rennit de votre action Je vous remercie tous de vos contributions J esp re que vous avez eu le temps d entrapercevoir la ville de Valence et que vous aurez l occasion d y revenir rapidement pour profiter notamment de la beaut de ses espaces verts labellis s deux ann es de suite 4 Fleurs Comme c est souvent le cas la suite de ces colloques je souhaite que vous puissiez vous f liciter en constatant que vous avez t largement entendus aujourd hui Je vous donne donc rendez vous aux prochaines rencontres r gionales de 2005 Olivier Chambon Directeur des Espaces Vers et Propret Urbaine Ville de Valence ARTEB Edit le 16 ao t 2004 54
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